CHA PITR 4 E Calcul littéral Choix pédagogiques 1. Le point sur les classes précédentes •En 3. Distributivité Conventions d’écriture 6e et dans la continuité de l’école primaire, quelques lettres sont introduites avec précaution (unités, variables). Cette approche progressive se poursuit durant le cycle central et l’enseignant doit être conscient des différentes fonctions des lettres (unité, variable, indéterminée, inconnue, paramètre…). Le sens du signe égal est travaillé, en 6e et en 5e, comme se lisant de gauche à droite mais aussi de droite à gauche. En 5e, les premières notions de calcul littéral sont abordées. Une introduction progressive a lieu, les élèves utilisent les expressions littérales (socle), en produisent également. Ils apprennent à développer et à factoriser une expression en utilisant les règles de distributivité simple : k(a + b) = ka + kb et k(a – b) = ka – kb où k, a et b désignent des nombres positifs et ce dans les deux sens : pour développer ou pour factoriser une expression. La distributivité de la multiplication a déjà été mise en place en 5e, sur des exemples numériques et littéraux. Elle est réinvestie dans le chapitre 1 lors des opérations sur les nombres relatifs. L’objectif de l’activité 5 est donc ici de conforter cette notion de distributivité simple avant de découvrir celle de la double distributivité. C’est dans un contexte géométrique que l’on dégage ici l’identité k(a + b) = ka + kb. On en profite pour souligner ce qu’est une identité, vraie pour tous les nombres k, a et b. Une fois revue la distributivité, on peut aborder, dans l’activité 6, la factorisation. L’intérêt de la factorisation pour le calcul mental est tout d’abord mis en avant, puis, dans un contexte géométrique encore, on dégage l’identité ka + kb = k(a + b). Le statut du signe égal doit ici être souligné. D’abord il indique qu’on a affaire à deux expressions d’un même nombre et l’égalité doit pouvoir être utilisée de « gauche à droite » mais aussi de « droite à gauche ». Il sera utile, au fil de ces premières activités de rappeler les simplifications d’écriture du type 3 × n = 3n, 1 × n = n, b × c = bc, a × a = a²… vues en 5e et revues au chapitre 1. • 2. Expressions littérales L’activité 1 a pour objectif de faire sentir la nécessité de l’apparition de la lettre comme variable. Sans prérequis notoire, cette activité touche à la généralisation nécessaire d’un phénomène. Elle touche à l’aspect procédural d’une expression algébrique. L’activité 2, elle, en concerne l’aspect structural. L’expression littérale est ici vue comme un objet dont on peut décrire la forme et avec lequel on va pouvoir faire de nouveaux calculs. Ces deux activités, assez ouvertes invitent les élèves à pendre des initiatives et permettent par là même de travailler les compétences du socle. L’activité 3 traite du remplacement de la variable par une valeur numérique, compétence exigible au socle. Elle a tout lieu d’être illustrée par l’utilisation du tableur (en classe à l’aide du vidéo projecteur, par exemple). C’est alors l’occasion de revoir l’écriture d’une formule dans une feuille de tableur. Dans l’activité 4, il est demandé, aux élèves d’effectuer des calculs de produits sur des cas simples, de les observer, puis de conjecturer la règle algébrique des signes. Cela se fait dans la continuité des propriétés du produit de deux nombres relatifs vues au chapitre 1. Ce sera l’occasion d’insister, exemples à l’appui, sur le fait que –ab n’est pas forcément un nombre négatif. 4. Réduire une expression littérale À l’aide de la notion de factorisation vue précédemment, on s’intéresse dans l’activité 7, à la factorisation d’expressions du type 5 × n – 3 × n = 2 × n. Le support géométrique est là pour donner davantage de sens à la manipulation des formules. À l’issue de l’activité, l’intérêt de telles factorisations (réductions d’écritures) pourra être appuyé par des exemples numériques. On peut demander, par exemple, aux élèves de calculer mentalement 5 × 102,5 – 3 × 102,5 ; 5 × 3 250 – 3 × 3 250… pour illustrer l’intérêt calculatoire de telles réductions. L’objectif de l’activité 8 est d’appréhender l’addition et la soustraction d’une somme algébrique. On réinvestit la distributivité et la multiplication par 1 ou par –1 (vue au chapitre 1). Cela pour aboutir aux deux éléments à retenir : « Pour ajouter une somme algébrique, on ajoute chacun de ses termes » et « Pour soustraire une somme algébrique, on soustrait chacun de ses termes ». 