correction du DM2 de physique-chimie exercice 1 : interférences 1. s2 (O2 ) a une amplitude 3 fois plus importante que s1 (O1 ) donc l’intensité sonore associée à s2 sera 9 fois plus importante que celle associée à s1 . Par ailleurs, ces signaux sont synchrones et en phase lors de l’émission. O1 M O2 M 2. (a) τ1 = et τ2 = . c c (b) A est différent de Sm car la puissance sonore émise à l’instant t par une des sources se répartit au niveau de M sur une sphère de rayon O1 M , ce qui correspond donc à une puissance plus faible en M qu’au niveau de la source. 3. 4. B cos ψ = A cos ϕ1 + 3A cos ϕ2 donc B sin ψ = A sin ϕ1 + 3A sin ϕ2 B 2 = A2 (cos ϕ1 + 3 cos ϕ2 )2 + (sin ϕ1 + 3 sin ϕ2 )2 B 2 = A2 [10 + 6 cos(ϕ1 − ϕ2 )] 5. tan ψ = B sin ψ B cos ψ tan ψ = sin ϕ1 + 3 sin ϕ2 cos ϕ1 + 3 cos ϕ2 6. δ(M ) = O1 M − O2 M = c(τ1 − τ2 ) donc ω ϕ1 − ϕ2 = − δ(M ) c B 2 = A2 10 + 6 cos 7. Bmax = 4A et Bmax = 2A 8. 1 2π δ(M ) λ 9. B 2 = 10A2 , la valeur moyenne de la fonction cosinus sur une période (ici une période est une période spatiale, λ !). 10. On retrouve bien le fait qu’en moyenne sur une période spatiale (ce qui "moyenne le phénomène d’interférence") le carré de l’amplitude totale (proportionnel à l’énergie reçue) est égale à la somme des carrés des amplitudes des deux signaux. 11. (a) δ(M ) = O1 M 2 − O2 M 2 O1 M + O2 M (y − +a/2)2 + d2 − ((y − a/2)2 + d2 2d δ(M ) = O1 M 2 − O2 M 2 O1 M + O2 M δ(M ) 2ay 2d ay d (b) (c) Les maxima d’intensité sonore sur l’axe (Py) vérifient 2π ay = 0[2π] λ d y = 0[ λd ] a λd a (d) Lorsque le récepteur est en P, l’amplitude énergétique du signal est maximale puisque les deux ondes sonores sont en phase, la phase à l’origine des dates étant la même pour les deux signaux et la différence de marche nulle. L’interfrange vaut donc i = (e) f = cd = 42, 5 kHz ai exercice 2 : le phénol 1. La concentration molaire maximale cmax que l’on peut obtenir en dissolvant du phénol Sm dans l’eau à 25˚C vérifie cmax = = 1, 04 mol/L . M 2. Peser précisément m = c1 ∗ V ∗ M = 0,188 g de phénol dans une coupelle. L’introduire dans une fiole jaugée de 100 mL. Rincer la coupelle avec de l’eau distillée à récupérer dans la fiole, puis ajouter de l’eau distillée en s’arrêtant nettement avant le trait de jauge. Boucher et agiter jusqu’à dissolution complète. Ajuster le niveau du liquide au trait de jauge et homogénéiser. 2 c1 V1 = 0, 0100 mol/L V1 + V2 c2 V2 [Na+ ]i = [OH− ]i = = 0, 0400 mol/L V1 + V2 3. [C6 H5 OH]i = [C6 H5 O− ]C˚ [C6 H5 OH][OH− ] est initialement nul et ne peut jamais s’annuler puisqu’il passerait pour cela par la valeur Qr = K˚correspondant à l’équilibre chimique. Ceci est dû au fait que tous les réactifs et produits (sauf l’eau, en très large excès) sont des solutés. 4. La réaction ne peut en aucun cas être rigoureusement totale car Qr = équation de la réaction 5. C6 H5 OH(aq) avancement molaire (mol/L) + HO−(aq) concentrations c1 V1 V1 + V2 x=0 c1 V1 − xeq = V1 + V2 εeq xeq −− −− C6 H5 O – (g) +H2 O (mol/L) c2 V2 V1 + V2 0 solvant c2 V2 − xeq V1 + V2 xeq solvant [C6 H5 O− ]eq C˚ = K˚. Vu la valeur de K˚, on [C6 H5 OH]eq [OH− ]eq c1 V1 peut faire l’hypothèse que la réaction est très avancée, soit xeq . V1 + V2 D’après la L.A.M, à l’équilibre, On en déduit que εeq = c1 V1 1 c2 V2 − c1 V1 . . .C˚= 3, 33.10−5 mol/L V1 + V2 K˚ V1 + V2 L’hypothèse est valide donc [C6 H5 O− ]eq = 3, 33.10−5 mol/L [C6 H5 OH]eq = 0, 100 mol/L OH− eq = 0, 300 mol/L Na+ eq = 0, 400 mol/L 3
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