Regional Theory of Comparative Education Mediterranean 2015

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Mediterranean 2015
According to Pampanini’s World Philosophy of the Dialogue Among Civilizations, the
Mediterranean macro-region stands for the value of Maturity. See Pampanini, G. (2012). A
Dialogue Among Civilizations. World Philosophy of Education – An Essay. Catania: CUECM.
Regarding the Regional Theory of Comparative Education see Pampanini, G. (2004). Critical
Essay on Comparative Education. Catania: CUECM.
Structure of the file:
-
SISSU’s programme
-
Asia as a whole
-
Follows each country.
SISSU’s programme:
Collaboration with teachers for realizing programmes of Democratization of the curricula and the
Right to Education.
Putting in being the figure of Global Teacher as that of someone who is able to do Orbital
Classroom, treating global issues, collecting relevant information, and make his/her public discuss.
The Mediterranean as a whole:
Migration is the largest problem in this area; EU uses programmes like Triton and Frontex to deal
with it, but they are insufficient means. The phenomenon is quite impressive in May.
ITALY: 15 May, gvt asks the leadership of anti-traffickers operation in the Mediterranean.
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HUNGARY: The gvt is finishing the wall to stop migrants coming from the Balkans. Pope Francis and EU criticize.
Follows each country:
North Africa
MOROCCO
February: among the rich people who hold their money in the fiscal paradise of HSBC is King
Mohammed VI.
TUNISIA
Beau, Nicolas & Lagarde, Dominique (2014). L’éxception tunisienne. Chronique d’une transition
démocratique mouvementée. Paris: Seuil.
TUNISIA: In the Bardo Museum in Tunis, afliated to the ISIS do an atack against tourists – 23 died on 2 nd
March. On 29th March, a huge manifestaton is made in Tunis with the partcipaton of many European
politcal representatves.
TUNISIA, 30th March, a march against terrorism with the partcipaton of many politcal European leaders.
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dermech, 16.05.2015
LE CONSEIL SUPERIEUR DE LA MAGISTRATURE EST
NE
Consensus, sur fond de contestations
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Entre ceux qui saluent la naissance du Conseil supérieur de la magistrature comme un moment
historique et ceux qui considèrent que la loi est anticonstitutionnelle, la saison estivale sera chaude.
Le verdict est finalement tombé, hier, à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP). Les
députés ont adopté, à une large majorité, le projet de loi organique portant création du Conseil
supérieur de la magistrature (CSM).
Ils étaient 154 députés à avoir pris part au vote (sur 217 au total, soit 63 députés manquant à
l’appel) dont 131 ont donné leur aval au projet de loi qui a suscité une polémique qui n’est pas près
de s’apaiser puisque les magistrats qui s’opposent à la loi ne sont pas disposés à lâcher prise et
menacent de poursuivre leur fronde et de saisir la Cour constitutionnelle une fois qu’elle sera
instituée. Les députés de l’opposition, qui ont rejoint les magistrats frondeurs dans leurs positions,
n’ont pas voté en masse contre la loi puisqu’ils ont été seulement 14 à dire non à la loi. Les autres
qui se sont abstenus et qui ont préféré s’abstenir (préserver leurs voix) ont été au nombre de 8
députés..
Zouhaier Maghzaoui, député du Mouvement du peuple «Haraket Echchab», a essayé, hier, sur les
ondes d’une radio privée de justifier le vote abstentionniste des députés de son parti.
Ses arguments selon lesquels les doléances des magistrats mécontents sont excessives et qu’il ne
faut obéir à toutes leurs demandes n’ont pas convaincu, même s’il a essayé de réaffirmer que son
parti est toujours attaché à une magistrature indépendante et qui n’obéit à aucun autre pouvoir.
Riadh Mouakhar, député d’Afek Tounès (partenaire de la coalition au pouvoir), explique le niet
opposé par son parti à la loi par le fait que même le ministre de la Justice, Mohamed Salah Ben Issa,
initiateur du projet de loi en question, «ne reconnaît plus son texte tant il a été chambardé par les
membres de la commission de législation générale au point que les dispositions
anticonstitutionnelles qu’il comprend sautent aux yeux et il n’est pas demandé d’être un connaisseur
en droit constitutionnel pour découvrir les irrégularités commises».
Une position déjà partagée par Rym Mahjoub, députée d’Afek Tounès, qui précise : «Le texte
contient des articles non constitutionnels dont l’intégration de représentants de la justice militaire
dans la composition du conseil. Habib Essid doit impérativement soumettre le projet de loi à
l’Instance provisoire de contrôle de la constitutionnalité des lois».
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Le consensus, de nouveau
Pour Mohamed Ennaceur, président de l’Assemblée des représentants du peuple, «c’est le
consensus qui a prévalu de nouveau. Aujourd’hui, nous avons vécu un moment historique
consistant en la création de la première instance constitutionnelle après les élections du 26 octobre
2014. La solennité du moment est à souligner. Les députés, en particulier les membres de la
commission de législation générale, ont accompli un travail considérable et les débats lors de la
plénière ont été à la hauteur du climat démocratique et pluriel caractérisant le Parlement tunisien.
Maintenant, nous devrons nous concentrer sur les lois qui attendent, dont en premier lieu la loi
organique de lutte contre le terrorisme et l’éradication du blanchiment d’argent».
L’optimisme de Mohamed Ennaceur trouve un écho favorable auprès de Mohamed Fadhel
Omrane, président du bloc parlementaire de Nida Tounès. Il relève : «Le texte de loi a fait l’objet
d’un consensus. C’est un texte équilibré qui préserve les droits de toutes les parties et vient
conforter l’indépendance du pouvoir judiciaire. Il est injuste qu’on introduise un recours contre le
projet».
Le mot est lâché Raoudha Laâbidi, présidente du Syndicat des magistrats tunisiens, n’y va pas par
quatre chemins. «Le texte est conçu à merveille pour assujettir les magistrats afin qu’ils demeurent
sous la coupe du ministère de la Justice, plus particulièrement l’Inspection générale, qui continuera
à décider de notre promotion professionnelle et de l’évolution de nos carrières», martèle-t-elle sur
les ondes d’une radio quelques minutes après l’adoption de la loi.
Maintenant, on s’attend à ce que les mouvements de protestation reprennent de plus belle et on
prévoit également un été chaud dans les tribunaux.
Tunis: on 26th June, 37 victims tourists is the result of a terrorist attack on the beach. Other attacks
also in Lione, France, Kuwait and Somalia (this is Ramadan period).
The Hindu, 25th November 2015:
At least 12 dead in attack on Tunisia military
bus

Reuters
At least 12 people were killed on Tuesday after an explosion hit a bus carrying Tunisian presidential
guards along a major street in the centre of the capital Tunis.
Security and presidential sources said the explosion was an attack, adding it was not immediately
clear whether it was a bomb or an explosive fired at the bus as it travelled along Mohamed V
Avenue.
Ambulances rushed from the scene and security forces quickly sealed off the area.
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Le Monde, 13.12.2015:
Le syndicat UGTT, Nobel de la paix et « pièce
maîtresse du dialogue national » en Tunisie
Propos recueillis par Charlotte Bozonnet
Le Monde.fr Le 10.12.2015 à 14h04 • Mis à jour le 10.12.2015 à 15h51
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Les membres du « quartet » tunisien, réunissant l’Union
générale tunisienne du travail (UGTT), l’Union tunisienne de
l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica – fédération
syndicale patronale), l’ordre national des avocats et la Ligue
tunisienne de défense des droits de l’homme, recevront, jeudi
10 décembre, le prix Nobel de la paix à Oslo. Les quatre
organisations ont été primées pour avoir, en 2013, animé le
« dialogue national » entre les partis politiques et permis au
pays de sortir d’une grave crise politique qui menaçait sa
transition démocratique.
Maître de conférences à l’université Paris-Dauphine et autrice de L’UGTT, une passion tunisienne
(Karthala, 2015), Hela Yousfi rappelle à cette occasion la place singulière occupée par l’Union
générale des travailleurs de Tunisie dans l’histoire et la vie politique de la Tunisie.
Quel a été le rôle de l’UGTT dans le dialogue national ?
L’UGTT a été la pièce maîtresse de tout le processus. Après les élections du 23 octobre 2011
[remportées par le parti islamiste Ennahda], il existait une compétition entre trois registres de
légitimité : les partis de la « troïka » au pouvoir revendiquaient une légitimité électorale,
l’opposition – à savoir Nidaa Tounès et la gauche radicale du Front populaire – mettait en avant une
légitimité consensuelle et demandait un gouvernement d’union nationale, enfin les mouvements
sociaux – en particulier les jeunes chômeurs – revendiquaient une légitimité révolutionnaire,
dénonçant une Assemblée constituante confisquée par les partis politiques et voulant rendre le
pouvoir au peuple.
Lire aussi : « Printemps tunisien » : un Nobel en soutien à un processus fragile
Tout au long de l’année 2013, marquée par deux assassinats politiques, les tensions se sont
exacerbées. Après l’assassinat de Mohamed Brahmi le 25 juillet 2013, l’opposition a demandé la
dissolution de l’Assemblée et la démission du gouvernement. Le gouvernement de la troïka
s’accrochait. Dans ce contexte, l’UGTT a décidé de relancer une initiative de dialogue national qui
avait été proposée en juin 2012. Avec un changement : elle décide d’inviter, à côté de la Ligue
tunisienne de défense des droits de l’homme et de l’ordre national des avocats, l’Utica,
l’organisation patronale, qui était alors un réseau d’hommes d’affaires largement inféodés au
régime de Ben Ali. Pourquoi un tel front uni ? Parce que l’UGTT savait que cela lui permettrait à la
fois d’avoir une forte légitimité pour mener ce dialogue national, mais aussi d’obtenir un soutien
international.
Ce dialogue national a permis de sortir du conflit en définissant une feuille de route : nommer un
gouvernement de technocrates, finaliser la Constitution et fixer un calendrier électoral.
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L’Assemblée nationale constituante, la seule institution élue démocratiquement, a donc été
préservée.
Outre le rôle de l’UGTT, le contexte régional a également accéléré le processus : Ennahda ne
voulait pas connaître le même sort que les Frères musulmans en Egypte.
Quel bilan tirez-vous de ce dialogue national ?
Il a offert à la Tunisie une sortie de crise politique et une première Constitution démocratique. Il lui
a permis d’éviter un scénario à l’égyptienne. Il a installé le consensus comme mode de
gouvernance.
Les termes de ce dialogue ne sont toutefois pas dépourvus de zones d’ombre. D’abord, il s’est limité
à l’élite politique et économique du pays. Il a exclu les nouvelles forces sociales issues de la
révolution, notamment les mouvements de chômeurs à l’origine de la révolution de décembre 2010.
Ensuite, il a acté une sorte de partage du pouvoir entre l’ancienne élite, représentée par le parti
Nidaa Tounès [créé en avril 2012 pour contrer les islamistes par l’actuel président, Béji Caïd
Essebsi], et la nouvelle, issue des urnes, du parti Ennahda, mais sans proposer d’alternative
économique et sociale au modèle de Ben Ali. Du point de vue des travailleurs et des mouvements
sociaux, il a donné à l’organisation patronale, l’Utica, une légitimité et une assise qu’elle n’avait pas
jusque-là.
Lire aussi : Le « quartet » tunisien appelle à faire fructifier le Nobel de la paix
Enfin, on assiste en ce moment à plusieurs dérives anticonstitutionnelles de la part du gouvernement
Nidaa Tounès-Ennahda, comme la loi sur le terrorisme, votée par l’Assemblée en juillet 2015, qui
viole des droits pourtant garantis par la Constitution, ou encore la loi 52 de pénalisation de la
consommation de cannabis utilisée pour réprimer les jeunes, notamment ceux des quartiers
populaires. Le projet de loi sur la réconciliation économique qui vise à blanchir les hommes
d’affaires et les fonctionnaires corrompus est une entrave claire au processus de justice
transitionnelle.
Comment expliquer que l’UGTT ait une telle place dans la vie politique ?
Après le départ du président Ben Ali, en janvier 2011, la centrale syndicale était l’organisation la
plus importante du pays : plus de 700 000 adhérents, presque tous les secteurs d’activités
représentés, mais aussi toutes les tendances politiques et les différents groupes sociaux – des
médecins aux ouvriers du textile, en passant par les enseignants.
Il faut se souvenir que la dictature avait détruit en Tunisie toute possibilité de travail collectif, les
partis politiques, notamment, ayant été mis à genoux. Pendant cette période, l’UGTT était le seul
espace d’action collective organisé. Le seul syndicat dans les pays arabes à ne pas être inféodé au
pouvoir. Cela tient à son histoire. L’Union est née en 1946 d’une scission de la CGT française. Dès
le départ, ses luttes sociales vont s’articuler aux mots d’ordre de la lutte pour l’indépendance.
Lorsque celle-ci est acquise, en 1956, il existe deux organisations politiques importantes : le parti au
pouvoir – le Néo-Destour (qui deviendra le PSD, puis le RCD sous Ben Ali) – et l’UGTT. La
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centrale syndicale va donc participer, au côté du parti unique, à la construction de l’Etat tunisien
« postindépendance ».
Ainsi, l’articulation entre les luttes sociales et politiques est au cœur de son identité. A des moments
plus conflictuels avec le pouvoir et pour résister à différentes vagues de libéralisation économique,
elle devient un refuge pour les mouvements sociaux. Comme lorsqu’elle appelle, le 26 janvier 1978,
à la grève générale, réprimée dans le sang, qui sera la première brèche dans le système autoritaire
du président Habib Bourguiba [1957-1987].
Son hétérogénéité – elle est une sorte de microsociété tunisienne – a permis d’imposer le consensus
comme mécanisme de régulation des conflits. Elle est dans un va-et-vient permanent entre pressions
et négociations avec le pouvoir. En interne aussi, l’existence de différents courants fait que le
syndicat doit toujours négocier entre des intérêts sectoriels, des considérations régionales et des
appartenances politiques différents. C’est ce qui lui a permis de jouer un rôle-clé dans les
expériences institutionnelles de la transition, jusqu’au dialogue national de 2013.
Quel rôle a-t-elle joué pendant la révolution ?
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Elle a été un refuge symbolique, politique et organisationnel du mouvement spontané lancé par les
chômeurs en décembre 2010 [après l’immolation par le feu, le 17 décembre 2010, du jeune
Mohamed Bouazizi]. L’UGTT, qui a des locaux dans tout le pays, leur a fourni tout ça. Elle a aussi
été au cœur de la coordination entre les différents acteurs : avocats, opposants, blogueurs, etc. Elle a
permis la politisation des slogans et l’expansion géographique du mouvement. Rappelons-nous ses
appels à des grèves régionales votés le 11 janvier 2011 par sa commission administrative. Celle du
12 janvier, à Sfax, avait donné un grand élan. Le 14 janvier était le jour de la grève générale pour le
Grand Tunis, elle devait durer deux heures, mais les manifestations ont pris de l’ampleur et, le soir
même, le président Ben Ali quittait le pays.
Quels sont les nouveaux défis pour l’UGTT ?
Historiquement il existe un clivage à l’intérieur du syndicat entre une bureaucratie inféodée au
pouvoir et des branches régionales et sectorielles qui résistent. Aujourd’hui, le clivage a changé. Il
oppose un camp favorable à la négociation avec les élites économiques et politiques moyennant
l’obtention de meilleures conditions de travail et des augmentations salariales, et un autre qui veut
renouer avec la tradition historique d’un syndicat porteur d’un projet économique et politique
alternatif aux politiques néolibérales promues par le pouvoir. Il milite pour que l’UGTT ait son mot
à dire sur les grands dossiers : chômage, privatisation des services publics, accords de libre-échange
avec l’Union européenne.
Lire aussi : En Tunisie, un raidissement sécuritaire généralisé
Concrètement, l’UGTT est face à plusieurs défis. D’abord, il doit se restructurer pour être plus
représentatif des jeunes, des femmes, du secteur privé. Parviendra-t-il à s’adapter à ces évolutions ?
Deuxième défi : remettre au cœur de sa stratégie les questions sociales et économiques qui ont été
reléguées au second plan ces dernières années par l’actualité politique et aujourd’hui par les
logiques sécuritaires. En sera-t-il capable ? Enfin, comment va-t-il (ou non) articuler ses luttes avec
les chômeurs, devenus la première force sociale du pays, même si elle n’est pas bien organisée ?
ALGERIA
LIBYA
21 January: the National Army is under the command of General Khalifa Haftar, who passed at the
opposition front in the ‘80s and came back to the country in 2011 to fight against Kaddafi. He is
now fighting against Ansa al-Sharia, an armed group based in Bengasi (2nd town with 1,3 millions
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of inhabitants) which expressed very anti-democratic positions. No water, no electric power are
available at a constant regime, also free press is disappearing.
LIBYA, February, ISIS arrived on the Mediterranean shores. The first important act is the
decapitation of 21 Egyptian Copts sequestered during the Christmas period. On 16th February Fattah
al Sisi, Egyptian President, attacks ISIS positions in Libya while asking for a combined response
from the UN. All European countries solicit the same.
LYBIA: Tobruk army atacks Tripoli army on 21 st March, the two armies and governments are one against
the other, while ISIS advances.
Haimzadeh P. (Avril 2015). En Libye, ce n’est pas le chaos, c’est la guerre. Le Monde
diplomatique, Avril 2015.
Tunis, 14 May 2015:
Bernardino Leon, the UN Special envoy who is chairing the Dialogue process, has held talks in
Madrid with Idris Abdullah Abed Al-Senussi about the situation in Libya and the current position
with the Dialogue.
According to a source, Tuesday’s talks also touched on the possibility of naming an interim head of
state if one of the sides in the Dialogue pulls out and it then collapses.
A prominent member of the former Libyan royal family, Idris Senussi is the son of Prince Abdullah
bin Abed Al-Senussi, the late King Idris’ cousin who was widely known as “the Black Prince”.
In February, he warned that any foreign military intervention or action in Libya would backfire.
Some foreign countries, he said at the time, did not understand the country and had to “stop their
meddling”.
Young people at workshop on shape of new
constitution
By Libya Herald staff.
Tripoli, 14 May 2015:
Thirty young people from across Libya are at the Finding our Future workshop in Tunis this week
to discuss the constitution and formulate recommendations that take youth into account.
The workshop, jointly sponsored by UNESCO, the UNDP, UNICEF, UNSMIL and the
Organisation for the Report on Democracy, says that it is giving these young Libyans an
opportunity to learn about the constitution-drafting process and say what they would like to see in
the document.
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The constitution will not only determine the extent to which young people should participatein
governance and Libyan society, but it will also shape the society and culture that youth inherit. The
recommendations that come out of this week’s workshop will be sent to the Constitutional Drafting
Assembly and the young people will have the chance to get in touch directly with members of the
assembly.
Eni says its Libyan production now exceeds
pre-revolution levels
By Libya Herald staff.
Tripoli, 14 May 2015:
Eni has announced that its production in Libya now exceeds pre-revolution levels.
Despite a multitude of challenges, the state-owned Italian company is now producing some 300,000
barrels per day (bpd), more than the 280,000 bpd during the Qaddafi regime. In March it was
understood to be producing some 250,000 barrels of oil and gas equivalent through its fields El Fil
and Wafa in the south west Libya, pumped to Mellitah port in the north west.
Eni’s CEO Claudio Descalzi has recently expressed his concern over deteriorating security
conditions in the country but said despite the problems operations were continuing as normal.
Descalzi added that the increasing presence of the Islamic State in Libya was particularly worrying.
The company has reduced its expatriate workforce to reduce insurance liabilities due to threats of
abductions. It still has Italian staff on its offshore oil platforms but has removed all Italians from its
mainland installations.
Moreover it has had to deal with numerous interruptions due to strikes and attacks on pipelines.
Eni’s fields have remained largely unaffected by IS attacks on oilfields.
Eni is one of the few foreign oil companies to remain in Libya and continue production in the face
of these challenges. Not only has it remained, it has continued exploration. In March it announced a
significant offshore gas discovery.
Eni started production from its Wafa and Bahr Essalam fields in 2004. The energy company has
been present in Libya since 1959.
The Eni-operated Mellitah treatment and compressor plant was running at 90 percent capacity in
February. The majority of its gas goes to Italy via the GreenStream pipeline with the remaining
being used to fuel the 400MW Ruwais power station.
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11 May: a cargo from Turkey is shut by Tobruk gvt allied to Egypt because suspected to bring
weapons to ISIS in Derna, Libya. Ankara protests.
Libya Herald, 26th November 2015:
Kobler goes to UAE from Qatar seeking
support for Libya Dialogue deal
By Libya Herald reporter.
UN Special Libya Envoy Martin Kobler with UAE Minister of State for Foreign Affairs Anwar bin
Mohammed Gargash (Photo: WAM)
Benghazi, 26 November 2015:
Following talks yesterday in Qatar, UN Special Envoy Martin Kobler was in Abu Dhabi today to
discuss the Libya crisis with the UAE government.
In a low-key meeting, he discussed the latest Libya developments and the state of the UN-brokered
Libya Dialogue negotiations with the UAE’s Minister of State for Foreign Affairs, Anwar bin
Mohammed Gargash.
He did not meet with UAE foreign minister Sheikh Abdullah bin Zayed bin Sultan Al Nahyan
despite the latter’s presence in Abu Dhabi.
Both Qatar and the UAE officially support the UN efforts and the planned Government of National
Accord. Both are also significant players in the crisis, seen as using it as a proxy for their own
rivalries, with Qatar supporting and exercising influence with the powers in Tripoli and the Muslim
Brotherhood, and the UAE with the House of Representatives and the Thinni government which it
appointed.
The appointment of former UN Libya envoy Bernardino Leon as the head of the UAE’s new
diplomatic academy following several months of discussions about the job has also played into the
hands of those in Libya who claim that the international community has been using the country for
its interests. In Libya, the appointment is also seen as having damaged the UN’s credibility as an
impartial broker in the crisis.
Libya Herald, 26th November 2015:
No international solution to Libya’s problems
mayors meeting in Ghariyan told
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By Libya Herald reporter.
Tripoli, 26 November 2015:
The solution to Libya’s divisions has to come from Libyans themselves and cannot involve the
international community, a meeting of mayors, municipal representatives and other political figures
declared in Gharian today.
The meeting, called by Ghariyan municipal council to find a Libya solution to Libya’s problems,
included representatives from municipalities in Libya, mainly from the west as well as members
from the General National Congress and the Khalifa Ghwell government in Tripoli, tribal leaders
and representatives of a number of civil society organisations.
Officials said that those attending included representatives from Benghazi and Tobruk municipal
councils as well as from Khalifa Hafter’s Operation Dignity. However, there were no known names
from any of them, nor from the House of Representative or the Beida government.
At the meeting, there was agreement that Libya had problems and that Libyans had to take part in
dialogue and to reconcile with one another, but there were no concrete proposals as to how this
should be done.
Some of mayors and representative from the south of the country were unable to attend. They had
been in Tunis for a meeting and because of the restrictions on flights out of it following Tuesday’s
suicide bomb, they were unable to fly back to Libya in time.
Huffington Post, 11.12.2015:
Libia, intesa Tripoli-Tobruk: "Accordo per
governo di unità nazionale il 16 dicembre".
Lavrov loda sforzo italiano
L'Huffington Post | Di Giulia Belardelli
Pubblicato: 11/12/2015 16:56 CET Aggiornato: 3 ore fa
Le delegazioni di Tobruk e Tripoli hanno raggiunto un'intesa per firmare il 16 dicembre l'accordo
per un nuovo governo di unità proposto dall'Onu. Lo hanno annunciato i due capi delegazione nel
corso di una conferenza stampa a Tunisi, secondo quanto riporta l'agenzia di stampa Reuters. La
notizia arriva mentre a Roma il ministro degli Esteri russo, Sergej Lavrov, ribadisce l'appoggio di
Mosca a qualsiasi “sforzo” prodotto dall'Italia per contrastare l'Isis e raggiungere un accordo tra le
parti libiche.
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L'accelerazione che arriva da Tunisi modifica le prospettive della conferenza internazionale sulla
Libia convocata a Roma e fortemente voluta, oltre che dall'Italia, da Usa e Nazioni Unite. Dopo
circa un anno di inutili tentativi, le delegazioni dei due governi libici avrebbero acconsentito a
un'intesa per un governo di unità nazionale in tempi strettissimi. Dietro l'accelerazione c'è
sicuramente l'espansione dell'Isis in Libia, su cui ci sono informazioni contrastanti ma che
comunque non può non preoccupare in primo luogo i libici.
Ora bisognerà vedere cosa prevede esattamente l'intesa. Il ministro degli Esteri Paolo Gentiloni, che
oggi ha incontrato il collega Lavrov in occasione della Conferenza Med – Mediterranean
Dialogues, ha spiegato che l'obiettivo è creare un governo di unità nazionale “con il massimo
consenso possibile”, lasciando tuttavia aperta la possibilità a un 10% di scontenti. “Non ho mai
visto un accordo che raggiunga il 100% dei consensi”, ha detto. “Speriamo di ottenere il massimo,
magari il 90%”.
Una prospettiva su cui la Russia avanza però le sue perplessità. Lavrov, infatti, ha sottolineato
l'importanza di non escludere nessuna parte libica dal compromesso. “Spetta ai libici il compito di
instaurare un dialogo inclusivo. La comunità internazionale può creare le condizioni perché questo
dialogo avvenga, ma non può risolvere la questione dall'esterno. Abbiamo provato a farlo in
Yemen, quando tutti gli attori esterni erano d'accordo, ed è stato un fallimento. Non possiamo fare
lo stesso errore in Libia”, ha sottolineato Lavrov. C'è poi il tema delle sanzioni, su cui Mosca è
inevitabilmente critica. “Sento che alcuni vorrebbero ignorare le persone scelte come leader a
Tripoli e Tobruk, costituire dei gruppi su posizioni analoghe e dichiarare che questi gruppi sono le
forze sane della Libia, escludendo tutti gli altri. Ci sono tentativi di inserire nella discussione l'idea
di sanzionare chi non accetta un compromesso. È un approccio molto rischioso, quando si usano
sanzioni per sostituire la diplomazia si sbaglia sempre. In Libia non dobbiamo permetterlo”.
Le Monde, 13.12.2015:
Libye : vers la formation d’un gouvernement
d’union
Le Monde.fr avec AFP Le 11.12.2015 à 15h58 • Mis à jour le 11.12.2015 à 16h05
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L’accord marquera-t-il le début d’une sortie de crise dans le
chaos libyen qui ravage le pays depuis la chute de Kadhafi ?
Les représentants des Parlements rivaux libyens signeront le 16 décembre l’accord parrainé par
l’ONU, qui prévoit la formation d’un gouvernement d’union pour sortir la Libye du conflit, ont
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affirmé vendredi 11 décembre des membres des deux camps réunis à Tunis sous l’égide des Nations
unies.
« La signature de l’accord politique aura lieu le 16 décembre », a précisé à la presse Salah AlMakhzoum, un responsable du Parlement de Tripoli, la capitale libyenne.
L’information a été confirmée par un responsable du Parlement rival de Tobrouk (est) – le seul
reconnu internationalement –, Mohamed Chouaib. Il a ensuite précisé que cette signature aurait
« probablement » lieu au Maroc.
Lire aussi : La Libye incapable de surmonter ses divisions
Deux autorités se disputent le pouvoir
La Libye est plongée dans le chaos depuis la chute du dictateur Mouammar Kadhafi, en 2011. Deux
autorités politiques se disputent le pouvoir depuis l’an dernier, l’une dont le siège est à Tripoli, et
l’autre, la seule reconnue internationalement, dans l’est du pays.
De nombreux pays qui s’alarment de la montée en puissance de l’organisation djihadiste Etat
islamique en Libye ont insisté sur l’urgence de trouver une solution au conflit dans ce pays.
EGYPT
25 January: manifestation in the street for more justice; police represses and a lady, Shaimaa el
Sabagh, is killed (http://www.aljazeera.com http://english.alarabiya.net ).
“Decisive Storm” is the name of the military operation that President al-Sissi is doing in Yemen
against Haithi.
2 February: Peter Greste and Fadel Fahmy, two al-Jazeera journalists, have been freed in Cairo after
their imprisonment in 2013 under the accuse to have helped Muslim Brotherhood.
Egypt, 15th March, the economic summit of Sharm el-Sheik has a politcal meaning, since the Sunni world
proclaims Egypt as its defender against ISIS and Iran altogether.
17 May, ex President Morsi is condemned to death.
Al Ahram
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Egypt court issues preliminary death sentence
to Morsi in 'jailbreak case'
Court sent its initial ruling of death against Morsi on charges
of murder and attempted murder in 2011 prison escape case
to grand mufti for review
Ahram Online , Saturday 16 May 2015
File Photo: Ousted president Mohamed Morsi (Photo: Reuters)
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 3 judges, driver killed in gun attack in Egypt's North Sinai
 Hamas condemns Egyptian death sentences for its members
 Amnesty calls Morsi death sentence bid in Egypt 'a charade'
Cairo Criminal Court on Saturday issued a preliminary death sentence to former Islamist president
Mohamed Morsi and 105 other defendants in the trial known in the Egyptian media as the Natroun
jailbreak case.
The court has sent its decision in the Natroun case to the country's grand mufti, a senior Muslim
cleric, for a consultative review as required by Egyptian law, setting 2 June as a date for a final
verdict.
The court also issued a preliminary death sentence to Brotherhood leaders Mohamed El-Beltagy
and Khairat El-Shater along with 14 others in the trial known as the "Hamas espionage case."
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The court also sent its decision in this case to the grand mufti for a consultative review. The
deadline for a final verdict is also 2 June.
In the Natroun jailbreak case, the prosecution charged Morsi and co-defendants with damaging and
setting fire to prison buildings, murder, attempted murder, looting prison weapons depots and
releasing prisoners.
The prisoners, who broke out of jail in 2011, include members of the Palestinian Hamas movement,
Lebanon's Hezbullah, jihadists, Muslim Brotherhood members and varied criminals, according to
the prosecution.
Prosecutors also said that over 800 fighters from Gaza had infiltrated Egypt, using RPGs and heavy
armaments to storm three prisons, abducting four policemen and killing several others, along with
inmates.
In the espionage case, prosecutors had charged Morsi and 35 others with conspiring with foreign
powers — including the Palestinian Islamist group Hamas, Lebanon's Hezbullah and Iran's
Revolutionary Guard — to destabilise Egypt.
The court did not on Saturday issue a ruling against Morsi and 18 others in the case and scheduled
the announcement for 2 June, suggesting that the former president, unlike those sentenced to death
in the case today, will not receive a death sentence in this case.
Mufti to consider death verdicts
Although the grand mufti's opinion is non-binding on the court, Egyptian judges have traditionally
adjusted their final rulings in accordance with the mufti's recommendations.
In March 2014, a Minya court issued preliminary death sentences against 529 Morsi supporters who
were accused of murder and attempted murder, referring the verdict to the mufti for consultation.
Following the mufti's refusal to approve the sentences, the court issued a final verdict sentencing
only 37 defendants to death and 492 to life in prison.
In April 2014, the same court issued preliminary death sentences against 683 Morsi supporters who
were accused of murder and attempted murder, referring the verdict to the mufti.
Once again, following the mufti's objections, court issued a final ruling of capital punishment
against only 183 of the defendants. The defendants retain the right to appeal any final verdict.
Both Minya verdicts were recently overturned by appeal courts which ordered a new trial.
First death sentence for an Egyptian president
Saturday's capital punishment ruling against Morsi makes him the first president in Egypt's history
to face the possibility of death by hanging if the court ratifies its initial decision on 2 June or if he
loses a planned appeal.
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Morsi has been charged with a number of offences since his ouster in 2013, and has received a
number of sentences.
In April he was sentenced to 20 years in prison for inciting violence and ordering the arrest and
torture of demonstrators during the December 2012 clashes between his supporters and opponents.
Other leading Brotherhood figures sentenced to death on Saturday in the espionage case include
Mahmoud Ezzat, who is not in custody. Ezzat has been acting Brotherhood leader since August
2013, following the arrest of Supreme Guide Mohamed Badie.
Other Brotherhood leaders sentenced to death in the jailbreak case include Islamist preacher
Youssef El-Qaradawi, who resides in Qatar; Supreme Guide Mohamed Badie; former speaker of the
house Saad El-Katatni; and vice president of the Brotherhood's Freedom and Justice Party Essam
El-Erian.
In April also, Brotherhood supreme guide Mohamed Badie, Omar Malek, the son of leading
Brotherhood member and businessman Hassan Malek, as well as leading member Saad El-Husseiny
were among fourteen Islamists who received the capital punishment in a separate murder trial. The
verdict in this case has been appealed.
Hundreds of members of the Brotherhood, which was banned a few months after Morsi's ouster,
face trials on various criminal charges including murder, attempted murder, inciting violence and
breaking the protest law.
Critics respond
Leading Muslim Brotherhood member and a former minister under Morsi, Amr Darrag, quickly
condemned the verdict and called on the international community to take action.
"This is a political verdict and represents a murder crime that is about to be committed, and it
should be stopped by the international community," Darrag, co-founder of the dissolved Freedom
and Justice Party, the political wing of the Muslim Brotherhood, told Reuters in Istanbul.
The National Alliance to Support Legitimacy, a pro-Morsi coalition, issued a statement following
the verdict saying that they "reject the principle of prosecuting the country's elected president
Mohamed Morsi."
The statement added that the charge of espionage should be directed instead at the "leaders of the
military coup", who it claimed "jeopardised Egypt's security in favour of Israel."
Palestinian Hamas, the sister organisation of Egypt's Brotherhood, condemned the death sentences
meted out against a number of its members in the jailbreak case, describing the verdicts as
"unfortunate and shocking."
Hamas spokesman Sami Abu-Zuhri said in a statement that the verdict was based on "false
information", adding that some of the convicted had died before the Egyptian revolution such as
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"martyrs Tayseer Abu-Senema and Hossam El-Sanea," while others have been in the "prisons of the
occupation for years," such as Hassan Salama, who has been imprisoned for 19 years in Israel.
Turkish President Recep Tayyip Erdogan also condemned the death sentence handed out to Morsi,
saying it was like a return to "ancient Egypt", AFP reported.
"The popularly-elected president of Egypt... has unfortunately been sentenced to death. Egypt is
turning back into ancient Egypt," Erdogan said at a rally in Istanbul, accusing the West of "turning a
blind eye" to what he described as the 2013 coup that ousted Morsi.
Hurriyetdailynews.com, 8th November 2015:
Investigators of the Russian plane crash in Egypt are “90 percent sure” the noise heard in the final
second of a cockpit recording was an explosion caused by a bomb, a member of the investigation
team told Reuters Nov. 8, as countries increased their efforts to get their stranded citizens out of
Egypt.
“The indications and analysis so far of the sound on the black box indicate it was a bomb,” said an
Egyptian investigation team member, who asked not to be named due to sensitivities. “We are 90
percent sure it was a bomb.”
Asked to explain the missing 10 percent, the investigator said: “I can’t discuss this now.”
Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL) militants fighting security forces in Egypt’s Sinai
Peninsula have said they brought down the Airbus A321, which crashed 23 minutes after taking off
from the resort of Sharm al-Sheikh a week ago en route to St. Petersburg, killing all 224
passengers.
The crash prompted airliners to cancel their scheduled flight to Sharm al-Sheikh. Turkish Airlines
(THY) in a statement yesterday said all flights to the resort until Nov. 16 have been canceled and a
“plan for the evacuation of the passengers who are still at Sharm El Sheikh will be shared later.”
Russian Deputy Prime Minister Arkady Dvorkovich told reporters at a Moscow airport Nov. 8 that
some 11,000 Russian tourists had been repatriated in the previous 24 hours, AFP reported.
“Today is the busiest day in this sense,” he said, adding that more people were set to return home
later Nov. 8.
The Kremlin has insisted the decision to suspend flights does not mean Moscow believes the crash
was caused by a deliberate attack.
But Dvorkovich said Russia was sending experts to inspect Egypt’s airports to see if security
needed to be beefed up there.
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Britain has also started flying out some of the 20,000 of its nationals estimated to have been in
Sharm el-Sheikh at the time of the crash.
A British official said on Nov. 7 it could take 10 days for all British tourists to be flown home.
Britain’s foreign minister yesterday said the government would push for higher security at foreign
airports in risky areas even if it meant extra delays for passengers.
“What we’ve got to do is ensure that... airport security reflects local conditions,” Philip Hammond
told the BBC.
“Where there’s a local higher threat, that will mean higher levels of security are required and that
may mean additional costs and may mean additional delays at airports.”
Efforts will be focused on areas where ISIL militants are known to operate if news reports are
confirmed that they were behind the crash.
“If this turns out to be a device planted by an ISIL operative, or by somebody inspired by ISIL, then
clearly we will have to look again at the level of security we expect to see in airports in areas where
ISIL is active,” Hammond said.
ISIL militants fighting security forces in Egypt’s Sinai Peninsula have said they brought down the
aircraft as revenge for Russian air strikes against Islamist fighters in Syria, where ISIL controls
large areas in the east and north of the country. They said they would eventually tell the world how
they carried out the attack.
If the group was responsible, it would have carried out one of the highest profile killings since alQaeda flew passenger planes into New York’s World Trade Center in September 2001.
On Nov. 7, security officials said Egypt was checking video footage at Sharm al-Sheikh airport for
any suspicious activity linked to the crash, the clearest sign yet that Cairo suspects it could have
been targeted by militants.
November/08/2015 Scambio di accuse reciproche fra Russia, Egitto e UK, che hanno rimpatriato i
loro turisti.
AlAhram, 22 november 2015:
Egypt among 10 worst countries in gender
equality: Report
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There has been no progress in regards to political
empowerment for women in Egypt since 2006 according to the
global report
Ahram Online , Sunday 22 Nov 2015PrintSend
Egyptian women carry banners in Arabic that read:"Social justice," as they march to Cairo's central
Tahrir Square to celebrate International Women's Day, March 8, 2011 (Photo: Reuters)
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 Egyptian women in parliament polls: Hopes and hurdles
 Egypt pardons 42 indebted women
 Women's protest outside Cairo's Ittihadeya for prisoners' release
 85 pct of Egyptian women are overweight: 2014 EDHS
Egypt ranks 136th out of 145 countries in gender equality in the world after Saudi Arabia, Kuwait
and the United Arab Emirates (UAE), according to the Global Gender Gap report 2015.
The Global Gender Gap report, which marks its tenth year in 2015, was first introduced by the
World Economic Forum in 2006 as a framework for capturing the magnitude of gender-based
disparities and tracking their progress among the thresholds of political economic, education, and
health.
This year highlights a worse decline in the status of women as Egypt ranked 129th out of 142
countries according to the Global Gender Gap index in 2014, and 125th out of 136 countries in
2013.
Egypt ranks the worst on the political empowerment of women (136). There has been no progress in
regards to political empowerment since 2006. On the three remaining thresholds, Egypt ranks 125
on economic participation and opportunity, 115 on education attainment, and 97 on health and
survival.
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In the Middle East and North Africa region, Kuwait ranked 117th overall, followed by the UAE,
Qatar, Bahrain and Tunisia. Yemen is the lowest-ranked country in the index, which at 145th, has
remained at the bottom of the index since 2006 but has significantly improved relative to its own
past scores.
With no country able to close the gender gap, Nordic countries, with Iceland on top, then Norway,
Finland and Sweden consecutively, dominate as the most gender equal states.
Sweden, which ranks 4th on the Global Gender Index, prides itself on being the first feminist
government in the world as it carries out a gender equality analysis early in the decision-making
process.
Al Ahram,22nd November 2015:
Egypt's defence minister and US congressmen
discuss combating terrorism
The delegation is headed by Republican Congressman Rob
Wittman, the chairman of the house armed services committee
Ahram Online , Sunday 22 Nov 2015
Egypt's Defence Minister Sedky Sobhi (Photo: Ahram)
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 Egypt's Sisi talks counter-terrorism efforts, military relations with US congressional delegation
 Egypt’s Sisi invites US Congress delegation to observe parliamentary polls
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 Obama administration harshly criticizes Egypt in report to Congress
 El-Sisi, defence minister meet US congressmen to discuss security
Egypt's Defence Minister Sedky Sobhi met on Sunday with a United States Congress delegation in
Cairo, where they discussed regional developments and international efforts to combat terrorism.
The delegation, headed by Republican Congressman Rob Wittman, the chairman of the house
armed services committee, expressed their appreciation of Egypt's efforts to create balance and
stability in the region.
The congressmen also met with President Abdel-Fattah El-Sisi on Saturday.
During their meeting, El-Sisi praised the resumption in March of US military aid to Egypt, which
was temporarily halted following the ouster of Islamist president Mohamed Morsi in July 2013.
Al Ahram, 22nd November 2015:
Egypt's Sisi reiterates importance of fighting
radicalism to Muslim Council of Elders
President El-Sisi underlined that Al-Azhar, the highest seat of
in Sunni Islam, has a key role to play in countering extremism
and developing a moderate religious discourse
Ahram Online , Sunday 22 Nov 2015
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President El-Sisi with the members of Muslim Council of Elders at Egyptian presidency in Cairo
(Photo: Egyptian Presidency)
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 Egypt harshly condemns Paris 'terrorist' attacks, says terrorism has no border nor religion
Egypt's President Abdel-Fattah El-Sisi met in Cairo Saturday with members of the Muslim Council
of Elders to underline the role of Al-Azhar — the highest institution in Sunni Islam — in fighting
radicalism, the Egyptian presidency announced.
According to Egyptian presidency spokesperson Alaa Youssef, President El-Sisi stressed during his
meeting with members of the council the urgency for Muslims to stand united in order to face
terrorism.
The Muslim Council of Elders is an international independent organisation made up of mostly
Sunni Muslim scholars. The council consists of 13 Sunni scholars and Sheikhs and one Shia scholar
from Lebanon.
Based in the United Arab Emirates, the organisation, which was founded in 2014 to spread the spirit
of dialogue and coexistence, is headed by Sheikh Ahmed El-Tayeb, the Grand Imam of Al-Azhar.
The organisation's main message "is to restore the role of scholars and to use their expertise and
knowledge to improve Muslim societies by helping to eliminate causes of tension and division."
El-Sisi asserted that misguided religious concepts of some groups are the true reason behind
radicalism and terrorism.
He emphasised that Al-Azhar has a key role in the renewal of religious discourse, a theme the
president has repeated in recent months.
The Muslim Council of Elders had held an urgent meeting in Cairo earlier on Saturday upon an
invitation from Sheikh El-Tayeb.
During the meeting, El-Tayeb condemned all "terrorist" acts, asserting that terrorism has no
nationality and calling for a moderate religious rhetoric.
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In January, El-Sisi said during the World Economic Forum held in Switzerland that the tolerant
nature of Islam was not clear to the world because of terrorism.
El Pais, 23rd November 2015:
Economía y yihadismo amenazan la
consolidación de Al Sisi en Egipto
Los ciudadanos dan la espalda a las urnas en las legislativas
tras el golpe militar