1 On évitera tant que faire se peut les formulations du type, « pour supprimer des parenthèses précédées d’un signe « moins » on change les signes à l’intérieur des parenthèses » qui risque d’avoir moins de sens et qui nous fait observer des élèves ne sachant que faire du signe – précédant la parenthèse. Les items du B2i qui peuvent être validés sont notifiés à chaque fois. 7. Compléments Dans la partie Socle commun de 4e, on retrouve les rubriques n’étant pas écrites en italique dans le programme. Les exercices 20 à 25 présentent des situations motivant l’utilisation du calcul littéral : contextes géométriques, suites de nombres… Les exercices 26 à 28 soulignent, comme le stipulent les programmes l’aspect structural d’une expression littérale. Pour l’exercice 30, l’utilisation en classe du vidéo projecteur présentant la correction de cet exercice à l’aide d’un tableur est vivement envisageable. L’exercice 32 apporte une note ludique à ces exercices de calcul d’une expression littérale pour des valeurs données. Les exercices 34, 35 et 44 permettent de donner du sens à la notion de distributivité en apportant un côté visuel sur les figures géométriques. On profite également de ces exercices sur le développement et la factorisation pour travailler les compétences du socle et pour faire prendre du recul et un esprit critique aux élèves. L’exercice 56 aborde la connaissance de l’Europe par ses fleuves et est une intéressante liaison entre les chapitres 4 et 5. L’exercice 59 constitue une approche méthodologique de la règle des signes à respecter lors d’un développement. L’utilisation du tableur est tout à fait propice à la résolution de l’exercice 64. Les exercices 66 à 70, tout comme l’exercice 80 développent eux aussi l’esprit critique et font travailler la notion de contre-exemple pour infirmer une phrase ou de démonstration pour la confirmer. Les exercices 75 à 81 permettent particulièrement bien de travailler la compétence 1 du socle. L’exercice 76 souligne l’aspect structural d’une expression littérale et fait passer du registre « formules » au registre « vocabulaire ». Dans l’exercice 95, le thème du développement durable est abordé de façon motivante. 5. Développer (a + b)(c + d) L’activité 9 vise à enrichir les possibilités de développement d’une expression à l’aide des règles de « double distributivité ». On utilise la distributivité pour démontrer cette nouvelle identité. 6. Savoir-faire L’énoncé 1 est consacré à la gestion d’un calcul. On y met en évidence la force du calcul littéral pour démontrer et généraliser un résultat. L’énoncé 2 s’inscrit tout à fait dans le travail des compétences du socle : porter un regard critique sur ses propres productions, prendre du recul. L’énoncé 3 conduit les élèves à travailler la notion de preuve, et de voir qu’elle n’existe pas qu’en géométrie ! C’est l’occasion de travailler sur la notion d’exemples (qui ne suffisent pas à la preuve) et de contre-exemples (comme dans l’exercice 80 p. 89 par exemple). À l’énoncé 4, on montre que pour calculer de façon répétée les valeurs prises par une expression littérale et ce de façon exacte, il est dommage de se passer de l’apport que constitue la calculatrice. Son utilisation ne doit évidemment pas occulter les calculs mentaux possibles dans de nombreux cas, y compris celui où l’on cherche un ordre de grandeur du résultat. Outre un gain de temps certain, l’utilisation du tableur, à l’énoncé 5, apporte du sens à la notion de variable : En entrant une formule, ce sont les adresses des cellules qui sont prises en compte et non leurs contenus du moment. La présentation sous forme de tableau permet, d’observer l’évolution des deux expressions. À noter l’importance de signaler aux élèves que le fait que deux expressions littérales soient égales pour un grand nombre de valeurs ne peut pas servir à prouver qu’elles sont égales, mais à le conjecturer. 