Page 5 - Normannia

m a
Madame veuve -LESÀGE, à Gourbes.ville, et ses enfants ;
Madame veuve J e a n QOS8ERON et
m~< '
ii ' • • • i n» * m . i •»i»ii.M.r
III.II—
i i n i i j - ~ i n|
enfants, à Cherbourg ; .
Monsieur Louis LE TELL1ER, mes sesMonsieur
Madame Paul IJS-.
ïiuisier à Equeurdreville, son épouse, TANNEUR, à etNÊhou
;
née LARQDEMIN;
Monsieur et Madame Alexandre
Monsieur
Auguste
LECORDIER, TRAVERS, à Néhou-Saint-Jaoques, .et
coiffeur à Cherbourg, son. épouse née leurs enfants :
LE TELLIER; •
Monsieur et Madame Pierre TRAMademoiselle
Germaine LECOR- VERS, à Néhou-Sahtt-Jacques, . • #
DIER;
leurs enfants ;
Mademoiselle Germaine LE TEL'-:
Monsieur et Madame TRAVERS,
LIER;
buandiers à Cherbourg,. 98, rue de
Messieurs Maurice, Roger et Geor- Sennecey, et leurs enfants ;
ges LE TELLIER;
Madame" veuve Pierre ÏANtÈCE e t
Madame Veuve Euphrosine LE TEL- ses enfants, à Tourlaville ;
LIER. à Flottemanville-ïïague, ses
Monsieur et. Madame, Emile IiAenfants et Petiffe-enfants;
NIÈGE, à Cherbourg, et leurs enfants:
P a r e n t s et amis;. .•
Madame veuve Auguste LANIÈCE, a
Ont la douleur de vous faire part Valognes, et ses enfants j
'de la perte cruelle qu'ils viennent
Mademoiselle Marie. tANIÈGB, à
S'éprouver en la personne de
Cherbourg ;
Les Familles LESAGE, COSSERON,
Madame Veuve Maurice LE TELLIER COTELLE, LETANNEDR, TRAVERS,
LANIÈCE, DOGDET, LE VAST, PAnés Stéphanie-Aurélia BRISSET
TRLX, BIGARD ;
Parents et Amis ;
leur mère, belle-mère, grand-mère,
belle-sœur, tante et parente, décédée
Ont la douleur de vous faire part 'de
à Equeurdreville. le 25 décembre la perte cruelle qu'ils
viennent
1925, dans sa 82° année, munie des d'éprouver en la personne de
Sacrements de l'Eglise.
Monsieur
Auguste-Jean-François COSSERON
. Et vous prient de bien vouloir a s sister aux Convoi, Service et Inhuma-: leur frère, beau-frère, oncle, grandtion. qui auront lieu le Lundi 28 d é - oacle, cousin, parent et ami, décédé à
cembre courant, à 14 heures, en l'égli- Cherbourg, le 26 décembre 1925, à
se d'Equeurdreville, sa paroisse.
l'âge de 67 ans, muni des Sacrements
de 1 Eglise. '
On se réunira à la maison rnorr?
Et vous" prient de bien vouloir a s tuaire, rue Pasteur, il.- sister à ses Convoi, Service et Inhumation
auront lieu le Mardi 29
Une messe huitaine sera célébrée Décembrequi
1925, à 10 heures, en l'Eglipour le repos de son âme. en l'église se
Saint-Clément, sa Paroisse.
d'Equeurdreville. le Lundi 4 Janvier, à
On se réunira à la Maison Mortuai8 heures du matin.
re, rue de Sennecey, n" 98.
(P. F. Q., 67, r. Gambetta, Equeùr. T. 8-27)
Une Messe Huitaine sera célébrée",
pour le repos de son âme, en l'église
ifr. , T . . T . . T . , ' •'• •'
, T , i l , . T , • ¥ , i l , i l , n i , l l i ,Ti . f . nli
Saint-Clément,
le Mardi 5 janvier, à
V- * ™ " -V " " T T T T T - " " " V !4 •'
9 heures.
Monsieur Mathurin JÉGAT, aide de
Il ne sera pas envoyé de faire-part,'
laboratoire, au Lycée;
Monsieur Alphonse PLESNAGE, ou- le présent avis en tenant lieu.
