Dienstag, den 4. März 2014 W I RTS C H A F T Bill Gates erneut reichster Mensch der Welt Sein Vermögen listet das Magazin „Forbes“ in diesem Jahr auf 76 Milliarden Dollar. Seite 44 Netcore PSF devient POST Telecom PSF Luxembourg. Filiale de POST Luxembourg à 100% depuis novembre 2012, Netcore PSF devient POST Telecom PSF. Au-delà d'un changement de nom, c'est un véritable rapprochement stratégique qui est en marche. L'objectif est de positionner POST Luxembourg comme un acteur ICT majeur sur la place luxembourgeoise. Dans ce contexte, de nouveaux produits et solutions seront développés dans une offre structurée. Celle-ci couvrira tant les télécommunications et le cloud computing (métiers historiques de POST Luxembourg) que les services ICT et l'intégration (métiers historiques de Netcore). (c.) Numen annonce l’acquisition de Cimail Luxembourg. Spécialisé dans le domaine de la dématérialisation de documents, Numen, acteur de référence dans l’externalisation de processus documentaires et métiers (BPO), acquiert la société Cimail, intégrateur et éditeur de solutions logicielles (gestion et archivage électroniques de documents, CRM, portail collaboratif). C'est la quatrième acquisition en trois ans pour cette société, qui compte près de 200 clients (privés, publics) répartis en France, en Suisse et au Benelux. Les deux entités représentent un effectif de plus de 1050 personnes, dont 700 en Europe. 110 ingénieurs et techniciens informatiques (dont 40 chez Cimail en édition comme en intégration) constituent le cœur informatique du groupe. (c.) L'économie sociale et solidaire et l'emploi Luxembourg. L'économie sociale et solidaire implique-t-elle de nouveaux modes de création d'emplois? C'est le sujet d'une conférence d'une journée dans l'air du temps qui aura lieu le mardi 25 mars de 9 heures à 19 heures au CRP Henri Tudor au Kirchberg. Elle est organisée conjointement par 1, 2, 3, Go Social, L'Impactory, l'Université de Luxembourg et le CRP Henri Tudor. Pour davantage d'informations: [email protected]. (c.) Scania: moins 250 emplois en Suède et en Pologne Stockholm. Le constructeur suédois de poids lourds Scania a annoncé hier la suppression de 250 emplois en Suède et en Pologne, en raison de la baisse de ses ventes de bus de ville. Alors que le groupe avait enregistré des ventes record en 2010 et 2011 – près de 600 bus avaient été livrés notamment en Suède, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni– en 2013, moins de 100 bus citadins ont été vendus. Le groupe vise des économies annuelles à hauteur de 8 millions d'euros. (AFP) 43 Le «Madoff belge» a disparu Le Luxembourg aurait été utilisé comme base arrière pour escroquer une centaine de personnes. Page 45 La maison-mère des laboratoires KetterThill réaffirme son attachement au Luxembourg 2014, année des changements Dix millions d'euros d'investissements et une quinzaine d'embauches à venir PAR THIERRY LABRO La présidente du directoire de Cerba European Lab, Catherine Courboillet, l'affirme: elle avait prévu de communiquer sur les développements du groupe au Luxembourg en 2014. Le départ du docteur Jean-Luc Dourson a bouleversé le plan de communication. 2014 sera l'année du déménagement vers Esch-Belval et de l'embauche d'une quinzaine de personnes. Loin des rumeurs de désintérêt. Le déménagement du laboratoire KetterThill de la rue Romain Fandel vers Belval devait intervenir au dernier trimestre 2013: il aura lieu fin 2014. De quoi doubler les surfaces de travailler et donner de l'air à une structure devenue trop étroite au fil de son succès et qui réalise 53% des analyses en ambulatoire hors hospitalisation pour un chiffre d'affaires de 31 millions d'euros en 2013. Car si KetterThill est vendu, en mars 2012, au groupe français Cerba European Lab, 2.000 salariés, 360 millions d'euros de chiffre d'affaires, une centaine de laboratoires, il a une histoire. Une histoire luxembourgeoise. Il est né, en 2003, du rapprochement de deux laboratoires luxembourgeois, Thill, fondé en 1946, et Ketter, dix ans plus tard. En 2007, lorsque Jean-Luc Dorson s'en porte acquéreur, il entame presque aussitôt des discussions avec le groupe français. La vente ne pourra se débloquer qu'après une modification de la loi luxembourgeoise sur l'exploitation d'un laboratoire d'ana- Catherine Courboillet, présidente du directoire