www.sissu.it Mediterranean 2015 According to Pampanini’s World Philosophy of the Dialogue Among Civilizations, the Mediterranean macro-region stands for the value of Maturity. See Pampanini, G. (2012). A Dialogue Among Civilizations. World Philosophy of Education – An Essay. Catania: CUECM. Regarding the Regional Theory of Comparative Education see Pampanini, G. (2004). Critical Essay on Comparative Education. Catania: CUECM. Structure of the file: - SISSU’s programme - Asia as a whole - Follows each country. SISSU’s programme: Collaboration with teachers for realizing programmes of Democratization of the curricula and the Right to Education. Putting in being the figure of Global Teacher as that of someone who is able to do Orbital Classroom, treating global issues, collecting relevant information, and make his/her public discuss. The Mediterranean as a whole: Migration is the largest problem in this area; EU uses programmes like Triton and Frontex to deal with it, but they are insufficient means. The phenomenon is quite impressive in May. ITALY: 15 May, gvt asks the leadership of anti-traffickers operation in the Mediterranean. www.sissu.it HUNGARY: The gvt is finishing the wall to stop migrants coming from the Balkans. Pope Francis and EU criticize. Follows each country: North Africa MOROCCO February: among the rich people who hold their money in the fiscal paradise of HSBC is King Mohammed VI. TUNISIA Beau, Nicolas & Lagarde, Dominique (2014). L’éxception tunisienne. Chronique d’une transition démocratique mouvementée. Paris: Seuil. TUNISIA: In the Bardo Museum in Tunis, afliated to the ISIS do an atack against tourists – 23 died on 2 nd March. On 29th March, a huge manifestaton is made in Tunis with the partcipaton of many European politcal representatves. TUNISIA, 30th March, a march against terrorism with the partcipaton of many politcal European leaders. www.lapresse.tn dermech, 16.05.2015 LE CONSEIL SUPERIEUR DE LA MAGISTRATURE EST NE Consensus, sur fond de contestations www.sissu.it Entre ceux qui saluent la naissance du Conseil supérieur de la magistrature comme un moment historique et ceux qui considèrent que la loi est anticonstitutionnelle, la saison estivale sera chaude. Le verdict est finalement tombé, hier, à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP). Les députés ont adopté, à une large majorité, le projet de loi organique portant création du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Ils étaient 154 députés à avoir pris part au vote (sur 217 au total, soit 63 députés manquant à l’appel) dont 131 ont donné leur aval au projet de loi qui a suscité une polémique qui n’est pas près de s’apaiser puisque les magistrats qui s’opposent à la loi ne sont pas disposés à lâcher prise et menacent de poursuivre leur fronde et de saisir la Cour constitutionnelle une fois qu’elle sera instituée. Les députés de l’opposition, qui ont rejoint les magistrats frondeurs dans leurs positions, n’ont pas voté en masse contre la loi puisqu’ils ont été seulement 14 à dire non à la loi. Les autres qui se sont abstenus et qui ont préféré s’abstenir (préserver leurs voix) ont été au nombre de 8 députés.. Zouhaier Maghzaoui, député du Mouvement du peuple «Haraket Echchab», a essayé, hier, sur les ondes d’une radio privée de justifier le vote abstentionniste des députés de son parti. Ses arguments selon lesquels les doléances des magistrats mécontents sont excessives et qu’il ne faut obéir à toutes leurs demandes n’ont pas convaincu, même s’il a essayé de réaffirmer que son parti est toujours attaché à une magistrature indépendante et qui n’obéit à aucun autre pouvoir. Riadh Mouakhar, député d’Afek Tounès (partenaire de la coalition au pouvoir), explique le niet opposé par son parti à la loi par le fait que même le ministre de la Justice, Mohamed Salah Ben Issa, initiateur du projet de loi en question, «ne reconnaît plus son texte tant il a été chambardé par les membres de la commission de législation générale au point que les dispositions anticonstitutionnelles qu’il comprend sautent aux yeux et il n’est pas demandé d’être un connaisseur en droit constitutionnel pour découvrir les irrégularités commises». Une position déjà partagée par Rym Mahjoub, députée d’Afek Tounès, qui précise : «Le texte contient des articles non constitutionnels dont l’intégration de représentants de la justice militaire dans la composition du conseil. Habib Essid doit impérativement soumettre le projet de loi à l’Instance provisoire de contrôle de la constitutionnalité des lois». www.sissu.it Le consensus, de nouveau Pour Mohamed Ennaceur, président de l’Assemblée des représentants du peuple, «c’est le consensus qui a prévalu de nouveau. Aujourd’hui, nous avons vécu un moment historique consistant en la création de la première instance constitutionnelle après les élections du 26 octobre 2014. La solennité du moment est à souligner. Les députés, en particulier les membres de la commission de législation générale, ont accompli un travail considérable et les débats lors de la plénière ont été à la hauteur du climat démocratique et pluriel caractérisant le Parlement tunisien. Maintenant, nous devrons nous concentrer sur les lois qui attendent, dont en premier lieu la loi organique de lutte contre le terrorisme et l’éradication du blanchiment d’argent». L’optimisme de Mohamed Ennaceur trouve un écho favorable auprès de Mohamed Fadhel Omrane, président du bloc parlementaire de Nida Tounès. Il relève : «Le texte de loi a fait l’objet d’un consensus. C’est un texte équilibré qui préserve les droits de toutes les parties et vient conforter l’indépendance du pouvoir judiciaire. Il est injuste qu’on introduise un recours contre le projet». Le mot est lâché Raoudha Laâbidi, présidente du Syndicat des magistrats tunisiens, n’y va pas par quatre chemins. «Le texte est conçu à merveille pour assujettir les magistrats afin qu’ils demeurent sous la coupe du ministère de la Justice, plus particulièrement l’Inspection générale, qui continuera à décider de notre promotion professionnelle et de l’évolution de nos carrières», martèle-t-elle sur les ondes d’une radio quelques minutes après l’adoption de la loi. Maintenant, on s’attend à ce que les mouvements de protestation reprennent de plus belle et on prévoit également un été chaud dans les tribunaux. Tunis: on 26th June, 37 victims tourists is the result of a terrorist attack on the beach. Other attacks also in Lione, France, Kuwait and Somalia (this is Ramadan period). The Hindu, 25th November 2015: At least 12 dead in attack on Tunisia military bus Reuters At least 12 people were killed on Tuesday after an explosion hit a bus carrying Tunisian presidential guards along a major street in the centre of the capital Tunis. Security and presidential sources said the explosion was an attack, adding it was not immediately clear whether it was a bomb or an explosive fired at the bus as it travelled along Mohamed V Avenue. Ambulances rushed from the scene and security forces quickly sealed off the area. www.sissu.it Le Monde, 13.12.2015: Le syndicat UGTT, Nobel de la paix et « pièce maîtresse du dialogue national » en Tunisie Propos recueillis par Charlotte Bozonnet Le Monde.fr Le 10.12.2015 à 14h04 • Mis à jour le 10.12.2015 à 15h51 S'abonner dès 1 € Réagir Classer Partager (767) Tweeter www.sissu.it Les membres du « quartet » tunisien, réunissant l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica – fédération syndicale patronale), l’ordre national des avocats et la Ligue tunisienne de défense des droits de l’homme, recevront, jeudi 10 décembre, le prix Nobel de la paix à Oslo. Les quatre organisations ont été primées pour avoir, en 2013, animé le « dialogue national » entre les partis politiques et permis au pays de sortir d’une grave crise politique qui menaçait sa transition démocratique. Maître de conférences à l’université Paris-Dauphine et autrice de L’UGTT, une passion tunisienne (Karthala, 2015), Hela Yousfi rappelle à cette occasion la place singulière occupée par l’Union générale des travailleurs de Tunisie dans l’histoire et la vie politique de la Tunisie. Quel a été le rôle de l’UGTT dans le dialogue national ? L’UGTT a été la pièce maîtresse de tout le processus. Après les élections du 23 octobre 2011 [remportées par le parti islamiste Ennahda], il existait une compétition entre trois registres de légitimité : les partis de la « troïka » au pouvoir revendiquaient une légitimité électorale, l’opposition – à savoir Nidaa Tounès et la gauche radicale du Front populaire – mettait en avant une légitimité consensuelle et demandait un gouvernement d’union nationale, enfin les mouvements sociaux – en particulier les jeunes chômeurs – revendiquaient une légitimité révolutionnaire, dénonçant une Assemblée constituante confisquée par les partis politiques et voulant rendre le pouvoir au peuple. Lire aussi : « Printemps tunisien » : un Nobel en soutien à un processus fragile Tout au long de l’année 2013, marquée par deux assassinats politiques, les tensions se sont exacerbées. Après l’assassinat de Mohamed Brahmi le 25 juillet 2013, l’opposition a demandé la dissolution de l’Assemblée et la démission du gouvernement. Le gouvernement de la troïka s’accrochait. Dans ce contexte, l’UGTT a décidé de relancer une initiative de dialogue national qui avait été proposée en juin 2012. Avec un changement : elle décide d’inviter, à côté de la Ligue tunisienne de défense des droits de l’homme et de l’ordre national des avocats, l’Utica, l’organisation patronale, qui était alors un réseau d’hommes d’affaires largement inféodés au régime de Ben Ali. Pourquoi un tel front uni ? Parce que l’UGTT savait que cela lui permettrait à la fois d’avoir une forte légitimité pour mener ce dialogue national, mais aussi d’obtenir un soutien international. Ce dialogue national a permis de sortir du conflit en définissant une feuille de route : nommer un gouvernement de technocrates, finaliser la Constitution et fixer un calendrier électoral. www.sissu.it L’Assemblée nationale constituante, la seule institution élue démocratiquement, a donc été préservée. Outre le rôle de l’UGTT, le contexte régional a également accéléré le processus : Ennahda ne voulait pas connaître le même sort que les Frères musulmans en Egypte. Quel bilan tirez-vous de ce dialogue national ? Il a offert à la Tunisie une sortie de crise politique et une première Constitution démocratique. Il lui a permis d’éviter un scénario à l’égyptienne. Il a installé le consensus comme mode de gouvernance. Les termes de ce dialogue ne sont toutefois pas dépourvus de zones d’ombre. D’abord, il s’est limité à l’élite politique et économique du pays. Il a exclu les nouvelles forces sociales issues de la révolution, notamment les mouvements de chômeurs à l’origine de la révolution de décembre 2010. Ensuite, il a acté une sorte de partage du pouvoir entre l’ancienne élite, représentée par le parti Nidaa Tounès [créé en avril 2012 pour contrer les islamistes par l’actuel président, Béji Caïd Essebsi], et la nouvelle, issue des urnes, du parti Ennahda, mais sans proposer d’alternative économique et sociale au modèle de Ben Ali. Du point de vue des travailleurs et des mouvements sociaux, il a donné à l’organisation patronale, l’Utica, une légitimité et une assise qu’elle n’avait pas jusque-là. Lire aussi : Le « quartet » tunisien appelle à faire fructifier le Nobel de la paix Enfin, on assiste en ce moment à plusieurs dérives anticonstitutionnelles de la part du gouvernement Nidaa Tounès-Ennahda, comme la loi sur le terrorisme, votée par l’Assemblée en juillet 2015, qui viole des droits pourtant garantis par la Constitution, ou encore la loi 52 de pénalisation de la consommation de cannabis utilisée pour réprimer les jeunes, notamment ceux des quartiers populaires. Le projet de loi sur la réconciliation économique qui vise à blanchir les hommes d’affaires et les fonctionnaires corrompus est une entrave claire au processus de justice transitionnelle. Comment expliquer que l’UGTT ait une telle place dans la vie politique ? Après le départ du président Ben Ali, en janvier 2011, la centrale syndicale était l’organisation la plus importante du pays : plus de 700 000 adhérents, presque tous les secteurs d’activités représentés, mais aussi toutes les tendances politiques et les différents groupes sociaux – des médecins aux ouvriers du textile, en passant par les enseignants. Il faut se souvenir que la dictature avait détruit en Tunisie toute possibilité de travail collectif, les partis politiques, notamment, ayant été mis à genoux. Pendant cette période, l’UGTT était le seul espace d’action collective organisé. Le seul syndicat dans les pays arabes à ne pas être inféodé au pouvoir. Cela tient à son histoire. L’Union est née en 1946 d’une scission de la CGT française. Dès le départ, ses luttes sociales vont s’articuler aux mots d’ordre de la lutte pour l’indépendance. Lorsque celle-ci est acquise, en 1956, il existe deux organisations politiques importantes : le parti au pouvoir – le Néo-Destour (qui deviendra le PSD, puis le RCD sous Ben Ali) – et l’UGTT. La www.sissu.it centrale syndicale va donc participer, au côté du parti unique, à la construction de l’Etat tunisien « postindépendance ». Ainsi, l’articulation entre les luttes sociales et politiques est au cœur de son identité. A des moments plus conflictuels avec le pouvoir et pour résister à différentes vagues de libéralisation économique, elle devient un refuge pour les mouvements sociaux. Comme lorsqu’elle appelle, le 26 janvier 1978, à la grève générale, réprimée dans le sang, qui sera la première brèche dans le système autoritaire du président Habib Bourguiba [1957-1987]. Son hétérogénéité – elle est une sorte de microsociété tunisienne – a permis d’imposer le consensus comme mécanisme de régulation des conflits. Elle est dans un va-et-vient permanent entre pressions et négociations avec le pouvoir. En interne aussi, l’existence de différents courants fait que le syndicat doit toujours négocier entre des intérêts sectoriels, des considérations régionales et des appartenances politiques différents. C’est ce qui lui a permis de jouer un rôle-clé dans les expériences institutionnelles de la transition, jusqu’au dialogue national de 2013. Quel rôle a-t-elle joué pendant la révolution ? www.sissu.it Elle a été un refuge symbolique, politique et organisationnel du mouvement spontané lancé par les chômeurs en décembre 2010 [après l’immolation par le feu, le 17 décembre 2010, du jeune Mohamed Bouazizi]. L’UGTT, qui a des locaux dans tout le pays, leur a fourni tout ça. Elle a aussi été au cœur de la coordination entre les différents acteurs : avocats, opposants, blogueurs, etc. Elle a permis la politisation des slogans et l’expansion géographique du mouvement. Rappelons-nous ses appels à des grèves régionales votés le 11 janvier 2011 par sa commission administrative. Celle du 12 janvier, à Sfax, avait donné un grand élan. Le 14 janvier était le jour de la grève générale pour le Grand Tunis, elle devait durer deux heures, mais les manifestations ont pris de l’ampleur et, le soir même, le président Ben Ali quittait le pays. Quels sont les nouveaux défis pour l’UGTT ? Historiquement il existe un clivage à l’intérieur du syndicat entre une bureaucratie inféodée au pouvoir et des branches régionales et sectorielles qui résistent. Aujourd’hui, le clivage a changé. Il oppose un camp favorable à la négociation avec les élites économiques et politiques moyennant l’obtention de meilleures conditions de travail et des augmentations salariales, et un autre qui veut renouer avec la tradition historique d’un syndicat porteur d’un projet économique et politique alternatif aux politiques néolibérales promues par le pouvoir. Il milite pour que l’UGTT ait son mot à dire sur les grands dossiers : chômage, privatisation des services publics, accords de libre-échange avec l’Union européenne. Lire aussi : En Tunisie, un raidissement sécuritaire généralisé Concrètement, l’UGTT est face à plusieurs défis. D’abord, il doit se restructurer pour être plus représentatif des jeunes, des femmes, du secteur privé. Parviendra-t-il à s’adapter à ces évolutions ? Deuxième défi : remettre au cœur de sa stratégie les questions sociales et économiques qui ont été reléguées au second plan ces dernières années par l’actualité politique et aujourd’hui par les logiques sécuritaires. En sera-t-il capable ? Enfin, comment va-t-il (ou non) articuler ses luttes avec les chômeurs, devenus la première force sociale du pays, même si elle n’est pas bien organisée ? ALGERIA LIBYA 21 January: the National Army is under the command of General Khalifa Haftar, who passed at the opposition front in the ‘80s and came back to the country in 2011 to fight against Kaddafi. He is now fighting against Ansa al-Sharia, an armed group based in Bengasi (2nd town with 1,3 millions www.sissu.it of inhabitants) which expressed very anti-democratic positions. No water, no electric power are available at a constant regime, also free press is disappearing. LIBYA, February, ISIS arrived on the Mediterranean shores. The first important act is the decapitation of 21 Egyptian Copts sequestered during the Christmas period. On 16th February Fattah al Sisi, Egyptian President, attacks ISIS positions in Libya while asking for a combined response from the UN. All European countries solicit the same. LYBIA: Tobruk army atacks Tripoli army on 21 st March, the two armies and governments are one against the other, while ISIS advances. Haimzadeh P. (Avril 2015). En Libye, ce n’est pas le chaos, c’est la guerre. Le Monde diplomatique, Avril 2015. Tunis, 14 May 2015: Bernardino Leon, the UN Special envoy who is chairing the Dialogue process, has held talks in Madrid with Idris Abdullah Abed Al-Senussi about the situation in Libya and the current position with the Dialogue. According to a source, Tuesday’s talks also touched on the possibility of naming an interim head of state if one of the sides in the Dialogue pulls out and it then collapses. A prominent member of the former Libyan royal family, Idris Senussi is the son of Prince Abdullah bin Abed Al-Senussi, the late King Idris’ cousin who was widely known as “the Black Prince”. In February, he warned that any foreign military intervention or action in Libya would backfire. Some foreign countries, he said at the time, did not understand the country and had to “stop their meddling”. Young people at workshop on shape of new constitution By Libya Herald staff. Tripoli, 14 May 2015: Thirty young people from across Libya are at the Finding our Future workshop in Tunis this week to discuss the constitution and formulate recommendations that take youth into account. The workshop, jointly sponsored by UNESCO, the UNDP, UNICEF, UNSMIL and the Organisation for the Report on Democracy, says that it is giving these young Libyans an opportunity to learn about the constitution-drafting process and say what they would like to see in the document. www.sissu.it The constitution will not only determine the extent to which young people should participatein governance and Libyan society, but it will also shape the society and culture that youth inherit. The recommendations that come out of this week’s workshop will be sent to the Constitutional Drafting Assembly and the young people will have the chance to get in touch directly with members of the assembly. Eni says its Libyan production now exceeds pre-revolution levels By Libya Herald staff. Tripoli, 14 May 2015: Eni has announced that its production in Libya now exceeds pre-revolution levels. Despite a multitude of challenges, the state-owned Italian company is now producing some 300,000 barrels per day (bpd), more than the 280,000 bpd during the Qaddafi regime. In March it was understood to be producing some 250,000 barrels of oil and gas equivalent through its fields El Fil and Wafa in the south west Libya, pumped to Mellitah port in the north west. Eni’s CEO Claudio Descalzi has recently expressed his concern over deteriorating security conditions in the country but said despite the problems operations were continuing as normal. Descalzi added that the increasing presence of the Islamic State in Libya was particularly worrying. The company has reduced its expatriate workforce to reduce insurance liabilities due to threats of abductions. It still has Italian staff on its offshore oil platforms but has removed all Italians from its mainland installations. Moreover it has had to deal with numerous interruptions due to strikes and attacks on pipelines. Eni’s fields have remained largely unaffected by IS attacks on oilfields. Eni is one of the few foreign oil companies to remain in Libya and continue production in the face of these challenges. Not only has it remained, it has continued exploration. In March it announced a significant offshore gas discovery. Eni started production from its Wafa and Bahr Essalam fields in 2004. The energy company has been present in Libya since 1959. The Eni-operated Mellitah treatment and compressor plant was running at 90 percent capacity in February. The majority of its gas goes to Italy via the GreenStream pipeline with the remaining being used to fuel the 400MW Ruwais power station. www.sissu.it 11 May: a cargo from Turkey is shut by Tobruk gvt allied to Egypt because suspected to bring weapons to ISIS in Derna, Libya. Ankara protests. Libya Herald, 26th November 2015: Kobler goes to UAE from Qatar seeking support for Libya Dialogue deal By Libya Herald reporter. UN Special Libya Envoy Martin Kobler with UAE Minister of State for Foreign Affairs Anwar bin Mohammed Gargash (Photo: WAM) Benghazi, 26 November 2015: Following talks yesterday in Qatar, UN Special Envoy Martin Kobler was in Abu Dhabi today to discuss the Libya crisis with the UAE government. In a low-key meeting, he discussed the latest Libya developments and the state of the UN-brokered Libya Dialogue negotiations with the UAE’s Minister of State for Foreign Affairs, Anwar bin Mohammed Gargash. He did not meet with UAE foreign minister Sheikh Abdullah bin Zayed bin Sultan Al Nahyan despite the latter’s presence in Abu Dhabi. Both Qatar and the UAE officially support the UN efforts and the planned Government of National Accord. Both are also significant players in the crisis, seen as using it as a proxy for their own rivalries, with Qatar supporting and exercising influence with the powers in Tripoli and the Muslim Brotherhood, and the UAE with the House of Representatives and the Thinni government which it appointed. The appointment of former UN Libya envoy Bernardino Leon as the head of the UAE’s new diplomatic academy following several months of discussions about the job has also played into the hands of those in Libya who claim that the international community has been using the country for its interests. In Libya, the appointment is also seen as having damaged the UN’s credibility as an impartial broker in the crisis. Libya Herald, 26th November 2015: No international solution to Libya’s problems mayors meeting in Ghariyan told www.sissu.it By Libya Herald reporter. Tripoli, 26 November 2015: The solution to Libya’s divisions has to come from Libyans themselves and cannot involve the international community, a meeting of mayors, municipal representatives and other political figures declared in Gharian today. The meeting, called by Ghariyan municipal council to find a Libya solution to Libya’s problems, included representatives from municipalities in Libya, mainly from the west as well as members from the General National Congress and the Khalifa Ghwell government in Tripoli, tribal leaders and representatives of a number of civil society organisations. Officials said that those attending included representatives from Benghazi and Tobruk municipal councils as well as from Khalifa Hafter’s Operation Dignity. However, there were no known names from any of them, nor from the House of Representative or the Beida government. At the meeting, there was agreement that Libya had problems and that Libyans had to take part in dialogue and to reconcile with one another, but there were no concrete proposals as to how this should be done. Some of mayors and representative from the south of the country were unable to attend. They had been in Tunis for a meeting and because of the restrictions on flights out of it following Tuesday’s suicide bomb, they were unable to fly back to Libya in time. Huffington Post, 11.12.2015: Libia, intesa Tripoli-Tobruk: "Accordo per governo di unità nazionale il 16 dicembre". Lavrov loda sforzo italiano L'Huffington Post | Di Giulia Belardelli Pubblicato: 11/12/2015 16:56 CET Aggiornato: 3 ore fa Le delegazioni di Tobruk e Tripoli hanno raggiunto un'intesa per firmare il 16 dicembre l'accordo per un nuovo governo di unità proposto dall'Onu. Lo hanno annunciato i due capi delegazione nel corso di una conferenza stampa a Tunisi, secondo quanto riporta l'agenzia di stampa Reuters. La notizia arriva mentre a Roma il ministro degli Esteri russo, Sergej Lavrov, ribadisce l'appoggio di Mosca a qualsiasi “sforzo” prodotto dall'Italia per contrastare l'Isis e raggiungere un accordo tra le parti libiche. www.sissu.it L'accelerazione che arriva da Tunisi modifica le prospettive della conferenza internazionale sulla Libia convocata a Roma e fortemente voluta, oltre che dall'Italia, da Usa e Nazioni Unite. Dopo circa un anno di inutili tentativi, le delegazioni dei due governi libici avrebbero acconsentito a un'intesa per un governo di unità nazionale in tempi strettissimi. Dietro l'accelerazione c'è sicuramente l'espansione dell'Isis in Libia, su cui ci sono informazioni contrastanti ma che comunque non può non preoccupare in primo luogo i libici. Ora bisognerà vedere cosa prevede esattamente l'intesa. Il ministro degli Esteri Paolo Gentiloni, che oggi ha incontrato il collega Lavrov in occasione della Conferenza Med – Mediterranean Dialogues, ha spiegato che l'obiettivo è creare un governo di unità nazionale “con il massimo consenso possibile”, lasciando tuttavia aperta la possibilità a un 10% di scontenti. “Non ho mai visto un accordo che raggiunga il 100% dei consensi”, ha detto. “Speriamo di ottenere il massimo, magari il 90%”. Una prospettiva su cui la Russia avanza però le sue perplessità. Lavrov, infatti, ha sottolineato l'importanza di non escludere nessuna parte libica dal compromesso. “Spetta ai libici il compito di instaurare un dialogo inclusivo. La comunità internazionale può creare le condizioni perché questo dialogo avvenga, ma non può risolvere la questione dall'esterno. Abbiamo provato a farlo in Yemen, quando tutti gli attori esterni erano d'accordo, ed è stato un fallimento. Non possiamo fare lo stesso errore in Libia”, ha sottolineato Lavrov. C'è poi il tema delle sanzioni, su cui Mosca è inevitabilmente critica. “Sento che alcuni vorrebbero ignorare le persone scelte come leader a Tripoli e Tobruk, costituire dei gruppi su posizioni analoghe e dichiarare che questi gruppi sono le forze sane della Libia, escludendo tutti gli altri. Ci sono tentativi di inserire nella discussione l'idea di sanzionare chi non accetta un compromesso. È un approccio molto rischioso, quando si usano sanzioni per sostituire la diplomazia si sbaglia sempre. In Libia non dobbiamo permetterlo”. Le Monde, 13.12.2015: Libye : vers la formation d’un gouvernement d’union Le Monde.fr avec AFP Le 11.12.2015 à 15h58 • Mis à jour le 11.12.2015 à 16h05 S'abonner dès 1 € Réagir Classer Partager (498) Tweeter L’accord marquera-t-il le début d’une sortie de crise dans le chaos libyen qui ravage le pays depuis la chute de Kadhafi ? Les représentants des Parlements rivaux libyens signeront le 16 décembre l’accord parrainé par l’ONU, qui prévoit la formation d’un gouvernement d’union pour sortir la Libye du conflit, ont www.sissu.it affirmé vendredi 11 décembre des membres des deux camps réunis à Tunis sous l’égide des Nations unies. « La signature de l’accord politique aura lieu le 16 décembre », a précisé à la presse Salah AlMakhzoum, un responsable du Parlement de Tripoli, la capitale libyenne. L’information a été confirmée par un responsable du Parlement rival de Tobrouk (est) – le seul reconnu internationalement –, Mohamed Chouaib. Il a ensuite précisé que cette signature aurait « probablement » lieu au Maroc. Lire aussi : La Libye incapable de surmonter ses divisions Deux autorités se disputent le pouvoir La Libye est plongée dans le chaos depuis la chute du dictateur Mouammar Kadhafi, en 2011. Deux autorités politiques se disputent le pouvoir depuis l’an dernier, l’une dont le siège est à Tripoli, et l’autre, la seule reconnue internationalement, dans l’est du pays. De nombreux pays qui s’alarment de la montée en puissance de l’organisation djihadiste Etat islamique en Libye ont insisté sur l’urgence de trouver une solution au conflit dans ce pays. EGYPT 25 January: manifestation in the street for more justice; police represses and a lady, Shaimaa el Sabagh, is killed (http://www.aljazeera.com http://english.alarabiya.net ). “Decisive Storm” is the name of the military operation that President al-Sissi is doing in Yemen against Haithi. 2 February: Peter Greste and Fadel Fahmy, two al-Jazeera journalists, have been freed in Cairo after their imprisonment in 2013 under the accuse to have helped Muslim Brotherhood. Egypt, 15th March, the economic summit of Sharm el-Sheik has a politcal meaning, since the Sunni world proclaims Egypt as its defender against ISIS and Iran altogether. 17 May, ex President Morsi is condemned to death. Al Ahram www.sissu.it Egypt court issues preliminary death sentence to Morsi in 'jailbreak case' Court sent its initial ruling of death against Morsi on charges of murder and attempted murder in 2011 prison escape case to grand mufti for review Ahram Online , Saturday 16 May 2015 File Photo: Ousted president Mohamed Morsi (Photo: Reuters) Related PHOTO GALLERY: Morsi and co-defendants in court on ruling day 3 judges, driver killed in gun attack in Egypt's North Sinai Hamas condemns Egyptian death sentences for its members Amnesty calls Morsi death sentence bid in Egypt 'a charade' Cairo Criminal Court on Saturday issued a preliminary death sentence to former Islamist president Mohamed Morsi and 105 other defendants in the trial known in the Egyptian media as the Natroun jailbreak case. The court has sent its decision in the Natroun case to the country's grand mufti, a senior Muslim cleric, for a consultative review as required by Egyptian law, setting 2 June as a date for a final verdict. The court also issued a preliminary death sentence to Brotherhood leaders Mohamed El-Beltagy and Khairat El-Shater along with 14 others in the trial known as the "Hamas espionage case." www.sissu.it The court also sent its decision in this case to the grand mufti for a consultative review. The deadline for a final verdict is also 2 June. In the Natroun jailbreak case, the prosecution charged Morsi and co-defendants with damaging and setting fire to prison buildings, murder, attempted murder, looting prison weapons depots and releasing prisoners. The prisoners, who broke out of jail in 2011, include members of the Palestinian Hamas movement, Lebanon's Hezbullah, jihadists, Muslim Brotherhood members and varied criminals, according to the prosecution. Prosecutors also said that over 800 fighters from Gaza had infiltrated Egypt, using RPGs and heavy armaments to storm three prisons, abducting four policemen and killing several others, along with inmates. In the espionage case, prosecutors had charged Morsi and 35 others with conspiring with foreign powers — including the Palestinian Islamist group Hamas, Lebanon's Hezbullah and Iran's Revolutionary Guard — to destabilise Egypt. The court did not on Saturday issue a ruling against Morsi and 18 others in the case and scheduled the announcement for 2 June, suggesting that the former president, unlike those sentenced to death in the case today, will not receive a death sentence in this case. Mufti to consider death verdicts Although the grand mufti's opinion is non-binding on the court, Egyptian judges have traditionally adjusted their final rulings in accordance with the mufti's recommendations. In March 2014, a Minya court issued preliminary death sentences against 529 Morsi supporters who were accused of murder and attempted murder, referring the verdict to the mufti for consultation. Following the mufti's refusal to approve the sentences, the court issued a final verdict sentencing only 37 defendants to death and 492 to life in prison. In April 2014, the same court issued preliminary death sentences against 683 Morsi supporters who were accused of murder and attempted murder, referring the verdict to the mufti. Once again, following the mufti's objections, court issued a final ruling of capital punishment against only 183 of the defendants. The defendants retain the right to appeal any final verdict. Both Minya verdicts were recently overturned by appeal courts which ordered a new trial. First death sentence for an Egyptian president Saturday's capital punishment ruling against Morsi makes him the first president in Egypt's history to face the possibility of death by hanging if the court ratifies its initial decision on 2 June or if he loses a planned appeal. www.sissu.it Morsi has been charged with a number of offences since his ouster in 2013, and has received a number of sentences. In April he was sentenced to 20 years in prison for inciting violence and ordering the arrest and torture of demonstrators during the December 2012 clashes between his supporters and opponents. Other leading Brotherhood figures sentenced to death on Saturday in the espionage case include Mahmoud Ezzat, who is not in custody. Ezzat has been acting Brotherhood leader since August 2013, following the arrest of Supreme Guide Mohamed Badie. Other Brotherhood leaders sentenced to death in the jailbreak case include Islamist preacher Youssef El-Qaradawi, who resides in Qatar; Supreme Guide Mohamed Badie; former speaker of the house Saad El-Katatni; and vice president of the Brotherhood's Freedom and Justice Party Essam El-Erian. In April also, Brotherhood supreme guide Mohamed Badie, Omar Malek, the son of leading Brotherhood member and businessman Hassan Malek, as well as leading member Saad El-Husseiny were among fourteen Islamists who received the capital punishment in a separate murder trial. The verdict in this case has been appealed. Hundreds of members of the Brotherhood, which was banned a few months after Morsi's ouster, face trials on various criminal charges including murder, attempted murder, inciting violence and breaking the protest law. Critics respond Leading Muslim Brotherhood member and a former minister under Morsi, Amr Darrag, quickly condemned the verdict and called on the international community to take action. "This is a political verdict and represents a murder crime that is about to be committed, and it should be stopped by the international community," Darrag, co-founder of the dissolved Freedom and Justice Party, the political wing of the Muslim Brotherhood, told Reuters in Istanbul. The National Alliance to Support Legitimacy, a pro-Morsi coalition, issued a statement following the verdict saying that they "reject the principle of prosecuting the country's elected president Mohamed Morsi." The statement added that the charge of espionage should be directed instead at the "leaders of the military coup", who it claimed "jeopardised Egypt's security in favour of Israel." Palestinian Hamas, the sister organisation of Egypt's Brotherhood, condemned the death sentences meted out against a number of its members in the jailbreak case, describing the verdicts as "unfortunate and shocking." Hamas spokesman Sami Abu-Zuhri said in a statement that the verdict was based on "false information", adding that some of the convicted had died before the Egyptian revolution such as www.sissu.it "martyrs Tayseer Abu-Senema and Hossam El-Sanea," while others have been in the "prisons of the occupation for years," such as Hassan Salama, who has been imprisoned for 19 years in Israel. Turkish President Recep Tayyip Erdogan also condemned the death sentence handed out to Morsi, saying it was like a return to "ancient Egypt", AFP reported. "The popularly-elected president of Egypt... has unfortunately been sentenced to death. Egypt is turning back into ancient Egypt," Erdogan said at a rally in Istanbul, accusing the West of "turning a blind eye" to what he described as the 2013 coup that ousted Morsi. Hurriyetdailynews.com, 8th November 2015: Investigators of the Russian plane crash in Egypt are “90 percent sure” the noise heard in the final second of a cockpit recording was an explosion caused by a bomb, a member of the investigation team told Reuters Nov. 8, as countries increased their efforts to get their stranded citizens out of Egypt. “The indications and analysis so far of the sound on the black box indicate it was a bomb,” said an Egyptian investigation team member, who asked not to be named due to sensitivities. “We are 90 percent sure it was a bomb.” Asked to explain the missing 10 percent, the investigator said: “I can’t discuss this now.” Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL) militants fighting security forces in Egypt’s Sinai Peninsula have said they brought down the Airbus A321, which crashed 23 minutes after taking off from the resort of Sharm al-Sheikh a week ago en route to St. Petersburg, killing all 224 passengers. The crash prompted airliners to cancel their scheduled flight to Sharm al-Sheikh. Turkish Airlines (THY) in a statement yesterday said all flights to the resort until Nov. 16 have been canceled and a “plan for the evacuation of the passengers who are still at Sharm El Sheikh will be shared later.” Russian Deputy Prime Minister Arkady Dvorkovich told reporters at a Moscow airport Nov. 8 that some 11,000 Russian tourists had been repatriated in the previous 24 hours, AFP reported. “Today is the busiest day in this sense,” he said, adding that more people were set to return home later Nov. 8. The Kremlin has insisted the decision to suspend flights does not mean Moscow believes the crash was caused by a deliberate attack. But Dvorkovich said Russia was sending experts to inspect Egypt’s airports to see if security needed to be beefed up there. www.sissu.it Britain has also started flying out some of the 20,000 of its nationals estimated to have been in Sharm el-Sheikh at the time of the crash. A British official said on Nov. 7 it could take 10 days for all British tourists to be flown home. Britain’s foreign minister yesterday said the government would push for higher security at foreign airports in risky areas even if it meant extra delays for passengers. “What we’ve got to do is ensure that... airport security reflects local conditions,” Philip Hammond told the BBC. “Where there’s a local higher threat, that will mean higher levels of security are required and that may mean additional costs and may mean additional delays at airports.” Efforts will be focused on areas where ISIL militants are known to operate if news reports are confirmed that they were behind the crash. “If this turns out to be a device planted by an ISIL operative, or by somebody inspired by ISIL, then clearly we will have to look again at the level of security we expect to see in airports in areas where ISIL is active,” Hammond said. ISIL militants fighting security forces in Egypt’s Sinai Peninsula have said they brought down the aircraft as revenge for Russian air strikes against Islamist fighters in Syria, where ISIL controls large areas in the east and north of the country. They said they would eventually tell the world how they carried out the attack. If the group was responsible, it would have carried out one of the highest profile killings since alQaeda flew passenger planes into New York’s World Trade Center in September 2001. On Nov. 7, security officials said Egypt was checking video footage at Sharm al-Sheikh airport for any suspicious activity linked to the crash, the clearest sign yet that Cairo suspects it could have been targeted by militants. November/08/2015 Scambio di accuse reciproche fra Russia, Egitto e UK, che hanno rimpatriato i loro turisti. AlAhram, 22 november 2015: Egypt among 10 worst countries in gender equality: Report www.sissu.it There has been no progress in regards to political empowerment for women in Egypt since 2006 according to the global report Ahram Online , Sunday 22 Nov 2015PrintSend Egyptian women carry banners in Arabic that read:"Social justice," as they march to Cairo's central Tahrir Square to celebrate International Women's Day, March 8, 2011 (Photo: Reuters) Related Egyptian women in parliament polls: Hopes and hurdles Egypt pardons 42 indebted women Women's protest outside Cairo's Ittihadeya for prisoners' release 85 pct of Egyptian women are overweight: 2014 EDHS Egypt ranks 136th out of 145 countries in gender equality in the world after Saudi Arabia, Kuwait and the United Arab Emirates (UAE), according to the Global Gender Gap report 2015. The Global Gender Gap report, which marks its tenth year in 2015, was first introduced by the World Economic Forum in 2006 as a framework for capturing the magnitude of gender-based disparities and tracking their progress among the thresholds of political economic, education, and health. This year highlights a worse decline in the status of women as Egypt ranked 129th out of 142 countries according to the Global Gender Gap index in 2014, and 125th out of 136 countries in 2013. Egypt ranks the worst on the political empowerment of women (136). There has been no progress in regards to political empowerment since 2006. On the three remaining thresholds, Egypt ranks 125 on economic participation and opportunity, 115 on education attainment, and 97 on health and survival. www.sissu.it In the Middle East and North Africa region, Kuwait ranked 117th overall, followed by the UAE, Qatar, Bahrain and Tunisia. Yemen is the lowest-ranked country in the index, which at 145th, has remained at the bottom of the index since 2006 but has significantly improved relative to its own past scores. With no country able to close the gender gap, Nordic countries, with Iceland on top, then Norway, Finland and Sweden consecutively, dominate as the most gender equal states. Sweden, which ranks 4th on the Global Gender Index, prides itself on being the first feminist government in the world as it carries out a gender equality analysis early in the decision-making process. Al Ahram,22nd November 2015: Egypt's defence minister and US congressmen discuss combating terrorism The delegation is headed by Republican Congressman Rob Wittman, the chairman of the house armed services committee Ahram Online , Sunday 22 Nov 2015 Egypt's Defence Minister Sedky Sobhi (Photo: Ahram) Related Egypt's Sisi talks counter-terrorism efforts, military relations with US congressional delegation Egypt’s Sisi invites US Congress delegation to observe parliamentary polls www.sissu.it Obama administration harshly criticizes Egypt in report to Congress El-Sisi, defence minister meet US congressmen to discuss security Egypt's Defence Minister Sedky Sobhi met on Sunday with a United States Congress delegation in Cairo, where they discussed regional developments and international efforts to combat terrorism. The delegation, headed by Republican Congressman Rob Wittman, the chairman of the house armed services committee, expressed their appreciation of Egypt's efforts to create balance and stability in the region. The congressmen also met with President Abdel-Fattah El-Sisi on Saturday. During their meeting, El-Sisi praised the resumption in March of US military aid to Egypt, which was temporarily halted following the ouster of Islamist president Mohamed Morsi in July 2013. Al Ahram, 22nd November 2015: Egypt's Sisi reiterates importance of fighting radicalism to Muslim Council of Elders President El-Sisi underlined that Al-Azhar, the highest seat of in Sunni Islam, has a key role to play in countering extremism and developing a moderate religious discourse Ahram Online , Sunday 22 Nov 2015 Print Send www.sissu.it President El-Sisi with the members of Muslim Council of Elders at Egyptian presidency in Cairo (Photo: Egyptian Presidency) Related Egypt harshly condemns Paris 'terrorist' attacks, says terrorism has no border nor religion Egypt's President Abdel-Fattah El-Sisi met in Cairo Saturday with members of the Muslim Council of Elders to underline the role of Al-Azhar — the highest institution in Sunni Islam — in fighting radicalism, the Egyptian presidency announced. According to Egyptian presidency spokesperson Alaa Youssef, President El-Sisi stressed during his meeting with members of the council the urgency for Muslims to stand united in order to face terrorism. The Muslim Council of Elders is an international independent organisation made up of mostly Sunni Muslim scholars. The council consists of 13 Sunni scholars and Sheikhs and one Shia scholar from Lebanon. Based in the United Arab Emirates, the organisation, which was founded in 2014 to spread the spirit of dialogue and coexistence, is headed by Sheikh Ahmed El-Tayeb, the Grand Imam of Al-Azhar. The organisation's main message "is to restore the role of scholars and to use their expertise and knowledge to improve Muslim societies by helping to eliminate causes of tension and division." El-Sisi asserted that misguided religious concepts of some groups are the true reason behind radicalism and terrorism. He emphasised that Al-Azhar has a key role in the renewal of religious discourse, a theme the president has repeated in recent months. The Muslim Council of Elders had held an urgent meeting in Cairo earlier on Saturday upon an invitation from Sheikh El-Tayeb. During the meeting, El-Tayeb condemned all "terrorist" acts, asserting that terrorism has no nationality and calling for a moderate religious rhetoric. www.sissu.it In January, El-Sisi said during the World Economic Forum held in Switzerland that the tolerant nature of Islam was not clear to the world because of terrorism. El Pais, 23rd November 2015: Economía y yihadismo amenazan la consolidación de Al Sisi en Egipto Los ciudadanos dan la espalda a las urnas en las legislativas tras el golpe militar La huida del turismo golpea a la frágil economía de Egipto Juan Carlos Sanz El Cairo 23 NOV 2015 - 10:06 CET Votación de las legislativas en un colegio electoral en El Cairo. / KHALED DESOUKI (AFP) Egipto celebra con aparente apatía este domingo y lunes la segunda fase de las elecciones legislativas, en 13 de las 28 provincias del país. En la primera, que se desarrolló en octubre, casi tres cuartas partes de los electores dieron la espalda a las urnas. El mariscal Abdelfatá al Sisi, que encabezó el golpe de Estado en 2013 contra el Gobierno de los Hermanos Musulmanes, pretende cerrar con estos comicios un ciclo de consolidación en el poder, tras su elección como presidente en 2014. Pero la crisis económica que golpea a los casi 90 millones de ciudadanos y el auge del terrorismo, sobre todo en la península del Sinaí, amenazan la viabilidad del proyecto político de Al Sisi, que derrocó al islamista Mohamed Morsi, el primer líder democráticamente elegido en la historia egipcia, con la promesa de devolver el progreso y la estabilidad a Egipto. www.sissu.it La foto de familia de julio de 2013, tomada de un vídeo de la televisión estatal, sigue siendo la imagen del golpe de Estado militar en Egipto. Al Sisi preside la escena desde un atril con la boina de teniente general calada, flanqueado por los altos mandos de las Fuerzas Armadas, los dirigentes religiosos del país --el gran imán de Al Azhar y el papa copto--, los salafistas de Al Nur —que secundaron el pronunciamiento con la esperanza de arrebatar a la Hermandad la hegemonía política islamista— y algunos independientes como Mohamed el Baradei, exdirector del OIEA y candidato favorito de Occidente, aunque no de los egipcios, para dirigir el Estado más poblado del norte de África. Salvo los mandos castrenses y los jefes religiosos, casi todos los personajes de la imagen han desaparecido de la escena o han perdido peso político, mientras la propia imagen de Al Sisi comienza a difuminarse. Las inundaciones de Alejandría, que se cobraron a finales de octubre 17 muertos en la segunda ciudad del país, son una buena imagen de la ineficiencia del Estado. Sus calles suelen anegarse cada año con las primeras lluvias a causa del mal estado de las anticuadas redes de saneamiento. La policía detuvo, sin embargo, a varios seguidores de los Hermanos Musulmanes, acusados de haber taponado los desagües. Las expectativas de los egipcios de contar con un gestor militar competente bajo un régimen que garantice la seguridad no se han cumplido y los ciudadanos no parecen tener interés en depositar su voto. “El propio sistema electoral desincentiva la participación”, destaca un diplomático europeo en El Cairo. Es la tercera vez que los egipcios eligen Parlamento desde 2010, los últimos comicios convocados por el régimen de Hosni Mubarak, pero el país también lleva tres años sin Parlamento, ya que el Tribunal Supremo disolvió en 2012 el Legislativo democráticamente elegido que controlaban los Hermanos Musulmanes. La elevada abstención fue la nota dominante de la primera fase de los comicios legislativos, celebrados en octubre en 14 de las 27 provincias del país, con una tasa oficial del 26,56% de participación, frente al 55% de 2012. Además de celebrarse en dos periodos territoriales, los electores están convocados a las urnas durante dos días laborales consecutivos, y con un sistema electoral a dos vueltas (la segunda ronda de esta segunda fase está prevista para los días 1 y 2 de diciembre). Para añadir aún más complejidad, se produce una doble votación: una por listas de partidos, en el que el más votado se lleva todos los escaños en liza, que tienen por escenario cuatro distritos nacionales (para asignar 120 diputados en total) y otra de candidatos individuales (448 diputados) para las circunscripciones provinciales. El presidente egipcio se reserva además el derecho a designar directamente a 28 legisladores (un 5% del total) en el nuevo Parlamento unicameral. Los analistas políticos coinciden en destacar que se ha producido un regreso al modelo de la era de Hosni Mubarak, en la que grandes empresarios y caciques territoriales se repartían los escaños para proteger sus intereses. El portal digital Al Monitor ha revelado que la Comisión Electoral egipcia recibió en la primara vuelta numerosas denuncias por compra de votos, una práctica desparecida en Egipto desde los comicios de 2010, con sobornos de entre 50 libras egipcias (algo menos de seis euros) y 700 libras. Los resultados provisionales de la primera fase de las legislativas han resaltado la escasa pluralidad de candidaturas, después de que alianza de partidos de izquierda decidiera no presentarse a las www.sissu.it urnas, y por el boicoteo de los seguidores de los Hermanos Musulmanes tras la ilegalización de su partido. La coalición Por Amor a Egipto (sic), un conglomerado que recuerda a la Unión de Centro Democrático (UCD) de la transición política española, ha acaparado todos los escaños (60) en las listas de partidos, y buena parte de los individuales, seguida por los liberales del Partido de los Egipcios Libres, (36), el Partido del Futuro de la Nación (30), y del histórico Wafd (17). Los salafistas de Al Nur, se han visto reducidos mientras tanto a solo 11 escaños, después de haber sido la segunda fuerza más votada (con el 22% los sufragios) en 2012, tras la ahora proscrita Hermandad, que obtuvo la mitad de los escaños. Después de haber apoyado el golpe de Al Sisi en 2013, esta fuerza islamista rigorista, sufre un devastador revés. Nader Bakkar, su portavoz, ya había reconocido en declaraciones a Al Monitor, que la imagen de su partido es ahora “negativa” después de haber cometido “errores”. Las cartas están echadas. A nadie parece preocuparle la composición de un hemiciclo que se definirá ante todo por su lealtad a Al Sisi. Como primera medida, el nuevo Parlamento contará solo dos semanas para validar los más de 170 decretos leyes con los que Al Sisi ha estado gobernando hasta ahora, incluyendo una estricta legislación antiterrorista, en ausencia de Parlamento. Algunos de los diputados electos en la primera fase ya se han pronunciado a favor de la ampliación del mandato presidencial de cuatro a cinco años y por aprobar más de una reelección consecutiva del jefe del Estado.“Hay un sentimiento generalizado de desilusión con un sistema electoral que ha alejado a los ciudadanos de los colegios electorales tras siete votaciones en cinco años”, reflexionaba el escritor y analista Yehia el Gammal en un artículo publicado por el Instituto Tahrir de Política en Oriente Próximo. Ragia Omran es abogada del periodista y activista de los derechos humanos egipcios Hossan Bahgat, fundador de la Iniciativa Egipcia por los Derechos de la Persona, que permaneció detenido durante tres días la semana pasada por la jurisdicción militar. Esta letrada asegura que la situación de los derechos humanos en Egipto es peor ahora que en 2011, cuando estallaron las revueltas contra el régimen de Hosni Mubarak. “Bahgat está pendiente de que el fiscal militar presente una acusación formal con él. Fue conducido en un furgón con los ojos vendados. Quedó en liberad tras una protesta formal de la ONU”, precisa. El periodista arrestado había publicado una información sobre un proceso abierto a varias decenas de oficiales acusados de integrar una trama golpista contra el presidente Al Sisi. “Cualquiera que informe sobre la situación del Ejército es susceptible de ser encausado por los tribunales militares”, recuerda Omran. Organizaciones humanitarias internacionales han advertido de que su detención ha supuesto una “intimidación directa a los periodistas para que vean limitada su libertad de expresión”. El propietario del mayor diario privado del país Al Masri al Yum, Salah Diab, también fue arrestado, acusado de irregularidades urbanísticas, después de que su periódico se hubiese alejado de su tradicional línea de apoyo al poder. “La oposición liberal, los Hermanos Musulmanes… cualquier expresión de disidencia es sistemáticamente reprimida con medidas draconianas”, subrayan fuentes occidentales en El Cairo. “Las cárceles egipcias se llenaron con más de 40.000 detenidos tras el golpe militar de 2013”, www.sissu.it explica la abogada Omran. “Ahora se estima en 20.000 el número de presos políticos, en su mayoría de la Hermandad. Apenas tienen unas pocas mantas para pasar el invierno”. Como cada año desde los acuerdos de paz de Camp David, el Congreso de EE UU acaba de aprobar un presupuesto de 1.300 millones de dólares (1.220 millones de euros) en ayuda militar a Egipto, a pesar de las reservas expresadas por algunos congresistas sobre el acoso a la disidencia política y religiosa y a los periodistas. La ayuda se interrumpió en 2013 tras el golpe militar y se reanudó el pasado mes de marzo. Egipto es el segundo beneficiario de ayuda militar de Estados Unidos después de Israel. Entre ambos países acaparan un 75% del presupuesto norteamericano de cooperación militar. A pesar de la preocupación de la Casa Blanca sobre la situación los Derechos Humanos, Egipto cobra nueva relevancia internacional. La inseguridad revela puntos débiles de la presidencia del Al Sisi, tras el aumento de la actividad insurgente en el Sinaí, la muerte de ocho turistas mexicanos por disparos del Ejército egipcio, y por el atentado terrorista atribuido al Estado Islámico contra un avión ruso con 224 ocupantes que había despegado del centro turístico del mar Rojo de Sharm el Sheij. Al Sisi impuso la prioridad de la estabilidad y la seguridad sobre la democracia, pero ha retrocedido en ambos campos. Un descubrimiento a todo gas El reciente descubrimiento por la empresa italiana ENI de un gran yacimiento de gas en el Mediterráneo oriental, en el lecho marino bajo aguas territoriales de Egipto, puede suponer la autosuficiencia energética para el país, que ya es un mediano productor de petróleo, con unos 700.000 barriles diarios, del tamaño de Argentina. Pero la mayor parte del crudo se quema para generar energía eléctrica, a falta de otras fuentes alternativas. Este combustible podrá dedicarse ahora a la exportación y a aliviar la escasez de divisas en la economía egipcia tras su sustitución por el gas natural. Con una renta per cápita 3.500 dólares, la pobreza de los ciudadanos contrasta con los grandes proyectos multimillonarios del presidente Al Sisi, como la ampliación del canal de Suez. La crisis económica se ve agravada por el desplome del sector del turismo, que representa más del 12% el PIB. La amenaza del terrorismo obliga además a una costosa movilización policial y militar permanente, mientras la corrupción que corroe una Administración con unos ocho millones de empleados. Ya hay analistas que alertan del riesgo de que Egipto pueda convertirse en un Estado fallido, y de que se genere una estampida de inmigración económica hacia Europa. La mitad de la población egipcia tiene menos de 25 años. Una fuente de la Comisión Europea destaca que la estrategia política de vecindad, que implica apoyo económico a los países del sur de Mediterráneo, basada en el principio “más por más”, esto es mayores ayudas conforme más amplias sean las reformas, se ha trastocado en Egipto en “más por menos”. “La policía y el sistema judicial han constituido junto con los servicios de inteligencia militar un Estado profundo sobre el que se mantiene a flote Al Sisi sin llegar a ejercer un control directo”. www.sissu.it Europa After the end of Mare Nostrum operation, the European Union established a less powered program named Triton. It is not sufficient to guarantee the survival of people who, in any case, try to reach Europe. On 9th February 300 people died in front of Sicily coasts. EU estimates that Russia sanctions cost around two posts of job in Europe. Eurydice acaba de publicar un informe titulado “Assuring Quality in Education: Policies and Approaches to School Evaluation in Europe” en el que analiza la evaluación escolar en primaria y secundaria obligatoria en los países de la UE, Noruega, Islandia, Macedonia y Turquía. En el informe se analizan tanto la evaluación externa como interna. El informe completo en inglés en formato pdf se puede descargar desde la siguiente URL: http://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/documents/thematic_reports/178EN.pdf Un resumen del mismo es accesible en : http://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/documents/thematic_reports/178EN_HI.pdf Jaap Dronkers & Silvia Avram (2015). What can international comparisons teach us about school choice and non-governmental schools in Europe? Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 118132. Michael S. Merry (2015). The conundrum of religious schools in twenty-first-century Europe Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 133-156. www.sissu.it Marcel Maussen & Veit Bader (2015). Introduction Non-governmental religious schools in Europe: institutional opportunities, associational freedoms, and contemporary challenges. Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 1-21. Eurydice acaba de publicar un nuevo informe comparado. Se trata de un informe que analiza las estructuras y organización de la evaluación de los centros de primaria y secundaria obligatoria de todos los Estamos Miembros de la UE, así como Islandia, Noruega, la Antigua República Yugoslava de Macedonia y Turquía. La evaluación de los centros educativos se considera una herramienta fundamental para realizar el seguimiento y mejorar la calidad, no solo de los centros educativos mismos, sino del sistema educativo en general. El informe analiza los dos modelos principales de evaluación de centros: la evaluación externa y la evaluación interna. Además, incluye una descripción nacional de cada uno de los países y un análisis comparado general sobre la evaluación de centros en Europa. Se puede acceder al informe y a su correspondiente folleto informativo en el siguiente enlace: La garantía de calidad de la educación: políticas y enfoques de la evaluación de centros en Europa <http://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/documents/thematic_repor ts/178EN.pdf> Folleto informativo sobre Evaluación de centros en Europa <http://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/documents/thematic_repor ts/178EN_HI.pdf> Recientemente se ha publicado un informe sobre “La Justicia Social en la Unión Europea”. http://www.sgi-network.org/docs/2014/basics/Social_Justice_in_the_EU_2014.pdf En el mismo se crea un “índice de Justicia Social” a partir de 6 indicadores: Prevención de la pobreza Educación equitativa Acceso al mercado laboral Cohesión social y no discriminación www.sissu.it Salud Justicia Intergeneracional Excelente fuente de información para conocer la realidad, denunciarla y transformarla. Red Europea de Información sobre la Educación Eurydice, acaba de publicar un informe sobre educación y formación de adultos, titulado “Adult Education and Traning in europe: widening Access to Learning Opportunities” De momento el informe está sólo accesible en inglés. Desde la siguiente URL se puede acceder al informe completo, a las fichas de cada país, al resumen ejecutivo y a una edición en formato Epub: http://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/thematic_reports_en.php Thorel, Jerome (Janvier 2015). Privés de vie privée. Le Monde diplomatique, Janvier 2015. 09.02.2015: Hervé Falciani, ex-technician of HSBC Swiss Bank, publishes the names of a secret list of very rich people who hide their money not to pay taxes in their own countries (swissleaks): www.icij.org ) Halimi, Serge (Février 2015). Choisir ses combats. Le Monde diplomatique, Février 2015. Sur la crise en Grèce et Espagne et au meme temps les attentats terroristes en France de janvier 2015. EUROPE: March, ECB, led by Mario Draghi, does the quanttatve easing, like the FED in 2009. This couple the Juncker plan for investment of 200 billions of Euros. Immigrants they are growing in number drastcally in these months. Frontex and Triton are the reduced European programmes to welcome them. EUROPE: Juncker launches the idea of an only Army for Europe – all European leaders agree. Lassalle Gregory (2014). L’Aventure. Les migrants africains sur la route de l’Europe. Paris: Non Lieu. Crozat D., Gauthier E. & Weber L., sous la dir de (2015). Europe unie, Europe divisée. Belleombe-enBauges: Croquant. [Le Monde diplomatique, Avril 2015. Gole N. (2015). Musulmans au quotdian. Une enquete européenne sur les controverses autour de l’islam. Paris: La Découverte. 17.04.2015: arrested Rodrigo Rato, ex-director of IMF (2004-2007) for fiscal fraud. www.sissu.it 20.04.2015: 950 migrants dye in front of Libya. EU policies for welcoming migrants are at odds. Pope Francis makes the enciclica about Nature. www.europa.eu Bruxelles, 13 maggio 2016 La Commissione europea ha presentato oggi un’agenda europea sulla migrazione in cui delinea le misure previste nell’immediato per rispondere alla situazione di crisi nel Mediterraneo e le iniziative da varare negli anni a venire per gestire meglio la migrazione in ogni suo aspetto. La situazione in cui versano migliaia di migranti che rischiano la vita per attraversare il Mediterraneo è sconvolgente ed è ormai evidente che nessuno Stato membro può né deve far fronte all’immane pressione migratoria da solo. L’agenda è una risposta europea che combina la politica interna ed estera, sfrutta al meglio agenzie e strumenti dell’UE e coinvolge tutti gli attori: Stati membri, istituzioni UE, organizzazioni internazionali, società civile, autorità locali e paesi terzi. Il primo Vicepresidente Frans Timmermans ha dichiarato: “La tragica perdita di vite umane nel Mediterraneo ha sconvolto tutti gli europei. I nostri cittadini si aspettano che gli Stati membri e le istituzioni dell’UE agiscano per impedire il ripetersi di simili tragedie. Il Consiglio europeo ha dichiarato esplicitamente che occorrono soluzioni europee, basate sulla solidarietà interna e sulla consapevolezza che abbiamo una comune responsabilità nel creare una politica migratoria efficace. Per questo la Commissione propone oggi un’agenda che rispecchia i comuni valori europei e dà una risposta ai timori che nutrono i nostri cittadini sia difronte a una sofferenza umana inaccettabile che rispetto all’applicazione inadeguata delle nostre norme comuni e condivise in materia di asilo. Le misure che proponiamo contribuiranno a gestire meglio la migrazione e a rispondere alle legittime aspettative dei nostri cittadini”. L’Alta rappresentante/Vicepresidente Federica Mogherini ha dichiarato: “È un’agenda audace quella con cui l’Unione europea ha voluto dimostrare di essere pronta ad affrontare la situazione disperata di coloro che fuggono guerre, persecuzioni e povertà. La migrazione è responsabilità condivisa di tutti gli Stati membri e tutti gli Stati membri sono chiamati ora a raccogliere questa sfida storica. Una sfida che non è solo europea, è globale: con l’agenda confermiamo e ampliamo la cooperazione con i paesi di origine e transito per salvare vite umane, combattere le reti di trafficanti e proteggere coloro che sono nel bisogno. Ma sappiamo tutti che una risposta reale, a lungo termine sarà possibile soltanto se affrontiamo le cause profonde, che vanno dalla povertà all’instabilità dovute alle guerre, fino alla crisi in Libano e in Siria. Come Unione europea, siamo impegnati e determinati a cooperare con la comunità internazionale”. www.sissu.it Il Commissario responsabile per la Migrazione, gli affari interni e la cittadinanza Dimitris Avramopoulos ha dichiarato: “L’Europa non può restare con le mani in mano. L’agenda europea sulla migrazione è la risposta concreta alla necessità immediata di salvare vite umane e assistere i paesi in prima linea con azioni coraggiose, come la maggior presenza in mare di navi coordinate da Frontex, i 60 milioni di EUR stanziati per gli aiuti di emergenza e un piano d’azione che dispone seri provvedimenti contro coloro che si arricchiscono sfruttando la vulnerabilità dei migranti. In uno spirito di maggiore solidarietà, siamo determinati a attuare un approccio globale che comporterà il miglioramento significativo della gestione della migrazione in Europa.” Azione immediata C’è consenso politico al Parlamento europeo e al Consiglio europeo attorno alla necessità, a seguito delle recenti tragedie del Mediterraneo, di mobilitare tutti gli sforzi e i mezzi a disposizione per agire immediatamente e impedire nuovi naufragi. Oggi la Commissione ha esposto le azioni concrete e immediate che intende intraprendere. Fra queste: Triplicare le capacità e i mezzi delle operazioni congiunte di Frontex, Triton e Poseidon, nel 2015 e nel 2016. È stato adottato oggi un bilancio rettificativo per il 2015 che assicura i fondi necessari: un totale di 89 milioni di EUR, comprensivo di 57 milioni per il Fondo Asilo, migrazione e integrazione e 5 milioni per il Fondo Sicurezza interna in finanziamenti di emergenza destinati agli Stati membri in prima linea, mentre entro fine maggio sarà presentato il nuovo piano operativo Triton. Proporre per la prima volta l’attivazione del sistema di emergenza previsto all’articolo 78, paragrafo 3, del TFUE per aiutare gli Stati membri interessati da un afflusso improvviso di migranti. Entro la fine di maggio la Commissione proporrà un meccanismo temporaneo di distribuzione nell’UE delle persone con evidente bisogno di protezione internazionale. Entro la fine del 2015 seguirà una proposta di sistema permanente UE di ricollocazione in situazioni emergenziali di afflusso massiccio. Proporre entro fine maggio un programma di reinsediamento UE per offrire ai rifugiati con evidente bisogno di protezione internazionale in Europa 20 000 posti distribuiti su tutti gli Stati membri, grazie a un finanziamento supplementare di 50 milioni di EUR per il 2015 e il 2016. Preparare un'eventuale operazione di politica di sicurezza e di difesa comune (PSDC) nel Mediterraneo volta a smantellare le reti di trafficanti e contrastare il traffico di migranti, nel rispetto del diritto internazionale. Prossime tappe: i quattro pilastri per gestire meglio la migrazione La crisi migratoria del Mediterraneo ha puntato i riflettori sui bisogni immediati ma ha anche rivelato tutta l’inadeguatezza della nostra comune politica migratoria. Guardando al futuro, l’agenda europea sulla migrazione sviluppa gli orientamenti politici del Presidente Juncker con una serie di iniziative coerenti e coese, basate su quattro pilastri per gestire meglio la migrazione in ogni suo aspetto (v. anche allegato). I quattro pilastri della nuova agenda sono i seguenti: www.sissu.it Ridurre gli incentivi alla migrazione irregolare, in particolare distaccando funzionari di collegamento europei per la migrazione presso le delegazioni dell’UE nei paesi terzi strategici; modificando la base giuridica di Frontex per potenziarne il ruolo in materia di rimpatrio; varando un nuovo piano d’azione con misure volte a trasformare il traffico di migranti in un’attività ad alto rischio e basso rendimento e affrontando le cause profonde nell’ambito della cooperazione allo sviluppo e dell’assistenza umanitaria. Gestire le frontiere: salvare vite umane e rendere sicure le frontiere esterne, soprattutto rafforzando il ruolo e le capacità di Frontex; contribuendo al consolidamento delle capacità dei paesi terzi di gestire le loro frontiere; intensificando, se e quando necessario, la messa in comune di alcune funzioni di guardia costiera a livello UE. Onorare il dovere morale di proteggere: una politica comune europea di asilo forte. La priorità è garantire l’attuazione piena e coerente del sistema europeo comune di asilo, promuovendo su base sistematica l’identificazione e il rilevamento delle impronte digitali, con tanto di sforzi per ridurne gli abusi rafforzando le disposizioni sul paese di origine sicuro della direttiva procedure; valutando ed eventualmente riesaminando il regolamento Dublino nel 2016. Una nuova politica di migrazione legale: l’obiettivo è che