( P " Funèbres Q'-.-ia, r. T.-Carrée. T. S-27)
vrier ajusteur, à l'arsenal;
Les 'families .TÉGAT, PLESNAGE,
LECONTE, HÉBERT, CLOT, LEPART,
parents et amis;
Ont la douleur de vous faire part
'de la perte cruelle qu'ils viennent
Monsieur Alexandre CHATELLIER, ind'éprouver en la personne de
génieur des Directions de Travaux
Madame JÉGAT
de la Marine, et Madame CHATELnée Lœtitia LECONTE
LIER, née TOURAINNE ;
leur épouse, mère, parente et amie, Mademoiselle Marie 'TOURAINNE ;
décëdèe à Cherbouçg, le samedi 26 dé- Mesdemoiselles Madeleine, Andrée,
Anne-Marie, et Monsieur Pierre
cembre 1925, à l'âge de 46 ans. munie
CHATELLIER ;
"
des Sacrements oj> l'Eglise.
Mademoiselle Emilie SAMSON ;
Et vous prient (Je bien vouloir a s - Monsieur Charles SAMSON ;
sister aux Convoi. Service et I n h u m a i Monsieur Emile' SAMSON. officier
tion. qui auront lieu le Lundi 28 Déd administration de la Marine, et
cembre, à 3 heures, en l'église NotreMadame ;
Dame du Voeu, Sa paroisse.
Messieurs Georges et Edmond SAMOn se réunira à la maison morSON ;
tuaire, rue Gustave Féron.
Mesdemoiselles Jeanne et Charlotte
SAMSON ;
Une messe huitaine sera célébrée
pour le repos de son âme. en l'église Monsieur et Madame Robert SAMSON,
k
QI IBUT
fils"*
Notre-Dame du Vœu, le Mardi 6 J a n Mademoiselle Thérèse SAMSON :
vier, à 9 heures.
Les Familles SAMSON, LEGRAND,
Il ne sera pas envoyé de faire-part, ZIMMERMANN ;
•
le orésent avis en tenant lieu.
Remercient, bien sincèrement toutes
(P'« Funèbres G'", 12, r. T.-Carrée. T. 3-27) les personnes qui leur ont témoigné
des marques de* sympathie à l'occasion
du décès de
Madame Victor-Félix TOURAINNE,
Les Familles BRISSET, B4.UDE,
MABIRE,
FRIGOUT,
LEPARMEN- née Françolse-Rose-Augustlne-Marie
TIER ;
SAMSON,
Parents et amis ;
Une messe huitaine sera célébrée,
Ont la douleur de vous faire part pour
le repos de son âme, en l'église
de là perte cruelle qu'ils
iennent Notre-Dame du Vœu, le LunUI 4 J a n d'en:- 'iver an la personne de
vier 1928, à 9 heures.
Monsieur Jean BRISSET,
(P°*
Funèbres G1", 12, T. Ï.-Cairée, T. 3-27)
Retraité de la Marine,
décédé à" Equeurdreville le 26 Décembre 1925, à l'âge de 70 ans ; . . _.
Madame Paul COUSIN;
Et vous prient de bien vouloir
Monsieur Robert VIRGILE, Madame
assister aux convoi et inhumation, qui née COUSIN et leur enfant;
auront lieu Le Dimanche 27 Décembre,
Mademoiselle Paule GOllSIN;
à 15 heures.
Madame LEPOIVRE. née COUSIN;
On se réunira à la maison mor- „ Les familles LANGLOIS. COUSJN,
tuaire : rue Bourgeois, impasse Vil- CATHERINE et HERVÉ:
>\
bas.
Remercient bien sincèrement toutes
Il ne sera pas envoyé de faire-part,
les personnes qui leur ont témoigné
le présent avis en tenant lieu.
des marques de sympathie à l'occasion
(P. F. G., 57, r. Gambetta, Equeur. T. 3-27)
du décès de
Madame Veuve Pierre COUSIN
née Augustine LANGLOIS
Monsieur Alexandre HAINNEVILLE,
1
chef de train aux Chemins de fer de ( P " Funèbroa G ", 12, r. T.-Carrée. T. 3-27)
l'Etat .et son épouse née LETERREER;
Messieurs René, Marcel,
Emile
Alexandre Hainneyjile;
Monsieur René PAISANT, Employé
Mesdemoiselles Germaine, Yvonne, à la Banque de France, et son épouse;
Hélène. Marie-Louise, Madeleine, SuMonsieur Jean PAISANT;
zanne HAINNEVILLE:
Madame Veuve SIMON, née LELOY;
Monsieur Pierre LETERRTER, et
Monsieur Pierre SIMON. Receveur
son épouse née RENARD^ propriétai- d'Enregistrement, à Sts-Mère-Eglise,
res, a Brix;
son épouse, et leur enfant;
Mademoiselle Marie HAINNEVILLE,
Monsieur René VIALLA;
en religion sœur Marie-Aibertine;
La Famille et ses nombreux amis; '
Monsieur Pierre LETERRIER, son
épouse née Hainneville. et ' leurs enRemercient bien sincèrement toutes
les personnes qui leur ont témoigné
fants, propriétaires à Breuvilîe;
Monsieur Pierre
HAINNEVILLE, des marques de sympathie à l'occasion!