du Groupe Cerba European Lab, et Stéphane Gidenne, administrateur délégué des Laboratoires Ketterthill, ont voulu rassurer. (PHOTO: TANIA FELLER) lyses médicales en personne morale, le 16 mars 2011. «Le site, 4.500 m2 sur cinq niveaux et demi, doit nous permettre de doubler la surface de travail», explique le nouvel administrateur délégué, biologiste réputé, Stéphane Gidenne. «Dans cette zone moderne, près de l'université et de la frontière, nous aurons aussi un centre de prélèvements». «Avec 10 millions d'euros, un tiers des investissements du groupe iront au Luxembourg», ajoute Mme Courboillet. «Les chiffres parlent, nous voulons continuer à développer la dynamique de notre laboratoire luxembourgeois et la formation.» Les 400.000 euros demandés par le siège? «La quote-part du site luxembourgeois à l'administration de notre groupe. Normal», balaiet-elle. L'emprunt à haut rendement? «Un moyen de financer des investissements toujours coûteux. Cet emprunt nous a valu des félicitations des professionnels, je ne vois pas de problème», dit-elle, préférant souligner la proximité éthique et presque philosophique que le groupe Cerba veut trouver auprès des laboratoires avec lesquels il s'allie. «Les activités de KetterThill sont indélocalisables: c'est de l'analyse, une activité de proximité entre des patients et des docteurs...», reprend le Dr Gidenne avec le sourire. Le groupe est en pointe avec le diagnostic non invasif de la trisomie 21, dans le cadre d'un partenariat public-privé avec 40 centres français et 1.000 patientes. Das Postscheckkonto und die Frage nach dem Morgen Partnerschaft mit einer Luxemburger Bank dürfte eine gangbare Option sein Luxemburg. Der Zahnarzt hat es, die Autowerkstatt oder das Reiseunternehmen auch: ein CCP – ein Postscheckkonto. Viele erinnern sich nostalgisch vielleicht noch an jene Zeiten, als Postschecks zur unentbehrlichen Ausstattung zählten, um einen Monat lang mit Rucksack und Interrail-Ticket Europa zu erkunden. Wie auch immer, das Postscheckkonto gehört zu Luxemburg. Und so soll es auch bleiben, beruhigt die Luxemburger Post. Im Rahmen ihres Bestrebens, sich in einem veränderten Umfeld anders und besser aufzustellen, denkt die Post allerdings auch über die Zukunft des CCP und allgemein über ihre Finanzdienstleistungen nach. Doch was will die Post? Fest steht, dass das Postscheckkonto, das am 3. April 1911 per Gesetz eingeführt wurde und vor drei Jahren seinen 100. Geburtstag feierte, nicht in der heutigen Form bestehen bleiben soll. Es sei aber ausgeschlossen, wie es jüngst in einer parlamentarischen Frage hieß, dass das CCP verkauft würde, so Olivier Mores, Presseverantwortlicher der Post. Bei einem Pressegespräch anfangs Februar gab Post-Direktor Claude Strasser zu verstehen, dass die Post nicht beabsichtige, eine Post-Bank nach französischem Modell aufzubauen: „Wir sind keine Bank und wollen keine werden.“ Doch das aktuelle CCP-Modell stößt an seine Grenzen. Das liegt auch an den heute sehr niedrigen Zinssätzen und folglich daran, dass mit den Guthaben der Kunden kaum mehr Geld zu verdienen ist. Dabei zählt die Post eigentlich viele Kunden. Beispielsweise die Staatsbediensteten. Deren Gehalt oder Pension wird traditionell auf ein CCP über- Postdirektor Claude Strasser sucht nach neuem Weg. (FOTO: GUY JALLAY) wiesen, von wo aus das Geld dann aber oft und schnell per Dauerauftrag und zumindest teilweise zu einer Bank transferiert wird. Unter anderem diese Kundschaft könnte die Post enger an sich binden indem sie ihnen als Finanz- dienstleistungen etwas mehr anbietet als nur Konto, Visa oder ebanking. In dieser Optik würde eine Partnerschaft mit einer Bank durchaus Sinn machen. Mehr verrät die Post bislang aber nicht. Nichts darüber, welche Rolle die Postbüros und -Shops in Zukunft im Finanzbereich spielen sollen und auch nichts über mögliche Partner. Viele Optionen gibt es nicht. Man kann sich die Post, deren Kundennähe eine Stärke bleiben muss, auch schwer mit einer großen ausländischen Bank als Partner vorstellen. Eher mit einer Luxemburger Bank, die wie die Post nahe am Kunden ist und fest in allen Teilen des Landes verankert ist. Gut vorstellbar wäre ein Partner wie die Raiffeisenbank oder die Bank und Staatssparkasse, deren Aktionär, wie bei der Post, der Staat ist. (mg)
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