l’Europa, nel suo declino demografico, resti una destinazione allettante per i migranti; bisognerà quindi rimodernare e ristrutturare il sistema Carta blu, ridefinire le priorità delle nostre politiche di integrazione, aumentare al massimo i vantaggi della politica migratoria per le persone e i paesi di origine, anche rendendo meno costosi, più rapidi e più sicuri i trasferimenti delle rimesse. Contesto Il 23 aprile 2014, nel quadro della sua campagna per diventare Presidente della Commissione europea, Jean-Claude Juncker aveva presentato a Malta un piano in cinque punti sull’immigrazione con cui sollecitava maggiore solidarietà nella politica migratoria dell’Unione. Nell’assumere l’incarico di Presidente della Commissione europea, Jean-Claude Juncker ha affidato a un Commissario con competenza speciale per la Migrazione l’incarico di elaborare una nuova politica di migrazione; è questa una delle dieci priorità degli orientamenti politici in base ai quali il Parlamento europeo ha eletto la nuova Commissione. Sulla scorta di una proposta della Commissione europea, con la dichiarazione del Consiglio europeo del 23 aprile 2015 gli Stati membri hanno sancito l’impegno a agire rapidamente per salvare vite umane e intensificare l’azione dell’UE nel settore della migrazione. Pochi giorni dopo seguiva una risoluzione del Parlamento europeo. www.sissu.it Italia: la Repubblica: www.repubblica.it Vaticano, Abu Mazen in udienza da Papa Francesco Navigazione per la galleria fotografica 1 di 6 Immagine Precedente Immagine Successiva Slideshow www.sissu.it Condividi Il presidente palestinese ha infine salutato il pontefice dicendo "ci vediamo domani", quando a Piazza San Pietro ci sarà la celebrazione per la canonizzazione delle due suore nate nella Palestina ottomana dell'Ottocento: Marie Alphonsine Danil Ghattas di Gerusalemme e Mariam Baouardy (Maria di Gesù Crocifisso) della Galilea. "Questa canonizzazione dimostra che la Palestina non è una terra di guerra" ha detto il presidente palestinese in una nota diffusa oggi "la nostra Terra santa si è trasformata in un bastione di virtù per tutto il mondo. La Palestina non è una terra di guerra ma una terra di santità e virtù, come Dio voleva che fosse". www.sissu.it Il processo di pace tra Israele e Palestina e l'intesa raggiunta con il Vaticano sono stati i tempi al centro del colloquio. Nel corso dell'incontro, riferisce la Santa Sede, "è stata manifestata grande soddisfazione per l'intesa raggiunta sul testo di un accordo comprensivo tra le parti circa alcuni aspetti essenziali della vita e dell'attività della chiesa cattolica in Palestina, che sarà firmato in un futuro prossimo". L'accordo globale prevede la libertà di azione della Chiesa, giurisdizione, statuto personale, luoghi di culto, questioni fiscali e che, a detta di molti osservatori, costituisce un ulteriore riconoscimento da parte vaticana verso lo Stato di Palestina. Nell'incontro "si è parlato del processo di pace con Israele, esprimendo l'auspicio che si possano riprendere i negoziati diretti tra le parti per trovare una soluzione giusta e duratura al conflitto. A tale scopo si è ribadito l'augurio che, con il sostegno della comunità internazionale, israeliani e palestinesi prendano con determinazione decisioni coraggiose a favore della pace. Infine, con riferimento ai conflitti che affliggono il Medio Oriente, nel riaffermare l'importanza di combattere il terrorismo, è stata sottolineata la necessità del dialogo interreligioso", riporta il Bollettino diffuso dalla sala stampa vaticana. Meglio una Chiesa ferita ma presente sulla strada, che una Chiesa malata perché chiusa in sé stessa. — Papa Francesco (@Pontifex_it) 16 Maggio 2015 Alla vigilia dell'incontro, le due delegazioni diplomatiche avevano infatti già concluso il lavoro preliminare su un concordato che apre una nuova pagina nei rapporti ufficiali e traccia un solco per il riconoscimento internazionale dei due Paesi, più volte sollecitato dal pontefice come soluzione della questione arabo-israeliana. Una svolta che non piace a Israele. Il portavoce del ministero degli Esteri israeliano si è detto "deluso" per la decisione del Vaticano di riconoscere lo Stato di Palestina, aggiungendo che questa decisione non "contribuisce a riportare i palestinesi al tavolo delle trattative" per la pace. Papa Francesco e Abu Mazen si erano incontrati anche il 17 ottobre del 2013. Bergoglio gli aveva donato la penna che riproduce la colonna del baldacchino berniniano dell'altare della Confessione in San Pietro, quella che consegna solitamente ai capi di Stato. "Sicuramente avrà molte cose da firmare", aveva detto il Papa, "Spero di usarla per firmare l'accordo con Israele" era stata la risposta del leader palestinese. "Presto, presto" aveva auspicato Francesco. Abu Mazen aveva invece portato in dono una Bibbia, la prima stampata in Palestina, e un quadro di piastrelle con una veduta di Betlemme. Il leader palestinese si era detto soddisfatto dell'esito dell'incontro, in cui il tema centrale era stato proprio l'accordo di pace israelo-palestinese. Vaticano: www.vatican.va la Repubblica, 16.5.2015 WASHINGTON - La Casa Bianca ha confermato ufficialmente l'eliminazione di uno dei massimi capi dello Stato Islamico, Abu Sayyaf, responsabile dell'Is per gli affari collegati al petrolio, nel corso di un'incursione-lampo nella Siria orientale da parte di forze speciali Usa eli-trasportate, già annunciata dal Pentagono e avvenuta la notte scorsa. E' stato il capo del Pentagono, Ash Carter a dare l'annuncio. Nel raid è stata catturata anche la moglie del dirigente jihadista, un'irachena www.sissu.it identificata come Umm Sayyaf, subito trasferita in Iraq sotto custodia americana per essere sottoposta a interrogatorio. Il raid delle forze speciali Usa "rappresenta un altro duro colpo all'Is e la conferma che gli Stati Uniti non smetteranno mai di colpire i terroristi che minacciano i cittadini americani e i nostri alleati" ha detto Carter. L'operazione, è stato precisato, è stata condotta sulla base di un ordine impartito direttamente dal presidente Barack Obama, ed è stata condotta nel quadro delle leggi internazionali. Secondo la Casa Bianca, l'ok è arrivato dopo l'unanime consenso del team per la sicurezza nazionale del presidente e col consenso di Baghdad. Stando a indiscrezioni di fonti militari riservate, riferite dal network televisivo 'Cnn', l'obiettivo originario sarebbe dovuto essere l'arresto dello stesso Abu Sayyaf, che però ha opposto resistenza ed è quindi stato ucciso. Abbattuti anche una decina di miliziani che erano con lui. Sarebbero ritornate alla base sane e salve tutte le teste di cuoio statunitensi. Usa: "Damasco all'oscuro del blitz". Il blitz delle forze speciali americane non fu "comunicato in anticipo" al governo di Damasco nè tanto meno vi fu con quest'ultimo "alcun coordinamento". La puntualizzazione è venuta da Bernadette Meehan, portavoce del Consiglio per la Sicurezza Nazionale istituito presso la Casa Bianca. "Abbiamo avvertito il regime di Bashar al-Assad", ha ricordato Meehan, "di non interferire con le iniziative in atto da parte nostra contro lo Stato Islamico all'interno del territorio siriano", poichè quel "regime non può essere nostro alleato nella lotta" al gruppo jihadista. L'Esercito siriano, probabilmente per tamponare lo smacco subito dagli americani, ha rivendicato la paternità di un'operazione nell'est della Siria in cui "è stato ucciso il leader dell'Isis responsabile del petrolio". Secondo la tv siriana, il leader ucciso è Abu al-Taym al-Saudi, "colpito in un blitz nel campo petrolifero di Omar", il più grande del Paese conquistato dallo Stato islamico lo scorso luglio. Quanto a Umm Sayyaf, la moglie irachena di Abu Sayyaf catturata nella medesima circostanza, avrebbe avuto un ruolo diretto nelle attività terroristiche del gruppo ultra-radicale. Meehan ha aggiunto che il blitz è stato affidato a teste di cuoio eli-trasportate di stanza "fuori dall'Iraq", e che ha avuto luogo nella località di al-Amir, Siria orientale. Secondo la portavoce, un altro obiettivo era la "liberazione di una giovane yazida che a quanto pare la coppia tratteneva come schiava", e che adesso sarà "ricongiunta con la sua famiglia quanto prima". Non particolarmente conosciuto al di fuori della ristretta cerchia degli esperti di anti-terrorismo, Abu Sayyaf era il responsabile del contrabbando di petrolio e gas naturale con cui il movimento ultra-radicale si finanzia, oltre a esercitare un ruolo "diretto e in costante crescita" nella direzione delle operazioni militari dell'Isis. Secondo blitz in Siria. E' la seconda volta che le truppe americane mettono a segno un raid di terra in Siria: l'unico precedente risale alla scorsa estate, quando i militari Usa tentarono di liberare alcuni connazionali tenuti in ostaggio. L'operazione non andò a buon fine. Turchi abbattono aereo siriano. Un aereo militare siriano sarebbe stato intercettato e quindi abbattuto da due F-16 di Ankara dopo aver violato lo spazio aereo turco: lo ha riferito l'emittente www.sissu.it 'Ntv', senza essere in grado di specificare quale tipo di velivolo sarebbe andato distrutto. Quest'ultimo sarebbe comunque precipitato al suolo nel suo Paese. Fonti militari ad Ankara si sono limitare a confermare che i caccia si sono levati in volo dalla base aerea di Incirlik, nell'Anatolia sud-orientale, e che hanno aperto il fuoco contro un obiettivo non meglio specificato. Non sarebbe la prima volta in cui si verifica un caso del genere dall'inizio del conflitto in Siria, con cui la Turchia condivide 900 chilometri di frontiera. Il presidente Recep Tayyip Erdogan è divenuto uno degli avversari più accaniti di Bashar al-Assad, nonstante un passato rapporto personale di amicizia. Is conquista parte di Palmira. Dopo giorni di combattimenti, le milizie dell'Is sarebbero riuscite a conquistare la "maggior parte del settore nord" della città di Palmira: lo ha riferito Rami Abdel Rahman, direttore dell'Osservatorio Siriano per i Diritti Umani, organizzazione in esilio dell'opposizione non radicale con sede a Londra, secondo cui scontri con le forze lealiste sarebbero "tuttora in corso". L'avanzata dei jihadisti sull'antica stazione carovaniera, poi colonia romana, ha messo in allarme la comunità internazionale anche per il grave pericolo che ciò comporterebbe per il suo patrimonio archeologico, riconosciuto dall'Unesco fin dal 1980. Intanto arriva notizia che nella zona il gruppo jihadista ha giustiziato 23 persone, tra cui nove minori e cinque donne: a denunciarlo è stato l'Osservatorio siriano per i diritti umani, una Ong con base a Londra. Si tratta della seconda esecuzione di massa jihadista nell'area 240 chilometri a nordest di Damasco. In precedenza erano stati uccisi 26 uomini, 10 dei quali erano stati decapitati. Lo stesso Osservatorio ha riferito di combattimenti anche attorno a un giacimento di gas a est di Palmira, di cui l'Is ha rivendicato su Twitter la parziale conquista. In Iraq intanto l'esercito ha fatto confluire oggi ingenti rinforzi verso Ramadi, il capoluogo della provincia di al-Anbar, cento chilometri a Ovest di Bagdad, dove ieri l'Is si è impadronito di alcuni quartieri centrali e del compound del governo. Lo hanno detto fonti militari. In un appello televisivo trasmesso ieri sera, il primo ministro, Haidar al Abadi, ha chiesto a "tutti gli iracheni di unirsi sotto la bandiera irachena, che deve prevalere su ogni altra bandiera". Un riferimento - quello nell'appello tv - alle divisioni confessionali nel Paese che hanno favorito i successi militari dello Stato islamico, accolto come liberatore da parte della popolazione sunnita. La provincia di al-Anbar, a maggioranza appunto sunnita, è territorio favorevole di coltura per il Jihad fin dalla caduta del regime di Saddam Hussein, nel 2003. Ieri i miliziani dell'Is si sono impossessati del compound governativo di Ramadi, con annesso il comando della polizia locale, con un attacco durante il quale hanno anche fatto esplodere tre autobomba guidate da attentatori suicidi. Successivamente hanno cercato di impadronirsi del comando delle forze militari della provincia, distante due chilometri nell'area nord-orientale della città, ma sono stati respinti. E' qui che le forze lealiste continuano a resistere. www.sissu.it EU: on 22nd June Juncker, Draghi, Tusk and Dijsselbloem, the four European presidents, introduce their planning to re-launch the Euro zone, with Economic Union, Financial Union, Fiscal Union, Institutions Improvement, from here to 2025. HUNGARY: The gvt is finishing the wall to stop migrants coming from the Balkans. Pope Francis and EU criticize. Khalifa S. (Aout 2015). Femmes arabes dans la piège des images. Le Monde diplomatique, Aout 2015. EU: 29th August, due to the fact that many European terrorists are back again at home willing to do terroristic nations, the Schengen agreements are temporarily suspended. EU: 4th September: the front is split, Germany inclines to accept at least the Syrian migrants, while Austria is swinging, and Hungary is definitively against. The debates last all the month, about quotas and penalties for the countries that will not accept migrants. Politicians in Hungary, Czech Republic, Poland and Slovak tend to save only the Christians. Le quote per la redistribuzione dei rifugiati tra gli stati UE La Commissione Europea ha proposto, prima a maggio e poi a settembre, delle quote di redistribuzione dei rifugiati in arrivo sul continente agli stati membri dell'UE. I principali paesi di approdo (Italia, Grecia e www.sissu.it Ungheria) non sono inclusi nelle quote. Nella mappa il totale di rifugiati accolti, dato dalla somma delle persone effettivamente accettate dopo la proposta di maggio e il numero proposto dal presidente della Commissione europea Jean-Claude Juncker a settembre 2015. EU, USA and Russia talk for finding a way to fight against ISIL around Syria – 9th September. CROATIA: 18th September: migrants overcome the Police and the wall and proceed to Germany. Cann V. (Septembre 2015). De si confortables pantoufles bruxelloises. Le Monde diplomatique, September 2015. Hurriyetdailynews.com November/09/2015: Three million migrant arrivals expected in Europe by 2017: EU BRUSSELS - Agence France-Presse European Union Commissioner for Economic and Financial Affairs, Taxation and Customs Pierre Moscovici gives a press conference to announce the European Union Autumn 2015 Economic www.sissu.it Forecast at the European Union Commission headquarter in Brussels on November 5, 2015. AFP PHOTO / THIERRY CHARLIER Three million migrants are expected to arrive in Europe by 2017 as they flee war and poverty in Syria and other conflict zones, with a small positive impact on the EU economy likely, the EU's executive arm said on Nov 5. "Overall, an additional three million persons is assumed to arrive in the EU over the forecast period," the European Commission's economic forecast for 2015-2017 said. It predicted that there would be one million arrivals in total during 2015, 1.5 million in 2016 and half a million in 2017, adding that it would represent an increase in the EU's population of around 0.4 percent once unsuccessful asylum applications were taken into account. European Union economic commissioner Pierre Moscovici said that the migrants could help boost the EU economy, helping the moderate recovery predicted in the eurozone during that period. "There will be an impact on growth that is weak but positive for the EU as a whole, and that will increase GDP (Gross Domestic Product) by 0.2 to 0.3 percent by 2017," Moscovici said. "That will combat a certain number of received ideas and backs the politics of President (JeanClaude Juncker)," who has pushed for the EU to do more to help migrants, Moscovici added. Al Jazeera, on 13th November 2015: Saving lives in the Aegean Sea Rescue missions occur daily in the waters off Lesbos, as dozens of refugee boats set out on the "death route" to Europe. Anna Pantelia | 10 Nov 2015 20:05 GMT | War & Conflict, Humanitarian crises, Human Rights, Europe, Refugees It is about 5:30am on Saturday in the port of Mytilene in the Greek island of Lesbos. The weather is foggy and the darkness is deep. The crew of the coastguard patrol boat, Agios Efstratios, are preparing for yet another mission in the Aegean Sea, where inflatable boats overloaded with refugees have already set out on what has become known as the "death route". With the engines fired up, attention turns to the bright spots on the radar screen that indicate the location of the refugee boats. The crew's only mission is to save as many lives as they can. www.sissu.it Captain Argyris Frangoulis sets course, then says: "I see the dot on the radar and feel dread. Each time I am afraid about what I am going to see. The situation is very nasty. "We have seen everything, from newborn babies, to disabled men and dead bodies. The image of the dead children we saw will never be forgotten. "There are times when I cannot eat, I cannot sleep, I can't drink even my coffee. These pictures come to my mind all the time". As the minutes tick away, dozens of inflatable boats cross into Greek waters, heading towards the northern coast of Lesbos. At around 7:30am, the radar shows that one of them has stopped. The outboard engine has cut out and the vessel is starting to fill with water. The 55 people on board begin screaming for help. The Greek crew spring into action as Frangoulis steers towards the refugees' stricken boat. When the Agios Efstratios is close enough, the first rope ladder is dropped and the first refugees are helped aboard. Women and children are the priority. Lying in the boat are an elderly woman who is unable to walk and an unconscious man. After an hour, all the refugees have safely been brought aboard. Most are wet and cold but are glad to be safe. Three hours later the refugees are transferred to the closest Greek village where locals and volunteers come to their aid as they prepare to be transferred to a transition camp. They have to register with the police before they are given the coveted ticket to Athens. As the sun sets, the crew of the Agios Efstratios will have only a few hours of rest before they set sail again. Clarin, 19.11.2015: Confirman que mataron al cerebro de los atentados del París: había participado en más ataques 19/11/15 La fiscalía francesa lo anunció esta mañana. Fue identificado con pruebas de ADN. Se trata de Abdelhamid Abaaoud, un belga de 28 años, quien murió acribillado en el operativo del miércoles. María Laura Avignolo www.sissu.it Abdelhamid Abaaoud: Fiscales de París: supuesto autor intelectual de ataques a París murió en redada policial. Europa se blinda y endurece los controles en sus fronteras París bajo fuego.Los ministros del Interior y Justicia de la UE se reúnen este viernes para evaluar cambios en el espacio Schengen. www.sissu.it n guardia. Un militar vigila el aeropuerto de Bruselas. /AFP Europa prepara el refuerzo de sus fronteras externas y un mayor control interno como primera medida tras los atentados terroristas de París. Los ministros de Interior y Justicia del bloque se reúnen este jueves en Bruselas para aprobar una cascada de medidas que conllevarán cambios en las fronteras exteriores del espacio Schengen de libre circulación –que comparten 22 países de la UE y cuatro asociados–, más controles internos, mejor coordinación antiterrorista y de inteligencia, registros de pasajeros aéreos y control de armas. Los cambios principales estarán en las fronteras. Ahora mismo, los ciudadanos europeos apenas son controlados cuando salen de Schengen y sólo aleatoriamente cuando entran. Todos los terroristas que atacaron París y que están identificados eran europeos y algunos habían ido a Siria a luchar junto al ISIS. De aprobarse el texto de conclusiones que los ministros tendrán el viernes sobre la mesa –y que Clarín pudo consultar– esos controles en las fronteras exteriores de Schengen podrán ser sistemáticos para todos, europeos o no, y tanto a la salida como a la entrada. Actualmente se pueden realizar cuando se advierten situaciones de riesgo, pero las normas prohíben que sean sistemáticos. También se aprobaría que en esos controles se consulten “sistemáticamente” todas las bases de datos disponibles. El texto no habla de las fronteras internas del bloque –su eliminación es una de las grandes construcciones de la UE– pero sí de ciertas medidas que en la práctica podrían reforzar su control, como que los agentes policiales tengan acceso a las bases de datos de Schengen –ahora sólo lo tienen en las fronteras exteriores– donde los países incluyen a personas en búsqueda y captura, autos o armas robadas o sospechosos de diferentes delitos. El comisario europeo de Inmigración, el griego Dimitris Avramopoulos, defiende el acuerdo de Schengen, reconoce que se puede revisar pero no que se ponga en cuestión “porque es uno de los grandes logros de la construcción europea y sería un paso atrás en la integración”. Europol explicóeste jueves que hay unas 10.000 personas en su lista de viajeros sospechosos de las cuales 2.000 están confirmadas como combatientes europeos en conflictos bélicos y al menos 5.000 habrían ido a Siria. Los ministros también pedirán al Parlamento Europeo que apruebe cuanto antes el PNR (registro de nombres de pasajeros, según sus siglas en inglés) y que se incluya en él también los vuelos internos en la UE. Hasta ahora muchos eurodiputados se oponían a varios aspectos del PNR porque lo veían como una privacidad de los datos privados personales de los ciudadanos. Fuentes de la presidencia semestral luxemburguesa explicaron que su aprobación “es de vital importancia porque ayudaría a identificar a todos los individuos que cruzan las fronteras externas” del bloque. Serviría, según las mismas fuentes, “para que los servicios de seguridad sepan, con 48 horas de antelación, quién va a aterrizar”. Además de las medidas de control de fronteras, la UE planea presionar políticamente a los países balcánicos para que refuercen la lucha contra el tráfico de armas. www.sissu.it Muchos de los fusiles kalashnikov usados en los atentados de los últimos años provienen del tráfico de las armas desmovilizadas al final de las guerras de los Balcanes y tras los episodios de anarquía que se produjeron en Albania en los años 90. También pondrán medios de Frontex (la agencia europea de fronteras) y Europol para ayudar a los países de la UE fronterizos con los Balcanes a luchar contra el tráfico de armas. Los ministros no tratarán si deben seguir aceptando o no el flujo de refugiados que llega a Europa principalmente a través de Turquía, pero en el documento sí se emplaza a que cada persona sea controlada “sistemáticamente”, a través de “estrictas verificaciones de seguridad”, que se le tomen las huellas y que se asegure que los centros de paso de los refugiados tienen la tecnología suficiente para hacerlo. El flujo es de tal calibre –varios miles de personas al día– que Grecia podría tener problemas para aplicar esos controles. Por eso los ministros también podrían debatir hoy el despliegue, si fuera necesario, de equipos de agentes europeos y a medio plazo la creación de un cuerpo de guardacostas europeos. La UE también planea la apertura en enero, dentro de Europol, de un “Centro Europeo Contraterrorista” que facilite el intercambio de información de inteligencia entre los 28 países del bloque, fomente la coordinación de las operaciones antiterroristas. La política antiterrorista y los servicios de inteligencia son competencia nacional, no de la UE, pero Bruselas intenta coordinar en lo posible a los gobiernos, que hasta ahora han preferido acuerdos bilaterales –por ejemplo, España y Francia contra ETA o Irlanda y el Reino Unido contra el IRAantes que una unificación de los servicios secretos europeos. Clarin, 21 November 2015: Por los ataques, quieren crear una agencia europea de Inteligencia La idea fue lanzada por el comisario de Interior y Justicia Dimitris Avramopoulos. Pero no hay consenso entre los miembros de la UE. www.sissu.it Reunión. Los ministros del Interior y Justicia de la UE, en Bruselas, el viernes. /AFP. Los atentados de París mostraron una vez más los fallos de los servicios de inteligencia de los países europeos y, sobre todo, la falta de coordinación y de intercambio de información entre ellos. Los terroristas viajaron a Siria, volvieron, pasaron al menos por Bélgica y Alemania antes de llegar a París y alguno podría estar todavía fugado, de vuelta en Bélgica. Aprovechando esa falta de coordinación, la Comisión Europea quiere aprovechar el día después de los atentados para sentar las bases de una Agencia Europea de Inteligencia. La idea, lanzada ayer por el comisario de Interior y Justicia Dimitris Avramopoulos y recibida con escepticismo por la mayoría de los ministros del bloque, aparece por primera vez sobre la mesa del Ejecutivo europeo. Avramopoulos dijo en conferencia de prensa que era sólo una idea pero que pretendía que los ministros empezaran a trabajar en ella. Según el comisario, que también lleva la cartera de Inmigración -y por tanto la gestión de la crisis de refugiados- "tras los atentados de Charlie Hebdo -en enero pasado- propuse -y se está haciendola creación de un centro antiterrorista en el seno de Europol", la agencia que coordina a las policías europeas y que tiene sede en la ciudad holandesa de La Haya. Pero Avramopoulos cree que "ya es hora de dar un paso suplementario y crear las bases de una Agencia Europea de Inteligencia, porque nuestra cooperación tiene que basarse en la confianza y la eficacia". Los planes de Bruselas no van por ahora más allá de la propuesta y el comisario no explicó si su idea es la creación de una agencia de servicios secretos común para todo el bloque, con agentes y medios a su disposición, o simplemente un organismo que coordine a los servicios de inteligencia de los 28 países del bloque. www.sissu.it Los servicios de inteligencia son competencia absolutamente nacional, por lo que la creación de una agencia europea conllevaría una reforma de los tratados europeos para que las capitales traspasen a Bruselas esas competencias, que tocan parte de lo más sagrado de las competencias nacionales. El comisario reconoció tras la reunión de los ministros de Interior y Justicia que su propuesta no fue discutida. Londres no ve la idea con buenos ojos, París guardó silencio y el ministro del Interior alemán Thomas de Maizière dijo simplemente que "no deberíamos malgastar nuestra energía, no puedo imaginar que podamos renunciar a nuestra soberanía nacional". La prensa alemana lleva meses contando cómo sus servicios secretos han pasado los últimos años espiando a las instituciones europeas e incluso a la Presidencia francesa. El coordinador europeo para la política antiterrorista, Gilles de Kerchove, explicó también en conferencia de prensa las dificultades que tienen las capitales del bloque para compartir eficazmente la información de inteligencia. Los ministros sí prometieron ayer mejorar el intercambio de información, a través tanto de los mecanismos europeos previstos en Europol y en su nuevo centro contraterrorista como bilateralmente. El Pais, 27th novembre 2015: LA LUCHA CONTRA EL YIHADISMO » Europa une fuerzas con Francia para combatir al Estado Islámico Alemania y Reino Unido apoyan a François Hollande en la lucha contra el ISIS en Siria Cameron, sobre atacar en Siria: “No podemos subcontratar la seguridad” Luis Doncel / Pablo Guimón Berlín / Londres 27 NOV 2015 - 09:38 CET Recomendar en Facebook 92 Twittear Enviar a LinkedIn 6 Enviar a Google + 1 Comentarios 165 Archivado en: Atentado París 13-N Sala Bataclan Estado Islámico París www.sissu.it Atentados mortales Tiroteos Estadio de Francia Alemania Conflicto Suníes y Chiíes Atentados terroristas Incidentes Francia Terrorismo islamista Centroeuropa Reino Unido Islam Yihadismo Europa occidental Grupos terroristas Sucesos Europa Religión Conflictos Terrorismo El primer ministro británico, David Cameron, en la rueda de prensa tras reunirse este jueves en Viena con el canciller austriaco. / LEONHARD FOEGER (REUTERS) La gira diplomática del presidente francés, François Hollande, para lograr apoyos en su guerra contra el Estado Islámico (ISIS) va logrando sus primeros frutos. Los Gobiernos de Alemania y Reino Unido concretaron este jueves sus planes militares de intervención en Siria. La canciller Angela Merkel, que el día anterior había visitado a Hollande en París, anunció que aportará media www.sissu.it docena de aviones de reconocimiento y una fragata. Esta dotación se une a los 650 soldados de refuerzo en Malí anunciados el pasado miércoles. El primer ministro británico, David Cameron, pidió el apoyo del Parlamento para estar bombardeando Siria antes de Navidad. “No podemos subcontratar la seguridad”, dijo el líder conservador, que confía en lograr el sí de la Cámara. “Hace años que oímos hablar de guerra y refugiados, pero no habíamos comprendido que lo que ocurre en Alepo puede ser relevante para [las ciudades alemanas de] Essen o Stuttgart”. La frase, pronunciada el miércoles por Merkel en el Bundestag, adquirió este jueves un significado más claro. más información Alemania ofrece a Francia aviones de reconocimiento contra el ISIS en Siria El Gobierno británico lanza su plan de bombardear Siria en diciembre Putin y Hollande abogan por crear una “amplia coalición” contra el ISIS Merkel da apoyo militar a Francia en la lucha contra el terrorismo La jefa del Gobierno alemán ya dejó claro que, tras los atentados de París, ofrecería a Francia toda su solidaridad. Ahora da contenido a esta promesa: además de destinar a Malí 650 soldados y de aumentar las actividades de formación a los peshmergas kurdos en Irak, Berlín anunció que participará en la lucha contra el ISIS en Siria. Su aportación será de entre cuatro y seis aviones de reconocimiento Tornado, aviones cisterna, una fragata para custodiar el portaviones Charles de Gaulle y tecnología. La operación no incluirá operaciones de ataque. Los Tornado de la Bundeswehr se limitarán a usar cámaras para hacer operaciones de reconocimiento. “Sabemos que el terrorismo no será derrotado solo con medios militares, pero también que no podemos evitar una confrontación militar con el ISIS”, aseguró el ministro de Exteriores, el socialdemócrata Frank-Walter Steinmeier. “Nos ponemos del lado de Francia, que fue golpeada por los ataques inhumanos del Estado Islámico”, añadió la titular de Defensa, la democristiana Ursula von der Leyen. Merkel calificó la decisión, según asistentes a la reunión parlamentaria, como un paso necesario para luchar contra el terrorismo yihadista, aunque el respaldo a Hollande también puede interpretarse en clave interna: la canciller necesita al presidente francés en estos momentos para impulsar un acuerdo europeo en la crisis de refugiados. www.sissu.it El peligro de Malí “No creo que los franceses se vayan a dar por satisfechos con el ofrecimiento alemán. Pero Berlín, por motivos políticos, no puede cubrir todas las necesidades militares que París le demanda”, asegura Christian Mölling, experto en Defensa del German Marshall Fund, que alerta de los peligros que supone la operación en Malí. “Es sin duda más peligrosa que la de los alemanes en Siria. En el país africano, las tropas estarán sobre el terreno”, añade. Pese a lo limitado de la operación en Siria, el anuncio constituye un paso importante para un país que tradicionalmente había combinado una gran fortaleza económica con un escaso peso en las cuestiones de seguridad y de defensa. Ahora, la alerta por el terrorismo islamista y el creciente papel de la política exterior alemana se dan la mano. www.sissu.it Las operaciones anunciadas por el Gobierno requieren aún de la aprobación parlamentaria, prevista para diciembre. Pero este paso parece un mero trámite gracias a la abrumadora mayoría en el Bundestag de la que dispone la gran coalición de CDU y SPD. Hollande y el presidente ruso, Vladímir Putin, acordaron este jueves en Moscú, por su parte, una cooperación más intensa en la lucha contra el terrorismo. Se trata del intercambio de información de espionaje militar sobre aquellos grupos y zonas en Siria que pueden ser atacados y los que no deben serlo. Con este acuerdo pretenden evitar incidentes como el derribo del avión Su-24 en la frontera entre Siria y Turquía. “Lo importante es no atacar a los grupos que luchan contra el terrorismo”, manifestó Hollande. Desde Londres, Cameron defendió en el Parlamento que Reino Unido debe sumarse a los bombardeos contra el ISIS “lo antes posible” para que los británicos estén “más a salvo”. El primer ministro conservador necesita el apoyo de la Cámara ante la votación con la que pretende estar bombardeando Siria con los aliados antes de Navidad. Cameron confía en que los brutales ataques de París y el voto unánime en el Consejo de Seguridad de la ONU el pasado viernes, instando a sus miembros a “tomar todas las medidas necesarias” contra el ISIS, hayan consolidado el apoyo parlamentario que hasta ahora se le ha resistido. Los siete atentados terroristas en suelo británico que el Gobierno dice haber abortado este año, aseguró Cameron, estaban dirigidos por el ISIS o inspirados por su propaganda. “Las amenazas a nuestros intereses y a nuestra gente son tales que no podemos permitirnos quedarnos a un lado y no actuar”, defendió. Las fuerzas aéreas británicas solo tienen autorización para bombardear en Irak, después de que el Parlamento rechazara intervenir militarmente en Siria. Pero Londres ha reconocido, amparado en la legítima defensa, ataques aislados con drones para matar a ciudadanos británicos que supuestamente planeaban atentados terroristas en Londres. Cameron, que cuenta con una frágil mayoría absoluta, debe asegurarse el voto de un número de diputados de la oposición, ya que una quincena de tories ha anunciado que votará en contra. Decenas de diputados laboristas estarían dispuestos a votar sí desafiando a su líder, Jeremy Corbyn. Le Monde, 01.12.2015: Trois jours après l’accord entre l’Union européenne et la Turquie sur le contrôle des flux de migrants, Fabrice Leggeri, directeur de Frontex, l’agence européenne de surveillance des frontières, explique ce qu’il va changer sur le terrain. Le Français explique également pourquoi deux des terroristes des attentats du 13 novembre ont pu passer les contrôles en Grèce avec des faux passeports. Qu’est-ce que l’accord signé entre l’Union européenne et la Turquie dimanche 29 novembre va changer concrètement sur le terrain ? www.sissu.it L’accord a une dimension financière extrêmement importante (3 milliards d’euros versés à la Turquie par l’UE) qui ne concerne pas directement Frontex, mais cela peut permettre d’avoir une pression moins forte sur la Grèce. De notre côté, nous allons déployer un officier de liaison de Frontex à Ankara début 2016. Il permettra de mieux lutter contre les trafics d’êtres humains, en ayant accès aux responsables des services opérationnels turcs. La coopération bilatérale entre la Grèce et la Turquie devrait aussi être renforcée par l’accord. Mais la Turquie va-t-elle renforcer ses contrôles ? La Turquie fait déjà des choses, mais elle peut faire plus. Il est important