M - Normannia

-•
i*AtTE * "
Etat Gîvîl _de_Cherbouri
NAISSANCES
Jacques Monter, rue Assolin, 2 1 .
Jean Le Poittevin, 12. avenue Car-
Inl de
Itition
PUBLICATION
Mplinnse Loriau, ajusteur a La
Glacerie, et" Jeanne Dutot. modiste,
nie Oranse, 9.
ivalc,
s Of.
d'Inl-eun
Jhcr-
Gaston Gonneville et
Marie
Ma-
11
Henri Mausrer et Georjrefte Morin.
Louis Cailel et Yvonne Hainnevillé.
Maxime Leluan et Yvonne Rouet.
DÉCÈS
jiissière. anonyme, rue Thiers. 6.
jpan M/iuRuen. 30 ans. pensionné
(j,i la .Marine, rue du Port. 16.
(16I.Mon-
]ur le
des
M-,
berI tern-
jl
ur Auguste RABHEAU, son époux, au
' ' 11. i n ;
•: . . .
Veuve GUÉDON, «a mère, k Cher-
et Madame lUBREAU, ta heimx•:• pis», à Equeurdreville ;
:. Veuve ADAM, à Cherbourg ;
- ur CABDONNEL et son épouse, née
. AIIHKAU, à Equeurdreville, rue Guérv ;
y. ,?.i'ur et Madame DE LAUOTTE et leur
.: :.!, à Equeurdrevllle ;
M :.-:mr et Madame Francis MENDRET, à
lilurbourg ;
M •isieiir Lucien ADAM, à Cherbourg ;
i'jrents et Amis ;
Vniis prient de bien vouloir assister à la
M -;>. Huitaine de
Madame RABREAU,
X:-A<t
au Havre, le 1er Juillet 1931, qui
i lieu en l'Eglise d'E^ueurdreviile, le
Lundi treize Juillet, à sept heures trente, le
ir de
in,
|IR
.
Monsieur et Madame HARANG;
Mademoiselle Marthe HARANG;
> •nsieur et Madame LANGLAJS;
....1.1:11e Veuve LEMANCEAU;
: .nsicur DELAAT;
- Parents et les Amis;
.-t
• ' la douleur de vous faire part de la
cruelle qu'ils viennent d'éprouver en
: .-oiiuc de
leur chèro petite Micheline
LA
(U
fille, sœur, nièce, parente et amie, défi Cherbourg, le 10 juillet 1931, à
•le C ans.
vous prient de bien vouloir assister
isiyoi, se-rvice et inhumation qui aui.u le Lundi treize Juillet 1931, à dix
.s, on réglkae St-Clémcnt.
-j réunira à l'Hôpital Pasteur.
sera pas envoyé de faire-part, 1; avis en tenant lieu.
nèb. Gén., 12, r. T.-Carrée. T. 3-27)
I Sach
-:..ur et Madame Louis M0RSAL1NE;
.-;:ur Adrien .MAHGUERY, Madame
HiHSALIXE Cl leur fille;
.-!• ur .Iules LEGRAND et Madame r.ée
-\I.1M-; et leurs enfants;
risieur et M:idame Baptiste LEGER cl
• -nTants;
!ime Neuve Biensimé MORSALINE et
15
i
.• •• M'jnts;
I iiisieur et Madame Edouard MORSA\E et leurs enfants;
Mademoiselle Sylvanie MORSALINE;
Monsieur et Madame VÉRITÉ et leurs en'
ts;
DE M. AUGUSTE SIMON
Les obsèques du regrette M. Augusje
Simon, industriel, chevalier de la Légion
d'honneur, ont eu lieu, samedi matin, en.
la Basilique Sainte-Trinité, en présence
d'une foule énorme. Les autorités, MM.
Cabart-Danneville. sénateur. Pierre Appelle
<!éfulé. Le Brettevillois, maire, Quoniam.
président de la Chambre de Commerce, de
Peyrelongne, président du Tribunal civil,
etc.... assistaient à la cérémonie.
Les cordons du poêle étaient tenus par
MM Quoniam, Laveissière, Mc Favier, M.
Levesque. M. le colonel Vitart et M. Cantincau.