2 Corrigés 1. Devinettes • 3 a. Lorsque x = –2. Devinette* = 8 (alors •Devinette** + 2 A = –7 × (–2) + 3 = 14 + 3 = 17 B = –2(–2 + 1) = –2 × (–1) = 2 C = (2 × (–2) – 5)(7 – 8 × (–2)) = – 9 × 23 = –207 D = 5(3 × (–2) – 4) + (–2) = 5 × (–10) – 2 = –52 b. A est une somme ; B est un produit C est un produit ; D est une somme. = 72). Le plus grand est e. et le plus petit est d. 2. Je vérifie mes acquis 1. Bonne réponse : b. 2. Bonne réponse : a. x + 6 + x + 6 = x + x + 6 + 6 = 2x + 12 3. Bonne réponse : b. A est un produit, ainsi que C. 4. Bonne réponse : b. Pour = 10, P = 14 +2 × 10 = 14 + 20 = 34. 5. Bonne réponse : a. On utilise k(a + b) = ka + kb avec k = 6, a = x et b = 4. 6. Bonne réponse : c. 9a + 2a = (9 + 2)a = 11a 7. a. 5 b. 15 c. 60 d. 6 e. 9 8. a. 8 b. 5 c. 3,5 d. 7,7 e. 6 9. a. 490 b. 2,5 c. 0,1 d. 22,5 4 a. a b a×b (–a) × b a × (–b) – (a × b) (–a) × (–b) 7 5 35 –35 –35 –35 35 –1,2 10 –12 12 12 12 –12 –4 –25 100 –100 –100 –100 100 b. • x × (–5) = –5x • 7 × (–x) = –7x • (–3x) × 5 = –15x • 2x × 5x = 10x2 • –8x × (– 0,1x) = 0,8x2 5 a. Lorsque la largeur du rectangle vaut 0,5, sa longueur vaut 2 × 0,5 + 3 = 4. 0,5 × 4 = 2. Alors l’aire du rectangle est de 2 cm2. • Lorsque la largeur du rectangle vaut 6, sa longueur vaut 2 × 6 + 3 = 15. 6 × 15 = 90. Alors l’aire du rectangle est de 90 cm2. b. • Si l’on note x la largeur d’un tel rectangle : • sa longueur vaut 2x + 3 ; • son aire vaut x(2x + 3) = 2x2 + 3x. Lorsque x = 0,5 ; 2x2 + 3x = 2 × 0,52 + 3 × 0,5 = 0,5 + 1,5 = 2. L’aire du rectangle est de 2 cm2. Lorsque x = 6, 2x2 + 3x = 2 × 62 + 3 × 6 = 72 + 18 = 90. L’aire du rectangle est de 90 cm2. 3. Activités 1 a. Si l’on appelle x le nombre choisi au départ, le « mathémagicien » obtient successivement les nombres suivants : • 2x • 2x + 3 • 5(2x + 3) = 10x + 15 • 10x + 15 – 15 = 10x • 10x10 = x Donc le résultat du spectateur est le même que le nombre qu’il avait choisi au départ. b. • Par exemple : Choisir un nombre. Soustraire 2. Multiplier par 3. Ajouter 6. Multiplier par 5, puis diviser par 15. 6 a. 7,8 × 15 – 7,8 × 50 + 7,5 × 25 = 7,8 × (15 – 50 + 25) = 7,8 × (–10) = –78 b. Aire : 3x + 3x + 3 = 3(2x + 1) c. • 6 – 9x = 3(2 – 3x) • 4x – x2 = x(4 – x) 2 • 5x – 10x = 5x(1 – 2x) • x3 – 3x2 = x2(x – 3) 2 a. Les nombres pairs sont les nombres qui s’obtiennent en multipliant un nombre entier positif par 2. En notant ce nombre entier positif n, les nombres pairs s’écrivent alors 2n. b. Les nombres impairs peuvent s’écrire sous la forme : 2n + 1 (où n désigne un nombre entier). • Les multiples de 7 peuvent s’écrire sous la forme : 7n (où n désigne un nombre entier). c. Samir peut écrire ceci : « Tous les multiples de 14 s’écrivent 14 × k où k est un nombre entier positif mais 14 × k = 7 × 2 × k où 2 × k est un nombre entier positif. Donc tous les multiples de 14 sont aussi multiples de 7 ». 7 a. La réponse de Louis est fausse. b. • Jimmy a calculé l’aire du plus grand rectangle (de dimensions 5 et (x + 1)) et lui a retranché l’aire du rectangle de dimensions 4 et x ainsi que l’aire du rectangle de dimensions 2 et 1. Léa a calculé l’aire du rectangle supérieur (de dimensions 3 et (x + 1)) et lui a retranché l’aire du rectangle de dimensions 2 et x. • 5(x + 1) – 4x – 2 = 5x + 5 – 4x – 2 = x + 3 3(x + 1) – 2x =3x + 3 – 2x = x + 3 • Si x = 3,5 x + 3 = 3,5 + 3 = 6,5 3 (2n + 1)(2p + 1) = 4np + 2n + 2p + 1 = 2(2np + n + p) + 1 = 2k + 1 où k est un entier naturel. Donc (2n + 1)(2p + 1) est un nombre impair. 8 a. • 1 × (b + c) = 1 × b + 1 × c = b + c • (–1) × (b + c) = (–1) × b + (–1) × c = –b – c b. • a + (b + c) = a + 1 × (b + c) = a + b + c • « Pour ajouter une somme, on ajoute chacun de ses termes ». c. • a – (b + c) = a + (–1) × (b + c) = a + (–b) + (–c) = a – b – c • « Pour soustraire une somme, on soustrait chacun de ses termes ». d. • 2x + (3x + 4) = 2x + 3x + 4 = 5x + 4 • –5x + (3x – 4) = –5x + 3x – 4 = –2x – 4 • 3x – (2x + 6) = 3x – 2x – 6 = x – 6 • –x – (–9x + 1)= –x + 9x – 1 = 8x – 1 • Pour x = 2,25 ; B = 22,812 5 • Pour x =–15,6 ; B = –1 049,08 • Pour x = 153,4 ; B = –67 533,68 9 10 9 1. Aire du rectangle ABCD : (a + b)(c + d) Aire du rectangle ABCD : ac + ad + bc + bd 2. a. (a + b)(c + d) = (a + b) × c + (a + b) × d b. Donc (a + b)(c + d) = ac + bc + ad + bd Dans la cellule B2, taper : =5*A2^2-10*A2+5*(A2–2) Dans la cellule C2, taper : =(5*A2+1)*(A2-2) Dès la 1re ligne, on voit que 5x 2 – 10x + 5(x – 2) et (5x + 1)(x – 2) ne sont pas égaux pour x = – 5. La factorisation de Mylène est donc fausse. 