de renforcer les contrôles, surtout à terre pour empêcher les départs, parce qu’une fois sur les bateaux, les migrants sont en danger. On ne pourra certainement pas empêcher tous les départs, mais l’amélioration de la surveillance des passeurs devrait permettre de limiter ces départs. Les Turcs ne le font pas à l’heure... Die Deutsche Welle, 3rd December 2015: Deutschland übernimmt den OSZE-Vorsitz Terroranschläge, türkisch-russische Spannungen, Flüchtlingsströme und ein Konflikt in der Ostukraine – auf der OSZE-Außenministerkonferenz geht es um die fragile Sicherheit in Europa. Aus Belgrad berichtet Dagmar Engel. www.sissu.it Wer redet, schießt nicht. Das könnte das inoffizielle Motto der Außenminister Konferenz der OSZE (Organisation für Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa) sein. Zu spüren war dies am allseitigen Bemühen, die Außenminister der Türkei und Russlands in ein Zimmer am Rande der OSZE-Ministerratstagung zu bringen, zum Zweiergespräch. Das ist gelungen – mehr als eine halbe Stunde haben Sergej Lawrow und Mevlut Cavusoglu miteinander verbracht, das höchstrangige türkisch-russische Treffen seit dem Abschuss der russischen Militärmaschine im türkisch-syrischen Grenzgebiet Ende November. Noch ist über Inhalte nichts bekannt, aber angeschwiegen haben sie sich sicher nicht. Abschied vom Konsens? Korrekt ist der Anfangssatz trotzdem nicht: In Europa wird geschossen, zum Beispiel in der Ostukraine. Doch gleichzeitig wird auch geredet. Denn die OSZE mit ihren 57 Mitgliedsstaaten ist die einzige Organisation, in der es für Gespräche keiner gesonderten Einladung bedarf. In den exklusiveren Clubs, der Nato oder der EU, sind die Gemeinschaftsforen mit Russland in der Folge des Kriegs in der Ostukraine und der völkerrechtswidrigen Annexion der Krim ausgesetzt. Die OSZE ist in Europa die einzige Stelle, die einfach alle Staaten umfasst, ganz unabhängig von ihrer Haltung. Entscheidungen allerdings fallen nur im Konsens - und sie sind nicht bindend. Das Bild des zahnlosen Tigers drängt sich auf, eines zahnlosen Tigers mit 57 Beinen, alle unterschiedlich lang und kräftig. www.sissu.it Der deutsche Außenminister greift lieber in die Kiste der Seefahrtsmetaphern: "Europa navigiert durch turbulentes Fahrwasser", eröffnet er seine Rede. Die gemeinsame Sicherheit in Europa bereite ihm tatsächlich Sorge, sagt Frank-Walter Steinmeier und wird dann wirklich laut: "Wir haben uns in der OSZE seit zwölf Jahren auf keine politische Erklärung einigen können Wir scheinen keinen Konsens mehr zu finden." Vereinbarte Prinzipien, bedauert Steinmeier, seien in inakzeptabler Art und Weise gebrochen worden. Einsatz in der Krisenregion: Ein OSZE-Beobachter dokumentiert Verstöße gegen die vereinbarte Waffenruhe Stürmische See und ein altes Schiff Deutschland übernimmt jetzt für ein Jahr den Vorsitz der OSZE. Nicht, weil es turnusgemäß an der Reihe wäre, nicht, weil es muss, sondern weil es will. "Deutschland kann die europäische Sicherheitsordnung während dieses einen Jahres nicht retten," sagt Wolfgang Ischinger, Leiter der Münchner Sicherheitskonferenz, "aber neben dem kurzfristig Notwendigen, der Reduzierung vor allem des Risikos von Krieg, muss Deutschland einen Prozess in Gang setzen, der auch die mittelund langfristigen Probleme angeht." Ischinger hat die Gruppe führender Köpfe geleitet, die sich um die "Europäische Sicherheit als Gemeinschaftsaufgabe" Gedanken machen sollte. Der Abschlussbericht zeigt gleichzeitig die Stärke und die Schwäche der OSZE: Der Georgier Sergi Kapadnaze erzählt darin eine andere Geschichte über den eingefrorenen Konflikt in seiner Region als sein Namensvetter Sergej Karaganov aus Russland. www.sissu.it Ihre Wahrnehmungen und Wahrheiten widersprechen sich. Ischinger hofft dennoch auf eine Art von Verständigung. "Wenn es 1975 im Kalten Krieg mit der atomaren Bedrohung möglich war, ein Vertrauenssystem aufzubauen, warum sollte das 2015 nicht gelingen?", fragt er. Auf der Suche nach verlorenem Vertrauen Drei Felder hat der deutsche OSZE-Vorsitz als besonders wichtig definiert: Aufgrund der Erfahrungen aus dem Ukrainekonflikt soll die Reaktion auf Krisen früher, entschiedener und substantieller erfolgen. Zweitens muss die Vertrauensbildung vorangetrieben werden, um militärische Risiken zu verringern - siehe den Abschuss der russischen Militärmaschine an der türkisch-syrischne Grenze. Und schließlich geht es um die Gestaltung der europäischen Sicherheitsordnung. Manche hoffen auf ein neues Helsinki, also eine Art Neugründung, wie sie in der finnischen Hauptstadt 1975 erfolgte. Am liebsten gleich 2016. Auch die Expertengruppe um Ischinger sieht einen OSZE-Gipfel auf der Ebene der Staats- und Regierungschefs als Ziel, der die europäische Sicherheitsordnung verbindlich regelt, aber nicht nächstes Jahr. Im Boot des deutschen Außenministers heißt das: "Lassen Sie uns nicht in stürmischer See unser Schiff, die OSZE, zerlegen, nur weil es nicht leicht ist, sich auf einen gemeinsamen Kurs zu verständigen Lassen Sie uns keinen Neubau versuchen, der die Gefahr des Scheiterns birgt, sondern das Schiff härten und stärken". Direkt vor diesem Eröffnungsstatement von Außenminister Steinmeier hat ihm sein russischer Amtskollege Lawrow "viel Erfolg auf der Kapitänsbrücke" gewünscht. Die beiden kennen sich eben. Reden hilft. Die Deutsche Welle, 3rd December 2015: Tusk gießt Öl ins Feuer der Flüchtlingsdebatte Der Präsident des Europäischen Rates hat in Zeitungs-Interviews eine Wende in der Flüchtlingspolitik verlangt. Er betont vor allem die damit verbundenen Gefahren und pocht auf die Einhaltung von strengen Regeln. www.sissu.it Die Aufgaben des Präsidenten des Europäischen Rates werden in Art. 15 des Lissabon-Vertrages beschrieben: Er soll die Ratstreffen leiten und deren Arbeit vorantreiben. Er bereitet die Gipfel vor und sorgt für die Kontinuität der Arbeit. Und er soll den Zusammenhalt und den Konsens im Rat der Regierungen fördern. Aber sollte er mit Interviews dieser Art in einen politischen Streit eingreifen? Schockierendes Interview "Es ist nicht seine Aufgabe", sagt Kris Pollet vom Internationalen Flüchtlingsrat in Brüssel. Und es sei auch ziemlich schockierend zu sehen, wie schlecht informiert Tusk sei. Denn die Zahlen zeigten, dass entgegen seinen Behauptungen die Mehrheit der Flüchtlinge tatsächlich aus Syrien, Irak, Afghanistan und anderen Ländern komme, wo es Krieg oder anhaltende schwere Krisen gebe. Das bestätige sich auch durch die Statistiken der EU-Grenzagentur Frontex. Noch schockierender findet Pollet, dass der Ratspräsident europäisches Recht nicht kenne. Die Möglichkeit, Flüchtlinge bis zu 18 Monaten festzuhalten, die Tusk im Interview zur Regel machen möchte, finde sich nur in der EU-Direktive über die Rückführung abgelehnter Asylbewerber. Selbst dort aber sei das nur im Ausnahmefall und nach einer Einzelfallüberprüfung erlaubt. "Diese Regelung hat nichts mit Flüchtlingen zu tun, die an den Grenzen ankommen. Tusk erfindet hier etwas, das ist ein Beispiel für echte Miss-Information und nach europäischem Recht nicht erlaubt". www.sissu.it Flüchtlingskrise: eine solidarische Lösung in der EU ist gefragt "Ich verstehe nicht, warum der Ratspräsident solche Dinge sagt, es ist das allerschlechteste Vorzeichen für eine Einigung in der EU, jetzt in der Flüchtlingsfrage Angstmache zu betreiben", sagt der NGO-Vertreter. Der Flüchtlingsrat sei insgesamt sehr beunruhigt, welche Wendung die Diskussion in der EU genommen habe. Tusk unterminiere mit seinen Äußerungen den Versuch, eine solidarische Lösung in der Flüchtlingskrise zu finden. "Wir können nicht wegschauen", sagt Kris Pollet, "wir müssen eine gemeinsame Antwort finden, und die kann nicht in Stacheldrahtumzäunten Lagern an den EU-Außengrenzen liegen". Tusk soll seinen Job machen "Der Ratspräsident soll seinen Job machen und sich um die Sachen kümmern, für die er zuständig ist", schimpft der christdemokratische Europa-Abgeordnete Herbert Reul. Donald Tusk solle Mittler zwischen den Mitgliedsstaaten sein. Kluge Ratschläge dürfe er schon geben, sich aber nicht in dieser Form parteiisch zeigen, meint der CDU-Mann, der die Medieninitiative des Polen "verwirrend, und zwar negativ verwirrend" nennt. Bisher habe er von Tusk noch keine großen Taten gesehen, kritisiert der Abgeordnete weiter, es sei ihm unerklärlich, warum der frühere polnische Regierungschefs jetzt so aus der Deckung komme: "Es erleichtert jedenfalls nicht die Konsensbildung in Europa". Auch müsse Tusk sich fragen lassen, wie viel er denn von der Sache verstehe, wenn er die uneingeschränkte Anwendung der Dublin-Regeln verlange. Sowohl der EuGH als auch das Bundesverfassungsgericht hätten schon geurteilt, dass Flüchtlinge unter den gegebenen Umständen nicht nach Griechenland zurück gebracht werden dürften www.sissu.it Herbert Reul: Äußerungen Tusks "sau-ärgerlich" Reul hält die Lage in der EU derzeit für kritisch:"Sie müssen sich zusammenraufen. Es geht aber nicht, wenn einige sich einfach verweigern. Dann muss man darüber nachdenken, die Verteilung der Annehmlichkeiten einzustellen". Der CDU-Politiker meint, es sei höchste Zeit beim anstehenden Gipfel dazu klare Worte zu sprechen, sonst brauche man Alternativen, wie etwa die Idee von Kerneuropa. Jedenfalls ist der Abgeordnete Reul selbst ein Anhänger klarer Worte und nennt das Ganze einfach "sau-ärgerlich". Kontraproduktiver Vorstoss "Donald Tusk hat sich immer mehr auf den Sicherheitsaspekt der Flüchtlingskrise konzentriert", sagt Janis Emmanouilidis vom European Policy Center in Brüssel. Dass er aber ausgerechnet jetzt diesen Vorstoß macht, scheint nicht wirklich sinnvoll. Man müsse in der EU zu einem Kompromiss in dieser Frage finden, was schwierig genug sei, da wäre es für den Ratspräsidenten besser, er würde mit einem ausgewogenen Ansatz in die Verhandlungen gehen. Auch Emmanouilidis wundert sich, dass Tusk gerade in der angespannten Lage unter den Mitgliedsländern diesen Vorstoß macht: "Warum er diese starke Betonung auf den Sicherheitsaspekt legt, was nicht zur Konsensfindung beiträgt, ist politisch überraschend". Tusk betone nur die Notwendigkeit, die Außengrenzen zu schützen, und lasse den Aspekt der humanitären Krise und die Notwendigkeit, den Flüchtlingen zu helfen, dabei außen vor. Das Thema jetzt von einem so unausgewogenen Standpunkt anzugehen, mache seinen Job nicht leichter, meint der Politikexperte. Die Redaktion empfiehlt Die Deutsche Welle, 3rd December 2015: Europa Ungarn reicht Klage gegen EUFlüchtlingsverteilung ein www.sissu.it Gestern die Slowakei, heute Ungarn. Von einer gemeinsamen Linie in der europäischen Flüchtlingspolitik keine Spur. Die beschlossene Quotenregelung zur Verteilung Tausender Flüchtlinge will Premier Orban nicht hinnehmen. Ungarn ist ein Vorreiter der Abschottungspolitik gegen Migranten in Europa. Mit Grenzzäunen, strengeren Gesetzen und Propaganda hat die nationalkonservative Regierung in Budapest schon vor Monaten klar gemacht, dass Flüchtlinge unerwünscht sind. Die Redaktion empfiehlt Osteuropa auf dem Egotrip Die Slowakei klagt gegen die EU wegen der Verteilung von Flüchtlingen. Und Ratspräsident Donald Tusk aus Polen fällt Angela Merkel in den Rücken. Doch Solidarität ist keine Einbahnstraße, warnt Barbara Wesel. (03.12.2015) EU-Ratspräsident Tusk will "Bewährungsphase" für Flüchtlinge www.sissu.it Slowakei klagt gegen EU-Flüchtlingsquote Konsequenterweise zieht damit nach der Slowakei auch Ungarn gegen die Quotenregelung der Europäischen Union zur Verteilung von Flüchtlingen vor Gericht. Die von Ministerpräsident Viktor Orban angekündigte Klage beim Europäischen Gerichtshof in Luxemburg, gegen die bindende Verteilung Zehntausender Flüchtlinge, wurde inzwischen eingereicht. Orban gibt sich weiter populistisch "Es reicht nicht, zu protestieren, man muss auch handeln", sagte der Regierungschef vor Vertretern der Auslandsungarn in Budapest. "Täglich wird uns Erpressung und Rache (Brüssels) zuteil", klagte Orban. Die EU räche sich mit mehreren Verfahren gegen Ungarn, weil Budapest "es gewagt hat, sich gegen die Einwanderungspolitik Brüssels zu wenden". Mit ihrer Flüchtlingspolitik schwäche die EU die Nationen Europas. Dabei würden Menschenrechtler mit Schleppern in einer "bizarren Koalition" zusammenarbeiten, unterstützt von EU-Politikern, sagte Orban. Ohnehin arbeite Brüssel seit langen am Abbau der Nationalstaaten, zumal das Christentum als Fundament aus der EU-Verfassung gestrichen worden sei und die Mitgliedsstaaten immer mehr souveräne Rechte an die EU abgeben müssten. Am Mittwoch hatte Orban die EU beschuldigt, über einen "Geheimplan" zusätzlich eine halbe Million syrische Flüchtlinge aufnehmen und verteilen zu wollen, die sich derzeit in der Türkei befinden. Gegen den Widerstand mehrerer osteuropäischer Länder (Polen, Tschechien, Slowakei, Ungarn) hatten die EU-Innenminister im September beschlossen, in den kommenden zwei Jahren 120.000 Flüchtlinge, die derzeit in Griechenland und Italien sind, in anderen Mitgliedsstaaten unterzubringen. Ziel ist die Entlastung der beiden Länder, in denen die meisten Mirganten ankommen und eine gerechtere Verteilung der Flüchtlinge in der EU. Laut dem Quotenschlüssel entfallen von den 120.000 Menschen auf Ungarn und die Slowakei jeweils rund 2300 Flüchtlinge. qu/uh (dpa, rtr) Die Deutsche Welle, 3rd December 2015: Flüchtlinge Slowakei klagt gegen EU-Flüchtlingsquote Der Widerstand osteuropäischer Staaten gegen die Flüchtlingspolitik der EU wächst: Die Slowakei reicht wegen der bereits beschlossenen Quote Klage ein, Ungarn wehrt sich gegen angebliche Pläne einer weiteren Verteilung. www.sissu.it Die Slowakei zieht wegen der von der EU beschlossene Flüchtlingsverteilung vor den Europäischen Gerichtshof. Die Klage gegen die Quotenregelung sei am Morgen in Luxemburg eingereicht worden, sagte Ministerpräsident Robert Fico nun in Bratislava. Die EU-Innenminister hatten am 22. September die Umverteilung von 120.000 Asylbewerbern in Europa beschlossen, als Mehrheitsentscheidung gegen den Widerstand Tschechiens, Ungarns, Rumäniens - und der Slowakei. Polen stimmte dafür, nach den Anschlägen von Paris kündigte die neue Regierung in Warschau aber an, sich nicht mehr an der Verteilung beteiligen zu wollen. Bislang sieben Flüchtlinge aufgenommen Der slowakische Ministerpräsident Fico hatte die Entscheidung der EU-Innenminister umgehend als "Diktat" kritisiert und erklärt, er werde sich nicht an den Mehrheitsbeschluss halten. Seine Regierung fordert wie auch zum Beispiel Tschechien ein Freiwilligkeitsprinzip bei der Aufnahme von Flüchtlingen. Sie will demnächst 149 ausgewählte christliche Flüchtlinge aus einem irakischen Flüchtlingslager in die Slowakei einfliegen lassen. Im Verhältnis zu seiner Einwohnerzahl hat die Slowakei bislang so wenige Migranten aufgenommen wie kein anderes EU-Land: Nur sieben Menschen erhielten seit Januar 2015 Asyl. Trotzdem hat das Thema Flüchtlinge in der Wahrnehmung der Wähler zum ersten Mal seit der Unabhängigkeit des Landes die hohe Arbeitslosigkeit als größtes Thema verdrängt. Fico provozierte wiederholt mit islamfeindlichen Äußerungen. Intellektuelle und Menschenrechtsgruppen kritisieren, der Regierungschef schüre bewusst Fremdenfeindlichkeit, um seine Wahlchancen bei der Parlamentswahl am 5. März zu erhöhen. www.sissu.it Die Regierungschefs Ungarns, Tschechiens, Polens und der Slowakei (v. l. n. r.): Orban, Sobotka, Kopacz und Fico Orban will "geheime Hintergrundabsprache" nicht akzeptieren Auch Ungarn kündigte bereits eine Klage gegen die Quotenregelung vor dem EU-Gerichtshof an. Aktuell wehrt sich Ministerpräsident Viktor Orban gegen angebliche Geheimpläne, innerhalb der Europäischen Union weitere 400.000 bis 500.000 syrische Flüchtlinge aus der Türkei zu verteilen. Mehrere EU-Staaten hätten bei ihrem Gipfeltreffen mit der türkischen Regierung am Sonntag eine solche "geheime Hintergrundabsprache" getroffen, kritisierte Orban nun, wie die staatliche Nachrichtenagentur MTI berichtet. Er rechne damit, dass dieser Plan noch diese Woche in Berlin veröffentlicht werde, sagte der nationalkonservative Regierungschef. Dieses neue Flüchtlingskontingent solle offenbar auf die EULänder verteilt werden. Dies könne man nicht akzeptieren, betonte Orban. Tatsächlich hatte kurz vor dem EU-Türkei-Gipfel eine kleine Runde führender Politiker von acht EU-Ländern, darunter Bundeskanzlerin Angela Merkel, über legale Einreisemöglichkeiten für in der Türkei befindliche Flüchtlinge beraten. Eine Zahl wurde dabei nicht bestätigt. Der "Frankfurter Allgemeinen Sonntagszeitung" zufolge war von 400.000 Flüchtlingen die Rede gewesen. bor/uh (afp, dpa, rtr) Die Redaktion empfiehlt www.sissu.it Die Deutsche Welle, 3rd December 2015: Gesundheit Europäer sterben früher durch schlechte Luft Laut Report der EU-Umweltagentur ist die Luftqualität in Europa sehr schlecht - und ein großes Gesundheitsrisiko. Über 400.000 Menschen sterben demnach jedes Jahr vorzeitig. www.sissu.it Luftverschmutzung stellt nach Angaben der Europäischen Umweltagentur (EUA) in Europa das "größte einzelne umweltbedingte Gesundheitsrisiko dar". Durch die Luftverschmutzung - heißt es weiter - verkürze sich die Lebensdauer der Menschen. Außerdem begünstige sie ernsthafte Krankheiten, wie Herzerkrankungen, Atemwegsprobleme und Krebs. In einem neuen Report , der zur Klimakonferenz in Paris von der EUA in Kopenhagen veröffentlicht wurde, wird geschätzt, dass 430.000 vorzeitige Todesfälle pro Jahr in Europa auf Luftverschmutzung zurückzuführen sind. "Die Luftverschmutzung beeinträchtigt nach wie vor die allgemeine Gesundheit der Europäer und reduziert ihre Lebensqualität und Lebenserwartung", sagt der EUA-Exekutivdirektor Hans Bruyninckx. "Außerdem führt sie zu beträchtlichen wirtschaftlichen Auswirkungen, zu steigenden Kosten für die medizinische Versorgung und aufgrund verlorener Arbeitstage zu einer reduzierten Produktivität der gesamten Wirtschaft." Der Report zur Luftqualität in Europa wird jedes Jahr herausgegeben und untersucht die Konzentration der verschiedenen Luftschadstoffe und die damit verbundenen Belastungen in den einzelnen EU-Ländern. Die Daten stammen aus den Messstationen in ganz Europa. Die Atemwege werden durch Luftverschmutzung stark geschädigt Menschen in Städten sind besonders betroffen Wie aus dem Bericht hervorgeht, sind die meisten europäischen Stadtbewohner Luftschadstoffen in einem Umfang ausgesetzt, die von der Weltgesundheitsorganisation (WHO) als gefährlich erachtet www.sissu.it wird. Bei den problematischsten Schadstoffen mit Auswirkungen auf die menschliche Gesundheit handelt es sich um Feinstaub, Stickstoffdioxid (NO2) und bodennahes Ozon (O3). Abgesehen von gesundheitlichen Auswirkungen, haben Luftschadstoffe auch eine beträchtliche schädliche Wirkung auf das Pflanzenleben und die Ökosysteme. Sie verursachten zum Beispiel das schädliche Algenwachstum in Gewässern und Pflanzenschäden. Feinstaub ist Hauptquelle für Gesundheitsschäden Unter den Luftschadstoffen ist Feinstaub die Hauptquelle für Krankheit und vorzeitige Todesfälle in Europa. Das komplexe Gemisch aus festen und flüssigen Partikeln gelangt beim Menschen in die Nasenhöhle und ultrafeine Partikel mit weniger als 2,5 Mikrometer Durchmesser auch in das Lungengewebe und in den Blutkreislauf. Die Experten schätzen, dass durch die langfristige Belastung mit Feinstaub 432.000 Menschen in Europa im Jahr 2012 vorzeitig starben und die Lebenserwartung eines jeden EU-Bürgers im Durchschnitt um etwa 38 Tage sinkt. In Ballungsgebieten ist der Straßenverkehr die dominierende Schadstoffquelle. Der Feinstaub gelangt aus Motoren, vorrangig aus Dieselmotoren und durch Bremsen, Reifenabrieb sowie durch die Aufwirbelung des Staubes von der Straßenoberfläche in die Luft. Besonders der Autoverkehr sorgt in Städten für schlechte Luft www.sissu.it Verursacher von Feinstäuben sind aber auch Industrieanlagen, Kohlekraftwerke, Öfen und Heizungen sowie der Schiffs- und Flugverkehr. Während hier die Partikel bei der direkten Verbrennung entstehen, kommt noch der sogenannte sekundäre Feinstaub hinzu. Sekundärer Feinstaub entsteht durch chemische Reaktionen in der Luft. Schwefeldioxid (SO2) und Stickoxide (NOx), die bei der Verbrennung entstehen, reagieren dort mit Ammoniak, dass durch Düngung in der industriellen Landwirtschaft freigesetzt wird, zu Ammoniumsulfat und Ammoniumnitrit. "Damit haben wir weiteren Feinstaub", erklärt Professor Rainer Friedrich von der Uni Stuttgart. Nach seinen Berechnungen liegt der Anteil dieser sekundären Feinstäube bei 40 Prozent in Deutschland. Zum Schutz der europäischen Bevölkerung raten die Experten des EU-Reports zur Einhaltung des Luftqualitätsstandards, wie sie die die Weltgesundheit (WHO) empfiehlt. Dafür müsste die Feinstaubkonzentration in den 28 Mitgliedsländern um durchschnittlich ein Drittel gesenkt werden. "Im Vergleich mit der gegenwärtigen Situation könnten so 144.000 vorzeitige Todesfälle vermieden werden", lautet ein Ergebnis der Autoren. Autoverkehr verantwortlich für Stickstoffdioxid und Ozon in Städten Die Redaktion empfiehlt China leidet unter Smog Killer-Smog: Täglich 4000 Tote in China Mehr Tote durch Manipulation beim Diesel IWF: 2200 Milliarden für Gesundheitskosten Viel Feinstaub aus Kohle www.sissu.it Feinstaub aus Kaminöfen Weniger Feinstaub dank Umweltzonen Sehr hoch sind in den Städten auch die Luftschadstoffe Ozon (O3) und Stickstoffdioxid (N2O). Stickstoffdioxid ist sehr giftig und kann Kopfschmerzen, Schwindel Atemnot und Impotenz auslösen. Ozon ist ebenfalls für Kopfschmerzen verantwortlich und reizt die Schleimhäute in Rachen, Hals und Bronchien und verursacht Husten und verschlechtert die Lungenfunktion. 98 Prozent der städtischen Bevölkerung in den EU Ländern wurde 2013 Ozon-Konzentrationen ausgesetzt, "die über den WHO-Richtwert liegen", lautet ein weiteres Ergebnis des Berichts. Zudem lag die Konzentration von Stickstoffdioxid bei neun Prozent der Stadtbewohner über den WHORichtwert und den EU-Vorgaben. Stickstoffdioxid entsteht bei der Verbrennung von Kohle, Öl und Gas. In den Städten ist besonders der Autoverkehr das Problem. Ozon ist vor allem ein Folgeprodukt der Autoabgase und entsteht aus Stickoxiden in Bodennähe unter dem Einfluss von Sonnenlicht (UV). Hohe Kosten durch Luftverschmutzung Immer mehr Menschen leiden unter schlechter Luft. Für die Staaten und Gesundheitssysteme sind auch die Kosten ein Problem. Experten des internationalen Währungsfonds (IWF) berechneten die externen Kosten für Energie weltweit, vor allem die Gesundheitskosten, die durch die Luftverschmutzung aus Kraftwerken und dem Verkehr entstehen. Nach ihren Angaben summieren sich die globalen Kosten für die Gesundheit im Jahr 2013 auf rund 2200 Milliarden Dollar. Die weiteren Kosten, die durch Luftschadstoffe in Landwirtschaft und Natur entstehen, bezifferten die Experten nicht. US EUROPE AFRICA ASIA April 21, 2015 www.sissu.it Migrants' bodies brought ashore as EU proposes doubling rescue effort (Agencies) Updated: 2015-04-21 09:56 Comments Print Mail Large Medium Small A child is carried by a rescue worker (R) as he arrives with migrants on the boat at the Sicilian harbor of Pozzallo, Italy, April 19, 2015. [Photo/Agencies] CATANIA, Italy/LUXEMBOURG - The European Union proposed doubling the size of its Mediterranean search and rescue operations on Monday, as the first bodies were brought ashore of as many as 900 people feared killed in the deadliest known shipwreck of migrants trying to reach Europe. Three other rescue operations were underway on Monday to save hundreds more migrants in peril on overloaded vessels making the journey from the north coast of Africa to Europe. The mass deaths have caused shock in Europe, where a decision to scale back naval operations last year seems to have increased the risks for migrants without reducing their numbers. "The situation in the Mediterranean is dramatic. It cannot continue like this," said European Council President Donald Tusk, calling an extraordinary summit of EU leaders for Thursday to plan how to stop human traffickers and boost rescue efforts. www.sissu.it Malta's Prime Minister Joseph Muscat said as many as 900 people may have died in Sunday's disaster off the coast of Libya when a large boat capsized. That would be the highest death toll in recent times among migrants, who are trafficked in the tens of thousands in rickety vessels across the Mediterranean. As 27 survivors of the disaster arrived in Italy on a coast guard vessel late on Monday, authorities said the captain of the migrant boat and his deputy had been arrested on suspicion of people smuggling. EU ministers held a moment of silence at a meeting in Luxembourg to discuss the crisis. The bloc's executive, the European Commission, presented a ten-point plan to address the crisis, which would include doubling the size and the funding of "Triton", an EU naval operation in the Mediterranean. But even that would leave the operation smaller and less well-funded than an Italian mission abandoned last year due to costs and domestic opposition to sea rescues that could attract even more migrants. April, 22 2015 EU unveils migrant action plan as more boats in distress Published : 2015-04-22 16:28 Updated : 2015-04-22 16:28 EU foreign affairs chief Federica Mogherini unveiled plans Monday to tackle a growing migrant crisis after telling member states they had "no more excuses" not to act as fresh distress calls rang out in the Mediterranean. A day after a fishing vessel crammed with migrants capsized off Libya with the loss of hundreds of lives, EU foreign and interior ministers met in Luxembourg to discuss ways to stem the flood of people trying to reach Europe. More than 700 migrants are feared dead in Sunday's disaster, with some survivors suggesting nearly 1,000 people could have been on board. As the search for victims continued, the International Organization for Migration said it had received a distress call from another boat -- but cautioned against concluding this was another disaster in the making. Italian Premier Matteo Renzi said separately that Italy's coast guard had asked merchant shipping to help two boats off the Libyan coast with up to 450 migrants on board after they sought help. Police in Greece meanwhile reported three people killed, including a child, after a boat coming from Turkey sank off the island of Rhodes. www.sissu.it Dramatic YouTube footage showed people trying to reach survivors huddled on a piece of wreckage as they were being swept towards rocks. Ninety-three people were rescued alive, police said. Europe's southern shores have been swamped over the past two weeks with migrants fleeing war and hardship, mostly via conflict-wracked Libya. Unveiling a 10-point action plan, Mogherini said the 28-member bloc needed "to show that same collective European sense of urgency we have consistently shown in reacting in times of crisis." The EU had to live up to its humanitarian values and commitments towards migrants, she said, adding: "To send them back is another way of killing them." First on the list, ministers agreed the current EU border surveillance mission Triton should be increased to extend its range and capabilities on the bloc's southern flank. Triton replaced Italy's own Mare Nostrum mission which Rome scrapped late last year in protest that its EU partners would not share the burden. The EU will also try to capture or destroy people smuggler boats and increase cooperation across the board, the European Commission said. The bloc will offer too a "voluntary pilot project on resettlement, providing a number of places to persons in need of protection," a key but small step forward in spreading the problem. Up to now, countries relatively untouched by the problem had objected to this form of burden sharing, however small. Diplomats said there could be 5,000 places available but the Commission gave no figure. EU president Donald Tusk announced an emergency leaders summit for Thursday to discuss the plan, saying: "We cannot continue like this, we can't accept that hundreds of people die." Italy's Renzi, whose country bears the brunt of the problem, said Rome was studying the possibility of mounting "targeted interventions" against Libya-based people smugglers. "Attacks on death rackets, attacks against slave traders (traffickers) are in our thinking," Renzi told a press conference with his Maltese counterpart Joseph Muscat. For his part, Muscat urged the EU to help solve the chaos in Libya where rival factions have fought for control since a 2011 uprising ousted longtime dictator Moammer Khadafi. The charity Save the Children criticized the EU for not agreeing "immediate action" at Monday's meeting. www.sissu.it "What we needed from EU foreign ministers today was life-saving action, but they dithered. The emergency summit on Thursday is now a matter of life and death," said the group's head Valerio Neri in a statement. Italian and Maltese navy boats meanwhile continued to search for the victims of Sunday's disaster, which brings to an estimated 1,600 the number of migrants who have drowned in the Mediterranean this year. Only 28 survivors have been found so far, along with 24 bodies, which were taken to Malta. One survivor told Italian authorities there were as many as 950 people on board and that some had been locked below deck by the smugglers. The tragedy caused an outcry across Europe, where newspapers declared it the "EU's darkest day" and called for urgent action. UNHCR head Zeid Ra'ad Al Hussein said the Mediterranean was turning into a "vast cemetery" and accused the EU of "turning its back on some of the most vulnerable migrants in the world." In Washington, the US State Department said it was cooperating with the EU on the issue and providing assistance closer to the migrants' "point of origin". "So we're providing assistance and we'll keep talking to the Europeans about it," State Department acting spokeswoman Marie Harf said. More than 11,000 migrants have been rescued by Italian authorities since the middle of last week alone and current trends suggest last year's total of 170,000 landing in Italy is likely to be exceeded in 2015. The deadliest incident prior to Sunday occurred off Malta in September 2014, when an estimated 500 migrants drowned after traffickers deliberately rammed their boat in an attempt to force the passengers onto a smaller vessel. (AFP) Philippines Star: The Latest: Captain and crew member arrested (Associated Press) | Updated April 21, 2015 - 8:43am www.sissu.it Migrants swim to reach the shore as others remainare on a listing vessel that later sunk in the eastern Aegean island of Rhodes, Greece on Monday, April 20, 2015. Greek authorities said that at least three people have died, including a child, after a wooden boat carrying tens of migrants ran aground off the island of Rhodes. AP/Michalis Loizos GREECE OUT 01:41 a.m. (2341 GMT, 7:41 p.m. EDT) Prosecutors have arrested the Tunisian captain and a Syrian crew member of a boat that capsized off the coast of Libya with hundreds of people aboard in what may be the deadliest migrant tragedy ever. Assistant prosecutor Rocco Liguori said the two men were charged with favoring illegal immigration and that the captain was also charged with reckless multiple homicide in relation to the sinking. The two men were arrested aboard the rescue boat that brought 27 survivors from the shipwreck, which may have killed as many as 900 people, to Italy. 