Au cimetière, M. le Docteur CabartDanneville. sénateur, lit en ces fen»esv
l'éloge de M. Augusle Simon:
Discours de M, Cabart-Danno»Ulo
• Mesdames, Meneur»,
j
« L'ue aifi,tié. dont le temps et l'uxuérie.lf.' ont ajouté la profondeur i la t>iucerlté. m'Impose le devoir pénible de saluer
ici la dépouille mortelle de M. AUKUBIC
timon.
Trois qualités remarquables dominaient
dans sa aaluro d'élite: ie COURAGE, l'LNTELL1GE.NCE. le COEUR.
LE COURAGE : On ueut dire que toute
sa vie. M Auguste Simon a été sur la brèche, qu'il a travaillé jusqu'à 6a dernière
lieure. saas trêve, et qu'il u'a connu de
repos que lorsque ce repos dut être éternel.
L'INTELLIGENCE : Le courage n'eut pas
en effet suffi, pour faire de l'héritage paternel, riche pourtaat en promesses heureuses, la grande chose que sont le3 Etablissements Simoo Frères. L'initiative, qu'en
parfait uccord avec M. Albert Simon, son
frère ûffectionaé. le défunt montra pendant
de si longues années, valut a .elle grande
firme industrielle la renommée la plus justifiée, le dévcloppemct le plus merveilleux. On ne sj rend pas toujours suffisamment compte de ce qu'il faul de savoir,
de hardiesse aussi, p u r graadlr, et atieis
•.fforls ie " D - I C S exige, oiur être vraiment le Progrès.
LE COEUR; Ce n'est pas sans émotion
que je rends hommage aux vertus de M.
Auguste Himo-.i. Mutualiste convaincu dans
l(;3 multiples œuvres si fécondes des Usines
du Maupas, il était d'une bonté sans égale
pour toutes les entreprises de Solidarité numai-jc. Les pauvres bénissaient son nom.
Les Familles Nombreuses, auxquej.es II voua
son temps, son argent, et le meilleur ue
lui-même, le vénéraient à l'égal d'un l'ère.
Soj Personnel l'aimait, car il savait sa sollicitude, sa bienveillance généreuse .et toujours présente.
Et cela renferme et dit tout. Et cela
montre quelle perte nous venons de faire
en la personne Qc M. Auguste Simon, travailleur inlassable, homme de Progrès. Bienfaiteur et Ami des humbles 1
Et me faut-il rappeler le grand sacrifice
que M. Auguste Simon lit à la Pairie, eu
lui donnant un Fils, tombé en héros, face
à l'ennemi ?
Singulière destinée que la nôlre. A l'heure même où. à Paris, j'apprenais la lin si
soudaine de notre grand aai, je recevais de
la bouche la plus autorisée la confirmation
qu'une récompense magnifique, mais Hautement méritée, allait bientôt consacrer
d'aussi rares mérites.
Celle récompense, la Foi ardente de Celui
qui .n'est plus la lui a sans doute réservée
rdus belle. Mais pour ceux qui le pleurent.
le vide est profond, le malheur est irréparable. Je salue très respectueusement Madame
Auguste Simon, demeurée si vaillante et si
•noble dans son immense douleur Ses enfants, si dignes du grand exemple qui leur
a été donné. M. Albert Simon et la Famille,
si cruellement et si brusquement frappée,
Et j'assure la mémoire de Celui qui s'est
endormi dans la Paix suprême, du plus
fi.lole des souvenirs 1
: ••? familles MORSALINE, VÉRITÉ, MOUMAREST, GIOT, MAHGUERY et LE..!'.. M'i;
!,--!•. :ils et amis;
".:: ;.i douleur de vous faire part de la
'••'•••':'• qu'il5 viennent d'éprouver en
:-.'';ne de
tfadenoisc-lle
Gabrielle
MORSALINE
.. sœur, belle-sœur, nièce, cousine,
• 11 .unie, décodée à Tourlaville, le lu
I9."l, a l'âge de 37 ans, œucie des
.'•nts de l'Eglise.
II vous prient de bien vouloir assister
Convoi. service et inhumation, qui au11 le Lundi treize Juillet 1931, à trois
1 • :'es trente, on l'église St-Joseph
des
-, sa paroisse.