4. Je m’exerce 1. A = 2t2 – 3t + t(3 – 2t) = 2t2 – 3t + 3t – 2t2 = 0 Pour tous les nombres t, A = 0. Donc Rémy a raison. 2 B = x(x + 2) – 5x + 3(x – 1) B = x2 + 2x – 5x + 3x – 3 = x2 – 3 Si x = 0, B = –3. B est négatif. Luna a raison. 3 a. • C = 6 • C = 11 b. Par exemple, pour y = –100, C = –99 c. C = 54,5 d. C = 5y – 15 – 4y + 16 = y + 1 4 a. • On contrôle le terme en a2 : 5a × (– 0,1a) = – 0,5a2 • On contrôle le terme constant : –12 × 6 = –72 Doris s’est donc trompée. b. (5a – 12)(6 – 0,1a) = 30a – 0,5a2 – 72 + 1,2a = –0,5a2 + 31,2a – 72 5 a. • 5x × (–5x) = –25x2 • – 4 × 2 = –8 • Ces deux contrôles ne permettent pas de déceler une erreur. b. (5x – 4)(2 – 5x) = 10x – 25x2 – 8 + 20x = –25x2 + 30x – 8 6 a. Pour t = 1 • 5t2 – 10t + 5 = 5 × 12 – 10 × 1 + 5 = 0 • 5(t2 – 2) = 5(12 – 2) = 5 × (–1) = –5 La factorisation d’Inès est donc fausse. b. 5t2 – 10t + 5 = 5t2 – 5 × 2t + 5 × 1 = 5(t2 – 2t + 1) 7 On note n et n + 1 deux entiers consécutifs. n + n + 1 = 2n + 1 ; on obtient bien un nombre impair. On peut donc conclure que la somme de deux entiers consécutifs est un nombre impair. 8 On note 2n + 1 et 2p +1 deux nombres impairs quelconques. 1 5. Socle commun de 4e a. L représente le périmètre en cm de ce triangle. (L = x + 4 + x + 3 + 7 = 2x + 14) b. Si x = 5 ; L = 2 × 5 + 14 = 24 donc L = 24 cm Si x = 0,8 ; L = 2 × 0,8 + 14 = 15,6 donc L = 15,6 cm Si x = 0,25 ; L = 2 × 0,25 + 14 = 14,5 donc L = 14,5 cm. 11 a. C représente le volume en m3 de ce parallélépipède rectangle (C = 9 × a × a = 9a2) b. Si a = 5 ; C = 9 × 52 = 225 donc C = 225 m3 Si a = 0,1 ; C = 9 × 0,12 = 0,09 donc C = 0,09 m3 12 a. n = 4 ; c = 9 cm ; D = 8,4 cm. π × 8, 42 × 9 × 4 Donc V = et V ≈ 1 995 cm3 4 donc sa cylindrée est environ 2 L. 13 a. 400 × 2 + 800 × 3 = 800 + 2 400 = 3 200 Si Tom fait 3 tours, il parcourt 3 200 m ou 3,2 km. 400 × 2 + 800 × 4 = 800 + 3 200 = 4 000 Si Tom fait 4 tours, il parcourt 4 000 m ou 4 km. 400 × 2 + 800 × 6 = 800 + 4 800 = 5 600 Si Tom fait 6 tours, il parcourt 5 600 m ou 5,6 km. b. 7,2 km, c’est 7 200 m. 7 200 – 2 × 400 = 6 400 6 400 = 8 tours 800 c. 0,8 + 0,8n (ou encore 0,8 × (n + 1)) Si n = 3 ; 0,8 + 0,8 × 3 = 3,2 Si n = 4 ; 0,8 + 0,8 × 4 = 4 Si n = 6 ; 0,8 + 0,8 × 6 = 5,6. 14 4 15 a. y t O 15° 25° b. Aux instants 0 s et 13 s, h = 0. La fusée est respectivement aux instants du décollage et de l’atterissage. c. On peut prendre un pas plus fin pour les valeurs de t comprises entre 6 s et 7 s. v 24 a. Le motif n° 5 comporte 11 segments. b. Le motif n° 10 comporte 21 segments. c. Nombre de segments dans le motif n° n : 3 + 2(n – 1) = 2n + 1 ou 3n – (n – 1) = 2n + 1 d. Si n = 200, alors 2 × 200 + 1 = 401. Il y a 401 segments. 25 a. 700 – x b. 20x + 12(700 – x) = 8 400 + 8x n 26 a. n + 1 b. n – 1 c. d. 2n 2 27 Ce sont les multiples de 3. 28 a. 2k et 2k + 2 où k est un nombre entier positif. b. 2p + 1 et 2p + 3 où p est k est un nombre entier positif. c. 2k + 2k + 2 + 2p + 1 + 2p + 3 = 4k + 4p + 6 29 a. Par exemple, un rectangle de dimensions 2 et a. 6x = 3x 2 3 A = 7 × 7 + x × x = 49 + x2 2 A= donc A = 60 cm2 donc A = 18 cm2 donc A = 85 cm2 • Si x = 0,5 1 A = 10 × 0,5 = 5 donc A = 5 cm2 2 A = 3 × 0,5 = 1,5 donc A = 1,5 cm2 2 3 A = 49 + 0,5 = 49,25 donc A = 49,25 cm2 21 a. V = πr2h = π × r2 × 5 = 5π r2 b. V = 5πr2 (cm3) z 90° 6. Exercices d’application 20 a. 1 A = 5 × 2x = 10x r (cm) 25° 25° u Il semble qu’à l’instant t = 6,5 s la fusée soit à son altitude maximum. 