8:10 p.m. (1810 GMT, 2:10 p.m. EDT) The U.S. says it plans to continue cooperation with Europe on the migrant crisis in the Mediterranean. World ( Article MRec ), pagematch: 1, sectionmatch: 1 www.sissu.it U.S. State Department spokeswoman Marie Harf said Monday, "I think that the tragic events of the last few days just underscore how important that cooperation is." EU leaders will hold an emergency summit on Thursday to discuss how to stem migrant trafficking from Africa and the Middle East after a boat carrying hundreds of people destined for Europe capsized off Libya. Harf says "ultimately, the goal is that refugees and migrants don't have to undertake these steps." ___ 7:15 p.m. (1715 GMT, 1:15 p.m. EDT) European Union foreign affairs chief Federica Mogherini says the reported deaths of hundreds of migrants over the weekend and Monday has "finally" fully woken up the EU to the evil of human trafficking. She said that gathering 41 EU foreign and home affairs ministers around a table in Luxembourg at less than 24 hours' notice to discuss answers to the tragedy "finally — finally — gives the idea of a new sense of urgency, a new sense of political will" to tackle the crisis. Until the weekend the EU had not planned any special meeting and initially, foreign ministers had no plans to directly discuss migration at Monday's meeting of foreign ministers. But as the reality of the disasters in the Mediterranean started to sink in, EU President Donald Tusk on Monday called for an emergency meeting of government leaders, set for next Thursday. Over the past week, the EU has faced increasing criticism over why it has taken it so long to jump into action. "As a human being and as a mother, this is also the question that I asked myself in these hours," Mogherini said. The Malay Mail (EN) LONDON, April 22 — Britain said it was considering ways to help Europe’s refugee crisis yesterday following the Mediterranean’s worst migrant disaster. Foreign Minister Philip Hammond told the BBC he wanted a “more formidable operation on the sea”, while Prime Minister David Cameron said he wanted to prevent migrants travelling and “stop this cargo www.sissu.it of death”. The Ministry of Defence was understood to be considering options on how to help with the crisis at sea, said a source close to the matter speaking on condition of anonymity. “We’ve got one of the strongest and best-organised aid budgets anywhere in Europe and we can help stabilise some of these countries,” Cameron told BBC radio. “We’ve obviously got all sorts of resources at our disposal in terms of national criminal intelligence systems and intelligence services where we can go after the criminal gangs.” Cameron is to set out details of a plan tomorrow at an European leaders emergency summit called to address the crisis. The prime minister, who is seeking re-election in a May 7 vote, defended the decision to end Mare Nostrum, the Italian search and rescue operation scrapped last October after EU partners including Britain declined to share the cost. “It seemed that more lives were being lost because of what the Italian navy was doing,” Cameron said. “More people were taking to the sea, more people were dying.” Newspaper The Times reported that the British government was now considering sending a warship to help in what it described as a “significant change of direction”. The government “was now ready to consider helping to meet the costs of countries such as Italy, which are on the front line of the crisis, and assist with the resettlement of refugees,” The Times reported, citing diplomats. Options under consideration included the deployment of one of Britain’s biggest warships, the HMS Bulwark, or using the HMS Dauntless destroyer, or naval helicopters to help with surveillance, the newspaper said. — AFP www.sissu.it Migrants rest after they disembarked in the Sicilian harbour of Augusta, April 16, 2015. — Reuters pic More Stories for You: MORE ON MMOTV Bloomberg Video: Asia’s migrant workers face difficult life choices (2:38) Millions of Asia’s workers travel abroad to earn a living. Politically, calls to bring them back may earn governments a few points. — Bloomberg UNHCR: Weekend shipwreck deadliest ever in Mediterranean Trisha Thomas and Collen Barry, The Associated Press, Catania, Sicily | World | Tue, April 21 2015, 9:53 PM World News www.sissu.it Japan highlights need for UN reform Thailand rushes to fix illegal fishing after EU ban threat Sunni tribesmen fight their own after breaking with IS group The United Nations refugee agency said Tuesday that it believes more than 800 people drowned when a boat packed with migrants trying to reach Europe sank on Saturday, making it the worst such incident ever in the Mediterranean. New details of the tragedy were emerging as the U.N. High Commissioner for Refugees and other aid agencies interviewed the handful of survivors who arrived overnight in Catania, Sicily. Survivors put the number of passengers on board the three-deck fishing trawler at 850, according to UNHCR spokesman Adrian Edwards in Geneva. Only 24 bodies were recovered, in addition to the 28 survivors. "From available information and the various accounts we've had UNHCR now believes the number of fatalities to have been over 800 making this the deadliest incident in the Mediterranean that we recorded," Edwards told reporters in Geneva. The International Organization for Migration said the 2015 rate of migrant deaths in the Mediterranean is much higher than last year, when a total of 3,279 migrants died. That, in turn, was much higher than in 2013, when around 700 died, IOM said. So far this year, 1,776 have died, according to the U.N. refugee agency, which also estimates that 219,000 people made the crossing last year. The total number of deaths this year "could well top 30,000," said Joel Millman, spokesman for IOM. "We just want to make sure people understand how much more ... rapid these deaths have been coming this year than last year." Among the arrivals overnight were two suspected smugglers, who were immediately detained for investigation of aiding and abetting illegal immigration, reckless homicide and causing a shipwreck. The newly arrived survivors told UNHCR that the wreck was caused when one of the smugglers crashed the boat against the Portuguese-flagged King Jacob container ship that responded to a distress call, according to UNHCR spokeswoman Carlotta Sami. "The survivors said that the person who was steering the boat, their smuggler, was navigating badly, and he did a bad move that made it crash against the bigger ship," Sami said by telephone from Sicily. The ship pitched in the water before finally tipping over, and sinking. Several hundred people were locked on the lower level, hundreds more were inside a second level and hundreds more were on deck, according to prosecutors. They said the capsizing was due to both to the mistaken maneuver by smuggler captain, Mohammed Ali Malek, 27, and then the migrants reaction, moving around the overcrowded boat already unbalanced from www.sissu.it the collision. Catania prosecutor Giovanni Salvi on Tuesday backtracked on an earlier statement that the container ship's inexperience had contributed to the tragedy, stressing that crew members had done their job. Sami praised the Portuguese ship, which had previous experience in a handful of other migrant rescues. The weekend deaths have jolted the European Union into taking action, with Italy demanding that it not be left alone to shoulder the burden of rescues and that the EU focus on preventing the boats from leaving Libya. Combatting the smugglers by arresting the ringleaders and destroying their boats is emerging as a key part of Europe's 10-point proposal for an emergency summit in Brussels on Thursday. Italy has arrested more than 1,000 smugglers, most of them the navigators and not the masterminds. The survivors were brought Tuesday to a migrant holding center in Catania and were "very tired, very shocked, silent," according to Flavio Di Giacomo of the IOM. Sami said all the survivors were men, several of them adolescents. "They are very confused, fragile and scared," she said. The coast guard, meanwhile, reported that it saved some 638 migrants in six different rescue operations on Monday alone. On Tuesday, a further 446 people were rescued from a leaking migrant ship about 80 miles (130 kilometers) south of the Calabrian coast. The smugglers use a variety of boats for their crossings, from rubber Zodiac-type boats to wooden fishing vessels and even old cargo ships. They are almost always overcrowded to maximize the revenue of the smugglers, who charge between 1,000 and 1,500 euros (dollars) for the crossing from Libya, where most trafficking operations originate. Not all those turning to smugglers to escape conflict or violence are risking their lives in unseaworthy boats. Police in Ragusa, a Sicilian port town, said they arrested three Syrians who were in charge of a 25meter (83-foot) Turkish-flagged luxury yacht, which charged passengers $8,500 a piece to travel from Turkey to Sicily. Among the Syrian and Palestinian passengers were 23 children. Selfies and other photos snapped by passengers helped police identify the crew of smugglers, police said in a statement. They estimated that the organizers were paid some $800,000 in total for the trip. Authorities discovered that the yacht was a smuggling boat when two merchant ships were called out to aid a boat in distress. The EU plan calls for closer law-enforcement coordination to trace smugglers' revenue sources, which prosecutors have said often evade traditional bank transfers in favor of informal Arab Hawala networks, in which migrants' relatives in Europe pay local brokers for each leg of the journey. Italy had launched a robust and expensive search-and-rescue mission in 2013 after some 366 migrants drowned off the island of Lampedusa. The politically unpopular Mare Nostrum operation ended last year, www.sissu.it and the EU's Frontex border patrol mission took charge. But its limited mandate and resources have prevented it from being effective in saving lives. ___ Barry reported from Milan. Frank Jordans in Berlin and Nicole Winfield and Frances D'Emilio in Rome contributed to this report. (**) Refugees in the Mediterranean All latest updates The worst yet? Another boat capsizes between Libya and Italy as Europe debates migration policy Apr 19th 2015 | ROME | Europe www.sissu.it WHETHER it was the Mediterranean's deadliest refugee drowning in decades remains to be seen. But it was certainly terrible, and its political effects could spread far. One of the survivors of a refugee boat that capsized late on the night of April 18th in the waters between Libya and the Italian island of Lampedusa said that at least 700 people had been on board. Just 28 have been rescued so far. That would make it by far the worst maritime disaster in the Mediterranean since the second world war. On April 19th the Italian coast guard sounded a cautionary note on the casualty figures. The boat was just 20 metres long, and while it may have been transporting hundreds of people, it is doubtful whether even the ruthless people-smugglers who dispatch migrants from the Libyan coast could force 700 aboard a vessel of that size. By early afternoon, with 24 bodies recovered, the coast guard said the number of dead might need to be recalculated. What is beyond doubt, though, is that the migrants crossing the Mediterranean to Europe are dying this year at an unprecedented rate. According to figures released by the Italian interior ministry after the latest disaster, 23,556 people have entered Italy irregularly by sea since January 1st. That is not a big increase over 2014, when the figure for the same period was 20,800. But the death toll, according to the International Organisation for Migration (IOM), has leapt almost tenfold. Even before the latest calamity it stood at 954. Why? Apart from worse weather, humanitarian aid officials point to two factors. One is the suspension last October of Italy’s Mare Nostrum search-and-rescue mission. It was replaced by Operation Triton, run by the EU’s border control agency, Frontex, which has a much narrower remit to patrol Italy’s territorial waters and a budget of less than a third that of Mare Nostrum. The second factor is that the smugglers are cramming more and more people on ever more vulnerable craft as they run short of boats. Twice this year, armed smugglers have forcibly taken back boats used to transport migrants and asylum-seekers after their passengers were rescued by other vessels—a sure sign that the boats are becoming more valuable. In the second incident, which took place last Monday, the www.sissu.it smugglers fired shots in the air before recovering a wooden craft about 60 nautical miles (111km) from the Libyan coast. Frontex’s executive director, Fabrice Leggeri, said last month that “anywhere between 500,000 to a million people" were ready to leave from Libya. That would not be surprising: Libya has lapsed into anarchy since the overthrow of Colonel Muammar Qaddafi in 2011. It has become an especially hellish place for sub-Saharan migrants, who report being robbed, kidnapped and confined to detention centres, where men are often beaten and women raped. But the shortage of boats suggests that a decreasing proportion of those wanting to leave for Europe will be able to do so—and those who do will face an increasingly perilous journey. What to do? The European Union’s response so far has been remarkably languid. The latest disaster may at last spur it into action. Mr Leggeri has asked for more resources from the EU. And the leaders of member states may now be prepared to consider a wider remit for Operation Triton. It would be foolish to imagine that the migrants and asylum-seekers will stop coming. In lawless Libya and in the migrants' countries of origin—Syria, Eritrea, Somalia, Mali—the factors pushing them to gamble their lives on a sea crossing to Italy are still in place. Viet Nam News: Italy arrests two over migrant boat sinking The captain and a crew member of a boat that capsized off Libya on Sunday, killing hundreds of migrants, have been arrested, Italian officials say. Survivors of Sunday's sinking off Libya arrived in the Sicilian port of Catania late on Monday www.sissu.it The two, held on suspicion of people trafficking, were among 27 survivors who arrived in Sicily late on Monday. The arrests come after the EU set out a package of measures to try to ease the migrant crisis in the Mediterranean. Search and rescue operations will be stepped up and there will be a campaign to destroy traffickers' boats. Italian Infrastructure Minister Graziano Delrio said the prosecutor of Catania in Sicily, Giovanni Salvi, had ordered the arrests of the two men who had arrived in the port on a coast guard vessel. Other officials said the pair were the Tunisian captain of the migrant boat and his Syrian first mate. "Prosecutor Salvi has made two arrests this evening of persons involved, that shows Italian justice is working," Mr Delrio told reporters in Catania. A homicide investigation has been opened into the disaster, he added. Speaking about Sunday's disaster, in which only 28 of an estimated 700 migrants were rescued, Mr Salvi said hundreds had been locked below deck when the boat capsized. He said more passengers were locked inside cabins on another deck and hundreds more were crammed on to its upper deck. Earlier, EU foreign policy chief Federica Mogherini said the 10-point package set out at talks in Luxembourg was a "strong reaction from the EU to the tragedies" and "shows a new sense of urgency and political will". "We are developing a truly European sense of solidarity in fighting human trafficking - finally so." The measures include an increase in the financial resources of Frontex, which runs the EU's Mediterranean rescue service Triton, and an extension of Triton's operational area. www.sissu.it The EU had been criticised over the scope of Triton, which replaced the larger Italian operation Mare Nostrum at the end of last year. As the talks took place late on Monday, Italy and Malta said at least two other rescues were taking place. Italian Prime Minister Matteo Renzi said one of the vessels was a dinghy off the Libyan coast with about 100-150 people on board. The other was a larger boat carrying 300 people. Earlier, the Greek coastguard said a vessel carrying dozens of migrants had run aground off the island of Rhodes. Three people had died and 80 were rescued, it said. Maltese Prime Minister Joseph Muscat said Sunday's disaster off Libya was "a game changer", adding: "If Europe doesn't work together history will judge it very badly." Continued political instability in Libya has allowed human trafficking there to flourish. Ms Mogherini said they had discussed the possibility of supporting a government of national unity in Libya. www.sissu.it Source: BBC Die Deutsche Welle, 3rd December 2015: Geldpolitik Kommentar: Ein geldpolitischer Amoklauf An der jüngsten Zinsentscheidung der Europäischen Zentralbank kann man sehr schön nachvollziehen, wie eine Politik des billigen Geldes mehr Schaden anrichten kann als Nutzen, meint Rolf Wenkel. www.sissu.it Die Leitzinsen hat die EZB unverändert seit September 2014 bei 0,05 Prozent belassen Geschäftsbanken bekommen also Zentralbankgeld weiterhin praktisch umsonst nachgeschmissen. Allerdings müssen sie ab heute statt 0,2 nunmehr 0,3 Prozent Strafe zahlen, wenn sie überschüssiges Geld über Nacht bei der Zentralbank parken. Das soll die Institute dazu bewegen, mehr Kredite an die Wirtschaft zu vergeben - wird aber lediglich die Geldhändler der Banken ins Schwitzen bringen. Sie müssen noch knapper kalkulieren, um am Ende des Tages nur ja keine Liquidität übrig zu haben - die Kreditnachfrage wird damit freilich nicht angekurbelt. Zudem wird die EZB ihr Programm zum Aufkauf von Anleihen um mindestens sechs Monate verlängern. Das Programm werde "bis Ende März 2017 oder länger" laufen, kündigte EZB-Chef Mario Draghi an. Das Anfang dieses Jahres gestartete Programm sollte eigentlich bis September 2016 laufen. Derzeit pumpt die EZB über die Anleihekäufe monatlich 60 Milliarden Euro in den Markt. www.sissu.it Rolf Wenkel, Redaktion Wirtschaft und Wissenschaft Lasst Pferde saufen Karl Schiller, von 1966 bis 1972 Wirtschaftsminister im Kabinett des damaligen Bundeskanzlers Kurt Georg Kiesinger, hat bei seinem Amtsantritt das Ziel seiner Konjunkturpolitik mit dem berühmten Satz umschrieben: "Die Pferde müssen wieder saufen". Indes: Wenig später musste er in Anlehnung an eine Bemerkung des britischen Ökonomen John Manyard Keynes - feststellen: "Man kann die Pferde zwar zur Tränke führen. Man kann sie aber nicht zwingen zu saufen." Mit anderen Worten: Es ist sinnlos, eine bereits volle Tränke weiter mit Wasser füllen zu wollen. Doch Mario Draghi gießt weiter Wasser in die überfluteten Tränken. Er ist fest entschlossen, im Kampf gegen die niedrige Inflation in der Eurozone nachzulegen und die Finanzmärkte weiter mit Liquidität zu fluten. Allein: Die Unternehmer - oder, um im Bild zu bleiben: die Pferde - saufen und investieren nicht, und die Inflationsrate verharrt seit einiger Zeit in der Eurozone nahe Null, im Oktober und November betrug der Preisanstieg lediglich 0,1 Prozent. Das Gespenst der Deflation Als idealen Wert für die Teuerungsrate strebt die EZB eigentlich eine Inflationsrate von knapp zwei Prozent an. Bleibt dieser Wert jedoch nahe Null oder wird er sogar negativ, droht die Alarmstufe "Rot": Die Unternehmer und Verbraucher könnten Investitionsausgaben und größere Anschaffungen im privaten Konsum – in Erwartung weiter sinkender Preise - aufschieben und so das Wirtschaftswachstum bremsen. Doch die Politik des ultrabilligen Geldes wirkt langsamer als ursprünglich von der EZB erhofft, die Wirtschaft erholt sich nur langsam, die Pferde saufen nicht. Typisch für dieses Szenario ist die deutsche Wirtschaft: Sie wächst moderat, stagnierende oder sinkende Exporte in die Schwellenländer werden durch steigende Exporte in die Europäische Union ausgeglichen, die Unternehmer zögern mit ihren Anlage- und Erweiterungsinvestitionen, getragen wird der moderate Aufschwung im wesentlichen von der Konsumfreude der Verbraucher. Ein Amoklauf ins Leere Auch was die Inflationsrate angeht, reagiert Marion Draghi völlig unangemessen. Denn momentan ist es vor allem der stark gesunkene Ölpreis, der die Teuerung niedrig hält. Dagegen stabilisiert sich die so genannte Kerninflation ohne Energiepreise. Dennoch intensiviert die EZB ihre bisherigen Maßnahmen, anstatt den Ausweg in die geldpolitische Normalität vorzubereiten. Kein Wunder, dass Ökonomen mittlerweile urteilen, die derzeit geringe Inflationsrate erfordere keine zusätzlichen Maßnahmen der EZB, die ohnehin weitestgehend ins Leere laufen. Stattdessen aber steigern die Entscheidungen der EZB die Risiken für das Finanzsystem. Der Gewöhnungseffekt an die Geldflut und den unnatürlichen negativen Zins fördert nämlich womöglich spekulative Blasen. Kapitalanleger, die ständig auf der Suche nach angemessenen Renditen sind, werden gezwungen, immer höhere Risiken einzugehen. Gleichzeitig werden die Sparer weiter unter massiven Einbußen leiden. www.sissu.it Mario Draghi kann einem leid tun. Die Wirtschaft in Europa erholt sich, langsam zwar, aber sie erholt sich. Und zu vermuten ist: Sie würde sich auch so erholen, ohne den geldpolitischen Amoklauf eines EZB-Präsidenten, der nur noch deflationäre Gespenster sieht. Sie können unterhalb dieses Artikels einen Kommentar abgeben. Wir freuen uns auf Ihre Meinungsäußerung! GREECE 23 January: Alexis Tsipras, the leader of Syriza party, wins the election. His programme is to end the scheme of Troika ECB, IFM and EU (www.minfin.gr; http://syriza.net.gr/index.php/en February: France, Spain and US support Greece, while Germany guides the group of countries that do not want Greece delay the reimbursement of her debt. www.sissu.it The argument of Tsipras is to pay the debt in function of the development. Putin is ready to support Greece in case European Union obliges Greece to abandon the Euro-zone. In addition, Tsipras does not recognize the Troika. But ECB doesn’t sponsor Greek about any longer. 06 February: S&P declasses Greece, and Schaeuble indicates the Troika as the interlocutor or Greece. In addition, he asks to Germany a reimbursement for the 2nd World War damns. GRECIA, 22 February, Tsipras is happy about the agreements with European Union, in force of which four months have been given to him for keeping to be alive, but he needs to recover money from loose taxes. Greece is fghtng not to fnish in bankrupt. Halimi Serge (Mars 2015). Soutenir la Grèce. Le Monde diplomatique, Mars 2015. Lambert Renaud (Mars 2015). Dette publique, un siècle de bras de fer. Le Monde diplomatique, Mars 2015. April: Putin offers aid to Greece, but he too is limited since Russia public debt is the double since the last four years. May-June: intense negotiations with EU. July: people referendum about a ccept or not the new pattern of debt, more in favour of Europe than Greece. Greek people answer NOT. Greece, July-August: Varufakis stands down as ministry of Finance. EU agrees to give Greece new 86 billions Euros, that will return back to ECB and IMF mostly, as the previous “aids”. Premier Tsipras agrees to give Germany Fraport, company that manages Frankfurt airport, the management of Greek airports (including Mikonos and Santorini ones) for 40 years. Varoufakis Y. (Aout 2015). “Leur seul objectif était de nous humilier”. Le Monde diplomatique, Aout 2015. Halimi S. (Aout 2015). L’Europe don’t nous ne voulons plus. Le Monde diplomatique, Aout 2015. MACEDONIA, Skopje, 21st August, the gvt decides to stop immigraton closing the highway to Athens. In the meanwhile UK and FRANCE sign an agreement about Calais control, a place that is controlled in truth by Britsh Mafa. Afer a few days, the boundaries are open again. GREECE, 21st August, Alexis Tsipras leaves the gvt. New electons are announced for 20 th September, while the president gives charge to form a new govt, without success. The migrants issue is about to be added at the interim govt’s agenda, led by Vassiliki Thanou. GREECE, 21st September: Tsipras gains again the election, even if the abstention is high. Dericquebourg B. (Septembre 2015). Syriza et les chausse-trapes du pouvoir. Le Monde diplomatique, September 2015. Der Spiegel, 29th November 2015: www.sissu.it Grenzzaun in Mazedonien: Steinwürfe und Blendgranaten Mazedonien errichtet einen meterhohen Zaun an der Grenze zu Griechenland, um Flüchtlinge zurückzuhalten. Am Samstag gab es einen tragischen Unfall, im Anschluss daran eskalierte die Situation. Es flogen Steine und Blendgranaten. AP Die Spannungen zwischen mazedonischen Sicherheitskräften und Flüchtlingen an der griechischmazedonischen Grenze drohten am Samstag vorübergehend zu eskalieren. Mazedonische Soldaten bauen dort derzeit einen Grenzzaun mit drei Meter hoch aufragenden Metallpfosten, die in den Boden entlang der Grenze zwischen den beiden Staaten gerammt werden. Die Armee setzte schweres Gerät ein, um die hohe Absperrung bei Gevgelija schrittweise aufzustellen. Ein Unfall führte dann möglicherweise dazu, dass es zwischen den wartenden Flüchtlingen auf der griechischen Seite und mazedonischen Polizisten zu Gewalttaten kam. Ein Mann war der Agentur AP zufolge auf einen Zug geklettert und hatte die Oberleitung angefasst. Er zog sich schwere Verbrennungen zu, die auch auf Agenturfotos vom Unfallort zu sehen sind. Der Mann wurde in ein griechisches Krankenhaus gebracht, sein Zustand sei kritisch, berichtete die griechische Polizei. Der Unfall führte offenbar dazu, dass einige der wartenden Flüchtlinge damit begannen, die Polizeibeamten auf der anderen Seite mit Steinen zu bewerfen. Die habe die etwa 250 Steinewerfer anschließend mit Blendgranaten und Tränengas zurückgedrängt, berichten AP und Reuters. Dem Bericht zufolge positionierten sich griechische Polizisten schließlich zwischen Steinewerfern und mazedonischen Beamten, um letztere zu schützen. Die Flüchtlinge hätten die griechischen Beamten nicht angreifen wollen. Fotostrecke www.sissu.it 6 Bilder Mazedonisch-griechische Grenze: Gewalt am Zaun Mazedonien, Serbien und Kroatien liegen auf der sogenannten Balkanroute, über die Hunderttausende Menschen in EU-Länder fliehen. Ein Großteil von ihnen will nach Deutschland weiterreisen. Die Sicherheitsvorkehrungen wurden nach den Anschlägen vom 13. November in Paris verstärkt. Vor rund einer Woche erließ die mazedonische Regierung eine Neuregelung, nach der nur noch Syrer, Afghanen und Iraker durchgelassen werden. Alle anderen Flüchtlinge werden von Mazedonien als Wirtschaftsmigranten eingestuft. Ähnliche Regelungen bestehen in Serbien und Kroatien. Ein Sprecher der mazedonischen Regierung hatte erklärt, der neue Zaun diene lediglich dazu, "den Zufluss der Menschen zu den Kontrollpunkten für die Registrierung und humanitäre Behandlung zu leiten". Die Grenze bleibe offen für all jene, die "aus vom Krieg betroffenen Regionen kommen". cis/AFP/AP/Reuters Die Deutsche Welle, 3rd December 2015: Schuldenkrise www.sissu.it Griechenland: Banken gerettet, Milliarden verloren Die Rekapitalisierung griechischer Banken ist erfolgreich - hat allerdings Nebenwirkungen: Milliardenverluste für die Steuerzahler und zweifelhafte Eigentumsverhältnisse. Der jüngste Spruch des griechischen Finanzministers Eukleid Tsakalotos zur Bankenrettung wird vermutlich in die Annalen der Schuldenkrise eingehen: "Wir sind Opfer unseres eigenes Erfolgs", erklärte Athens oberster Kassenwärter am Rande eines Treffens der Euro-Finanzminister im November - und meinte damit, dass die Banken aufgrund reger Nachfrage nach ihren Aktien schneller als ursprünglich geplant und mit weniger staatlicher Hilfe neues Eigenkapital aufbauen könnten. Allerdings hat die eilig organisierte Bankenrettung ihre Tücken: Um möglichst schnell möglichst viele Investoren anzulocken, haben angeschlagene Banken in Hellas im sogenannten Reverse-SplitVerfahren mehrere Anteilsscheine zu einer einzigen Aktie zusammengefasst und diese zum Schleuderpreis verkauft. Hatte etwa der steuerfinanzierte Athener Rettungsfonds HFSF bei der letzten Rekapitalisierung vor zwei Jahren noch 4,29 Euro für einen Anteilsschein der National Bank of Greece ausgeben müssen, waren diesmal für Privatinvestoren nur zwei Cent für eine Aktie fällig. Vereinfacht lautet die Devise: Hundert neue Aktien zum bisherigen Preis einer einzelnen Aktie. Entsprechend verlieren alle Bankenpapiere an Wert, die der öffentliche Rettungsfonds HFSF derzeit als Alteigentümer besitzt. www.sissu.it Video ansehen 01:03 Generalstreik in Griechenland (Wirtschaft 03.12.2015) Milliardenverluste für den Staat "Der Staat und die Steuerzahler verlieren 30 Milliarden Euro" empört sich die Athener Wochenzeitung To Vima. Das Verfahren und der daraus resultierende Schaden seien durchaus vergleichbar mit dem Rückgriff auf die Bankeinlagen Zyperns im Jahr 2013, rügt das Blatt. Allerdings würden auf Zypern in erster Linie die eigenen Kunden zur Rettung der Banken herangezogen, während in Griechenland die Steuerzahler haften. Kostas Stoupas, Ökonom und Analyst im Wirtschaftsportal Capital.gr, erklärt den Sachverhalt im Gespräch mit der DW wie folgt: "Mit knapp sieben Milliarden Euro konnten Privatinvestoren in den vergangenen Tagen rund zwei Drittel des Aktienkapitals aller Systembanken ergattern. Sowohl der Staat, als auch diverse Privatinvestoren hatten in früheren Rekapitalisierungsrunden 37 Milliarden zur Verfügung gestellt, die jetzt praktisch verloren sind." Alternativloses Handeln Allerdings gäbe es auch keine Alternative zu dieser Vorgehensweise, gibt Stoupas zu bedenken. Oder anders formuliert: Die Alternative wäre lediglich, Griechenland hätte sich im Jahr 2015 nicht auf das Abenteuer aufeinanderfolgender Wahlen eingelassen und das Vertrauen in die Gesundung des Bankensystems dadurch nicht gefährdet, meint der Ökonom. Die Links-Rechts-Regierung in Athen sieht das natürlich anders. Sie behauptet, die jüngste Rekapitalisierungsrunde in Hellas sei keine Folge politischer Instabilität und nur deshalb nötig gewesen, weil frühere Kapitalerhöhungen nicht erfolgreich gewesen seien. Mit anderen Worten: Die früher regierenden Konservativen und Sozialisten seien schuld. Die Redaktion empfiehlt Dämpfer für griechische Wirtschaft Die griechische Wirtschaft ist im dritten Quartal stärker geschrumpft als zunächst berechnet. Das lag vor allem an der wochenlangen Schließung der Banken im Sommer. (27.11.2015) Griechenland überzeugt Geldgeber www.sissu.it Athener Parlament billigt weiteres Reformpaket Politischer Streit Für die Oppositionsparteien wiederum ist die Bankenrettung ein Skandal wegen Verschleuderung öffentlicher Gelder, vor allem aber deshalb, weil die griechischen Kreditinstitute angeblich zur leichten Beute ausländischer Spekulanten würden. Im Gespräch mit der DW erklärt der sozialdemokratische EU-Abgeordnete Miltos Kyrkos seine Sicht der Dinge: "Nachdem die griechischen Banken 2013 mit Steuergeldern rekapitalisiert wurden, hielt der Staat immerhin 80 Prozent der Anteile an jedem Kreditinstitut. Nun pumpen wir weitere Steuermilliarden hinein und verlieren trotzdem über Nacht die Kontrolle über unser Bankensystem. Als wäre das nicht schon genug, veräußert man die Banken an Hedge-Fonds, nämlich ausgerechnet an diejenigen, die Linkspolitiker früher einmal als Markt-Geier zu verschreien pflegten." Selbst die wirtschaftsliberale Abgeordnete und Ex-Außenministerin Dora Bakoyannis schlägt kritische Töne an. Nach der jüngsten Rekapitalisierungsrunde sei der Wert des Staatsanteils an den griechischen Banken von 25 Milliarden Euro auf einen Tiefstand von 500 Millionen gefallen; damit würden die Kreditinstitute völlig entwertet und zudem "enthellenisiert", moniert Bakoyannis in einer parlamentarischen Anfrage. Von dieser Rhetorik des Wirtschaftspatriotismus hält der Ökonom Kostas Stoupas wenig. "In einer modernen, global verknüpften Wirtschaft, agieren die Unternehmen ohnehin international. Nicht die Herkunft des Kapitals ist entscheidend, sondern die Frage, ob der Kapitalgeber sich an Recht und Gesetz hält", erläutert der Analyst. Athener Börse im Minus Die umstrittene Rettung der Kreditinstitute belastet nicht zuletzt die ohnehin krisengebeutelte Athener Börse. Erst ab dem 14. Dezember sollen die nach erfolgter Rekapitalisierung erworbenen Aktien zum Verkauf angeboten werden, möglicherweise zum Schleuderpreis. Schon jetzt liegen die Werte der Altaktionäre deutlich im Minus; an bestimmten Tagen stürzen einzelne Bankaktien sogar um bis zu 30 Prozent ab. "Das war natürlich zu erwarten", sagt Analyst Kostas Stoupas. "Viele Altaktionäre versuchen derzeit, ihre Papiere zu einem einigermaßen vernünftigen Preis loszuwerden, bevor die neuen Aktionäre mit ihren günstig erworbenen Aktien ins Geschäft einsteigen. Deshalb geht der Bank-Index deutlich ins Minus und ich glaube, nach unten ist noch viel Raum.‟ www.sissu.it BELGIUM DENMARK Tore Vincents Olsen (2015). The Danish free school tradition under pressure. Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 22-37. (premier Helle Thornig-Schmidt), 15 February, terrorist Omar Abdel Hamid el Hussein, from Denmark, who killed some Jews in an occasion of debate about freedom of speech, is killed by Police. He was 22. FRANCE Xavier Pons, Agnès van Zanten & Sylvie Da Costa (2015). The national management of public and Catholic schools in France: moving from a loosely coupled towards an integrated system? Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 57-70. France January: terrorist attack against the newspaper Charlie Hébdo in Paris (the magazine was satyricon against Islam). Immediate the general response in the name of the freedom of word. Also Jewish centers, not only in France, were attacked by Islamic-inspired terrorists, even if many Muslim separated from these actions. Netanyahou in Israel accuses that Europe is no longer a secure place for Jews to live. Ravelli, Quentin (Janvier 2015). Les dessous de l’industrie pharmaceutique. Le Monde diplomatique, Janvier 2015. Boganda, Cyprien (2014). Le Business des faillites. Enquete sur ceux qui prospèrent sur les ruines de l’économie française. Paris : La Découverte. Bonelli, Laurent (Février 2015). Les chemins de la radicalisation. Le Monde diplomatique, Février 2015. Avec un dossier sur le djihadisme en Afrique. Clouet, Hadrien (Février 2015). Chomage, le mythe des emplois vacants. Le Monde diplomatique, Février 2015. Libération: www.liberation.fr www.sissu.it Demandes d'asile en Europe: Manuel Valls opposé aux quotas de migrants AFP 16 mai 2015 à 17:00 (Mis à jour : 16 mai 2015 à 17:13) L e Premier ministre Manuel Valls à Lyon, le 11 mai 2015 (Photo Philippe Desmazes. AFP) Le Premier ministre prône une répartition plus équitable des demandeurs d'asile entre pays de l'Union Européenne. Le Premier ministre Manuel Valls s’est dit samedi opposé à l’instauration de «quotas» pour la répartition des demandeurs d’asile dans les pays de l’UE, à l’occasion d’une visite près de la frontière franco-italienne, où des centaines de migrants ont été arrêtés au cours des derniers jours.«Je suis contre l’instauration de quotas de migrants; ceci n’a jamais correspondu aux propositions françaises», a déclaré Valls en gare de Menton, aux côtés du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve et des députés UMP Eric Ciotti et Christian Estrosi. «En revanche, l’Europe www.sissu.it doit avoir une politique de l’asile et la France a entrepris de réformer la sienne pour la rendre plus efficace», a poursuivi le Premier ministre. Sur le même sujet Migrants : l’Europe invente la solidarité par quotas Par Cédric Vallet Le plan d’action pour l’immigration et l’asile présenté mercredi par la Commission européenne prévoit des quotas obligatoires pour assurer une distribution équitable des réfugiés et en cas de crise, un transfert des demandeurs d’asile entre les États de l’UE. «L’asile est un droit, attribué selon des critères internationaux appliqués par tous les pays de l’Union européenne. C’est aussi pour cette raison que le nombre de ses bénéficiaires ne peut faire l’objet de quotas : on est demandeur d’asile ou on ne l’est pas», a ajouté le Premier ministre. A la gare de menton nous rappelons à @manuelvalls et @BCazeneuve les difficultés de l’afflux important de migrants pic.twitter.com/GPzInwGlKr — Christian Estrosi (@cestrosi) 16 Mai 2015 «Ce que la France dit, c’est que les réfugiés doivent être répartis entre les Etats membres de façon plus équitable. Cela suppose de tenir compte des efforts déjà consentis par chacun. Aujourd’hui, la France, l’Italie, l’Allemagne, le Royaume-Uni et la Suède accueillent 75% des réfugiés, des demandeurs d’asile en Europe», a déclaré Manuel Valls. La France est contre l'instauration de quotas de migrants en Europe et pour un système européen de gardes-frontières. pic.twitter.com/eKp5zm5CkE — Manuel Valls (@manuelvalls) 16 Mai 2015 «La France, déjà, a fait beaucoup: ainsi 5000 réfugiés syriens et 4500 irakiens ont déjà été accueillis en France depuis 2012. Nous continuerons à le faire, avec le souci que les efforts soient équitablement répartis», a-t-il encore fait valoir.«La France, non seulement fait des efforts pour accueillir, mais est aussi engagée dans des efforts militaires (...), elle répond aux défis que représentent le terrorisme et le trafic des migrants (...). Elle le fait pour sa propre sécurité, pour celle des pays d’Afrique, mais aussi pour celle de l’Europe et il ne faut pas l’oublier dans la répartition de l’accueil des réfugiés», a-t-il conclu. Après leur visite en gare de Menton, les ministres se sont rendus au poste-frontière de Saint-Louis, toujours à Menton, puis devaient ensuite se rendre à la gare de péage de La Turbie, sur l’autoroute A8, où se trouve un point de contrôle ouvert 24 heures sur 24. Au total, 152 personnels, pour l’essentiel issus de la Police aux Frontières, sont déployés dans les Alpes-Maritimes pour contrôler les flux migratoires. Entre lundi et jeudi, les forces de l’ordre ont interpellé dans les AlpesMaritimes 944 migrants, selon des chiffres du préfet Adolphe Colrat. Depuis le début de l’année, 54 passeurs ont également été arrêtés. www.sissu.it FRANCE, 22nd March, electons, Sarkozy returns to be the leader, while Marine Le Pen is third politcal force in the country. On 25th March a German airplane falls in France – the co-pilot sufered for depression. Descamps Philippe (Mars 2015). “Où sont les Sartre, les Foucault?”. Le Monde diplomatique, Mars 2015. Gombin Joel (Mars 2015). Mythologie du front républicain. Le Monde diplomatique, Mars 2015. Bréville Benoit, Rimbert Pierre (Mars 2015). Une gauche assise à la droite du people. Le Monde diplomatique, Mars 2015. Bulard M. (Avril 2015). Loi Macron, le choix du ‘toujours moins’. Le Monde diplomatique, Avril 2015. Dupin E. (Avril 2015). Le grand ratage des écologiestes français. Le Monde diplomatique, Avril 2015. FRANCE: 2O May, Marine Le Pen accuses Europe to be a partner of the migrants traffickers. 