•'
se réunira à la maison mortuaire, rue
- do Néhou, C.
•: messe huitaine sera célébrée pour le
- le son âtih-, en l'église St-Joseph des
• -. le vendredi dix-sept Juillet, à sept
li'.ures trente.
[ ftuinsélec;>rano.
' •; s:ra \\'a envoyé de
'. avis en tenant lieu.
faire part,
le
l'iinùn. Gén., 12, r. T.-Carrée. T. 3-27)
Kal a
IBesly,
par
illllO
uisky.
opini.
lue de
dans :
: Poneiens
W'iro:. Ger| : Lane
i^i-
Monsieur Auguste-Laurent SIMON,
o.ur Georges BE5NIER et Madame, née
iKIX, ;\ Sérifonlaine;
ur Charles RENAODIN, et Midame,
: BE3NIER à Equeurdreville;
•icur René BESNIER et Madame,
ûée
iJUIEll, i Tourlaville;
leur Jean-Baptiste MEURY et Madame
; BESNIER, à Brest;
>• :.sleur Ernest BES.NIER et Madame, née
iiRUHAT, à Aanecy;
Ses Enfants;
y msicur Eouis PILLET et Madame, née
iiESXIER, ft Equeurdreville;
1 risienr Eugène BESNIER et Madame, aée
ilUET. à Tourlaville;
Ses Frères et Sœurs ;
I.os
Familles
BESNIER,
Hl.'KT. PILLET.
LENEVEU,
'- 1LERC et DUPONT;
iict. —
sélec-
d'un
• par
lit :onma C l '
étant
iuction
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itc enr,lI s
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15, rue au Blé - CHERBOURG
MAISON DE CONFIANCE
Les Parents et Amis;
'-"c Messe huitaine sera dite 02 l'Eglise
•• ; "-Dame de Tourlaville,
le
Mercredi
quinze Juillet 1931, à huit heures.
' l'un. Gén., 12. r, T.-Carrée. T. 3-27)
**''i''yyy'f>y'{>'i"i"}"t"{"î"|"|>'|"{t 1
J'jdamc Veuve Eugène GERVAIS;
Monsieur Louis
GERVAI3, son épouse
1
. HENRY et leur fiis;
Jlesdeinoiselles A'ice et Jeanne GERVAIS;
" demoiselle Marie-Thérèse BERTOT;
M dame Veuve P0L1D0R;
Mo nsieur Jean-Baptlstc LETERRIER, et
son f pouse. 116e GERVAIS;
Le; < familles POLIDOB, MATHIEU,
LES.\r,f 1
LETERRIER,
BODIOU,
SAUVEY,
f
li!',(.'H, HENRY, LEREVEREND,
GRANDCI11I. l.OTTE.
LECARPENTIER,
DIESNI3.
l'a "fnls et Amis;
Rcinerclcnt bien sincèrement lôules les
personnes qui leur ont témoigné des mar1 's de sympathie à l'occasion li décès de
Monsieur
liejqiies
oui v
2,
(P. F, G.. 12, r. T,-Carrée, T. 3-27)
Monsieur Victor, Justin, Eugène BESNIER,
Ebéniste, Retraité de la Marine,
Aroien Conseiller Municipal,
i.auts•? une
= et
i
RENAUDIN,
PASQUIER,
Industriel,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Commandeur du Mérite Agricole,
Hemtrcient bien -incèrement toutes les
personnes qui leur ont témoigné des mar' : - de sympathie a l'occasion di décès de
m
t
Madame Auguste SIMON ;
Monsieur et Madame Marcel MENUT
et leurs enfants ;
Monsieur et Madame Yves SIMON et
leur enfant ;
Monsieur et Madame Albert SIMON;
Madame KOEHL ;
Madame LEMIERE ;
Monsieur et Madame Jules POUTHAS et leurs enfants ;
Monsieur et Madame Pierre SIMON
et leurs enfants ;
Monsieur et Madame CONLOMBANT;
Monsieur et Madame Charles LEMIERE et leur enfant ;
Monsieur et Madame Raymond HALCIQUE ;
Monsieur et Madame Victor TORRÊSE et leurs enfants :
Les Familles LE TIEC et Henri
MENUT ;
Le Conseil d'administration, les
Directeurs. les Ingénieurs et le Personnel des Etablissements SIMON
Frères ;
Remerciât bien sincèrement toutes
les personnes qui leur ont témoigné
des marques de sympathie à l'occasion'
du décès de
auftl
, B. rue
leillpnrs
Isaolres.
