Analyse moléculaire par hybridation in situ en fluorescence du gène

BIBLIOTHEQUE S.N.V
COTE 03GMA-20-217
THEME
Analyse Moléculaire par hybridation in situ en
fluorescence du gène HER2 chez des patientes
atteintes de cancer du sein
PRESENTE PAR :
YATAGHANE Rachida
CHABANE Amel
IDRIS KHODJA Nesrine
ENCADRE PAR : Mme TAHARI Zineb
Soutenu le:12 /06/ 2014
Résumé
Le cancer du sein est le deuxième cancer dans le monde après celui de la prostate chez
l’homme, et est le premier cancer de la femme. Son incidence est en augmentation au cours
de ces 20 dernières années, avec un nombre de cas estimé à plus de 1,4 million de femmes
atteintes et 460 000 décès en 2008. Cette incidence est expliquée partiellement par des
facteurs de risque bien établis comme les facteurs reproductifs, hormonaux ou génétiques.
Le cancer du sein se caractérise par l’accumulation de multiples altérations moléculaires qui
donnent à chaque tumeur son phénotype et son potentiel évolutif. Le cancer du sein HER2
dépendant représente 20% des carcinomes mammaires.
La connaissance du statut HER2 est indispensable pour la sélection des patientes
atteintes d’un cancer du sein en vue d’un traitement par l’Herceptin® (trastuzumab). Une
évaluation fiable du statut HER2 est essentielle pour une sélection de toutes les patientes
pouvant bénéficier du traitement ciblé. De nombreux tests sont disponibles pour évaluer le
statut HER2 ; les deux tests les plus utilisés sont l’immunohistochimie (IHC) et l’hybridation
in situ en fluorescence (FISH).
Notre étude a porté sur 97 femmes, atteintes de cancer du sein et âgées entre 20 et
90 ans, recrutées au niveau du CHU de Sidi Bel Abbes. La tranche d’âge la plus touchée se
situe entre 45 et 54 ans. Ces femmes ont fait l’objet de diverses analyses biologiques pour
établir une thérapie anticancéreuse adéquate. Nous avons sélectionné 37 cas ayant un score
2+ autrement dit HER2 équivoque. Plus de 35 % de ces cas montre une amplification
génétique.
Les mots clés : Cancer du sein, TNM, SBR, histopathologie, immunohistochimie (IHC),
hybridation in situ fluorescente (FISH)
Année Universitaire 2013-2014