31 May Nikolas Sarkozy changes the name of UMP party, that is now Les Republicains. Didier M. (Aout 2015). Les bergers, prolétaires de l’élevage. Le Monde diplomatique, Aout 2015. Souchon P. (Aout 2015). Syndrome de Stockholm à Disneyland Paris. Le Monde diplomatique, Aout 2015. Daum P. (Aout 2015). Islam et relegation urbaine à Montpellier. Le Monde diplomatique, Aout 2015. Pigeaud F. (2015). France-Cote d’Ivoire, une histoire tronquée. Paris: Vents d’ailleurs. La Verdad (Venezuela) : Venezuela, Maracaibo, 14 de Noviembre de 2015 EI a Francia: “El hedor de la muerte no dejará sus narices” AP / El Cairo / [email protected] El Estado Islámico (EI) reivindicó el ataque del viernes por la noche en el centro de París, y destacó en su comunicado que Francia seguirá “encabezando la lista” de sus objetivos terroristas www.sissu.it El Estado Islámico se adjudicó los atentados en París, a través de un comunicado en Árabe y Frances, por las redes sociales. (fotos: Captura video) El grupo Estado Islámico se adjudicó el sábado la autoría de la ola de ataques en París que mataron a 127 personas y dijo que Francia seguirá “encabezando la lista” de sus objetivos. En una declaración publicada en internet, el grupo extremista dijo que ocho milicianos armados con cinturones explosivos y armas automáticas atacaron objetivos cuidadosamente seleccionados en la “capital de adulterio y el vicio”, incluso un estadio de fútbol donde Francia jugaba contra Alemania, y la sala de conciertos Bataclan, donde tocaba una banda de rock estadounidense y “cientos de apóstatas asistían a una fiesta adúltera”. El comunicado dijo que Francia y sus partidarios “se mantendrán en el inicio de la lista de objetivos del Estado Islámico”. “El hedor de la muerte no dejará sus narices, siempre y cuando sigan al frente de la campaña de los cruzados, se atrevan a maldecir a nuestro profeta, se jacten de una guerra contra el islam en Francia y ataquen a los musulmanes en las tierras del califato con aviones de guerra que no les sirven en las calles y callejones podridos de París”, dijo. Francia forma parte de la coalición liderada por Estados Unidos que ha estado golpeando al grupo Estado Islámico en Siria e Irak durante el último año. Antes fue blanco de los yihadistas debido a su percibida tolerancia a expresiones que son consideradas ofensivas para el islam. www.sissu.it El comunicado escrito en francés y árabe fue publicado en internet y después difundido por partidarios del grupo. Los simpatizantes también hicieron circular una versión en audio leída por un portavoz sin identificar y cuya voz se parece mucho a la de un locutor de la radioemisora Al Bayan. No fue posible confirmar por el momento la autenticidad de las publicaciones, pero los textos que circularon por internet portaban el logotipo del grupo y eran similares a declaraciones previas del grupo. Los comunicados no proporcionaron las nacionalidades ni otra información sobre los atacantes. Momentos antes, el presidente de Francia, François Hollande, había atribuido los ataques al grupo EI y prometió responder a los atentados, que calificó de “acto de guerra”. Los yihadistas ya han atacado a Francia en varias ocasiones, incluso en enero, cuando hombres armados irrumpieron en las oficinas de la revista satírica Charlie Hebdo, que había publicado caricaturas del profeta Mahoma consideradas ofensivas para los musulmanes. Ese ataque, en el que murieron 12 personas, fue reivindicado por Al Qaeda. Al Asad culpa a política francesa de expandir el terrorismo EFE / Damasco / [email protected] El presidente sirio, Bachar al Asad, responsabilizó a la equivocada política de Francia en el Oriente Medio de apoyar el terrorismo y su expansión, y agregó: “los terroristas no reconocen fronteras” www.sissu.it Al Asad invitó a los países occidentales a “adoptar nuevas políticas y procedimientos activos" contra el terrorismo. (Fotos: Archivo) El presidente sirio, Bachar al Asad, culpó hoy a la política francesa en Oriente Medio de “contribuir a la expansión del terrorismo”, en su reacción a los ataques, reivindicados por el grupo yihadista Estado Islámico (EI), que anoche causaron al menos 127 muertos en París. “La política equivocada de los Estados occidentales, particularmente Francia, hacia los acontecimientos de la región (de Oriente Medio), y el apoyo de un número de sus aliados a los terroristas son razones que están detrás de la expansión del terrorismo”, señaló Al Asad, citado por la agencia oficial siria de noticias, Sana. El presidente sirio insistió también en la importancia de “adoptar nuevas políticas y procedimientos activos para detener el apoyo logístico y político a los terroristas con el objetivo de derrotar al terrorismo”. Al Asad realizó estas declaraciones durante la recepción a una delegación de personalidades francesas, encabezada por el diputado opositor Thierry Mariani, añadió Sana. En ese encuentro, Al Asad añadió que los ataques terroristas de París no pueden separarse de los que tuvieron lugar en Beirut (hace dos días, que provocaron al menos 43 muertos), del conflicto que asuela Siria desde hace casi cinco años y de lo que está sucediendo en otras regiones. “El terrorismo es un campo en el mundo y los terroristas no reconocen fronteras”, señaló el presidente sirio. www.sissu.it Por su parte, los miembros de la delegación gala subrayaron que estos ataques terroristas en Francia ocurridos ayer probaron que no hay Estado que pueda estar a salvo del terrorismo, destacó la agencia. Los invitados franceses señalaron también, según Sana, la importancia de unificar esfuerzos regionales e internacionales para combatir y detener este fenómeno que amenaza a los pueblos de la región y del mundo. El EI reivindicó hoy en un comunicado de texto y audio difundido en internet la autoría de estos actos terroristas y precisó que fueron perpetrados por ocho hombres armados que detonaron sus cinturones explosivos cuando se acabó la munición de sus ametralladoras. Al menos 127 personas fallecieron y 180 resultaron heridas en varios atentados anoche en París, con tres explosiones en las proximidades del Estadio de Francia, donde se disputaba el partido amistoso Francia-Alemania; la toma de rehenes en una sala de fiestas y tiroteos en varios restaurantes. Novaya Gazeta, 14th November 2015: British man Nick Alexander has been confirmed as the first UK victim of the Paris terror attacks. Mr Alexander was selling merchandise at the Bataclan concert hall when he was killed among the massacre following a night of terror in the French capital. His death was confirmed by the Foreign Office and officials fear there a handful of British people have lost their lives. In a statement, Mr Alexander's family said he was "everyone's best friend" and died "doing the job he loved". They said: "It is with huge sorrow that we can confirm that our beloved Nick lost his life at the Bataclan last night. Read more Several Britons feared dead in terror atrocities in Paris Vigils in Trafalgar Square to honour victims of Paris attacks Islamic State claims responsibility for Paris attacks "Nick was not just our brother, son and uncle, he was everyone's best friend - generous, funny and fiercely loyal. "Nick died doing the job he loved and we take great comfort in knowing how much he was cherished by his friends around the world. Thank you for your thoughts and respect for our family at this difficult time. Peace and light." www.sissu.it Libération, 18 Novembre 2015: Ce que l'on sait des assaillants L'enquête a permis de préciser le rôles des neufs personnes ayant semé la mort dans les rues de Paris le 13 novembre. L’organisation Ce qu’il s’est passé au Stade de France www.sissu.it 21h20. Un kamikaze se fait exploser à côté de la porte D au Stade de France, rue Jules-Rimet. Il porte un gilet explosif composé de «TATP, de piles, de boulons, et de boutons-poussoirs», selon le procureur, qui s’est exprimé samedi 14 novembre. Les enquêteurs ont retrouvé près de lui un passeport syrien au nom de Ahmad al Mohammad, né le 10 septembre 1990 à Idleb. Au cours de l’explosion, une personne est soufflée, Manuel Dias un chauffeur de car âgé de 63 ans. 21h30. Près du Stade de France, toujours rue Jules-Rimet, porte H cette fois, un autre kamikaze fait exploser son gilet, causant sa propre mort. www.sissu.it 21h53. Un troisième kamikaze, Bilal Hadfi, active son gilet explosif rue de la Cokerie à SaintDenis, sans faire de blessés. Ce qui reste incertain. L’identité de deux kamikazes sur trois est encore inconnue. Il y a en effet des doutes sur l’authenticité du passeport syrien retrouvé au côté du premier kamikaze. Ce qu’il s’est passé aux terrasses des bars et restaurant www.sissu.it 21h25. Au bar le Carillon et au restaurant le Petit Cambodge, à l’angle des rues Alibert et Bichat, trois terroristes qui circulaient à bord d’une Seat Leon noire tuent 15 personnes. 21h32. A l’angle de la rue de la Fontaine au Roi et de la rue du Faubourg-du-Temple, au bar La Bonne bière et au restaurant Casa Nostra, cinq personnes sont tuées par balle et huit autres sont blessées. Les assaillants circulent, là encore, en Seat Leon noire. 21h36. Au 92, rue de Charonne, au restaurant la Belle Equipe, des individus, là encore à bord d’une Seat de couleur noire, tirent plusieurs rafales causant la mort de 19 personnes. 21h40. Au bar le Comptoir Voltaire, au 23 boulevard Voltaire, Brahim Abdeslam actionne un «dispositif explosif identique» aux terroristes du Stade de France, selon le procureur de la République. Une personne est grièvement blessée, et d’autres «plus légèrement». Ce que l’on sait. La Seat noire, qui aurait été utilisée par les attaquants, a été louée au nom de Salah Abdeslam, frère du kamikaze qui s’est fait exploser boulevard Voltaire. Selon la vidéosurveillance, trois assaillants étaient à bord de la voiture. Selon le procureur le 18 novembre, Brahim Abdelsam était présent dans la Seat noire avant de se faire exploser boulevard Voltaire. Ce que l’on ne sait pas. La présence de Salah Abdelsam dans la voiture reste à confirmer. L’identité du troisième assaillant ainsi que son rôle demeurent inconnus. Ce qu’il s’est passé au Bataclan www.sissu.it 21h40. Trois individus équipés d’armes de guerre, entrent au Bataclan (Paris XIe). Ils déchargent leurs chargeurs sur la foule près du bar et dans la fosse avant de prendre en otage les occupants dans la fosse. La BRI et le Raid donnent l’assaut à 0h20, au cours duquel deux terroristes – parmi lesquels Omar Ismaïl Mostefaï –, se sont donné la mort en actionnant leur gilet d’explosifs. Le troisième assaillant, Samy Amimour, a été tué par les forces de l’ordre bien qu’ayant aussi activé son gilet. Le bilan fait état de 89 morts. Ce que l’on sait. La Polo noire utilisée par les terroristes pour se rendre au Bataclan a été louée par Brahim Abdeslam, qui s’est fait exploser boulevard Voltaire. www.sissu.it Ce que l’on ne sait pas. L’identité de l’un des trois terroristes qui s’est donné la mort dans la salle de concert est toujours inconnue. L’équipe démantelée de Saint-Denis Un assaut le 18 novembre à Saint-Denis (93) permet de surprendre une cellule terroriste, lourdement armée. Ce que l’on sait. Selon le procureur, qui s’est exprimé le 18 au soir, au moins deux personnes sont mortes lors de l’assaut. Deux hommes, trouvés dans les décombres, ont été placés en garde à vue. Aucune identité ne peut être encore définie, mais le procureur a précisé que les gardés à vue n’étaient ni Abdelhamid Abaaoud, ni Salah Abdeslam. Libération, 18 Novembre 2015: Constitution Etat d'urgence : ce que le gouvernement va changer Par Lilian Alemagna — 18 novembre 2015 à 13:09 Manuel Valls et Bernard Cazeneuve lors du Conseil de défense, le 14 novembre 2015. Photo Albert Facelly pour Libération Le Conseil des ministres a adopté ce mercredi matin le prolongement de trois mois de l'état d'urgence, le temps de modifier la Constitution. Etat d'urgence : ce que le gouvernement va changer Ce mercredi matin en Conseil des ministres, le Premier ministre, Manuel Valls, et le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, ont présenté comme prévu un projet de loi destiné à prolonger l’état d’urgence de trois mois et modifiant la loi du 3 avril 1955. Trois mois, le temps de faire adopter une révision constitutionnelle qui devrait – notamment – inscrire l’état d’urgence et son encadrement dans la loi fondamentale française. Assignation à résidence Déjà prévu dans cette loi créée à l’époque de la guerre d’Algérie, le «régime d’assignation à résidence» sera «modernisé» et «élargi à toute personne à l’égard de laquelle il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre public». Les «conditions» de ces assignations (escortes, pointages aux postes de police ou de gendarmeries) seront «précisées». Selon les souhaits du gouvernement, «il pourra être interdit à la personne assignée à résidence d’entrer directement ou indirectement en contact avec des personnes soupçonnées également de préparer des actes portant atteinte à l’ordre public». Par ailleurs, la www.sissu.it commission administrative vers laquelle pouvaient se tourner jusqu’ici les assignés à résidence sera «supprimée» et «remplacée par le recours de droit commun devant la juridiction administrative». Perquisitions Là aussi, le gouvernement veut «préciser» ce régime et, pour le coup, l’encadrer davantage : «Une perquisition administrative ne pourra viser les locaux» des parlementaires, des avocats, des magistrats ou des journalistes. Par ailleurs, le procureur de la République «sera informé de toute décision de perquisition» en présence d’un officier de police judiciaire. Et comme les ordinateurs personnels n’existaient pas il y a soixante ans, «lors de ces perquisitions, il pourra être fait copie sur tout support des données stockées dans tout système informatique ou équipement». Dissolution Ce projet de loi «ouvre la possibilité de dissoudre les associations ou groupements de fait qui participent, facilitent ou incitent à la commission d’actes portant une atteinte grave à l’ordre public, et qui comportent en leur sein des personnes assignées à résidence». Fin du contrôle des journalistes Pour bien faire comprendre que ce «toilettage» de la loi de 1955 et la révision constitutionnelle qui se prépare respecteront bien «l’Etat de droit» – mot répété par l’exécutif depuis vendredi soir et les attentats – le «contrôle de la presse ou de la radio, prévu dans la loi de 1955 mais jamais utilisé, est supprimé». Peines encourues Le gouvernement a également décidé d’accroître «substantiellement» les «peines encourues» par ceux qui tenteraient d’échapper aux assignations à résidence ou aux perquisitions. Sans préciser – encore – l’échelle des sanctions prévues. www.sissu.it www.sissu.it ال اهرام 27th November 2015: قواتها على الحدود السورية..أولند فى موسكو لبحث مواجهة الرهاب ..وقلق أمريكى من منظومة الصواريخ الروسية :أنقرة -سيد عبد المجيد -موسكو -وكالت النباء 2 1556 طباعة المقال بوتن وهولند رفضت كل من روسيا وتركيا أمس مجددا التراجع عن خلفاتهما بشأن إسقاط تركيا للطائرة الروسية المقاتلة ،حيث أكد الرئيس الروسى فلديمير بوتين أمس أن موسكو ترى أن القيادة التركية تتعمد جر العلقات الروسية ـ التركية لطريق مسدود ،بينما .أرسلت تركيا تعزيزات عسكرية إلى حدودها مع سوريا وقال بوتين خلل حفل فى الكرملين لتسلم أوراق اعتماد مجموعة من السفراء الجانب«يبدو أن القيادة التركية تجر عمدا العلقات الروسية التركية إلى طريق مسدود» ،وأضاف أن موسكو .تنتظر اعتذارا من تركيا عن إسقاطها المقاتلة الروسية أو عرضا للتعويض عن الضرار يأتى ذلك فى الوقت الذى أعلن فيه الكرملين أمس أن روسيا ل تزال تنتظر ردا معقول من أنقرة .على السبب الذى دفعها إلى إسقاط الطائرة المقاتلة وفى الوقت نفسه ،ذكرت وزارة الزراعة الروسية أمس أنه تقرر تشديد الرقابة على الواردات الغذائية التركية وتنظيم عمليات فحص إضافية على الحدود وفى مراكز إنتاجها فى تركيا بعد أن www.sissu.it أظهر بحث لوزارة الزراعة أن نحو ٪١٥من الواردات الزراعية التركية ل تتفق مع القواعد .الروسية وأوضح وزير الزراعة الروسى ألكسندر تكاشوف« :نظرا للنتهاكات المتكررة من قبل المنتجين التراك للمعايير الروسية ،فإن الحكومة الروسية أصدرت تعليمات لهيئة الرقابة الزراعية بتشديد الرقابة على المنتجات الزراعية والغذائية التركية ،وكذلك تنظيم عمليات فحص إضافية على ».الحدود وفى نقاط النتاج فى الجمهورية التركية وقالت صحيفة ميلليت أمس إن القرارت الروسية أدت إلى اصطفاف الشاحنات التركية على .الحدود فى شكل طوابير طويلة ممتدة على عدة كيلومترات مع روسيا من جانبه ،أرسل الجيش التركى أمس الول ،تعزيزات عسكرية إلى بلدة«يايلداغي »فى ولية .هطاي ،جنوب البلد وأعلنت رئاسة الركان التركية ،أنها دعت مسئولين اثنين من الملحقية العسكرية فى السفارة ،حيث تم إطلعهما على معلومات بشأن حادثة الروسية بأنقرة ،إلى مقرها أمس وأمس الول .إسقاط الطائرة الروسية وفى كلمة له ،قال الرئيس التركى أردوغان إن بلده سترد بنفس الطريقة لى انتهاك للجواء .التركية ،وانتقد من جديد القصف الجوى الروسى لجبل التركمان وفى السياق ذاته ،قالت صحيفة«وطن»التركية أنه من المتوقع حدوث أول لقاء بين رئيسى الجمهورية رجب طيب أردوغان والرئيس الروسى فلديمير بوتين الثنين المقبل على هامش .اجتماع قمة المناخ فى باريس وبمشاركة ١٤٧رؤساء دولة وحكومات يأتى ذلك فى الوقت الذى أعربت فيه واشنطن عن قلقها من إعلن روسيا نيتها نشر صواريخ إس ٤٠٠.المتطورة المضادة للطائرات فى قاعدة حميميم فى سوريا وأوضح مسئول عسكرى أمريكى أن«المر يتعلق بنظام سلح حديث يمثل تهديدا كبيرا على ».الجميع ».وأضاف«لدينا قلق جدى حول العمليات الجوية فى سوريا على صعيد متصل ،توجه الرئيس الفرنسى فرانسوا أولند إلى موسكو أمس فى محاولة لكسب تنازلت من رئيسها فلديمير بوتين فى المعركة ضد تنظيم اداعش والضغط من أجل حل سياسى فى سوريا ،لكن دبلوماسيين حذروا من وجود خلفات هائلة ستجعل من الصعب تحقيق إنجاز خاصة بعد اتفاق أولند مع الرئيس المريكى باراك أوباما أمس الول على توسيع نطاق العمليات .العسكرية ضد التنظيم www.sissu.it ومن جانبه ،كان رئيس الوزراء البريطانى ديفيد كاميرون قد طالب أمس الول ببدء غارات جوية .بريطانية ضد داعش فى سوريا دون النتظار حتى يجد النزاع المسلح هناك حل سياسيا www.sissu.it France's Hollande, in Moscow, urges grand coalition against ISIS Russian President Vladimir Putin, right, shakes hands with his French counterpart Francois Hollande during their meeting in Moscow, Russia, Thursday, Nov. 26, 2015. (Photo: AP) Related France's Hollande heads to Russia to press anti-ISIS coalition Hollande and Obama vow unity against ISIS, appeal to Russia Hollande, Cameron to meet for Syria, anti-terrorism talks Paris attacks death toll rises to 130: French PM Hollande outlines fightback against ISIS after attacks ISIS claims Paris attacks that killed 128 French President Francois Hollande told Russia's Vladimir Putin on Thursday world powers must create a "grand coalition" to combat Islamic State (ISIS) militants who control swathes of territory in Syria and Iraq. Hollande is on a diplomatic offensive to build a common front against the militant Islamist group that has claimed responsibility for the attacks in Paris on Nov. 13 that killed 130 people. ISIS has also said it downed a Russian plane on Oct. 31 over the Sinai Peninsula in Egypt, killing all 224 people on board. "Our enemy is Daesh, ISIS, it has territory, an army and resources, so we must create this large coalition to hit these terrorists," Hollande said in televised remarks at the start of bilateral talks with the Russian leader in the Kremlin. "I'm in Moscow with you to see how we can act together and coordinate so that we can strike this terrorist group, but also reach a solution for peace," Hollande said. www.sissu.it Putin said Moscow was ready to unite with Paris against a "mutual enemy" following the downing of the Russian airliner and the attacks in Paris. However, the leaders avoided looking at each other during their brief televised exchange, underlining the still-awkward relationship between Russia and the West due to the Ukraine crisis and differences over Middle East policy. Both Russia and France have stepped up their aerial bombing campaigns in Syria but they have different objectives. Russian warplanes are targeting a wide array of rebel forces - including but not limited to Islamic State - opposed to Moscow's ally, Syrian President Bashar al Assad. French and US warplanes are focusing their bombing campaign on Islamic State. Western countries, Turkey and Sunni Arab states such as Saudi Arabia also want Assad to step down. Earlier this week Hollande held talks in Washington with US President Barack Obama on combating Islamic State. He has also held separate talks in Paris this week with the leaders of Germany, Britain and Italy. "Our common enemy is terrorism and it has a name, ISIS," Hollande told Putin. El Pais, 27th November 2015: Francia rinde homenaje al más alto nivel a las víctimas de París La ceremonia se celebra en los Inválidos y asistirán unos mil participantes www.sissu.it Hollande, durante el homenaje a las víctimas del atentado. / JACKY NAEGELEN (REUTERS) Francia rinde homenaje este viernes a las 130 personas que perdieron la vida y a las 350 que resultaron heridas en los atentados de París del pasado 13 de noviembre. La ceremonia, que se celebra desde las 10.30 en los Inválidos, el recinto de más alto nivel para un homenaje, cuenta con unos mil participantes, entre ellos, el presidente francés, François Hollande, y los familiares de las víctimas. La ceremonia, que durará una hora aproximadamente, ha comenzado con una Marsellesa, el himno que tras los atentados se ha vuelto omnipresente. Depués, se han recordado, uno a uno, los nombres de todas las víctimas a excepción de uno, por petición de los familiares, según informa el diario francés Le Monde. A continuación, Hollande pronunciará un discurso. más información Francia se envuelve en el patriotismo Rusia y Francia se coordinan en Siria y reforzarán los ataques Según fuentes de la Defensa francesa citadas por Le Monde, "es extramadamente raro" un homenaje de estas características a civiles. "Cuando estos honores se dan a un civil, es porque tenía un pasado de resistente o un alto grado en la Legión de Honor" añaden las mismas fuentes, que explican que Hollande quería, sin embargo, que la ceremonia se celebrase en el patio de los Inválidos por lo que han supuesto los ataques "para la memoria colectiva". Familiares de dos de las víctimas de los ataques yihadistas han descartado su participación en los actos. La hermana de uno de los fallecidos en la sala Bataclan, François-Xavier Prévost, ha www.sissu.it anunciado en su muro de Facebook que rechaza los honores “ofrecidos por el Gobierno”, a quien también responsabiliza de la muerte de su hermano. “Nada se ha hecho” desde los ataques contra el semanario satírico Charlie Hebdo y el supermercado kosher, protesta Emmanuelle Prévost. Como complemento de la ceremonia, es previsible una intensa presencia de la bandera francesa por todo el país. Hollande propuso a los franceses el pasado miércoles “engalanar su lugar de residencia con la bandera azul, blanca y roja, los colores de Francia”. De hecho, la venta de la enseña francesa se ha disparado. La empresa Doublet, fabricante de referencia, asegura que los encargos de banderas se han duplicado desde los atentados, igualando los niveles alcanzados tras la muerte del general De Gaulle en 1970 y la victoria de la selección francesa en el Mundial de 1998. El Pais, 25th November 2015: La industria nuclear se reivindica en la lucha contra el cambio climático La OIEA y la patronal española piden que esta tecnología se considere en la cumbre de París Manuel Planelles Madrid 25 NOV 2015 - 17:54 CET Central nuclear de Almaráz, en la provincia española de Cáceres. / Bernardo Pérez Unos lo llaman reconversión, otros hablan de una revolución. Si de la cumbre del Clima de París (COP21) que arranca el próximo lunes sale un acuerdo sólido contra el calentamiento global, cambiará el esquema de producción de energía. Este sector es responsable de alrededor del 35% de las emisiones los gases de efecto invernadero generadas por el ser humano en todo el mundo. El www.sissu.it objetivo a largo plazo que se quiere fijar es la descarbonización de la economía. Y esto supone eliminar las emisiones en la generación de energía. Con esta hoja de ruta sobre la mesa, las distintas tecnologías de producción buscan un hueco en el futuro energético. Así ocurre con la industria nuclear. El Foro Nuclear de España ha presentado un informe este miércoles en el que se reivindica como un arma contra el cambio climático. "Es una tecnología capaz de suministrar grandes cantidades de electricidad sin contaminar la atmósfera", sostiene esta organización. En efecto, las centrales no expulsan CO2 a la atmósfera. Pero tiene otros problemas asociados, como el de los residuos, que permanecen activos durante miles de años y para los que no se ha encontrado una solución definitiva. Además, desde el accidente de Fukushima, en Japón, algunas potencias han apostado por abandonar esta tecnología. Otras, sin embargo, apuestan por ella. Sería el caso de China, India o Rusia. El debate español En España, el futuro de la nuclear está en el aire. Varios partidos -PSOE, Ciudadanos y Podemosno son favorables a prolongar la vida de las centrales más allá de los 40 años de vida. Esto supondría el fin de esta energía en España la próxima década, ya que no hay prevista la construcción de ningún reactor más. Foro Nuclear ha reivindicado el papel de esta tecnología, que con el 20% es la primera en el mix de generación de electricidad de España. Según esta patronal, las centrales españolas evitan cada año la emisión a la atmósfera de entre 45 y 55 millones de toneladas de dióxido de carbono. La semana pasada, el director general del Organismo Internacional de Energía Atómica (OIEA), Yukiya Amano, pidió en la Asamblea General de la ONU que se tenga en cuenta la energía nuclear en las conversaciones internacionales sobre cambio climático. El Foro Nuclear ha vuelto a solicitar este miércoles que se incluya esta energía "en el acuerdo que se alcance" en la cumbre de París. El Foro Nuclear señala en su informe que esta tecnología ha evitado durante los últimos 45 años la emisión a la atmósfera de unas 65 gigatoneladas de CO2 equivalente de gases de efecto invernadero. Además, la OIEA asegura que el desarrollo y crecimiento de esta energía -en este momento hay en construcción 70 reactores en el mundo- se puede evitar la emisión de entre 3.300 y 9.000 millones de toneladas de de CO2 equivalente cada año en 2050. En el protocolo que se espera que se cierre durante la COP21 no está previsto que se hable de tecnologías concretas. Aunque solo se fija la necesidad descarbonizar la economía en general, muchos organismos internacionales sostienen que la mejor vía para ello son las energías renovables. Antes de la cumbre de París, la mayoría de Gobiernos del mundo ha presentado planes de reducción de las emisiones para el periodo 2020-2030, los llamados INDC. En esos documentos se dan algunas pistas sobre el futuro de la energía nuclear. En sus compromisos, EE UU y la Unión Europea no hablan de esta tecnología. Solo fijan de forma genérica sus metas de reducción de gases. www.sissu.it Sin embargo, China e India, por ejemplo, sí mencionan la energía nuclear. China, el principal emisor de CO2 del mundo, tiene previsto multiplicar por 2,9 su capacidad de generar electricidad con esta tecnología en los próximos 15 años respecto a los niveles de 2005. En este momento, está construyendo 26 reactores. India, que también figura en la lista de los principales emisores, prevé un aumento considerable y ahora tiene en construcción seis reactores. Los sectores más dependientes de los combustibles fósiles también han intentado moverse antes de la cumbre de París. Por ejemplo, los 12 miembros de la OPEP, la Organización de Países Exportadores de Petróleo, apostaron a principios de mes por los mecanismos de captura y almacenaje de dióxido de carbono (CO2) "como una herramienta importante para combatir el cambio climático". La OPEP reconocía que esta tecnología está en una fase inmadura, pero podría "desempeñar un papel central para facilitar la transición a una economía libre de carbono". Diez de las principales petroleras y gasistas del mundo -entre las que están BP Group, BP, Eni, Royal Dutch Shell, Satoil, Repsol, Total y Saudi Aramco- reconocían hace unas semanas la importancia del cambio climático. En su caso, la alternativa que proponen el gas natural, menos contaminante que el carbón en la producción de energía. Al Jazeera, 28th November 2015: National anthems: beating the drums of war? We look at the Paris attacks, national anthems and the use of sports to promote war; plus, the battle over Rustavi 2 TV. 28 Nov 2015 13:24 GMT | Media, Paris Attacks, War & Conflict, Sport When George Orwell wrote in 1945 that sport is "war minus the shooting", it was recognition of the power of sports to arouse nationalistic sentiments. Orwell would have seen an echo of his words in the spectacle of thousands of football supporters across Europe singing the French national anthem as a show of solidarity for those who had died in the Paris attacks earlier this month. In times of conflict, when the mainstream news media already tend to pound the drums of war having sports audiences repeatedly exposed to pro-military messaging - tilts the playing field further still. The short distance from the pitch to the battlefield is evidenced by the extensive use of sporting events by the Pentagon to rally support for US troops and military action abroad. Back in Europe, how many of those singing the Marseillaise were aware of its bloodthirsty battle cry? www.sissu.it "Hear the roar of those ferocious soldiers. They're coming to cut the throats of your sons, your women. To arms, citizens." Substitute 'soldiers' for 'jet engines', and we have a modern-day rallying cry for a fresh round of air strikes on Syria. Talking us through the story are: Cenk Uygur, Host of The Young Turks; Murtaza Hussain, a journalist at The Intercept; Sandy Tolan, an associate professor at the USC Annenberg School for Communication and Journalism; and James Montague, a journalist and author. Other media stories on our radar this week: Two prominent journalists in Turkey are behind bars after the government accused them of revealing "state secrets"; A Bangladeshi reporter is shot and wounded while covering funerals of convicted opposition figures; Iran has sentenced Washington Post reporter Jason Rezaian to a jail term, but the specifics of the case are still not known; and a political cartoonist seeking refuge in Thailand has been sent back to China following an extradition request by Beijing. Rustavi 2 and Georgia's political tug of war Georgia's most watched TV channel, Rustavi 2, is locked in a bitter power struggle with the government over its ownership. One of the government's staunchest critics, the independent channel has gone to court and says it is facing a politically motivated, attempted takeover by allies of the government. But Rustavi 2 also has some political muscle behind it: people who back its pro-European, proNATO agenda. Al Jazeera's Robin Forestier-Walker picks apart the ownership battle currently raging over Rustavi 2. Finally, in the wake of the Paris attacks, Britain's The Sun newspaper, owned by Rupert Murdoch, loudly proclaimed that one in five British Muslims "sympathised with jihadis". However, the headline was misleading and prompted around 1,200 official complaints, as well as thousands of sardonic responses on Twitter under the hashtag #1in5Muslims. Our closing video gives you a taste of a Twitter backlash against a newspaper's front page. Source: Al Jazeera The Hindu, 8.12.2015 : www.sissu.it Russia has gifted France a new puppy to replace Diesel, the seven-year-old police dog who was killed during a raid linked to the Paris terror attacks. Igor Zubov, a Russian deputy interior minister, handed the male German shepherd puppy named Dobrynya to French ambassador Jean-Maurice Ripert at a ceremony at the French Embassy in Moscow yesterday. “The puppy you are giving us will replace Diesel and proves your friendship,” said Ripert said at the event also attended by Russian and French soldiers. “They are waiting for this puppy in Paris,” he said. Russia’s gift dog Dobrynya is named after a folklore hero, and is intended as a “symbol of the unity of our nations in implacable fight against terrorism,” Zubov said. “In Russia, dogs who serve police are loved not only by the police but also by ordinary citizens,” he said. Dobrynya must remain in quarantine for up to three months before leaving for Paris. Diesel, a female Belgian shepherd, was killed during a police raid on an apartment in a northern suburb of Paris on November 18, five days after 130 people were killed in multiple terror attacks in Paris, claimed by Islamic State. Two terrorists died in the raid that killed Diesel, including the suspected ringleader of the Paris attacks, Abdelhamid Abaaoud, and a relative, Hasna Ait Boulahcen. Le Monde, 9.12.2015 : Elections régionales : « La gauche fait monter le FN », argument récurrent (et faux) de Nicolas Sarkozy Le Monde.fr | 08.12.2015 à 14h27 • Mis à jour le 09.12.2015 à 10h11 | Par Alexandre Pouchard Abonnez vous à partir de 1 € Réagir Classer Partager (3 608) Tweeter www.sissu.it C’est un argument récurrent de la droite, et en particulier de Nicolas Sarkozy, face à la montée du Front national : si ces scores progressent, c’est systématiquement à cause de la gauche. Le président du parti Les Républicains l’a de nouveau asséné lundi 7 décembre lors du journal de 20 heures de France 2 : « Chaque fois que la gauche a été au pouvoir, ça s’est traduit par une explosion du vote d’extrême droite ensuite. En 1986, M. Mitterrand fait la proportionnelle : 35 députés qui rentrent à l’Assemblée nationale. En 2002, après cinq années de Lionel Jospin : Jean-Marie Le Pen est au second tour, la gauche n’y est même pas. Et là, quatre années de François Hollande et c’est une exaspération qui monte dans tout le pays. Mme Le Pen était face à moi au premier tour des présidentielles de 2012, à 18 % (ce qui était déjà beaucoup), en quatre ans elle passe à plus de 27 %. » Pourquoi c’est faux L’argument est récurrent à l’UMP, désormais aux Républicains. Face aux critiques sur la porosité de la frontière avec le Front national, que ce soit en termes de programme, de rhétorique et d’électorat, le principal parti d’opposition renvoie la balle dans le camp de la gauche. www.sissu.it Pourtant, si l’on prend les scores du FN à toutes les élections depuis 1984 (hors municipales, où il présente beaucoup moins de candidats que ses concurrents), ses percées ont lieu autant lorsque la majorité est à droite que lorsqu’elle est à gauche. Et cela dépend aussi de ce que l’on regarde. Le FN a certes obtenu ses quatre meilleurs résultats (en part des suffrages exprimés) lors des quatre derniers scrutins, sous gouvernement socialiste : 24,95 % lors des européennes de juin 2014, 25,24 % et 22,23 % lors des deux tours des départementales de mars 2015, puis désormais 27,73 % lors des dernières régionales. Mais la dynamique était antérieure à l’arrivée des socialistes au pouvoir : avant les européennes, le FN avait réalisé son meilleur résultat lors de l’élection présidentielle de 2012 (17,90 %), après cinq années de mandat de Nicolas Sarkozy et dix années de gouvernement de droite. Le FN, une dynamique amorcée en 2012 Part des suffrages exprimés récoltés par le parti d'extrême droite depuis 1984. Les gouvernements de gauche sont signalés en rose, ceux de droite en bleu. 0 %5 %10 %15 %20 %25 %30 %Européenne…Présidentielle 1988Européennes 1989Européennes 1994Législatives 1997Européennes 1999Législatives 2002Régionales 2004 (2e tour)Présidentielle 2007Européennes 2009Régionales 2010 (2e tour)Législatives 2012Départementales 2015 (1er tour)Régionales 2015 Source : Ministère de l'intérieur La présidentielle 2012, meilleur score en voix En remontant aux années 1980, Nicolas Sarkozy reprend quelques résultats historiques du Front national mais les sélectionne avec parcimonie. 