propriétaire à Breuvilîe, et ses en- du décès de
fants ;
Madame Veuve Wppolyte PAISANT
Madame Veuve Jules MARIE, née
Hainneville, et son fila, propriétaire,
née Alexandrlne-Marle-Geneviève
à Breuvilîe;
LELOY
Monsieur Benri AMBROIS, son
épouse née Hainneville et leurs enUne messe huitaine sera oélébrée
fants, à Octeville;
pour le repos de son âme, en la basiMonsieur Jean-LEHOT. son épouse lique Ste-Trinité, le Samedi 2 Janvier,
née HAINNEVILLE, et leurs enfants, à 8 heures du matin.
à Tourlaville;
(P ci Funèbres G1", 12, r. T>Carrée. T. 8-27)
Les familles HAINNEVILLE, LE-:
TERRIER. LEMPÉRIÈRE,
LESAUVAGE, LEVÉEL, LETODZË. parents
et amis;
AVIS DE DtCÈS
REMERCIEMENTS
Etat Civil d e Cherbourg
" . «AWSAN0Ê8
Georgette Jôussé; jus Lesdoa prolongée, 15."
• Monique Levaché, rue EmmanueiLmis, 86.
••'••""•••_-
,
LÊSFÊTÉSûS JOLIS BAMBINS
Hier,..c'était, à l'HoteLdeVllle.la fête de
l'Arbre de'Noè'i pour le Patronage de 1 Ecole
Maternelle de la-rue Thlers. Cette œuvre
scolaire dont la bonne.fée est M»' Albert
Mahieu. ne pouvait que brillamment célébrer
la charmante fête des i petits enfante.
Juicongue a vji oeux-ci groupés autour de
eut dévouée maltresse. M"* Jamara, et
éoôutanf le Joli concert' accompagne par
M""; Mahieu, a tiré de ce .Bpeotaole ;_u.ne
Impression réconfortante. On fait. & weebourg,- de grands efforts peur améliorer
de toute façon la condition des petits enfants, tes patronages des écoles maternelles
montrent .une activité exmplaire. leurs
membres font preuve d'un dévouement dont
•les.familles doivent leur" être inflnlmenfc-.'reconaalssanies. Les fêtes cul se'déroulentjen
ce moment et qui comblent de' joie les
petits enfants des familles travailleuses,
joignant l'utile & l'agréable, constituent des
manifestations du zèle et du dévouement
féminin dans ce qu'il a de meilleur. Que les
femmes de cœur qui s'Imposent en faveur
des enfants une t&ohe bénévole et considérable, soient remerciées et félicitées.
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RÉCOMPENSE MÉRITÉE
Par arrêté Au Ministre de l'Inférieur en
oate du 21 décembre, la médaille d'honneur communale a été décernée a M. Ernest
De'.alande- secrétaire général de la Mairie
de Tourlaville, vice-président de 1 Association Départementale des secrétaires et employés de mairie de la Manche.
Nous sommes heureux d'adresser & cetteoccasion, nos vives félicitations & M. Delalande. homme dévoué et éclairé, qui a rendu
et rend chaque jour à la commune de Tourlaville de signalés services. .
PRIX DU PAIN
Le prix maximum du pain ordinaire
Ou pain de ménage, dans la Ville de
Cherbourg, est fixé à 1 fr. 70 le kilos,
à partir du 29 décembre 1925;
Le Maire : A. MAHIEU.
LE LAIT TROP CHER
Un père de famille nous signale le"
fait suivant:
« Le lait, vous le savez, se vend a c tuellement au détail 1 fr. le litre. Le
quart de litre devrait donc être vendu
25 centimes. Eh bien! non, c'est le
1/5 de litre seulement qui est à ce
prix, ce qui met le litre à 1 fr. 25.
