+++++**+****+***** A Monsieur Maurice BERVOT et Madame, née BATAILLE : Monsieur et Madame Félix SERVOT : Monsieur et Madame Jules BATAILLE, à Saint-Lô : , . __«, Madame .veuve Magloire ANDRE, a Monsieur Emile LECLERC. Madame, née SERVOT. et leurs enfants : Mesdemoiselles Yvonne et Alice SERVOT: . _ . . Mesdemoiselles Germaine, Thérèse et Cécile BATAILLE : „.„,.„ Messieurs Robert et Michel BATAILLE ' Monsieur et Madame Louis SERVOT et leurs enfants.' à Saint-Georgesde-Montcocq : , _1_„~«_, _*. Madame veuve Auguste SERVOT et ses enfants, à Saint-Lo : . ^ T _ „ . Monsieur et Madame Louis ANDRE et leurs enfants, à Saint-Lo : Mesdemoiselles Marguerite et Alice ANDRÉ : Monsieur Albert ANDRE, et ses enfints * Les Famille-; STOVOT-BATAILT-E, ANDRÉ. ROSE. ALATERRE. RENOUF. VIARD : I<> Personnel de la Boucherie SERVOT * Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle ou'ils viennent d eprouver en la personne de Bernard SERVOT. leur fus. petit-fils, arrière-petit-fils, neveu, cousn. petit-neveu, arriere-petitneveu. parent ef- ami. décédé chez ses parents à Cherbourg, le 10 Novembre 1936. à l'âge de 8 mois. Et vous prient de bien vouloir assister aux convoi, service et inhumation, oui auront lieu le Vendredi treize Novembre, à trois rn-ufs oumze, en 1 église Notre-Dame du Vœu. On se réunira à la maison mortuaire : rue Gambetta. 57. Monsieur Alphonse MERCIER, son époux; Mademoiselle Jeanne AVOINE, sa fille: Les familles: MERCIER. AVOINE LAMACHE. JAMES. ORANGE. BENOIST. DANCELE: , , . . Les Parents et les Amis; Remercient bien sincèrement toutes les personnes oui leur ont témoigné des marques de sympathie à l'occasion du décès de: Madame Alphonse MERCIER . née Germaine LAMACHE Employée de commerce Une messe huitaine sera célébrée pour le repos de son âme. en la Basilique SainteTrinité, le Mercredi 18 novembre, a 8 heures. P. F. G. 10. r. T.-Carrée. Cherbourg. T. 3-27 Madame Marc BONHOURE. son épouse ; Monsieur et Madame GUYOT. ses enfants. Monsieur Guy GUYOT son p e t i t e s ; Monsieur et Madame Feux BONHOURE. ses parents : , ,, ' , Madame veuve ALEXANDRE, sa belle-meMonsieur et Madame AMINE et leurs enMonsieur et Madame Marius BONHOURE et leurs enfants : , . „„___,__ . Monsieur et Madame André BONHOURE , Monsieur et Madame Olivier ALEXANDRE Monsieur et Madame Camille ALEXANDRE et leurs enfants : Madame veuve LEFRANC et son fus ; Les Familles rwWMV BARATA. GUYOT, DFSTARAC. SCHMTDT : Les parents et amis : Remercient bien sincèrement toutes les personnes qui leur ont témoigne des marottes de sympathie à l'occasion du décès de: Monsieur Marc BONHOURE, Agent immobilier, P. F. G. 10 rue Tour-Carrée (Tél. 3-27). * * * * * * * * * * * * * * * * * * Monsieur Emile BARBERI, son époux : Mesdemoiselles Antoinette et Jeanne BARBERI. ses filles : Monsieur Benoit BESSON. son père : Monsieur Louis ROLLAND et Madame, leurs enfants et petits-enfants : Monsieur Jules GIACOLETTE et Madame, et leurs enfants : \ Madame Veuve Bernard GIACOLETTE. et ses enfants : . , Monsieur Alphonse MORICE et Madame. leurs enfants et. petits-fils : , . Madame Lucile LAUNAY et ses enfants, et nstîte fille " Monsieur ROY et Madame, et leur fille : Monsieur Gaston RENOUF et Madame, leurs enfants et petits-enfants : Ses frère, sœurs, beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, cousins, cousines. Parents et Amis, Remercient bien sincèrement toutes les personnes oui leur ont témoigné des. marques de sympathie à l'occasion du deces de : Madame Emile BARBERI. née Marie BESSON Une Messe huitaine sera dite en l'Eglise dTJrville. pour le repos de son âme, Manu 17 Novembre, à 9 heures. * * * * * * * * * * * * * * * * * * Madame François GROUT. son épouse: Monsieur et Madame Bienaimé GROUT. ses enfants ; ___, Messieurs Roger et Jacques GROUT, ses petits-fils : _ . . „„„ .... Mademoiselle Thérèse GROUT. sa petiteMonsieur et Madame Victor OFFSOMMER. ses neveux et nièce ; Les familles GROUT. CARDRON OFFROMVER LEGAMBIER, DROUIN. CARRE MARIE. Parents et Amis, Remercient bien sincèrement les personnes qui leur ont témoigné leur sympathie à 1 occasion du décès de Monsieur François GROUT, Une Messe Huitaine sera célébrée pour le repos de son âme en l ^ u s e Notre-Damcau Vœu. ie lundi 16 novembre 1J36. a 8 heures. P. F. G_ 10. rue Tour-Carrée. Téléph. 