1986 : une percée amorcée en 1984, amplifiée en 1988 En 1986, après l’introduction du scrutin proportionnel aux élections législatives, le Front national de Jean-Marie Le Pen marque effectivement les esprits en envoyant 35 députés à l’Assemblée nationale. Mais c’est oublier deux choses : la montée du FN était antérieure à ces élections (il avait obtenu 10,95 % des suffrages aux européennes de 1984) et il a réalisé un meilleur score après deux années de gouvernement de droite (quand Jacques Chirac était à Matignon), avec 14,38 % des suffrages aux législatives de 1988. 1997-2002 : une percée précédée de scores importants en 1995-1997 Si l’élection présidentielle de 2002 a longtemps été le meilleur résultat du FN, ce dernier, après avoir connu plusieurs revers à la fin des années 1980 et début des années 1990, avait réalisé de nouveaux bons scores à la présidentielle de 1995 (15 % des voix) puis aux législatives de 1997 (14,94 %), après deux et quatre années de gouvernement de droite. 2012 : le meilleur score en voix du FN jusqu’à maintenant Dernier exemple évoqué par Nicolas Sarkozy : la présidentielle de 2012, où le FN aurait alors été « contenu » avant les années Hollande. Si c’est (relativement) vrai en termes de suffrages exprimés, www.sissu.it le parti d’extrême droite avait alors obtenu un nombre encore record de voix, avec 6,4 millions de suffrages (devant les 6 millions du premier tour des régionales). Loin des 3,8 millions obtenus à la présidentielle de 2007, avant le quinquennat de M. Sarkozy. Le FN a obtenu le plus de voix en mai 2012 Nombre de voix recueillies par le parti d'extrême droite depuis 1984. Les gouvernements de gauche sont signalés en rose, ceux de droite en bleu. 0 voix1000000 voix2000000 voix3000000 voix4000000 voix5000000 voix6000000 voix7000000 voixEuropéennes 1984Présidentielle 1988Européennes 1989Européennes 1994Législatives 1997Européennes 1999Législatives 2002Régionales 2004 (2e tour)Présidentielle 2007Européennes 2009Régionales 2010 (2e tour)Législatives 2012Départementales 2015 (1er tour)Régionales 2015 Source : Ministère de l'intérieur Sur les vingt scrutins où le FN a dépassé 10 % des suffrages exprimés depuis 1984, la gauche était au gouvernement dix fois... contre dixpour la droite. Difficile, dans ces conditions, d’en établir une règle sur un camp qui favoriserait davantage une montée de l’extrême droite. Lire aussi : Elections régionales : Sarkozy admet qu’« il y aura un débat à ouvrir » sur la ligne idéologique de LR Elections régionales : la carte des résultats Cliquez sur les régions pour accéder aux résultats détaillés du premier tour des élections régionales 2015 ou utilisez le moteur de recherche pour découvrir comment les électeurs ont voté au premier tour des élections régionales 2015 dans votre commune. Le Monde, 9.12.2015: Les entreprises dans la COP21 : une présence ambivalente Le Monde.fr | 09.12.2015 à 14h14 • Mis à jour le 09.12.2015 à 15h03 | Par Angela Bolis Abonnez vous à partir de 1 € Réagir Classer Partager (14) Tweeter www.sissu.it Aux côtés de la « zone bleue » dédiée aux négociations sur l’accord climatique, et des « espaces générations climat » consacrés à la société civile, les entreprises aussi ont leur théâtre sur le site de la COP21. Cette « galerie » de 10 000 m2, dans le Musée de l’air du Bourget, doit offrir un panorama des solutions développées par les professionnels contre le changement climatique. Parmi les quelque 200 participants, on trouve un peu de tout. Cela va de la start-up innovante, comme Entomo Farm qui fabrique des fermes d’insectes, à la jeune société de conseil en transition énergétique, en passant par les grands groupes comme PepsiCo ou General Electric. Des stands de pays présentent aussi quelques fleurons nationaux des énergies ou des technologies permettant de « décarboner l’économie » – avec une représentation notoire des Etats-Unis et des pays pétroliers du Golfe : Emirats arabes unis, Qatar, Arabie saoudite… De ce vaste salon d’entreprises, où résonnent les micros des VRP et se multiplient les cocktails VIP, se dégage la même impression que lorsqu’on lit la liste de la soixantaine de sponsors et mécènes de la COP, affichée à l’entrée de la conférence onusienne. Engie, EDF, BNP Paribas, Renault, Carrefour… Une liste décriée par les associations environnementales, qui déplorent que l’exemplarité climatique n’ait pas fait partie des critères pesant sur la sélection de ces entreprises. « Engie, par exemple, investit massivement dans le charbon, et BNP est la première banque française à financer les énergies fossiles dans le monde… », note Célia Gautier, du Réseau Action Climat. www.sissu.it Lire aussi : Laurent Fabius fait appel aux entreprises pour financer la COP 21 Pour ces entreprises présentes au Bourget, la COP21 et ses quelque 40 000 participants est en tout cas une occasion en or de faire valoir leurs solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Dans la « galerie », difficile de rater, par exemple, l’imposant stand de Bouygues, qui affiche, écran tactile géant et maquette architecturale à l’appui, le savoir-faire technique du groupe en matière de bâtiments à énergie postivie, d’écoquartiers ou de routes solaires. Même si ces projets restent pour la plupart « minimes » dans l’activité globale de la firme, y concède-t-on, l’intérêt de l’opération n’est de toute façon pas directement commercial. « On n’est pas ici pour remplir des carnets de commandes, explique un communiquant sur le stand. Par contre, c’est incroyable au niveau des personnalités de haut niveau qu’on peut rencontrer : on a reçu la visite de l’ambassadeur du Japon, de la délégation de Panama, du premier ministre du Bénin… » « Du lobbying à la COP, il y en a » Si des négociateurs et ministres déambulent entre les stands d’entreprises, les allers et venues entre la « zone bleue » et la « galerie des solutions » se font dans les deux sens. Même si la présence des entrepreneurs dans les couloirs de la zone de négociation peut se faire plus discrète. « Du lobbying à la COP, il y en a, affirme Matthieu Orphelin, porte-parole de la Fondation Nicolas Hulot. Du lobbying positif, comme celui des ONG qui poussent à un accord plus ambitieux, et du lobbying négatif. » Les entreprises ne peuvent être accréditées en tant que telles pour entrer sur le site des négociations, mais peuvent bénéficier d’un badge d’entrée « observateurs » via les associations professionnelles auxquelles elles adhèrent. « Ce qui les rend plus difficile à identifier », estime Célia Gautier. Il en est ainsi du très actif Nuclear for Climate, présent à la fois dans la galerie des entreprises et en zone bleue. Regroupant 148 associations de scientifiques et de professionnels du nucléaire du monde entier, il s’attèle à présenter cette énergie comme une solution – toutefois controversée – contre le changement climatique, et pousse à ce qu’elle « ne soit pas exclue de l’accord ». « Le groupe a été créé à l’initiative de la France, leader du nucléaire, en vue de la greenwashing. Chaque association a préparé la conférence en amont, au niveau de sa délégation nationale et de son réseau de médias, et on prépare déjà la COP22 au Maroc ! » explique-t-on sur son stand. Lire aussi : Le nucléaire, une solution pour le climat ? Les messages de ces associations sont parfois contradictoires, estime Célia Gautier. Par exemple, dans le cas du groupe Magritte, qui rassemble douze des plus grands énergéticiens européens, dont Engie. « Il milite à la COP pour fixer un prix du carbone, mais ce sont les mêmes qui ont poussé à réduire les ambitions et les subventions pour les énergies renouvelables au niveau européen, et qui misent tout sur le gaz, une énergie fossile… ». Engagements et greenwashing www.sissu.it Pour autant, la COP21 a donné l’occasion à de nombreuses entreprises de s’engager pour le climat, et de le faire savoir. « Les entreprises liées à la COP, même si elles ne sont a priori pas exemplaires, sont obligées de réduire l’écart entre leur communication et leur compatibilité avec un monde à + 2 °C », estime Matthieu Orphelin. Depuis le début de la conférence, les annonces du secteur privé s’enchaînent. Mardi, ce sont encore 115 entreprises qui se sont engagées à aligner leurs objectifs de réduction des émissions sur le seuil de 2 °C de réchauffement. Et 39 multinationales françaises qui ont signé un « Manifeste pour le climat », promettant de financer à hauteur de 45 milliards d’euros dans les cinq prochaines années la transition énergétique. Lire aussi : Les énergéticiens veulent-ils vraiment développer le renouvelable ? Toutes ces entreprises font partie de l’initiative « Caring for Climate », un groupe au sein du Pacte mondial des Nations unies (« UN Global Compact »). Cette initiative de l’ONU sur le développement durable des entreprises compte 450 entreprises s’engageant à établir des objectifs chiffrés de réduction de leurs émissions, à en rendre compte dans un rapport annuel, et à travailler avec les autorités pour renforcer les politiques climatiques. Depuis 2013, elles ont réduit leur empreinte carbone de 12 %, selon l’ONU, et si les objectifs qu’elles promettent sont atteints, ils généreront des réductions d’émissions annuelles de 93,6 millions de tonnes équivalent CO2, soit davantage que celles du Pérou. Derrière ce plein d’annonces, les associations environnementales aussi sont à l’offensive, ciblant particulièrement les sponsors de la COP21. Deux d’entre eux ont ainsi reçu les anti-récompenses des prix Pinocchio décernés par les Amis de la Terre – BNP Paribas, pour les impacts locaux de ses activités minières, et EDF, dans la catégorie greenwashing, pour sa campagne sur le nucléaire comme énergie propre. www.sissu.it L’Observatoire des multinationales et le Basic (Bureau d’analyse sociétale pour une information citoyenne) ont, eux, passé au crible les engagements climatiques de dix groupes français sponsors de la COP – EDF et BNP encore, mais aussi Engie, L’Oréal ou Renaut –, arguant qu’aucun n’était « exemplaire » : déclarations sur les émissions peu transparentes ou incomplètes, réduction des émissions sur une partie seulement de la chaîne de production, engagements insuffisants au regard des objectifs fixés au niveau de l’Union européenne… D’autres misent sur des actions plus radicales : la pétition de l’ONG américaine Corporate Accountability International, qui demande d’exclure des négociations les industriels des énergies fossiles, a ainsi recueilli à ce jour près de 570 000 signatures. Lire aussi : Comment Greenpeace a piégé des scientifiques en marge de la COP21 Philippine Star, 9.12.2015: France urges EU to act faster against extremist funding By Lorne Cook (Associated Press) | Updated December 9, 2015 - 6:25am France's Finance Minister Michel Sapin, right, talks with European Commissioner for Economic and Financial Affairs Pierre Moscovici during an Eurogroup finance ministers meeting at the EU Council building in Brussels on Monday, Dec. 7, 2015. (AP Photo/Geert Vanden Wijngaert) www.sissu.it BRUSSELS — France urged its European Union partners on yesterday to speed up efforts to cut off funds to extremists groups, nearly a month after the Paris attacks. "We have to go faster, but also further, stronger," French Finance Minister Michel Sapin told reporters after talks with his EU counterparts in Brussels. Based in part on a list of measures suggested by France, the ministers discussed ways to better track financial transfers, control prepaid bank cards, freeze assets and limit movements of cash and precious metals. But no firm decisions were taken, and the EU's executive Commission was tasked with drawing up a list of priorities for their next meeting in January. The Nov. 13 attacks in the French capital, in which 130 people were killed and hundreds injured, have highlighted the need for new finance tracking measures. But Sapin warned that "the dates for adopting these measures are far away. Terrorists are there, so we must act more quickly." World ( Article MRec ), pagematch: 1, sectionmatch: 1 Some steps were announced after the attacks on satirical newspaper Charlie Hebdo and a kosher supermarket in Paris in January, and the shootings at a free speech debate in Copenhagen the following month, but more are being floated. France wants to bolster the powers of financial intelligence teams that analyze suspicious transactions, and to work with the US on "terrorist financing." It is calling for a system for freezing assets to be broadened from bank accounts to property, vehicles and any benefits that suspects might receive. It also wants tighter controls and improved transparency on the use of virtual currencies or electronic money forms like pre-paid cards, which allow small amounts to be sent anonymously. Paris is also calling for more border checks on the transfer of cash, gold, precious metals and prepaid cards by freight, particularly air freight, as a customs declaration is only required if the amounts exceed 10,000 euros ($10,860). The measures would include a crackdown on the illicit trade in cultural goods amid fears that extremists are selling or smuggling artefacts looted from archeological sites or museums. The culture ministers of Germany, France and Italy added to pressure for action to curb the use of looted art as a source of extremist financing. In a letter, they called on the Commission to quickly draw up rules to better control the flow of illegally exported cultural goods. www.sissu.it Dutch Finance Minister Jeroen Dijsselbloem said that new laws can't come soon enough. "We need them quite quickly, and we need to try and speed up the implementation process," he said. La Nacion, 9.12.2015: Cambio climático: los aborígenes, guardianes de los bosques Un informe que se conoció en la COP21, en París, da cuenta de que, al menos, el 20% de la captura de CO2 está en tierras habitadas por pueblos originarios SEGUIR Laura Rocha LA NACION Martes 08 de diciembre de 2015 • 12:20 239 0 PARIS.- "Nosotros tenemos políticas climáticas desde hace millones de años, políticas que mantienen un vínculo con la madre Tierra. ¿Qué hijo está dispuesto a maltratar a su madre? Ninguno. ¿Qué madre está dispuesta a maltratar a su hijo? Ninguna. Tenemos esa relación también con nuestros hermanos que son los bosques". Así comienza a explicar su posición Cándido Mezúa Salazar, representante de la nación Embera de Panamá, una de las voces de los pueblos originarios en la Cumbre de Lucha contra el Cambio Climático (COP21). Hoy por la mañana se difundió un informe que mapea y cuantifica, por primera vez, el carbono almacenado en los bosques tropicales ubicados en los territorios indígenas, las últimas grandes extensiones de bosques remanentes y que corren el riesgo de ser devastados. El análisis revela que el carbono contenido en los bosques tropicales en los territorios indígenas de la Cuenca Amazónica, América Central, la República Democrática del Congo e Indonesia es equivalente a 168,3 giga toneladas de dióxido de carbono (Gt de CO2), lo que representa más de tres veces el clima cambiante de los gases emitidos a nivel mundial (52,7 Gt de CO2) en 2014. "Esto representa el 20,1% de la aérea de carbono almacenado en todos los bosques tropicales del mundo, una estimación conservadora, ya que no tiene en cuenta el carbono almacenado en los territorios indígenas en otras partes de Asia tropical y la cuenca del Congo. www.sissu.it Los pueblos indígenas de todo el mundo siempre han sido considerados como los guardianes de la selva", dijo Wayne Walker, experto en supervisión de bosques del Centro de Investigación Woods Hole y colaborador principal del análisis. El reporte detalla que más de 9% de los bosques tropicales en la cuenca del Amazonas, Mesoamérica, República Democrática del Congo e Indonesia contienen 76,4 Gt de CO2, el equivalente a 1,5 veces las emisiones verdes totales mundiales de gases de efecto invernadero en 2014 -se consideran altamente amenazados porque se encuentran en territorios indígenas que carecen de reconocimiento legal. "Nos cuesta mucho poder explicar las razones científicamente porque son pensamientos distintos, culturas distintas; encontramos unos pocos aliados y que ahora se han convencido del aporte de ese conocimiento. Tenemos la esperanza de que los gobiernos recapaciten. Y quisiéramos que se tengan en cuenta los derechos efectivos de los indígenas. Si los bosques desaparecen representan milésimas de grados más de calor. Acuerdos plenamente vinculantes con los derechos de los indígenas, si no es así es un acuerdo más y se demuestra nuevamente que sólo servimos para la foto", agrega Mezúa Salazar. El nuevo acuerdo El nuevo acuerdo del clima, que idealmente debe ser firmado el viernes por los 195 países que están reunidos en esta ciudad, incluye a los derechos humanos en los postulados. En este apartado en donde entrarían los derechos de los pueblos originarios. Sin embargo, los veedores y representantes de las comunidades aborígenes quieren que sea explícito. Abordar la situación en esos territorios vulnerables representa una oportunidad para la mitigación significativa del cambio climático, según Chris Meyer, experto en política forestal del Amazonas del Fondo de Defensa Ambiental (EDF) con sede en EEUU y otro colaborador de la investigación. "Es de vital importancia para establecer fuertes derechos de tenencia que permitan a los pueblos indígenas proteger sus tierras del poco prometedor desarrollo y otras amenazas", dijo Meyer. "Nuestro análisis proporciona evidencia convincente de que los países con territorios indígenas podrían aumentar sus compromisos voluntarios de reducción de emisiones (INDC, de Intended Nationally Determined Contributions, por sus siglas en inglés) para la mitigación del cambio climático implementando los derechos tenencia de la tierra y que incluye las contribuciones de los pueblos indígenas." Mientras los delegados de los países trabajan a toda máquina para poder conseguir un borrador más acabado del acuerdo para frenar el aumento de la temperatura global promedio en 2°C, en el comienzo de la segunda semana de la cumbre, el secretario General de las Naciones Unidas, Ban Ki moon, convocó a los delegados a trabajar en conjunto y a cumplir con las expectativas que se han generado. "El mundo espera algo más que medias acciones y enfoques paulatinos. Está pidiendo un acuerdo que transforme" el mundo, afirmó. "No debe haber lugar para el error, no tiene que haber equívoco sobre el peligro ante nuestros ojos. Pero más allá de éste, podemos ver un nuevo mundo que puede ser nuestro", dijo el secretario general de la ONU. www.sissu.it Suddeutsche Zeitung, 11.12.2015: 11. Dezember 2015, 16:52 Uhr Islamismus Paris-Attentate: Behörden fahnden offenbar nach deutschem Islamisten Der 42-jährige Hüseyin D. soll Kontakt zum mutmaßlichen Drahtzieher der Attentate von Paris gehabt haben. Im Zusammenhang mit den Attentaten von Paris fahnden die Behörden auch nach einem deutschen Islamisten. Das berichtet das Nachrichtenmagazin Der Spiegel in seiner morgigen Ausgabe. Es soll sich dabei um den 42-Jährigen Hüseyin D. handeln. D. soll laut Spiegel-Informationen auf einer 16 Personen umfassenden Liste mit sogenannten vorrangigen Fahndungen in Deutschland auftauchen. Sein Name stehe dabei an letzter Stelle. Auf Position 1 steht der Name Salah Abdeslam, einer der flüchtigen Attentäter. Der Islamist Hüseyin D. soll Teil der "Lohberger Brigade" gewesen sein, einer Islamistengruppe aus Nordrhein-Westfalen, die für den Dschihad nach Syrien reiste. Dabei soll er auch Kontakt zum mutmaßlichen Drahtzieher der Pariser Attentate, Abdelhamid Abaaoud, gehabt haben. Das Magazin veröffentliche ein Foto, auf dem die beiden gemeinsam zu sehen sind. Laut Bericht vermuten die Behörden, dass sich Hüseyin D. derzeit in der Türkei aufhält. Er sei schengenweit zur Einreiseverweigerung ausgeschrieben. Le Monde, 13.12.2015: Cinq questions sur l’engagement militaire français contre l’EI LE MONDE | 12.12.2015 à 07h48 | Par Nathalie Guibert Abonnez vous à partir de 1 € Réagir Classer Partager (21) Tweeter www.sissu.it Un mois après les attaques terroristes du 13 novembre à Paris, plusieurs questions entourent l’intensification des opérations militaires ordonnée par François Hollande à l’armée française contre l’organisation Etat islamique (EI). La cohésion de la coalition internationale reste à concrétiser audelà des accords bilatéraux de coopération, et son efficacité reste à démontrer. Et à Paris, face à la promesse présidentielle de « détruire le terrorisme », les états-majors demandent « patience et persévérance ». A quoi servent les frappes sur Rakka ? Rakka, fief de l’EI en Syrie, est le but de guerre mis en avant depuis les attentats de Paris. De Rakka, justifie le gouvernement, partent les combattants étrangers qui menacent l’Europe et la France. Mais rien ne sert de frapper, disent les militaires, tant qu’aucune force au sol n’est capable de reprendre le terrain ainsi gagné. Or, « on n’a personne pour prendre Rakka », admet-on en haut lieu. De plus, les cibles manquent. Les djihadistes anticipent les raids et se terrent derrière des boucliers humains. « Trouver des objectifs est maintenant très difficile à moins d’accepter des dommages collatéraux », assurent de bonnes sources au Monde. D’autant que si le Pentagone a fourni quelques cibles clé en main à Paris après le 13 novembre, « c’est fini ». « On est dans le débat récurrent entre les militaires, qui réclament de s’inscrire dans une stratégie et une coalition pour être plus efficace, et l’exécutif, qui a des contraintes politiques »,... India Today, 15.12.2015: www.sissu.it French far-right fails to win any regions in upset for Le Pen Marine Le Pen's far-right National Front did not win any region in French elections on Sunday, in a setback to her hopes of being a serious presidential contender in 2017. Reuters Paris, December 14, 2015 | posted by Anand Jayaram | UPDATED 13:17 IST A +A - Marine Le Pen's far-right National Front did not win any region in French elections on Sunday, in a setback to her hopes of being a serious presidential contender in 2017. The regional election run-off, in which the conservatives won seven constituencies and the Socialists five, was no real victory for either of these two mainstream parties, shaken by the farright's growing appeal to disillusioned voters. www.sissu.it Boosted by fears about security and immigration after the Islamist militant attacks in Paris a month ago that killed 130 people, the National Front (FN) had won more votes than any other party nationally in last week's first round. Although it won no region on Sunday after the Socialists pulled out of its key target regions and urged their supporters to back the conservatives of former President Nicolas Sarkozy, the FN still recorded its best showing in its history. "Tonight, there is no place for relief or triumphalism," Socialist Prime Minister Manuel Valls said. "The danger posed by the far right has not gone away; far from it." Sarkozy struck a similar theme, calling the strong FN showing a "warning sent to all politicians, ourselves included, in the first round". "We now have to take the time for in-depth debates about what worries the French, who expect strong and precise answers," he said, citing Europe, unemployment, security and national identity issues. Le Pen, who had hoped to use regional power as a springboard to boost her chances in 2017 presidential elections, lost by a huge margin in northern France on Sunday, where she led her party's ticket, attracting 42.8 per cent of the votes in the run-off vs 57.2 per cent for the conservatives. "RAMPART" Long content with attracting protest votes, the FN has changed strategy since Le Pen took the party over from her father Jean-Marie in 2011, seeking to build a base of locally elected officials to target the top levels of power. But while it has been winning more and more votes in each election since then, its isolation in France's politics means it cannot strike the alliances it would need to win major constituencies. So it failed once more on Sunday to turn growing popularity into power. In the southeast, another FN target where Le Pen's niece Marion Marechal-Le Pen was the FN's lead candidate, the conservatives scored 53.7 per cent and the FN 46.2 per cent, official results based on 84 per cent of the votes said. "There are victories that shame the winners," Marechal-Le Pen said, slamming the Socialists' decision to pull out of the race for the run-off. Aside from immigration concerns, which have been boosting nationalistic parties in other European countries too, the FN's rise has been built on deep disaffection with mainstream politics among French voters and a frustration with President Francois Hollande's inability to reduce unemployment. www.sissu.it With five regional wins out of 13, the Socialists did less badly than they had feared but it was still a huge defeat. Regional boundaries were redrawn after the 2010 election, in which the Socialists had won 21 out of 22 regions. Sarkozy, weakened by his party's poor showing in the first round, said the National Front's high score should be a warning to all mainstream politicians. Among those in his party elected thanks to left-wing voters and a much higher turnout in the runoffs, there was no triumphalism. "I thank the voters for protecting our beautiful region," said Xavier Bertrand, the Republicans' main candidate in Nord-Pas de Calais-Picardie. "I also want to thank the voters of the Left who clearly voted to create a rampart" against the FN. The regional election, the last one before the 2017 presidential and parliamentary ballots, was seen as a test for its main contenders, Hollande, Sarkozy and Le Pen. "An immediate danger was avoided," left-leaning Catholic daily La Croix wrote in an editorial. "But if no answers are made to the French people's concerns, the National Front will continue its rise until the presidential election," it said in a front-page headlined: "Defeat for all." Deutsche Welle, 15.12.2015: Klima-Kater: Nachwirkungen des ParisAbkommens Staatsmänner und - frauen nennen es einen historischen Klimapakt. Umweltschützer sehen den Vertrag kritisch. Was aber wird bleiben? Wie wird sich die Welt nun verändern? www.sissu.it Der Vertrag ist kürzer, als man denken mag: Er umfasst lediglich zwölf DIN A4-Seiten. Sie beinhalten schwarz auf weiß, wie 195 Nationen in der Zukunft den Klimawandel angehen wollen. In der Zukunft heißt: ab dem Jahr 2020. Dazu kommen 20 Seiten erläuternde Erklärungen, der sogenannte "Entscheidungsteil". Er beschreibt ebenfalls, was die Nationen vorhaben. Dieser Teil ist allerdings rechtlich unverbindlich und eher eine Art Absichtserklärung. Die Politik lobte das Abkommen von Paris überschwänglich; Umweltschutzgruppen sind weniger begeistert und warnen, dass es lediglich "eine leere Hülle" werden könne. Immerhin gebe der Vertrag das Ziel vor, aber nicht den Weg dorthin. Kumi Naidoo, Chef von Greenpeace International, gibt sich im DW-Interview etwas positiver: "Es ist sicherlich nicht die Erfüllung unserer Träume, aber es ist wichtig, dass jedes Land in der Welt jetzt anerkennt, dass wir eine Klimakrise haben, und dass wir schnell handeln müssen." Ein Anfang ist immerhin gemacht. Video ansehen 01:51 Klimagipfel: Die Entscheidung ist gefallen (13.12.2015) Das 2- oder 1,5-Grad-Ziel Dass 195 Nationen es überhaupt geschafft haben, einen gemeinsamen Vertrag auszuhandeln, scheint schon ein großer Fortschritt. Zum ersten Mal gibt es ein Abkommen, dass alle Länder dieses Planeten zum Klimaschutz verpflichtet. Die Parteien stimmen überein, den Temperaturanstieg auf unter 2 Prozent im Vergleich zum vorindustriellen Zeitalter zu begrenzen. Es soll "Bemühungen" geben, sogar 1,5 Prozent zu schaffen. In einem Entwurf des Vertrags war nur die Rede von 1,5 Grad Celsius - erst später wurden 2 Grad als Ziel hinzugefügt. Derzeit haben wir bereits einen Termperaturanstieg von etwa 0,9 Grad Celsius erreicht, sagt Niklas Höhne vom New Climate Institute. "Viel Spielraum bis 1,5 Grad sind also nicht mehr." Selbst ein Anstieg von "nur" 1,5 Grad Celsius könnte allerdings zu viel sein, sagen Wissenschaftler. Schon jetzt beginnt das Polareis zu schmelzen, und Wetterextreme haben weltweit zugenommen. "Bei einem Temperaturanstieg von 1,5 Grad Celsius sind immer noch 75 Prozent unserer Korallenriffe in Gefahr", fügt Höhne hinzu. Trotzdem: Wenn der neue Klimadeal die Emissionen reduzieren kann, würde das zumindest das Schlimmste verhindern. Laut Klausel 4 beabsichtigen die Nationen, den Höhepunkt der CO2Emissionen "sobald wie möglich" zu erreichen. Das Abkommen gilt allerdings erst für die Zeit ab 2020, wenn das Kyoto-Protokoll ausläuft. Experten wie Höhne warnen, dass wir bereits jetzt handeln müssen. Denn das Klima reagiert verzögert auf Treibhausgase. Auch wenn wir ab sofort unsere Emissionen auf Null herunterfahren, werde der Planeten sich trotzdem in den nächsten Jahren zunächst weiter aufheizen. www.sissu.it Der Vertrag führt keine konkreten Treibhausgasmengen an, die ein Land ausstoßen darf. Stattdessen heißt es nur, dass jedes Land alle fünf Jahre seine individuellen Klimaziele öffentlich machen müsse. Keine "Entkarbonisierung" Laut Vertragstext müssen ab der zweiten Hälfte unserer Jahrhunderts alle menschengemachten Emissionen ausgeglichen werden. Ehrgeizigere Formulierungen wie "Entkarbonisierung oder Nullemissionen" haben ihren Weg nicht in den Vertrag gefunden. Die Länder dürfen demnach weiterhin Kohle und Öl verbrennen - sie müssen die Emissionen lediglich wieder neutralisieren - etwa durch Wälder oder durch Techniken wie die CO2Abscheidung und -Speicherung. Dieses Ziel müsse aber im Zuge der Anstrengungen geschehen, "Armut auszurotten", heißt es im Vertrag. Indien hat angeblich auf diese Textpassage bestanden. Das Land möchte nicht auf billigen Kohlestrom verzichten - damit will es hundert Millionen Indern aus der Armut helfen. Ist es schon zu spät, den Planet zu retten? Schäden durch Klimawandel Ja, der Klimawandel verursacht Schäden und Verluste, sagt Klausel 8 - eine wichtige Errungenschaft für Entwicklungsländer: Denn die Industrienationen erkennen damit an, dass die größtenteils von ihnen ausgestoßenen - Klimagase dazu führen, dass Städte überflutet werden, Häuser einstürzen und Menschen sterben, eben durch Unwetter und andere Extremwetterereignisse. Nötig sei "Handeln und Unterstützung", darunter fallen zum Beispiel Frühwarnsysteme und Risikoversicherungen. Unwetterversicherungen, die von den reichen Staaten angeschoben werden und Schäden durch Wetterkatastrophen decken sollen, könnten eine Lösung sein. Geld für die Armen www.sissu.it Im Paris-Abkommen versprechen die reichen Länder, ab 2020 wenigstens 100 Milliarden USDollar pro Jahr bereitzustellen, um klimawandelbetroffenen Ländern zu helfen. Das ist allerdings nicht Teil des rechtsverbindlichen Vertrags. Es wurde in den "Entscheidungs"-Teil verschoben, der unverbindlich ist. Das zeigt einmal mehr das Gewicht der USA in den Klimaverhandlungen. Denn angeblich ist das ein Trick, um den US-Kongress zu umgehen. Wäre die 100-Billionen-Dollar-Zahlung Teil des eigentlich Abkommens, müsste der Kongress zustimmen. Stattdessen wurde das Dokument so formuliert und angefertigt, dass Barack Obama auch ohne Rückendeckung aus dem Kongress unterschreiben darf. Die republikanische Mehrheit im Kongress hat oft genug deutlich gemacht, dass sie rein gar nichts von Klimaschutz hält. Der Klimawandel verursacht Schäden - jetzt schwarz auf weiß im Klima-Abkommen USA auf der Kippe? Kritiker befürchten, dass ausgerechnet die USA - weltgrößte Wirtschaftsmacht - aus dem Vertrag ausbrechen werde, wenn die Republikaner im nächsten Jahr die US-Wahlen gewinnen. Tatsächlich sagte der republikanische US-Senator Mitch McConnell den Medien am Sonntag, das Abkommen werde nach der Wahl "geschreddert". Der Politiker aus Kentucky, einem kohleproduzierenden US-Bundesstaat, glaubt, der Vertrag werde dem US-Arbeitsmarkt schaden und Stromkosten in die Höhe schießen lassen. Trotz allem bleiben Umweltschützer relativ gelassen. Es sei nicht so einfach, aus einem internationalen Abkommen wie diesem einfach auszusteigen - selbst für einen US-Präsidenten nicht. Folgen für die Wirtschaft Die Redaktion empfiehlt www.sissu.it Kommentar: Der verfrühte Jubel von Paris Der bei der Weltklimakonferenz in Paris geschlossene Vertrag wird als historisch beschrieben. Das ist mehr als übertrieben, meint Henrik Böhme. Was die ganzen Konjunktive in dem Papier wert sind, muss sich noch zeigen. (14.12.2015) Klimagipfel: "Wir haben es getan!" Klimaabkommen verbannt fossile Energien Wirtschaft sieht Klimavertrag skeptisch Unternehmen, die mit erneuerbaren Energien ihr Geld machen, freuen sich über das Abkommen. Analysten von Goldman Sachs verkündeten, dass es die weltweite Wirtschaft der kohlenstoffarmen Branchen ankurbeln werde - ein schnell wachsender 600-Milliarden-Dollar-Markt. Aktien von europäischen Firmen, die mit erneuerbaren Energien zu tun haben, haben am Montag bereits gut zugelegt, darunter Hersteller von Windturbinen, Biotreibstoff und Silicium - dem Rohmaterial für Solarpaneele. Trotzdem kommen vermehrt kritische Stimmen aus der deutschen Wirtschaft. Wie es jetzt weitergeht Die Staatschef werden den Vertrag am 22. April 2016 in New York unterschreiben. Mindestens 55 Nationen, die mindestens 55 Prozent der Treibhausgase ausstoßen, müssen zustimmen, damit das Dokument rechtsverbindlich wird. Beobachter glauben aber nicht, dass das ein Problem wird. Das Schwierige war die Einigung in Paris - das Unterschreiben sei nur noch eine Formalität. WWW-Links Deutsche Welle, 15.12.2015: Kommentar: Der verfrühte Jubel von Paris www.sissu.it Der bei der Weltklimakonferenz in Paris geschlossene Vertrag wird als historisch beschrieben. Das ist mehr als übertrieben, meint Henrik Böhme. Was die ganzen Konjunktive in dem Papier wert sind, muss sich noch zeigen. Es war absolut nachvollziehbar, dass die Tausenden Delegierten auf dem uncharmanten Messegelände bei Paris in tosenden Jubel ausbrachen, als nach zwei Wochen mit quälenden, zähen, nervenaufreibenden Verhandlungen endlich der letzte Hammerschlag von einer Einigung kündete. Es waren die Tränen nachvollziehbar, in die so manche und mancher ausbrach; auch das Lob für das diplomatische Geschick des Verhandlungsführers Laurent Fabius, im Hauptberuf Außenminister der Republik Frankreich, war aller Ehren wert. Auch geringere