La huida del turismo golpea a la frágil economía de Egipto
Juan Carlos Sanz El Cairo 23 NOV 2015 - 10:06 CET
Votación de las legislativas en un colegio electoral en El Cairo. / KHALED DESOUKI (AFP)
Egipto celebra con aparente apatía este domingo y lunes la segunda fase de las elecciones
legislativas, en 13 de las 28 provincias del país. En la primera, que se desarrolló en octubre, casi tres
cuartas partes de los electores dieron la espalda a las urnas. El mariscal Abdelfatá al Sisi, que
encabezó el golpe de Estado en 2013 contra el Gobierno de los Hermanos Musulmanes, pretende
cerrar con estos comicios un ciclo de consolidación en el poder, tras su elección como presidente en
2014. Pero la crisis económica que golpea a los casi 90 millones de ciudadanos y el auge del
terrorismo, sobre todo en la península del Sinaí, amenazan la viabilidad del proyecto político de Al
Sisi, que derrocó al islamista Mohamed Morsi, el primer líder democráticamente elegido en la
historia egipcia, con la promesa de devolver el progreso y la estabilidad a Egipto.
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La foto de familia de julio de 2013, tomada de un vídeo de la televisión estatal, sigue siendo la
imagen del golpe de Estado militar en Egipto. Al Sisi preside la escena desde un atril con la boina
de teniente general calada, flanqueado por los altos mandos de las Fuerzas Armadas, los dirigentes
religiosos del país --el gran imán de Al Azhar y el papa copto--, los salafistas de Al Nur —que
secundaron el pronunciamiento con la esperanza de arrebatar a la Hermandad la hegemonía política
islamista— y algunos independientes como Mohamed el Baradei, exdirector del OIEA y candidato
favorito de Occidente, aunque no de los egipcios, para dirigir el Estado más poblado del norte de
África. Salvo los mandos castrenses y los jefes religiosos, casi todos los personajes de la imagen
han desaparecido de la escena o han perdido peso político, mientras la propia imagen de Al Sisi
comienza a difuminarse.
Las inundaciones de Alejandría, que se cobraron a finales de octubre 17 muertos en la segunda
ciudad del país, son una buena imagen de la ineficiencia del Estado. Sus calles suelen anegarse cada
año con las primeras lluvias a causa del mal estado de las anticuadas redes de saneamiento. La
policía detuvo, sin embargo, a varios seguidores de los Hermanos Musulmanes, acusados de haber
taponado los desagües.
Las expectativas de los egipcios de contar con un gestor militar competente bajo un régimen que
garantice la seguridad no se han cumplido y los ciudadanos no parecen tener interés en depositar su
voto. “El propio sistema electoral desincentiva la participación”, destaca un diplomático europeo en
El Cairo. Es la tercera vez que los egipcios eligen Parlamento desde 2010, los últimos comicios
convocados por el régimen de Hosni Mubarak, pero el país también lleva tres años sin Parlamento,
ya que el Tribunal Supremo disolvió en 2012 el Legislativo democráticamente elegido que
controlaban los Hermanos Musulmanes.
La elevada abstención fue la nota dominante de la primera fase de los comicios legislativos,
celebrados en octubre en 14 de las 27 provincias del país, con una tasa oficial del 26,56% de
participación, frente al 55% de 2012. Además de celebrarse en dos periodos territoriales, los
electores están convocados a las urnas durante dos días laborales consecutivos, y con un sistema
electoral a dos vueltas (la segunda ronda de esta segunda fase está prevista para los días 1 y 2 de
diciembre).
Para añadir aún más complejidad, se produce una doble votación: una por listas de partidos, en el
que el más votado se lleva todos los escaños en liza, que tienen por escenario cuatro distritos
nacionales (para asignar 120 diputados en total) y otra de candidatos individuales (448 diputados)
para las circunscripciones provinciales. El presidente egipcio se reserva además el derecho a
designar directamente a 28 legisladores (un 5% del total) en el nuevo Parlamento unicameral.
Los analistas políticos coinciden en destacar que se ha producido un regreso al modelo de la era de
Hosni Mubarak, en la que grandes empresarios y caciques territoriales se repartían los escaños para
proteger sus intereses. El portal digital Al Monitor ha revelado que la Comisión Electoral egipcia
recibió en la primara vuelta numerosas denuncias por compra de votos, una práctica desparecida en
Egipto desde los comicios de 2010, con sobornos de entre 50 libras egipcias (algo menos de seis
euros) y 700 libras.
Los resultados provisionales de la primera fase de las legislativas han resaltado la escasa pluralidad
de candidaturas, después de que alianza de partidos de izquierda decidiera no presentarse a las
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urnas, y por el boicoteo de los seguidores de los Hermanos Musulmanes tras la ilegalización de su
partido.
La coalición Por Amor a Egipto (sic), un conglomerado que recuerda a la Unión de Centro
Democrático (UCD) de la transición política española, ha acaparado todos los escaños (60) en las
listas de partidos, y buena parte de los individuales, seguida por los liberales del Partido de los
Egipcios Libres, (36), el Partido del Futuro de la Nación (30), y del histórico Wafd (17).
Los salafistas de Al Nur, se han visto reducidos mientras tanto a solo 11 escaños, después de haber
sido la segunda fuerza más votada (con el 22% los sufragios) en 2012, tras la ahora proscrita
Hermandad, que obtuvo la mitad de los escaños. Después de haber apoyado el golpe de Al Sisi en
2013, esta fuerza islamista rigorista, sufre un devastador revés. Nader Bakkar, su portavoz, ya había
reconocido en declaraciones a Al Monitor, que la imagen de su partido es ahora “negativa” después
de haber cometido “errores”.
Las cartas están echadas. A nadie parece preocuparle la composición de un hemiciclo que se
definirá ante todo por su lealtad a Al Sisi. Como primera medida, el nuevo Parlamento contará solo
dos semanas para validar los más de 170 decretos leyes con los que Al Sisi ha estado gobernando
hasta ahora, incluyendo una estricta legislación antiterrorista, en ausencia de Parlamento.
Algunos de los diputados electos en la primera fase ya se han pronunciado a favor de la ampliación
del mandato presidencial de cuatro a cinco años y por aprobar más de una reelección consecutiva
del jefe del Estado.“Hay un sentimiento generalizado de desilusión con un sistema electoral que ha
alejado a los ciudadanos de los colegios electorales tras siete votaciones en cinco años”,
reflexionaba el escritor y analista Yehia el Gammal en un artículo publicado por el Instituto Tahrir
de Política en Oriente Próximo.
Ragia Omran es abogada del periodista y activista de los derechos humanos egipcios Hossan
Bahgat, fundador de la Iniciativa Egipcia por los Derechos de la Persona, que permaneció detenido
durante tres días la semana pasada por la jurisdicción militar. Esta letrada asegura que la situación
de los derechos humanos en Egipto es peor ahora que en 2011, cuando estallaron las revueltas
contra el régimen de Hosni Mubarak. “Bahgat está pendiente de que el fiscal militar presente una
acusación formal con él. Fue conducido en un furgón con los ojos vendados. Quedó en liberad tras
una protesta formal de la ONU”, precisa.
El periodista arrestado había publicado una información sobre un proceso abierto a varias decenas
de oficiales acusados de integrar una trama golpista contra el presidente Al Sisi. “Cualquiera que
informe sobre la situación del Ejército es susceptible de ser encausado por los tribunales militares”,
recuerda Omran. Organizaciones humanitarias internacionales han advertido de que su detención ha
supuesto una “intimidación directa a los periodistas para que vean limitada su libertad de
expresión”. El propietario del mayor diario privado del país Al Masri al Yum, Salah Diab, también
fue arrestado, acusado de irregularidades urbanísticas, después de que su periódico se hubiese
alejado de su tradicional línea de apoyo al poder.
“La oposición liberal, los Hermanos Musulmanes… cualquier expresión de disidencia es
sistemáticamente reprimida con medidas draconianas”, subrayan fuentes occidentales en El Cairo.
“Las cárceles egipcias se llenaron con más de 40.000 detenidos tras el golpe militar de 2013”,
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explica la abogada Omran. “Ahora se estima en 20.000 el número de presos políticos, en su mayoría
de la Hermandad. Apenas tienen unas pocas mantas para pasar el invierno”.
Como cada año desde los acuerdos de paz de Camp David, el Congreso de EE UU acaba de aprobar
un presupuesto de 1.300 millones de dólares (1.220 millones de euros) en ayuda militar a Egipto, a
pesar de las reservas expresadas por algunos congresistas sobre el acoso a la disidencia política y
religiosa y a los periodistas. La ayuda se interrumpió en 2013 tras el golpe militar y se reanudó el
pasado mes de marzo. Egipto es el segundo beneficiario de ayuda militar de Estados Unidos
después de Israel. Entre ambos países acaparan un 75% del presupuesto norteamericano de
cooperación militar.
A pesar de la preocupación de la Casa Blanca sobre la situación los Derechos Humanos, Egipto
cobra nueva relevancia internacional. La inseguridad revela puntos débiles de la presidencia del Al
Sisi, tras el aumento de la actividad insurgente en el Sinaí, la muerte de ocho turistas mexicanos por
disparos del Ejército egipcio, y por el atentado terrorista atribuido al Estado Islámico contra un
avión ruso con 224 ocupantes que había despegado del centro turístico del mar Rojo de Sharm el
Sheij. Al Sisi impuso la prioridad de la estabilidad y la seguridad sobre la democracia, pero ha
retrocedido en ambos campos.
Un descubrimiento a todo gas
El reciente descubrimiento por la empresa italiana ENI de un gran yacimiento de gas en el
Mediterráneo oriental, en el lecho marino bajo aguas territoriales de Egipto, puede suponer la
autosuficiencia energética para el país, que ya es un mediano productor de petróleo, con unos
700.000 barriles diarios, del tamaño de Argentina. Pero la mayor parte del crudo se quema para
generar energía eléctrica, a falta de otras fuentes alternativas. Este combustible podrá dedicarse
ahora a la exportación y a aliviar la escasez de divisas en la economía egipcia tras su sustitución por
el gas natural.
Con una renta per cápita 3.500 dólares, la pobreza de los ciudadanos contrasta con los grandes
proyectos multimillonarios del presidente Al Sisi, como la ampliación del canal de Suez. La crisis
económica se ve agravada por el desplome del sector del turismo, que representa más del 12% el
PIB. La amenaza del terrorismo obliga además a una costosa movilización policial y militar
permanente, mientras la corrupción que corroe una Administración con unos ocho millones de
empleados. Ya hay analistas que alertan del riesgo de que Egipto pueda convertirse en un Estado
fallido, y de que se genere una estampida de inmigración económica hacia Europa. La mitad de la
población egipcia tiene menos de 25 años.
Una fuente de la Comisión Europea destaca que la estrategia política de vecindad, que implica
apoyo económico a los países del sur de Mediterráneo, basada en el principio “más por más”, esto
es mayores ayudas conforme más amplias sean las reformas, se ha trastocado en Egipto en “más por
menos”. “La policía y el sistema judicial han constituido junto con los servicios de inteligencia
militar un Estado profundo sobre el que se mantiene a flote Al Sisi sin llegar a ejercer un control
directo”.
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Europa
After the end of Mare Nostrum operation, the European Union established a less powered program
named Triton. It is not sufficient to guarantee the survival of people who, in any case, try to reach
Europe. On 9th February 300 people died in front of Sicily coasts.
EU estimates that Russia sanctions cost around two posts of job in Europe.
Eurydice acaba de publicar un informe titulado “Assuring Quality in Education:
Policies and Approaches to School Evaluation in Europe” en el que analiza la
evaluación escolar en primaria y secundaria obligatoria en los países de la UE,
Noruega, Islandia, Macedonia y Turquía. En el informe se analizan tanto la
evaluación externa como interna.
El informe completo en inglés en formato pdf se puede descargar desde la
siguiente URL:
http://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/documents/thematic_reports/178EN.pdf
Un resumen del mismo es accesible en :
http://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/documents/thematic_reports/178EN_HI.pdf
Jaap Dronkers & Silvia Avram (2015). What can international comparisons teach us about school choice and
non-governmental schools in Europe? Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue:
Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 118132.
Michael S. Merry (2015). The conundrum of religious schools in twenty-first-century Europe Comparative
Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional
Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 133-156.
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Marcel Maussen & Veit Bader (2015). Introduction Non-governmental religious schools in Europe: institutional
opportunities, associational freedoms, and contemporary challenges. Comparative Education, Volume 51, Issue 1,
February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and
Contemporary Challenges, Pages: 1-21.
Eurydice acaba de publicar un nuevo informe comparado. Se trata de un informe
que analiza las estructuras
y organización de la evaluación de los centros de primaria y
secundaria obligatoria de todos los Estamos Miembros de la UE, así
como Islandia, Noruega, la Antigua República Yugoslava de Macedonia y
Turquía. La evaluación de los centros educativos se considera una herramienta
fundamental para realizar el seguimiento y mejorar la calidad, no
solo de los centros educativos mismos, sino del sistema educativo en
general. El informe analiza los dos modelos principales de
evaluación de centros: la evaluación externa y la evaluación interna.
Además, incluye una descripción nacional de cada uno de los países y
un análisis comparado general sobre la evaluación de centros en
Europa. Se puede acceder al informe y a su correspondiente folleto
informativo en el siguiente enlace:
La garantía de calidad de la educación: políticas y enfoques de la
evaluación de centros en Europa
<http://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/documents/thematic_repor
ts/178EN.pdf>
Folleto informativo sobre Evaluación de centros en Europa
<http://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/documents/thematic_repor
ts/178EN_HI.pdf>
Recientemente se ha publicado un informe sobre “La Justicia Social en la Unión Europea”.
http://www.sgi-network.org/docs/2014/basics/Social_Justice_in_the_EU_2014.pdf
En el mismo se crea un “índice de Justicia Social” a partir de 6 indicadores:

Prevención de la pobreza

Educación equitativa

Acceso al mercado laboral

Cohesión social y no discriminación
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Salud

Justicia Intergeneracional
Excelente fuente de información para conocer la realidad, denunciarla y transformarla.
Red Europea de Información sobre la Educación Eurydice, acaba de publicar un informe sobre
educación y formación de adultos, titulado “Adult Education and Traning in europe: widening
Access to Learning Opportunities”
De momento el informe está sólo accesible en inglés.
Desde la siguiente URL se puede acceder al informe completo, a las fichas de cada país, al resumen
ejecutivo y a una edición en formato Epub:
http://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/thematic_reports_en.php
Thorel, Jerome (Janvier 2015). Privés de vie privée. Le Monde diplomatique, Janvier 2015.
09.02.2015: Hervé Falciani, ex-technician of HSBC Swiss Bank, publishes the names of a secret list
of very rich people who hide their money not to pay taxes in their own countries (swissleaks):
www.icij.org )
Halimi, Serge (Février 2015). Choisir ses combats. Le Monde diplomatique, Février 2015. Sur la crise
en Grèce et Espagne et au meme temps les attentats terroristes en France de janvier 2015.
EUROPE: March, ECB, led by Mario Draghi, does the quanttatve easing, like the FED in 2009. This couple
the Juncker plan for investment of 200 billions of Euros.
Immigrants they are growing in number drastcally in these months. Frontex and Triton are the reduced
European programmes to welcome them.
EUROPE: Juncker launches the idea of an only Army for Europe – all European leaders agree.
Lassalle Gregory (2014). L’Aventure. Les migrants africains sur la route de l’Europe. Paris: Non Lieu.
Crozat D., Gauthier E. & Weber L., sous la dir de (2015). Europe unie, Europe divisée. Belleombe-enBauges: Croquant. [Le Monde diplomatique, Avril 2015.
Gole N. (2015). Musulmans au quotdian. Une enquete européenne sur les controverses autour de l’islam.
Paris: La Découverte.
17.04.2015: arrested Rodrigo Rato, ex-director of IMF (2004-2007) for fiscal fraud.
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20.04.2015: 950 migrants dye in front of Libya.
EU policies for welcoming migrants are at odds.
Pope Francis makes the enciclica about Nature.
www.europa.eu
Bruxelles, 13 maggio 2016
La Commissione europea ha presentato oggi un’agenda europea sulla migrazione in cui delinea le
misure previste nell’immediato per rispondere alla situazione di crisi nel Mediterraneo e le
iniziative da varare negli anni a venire per gestire meglio la migrazione in ogni suo aspetto.
La situazione in cui versano migliaia di migranti che rischiano la vita per attraversare il
Mediterraneo è sconvolgente ed è ormai evidente che nessuno Stato membro può né deve far fronte
all’immane pressione migratoria da solo. L’agenda è una risposta europea che combina la politica
interna ed estera, sfrutta al meglio agenzie e strumenti dell’UE e coinvolge tutti gli attori: Stati
membri, istituzioni UE, organizzazioni internazionali, società civile, autorità locali e paesi terzi.
Il primo Vicepresidente Frans Timmermans ha dichiarato: “La tragica perdita di vite umane nel
Mediterraneo ha sconvolto tutti gli europei. I nostri cittadini si aspettano che gli Stati membri e le
istituzioni dell’UE agiscano per impedire il ripetersi di simili tragedie. Il Consiglio europeo ha
dichiarato esplicitamente che occorrono soluzioni europee, basate sulla solidarietà interna e sulla
consapevolezza che abbiamo una comune responsabilità nel creare una politica migratoria
efficace. Per questo la Commissione propone oggi un’agenda che rispecchia i comuni valori
europei e dà una risposta ai timori che nutrono i nostri cittadini sia difronte a una sofferenza
umana inaccettabile che rispetto all’applicazione inadeguata delle nostre norme comuni e
condivise in materia di asilo. Le misure che proponiamo contribuiranno a gestire meglio la
migrazione e a rispondere alle legittime aspettative dei nostri cittadini”.
L’Alta rappresentante/Vicepresidente Federica Mogherini ha dichiarato: “È un’agenda audace
quella con cui l’Unione europea ha voluto dimostrare di essere pronta ad affrontare la situazione
disperata di coloro che fuggono guerre, persecuzioni e povertà. La migrazione è responsabilità
condivisa di tutti gli Stati membri e tutti gli Stati membri sono chiamati ora a raccogliere questa
sfida storica. Una sfida che non è solo europea, è globale: con l’agenda confermiamo e ampliamo
la cooperazione con i paesi di origine e transito per salvare vite umane, combattere le reti di
trafficanti e proteggere coloro che sono nel bisogno. Ma sappiamo tutti che una risposta reale, a
lungo termine sarà possibile soltanto se affrontiamo le cause profonde, che vanno dalla povertà
all’instabilità dovute alle guerre, fino alla crisi in Libano e in Siria. Come Unione europea, siamo
impegnati e determinati a cooperare con la comunità internazionale”.
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Il Commissario responsabile per la Migrazione, gli affari interni e la cittadinanza Dimitris
Avramopoulos ha dichiarato: “L’Europa non può restare con le mani in mano. L’agenda europea
sulla migrazione è la risposta concreta alla necessità immediata di salvare vite umane e assistere i
paesi in prima linea con azioni coraggiose, come la maggior presenza in mare di navi coordinate
da Frontex, i 60 milioni di EUR stanziati per gli aiuti di emergenza e un piano d’azione che
dispone seri provvedimenti contro coloro che si arricchiscono sfruttando la vulnerabilità dei
migranti. In uno spirito di maggiore solidarietà, siamo determinati a attuare un approccio globale
che comporterà il miglioramento significativo della gestione della migrazione in Europa.”
Azione immediata
C’è consenso politico al Parlamento europeo e al Consiglio europeo attorno alla necessità, a seguito
delle recenti tragedie del Mediterraneo, di mobilitare tutti gli sforzi e i mezzi a disposizione per
agire immediatamente e impedire nuovi naufragi. Oggi la Commissione ha esposto le azioni
concrete e immediate che intende intraprendere. Fra queste:
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Triplicare le capacità e i mezzi delle operazioni congiunte di Frontex, Triton e
Poseidon, nel 2015 e nel 2016. È stato adottato oggi un bilancio rettificativo per il 2015 che
assicura i fondi necessari: un totale di 89 milioni di EUR, comprensivo di 57 milioni per il
Fondo Asilo, migrazione e integrazione e 5 milioni per il Fondo Sicurezza interna in
finanziamenti di emergenza destinati agli Stati membri in prima linea, mentre entro fine
maggio sarà presentato il nuovo piano operativo Triton.
Proporre per la prima volta l’attivazione del sistema di emergenza previsto all’articolo 78,
paragrafo 3, del TFUE per aiutare gli Stati membri interessati da un afflusso improvviso di
migranti. Entro la fine di maggio la Commissione proporrà un meccanismo temporaneo di
distribuzione nell’UE delle persone con evidente bisogno di protezione internazionale.
Entro la fine del 2015 seguirà una proposta di sistema permanente UE di ricollocazione in
situazioni emergenziali di afflusso massiccio.
Proporre entro fine maggio un programma di reinsediamento UE per offrire ai rifugiati
con evidente bisogno di protezione internazionale in Europa 20 000 posti distribuiti su tutti
gli Stati membri, grazie a un finanziamento supplementare di 50 milioni di EUR per il 2015
e il 2016.
Preparare un'eventuale operazione di politica di sicurezza e di difesa comune (PSDC) nel
Mediterraneo volta a smantellare le reti di trafficanti e contrastare il traffico di
migranti, nel rispetto del diritto internazionale.
Prossime tappe: i quattro pilastri per gestire meglio la migrazione
La crisi migratoria del Mediterraneo ha puntato i riflettori sui bisogni immediati ma ha anche
rivelato tutta l’inadeguatezza della nostra comune politica migratoria. Guardando al futuro, l’agenda
europea sulla migrazione sviluppa gli orientamenti politici del Presidente Juncker con una serie di
iniziative coerenti e coese, basate su quattro pilastri per gestire meglio la migrazione in ogni suo
aspetto (v. anche allegato).
I quattro pilastri della nuova agenda sono i seguenti:
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Ridurre gli incentivi alla migrazione irregolare, in particolare distaccando funzionari di
collegamento europei per la migrazione presso le delegazioni dell’UE nei paesi terzi
strategici; modificando la base giuridica di Frontex per potenziarne il ruolo in materia di
rimpatrio; varando un nuovo piano d’azione con misure volte a trasformare il traffico di
migranti in un’attività ad alto rischio e basso rendimento e affrontando le cause profonde
nell’ambito della cooperazione allo sviluppo e dell’assistenza umanitaria.
Gestire le frontiere: salvare vite umane e rendere sicure le frontiere esterne, soprattutto
rafforzando il ruolo e le capacità di Frontex; contribuendo al consolidamento delle capacità
dei paesi terzi di gestire le loro frontiere; intensificando, se e quando necessario, la messa in
comune di alcune funzioni di guardia costiera a livello UE.
Onorare il dovere morale di proteggere: una politica comune europea di asilo forte. La
priorità è garantire l’attuazione piena e coerente del sistema europeo comune di asilo,
promuovendo su base sistematica l’identificazione e il rilevamento delle impronte digitali,
con tanto di sforzi per ridurne gli abusi rafforzando le disposizioni sul paese di origine
sicuro della direttiva procedure; valutando ed eventualmente riesaminando il regolamento
Dublino nel 2016.
Una nuova politica di migrazione legale: l’obiettivo è che l’Europa, nel suo declino
demografico, resti una destinazione allettante per i migranti; bisognerà quindi rimodernare e
ristrutturare il sistema Carta blu, ridefinire le priorità delle nostre politiche di integrazione,
aumentare al massimo i vantaggi della politica migratoria per le persone e i paesi di origine,
anche rendendo meno costosi, più rapidi e più sicuri i trasferimenti delle rimesse.
Contesto
Il 23 aprile 2014, nel quadro della sua campagna per diventare Presidente della Commissione
europea, Jean-Claude Juncker aveva presentato a Malta un piano in cinque punti sull’immigrazione
con cui sollecitava maggiore solidarietà nella politica migratoria dell’Unione.
Nell’assumere l’incarico di Presidente della Commissione europea, Jean-Claude Juncker ha affidato
a un Commissario con competenza speciale per la Migrazione l’incarico di elaborare una nuova
politica di migrazione; è questa una delle dieci priorità degli orientamenti politici in base ai quali il
Parlamento europeo ha eletto la nuova Commissione.
Sulla scorta di una proposta della Commissione europea, con la dichiarazione del Consiglio europeo
del 23 aprile 2015 gli Stati membri hanno sancito l’impegno a agire rapidamente per salvare vite
umane e intensificare l’azione dell’UE nel settore della migrazione. Pochi giorni dopo seguiva una
risoluzione del Parlamento europeo.
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Italia:
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Vaticano, Abu Mazen in udienza da Papa
Francesco
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Il presidente palestinese ha infine salutato il pontefice dicendo "ci vediamo domani", quando a
Piazza San Pietro ci sarà la celebrazione per la canonizzazione delle due suore nate nella Palestina
ottomana dell'Ottocento: Marie Alphonsine Danil Ghattas di Gerusalemme e Mariam Baouardy
(Maria di Gesù Crocifisso) della Galilea. "Questa canonizzazione dimostra che la Palestina non è
una terra di guerra" ha detto il presidente palestinese in una nota diffusa oggi "la nostra Terra santa
si è trasformata in un bastione di virtù per tutto il mondo. La Palestina non è una terra di guerra ma
una terra di santità e virtù, come Dio voleva che fosse".
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Il processo di pace tra Israele e Palestina e l'intesa raggiunta con il Vaticano sono stati i tempi al
centro del colloquio. Nel corso dell'incontro, riferisce la Santa Sede, "è stata manifestata grande
soddisfazione per l'intesa raggiunta sul testo di un accordo comprensivo tra le parti circa alcuni
aspetti essenziali della vita e dell'attività della chiesa cattolica in Palestina, che sarà firmato in un
futuro prossimo". L'accordo globale prevede la libertà di azione della Chiesa, giurisdizione, statuto
personale, luoghi di culto, questioni fiscali e che, a detta di molti osservatori, costituisce un ulteriore
riconoscimento da parte vaticana verso lo Stato di Palestina. Nell'incontro "si è parlato del processo
di pace con Israele, esprimendo l'auspicio che si possano riprendere i negoziati diretti tra le parti per
trovare una soluzione giusta e duratura al conflitto. A tale scopo si è ribadito l'augurio che, con il
sostegno della comunità internazionale, israeliani e palestinesi prendano con determinazione
decisioni coraggiose a favore della pace. Infine, con riferimento ai conflitti che affliggono il Medio
Oriente, nel riaffermare l'importanza di combattere il terrorismo, è stata sottolineata la necessità del
dialogo interreligioso", riporta il Bollettino diffuso dalla sala stampa vaticana.
Meglio una Chiesa ferita ma presente sulla strada, che una Chiesa malata perché chiusa in sé stessa.
— Papa Francesco (@Pontifex_it) 16 Maggio 2015
Alla vigilia dell'incontro, le due delegazioni diplomatiche avevano infatti già concluso il lavoro
preliminare su un concordato che apre una nuova pagina nei rapporti ufficiali e traccia un solco per
il riconoscimento internazionale dei due Paesi, più volte sollecitato dal pontefice come soluzione
della questione arabo-israeliana. Una svolta che non piace a Israele. Il portavoce del ministero degli
Esteri israeliano si è detto "deluso" per la decisione del Vaticano di riconoscere lo Stato di
Palestina, aggiungendo che questa decisione non "contribuisce a riportare i palestinesi al tavolo
delle trattative" per la pace.
Papa Francesco e Abu Mazen si erano incontrati anche il 17 ottobre del 2013. Bergoglio gli aveva
donato la penna che riproduce la colonna del baldacchino berniniano dell'altare della Confessione in
San Pietro, quella che consegna solitamente ai capi di Stato. "Sicuramente avrà molte cose da
firmare", aveva detto il Papa, "Spero di usarla per firmare l'accordo con Israele" era stata la risposta
del leader palestinese. "Presto, presto" aveva auspicato Francesco. Abu Mazen aveva invece portato
in dono una Bibbia, la prima stampata in Palestina, e un quadro di piastrelle con una veduta di
Betlemme. Il leader palestinese si era detto soddisfatto dell'esito dell'incontro, in cui il tema centrale
era stato proprio l'accordo di pace israelo-palestinese.
Vaticano:
www.vatican.va
la Repubblica, 16.5.2015
WASHINGTON - La Casa Bianca ha confermato ufficialmente l'eliminazione di uno dei massimi
capi dello Stato Islamico, Abu Sayyaf, responsabile dell'Is per gli affari collegati al petrolio, nel
corso di un'incursione-lampo nella Siria orientale da parte di forze speciali Usa eli-trasportate, già
annunciata dal Pentagono e avvenuta la notte scorsa. E' stato il capo del Pentagono, Ash Carter a
dare l'annuncio. Nel raid è stata catturata anche la moglie del dirigente jihadista, un'irachena
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identificata come Umm Sayyaf, subito trasferita in Iraq sotto custodia americana per essere
sottoposta a interrogatorio.
Il raid delle forze speciali Usa "rappresenta un altro duro colpo all'Is e la conferma che gli Stati
Uniti non smetteranno mai di colpire i terroristi che minacciano i cittadini americani e i nostri
alleati" ha detto Carter.
L'operazione, è stato precisato, è stata condotta sulla base di un ordine impartito direttamente dal
presidente Barack Obama, ed è stata condotta nel quadro delle leggi internazionali. Secondo la Casa
Bianca, l'ok è arrivato dopo l'unanime consenso del team per la sicurezza nazionale del presidente e
col consenso di Baghdad.
Stando a indiscrezioni di fonti militari riservate, riferite dal network televisivo 'Cnn', l'obiettivo
originario sarebbe dovuto essere l'arresto dello stesso Abu Sayyaf, che però ha opposto resistenza
ed è quindi stato ucciso. Abbattuti anche una decina di miliziani che erano con lui. Sarebbero
ritornate alla base sane e salve tutte le teste di cuoio statunitensi.
Usa: "Damasco all'oscuro del blitz". Il blitz delle forze speciali americane non fu "comunicato in
anticipo" al governo di Damasco nè tanto meno vi fu con quest'ultimo "alcun coordinamento". La
puntualizzazione è venuta da Bernadette Meehan, portavoce del Consiglio per la Sicurezza
Nazionale istituito presso la Casa Bianca. "Abbiamo avvertito il regime di Bashar al-Assad", ha
ricordato Meehan, "di non interferire con le iniziative in atto da parte nostra contro lo Stato Islamico
all'interno del territorio siriano", poichè quel "regime non può essere nostro alleato nella lotta" al
gruppo jihadista.
L'Esercito siriano, probabilmente per tamponare lo smacco subito dagli americani, ha rivendicato la
paternità di un'operazione nell'est della Siria in cui "è stato ucciso il leader dell'Isis responsabile del
petrolio". Secondo la tv siriana, il leader ucciso è Abu al-Taym al-Saudi, "colpito in un blitz nel
campo petrolifero di Omar", il più grande del Paese conquistato dallo Stato islamico lo scorso
luglio. Quanto a Umm Sayyaf, la moglie irachena di Abu Sayyaf catturata nella medesima
circostanza, avrebbe avuto un ruolo diretto nelle attività terroristiche del gruppo ultra-radicale.
Meehan ha aggiunto che il blitz è stato affidato a teste di cuoio eli-trasportate di stanza "fuori
dall'Iraq", e che ha avuto luogo nella località di al-Amir, Siria orientale. Secondo la portavoce, un
altro obiettivo era la "liberazione di una giovane yazida che a quanto pare la coppia tratteneva come
schiava", e che adesso sarà "ricongiunta con la sua famiglia quanto prima". Non particolarmente
conosciuto al di fuori della ristretta cerchia degli esperti di anti-terrorismo, Abu Sayyaf era il
responsabile del contrabbando di petrolio e gas naturale con cui il movimento ultra-radicale si
finanzia, oltre a esercitare un ruolo "diretto e in costante crescita" nella direzione delle operazioni
militari dell'Isis.
Secondo blitz in Siria. E' la seconda volta che le truppe americane mettono a segno un raid di terra
in Siria: l'unico precedente risale alla scorsa estate, quando i militari Usa tentarono di liberare alcuni
connazionali tenuti in ostaggio. L'operazione non andò a buon fine.
Turchi abbattono aereo siriano. Un aereo militare siriano sarebbe stato intercettato e quindi
abbattuto da due F-16 di Ankara dopo aver violato lo spazio aereo turco: lo ha riferito l'emittente
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'Ntv', senza essere in grado di specificare quale tipo di velivolo sarebbe andato distrutto.
Quest'ultimo sarebbe comunque precipitato al suolo nel suo Paese. Fonti militari ad Ankara si sono
limitare a confermare che i caccia si sono levati in volo dalla base aerea di Incirlik, nell'Anatolia
sud-orientale, e che hanno aperto il fuoco contro un obiettivo non meglio specificato. Non sarebbe
la prima volta in cui si verifica un caso del genere dall'inizio del conflitto in Siria, con cui la
Turchia condivide 900 chilometri di frontiera. Il presidente Recep Tayyip Erdogan è divenuto uno
degli avversari più accaniti di Bashar al-Assad, nonstante un passato rapporto personale di amicizia.
Is conquista parte di Palmira. Dopo giorni di combattimenti, le milizie dell'Is sarebbero riuscite a
conquistare la "maggior parte del settore nord" della città di Palmira: lo ha riferito Rami Abdel
Rahman, direttore dell'Osservatorio Siriano per i Diritti Umani, organizzazione in esilio
dell'opposizione non radicale con sede a Londra, secondo cui scontri con le forze lealiste sarebbero
"tuttora in corso". L'avanzata dei jihadisti sull'antica stazione carovaniera, poi colonia romana, ha
messo in allarme la comunità internazionale anche per il grave pericolo che ciò comporterebbe per
il suo patrimonio archeologico, riconosciuto dall'Unesco fin dal 1980.
Intanto arriva notizia che nella zona il gruppo jihadista ha giustiziato 23 persone, tra cui nove
minori e cinque donne: a denunciarlo è stato l'Osservatorio siriano per i diritti umani, una Ong con
base a Londra. Si tratta della seconda esecuzione di massa jihadista nell'area 240 chilometri a nordest di Damasco. In precedenza erano stati uccisi 26 uomini, 10 dei quali erano stati decapitati. Lo
stesso Osservatorio ha riferito di combattimenti anche attorno a un giacimento di gas a est di
Palmira, di cui l'Is ha rivendicato su Twitter la parziale conquista.
In Iraq intanto l'esercito ha fatto confluire oggi ingenti rinforzi verso Ramadi, il capoluogo della
provincia di al-Anbar, cento chilometri a Ovest di Bagdad, dove ieri l'Is si è impadronito di alcuni
quartieri centrali e del compound del governo. Lo hanno detto fonti militari. In un appello televisivo
trasmesso ieri sera, il primo ministro, Haidar al Abadi, ha chiesto a "tutti gli iracheni di unirsi sotto
la bandiera irachena, che deve prevalere su ogni altra bandiera". Un riferimento - quello nell'appello
tv - alle divisioni confessionali nel Paese che hanno favorito i successi militari dello Stato islamico,
accolto come liberatore da parte della popolazione sunnita. La provincia di al-Anbar, a maggioranza
appunto sunnita, è territorio favorevole di coltura per il Jihad fin dalla caduta del regime di Saddam
Hussein, nel 2003.
Ieri i miliziani dell'Is si sono impossessati del compound governativo di Ramadi, con annesso il
comando della polizia locale, con un attacco durante il quale hanno anche fatto esplodere tre
autobomba guidate da attentatori suicidi. Successivamente hanno cercato di impadronirsi del
comando delle forze militari della provincia, distante due chilometri nell'area nord-orientale della
città, ma sono stati respinti. E' qui che le forze lealiste continuano a resistere.
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EU: on 22nd June Juncker, Draghi, Tusk and Dijsselbloem, the four European presidents, introduce
their planning to re-launch the Euro zone, with Economic Union, Financial Union, Fiscal Union,
Institutions Improvement, from here to 2025.
HUNGARY: The gvt is finishing the wall to stop migrants coming from the Balkans. Pope Francis and EU criticize.
Khalifa S. (Aout 2015). Femmes arabes dans la piège des images. Le Monde diplomatique, Aout
2015.
EU: 29th August, due to the fact that many European terrorists are back again at home willing to do
terroristic nations, the Schengen agreements are temporarily suspended.
EU: 4th September: the front is split, Germany inclines to accept at least the Syrian migrants, while
Austria is swinging, and Hungary is definitively against. The debates last all the month, about
quotas and penalties for the countries that will not accept migrants. Politicians in Hungary, Czech
Republic, Poland and Slovak tend to save only the Christians.
Le quote per la redistribuzione dei rifugiati
tra gli stati UE
La Commissione Europea ha proposto, prima a maggio e poi a settembre, delle quote di redistribuzione
dei rifugiati in arrivo sul continente agli stati membri dell'UE. I principali paesi di approdo (Italia, Grecia e
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Ungheria) non sono inclusi nelle quote. Nella mappa il totale di rifugiati accolti, dato dalla somma delle
persone effettivamente accettate dopo la proposta di maggio e il numero proposto dal presidente della
Commissione europea Jean-Claude Juncker a settembre 2015.
EU, USA and Russia talk for finding a way to fight against ISIL around Syria – 9th September.
CROATIA: 18th September: migrants overcome the Police and the wall and proceed to Germany.
Cann V. (Septembre 2015). De si confortables pantoufles bruxelloises. Le Monde diplomatique,
September 2015.
Hurriyetdailynews.com November/09/2015:
Three million migrant arrivals expected in
Europe by 2017: EU
BRUSSELS - Agence France-Presse
European Union Commissioner for Economic and Financial Affairs, Taxation and Customs Pierre
Moscovici gives a press conference to announce the European Union Autumn 2015 Economic
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Forecast at the European Union Commission headquarter in Brussels on November 5, 2015. AFP
PHOTO / THIERRY CHARLIER
Three million migrants are expected to arrive in Europe by 2017 as they flee war and poverty in
Syria and other conflict zones, with a small positive impact on the EU economy likely, the EU's
executive arm said on Nov 5.
"Overall, an additional three million persons is assumed to arrive in the EU over the forecast
period," the European Commission's economic forecast for 2015-2017 said.
It predicted that there would be one million arrivals in total during 2015, 1.5 million in 2016 and
half a million in 2017, adding that it would represent an increase in the EU's population of around
0.4 percent once unsuccessful asylum applications were taken into account.
European Union economic commissioner Pierre Moscovici said that the migrants could help boost
the EU economy, helping the moderate recovery predicted in the eurozone during that period.
"There will be an impact on growth that is weak but positive for the EU as a whole, and that will
increase GDP (Gross Domestic Product) by 0.2 to 0.3 percent by 2017," Moscovici said.
"That will combat a certain number of received ideas and backs the politics of President (JeanClaude Juncker)," who has pushed for the EU to do more to help migrants, Moscovici added.
Al Jazeera, on 13th November 2015:
Saving lives in the Aegean Sea
Rescue missions occur daily in the waters off Lesbos, as dozens
of refugee boats set out on the "death route" to Europe.
Anna Pantelia | 10 Nov 2015 20:05 GMT | War & Conflict, Humanitarian crises, Human Rights,
Europe, Refugees
It is about 5:30am on Saturday in the port of Mytilene in the Greek island of Lesbos. The weather is
foggy and the darkness is deep.
The crew of the coastguard patrol boat, Agios Efstratios, are preparing for yet another mission in
the Aegean Sea, where inflatable boats overloaded with refugees have already set out on what has
become known as the "death route".
With the engines fired up, attention turns to the bright spots on the radar screen that indicate the
location of the refugee boats. The crew's only mission is to save as many lives as they can.
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Captain Argyris Frangoulis sets course, then says: "I see the dot on the radar and feel dread. Each
time I am afraid about what I am going to see. The situation is very nasty.
"We have seen everything, from newborn babies, to disabled men and dead bodies. The image of
the dead children we saw will never be forgotten.
"There are times when I cannot eat, I cannot sleep, I can't drink even my coffee. These pictures
come to my mind all the time".
As the minutes tick away, dozens of inflatable boats cross into Greek waters, heading towards the
northern coast of Lesbos. At around 7:30am, the radar shows that one of them has stopped. The
outboard engine has cut out and the vessel is starting to fill with water. The 55 people on board
begin screaming for help. The Greek crew spring into action as Frangoulis steers towards the
refugees' stricken boat.
When the Agios Efstratios is close enough, the first rope ladder is dropped and the first refugees are
helped aboard. Women and children are the priority. Lying in the boat are an elderly woman who is
unable to walk and an unconscious man.
After an hour, all the refugees have safely been brought aboard.
Most are wet and cold but are glad to be safe. Three hours later the refugees are transferred to the
closest Greek village where locals and volunteers come to their aid as they prepare to be transferred
to a transition camp. They have to register with the police before they are given the coveted ticket to
Athens.
As the sun sets, the crew of the Agios Efstratios will have only a few hours of rest before they set
sail again.
Clarin, 19.11.2015:
Confirman que mataron al cerebro de los atentados del París:
había participado en más ataques
19/11/15
La fiscalía francesa lo anunció esta mañana. Fue identificado con pruebas de ADN. Se trata
de Abdelhamid Abaaoud, un belga de 28 años, quien murió acribillado en el operativo del
miércoles.