afnrmaffseigne-
Eugène
GERVAI3,
Retraité de la Marine
tr.e messe huitaine sera célébrée pour le
jepos de son ;lme, en l'église Notre-Dame de
.•iSr'11'' k'
p
•'
JêUdl 85ize iaiV t à hult
*'
?unèh. Gén., )2. r. T.-Corrée<T. 3^27)
—Eh bien,ami. tu ne photographies
plus ?.. Regarde le beau paysage.
—Oui, mais hélas, plus de'soleil f __
—Voilà qui m'est bien égal, j'opère
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etje suis sûr du succès. $ f f i ?
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'__
LES MAGASINS SERONT FERMÉS TODTE LA JOURNÉE LE 14 JUILLET
AUDITION MUSICALE
Les auditions délèves se suc:èdent à la
salle Magne, depuis quelques mois; et il
est à constater qu'elles sont suivies très
osiiduement par les mélomanes eherbour.
geois.
La dernière réunissait dix [eunes violonistes., des deux sexes, qui eurent pour
professeur, le musicien convaincu et l'instrumentiste excellent qu'est M. Louis Leterrier. en qui le talent se manifeste avec
une enviable variété de moyens. Aux expositions *lie ceinture et aux manifestations musicales, M. Leterrier apporte une
participation notable et l'on peut dire que
parmi les plus fervents amis et serviteurs
de l'art, il n'en est- pas de plus digne de
considération et de sympathie.
On était curieux, de connaître comment
M. Lelerrier, avec un zèle ardent, s'entend
à former autour de lui de futurs musiciens.
L'n programme' f or t agréable comportant
des œuvres célèbres de Schumann, Lulli.
Vivaldi, Martin. Haydn, Rameau. Men.
delssohn. Roland Marais. Kreutzer, Sitt.
Saiiit-Saëns, Forqueray, fit valoir les qualités précoces d'élèves dont quelques-uns
sont presque encore des enfants. Citonsles t ous dans l'ordre du programme en les
félicitant de la belle crânerie avec laquelle
ils manièrent l'archet: Roger Lejeay, Gisèle Verschuerc. Suzanne àamas, Yvonne
Leduc, Jean Lehuby. Marie-Thérèse Margolis, Michel Halley, André Baudot, Marthe Laleton, Paul Lefêvre.
Tous ces jeunes musiciens ont montré
des qualités déjà marquées. On a goûté
vraiment un plaisir délicat à écouter la
Petite Marche de Schumann et le menuet
du Bourgeois Gentilhomme, de Lulli. exécutés par Mlle Gisèle Verschuere, le rigaudon joué par Mlle Yvonne Leduc, les variations exécutées par M. André Baudot et
le Préludé du Déluge de Saint-Saëns, par
M. Paul Lefèvrc. Les applaudissements
de l'assistance encouragèrent ce charmant
groupe de jeunes et vinrent prouver à
M. Leterrier, que ses efforts ne sont pas
vains et que son exemple est profitable
à la cause de l'Art.
Aux attraits de celle audition à laquelle Mme Pierre Le Conte, accompa-i
gnatrice compréhensive et profondément
musicienne, et M. Paul Alhx, prêtaient
leur concours bienveillant et autorisé, la
partie de chant, exécutée par Mme Paul
Allix. pteompagnée par son mari — maître de l'orgue et compositeur au talent
exquis — ajouta un grand charme. Après
avoir chanté délicieusement le Lied dk
Fauré.. Mme Paul Allix interpréta^ d'une
voix merveilleusement nuancée, deux pages remarquables que le professeur Allix
écrivit sur de charmants poèmes: «Pensée
d'Automne!, et «Sur un nom»v dûs à la!
plume de M. André Allix. On admira la
noble inspiration du compositeur qui sait
être musical et chantant, sans rien ignorer des subtilités de l'harmonie moderne,
et la finesse d'expression, la profondeur do
ssntiment de l'interprète.