3-27 ****************** M" CivBdier-Courteuge SAGE-FEMME (LAURÉATE) (MEDAILLE D'OR) Infirmière diplômée d'Etat Consultations tons les jours, de Z h. à 4 h. 36, RUE GRANDE-VALLÉt, CHERBOURG Vaccination - Piqûres Bureau de Bienfaisance AUTO (Téléphone 4-10) PREND DES PENSIONNAIRES Pour vos Fleurs, Gerbes, Couronnes Adressez-vous en CONFIANCE à la Maison Lanéelle-Lepaumier 22, rue Maréchal-Foch (Téléphone 198) Contre la Constipation Prenez le soir, an coucher, nue infusion de la TISANE de SŒUR MARIE. — E» exclusivité: Herboristerie AUSSANT-SAGNIER 22. n e a i Foœflray :: CHERBOURG h Etudes de : 1° M' Paul LEGROS, Docteur en Droit, Avoué à Cherbourg, rue Magenta, n" 13 (Successeur de Me Georges Lcboucher) : 2° M' Paul BECHET. notaire à Satat-Pierre-Eglise ; 3° M« VAUTIER, notaire à Bricquebec. VEKTE PAR LIC1TATI0N 1 • ADJUDICATION, le MERCREDI 2 DECEMBRE 1926. à 14 heures, en l'étude et par le ministère de M' Béchet, notaire a BafntPierre-Eglise. DESIGNATION Commune de RETHOVILLE PREMIER LOT Maison d'habitation composée de salle, cuisine et cabinet au rez-de-chaussée, grenfcr formant comble, cour, écurie, iardin potage:. Le tout cadastré sous les numéros 102 et 102 de la section A, contenant 85 centiares, ayant pour abornements Le Presbytère, M Renouf et une chasse. MISE A PRIX MISE A PRIX 2.000 FR. QUATRIEME LOT Une Maison d'habitation sise à côté du second lot. avec ses dépendances, comprenant salle et cuisine cabinet et grenier, cellier, étable, grange, cour et issues, iardin : ayant pour abornements : le second lot ci-dessus, la route des Butières et Madame Planque. MISE A PRIX 1.000 FR. II" ADJUDICATION. le VENDREDI 11 DECEMBRE 1936. à 14 heures, en l'étude et par le ministère de M' Vautier. notaire à Bricquebec, en nresence de Me BECHET, notaire à Saint-Pierre-Eglise. DESIGNATION Commune de BREUVILLE PREMIER LOT Labour clair, nommé « Les Longs Champs > contenant 44 ares 70 centiares, cadastié sous le numéro 720 p. de la section B. avec droit de passage, pour M. Moulin : ayant peur abornements de deux côtés. Mme Veuve Lempérière Madame Veuve Brisset des Ligue's, la route de Breuville et M. Moulin. MISE A PRIX 3.000 FR. DEUXIEME LOT Labour clair nommé aussi t Les Longs Champs », contenant 61 ares 60 centiares,, figurant au cadastre sous les numéros 731 de la section B, ayant pour abornements : Mme Brisset, une chasse et la route du carrefour es Bouchers à Breuville. MISE A PRIX 4.500 FR. TROISIEME LOT Herbage planté, nommé « La Petite Vente », contenant 78 ares 30 centiares, formé de la réunion de plusieurs parcelles, cadastrées sous les numéros 830, 831. 832 p. 832 p de la section A ; ayant pour abornements la route, Mme Veuve Marie et M. Lanièce. MISE A PRIX 6.500 FR. QUATRIEME LOT Trois pièces de terre se tenant, en herbage clair, nommées < Les Liguères d"Eclette », et le « Haut Dos », contenant en totalité 1 hectare 67 ares 70 centiares figurant au cadastre, sous les numéros 737 p. 737 p.. 743, 761. 762 de la section A : ayant pour abornements : M. Lanièce. Mme Veuve'Marie, Mme Veuve Néel et une chasse. MISE A PRIX 12.9W FR. CINQUIEME LOT Une pièce de terre en herbage clair, nommée « Les Langers », cadastrée sous le nom de < Jardin d'en Haut », d'une contenance de 32 ares 80 centiares, cadastré section A, n° 732; ayant pour abornements : M. Lanièce et une chasse. MISE A PRIX - 1.500 FR. SIXIEME LOT Rangée de bâtiments couverts en paille, formant autrefois deux maisons demeurables, actuellement à usage de pressoir, cellier et maison à usage de débarras, cour devant, jardin derrière, actuellement en Tierbe, contenant environ 2 ares 50 centiares, borné par la route, M. Bienvenu et Madame Veuve Adler. MISE A PRIX l.m FR- SEPTIEME LOT Boulangerie et parcelle de terre en iardin planté de pommiers, nommé « La Pépinière », cadastré sous les numéros 689. 