« J ' a i quatre enfants, M. le directeur, dont le troisième, âgé de 7 ans,
ne peut manger de soupe à la. graisse
le soix, le médecin le lui ayant défendu. Il prend donc du café au lait,
mais il en prendrait bien un peu plus
si-j'avais le moyen de lui en donner
davantage, Si l'on donnait le compte,
mon enfant en aurait toujours un neu
plus, car ce n'est pas la goutte de Tait
que les marchands font semblant de
mettre par dessus oui remplace la p e tite mesure qu'ils devraient mettre en
plus du cinquième de litre. Ne pourrait-on les forcer à s'en servir? moi,
j e ne le peux pas, car ma femme ayant
fait une timide obserY.atioîi, n'a pas
eu de lait le lendemain, et elle va 200
mètres plus loin. On y pratique la
même façon de niesurer.iCest tant pis
pour nous, mais c'est bien ( l i s t e » .
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M. HUBERT, al'honneur
d'informer le Public qu'il s'est
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Tourlaville, (prèsTsclroi) et qu'il
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LUNDI 28 DECEMBRE
Geneviève Paulette Marie-Madeleine
HAINNEVILLE
leur fille, sœur, nièce, cousine, paren-.
'o et amie, décédée au domicile de ses
. arents, à Octeville, le 24 décembre,
dans sa cinquième année.
•a>
Et vous prient de bien vouloir a s sister à ses Convoi, et Service qui a u ront lieu le 28 Décembre, à 10 h. 30,
en l'église Notre-Dame du Roule,
A l'issue de. la cérémonie, le corps
sera transporté à St-Martin-le-Gréard,
où aura lieu l'inhumation.
On se réunira- à la Haute Lande, à
13 h. 3/4.
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.Marché du jeudi 24 décembre. — Vaches : amenées. 6 : vendues. 6. — Veaux :
amenés. 126 : vendus. 126 : 10 fr. le kilo.
~ Moutons,: amenés, 7 : vendus.-7 : le
iHo. 5_fr. W. — Porcs : amenés. 4Tf : venons. 4 7 : 8 fr. 60 le Mto. !— Porcs en
cage : amenés. 42 : vendus, 4 2 : 180 fr.
la Pièce..— Beurre. 18 fr. le kilo. — Œufs.
fr. la douzaine. — Pain. 9 fr. 90 les
, aies, t— Pommes de terre. 35 fr. I'hectotre. —-Carottes.' 26.fr. le quintal,* —
anais. 82 fr. le mrintal — Poules. 40 fr.
le couple. — Poulets, de 26 a 8é fr. le
couple. — Canards, die 25 à 29 fr. le coule. — Pigeons. 11 fr. le couple. — Dm"" 80 fr. ]e couole. — Orge, de 112 à
t 6. lœ f 00 kilos. —
- Sarrasin, l l s . f r .
- fr.
- les
- 100
-iS kilos.
I 10Ô M o t — Son. 8!
kilos.
Mans, m ii. les loi
Etat slvjl. — NAISSANCE! : Dn 21 Lepoiftevin Victor, village de Beaudlenvhîe,
ACCUSÉ DE RÉCEPTION P. P . D.
En réponse à ia lettre oui lui a
été adressée, M. VVEIL, Directeur de
l'Eldorado, a l'honneur d'informer
que satisfaction a été accordée, -nais
dans la limite du possible, en raison
d'engagements pris par ailleurs : sn
conséquence, L'Atlantide passera à
l'Eldorado,
en
séances
spéciales,
c'est-à-dire en dehors des jours habituels de représentation, soit • Hflardi
19 Janvier, Mercredi 20 et Vendredi
22 Janvier, trois représentations exclusivement réservées à 'a grande
œuvre française : L'Atlantide. Ce li!m
passera en entier à chaque séance, à
orchestre renforcé, sans augmentation de prix des places. Espérant ainsi
donner pleine et entière satisfaction
à tous, et notamment aux signataires
de cette demande, faite dans les meilleurs termes, M. Weil se déclare enchanté de faire revivre sur l'écran de
l'Eldorado ce grand succès français.
Arts Décoratifs)
L'HISTOIRE
gracieusement offerts
l((PONf))'DilAiNiL
L'arsenal a chômé hier, de même
que les écoles. Grâce à ce « pont >
autorisé par le Ministre de la Marine et par l'autorité académique, lès
pères de famille auront p u demeurer au logis trois jours durant, e n tourés de leurs enfants. C'est une sa-,
tisfaction assez rarement accordée
aux travailleurs.^
Un second « pont > va joindre, la
semaine prochaine, le vendredi p r e mier jour de l'an au premier dimanche de l'année.