Le succès de ce trop court intermède
fut énorme.
La triomphatrice de la soirée, fut Mademoiselle Rosè-Marie Leterrier, oui vient
de terminer brillamment sous la direction de l'éminent artiste Armand Parent,
ses études de violon à la Schola CantoL
rum.
Avec une constante justesse, avec une
belle assurance, la charmante violoniste
exécuta de mémoire, deux œuvres classïj
ques d'une haute difficulté dont elle sut
faire valoir également et les écueils et
les agréments. Ce fut la «Chaconne» de
Vitali, enlevée avec brio, et l'admirable
sonate de Baeh, dsnt la {eune artiste don'-:
na une version toute classique.
R
L'ample sonorité, l'expression chaleureuse
les qualités de technique de l'interprète
ravirent les auditeurs qui acclamèrent Mlle
Lelerrier ei Mme Pierre Le Conte qui avait
rempli de Iaçon idéale, la mission d'ac4
compagnalrîce.
i
Un bis fut réclamé et accordé, E t à
l'issue de cette bonne et belle soirée don-,'
née devant une salle comble, Mlle, °t H.
Lelerrier reçurent les compliments chaleureux des assistants grandement satisfaits.
Ne terminons point ce compte-rendu
sans rendre hommage ù l'éminent professeur. M. Armand Parent, qui préside aux
éludes du cours supérieur de la Schola
et qui a su faire de la [eune élève confiée
à ses soins, la belle artiste que nous venons d'sci'lamer
VISITfc
DES
JAK1MJYS
OUVRIERS
Vendredi et samedi, un jury, composé
de: M« Favier, président de "la Société
d'Horticulture; de M. Frigout, vice-président du Bureau de Bienfaisance; de MM.
Mahieu, trésorier de la Société d'Horticulture, et Blondeau. secrétaire de la Société
d'Agriculture, est passé dans les jardins
que le Bureau de Bienfaisance de la ville
de Cherbourg alloue aux ouvriers, afin
d'établir un classement qui permettra à
l'Œuvre de récompenser les plus méritants.
Les membres du Jury n'ont pas caché
leur satisfaction de voir combien les différentes parcelles étaient tenues
avec
beaucoup de goût; partout les cultures sont
florissantes, et, dans certaines, de jolies
fleurs voisinent avec les légumes.
VlSl'ÏL
DES
ECOLES
Ainsi que le Conseil municipal l'avait
décidé dernièrement, nos édiles ont visité
ces jours-ci les groupes scolaires de la
ville, afin de se rendre compte de leur
état et des modifications et améliorations
qu'il convient d'apporter à ces immeubles.
Il a élé reconnu qu'au Roule et rue
de l'Asile, des classes sont obscures, ce
qui est préjudiciable à la vue des élèves.
Les cours sont exiguës, les préaux ridiculement étroits. Encore convient-il de
signaler que dans l'un d'eux on a... découvert un édicule dont personne n'avait
la clé et dans lequel on abrite une pompe
à incendie vermoulue, qui n'a rendu aucun service depuis deux ans.
Espérons qu'à l a suite de cetle visite,
nos édiles auront la ferme
résolution
de prendre les mesures
qu'imposent
l'hygiène et les besoins de notre population scolaire.
ARRIVÉE D'EXCURSIONNISTES
ANGLAIS
f
Cherbourg verra, aujourd'hui, trois steamers anglais chargés d'excursionnistes arriver au port.
Dès ce matin, le « New-Farrow », de la
Sainl-Malo-Binic-Steamship C« Ld., est arrivé dans l'avant-port 11 appareillera ce
soir, à 19 h. 30.
A 10 h. 15, arrivera de Weymouth. le
paquebot «Saint-Hélien, qui séjournera jusqu'à 18 h. 25 au quai de l'Ancien Arsenal.
Enfin, vers 13 heures, arrivera le «Balmoral», qui repartira vers 16 heures, et
reviendra à Cherbourg, le 14 iuillet.
Ces trois navires ont un gros effectif de
passagers.
!
'y .
••!.— ,
.