María Laura Avignolo
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Abdelhamid Abaaoud: Fiscales de París: supuesto autor intelectual de ataques a París murió en
redada policial.
Europa se blinda y endurece los controles en
sus fronteras
París bajo fuego.Los ministros del Interior y Justicia de la UE se reúnen este viernes para evaluar
cambios en el espacio Schengen.
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n guardia. Un militar vigila el aeropuerto de Bruselas. /AFP
Europa prepara el refuerzo de sus fronteras externas y un mayor control interno como primera
medida tras los atentados terroristas de París. Los ministros de Interior y Justicia del bloque se
reúnen este jueves en Bruselas para aprobar una cascada de medidas que conllevarán cambios en las
fronteras exteriores del espacio Schengen de libre circulación –que comparten 22 países de la UE y
cuatro asociados–, más controles internos, mejor coordinación antiterrorista y de inteligencia,
registros de pasajeros aéreos y control de armas.
Los cambios principales estarán en las fronteras. Ahora mismo, los ciudadanos europeos apenas son
controlados cuando salen de Schengen y sólo aleatoriamente cuando entran. Todos los terroristas
que atacaron París y que están identificados eran europeos y algunos habían ido a Siria a luchar
junto al ISIS.
De aprobarse el texto de conclusiones que los ministros tendrán el viernes sobre la mesa –y que
Clarín pudo consultar– esos controles en las fronteras exteriores de Schengen podrán ser
sistemáticos para todos, europeos o no, y tanto a la salida como a la entrada.
Actualmente se pueden realizar cuando se advierten situaciones de riesgo, pero las normas prohíben
que sean sistemáticos. También se aprobaría que en esos controles se consulten “sistemáticamente”
todas las bases de datos disponibles.
El texto no habla de las fronteras internas del bloque –su eliminación es una de las grandes
construcciones de la UE– pero sí de ciertas medidas que en la práctica podrían reforzar su control,
como que los agentes policiales tengan acceso a las bases de datos de Schengen –ahora sólo lo
tienen en las fronteras exteriores– donde los países incluyen a personas en búsqueda y captura,
autos o armas robadas o sospechosos de diferentes delitos.
El comisario europeo de Inmigración, el griego Dimitris Avramopoulos, defiende el acuerdo de
Schengen, reconoce que se puede revisar pero no que se ponga en cuestión “porque es uno de los
grandes logros de la construcción europea y sería un paso atrás en la integración”.
Europol explicóeste jueves que hay unas 10.000 personas en su lista de viajeros sospechosos de las
cuales 2.000 están confirmadas como combatientes europeos en conflictos bélicos y al menos 5.000
habrían ido a Siria.
Los ministros también pedirán al Parlamento Europeo que apruebe cuanto antes el PNR (registro de
nombres de pasajeros, según sus siglas en inglés) y que se incluya en él también los vuelos internos
en la UE. Hasta ahora muchos eurodiputados se oponían a varios aspectos del PNR porque lo veían
como una privacidad de los datos privados personales de los ciudadanos.
Fuentes de la presidencia semestral luxemburguesa explicaron que su aprobación “es de vital
importancia porque ayudaría a identificar a todos los individuos que cruzan las fronteras externas”
del bloque. Serviría, según las mismas fuentes, “para que los servicios de seguridad sepan, con 48
horas de antelación, quién va a aterrizar”. Además de las medidas de control de fronteras, la UE
planea presionar políticamente a los países balcánicos para que refuercen la lucha contra el tráfico
de armas.
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Muchos de los fusiles kalashnikov usados en los atentados de los últimos años provienen del tráfico
de las armas desmovilizadas al final de las guerras de los Balcanes y tras los episodios de anarquía
que se produjeron en Albania en los años 90. También pondrán medios de Frontex (la agencia
europea de fronteras) y Europol para ayudar a los países de la UE fronterizos con los Balcanes a
luchar contra el tráfico de armas.
Los ministros no tratarán si deben seguir aceptando o no el flujo de refugiados que llega a Europa
principalmente a través de Turquía, pero en el documento sí se emplaza a que cada persona sea
controlada “sistemáticamente”, a través de “estrictas verificaciones de seguridad”, que se le tomen
las huellas y que se asegure que los centros de paso de los refugiados tienen la tecnología suficiente
para hacerlo.
El flujo es de tal calibre –varios miles de personas al día– que Grecia podría tener problemas para
aplicar esos controles. Por eso los ministros también podrían debatir hoy el despliegue, si fuera
necesario, de equipos de agentes europeos y a medio plazo la creación de un cuerpo de guardacostas
europeos. La UE también planea la apertura en enero, dentro de Europol, de un “Centro Europeo
Contraterrorista” que facilite el intercambio de información de inteligencia entre los 28 países del
bloque, fomente la coordinación de las operaciones antiterroristas.
La política antiterrorista y los servicios de inteligencia son competencia nacional, no de la UE, pero
Bruselas intenta coordinar en lo posible a los gobiernos, que hasta ahora han preferido acuerdos
bilaterales –por ejemplo, España y Francia contra ETA o Irlanda y el Reino Unido contra el IRAantes que una unificación de los servicios secretos europeos.
Clarin, 21 November 2015:
Por los ataques, quieren crear una agencia
europea de Inteligencia
La idea fue lanzada por el comisario de Interior y Justicia Dimitris Avramopoulos. Pero no hay
consenso entre los miembros de la UE.
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Reunión. Los ministros del Interior y Justicia de la UE, en Bruselas, el viernes. /AFP.
Los atentados de París mostraron una vez más los fallos de los servicios de inteligencia de los
países europeos y, sobre todo, la falta de coordinación y de intercambio de información entre ellos.
Los terroristas viajaron a Siria, volvieron, pasaron al menos por Bélgica y Alemania antes de llegar
a París y alguno podría estar todavía fugado, de vuelta en Bélgica.
Aprovechando esa falta de coordinación, la Comisión Europea quiere aprovechar el día después de
los atentados para sentar las bases de una Agencia Europea de Inteligencia. La idea, lanzada ayer
por el comisario de Interior y Justicia Dimitris Avramopoulos y recibida con escepticismo por la
mayoría de los ministros del bloque, aparece por primera vez sobre la mesa del Ejecutivo europeo.
Avramopoulos dijo en conferencia de prensa que era sólo una idea pero que pretendía que los
ministros empezaran a trabajar en ella.
Según el comisario, que también lleva la cartera de Inmigración -y por tanto la gestión de la crisis
de refugiados- "tras los atentados de Charlie Hebdo -en enero pasado- propuse -y se está haciendola creación de un centro antiterrorista en el seno de Europol", la agencia que coordina a las policías
europeas y que tiene sede en la ciudad holandesa de La Haya. Pero Avramopoulos cree que "ya es
hora de dar un paso suplementario y crear las bases de una Agencia Europea de Inteligencia, porque
nuestra cooperación tiene que basarse en la confianza y la eficacia".
Los planes de Bruselas no van por ahora más allá de la propuesta y el comisario no explicó si su
idea es la creación de una agencia de servicios secretos común para todo el bloque, con agentes y
medios a su disposición, o simplemente un organismo que coordine a los servicios de inteligencia
de los 28 países del bloque.
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Los servicios de inteligencia son competencia absolutamente nacional, por lo que la creación de una
agencia europea conllevaría una reforma de los tratados europeos para que las capitales traspasen a
Bruselas esas competencias, que tocan parte de lo más sagrado de las competencias nacionales.
El comisario reconoció tras la reunión de los ministros de Interior y Justicia que su propuesta no fue
discutida. Londres no ve la idea con buenos ojos, París guardó silencio y el ministro del Interior
alemán Thomas de Maizière dijo simplemente que "no deberíamos malgastar nuestra energía, no
puedo imaginar que podamos renunciar a nuestra soberanía nacional". La prensa alemana lleva
meses contando cómo sus servicios secretos han pasado los últimos años espiando a las
instituciones europeas e incluso a la Presidencia francesa.
El coordinador europeo para la política antiterrorista, Gilles de Kerchove, explicó también en
conferencia de prensa las dificultades que tienen las capitales del bloque para compartir eficazmente
la información de inteligencia. Los ministros sí prometieron ayer mejorar el intercambio de
información, a través tanto de los mecanismos europeos previstos en Europol y en su nuevo centro
contraterrorista como bilateralmente.
El Pais, 27th novembre 2015:
LA LUCHA CONTRA EL YIHADISMO »
Europa une fuerzas con Francia para
combatir al Estado Islámico
Alemania y Reino Unido apoyan a François Hollande en la
lucha contra el ISIS en Siria
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Cameron, sobre atacar en Siria: “No podemos subcontratar la seguridad”
Luis Doncel / Pablo Guimón Berlín / Londres 27 NOV 2015 - 09:38 CET
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Atentados mortales
Tiroteos
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Alemania
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Incidentes
Francia
Terrorismo islamista
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Reino Unido
Islam
Yihadismo
Europa occidental
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Sucesos
Europa
Religión
Conflictos
Terrorismo
El primer ministro británico, David Cameron, en la rueda de prensa tras reunirse este jueves en
Viena con el canciller austriaco. / LEONHARD FOEGER (REUTERS)
La gira diplomática del presidente francés, François Hollande, para lograr apoyos en su guerra
contra el Estado Islámico (ISIS) va logrando sus primeros frutos. Los Gobiernos de Alemania y
Reino Unido concretaron este jueves sus planes militares de intervención en Siria. La canciller
Angela Merkel, que el día anterior había visitado a Hollande en París, anunció que aportará media
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docena de aviones de reconocimiento y una fragata. Esta dotación se une a los 650 soldados de
refuerzo en Malí anunciados el pasado miércoles. El primer ministro británico, David Cameron,
pidió el apoyo del Parlamento para estar bombardeando Siria antes de Navidad. “No podemos
subcontratar la seguridad”, dijo el líder conservador, que confía en lograr el sí de la Cámara.
“Hace años que oímos hablar de guerra y refugiados, pero no habíamos comprendido que lo que
ocurre en Alepo puede ser relevante para [las ciudades alemanas de] Essen o Stuttgart”. La frase,
pronunciada el miércoles por Merkel en el Bundestag, adquirió este jueves un significado más claro.
más información
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Alemania ofrece a Francia aviones de reconocimiento contra el ISIS en Siria
El Gobierno británico lanza su plan de bombardear Siria en diciembre
Putin y Hollande abogan por crear una “amplia coalición” contra el ISIS
Merkel da apoyo militar a Francia en la lucha contra el terrorismo
La jefa del Gobierno alemán ya dejó claro que, tras los atentados de París, ofrecería a Francia toda
su solidaridad. Ahora da contenido a esta promesa: además de destinar a Malí 650 soldados y de
aumentar las actividades de formación a los peshmergas kurdos en Irak, Berlín anunció que
participará en la lucha contra el ISIS en Siria. Su aportación será de entre cuatro y seis aviones de
reconocimiento Tornado, aviones cisterna, una fragata para custodiar el portaviones Charles de
Gaulle y tecnología.
La operación no incluirá operaciones de ataque. Los Tornado de la Bundeswehr se limitarán a usar
cámaras para hacer operaciones de reconocimiento.
“Sabemos que el terrorismo no será derrotado solo con medios militares, pero también que no
podemos evitar una confrontación militar con el ISIS”, aseguró el ministro de Exteriores, el
socialdemócrata Frank-Walter Steinmeier. “Nos ponemos del lado de Francia, que fue golpeada por
los ataques inhumanos del Estado Islámico”, añadió la titular de Defensa, la democristiana Ursula
von der Leyen. Merkel calificó la decisión, según asistentes a la reunión parlamentaria, como un
paso necesario para luchar contra el terrorismo yihadista, aunque el respaldo a Hollande también
puede interpretarse en clave interna: la canciller necesita al presidente francés en estos momentos
para impulsar un acuerdo europeo en la crisis de refugiados.
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El peligro de Malí
“No creo que los franceses se vayan a dar por satisfechos con el ofrecimiento alemán. Pero Berlín,
por motivos políticos, no puede cubrir todas las necesidades militares que París le demanda”,
asegura Christian Mölling, experto en Defensa del German Marshall Fund, que alerta de los
peligros que supone la operación en Malí. “Es sin duda más peligrosa que la de los alemanes en
Siria. En el país africano, las tropas estarán sobre el terreno”, añade.
Pese a lo limitado de la operación en Siria, el anuncio constituye un paso importante para un país
que tradicionalmente había combinado una gran fortaleza económica con un escaso peso en las
cuestiones de seguridad y de defensa. Ahora, la alerta por el terrorismo islamista y el creciente
papel de la política exterior alemana se dan la mano.
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Las operaciones anunciadas por el Gobierno requieren aún de la aprobación parlamentaria, prevista
para diciembre. Pero este paso parece un mero trámite gracias a la abrumadora mayoría en el
Bundestag de la que dispone la gran coalición de CDU y SPD.
Hollande y el presidente ruso, Vladímir Putin, acordaron este jueves en Moscú, por su parte, una
cooperación más intensa en la lucha contra el terrorismo. Se trata del intercambio de información de
espionaje militar sobre aquellos grupos y zonas en Siria que pueden ser atacados y los que no deben
serlo. Con este acuerdo pretenden evitar incidentes como el derribo del avión Su-24 en la frontera
entre Siria y Turquía. “Lo importante es no atacar a los grupos que luchan contra el terrorismo”,
manifestó Hollande.
Desde Londres, Cameron defendió en el Parlamento que Reino Unido debe sumarse a los
bombardeos contra el ISIS “lo antes posible” para que los británicos estén “más a salvo”. El primer
ministro conservador necesita el apoyo de la Cámara ante la votación con la que pretende estar
bombardeando Siria con los aliados antes de Navidad. Cameron confía en que los brutales ataques
de París y el voto unánime en el Consejo de Seguridad de la ONU el pasado viernes, instando a sus
miembros a “tomar todas las medidas necesarias” contra el ISIS, hayan consolidado el apoyo
parlamentario que hasta ahora se le ha resistido.
Los siete atentados terroristas en suelo británico que el Gobierno dice haber abortado este año,
aseguró Cameron, estaban dirigidos por el ISIS o inspirados por su propaganda. “Las amenazas a
nuestros intereses y a nuestra gente son tales que no podemos permitirnos quedarnos a un lado y no
actuar”, defendió.
Las fuerzas aéreas británicas solo tienen autorización para bombardear en Irak, después de que el
Parlamento rechazara intervenir militarmente en Siria. Pero Londres ha reconocido, amparado en la
legítima defensa, ataques aislados con drones para matar a ciudadanos británicos que supuestamente
planeaban atentados terroristas en Londres.
Cameron, que cuenta con una frágil mayoría absoluta, debe asegurarse el voto de un número de
diputados de la oposición, ya que una quincena de tories ha anunciado que votará en contra.
Decenas de diputados laboristas estarían dispuestos a votar sí desafiando a su líder, Jeremy Corbyn.
Le Monde, 01.12.2015:
Trois jours après l’accord entre l’Union européenne et la Turquie sur le contrôle des flux de
migrants, Fabrice Leggeri, directeur de Frontex, l’agence européenne de surveillance des frontières,
explique ce qu’il va changer sur le terrain. Le Français explique également pourquoi deux des
terroristes des attentats du 13 novembre ont pu passer les contrôles en Grèce avec des faux
passeports.
Qu’est-ce que l’accord signé entre l’Union européenne et la Turquie dimanche 29 novembre va
changer concrètement sur le terrain ?
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L’accord a une dimension financière extrêmement importante (3 milliards d’euros versés à la
Turquie par l’UE) qui ne concerne pas directement Frontex, mais cela peut permettre d’avoir une
pression moins forte sur la Grèce. De notre côté, nous allons déployer un officier de liaison de
Frontex à Ankara début 2016. Il permettra de mieux lutter contre les trafics d’êtres humains, en
ayant accès aux responsables des services opérationnels turcs. La coopération bilatérale entre la
Grèce et la Turquie devrait aussi être renforcée par l’accord.
Mais la Turquie va-t-elle renforcer ses contrôles ?
La Turquie fait déjà des choses, mais elle peut faire plus. Il est important de renforcer les contrôles,
surtout à terre pour empêcher les départs, parce qu’une fois sur les bateaux, les migrants sont en
danger. On ne pourra certainement pas empêcher tous les départs, mais l’amélioration de la
surveillance des passeurs devrait permettre de limiter ces départs.
Les Turcs ne le font pas à l’heure...
Die Deutsche Welle, 3rd December 2015:
Deutschland übernimmt den OSZE-Vorsitz
Terroranschläge, türkisch-russische Spannungen, Flüchtlingsströme und ein Konflikt in der
Ostukraine – auf der OSZE-Außenministerkonferenz geht es um die fragile Sicherheit in Europa.
Aus Belgrad berichtet Dagmar Engel.
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Wer redet, schießt nicht. Das könnte das inoffizielle Motto der Außenminister Konferenz der OSZE
(Organisation für Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa) sein. Zu spüren war dies am
allseitigen Bemühen, die Außenminister der Türkei und Russlands in ein Zimmer am Rande der
OSZE-Ministerratstagung zu bringen, zum Zweiergespräch.
Das ist gelungen – mehr als eine halbe Stunde haben Sergej Lawrow und Mevlut Cavusoglu
miteinander verbracht, das höchstrangige türkisch-russische Treffen seit dem Abschuss der
russischen Militärmaschine im türkisch-syrischen Grenzgebiet Ende November. Noch ist über
Inhalte nichts bekannt, aber angeschwiegen haben sie sich sicher nicht.
Abschied vom Konsens?
Korrekt ist der Anfangssatz trotzdem nicht: In Europa wird geschossen, zum Beispiel in der
Ostukraine. Doch gleichzeitig wird auch geredet. Denn die OSZE mit ihren 57 Mitgliedsstaaten ist
die einzige Organisation, in der es für Gespräche keiner gesonderten Einladung bedarf.
In den exklusiveren Clubs, der Nato oder der EU, sind die Gemeinschaftsforen mit Russland in der
Folge des Kriegs in der Ostukraine und der völkerrechtswidrigen Annexion der Krim ausgesetzt.
Die OSZE ist in Europa die einzige Stelle, die einfach alle Staaten umfasst, ganz unabhängig von
ihrer Haltung.
Entscheidungen allerdings fallen nur im Konsens - und sie sind nicht bindend. Das Bild des
zahnlosen Tigers drängt sich auf, eines zahnlosen Tigers mit 57 Beinen, alle unterschiedlich lang
und kräftig.
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Der deutsche Außenminister greift lieber in die Kiste der Seefahrtsmetaphern: "Europa navigiert
durch turbulentes Fahrwasser", eröffnet er seine Rede. Die gemeinsame Sicherheit in Europa bereite
ihm tatsächlich Sorge, sagt Frank-Walter Steinmeier und wird dann wirklich laut: "Wir haben uns in
der OSZE seit zwölf Jahren auf keine politische Erklärung einigen können Wir scheinen keinen
Konsens mehr zu finden." Vereinbarte Prinzipien, bedauert Steinmeier, seien in inakzeptabler Art
und Weise gebrochen worden.
Einsatz in der Krisenregion: Ein OSZE-Beobachter dokumentiert Verstöße gegen die vereinbarte
Waffenruhe
Stürmische See und ein altes Schiff
Deutschland übernimmt jetzt für ein Jahr den Vorsitz der OSZE. Nicht, weil es turnusgemäß an der
Reihe wäre, nicht, weil es muss, sondern weil es will. "Deutschland kann die europäische
Sicherheitsordnung während dieses einen Jahres nicht retten," sagt Wolfgang Ischinger, Leiter der
Münchner Sicherheitskonferenz, "aber neben dem kurzfristig Notwendigen, der Reduzierung vor
allem des Risikos von Krieg, muss Deutschland einen Prozess in Gang setzen, der auch die mittelund langfristigen Probleme angeht."
Ischinger hat die Gruppe führender Köpfe geleitet, die sich um die "Europäische Sicherheit als
Gemeinschaftsaufgabe" Gedanken machen sollte. Der Abschlussbericht zeigt gleichzeitig die Stärke
und die Schwäche der OSZE: Der Georgier Sergi Kapadnaze erzählt darin eine andere Geschichte
über den eingefrorenen Konflikt in seiner Region als sein Namensvetter Sergej Karaganov aus
Russland.
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Ihre Wahrnehmungen und Wahrheiten widersprechen sich. Ischinger hofft dennoch auf eine Art
von Verständigung. "Wenn es 1975 im Kalten Krieg mit der atomaren Bedrohung möglich war, ein
Vertrauenssystem aufzubauen, warum sollte das 2015 nicht gelingen?", fragt er.
Auf der Suche nach verlorenem Vertrauen
Drei Felder hat der deutsche OSZE-Vorsitz als besonders wichtig definiert: Aufgrund der
Erfahrungen aus dem Ukrainekonflikt soll die Reaktion auf Krisen früher, entschiedener und
substantieller erfolgen. Zweitens muss die Vertrauensbildung vorangetrieben werden, um
militärische Risiken zu verringern - siehe den Abschuss der russischen Militärmaschine an der
türkisch-syrischne Grenze. Und schließlich geht es um die Gestaltung der europäischen
Sicherheitsordnung.
Manche hoffen auf ein neues Helsinki, also eine Art Neugründung, wie sie in der finnischen
Hauptstadt 1975 erfolgte. Am liebsten gleich 2016. Auch die Expertengruppe um Ischinger sieht
einen OSZE-Gipfel auf der Ebene der Staats- und Regierungschefs als Ziel, der die europäische
Sicherheitsordnung verbindlich regelt, aber nicht nächstes Jahr.
Im Boot des deutschen Außenministers heißt das: "Lassen Sie uns nicht in stürmischer See unser
Schiff, die OSZE, zerlegen, nur weil es nicht leicht ist, sich auf einen gemeinsamen Kurs zu
verständigen Lassen Sie uns keinen Neubau versuchen, der die Gefahr des Scheiterns birgt,
sondern das Schiff härten und stärken".
Direkt vor diesem Eröffnungsstatement von Außenminister Steinmeier hat ihm sein russischer
Amtskollege Lawrow "viel Erfolg auf der Kapitänsbrücke" gewünscht. Die beiden kennen sich
eben. Reden hilft.
Die Deutsche Welle, 3rd December 2015:
Tusk gießt Öl ins Feuer der Flüchtlingsdebatte
Der Präsident des Europäischen Rates hat in Zeitungs-Interviews eine Wende in der
Flüchtlingspolitik verlangt. Er betont vor allem die damit verbundenen Gefahren und pocht auf die
Einhaltung von strengen Regeln.
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Die Aufgaben des Präsidenten des Europäischen Rates werden in Art. 15 des Lissabon-Vertrages
beschrieben: Er soll die Ratstreffen leiten und deren Arbeit vorantreiben. Er bereitet die Gipfel vor
und sorgt für die Kontinuität der Arbeit. Und er soll den Zusammenhalt und den Konsens im Rat
der Regierungen fördern. Aber sollte er mit Interviews dieser Art in einen politischen Streit
eingreifen?
Schockierendes Interview
"Es ist nicht seine Aufgabe", sagt Kris Pollet vom Internationalen Flüchtlingsrat in Brüssel. Und es
sei auch ziemlich schockierend zu sehen, wie schlecht informiert Tusk sei. Denn die Zahlen zeigten,
dass entgegen seinen Behauptungen die Mehrheit der Flüchtlinge tatsächlich aus Syrien, Irak,
Afghanistan und anderen Ländern komme, wo es Krieg oder anhaltende schwere Krisen gebe. Das
bestätige sich auch durch die Statistiken der EU-Grenzagentur Frontex.
Noch schockierender findet Pollet, dass der Ratspräsident europäisches Recht nicht kenne. Die
Möglichkeit, Flüchtlinge bis zu 18 Monaten festzuhalten, die Tusk im Interview zur Regel machen
möchte, finde sich nur in der EU-Direktive über die Rückführung abgelehnter Asylbewerber. Selbst
dort aber sei das nur im Ausnahmefall und nach einer Einzelfallüberprüfung erlaubt. "Diese
Regelung hat nichts mit Flüchtlingen zu tun, die an den Grenzen ankommen. Tusk erfindet hier
etwas, das ist ein Beispiel für echte Miss-Information und nach europäischem Recht nicht erlaubt".
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Flüchtlingskrise: eine solidarische Lösung in der EU ist gefragt
"Ich verstehe nicht, warum der Ratspräsident solche Dinge sagt, es ist das allerschlechteste
Vorzeichen für eine Einigung in der EU, jetzt in der Flüchtlingsfrage Angstmache zu betreiben",
sagt der NGO-Vertreter. Der Flüchtlingsrat sei insgesamt sehr beunruhigt, welche Wendung die
Diskussion in der EU genommen habe. Tusk unterminiere mit seinen Äußerungen den Versuch,
eine solidarische Lösung in der Flüchtlingskrise zu finden. "Wir können nicht wegschauen", sagt
Kris Pollet, "wir müssen eine gemeinsame Antwort finden, und die kann nicht in Stacheldrahtumzäunten Lagern an den EU-Außengrenzen liegen".
Tusk soll seinen Job machen
"Der Ratspräsident soll seinen Job machen und sich um die Sachen kümmern, für die er zuständig
ist", schimpft der christdemokratische Europa-Abgeordnete Herbert Reul. Donald Tusk solle Mittler
zwischen den Mitgliedsstaaten sein. Kluge Ratschläge dürfe er schon geben, sich aber nicht in
dieser Form parteiisch zeigen, meint der CDU-Mann, der die Medieninitiative des Polen
"verwirrend, und zwar negativ verwirrend" nennt.
Bisher habe er von Tusk noch keine großen Taten gesehen, kritisiert der Abgeordnete weiter, es sei
ihm unerklärlich, warum der frühere polnische Regierungschefs jetzt so aus der Deckung komme:
"Es erleichtert jedenfalls nicht die Konsensbildung in Europa". Auch müsse Tusk sich fragen
lassen, wie viel er denn von der Sache verstehe, wenn er die uneingeschränkte Anwendung der
Dublin-Regeln verlange. Sowohl der EuGH als auch das Bundesverfassungsgericht hätten schon
geurteilt, dass Flüchtlinge unter den gegebenen Umständen nicht nach Griechenland zurück
gebracht werden dürften
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Herbert Reul: Äußerungen Tusks "sau-ärgerlich"
Reul hält die Lage in der EU derzeit für kritisch:"Sie müssen sich zusammenraufen. Es geht aber
nicht, wenn einige sich einfach verweigern. Dann muss man darüber nachdenken, die Verteilung
der Annehmlichkeiten einzustellen". Der CDU-Politiker meint, es sei höchste Zeit beim
anstehenden Gipfel dazu klare Worte zu sprechen, sonst brauche man Alternativen, wie etwa die
Idee von Kerneuropa. Jedenfalls ist der Abgeordnete Reul selbst ein Anhänger klarer Worte und
nennt das Ganze einfach "sau-ärgerlich".
Kontraproduktiver Vorstoss
"Donald Tusk hat sich immer mehr auf den Sicherheitsaspekt der Flüchtlingskrise konzentriert",
sagt Janis Emmanouilidis vom European Policy Center in Brüssel. Dass er aber ausgerechnet jetzt
diesen Vorstoß macht, scheint nicht wirklich sinnvoll. Man müsse in der EU zu einem Kompromiss
in dieser Frage finden, was schwierig genug sei, da wäre es für den Ratspräsidenten besser, er
würde mit einem ausgewogenen Ansatz in die Verhandlungen gehen.
Auch Emmanouilidis wundert sich, dass Tusk gerade in der angespannten Lage unter den
Mitgliedsländern diesen Vorstoß macht: "Warum er diese starke Betonung auf den
Sicherheitsaspekt legt, was nicht zur Konsensfindung beiträgt, ist politisch überraschend". Tusk
betone nur die Notwendigkeit, die Außengrenzen zu schützen, und lasse den Aspekt der
humanitären Krise und die Notwendigkeit, den Flüchtlingen zu helfen, dabei außen vor. Das Thema
jetzt von einem so unausgewogenen Standpunkt anzugehen, mache seinen Job nicht leichter, meint
der Politikexperte.
Die Redaktion empfiehlt
Die Deutsche Welle, 3rd December 2015:
Europa
Ungarn reicht Klage gegen EUFlüchtlingsverteilung ein
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Gestern die Slowakei, heute Ungarn. Von einer gemeinsamen Linie in der europäischen
Flüchtlingspolitik keine Spur. Die beschlossene Quotenregelung zur Verteilung Tausender
Flüchtlinge will Premier Orban nicht hinnehmen.
Ungarn ist ein Vorreiter der Abschottungspolitik gegen Migranten in Europa. Mit Grenzzäunen,
strengeren Gesetzen und Propaganda hat die nationalkonservative Regierung in Budapest schon vor
Monaten klar gemacht, dass Flüchtlinge unerwünscht sind.
Die Redaktion empfiehlt
Osteuropa auf dem Egotrip
Die Slowakei klagt gegen die EU wegen der Verteilung von Flüchtlingen. Und Ratspräsident
Donald Tusk aus Polen fällt Angela Merkel in den Rücken. Doch Solidarität ist keine
Einbahnstraße, warnt Barbara Wesel. (03.12.2015)
EU-Ratspräsident Tusk will "Bewährungsphase" für
Flüchtlinge
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Slowakei klagt gegen EU-Flüchtlingsquote
Konsequenterweise zieht damit nach der Slowakei auch Ungarn gegen die Quotenregelung der
Europäischen Union zur Verteilung von Flüchtlingen vor Gericht. Die von Ministerpräsident Viktor
Orban angekündigte Klage beim Europäischen Gerichtshof in Luxemburg, gegen die bindende
Verteilung Zehntausender Flüchtlinge, wurde inzwischen eingereicht.
Orban gibt sich weiter populistisch
"Es reicht nicht, zu protestieren, man muss auch handeln", sagte der Regierungschef vor Vertretern
der Auslandsungarn in Budapest. "Täglich wird uns Erpressung und Rache (Brüssels) zuteil", klagte
Orban. Die EU räche sich mit mehreren Verfahren gegen Ungarn, weil Budapest "es gewagt hat,
sich gegen die Einwanderungspolitik Brüssels zu wenden".
Mit ihrer Flüchtlingspolitik schwäche die EU die Nationen Europas. Dabei würden
Menschenrechtler mit Schleppern in einer "bizarren Koalition" zusammenarbeiten, unterstützt von
EU-Politikern, sagte Orban. Ohnehin arbeite Brüssel seit langen am Abbau der Nationalstaaten,
zumal das Christentum als Fundament aus der EU-Verfassung gestrichen worden sei und die
Mitgliedsstaaten immer mehr souveräne Rechte an die EU abgeben müssten. Am Mittwoch hatte
Orban die EU beschuldigt, über einen "Geheimplan" zusätzlich eine halbe Million syrische
Flüchtlinge aufnehmen und verteilen zu wollen, die sich derzeit in der Türkei befinden.
Gegen den Widerstand mehrerer osteuropäischer Länder (Polen, Tschechien, Slowakei, Ungarn)
hatten die EU-Innenminister im September beschlossen, in den kommenden zwei Jahren 120.000
Flüchtlinge, die derzeit in Griechenland und Italien sind, in anderen Mitgliedsstaaten
unterzubringen. Ziel ist die Entlastung der beiden Länder, in denen die meisten Mirganten
ankommen und eine gerechtere Verteilung der Flüchtlinge in der EU. Laut dem Quotenschlüssel
entfallen von den 120.000 Menschen auf Ungarn und die Slowakei jeweils rund 2300 Flüchtlinge.
qu/uh (dpa, rtr)
Die Deutsche Welle, 3rd December 2015:
Flüchtlinge
Slowakei klagt gegen EU-Flüchtlingsquote
Der Widerstand osteuropäischer Staaten gegen die Flüchtlingspolitik der EU wächst: Die Slowakei
reicht wegen der bereits beschlossenen Quote Klage ein, Ungarn wehrt sich gegen angebliche Pläne
einer weiteren Verteilung.
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Die Slowakei zieht wegen der von der EU beschlossene Flüchtlingsverteilung vor den Europäischen
Gerichtshof. Die Klage gegen die Quotenregelung sei am Morgen in Luxemburg eingereicht
worden, sagte Ministerpräsident Robert Fico nun in Bratislava.
Die EU-Innenminister hatten am 22. September die Umverteilung von 120.000 Asylbewerbern in
Europa beschlossen, als Mehrheitsentscheidung gegen den Widerstand Tschechiens, Ungarns,
Rumäniens - und der Slowakei. Polen stimmte dafür, nach den Anschlägen von Paris kündigte die
neue Regierung in Warschau aber an, sich nicht mehr an der Verteilung beteiligen zu wollen.
Bislang sieben Flüchtlinge aufgenommen
Der slowakische Ministerpräsident Fico hatte die Entscheidung der EU-Innenminister umgehend als
"Diktat" kritisiert und erklärt, er werde sich nicht an den Mehrheitsbeschluss halten. Seine
Regierung fordert wie auch zum Beispiel Tschechien ein Freiwilligkeitsprinzip bei der Aufnahme
von Flüchtlingen. Sie will demnächst 149 ausgewählte christliche Flüchtlinge aus einem irakischen
Flüchtlingslager in die Slowakei einfliegen lassen.
Im Verhältnis zu seiner Einwohnerzahl hat die Slowakei bislang so wenige Migranten
aufgenommen wie kein anderes EU-Land: Nur sieben Menschen erhielten seit Januar 2015 Asyl.
Trotzdem hat das Thema Flüchtlinge in der Wahrnehmung der Wähler zum ersten Mal seit der
Unabhängigkeit des Landes die hohe Arbeitslosigkeit als größtes Thema verdrängt. Fico provozierte
wiederholt mit islamfeindlichen Äußerungen. Intellektuelle und Menschenrechtsgruppen kritisieren,
der Regierungschef schüre bewusst Fremdenfeindlichkeit, um seine Wahlchancen bei der
Parlamentswahl am 5. März zu erhöhen.
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Die Regierungschefs Ungarns, Tschechiens, Polens und der Slowakei (v. l. n. r.): Orban, Sobotka,
Kopacz und Fico
Orban will "geheime Hintergrundabsprache" nicht akzeptieren
Auch Ungarn kündigte bereits eine Klage gegen die Quotenregelung vor dem EU-Gerichtshof an.
Aktuell wehrt sich Ministerpräsident Viktor Orban gegen angebliche Geheimpläne, innerhalb der
Europäischen Union weitere 400.000 bis 500.000 syrische Flüchtlinge aus der Türkei zu verteilen.
Mehrere EU-Staaten hätten bei ihrem Gipfeltreffen mit der türkischen Regierung am Sonntag eine
solche "geheime Hintergrundabsprache" getroffen, kritisierte Orban nun, wie die staatliche
Nachrichtenagentur MTI berichtet.
Er rechne damit, dass dieser Plan noch diese Woche in Berlin veröffentlicht werde, sagte der
nationalkonservative Regierungschef. Dieses neue Flüchtlingskontingent solle offenbar auf die EULänder verteilt werden. Dies könne man nicht akzeptieren, betonte Orban.
Tatsächlich hatte kurz vor dem EU-Türkei-Gipfel eine kleine Runde führender Politiker von acht
EU-Ländern, darunter Bundeskanzlerin Angela Merkel, über legale Einreisemöglichkeiten für in
der Türkei befindliche Flüchtlinge beraten. Eine Zahl wurde dabei nicht bestätigt. Der "Frankfurter
Allgemeinen Sonntagszeitung" zufolge war von 400.000 Flüchtlingen die Rede gewesen.
bor/uh (afp, dpa, rtr)
Die Redaktion empfiehlt
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Die Deutsche Welle, 3rd December 2015:
Gesundheit
Europäer sterben früher durch schlechte Luft
Laut Report der EU-Umweltagentur ist die Luftqualität in Europa sehr schlecht - und ein großes
Gesundheitsrisiko. Über 400.000 Menschen sterben demnach jedes Jahr vorzeitig.
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Luftverschmutzung stellt nach Angaben der Europäischen Umweltagentur (EUA) in Europa das
"größte einzelne umweltbedingte Gesundheitsrisiko dar". Durch die Luftverschmutzung - heißt es
weiter - verkürze sich die Lebensdauer der Menschen. Außerdem begünstige sie ernsthafte
Krankheiten, wie Herzerkrankungen, Atemwegsprobleme und Krebs.
In einem neuen Report , der zur Klimakonferenz in Paris von der EUA in Kopenhagen
veröffentlicht wurde, wird geschätzt, dass 430.000 vorzeitige Todesfälle pro Jahr in Europa auf
Luftverschmutzung zurückzuführen sind.
"Die Luftverschmutzung beeinträchtigt nach wie vor die allgemeine Gesundheit der Europäer und
reduziert ihre Lebensqualität und Lebenserwartung", sagt der EUA-Exekutivdirektor Hans
Bruyninckx. "Außerdem führt sie zu beträchtlichen wirtschaftlichen Auswirkungen, zu steigenden
Kosten für die medizinische Versorgung und aufgrund verlorener Arbeitstage zu einer reduzierten
Produktivität der gesamten Wirtschaft."
Der Report zur Luftqualität in Europa wird jedes Jahr herausgegeben und untersucht die
Konzentration der verschiedenen Luftschadstoffe und die damit verbundenen Belastungen in den
einzelnen EU-Ländern. Die Daten stammen aus den Messstationen in ganz Europa.
Die Atemwege werden durch Luftverschmutzung stark geschädigt
Menschen in Städten sind besonders betroffen
Wie aus dem Bericht hervorgeht, sind die meisten europäischen Stadtbewohner Luftschadstoffen in
einem Umfang ausgesetzt, die von der Weltgesundheitsorganisation (WHO) als gefährlich erachtet
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wird. Bei den problematischsten Schadstoffen mit Auswirkungen auf die menschliche Gesundheit
handelt es sich um Feinstaub, Stickstoffdioxid (NO2) und bodennahes Ozon (O3).
Abgesehen von gesundheitlichen Auswirkungen, haben Luftschadstoffe auch eine beträchtliche
schädliche Wirkung auf das Pflanzenleben und die Ökosysteme. Sie verursachten zum Beispiel das
schädliche Algenwachstum in Gewässern und Pflanzenschäden.
Feinstaub ist Hauptquelle für Gesundheitsschäden
Unter den Luftschadstoffen ist Feinstaub die Hauptquelle für Krankheit und vorzeitige Todesfälle in
Europa. Das komplexe Gemisch aus festen und flüssigen Partikeln gelangt beim Menschen in die
Nasenhöhle und ultrafeine Partikel mit weniger als 2,5 Mikrometer Durchmesser auch in das
Lungengewebe und in den Blutkreislauf.
Die Experten schätzen, dass durch die langfristige Belastung mit Feinstaub 432.000 Menschen in
Europa im Jahr 2012 vorzeitig starben und die Lebenserwartung eines jeden EU-Bürgers im
Durchschnitt um etwa 38 Tage sinkt.
In Ballungsgebieten ist der Straßenverkehr die dominierende Schadstoffquelle. Der Feinstaub
gelangt aus Motoren, vorrangig aus Dieselmotoren und durch Bremsen, Reifenabrieb sowie durch
die Aufwirbelung des Staubes von der Straßenoberfläche in die Luft.
Besonders der Autoverkehr sorgt in Städten für schlechte Luft
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Verursacher von Feinstäuben sind aber auch Industrieanlagen, Kohlekraftwerke, Öfen und
Heizungen sowie der Schiffs- und Flugverkehr. Während hier die Partikel bei der direkten
Verbrennung entstehen, kommt noch der sogenannte sekundäre Feinstaub hinzu.
Sekundärer Feinstaub entsteht durch chemische Reaktionen in der Luft. Schwefeldioxid (SO2) und
Stickoxide (NOx), die bei der Verbrennung entstehen, reagieren dort mit Ammoniak, dass durch
Düngung in der industriellen Landwirtschaft freigesetzt wird, zu Ammoniumsulfat und
Ammoniumnitrit. "Damit haben wir weiteren Feinstaub", erklärt Professor Rainer Friedrich von der
Uni Stuttgart. Nach seinen Berechnungen liegt der Anteil dieser sekundären Feinstäube bei 40
Prozent in Deutschland.
Zum Schutz der europäischen Bevölkerung raten die Experten des EU-Reports zur Einhaltung des
Luftqualitätsstandards, wie sie die die Weltgesundheit (WHO) empfiehlt. Dafür müsste die
Feinstaubkonzentration in den 28 Mitgliedsländern um durchschnittlich ein Drittel gesenkt werden.
"Im Vergleich mit der gegenwärtigen Situation könnten so 144.000 vorzeitige Todesfälle vermieden
werden", lautet ein Ergebnis der Autoren.
Autoverkehr verantwortlich für Stickstoffdioxid und Ozon in Städten
Die Redaktion empfiehlt
China leidet unter Smog
Killer-Smog: Täglich 4000 Tote in China
Mehr Tote durch Manipulation beim Diesel
IWF: 2200 Milliarden für Gesundheitskosten
Viel Feinstaub aus Kohle
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Feinstaub aus Kaminöfen
Weniger Feinstaub dank Umweltzonen
Sehr hoch sind in den Städten auch die Luftschadstoffe Ozon (O3) und Stickstoffdioxid (N2O).
Stickstoffdioxid ist sehr giftig und kann Kopfschmerzen, Schwindel Atemnot und Impotenz
auslösen. Ozon ist ebenfalls für Kopfschmerzen verantwortlich und reizt die Schleimhäute in
Rachen, Hals und Bronchien und verursacht Husten und verschlechtert die Lungenfunktion.
98 Prozent der städtischen Bevölkerung in den EU Ländern wurde 2013 Ozon-Konzentrationen
ausgesetzt, "die über den WHO-Richtwert liegen", lautet ein weiteres Ergebnis des Berichts. Zudem
lag die Konzentration von Stickstoffdioxid bei neun Prozent der Stadtbewohner über den WHORichtwert und den EU-Vorgaben.
Stickstoffdioxid entsteht bei der Verbrennung von Kohle, Öl und Gas. In den Städten ist besonders
der Autoverkehr das Problem. Ozon ist vor allem ein Folgeprodukt der Autoabgase und entsteht aus
Stickoxiden in Bodennähe unter dem Einfluss von Sonnenlicht (UV).
Hohe Kosten durch Luftverschmutzung
Immer mehr Menschen leiden unter schlechter Luft. Für die Staaten und Gesundheitssysteme sind
auch die Kosten ein Problem.
Experten des internationalen Währungsfonds (IWF) berechneten die externen Kosten für Energie
weltweit, vor allem die Gesundheitskosten, die durch die Luftverschmutzung aus Kraftwerken und
dem Verkehr entstehen. Nach ihren Angaben summieren sich die globalen Kosten für die
Gesundheit im Jahr 2013 auf rund 2200 Milliarden Dollar. Die weiteren Kosten, die durch
Luftschadstoffe in Landwirtschaft und Natur entstehen, bezifferten die Experten nicht.
US EUROPE AFRICA ASIA
April 21, 2015
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Migrants' bodies brought ashore as EU proposes doubling
rescue effort
(Agencies) Updated: 2015-04-21 09:56
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A child is carried by a rescue worker (R) as he arrives with migrants on the boat at the Sicilian harbor of
Pozzallo, Italy, April 19, 2015. [Photo/Agencies]
CATANIA, Italy/LUXEMBOURG - The European Union proposed doubling the size of its
Mediterranean search and rescue operations on Monday, as the first bodies were brought ashore of
as many as 900 people feared killed in the deadliest known shipwreck of migrants trying to reach
Europe.
Three other rescue operations were underway on Monday to save hundreds more migrants in peril
on overloaded vessels making the journey from the north coast of Africa to Europe.
The mass deaths have caused shock in Europe, where a decision to scale back naval operations last
year seems to have increased the risks for migrants without reducing their numbers.
"The situation in the Mediterranean is dramatic. It cannot continue like this," said European Council
President Donald Tusk, calling an extraordinary summit of EU leaders for Thursday to plan how to
stop human traffickers and boost rescue efforts.
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Malta's Prime Minister Joseph Muscat said as many as 900 people may have died in Sunday's
disaster off the coast of Libya when a large boat capsized. That would be the highest death toll in
recent times among migrants, who are trafficked in the tens of thousands in rickety vessels across
the Mediterranean.
As 27 survivors of the disaster arrived in Italy on a coast guard vessel late on Monday, authorities
said the captain of the migrant boat and his deputy had been arrested on suspicion of people
smuggling.
EU ministers held a moment of silence at a meeting in Luxembourg to discuss the crisis. The bloc's
executive, the European Commission, presented a ten-point plan to address the crisis, which would
include doubling the size and the funding of "Triton", an EU naval operation in the Mediterranean.
But even that would leave the operation smaller and less well-funded than an Italian mission
abandoned last year due to costs and domestic opposition to sea rescues that could attract even more
migrants.
April, 22 2015
EU unveils migrant action plan as more boats in distress
Published : 2015-04-22 16:28
Updated : 2015-04-22 16:28
EU foreign affairs chief Federica Mogherini unveiled plans Monday to tackle a growing migrant
crisis after telling member states they had "no more excuses" not to act as fresh distress calls rang
out in the Mediterranean.
A day after a fishing vessel crammed with migrants capsized off Libya with the loss of hundreds of
lives, EU foreign and interior ministers met in Luxembourg to discuss ways to stem the flood of
people trying to reach Europe.
More than 700 migrants are feared dead in Sunday's disaster, with some survivors suggesting nearly
1,000 people could have been on board.
As the search for victims continued, the International Organization for Migration said it had
received a distress call from another boat -- but cautioned against concluding this was another
disaster in the making.
Italian Premier Matteo Renzi said separately that Italy's coast guard had asked merchant shipping to
help two boats off the Libyan coast with up to 450 migrants on board after they sought help.
Police in Greece meanwhile reported three people killed, including a child, after a boat coming
from Turkey sank off the island of Rhodes.
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Dramatic YouTube footage showed people trying to reach survivors huddled on a piece of
wreckage as they were being swept towards rocks.
Ninety-three people were rescued alive, police said.
Europe's southern shores have been swamped over the past two weeks with migrants fleeing war
and hardship, mostly via conflict-wracked Libya.
Unveiling a 10-point action plan, Mogherini said the 28-member bloc needed "to show that same
collective European sense of urgency we have consistently shown in reacting in times of crisis."
The EU had to live up to its humanitarian values and commitments towards migrants, she said,
adding: "To send them back is another way of killing them."
First on the list, ministers agreed the current EU border surveillance mission Triton should be
increased to extend its range and capabilities on the bloc's southern flank.
Triton replaced Italy's own Mare Nostrum mission which Rome scrapped late last year in protest
that its EU partners would not share the burden.
The EU will also try to capture or destroy people smuggler boats and increase cooperation across
the board, the European Commission said.
The bloc will offer too a "voluntary pilot project on resettlement, providing a number of places to
persons in need of protection," a key but small step forward in spreading the problem.
Up to now, countries relatively untouched by the problem had objected to this form of burden
sharing, however small.
Diplomats said there could be 5,000 places available but the Commission gave no figure.
EU president Donald Tusk announced an emergency leaders summit for Thursday to discuss the
plan, saying: "We cannot continue like this, we can't accept that hundreds of people die."
Italy's Renzi, whose country bears the brunt of the problem, said Rome was studying the possibility
of mounting "targeted interventions" against Libya-based people smugglers.
"Attacks on death rackets, attacks against slave traders (traffickers) are in our thinking," Renzi told
a press conference with his Maltese counterpart Joseph Muscat.
For his part, Muscat urged the EU to help solve the chaos in Libya where rival factions have fought
for control since a 2011 uprising ousted longtime dictator Moammer Khadafi.
The charity Save the Children criticized the EU for not agreeing "immediate action" at Monday's
meeting.
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"What we needed from EU foreign ministers today was life-saving action, but they dithered. The
emergency summit on Thursday is now a matter of life and death," said the group's head Valerio
Neri in a statement.
Italian and Maltese navy boats meanwhile continued to search for the victims of Sunday's disaster,
which brings to an estimated 1,600 the number of migrants who have drowned in the Mediterranean
this year.
Only 28 survivors have been found so far, along with 24 bodies, which were taken to Malta.
One survivor told Italian authorities there were as many as 950 people on board and that some had
been locked below deck by the smugglers.
The tragedy caused an outcry across Europe, where newspapers declared it the "EU's darkest day"
and called for urgent action.
UNHCR head Zeid Ra'ad Al Hussein said the Mediterranean was turning into a "vast cemetery" and
accused the EU of "turning its back on some of the most vulnerable migrants in the world."
In Washington, the US State Department said it was cooperating with the EU on the issue and
providing assistance closer to the migrants' "point of origin".
"So we're providing assistance and we'll keep talking to the Europeans about it," State Department
acting spokeswoman Marie Harf said.
More than 11,000 migrants have been rescued by Italian authorities since the middle of last week
alone and current trends suggest last year's total of 170,000 landing in Italy is likely to be exceeded
in 2015.
The deadliest incident prior to Sunday occurred off Malta in September 2014, when an estimated
500 migrants drowned after traffickers deliberately rammed their boat in an attempt to force the
passengers onto a smaller vessel. (AFP)
Philippines Star:
The Latest: Captain and crew member arrested
(Associated Press) | Updated April 21, 2015 - 8:43am
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Migrants swim to reach the shore as others remainare on a listing vessel that later sunk in the
eastern Aegean island of Rhodes, Greece on Monday, April 20, 2015. Greek authorities said that at
least three people have died, including a child, after a wooden boat carrying tens of migrants ran
aground off the island of Rhodes. AP/Michalis Loizos GREECE OUT
01:41 a.m. (2341 GMT, 7:41 p.m. EDT)
Prosecutors have arrested the Tunisian captain and a Syrian crew member of a boat that capsized off
the coast of Libya with hundreds of people aboard in what may be the deadliest migrant tragedy
ever.
Assistant prosecutor Rocco Liguori said the two men were charged with favoring illegal
immigration and that the captain was also charged with reckless multiple homicide in relation to the
sinking.
The two men were arrested aboard the rescue boat that brought 27 survivors from the shipwreck,
which may have killed as many as 900 people, to Italy.
8:10 p.m. (1810 GMT, 2:10 p.m. EDT)
The U.S. says it plans to continue cooperation with Europe on the migrant crisis in the
Mediterranean.
World ( Article MRec ), pagematch: 1, sectionmatch: 1
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U.S. State Department spokeswoman Marie Harf said Monday, "I think that the tragic events of the
last few days just underscore how important that cooperation is."
EU leaders will hold an emergency summit on Thursday to discuss how to stem migrant trafficking
from Africa and the Middle East after a boat carrying hundreds of people destined for Europe
capsized off Libya.
Harf says "ultimately, the goal is that refugees and migrants don't have to undertake these steps."
___
7:15 p.m. (1715 GMT, 1:15 p.m. EDT)
European Union foreign affairs chief Federica Mogherini says the reported deaths of hundreds of
migrants over the weekend and Monday has "finally" fully woken up the EU to the evil of human
trafficking.
She said that gathering 41 EU foreign and home affairs ministers around a table in Luxembourg at
less than 24 hours' notice to discuss answers to the tragedy "finally — finally — gives the idea of a
new sense of urgency, a new sense of political will" to tackle the crisis.
Until the weekend the EU had not planned any special meeting and initially, foreign ministers had
no plans to directly discuss migration at Monday's meeting of foreign ministers.
But as the reality of the disasters in the Mediterranean started to sink in, EU President Donald Tusk
on Monday called for an emergency meeting of government leaders, set for next Thursday.
Over the past week, the EU has faced increasing criticism over why it has taken it so long to jump
into action. "As a human being and as a mother, this is also the question that I asked myself in these
hours," Mogherini said.
The Malay Mail (EN)
LONDON, April 22 — Britain said it was considering ways to help Europe’s refugee crisis yesterday
following the Mediterranean’s worst migrant disaster.
Foreign Minister Philip Hammond told the BBC he wanted a “more formidable operation on the sea”,
while Prime Minister David Cameron said he wanted to prevent migrants travelling and “stop this cargo
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of death”.
The Ministry of Defence was understood to be considering options on how to help with the crisis at sea,
said a source close to the matter speaking on condition of anonymity.
“We’ve got one of the strongest and best-organised aid budgets anywhere in Europe and we can help
stabilise some of these countries,” Cameron told BBC radio.
“We’ve obviously got all sorts of resources at our disposal in terms of national criminal intelligence
systems and intelligence services where we can go after the criminal gangs.”
Cameron is to set out details of a plan tomorrow at an European leaders emergency summit called to
address the crisis.
The prime minister, who is seeking re-election in a May 7 vote, defended the decision to end Mare
Nostrum, the Italian search and rescue operation scrapped last October after EU partners including Britain
declined to share the cost.
“It seemed that more lives were being lost because of what the Italian navy was doing,” Cameron said.
“More people were taking to the sea, more people were dying.”
Newspaper The Times reported that the British government was now considering sending a warship to
help in what it described as a “significant change of direction”.
The government “was now ready to consider helping to meet the costs of countries such as Italy, which
are on the front line of the crisis, and assist with the resettlement of refugees,” The Times reported, citing
diplomats.
Options under consideration included the deployment of one of Britain’s biggest warships, the HMS
Bulwark, or using the HMS Dauntless destroyer, or naval helicopters to help with surveillance, the
newspaper said. — AFP
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Migrants
rest after they disembarked in the Sicilian harbour of Augusta, April 16, 2015. — Reuters pic
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Bloomberg Video: Asia’s migrant workers face difficult life choices (2:38)
Millions of Asia’s workers travel abroad to earn a living. Politically, calls to bring them back may earn
governments a few points. — Bloomberg
UNHCR: Weekend shipwreck
deadliest ever in Mediterranean
Trisha Thomas and Collen Barry, The Associated Press, Catania, Sicily | World | Tue, April 21 2015, 9:53
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World News
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The United Nations refugee agency said Tuesday that it believes more than 800 people drowned when a
boat packed with migrants trying to reach Europe sank on Saturday, making it the worst such incident
ever in the Mediterranean.
New details of the tragedy were emerging as the U.N. High Commissioner for Refugees and other aid
agencies interviewed the handful of survivors who arrived overnight in Catania, Sicily.
Survivors put the number of passengers on board the three-deck fishing trawler at 850, according to
UNHCR spokesman Adrian Edwards in Geneva. Only 24 bodies were recovered, in addition to the 28
survivors.
"From available information and the various accounts we've had UNHCR now believes the number of
fatalities to have been over 800 making this the deadliest incident in the Mediterranean that we recorded,"
Edwards told reporters in Geneva.
The International Organization for Migration said the 2015 rate of migrant deaths in the Mediterranean is
much higher than last year, when a total of 3,279 migrants died. That, in turn, was much higher than in
2013, when around 700 died, IOM said.
So far this year, 1,776 have died, according to the U.N. refugee agency, which also estimates that 219,000
people made the crossing last year.
The total number of deaths this year "could well top 30,000," said Joel Millman, spokesman for IOM.
"We just want to make sure people understand how much more ... rapid these deaths have been coming
this year than last year."
Among the arrivals overnight were two suspected smugglers, who were immediately detained for
investigation of aiding and abetting illegal immigration, reckless homicide and causing a shipwreck.
The newly arrived survivors told UNHCR that the wreck was caused when one of the smugglers crashed
the boat against the Portuguese-flagged King Jacob container ship that responded to a distress call,
according to UNHCR spokeswoman Carlotta Sami.
"The survivors said that the person who was steering the boat, their smuggler, was navigating badly, and
he did a bad move that made it crash against the bigger ship," Sami said by telephone from Sicily. The
ship pitched in the water before finally tipping over, and sinking.
Several hundred people were locked on the lower level, hundreds more were inside a second level and
hundreds more were on deck, according to prosecutors.
They said the capsizing was due to both to the mistaken maneuver by smuggler captain, Mohammed Ali
Malek, 27, and then the migrants reaction, moving around the overcrowded boat already unbalanced from
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the collision.
Catania prosecutor Giovanni Salvi on Tuesday backtracked on an earlier statement that the container
ship's inexperience had contributed to the tragedy, stressing that crew members had done their job.
Sami praised the Portuguese ship, which had previous experience in a handful of other migrant rescues.
The weekend deaths have jolted the European Union into taking action, with Italy demanding that it not
be left alone to shoulder the burden of rescues and that the EU focus on preventing the boats from leaving
Libya.
Combatting the smugglers by arresting the ringleaders and destroying their boats is emerging as a key part
of Europe's 10-point proposal for an emergency summit in Brussels on Thursday. Italy has arrested more
than 1,000 smugglers, most of them the navigators and not the masterminds.
The survivors were brought Tuesday to a migrant holding center in Catania and were "very tired, very
shocked, silent," according to Flavio Di Giacomo of the IOM.
Sami said all the survivors were men, several of them adolescents. "They are very confused, fragile and
scared," she said.
The coast guard, meanwhile, reported that it saved some 638 migrants in six different rescue operations
on Monday alone. On Tuesday, a further 446 people were rescued from a leaking migrant ship about 80
miles (130 kilometers) south of the Calabrian coast.
The smugglers use a variety of boats for their crossings, from rubber Zodiac-type boats to wooden fishing
vessels and even old cargo ships. They are almost always overcrowded to maximize the revenue of the
smugglers, who charge between 1,000 and 1,500 euros (dollars) for the crossing from Libya, where most
trafficking operations originate.
Not all those turning to smugglers to escape conflict or violence are risking their lives in unseaworthy
boats. Police in Ragusa, a Sicilian port town, said they arrested three Syrians who were in charge of a 25meter (83-foot) Turkish-flagged luxury yacht, which charged passengers $8,500 a piece to travel from
Turkey to Sicily. Among the Syrian and Palestinian passengers were 23 children.
Selfies and other photos snapped by passengers helped police identify the crew of smugglers, police said
in a statement. They estimated that the organizers were paid some $800,000 in total for the trip.
Authorities discovered that the yacht was a smuggling boat when two merchant ships were called out to
aid a boat in distress.
The EU plan calls for closer law-enforcement coordination to trace smugglers' revenue sources, which
prosecutors have said often evade traditional bank transfers in favor of informal Arab Hawala networks,
in which migrants' relatives in Europe pay local brokers for each leg of the journey.
Italy had launched a robust and expensive search-and-rescue mission in 2013 after some 366 migrants
drowned off the island of Lampedusa. The politically unpopular Mare Nostrum operation ended last year,
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and the EU's Frontex border patrol mission took charge. But its limited mandate and resources have
prevented it from being effective in saving lives.
___
Barry reported from Milan. Frank Jordans in Berlin and Nicole Winfield and Frances D'Emilio in Rome
contributed to this report. (**)
Refugees in the Mediterranean
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The worst yet?
Another boat capsizes between Libya and Italy as
Europe debates migration policy
Apr 19th 2015 | ROME | Europe
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WHETHER it was the Mediterranean's deadliest refugee drowning in decades remains to be seen. But it
was certainly terrible, and its political effects could spread far. One of the survivors of a refugee boat that
capsized late on the night of April 18th in the waters between Libya and the Italian island of Lampedusa
said that at least 700 people had been on board. Just 28 have been rescued so far. That would make it by
far the worst maritime disaster in the Mediterranean since the second world war.
On April 19th the Italian coast guard sounded a cautionary note on the casualty figures. The boat was just
20 metres long, and while it may have been transporting hundreds of people, it is doubtful whether even
the ruthless people-smugglers who dispatch migrants from the Libyan coast could force 700 aboard a
vessel of that size. By early afternoon, with 24 bodies recovered, the coast guard said the number of dead
might need to be recalculated.
What is beyond doubt, though, is that the migrants crossing the Mediterranean to Europe are dying this
year at an unprecedented rate. According to figures released by the Italian interior ministry after the latest
disaster, 23,556 people have entered Italy irregularly by sea since January 1st. That is not a big increase
over 2014, when the figure for the same period was 20,800. But the death toll, according to the
International Organisation for Migration (IOM), has leapt almost tenfold. Even before the latest calamity
it stood at 954.
Why? Apart from worse weather, humanitarian aid officials point to two factors. One is the suspension
last October of Italy’s Mare Nostrum search-and-rescue mission. It was replaced by Operation Triton, run
by the EU’s border control agency, Frontex, which has a much narrower remit to patrol Italy’s territorial
waters and a budget of less than a third that of Mare Nostrum.
The second factor is that the smugglers are cramming more and more people on ever more vulnerable
craft as they run short of boats. Twice this year, armed smugglers have forcibly taken back boats used to
transport migrants and asylum-seekers after their passengers were rescued by other vessels—a sure sign
that the boats are becoming more valuable. In the second incident, which took place last Monday, the
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smugglers fired shots in the air before recovering a wooden craft about 60 nautical miles (111km) from
the Libyan coast.
Frontex’s executive director, Fabrice Leggeri, said last month that “anywhere between 500,000 to a
million people" were ready to leave from Libya. That would not be surprising: Libya has lapsed into
anarchy since the overthrow of Colonel Muammar Qaddafi in 2011. It has become an especially hellish
place for sub-Saharan migrants, who report being robbed, kidnapped and confined to detention centres,
where men are often beaten and women raped. But the shortage of boats suggests that a decreasing
proportion of those wanting to leave for Europe will be able to do so—and those who do will face an
increasingly perilous journey.
What to do? The European Union’s response so far has been remarkably languid. The latest disaster may
at last spur it into action. Mr Leggeri has asked for more resources from the EU. And the leaders of
member states may now be prepared to consider a wider remit for Operation Triton. It would be foolish to
imagine that the migrants and asylum-seekers will stop coming. In lawless Libya and in the migrants'
countries of origin—Syria, Eritrea, Somalia, Mali—the factors pushing them to gamble their lives on a
sea crossing to Italy are still in place.
Viet Nam News:
Italy arrests two over migrant boat sinking
The captain and a crew member of a boat that capsized off Libya on Sunday, killing hundreds of
migrants, have been arrested, Italian officials say.
Survivors of Sunday's sinking off Libya arrived in the Sicilian port of Catania late on
Monday
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The two, held on suspicion of people trafficking, were among 27 survivors who arrived in Sicily late on
Monday.
The arrests come after the EU set out a package of measures to try to ease the migrant crisis in the
Mediterranean.
Search and rescue operations will be stepped up and there will be a campaign to destroy traffickers' boats.
Italian Infrastructure Minister Graziano Delrio said the prosecutor of Catania in Sicily, Giovanni Salvi,
had ordered the arrests of the two men who had arrived in the port on a coast guard vessel.
Other officials said the pair were the Tunisian captain of the migrant boat and his Syrian first mate.
"Prosecutor Salvi has made two arrests this evening of persons involved, that shows Italian justice is
working," Mr Delrio told reporters in Catania.
A homicide investigation has been opened into the disaster, he added.
Speaking about Sunday's disaster, in which only 28 of an estimated 700 migrants were rescued, Mr Salvi
said hundreds had been locked below deck when the boat capsized.
He said more passengers were locked inside cabins on another deck and hundreds more were crammed on
to its upper deck.
Earlier, EU foreign policy chief Federica Mogherini said the 10-point package set out at talks in
Luxembourg was a "strong reaction from the EU to the tragedies" and "shows a new sense of urgency and
political will".
"We are developing a truly European sense of solidarity in fighting human trafficking - finally so."
The measures include an increase in the financial resources of Frontex, which runs the EU's
Mediterranean rescue service Triton, and an extension of Triton's operational area.
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The EU had been criticised over the scope of Triton, which replaced the larger Italian operation Mare
Nostrum at the end of last year.
As the talks took place late on Monday, Italy and Malta said at least two other rescues were taking place.
Italian Prime Minister Matteo Renzi said one of the vessels was a dinghy off the Libyan coast with about
100-150 people on board. The other was a larger boat carrying 300 people.
Earlier, the Greek coastguard said a vessel carrying dozens of migrants had run aground off the island of
Rhodes. Three people had died and 80 were rescued, it said.
Maltese Prime Minister Joseph Muscat said Sunday's disaster off Libya was "a game changer", adding: "If
Europe doesn't work together history will judge it very badly."
Continued political instability in Libya has allowed human trafficking there to flourish.
Ms Mogherini said they had discussed the possibility of supporting a government of national unity in
Libya.
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Source: BBC
Die Deutsche Welle, 3rd December 2015:
Geldpolitik
Kommentar: Ein geldpolitischer Amoklauf
An der jüngsten Zinsentscheidung der Europäischen Zentralbank kann man sehr schön
nachvollziehen, wie eine Politik des billigen Geldes mehr Schaden anrichten kann als Nutzen, meint
Rolf Wenkel.
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Die Leitzinsen hat die EZB unverändert seit September 2014 bei 0,05 Prozent belassen Geschäftsbanken bekommen also Zentralbankgeld weiterhin praktisch umsonst nachgeschmissen.
Allerdings müssen sie ab heute statt 0,2 nunmehr 0,3 Prozent Strafe zahlen, wenn sie
überschüssiges Geld über Nacht bei der Zentralbank parken. Das soll die Institute dazu bewegen,
mehr Kredite an die Wirtschaft zu vergeben - wird aber lediglich die Geldhändler der Banken ins
Schwitzen bringen. Sie müssen noch knapper kalkulieren, um am Ende des Tages nur ja keine
Liquidität übrig zu haben - die Kreditnachfrage wird damit freilich nicht angekurbelt.
Zudem wird die EZB ihr Programm zum Aufkauf von Anleihen um mindestens sechs Monate
verlängern. Das Programm werde "bis Ende März 2017 oder länger" laufen, kündigte EZB-Chef
Mario Draghi an. Das Anfang dieses Jahres gestartete Programm sollte eigentlich bis September
2016 laufen. Derzeit pumpt die EZB über die Anleihekäufe monatlich 60 Milliarden Euro in den
Markt.
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Rolf Wenkel, Redaktion Wirtschaft und Wissenschaft
Lasst Pferde saufen
Karl Schiller, von 1966 bis 1972 Wirtschaftsminister im Kabinett des damaligen Bundeskanzlers
Kurt Georg Kiesinger, hat bei seinem Amtsantritt das Ziel seiner Konjunkturpolitik mit dem
berühmten Satz umschrieben: "Die Pferde müssen wieder saufen". Indes: Wenig später musste er in Anlehnung an eine Bemerkung des britischen Ökonomen John Manyard Keynes - feststellen:
"Man kann die Pferde zwar zur Tränke führen. Man kann sie aber nicht zwingen zu saufen."
Mit anderen Worten: Es ist sinnlos, eine bereits volle Tränke weiter mit Wasser füllen zu wollen.
Doch Mario Draghi gießt weiter Wasser in die überfluteten Tränken. Er ist fest entschlossen, im
Kampf gegen die niedrige Inflation in der Eurozone nachzulegen und die Finanzmärkte weiter mit
Liquidität zu fluten. Allein: Die Unternehmer - oder, um im Bild zu bleiben: die Pferde - saufen und
investieren nicht, und die Inflationsrate verharrt seit einiger Zeit in der Eurozone nahe Null, im
Oktober und November betrug der Preisanstieg lediglich 0,1 Prozent.
Das Gespenst der Deflation
Als idealen Wert für die Teuerungsrate strebt die EZB eigentlich eine Inflationsrate von knapp zwei
Prozent an. Bleibt dieser Wert jedoch nahe Null oder wird er sogar negativ, droht die Alarmstufe
"Rot": Die Unternehmer und Verbraucher könnten Investitionsausgaben und größere
Anschaffungen im privaten Konsum – in Erwartung weiter sinkender Preise - aufschieben und so
das Wirtschaftswachstum bremsen.
Doch die Politik des ultrabilligen Geldes wirkt langsamer als ursprünglich von der EZB erhofft, die
Wirtschaft erholt sich nur langsam, die Pferde saufen nicht. Typisch für dieses Szenario ist die
deutsche Wirtschaft: Sie wächst moderat, stagnierende oder sinkende Exporte in die
Schwellenländer werden durch steigende Exporte in die Europäische Union ausgeglichen, die
Unternehmer zögern mit ihren Anlage- und Erweiterungsinvestitionen, getragen wird der moderate
Aufschwung im wesentlichen von der Konsumfreude der Verbraucher.
Ein Amoklauf ins Leere
Auch was die Inflationsrate angeht, reagiert Marion Draghi völlig unangemessen. Denn momentan
ist es vor allem der stark gesunkene Ölpreis, der die Teuerung niedrig hält. Dagegen stabilisiert sich
die so genannte Kerninflation ohne Energiepreise. Dennoch intensiviert die EZB ihre bisherigen
Maßnahmen, anstatt den Ausweg in die geldpolitische Normalität vorzubereiten. Kein Wunder, dass
Ökonomen mittlerweile urteilen, die derzeit geringe Inflationsrate erfordere keine zusätzlichen
Maßnahmen der EZB, die ohnehin weitestgehend ins Leere laufen.
Stattdessen aber steigern die Entscheidungen der EZB die Risiken für das Finanzsystem. Der
Gewöhnungseffekt an die Geldflut und den unnatürlichen negativen Zins fördert nämlich
womöglich spekulative Blasen. Kapitalanleger, die ständig auf der Suche nach angemessenen
Renditen sind, werden gezwungen, immer höhere Risiken einzugehen. Gleichzeitig werden die
Sparer weiter unter massiven Einbußen leiden.
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Mario Draghi kann einem leid tun. Die Wirtschaft in Europa erholt sich, langsam zwar, aber sie
erholt sich. Und zu vermuten ist: Sie würde sich auch so erholen, ohne den geldpolitischen
Amoklauf eines EZB-Präsidenten, der nur noch deflationäre Gespenster sieht.
Sie können unterhalb dieses Artikels einen Kommentar abgeben. Wir freuen uns auf Ihre
Meinungsäußerung!
GREECE
23 January: Alexis Tsipras, the leader of Syriza party, wins the election. His programme is to end
the scheme of Troika ECB, IFM and EU (www.minfin.gr; http://syriza.net.gr/index.php/en
February: France, Spain and US support Greece, while Germany guides the group of countries that
do not want Greece delay the reimbursement of her debt.
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The argument of Tsipras is to pay the debt in function of the development.
Putin is ready to support Greece in case European Union obliges Greece to abandon the Euro-zone.
In addition, Tsipras does not recognize the Troika. But ECB doesn’t sponsor Greek about any
longer.
06 February: S&P declasses Greece, and Schaeuble indicates the Troika as the interlocutor or
Greece. In addition, he asks to Germany a reimbursement for the 2nd World War damns.
GRECIA, 22 February, Tsipras is happy about the agreements with European Union, in force of
which four months have been given to him for keeping to be alive, but he needs to recover money
from loose taxes.
Greece is fghtng not to fnish in bankrupt.
Halimi Serge (Mars 2015). Soutenir la Grèce. Le Monde diplomatique, Mars 2015.
Lambert Renaud (Mars 2015). Dette publique, un siècle de bras de fer. Le Monde diplomatique,
Mars 2015.
April: Putin offers aid to Greece, but he too is limited since Russia public debt is the double since
the last four years.
May-June: intense negotiations with EU.
July: people referendum about a
ccept or not the new pattern of debt, more in favour of Europe than Greece. Greek people answer
NOT.
Greece, July-August: Varufakis stands down as ministry of Finance. EU agrees to give Greece new
86 billions Euros, that will return back to ECB and IMF mostly, as the previous “aids”. Premier
Tsipras agrees to give Germany Fraport, company that manages Frankfurt airport, the management
of Greek airports (including Mikonos and Santorini ones) for 40 years.
Varoufakis Y. (Aout 2015). “Leur seul objectif était de nous humilier”. Le Monde diplomatique,
Aout 2015.
Halimi S. (Aout 2015). L’Europe don’t nous ne voulons plus. Le Monde diplomatique, Aout 2015.
MACEDONIA, Skopje, 21st August, the gvt decides to stop immigraton closing the highway to Athens. In the
meanwhile UK and FRANCE sign an agreement about Calais control, a place that is controlled in truth by
Britsh Mafa. Afer a few days, the boundaries are open again.
GREECE, 21st August, Alexis Tsipras leaves the gvt. New electons are announced for 20 th September, while
the president gives charge to form a new govt, without success. The migrants issue is about to be added
at the interim govt’s agenda, led by Vassiliki Thanou.
GREECE, 21st September: Tsipras gains again the election, even if the abstention is high.
Dericquebourg B. (Septembre 2015). Syriza et les chausse-trapes du pouvoir. Le Monde
diplomatique, September 2015.
Der Spiegel, 29th November 2015:
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Grenzzaun in Mazedonien: Steinwürfe und Blendgranaten
Mazedonien errichtet einen meterhohen Zaun an der Grenze zu Griechenland, um
Flüchtlinge zurückzuhalten. Am Samstag gab es einen tragischen Unfall, im Anschluss daran
eskalierte die Situation. Es flogen Steine und Blendgranaten.
AP
Die Spannungen zwischen mazedonischen Sicherheitskräften und Flüchtlingen an der griechischmazedonischen Grenze drohten am Samstag vorübergehend zu eskalieren. Mazedonische Soldaten
bauen dort derzeit einen Grenzzaun mit drei Meter hoch aufragenden Metallpfosten, die in den
Boden entlang der Grenze zwischen den beiden Staaten gerammt werden.
Die Armee setzte schweres Gerät ein, um die hohe Absperrung bei Gevgelija schrittweise
aufzustellen. Ein Unfall führte dann möglicherweise dazu, dass es zwischen den wartenden
Flüchtlingen auf der griechischen Seite und mazedonischen Polizisten zu Gewalttaten kam. Ein
Mann war der Agentur AP zufolge auf einen Zug geklettert und hatte die Oberleitung angefasst. Er
zog sich schwere Verbrennungen zu, die auch auf Agenturfotos vom Unfallort zu sehen sind.
Der Mann wurde in ein griechisches Krankenhaus gebracht, sein Zustand sei kritisch, berichtete die
griechische Polizei. Der Unfall führte offenbar dazu, dass einige der wartenden Flüchtlinge damit
begannen, die Polizeibeamten auf der anderen Seite mit Steinen zu bewerfen. Die habe die etwa 250
Steinewerfer anschließend mit Blendgranaten und Tränengas zurückgedrängt, berichten AP und
Reuters.
Dem Bericht zufolge positionierten sich griechische Polizisten schließlich zwischen Steinewerfern
und mazedonischen Beamten, um letztere zu schützen. Die Flüchtlinge hätten die griechischen
Beamten nicht angreifen wollen.
Fotostrecke
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Mazedonisch-griechische Grenze: Gewalt am Zaun
Mazedonien, Serbien und Kroatien liegen auf der sogenannten Balkanroute, über die
Hunderttausende Menschen in EU-Länder fliehen. Ein Großteil von ihnen will nach Deutschland
weiterreisen. Die Sicherheitsvorkehrungen wurden nach den Anschlägen vom 13. November in
Paris verstärkt.
Vor rund einer Woche erließ die mazedonische Regierung eine Neuregelung, nach der nur noch
Syrer, Afghanen und Iraker durchgelassen werden. Alle anderen Flüchtlinge werden von
Mazedonien als Wirtschaftsmigranten eingestuft. Ähnliche Regelungen bestehen in Serbien und
Kroatien.
Ein Sprecher der mazedonischen Regierung hatte erklärt, der neue Zaun diene lediglich dazu, "den
Zufluss der Menschen zu den Kontrollpunkten für die Registrierung und humanitäre Behandlung zu
leiten". Die Grenze bleibe offen für all jene, die "aus vom Krieg betroffenen Regionen kommen".
cis/AFP/AP/Reuters
Die Deutsche Welle, 3rd December 2015:
Schuldenkrise
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Griechenland: Banken gerettet, Milliarden
verloren
Die Rekapitalisierung griechischer Banken ist erfolgreich - hat allerdings Nebenwirkungen:
Milliardenverluste für die Steuerzahler und zweifelhafte Eigentumsverhältnisse.
Der jüngste Spruch des griechischen Finanzministers Eukleid Tsakalotos zur Bankenrettung wird
vermutlich in die Annalen der Schuldenkrise eingehen: "Wir sind Opfer unseres eigenes Erfolgs",
erklärte Athens oberster Kassenwärter am Rande eines Treffens der Euro-Finanzminister im
November - und meinte damit, dass die Banken aufgrund reger Nachfrage nach ihren Aktien
schneller als ursprünglich geplant und mit weniger staatlicher Hilfe neues Eigenkapital aufbauen
könnten.
Allerdings hat die eilig organisierte Bankenrettung ihre Tücken: Um möglichst schnell möglichst
viele Investoren anzulocken, haben angeschlagene Banken in Hellas im sogenannten Reverse-SplitVerfahren mehrere Anteilsscheine zu einer einzigen Aktie zusammengefasst und diese zum
Schleuderpreis verkauft. Hatte etwa der steuerfinanzierte Athener Rettungsfonds HFSF bei der
letzten Rekapitalisierung vor zwei Jahren noch 4,29 Euro für einen Anteilsschein der National Bank
of Greece ausgeben müssen, waren diesmal für Privatinvestoren nur zwei Cent für eine Aktie fällig.
Vereinfacht lautet die Devise: Hundert neue Aktien zum bisherigen Preis einer einzelnen Aktie.
Entsprechend verlieren alle Bankenpapiere an Wert, die der öffentliche Rettungsfonds HFSF derzeit
als Alteigentümer besitzt.
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Generalstreik in Griechenland (Wirtschaft 03.12.2015)
Milliardenverluste für den Staat
"Der Staat und die Steuerzahler verlieren 30 Milliarden Euro" empört sich die Athener
Wochenzeitung To Vima. Das Verfahren und der daraus resultierende Schaden seien durchaus
vergleichbar mit dem Rückgriff auf die Bankeinlagen Zyperns im Jahr 2013, rügt das Blatt.
Allerdings würden auf Zypern in erster Linie die eigenen Kunden zur Rettung der Banken
herangezogen, während in Griechenland die Steuerzahler haften.
Kostas Stoupas, Ökonom und Analyst im Wirtschaftsportal Capital.gr, erklärt den Sachverhalt im
Gespräch mit der DW wie folgt: "Mit knapp sieben Milliarden Euro konnten Privatinvestoren in
den vergangenen Tagen rund zwei Drittel des Aktienkapitals aller Systembanken ergattern. Sowohl
der Staat, als auch diverse Privatinvestoren hatten in früheren Rekapitalisierungsrunden 37
Milliarden zur Verfügung gestellt, die jetzt praktisch verloren sind."
Alternativloses Handeln
Allerdings gäbe es auch keine Alternative zu dieser Vorgehensweise, gibt Stoupas zu bedenken.
Oder anders formuliert: Die Alternative wäre lediglich, Griechenland hätte sich im Jahr 2015 nicht
auf das Abenteuer aufeinanderfolgender Wahlen eingelassen und das Vertrauen in die Gesundung
des Bankensystems dadurch nicht gefährdet, meint der Ökonom.
Die Links-Rechts-Regierung in Athen sieht das natürlich anders. Sie behauptet, die jüngste
Rekapitalisierungsrunde in Hellas sei keine Folge politischer Instabilität und nur deshalb nötig
gewesen, weil frühere Kapitalerhöhungen nicht erfolgreich gewesen seien. Mit anderen Worten:
Die früher regierenden Konservativen und Sozialisten seien schuld.
Die Redaktion empfiehlt
Dämpfer für griechische Wirtschaft
Die griechische Wirtschaft ist im dritten Quartal stärker geschrumpft als zunächst berechnet. Das
lag vor allem an der wochenlangen Schließung der Banken im Sommer. (27.11.2015)
Griechenland überzeugt Geldgeber
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Athener Parlament billigt weiteres Reformpaket
Politischer Streit
Für die Oppositionsparteien wiederum ist die Bankenrettung ein Skandal wegen Verschleuderung
öffentlicher Gelder, vor allem aber deshalb, weil die griechischen Kreditinstitute angeblich zur
leichten Beute ausländischer Spekulanten würden.
Im Gespräch mit der DW erklärt der sozialdemokratische EU-Abgeordnete Miltos Kyrkos seine
Sicht der Dinge: "Nachdem die griechischen Banken 2013 mit Steuergeldern rekapitalisiert wurden,
hielt der Staat immerhin 80 Prozent der Anteile an jedem Kreditinstitut. Nun pumpen wir weitere
Steuermilliarden hinein und verlieren trotzdem über Nacht die Kontrolle über unser Bankensystem.
Als wäre das nicht schon genug, veräußert man die Banken an Hedge-Fonds, nämlich ausgerechnet
an diejenigen, die Linkspolitiker früher einmal als Markt-Geier zu verschreien pflegten."
Selbst die wirtschaftsliberale Abgeordnete und Ex-Außenministerin Dora Bakoyannis schlägt
kritische Töne an. Nach der jüngsten Rekapitalisierungsrunde sei der Wert des Staatsanteils an den
griechischen Banken von 25 Milliarden Euro auf einen Tiefstand von 500 Millionen gefallen; damit
würden die Kreditinstitute völlig entwertet und zudem "enthellenisiert", moniert Bakoyannis in
einer parlamentarischen Anfrage.
Von dieser Rhetorik des Wirtschaftspatriotismus hält der Ökonom Kostas Stoupas wenig. "In einer
modernen, global verknüpften Wirtschaft, agieren die Unternehmen ohnehin international. Nicht die
Herkunft des Kapitals ist entscheidend, sondern die Frage, ob der Kapitalgeber sich an Recht und
Gesetz hält", erläutert der Analyst.
Athener Börse im Minus
Die umstrittene Rettung der Kreditinstitute belastet nicht zuletzt die ohnehin krisengebeutelte
Athener Börse. Erst ab dem 14. Dezember sollen die nach erfolgter Rekapitalisierung erworbenen
Aktien zum Verkauf angeboten werden, möglicherweise zum Schleuderpreis.
Schon jetzt liegen die Werte der Altaktionäre deutlich im Minus; an bestimmten Tagen stürzen
einzelne Bankaktien sogar um bis zu 30 Prozent ab. "Das war natürlich zu erwarten", sagt Analyst
Kostas Stoupas. "Viele Altaktionäre versuchen derzeit, ihre Papiere zu einem einigermaßen
vernünftigen Preis loszuwerden, bevor die neuen Aktionäre mit ihren günstig erworbenen Aktien
ins Geschäft einsteigen. Deshalb geht der Bank-Index deutlich ins Minus und ich glaube, nach
unten ist noch viel Raum.‟
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BELGIUM
DENMARK
Tore Vincents Olsen (2015). The Danish free school tradition under pressure. Comparative Education, Volume 51,
Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and
Contemporary Challenges, Pages: 22-37.
(premier Helle Thornig-Schmidt), 15 February, terrorist Omar Abdel Hamid el Hussein, from
Denmark, who killed some Jews in an occasion of debate about freedom of speech, is killed by
Police. He was 22.
FRANCE
Xavier Pons, Agnès van Zanten & Sylvie Da Costa (2015). The national management of public and Catholic
schools in France: moving from a loosely coupled towards an integrated system? Comparative Education, Volume 51,
Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and
Contemporary Challenges, Pages: 57-70.
France January: terrorist attack against the newspaper Charlie Hébdo in Paris (the magazine was satyricon
against Islam). Immediate the general response in the name of the freedom of word. Also Jewish centers,
not only in France, were attacked by Islamic-inspired terrorists, even if many Muslim separated from these
actions. Netanyahou in Israel accuses that Europe is no longer a secure place for Jews to live.
Ravelli, Quentin (Janvier 2015). Les dessous de l’industrie pharmaceutique.
Le Monde diplomatique,
Janvier 2015.
Boganda, Cyprien (2014). Le Business des faillites. Enquete sur ceux qui prospèrent sur les ruines de
l’économie française. Paris : La Découverte.
Bonelli, Laurent (Février 2015). Les chemins de la radicalisation. Le Monde diplomatique, Février 2015. Avec
un dossier sur le djihadisme en Afrique.
Clouet, Hadrien (Février 2015). Chomage, le mythe des emplois vacants. Le Monde diplomatique, Février
2015.
Libération: www.liberation.fr
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Demandes d'asile en Europe: Manuel Valls
opposé aux quotas de migrants
AFP 16 mai 2015 à 17:00 (Mis à jour : 16 mai 2015 à 17:13)
L
e Premier ministre Manuel Valls à Lyon, le 11 mai 2015 (Photo Philippe Desmazes. AFP)
Le Premier ministre prône une répartition plus équitable des
demandeurs d'asile entre pays de l'Union Européenne.
Le Premier ministre Manuel Valls s’est dit samedi opposé à l’instauration de «quotas» pour la
répartition des demandeurs d’asile dans les pays de l’UE, à l’occasion d’une visite près de la
frontière franco-italienne, où des centaines de migrants ont été arrêtés au cours des derniers
jours.«Je suis contre l’instauration de quotas de migrants; ceci n’a jamais correspondu aux
propositions françaises», a déclaré Valls en gare de Menton, aux côtés du ministre de l’Intérieur
Bernard Cazeneuve et des députés UMP Eric Ciotti et Christian Estrosi. «En revanche, l’Europe
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doit avoir une politique de l’asile et la France a entrepris de réformer la sienne pour la rendre plus
efficace», a poursuivi le Premier ministre.
Sur le même sujet