^^mx^mœ^xxwtx^^^^^m^m^^^^
, Ont la douleur de vous faire part
de la perte eruelle qu'ils viennent
d'éprouver en la personne de:
«L'ATLANTIDE'
31, rue de la Fontaine, CHERBOURG.
D'UN INSTITUTEUR NORMAND
i- Dans le Bulletin Michelet, publicajion d'études historiques, politiques
et sociales, paraissant a Paris, nous
avons lu avec plaisir une conférence
de M. Charles Lottin. ancien inspecteur primaire de Cherbourg, qui laissa
à tous ceux qui l'ont connu en notre
ville, u n souvenir ineffaçable. Cette
oonférence a pour sujet : « Un Instit u t e u r Normand contemporain et ami
de ffllohelet : Louis-Arsène Meunier
(1801^1887).
Né à Nogent-le-Rotrou, Louis Meunier fut d'abord instituteur ambulant,
enseignant dans les fermes et gagnait
dix sous par mois pour la lecture,
quinze sous écriture et calcul compris, puis "s'installant dans un village
où il gagne 30 fr. p a r mois et obligé
ie quitter son poste jugé clandestin
par les autorités cantonales, puis partant pour Nogent, créant le premier
cours d'adultes de France.
Premier adepte de la liberté de
l'enseignement, sa .méthode d'enseignement mutuel est jugée par le cler-'
§é « impie, athée, immorale ». Il lutte
ravement et devient directeur de la
première école normale
d'Evreux,
après avoir fait au préfet'la promesse
de ne pas s'occuper d'élections.
Il joint aux fonctions d'inspecteur
qui lui sont dévolues celles d'éducateur populaire, apprenant à lire à
1.500 ouvriers sur 15.000 habitants
que comptait alors la cité.
Puis, ayant négligé de contraindre
ses élèves à fafre leurs Pâques, il est
disgracié et se rend à Paris ou commence sa vie politique. Il-crée le pre-"
mier journal pédagogique auquel s'intéresse le ohansonnier Bérenser, Quinet, Proud'hon, <Eug. Sue, Jules Simon, etc. Hugo le cite dans son « Histoire d'un Crime »:
Arrêté le 12 décembre 1851, il
écrit :
« Force et Droit 1 Puissances qui
» gouvernez le monde, ensemble ou
» tour à tour, puissiez-voùs de con» cert fonder
les destinées de la
» France. Qu'est-ce que le Droit sans
» la Force, mais qu'est-ce que la
» Force sans le Droit ? »
On essaie de l'acheter. H préfère
l'exil à la trahison et crée à Anvers u n
Foyer Français.
;
Avant de mourir, il écrit :
« Comme mes amis Béranger, Qui» net, Michelet,... je crois £ à l e x i s » tence de Dieu comme être néces» saire et à l'immortalité de 1 âme
~» comme sanction et couronnement de
» la justice... Je demande que mes
» obsèques soient, oiviles. »
Sur sa tombe, ses anciens élèves
ont gravé ces mots :
.
« Enfant du peuple, j ' a i voué ma vie
» à l'instruction du peuple, car j ai
» compris de bonne heure que 1 igno» rance est la plus grande cause de
» ses maux. »
/
M. Qh. Lottin propose ce courageux
éducateur en exemple au corps enseignant contemporain. Il ne pouvait,
mieux • choisir. Sa oonférence devrait
être lue par tous les mstituteurs a aujourd'hui.
IDYLLES EN PLEIN AIR
«La-petite et la grande jetée
Dès Gherbourgeois sont l'rendez-:
„ .
[vous
Mais aussi souvent fréquentées...»
Etc.-.-.
. Ainsi chantait jadis Te populaire r e ^
vuiste qui sur l'air du petit Noël de
la Cigale, évoquait les scènes no.cturnes dont nos jetées sont le théâtre.
S'il faut en croire la rumeur publique, des tourtereaux impudiques illustrent en dépit du temps neu pro.,3
pice, les couplets précités dans de galants jtendez-vous. Rappelons - à ces
audacieux le conseil de l'aubergiste du
« Jour et la Nuit » :
« J ' demand' pas mieux qu' chez moi
•(
[l'on s'divertisse
Mais mes enfanls méfiez-vous d' la
[police ».