PROCHAINES ARRIVÉES
i !
i
DU «BALMORAL,
Le steamer anglais «Balmoral» séjournera à Cherbourg, les 12. 14, 16, 21. 22
et 23 juillet, de 13 à 16 heures. Il fera ses
escales au quai de l'Ancien Arsenal. . |
%
QUETES * DE8 MARIAGES
Au cours du mariage de M. Maxime Leluan avec Mlle Yvonne Rouet, célébré le
11 juillet 1931. à 19 h. 30. k la Mairie
«Je Cherbourg, une auête faite au profit
du Bureau de B.'e/ifaisauce a produit la
Sommû' de 52 fr. 50,
une autre quête, faite le même jour, au
'tiurs d'un second mariage, au profit du
ureau de Bienfaisance, a produit la somme de, 56 fr. 05.
IiH Maire de Cherbourg est heïireux d'adresser ses meilleurs vœux aux' nouveauxP'oflx- 0 d'exprimer ses vifs remercie«ur «f
" •sloiiâteafs;
*-—*-'*- "
[iggttgigrggy
S
Les idées de nos lecteurs
L'ÉLARGISSEMENT
ET LA REFECTION DES ROUTES
DE LA HAGUE
morceaux rie verre, cl le promeneur désireux de s'asseoir sur le subie Joil commencer par iaire |i!a.ce nulle autour de
lui.
Sans commentaires... cl, l'année prochaîne, ce sera exactement la
même
chose,
UN UKY'ILLAIS .
**«
P.-S. — Sur certaines plages cnFrancc,
les imbéciles qui jugent spirituelles
de
casser des bouteilles, se voient gratitier
d'un procès-verbal. Qu'attend, la commune intéressée pour en faire autant?
La circulation de plus en plus intense et les dimensions de uius ch
plus fii'andes des voitures et autocars uliiisant les routes de la Ilague
pittoresque, ont nécessité l'élargissement de certains chemins vicinaux et
de grande communication.
C'est ainsi qu'on eiïeclue en ce m o ment des travaux sur la roule des
Au sujet du la conférence faite par M.
Pieux ù Beaumont, entre Helieville et
Vasleville, où la route va englober les Pioeli, un lecteur nous adresse les réuexions
suivantes
:
anciennes banquettes qui sont, emI.a revue « Nuire Temps ». orsaue ues
pierrées et roulées.
jeunes radicaux, Publie, dans sou auinéro
• Ces travaux nécessitent des gran- du j juillet, un éditorial. un article sur
des quantités de pierres,
lesquelles la jeunesse française et le rapprochement
son! amenées à pied-d'œuvre
par franco-allemand,
el umiiuce .a naissance
bennes automobiles.
d'un organisme nouveau, i': Connlé d'iiatente
(le
la
Jeunesse
française pour le rapLes dépôts de cailloux créés de chaI-'raneu-Alk'inaiid ». Sept IIJSSUque coté de la rouie, ne laissent mal- plMiiieine.it
ont signé, les premières, 1er, statuts
heureusement sur uno longueur de Ciatious
de ce cartel et sa déclaration.
près d'un kilomètre qu'un passage
Association
Calholique de la
Jeunesse
carrossable à peine suffisant pour Française; Jeunesses
Laïques et
Républiune voiluretle, créant ainsi une zone caines.
Fédéra lions Chrétiennes d'Eiiidianls.
dangereuse pour la circulation. C'est Groupe de » Noire Temps », Groucemeut
miracle qu'on n'ait pas encore eu Tjaivcrsilaire Franco-Allemand, Foyer Interd'accident à déplorer, d'autant plus national des Etudiants de Paris, Etudiants
qu'aucune indication n'avertit
les Jeunes Républicains. Le total de ces sept
groupements s'élève à 270.000.
suc
ce
usagers du passage difficile.
chiffre, l'association de la Jeunesse CathoII y a Ifi une négligence qui pour- lique
française s'élève h 100.000 membres.
rait avoir des suites très graves. — X, Le Comité d'entente a constitué son bureau
DE LA JEUNESSE FRANÇAISE
L'ÉVACUATION M BOUES
m CANE DE RETENUE
On nous écrit:
« L'évacuation des boues fétides
du
canal de retenue est, ainsi qu'on l'avait
prévu, en panne, et, perspective réjouissante... on nous annonce qu'on ne pourra
pas recouvrir les boues pendant les chaleurs, d'une couche d'eau, ainsi que cela
se faisait les autres années.