16 • A = 1 000 • A = 2 001 •A=1 • A = 3 004 • A = –996 17 A = 132 ; B = 30 ; C = 0 18 a. 101 × (89 + 11) = 101 × 100 = 10 100 b. 1 001 × (53 – 3) = 1 001 × 50 = 50 050 19 a. 621 b. 625 c. 1 216 d. 5 625 b. • Si x = 6 1 A = 10 × 6 = 60 2 A = 3 × 6 = 18 3 A = 49 + 62 = 85 s a 2 b. Par exemple, un rectangle de dimensions 7 et a + 2. a+2 1 2 3 4 15,7 62,8 141,3 251,3 7 c. Par exemple, un carré de côté a et un carré de côté 5. c. Quand r = 1 cm, V = 15,7 cm3. D’après le tableau, quand r = 2 cm, le volume du cylindre ne vaut pas le double de 15,7 cm3. Donc Léa a tort. 22 a. Un polygone à 8 côtés s’appelle un octogone. b. Aire du carré ABCD : 92 = 81. Aire du triangle rectangle JBK : 2 × 2 = 2 2 81 – 4 × 2 = 73. L’aire de l’octogone est de 73 cm2. x2 c. = 81 – 4 × = 81 – 2x2 2 Si x = 3 ; = 81 – 2 × 32 = 63 = 180° – (25° + 15° + 2a) = 180° – 40° – 2a 23 a. uOz Donc uOz = 140° – 2a b. Il faut que 140° – 2a = 90° Donc 2a = 50° Donc a = 25° 5 a • x = 0, A = 3, B= 0, C=4 • x = –1, A = 15, B = 5, C = 7 19 • x = 1 , A = 0, B = 5 , C = – 4 16 8 • x = 0,5, A = –3, B = 1,25, C = –11 5 1 • x = , A = 1, B = , C = 0 36 6 31 a. Mentalement : • Si x = 0 ; B = 3 × 0 + 2 × 0 – 1 = –1 • Si x = –5 ; B = 3 × (–5)2 + 2 × (–5) – 1 = 64 • Si x = 10 ; B = 3 × 102 + 2 × 10 – 1 = 319 b. À la calculatrice • Si x = 2,95 ; B = 31,007 5 • Si x = –17,4 ; B = 872,48 • Si x = 2,22 ; B = 18,225 2 30 5 B = –3x2 + 9 = –3(x2 – 3) C = 4(–2x – 9) = – 4(2x + 9) D = –9t2 – 6 = –3(3t2 + 2) 44 Calculons la somme des aires des trois rectangles : 2a(a + 3) + 2a + (2a)(2a) Ou encore, en mettant (2a) en facteur : 2a(a + 3 + 1 + 2a) = 2a(3a + 4) La deuxième dimension du rectangle est donc 3a + 4. 45 A = 8x – 12x + 20x = 16x B = –7,5a2 – 14,5a2 + 30a2 = 8a2 5 1 C= t+t– t=0 4 4 8 1 30 16 3 2 11 2 D = 5x2 – x2 – x2 = − − x = x 3 2 6 6 6 6 4 2 1 2 46 A = –4t – t + 3 – 10t + 5 t – 10 5 3 2 = t – 14t – 7 5 13 2 1 B = 3x2 – 2x + x2 – 2x = x – 4x 4 4 Pour x = –4 : • 5 +4x = 5 × 4 – 4 = 5 – 16 = –11 →B • 5(–3x – 11) = 5(–3 × (–4) – 11) = 5 × 1 = 5 →R • x(x + 7) = –4(–4 + 7) = 4 × 3 = –12 →A 2 2 2 • (3x + 15) = (3 × (–4) + 15) = 3 = 9 →V • 5x2 + 20x + 2 = 5 × (– 4)2 + 20 × (– 4) + 2 = 80 – 80 + 2 = 2 →O 33 a. A = – 4y B = 45y 2 2 C = 48y D = – y2 3 b. Pour y = –2 A = 8 B = –90 8 C = 192 D=– 3 34 a. 9(x – 4) b. 9x – 9 × 4 = 9x – 36 10(x + 3) 35 a. = 5(x + 3) = 5x + 15 2 b. Si x = 20 ; 5 × 20 + 15 = 115 36 Développons ces deux expressions : 1 1 3 2 2 2 2 A = (t + 1) – (2t – 1) = t + – t + = = 1 3 3 3 3 3 3 3 3 3 5 B = 2(x + 7) + (12 – x) = 2x + 14 + 9 – x = x + 23. 4 4 4 Jenny a tort. L’expression A est indépendante de la valeur donnée à la variable, mais pas l’expression B. 37 Développons l’expression A : A = 10x (10x – 3) + 3(10x – 5) + 15 A = 100x2 – 30x + 30x – 15 + 15 = 100x2 Il est donc facile à Rama de calculer de tête la valeur de A pour n’importe quelle valeur de x. 38 Développons : A = 37,5 – 6a B = – 40x + 30 C = 12t – 60 D = – 4,8x + 2,4 11 E = – 4a + 8 F = 44y2 – y 3 39 a. 35x + 14 = 7(5x + 2) b. – 49y2 + 14y = –7y(7y – 2) c. 25y2 + 10y = 5y(5y + 2) d. 36x – 12x2 = 6x(6 – 2x) 40 A = 5t – 25 = 5(t – 5) B = 12 + 6x2 = 6(2 + x2) C = 10a – 20b = 10(a – 2b) D = 16x – 4 = 4(4x – 1) 41 A = 8t – 8 = 8(t – 1) B = –28a2 + 42a = 7a(– 4a + 6) C = –120x2 + 48x = 24x(–5x + 2) D = 8 – 4t2 = 4(2 – t2) 42 A = –6x2 + 18x + 15 = 3(–2x2 + 6x + 5) B = 10a – 16a2 = 2a(5 – 8a) C = x2(x + 1) + 5x2 = x2(x + 1 + 5) = x2(x + 6) 4 2 2 D = t2 + 3 t = t(t + 2) 3 3 43 A = – 6x2 + 18x + 24 = – 6(x2 – 3x – 4) 32 ( 47 ) 10x – 1 9x – 7 5x – 3 2x – 4 x +6 4x – 4 –3x + 10 3x + 1 x –5 15 – 4x 48 3x – 4 + –2 x + 5 2x 2+6 x+1 –10 x + 0,5 x+1 2x2 + 9x – 3 –7x – 3,5 –3 x2 + 4 x – 1 –3x2 + 2x + 4 –x2 + 10x –3x2 – 6x – 0,5 7 + 10 x 8x + 12 2x2 + 16x + 8 7,5 49 2(2a + b + b + 2b) + 2(b + 2a + 2a) = 2(2a + 4b) + 2(b + 4a) = 4a + 8b + 2b + 8a = 12a + 10b 50 a. AB = 15 – (x + 4) = 15 – x – 4 = 11 – x b. AB = 20 – (3x + 6) = 20 – 3x – 6 = 14 – 3x 51 a. Dans un triangle, la somme des angles vaut 180°. = 180° – x – (x – 20°) = 180° – x – x + 20° = 200° – 2x Donc A = 200° – 2 × 30° = 140° b. • Pour x = 30°, A = 200° – 2 × 45° = 110° • Pour x = 45°, A = 200° – 2 × 90° = 20° • Pour x = 30°, A c. Si x valait 120°, alors x – 20 vaudrait 100° et la somme de ces deux angles d’un triangle vaudrait 220° ce qui est impossible. 52 A = 2x + 4 – (8x – 9) = 2x + 4 – 8x + 9 = –6x + 13 B = 3a – 7 + (2a + 5) + (3a – 10) = 3a – 7 + 2a + 5 + 3a – 10 = 8a – 12 C = 3t + 0,1 – (4,5 – 6t) + [12 – (3,2 + t)] = 3t + 0,1 – 4,5 + 6t + 12 – 3,2 – t = 8t + 4,4 53 A = –4(8x – 3) + 6(–5x + 3) A = –32x + 12 – 30x + 18 = –62x + 30 B = 5(1,1t + 3,5) – 8(0,4t – 3) B = 5,5t + 17,5 – 3,2t + 24 = 2,3t + 41,5 6 C = –0,5(4 – 0,5x) + 20(–0,1x – 5) – 8(0,5x + 3) C = –2 + 0,25x – 2x – 100 – 4x – 24 = –5,75x – 126 54 Cherchons la forme réduite de chaque expression : A = 2 – (t –3) + 4(t – 1) = 2 – t + 3 + 4t – 4 = 3t + 1 B = 5(x + 1) – 2(x + 2) = 5x + 5 – 2x– 4 = 3x + 1 C = t(t + 2) – t(t – 1) + 1 = t2 + 2t – t2 + t + 1 = 3t + 1 2 3 2 9 t + t – t2 + 1 = t2 + 3t – t2 + 1 = 3t + 1 D= 3 2 2 Les quatre expressions ont la même forme réduite. Lynda a raison. 