Migrants : l’Europe invente la solidarité par quotas
Par Cédric Vallet
Le plan d’action pour l’immigration et l’asile présenté mercredi par la Commission européenne
prévoit des quotas obligatoires pour assurer une distribution équitable des réfugiés et en cas de
crise, un transfert des demandeurs d’asile entre les États de l’UE. «L’asile est un droit, attribué
selon des critères internationaux appliqués par tous les pays de l’Union européenne. C’est aussi
pour cette raison que le nombre de ses bénéficiaires ne peut faire l’objet de quotas : on est
demandeur d’asile ou on ne l’est pas», a ajouté le Premier ministre.
A la gare de menton nous rappelons à @manuelvalls et @BCazeneuve les difficultés de l’afflux
important de migrants pic.twitter.com/GPzInwGlKr
— Christian Estrosi (@cestrosi) 16 Mai 2015
«Ce que la France dit, c’est que les réfugiés doivent être répartis entre les Etats membres de façon
plus équitable. Cela suppose de tenir compte des efforts déjà consentis par chacun. Aujourd’hui, la
France, l’Italie, l’Allemagne, le Royaume-Uni et la Suède accueillent 75% des réfugiés, des
demandeurs d’asile en Europe», a déclaré Manuel Valls.
La France est contre l'instauration de quotas de migrants en Europe et pour un système européen de
gardes-frontières. pic.twitter.com/eKp5zm5CkE
— Manuel Valls (@manuelvalls) 16 Mai 2015
«La France, déjà, a fait beaucoup: ainsi 5000 réfugiés syriens et 4500 irakiens ont déjà été
accueillis en France depuis 2012. Nous continuerons à le faire, avec le souci que les efforts soient
équitablement répartis», a-t-il encore fait valoir.«La France, non seulement fait des efforts pour
accueillir, mais est aussi engagée dans des efforts militaires (...), elle répond aux défis que
représentent le terrorisme et le trafic des migrants (...). Elle le fait pour sa propre sécurité, pour
celle des pays d’Afrique, mais aussi pour celle de l’Europe et il ne faut pas l’oublier dans la
répartition de l’accueil des réfugiés», a-t-il conclu.
Après leur visite en gare de Menton, les ministres se sont rendus au poste-frontière de Saint-Louis,
toujours à Menton, puis devaient ensuite se rendre à la gare de péage de La Turbie, sur l’autoroute
A8, où se trouve un point de contrôle ouvert 24 heures sur 24. Au total, 152 personnels, pour
l’essentiel issus de la Police aux Frontières, sont déployés dans les Alpes-Maritimes pour contrôler
les flux migratoires. Entre lundi et jeudi, les forces de l’ordre ont interpellé dans les AlpesMaritimes 944 migrants, selon des chiffres du préfet Adolphe Colrat. Depuis le début de l’année, 54
passeurs ont également été arrêtés.
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FRANCE, 22nd March, electons, Sarkozy returns to be the leader, while Marine Le Pen is third politcal
force in the country.
On 25th March a German airplane falls in France – the co-pilot sufered for depression.
Descamps Philippe (Mars 2015). “Où sont les Sartre, les Foucault?”. Le Monde diplomatique, Mars 2015.
Gombin Joel (Mars 2015). Mythologie du front républicain. Le Monde diplomatique, Mars 2015.
Bréville Benoit, Rimbert Pierre (Mars 2015). Une gauche assise à la droite du people. Le Monde
diplomatique, Mars 2015.
Bulard M. (Avril 2015). Loi Macron, le choix du ‘toujours moins’. Le Monde diplomatique, Avril 2015.
Dupin E. (Avril 2015). Le grand ratage des écologiestes français. Le Monde diplomatique, Avril 2015.
FRANCE: 2O May, Marine Le Pen accuses Europe to be a partner of the migrants traffickers.
31 May Nikolas Sarkozy changes the name of UMP party, that is now Les Republicains.
Didier M. (Aout 2015). Les bergers, prolétaires de l’élevage. Le Monde diplomatique, Aout 2015.
Souchon P. (Aout 2015). Syndrome de Stockholm à Disneyland Paris. Le Monde diplomatique, Aout
2015.
Daum P. (Aout 2015). Islam et relegation urbaine à Montpellier.
Le Monde diplomatique, Aout 2015.
Pigeaud F. (2015). France-Cote d’Ivoire, une histoire tronquée. Paris: Vents d’ailleurs.
La Verdad (Venezuela) : Venezuela,
Maracaibo, 14 de Noviembre de 2015
EI a Francia: “El hedor de la muerte no dejará sus narices”
AP / El Cairo / [email protected]
El Estado Islámico (EI) reivindicó el ataque del viernes por la noche en el centro de París, y destacó en su
comunicado que Francia seguirá “encabezando la lista” de sus objetivos terroristas
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El Estado Islámico se adjudicó los atentados en París, a través de un comunicado en Árabe y
Frances, por las redes sociales. (fotos: Captura video)
El grupo Estado Islámico se adjudicó el sábado la autoría de la ola de ataques en París que mataron
a 127 personas y dijo que Francia seguirá “encabezando la lista” de sus objetivos.
En una declaración publicada en internet, el grupo extremista dijo que ocho milicianos armados con
cinturones explosivos y armas automáticas atacaron objetivos cuidadosamente seleccionados en la
“capital de adulterio y el vicio”, incluso un estadio de fútbol donde Francia jugaba contra Alemania,
y la sala de conciertos Bataclan, donde tocaba una banda de rock estadounidense y “cientos de
apóstatas asistían a una fiesta adúltera”.
El comunicado dijo que Francia y sus partidarios “se mantendrán en el inicio de la lista de objetivos
del Estado Islámico”.
“El hedor de la muerte no dejará sus narices, siempre y cuando sigan al frente de la campaña de los
cruzados, se atrevan a maldecir a nuestro profeta, se jacten de una guerra contra el islam en Francia
y ataquen a los musulmanes en las tierras del califato con aviones de guerra que no les sirven en las
calles y callejones podridos de París”, dijo.
Francia forma parte de la coalición liderada por Estados Unidos que ha estado golpeando al grupo
Estado Islámico en Siria e Irak durante el último año. Antes fue blanco de los yihadistas debido a su
percibida tolerancia a expresiones que son consideradas ofensivas para el islam.
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El comunicado escrito en francés y árabe fue publicado en internet y después difundido por
partidarios del grupo. Los simpatizantes también hicieron circular una versión en audio leída por un
portavoz sin identificar y cuya voz se parece mucho a la de un locutor de la radioemisora Al Bayan.
No fue posible confirmar por el momento la autenticidad de las publicaciones, pero los textos que
circularon por internet portaban el logotipo del grupo y eran similares a declaraciones previas del
grupo.
Los comunicados no proporcionaron las nacionalidades ni otra información sobre los atacantes.
Momentos antes, el presidente de Francia, François Hollande, había atribuido los ataques al grupo
EI y prometió responder a los atentados, que calificó de “acto de guerra”.
Los yihadistas ya han atacado a Francia en varias ocasiones, incluso en enero, cuando hombres
armados irrumpieron en las oficinas de la revista satírica Charlie Hebdo, que había publicado
caricaturas del profeta Mahoma consideradas ofensivas para los musulmanes. Ese ataque, en el que
murieron 12 personas, fue reivindicado por Al Qaeda.
Al Asad culpa a política francesa de expandir el terrorismo
EFE / Damasco / [email protected]
El presidente sirio, Bachar al Asad, responsabilizó a la equivocada política de Francia en el Oriente Medio de
apoyar el terrorismo y su expansión, y agregó: “los terroristas no reconocen fronteras”
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Al Asad invitó a los países occidentales a “adoptar nuevas políticas y procedimientos activos"
contra el terrorismo. (Fotos: Archivo)
El presidente sirio, Bachar al Asad, culpó hoy a la política francesa en Oriente Medio de “contribuir
a la expansión del terrorismo”, en su reacción a los ataques, reivindicados por el grupo yihadista
Estado Islámico (EI), que anoche causaron al menos 127 muertos en París.
“La política equivocada de los Estados occidentales, particularmente Francia, hacia los
acontecimientos de la región (de Oriente Medio), y el apoyo de un número de sus aliados a los
terroristas son razones que están detrás de la expansión del terrorismo”, señaló Al Asad, citado por
la agencia oficial siria de noticias, Sana.
El presidente sirio insistió también en la importancia de “adoptar nuevas políticas y procedimientos
activos para detener el apoyo logístico y político a los terroristas con el objetivo de derrotar al
terrorismo”.
Al Asad realizó estas declaraciones durante la recepción a una delegación de personalidades
francesas, encabezada por el diputado opositor Thierry Mariani, añadió Sana.
En ese encuentro, Al Asad añadió que los ataques terroristas de París no pueden separarse de los
que tuvieron lugar en Beirut (hace dos días, que provocaron al menos 43 muertos), del conflicto que
asuela Siria desde hace casi cinco años y de lo que está sucediendo en otras regiones.
“El terrorismo es un campo en el mundo y los terroristas no reconocen fronteras”, señaló el
presidente sirio.
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Por su parte, los miembros de la delegación gala subrayaron que estos ataques terroristas en Francia
ocurridos ayer probaron que no hay Estado que pueda estar a salvo del terrorismo, destacó la
agencia.
Los invitados franceses señalaron también, según Sana, la importancia de unificar esfuerzos
regionales e internacionales para combatir y detener este fenómeno que amenaza a los pueblos de la
región y del mundo.
El EI reivindicó hoy en un comunicado de texto y audio difundido en internet la autoría de estos
actos terroristas y precisó que fueron perpetrados por ocho hombres armados que detonaron sus
cinturones explosivos cuando se acabó la munición de sus ametralladoras.
Al menos 127 personas fallecieron y 180 resultaron heridas en varios atentados anoche en París, con
tres explosiones en las proximidades del Estadio de Francia, donde se disputaba el partido amistoso
Francia-Alemania; la toma de rehenes en una sala de fiestas y tiroteos en varios restaurantes.
Novaya Gazeta, 14th November 2015: British man Nick Alexander has been confirmed as the first
UK victim of the Paris terror attacks.
Mr Alexander was selling merchandise at the Bataclan concert hall when he was killed among the
massacre following a night of terror in the French capital.
His death was confirmed by the Foreign Office and officials fear there a handful of British people
have lost their lives.
In a statement, Mr Alexander's family said he was "everyone's best friend" and died "doing the job
he loved".
They said: "It is with huge sorrow that we can confirm that our beloved Nick lost his life at the
Bataclan last night.
Read more
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Several Britons feared dead in terror atrocities in Paris
Vigils in Trafalgar Square to honour victims of Paris attacks
Islamic State claims responsibility for Paris attacks
"Nick was not just our brother, son and uncle, he was everyone's best friend - generous, funny and
fiercely loyal.
"Nick died doing the job he loved and we take great comfort in knowing how much he was
cherished by his friends around the world. Thank you for your thoughts and respect for our family
at this difficult time. Peace and light."
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Libération, 18 Novembre 2015:
Ce que l'on sait des assaillants
L'enquête a permis de préciser le rôles des neufs personnes
ayant semé la mort dans les rues de Paris le 13 novembre.
L’organisation
Ce qu’il s’est passé au Stade de France
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21h20. Un kamikaze se fait exploser à côté de la porte D au Stade de France, rue Jules-Rimet. Il
porte un gilet explosif composé de «TATP, de piles, de boulons, et de boutons-poussoirs», selon le
procureur, qui s’est exprimé samedi 14 novembre. Les enquêteurs ont retrouvé près de lui un
passeport syrien au nom de Ahmad al Mohammad, né le 10 septembre 1990 à Idleb. Au cours de
l’explosion, une personne est soufflée, Manuel Dias un chauffeur de car âgé de 63 ans.
21h30. Près du Stade de France, toujours rue Jules-Rimet, porte H cette fois, un autre kamikaze fait
exploser son gilet, causant sa propre mort.
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21h53. Un troisième kamikaze, Bilal Hadfi, active son gilet explosif rue de la Cokerie à SaintDenis, sans faire de blessés.
Ce qui reste incertain. L’identité de deux kamikazes sur trois est encore inconnue. Il y a en effet
des doutes sur l’authenticité du passeport syrien retrouvé au côté du premier kamikaze.
Ce qu’il s’est passé aux terrasses des bars et restaurant
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21h25. Au bar le Carillon et au restaurant le Petit Cambodge, à l’angle des rues Alibert et Bichat,
trois terroristes qui circulaient à bord d’une Seat Leon noire tuent 15 personnes.
21h32. A l’angle de la rue de la Fontaine au Roi et de la rue du Faubourg-du-Temple, au bar La
Bonne bière et au restaurant Casa Nostra, cinq personnes sont tuées par balle et huit autres sont
blessées. Les assaillants circulent, là encore, en Seat Leon noire.
21h36. Au 92, rue de Charonne, au restaurant la Belle Equipe, des individus, là encore à bord d’une
Seat de couleur noire, tirent plusieurs rafales causant la mort de 19 personnes.
21h40. Au bar le Comptoir Voltaire, au 23 boulevard Voltaire, Brahim Abdeslam actionne un
«dispositif explosif identique» aux terroristes du Stade de France, selon le procureur de la
République. Une personne est grièvement blessée, et d’autres «plus légèrement».
Ce que l’on sait. La Seat noire, qui aurait été utilisée par les attaquants, a été louée au nom de
Salah Abdeslam, frère du kamikaze qui s’est fait exploser boulevard Voltaire. Selon la
vidéosurveillance, trois assaillants étaient à bord de la voiture. Selon le procureur le 18 novembre,
Brahim Abdelsam était présent dans la Seat noire avant de se faire exploser boulevard Voltaire.
Ce que l’on ne sait pas. La présence de Salah Abdelsam dans la voiture reste à confirmer.
L’identité du troisième assaillant ainsi que son rôle demeurent inconnus.
Ce qu’il s’est passé au Bataclan
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21h40. Trois individus équipés d’armes de guerre, entrent au Bataclan (Paris XIe). Ils déchargent
leurs chargeurs sur la foule près du bar et dans la fosse avant de prendre en otage les occupants dans
la fosse. La BRI et le Raid donnent l’assaut à 0h20, au cours duquel deux terroristes – parmi
lesquels Omar Ismaïl Mostefaï –, se sont donné la mort en actionnant leur gilet d’explosifs. Le
troisième assaillant, Samy Amimour, a été tué par les forces de l’ordre bien qu’ayant aussi activé
son gilet. Le bilan fait état de 89 morts.
Ce que l’on sait. La Polo noire utilisée par les terroristes pour se rendre au Bataclan a été louée par
Brahim Abdeslam, qui s’est fait exploser boulevard Voltaire.
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Ce que l’on ne sait pas. L’identité de l’un des trois terroristes qui s’est donné la mort dans la salle
de concert est toujours inconnue.
L’équipe démantelée de Saint-Denis
Un assaut le 18 novembre à Saint-Denis (93) permet de surprendre une cellule terroriste,
lourdement armée.
Ce que l’on sait. Selon le procureur, qui s’est exprimé le 18 au soir, au moins deux personnes sont
mortes lors de l’assaut. Deux hommes, trouvés dans les décombres, ont été placés en garde à vue.
Aucune identité ne peut être encore définie, mais le procureur a précisé que les gardés à vue
n’étaient ni Abdelhamid Abaaoud, ni Salah Abdeslam.
Libération, 18 Novembre 2015: Constitution
Etat d'urgence : ce que le gouvernement va
changer
Par Lilian Alemagna — 18 novembre 2015 à 13:09
Manuel Valls et Bernard Cazeneuve lors du Conseil de défense, le 14 novembre 2015. Photo Albert
Facelly pour Libération
Le Conseil des ministres a adopté ce mercredi matin le
prolongement de trois mois de l'état d'urgence, le temps de
modifier la Constitution.