690 de la section A pour une contenance de 13 ares, 6 centiares : ayant pour abornements : M. Bienvenu une chasse et la route. MISE A PRIX 1.500 FR. Commune de RAUVILLE-LA-BIGOT HUITIEME LOT La moitié à juste raison, d'une pièce de landages (côté Est) situé à la « Part aux Hommes) », contenant en totalité environ 3 hectares, soit pour la moitié un hectare 50 centiares ; ayant pour abornements M. Hébert et divers. MISE A PRIX Sociétés et Syndicats PARTI SOCIALISTE S. F. I. O. ASSEMBLÉE GÉNÉRALE D'INFORMATION 2.500 FR. TROISIEME LOT Une nièce de terre en labour, nommée « Le Clos Féret » contenant environ 30 ares 70 centiares, cadastrée sous le numéro 350 de la section B avant pour abornements. dans son ensemble, par M. Quoniam, M. Bonhomme et une c.h3«e. MISE A PRIX Il est très facile de rendre rapidement forces et santé à votre enfant anémié. Donnez-lui des Pastilles JESSEL à base d'Huile de Foie de Morue pendant 30 jour». C'eut la nouvelle manière agréable de prendre cette Huile au goût «I répugnant. Les enfante les prennent comme des bonbons, été comme hiver. Vous serez étonné des résultats surtout si votre enfant est rachitlque ; votre médecin vous dira qu'il n'y a rien au monde de meilleur pour le rachitisme. Aussi, Maman, il faut sans retard rendre votre fils vigoureux, heureux de par-j ticiper aux jeux de ses camarades. Procurez-vous une boîte de Pastilles JESSEL dans les Pharmacies (12 fr. 75) avec garantie de remboursement s'il n'augmente pas de 5 livres en un mois. 1.200 FR. DEUXIEME LOT Maison d'habitation composée de cuisine et cabinet, grenier formant comble, grange, deux étables. boulangerie et issues en dépendant, iardin potager derrière. Le tout cadastré sous les numéros 226 et 227 de la section B pour une contenance de 2 ares 43 centiares, ayant pour abornements Mme Veuve Planque. M. Grillard. le 4e lot ci-après et la chasse du Hameau es-Blond. 590 FR. NOS Comment Fortifier les Garçons Chétifs Tous les militants des sections de l'arrondissement de Cherbcurg eont convoqués en assemblé; générale, ce soir ieudi. à 18 heures, à la Maison du Peuple, rue du Faubourg. L'ordre du jour comporte : 1» cempte-rendu du Conseil National : 2o organisation de la réception du ministre Suzanne Lacore. en accord avec l'Administration Préfectorale. C'est notre camarade Raymond Le Corre, délégué, retour de Paris, nui informera. Le Secrétaire Fédéral-Adjoint : J. MAHAUT. -ffil > ÇM" . COMITE DE LUTTE CONTRE LA GUERRE ET LE FASCISME Tous les adhérents sont priés d'assister à ressemblée générale du Comité, oui aura lieu le vendredi 13 novembre, à 18 heures, salle B de l'Hôtel de Ville. MB I » » FEDERATION NATIONALE DES MUTILES ET INVALIDES DU TRAVAIL Avis important. — La section des Mutilés et Invalides du Travail de Cherbourg vient, une fois de plus attirer l'attention des victimes d'accidents du travail eu leurs ayantsdroit, sur les importants avantages que leur apporte la loi qui a été vofje le 3u juilieù dernier, scus la pression de la Fédération Nationale, et qui étend aux victimes d'accidents survenus après ie 9 janvier 1927, l'application des lois du 15 août 1929 et du 30 avril 1931. (Allocation spéciale de 3.000 francs aux grands Mutilés ayant besoin de l'aide constante d'une tierce personne). Malgré la publicité faite par notre Fédération, pour cette nouvelle loi. un grand nombre de bénéficiaires éventuels semblent ignorer encore son existence et perdent ainsi une partie, sinon la totalité des avantages qu'elle leur apporte. Ainsi, croyons-ncus devoir attirer à nouveau l'attention de toutes les victimes d'accidents du travail, dont les rentes ont été calculées sur un salaire annuel inférieur à 8.000 francs, sur l'intérêt qu'il y a ppui eux de s'adresser au Groupement des Mutilés et Invalides du Travail de Cherbourg oui leur fournira tous renseignements. Aucun rappel n'étant prévu et les majorations ne prenant effet en principe, que du jour de la demande, les bénéficiaires ont donc intérêt à faire leur demande aux plus tôt. Pour tous renseignements, s'adresser à notre permanence qui a Ueu chaque jeudi, salle « C » de l'Aima, de 19 à 20 heures, ou écrire au secrétaire, 45. rue des Carrières, en joignant un timbre pour la réponse. Une délégation du Groupement des Aveugles Civils devant «e rendre à la salle de notre permanence, après le service assuré, tous les membres du Bureau sont priés de s'y trouver à 20 heures. LE SECRETAIRE. Ctt '— — i » PATRONAGE LAÏQUE DU BOULE Soirée-Concert La soirée-concert organisée par le Patronage, et qui aura lieu samedi prochain. 