55 a. A = x(x – 2) + 4x – 5x(3x – 1) Développons A : A = x2 – 2x + 4x – 15x2 + 5x = –14x2 + 7x Factorisons A : A = x(x – 2 + 4 – 5(3x – 1)) = x(x – 2 + 4 – 15x + 5) = x(–14x + 7) = –7x(2x – 1) b. Il sera plus facile de mener les calculs en remplaçant 1 x par dans l’expression factorisée de A : 2 1 1 –7 A = –7 × (2 × – 1) = ×0=0 2 2 2 56 a. Longueur de la Loire : x Longueur de la Vistule et du Tage : x Longueur du Douro, de la Meuse et de l’ Èbre : x – 100 Longueur de l’Elbe : x + 100 Longueur du Rhin : x + 300 Longueur du Danube : 3x Longueur totale de ces 9 fleuves : x + 2x + 3(x – 100) + x + 100 + x + 300 + 3x = 11x + 100 b. 11x + 100 = 11 100 Donc 11x = 11 000. Donc x = 1 000 D’où les longueurs des fleuves (en km) : ( 57 • x(x + 3) + 2(x + 3) • x(x + 2) + 3(x + 2) • x2 + 3x + 2x + 6 b. • (x + 3)(x + 2) = x2 + 2x + 3x + 6 = x2 + 5x + 6 ) Loire Vistule Tage Douro Meuse 1 000 1 000 1 000 900 900 Èbre Elbe Rhin Danube 900 1 100 1 300 3 000 • x(x + 3) + 2(x + 3) = x2 + 3x + 2x + 6 = x2 + 5x + 6 • x(x + 2) + 3(x + 2) = x2 + 2x + 3x + 6 = x2 + 5x + 6 • x2 + 3x + 2x + 6 = x2 + 5x + 6 58 B = (x + 11)(2x + 3) B = 2x2 + 3x + 22x + 33 = 2x2 + 25x + 33 C = (4a + 0,5)(5 + 2a) C = 20a + 8a2 + 2,5 + a = 8a2 + 21a + 2,5 1 1 D = (2t + 3) t + 2 3 3 13 2 D = t2 + t + t + 1 = t2 + t+1 2 6 3 59 • E = –15x2 + 9x + 60x – 36 ( 1 013 km France Vistule 1 047 km Pologne Tage 1 006 km Espagne - Portugal ) • F = +12x2 – 42x + 2x – 7 60 A = (5x – 3)(2x + 7) = 10x2 + 29x – 21 B = (6y + 7)(3y – 10) = 18y2 – 39y – 70 C = (–2x + 9)(2x – 4) = –4x2 + 26x – 36 D = (b – 100)(10b – 0,2) = 10b 2 – 1 000,2b + 20 61 a. (x – 8)(x + 4) b. x(x + 4) – 8(x + 4) ou encore x2 + 4x – 8x – 32 ou encore x2 – 4x – 32 ou x(x – 8) + 4(x – 8) A = (x – 9)(–2x – 5) = –2x2 + 13x + 45 1 B = (–3x – 12) 5x – = –15x2 – 59,5x + 2 6 C = −x – 2 3 − x = x2 − 1 x – 1 3 4 12 2 1 1 1 2 D= t+ t− =t – 2 2 4 63 a. (x – 3)(2x – 4) = 2x2 – 10x + 12 62 ( ( )( ) ( )( ) Pays traversés Loire A = (x + 4)(x + 5) A = x2 + 5x + 4x + 20 = x2 + 9x + 20 c. Longueur « officielle » (en km) et pays traversés : Fleuve Longueur a. • (x + 3)(x + 2) ) L’aire de la face bleue est (2x2 – 10x + 12) cm2. b. 5(2x2 – 10x + 12). Le volume de ce parallélépipède rectangle est : (10x2 – 50x + 60) cm3. Douro 897 km Espagne - Portugal Meuse 950 km France - Belgique - Pays-Bas Èbre 928 km Espagne Elbe 1 091 km République Tchèque - Allemagne Rhin 1 230 km Danube Allemagne - Autriche - Bulgarie Croatie - Hongrie - Moldavie 3 020 km Roumanie - Serbie - Slovaquie Ukraine c. Si x = 5 ; 10 × 25 – 50 × 5 + 60 = 60 ; V = 60 cm3. Si x = 10 ; 10 × 100 – 50 × 10 + 60 = 560 ; V = 560 cm3. 64 a. = (5 – 2x)(5 – 2x) = 25 – 20x + 4x2 b. Suisse - Liechtenstein - Autriche Allemagne - France - Pays-Bas On observe d’abord que c’est pour une valeur de x comprise entre 0 et 1 que l’aire pourra valoir 15 m2. Sources : Wikipedia 7 Donc ce carré et ce rectangle n’ont pas la même aire quelle que soit la valeur donnée à x. 70 Faux. Pour t = 0 : 3t2 – 6t + 3 = 3 et – 3(t2 – 2) = 6 Ou en développant 3(t2 – 2), on obtient 3t2 – 6. 71 a. 25 = 9 + 16 = 32 + 42 b. 156 = 12 × 13 72 A = (108 + 2) × 9 = 110 × 9 = 990 B = 12 × (113 – 3) = 12 × 110 = 1 320 C = 42 × (50 + 1) = 42 × 50 + 42 × 1 = 2 100 + 42 = 2 142 73 F = –3x2 – 3x G = –70x2 74 I = 8x + 21 J = 3x2 + 9x 2 K = x + 9x + 20 L = 6x2 + x – 2 75 a. Il y a x adultes. Ils paieront 13,70x e. Comme il y a 40 personnes en tout, il reste 40 – x enfants. Ces 40 – x enfants paieront 9(40 – x)e. La dépense totale est donc 13,7x + 9(40 – x) e. b. 13,7x + 9(40 – x) = 13,7x + 360 – 9x = 4,7x + 360 1 76 a. A = 2x + x2 b. B = (x + 5)(x – 7) c. 3x + 4 77 Si Yolande note x son nombre de départ, alors les résultats successivement obtenus à chaque étape du programme de calcul sont : • 5x • 5x + 4 • 10x + 8 • 10x Il suffit donc de multiplier le nombre de départ par 10. Rémy a raison. 