Etat d'urgence : ce que le gouvernement va changer
Ce mercredi matin en Conseil des ministres, le Premier ministre, Manuel Valls, et le ministre de
l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, ont présenté comme prévu un projet de loi destiné à prolonger l’état
d’urgence de trois mois et modifiant la loi du 3 avril 1955. Trois mois, le temps de faire adopter une
révision constitutionnelle qui devrait – notamment – inscrire l’état d’urgence et son encadrement
dans la loi fondamentale française.
Assignation à résidence
Déjà prévu dans cette loi créée à l’époque de la guerre d’Algérie, le «régime d’assignation à
résidence» sera «modernisé» et «élargi à toute personne à l’égard de laquelle il existe des raisons
sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre
public». Les «conditions» de ces assignations (escortes, pointages aux postes de police ou de
gendarmeries) seront «précisées». Selon les souhaits du gouvernement, «il pourra être interdit à la
personne assignée à résidence d’entrer directement ou indirectement en contact avec des personnes
soupçonnées également de préparer des actes portant atteinte à l’ordre public». Par ailleurs, la
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commission administrative vers laquelle pouvaient se tourner jusqu’ici les assignés à résidence sera
«supprimée» et «remplacée par le recours de droit commun devant la juridiction administrative».
Perquisitions
Là aussi, le gouvernement veut «préciser» ce régime et, pour le coup, l’encadrer davantage : «Une
perquisition administrative ne pourra viser les locaux» des parlementaires, des avocats, des
magistrats ou des journalistes. Par ailleurs, le procureur de la République «sera informé de toute
décision de perquisition» en présence d’un officier de police judiciaire. Et comme les ordinateurs
personnels n’existaient pas il y a soixante ans, «lors de ces perquisitions, il pourra être fait copie
sur tout support des données stockées dans tout système informatique ou équipement».
Dissolution
Ce projet de loi «ouvre la possibilité de dissoudre les associations ou groupements de fait qui
participent, facilitent ou incitent à la commission d’actes portant une atteinte grave à l’ordre
public, et qui comportent en leur sein des personnes assignées à résidence».
Fin du contrôle des journalistes
Pour bien faire comprendre que ce «toilettage» de la loi de 1955 et la révision constitutionnelle qui
se prépare respecteront bien «l’Etat de droit» – mot répété par l’exécutif depuis vendredi soir et les
attentats – le «contrôle de la presse ou de la radio, prévu dans la loi de 1955 mais jamais utilisé,
est supprimé».
Peines encourues
Le gouvernement a également décidé d’accroître «substantiellement» les «peines encourues» par
ceux qui tenteraient d’échapper aux assignations à résidence ou aux perquisitions. Sans préciser
– encore – l’échelle des sanctions prévues.
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‫‪www.sissu.it‬‬
‫ال اهرام‬
‫‪27th November 2015:‬‬
‫قواتها على الحدود السورية‪..‬أولند فى موسكو لبحث مواجهة الرهاب ‪ ..‬وقلق أمريكى من منظومة الصواريخ الروسية‬
‫‪ :‬أنقرة ‪ -‬سيد عبد المجيد ‪ -‬موسكو ‪ -‬وكالت النباء‬
‫‪2‬‬
‫‪1556‬‬
‫طباعة المقال‬
‫بوتن وهولند‬
‫رفضت كل من روسيا وتركيا أمس مجددا التراجع عن خلفاتهما بشأن إسقاط تركيا للطائرة الروسية المقاتلة‪ ،‬حيث أكد الرئيس‬
‫الروسى فلديمير بوتين أمس أن موسكو ترى أن القيادة التركية تتعمد جر العلقات الروسية ـ التركية لطريق مسدود‪ ،‬بينما‬
‫‪.‬أرسلت تركيا تعزيزات عسكرية إلى حدودها مع سوريا‬
‫وقال بوتين خلل حفل فى الكرملين لتسلم أوراق اعتماد مجموعة من السفراء الجانب«يبدو أن‬
‫القيادة التركية تجر عمدا العلقات الروسية التركية إلى طريق مسدود»‪ ،‬وأضاف أن موسكو‬
‫‪.‬تنتظر اعتذارا من تركيا عن إسقاطها المقاتلة الروسية أو عرضا للتعويض عن الضرار‬
‫يأتى ذلك فى الوقت الذى أعلن فيه الكرملين أمس أن روسيا ل تزال تنتظر ردا معقول من أنقرة‬
‫‪.‬على السبب الذى دفعها إلى إسقاط الطائرة المقاتلة‬
‫وفى الوقت نفسه‪ ،‬ذكرت وزارة الزراعة الروسية أمس أنه تقرر تشديد الرقابة على الواردات‬
‫الغذائية التركية وتنظيم عمليات فحص إضافية على الحدود وفى مراكز إنتاجها فى تركيا بعد أن‬
‫‪www.sissu.it‬‬
‫أظهر بحث لوزارة الزراعة أن نحو‪ ٪١٥‬من الواردات الزراعية التركية ل تتفق مع القواعد‬
‫‪.‬الروسية‬
‫وأوضح وزير الزراعة الروسى ألكسندر تكاشوف« ‪:‬نظرا للنتهاكات المتكررة من قبل المنتجين‬
‫التراك للمعايير الروسية‪ ،‬فإن الحكومة الروسية أصدرت تعليمات لهيئة الرقابة الزراعية بتشديد‬
‫الرقابة على المنتجات الزراعية والغذائية التركية‪ ،‬وكذلك تنظيم عمليات فحص إضافية على‬
‫‪».‬الحدود وفى نقاط النتاج فى الجمهورية التركية‬
‫وقالت صحيفة ميلليت أمس إن القرارت الروسية أدت إلى اصطفاف الشاحنات التركية على‬
‫‪.‬الحدود فى شكل طوابير طويلة ممتدة على عدة كيلومترات مع روسيا‬
‫من جانبه‪ ،‬أرسل الجيش التركى أمس الول‪ ،‬تعزيزات عسكرية إلى بلدة«يايلداغي »فى ولية‬
‫‪.‬هطاي‪ ،‬جنوب البلد‬
‫وأعلنت رئاسة الركان التركية‪ ،‬أنها دعت مسئولين اثنين من الملحقية العسكرية فى السفارة‬
‫‪‪،‬حيث تم إطلعهما على معلومات بشأن حادثة‬
‫الروسية بأنقرة‪ ،‬إلى مقرها أمس وأمس الول ‪‪‬‬
‫‪.‬إسقاط الطائرة الروسية‬
‫وفى كلمة له‪ ،‬قال الرئيس التركى أردوغان إن بلده سترد بنفس الطريقة لى انتهاك للجواء‬
‫‪.‬التركية‪ ،‬وانتقد من جديد القصف الجوى الروسى لجبل التركمان‬
‫وفى السياق ذاته‪ ،‬قالت صحيفة«وطن»التركية أنه من المتوقع حدوث أول لقاء بين رئيسى‬
‫الجمهورية رجب طيب أردوغان والرئيس الروسى فلديمير بوتين الثنين المقبل على هامش‬
‫‪.‬اجتماع قمة المناخ فى باريس وبمشاركة ‪ ١٤٧‬رؤساء دولة وحكومات‬
‫يأتى ذلك فى الوقت الذى أعربت فيه واشنطن عن قلقها من إعلن روسيا نيتها نشر صواريخ إس‬
‫‪ ٤٠٠.‬المتطورة المضادة للطائرات فى قاعدة حميميم فى سوريا‬
‫وأوضح مسئول عسكرى أمريكى أن«المر يتعلق بنظام سلح حديث يمثل تهديدا كبيرا على‬
‫‪».‬الجميع ‪ ».‬وأضاف«لدينا قلق جدى حول العمليات الجوية فى سوريا‬
‫على صعيد متصل‪ ،‬توجه الرئيس الفرنسى فرانسوا أولند إلى موسكو أمس فى محاولة لكسب‬
‫تنازلت من رئيسها فلديمير بوتين فى المعركة ضد تنظيم اداعش والضغط من أجل حل سياسى‬
‫فى سوريا‪ ،‬لكن دبلوماسيين حذروا من وجود خلفات هائلة ستجعل من الصعب تحقيق إنجاز‬
‫خاصة بعد اتفاق أولند مع الرئيس المريكى باراك أوباما أمس الول على توسيع نطاق العمليات‬
‫‪.‬العسكرية ضد التنظيم‬
‫‪www.sissu.it‬‬
‫ومن جانبه‪ ،‬كان رئيس الوزراء البريطانى ديفيد كاميرون قد طالب أمس الول ببدء غارات جوية‬
‫‪.‬بريطانية ضد داعش فى سوريا دون النتظار حتى يجد النزاع المسلح هناك حل سياسيا‬
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France's Hollande, in Moscow, urges grand
coalition against ISIS
Russian President Vladimir Putin, right, shakes hands with his French counterpart Francois
Hollande during their meeting in Moscow, Russia, Thursday, Nov. 26, 2015. (Photo: AP)
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French President Francois Hollande told Russia's Vladimir Putin on Thursday world powers must
create a "grand coalition" to combat Islamic State (ISIS) militants who control swathes of territory
in Syria and Iraq.
Hollande is on a diplomatic offensive to build a common front against the militant Islamist group
that has claimed responsibility for the attacks in Paris on Nov. 13 that killed 130 people.
ISIS has also said it downed a Russian plane on Oct. 31 over the Sinai Peninsula in Egypt, killing
all 224 people on board.
"Our enemy is Daesh, ISIS, it has territory, an army and resources, so we must create this large
coalition to hit these terrorists," Hollande said in televised remarks at the start of bilateral talks with
the Russian leader in the Kremlin.
"I'm in Moscow with you to see how we can act together and coordinate so that we can strike this
terrorist group, but also reach a solution for peace," Hollande said.
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Putin said Moscow was ready to unite with Paris against a "mutual enemy" following the downing
of the Russian airliner and the attacks in Paris.
However, the leaders avoided looking at each other during their brief televised exchange,
underlining the still-awkward relationship between Russia and the West due to the Ukraine crisis
and differences over Middle East policy.
Both Russia and France have stepped up their aerial bombing campaigns in Syria but they have
different objectives.
Russian warplanes are targeting a wide array of rebel forces - including but not limited to Islamic
State - opposed to Moscow's ally, Syrian President Bashar al Assad.
French and US warplanes are focusing their bombing campaign on Islamic State. Western
countries, Turkey and Sunni Arab states such as Saudi Arabia also want Assad to step down.
Earlier this week Hollande held talks in Washington with US President Barack Obama on
combating Islamic State. He has also held separate talks in Paris this week with the leaders of
Germany, Britain and Italy.
"Our common enemy is terrorism and it has a name, ISIS," Hollande told Putin.
El Pais, 27th November 2015:
Francia rinde homenaje al más alto nivel a las
víctimas de París
La ceremonia se celebra en los Inválidos y asistirán unos mil
participantes
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Hollande, durante el homenaje a las víctimas del atentado. / JACKY NAEGELEN (REUTERS)
Francia rinde homenaje este viernes a las 130 personas que perdieron la vida y a las 350 que
resultaron heridas en los atentados de París del pasado 13 de noviembre. La ceremonia, que se
celebra desde las 10.30 en los Inválidos, el recinto de más alto nivel para un homenaje, cuenta con
unos mil participantes, entre ellos, el presidente francés, François Hollande, y los familiares de las
víctimas.
La ceremonia, que durará una hora aproximadamente, ha comenzado con una Marsellesa, el himno
que tras los atentados se ha vuelto omnipresente. Depués, se han recordado, uno a uno, los nombres
de todas las víctimas a excepción de uno, por petición de los familiares, según informa el diario
francés Le Monde. A continuación, Hollande pronunciará un discurso.
más información

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Francia se envuelve en el patriotismo
Rusia y Francia se coordinan en Siria y reforzarán los ataques
Según fuentes de la Defensa francesa citadas por Le Monde, "es extramadamente raro" un homenaje
de estas características a civiles. "Cuando estos honores se dan a un civil, es porque tenía un pasado
de resistente o un alto grado en la Legión de Honor" añaden las mismas fuentes, que explican que
Hollande quería, sin embargo, que la ceremonia se celebrase en el patio de los Inválidos por lo que
han supuesto los ataques "para la memoria colectiva".
Familiares de dos de las víctimas de los ataques yihadistas han descartado su participación en los
actos. La hermana de uno de los fallecidos en la sala Bataclan, François-Xavier Prévost, ha
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anunciado en su muro de Facebook que rechaza los honores “ofrecidos por el Gobierno”, a quien
también responsabiliza de la muerte de su hermano. “Nada se ha hecho” desde los ataques contra el
semanario satírico Charlie Hebdo y el supermercado kosher, protesta Emmanuelle Prévost.
Como complemento de la ceremonia, es previsible una intensa presencia de la bandera francesa por
todo el país. Hollande propuso a los franceses el pasado miércoles “engalanar su lugar de residencia
con la bandera azul, blanca y roja, los colores de Francia”. De hecho, la venta de la enseña francesa
se ha disparado. La empresa Doublet, fabricante de referencia, asegura que los encargos de
banderas se han duplicado desde los atentados, igualando los niveles alcanzados tras la muerte del
general De Gaulle en 1970 y la victoria de la selección francesa en el Mundial de 1998.
El Pais, 25th November 2015:
La industria nuclear se reivindica en la lucha
contra el cambio climático
La OIEA y la patronal española piden que esta tecnología se
considere en la cumbre de París
Manuel Planelles Madrid 25 NOV 2015 - 17:54 CET
Central nuclear de Almaráz, en la provincia española de Cáceres. / Bernardo Pérez
Unos lo llaman reconversión, otros hablan de una revolución. Si de la cumbre del Clima de París
(COP21) que arranca el próximo lunes sale un acuerdo sólido contra el calentamiento global,
cambiará el esquema de producción de energía. Este sector es responsable de alrededor del 35% de
las emisiones los gases de efecto invernadero generadas por el ser humano en todo el mundo. El
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objetivo a largo plazo que se quiere fijar es la descarbonización de la economía. Y esto supone
eliminar las emisiones en la generación de energía.
Con esta hoja de ruta sobre la mesa, las distintas tecnologías de producción buscan un hueco en el
futuro energético. Así ocurre con la industria nuclear. El Foro Nuclear de España ha presentado un
informe este miércoles en el que se reivindica como un arma contra el cambio climático. "Es una
tecnología capaz de suministrar grandes cantidades de electricidad sin contaminar la atmósfera",
sostiene esta organización. En efecto, las centrales no expulsan CO2 a la atmósfera. Pero tiene otros
problemas asociados, como el de los residuos, que permanecen activos durante miles de años y para
los que no se ha encontrado una solución definitiva. Además, desde el accidente de Fukushima, en
Japón, algunas potencias han apostado por abandonar esta tecnología. Otras, sin embargo, apuestan
por ella. Sería el caso de China, India o Rusia.
El debate español
En España, el futuro de la nuclear está en el aire. Varios partidos -PSOE, Ciudadanos y Podemosno son favorables a prolongar la vida de las centrales más allá de los 40 años de vida. Esto
supondría el fin de esta energía en España la próxima década, ya que no hay prevista la
construcción de ningún reactor más.
Foro Nuclear ha reivindicado el papel de esta tecnología, que con el 20% es la primera en el mix de
generación de electricidad de España. Según esta patronal, las centrales españolas evitan cada año la
emisión a la atmósfera de entre 45 y 55 millones de toneladas de dióxido de carbono.
La semana pasada, el director general del Organismo Internacional de Energía Atómica
(OIEA), Yukiya Amano, pidió en la Asamblea General de la ONU que se tenga en cuenta la energía
nuclear en las conversaciones internacionales sobre cambio climático. El Foro Nuclear ha vuelto a
solicitar este miércoles que se incluya esta energía "en el acuerdo que se alcance" en la cumbre de
París.
El Foro Nuclear señala en su informe que esta tecnología ha evitado durante los últimos 45 años la
emisión a la atmósfera de unas 65 gigatoneladas de CO2 equivalente de gases de efecto invernadero.
Además, la OIEA asegura que el desarrollo y crecimiento de esta energía -en este momento hay en
construcción 70 reactores en el mundo- se puede evitar la emisión de entre 3.300 y 9.000 millones
de toneladas de de CO2 equivalente cada año en 2050.
En el protocolo que se espera que se cierre durante la COP21 no está previsto que se hable de
tecnologías concretas. Aunque solo se fija la necesidad descarbonizar la economía en general,
muchos organismos internacionales sostienen que la mejor vía para ello son las energías
renovables.
Antes de la cumbre de París, la mayoría de Gobiernos del mundo ha presentado planes de reducción
de las emisiones para el periodo 2020-2030, los llamados INDC. En esos documentos se dan
algunas pistas sobre el futuro de la energía nuclear. En sus compromisos, EE UU y la Unión
Europea no hablan de esta tecnología. Solo fijan de forma genérica sus metas de reducción de gases.
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Sin embargo, China e India, por ejemplo, sí mencionan la energía nuclear. China, el principal
emisor de CO2 del mundo, tiene previsto multiplicar por 2,9 su capacidad de generar electricidad
con esta tecnología en los próximos 15 años respecto a los niveles de 2005. En este momento, está
construyendo 26 reactores. India, que también figura en la lista de los principales emisores, prevé
un aumento considerable y ahora tiene en construcción seis reactores.
Los sectores más dependientes de los combustibles fósiles también han intentado moverse antes de
la cumbre de París. Por ejemplo, los 12 miembros de la OPEP, la Organización de Países
Exportadores de Petróleo, apostaron a principios de mes por los mecanismos de captura y
almacenaje de dióxido de carbono (CO2) "como una herramienta importante para combatir el
cambio climático". La OPEP reconocía que esta tecnología está en una fase inmadura, pero podría
"desempeñar un papel central para facilitar la transición a una economía libre de carbono".
Diez de las principales petroleras y gasistas del mundo -entre las que están BP Group, BP, Eni,
Royal Dutch Shell, Satoil, Repsol, Total y Saudi Aramco- reconocían hace unas semanas la
importancia del cambio climático. En su caso, la alternativa que proponen el gas natural, menos
contaminante que el carbón en la producción de energía.
Al Jazeera, 28th November 2015:
National anthems: beating the drums of war?
We look at the Paris attacks, national anthems and the use of
sports to promote war; plus, the battle over Rustavi 2 TV.
28 Nov 2015 13:24 GMT | Media, Paris Attacks, War & Conflict, Sport
When George Orwell wrote in 1945 that sport is "war minus the shooting", it was recognition of the
power of sports to arouse nationalistic sentiments.
Orwell would have seen an echo of his words in the spectacle of thousands of football supporters
across Europe singing the French national anthem as a show of solidarity for those who had died in
the Paris attacks earlier this month.
In times of conflict, when the mainstream news media already tend to pound the drums of war having sports audiences repeatedly exposed to pro-military messaging - tilts the playing field
further still.
The short distance from the pitch to the battlefield is evidenced by the extensive use of sporting
events by the Pentagon to rally support for US troops and military action abroad. Back in Europe,
how many of those singing the Marseillaise were aware of its bloodthirsty battle cry?
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"Hear the roar of those ferocious soldiers. They're coming to cut the throats of your sons, your
women. To arms, citizens."
Substitute 'soldiers' for 'jet engines', and we have a modern-day rallying cry for a fresh round of air
strikes on Syria.
Talking us through the story are: Cenk Uygur, Host of The Young Turks; Murtaza Hussain, a
journalist at The Intercept; Sandy Tolan, an associate professor at the USC Annenberg School for
Communication and Journalism; and James Montague, a journalist and author.
Other media stories on our radar this week: Two prominent journalists in Turkey are behind bars
after the government accused them of revealing "state secrets"; A Bangladeshi reporter is shot and
wounded while covering funerals of convicted opposition figures; Iran has sentenced Washington
Post reporter Jason Rezaian to a jail term, but the specifics of the case are still not known; and a
political cartoonist seeking refuge in Thailand has been sent back to China following an extradition
request by Beijing.
Rustavi 2 and Georgia's political tug of war
Georgia's most watched TV channel, Rustavi 2, is locked in a bitter power struggle with the
government over its ownership.
One of the government's staunchest critics, the independent channel has gone to court and says it is
facing a politically motivated, attempted takeover by allies of the government.
But Rustavi 2 also has some political muscle behind it: people who back its pro-European, proNATO agenda.
Al Jazeera's Robin Forestier-Walker picks apart the ownership battle currently raging over Rustavi
2.
Finally, in the wake of the Paris attacks, Britain's The Sun newspaper, owned by Rupert Murdoch,
loudly proclaimed that one in five British Muslims "sympathised with jihadis". However, the
headline was misleading and prompted around 1,200 official complaints, as well as thousands of
sardonic responses on Twitter under the hashtag #1in5Muslims.
Our closing video gives you a taste of a Twitter backlash against a newspaper's front page.
Source: Al Jazeera
The Hindu, 8.12.2015 :
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Russia has gifted France a new puppy to replace Diesel, the seven-year-old police dog who was
killed during a raid linked to the Paris terror attacks.
Igor Zubov, a Russian deputy interior minister, handed the male German shepherd puppy named
Dobrynya to French ambassador Jean-Maurice Ripert at a ceremony at the French Embassy in
Moscow yesterday.
“The puppy you are giving us will replace Diesel and proves your friendship,” said Ripert said at
the event also attended by Russian and French soldiers. “They are waiting for this puppy in Paris,”
he said.
Russia’s gift dog Dobrynya is named after a folklore hero, and is intended as a “symbol of the unity
of our nations in implacable fight against terrorism,” Zubov said.
“In Russia, dogs who serve police are loved not only by the police but also by ordinary citizens,” he
said.
Dobrynya must remain in quarantine for up to three months before leaving for Paris.
Diesel, a female Belgian shepherd, was killed during a police raid on an apartment in a northern
suburb of Paris on November 18, five days after 130 people were killed in multiple terror attacks in
Paris, claimed by Islamic State.
Two terrorists died in the raid that killed Diesel, including the suspected ringleader of the Paris
attacks, Abdelhamid Abaaoud, and a relative, Hasna Ait Boulahcen.
Le Monde, 9.12.2015 :
Elections régionales : « La gauche fait monter
le FN », argument récurrent (et faux) de
Nicolas Sarkozy
Le Monde.fr | 08.12.2015 à 14h27 • Mis à jour le 09.12.2015 à 10h11 | Par Alexandre Pouchard
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C’est un argument récurrent de la droite, et en particulier de
Nicolas Sarkozy, face à la montée du Front national : si ces
scores progressent, c’est systématiquement à cause de la
gauche. Le président du parti Les Républicains l’a de nouveau
asséné lundi 7 décembre lors du journal de 20 heures de
France 2 :
« Chaque fois que la gauche a été au pouvoir, ça s’est traduit par une explosion du vote d’extrême
droite ensuite.
En 1986, M. Mitterrand fait la proportionnelle : 35 députés qui rentrent à l’Assemblée nationale.
En 2002, après cinq années de Lionel Jospin : Jean-Marie Le Pen est au second tour, la gauche n’y
est même pas. Et là, quatre années de François Hollande et c’est une exaspération qui monte dans
tout le pays. Mme Le Pen était face à moi au premier tour des présidentielles de 2012, à 18 % (ce
qui était déjà beaucoup), en quatre ans elle passe à plus de 27 %. »
Pourquoi c’est faux
L’argument est récurrent à l’UMP, désormais aux Républicains. Face aux critiques sur la porosité
de la frontière avec le Front national, que ce soit en termes de programme, de rhétorique et
d’électorat, le principal parti d’opposition renvoie la balle dans le camp de la gauche.
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Pourtant, si l’on prend les scores du FN à toutes les élections depuis 1984 (hors municipales, où il
présente beaucoup moins de candidats que ses concurrents), ses percées ont lieu autant lorsque la
majorité est à droite que lorsqu’elle est à gauche. Et cela dépend aussi de ce que l’on regarde.
Le FN a certes obtenu ses quatre meilleurs résultats (en part des suffrages exprimés) lors des quatre
derniers scrutins, sous gouvernement socialiste : 24,95 % lors des européennes de juin 2014, 25,24 %
et 22,23 % lors des deux tours des départementales de mars 2015, puis désormais 27,73 % lors des
dernières régionales.
Mais la dynamique était antérieure à l’arrivée des socialistes au pouvoir : avant les européennes, le
FN avait réalisé son meilleur résultat lors de l’élection présidentielle de 2012 (17,90 %), après cinq
années de mandat de Nicolas Sarkozy et dix années de gouvernement de droite.
Le FN, une dynamique amorcée en 2012
Part des suffrages exprimés récoltés par le parti d'extrême droite depuis 1984. Les gouvernements
de gauche sont signalés en rose, ceux de droite en bleu.
0 %5 %10 %15 %20 %25 %30 %Européenne…Présidentielle 1988Européennes 1989Européennes
1994Législatives 1997Européennes 1999Législatives 2002Régionales 2004 (2e tour)Présidentielle
2007Européennes 2009Régionales 2010 (2e tour)Législatives 2012Départementales 2015 (1er
tour)Régionales 2015
Source : Ministère de l'intérieur
La présidentielle 2012, meilleur score en voix
En remontant aux années 1980, Nicolas Sarkozy reprend quelques résultats historiques du Front
national mais les sélectionne avec parcimonie.

1986 : une percée amorcée en 1984, amplifiée en 1988
En 1986, après l’introduction du scrutin proportionnel aux élections législatives, le Front national
de Jean-Marie Le Pen marque effectivement les esprits en envoyant 35 députés à l’Assemblée
nationale. Mais c’est oublier deux choses : la montée du FN était antérieure à ces élections (il avait
obtenu 10,95 % des suffrages aux européennes de 1984) et il a réalisé un meilleur score après deux
années de gouvernement de droite (quand Jacques Chirac était à Matignon), avec 14,38 % des
suffrages aux législatives de 1988.

1997-2002 : une percée précédée de scores importants en 1995-1997
Si l’élection présidentielle de 2002 a longtemps été le meilleur résultat du FN, ce dernier, après
avoir connu plusieurs revers à la fin des années 1980 et début des années 1990, avait réalisé de
nouveaux bons scores à la présidentielle de 1995 (15 % des voix) puis aux législatives de 1997
(14,94 %), après deux et quatre années de gouvernement de droite.

2012 : le meilleur score en voix du FN jusqu’à maintenant
Dernier exemple évoqué par Nicolas Sarkozy : la présidentielle de 2012, où le FN aurait alors été
« contenu » avant les années Hollande. Si c’est (relativement) vrai en termes de suffrages exprimés,
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le parti d’extrême droite avait alors obtenu un nombre encore record de voix, avec 6,4 millions de
suffrages (devant les 6 millions du premier tour des régionales). Loin des 3,8 millions obtenus à la
présidentielle de 2007, avant le quinquennat de M. Sarkozy.
Le FN a obtenu le plus de voix en mai 2012
Nombre de voix recueillies par le parti d'extrême droite depuis 1984. Les gouvernements de gauche
sont signalés en rose, ceux de droite en bleu.
0 voix1000000 voix2000000 voix3000000 voix4000000 voix5000000 voix6000000 voix7000000
voixEuropéennes 1984Présidentielle 1988Européennes 1989Européennes 1994Législatives
1997Européennes 1999Législatives 2002Régionales 2004 (2e tour)Présidentielle 2007Européennes
2009Régionales 2010 (2e tour)Législatives 2012Départementales 2015 (1er tour)Régionales 2015
Source : Ministère de l'intérieur
Sur les vingt scrutins où le FN a dépassé 10 % des suffrages exprimés depuis 1984, la gauche était
au gouvernement dix fois... contre dixpour la droite. Difficile, dans ces conditions, d’en établir une
règle sur un camp qui favoriserait davantage une montée de l’extrême droite.
Lire aussi : Elections régionales : Sarkozy admet qu’« il y aura un débat à ouvrir » sur la ligne
idéologique de LR
Elections régionales : la carte des résultats
Cliquez sur les régions pour accéder aux résultats détaillés du premier tour des élections régionales
2015 ou utilisez le moteur de recherche pour découvrir comment les électeurs ont voté au premier
tour des élections régionales 2015 dans votre commune.
Le Monde, 9.12.2015:
Les entreprises dans la COP21 : une présence
ambivalente
Le Monde.fr | 09.12.2015 à 14h14 • Mis à jour le 09.12.2015 à 15h03 | Par Angela Bolis
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Aux côtés de la « zone bleue » dédiée aux négociations sur
l’accord climatique, et des « espaces générations climat »
consacrés à la société civile, les entreprises aussi ont leur
théâtre sur le site de la COP21. Cette « galerie » de 10 000 m2,
dans le Musée de l’air du Bourget, doit offrir un panorama
des solutions développées par les professionnels contre le
changement climatique.
Parmi les quelque 200 participants, on trouve un peu de tout. Cela va de la start-up innovante,
comme Entomo Farm qui fabrique des fermes d’insectes, à la jeune société de conseil en transition
énergétique, en passant par les grands groupes comme PepsiCo ou General Electric. Des stands de
pays présentent aussi quelques fleurons nationaux des énergies ou des technologies permettant de
« décarboner l’économie » – avec une représentation notoire des Etats-Unis et des pays pétroliers
du Golfe : Emirats arabes unis, Qatar, Arabie saoudite…
De ce vaste salon d’entreprises, où résonnent les micros des VRP et se multiplient les cocktails VIP,
se dégage la même impression que lorsqu’on lit la liste de la soixantaine de sponsors et mécènes de
la COP, affichée à l’entrée de la conférence onusienne. Engie, EDF, BNP Paribas, Renault,
Carrefour… Une liste décriée par les associations environnementales, qui déplorent que
l’exemplarité climatique n’ait pas fait partie des critères pesant sur la sélection de ces entreprises.
« Engie, par exemple, investit massivement dans le charbon, et BNP est la première banque
française à financer les énergies fossiles dans le monde… », note Célia Gautier, du Réseau Action
Climat.
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Lire aussi : Laurent Fabius fait appel aux entreprises pour financer la COP 21
Pour ces entreprises présentes au Bourget, la COP21 et ses quelque 40 000 participants est en tout
cas une occasion en or de faire valoir leurs solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de
serre. Dans la « galerie », difficile de rater, par exemple, l’imposant stand de Bouygues, qui affiche,
écran tactile géant et maquette architecturale à l’appui, le savoir-faire technique du groupe en
matière de bâtiments à énergie postivie, d’écoquartiers ou de routes solaires.
Même si ces projets restent pour la plupart « minimes » dans l’activité globale de la firme, y
concède-t-on, l’intérêt de l’opération n’est de toute façon pas directement commercial. « On n’est
pas ici pour remplir des carnets de commandes, explique un communiquant sur le stand. Par
contre, c’est incroyable au niveau des personnalités de haut niveau qu’on peut rencontrer : on a
reçu la visite de l’ambassadeur du Japon, de la délégation de Panama, du premier ministre du
Bénin… »
« Du lobbying à la COP, il y en a »
Si des négociateurs et ministres déambulent entre les stands d’entreprises, les allers et venues entre
la « zone bleue » et la « galerie des solutions » se font dans les deux sens. Même si la présence des
entrepreneurs dans les couloirs de la zone de négociation peut se faire plus discrète. « Du lobbying
à la COP, il y en a, affirme Matthieu Orphelin, porte-parole de la Fondation Nicolas Hulot. Du
lobbying positif, comme celui des ONG qui poussent à un accord plus ambitieux, et du lobbying
négatif. » Les entreprises ne peuvent être accréditées en tant que telles pour entrer sur le site des
négociations, mais peuvent bénéficier d’un badge d’entrée « observateurs » via les associations
professionnelles auxquelles elles adhèrent. « Ce qui les rend plus difficile à identifier », estime
Célia Gautier.
Il en est ainsi du très actif Nuclear for Climate, présent à la fois dans la galerie des entreprises et en
zone bleue. Regroupant 148 associations de scientifiques et de professionnels du nucléaire du
monde entier, il s’attèle à présenter cette énergie comme une solution – toutefois controversée –
contre le changement climatique, et pousse à ce qu’elle « ne soit pas exclue de l’accord ». « Le
groupe a été créé à l’initiative de la France, leader du nucléaire, en vue de la greenwashing.
Chaque association a préparé la conférence en amont, au niveau de sa délégation nationale et de
son réseau de médias, et on prépare déjà la COP22 au Maroc ! » explique-t-on sur son stand.
Lire aussi : Le nucléaire, une solution pour le climat ?
Les messages de ces associations sont parfois contradictoires, estime Célia Gautier. Par exemple,
dans le cas du groupe Magritte, qui rassemble douze des plus grands énergéticiens européens, dont
Engie. « Il milite à la COP pour fixer un prix du carbone, mais ce sont les mêmes qui ont poussé à
réduire les ambitions et les subventions pour les énergies renouvelables au niveau européen, et qui
misent tout sur le gaz, une énergie fossile… ».
Engagements et greenwashing
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Pour autant, la COP21 a donné l’occasion à de nombreuses entreprises de s’engager pour le climat,
et de le faire savoir. « Les entreprises liées à la COP, même si elles ne sont a priori pas
exemplaires, sont obligées de réduire l’écart entre leur communication et leur compatibilité avec
un monde à + 2 °C », estime Matthieu Orphelin. Depuis le début de la conférence, les annonces du
secteur privé s’enchaînent. Mardi, ce sont encore 115 entreprises qui se sont engagées à aligner
leurs objectifs de réduction des émissions sur le seuil de 2 °C de réchauffement. Et 39
multinationales françaises qui ont signé un « Manifeste pour le climat », promettant de financer à
hauteur de 45 milliards d’euros dans les cinq prochaines années la transition énergétique.
Lire aussi : Les énergéticiens veulent-ils vraiment développer le renouvelable ?
Toutes ces entreprises font partie de l’initiative « Caring for Climate », un groupe au sein du Pacte
mondial des Nations unies (« UN Global Compact »). Cette initiative de l’ONU sur le
développement durable des entreprises compte 450 entreprises s’engageant à établir des objectifs
chiffrés de réduction de leurs émissions, à en rendre compte dans un rapport annuel, et à travailler
avec les autorités pour renforcer les politiques climatiques. Depuis 2013, elles ont réduit leur
empreinte carbone de 12 %, selon l’ONU, et si les objectifs qu’elles promettent sont atteints, ils
généreront des réductions d’émissions annuelles de 93,6 millions de tonnes équivalent CO2, soit
davantage que celles du Pérou.
Derrière ce plein d’annonces, les associations environnementales aussi sont à l’offensive, ciblant
particulièrement les sponsors de la COP21. Deux d’entre eux ont ainsi reçu les anti-récompenses
des prix Pinocchio décernés par les Amis de la Terre – BNP Paribas, pour les impacts locaux de ses
activités minières, et EDF, dans la catégorie greenwashing, pour sa campagne sur le nucléaire
comme énergie propre.
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L’Observatoire des multinationales et le Basic (Bureau d’analyse sociétale pour une information
citoyenne) ont, eux, passé au crible les engagements climatiques de dix groupes français sponsors
de la COP – EDF et BNP encore, mais aussi Engie, L’Oréal ou Renaut –, arguant qu’aucun n’était
« exemplaire » : déclarations sur les émissions peu transparentes ou incomplètes, réduction des
émissions sur une partie seulement de la chaîne de production, engagements insuffisants au regard
des objectifs fixés au niveau de l’Union européenne… D’autres misent sur des actions plus
radicales : la pétition de l’ONG américaine Corporate Accountability International, qui demande
d’exclure des négociations les industriels des énergies fossiles, a ainsi recueilli à ce jour près de
570 000 signatures.
Lire aussi : Comment Greenpeace a piégé des scientifiques en marge de la COP21
Philippine Star, 9.12.2015:
France urges EU to act faster against extremist
funding
By Lorne Cook (Associated Press) | Updated December 9, 2015 - 6:25am
France's Finance Minister Michel Sapin, right, talks with European Commissioner for Economic
and Financial Affairs Pierre Moscovici during an Eurogroup finance ministers meeting at the EU
Council building in Brussels on Monday, Dec. 7, 2015. (AP Photo/Geert Vanden Wijngaert)
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BRUSSELS — France urged its European Union partners on yesterday to speed up efforts to cut off
funds to extremists groups, nearly a month after the Paris attacks.
"We have to go faster, but also further, stronger," French Finance Minister Michel Sapin told
reporters after talks with his EU counterparts in Brussels.
Based in part on a list of measures suggested by France, the ministers discussed ways to better track
financial transfers, control prepaid bank cards, freeze assets and limit movements of cash and
precious metals.
But no firm decisions were taken, and the EU's executive Commission was tasked with drawing up
a list of priorities for their next meeting in January.
The Nov. 13 attacks in the French capital, in which 130 people were killed and hundreds injured,
have highlighted the need for new finance tracking measures.
But Sapin warned that "the dates for adopting these measures are far away. Terrorists are there, so
we must act more quickly."
World ( Article MRec ), pagematch: 1, sectionmatch: 1
Some steps were announced after the attacks on satirical newspaper Charlie Hebdo and a kosher
supermarket in Paris in January, and the shootings at a free speech debate in Copenhagen the
following month, but more are being floated.
France wants to bolster the powers of financial intelligence teams that analyze suspicious
transactions, and to work with the US on "terrorist financing."
It is calling for a system for freezing assets to be broadened from bank accounts to property,
vehicles and any benefits that suspects might receive.
It also wants tighter controls and improved transparency on the use of virtual currencies or
electronic money forms like pre-paid cards, which allow small amounts to be sent anonymously.
Paris is also calling for more border checks on the transfer of cash, gold, precious metals and prepaid cards by freight, particularly air freight, as a customs declaration is only required if the
amounts exceed 10,000 euros ($10,860).
The measures would include a crackdown on the illicit trade in cultural goods amid fears that
extremists are selling or smuggling artefacts looted from archeological sites or museums.
The culture ministers of Germany, France and Italy added to pressure for action to curb the use of
looted art as a source of extremist financing.
In a letter, they called on the Commission to quickly draw up rules to better control the flow of
illegally exported cultural goods.
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Dutch Finance Minister Jeroen Dijsselbloem said that new laws can't come soon enough.
"We need them quite quickly, and we need to try and speed up the implementation process," he
said.
La Nacion, 9.12.2015:
Cambio climático: los aborígenes, guardianes
de los bosques
Un informe que se conoció en la COP21, en París, da cuenta de que, al menos, el 20% de la captura
de CO2 está en tierras habitadas por pueblos originarios
SEGUIR
Laura Rocha
LA NACION
Martes 08 de diciembre de 2015 • 12:20
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0
PARIS.- "Nosotros tenemos políticas climáticas desde hace millones de años, políticas que
mantienen un vínculo con la madre Tierra. ¿Qué hijo está dispuesto a maltratar a su madre?
Ninguno. ¿Qué madre está dispuesta a maltratar a su hijo? Ninguna. Tenemos esa relación también
con nuestros hermanos que son los bosques". Así comienza a explicar su posición Cándido Mezúa
Salazar, representante de la nación Embera de Panamá, una de las voces de los pueblos originarios
en la Cumbre de Lucha contra el Cambio Climático (COP21).
Hoy por la mañana se difundió un informe que mapea y cuantifica, por primera vez, el carbono
almacenado en los bosques tropicales ubicados en los territorios indígenas, las últimas grandes
extensiones de bosques remanentes y que corren el riesgo de ser devastados.
El análisis revela que el carbono contenido en los bosques tropicales en los territorios indígenas de
la Cuenca Amazónica, América Central, la República Democrática del Congo e Indonesia es
equivalente a 168,3 giga toneladas de dióxido de carbono (Gt de CO2), lo que representa más de
tres veces el clima cambiante de los gases emitidos a nivel mundial (52,7 Gt de CO2) en 2014.
"Esto representa el 20,1% de la aérea de carbono almacenado en todos los bosques tropicales del
mundo, una estimación conservadora, ya que no tiene en cuenta el carbono almacenado en los
territorios indígenas en otras partes de Asia tropical y la cuenca del Congo.
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Los pueblos indígenas de todo el mundo siempre han sido considerados como los guardianes de la
selva", dijo Wayne Walker, experto en supervisión de bosques del Centro de Investigación Woods
Hole y colaborador principal del análisis.
El reporte detalla que más de 9% de los bosques tropicales en la cuenca del Amazonas,
Mesoamérica, República Democrática del Congo e Indonesia contienen 76,4 Gt de CO2, el
equivalente a 1,5 veces las emisiones verdes totales mundiales de gases de efecto invernadero en
2014 -se consideran altamente amenazados porque se encuentran en territorios indígenas que
carecen de reconocimiento legal.
"Nos cuesta mucho poder explicar las razones científicamente porque son pensamientos distintos,
culturas distintas; encontramos unos pocos aliados y que ahora se han convencido del aporte de ese
conocimiento. Tenemos la esperanza de que los gobiernos recapaciten. Y quisiéramos que se tengan
en cuenta los derechos efectivos de los indígenas. Si los bosques desaparecen representan milésimas
de grados más de calor. Acuerdos plenamente vinculantes con los derechos de los indígenas, si no
es así es un acuerdo más y se demuestra nuevamente que sólo servimos para la foto", agrega Mezúa
Salazar.
El nuevo acuerdo
El nuevo acuerdo del clima, que idealmente debe ser firmado el viernes por los 195 países que están
reunidos en esta ciudad, incluye a los derechos humanos en los postulados. En este apartado en
donde entrarían los derechos de los pueblos originarios. Sin embargo, los veedores y representantes
de las comunidades aborígenes quieren que sea explícito.
Abordar la situación en esos territorios vulnerables representa una oportunidad para la mitigación
significativa del cambio climático, según Chris Meyer, experto en política forestal del Amazonas
del Fondo de Defensa Ambiental (EDF) con sede en EEUU y otro colaborador de la investigación.
"Es de vital importancia para establecer fuertes derechos de tenencia que permitan a los pueblos
indígenas proteger sus tierras del poco prometedor desarrollo y otras amenazas", dijo Meyer.
"Nuestro análisis proporciona evidencia convincente de que los países con territorios indígenas
podrían aumentar sus compromisos voluntarios de reducción de emisiones (INDC, de Intended
Nationally Determined Contributions, por sus siglas en inglés) para la mitigación del cambio
climático implementando los derechos tenencia de la tierra y que incluye las contribuciones de los
pueblos indígenas."
Mientras los delegados de los países trabajan a toda máquina para poder conseguir un borrador más
acabado del acuerdo para frenar el aumento de la temperatura global promedio en 2°C, en el
comienzo de la segunda semana de la cumbre, el secretario General de las Naciones Unidas, Ban Ki
moon, convocó a los delegados a trabajar en conjunto y a cumplir con las expectativas que se han
generado. "El mundo espera algo más que medias acciones y enfoques paulatinos. Está pidiendo un
acuerdo que transforme" el mundo, afirmó. "No debe haber lugar para el error, no tiene que haber
equívoco sobre el peligro ante nuestros ojos. Pero más allá de éste, podemos ver un nuevo mundo
que puede ser nuestro", dijo el secretario general de la ONU.
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Suddeutsche Zeitung, 11.12.2015:
11. Dezember 2015, 16:52 Uhr
Islamismus Paris-Attentate: Behörden fahnden offenbar nach
deutschem Islamisten
Der 42-jährige Hüseyin D. soll Kontakt zum mutmaßlichen Drahtzieher der Attentate von Paris
gehabt haben.
Im Zusammenhang mit den Attentaten von Paris fahnden die Behörden auch nach einem deutschen
Islamisten. Das berichtet das Nachrichtenmagazin Der Spiegel in seiner morgigen Ausgabe. Es soll
sich dabei um den 42-Jährigen Hüseyin D. handeln.
D. soll laut Spiegel-Informationen auf einer 16 Personen umfassenden Liste mit sogenannten
vorrangigen Fahndungen in Deutschland auftauchen. Sein Name stehe dabei an letzter Stelle. Auf
Position 1 steht der Name Salah Abdeslam, einer der flüchtigen Attentäter.
Der Islamist Hüseyin D. soll Teil der "Lohberger Brigade" gewesen sein, einer Islamistengruppe
aus Nordrhein-Westfalen, die für den Dschihad nach Syrien reiste. Dabei soll er auch Kontakt zum
mutmaßlichen Drahtzieher der Pariser Attentate, Abdelhamid Abaaoud, gehabt haben. Das Magazin
veröffentliche ein Foto, auf dem die beiden gemeinsam zu sehen sind.
Laut Bericht vermuten die Behörden, dass sich Hüseyin D. derzeit in der Türkei aufhält. Er sei
schengenweit zur Einreiseverweigerung ausgeschrieben.
Le Monde, 13.12.2015:
Cinq questions sur l’engagement militaire
français contre l’EI
LE MONDE | 12.12.2015 à 07h48 | Par Nathalie Guibert
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Un mois après les attaques terroristes du 13 novembre à Paris, plusieurs questions entourent
l’intensification des opérations militaires ordonnée par François Hollande à l’armée française contre
l’organisation Etat islamique (EI). La cohésion de la coalition internationale reste à concrétiser audelà des accords bilatéraux de coopération, et son efficacité reste à démontrer. Et à Paris, face à la
promesse présidentielle de « détruire le terrorisme », les états-majors demandent « patience et
persévérance ».
A quoi servent les frappes sur Rakka ?
Rakka, fief de l’EI en Syrie, est le but de guerre mis en avant depuis les attentats de Paris. De
Rakka, justifie le gouvernement, partent les combattants étrangers qui menacent l’Europe et la
France. Mais rien ne sert de frapper, disent les militaires, tant qu’aucune force au sol n’est capable
de reprendre le terrain ainsi gagné.
Or, « on n’a personne pour prendre Rakka », admet-on en haut lieu. De plus, les cibles manquent.
Les djihadistes anticipent les raids et se terrent derrière des boucliers humains. « Trouver des
objectifs est maintenant très difficile à moins d’accepter des dommages collatéraux », assurent de
bonnes sources au Monde. D’autant que si le Pentagone a fourni quelques cibles clé en main à Paris
après le 13 novembre, « c’est fini ».
« On est dans le débat récurrent entre les militaires, qui réclament de s’inscrire dans une stratégie
et une coalition pour être plus efficace, et l’exécutif, qui a des contraintes politiques »,...
India Today, 15.12.2015:
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French far-right fails to win any regions in
upset for Le Pen
Marine Le Pen's far-right National Front did not win any
region in French elections on Sunday, in a setback to her
hopes of being a serious presidential contender in 2017.
Reuters
Paris, December 14, 2015 | posted by Anand Jayaram | UPDATED 13:17 IST
A +A -
Marine Le Pen's far-right National Front did not win any region in French elections on Sunday, in a
setback to her hopes of being a serious presidential contender in 2017.
The regional election run-off, in which the conservatives won seven constituencies and the
Socialists five, was no real victory for either of these two mainstream parties, shaken by the farright's growing appeal to disillusioned voters.
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Boosted by fears about security and immigration after the Islamist militant attacks in Paris a month
ago that killed 130 people, the National Front (FN) had won more votes than any other party
nationally in last week's first round.
Although it won no region on Sunday after the Socialists pulled out of its key target regions and
urged their supporters to back the conservatives of former President Nicolas Sarkozy, the FN still
recorded its best showing in its history.
"Tonight, there is no place for relief or triumphalism," Socialist Prime Minister Manuel Valls said.
"The danger posed by the far right has not gone away; far from it."
Sarkozy struck a similar theme, calling the strong FN showing a "warning sent to all politicians,
ourselves included, in the first round".
"We now have to take the time for in-depth debates about what worries the French, who expect
strong and precise answers," he said, citing Europe, unemployment, security and national identity
issues.
Le Pen, who had hoped to use regional power as a springboard to boost her chances in 2017
presidential elections, lost by a huge margin in northern France on Sunday, where she led her
party's ticket, attracting 42.8 per cent of the votes in the run-off vs 57.2 per cent for the
conservatives.
"RAMPART"
Long content with attracting protest votes, the FN has changed strategy since Le Pen took the party
over from her father Jean-Marie in 2011, seeking to build a base of locally elected officials to target
the top levels of power.
But while it has been winning more and more votes in each election since then, its isolation in
France's politics means it cannot strike the alliances it would need to win major constituencies. So it
failed once more on Sunday to turn growing popularity into power.
In the southeast, another FN target where Le Pen's niece Marion Marechal-Le Pen was the FN's lead
candidate, the conservatives scored 53.7 per cent and the FN 46.2 per cent, official results based on
84 per cent of the votes said.
"There are victories that shame the winners," Marechal-Le Pen said, slamming the Socialists'
decision to pull out of the race for the run-off.
Aside from immigration concerns, which have been boosting nationalistic parties in other European
countries too, the FN's rise has been built on deep disaffection with mainstream politics among
French voters and a frustration with President Francois Hollande's inability to reduce
unemployment.
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With five regional wins out of 13, the Socialists did less badly than they had feared but it was still a
huge defeat. Regional boundaries were redrawn after the 2010 election, in which the Socialists had
won 21 out of 22 regions.
Sarkozy, weakened by his party's poor showing in the first round, said the National Front's high
score should be a warning to all mainstream politicians.
Among those in his party elected thanks to left-wing voters and a much higher turnout in the runoffs, there was no triumphalism.
"I thank the voters for protecting our beautiful region," said Xavier Bertrand, the Republicans' main
candidate in Nord-Pas de Calais-Picardie. "I also want to thank the voters of the Left who clearly
voted to create a rampart" against the FN.
The regional election, the last one before the 2017 presidential and parliamentary ballots, was seen
as a test for its main contenders, Hollande, Sarkozy and Le Pen.
"An immediate danger was avoided," left-leaning Catholic daily La Croix wrote in an editorial.
"But if no answers are made to the French people's concerns, the National Front will continue its
rise until the presidential election," it said in a front-page headlined: "Defeat for all."
Deutsche Welle, 15.12.2015:
Klima-Kater: Nachwirkungen des ParisAbkommens
Staatsmänner und - frauen nennen es einen historischen Klimapakt. Umweltschützer sehen den
Vertrag kritisch. Was aber wird bleiben? Wie wird sich die Welt nun verändern?
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Der Vertrag ist kürzer, als man denken mag: Er umfasst lediglich zwölf DIN A4-Seiten. Sie
beinhalten schwarz auf weiß, wie 195 Nationen in der Zukunft den Klimawandel angehen wollen.
In der Zukunft heißt: ab dem Jahr 2020.
Dazu kommen 20 Seiten erläuternde Erklärungen, der sogenannte "Entscheidungsteil". Er
beschreibt ebenfalls, was die Nationen vorhaben. Dieser Teil ist allerdings rechtlich unverbindlich
und eher eine Art Absichtserklärung.
Die Politik lobte das Abkommen von Paris überschwänglich; Umweltschutzgruppen sind weniger
begeistert und warnen, dass es lediglich "eine leere Hülle" werden könne. Immerhin gebe der
Vertrag das Ziel vor, aber nicht den Weg dorthin. Kumi Naidoo, Chef von Greenpeace
International, gibt sich im DW-Interview etwas positiver: "Es ist sicherlich nicht die Erfüllung
unserer Träume, aber es ist wichtig, dass jedes Land in der Welt jetzt anerkennt, dass wir eine
Klimakrise haben, und dass wir schnell handeln müssen." Ein Anfang ist immerhin gemacht.
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Klimagipfel: Die Entscheidung ist gefallen (13.12.2015)
Das 2- oder 1,5-Grad-Ziel
Dass 195 Nationen es überhaupt geschafft haben, einen gemeinsamen Vertrag auszuhandeln,
scheint schon ein großer Fortschritt. Zum ersten Mal gibt es ein Abkommen, dass alle Länder dieses
Planeten zum Klimaschutz verpflichtet.
Die Parteien stimmen überein, den Temperaturanstieg auf unter 2 Prozent im Vergleich zum
vorindustriellen Zeitalter zu begrenzen. Es soll "Bemühungen" geben, sogar 1,5 Prozent zu
schaffen. In einem Entwurf des Vertrags war nur die Rede von 1,5 Grad Celsius - erst später
wurden 2 Grad als Ziel hinzugefügt. Derzeit haben wir bereits einen Termperaturanstieg von etwa
0,9 Grad Celsius erreicht, sagt Niklas Höhne vom New Climate Institute. "Viel Spielraum bis 1,5
Grad sind also nicht mehr."
Selbst ein Anstieg von "nur" 1,5 Grad Celsius könnte allerdings zu viel sein, sagen Wissenschaftler.
Schon jetzt beginnt das Polareis zu schmelzen, und Wetterextreme haben weltweit zugenommen.
"Bei einem Temperaturanstieg von 1,5 Grad Celsius sind immer noch 75 Prozent unserer
Korallenriffe in Gefahr", fügt Höhne hinzu.
Trotzdem: Wenn der neue Klimadeal die Emissionen reduzieren kann, würde das zumindest das
Schlimmste verhindern. Laut Klausel 4 beabsichtigen die Nationen, den Höhepunkt der CO2Emissionen "sobald wie möglich" zu erreichen. Das Abkommen gilt allerdings erst für die Zeit ab
2020, wenn das Kyoto-Protokoll ausläuft. Experten wie Höhne warnen, dass wir bereits jetzt
handeln müssen. Denn das Klima reagiert verzögert auf Treibhausgase. Auch wenn wir ab sofort
unsere Emissionen auf Null herunterfahren, werde der Planeten sich trotzdem in den nächsten
Jahren zunächst weiter aufheizen.
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Der Vertrag führt keine konkreten Treibhausgasmengen an, die ein Land ausstoßen darf. Stattdessen
heißt es nur, dass jedes Land alle fünf Jahre seine individuellen Klimaziele öffentlich machen
müsse.
Keine "Entkarbonisierung"
Laut Vertragstext müssen ab der zweiten Hälfte unserer Jahrhunderts alle menschengemachten
Emissionen ausgeglichen werden. Ehrgeizigere Formulierungen wie "Entkarbonisierung oder
Nullemissionen" haben ihren Weg nicht in den Vertrag gefunden.
Die Länder dürfen demnach weiterhin Kohle und Öl verbrennen - sie müssen die Emissionen
lediglich wieder neutralisieren - etwa durch Wälder oder durch Techniken wie die CO2Abscheidung und -Speicherung.
Dieses Ziel müsse aber im Zuge der Anstrengungen geschehen, "Armut auszurotten", heißt es im
Vertrag. Indien hat angeblich auf diese Textpassage bestanden. Das Land möchte nicht auf billigen
Kohlestrom verzichten - damit will es hundert Millionen Indern aus der Armut helfen.
Ist es schon zu spät, den Planet zu retten?
Schäden durch Klimawandel
Ja, der Klimawandel verursacht Schäden und Verluste, sagt Klausel 8 - eine wichtige
Errungenschaft für Entwicklungsländer: Denn die Industrienationen erkennen damit an, dass die größtenteils von ihnen ausgestoßenen - Klimagase dazu führen, dass Städte überflutet werden,
Häuser einstürzen und Menschen sterben, eben durch Unwetter und andere Extremwetterereignisse.
Nötig sei "Handeln und Unterstützung", darunter fallen zum Beispiel Frühwarnsysteme und
Risikoversicherungen. Unwetterversicherungen, die von den reichen Staaten angeschoben werden
und Schäden durch Wetterkatastrophen decken sollen, könnten eine Lösung sein.
Geld für die Armen
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Im Paris-Abkommen versprechen die reichen Länder, ab 2020 wenigstens 100 Milliarden USDollar pro Jahr bereitzustellen, um klimawandelbetroffenen Ländern zu helfen. Das ist allerdings
nicht Teil des rechtsverbindlichen Vertrags. Es wurde in den "Entscheidungs"-Teil verschoben, der
unverbindlich ist.
Das zeigt einmal mehr das Gewicht der USA in den Klimaverhandlungen. Denn angeblich ist das
ein Trick, um den US-Kongress zu umgehen. Wäre die 100-Billionen-Dollar-Zahlung Teil des
eigentlich Abkommens, müsste der Kongress zustimmen. Stattdessen wurde das Dokument so
formuliert und angefertigt, dass Barack Obama auch ohne Rückendeckung aus dem Kongress
unterschreiben darf. Die republikanische Mehrheit im Kongress hat oft genug deutlich gemacht,
dass sie rein gar nichts von Klimaschutz hält.
Der Klimawandel verursacht Schäden - jetzt schwarz auf weiß im Klima-Abkommen
USA auf der Kippe?
Kritiker befürchten, dass ausgerechnet die USA - weltgrößte Wirtschaftsmacht - aus dem Vertrag
ausbrechen werde, wenn die Republikaner im nächsten Jahr die US-Wahlen gewinnen.
Tatsächlich sagte der republikanische US-Senator Mitch McConnell den Medien am Sonntag, das
Abkommen werde nach der Wahl "geschreddert". Der Politiker aus Kentucky, einem
kohleproduzierenden US-Bundesstaat, glaubt, der Vertrag werde dem US-Arbeitsmarkt schaden
und Stromkosten in die Höhe schießen lassen.
Trotz allem bleiben Umweltschützer relativ gelassen. Es sei nicht so einfach, aus einem
internationalen Abkommen wie diesem einfach auszusteigen - selbst für einen US-Präsidenten
nicht.
Folgen für die Wirtschaft
Die Redaktion empfiehlt
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Kommentar: Der verfrühte Jubel von Paris
Der bei der Weltklimakonferenz in Paris geschlossene Vertrag wird als historisch beschrieben. Das
ist mehr als übertrieben, meint Henrik Böhme. Was die ganzen Konjunktive in dem Papier wert
sind, muss sich noch zeigen. (14.12.2015)
Klimagipfel: "Wir haben es getan!"
Klimaabkommen verbannt fossile Energien
Wirtschaft sieht Klimavertrag skeptisch
Unternehmen, die mit erneuerbaren Energien ihr Geld machen, freuen sich über das Abkommen.
Analysten von Goldman Sachs verkündeten, dass es die weltweite Wirtschaft der kohlenstoffarmen
Branchen ankurbeln werde - ein schnell wachsender 600-Milliarden-Dollar-Markt. Aktien von
europäischen Firmen, die mit erneuerbaren Energien zu tun haben, haben am Montag bereits gut
zugelegt, darunter Hersteller von Windturbinen, Biotreibstoff und Silicium - dem Rohmaterial für
Solarpaneele.
Trotzdem kommen vermehrt kritische Stimmen aus der deutschen Wirtschaft.
Wie es jetzt weitergeht
Die Staatschef werden den Vertrag am 22. April 2016 in New York unterschreiben. Mindestens 55
Nationen, die mindestens 55 Prozent der Treibhausgase ausstoßen, müssen zustimmen, damit das
Dokument rechtsverbindlich wird. Beobachter glauben aber nicht, dass das ein Problem wird. Das
Schwierige war die Einigung in Paris - das Unterschreiben sei nur noch eine Formalität.
WWW-Links
Deutsche Welle, 15.12.2015:
Kommentar: Der verfrühte Jubel von Paris
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Der bei der Weltklimakonferenz in Paris geschlossene Vertrag wird als historisch beschrieben. Das
ist mehr als übertrieben, meint Henrik Böhme. Was die ganzen Konjunktive in dem Papier wert
sind, muss sich noch zeigen.
Es war absolut nachvollziehbar, dass die Tausenden Delegierten auf dem uncharmanten
Messegelände bei Paris in tosenden Jubel ausbrachen, als nach zwei Wochen mit quälenden, zähen,
nervenaufreibenden Verhandlungen endlich der letzte Hammerschlag von einer Einigung kündete.
Es waren die Tränen nachvollziehbar, in die so manche und mancher ausbrach; auch das Lob für
das diplomatische Geschick des Verhandlungsführers Laurent Fabius, im Hauptberuf
Außenminister der Republik Frankreich, war aller Ehren wert.
Auch geringere Fortschritte wurden schon gefeiert
Einzig die Vokabel "historisch", die geradezu inflationär genutzt wurde, um das auf 31 Blatt Papier
festgehaltene Vertragswerk zu würdigen, war fehl am Platz. Aber auch das ist entschuldbar, weil
die Ausgangslage keinen Anlass zur Hoffnung gegeben hatte, dass die Delegierten aus aller Welt
sich am Ende überhaupt auf irgend etwas einigen würden.
Gejubelt wurde nach Klimakonferenzen im Übrigen schon öfter und für weniger als für den jetzt
geschlossenen Weltklimavertrag. Das war auch schon 2005 in Montreal so, als man sich dafür
feierte, das acht Jahre zuvor beschlossene Kyoto-Protokoll (das die Pariser Übereinkunft in
bestmöglich fünf Jahren ablösen soll) endlich ans Laufen gebracht zu haben. Und auch zwei Jahre
später in Bali, wo sich die Delegierten in den Armen lagen, weil sie ein Scheitern der Konferenz
(und damit des ganzen Prozesses) in letzter Sekunde verhindern konnten. Und selbst das Desaster
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von Kopenhagen 2009 wurde anfangs zumindest noch als Teilerfolg verkauft. Soviel zur
Einordnung von Jubel nach zwei Wochen Klima-Konferenzmarathon.
Wenn aus "soll" "sollte" wird
Nun also der Jubel von Paris. Was ist er wert angesichts der Tatsache, dass in den kommenden
Jahren - und man muss wohl befürchten: Jahrzenten - in Sachen Klimaschutz nichts passieren wird?
Denn der Vertrag setzt auf Freiwilligkeit. Er bittet die Staaten sozusagen darum, etwas für den
Klimaschutz zu tun. Und ab und an schauen die Vereinten Nationen dann mal drauf. Anders kann
man es nicht bewerten, wenn allein das vage Bekenntnis abgegeben wird, den Höhepunkt der
Emissionen von schädlichen Treibhausgas "so schnell wie möglich" zu erreichen. Wann ist "so
schnell wie möglich"? in zehn oder in 50 Jahren?
DW-Redakteur Henrik Böhme
Niemand muss sich zu irgendetwas verpflichten. Schließlich ist man laut Vertragstext nur
"eingeladen", mitzumachen bei der Rettung des Klimas. Nicht mal mehr das Wort "soll" steht im
Vertrag, es wurde kurz vor dem letzten Hammerschlag noch durch ein "sollte" ersetzt. In der
Gradmessung von Diplomaten ist das ein riesiger Unterschied. Und was nutzt es, wenn die USAmerikaner zwar in Paris eine wirklich engagierte Figur gemacht haben, aber zu Hause die
Republikaner schon pöbeln, sie würden sowieso alles rückkgängig machen, was da möglicherweise
auf die Wirtschaft des Landes zukäme?
Natürlich sind solche Welt-Verhandlungen ein kompliziertes Geflecht von Geben und Nehmen.
Und natürlich ging es auch in Paris vor allem um den Geldtransfer von Nord nach Süd. Immerhin
sind die Industriestaaten der G7 nun in der Pflicht, den milliardenschweren Anpassungsfonds für
die vom Klimawandel am meisten betroffenen armen Länder zu befüllen. Aber das, was die G7
noch bei ihrem diesjährigen Gipfel im bayerischen Elmau verkündet hatten, nämlich die
Dekarboniserung der Weltwirtschaft bis zur Mitte des Jahrthunderts: Davon findet sich im Pariser
Vertrag kein Wort Das hätte auch kein saudischer Prinz unterschrieben, klar. Aber daran krankt die
ganze Geschichte schon seit 20 Konferenzen: Es ist das falsche Forum für dieses globale Problem,
weil jeder an sich denkt, an die nächsten Wahlen und die Wirtschaft zu Hause; und weil es das Ziel
einer solchen Konferenz vor allem ist, dass ein jeder sich in irgendeiner Form als Sieger fühlen soll.
Nur der Markt kann helfen
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Dass der Ölpreis ausgerechnet in den Tagen der Konferenz von einem Tief zum nächsten rutschte,
machte die Sache natürlich nicht einfacher. Es ist ja auch ein Zeichen dafür, dass "den Märkten" das
Gewürge von Paris ziemlich egal war. Der Königsweg kann nur sein, der Luftverschmutzung
endlich einen marktgerechten Preis zu verpassen. Nur wenn CO2 einen angemessenen Preis
bekommt, wenn es zu teuer wird, die Luft zu verpesten, dann wird ein Umdenken einsetzen. Es gibt
hier und da - angefangen in der Europäischen Union - vernünftige Ansätze für
Emissionshandelssysteme. Sie müssen nur ordentlich ausgestaltet und mit anderen bestehenden
Systemen in Nordamerika und China vernetzt werden.
Natürlich werden die nun heimkehrenden Umweltminister zu Hause vom Erfolg berichten, den sie
in Paris errungen haben. Doch was der Jubel vom Samstag wert ist, wird sich dann zeigen, wenn der
Klimavertrag in den Parlamenten der Mitgliedsstaaten zur Ratifizierung vorgelegt wird: Dann
nämlich müssen die Staaten Flagge zeigen, was sie wirklich zu unternehmen gedenken, um das
Versprechen von Paris - und das immerhin ist es - einzulösen. Allein wenn man betrachtet, wie
schwer sich Deutschland mit seiner Energiewende tut, dann kann man erahnen, dass es anderswo
noch deutlich schwieriger, wenn nicht gar unmöglich werden dürfte.
Sie können unterhalb dieses Artikels einen Kommentar abgeben. Wir freuen uns auf Ihre
Meinungsäußerung!
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ITALY
San Lazzaro, BO: the Mayor Isabella Conti, Partito Democratico, is menaced by mafia for her blocking a
project of construction (www.comune.sanlazzaro.bo.it ).
Public officials in Rome and in many other towns do not want to work and find escamotages to avoid …
4 January: press publishes that in the late law approved there is a norm that allows Berlusconi not to pay
and be inculpated for fiscal duties. Renzi admits he is the author of this “mistake”.
January: investigations continue about the corruption big cases: Mafia Capitale (Roma), Expo (Milano),
Mosé (Venezia).
6 January: Italy asks more force to the mission Frontex to face immigrant traffic.
13 January: FCA (Fiat + Chrysler) announces new jobs in Menfi central for 1,500 workers (Sergio
Marchionne), as an effect of Jobs Act.
14 January: President Giorgio Napolitano leaves the office.
17 January: two Italian girls, Greta and Vanessa, volunteers in Syria and there raped, are freed. Polemics
about the rescue paid by Italian government.
Liguria: the ‘primarie’ of Partito Democratico are irregular, denounced Sergio Cofferati, one interested leader.
And he is right, but the Party decides the same for the alternative, Mrs. Raffaella Paita, supported by Renzi.
Cofferati will abandon the Party.
23 Motorizzazione retires the driving permission to a guy because homosexual – the State must reimburse.
Paolo Gentiloni, who is participating to a meeting of foreign ministers in London, alerts that terrorists could
be infiltrated in the immigrants waves.
25 January: inauguration of judiciary year – the judges alert that mafia infiltrated the North part of the
country.
Judge in Lecce are investigating about ILVA industry in Taranto, which is polluting the environment.
28 January: the Lombardia region does a law to impede the construction of new mosques.
29 January: Police investigation in Emilia Romagna reveal how mafia was projecting to do business with
earthquake. 117 mafioso people are arrested. Complicity of mayors, etc.
31 January: new president of the Republic is Sergio Mattarella.
Corrado Passera makes Itaia Unica, a new party.
Goanec, Mathilde (Janiver 2015). Fous à délier.
Le Monde diplomatique, Janvier 2015.
03 February: investigations in Rome bring at the light the list of prices of corruption.
The Parliament is divided about anti-corruption law, and even Partito Democratico is so. Raffaele Cantone
anti-corruption authority says that the controllers about corruption are as the pedophiles in the kindergarten.5
February: mafia and football, also in Emilia.
10. February: Falciani list of HSBC secret top-accounts contains many Italian names.
11. February: anti-corruption laws are stopped again in Parliament.
11 February: China and Thailand want to buy Milan football club.
12 February Constitutional Court establishes that the Robin Tax as applied to IRES on energy companies is
anti-constitutional, then the State looses one billion Euros. RAI and Mediaset gain.
13 February Italian Popolari Banks are transformed, with possible maxi-gains for Davide Serra a maxisponsor of Renzi, who is now investigated for “insider trading”.
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14 February: TAR, Regional Administrative Court of Sicily blocked the MUOS, Mobile User Objective
System, because it is a danger for public health.
15 February: President Mattarella does a national, domestic flight to go home in Palermo.
ITALY, 22 February: Renzi government passed some reform law, but Parliament is in sufferance
for his method.
ITALY: mafa and ant-mafa, sometmes, they seem to be the two faces of the same coin.
March: Berlusconi stll is in a court for Ruby process.
Maurizio Landini, FIOM syndicate in CGIL, starts with Coalizione sociale.
ITALY: new big scandal, Ercole Incalza, the high fonctonnaire of Public Works in Infrastructure Ministry, is
in jail for corrupton. Minister Lupi stands down and resigns.
Pope Francis says against corrupton, in Naples.
ITALY, on 26th March: Chmchina buys Pirelli, while India is ready to buy Pininfarina.
ACCORDIng to a study of Vittadini, the GDP grows better with federalism rather than with centralism.
(7.4.2015).
SICILY
First born in the year is Mohammed a Bangladeshi child.
28 January, Corleone: some shops are denouncing the Mafioso people – mentality changes.
5 February: Sicily Region does not claim for its rights against corrupted employees because “corruption is
not adverted as a social-moral problem”. Crocetta President wants to investigate on that.
May: Cosa Nostra threats the judge Nino Di Matteo heavenly.
May, power strategy of ENI (pres. Descalzi) is to remain in Libya and Russia while turning back to Iran.
3rd Global Teacher Round Table, in Catania, School Fontanarossa (Dr. Meltia Cristaldi).
Mafia Capitale and other corruption scandals are there with many international links, including the
business with the structure for welcoming migrants from Africa.
ITALY: Saipem-ENI, ILVA, Tirrena Power, and Fincantieri – all cases of polluting industries, with
judges that fight to block their polluting activities and gvt that tries to maintain them open and
worker working.
Sicily economic situation is bad than that of Greece. Roberto Saviano comments: Even Mafia is
abandoning the South
22nd August: newly denounced the phenomenon of Mafia caporalate in the agriculture.
9th September: Mafia goods, took by the State, are now managed by the husband of a judge in a very
controversial way …
ITALY, 26th September: Mafa Capitale investgates upon the business on the migrants welcoming even
afer the frst inquiries.
El Debate, 24th November 2015:
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
Mafia italiana
Publicada el 23/11/2015 - 16:11 HS
"Aléjense de Nueva York": mensaje para ISIS
Giovanni Gambino, hijo de un capo de la mafia italiana y con
residencia en Nueva York lanza mensaje al Estado Islámico
“La mafia tiene el poder para detener a ISIS”: Giovanni Gambino.
Nueva York.- Giovanni Gambino, hijo del capo John Gambino, encabeza una de las familias más
poderosas en Nueva York, mencionó que “la mafia tiene el poder para detener a ISIS”.
El objetivo del mafioso que dominó al submundo neoyorkino en demostrar “el lado bueno” de la
mafia que se vive en la Gran Manzana.
La entrevista con Gambino en NBC News.
Supuestamente Gambino, la razón por la que ISIS no ha podido entrar a la isla Sicilia, es por la
razón de la Cosa Nostra.
¿Crees que el ISIS no toca Italia por temor a la Cosa Nostra?