14 novembre, est définiti\«ment mise au point. Nous relevons, d'un programme particulièrement sélect, deux superbes nièces en 1 acte : L'Escouade des Phénomènes, et La Griffe, et une comédie désopilante : Le Lycée Papillon, dans lesquelles hos jeunes gens rivalisent d'entrain et de brio. Amateurs do mouvement, étonnants de maîtrise et d'ardeur endiablée, les enfants du Patronage se dressent devant nous en Brigands Calabrais. A leur tour, de talentueux et excellents chanteurs et chanteuses apportent à la soirée une note vibrante. En résumé, programme copieux et varié; soirée pimpante et gaie, dans une salle accueillante, confortable et chauffée, permettent d'augurer un succès sans pareil. Bal On se donnera ensuite rendez-vous au 28 novembre, en cette même salle : Grand bal du Patronage. Un bal toujours réussi ! Le Secrétaire. JEUNESSES SYNDICALISTES DE LA MARINE Les apprentis, membres et sympathisants des jeunesses syndicalistes, sont priés d'assister à la réunion générale qui aura lieu vendredi 13 novembre, à 18 heures. Maison du Peuple, 57 bis. rue Emmanuel-Liais. Présence indispensable. H. C. I . Le Potage empoisonné n*^^** — Alors, votra opinion Chauxmont ? L'inspecteur haussa les epauies et d'une voi qui parut bien convaincante au juge Quicouwirt, il affirma: — Mon opinion ! Bah ! C'est que l'on pousse les recherches beaucoup trop loin. — Beaucoup trop loin ? Voilà plus de huit jours que M. Paul Louhet a été empoisonné, et nous en savons moins qu'au premier jour ! Alors, on pouvait émettre des soupçons, maintenant... — Oui..., mais comment trouver ? — Ç<\ mon cher, c'est votre métier ! Je m'empresse d'ailleurs de vous dire que la tâche qu'on vient de retirer à l'inspecteur Berwète pour vous la confier, est fort ingrate. Aussi pour réussir devezvous non vous laisser rebuter, mais encourager par la confiance mise en vous ! L'inspecteur hochait lentement la tête. ... Résumons-nous dit-il. Paul Louhet meurt vendredi soir, chez lui, empoisonné par de la strychinc. On arrête la servante. On la relaxe parce que celle-ci se trouvait être absente le soir du drame. On interroge le personnel du petit hôtel d'où provenait le potage qu'ingurgita la victime avant de trépasser. On ne découvre rien. D'autres clients qui ont asassisté à l'arrivée et au départ du petit vieux affirment formellement qu'on a donné au petit vieux du potage de la vaste soupière qui se trouvait près du foyer et comme eux, ont également mange de ce potage sans en être incommodes. Reste le neveu ! Celui-ci aurait-il pu avoir un intérêt immédiat à la disparition de la victime. Tout d'abord c'est fort aléatoire car ce neveu : M. Kopten, est doté lui-même d'un avoir qui sans être bien énorme, lui permet de vivre aisément sans trop s'occuper de la question financière. La situation de ce neveu n'étant pas compromise, on ne voit pas bien l'intérêt qu'il aurait eu à perpétrer ce crime. D'ailleurs son alibi est exact. ...Dans un tel embroglio. parviendrezvous à retrouver un fil conducteur ? ... Je l'espère. En cas d'échec il ne restera à déclarer que la victime s'est suicidée ! ... Oui, mais soyez persuadé que c'est une erreur. Ce bonhomme ne s'est pas suicidé ! Un gaillard qui n'avait aucune raison de se tuer ! Fortune, santé, considération... il avait tout ! ! _ — Mon cher Chauxmont, je vous laisse à vos recherches. Bonne chance et bon succès. Car si vous réussissez ce coup de filet, que Berwète n'a pu gagner maigre tout son talent, un sérieux avancement récompenserait certainement votre t r a vail ! Se levant, le juge d'instruction reconduisit l'inspecteur jusqu'à la porte de son cabinet. Quand il fut sorti, Raymond Chauxmont s'en alla, tel un paisible promeneur, flâner dans les rues avoisinant la maison du drame. Qu'est-ce qui le poussait à agir de la sorte ? Peut-être l'assurance qu'un criminel revient toujours au lieu de son crime ? Non, Chauxmont n'était pas de ceux qui se laissent facilement impressionner ! Il se promenait là, comme s'il se fût promené partout ailleurs. Après dix minutes de réflexion, de- déduction en déduction, il parvint a se demander si un autre individu gue le neveu n'aurait pas quelquefois intérêt à la disparition du vieux et