78 B est le produit de –2 par la somme de x et de 8. C est le carré de la somme de x et de 2. D est le quotient de 1 par le triple de x. 79 a. A → ➌ ; ➎ B → ➊ ; C→➍;➏ 80 a. On note 2k et 2k’ deux nombres pairs quelconques (k et k’ sont des nombres entiers positifs quelconques). 2k +2k’ = 2(k + k’) ; c’est un nombre pair. L’affirmation est donc vraie. b. 5 + 7 est la somme de deux nombres impairs. Cette somme vaut 12 et est donc paire. L’affirmation est donc fausse. c. 5 + 6 est la somme de deux nombres entiers consécutifs. Cette somme vaut 11 et est donc impaire. L’affirmation est donc fausse. d. On note k, k + 1 et k + 2 les trois entiers consécutifs. Leur somme vaut k + k + 1 + k + 2 = 3k + 3 = 3(k + 1), c’est un multiple de 3. L’affirmation est donc vraie. 81 209 diagonales. En affinant le pas, on observe que c’est pour une valeur de x comprise entre 0,5 et 0,6 que l’aire pourra valoir 15 m2. En affinant encore le pas, on observe que c’est pour une valeur de x comprise entre 0,56 et 0,57 que l’aire pourra valoir 15 m2. 65 a. A = (3x – 5)(2x + 7) A = 6x2 + 11x – 35 B = 9(x2 + 1) + (3x + 4)(–x + 1) + 3(4x – 16) B = 9x2 + 9 – 3x2 – x + 4 + 12x – 48 = 6x2 + 11x – 35 C = 8(x2 – 4) – (x + 6)(2x – 4) + (19x – 27) C = 8x2 – 32 – (2x2 – 4x + 12x – 24) + 19x – 27 C = 8x2 – 32 – 2x2 + 4x – 12x + 24 + 19x – 27 = 6x2 + 11x – 35 D = 3x(3x + 4) – x(1 + 3x) – 35 D = 9x2 + 12x – x – 3x2 – 35 = 6x2 + 11x – 35 b. Tina a raison. On peut compléter son affirmation en disant que pour toute valeur de x, les expressions A, B, C et D seront égales. (Pour x = 1 ; A = B = C = D = –18.) 66 Faux. Calculons, par exemple, chaque expression pour x = 1 : • 2 × 1 × (1 – 14) + 24 = –2 • (2 × 1 – 6)(1 – 4) = (– 4) × (–3) = 12 Les deux expressions ne sont donc pas égales quelle que soit la valeur de x. 67 Vrai. Quelle que soit la valeur de x, x2 est positif. Donc –x2 est négatif. 68 Faux. Prenons par exemple x = –2. Alors x3 = –8 et –x3 = 8, positif. 69 Faux. Prenons par exemple x = 1. Alors, l’aire du carré est de 32 = 9. Et l’aire du rectangle est de 4 × 2 = 8. 7. QCM pour s’évaluer 82 89 8 b. c. 83 90 c. a. 91 84 c. c. 92 b. 86 b. b. c. 93 a. b. 85 87 94 a. a. c. 88 a. 8. Je me prépare au contrôle Si, par exemple, J = 5 et M = 8 ; 24 – 5 – 24 = –5. Le 5 août, la température est de –5 °C. d. La date de naissance de Julie est le 2 juillet 2000. 102 A = (–12x + 18)(5 – 4x) = 48x2 – 132x + 90 B = (–2x2 + 13x – 6)(3x – 4) = –6x3 + 8x2 + 39x2 – 52x – 18x + 24 = – 6x3 + 47x2 – 70x + 24 103 1. a. • 32 + 42 = 9 + 16 = 25 • 52 = 25 Donc (3 ; 4 ; 5) est un triplet pythagoricien. b. • 12 + 122 = 1 + 144 = 145 • 132 = 169 Donc (1 ; 12 ; 13) n’est pas un triplet pythagoricien. c. • 52 + 102 = 25 + 10 = 125 • 152 = 225 Donc (5 ; 10 ; 15) n’est pas un triplet pythagoricien. 2. Tableau et formules : 95 1. a. P ≈ 518 709 W b. P ≈ 2 223 126 W 2. Si R est multiplié par 2, R2 est multiplié par 4. La puissance fournie n’est donc pas doublée mais quadrupluée. Ce qui est annoncé à la radio est donc faux. 96 a. Lorsque = 4 5 × 4 × 4 – 4 × 4 × 2 = 80 – 32 = 48 Le volume du solide est 48 cm3. b. 5 × 4 × – 2 × × = 20 – 22 Le volume du solide est de 20 – 22. c. On peut trouver, à l’aide de la calculatrice, que lorsque = 5, 20 – 22 = 50 Mais concrètement, ne peut pas prendre cette valeur. 97 a. 1 × 3 = 3 et 22 – 1 = 4 – 1 = 3 2 × 4 = 8 et 32 – 1 = 9 – 1 = 8 3 × 5 = 15 et 42 – 1 = 16 – 1 = 15 b. Il semble, d’après les trois exemples précédents, que, quelque soit le nombre n, on ait : (n – 1)(n + 1) = n2 – 1 En effet, (n – 1)(n + 1) = n2 + n – n – 1 = n2 – 1. Cette égalité est donc vraie quelque soit le nombre n. Donc Adeline peut être certaine que : 100 005 × 100 007 = 100 0062 – 1 9. Exercices d’approfondissement Des exemples de résultats : On note a et b deux nombres tels que a + b = 500. (a + 7)(b + 7) = ab + 7a + 7b + 49 = ab + 7(a + b) + 49 = ab + 7 × 500 + 49 = ab + 3 549 Si chaque nombre augmente de 7, leur produit augmente de 3 549. 99 On essaie d’abord sur des exemples. On note n un nombre entier quelconque. n(n – 1)(n + 1) + n = n(n2 – 1) + n = n3 – n + n = n3 Le résultat est le cube du nombre choisi au départ. 