No lo creo
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'El auge del terrorismo global brinda a la mafia la oportunidad e mostrar su lado bueno,' asegura
Gambino en entrevista en la estación televisiva NBC News, indica Reuters.
'La gente de los vecindarios de Nueva York bajo el dominio de los sicilianos puede sentirse a salvo.
Nos aseguraremos de que nuestra familia y amigos estén protegidos de los terroristas, especialmente
de la brutal organización conocida como Estado Islámico', dijo.
¿QUIÉN ES GIOVANNI GAMBINO?
Según Reuters, nació en la provincia de Palermo, en Sicilia. Creció en Torretta, ubicado en una
zona montañosa con vistas a Palermo. Es el más joven de una familia que incluía cuatro hermanas y
un hermano. Su familia se mudó al barrio conocido como Bensonhurst, en el suroeste de Brooklyn
en 1988. Con los años, Giovanni ha desarrollado una pasión por la escritura, incluyendo la escritura
de guiones.
Gambino no es un mafioso, pero sí un exitoso guionista y escritor que trabaja muy de cerca con
importantes productores de Hollywood.
China Daily, 24th November 2015:
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Premier Li pledges stronger parliamentary exchanges with
Italy
Updated: 2014-10-16 03:36
(Xinhua)
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Premier Li Keqiang (R) meets with Italian Lower House President Laura Boldrini in Rome, Italy, Oct 15, 2014.
[Photo/Xinhua]
ROME - Premier Li Keqiang met respectively with Italian Lower House President Laura Boldrini
and Senate President Piero Grasso on Wednesday, vowing to boost closer parliamentary exchanges
between the two countries.
While meeting with Boldrini, Li pledged joint efforts with Italy to take the opportunity of
celebrating the 45th anniversary of diplomatic ties next year, to push for greater achievements of
bilateral comprehensive strategic partnership.
After briefing her about China's new measures and progresses in its reform and opening-up, Li said
although the two countries differ in their national conditions, they both face the task of sustainable
development.
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He called for the parliamentary departments of both sides to enhance exchanges at different levels
and in various forms, and share experience in legislation and governance, so as to contribute to
deepening bilateral pragmatic cooperation.
Hailing the profound culture and history of both countries as well as their fruitful cooperation in a
variety of areas, Boldrini said Italy admires China's achievements in its reform and opening-up.
The Italian Lower House is committed to facilitating stronger exchanges and cooperation with the
Chinese National People's Congress, she said.
Boldrini appreciated China's participation in the 2015 Milan World Expo.
Praising the positive contribution of overseas Chinese to Italy's economic and social development,
she welcomed more Chinese tourists and students to visit and study in her country.
Philippine Star, 9.12.2015:
Pope: Mercy trumps moralizing as he opens
Vatican Holy Door
By Nicole Winfield (Associated Press) | Updated December 9, 2015 - 8:00am
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Pope Francis pushes open the Holy Door of St. Peter's Basilica, formally launching the Holy Year
of Mercy, at the Vatican, Tuesday, Dec. 8, 2015. The 12-month jubilee emphasizes what has
become the leitmotif of his papacy: to show the merciful and welcoming side of a Catholic Church
more often known for its moralizing and judgment. (AP Photo/Gregorio Borgia)
VATICAN CITY — Pope Francis pushed open the great bronze doors of St. Peter's Basilica on
yesterday to launch his Holy Year of Mercy, declaring that mercy trumps moralizing in his Catholic
Church.
Francis stood in prayer on the threshold of the basilica's Holy Door then walked through it, the first
of an estimated 10 million faithful who will pass through over the course of the next year in a rite of
pilgrimage dating back centuries.
A thin and frail Emeritus Pope Benedict XVI walked through the doorway right after Francis,
gingerly negotiating the two steps with the help of a cane and his longtime assistant. It was a rare
outing for the 88-year-old Benedict, whose historic resignation led to Francis' election and a papacy
dedicated to showing the merciful side of the church.
Some 5,000 extra police, carabinieri and soldiers have been deployed around Rome, and a no-fly
zone imposed on its skies, to protect the pilgrims who are flocking to Rome on foot, by car, train
and plane to participate in the yearlong celebration.
Security was heightened after the Vatican was listed as a possible target following the Paris attacks,
but the extra police patrols and traffic stops extended far beyond the immediate vicinity of the
Vatican or even the other main pilgrimage sites in Rome.
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Francis launched the 12-month jubilee to emphasize what has become the leitmotif of his papacy:
showing the merciful and welcoming side of a Catholic Church more often known for moralizing
and casting judgment.
World ( Article MRec ), pagematch: 1, sectionmatch: 1
"How much wrong we do to God and his grace when we speak of sins being punished by his
judgment before we speak of their being forgiven by his mercy," Francis told an estimated 50,000
people gathered under rainy skies for his Mass opening the jubilee. "We have to put mercy before
judgment, and in any event God's judgment will always be in the light of his mercy."
The Vatican's Holy Door, located to the right of the basilica's main entrance, is decorated with 16
bronze panels depicting the redemption of man's sin through mercy. Passing through it is meant to
symbolize the pilgrimage of life's journey and the sacrifices endured.
"We have to absorb the message that God always forgives us, which is the message that the pope
gives to us," said Maria Sila, a pilgrim from Buenos Aires as she waited for the Mass to begin.
After Francis and Benedict walked through the doorway, the first throngs of pilgrims followed suit,
led off by the Italian president and other dignitaries.
In a sign that Francis himself was taken aback by Benedict's frailty when he saw him at the Holy
Door, he asked the throngs of pilgrims in the piazza to send their prayers for his "good health." The
crowd responded with cheers and applause.
Holy Years are generally celebrated every 25-50 years, and over the centuries they have been used
to encourage the faithful to make pilgrimages to Rome to obtain an "indulgence" — the ancient
church tradition related to the forgiveness of sins that roughly amounts to a "get out of Purgatory
free" card.
Unlike in Martin Luther's time, these Holy Year indulgences are free and available to those who
pass through the Holy Door.
The last jubilee was in 2000, when St. John Paul II ushered in the church's third millennium and
some 25 million pilgrims flocked to a Rome that had undergone a multimillion-dollar facelift for
the occasion.
In typical Francis fashion, the pope made clear from the start that he wanted this Holy Year to be a
more sober occasion. For the first time, the pope instructed all cathedrals around the world to open
their Holy Doors to pilgrims to encourage the faithful to mark the jubilee at home rather than
coming to Rome.
Nevertheless, Italian officials seized on the excuse of the jubilee to allocate millions of euros for
dozens of public works projects around the capital, practically none of which has been completed.
Francis announced his Holy Year on the second anniversary of his papacy, saying his aim was "to
give comfort to every man and every woman of our time." It was in keeping with his priority to
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make the church a "field hospital" for injured souls, where the wounded are welcomed and loved,
not judged.
The jubilee year will feature a host of special Masses and extra general audiences to accommodate
the throngs of pilgrims, while Francis himself has set aside one Friday each month to slip out of the
Vatican to perform an act of mercy himself, in private.
For all the pomp of yesterday's ceremony, Francis technically launched the Holy Year of Mercy last
week in Central African Republic, when he pushed open the Holy Door of the Bangui cathedral. His
aim was to give the conflict-weary Christians there a spiritual boost, and show the universality of
his message of mercy.
Elsewhere around the world, Holy Doors will be opening at cathedrals starting this Sunday.
On yesterday night, the Vatican will lend itself to another one of Francis' preoccupations —
environmental protection. A coalition of humanitarian groups has banded together to screen images
of nature by well-known photographers and filmmakers on the facade of St. Peter's.
BOSNIA-HERZEGOVINE
4 February: The International Penal Court of The Haag established that ethnic cleaning dos not correspond
to genocide. Hope has been expressed that ex-Yugoslav republics restart and refresh friendship.
Pope Francis visits Sarajevo, 5th June. Bosnia is a cradle for terrorists.
LITUANIA
3,5 millions inhabitants, GDP is 35 billions Euros, prevision of growth 2015 is 3,1%. Vilnius the
capital. Since 2015 the country is adopting the Euro. Unemployment is 9,9%, the best in Europe.
President of Republic the lady Dalia Grybauskaite. The country depends on Russian power
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Gazprom, but the general feeling is quite anti-Putin and a new platform from Norway, Klaipeda,
should guarantee power independence too.
MOLDAVIA
Danero Iglesias J. (2014). Nationalisme et pouvoir en République de Moldavie. Les Eitions de
l’Université de Bruxelles. [Le Monde diplomatique, Avril 2015.
BELGIO
Se extiende la alerta máxima en Bruselas y
mañana no abrirán ni el subte ni las escuelas
La decisión fue comunicada por el premier Charles Michel, quien asegura que la amenaza de Estado
Islámico es "grave e inminente"
Domingo 22 de noviembre de 2015 • 15:14
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Se extiende la alerta máxima en Bélgica y mañana no abrirán ni el metro ni las escuelas.Foto:AFP
BRUSELAS.- Tras los atentados en París del viernes 13 de noviembre, que dejaron un saldo de 132
muertos y más de 300 heridos, Europa está alerta. El grupo extremista Estado Islámico lanzó un par
de videos en los que asegura que los ataques aún no terminaron y ante estas amenazas, los
gobiernos de todos los países montan guardias especiales para prevenir una nueva masacre.
Bélgica es uno de los países que más está en la mira. Fue en un barrio de Bruselas en donde se ideó
la ola de atentados: Molenbeek fue marcada como el bastión del grupo terrorista en el país. Y es por
esto que ayer las autoridades belgas tomaron todos los recaudos a su alcance y comunicaron que es
país estaba en estado de sitio.
Hoy, las autoridades decidieron prolongar el nivel de alerta máxima (4) por terrorismo para
Bruselas, según informó el primer ministro, Charles Michel, tras una reunión del Consejo de
Seguridad.
Se extiende la alerta máxima en Bélgica y mañana no abrirán ni el metro ni las escuelas.Foto:AFP
Más notas para entender este tema
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Ante este panorama, también comunicaron que las escuelas y el subte mañana permanecerán
cerrados, ante una amenaza calificada como "grave e inminente".
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Clarin, 24th November 2015:
La tragedia agiganta a Hollande, el hombre
que dirige la guerra
París bajo fuego.El 73% de los franceses aprueba su gestión tras los ataques a París. Antes era el
presidente galo más impopular.
Presidente. La imagen de Hollande ha crecido con su manejo de la crisis (AFP).