—
1
was t l !•
UNE PLAISANTERIE
QUI TOURNE MAL
Il y a quelques jours, deux retraités
de la guerre, MM. Lelong et Varin,
âgés l'un et l'autre de 58 ans, « chahutaient» ensemble dans la pension
où ils logent et prennent leurs repas,
rue Amiral-Troude, lorsqu'à un m o ment donné, Varin, qui était en train
de manger des coques, allongea b r u s quement le bras droit dans la direc-;
tion de son camarade, qu'il atteignit
au' côté gauche, aveo le couteau dont
il se servait pour ouvrir ses coquillages. La lame pénétra de quelques millimètres dans la chair, occasionnant
à Varin une blessure. Celui-ci a porte"
plainte. M. Balvet commissake de police, procède à une enquête.
n»
>
I*I
1
UNE TROUVAILLE
M. Roney, garde-maritime, trouva
l'autpe soir, dans la rue, un papier
qu'un passant avait dû laisser tomber
de son portefeuille : C'était un reçu
d'une somme de 20.000 francs au nom
d'un commerçant de notre ville. M.
Roney s'empressa de remettre ce précieux document à son propriétaire qui
lui adressa de vifs remerciements.
HfÀAAAAAAAAAAAAÀ
<
DU PETIT MITRCM PARISIEN
Le jeune Robert Choquenet, dont
nous avons signalé hier la fugue et
l'échouement... au poste de la place
Divette, est un apprenti boulanger
dont le père, remarié, habite rnç Lécourbe, à Paris. Ne s'entendant pas
avec sa belle-mère, !£ petit mitron a
quitté le domicile paternel, logeant
dans des chambres d'hôtel et s'eïïor^
çant sans succès de trauver un e n n
ploi.
Il pensa qu'à Cherbourg, il trouverait quelque occasion de s'embaucher.
Il arriva donc par le train voilà huit
jours. N'ayant pas trouvé d'emploi, il
se rendit à pied à Diélette. Ce n'est
point là qu'il pouvait trouver à s'embaucher. N'ayant plus un soû vaillant,
il rallia Cherbourg et dut passer la
nuit dans les wagons secourantes alignés sur nos quais.
La faim qui fait sortir le loup du
bois, conduisit notre mitron au poste
de police. M. le commissaire Vamp£ris, qui va nous quitter, s'est occupé
du jeune fugitif et l'a conduit au Par-!
quet. où, après avoir ssibi un interro-i
gatoire, a été écroué à la maison d'arrêt.
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VALO&NES | du fameux Levallois, originaire de Sénovilie, dont on ne compte plus dans la région,
et ailleurs, les cynioues escroqueries.
C'est un ' homme de petite taille, droit
SAINT-lLVRïIN-DE-VAHKEVXLLE.
ses jambes, la tête haute, mais le reAprès s'être rendu sur le lieu de la colli- sur
gard
oblique. Sans aucun doui'e, ce n'est
sion entre l'auto conduite par M. Le Biez pas un
mais le malheur c'est qu'il
et la bicyclette du jeune Lematayer qui est une sot,
frirftuille. A la tête déjà de lli
a été renversé et blessé sur ia route de condamnations,
EQUEURDREVILLE
il est h nouveau poursuivi
Saint-Mârtin-de-Varreville.
le
Tribunal
estiFète de Noël- des tout-petfîs. — Comme
peur 11 faits, que nous avons relatés en
complément i "e un; en a été dit, ajoutons me qu'il y a eu faute de la part du conduc- j jy^- temp"s~
mie les mamans étaient venues nombreuses teur de l'auto. A 4 mStres.de la epUlsion,
g
donnanï comme
fiardien
d
Drison . i l
-.-.— de —
—1 -.-..••
-accompagner ieurs bébés et écouter leurs celui-oi empruntait déjà la gauche de la 1 a obtenu
M™
Yon de Marchésieux
ia
chants, une vente de fleurs faite au profit route En conséquence, M. Le Biez est somme
de 110 francs qu'il devait remettre
de l'œuvre a produit 104, francs. Merci aux condamné à 25 Xrancs d'amende avec sur- a son fils,
détenu.
mamans pour leur générosité, merci aux sis pour le délit et 5 francs pour 14 contraA M. Yon. de Saict-Lô, il emprunte en
dames iiatronnesses pour leur préçKfix vention'.
bonne et due forme. 60 francs.
concours merci aux donateurs, tant en
VALOGNES. — On se souvient de la disDe M™" Thomasseau, de Salnt-LO, il
argent qu'en friandises. Grâce a vous tous, parition de ce chien de chasse à Saint-Sau- obtient
50 francs pour paiement de fournos petits seront encore gâtés. •
veur-le-Vioomle. qu'après une insertion nitures1 fictives.