100 1. a. 7 + 6 + 5 + 6 + 5 = 29 (rosiers) b. 20 + 19 + 18 + 19 + 18 = 94 (rosiers) c. n + n – 1 + n – 2 + n – 1 + n – 2 ou 6n – n – 3 – 3 ou 3(n – 1) + 2(n – 1) – 1 ou 5n – 6 2. a. On note n la plus grande taille de motif réalisable avec 100 rosiers. 5n – 6 doit être inférieur ou égal à 100. Donc 5n doit être inférieur ou égal à 106. Donc la plus grande taille de motif est 21(21 × 5 = 105). b. On note m la plus grande taille des deux motifs réalisables avec 100 rosiers. 2(5m – 6) = 10m – 12 doit être inférieur ou égal à 100. Donc 10m doit être inférieur ou égal à 112. Donc la plus grande taille de motif est 11 (11 × 10 = 110). 101 a. J = 4 ; M = 12 ; 24 – 4 – 30 = –10 ; T = –10° C b. • J = 7 ; M = 2 ; 24 – 7 – 6 = 11 ; T = 11 °C. • J = 25 ; M = 7 ; 24 – 25 – 21 = –22 ; T = –22 °C. c. Si, par exemple, J = 3 et M = 7 ; 24 – 3 – 21 = 0. Le 3 juillet, la température est de 0 °C. 98 1 + 2 + 3 + … + 1 000 + 1000 + 999 + 998+ … + 1 = 1001 + 1 001 + 1 001 + … + 1 001 + 1 001 (1 000 termes) = 1 001 000 1 001 0002 = 500 500 105 Il y a 23 octogones sur la ligne médiane qui contiennent en tout 23 × 8 segments soit 184 segments. 22 × 6 × 2 = 264, donc il y a 264 segments sur les octogones de la ligne du haut et de la ligne du bas. 21 segments pour finir en haut et en bas, soit 42 segments. 184 + 264 + 42 = 490. On a acheté 10 boîtes de 50 segments de plomb. 106 Des idées de lien : http://mathematiques.ac-bordeaux.fr/profplus/publica/ bulletin/bull06/etymo.htm http://www.chronomath.com … 104 9 Tâche complexe : Relever un défi •Les élèves comprendront les limites du tâtonnement ; Des aides possibles Aide n° 1 : Choisir des dimensions possibles pour un tel rectangle. Calculer son aire. Échanger les résultats dans la classe. Aide n° 2 : Utiliser un tableur, un logiciel de géométrie pour étudier cette situation. Conjecturer la solution au problème. certains peuvent décider de se diriger vers un tableur ; pour cela, il serait préférable qu’ils aient dégagé une expression de BC en fonction de AB (par exemple). Ils peuvent localiser le maximum en prenant un pas de 1, puis affiner avec un pas de 0,5, puis éventuellement de 0,1 pour conforter la conjecture. D’autres groupes peuvent penser à l’outil logiciel de géométrie (GeoGebra, Cabri, Geoplan…). Par exemple, avec GeoGebra on crée un curseur a de 0 à 75 avec 0,1 pour incrément, puis on crée dans la zone de saisie les points : A = (0, 0), B = (0, a), C = (150 – 2a, a) et D(150 – 2a, 0). On crée ensuite le polygone (rectangle) ABCD et son aire. Puis on conjecture. Au moment de la mise en commun on peut proposer l’imagiciel « Baignade » du site compagnon. • Quelques commentaires Avec les notations du document 2, il faut comprendre que l’on doit avoir AB + BC + CD = 150 m. Dans un premier temps, les élèves vont certainement faire des essais et donc choisir des valeurs pour AB et en déduire BC. Peut-être remarqueront-ils que l’on doit avoir AB 75 m. Tous les groupes dans la classe auront fait des choix différents et on remarquera que l’un d’eux a obtenu une aire plus grande que celle des autres groupes. Peut-on faire encore mieux ? • • • • Une solution On note a la longueur AB en mètres. Alors AB + BC + CD = 150 c’est-à-dire a + BC + a = 150 soit BC = 150 – 2a. L’aire du rectangle ABCD en m2 est donc a(150 – 20). • Avec un tableur On conjecture que la zone de baignade a une aire maximale lorsque AB = 37,5 m et donc BC = 75 m. 10 • Avec GeoGebra On conjecture que la zone de baignade a une aire maximale lorsque AB = 37,5 m et donc BC = 75 m. On remarquera que 75 m est la moitié de 150 m et que 37,5 m et la moitié des 75 m restants. En pratique, cela aidera Tony à réaliser sa zone de baignade. Entre nous La justification algébrique de cette conjecture interviendra au lycée (elle n’est envisageable en 4e que pour des classes ou des élèves ayant un bon potentiel). S = a(150 – 2a) = –2a2 + 150a 75 2 5 625 + On introduit l’écriture –2 a − et on demande de vérifier en développant et réduisant qu’il s’agit bien 2 2 d’une autre écriture de S. 5 625 75 2 En remarquant que –2 a − 0, on déduit que quelle que soit la valeur de a, S . 2 2 On conclut que l’aire de la zone de baignade est maximale (et égale à 2 812,5 m2) lorsque a = 37,5 m. ( ( ) ) 11
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