ceci l'amena à pousser jusqu'au bureau de l'état-civil. Il n'y découvrit rien. Paul Louhet était veuf, sans progéniture, il n'avait qu'un neveu, le fameux Kopten. Et pourtant, malgré toutes les présomptions qui pesaient sur lui. Chauxmont était persuadé que cet homme était complètement étranger au drame. Pour avoir tous ses apaisements à ce sujet, l'inspecteur poussa une nouvelle botte jusqu'à l'étude du notaire Hapto, gui était chargé de la succession de la victime. Comme H entrait dans le vestibule, il aperçut le notaire en discussion avec un facteur des Postes. Semblant prendre à témoin l'inspecteur de la police judiciaire, le notaire s'écriait : « Enfin, concevez-vous, M. Chauxmont, que ce pli recommandé, deposé dans notre ville, ne me parvienne que huit jours après sa mise à la poste ! C'est une chose inadmissible ! » Le facteur ne se laissa pas désarçonner par le notaire, il se justifia : « Ce pli n'a pas été déposé dans un bureau ; il a été simplement jeté, avec la mention « recommandé » dans une borne postale momentanément désaffectée. Durant les travaux qui se poursuivaient tout à l'entour d'elle, seuls les ouvriers travaillant là auraient pu en approcher ; alors, lorsgue tout fut achevé, avant-hier soir, on décida qu'à partir du lendemain la boîte serait à nouveau levée. On y trouva ce pli... » — Un pli de cette importance, qui annule tout notre travail de la succession Louhet ! » Dressant l'oreille, Chauxmont demanda si, en t a n t qu'inspecteur chargé de l'af- m W P S MODERNES ELDORADO CHARLIE CHAN A PARIS BABOOIVA Par Robert Van VLODORP HERNIEUX ! Avec les appareils pneumatiques, dernière création : vous pouvez vous livrer à tons ies ?porli sans aucun danger, ni gêne. AUSSANT-SAGNIER 22, me au Fonrdray :: CHERBOURG ECLAIRAGE portatif, sécurité absoANTIQUITÉS. — Achat, vente, exlue, pour escalier, cave, grenier; complet : pertises de tous objets anciens, meubles, pein5 fr. 50. — Projecteur « Mazda. » pour vélo, tures, céramiques, bibelots, livres. — REou pèche de nuit: fouille tous les coins: por- GNAULT, 22, rue Alfred-Rossel. — Maison tée. 200 mètres: complet : 15 francs. — Au de confiance. PETIT BAZAR, face Poste. Cherbourg. 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Je ne la conçois guère et la crois encore moins ! c'est qu'un homme rangé comme M. Louhet eût pu avoir un fils naturel, en l'occurrence ce nommé d'Arbiel ! Raymond Chauxmont quitta le cabinot du notaire Hapto pour celui du jugo d'instruction Quicouwirt. Chauxmont fit lancer un mandat d'amener au nom d'Arbiel, le prétendu fils de M. Louhet. Le surlendemain, on appréhendait celuici et on le conduisait dans le cabinet du juge d'instruction. Quoiqu'il eut un alibi qui, à première vue, eût pu paraître inattaquable, le magistrat finit par lui faire avouer qu'il était venu le jour du crime à Baugé et ce grâce à un coupon de chenein de fer que Chauxmont était parvenu à retrouver. Pour ne pas donner l'éveil, d'Arbiel avait pris le train à la gare suivant Tours et il était descendu à celle précédant Baugé. Chauxmont, qui n'était pas à sa première filature, avait éventé le stratagème et grâce à l'appui du coupon et du fait de se trouver à Baugé le jour du crime, le juge d'instruction parvint à faire entrer l'accusé dans la voie des aveux. Tous furent surpris de la suite logique, mais combien curieuse des faits. Aroiel était garçon de café à Tours. Tandis qu'il se tenait debout près de la porte du restaurant, il ne perdit pas un mot de la conversation qu'échangeaient un jeune homme et une jeune fille que le premier tâchait d'« épater » avant de la séduire. Il apprit ainsi que ce jeune homme avait un oncle célibataire, passablement riche, mais ce qui mieux était, cet oncle était lui-même le neveu d'un autre oncle nommé Louhet, un petit vieillard de seatante-deux ans qui vivotait avec une servante, à Baugé. Les deux oncles n'avaient pas d'héritiers. Le premier était veuf sans enfant légal (on chuchotait qu'il avait eu un fils naturel qui serait mort dans un asile d'aliénés) et l'autre, quoique plus jeune, était célibataire et en passe de le rester. Cette conversation ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd. Arbiel s'en vint un jour de congé