Une enauête est ouverte au sujet des dans Le Réveil son maître retrouva chez
Même procédé à l'égard de M. Pontis,
mauvais traitements dont auraient été vic- un aubergiste de Valognes qui l'avait acheté épicier à Saint-LO.
quelques jours auparavant, à la dame
times des enfants, de la part du père.
A Montfarville. changement de tactique.
Deux tournées triomphales. — Les deux Legret.
Se présentant comme cousin à la dame LeC'était le fils de cette dernière qui se vallois. il obtient, sur la présentation d'un
représentations lvrioues et . dramatiques
données par le Patronage Laioue ont été l'était approprié et c'est elle-même qui, pour livret de capitalisation qu'il doit dit-il, tousplendldes : le mot n'est cas trop fort. C est s'en débarrasser, avait vendu le enien à cher à Cherbourg, une somme de 70 fr.
un véritable tour de force nue de P2 n t f r l'auberiiste.
A Tourlaville c'est le coup de l'enterreLe jeune homme, qui est mineur, sera ment d'un parent de Mabire Alexandre quii
une pièce comme « Marie-Jeanne » et ae la
faire louer. Nous disons louer, et non pas confié au Patronage des Mousses, et ia tandis que celui-ci ' fait le voyage à bicyréciter, par des jeunes gens et des jeunes dame Legret poursuivie pour recel, est con- > clette. lui permet de s'approprier un comfilles dont la plupart abordaient la scène damnée par dfH'aut à 8 iuuis de prison. I plet noir qu'on retrouve à Tamervilie dans
SAINT-VAAST-LA-HOUGUE. — Vaû'aire une auberge -où il l'a déposé.
pour la première fols : c'était le cas des
jeunes filles, qui s'en tirèrent comme des de vol d'argenterie au préjudice d'une auA Montaigu, ce sont les nommés Bonbergiste
de Saint-Vaast. a provoqué, on s'en nel Pierre. Alaterre et Bonnel Léon, qui
professionn«lles.
, . . .
« Marie-Jeanne » sut arracher des ternes souvient le suicide à la prison de Cher- l'hébergent", et en guise de remerciements
aux spectateurs et même à mielaues-uns bourg, de la principale «inculpée amie du sont cambriolés.
prévenu d'aujourd'hui. Le renvoi est prode ses partenaires.
. „
± ,
A Martinvast. c'est la réédition du coup
Tous les réles furent parfaltemenf. te- noncé.
de l'inhumation. M0" Lepraëi l'accompagne
nus. La mise en scène ne céda nen à 1 lnBRIX. — Virginie Hairon, originaire de iusçpj'r Carentan, en lui pavant son voyage,
terorétaUon: six décors différents furent Teurthéville-Hague a été condamnée à et Û, il disparaît, sous prétexte de se 'faire
montés. Voilà oui Moue,qu'aucune diffi- une peine d'interdiction de séjepur à la raser en lui empruntant cent sous.
culté n'arrêtera désormais la vaillante suite de nombreuses condamnations pour
Enfin, à Saint-Hilaire-Petitvilie, il emtroupe., oui compte à l'heure actuelle. DIUS vol Un jour on la vit sortir "de chez le prunta 20 fr. à M°" Lebarilly qui ne revoit
de trente artistes.
,
, ,
. , .„ sieur Louis Leconte. en l'absence de ce pas son débiteur.
La oartie concert fut également très dernier. A son retour. M. Leconte constata
Avec un imperturbable toupet, il excipe de
bien, surtout k ta représentation
du Jeudi. qu'un billet de 100 francs et 11 francs de l'incompétence
du Tribunal en ce qui conLe tWr• PflWpg. Mn- Letertre les co- petite monnaie lui avaient été dérobés.
cerne
les deux affaires Yon Thomasseau et
micraes Gésène et S... retrouvèrent comme
Pour expliquer sa présence au domicile Pontis. qui sont du ressort du Tribunal
d'usage les applaudissements mérités du de Leoonte, Virginie prétend qu'elle le con- de Samt-LÔ. une de Gonneville qui est de
public.
