Q.C.M. – Détermination de la sensibilité des bactéries aux antibiotiques 1. L’antibiogramme standard est : A une détermination de la CMB B une détermination approximative de la CMI C une technique par dilution en milieu gélosé D une technique par diffusion en milieu gélosé E une technique très utilisée au laboratoire 2. La variation de certains des facteurs suivants peut fausser les résultats de l’antibiogramme standard. Lesquels ? A pH du milieu B incubation en anaérobiose C volume du milieu D exigences nutritives de la bactérie E diffusion de l’antibiotique dans le milieu 3. Dans la liste suivante, quelle est la technique la plus fréquemment utilisée au laboratoire pour une évaluation précise de la CMI A E-test B Dilution en milieu gélosé C Dilution en milieu liquide D Technique de l’échiquier E Test de Gots 4. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles exactes : A Est toujours utilisée en cas de septicémie B la CMB évalue l’effet bactéricide d’un antibiotique C la CMB est déterminée pour toutes les bactéries isolées au laboratoire D la CMB est la plus faible concentration d’antibiotique pour laquelle il reste 0,01% de survivants E pour les souches tolérantes à un antibiotique CMB/CMI<4 5. Une association d’antibiotiques est dite indifférente si l’effet de cette association est : A supérieur à la somme des effets produits par chaque molécule B inférieur à l’effet obtenu avec la molécule la plus active C égal à la somme des effets produits par chaque antibiotique D égal à l’effet obtenu avec la molécule la plus active 6. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes : A les catégories Sensible, Intermédiaire et Résistant prennent en compte des données microbiologiques et cliniques. B une souche est dite de sensibilité intermédiaire si elle peut être atteinte par un traitement par voie générale C une souche est dite tolérante si sa CMB/CMI≤32 D le phénomène de tolérance peut être observé avec les β-lactamines et la vancomycine 7. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes : A La CMI est proche de la CMB pour un antibiotique bactériostatique B la CMI correspond à la plus faible concentration d’antibiotique inhibant toute croissance bactérienne après 18h d’incubation à 37°C C la CMI est d’autant plus élevée (mg/l) que la bactérie est sensible D la CMI peut être déterminée pour les antibiotiques bactéricides 8. Parmi la (les) proposition(s) suivante(s) relative(s) à la définition de la classe thérapeutique «espèces habituellement sensibles », la(les)quelle(s) sont exactes ? A appartiennent au spectre naturel de l’antibiotique B le pourcentage de souches résistantes ne dépasse pas 10% C dans ce cas, l’antibiogramme n’est pas nécessaire D On peut espérer un effet thérapeutique dans certaines conditions (posologie élevée…) E cette donnée ne constitue qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique. 9. Parmi la (les) proposition(s) suivante(s) relative(s) à la définition de la catégorie clinique « sensible », la(les)quelle(s) sont exactes ? A la probabilité de succès thérapeutique est acceptable B la probabilité de succès thérapeutique est inconnue C on doit s’attendre à un effet thérapeutique pour un traitement à dose habituelle par voie IV D on doit s’attendre à un effet thérapeutique à condition d’utiliser des posologies élevées par voie IV E un traitement local est suffisant pour obtenir un effet thérapeutique
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