vérifier les dires du jeune homme, les trouva exacts et résolut de tuer le vieux Louhet. Pour ce, il courtisa la filleule de la servante. Au cours d'une visite de celle-ci chez sa bonne amie, il parvint à prendre l'empreinte de la clé de l'immeuble de Louhet. Alors, il n'attendit plus que l'occasion de mettre à exécution son projet. Celle-ci se présenta à lui lors de la fête locale dans le petit village de sa bonne-amie. La servante de Louhet fut invitée, elle accepta. Arbiel fut également invité, à la dernière minute, il déclina l'invitation et s'en fut à Baugé. Il guetta le vieux Louhet. Dur a n t que celui-ci allait quérir son dîner à l'hôtel, il s'introduisit dans l'immeuble. Lorsque le vieux rentra, il se tint caché. Pendant une courte absence du vieillard, il incorpora la strychine au potage fumant. Le vieux, toujours sans s'apercevoir de rien, le mangea. Lorsqu'il eut tout ingurgité, Arbiel armé d'un revolver se montra et sous la menace de l'arme, fit écrire la lettre qui, en le faisant reconnaître lui l'enfant trouvé, comme son enfant naturel, l'instituait son légataire universel. Le vieux, sous la menace, s'exécuta. Il achevait à peine la missive qu'il s'affaissait. Il était mort. Arbiel sortit précipitamment en ayant soin d'emporter sa fausse clé et, sautant dans le premier train, il alla achever la soirée auprès de la servante et de sa bonne-amie, à Château-la-Vallière. Ce qui le perdit, ce fut qu'il ne remarqua pas l'écriteau disant que la borne postale où il déposa son pli était désaffectée. Le lendemain les travaux de voirie commençaient ; la lettre resta là huit longs jours, et ... Arbiel paya cette inattention de sa tête. PETITES ANNONCES j r a PORT DE COMMERCE Cette vente se poursuit et aura lieu en verAvant d'entrer au port de commerce, tu et pour l'exécution d'un jugement sur requête rendu par le Tribunal Civil de pre- le cargo « Cherbourg » de la Cie Havraisa mière instance de Cherbourg, le 3 novembre de navigation, a déposé à l'arsenal une partie de son chargement. 1936. Aux reguête, poursuites et diligences de : 1° M. Jean-Baptiste. Pierre. Marie ALIX, cultivateur, demeurant à Réthoville. 2° Madame Marie, Aimée, Françoise ALIX, épouse de Monsieur Pierre. Auguste LECLERE, avec lequel elle demeure à Néville. Le dit M. Pierre LECLERE agissant tant en son nom personnel au besoin que pour l'autorisation de la dame Marie ALIX, son épouse, et la validité de la procédure à l'égard de celle-ci. 3" Mademoiselle Marguerite. Marie. Eugénie ALIX, employée de commerce, demeurant à Barfleur. célibataire majeure. 4° Monsieur Roger, Jean-Baptiste. Pierre ALIX, domestique de culture, demeurant à Gouberville. 5* Monsieur Jules. Ernest. Marie ALIX, AUJOURD'HUI cultivateur, demeurant à Néville. ferme du Matinée à prix réduit, à. 14 h. 30 Tourps. Agissant en sa qualité dé subroretuteur faisant fonctions de tuteur de MadeSo>réc 20 heures 45 moiselle Juliette. Marie. Geneviève ALIX, née à Gouberville. le 7 Mai 1918 : mineure issue de l'union ayant existé entre Monsieur Pierre Désiré. Marie ALIX, en son vivant cultivateur demeurant à Réthoville. village de l'Eglise, et Madame Marie. Julie. Françoise HEBERT, son épouse, décédés, la femme le 22 Décembre 1919 et le mari le 24 Mars 193S. Le dit Monsieur Jules. Ernest, Marie ALIX. agissant en cette qualité par suite de l'opposition d'intérêts existant entre Monsieur Jean-Baptiste, Pierre. Marie ALIX, tuteur de la mineure ALIX, et la dite mineure, et ayant été nommé à cette fonction qu'il a acceptée par délibération du conseil de famille de la dam? mineure, tenue sous la présidence de Monsieur le Juge de Paix du canton de SaintPierre-Église, le 16 septemhre 1936. Demandeurs ayant M" Paul LEGROS pour avoué. En présence ou lui dûment appelé de Monsieur Léon. Auguste. Charles ALLIX. clerc de notaire, demeurant à Carneville. Pris en sa qualité de subroge-tuteur ad'hoc dé la mineure ALIX, sus-nommée. Le cahier des charges sur lequel aura lieu la vente des immeubles sis à Réthoville est déposé en l'étude de M" BECHET. notaire à Saint-Pierre-Eglise, où toute personne peut en prendre connaissance. Le cahier des charges sur lequel aura lieu la vente des immeubles sis à Breuville et et Rauville-la-Bigot, est déposé en l'étude de Me VAUTIER, notaire à Bricquebec. où toute personne peut en prendre connaissance. Les frais faits pour parvenir aux adjudications seront payables par les adjudicataires en diminution de leur prix. La taxe de première mutation ne sera pas perçue. AUJOURD'HUI JEUDI. Fait et rédigé par l'avoué soussigné. Cherbourg, le 7 Novembre 1936. AU « CENTRAL-CINÉMA » Signé : P. LEGROS. Pour tous renseignements, s'edresser à : A 14 h. 30 : Matinée à tarif réduit 1° M* Paul LEGROS. avoué à Cherbourg, rue Magenta, no 13. 