María Laura Avignolo
La tragedia agiganta al presidente François Hollande, que hasta ahora era el jefe de Estado más
impopular de Francia. No sólo en los sondeos, que lo hicieron subir ocho puntos desde los brutales
atentados en París. En los peores momentos para su país, Hollande sabe encarnar los valores
republicamos de Francia ante el horror del terrorismo y no vacila. Actúa completamente
convencido, sin fijarse si sus medidas son populares o impopulares, de derecha dura o de izquierda.
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Es el nuevo jefe de guerra y, solo, decidió lanzar masivos ataques aéreos al ISIS, el día después de
los atentados, sin la menor solidaridad de sus pares europeos. Luego sacó de la galera un artículo
42.7 del Tratado de Lisboa, que fuerza a la Unión Europea a defender a un socio atacado y comenzó
a construir, en plena crisis, una política de defensa común de la UE.
Ante la adversidad, desde la masacre de Charlie Hebdo en enero hasta los horrendos ataques
simultáneos del ISIS una semana atrás, se produce una transformación “mediterrandiana” en
Hollande. Pero que, al mismo tiempo, lo hace parecer al ex presidente Jacques Chirac porque es
humano. Es un lenguaje opuesto al de Manuel Valls, su apasionado primer ministro franco catalán.
Marcial pero cercano, controlado, con un tono de autoridad, sin dejarse dominar por el pánico o la
emoción. Aplomado. El 73% de los franceses cree que “Hollande estuvo a la altura de los
acontecimientos ” y el 26% no, según una encuesta de Le Parisien.
Un jefe de guerra singular, “un improbable comandante en jefe”, como diría el Financial Times, “un
John Wayne de los Campos Elíseos” para el diario de centroizquierda The Guardian, pero con un
físico que no corresponde a su actual estatura de hombre de Estado. El “Presidente Normal”, que
votaron los franceses en el 2012 para curarse del hiperquinético Nicolás Sarkozy. El mismo que
logró frenar a Al Qaeda en Mali cuando su capital, Bamako, estaba bajo amenaza y envió sus tropas
especiales para contener el asalto que dejó esta semana 27 muertos en hotel Radisson de su capital,
con su país en estado de urgencia. Es solidario Hollande y no traiciona sus compromisos con los
menos fuertes.
El jefe de Estado se salvó de ser asesinado en los atentados. Estaba en el estadio de Francia, junto al
canciller alemán Frank Walter Steinmeir viendo el partido de futbol, cuando dos de los tres
kamikazes se detonaron en las puertas del estadio. El ataque coordinado en París estaba en marcha.
Con la mayor discreción, Hollande fue evacuado del estadio por su seguridad y en auto se dirigió,
junto al ministro del Interior, Bernard Cazeneuve, a dirigir la crisis. Pero antes ordenó no
interrumpir el match, cerrar las puertas del estadio discretamente y que los fans fueran conducidos
al césped para protegerlos. Esa calma que imprime en la emergencia es hollandismo puro.
Todas las dudas que pueden generar sus políticas en sus pares socialistas, que no pueden digerir el
“liberalismo” social de Hollande, desaparecen cuando Hollande está a cargo de una crisis de
seguridad y política exterior. Una verdadera transformación ante la adversidad, que impone el
estado de urgencia, que asegura a una población aterrorizada con gestos y palabras humanas pero
firmes. Un éxito para un hombre que Dominique Straus Khan, a quien reemplazó como candidato
presidencial, consideraba “un perdedor, débil”. Hollande, el ministro de Defensa Jean Yves Le
Drian; el ministro del Interior Cazeneuve y el apasionado premier Valls consiguen formar un equipo
sólido, donde se distribuyen las responsabilidades y cada uno tiene su forma diferente de comunicar
y conducir.
El presidente Hollande decidió la guerra abierta después que Daech asesinara a mansalva a 130
inocentes franceses. Bombardeó al ISIS infinitamente solo. Rompió el tabú que dividía a la Unión
Europea después de Ucrania y está negociando una ofensiva con Vladimir Putin, a quien se negó a
entregarle las barcos militares que había construido y el otro pagado por la crisis de Ucrania. El
jueves se pondrán definitivamente de acuerdo en Moscú pero sus estados mayores están ya en
coordinación. Llamó al rey de Arabia Saudita para exigirle que dejen de financiar el jihadismo, a los
millonarios qataríes, cuyo primer ministro llegó a Francia un día después de los atentados, a
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expresar su solidaridad. Llamó al presidente iraní, que aterrizará en Francia próximamente para una
visita que canceló ante los atentados terroristas. Con sus muertos llorados en las calles de París,
comenzó a construir “la gran y heterogénea coalición” para destruir al ISIS y sus recursos.
Lunes, el primer ministro británico David Cameron en el palacio del Elíseo para comprometerse a
bombardear Siria. Martes, con el presidente Barack Obama en Washington, para discutir la
estrategia para eliminar al ISIS y que tropas regionales se fortalezcan en el terreno para que no haya
“botas occidentales” combatiendo al ISIS. Miércoles, una comida informal con la canciller alemana
Angela Merkel en París, agobiada por la oposición a los inmigrantes sirios, y el jueves a ver al
presidente Vladimir Putin en Moscú para certificar su nueva alianza. Esta Yalta de la guerra del
siglo XXI, tan compleja y con intereses muy difíciles de reconciliar. Un componedor como
Hollande, que ama la política, es un habilísimo negociador, capaz de encontrar un resquicio de
positividad en el más negativo de los escenarios, con su sentido del humor y sus mortíferas frases de
una sola línea para destruir con ironía al otro, puede llegar a conseguirlo porque es una directa
víctima de Daech y un espejo para los otros.
“François” y “Barack” se llevan bien, han conseguido establecer una excelente relación personal
que el presidente norteamericano Obama no tiene con el primer ministro británico David Cameron.
Ahora Hollande va a Washington y forzó a la Unión Europea a aportar naves a acompañar en la
guerra. Una fragata británica y una belga están acompañando el portaaviones Charles de Gaulle, que
está operacional frente a Siria. Hollande está haciendo política, diplomacia y guerra. Todo al mismo
tiempo y le está saliendo bien. Puro pragmatismo.
El ministro de Defensa francés acaba de decir que la destrucción de Daech (jamás dicen Estado
Islámico) “pasa por una obligatoria presencia de tropas en el terreno que no tienen que ser
forzosamente francesa”.Y que van a atacar Raqqa y Mosul. Obviamente cuenta con los kurdos, a los
que armarán hasta los dientes, las tribus y como pueda ( ya lo están haciendo en Irak
disimuladamente con los estadounidenses) , con los iraníes. Eso es lo que va a negociar el jefe de
Estado con sus pares. Francia va a enviar fuerzas especiales, su portaaviones Charles de Gaulle
tiene 26 aviones de combate, 18 Rafale y 18 Super Etendar, más 12 aparatos en Emiratos y seis
Mirage en Jordania. La decisión del ministro de Defensa, el más popular del gabinete, es
bombardear Mosul, y Raqqa, donde se encuentran los centros de decisión y de formación de
jihadistas del ISIS. “Hay que bombardear las dos ciudades, las capacidad de recursos del Estado
Islámico, es decir los campos petroleros”, anunció Le Drain. Si bien Francia y Rusia no coordinan
aún los bombardeos, tienen el mismo enemigo: Daech”, según el jefe del Estado Mayor francés,
Pierre de Villiers.
En su tour diplomático, Hollande buscará coordinar esta coalición y sus aliados en el terreno. Una
mezcla imposible de Kurdos pro independentistas, tribus sunitas, chiítas iraquíes. El principal
problema será el rol de Irán, un acuerdo imposible entre la sunita Arabia Saudita y el régimen shiíta
de Irán, que se detestan pero tienen en el ISIS el mismo enemigo, y Turquía, que se ha transformado
en un impredecible aliado de la OTAN con el islamista Erdogan de presidente, que hace guiños al
ISIS porque su enemigo numero uno es Bashar al Assad. La habilidad y el charme de Hollande
tiene el desafío de volver ese rompecabezas de intereses divergentes en una alianza posible.
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GERMANY
1 January: Ulrich Beck dies by heart attack.
Annette Scheunpflug (2015). Non-governmental religious schools in Germany – increasing demand by decreasing
religiosity? Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in
Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 38-56.
19 January: an opinion investigation reveals that 57% population is anti-Islam. Pegida is the
principal movement anti-Islam in Germany, the leader is Lutz Bachmann: www.sueddeutsche.de;
www.welt.de ).
27 January: an opinion investigation reveals that 81% of German population desires to forget the
Shoah (today being the day of memory), 36% don’t share a favorable opinion about Israeli current
state.
28 May, ISIS enrolls youth who work as kamikaze.
Denord F., Knaebel R., Rimbert P. (Aout 2015). L’ordolibéralisme allemand, cage de fer pour le
Vieux Continent. Le Monde diplomatique, Aout 2015.
3rd September: with “reluctant hegemony” Mme Merkel faces the Syrian migrants question, while
other European countries have an ambivalent approach to the issue.
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GERMANY, 23RD September: Wolkswagen scandal, one million cars are false green. The Company
begs pardon to the world. It seems that Merkel and the syndicates knew the weakness and did not
operate properly.
Knaebel R. (Septembre 2015). En Allemagne, main basse sur les terres de l’Est. Le Monde
diplomatique, September 2015.
Daily Times of Nigeria, 17th November 2015:
Der Wunsch nach Bildung
Auch in Deutschland lässt sich der Zusammenhang zwischen Bildung und Lebensstandard immer
deutlicher belegen. In Gegenden mit geringem Lebensstandard ist der Besuch einer höheren Schule
eher die Ausnahme als die Regel. Wird überhaupt ein Bildungsabschluss erreicht, ist das am
häufigsten der Hauptschulabschluss. Der Mangel an Bildung wird bei der Besetzung von
Lehrstellen zu einem großen Problem. Fehlende Bildung verschlechtert die Chancen auf eine gute
Berufsausbildung dramatisch. Die Folge sind oft prekäre Lebensverhältnisse, der Empfang von
Transferleistungen und eine “”Vererbung”” der Bildungschancen. Ein Kind aus einem Elternhaus
mit hohem Sozialstatus besucht fast dreimal so häufig das Gymnasium als ein Kind aus einem
Facharbeiter-Elternhaus.
Bildungsmöglichkeiten in Ländern der dritten Welt
Noch schlimmer sind die Bildungsbarrieren in ärmeren Ländern. Durch Armut und den Mangel an
Infrastruktur sind viele Eltern oft nicht in der Lage, ihre Kinder zur Schule zu schicken. Sie
erkennen zwar den Wert einer guten Schulbildung, es fehlen aber die Mittel, die Kosten für
Schulbücher, Lernmittel oder Schuluniformen aufzubringen. Besuchen Kinder trotzdem eine
Schule, müssen sie manchmal mehrere Stunden laufen, was bei einer Mangelernährung eigentlich
nicht zu bewältigen ist. Wenn überhaupt bekommen Menschen ohne Bildung nur Arbeit im
Niedriglohnsektor. Der Mangel an Bildung ist in den Ländern der dritten Welt eine der essentiellen
Ursachen für Armut, ebenso wie Armut eine wesentliche Ursache für den Mangel an Bildung ist.
Bildung hilft den Lebensstandard zu verbessern
Jeder Mensch hat das Recht auf Bildung. Eine gute Schulbildung bietet die Chance, eine
Berufsausbildung zu durchlaufen. Unter günstigen Voraussetzungen bedeutet das einen besser
bezahlten Arbeitsplatz als bei ungelernten Arbeitskräften. Nur Menschen mit Bildung haben
überhaupt die Möglichkeit, ihr Leben selbst zu gestalten. Schon aus demografischen Gründen
können es sich die Deutschen nicht mehr lange leisten, Bildungschancen der Kinder zu
verschwenden. Es wird immer wichtiger werden, allen Heranwachsenden eine gute Bildung und
Ausbildung zu vermitteln.
Alternative Ausbildungsmöglichkeiten
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Während es zur Schulausbildung kaum Alternativen gibt, bietet eine berufsbegleitende Ausbildung
vielen Interessenten die Möglichkeit, eine abwechslungsreiche Tätigkeit zu erlernen oder die
Grundlage für eine interessante Karriere zu legen. Zahlreiche Ausbildungsinstitute bieten
Bildungsinhalte als Fernstudium und Weiterbildung an. Eine schulische Ausbildung ist inzwischen
eine interessante Alternative zur klassischen dualen Ausbildung im Betrieb und Berufsschule.
Bildquelle: © cellanr „One Laptop per Child at Kagugu Primary School, Kigali, Rwanda.“
Bestimmte Rechte vorbehalten. Quelle: Wikipedia.org
Spiegel, 19.11.2015 - Er galt als gefährlichster Islamist Belgiens und soll hinter den Anschlägen
von Paris stecken: Abdelhamid Abaaoud wurde bei der Anti-Terror-Razzia in Saint-Denis getötet.
Nach Informationen von SPIEGEL ONLINE hielt sich Abaaoud wiederholt in Deutschland auf.
Spiegel, 20.11.2015:
Versagen von Schengen und Euro: Europa an der Grenze
Eine Kolumne von Wolfgang Münchau
Der Euro wackelt nach wie vor, das Schengen-System der offenen Grenzen ist de facto
gescheitert. Beide europäischen Konstruktionen scheitern am selben Problem: Die EU konnte
sich nur auf den kleinsten gemeinsamen Nenner einigen.
Kolumne
Für viele von uns, die jahrelang über innereuropäische Grenzen wandelten, war das Schengener
Abkommen eine der konkretesten Errungenschaften der europäischen Einigung im täglichen Leben.
Viele Jahre lang fuhr ich häufig mit dem Wagen von meinem damaligen Wohnort Brüssel nach
Italien und passierte dabei je nach Fahrtroute vier und oder fünf Grenzen, die man kaum noch als
solche wahrgenommen hat. Auch der Euro war für den Europendler ein Akt der Vereinfachung.
Wer zwischen den Staaten wandelte, hatte ganz plötzlich ein bequemeres Leben.
Euro und Schengen haben aber noch etwas anderes gemeinsam. Sie waren beide
Schönwetterkonstruktionen. Der Euro zerbricht an einem kaum noch überbrückbaren Gefälle
zwischen dem Norden und dem Süden. Und Schengen zerbricht an Flüchtlingen und Terrorismus.
Wie beim Euro hat man die Probleme unterschätzt und maßlos geschludert, vor allem im Austausch
von Daten über Terroristen. Präsident François Hollande hat nach den Attentaten von Paris sofort
den Notstand ausgerufen und für die nächsten drei Monate die Grenzkontrollen wieder eingeführt.
So wie Deutschland jetzt auch die Grenze nach Österreich wieder kontrolliert.
Notsituationen sind im Schengener System ausdrücklich vorgesehen und sind somit nicht an und für
sich Beweis seines Scheiterns. Aber die Notsituationen, von denen wir jetzt reden, werden über die
kurzfristigen Maßnahmen hinausgehen. Die Grenzkontrollen werden verlängert. Der
Ausnahmezustand wird zur Regel. Und währenddessen wird man von offizieller Seite weiter
verlautbaren, das Schengener Abkommen sei nach wie vor gültig und relevant.
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Man machte bei der Konstruktion von Schengen eine ganze Reihe von Fehlern. Damit so ein
Abkommen langfristig funktioniert, benötigt es das Vertrauen aller Bürger in allen Staaten. Eine
Mindestvoraussetzung dafür muss sein, dass die gemeinsame Außengrenze mindestens so gut
kontrolliert wird wie die vorher am besten kontrollierte Grenze seiner Mitglieder. So funktioniert es
allerdings nicht. Die griechische Grenze wird von griechischen Zöllnern bewacht, die unter
Anweisung ihrer Regierung handeln. Und wenn die entscheidet, Flüchtlinge nicht oder nur
ungenügend zu registrieren, dann funktioniert das System nicht mehr.
Man kreierte nur das Mindeste, was nötig war
Auf meinen häufigen Flugreisen zwischen Großbritannien und Ländern aus dem Schengengebiet
fällt mir immer wieder auf, wie professionell die Briten ihre Grenzkontrollen organisieren im
Verhältnis zu den Schengenländern. Der Grenzbereich in den Flughäfen sind große Hallen. Dort
werden Reisende aus EU-Ländern plus Schweiz, Norwegen und Island von Reisenden aus dem Rest
der Welt getrennt. Die Beamten sitzen nicht wie in Deutschland in Kabinen, in denen sie häufig
mehr miteinander reden als mit den Reisenden. Jeder Pass wird kontrolliert. Niemand wird
durchgewinkt.
Die verhältnismäßig laxen Schengener Grenzkontrollen sind erstaunlich angesichts der Größe des
Schengenraums. Auch hier gibt es Parallelen zum Euro. Man kreierte nur das Mindeste, was nötig
war: eine gemeinsame Zentralbank für den Euro, einen gemeinsamen Computer für Schengen. Man
schaffte sogar einen gemeinsamen europäischen Grenzschutz, Frontex, der die EU-Außengrenze
kontrollieren soll, aber die Behörde hat nur die Hälfte des Personals, die es bräuchte, um allein die
Flüchtlinge zu kontrollieren.
Zwischen Schengen und dem Euro gibt es aber auch einen bedeutenden Unterschied. Schengen
kann man leichter suspendieren und am Ende sang- und klanglos scheitern lassen. Mit dem Euro
geht das nicht. Den hat man, oder man hat ihn nicht.
Die Niederländer haben den Vorschlag gemacht, das Schengener Abkommen auf nur eine kleine
Reihe von Ländern zu beschränken - Deutschland, Österreich, Benelux und Frankreich. Solche
Abspaltungsfantasien gibt es zwar auch für den Euro, aber die lassen sich nicht umsetzten. Der Euro
hat feste Rechtsgrundlagen, die in den europäischen Verträgen verankert sind. Man kann Länder
nicht mal so eben "rausschmeißen".
Auch Schengen basiert auf EU-Recht, aber es gibt die Möglichkeit der Suspendierung. Damit kann
man Fakten schaffen. Man könnte den Vertrag lange genug suspendieren und dann parallel dazu
eine neue außervertragliche passfreie Zone kreieren. Wenn die EU überhaupt noch eine Chance hat
in der Zukunft, dann als Gemeinschaft der zwei Geschwindigkeiten. Die EU mit ihren 28
Mitgliedstaaten ist mit allem, was sie tut, überfordert - Euro, Ukraine, Syrien, Flüchtlinge,
Terrorismus. Nur eine Kerngruppe kann das alles am Ende stemmen.
Der Vorschlag der Niederländer ist nicht zu Ende gedacht. Man kann Schengen nicht so einfach
ändern. Ich würde ihn trotzdem nicht verwerfen. Schengen hat fundamental versagt. Man sollte über
Alternativen nachdenken.
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Spiegel,, 21.11.2015:
Grünen-Chef Cem Özdemir hat dem Westen Versagen im Kampf gegen den internationalen
Terrorismus vorgeworfen. Saudi-Arabien und die Golfstaaten seien seine Handelspartner, man
kaufe von ihnen Öl und liefere ihnen Waffen. Solange "diese Heuchelei und Doppelzüngigkeit"
nicht aufhörten, werde es niemals Erfolge geben, sagte Özdemir am Freitagabend zu Beginn des
Bundesparteitages der Grünen in Halle. "Der saudische Wahabismus ist nicht Teil des Problems, er
ist die Quelle des Problems." Der Wahabismus gilt als besonders orthodoxe Form des Islams.
Auch in den Gesprächen mit der Türkei zur Lösung der Flüchtlingskrise gebe es Doppelzüngigkeit,
die die Glaubwürdigkeit der Koalition nicht erhöhe. Özdemir sprach sich für eine gut ausgestattete
Polizei und demokratisch kontrollierte Geheimdienste aus, die ihre Informationen auch austauschen
müssten.
Mit Blick auf den Islam sagte Özdemir, es sei natürlich falsch, "Terror mit einer ganzen Religion
gleichzusetzen". Die Probleme dürften aber nicht ignoriert werden. "Kein heiliges Buch steht über
unserem Grundgesetz", betonte er. "Kein Glaubensvertreter schreibt einer Frau vor, wen sie zu
heiraten hat." Kein angebliches Gottesgebot erlaube es, Homosexuelle zu unterdrücken oder sonst
wie die Menschenrechte einzuschränken.
Die Grünen sind am Freitagnachmittag in Halle in Sachsen-Anhalt zu einem dreitägigen Parteitag
zusammen gekommen. Am Samstag stellen sich die bisherigen Vorsitzenden Simone Peter und
Özdemir ebenso wie der Parteivorstand zur Wiederwahl.
Der Spiegel, 21 November 2015 :
Das Land braucht einen Neustart in der deutschen Flüchtlingspolitik. Dafür ist ein
Abkommen mit der Türkei über Syrer-Kontingente notwendig. Das Asylrecht bleibt davon
unangetastet, eine feste Obergrenze kann es nicht geben.
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Sigmar Gabriel, Jahrgang 1959, ist SPD-Vorsitzender und Vizekanzler der Großen
Koalition, sein Parteifreund Frank-Walter Steinmeier, Jahrgang 1956, ist Außenminister.
Täglich erreichen rund 10.000 Menschen über die Türkei die griechische Küste und schlagen sich
unter teils menschenunwürdigen Bedingungen über den westlichen Balkan in die Europäische
Union durch. Täglich kommen Tausende Menschen auch nach Deutschland. Diese Menschen
fliehen vor Krieg, Terror und Hunger.
Wir fühlen mit ihnen, und sehen uns gleichzeitig vor eine historische Bewährungsprobe gestellt.
Spannungen auf dem westlichen Balkan leben wieder auf. Die Solidarität innerhalb der
Europäischen Union droht zu zerreißen. Die Helfer in Deutschland und andernorts geraten an die
Grenze ihrer Belastbarkeit.
Dabei ist es nicht unbedingt die absolute Zahl der Flüchtenden, die uns an unsere Grenzen bringt,
sondern die Dynamik und Geschwindigkeit, mit der die Flüchtlingszahlen in nur wenigen Monaten
angewachsen sind. Eine Nation mit mehr als 80 Millionen Einwohnerinnen und Einwohnern wie
Deutschland ist nicht mit einer Million Flüchtlingen überfordert. Die Unterbringung und Aufnahme
einer solchen Zahl in nur einem Jahr allerdings ist nur schwer und über mehrere Jahre hinweg kaum
durchzuhalten.
Geschwindigkeit der Zuwanderung reduzieren
Wir müssen deshalb die Geschwindigkeit und Dynamik der Zuwanderung abschwächen und die
Zahl der Flüchtlinge, die in einem Jahr zu uns kommen, verringern. Viele Städte und Gemeinden
haben schlicht keine Aufnahmekapazitäten mehr, und eine gelungene Integration braucht Maß, gute
Vorbereitung und vor allem Zeit. Wir stehen vor einer Jahrzehntaufgabe für eine umfassende
Gesellschaftspolitik, damit die Menschen, die bereits Schutz und neue Heimat bei uns gefunden
haben, integriert werden können. Nicht nur Schweden und Österreich, unsere beiden wichtigsten
Partner in diesen Monaten, brauchen eine Verringerung der Geschwindigkeit des Zuzugs, sondern
auch Deutschland.
Wenn wir nicht nur ein Jahr, sondern über eine längere Zeit helfen können wollen, müssen wir mehr
ordnen und steuern. Dafür brauchen wir einen Neustart in der deutschen Flüchtlingspolitik.
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Deutschland muss alle politischen Möglichkeiten nutzen, um die internationalen Bedingungen für
mehr Kontrolle und Steuerung der Flüchtlingsbewegungen zu schaffen. Dafür ist neben dem
zwingend erforderlichen europäischen System der Registrierung und Verteilung ein Abkommen mit
der Türkei ein ganz wesentlicher Baustein. Wir wollen eine wirksame Kontrolle der Seegrenze zur
EU erreichen und Voraussetzungen dafür schaffen, dass die in der Türkei in Sicherheit lebenden
Syrer nicht den gefährlichen illegalen Weg in die EU wählen.
EU-Außengrenze sichern - Türkei helfen - Kontingente aufnehmen
Wenn die Türkei bereit ist, große Beiträge zur Sicherung der gemeinsamen Grenze mit der EU zu
übernehmen und zugleich Flüchtlinge, die versuchen, diese Grenze zu überschreiten bei sich wieder
aufnimmt, dann muss die Europäische Union die Türkei im Gegenzug auch solidarisch und
tatkräftig unterstützen.
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Dazu gehört ein angemessener Finanzierungsbeitrag zur Versorgung der syrischen
Flüchtlinge.
Dazu gehört schließlich auch, dass wir der Türkei - Zug um Zug - für Fortschritte in der
Flüchtlingsfrage bei Themen entgegenkommen, die für die Menschen in der Türkei von
großer Bedeutung sind: Das gilt für die Einstufung der Türkei als sicheres Herkunftsland.
Hier muss aber auch künftig gewährleistet sein, dass politisch Verfolgte die Möglichkeit
behalten, in Deutschland Asyl zu bekommen.
Auch in der Frage der Visaliberalisierung müssen wir viel schneller vorankommen.
Und schließlich müssen wir neuen Schwung in die seit Jahren stagnierenden
Beitrittsverhandlungen bringen.
Wenn diese Zusammenarbeit mit der Türkei also gelingt, dann sollte - im Gegenzug - im Rahmen
einer europäischen Anstrengung Deutschland in Zukunft Kontingente syrischer Flüchtlinge
aufnehmen, wie es dies bei anderen Bürgerkriegskonflikten schon getan hat. Die Menschen in
diesen Kontingenten sollen auf sicheren Wegen nach Europa und Deutschland gebracht werden.
Statt chaotischer und ungesteuerter Zuwanderung auf gefährlichen Fluchtrouten wie heute also
geordnete und sichere Aufnahme von Bürgerkriegsflüchtlingen.
Dabei muss gelten: Frauen und Kinder zuerst. Vorrang für Familien Dieses Verfahren erhöht die
Kontrolle darüber, wer zu uns kommt, denn Antragstellung, Identitätsfeststellung und Registrierung
finden vor der Einreise statt. Zugleich erspart es den Menschen, die Schutz suchen, einen
lebensgefährlichen Weg über das Mittelmeer und die Fluchtrouten. Niemand soll auf dem Weg
nach Europa sein Leben riskieren. Das ist ein hoher Anspruch, aber geringer darf er nicht sein.
Klar ist für uns: Wir werden das deutsche Grundrecht auf Asyl nicht antasten. Jeder Mensch, der
verfolgt ist und zu uns gelangt, muss und wird auch in Zukunft Anspruch auf ein Asylverfahren und
als Asylberechtigter auch auf Aufnahme haben. Allerdings erhält nur ein relativ kleiner Teil der zu
uns Flüchtenden Asyl aufgrund seiner individuellen Verfolgung. Die allermeisten flüchten vor
Krieg und Bürgerkrieg und erhalten bei uns Schutz als Bürgerkriegsflüchtlinge.
Deshalb kann die Aufnahme relevanter Kontingente von Bürgerkriegsflüchtlingen die
Asylverfahren nicht ersetzen, aber durchaus entlasten. Dabei gilt: Feste Obergrenzen können wir
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nicht definieren, denn sie ließen sich nur durch eine Abschaffung des individuellen Asylrechts in
der deutschen Verfassung erreichen.
Fluchtursachen bekämpfen
Klar ist deshalb auch: Mehr Steuerung, mehr Kontrolle und Ordnung in der Flüchtlingspolitik
erfordert die internationale Bekämpfung der Fluchtursachen. Dazu gehören Investitionen in die
Verbesserung der Lebensbedingungen in der Türkei, in Jordanien und im Libanon. Wir brauchen
den Aufbau von sicheren und menschenwürdigen Flüchtlingsunterkünften unter der Verantwortung
der Vereinten Nationen.
Weiter geht es darum, den Krieg in Syrien einzudämmen und die Terrororganisation des so
genannten "Islamischen Staates" vereint zu bekämpfen. Mit den Wiener Verhandlungen zu Syrien
gibt es nun einen ersten, vorsichtigen Hoffnungsschimmer. Alle wichtigen syrischen Nachbarn,
auch Iran, Saudi-Arabien und die Türkei sitzen mit am Tisch.
Die Türkei ist das Schlüsselland auf der Westbalkanroute. Unverzichtbarer und vor allem schnell
greifender Teil eines Neustarts der Flüchtlingspolitik muss deshalb ein substanzielles Abkommen
zwischen Europäischer Union und der Türkei sein. Dabei helfen weder Paternalismus noch
Anbiederung. Aber es war falsch, Ankara über Jahre mit dem Hinweis auf eine wolkige
"Privilegierte Partnerschaft" abzuspeisen. Die Türkei war und ist ein sicher nicht einfacher, aber
eben ein unverzichtbarer Partner für Deutsche wie Europäer. Es ist gut, dass sich nun auch andere
diese Einschätzung zu eigen gemacht haben, die wir in der SPD seit Jahr und Tag vertreten.
Faire Verteilung der Lasten in Europa
Für einen Neustart müssen wir nicht zuletzt unsere Anstrengungen auf europäischer Ebene kreativer
gestalten. Die Umsetzung der bereits getroffenen Beschlüsse - von der Einrichtung von Aufnahmeund Verteilungszentren bis hin zur Bereitstellung von Geldern und Personal - kommt viel zu
schleppend voran. Wir werden nicht nachlassen in unserer Forderung nach einem gemeinsamen
Schutz der EU-Außengrenzen, nach einem echten europäischen Asylsystem und vor allem nach
einer fairen Verteilung der Lasten in Europa. Aber wir müssen eben auch darüber nachdenken, ob
durch einen gemeinschaftlich finanzierten europäischen Fonds Mitgliedsländer, die Flüchtlinge
aufnehmen, finanziell entlastet werden können.
Als Sozialdemokraten orientieren wir uns an einem klaren Kompass. Wir wollen eine humane
Flüchtlingspolitik, die Deutschland auch auf längere Sicht nicht überfordert und die zugleich die
große Errungenschaft offener Grenzen in Europa sichert. Wir wollen deshalb eine Flüchtlingspolitik
der Solidarität, die Lasten entlang der Westbalkanroute fairer verteilt.
Wir wollen eine europäische Flüchtlingspolitik. Deutschland kann nicht ohne Abstimmung mit den
Nachbarn die Grenzen dicht machen und die europäische Solidarität aufkündigen. Wer solche
Forderungen aufstellt, der hat sich siebzig Jahre nach Ende des Zweiten Weltkriegs nicht klar
gemacht, welches existenzielle Interesse wir Deutsche an Europa haben.
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AP
Antworten auf die wichtigsten Fragen zur Flüchtlingskrise
Der Spiegel, 29th November 2015:
Vor EU-Türkei-Gipfel: Kommen Sie näher, Herr Davutoglu
Von Peter Müller, Brüssel
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DPA
Bundeskanzlerin Angela Merkel und EU-Parlamentspräsident Martin Schulz
Der türkische Regierungschef Davutoglu und die EU wollen einen Deal schließen, den
Kritiker schmutzig nennen: Geld gegen Flüchtlingsstopp. Eine Vereinbarung
über Kontingente an Flüchtlingen hält Parlamentspräsident Schulz für wenig wahrscheinlich.
Wenig Zeit? Am Textende gibt's eine Zusammenfassung.
Unmittelbar vor dem Gipfeltreffen der Europäischen Union mit der Türkei spricht
Parlamentspräsident Martin Schulz (SPD) Klartext - eine Vereinbarung von
Flüchtlingskontingenten mit der Türkei sei kaum aussichtsreich. "Die Idee mit den Kontingenten ist
gut, hat aber zwei Haken", sagte Schulz in der aktuellen Ausgabe des SPIEGEL. "Der erste ist
bekannt: Auch Kontingente setzen voraus, dass alle europäischen Länder bereit sind, Flüchtlinge
aufzunehmen. Und zweitens: "Was passiert, wenn das Kontingent ausgeschöpft ist? Wollen Sie
dann einem bedrohten Menschen sagen, tut uns Leid, wir müssen dich zurückschicken?"
Die Frage der Kontingente gehört möglicherweise auch zu den Themen, die die Staats- und
Regierungschefs der EU und der Türkei, die von Regierungschef Ahmet Davutoglu vertreten wird,
am Sonntagnachmittag in Brüssel diskutieren. Im Kern geht es bei den Gesprächen jedoch um einen
Deal, den Kritiker als schmutzig bezeichnen: Die Europäer stellen den Türken drei Milliarden Euro
zur Verfügung, um die Lage in den Flüchtlingsunterkünften zu verbessern. Diese geplante
Vereinbarung betrifft die Frage der Kontingente erst mal nicht.
Der geplante Deal stellt auch die Eröffnung weiterer Kapitel bei dem ins Stocken geratenen
Beitrittsprozess in Aussicht. Es geht dabei um die Visaliberalisierung, die der Türkei extrem
wichtig ist - im Gegenzug bemüht sich die Türkei, die Zuwanderung nach Europa zu reduzieren.
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Konkret sieht der Entwurf der vierseitigen Abschlusserklärung laut der Nachrichtenagentur Reuters
vor, das nächste Verhandlungskapitel bereits im Dezember zu eröffnen und noch bis Ende März
2016 weitere Kapitel vorzubereiten. Ab Oktober 2016 soll die Visumspflicht für Türken in der EU
fallen, wenn die Türkei ihren Teil der Abmachungen bis dahin erfüllt. Zudem wird präzisiert, dass
die drei Milliarden Euro für die Flüchtlingsversorgung lediglich eine erste Zahlung sein sollen. Je
nach Entwicklung der Situation würde die Finanzierung noch einmal überprüft werden.
"Das ist kein Deal, sondern eine Notwendigkeit."
Parlamentspräsident Schulz verteidigte das geplante Abkommen im SPIEGEL. "Das ist kein Deal,
sondern eine Notwendigkeit zum Vorteil der Türken, Europas und vor allem der Flüchtlinge", sagte
der SPD-Politiker. "Wenn wir ihre Lebensverhältnisse in der Türkei verbessern, schaffen wir einen
Anreiz, dort zu bleiben und sich nicht in die Hände von Schleppern zu begeben."
Schulz machte klar, dass er vom türkischen Staatspräsidenten Recep Tayyip Erdogan, der nicht in
Brüssel sein wird, Kooperation in der Flüchtlingsfrage erwarte. "Herr Erdogan ist ein Realpolitiker.
Er weiß, dass internationale Beziehungen nicht auf einseitigen Forderungen aufbauen, sondern auf
Lösungen, die im gegenseitigen Interesse sind", so Schulz. "Die Türkei hat Interesse an
Vereinbarungen bei der Visa-Liberalisierung, sie will als sicheres Herkunftsland anerkannt werden
und endlich wieder konstruktiv über den EU-Beitritt verhandeln."
Bis zuletzt war umstritten, in welcher Form die Frage nach Kontingenten in der Abschlusserklärung
überhaupt angesprochen werden wird. Unter Kontingenten versteht man die Zusage, eine bestimmte
Zahl an Flüchtlingen direkt aus der Türkei in der EU zu verteilen. Für die Flüchtlinge entfiele der
gefährliche Weg über das Meer und die Westbalkanroute nach Deutschland. Kanzlerin Merkel will
nun offenbar vor dem Gipfel mit einer ausgesuchten Zahl von EU-Ländern über eine solche Lösung
beraten.
Die Zusage der drei Milliarden steht
Die Türkei trifft in Brüssel auf zerstrittene Europäer. Zum einen war bis zuletzt unklar, wie die drei
Milliarden Euro finanziert werden sollen. Vor allem die Deutschen drängen auf einen Beitrag der
Osteuropäer, die sich in der Flüchtlingskrise bislang sehr zum Unwillen von Kanzlerin Angela
Merkel (CDU) kaum engagieren. In Verhandlungskreisen heißt es, dass die Details der
Finanzierung aber notfalls nach dem Gipfel geklärt werden könnten. Die Zusage der drei Milliarden
stehe.
Mindestens genauso umstritten ist die Frage von Flüchtlingskontingenten. So machen die
osteuropäischen EU-Staaten bis zur letzten Minute Druck, jeden noch so zarten Hinweis auf
Flüchtlingskontingente in dem Abschlusspapier zu streichen. Die Mitgliedstaaten "unterstreichen
die Notwendigkeit von Resettlement-Programmen", hieß da bislang. Die Deutschen wollen eine
schärfere Formulierung, die Osteuropäer den Passus am liebsten ganz streichen.
Kanzlerin Merkel ist von der Blockadehaltung der Osteuropäer zunehmend frustriert. Sie will vor
dem offiziellen Beginn des Gipfels offenbar ausloten, ob einige EU-Staaten bereit wären, der
Türkei Flüchtlingskontingente abzunehmen. Bei dem Vortreffen sollen unter anderem die
Beneluxstaaten, Österreich und Schweden teilnehmen. Die "FAS" berichtet, dieses Vorgehen hätte
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Merkel beim Besuch beim französischen Präsidenten François Hollande am Mittwoch in Paris
abgestimmt. Angeblich gehe es um eine Größenordnung von 400.000 Menschen, von denen
Deutschland den Großteil aufnehmen müsste. Eine Vereinbarung dazu sei heute allerdings nicht zu
erwarten.
Zusammengefasst: Die Türkei soll mehr Flüchtlinge vom Aufbruch nach Europa abhalten - das
würde sich die EU drei Milliarden Euro kosten lassen. Das Geld soll aus einem Topf kommen, der
sonst besonders den Osteuropäern nutzt. So will es zumindest Merkel. Sie ist schon lange genervt
von der Blockadehaltung im Osten.
Zum Autor
Peter Müller ist Korrespondent im Brüsseler Büro des SPIEGEL.
E-Mail: [email protected]
OLANDA
Marcel Maussen & Floris Vermeulen (2015). Liberal equality and toleration for conservative religious
minorities. Decreasing opportunities for religious schools in the Netherlands? Comparative Education, Volume 51, Issue
1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and
Contemporary Challenges, Pages: 87-104.
Le Monde, 01.12.2015:
L’Allemagne va participer à la grande
coalition pour lutter contre l’EI en Syrie
Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 01.12.2015 à 10h43 • Mis à jour le 01.12.2015 à 18h11
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Comme la chancelière Angela Merkel l’avait promis peu après
les attentats du 13 novembre, l’Allemagne va participer à la
coalition internationale que la France tente de mettre sur pied
pour attaquer l’organisation Etat islamique en Syrie.
Le conseil des ministres allemand a validé, mardi 1er décembre, la décision de déployer un nombre
indéterminé d’avions de reconnaissance et ravitailleurs, ces derniers faisant défaut à la France, ainsi
qu’une frégate de missiles antiaériens qui protégera le porte-avions Charles-de-Gaulle, et un
contingent pouvant aller jusqu’à mille deux cents militaires. Il n’est cependant pas question, selon
Berlin, de participer directement aux bombardements.
Cette aide doit encore être approuvée par la chambre basse du Parlement lors d’un vote le
4 décembre. La coalition de Mme Merkel y disposant de 80 % des sièges, il devrait s’agir d’une
simple formalité.
Après l’approbation, la ministre de la défense, Ursula von der Leyden, a réaffirmé, comme le font la
France et les Etats-Unis, qu’il n’y aurait « pas de coopération avec Bachar Al-Assad et pas de
coopération avec les troupes sous ses ordres ».
« Nous devons éviter l’effondrement de l’Etat syrien. Mais que les choses soient claires : il ne peut
y avoir d’avenir avec Assad. »
Après le rapprochement de la Russie et de la France, le point sur les Etats qui luttent contre
l’organisation Etat islamique, et les moyens alloués.
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http://www.bild.de/
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Wirtschaft
Rohstoffe: Chinas Aufstieg zur größten Öl-Macht der Welt
Wirtschaft
Rohstoffe
14:57
Die unbekannte Macht auf den globalen
Ölmärkten
Das Opec-Kartell, die USA oder Russland: Wer bestimmt das Auf und Ab des Ölpreises? Neueste
Zahlen offenbaren einen vierten bedeutenden Mitspieler. Einen, der womöglich mächtiger ist als
alle anderen.
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Foto: Infografik Die Welt
Die Tschuktschensee ist nicht tief, aber teuer. Nur durchschnittlich 77 Meter geht es hinunter, doch
nicht selten toben bis zu 20 Meter hohe Wellen in dem Gebiet zwischen Sibirien und Alaska. Der
Ölmulti Shell hofft an diesem unwirtlichen Ort auf das große Geschäft. Der britisch-niederländische
Konzern hat von den US-Behörden die Erlaubnis erhalten, an sechs Stellen nach Öl und Gas zu
bohren.
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Jahrelang kämpfte der Rohstoffgigant um das Plazet, in der Arktis aktiv werden zu dürfen. Nach
Schätzungen der US-Energieagentur EIA schlummern hier etwa 22 Prozent der weltweiten noch
unentdeckten Öl- und Gasreserven. Doch so rohstoffreich die Region auch ist, so aufwendig und
teuer ist die Förderung.
China ist jetzt offiziell weltgrößter Öl-Importeur
Für einen Konzern wie Shell gäbe es angesichts einer stagnierenden Ölnachfrage und eines
historisch niedrigen Preises nur einen logischen Grund, dieses Wagnis einzugehen, erklärt USRohstoffexperte Joel Moser. "Es ist die Wette auf die Stärke Chinas."
Und sie ist alles andere als kühn. Die Volksrepublik hat inzwischen offiziell die USA als
weltgrößten Importeur von Erdöl den Rang abgelaufen. Im April kaufte China mit nahezu 7,4
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Millionen Barrel pro Tag erstmals mehr ein als die USA mit 7,2 Millionen Barrel, wie aus Daten
hervorgeht, welche die Nachrichtenagentur Reuters in dieser Woche veröffentlicht hat.
Die Entwicklung ist durchaus bemerkenswert, denn das Wachstum der weltweit zweitgrößten
Volkswirtschaft ist ins Stottern geraten, sodass eine nachlassende Ölnachfrage erwartet worden war.
Doch die niedrigen Ölpreise und eine Reihe von Zinssenkungen zur Konjunkturförderung haben die
Nachfrage offenbar angekurbelt.
Chinas überraschend großer Öldurst könnte auch die rätselhafte Entwicklung bei den
Energiepreisen in den vergangenen Monaten erklären. Nachdem die Notierungen für das Fass bis
auf 40 Dollar für die US-Ölsorte WTI und 42 Dollar für die Nordseesorte Brent eingebrochen
waren, hatten sich die Preise wieder kräftig erholt. Inzwischen kostet Brent wieder 67 Dollar und
WTI knapp 60. Das hat die Frage aufgeworfen, wer letztlich die Preise an den Energiemärkten
dominiert.
Amerika erlebte ein Öl-Comeback
Der Ölmarkt ist in höchstem Maße politisch beeinflusst, hier werden die klassischen
Preismechanismen von Angebot und Nachfrage immer wieder durch Interventionen gestört.
So gibt es mit der Organisation Erdöl exportierender Länder, der Opec, ein Preiskartell, das sich bei
den Fördermengen abspricht und damit durch Ausweitung oder Kürzung der Fördermengen die
Notierungen in die gewünschte Richtung bewegt. Jahrelang war der Zusammenschluss von
Ölnationen unter der Führung von Saudi-Arabien die zentrale Macht am Energiemarkt.
Doch die Schiefergasrevolution in den USA verschob plötzlich die Machtverhältnisse. Durch neue
Technologien konnten die USA in den vergangenen sieben Jahren ihre Förderung um 80 Prozent
ausweiten und schwangen sich damit zum größten Ölproduzenten der Welt auf.
Gleichzeitig zogen sich Saudi-Arabien und die Opec scheinbar aus der aktiven Steuerung des
Ölpreises zurück, als sie Ende 2014 trotz nachgebender Notierungen ihr Angebot nicht kürzten.
Seither galt Amerika als zentrale Macht.
Saudis feiern "Sieg" über die USA
Doch das änderte sich, als nach dem Preiskollaps immer mehr Bohrtürme in den USA stillgelegt
werden mussten, weil sich die Produktion bei den niedrigen Preisen nicht mehr rechnete. Seither ist
die Förderexpansion in Amerika ins Stocken geraten, und es wird offenbar, dass auch Amerika
nicht mehr die Kontrolle über den wichtigen Energiemarkt hat.
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Während die Saudis den Sieg für sich in Anspruch nehmen, weil sie durch ihre expansive Ölpolitik
die amerikanische Schieferindustrie in die Knie gezwungen haben, wäre der Plan wohl ohne einen
anderen wichtigen Mitspieler nicht so schnell aufgegangen – China. Mit dem Reich der Mitte taucht
eine neue Macht auf, die über ihre Nachfrage die Preise bestimmt.
Die meisten Experten sehen das Land als dauerhaft größten Ölabnehmer. Die Opec etwa rechnet
damit, dass Chinas Bedarf in diesem Jahr um rund drei Prozent auf im Schnitt 10,78 Millionen
Barrel pro Tag anwachsen wird. Damit saugt die Volksrepublik allein ein Neuntel der global
benötigten Ölmenge auf. Als einzelne ausgewiesene Region soll laut Opec-Prognose nur in Indien
der Verbrauch noch stärker zulegen, nämlich um 3,4 Prozent auf vergleichsweise magere 3,9
Millionen Fass täglich. Zum Vergleich: Europas Ölbedarf soll 2015 um 0,1 Prozent auf 13,5
Millionen Barrel sinken.
Alle großen Förderstaaten buhlen um Pekings Gunst
Doch unabhängig von diesen nackten Zahlen und der Spitzenposition im globalen Import-Ranking
ist die Bedeutung Chinas als Abnehmer in diesen Zeiten so groß wie nie. Alle großen Förderländer
buhlen um den Großabnehmer.
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Dieser ganz anderen Marktmacht ist man sich in China bewusst. Sogar der Opec hat man zuletzt des
Öfteren die kalte Schulter gezeigt und die Importquoten gedrosselt.
Für Russland etwa ist die Volksrepublik angesichts der westlichen Sanktionen die einzige relevante
Zukunftsoption. Moskau und Peking haben bereits vor zwei Jahren einen rekordverdächtigen
Vertrag abgeschlossen. Bis zum Jahr 2028 zahlt China Russland 270 Milliarden Dollar, im
Gegenzug verpflichtet sich der staatliche Ölgigant Rosneft zur Lieferung von 300.000 Barrel Öl pro
Tag. 200.000 weitere Barrel Öl gehen für zehn Jahre an die chinesische Sinpec-Gruppe, für 85
Milliarden Dollar.
Im vergangenen Jahr ist der Ölexport in das Reich der Mitte um 36 Prozent gestiegen. Russlands
Präsident Wladimir Putin konnte dieses Plus vor wenigen Tagen gar nicht laut genug betonen.
"2014 haben wir 28,5 Millionen Tonnen geliefert. Das waren fast 40 Prozent mehr als im Vorjahr.
Beachten Sie die Steigerung: 40 Prozent im Jahr."
Auch der Westen wird von Peking brüskiert
Gesagt hat Putin das in Gegenwart eines hochkarätigen Kreml-Besuchers – Xi Jinping. Chinas
Präsident ist derzeit wohl der wichtigste Gast in Moskau. Und er ist sich seiner Macht bewusst.
Seine Delegation tritt bei den Verhandlungen mit Moskau spürbar selbstbewusster auf, als dies die
europäischen Nationen in der Vergangenheit getan haben.
Doch Putin nimmt diese Abhängigkeit in Kauf. Mehr noch. Aufgrund der klammen Staatskassen
denkt er inzwischen sogar darüber nach, Anteile an seinen wichtigsten Ölfeldern an Peking zu
verkaufen. Das wäre vor einigen Jahren noch undenkbar gewesen.
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Pekings Macht wird allerdings auch mit Blick auf den Westen deutlich. Denn das Zentralkomitee
macht sich nicht nur Russlands Abhängigkeit zunutze. Gleichzeitig untergräbt Xi mit seinen
Verträgen auch die westlichen Sanktionen gegenüber Moskau – wohl wissend, dass man selbst vom
Westen nichts zu befürchten hat. Berlin oder Paris werden sich in Peking kaum lautstark
beschweren.
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Wirtschaft Nach Atomabkommen
Iran – eine globale Ölmacht kehrt zurück
Wirtschaft US-Rohstoffboom
Was Amerikas volle Tanks für den Ölpreis bedeuten
Geld Jemen-Konflikt
Der neue Poker um den Ölpreis ist eröffnet
16:37
Was ist heute noch links und was rechts?
Der Soziologie-Professor Armin Nassehi erklärt, warum rechte und linke Sichtweisen naiv sind, wie
er die Zukunft unserer Gesellschaft sieht und warum der politische Liberalismus in der Krise steckt.
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Von Ulf Poschardt Stv. Chefredakteur
der WELT-Gruppe
Foto: picture alliance / dpa Der Soziologe Armin Nassehi lehrt seit 1998 an der LMU in München.
In seinem Buch "Die letzte Stunde der Wahrheit" behandelt Nassehi Wege in ein post-ideologisches
Politik-Verständnis
Die Welt: Der Liberalismus ist im Augenblick politisch ohne Vertretung. Intellektuell gibt es aber
eine frische Neugier an einer Theorie abseits klassischer Links-rechts-Einordnungen. Was hat Sie
bewogen, eine Theorie abseits der klassischen Trampelpfade zu unternehmen?
Armin Nassehi: Was mich primär interessiert, ist die Frage, wie sich die moderne Gesellschaft
selbst beschreibt. Diese Beschreibungen bilden nämlich ab, was die Menschen sich über den
Zustand der Welt erzählen können. Und sie bilden auch den Rahmen für die Politik.
Die Welt: Und wie beschreiben die Menschen derzeit die Welt?
Nassehi: Es gibt zwei Hauptmotive, die im Moment besonders viel Aufmerksamkeit erzeugen: zum
einen ganz neue rechte, auch rechtsintellektuelle Beschreibungsformen, zum anderen eine
Renaissance linker Beschreibungen. Zunächst sollte man sich aber von den parteipolitischen
Assoziationen lösen.
Die Welt: Was sagen diese Beschreibungen dann aus?
Nassehi: Eine rechte Beschreibung der Welt tut so, als wären alle Probleme gelöst, wenn
Bevölkerungen ethnisch und kulturell homogener wären. Eine linke Beschreibung hingegen
zeichnet sich dadurch aus, dass man so tut, als könne man mit universalistischen Argumenten die
Gesellschaft wie ein Werkstück umbauen. Als gäbe es so etwas wie eine Zentralperspektive.
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Armin Nassehi
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Zur Person
Das Buch
Die Welt: Gab es dieses räumliche Orientierungsbedürfnis schon immer, wenn es um politische
Meinungen ging?
Nassehi: Nicht immer – aber mit der Entstehung moderner Nationalstaaten hat sich diese
Farbenlehre stabilisiert. Es geht letztlich um die beiden Grundprobleme des modernen
nationalstaatlichen Gesellschaftsmodells: die Dynamik des Kapitalismus und die Integration von
Rechtsstaatlichkeit.
Die Welt: In diesem Spannungsfeld entsteht das Orientierungsbedürfnis?
Nassehi: Ja, um diese beiden Kräfte herum gruppieren sich politische Orientierungen. Rechte wie
linke Beschreibungen wollen letztlich die neu entstehende Dynamik der Moderne in den Griff
bekommen. Von links durch Domestizierung des Marktes und Bearbeitung seiner Folgen, von
rechts durch die Erfindung eines ethnischen, kulturellen, nationalen Bandes, in dem man Solidarität
einfordern darf.
Die Welt: Es sind also Bewältigungsstrategien?
Nassehi: Beide reagieren auf die unfassbare Dynamik, die mit der Entstehung moderner
Industriegesellschaften ermöglicht wird. All das nur auf "Kapitalismus" zu reduzieren ist viel zu
einfach. Aber beide Beschreibungen versuchen, diese Dynamik zu bändigen.
Die Welt: Wie viel Sicherheit muss die Orientierung geben?
Nassehi: Das ist ein schwieriges Problem. Es ist sehr einfach, wenn etwa Naomi Klein (kanadische
Globalisierungskritikerin, Anm. d. Red.) betont, am Klimaproblem sei der Kapitalismus schuld und
nur eine Massenbewegung könne das Problem lösen. Das hört sich an, als seien es sichere Sätze.
Aber selbst wenn die Problembeschreibung stimmen würde – worüber noch nachzudenken wäre –,
ist diese Aussage geradezu naiv. Denn sie tut so, als sei "der Kapitalismus" eine Adresse und "eine
Massenbewegung" ein realistischer Akteur. Aber sie spendet Sicherheit – wenigstens die Sicherheit,
eine Lösung simulieren zu können und auf der richtigen Seite zu stehen.
Die Welt: Schon fast ein wenig rührend.
Nassehi: Dieser Art linke Intellektualität sieht sich gerne vor einem weißen Blatt, das beschrieben
werden muss. Dabei tut sie so, als könne man die Gesellschaft wie ein auktorialer Erzähler nach
dem eigenen Bilde formen – so, wie man es eben mit einem weißen Blatt machen kann.
Die Welt: Verfehlen nicht sowohl die rechte als auch die linke Beschreibung die Komplexität der
Wirklichkeit? Das heißt für einen Soziologen: die Komplexität der Gesellschaft?
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Nassehi: Ganz genau Die rechte Perspektive unterschätzt, dass unsere Gesellschaft auch ohne
sogenannte Fremde komplex und unübersichtlich ist. Die linke Perspektive tut so, als ließe sich ein
"Umbau" der Gesellschaft bewerkstelligen, wenn man nur wollte. Beides ist naiv und verfehlt die
Struktur einer modernen Gesellschaft – und beides ist in letzter Konsequenz auch autoritär.
Die Welt: Aber was heißt nun Komplexität?
Nassehi: Das ist leider auch meistens nur ein Schlagwort, das ganz gut funktioniert, wenn man nicht
weiter weiß. Aber Komplexität ist letztlich der Schlüssel zum Verständnis unserer Welt. Man kann
es auf drei Formeln bringen.
Die Welt: Lassen Sie uns mit der ersten beginnen.
Nassehi: Ökonomische, politische und wissenschaftliche Logiken entkoppeln sich voneinander. Es
existieren jeweils unterschiedliche Erfolgsbedingungen, die man in Rechnung stellen muss. Es
macht einen Unterschied, ob ich auf Märkten erfolgreich sein will, vor einem Wahlvolk oder in
Wahrheitsfragen. Das heißt: Dasselbe bedeutet gleichzeitig Unterschiedliches.
Die Welt: Die zweite?
Nassehi: Die Gesellschaft ist nicht aus einem Guss. Das heißt: Es gibt keinen Ort, von dem aus sich
die unterschiedlichen Dynamiken steuern und koordinieren lassen. Auch Politik vermag das
letztlich nicht. Ich spreche deshalb von einer "verteilten Intelligenz".
Die Welt: Und die dritte Formel?
Nassehi: Es gibt keine Stoppregeln und zentralen Prinzipien, mit denen die Gesellschaft gesteuert
werden kann. Das hat Effizienz- und Leistungssteigerungen sowohl im positiven als auch im
negativen Sinne hervorgebracht.
Rechte und Linke verniedlichen die Komplexität der Gesellschaft
Armin Nassehi
Professor für Soziologie
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Die Welt: Was ist die Konklusion dieser Formeln?
Nassehi: Entscheidend ist: Klassische rechte und linke Beschreibungen verniedlichen geradezu die
Komplexität der Gesellschaft. Sie schrecken gewissermaßen vor ihren Problemen zurück, indem sie
Lösungen suggerieren, die so tun, als könne man die unterschiedlichen Perspektiven dieser
Gesellschaft homogenisieren. Für mich ist der Schlüssel für eine angemessene Beschreibung: Es
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gibt keine Zentralperspektive und auch keinen Fluchtpunkt. Weder für die Beschreibung der Welt
noch für die Einwirkung in die Gesellschaft.
Die Welt: Wird das nicht auch in vielen Lebenswirklichkeiten deutlich? Links reden, rechts leben;
deswegen halten sich die Grünen für eine linke Partei. Verwechseln die sich selbst?
Nassehi: Links und rechts lösen sich nicht nur lebensweltlich auf. Linke Politikprojekte geraten
heute immer wieder in die Nähe der nationalen Einhegung, weil man die Solidarität der
Umverteilung eben nur den "eigenen" zumuten kann. Da lösen sich die Grenzen auf. Und für das
Lebensweltliche … wenn es die Grünen nicht schon gäbe, man müsste sie erfinden.
Die Welt: Warum?
Nassehi: Zu diesem Milieu gehört doch geradezu der Widerspruch, dass man mit universalistischen,
linken Argumenten leicht punkten kann. Die eigene Lebenspraxis gerade dieses eher bürgerlichen
Milieus ist dann aber bisweilen sehr distinktiv: Man schickt die Kinder in Privatschulen, meidet
allzu schwierige Wohnquartiere und hat wenig Kontakt zu den unteren Schichten. Dafür gefällt man
sich darin, anderen Vorschriften machen zu wollen, und ist sehr milieusensibel, um es mal
vorsichtig zu sagen.
Die Welt: In der Tat.
Nassehi: Aber verstehen Sie mich nicht falsch: Ich klage das nicht an. Ich weise nur darauf hin, wie
sehr sich schon die Lebenspraxis den universalistischen Umbaufantasien entzieht. Für mich ist das
nur ein Hinweis darauf, wie unterkomplex die laute Umbauperspektive für das Lebensweltliche ist –
von der Gesellschaft im Großen ganz zu schweigen.
Wenn es die Grünen nicht schon gäbe; man müsste sie erfinden
Armin Nassehi
Professor für Soziologie


Die Welt: Welche Rolle kommt dem Intellektuellen in der Umgruppierung gesellschaftlicher
Debatten zu?
Nassehi: Es geht heute um entscheidende Akzentverschiebungen. Dabei hat der Intellektuelle
zunächst kein Publikum, er muss das Publikum erzeugen. Das macht auch die Nähe der
intellektuellen zur politischen Rede aus. Diese Nähe zur politischen Rede hängt mit der Funktion
des Politischen zusammen.
Die Welt: Die "Funktion des Politischen" – das hört sich sehr abstrakt an.
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Nassehi: Es geht ja politisch nicht nur um die Frage, kollektiv verbindliche Entscheidungen zu
treffen. Es geht auch darum, solche Kollektive überhaupt erst ansprechbar zu machen.
Die Welt: Wie meinen Sie das?
Nassehi: Der Nationalstaat seit dem 19. Jahrhundert stellte einen klar umrissenen Ansprechpartner
dar. Doch dieser Adressat ist nicht einfach da. Er muss erzeugt werden. Das erleben wir gerade in
Europa: Die intellektuelle Reflexion über Europa besteht hauptsächlich aus der Beschwörung
europäischer Solidarität, einer europäischen Arena. Das Ziel ist, dass dieses Kollektiv ähnlich
adressierbar wird, wie es der republikanische Nationalstaat war und noch ist.
Die Welt: Muss die intellektuelle Rede also auch das Kollektiv suchen?
Nassehi: Es geht fast immer um die Mobilisierung und kollektive Einsicht – und deshalb gruppierte
sich intellektuelle Rede fast immer klassisch politisch. Aber womöglich muss die Rolle
intellektueller Beobachtung heute darin bestehen, die Adressierbarkeit der Gesellschaft infrage zu
stellen.
Die Welt: Ist das nicht paradox?
Nassehi: In der Tat, denn dafür muss man die Gesellschaft ja adressieren. Aber genau das ist es, was
ich mit dem Problem der Komplexität meine: Wenn Gesellschaft keine Adresse ist, stellt sich die
Frage, wie man intellektuell neue Formen der Einwirkung, der Kritik, der Steuerung und nicht
zuletzt der Analyse von Unzufriedenheit auf den Begriff bringen kann.
Die Welt: Wie kann die Soziologie diese Herausforderung leisten?
Nassehi: Die Soziologie hat methodische und theoretische Mittel, auf latente Strukturen
hinzuweisen. Sie kann zeigen, warum sich Menschen in bestimmten Situationen so verhalten und
nicht anders. Sie kann mit statistischen Mitteln Zusammenhänge sichtbar machen, die man nicht
direkt sehen kann. Sie macht darauf aufmerksam, wie stark Strukturen sind und wie sich Ordnung
dadurch aufbaut, dass wir sie als eigene Handlungen immer wieder bestätigen. Und sie kann heute
eben zeigen, dass Gesellschaft keine Adresse ist. Kurzum: Sie macht, wenn es gut läuft, auf
Komplexität aufmerksam.
Die Welt: Das hört sich an, als laufe es nicht immer gut.
Nassehi: Sie haben recht, es läuft nicht immer gut. Die Soziologie ist oftmals ein Fach, das die
eigenen Möglichkeiten nicht ergreift, weil es die Gesellschaft am Ende doch allzu sehr in
politischen oder politikförmigen Begriffen beschreibt.
Die Welt: Wo ist in dieser Frage Ihre Rolle, mit Ihrer Denkbiografie?
Nassehi: Ich war immer fasziniert von Situationen, in denen Perspektiven zusammenkommen, die
man weder durch Konsens noch durch Hierarchie befrieden kann. Das sind ja die beiden
grundlegenden Techniken, an die wir gewöhnt sind. Konsens freilich ist sehr unwahrscheinlich, und
Hierarchie ist eine sehr effiziente Methode der Beendigung von Konflikten, aber nicht unbedingt
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ihre Lösung. Eine moderne Gesellschaft kennt aber immer mehr Situationen, in denen beide nicht
mehr funktionieren.
Die Welt: Lassen Sie uns doch in konkreten Beispielen sprechen.
Der Niedergang des politischen Liberalismus ist kein Zufall
Armin Nassehi
Professor für Soziologie
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Nassehi: Denken Sie an multiprofessionelle Teams in Krankenhäusern. Hier kommen
unterschiedliche professionelle Beobachter zusammen. Die sehen in ein und derselben Situation
ganz unterschiedliche Dinge, die sich aber weder durch Konsens noch durch Hierarchien lösen
lassen. Das Gleiche finden Sie in Unternehmen, in denen ganz unterschiedliche Erfolgsalgorithmen
nebeneinander bestehen und die nicht über Ebenenhierarchien gelöst werden können. Und letztlich
gilt das für ganze Gesellschaften. Verteilte Intelligenzen sind eben nicht in einer Intelligenz
aufzuheben.
Die Welt: Was folgt daraus?
Nassehi: Wir brauchen Beschreibungstraditionen, die sich in Praxiskonzepte übersetzen lassen.
Leider diskutieren wir solche Fragen öffentlich fast nur in politischen Chiffren. Deshalb wette ich,
dass Sie gleich fragen, ob das denn dann eine liberale Perspektive ist.
Die Welt: Und ist es eine?
Nassehi: Ich denke, dass das Liberale, eigentlich seit seiner Entstehung als Abwehrrechte gegen
staatliche Kontrolle, stets die Idee starkgemacht hat, dass Einzelperspektiven sich nur unter Zwang
kollektivieren lassen. Daraus dann die Konsequenz zu ziehen, dass sich Gesellschaft in
Einzelinteressen auflöst und letztlich der Stärkere gewinnen soll, wäre nur die Perversion einer
liberalen Denkungsart. Denn die interessiert sich ja dafür, wie sich Ordnung aufbauen kann, obwohl
es unterschiedliche Beobachter gibt.
Die Welt: Zuletzt wurde das Liberale in der Parteienlandschaft oft nur auf die Wirtschaft bezogen.
Nassehi: Dass das Liberale sich besonders für Märkte interessiert hat, ist kein Wunder. Dass es sich
zugleich auch für Bürgerrechte interessiert hat, hängt damit unmittelbar zusammen. Und eine nicht
autoritäre Form, mit Schwachen umzugehen, braucht gerade die Sensibilität, mit unterschiedlichen
Beobachtungsformen und Perspektiven umzugehen.
Die Welt: Und wenn man es noch weiter denkt?
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Nassehi: Weiter gedacht, müsste sich liberales Denken freilich stark erweitern: Wenn es stimmt,
dass wir in einer komplexen Gesellschaft mehrerer Perspektiven leben, die sich nicht
zusammenführen lassen, dann müsste eine liberale Denkungsart sich dafür interessieren, wie diese
unterschiedlichen Logiken sich wechselseitig beobachten, ermöglichen, behindern und
ausschließen.
Die Welt: Sie schlagen in Ihrem Buch einen "liberalen Kritiktypus" vor – was soll man sich
darunter vorstellen?
Nassehi: Ich schlage vor, die Übersetzung zwischen diesen Logiken und Beobachtungsweisen als
das zeitgemäße Medium der Kritik anzusehen. In diesem Sinne nenne ich meinen Vorschlag in der
Tat liberal. Es wäre sehr aufregend, wenn man aus einer Beschreibung von Komplexität liberale
Denkungsarten des Ordnungsaufbaus und kreative Lösungen erneuern könnte.
Es ist kaum möglich, sich nicht parteipolitisch zu positionieren
Armin Nassehi
Professor für Soziologie
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Die Welt: Ist der Umgang mit verschiedenen Beobachtungsweisen nicht eine Stärke des
Liberalismus?
Nassehi: Der Niedergang des politischen Liberalismus – nicht nur in Deutschland – zu einem
bloßen Klientelismus der Abwehrmöglichkeiten gegen politische Marktkontrolle ist kein Zufall.
Hier wurde mit allzu einfachen Lösungen gearbeitet. In der Tat muss die Idee von "Freiheit" heute
eher mit anderen Beobachtern rechnen, mit verteilten Intelligenzen, mit nicht harmonisierbaren
Perspektiven.
Die Welt: Gab es dafür nicht früher schon Formeln?
Nassehi: Natürlich, bei Kant hieß es: Meine Freiheit findet an der Freiheit des anderen seine
Grenze. Das muss man heute erweitern. Es geht heute nicht mehr nur um die andere Person,
sondern auch um andere Logiken, andere Instanzen der Gesellschaft, andere Perspektiven. Es geht
um ein praktisches Neuarrangement von Politik, Ökonomie, Wissenschaft, Familie, Religion und so
weiter. Liberal ist, wer dieses Neuarrangement nicht per Zentralperspektive herstellen will.
Die Welt: Welche Politiker sollten das Buch lesen?
Nassehi: Wenn ich nicht sagen würde, alle, hätte ich das Buch nicht schreiben sollen – aber
ernsthaft: Interessant ist doch, dass Sie nach Politikern fragen. Die Idee wäre ja gerade, dass wir die
unterschiedlichen Perspektiven der modernen Gesellschaft verstehen müssen. Insofern wäre etwas
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damit gewonnen, Leute aus verschiedenen Bereichen der Gesellschaft zusammenzubringen, um den
abstrakten Gedanken der Perspektivendifferenz und der verteilten Intelligenz zu verstehen.
Die Welt: Welchem Politiker unterstellen Sie die höchsten Reflexionsgelüste?
Nassehi: Hier nun mit Namen zu antworten wäre vermintes Gelände – was wiederum auf die
Bedingungen des Politischen verweist: Es ist nämlich kaum möglich, sich nicht parteipolitisch zu
positionieren. Was wir doch in allen politischen Strömungen beobachten können, ist derzeit der
Versuch einer Neubestimmung der eigenen Programmatik. Was ist in einer komplexen Gesellschaft
noch konservativ? Ist das Gerechtigkeitsproblem wirklich so durchsetzbar, wie es
sozialdemokratische Programme suggerieren? All diese Fragen brauchen einen neuen Blick auf die
Komplexität der modernen Gesellschaft. Die "Gelüste", von denen Sie sprechen, sind präsenter, als
es die Politiker selbst merken.
Die Welt: Herr Nassehi, wir danken Ihnen für das Gespräch.
© WeltN24 GmbH 2015. Alle Rechte vorbehalten
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Inselstreit
15:22
Kerry streift in China das heikelste Thema
nur
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In Peking haben US-Außenminister Kerry und sein chinesischer Kollege Wang Yi den
Territorialstreit im Südchinesischen Meer eher außen vorgelassen. Der Amerikaner sendete zudem
ein Entspannungssignal.
Von Johnny Erling, Peking
Foto: REUTERS US-Außenminister John Kerry (l.) und sein chinesischer Kollege Wang Yi
schütteln sich nach ihrer Pressekonferenz die Hände – nachdem sie beide wenig über den
Territorialstreit im Südchinesischen Meer gesagt haben
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Eine Stunde sprach Chinas Außenminister Wang Yi, bevor er Pekings Bau künstlicher Inseln tief
im Südchinesischen Meer ansprach, der zum internationalen Streitpunkt eskaliert und bei Chinas
Nachbarn tiefe Ängste auslöst. Bei einer gemeinsamen Pressekonferenz nach seinem Treffen mit
US-Außenminister John Kerry in Peking ging Wang gleichwohl kaum ins Detail; seit fast einem
Jahr lässt Peking – mehr als 1000 Kilometer vom Festland entfernt – Riffe und Atolle großtechnisch
zu künstlichen Inseln aufschütten, um seine umstrittenen Besitzansprüche auf das gesamte
Seegebiet buchstäblich untermauern zu können.
Satellitenfotos brachten vor wenigen Monaten die von den USA "beispiellos" genannte Aktion zur
Landgewinnung ans Licht. Was dort geschehe, sagte Wang kurz vor Ende der Pressekonferenz,
falle "voll unter Chinas Souveränität". Beim Schutz der Souveränität und territorialen Integrität
stehe die Volksrepublik "unerschütterlich, so fest wie ein Felsen".
Konkreter wurde Wang nicht, wenngleich seine Aussage ohnehin hart genug ist und deutlich macht,
dass die Pekinger Führung nicht zum Nachgeben bereit ist. Im 18. Stockwerk des
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Außenministeriums versuchten er und Kerry, das heikle Thema möglichst zu umschiffen.
"Überragende Priorität" hätte bei dem Gespräch die Vorbereitung des ersten Staatsbesuchs von
Chinas Präsident Xi Jinping bei US-Präsident Barack Obama im September gehabt. Beide
Staatsführer wollten mit ihren "neuartigen Großmacht-Beziehungen" zur Lösung einer Vielzahl von
Problemen beitragen – von nuklearen Abrüstungsfragen bezüglich des Iran und Nordkoreas bis zu
ihrer gemeinsamen Verantwortung, den Klimagipfel in Paris positiv anzuschieben.
Kerry bleibt im Ungefähren
Kerry skizzierte anfangs nur die großen Umrisse der "weltweit wohl konsequenzenreichsten"
Zusammenarbeit, die die USA und China untereinander anstrebten. Erst am Ende sagte er, dass es
auch Differenzen zwischen den beiden Großmächten gebe, die ihn nach Peking geführt hätten.
Die USA seien besorgt über das "Tempo und den Umfang" der Landgewinnung im
Südchinesischen Meer. "Ich habe Peking zum Handeln gedrängt, um die Spannungen zu reduzieren
und die Aussichten für eine diplomatische Lösung zu erhöhen", ließ Kerry wissen. Gefragt sei eine
"kluge Politik", um zu einem neuen Umgang der asiatischen Länder miteinander zu kommen.
Chinas Marine hat inzwischen im neu eskalierenden Territorialstreit – vor allem mit Vietnam, den
Philippinen und Malaysia – sieben neue Inseln "aufgebaut".
China verbittet sich Einmischung der USA
Milliardenschwere Öl- und Gasvorkommen werden im Südchinesischen Meer vermutet. Seit Jahren
gibt es Streit darum. Nun schüttet China Sand in der Region auf - und verbittet sich Einmischung
von außen. Quelle: Die Welt
Der US-Außenminister wich Nachfragen nach der Haltung der USA und ihrer Marine vor Ort aus.
Vor seiner Ankunft hatte ein Sprecher seines Ministeriums hingegen noch angekündigt, dass Kerry
in Peking Klartext reden wolle. Er würde "absolut keinerlei Zweifel" daran lassen, dass sich
Washington verpflichtet fühlt, die Freiheit der Seefahrt im und den Flugverkehr über dem
Südchinesischen Meer sicherzustellen. Pentagon-Beamte gingen noch weiter: Die USA erwögen,
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Militärflugzuge und Marineboote in die umstrittenen Gebiete der neu gebauten chinesischen Inseln
zu schicken, und zwar auch innerhalb ihrer selbst erklärten Schutzzonen im Radius von zwölf
Meilen.
Darauf antwortete Chinas Außenministerium mit einer Warnung: Peking sei "äußerst besorgt",
sagte Sprecherin Hua Chunying. Die Freiheit der Navigation bedeute nicht, dass "ausländische
Militärschiffe oder Flugzeuge nach Gutdünken in die territorialen Gewässer oder den Luftraum
anderer eindringen könnten". China behalte sich Gegenmaßnamen vor. US-Beamte warfen Peking
vor, die künstlichen Inseln aufzuschütten, um im Anschluss territoriale Schutzrechte für sie geltend
zu machen.
Asien ist in erster Linie das Asien der Asiaten
Wang Yi
Chinas Außenminister