„ j
,_
naissait fort bien,- mais sa version ne trouva
de Cherbourg, et celle de Montaigu.
Le ieune Gabet. pour son soli de vio- oréanec ni auprès du plaignant ni auprès celui
commune dan? laquelle il affirme n'avoir
lon, a droit à toutes Tes félloitaHons : fl du
Tribunal,
qui.
en
raison
de
ses
11
conas
mis
les pieds, et qui par suite du camj a en cet eafant l'étoffe -d'un artiste 1
damnations antérieures et après défense de
nolage avec effraetion, est du ressort de
Les oétits fifres eurent leur part, de suc- M*
Poret-Lacouturecondamne
Virginie
cès, ce même aue la Chorale scolaire, oui Hairon à 13 mois de prison et à 20 ans la Cour d'Assises.
Le Tribunal fait droit à ses réclamations
nous offrit un véritableuré.e^I. artisUaue
qu'appuie M' Poret-Lacouture. défenseur,
La Musloue fut très bien dirigée : peut- d'Interdiction de séjour.
NEUVILLE-AU-PLAIN. — H>; 25 novem- et sur les concusions du Ministère Pubùc,
être sentalt-on eue quelques exécutants
bre, Charles E.... cultivateur parfaitement prononce le jugement suivant :
avalent oublié les répétitions.
.
La Chorale fnt excellente : le chœur de considéré à FresvUle, après une discussion
Acquittement de Levallois en ce qui
« Saint-Hubert » fat brillamment «nlevé. aveo la veuve O.... sa fiancée tirait un coup, concerne l'emprunt fait à M»* Levallois. de
Quant à « Visions d'Avril ». ce fut parfait, de pistolet dans la porte qui venait de lui Montfarville.
«t cela Indique un travail énorme de la être fermée au nez, et blessait à l'épaule
Acquittement en ce qui concerne le vol
part, du chef et.des exéoutants.
la fille de cette dernière.
d'un parapluie au préjudice de Bonnel Léon,
Félicitations au Patronage, pour e souci
E... reconnaît le fait et s'en excuse en de Montaigu.
d'art et le bon goût avec lequr! il orga- déclarant qu'il ne s'explique pas ce- geste
Un an de prison et 50 francs d'amende
nlse ses concerts.
TOURLAVILLE malencontreux et irréfléchi. Il regrette son lui sont infligés pour vol de provisions et
d'une
somme de 5 francs, au préjudice de
sete
et
déclare
qu'il
ne
oroyalt
blesser
perUne séance récréative sera donnée aujourM"* Legendre de Teurthéville qui les lui
. . . . . . . . . .
. ... .. ... , ; jjj ( d'hui dimanche 27 décembre,, à 4 heures,
avait
remises
aveo charge de les porter P
par les Jeunes gens du Patronage Saint- n'avait perdu en foute le pistolet dont II
Michel.' Au programme : une comédie des s'était servi et qù?lT avait rnabitnde ' son fila.
Et. en rtuson de ses antécédents, le Triplus amusantes : L'Agence Marions-nous ; porter sur lui pour rentrer, le soir.
Son avocat. M* Poutas-Larue, le présente bunal ordonne la relégation de l'inculpé à
un célèbre drame historique en 4 actes :
Le Combat des Trente. Nombreux inter- comme un homme parfaitement honorable la fin de sa peine.
mèdes : chansons, romances, monologues, et très doux qui a du agir dans un moment
Heulard. — Le Maire rappelle que
d'égarement. Le défenseur réclame l'indul- la Legs
distribution des arrérages du legs HeuNAISSANCE : Marie-Louise gence du Tribunal.
Etat Civil.
lard aux assistés du Bureau de BienfaiUne peino-dé 3 mois de prison aveo sur- sance aura Heu à la Mairie, le 1" janBlainpain village du Beoquet. — PUBLI„
CATIONS : Marcel Hanbye. riveur. .rue de gis est infligée, à l'inoulpé.
vier
19 3 c . de 9 à 11 heures du matin.
LA CONDAMNATION DE LEVALLOIS. —
France. 18. & Cherbourg, et Marguerite
lu» Mali.» • * _ -Pggffi.'j T * P T T O
;
4
cette
audience,
sensationnels
armant™.
Dubost. ménagère, village de l'Eglise.
POUCE CORRECTIONNELLE
DANS LA RÉGÏON
E