2" M' Paul BECHET, notaire à SaintBACH DÉTECTIVE Pierre-Eelisc. A 2« h. 45 3° M- VAUTIER, notaire à Bricquebec. B pour visiter, sur place. LA TENTATION CONTES Offres d'Emploi Demandes d'Emploi Pertes et Trouvailles m EQUEURDKEVlrj. ASSOCIATION' DE LA JEUNESSE |... QUE, — Programme du concert du j ' : -J vembre. Première partie c L'Avenir», harmonie, marche o>_- Fo» i Le.ï quatre Sœurs du Docteur Mar grande production cinématographiqu'Louisa Mav AloofT : réalisateur, G. ( v avec la grande artiste américaine Katharj, Heobum. Entr" acte. Deuxième partie V Ducsa », harmonie, fantaisie, de N. Werjj meister. , . „ ' « La iolie patineuse -„ chorale. A. Ba&j «Le Jrrdin du Sauveurs, René, parctt ' A. Baugé. «Jours de Fiançailles a. harmonie, fat sie de H. Bidaine. « Gardiens de Phare ». drame en ur. -.,., 2 personrages. « Rcsarta ». harmonie, valse de J.-B. ;ti. icchard. s Cure Merveilleuse », comédie en 1 ao> t personnaï;:;. Bibliothèque. — Le; membres du P. : avises nue la bibliothèque sera ouv-r ieu'Ji 12 novembre, de 20 heures à 21 en remplacement du 11 novembre. TOLRLAVIUj, DE NOUVEAUX LAURIERS : Assuri. mer.t ; _ De nouveaux iauriers sont •<• . couronner le Patronage dos Ecoles ':&••; s^a ia Place avec l'exécutien impec:ab.e ci 2 dernière séance réerc-ative. C'est avec ur bra remarquable que tojs les artistes. chatK •• et acteurs, surent s'acquitter de leur •-,,-; sachant ainsi intéresser ivnieir, j{ creux auditeurs qui avaient Knu à prTia: place dans la saile en dépit du n ... temps. Certes ! il n'y eut pas de saiw ,.- . ' Bien que « Sabotage » fleurait dar= . \: :. gramme... et qu'il eut même le don v or-, chaîner à plusieurs reprises, un fou-r;re L-. résistiole. Nous ne rappellerons pas il !es de. tails de la manifestation ni ies nom- fe jeu. nés gens et des jeunes filles oui er. ont Ht l'âme vivante. Nous nous contenterons seulîment de complimenter chaleureuserner,! tous les artisans de cette excellente partis théâtrale et de les encourager à continue dans cette voie. A tous, nous scuhaitor.s brS voyage dimanche prochain avec une ncwe> le et délicieuse piuie... cie braves ! de* «eta «ercr cu« mau' à la la ' ïall' de 1 HAD.NEVH.U UNE Ql'ETE faite au mariage Doue."-. Heuzé. le 7 novembre, au profit du Bu de Bienfaisance, a produit la sonuw 22 fr. 30. Le maire remercie les gêné donateurs, et adresse ses meilleurs vœux époux. LES FIEH CANTINE SCOLAIRE. — Le Cotise;: nicipal a admis une quarantaine d'er.: nécessiteux au bénéfice des repas are.: : la Camine Scolaire oui est ouvert-, lundi. Comme d'habitude, le cidre . fourni gratuitement : nous comptons . iégumes offerts ne manqueront pas , petits nécessiteux pourront jouir lonc • de repas substantiels dont ils ont gran. soin. MARCHE DU 6 NOVEMBRE. la cage 190 à 220 francs l'un. Par couple: poules: 25 à 35 fr.: pou; à 36 francs: canards 20 à 26 francs: : 10 fr.; lapins 2 fr. 50 la livre; petit5 à 6 fr. l'un. Choux pommés: 0 fr. 50 l'un : cho; planter: 5 à 6 francs le cent; pou.: terre: 30 fr. les 50 kgs. Œufs: 9 fr. à 9 fr. 50 la douzaine, re: 5 à 5 fr. 50 la livre. MATINEE RECREATIVE — Diu: prochain 15 novembre courant, à le la troupe artistique du Patronage c.\laïques de la Place de Touilavilie. une matinée récréative clans la loca.:;des Fêtes du Patronage Laioue. Cette remporte un vif succès Oirtout où piaussi nous ne sauriens trop insiste! que les auditeurs viennent nombrei: ter agréablement du talent et du • ment des jeunes gens et des jeunes la composent Au programme : 3 .