Kerry und Wang mühten sich also, den Schlagabtausch um die Inseln nicht weiter zu eskalieren.
Der Amerikaner sendete sogar ein Entspannungssignal: Erstmals erklärte er, dass die USA die von
Peking initiierte neue Asiatische Investitionsbank für Infrastruktur (AIIB), der inzwischen 57
Länder als Gründungsmitglieder beitraten, nicht ablehnten. Sie würden grundsätzlich alle neuen
multinationalen Entwicklungsbanken "und darunter auch die AIIB" begrüßen. Die gegenteilige
Berichterstattung darüber gehe auf "eine enorme Menge an Missverständnissen" zurück.
Washington wolle lediglich sehen, dass die AIIB "hohen Qualitäts-, Umwelt- und Sozialstandards"
entspricht. Die USA würden eine Zusammenarbeit der AIIB mit der Weltbank oder der Asiatischen
Entwicklungsbank begrüßen.
Wang lobte Kerry dafür. Als Chinas Außenminister gefragt wurde, ob Peking sich mit seinen
expansiven Offensiven von der AIIB-Bankgründung bis zur Seidenstraßen-Strategie gegen die USA
richte, die in Asien Fuß fassen wollten, sagte er: Er wisse um solche Sorgen. Aber: China suche die
Zusammenarbeit, nicht die Konfrontation. Dann schränkte Wang gleichwohl aber ein: "Asien ist in
erster Linie das Asien der Asiaten."
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Foto: Infografik Die Welt
© WeltN24 GmbH 2015. Alle Rechte vorbehalten
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Vorwürfe eines Insiders
N24
Gute Merkel, böse Merkel
Zu Gast bei Wladimir Wladimirowitsch Putin
N24
Die Deutsche Welle, 3rd December 2015:
Deutschland
Innenminister billigen Einzelfallprüfung für
Syrien-Flüchtlinge
Die Innenminister der Länder haben grünes Licht für die Rückkehr zur Einzelfallprüfung gegeben.
Das heißt für syrische Bürgerkriegsflüchtlinge, dass ihre Asylberechtigung wieder individuell
überprüft wird.
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Bundesinnenminister Thomas de Maiziere sagte nach Beratungen mit seinen Kollegen aus den
Bundesländern in Koblenz, die Innenministerkonferenz hätte diese von ihm angestrebte Maßnahme
gebilligt und zugleich den Wunsch damit verbunden, dass die Asylverfahren sich dadurch nicht
verlängerten. Die Entscheidung sei auch aus Sicherheitsgründen geboten gewesen. Künftig soll
wieder in jedem einzelnen Fall überprüft werden, welche Art von Schutz syrische
Bürgerkriegsflüchtlinge erhalten: den Flüchtlingsstatus nach der Genfer Konvention, politisches
Asyl oder lediglich einen "subsidiären" Schutz. Einen konkreten Termin für die Rückkehr zur
Einzelfallprüfung nannte de Maiziere nicht.
SPD schwenkt um
Die Innenminister seien sich einig, dass eine Rückkehr zum alten Prüfverfahren die Asylverfahren
nicht verlängern dürfe, so de Maiziere. Über die Frage des Familiennachzugs sei nicht gesprochen
worden. Hierüber und über die Einzelheiten der Umsetzung der Einzelfallprüfung müsse nun
innerhalb der großen Koalition von Union und SPD in Berlin entschieden werden.
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Roger Lewentz: "Sicherheit geht vor"
Die Einzelfallprüfung für Syrer sei notwendig, um zu wissen, wer ins Land komme, erklärte auch
der Vorsitzende der Innenministerferenz, der rheinland-pfälzische Ressortchef Roger Lewentz
(SPD), dessen Partei zunächst gegen die Wiedereinführung der Einzelfallprüfung war. Die
Sicherheitslage nach den Anschlägen von Paris mache hier ein Umdenken notwendig, auch wenn
eine Rückkehr zum Verfahren mit mündlicher Anhörung einiges mehr an Bürokratie mit sich
bringe, sagte Lewentz. Die Unions-Innenminister waren ohnehin für eine Prüfung im Einzelfall.
Keine pauschale Anerkennung mehr
Mehrheit für de Maizieres Vorstoß
Bundesinnenminister de Maiziere hätte im Rahmen seiner Ressortzuständigkeit die
Einzelfallprüfung für Flüchtlinge, unabhängig von ihrem Herkunftsland, auch ohne Zustimmung
seiner Länderkollegen alleine anordnen können. Er hatte dies Anfang November auch schon getan
und damit für Irritationen in der Koalition gesorgt. Auf Intervention des Kanzleramts musste er die
Entscheidung auf Eis legen. Sein Argument für die Rückkehr zum alten Prüfverfahren war, dass
viele Flüchtlinge, die sich als Syrer ausgeben, in Wirklichkeit aus einem anderen Land kommen.
Wegen der vielen Neuankömmlinge aus dem Bürgerkriegsland galt seit November 2014 für Syrer
das sogenannte vereinfachte Verfahren. Das bedeutete, dass bei ihnen auf eine persönliche
Anhörung verzichtet wurde. Vielmehr reichte seither eine schriftliche Erklärung der Betroffenen.
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Fast alle ankommenden Syrer erhielten auf diesem Weg den Status als Bürgerkriegsflüchtlinge nach
der Genfer Flüchtlingskonvention.
Mit der Wiedereinführung der Einzelfallprüfung dürfte die Zahl der Flüchtlinge steigen, die nur den
sogenannten subsidiären Schutz zugesprochen bekommen. Er berechtigt nach einer Übereinkunft
der Bundesregierung erst nach zwei Jahren und nur unter verschärften Bedingungen zum Nachholen
von Familienmitgliedern nach Deutschland.
qu/uh (rtr, kna, dpa, afp)
www.bundestag.de
www.spiegel.de
http://www.dw.com/
La Nacion, 9.12.2015:
Angela Merkel es el personaje del año para la
revista TIME
La prestigiosa publicación estadounidense eligió a la canciller alemana para que encabece la lista; le
siguen Abu Bakr Al-Baghdadi y Donald Trump
Miércoles 09 de diciembre de 2015 • 10:07
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Angela Merkel, personaje del año para la revista TIME.
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La canciller alemana Angela Merkel fue elegida "personaje del año 2015" por la revista
estadounidense Time, debido a su liderazgo durante la crisis de la deuda en Europa, la ola de
refugiados y la intervención de Rusia en Ucrania.
Su política respecto de los refugiados le trajo varios inconvenientes a la jefa de Estado alemana, en
tanto la oposición fue muy crítica como así una gran parte de la población, que se manifestó para
que no entrasen más extranjeros al país. Pese a las trabas, Merkel continuó con su postura.
"El 2015 marcó el comienzo de sus diez años como canciller de una Alemania unida y líder de la
Unión Europea, la más prospera del planeta. Para finales del año, habrá conducido al bloque a
través de dos crisis existenciales que podrían haber terminado con la paz que reina en el continente
desde hace siete décadas. El primero fue la crisis del euro, la moneda compartida por 19 naciones,
que se encontraba en peligro de extinción por el incumplimiento de un solo miembro, Grecia. El
segundo fue estruendoso. Durante el verano, el gobierno de Merkel abrió las puertas a refugiados e
inmigrantes; en diciembre, habrán ingresado al país un millón de personas que solicitan asilo",
asegura la revista.
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Angela Merkel, personaje del año para la revista TIME.
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Merkel fue seguida en la elección de Time por el líder del grupo jihadista Estado Islámico (EI), Abu
Bakr al Bagdadi, y el precandidato republicano a la Casa Blanca, el controvertido multimillonario
Donald Trump.
Revista TIME.
Sobre el líder del grupo extremista, Time dice: "En 2015, al- Baghdadi transformó al grupo
disidente de Al Qaeda en la fuerza del campo de batalla que opera en el caos de Siria e Iraq, una
franquicia terrorista transnacional que mata a civiles en más de una docena de países de todo el
mundo. Orquestar ataques mortales contra objetivos -incluyendo estadios deportivos, balnearios y
museos- Estado Islámico ha matado a más de 1.200 víctimas civiles fuera de Irak y Siria este año".
Revista TIME.
Sobre el magnate millonario Donald Trump , publica: "Mientras una nación con miedo miraba una
vez más los ataques que sacudieron París y San Bernardino, Donald J. Trump estaba en su torre
dorada de Manhattan, pensando en el tamaño de la oportunidad que se le abría. Rudeza es su marca;
y transgresión, su método". Además, advierte que el empresario, precandidato a presidente por los
republicanos, ya prometió una y otra vez no tener piedad con los sospechosos de terrorismo y
tampoco con sus familias.
Completan la lista de los personajes del año el movimiento de derechos civiles Black Lives Matter;
el presidente de Irán, Hassan Rouhani; el fundador de Uber, Travis Kalanick; y la mediática Caitlyn
Jenner.
Suddeutsche Zeitung, 11.12.2015:
SPD-Bundesparteitag Fiasko für Gabriel
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Bild vergrößern
Sigmar Gabriel: Hat so wenig Stimmen wie noch nie bekommen.
(Gabriel ist auf dem Bundesparteitag der SPD mit 74,27 Prozent als Vorsitzender bestätigt worden,
es ist sein mit Abstand schlechtestes Ergebnis.


Er räumte nach seiner Wahl ein, dass die Partei, besser die Parteilinke, ihn abgestraft habe.
Der Parteichef dachte offenbar, er könne die Linke mit einigen Angriffen auf den
Koalitionspartner beschwichtigen.
Analyse von Thorsten Denkler, Berlin
Wenn es nur die Wahlcomputer gewesen wären, die nicht funktioniert hätten. Der Wahlgang für
den SPD-Parteivorsitzenden musste abgebrochen werden, weil Dutzende Tablet-Computer nicht das
taten, was sie sollten - nämlich die Stimme für oder gegen Sigmar Gabriel entgegenzunehmen. Es
gingen schon Gerüchte um, Gabriel hätte auf dem elektronischen Weg zu wenig Stimmen
bekommen. Da lachten einige Genossen noch. Das Ergebnis am Freitag hat dann schockiert.
Gabriel ist auf dem Bundesparteitag der SPD in Berlin mit lediglich 74,27 Prozent als Vorsitzender
bestätigt worden. Wobei: bestätigt, das trifft es nicht ganz. Gerade noch geschafft, schon eher. Es ist
sein mit Abstand schlechtestes Ergebnis, seitdem er 2009 mit 94,2 Prozent erstmals ins Amt
gewählt wurde. Sogar 2013 waren es deutlich mehr als 80 Prozent.
Die Partei, besser die Parteilinke, hat den Vorsitzenden abgestraft. Gabriel ist am Freitag der Erste,
der das sofort einräumt. Die Presse werde genau das schreiben: Er sei abgestraft worden, sagt
Gabriel vor den gut 600 Delegierten. "Und das ist ja auch so." Aber: "Mit der Wahl ist es dann auch
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entschieden, liebe Genossinnen und Genossen." So sei das Leben in der Demokratie. Er nehme die
Wahl an. Er werde die SPD weiter in die Mitte führen. Auch wenn das einigen Linken nicht links
genug sei.
Beinahe zwei Stunden hat Gabriel gesprochen
Er hat gekämpft auf diesem Parteitag. Beinahe zwei Stunden hat er gesprochen am Freitagmorgen.
Vorher und nachher tritt er immer wieder an das Pult, um sich gegen Anwürfe zu wehren. Mal
verteidigt er die Kontingent-Lösung der SPD, mit der er die hohe Flüchtlingszahl verringern will.
Mal widerspricht er fast zehn Minuten lang der Juso-Chefin Johanna Ueckermann, die ihm
vorgeworfen hatte, nicht zu halten, was die SPD versprochen habe.
Video
SPD-Parteitag Gabriels schlechtestes Ergebnis - SPD straft Parteichef ab
2013 hatte Gabriel sein bisher schlechtestes Ergebnis als SPD-Chef erzielt. Auf dem Parteitag in
Berlin wurde es nun noch einmal unterboten.
Es war zu ahnen, dass seine Wiederwahl kein Selbstläufer werden würde. Aber so ein Ergebnis hat
niemand vorherzusagen gewagt. Der zweite Teil der Demütigung folgte in den Stellvertreterwahlen.
Alle bekamen viel mehr Zustimmung als Gabriel. Alle. Hannelore Kraft und Manuela Schwesig
kamen gar über 90 Prozent. Und selbst Ralf Stegner, Landeschef aus Schleswig-Holstein, landete
drei Prozentpunkte vor dem Parteivorsitzenden.
Elektroautos erobern die Firmenflotten
Emissionsfrei und sparsam auch im gewerblichen Bereich werden Elektro-Autos zunehmend
attraktiver. Die Gründe dafür liegen vor allem in den niedrigen Betriebskosten und ersten
steuerlichen Subventionen. mehr ...
Gabriel will die SPD in die Mitte führen. Dorthin, wo sich Angela Merkel mit ihrer Union
breitgemacht hat. Dorthin, wo die SPD-Linke partout nicht mehr hinwill. Sie will keine HelmutSchmidt-SPD, keine Gerhard-Schröder-SPD und in dem Sinne keine Sigmar-Gabriel-SPD. Dafür
scheut sie auch nicht davor zurück, die Partei mit einem großen Knall in die Führungskrise
zu stürzen.
In seiner Rede wirft er der Kanzlerin Doppelzüngigkeit vor
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Der Parteichef dachte offenbar, er könne die Linke mit einigen Angriffen auf den Koalitionspartner
beschwichtigen. In seiner Bewerbungsrede wirft er der Kanzlerin und den Unionsparteien
Doppelzüngigkeit in der Flüchtlingsfrage vor: "Man kann sich nicht morgens dafür feiern lassen,
dass man eine Million Flüchtlinge nach Deutschland holt, und abends im Koalitionsausschuss jedes
Mal einen neuen Vorschlag machen, wie man die schlechter behandeln könnte."
Er ist sich auch nicht zu schade, den Aufstieg des Front National in Frankreich in Zusammenhang
mit Merkels Sparkurs in der Euro-Krise zu setzen - und der Kanzlerin damit eine Mitverantwortung
für die Erfolge der Rechtspopulisten zu geben. Er macht auch unerwartete Zugeständnisse in der
Außenpolitik. Zwar verteidigt er den Einsatz der Bundeswehr gegen die Terrormiliz Islamischer
Staat. Er verspricht den Delegierten jedoch eine Mitgliederbefragung, sollte das Syrien-Mandat
ausgeweitet werden.
Genutzt hat es nichts. Für Sekunden war nach dem Fiasko offen, ob Gabriel die Wiederwahl
überhaupt annimmt. Nun, er macht weiter. Und er hat klargemacht, dass er nicht bereit ist zu
weiteren Zugeständnissen an die Parteilinke. Es klingt wie eine Kampfansage.
Le Monde, 13.12.2015:
En Allemagne, le SPD utilise la France pour
attaquer Angela Merkel
LE MONDE | 12.12.2015 à 09h40 • Mis à jour le 12.12.2015 à 09h50 | Par Frédéric Lemaître
(Berlin, correspondant)
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Sans Angela Merkel, Marine Le Pen ne connaîtrait pas le succès qui est le sien. Cette théorie – que
l’on entend parfois au sein de la gauche française – a été reprise vendredi 11 décembre par Sigmar
Gabriel, président du Parti social-démocrate (SPD), lors du congrès de son organisation. « J’ai
averti Angela Merkel que le Front national serait le seul gagnant d’une politique d’austérité en
France », a-t-il déclaré, précisant qu’il fallait « regarder la situation sociale d’un pays » avant
d’imposer une telle politique.
Vice-chancelier et ministre de l’économie, Sigmar Gabriel ne peut pas attaquer trop frontalement la
chancelière. Néanmoins, celle-ci risque d’être son adversaire lors des prochaines élections
générales, à l’automne 2017. Alors qu’en Allemagne, le chômage n’a jamais été aussi bas et les
caisses publiques rarement aussi remplies, Sigmar Gabriel a choisi l’Europe et la situation en
France comme angles d’attaque. D’ailleurs, le premier ministre français, Manuel Valls, devait
s’exprimer devant les congressistes, samedi 12 décembre. Sigmar Gabriel a qualifié de « honteux »
le silence des conservateurs européens et notamment...
Die Deutsche Welle, 15.12.2015:
Prominenter Salafist in Nordrhein-Westfalen
verhaftet
Er ist einer der bekanntesten Islamisten Deutschlands. Jetzt hat die Bundesanwaltschaft den
Salafistenprediger Sven Lau festgenommen. Er steht im Verdacht, eine terroristische Vereinigung
unterstützt zu haben.
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Dem vor allem in Nordrhein-Westfalen aktiven Salafistenprediger Sven Lau werde vorgeworfen,
2013 von Deutschland aus als verlängerter Arm der in Syrien aktiven Terrororganisation "Jaish almuhajirin wa-l-ansar" (JAMWA) tätig gewesen zu sein, erklärte die Bundesanwaltschaft in
Karlsruhe: "Er ist daher dringend verdächtig, in vier Fällen eine ausländische terroristische
Vereinigung unterstützt zu haben." Spätestens seit Mitte 2013 sei die JAMWA "eng an die
Terrororganisation 'Islamischer Staat Irak und Großsyrien' (IS) angebunden".
Die Redaktion empfiehlt
"Scharia-Polizei" entfacht neue Islamdebatte
Elf junge Salafisten schlüpften in orangefarbene Westen und patroullierten als "Scharia-Polizei"
durch Wuppertal. Deutschland fragt sich: Wie soll man auf den Vorfall reagieren? (08.09.2014)
Kommentar: Mit deutschen Muslimen gegen die SchariaPolizei
Bundesregierung will Scharia-Polizei nicht dulden
Anlaufstelle für Kampfwillige
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Nach der Spaltung der JAMWA ("Armee der Auswanderer und Helfer") Ende 2013 habe sich der
von Lau unterstütze JAMWA-Flügel der IS-Miliz angeschlossen. "Nach dem Ergebnis der
bisherigen Ermittlungen war Lau eine Anlaufstelle für Kampf- und Ausreisewillige insbesondere
aus der salafistischen Szene im Großraum Düsseldorf", erklärte die Bundesanwaltschaft. Er soll als
Bindeglied zur JAMWA in Syrien fungiert und mit einem dortigen deutschen Konvertiten in engem
Kontakt gestanden haben.
Konkret wirft die Bundesanwaltschaft dem 35-jährigen deutschen Staatsbürger vor, zwei
Dschihaddisten an eine JAMWA-Kampfeinheit in Syrien vermittelt zu haben. Außerdem habe er im
September 2013 einem der Kämpfer in Syrien persönlich 250 Euro überbracht und im Auftrag der
JAMWA in Deutschland drei Nachtsichtgeräte besorgt. Lau werde noch im Tagesverlauf dem
Ermittlungsrichter des Bundesgerichtshofs vorgeführt.
Bekannt durch "Scharia-Polizei"
Lau hatte bundesweit mit seiner "Scharia-Polizei" für Aufsehen gesorgt. Im vergangenen Jahr
waren Islamisten als Sittenwächter durch die Straßen Wuppertals patrouilliert. Sie trugen Westen
mit dem Aufdruck "Shariah Police". Die Scharia ist das islamische Recht. Die Islamisten erhoben
mit gelben Verbotshinweisen den Anspruch auf eine "Shariah Controlled Zone" (Schariakontrollierte Zone). Darauf sind Verhaltensregeln der radikalen Muslime festgehalten, wie sie in
streng islamischen Staaten gelten: Kein Alkohol, kein Glücksspiel, keine Musik und Konzerte,
keine Pornografie und Prostitution, keine Drogen.
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POLAND
February: Magdalena Ogorek, Socialist Party, and Andrzej Duda are two ladies who are running for
the presidency. The out-going president Bronislaw Komorowski is the most supported
(www.sdpl.pl ).
POLAND: 29th August: according to a Polish official, the Nazi treasure, hidden in a train, is located
in the national territory.
alJazeera, 28th November 2015:
Minorities in Poland facing racism after Paris
attacks
Antiracism groups across Europe report a spike in attacks on
Muslims and other minorities since killings in France.
27 Nov 2015 17:32 GMT | Refugees, Europe, Poland

Antiracism groups across Europe have reported a spike in attacks on Muslims and other
minorities in recent days.
This trend is particularly strong in Eastern Europe.
In Poland, where a new right-wing government wants to make it harder for refugees to enter, those
already there are becoming increasingly fearful.
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Al Jazeera's Laurence Lee reports from Warsaw.
Source: Al Jazeera
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Poland's modest refugee policy proves controversial
Though the country has agreed to accept just 6,800 refugees from Syria and Eritrea, critics say even
that is too many.
Refugees, Poland, Syrian crisis, Turkey-Syria border, Europe
Europe anti-refugee rhetoric swells after Paris attacks
Far-right politicians call for borders to be sealed in wake of Paris assaults amid growing fears for
refugees' plight.
Refugees, War & Conflict, Politics, Human Rights, Europe
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NYT, 6th Dec 2015:
Campaign posters for Grzegorz Bogucki of the Nowoczesna Party and Ewa Kopacz of the Civic
Platform Party outside a subway station last week in Warsaw. Credit Kacper Pempel/Reuters
Poland
Poland joined the region’s rightward drift toward nationalism on Sunday, tossing out the centerright party that had governed the country for eight years.
The Law and Justice Party, with Beata Szydlo as candidate for prime minister, won 37.6 percent of
the votes, according to the election authority. It is further to the right than the governing party, Civic
Platform, which conceded defeat on Sunday.
Ms. Szydlo had campaigned against being forced by the European Union to accept a set number of
the refugees who have been flocking to Europe, as well as for higher wages and traditional Catholic
values.
Polish election rules state that a party can take control of the government without the need for a
coalition partner even if it draws less than 40 percent of the vote, depending on how many of the
smaller parties earn seats in the new Parliament.
Latest Story: Right-Wing Party Roars Back in Polish Elections
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Philippine Star,9.12.2015:
Poland's president defies constitutional ruling
amid crisis
By Vanessa Gera (Associated Press) | Updated December 9, 2015 - 4:42am
Demonstrators cheer before the Constitutional Tribunal building after the special court partly
approved a move concerning its composition made by the previous ruling liberal Civic Platform
party, in Warsaw, Poland on Thursday, Dec. 3, 2015. In an escalating political row between the new
ruling Law and Justice party and the Civic Platform, both parties seem to have bent the law while
trying to appoint judges to the special court. (AP Photo/Czarek Sokolowski)
WARSAW — Poland's constitutional crisis deepened on yesterday, with the president indicating
that he will stick by appointments to the Constitutional Tribunal that were declared illegal last week
by that same court, the nation's highest arbiter of the law.
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A spokesman for President Andrzej Duda said that he will go ahead on Wednesday with the
swearing in of the fifth of five controversial appointments to the court. The spokesman, Marek
Magierowski, also said Duda won't swear in three of the judges who were last week declared by the
court to have been chosen in accordance with the law by the previous government.
After the right-wing Law and Justice party took power in November, it moved quickly to place five
new judges onto the 15-member Constitutional Tribunal. That involved voiding five recent
appointments made by the previous government, even though three of those were in accordance
with the regulations.
Critics decry the moves against the court as an attack on the nation's democratic guarantees, and
fear that Poland is following the example of Hungary, where Prime Minister Viktor Orban has
moved the country in the direction of what he calls an "illiberal state."
A pro-democracy initiative in Warsaw, "We Are Watching You," called the moves by Law and
Justice "a situation without a precedent in Poland's democratic history" and "an erosion of
democracy at its constitutional core."
Law and Justice now controls the presidency and parliament; its moves relating to the court are
aimed at removing the last remaining check on its power as it seeks to remake the country in line
with its nationalistic and morally conservative social vision. The party has also vowed to do more to
help the poor at the expense of powerful corporations and foreign-owned banks.
World ( Article MRec ), pagematch: 1, sectionmatch: 1
Last Wednesday, the new parliament voted in the five new judges, and Duda quickly swore four of
them in in the middle of the night. The next day that same tribunal — even with the presence of the
new members — ruled that three of those five appointments were illegal.
Law and Justice faults the previous government, led by Civic Platform, for making two premature
appointments, something it considers a violation of democratic norms.
Even supporters of Civic Platform admit that the party helped spark the crisis by naming two new
judges before their replacements had actually stepped down.
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HUNGARY
June: polemics about the wall on Serbia border the gvt. is building to stop migration.
August: The gvt is finishing the wall to stop migrants coming from the Balkans. Pope Francis and EU criticize.
UK
Stephen J. McKinney & James C. Conroy (2015). The continued existence of state-funded Catholics schools
in Scotland Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in
Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 105-117.
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7 May, elections, Cameron and Conservative Party gains with great majority.
June: migrants are refused at the frontiers, as in France.
Skeggs B. (2015). Des femmes respectables. Classe et genre en milieu populaire. Marseille: Agone.
UK, 14th September: Jeremy Corbyn has been selected as the new leader of the Labour Party.
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B
ritish Prime Minister David Cameron delivers a speech on EU reform at Chatham House in London
on Tuesday. | REUTERS
Cameron: Britain’s EU demands not ‘Mission:
Impossible’
AP

Nov 11, 2015
LONDON – British Prime Minister David Cameron laid out his government’s demands for
European Union reform Tuesday, saying a looser “British model of membership” would let him
campaign “heart and soul” for his country to stay in the 28-nation bloc.
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Cameron said the EU must agree to “irreversible changes” that would cede autonomy back to
member states — and limit freedom of movement, a key EU principle, by allowing the U.K. to
restrict benefits for immigrants from within the EU.
Britain will hold a referendum by the end of 2017 on whether to leave the EU. Cameron says he
wants to remain in, provided he can secure the reforms he seeks.
He acknowledged that getting the other 27 nations to agree to Britain’s goals would be a major
challenge — but not “Mission: Impossible.”
“I would argue that it’s Mission: Possible, but it’s going to take a lot of hard work to get there,” he
said.
The EU’s executive European Commission, however, called some of the issues raised by Cameron
“highly problematic.”
Cameron outlined his demands in a speech in London and a letter to European Council President
Donald Tusk.
He told an audience at the Chatham House think tank that his country wants change in four areas,
including protection for countries such as Britain that don’t use the euro single currency, less red
tape and greater power for national parliaments to opt out of rules made by the Brussels-based EU.
“We are a proud, independent nation. We intend to stay that way,” Cameron said, stressing that
Britain wanted a “clear, legally binding and irreversible” exemption from the EU’s commitment to
an ever-closer union.
Most contentiously, Cameron said Britain wants to “control migration from the European Union.”
He said Britain wants to bar other EU nationals who move to the U.K. from receiving tax credits
and other benefits for four years. Such credits and benefits are currently paid to British citizens and
citizens of other EU countries alike.
In the letter to Tusk, Cameron said Britain’s concerns “boil down to one word: flexibility.”
He asked for recognition that the EU has more than one currency and that changes made by the 19
euro-using countries — such as the creation of a banking union — must be voluntary for noneurozone members like Britain.
He also said British taxpayers should “never be financially liable” for supporting the euro.
Some of Cameron’s proposals will likely find sympathy in other European capitals, such as his call
for fewer regulations on businesses and for more powers for countries within the EU.
He said groups of national parliaments should get the power to stop “unwanted legislative
proposals” from Brussels.
Cameron’s demands on migration within the union are far more troublesome.
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It is a key EU principle that citizens have the right to live and work in other member states. But
Cameron said EU immigration to Britain — more than half a million people between 2004 and
2013 — was “unregulated and much higher than planned.”
Cameron’s attempt to limit EU migrants’ benefits for four years is likely to be a tough sell with
some EU leaders, who see free movement of labor, as well as of goods, as a cornerstone of the bloc.
Valdis Dombrovskis, the EU’s economic commissioner, said some of Cameron’s demands were
“feasible” but that others were “highly problematic, as they touch on the fundamental freedoms of
our internal market.”
Czech Prime Minister Bohuslav Sobotka said any attempt to limit freedom of movement poses “a
serious problem for the Czech Republic,” which became an EU member in 2004.
Sobotka said “the right to work and live anywhere in the EU is absolutely essential to us due to our
historical experience” as a country that spent decades under Soviet domination.
German Chancellor Angela Merkel — one of Cameron’s chief EU allies — said she was willing to
work with Britain on the proposals, which contained “no surprises.”
“If one has the spirit that we can solve these problems then I’m convinced it can be done,” she said.
Cameron told Tusk he hoped for “substantive discussion” of Britain’s demands at an EU summit in
Brussels in December.
He has not yet set a date for the referendum, which he said would be “a once-in-a-generation
choice” — and not, as some “out” campaigners have suggested, reversible with a second vote soon
afterward.
“If we vote to leave, then we will leave,” Cameron said.
He told Tusk that an agreement would let him campaign “with all my heart and soul” for Britain to
stay in the EU — proof, according to British Euroskeptics, that Cameron is a pro-European at heart.
Jacob Rees-Mogg, one of many anti-EU lawmakers in Cameron’s Conservative Party, called the list
of demands “pretty thin gruel — much less than people had come to expect from the government.”
U.K. Independence Party leader Nigel Farage said it was “clear that Mr. Cameron is not aiming for
any substantial renegotiation.”
“His speech was an attempt to portray a new ‘third way’ relationship with Brussels that is simply
not on offer,” Farage said.
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IRLANDA
Nathalie Rougier & Iseult Honohan (2015). Religion and education in Ireland: growing diversity – or losing faith
in the system? Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in
Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 71-86.
Ireland: 24 May, YES at the referendum about gay wedding.
Mercille J. (Aout 2015). Médias, le Parlement irlandais accuse. Le Monde diplomatique, Aout 2015.
ISLANDA
Detroy F. (September 2015). La course à l’Arctique passe par Reykyavik. Le Monde diplomatique,
September 2015.
NORWAY
22 Feb. 15, Muslim protect the Synagogue in Oslo.
FINLAND
20.04.2015: defeated the conservative party at election, gains Juha Sipilia, centrist Party.
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SPAIN
Lambert, Renaud (Janvier 2015). Podemos, le parti qui bouscule l’Espagne. Le Monde
diplomatique, Janvier 2015.
31 January: Manifestation of Podemos, a Syrize-like political party in Madrid.
El próximo 12 de marzo, a las 16:00 en el Salón de Actos de la Facultad de Formación de
Profesorado y Educación de la Universidad Autónoma de Madrid, el profesor Stephen Ball del
Instituto de Educación de la Universidad de Londres impartirá una conferencia titulada: “Big
Data/Small Data: Neoliberalism, Measurement and Bio-politics”.
La conferencia es gratuita y está patrocinada parcialmente por el Grupo de Investigación sobre
“Políticas Educativas Supranacionales” de la UAM.
Si alguno está interesado en asistir, se debe escribir un e-mail al profesor Héctor Monarca
([email protected]) con el fin de formalizar la inscripción.
SPAIN, 22nd March, electons in Andalucia, Podemos is the third party, afer Socialist Party and Popular
one.
Ortiz J. (2014). Espagne. La République est de retour! Biarritz: Atlantica. [Le Monde diplomatique,
Avril 2015.
24 May: elections, Podemos gain position, while Popular and Socialist remain the majority parties.
Excelsior, 10.11.2015:
Consejo de Estado español avala recurso
contra secesionistas
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Da vía libre para impugnar la declaración independentista del
Parlamento de Cataluña; concluye que existen fundamentos
jurídicos suficientes
10/11/2015 09:27 EFE / Foto: Reuters
La posición del Consejo de Estado llega mientras en Barcelona se celebra el debate de investidura
del presidente de la región.
MADRID.
El Consejo de Estado español - órgano consultivo - respaldó hoy por unanimidad la presentación
de un recurso de inconstitucionalidad contra la declaración independentista aprobada ayer por
el Parlamento de Cataluña, dijeron fuentes de esta institución.
La Comisión Permanente del Consejo de Estado dictaminó que "existen fundamentos jurídicos
suficientes" para impugnar la declaración ante el Tribunal Constitucional (TC).
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El presidente del Gobierno español, Mariano Rajoy, pidió ayer al Consejo de Estado un informe
sobre la declaración aprobada por la Cámara catalana, que aprobó una resolución en la que plantea
la "desconexión" de esa región del Estado español.
El texto plantea que, en el plazo de un mes, comience la tramitación de las "leyes de proceso
constituyente, de seguridad social y de hacienda pública", que serían las bases de una hipotética
república catalana.
El informe del Consejo de Estado servirá de fundamento jurídico para el recurso que el Gobierno de
Rajoy presentará mañana al TC.
Si el Constitucional lo admite a trámite, previsiblemente el jueves próximo, el efecto será la
suspensión inmediata y por un periodo de al menos cinco meses de la resolución.
En ese período los magistrados del TC deberán debatir sobre la inconstitucionalidad o no de la
moción de los secesionistas catalanes y llegar a una sentencia.
No obstante, la propia resolución independentista menciona al TC para asegurar que no respetará
sus sentencias.
La posición del Consejo de Estado llega mientras en Barcelona se celebra el debate de investidura
del presidente de la región, con el nacionalista Artur Mas como aspirante a un cargo que ejerce
desde 2010.
En la tarde de hoy tendrá lugar la votación y todo apunta a que Mas no tendrá la mayoría absoluta
necesaria porque, aunque apoyado por los 62 escaños de Junts pel Sí, le faltan seis para obtenerla.
El grupo que ha apoyado la resolución independentista, CUP (izquierda radical, diez escaños) ha
reiterado hoy mismo que no apoyará a Mas como presidente porque lo ve vinculado a casos de
corrupción y a una política antisocial.
jrr
Clarin, 24th November 2015:
Cataluña: Mas amenaza con convocar a
elecciones si no lo reeligen presidente
El separatismo en España.Lo anunció el jefe de gobierno de Barcelona. Presiona a sus socios más
radicales.
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El jefe. Arturo Mas, el presidente de Cataluña (EFE).

Juan Carlos Algañaraz
Contundente ultimátum de Artur Mas, el líder de Convergencia Democrática y presidente de la
Generalitat de Cataluña: o lo eligen candidato por la coalición “Juntos por el Sí” con el apoyo de la
izquierda radical (CUP) o se convocarán nuevas elecciones regionales para marzo próximo.
Así lo anunció ayer ante una reunión de la ejecutiva de Convergencia. Desde los pasados comicios
regionales del 27 de setiembre, los independentistas no han logrado formar gobierno.
En las elecciones, “Juntos por el Sí” logró 62 diputados y el resto de la oposición 63 legisladores.
Para obtener mayoría absoluta, los independentistas necesitan el apoyo de la CUP (Candidatura de
Unidad Popular) que de tres legisladores con que contaba paso a tener ahora diez.
Pero la dirección de la CUP, apoyada en el movimiento asambleario que la sustenta, se negó en
redondo a apoyar la investidura de Mas, fulminado por su política económica, que los alternativos
equiparan a la del presidente del gobierno español, Mariano Rajoy, y los graves cargos de
corrupción que pesan sobre Mas y su partido Convergencia.
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En dos votaciones de investidura, la CUP reiteró su rechazo que ha generado una crisis en los
independentistas y desprestigio en su electorado. Después de que se proclamara en el Parlamento, a
grito pelado, la República Catalana, se aprobó un plan constituyente “sin interferencias del estado
español”.
Además, para muchos comentaristas y políticos se produjo una declaración de facto que
“desconectaba” la legalidad española de la catalana. Ante un recurso planteado por el gobierno
central de Madrid ante el Tribunal Constitucional, esta instancia superior suspendió el plan
rupturista de los catalanes. Al mismo tiempo, alertó a 21 funcionarios –entre ellos, el mismo Artur
Mas y Carmen Forcadell, presidenta del Parlamento catalán– de que, en caso de desobediencia, iban
a ser castigados con fuertes multas y la inhabilitación de sus cargos.
El gobierno catalán declaró que sólo aceptaban las decisiones del Parlamento catalán.
Pero, todo el trámite de la ley de ruptura está paralizado porque el gobierno catalán no se ha
constituido. Es una situación insólita: los rupturistas proclaman la república soberana pero no
pueden empezar a organizarla porque no se ponen de acuerdo para formar gobierno.
El 29 de diciembre próximo, una asamblea de militantes de la CUP debe tomar una decisión sobre
la candidatura de Mas con la amenaza de una convocatoria a nuevos comicios que no conviene a los
separatistas, que temen perder votos. “Es Mas o marzo”, bromean los militantes radicales de
izquierda.
Entre las alternativas a la desesperada de Artur Mas para no perder su continuidad al frente del
ejecutivo catalán, ayer también se anunció que Convergencia Democrática está dispuesta a una
refundación dentro de cuatro o cinco meses.
Para las cruciales elecciones generales del próximo 20 de diciembre, Artur Mas decidió apartarse de
la coalición con Esquerra Republicana y Concurrir en solitario bajo la nueva sigla “Democracia y
Liberad”.
Para la refundación de un nuevo partido se piensa captar, transversalmente, a democristianos,
liberales y socialdemócratas porque “para crear un país nuevo senecesita un partido nuevo”.
Josep Rull, principal dirigente de Convergencia después de Mas, anunció que “trabajaremos para
crear un nuevo espacio de centro para ampliar el espacio del soberanismo y hacer posible la
independencia”.
Clarin, 28.12.2015:
España: siguen los desacuerdos y asoma
escenario de nuevas elecciones
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Negociaciones para formar gobierno
El líder de Podemos, Pablo Iglesias, le dijo "No" a Rajoy y disparó contra el PSOE, en lo que
parece ser el anticipo de una nueva campaña electoral, con miras a comicios generales.
Pablo Iglesias, de Podemos, durante una rueda de prensa, tras reunirse con Mariano Rajoy. / Reuters



Juan Carlos Algañaraz
Madrid. Corresponsal
Pablo Iglesias cerró las puertas a un acuerdo con el PSOE, anunció que mantiene su exigencia de
un referéndum solo para catalanes, y proclamó que si se convocan a elecciones piensa ganarlas.
El líder de Podemos estuvo reunido dos horas con Mariano Rajoy a quien comunicó que no lo
apoyará, ni al PP, en la investidura ni contempla abstenerse. Después dio una larga conferencia de
prensa donde rechazó la exigencia irreversible del PSOE de que retire su reclamo, también
irreversible, de un referéndum soberanista en Cataluña del que solo participarían ciudadanos
catalanes.
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Para los socialistas, sin discrepancias, esta demanda que constituye una línea roja sobre las
pretensiones estratégicas de Podemos, no está contemplada en la Constitución que solo permite
referéndum soberanistas si votan todos los españoles.
“No aceptaremos nada que ponga en peligro la unidad de España y la igualdad de los ciudadanos de
este país como lo manda la Carta Magna democrática de 1978. Esta es para nosotras una línea roja
infranqueable”, sostuvo ante la asamblea del Comité Federal del PSOE.
El principal dirigente de Podemos hizo otra afirmación de ruptura con los socialistas ya que
denunció un “pacto entre el PP, PSOE y Ciudadanos”. Este consenso secreto, espurio
lógicamente, prevé que tanto Ciudadanos como el PSOE no voten a Mariano Rajoy en la sesión de
investidura pero se abstengan en la segunda votación que el líder del PP puede ganar por mayoría
simple de sus 123 diputados. Necesita llegar a 176 para la mayoría absoluta.
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Muchos comentaristas en las tertulias de radio y televisión estuvieron de acuerdo en que Pablo
Iglesias había realizado “su primer discurso para una nueva campaña electoral”. Otros
destacaron que no había pronunciado críticas al PP pero si muchas, e implacables, contra el PSOE.
“Tenemos la sensación de que Pablo Iglesias está mucho más interesados en destruir al PSOE que
criticar al PP”, había dicho el día anterior con toda energía la presidenta de Andalucía, Susana
Díaz.
Los partidarios de la gran coalición PP- PSOE arrecian en su campaña a favor de la abstención del
PSOE. “Hay un solo responsable del desastre electoral del PP en las elecciones donde perdió 3,5
millones de votos y 60 diputados y de la soledad de Rajoy que gobernó por decreto gracias al
rodillo de la mayoría absoluta. Los que tienen que asumir esa responsabilidad son Mariano Rajoy y
su partido. Pero quieren que los socialistas, que tenemos 136 años de vida como partido,
traicionemos a nuestros votantes y militantes y nos suicidemos para salvar el pellejo de Rajoy. Ni lo
sueñen, es ridículo”, explicó a Clarín un alto dirigente socialista durante la reunión del Comité
Federal”.
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También estuvo con Rajoy en el Palacio de la Moncloa el dirigente principal de Ciudadanos,
Albert Rivera, quien anunció al finalizar el encuentro: “le ratifique al presidente que no apoyaré su
investidura”. Rivera ha explicado varias veces que piensa facilitar el acceso de Rajoy al poder
mediante la abstensión. Aconseja lo mismo al PSOE que rechaza de plano el convite.
“Me dejare la piel para tratar de atender las demandas de cambio por la izquierda pero no a
cualquier precio. No dialogaremos sobre la unidad territorial de España”, proclamó el candidato del
PSOE, Pedro Sánchez, entre aplausos, en el Comité Federal de 250 miembros. O sea que no
doblegará los principios socialistas para poder gobernar. También denunció que había “una pinza
contra el PSOE a cargo del Podemos y el PP”.
El influyente dirigente socialista, Emiliano García Page, presidente de la comunidad de Castilla
León, resumió la situación de bloqueo que se abre después de la imposibilidad de acuerdos a
derecha e izquierda: “Hoy no salen las cuentas para sumar una mayoría”.
Iglesias insiste en mantener su exigencia de referéndum soberanista en Cataluña porque en realidad
solo tiene como propio, y así se los acredita el gobierno, 42 diputados. Los otros legisladores fueron
obtenidos por tres aliados con los cuales no se sabe si formará un grupo parlamentario o cuatro.
Doce, pertenecen a Son en Comun Podemos (Ada Colau alcaldesa de Catalulña), nueve a los
valencianos de Compromis y Es el Moment, y seis de las Mareas en Galicia. Los tres,
especialmente Ada Colau, están estrechamente ligados a expresiones nacionalistas. El
referéndum soberanista en Cataluña, solo para catalanes, es una parte esencial de su identidad
política.
El 13 de enero próximo se constituyen las Cortes, diputados y senadores. Una vez elegido el
presidente de diputados, el Rey inicia una ronda de consultas con todos los partidos que han
obtenido representación parlamentaria.
En ese momento, debe presentarse el líder de uno de estos grupos que considera tiene el apoyo
necesario, la mayoría se forma con 176 diputados o sea la mitad más uno de los 350 legisladores.
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Habitualmente el Rey concede prioridad al representante de la lista más votada pero no está
obligado a hacerlo de acuerdo a lo dispuesto por la Constitución para la sesión de investidura.
El candidato presentado por el Rey leerá entonces un mensaje político a la Cámara donde
detallará su programa de gobierno. Si recibe la generalidad, 176 o más representantes, quedará
consagrado como presidente del gobierno español con mandato por cuatro años, la legislatura.
De lo contrario, habrá una segunda votación esta vez por mayoría simple. El candidato debe recibir
más apoyos que rechazos.
Si se vuelve a producir un voto negativo de los diputados, el Rey indagará a los grupos para
encontrar un nuevo candidato y se reproducirá el trámite constitucional.
Al cumplirse dos meses de la primera sesión de investidura, si no se ha logrado elegir un nuevo
presidente el Rey deberá convocar a elecciones generales.
PORTOGALLO