Donc, si la boue est trop compacte, si
les moyens jusqu'ici employés (et pas un
technicien ne s'y serait trompé), ont été
notoirement insuffisants, s'il y a eu incurie flagrante et gaspillage, nous en subirons les conséquences.
La situation risque de provoquer une
épidémie. Le Ministre de la Santé publique, qui a pris une décision quelque peu
draconniençe au sujet de l'évacuation des
ordures ménagères, ne pourrait-il
pas
mettre fin aux turpitudes anti-hygiéniques
auxquelles nous sommes en butte?
Pourquoi, dès que l'on s'est aperçu que
la solution employée était pratiquement
inopérante, n'en avoir pas adopté une plus
énergique ? Pourquoi attendre plusieurs
mois avant d'essayer autre chose?
Attend-on que l'épidémie redoutée ait
fait ses ravages?
UN RIVERAIN.
LE RESPECT DE NOS PLAGES
k rôle d'un vice-président de l'a Jeunessa
Laïque, le secrétariat est occupé par M<
Scherer de l'A. C. J. F.
Un Ici acte de rapprochement Mire jeunes laïcs, jeunes protestants, jeunes
catholiques, en vue de l'éducation pour
la
paix, n'a-l-il pas une autre valeur une le
dénigrement fait samedi soir à l'égard de
l'idée religieuse, de l'idée catholique, ferment indéniable d j raix internationale comme de pa'x sociale.
Le manque de loyauté se retourne toujours contre ceux qui en usent.
A la dernière page de la même revue,
bien laïque cl bien républicaine, on signale
la formation, de-ci de-là, du Cartel de la
Paix.
Dans le'Loiret, notamment., les groupements les Plus divers de tendances, se sont
entendus. On y rencontre, à côté des Jeunesses Laïques. !cs Partis J. F. I. O.. les
Démocnles Populaires, le Sillon Catholique d'Orléans, les Travailleurs
Chrétiens,
le Syndicat National des Instituteurs et les
Jeunesses Ouvrières Chrétiennes — X. »
f
32 RUE DU MARÉCHAL FOCH
JB.
jUEBKKSJSL.
Chirurgien.
Et voici ce que nous écrit un abonné
Dentiste, r u e Alherl-Mahieu, à Cherd'Urville:
bourg,
prévient ses clients assurés sociaux,
« Dans de nombreux numéros de ce
journal, j'ai relevé des articles concerqu'il applique pour ses travaux le Jiirii
nant la propreté des rues de Cherbourg,
et, le plus souvent, c'est la négligence
minimum prévu par l'assurance, sans
des gens qui en est cause en général.
II est triste de constater que, partout oii
aucune majoration de prix.
l'homme séjourne, il se croit obligé de
laisser derrière lui des traces de son
passage.
Un exemple:
Vendredi dernier, à Urville-Nacqueville,
la plage était, comme de coutume, c'està-dire propre. L'après-midi, un Patronage
Pour démentir certains [irilils. la Société
est venu, de Cherbourg je suppose. Après Qénérela
des Transports Départementaux,
son départ à 6 heures, j'ai pu constater 10, rue de l'Ancien-Quai (autobus gris,
bandes
rouges),
informe ses fidèles usasur un espace de quatre mètres carrés,
qu'elle n'u pas l'intention d'abandonet dans l'endroit le plus passager, une gers
ner ses services dans la Ilague. ni ailleurs.
demi-douzaine de tessons de bouteilles, des Au contraire, celle puissante S^riélé. au
verres cassés, journaux maculés, boîtes capital de 5 millions, mcl actuellement sur
de sardines, sans oublier les inévitables pied un programme de réorgan:salfnn de
ses services, nui donnera plus de satisfacpapiers gras...
tion aux populations, avec un matériel
Peut-être, à la prochaine grande marée, complètement transformé et çonf-rtahlc.
D'autre part, elle étudie Également des
la mer ôtera ces détritus; mais, en attenprojets dé lignes nouvelles nouP desservi*
dant, à chaque instant, de
nombreux certaines
contrées, notamment Dlvule. fcfr
enfants risquent de se blesser sur ces Vauyille.
AUTOBUS