-• désopilantes « Les héritiers Ra:« L'auto oui tue ». < Sabotage ». Dtions musicales intéressantes et varies chansonnettes diverses, ec... etc... Fr:' des places : 4 francs et 5 francs (1 franc p^ enfants des écoles). a te Pour la location : s'adresser chez M lie restaurateur, ou chez M. Quédevilli mercant. Habitants de Les Pieux et des em venez donc rire... sainement et à bon te. dimanche soir dans la Salie du P, notre chef-lieu de canton I VASTE\:LU ANCIENS COMBATTANTS. — A sa du vin d'honneur offert aux Ancien.- . • .;• battants, une auête faite parmi les r< raines présentes, au profit de Mme veuv Ifterrier, a produit la coquette somme ; A frênes. Le président des Anciens Combatte:: . :r mercie vivement les eénéreux donaw::r Le Président : A. LEFR.- NC BEAI MONT-iî \f,n TOUJOURS L'ABATTOIR ! — Dec cette question passionne ies habitant,1 commune. Nous avons, en effet, re lettre sisnée <> Un srcupe d'habitants ' rappelons que nous ne retenons que les s dont l'auteur se fait connaître et de signer ce Qu'il avance. FERMANYIU.E AVIS. — Le maire a l'honneur d> :£• connaître aux intéressés que l'emploi c '-•: ducteur du corbillard va se trouver • .'-" à dater du 1" ianvi?r prochain. Il ir.' " postulants éventuels à vouloir bien .-• 'S!inscrire à la mairie. • , FERMANVtUi DETOURNEMENT DE SACS DE FAKOt DANS UNE COOPERATIVE. — Trc. Si de farine d'une valeur de 666 francs t dérobés à la Coopérative l'Espérance c. circonstances Que voici: Alors Qu'il procédait à l'inventa" "-"' stock de la coopérative. M. Léon D ••"•• l'honorable président de l'Espérance .- '•'• eut qu'il existait un manquant de trc; •Xj Ne parvenant pas à découvrir la es: - -'• cette irréeularité. il prévint la gende,:• :•'• pensant que les sacs avaient été voié> -'•' gendarmes firent une enquête qui presque immédiatement un résultat: . •-• qu'un individu oui avait naguère trav • •. la Coopé de Tourlavilie avait été rev. .'• ; les parages le soir même où le détour: '. avait été commis. Cet homme est étab : S-' langer à Fermanville. Il se nomme- I .- ; Lefèvre et est âge de 25 ans. Dés ou':' • " questionné sur la mauvaise action d le soupçonne, il s'est récrié. Non seule: serait étranger au vol mais encore il m - ' pas venu à Tourlavilie au tour dit c'es ••' re le 4 novembre. Mais l'enquête comr-. : ' taire à laquelle se Mvrèrent les gei de Saint-Pierre-Eglise permit de n chez le sieur Lefèvre deux sacs ioenl ceux qui avaient disparu à la Coo:- , tourlavillaise. Lefèvre n'en persiste pe. ~ • à nier le vol dont on l'accuse. At'ounnïf _ LA OUETE faite à la mairie, au : , rie M. Leterrier Jean-Baotiste avec Ml • nil Yvonne, fille de notre très symp ' maire, a permis l'achat d'une cotiror.'- -^ tinée au Monument aux Morte, de la 0-' Le président de la section des A. C. tous ses remerciemenus aux généreux :''. leurs et ses meilleurs voeux aux jeune-- i P DUMONCEL Loitf LONGl'EVU!1 INCENDIE. — L'autre mardi, un ince» a détruit un bâtiment à usage d'ét-abl; e".\ remise dépendant de la ferme explo::»"- s lasx? de la Souauetière. à Longueville. pa: » Frédéric Gervais. cultivateur. Ce dernier oui était parti au marr> j Granville rentrait chez lui vers 11 heures* lorsqu'il aperçut une épaisse fumée sorw- V de 1? toiture en ardoise de ce bâtiment. Aussitôt il donna l'alarme et aidé des ?£ sins il combattit le fléau tandis qu'or. •-'.. tait les pompiers de Granville oui arriva*! peu de temps après sur les lieux. Malgré^ promptitude des secours l'immeuble fut t"-.-: platement détruit et il ne reste plus a::-' ... 4 murs. 4.200 bettes de foin. 800 bottes ': paille. 25 hectolitres de pommes de terrei du bois de débit, avaient été la proi'- -' flammes. M. Gervais évalue son préjudice à I." '•"'.'. me de 10.000 francs, quant au dommas », se au bâtiment le propriétaire. M. !•;'•,; Parfait de Saint-Nicolas-de-Granville. -y,. a pas encore évalué l'importance. I! v a *• surance. , Les causes du sinistre n'ont pu encore ek | déterminées d'une façon précise, mais " i maintenant toute idée de malveillance être écartée, et l'on suppose que le siw«, est dû à une cause accidentelle. Dans ,e g L timent existait une boulangerie desanfi>| dans laquelle le fermier faisait du feu PU [ cuire des pommes de terre, le jeudi prwfïïr1 il en avait fait usage. On croit auc K.ffy couvé et a causé l'incendie. Une anau»w ouverte. "V J -
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