Fortschritte wurden schon gefeiert Einzig die Vokabel "historisch", die geradezu inflationär genutzt wurde, um das auf 31 Blatt Papier festgehaltene Vertragswerk zu würdigen, war fehl am Platz. Aber auch das ist entschuldbar, weil die Ausgangslage keinen Anlass zur Hoffnung gegeben hatte, dass die Delegierten aus aller Welt sich am Ende überhaupt auf irgend etwas einigen würden. Gejubelt wurde nach Klimakonferenzen im Übrigen schon öfter und für weniger als für den jetzt geschlossenen Weltklimavertrag. Das war auch schon 2005 in Montreal so, als man sich dafür feierte, das acht Jahre zuvor beschlossene Kyoto-Protokoll (das die Pariser Übereinkunft in bestmöglich fünf Jahren ablösen soll) endlich ans Laufen gebracht zu haben. Und auch zwei Jahre später in Bali, wo sich die Delegierten in den Armen lagen, weil sie ein Scheitern der Konferenz (und damit des ganzen Prozesses) in letzter Sekunde verhindern konnten. Und selbst das Desaster www.sissu.it von Kopenhagen 2009 wurde anfangs zumindest noch als Teilerfolg verkauft. Soviel zur Einordnung von Jubel nach zwei Wochen Klima-Konferenzmarathon. Wenn aus "soll" "sollte" wird Nun also der Jubel von Paris. Was ist er wert angesichts der Tatsache, dass in den kommenden Jahren - und man muss wohl befürchten: Jahrzenten - in Sachen Klimaschutz nichts passieren wird? Denn der Vertrag setzt auf Freiwilligkeit. Er bittet die Staaten sozusagen darum, etwas für den Klimaschutz zu tun. Und ab und an schauen die Vereinten Nationen dann mal drauf. Anders kann man es nicht bewerten, wenn allein das vage Bekenntnis abgegeben wird, den Höhepunkt der Emissionen von schädlichen Treibhausgas "so schnell wie möglich" zu erreichen. Wann ist "so schnell wie möglich"? in zehn oder in 50 Jahren? DW-Redakteur Henrik Böhme Niemand muss sich zu irgendetwas verpflichten. Schließlich ist man laut Vertragstext nur "eingeladen", mitzumachen bei der Rettung des Klimas. Nicht mal mehr das Wort "soll" steht im Vertrag, es wurde kurz vor dem letzten Hammerschlag noch durch ein "sollte" ersetzt. In der Gradmessung von Diplomaten ist das ein riesiger Unterschied. Und was nutzt es, wenn die USAmerikaner zwar in Paris eine wirklich engagierte Figur gemacht haben, aber zu Hause die Republikaner schon pöbeln, sie würden sowieso alles rückkgängig machen, was da möglicherweise auf die Wirtschaft des Landes zukäme? Natürlich sind solche Welt-Verhandlungen ein kompliziertes Geflecht von Geben und Nehmen. Und natürlich ging es auch in Paris vor allem um den Geldtransfer von Nord nach Süd. Immerhin sind die Industriestaaten der G7 nun in der Pflicht, den milliardenschweren Anpassungsfonds für die vom Klimawandel am meisten betroffenen armen Länder zu befüllen. Aber das, was die G7 noch bei ihrem diesjährigen Gipfel im bayerischen Elmau verkündet hatten, nämlich die Dekarboniserung der Weltwirtschaft bis zur Mitte des Jahrthunderts: Davon findet sich im Pariser Vertrag kein Wort Das hätte auch kein saudischer Prinz unterschrieben, klar. Aber daran krankt die ganze Geschichte schon seit 20 Konferenzen: Es ist das falsche Forum für dieses globale Problem, weil jeder an sich denkt, an die nächsten Wahlen und die Wirtschaft zu Hause; und weil es das Ziel einer solchen Konferenz vor allem ist, dass ein jeder sich in irgendeiner Form als Sieger fühlen soll. Nur der Markt kann helfen www.sissu.it Dass der Ölpreis ausgerechnet in den Tagen der Konferenz von einem Tief zum nächsten rutschte, machte die Sache natürlich nicht einfacher. Es ist ja auch ein Zeichen dafür, dass "den Märkten" das Gewürge von Paris ziemlich egal war. Der Königsweg kann nur sein, der Luftverschmutzung endlich einen marktgerechten Preis zu verpassen. Nur wenn CO2 einen angemessenen Preis bekommt, wenn es zu teuer wird, die Luft zu verpesten, dann wird ein Umdenken einsetzen. Es gibt hier und da - angefangen in der Europäischen Union - vernünftige Ansätze für Emissionshandelssysteme. Sie müssen nur ordentlich ausgestaltet und mit anderen bestehenden Systemen in Nordamerika und China vernetzt werden. Natürlich werden die nun heimkehrenden Umweltminister zu Hause vom Erfolg berichten, den sie in Paris errungen haben. Doch was der Jubel vom Samstag wert ist, wird sich dann zeigen, wenn der Klimavertrag in den Parlamenten der Mitgliedsstaaten zur Ratifizierung vorgelegt wird: Dann nämlich müssen die Staaten Flagge zeigen, was sie wirklich zu unternehmen gedenken, um das Versprechen von Paris - und das immerhin ist es - einzulösen. Allein wenn man betrachtet, wie schwer sich Deutschland mit seiner Energiewende tut, dann kann man erahnen, dass es anderswo noch deutlich schwieriger, wenn nicht gar unmöglich werden dürfte. Sie können unterhalb dieses Artikels einen Kommentar abgeben. Wir freuen uns auf Ihre Meinungsäußerung! www.sissu.it ITALY San Lazzaro, BO: the Mayor Isabella Conti, Partito Democratico, is menaced by mafia for her blocking a project of construction (www.comune.sanlazzaro.bo.it ). Public officials in Rome and in many other towns do not want to work and find escamotages to avoid … 4 January: press publishes that in the late law approved there is a norm that allows Berlusconi not to pay and be inculpated for fiscal duties. Renzi admits he is the author of this “mistake”. January: investigations continue about the corruption big cases: Mafia Capitale (Roma), Expo (Milano), Mosé (Venezia). 6 January: Italy asks more force to the mission Frontex to face immigrant traffic. 13 January: FCA (Fiat + Chrysler) announces new jobs in Menfi central for 1,500 workers (Sergio Marchionne), as an effect of Jobs Act. 14 January: President Giorgio Napolitano leaves the office. 17 January: two Italian girls, Greta and Vanessa, volunteers in Syria and there raped, are freed. Polemics about the rescue paid by Italian government. Liguria: the ‘primarie’ of Partito Democratico are irregular, denounced Sergio Cofferati, one interested leader. And he is right, but the Party decides the same for the alternative, Mrs. Raffaella Paita, supported by Renzi. Cofferati will abandon the Party. 23 Motorizzazione retires the driving permission to a guy because homosexual – the State must reimburse. Paolo Gentiloni, who is participating to a meeting of foreign ministers in London, alerts that terrorists could be infiltrated in the immigrants waves. 25 January: inauguration of judiciary year – the judges alert that mafia infiltrated the North part of the country. Judge in Lecce are investigating about ILVA industry in Taranto, which is polluting the environment. 28 January: the Lombardia region does a law to impede the construction of new mosques. 29 January: Police investigation in Emilia Romagna reveal how mafia was projecting to do business with earthquake. 117 mafioso people are arrested. Complicity of mayors, etc. 31 January: new president of the Republic is Sergio Mattarella. Corrado Passera makes Itaia Unica, a new party. Goanec, Mathilde (Janiver 2015). Fous à délier. Le Monde diplomatique, Janvier 2015. 03 February: investigations in Rome bring at the light the list of prices of corruption. The Parliament is divided about anti-corruption law, and even Partito Democratico is so. Raffaele Cantone anti-corruption authority says that the controllers about corruption are as the pedophiles in the kindergarten.5 February: mafia and football, also in Emilia. 10. February: Falciani list of HSBC secret top-accounts contains many Italian names. 11. February: anti-corruption laws are stopped again in Parliament. 11 February: China and Thailand want to buy Milan football club. 12 February Constitutional Court establishes that the Robin Tax as applied to IRES on energy companies is anti-constitutional, then the State looses one billion Euros. RAI and Mediaset gain. 13 February Italian Popolari Banks are transformed, with possible maxi-gains for Davide Serra a maxisponsor of Renzi, who is now investigated for “insider trading”. www.sissu.it 14 February: TAR, Regional Administrative Court of Sicily blocked the MUOS, Mobile User Objective System, because it is a danger for public health. 15 February: President Mattarella does a national, domestic flight to go home in Palermo. ITALY, 22 February: Renzi government passed some reform law, but Parliament is in sufferance for his method. ITALY: mafa and ant-mafa, sometmes, they seem to be the two faces of the same coin. March: Berlusconi stll is in a court for Ruby process. Maurizio Landini, FIOM syndicate in CGIL, starts with Coalizione sociale. ITALY: new big scandal, Ercole Incalza, the high fonctonnaire of Public Works in Infrastructure Ministry, is in jail for corrupton. Minister Lupi stands down and resigns. Pope Francis says against corrupton, in Naples. ITALY, on 26th March: Chmchina buys Pirelli, while India is ready to buy Pininfarina. ACCORDIng to a study of Vittadini, the GDP grows better with federalism rather than with centralism. (7.4.2015). SICILY First born in the year is Mohammed a Bangladeshi child. 28 January, Corleone: some shops are denouncing the Mafioso people – mentality changes. 5 February: Sicily Region does not claim for its rights against corrupted employees because “corruption is not adverted as a social-moral problem”. Crocetta President wants to investigate on that. May: Cosa Nostra threats the judge Nino Di Matteo heavenly. May, power strategy of ENI (pres. Descalzi) is to remain in Libya and Russia while turning back to Iran. 3rd Global Teacher Round Table, in Catania, School Fontanarossa (Dr. Meltia Cristaldi). Mafia Capitale and other corruption scandals are there with many international links, including the business with the structure for welcoming migrants from Africa. ITALY: Saipem-ENI, ILVA, Tirrena Power, and Fincantieri – all cases of polluting industries, with judges that fight to block their polluting activities and gvt that tries to maintain them open and worker working. Sicily economic situation is bad than that of Greece. Roberto Saviano comments: Even Mafia is abandoning the South 22nd August: newly denounced the phenomenon of Mafia caporalate in the agriculture. 9th September: Mafia goods, took by the State, are now managed by the husband of a judge in a very controversial way … ITALY, 26th September: Mafa Capitale investgates upon the business on the migrants welcoming even afer the frst inquiries. El Debate, 24th November 2015: www.sissu.it Mafia italiana Publicada el 23/11/2015 - 16:11 HS "Aléjense de Nueva York": mensaje para ISIS Giovanni Gambino, hijo de un capo de la mafia italiana y con residencia en Nueva York lanza mensaje al Estado Islámico “La mafia tiene el poder para detener a ISIS”: Giovanni Gambino. Nueva York.- Giovanni Gambino, hijo del capo John Gambino, encabeza una de las familias más poderosas en Nueva York, mencionó que “la mafia tiene el poder para detener a ISIS”. El objetivo del mafioso que dominó al submundo neoyorkino en demostrar “el lado bueno” de la mafia que se vive en la Gran Manzana. La entrevista con Gambino en NBC News. Supuestamente Gambino, la razón por la que ISIS no ha podido entrar a la isla Sicilia, es por la razón de la Cosa Nostra. ¿Crees que el ISIS no toca Italia por temor a la Cosa Nostra? No lo creo www.sissu.it Sí, es por eso Ya votaron 2396 personas - Ver resultados Comparte la encuesta 'El auge del terrorismo global brinda a la mafia la oportunidad e mostrar su lado bueno,' asegura Gambino en entrevista en la estación televisiva NBC News, indica Reuters. 'La gente de los vecindarios de Nueva York bajo el dominio de los sicilianos puede sentirse a salvo. Nos aseguraremos de que nuestra familia y amigos estén protegidos de los terroristas, especialmente de la brutal organización conocida como Estado Islámico', dijo. ¿QUIÉN ES GIOVANNI GAMBINO? Según Reuters, nació en la provincia de Palermo, en Sicilia. Creció en Torretta, ubicado en una zona montañosa con vistas a Palermo. Es el más joven de una familia que incluía cuatro hermanas y un hermano. Su familia se mudó al barrio conocido como Bensonhurst, en el suroeste de Brooklyn en 1988. Con los años, Giovanni ha desarrollado una pasión por la escritura, incluyendo la escritura de guiones. Gambino no es un mafioso, pero sí un exitoso guionista y escritor que trabaja muy de cerca con importantes productores de Hollywood. China Daily, 24th November 2015: www.sissu.it Premier Li pledges stronger parliamentary exchanges with Italy Updated: 2014-10-16 03:36 (Xinhua) Comments Print Mail Large Medium Small Premier Li Keqiang (R) meets with Italian Lower House President Laura Boldrini in Rome, Italy, Oct 15, 2014. [Photo/Xinhua] ROME - Premier Li Keqiang met respectively with Italian Lower House President Laura Boldrini and Senate President Piero Grasso on Wednesday, vowing to boost closer parliamentary exchanges between the two countries. While meeting with Boldrini, Li pledged joint efforts with Italy to take the opportunity of celebrating the 45th anniversary of diplomatic ties next year, to push for greater achievements of bilateral comprehensive strategic partnership. After briefing her about China's new measures and progresses in its reform and opening-up, Li said although the two countries differ in their national conditions, they both face the task of sustainable development. www.sissu.it He called for the parliamentary departments of both sides to enhance exchanges at different levels and in various forms, and share experience in legislation and governance, so as to contribute to deepening bilateral pragmatic cooperation. Hailing the profound culture and history of both countries as well as their fruitful cooperation in a variety of areas, Boldrini said Italy admires China's achievements in its reform and opening-up. The Italian Lower House is committed to facilitating stronger exchanges and cooperation with the Chinese National People's Congress, she said. Boldrini appreciated China's participation in the 2015 Milan World Expo. Praising the positive contribution of overseas Chinese to Italy's economic and social development, she welcomed more Chinese tourists and students to visit and study in her country. Philippine Star, 9.12.2015: Pope: Mercy trumps moralizing as he opens Vatican Holy Door By Nicole Winfield (Associated Press) | Updated December 9, 2015 - 8:00am www.sissu.it Pope Francis pushes open the Holy Door of St. Peter's Basilica, formally launching the Holy Year of Mercy, at the Vatican, Tuesday, Dec. 8, 2015. The 12-month jubilee emphasizes what has become the leitmotif of his papacy: to show the merciful and welcoming side of a Catholic Church more often known for its moralizing and judgment. (AP Photo/Gregorio Borgia) VATICAN CITY — Pope Francis pushed open the great bronze doors of St. Peter's Basilica on yesterday to launch his Holy Year of Mercy, declaring that mercy trumps moralizing in his Catholic Church. Francis stood in prayer on the threshold of the basilica's Holy Door then walked through it, the first of an estimated 10 million faithful who will pass through over the course of the next year in a rite of pilgrimage dating back centuries. A thin and frail Emeritus Pope Benedict XVI walked through the doorway right after Francis, gingerly negotiating the two steps with the help of a cane and his longtime assistant. It was a rare outing for the 88-year-old Benedict, whose historic resignation led to Francis' election and a papacy dedicated to showing the merciful side of the church. Some 5,000 extra police, carabinieri and soldiers have been deployed around Rome, and a no-fly zone imposed on its skies, to protect the pilgrims who are flocking to Rome on foot, by car, train and plane to participate in the yearlong celebration. Security was heightened after the Vatican was listed as a possible target following the Paris attacks, but the extra police patrols and traffic stops extended far beyond the immediate vicinity of the Vatican or even the other main pilgrimage sites in Rome. www.sissu.it Francis launched the 12-month jubilee to emphasize what has become the leitmotif of his papacy: showing the merciful and welcoming side of a Catholic Church more often known for moralizing and casting judgment. World ( Article MRec ), pagematch: 1, sectionmatch: 1 "How much wrong we do to God and his grace when we speak of sins being punished by his judgment before we speak of their being forgiven by his mercy," Francis told an estimated 50,000 people gathered under rainy skies for his Mass opening the jubilee. "We have to put mercy before judgment, and in any event God's judgment will always be in the light of his mercy." The Vatican's Holy Door, located to the right of the basilica's main entrance, is decorated with 16 bronze panels depicting the redemption of man's sin through mercy. Passing through it is meant to symbolize the pilgrimage of life's journey and the sacrifices endured. "We have to absorb the message that God always forgives us, which is the message that the pope gives to us," said Maria Sila, a pilgrim from Buenos Aires as she waited for the Mass to begin. After Francis and Benedict walked through the doorway, the first throngs of pilgrims followed suit, led off by the Italian president and other dignitaries. In a sign that Francis himself was taken aback by Benedict's frailty when he saw him at the Holy Door, he asked the throngs of pilgrims in the piazza to send their prayers for his "good health." The crowd responded with cheers and applause. Holy Years are generally celebrated every 25-50 years, and over the centuries they have been used to encourage the faithful to make pilgrimages to Rome to obtain an "indulgence" — the ancient church tradition related to the forgiveness of sins that roughly amounts to a "get out of Purgatory free" card. Unlike in Martin Luther's time, these Holy Year indulgences are free and available to those who pass through the Holy Door. The last jubilee was in 2000, when St. John Paul II ushered in the church's third millennium and some 25 million pilgrims flocked to a Rome that had undergone a multimillion-dollar facelift for the occasion. In typical Francis fashion, the pope made clear from the start that he wanted this Holy Year to be a more sober occasion. For the first time, the pope instructed all cathedrals around the world to open their Holy Doors to pilgrims to encourage the faithful to mark the jubilee at home rather than coming to Rome. Nevertheless, Italian officials seized on the excuse of the jubilee to allocate millions of euros for dozens of public works projects around the capital, practically none of which has been completed. Francis announced his Holy Year on the second anniversary of his papacy, saying his aim was "to give comfort to every man and every woman of our time." It was in keeping with his priority to www.sissu.it make the church a "field hospital" for injured souls, where the wounded are welcomed and loved, not judged. The jubilee year will feature a host of special Masses and extra general audiences to accommodate the throngs of pilgrims, while Francis himself has set aside one Friday each month to slip out of the Vatican to perform an act of mercy himself, in private. For all the pomp of yesterday's ceremony, Francis technically launched the Holy Year of Mercy last week in Central African Republic, when he pushed open the Holy Door of the Bangui cathedral. His aim was to give the conflict-weary Christians there a spiritual boost, and show the universality of his message of mercy. Elsewhere around the world, Holy Doors will be opening at cathedrals starting this Sunday. On yesterday night, the Vatican will lend itself to another one of Francis' preoccupations — environmental protection. A coalition of humanitarian groups has banded together to screen images of nature by well-known photographers and filmmakers on the facade of St. Peter's. BOSNIA-HERZEGOVINE 4 February: The International Penal Court of The Haag established that ethnic cleaning dos not correspond to genocide. Hope has been expressed that ex-Yugoslav republics restart and refresh friendship. Pope Francis visits Sarajevo, 5th June. Bosnia is a cradle for terrorists. LITUANIA 3,5 millions inhabitants, GDP is 35 billions Euros, prevision of growth 2015 is 3,1%. Vilnius the capital. Since 2015 the country is adopting the Euro. Unemployment is 9,9%, the best in Europe. President of Republic the lady Dalia Grybauskaite. The country depends on Russian power www.sissu.it Gazprom, but the general feeling is quite anti-Putin and a new platform from Norway, Klaipeda, should guarantee power independence too. MOLDAVIA Danero Iglesias J. (2014). Nationalisme et pouvoir en République de Moldavie. Les Eitions de l’Université de Bruxelles. [Le Monde diplomatique, Avril 2015. BELGIO Se extiende la alerta máxima en Bruselas y mañana no abrirán ni el subte ni las escuelas La decisión fue comunicada por el premier Charles Michel, quien asegura que la amenaza de Estado Islámico es "grave e inminente" Domingo 22 de noviembre de 2015 • 15:14 www.sissu.it Se extiende la alerta máxima en Bélgica y mañana no abrirán ni el metro ni las escuelas.Foto:AFP BRUSELAS.- Tras los atentados en París del viernes 13 de noviembre, que dejaron un saldo de 132 muertos y más de 300 heridos, Europa está alerta. El grupo extremista Estado Islámico lanzó un par de videos en los que asegura que los ataques aún no terminaron y ante estas amenazas, los gobiernos de todos los países montan guardias especiales para prevenir una nueva masacre. Bélgica es uno de los países que más está en la mira. Fue en un barrio de Bruselas en donde se ideó la ola de atentados: Molenbeek fue marcada como el bastión del grupo terrorista en el país. Y es por esto que ayer las autoridades belgas tomaron todos los recaudos a su alcance y comunicaron que es país estaba en estado de sitio. Hoy, las autoridades decidieron prolongar el nivel de alerta máxima (4) por terrorismo para Bruselas, según informó el primer ministro, Charles Michel, tras una reunión del Consejo de Seguridad. Se extiende la alerta máxima en Bélgica y mañana no abrirán ni el metro ni las escuelas.Foto:AFP Más notas para entender este tema www.sissu.it Ante este panorama, también comunicaron que las escuelas y el subte mañana permanecerán cerrados, ante una amenaza calificada como "grave e inminente". www.sissu.it www.sissu.it Clarin, 24th November 2015: La tragedia agiganta a Hollande, el hombre que dirige la guerra París bajo fuego.El 73% de los franceses aprueba su gestión tras los ataques a París. Antes era el presidente galo más impopular. Presidente. La imagen de Hollande ha crecido con su manejo de la crisis (AFP). María Laura Avignolo La tragedia agiganta al presidente François Hollande, que hasta ahora era el jefe de Estado más impopular de Francia. No sólo en los sondeos, que lo hicieron subir ocho puntos desde los brutales atentados en París. En los peores momentos para su país, Hollande sabe encarnar los valores republicamos de Francia ante el horror del terrorismo y no vacila. Actúa completamente convencido, sin fijarse si sus medidas son populares o impopulares, de derecha dura o de izquierda. www.sissu.it Es el nuevo jefe de guerra y, solo, decidió lanzar masivos ataques aéreos al ISIS, el día después de los atentados, sin la menor solidaridad de sus pares europeos. Luego sacó de la galera un artículo 42.7 del Tratado de Lisboa, que fuerza a la Unión Europea a defender a un socio atacado y comenzó a construir, en plena crisis, una política de defensa común de la UE. Ante la adversidad, desde la masacre de Charlie Hebdo en enero hasta los horrendos ataques simultáneos del ISIS una semana atrás, se produce una transformación “mediterrandiana” en Hollande. Pero que, al mismo tiempo, lo hace parecer al ex presidente Jacques Chirac porque es humano. Es un lenguaje opuesto al de Manuel Valls, su apasionado primer ministro franco catalán. Marcial pero cercano, controlado, con un tono de autoridad, sin dejarse dominar por el pánico o la emoción. Aplomado. El 73% de los franceses cree que “Hollande estuvo a la altura de los acontecimientos ” y el 26% no, según una encuesta de Le Parisien. Un jefe de guerra singular, “un improbable comandante en jefe”, como diría el Financial Times, “un John Wayne de los Campos Elíseos” para el diario de centroizquierda The Guardian, pero con un físico que no corresponde a su actual estatura de hombre de Estado. El “Presidente Normal”, que votaron los franceses en el 2012 para curarse del hiperquinético Nicolás Sarkozy. El mismo que logró frenar a Al Qaeda en Mali cuando su capital, Bamako, estaba bajo amenaza y envió sus tropas especiales para contener el asalto que dejó esta semana 27 muertos en hotel Radisson de su capital, con su país en estado de urgencia. Es solidario Hollande y no traiciona sus compromisos con los menos fuertes. El jefe de Estado se salvó de ser asesinado en los atentados. Estaba en el estadio de Francia, junto al canciller alemán Frank Walter Steinmeir viendo el partido de futbol, cuando dos de los tres kamikazes se detonaron en las puertas del estadio. El ataque coordinado en París estaba en marcha. Con la mayor discreción, Hollande fue evacuado del estadio por su seguridad y en auto se dirigió, junto al ministro del Interior, Bernard Cazeneuve, a dirigir la crisis. Pero antes ordenó no interrumpir el match, cerrar las puertas del estadio discretamente y que los fans fueran conducidos al césped para protegerlos. Esa calma que imprime en la emergencia es hollandismo puro. Todas las dudas que pueden generar sus políticas en sus pares socialistas, que no pueden digerir el “liberalismo” social de Hollande, desaparecen cuando Hollande está a cargo de una crisis de seguridad y política exterior. Una verdadera transformación ante la adversidad, que impone el estado de urgencia, que asegura a una población aterrorizada con gestos y palabras humanas pero firmes. Un éxito para un hombre que Dominique Straus Khan, a quien reemplazó como candidato presidencial, consideraba “un perdedor, débil”. Hollande, el ministro de Defensa Jean Yves Le Drian; el ministro del Interior Cazeneuve y el apasionado premier Valls consiguen formar un equipo sólido, donde se distribuyen las responsabilidades y cada uno tiene su forma diferente de comunicar y conducir. El presidente Hollande decidió la guerra abierta después que Daech asesinara a mansalva a 130 inocentes franceses. Bombardeó al ISIS infinitamente solo. Rompió el tabú que dividía a la Unión Europea después de Ucrania y está negociando una ofensiva con Vladimir Putin, a quien se negó a entregarle las barcos militares que había construido y el otro pagado por la crisis de Ucrania. El jueves se pondrán definitivamente de acuerdo en Moscú pero sus estados mayores están ya en coordinación. Llamó al rey de Arabia Saudita para exigirle que dejen de financiar el jihadismo, a los millonarios qataríes, cuyo primer ministro llegó a Francia un día después de los atentados, a www.sissu.it expresar su solidaridad. Llamó al presidente iraní, que aterrizará en Francia próximamente para una visita que canceló ante los atentados terroristas. Con sus muertos llorados en las calles de París, comenzó a construir “la gran y heterogénea coalición” para destruir al ISIS y sus recursos. Lunes, el primer ministro británico David Cameron en el palacio del Elíseo para comprometerse a bombardear Siria. Martes, con el presidente Barack Obama en Washington, para discutir la estrategia para eliminar al ISIS y que tropas regionales se fortalezcan en el terreno para que no haya “botas occidentales” combatiendo al ISIS. Miércoles, una comida informal con la canciller alemana Angela Merkel en París, agobiada por la oposición a los inmigrantes sirios, y el jueves a ver al presidente Vladimir Putin en Moscú para certificar su nueva alianza. Esta Yalta de la guerra del siglo XXI, tan compleja y con intereses muy difíciles de reconciliar. Un componedor como Hollande, que ama la política, es un habilísimo negociador, capaz de encontrar un resquicio de positividad en el más negativo de los escenarios, con su sentido del humor y sus mortíferas frases de una sola línea para destruir con ironía al otro, puede llegar a conseguirlo porque es una directa víctima de Daech y un espejo para los otros. “François” y “Barack” se llevan bien, han conseguido establecer una excelente relación personal que el presidente norteamericano Obama no tiene con el primer ministro británico David Cameron. Ahora Hollande va a Washington y forzó a la Unión Europea a aportar naves a acompañar en la guerra. Una fragata británica y una belga están acompañando el portaaviones Charles de Gaulle, que está operacional frente a Siria. Hollande está haciendo política, diplomacia y guerra. Todo al mismo tiempo y le está saliendo bien. Puro pragmatismo. El ministro de Defensa francés acaba de decir que la destrucción de Daech (jamás dicen Estado Islámico) “pasa por una obligatoria presencia de tropas en el terreno que no tienen que ser forzosamente francesa”.Y que van a atacar Raqqa y Mosul. Obviamente cuenta con los kurdos, a los que armarán hasta los dientes, las tribus y como pueda ( ya lo están haciendo en Irak disimuladamente con los estadounidenses) , con los iraníes. Eso es lo que va a negociar el jefe de Estado con sus pares. Francia va a enviar fuerzas especiales, su portaaviones Charles de Gaulle tiene 26 aviones de combate, 18 Rafale y 18 Super Etendar, más 12 aparatos en Emiratos y seis Mirage en Jordania. La decisión del ministro de Defensa, el más popular del gabinete, es bombardear Mosul, y Raqqa, donde se encuentran los centros de decisión y de formación de jihadistas del ISIS. “Hay que bombardear las dos ciudades, las capacidad de recursos del Estado Islámico, es decir los campos petroleros”, anunció Le Drain. Si bien Francia y Rusia no coordinan aún los bombardeos, tienen el mismo enemigo: Daech”, según el jefe del Estado Mayor francés, Pierre de Villiers. En su tour diplomático, Hollande buscará coordinar esta coalición y sus aliados en el terreno. Una mezcla imposible de Kurdos pro independentistas, tribus sunitas, chiítas iraquíes. El principal problema será el rol de Irán, un acuerdo imposible entre la sunita Arabia Saudita y el régimen shiíta de Irán, que se detestan pero tienen en el ISIS el mismo enemigo, y Turquía, que se ha transformado en un impredecible aliado de la OTAN con el islamista Erdogan de presidente, que hace guiños al ISIS porque su enemigo numero uno es Bashar al Assad. La habilidad y el charme de Hollande tiene el desafío de volver ese rompecabezas de intereses divergentes en una alianza posible. www.sissu.it GERMANY 1 January: Ulrich Beck dies by heart attack. Annette Scheunpflug (2015). Non-governmental religious schools in Germany – increasing demand by decreasing religiosity? Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 38-56. 19 January: an opinion investigation reveals that 57% population is anti-Islam. Pegida is the principal movement anti-Islam in Germany, the leader is Lutz Bachmann: www.sueddeutsche.de; www.welt.de ). 27 January: an opinion investigation reveals that 81% of German population desires to forget the Shoah (today being the day of memory), 36% don’t share a favorable opinion about Israeli current state. 28 May, ISIS enrolls youth who work as kamikaze. Denord F., Knaebel R., Rimbert P. (Aout 2015). L’ordolibéralisme allemand, cage de fer pour le Vieux Continent. Le Monde diplomatique, Aout 2015. 3rd September: with “reluctant hegemony” Mme Merkel faces the Syrian migrants question, while other European countries have an ambivalent approach to the issue. www.sissu.it GERMANY, 23RD September: Wolkswagen scandal, one million cars are false green. The Company begs pardon to the world. It seems that Merkel and the syndicates knew the weakness and did not operate properly. Knaebel R. (Septembre 2015). En Allemagne, main basse sur les terres de l’Est. Le Monde diplomatique, September 2015. Daily Times of Nigeria, 17th November 2015: Der Wunsch nach Bildung Auch in Deutschland lässt sich der Zusammenhang zwischen Bildung und Lebensstandard immer deutlicher belegen. In Gegenden mit geringem Lebensstandard ist der Besuch einer höheren Schule eher die Ausnahme als die Regel. Wird überhaupt ein Bildungsabschluss erreicht, ist das am häufigsten der Hauptschulabschluss. Der Mangel an Bildung wird bei der Besetzung von Lehrstellen zu einem großen Problem. Fehlende Bildung verschlechtert die Chancen auf eine gute Berufsausbildung dramatisch. Die Folge sind oft prekäre Lebensverhältnisse, der Empfang von Transferleistungen und eine “”Vererbung”” der Bildungschancen. Ein Kind aus einem Elternhaus mit hohem Sozialstatus besucht fast dreimal so häufig das Gymnasium als ein Kind aus einem Facharbeiter-Elternhaus. Bildungsmöglichkeiten in Ländern der dritten Welt Noch schlimmer sind die Bildungsbarrieren in ärmeren Ländern. Durch Armut und den Mangel an Infrastruktur sind viele Eltern oft nicht in der Lage, ihre Kinder zur Schule zu schicken. Sie erkennen zwar den Wert einer guten Schulbildung, es fehlen aber die Mittel, die Kosten für Schulbücher, Lernmittel oder Schuluniformen aufzubringen. Besuchen Kinder trotzdem eine Schule, müssen sie manchmal mehrere Stunden laufen, was bei einer Mangelernährung eigentlich nicht zu bewältigen ist. Wenn überhaupt bekommen Menschen ohne Bildung nur Arbeit im Niedriglohnsektor. Der Mangel an Bildung ist in den Ländern der dritten Welt eine der essentiellen Ursachen für Armut, ebenso wie Armut eine wesentliche Ursache für den Mangel an Bildung ist. Bildung hilft den Lebensstandard zu verbessern Jeder Mensch hat das Recht auf Bildung. Eine gute Schulbildung bietet die Chance, eine Berufsausbildung zu durchlaufen. Unter günstigen Voraussetzungen bedeutet das einen besser bezahlten Arbeitsplatz als bei ungelernten Arbeitskräften. Nur Menschen mit Bildung haben überhaupt die Möglichkeit, ihr Leben selbst zu gestalten. Schon aus demografischen Gründen können es sich die Deutschen nicht mehr lange leisten, Bildungschancen der Kinder zu verschwenden. Es wird immer wichtiger werden, allen Heranwachsenden eine gute Bildung und Ausbildung zu vermitteln. Alternative Ausbildungsmöglichkeiten www.sissu.it Während es zur Schulausbildung kaum Alternativen gibt, bietet eine berufsbegleitende Ausbildung vielen Interessenten die Möglichkeit, eine abwechslungsreiche Tätigkeit zu erlernen oder die Grundlage für eine interessante Karriere zu legen. Zahlreiche Ausbildungsinstitute bieten Bildungsinhalte als Fernstudium und Weiterbildung an. Eine schulische Ausbildung ist inzwischen eine interessante Alternative zur klassischen dualen Ausbildung im Betrieb und Berufsschule. Bildquelle: © cellanr „One Laptop per Child at Kagugu Primary School, Kigali, Rwanda.“ Bestimmte Rechte vorbehalten. Quelle: Wikipedia.org Spiegel, 19.11.2015 - Er galt als gefährlichster Islamist Belgiens und soll hinter den Anschlägen von Paris stecken: Abdelhamid Abaaoud wurde bei der Anti-Terror-Razzia in Saint-Denis getötet. Nach Informationen von SPIEGEL ONLINE hielt sich Abaaoud wiederholt in Deutschland auf. Spiegel, 20.11.2015: Versagen von Schengen und Euro: Europa an der Grenze Eine Kolumne von Wolfgang Münchau Der Euro wackelt nach wie vor, das Schengen-System der offenen Grenzen ist de facto gescheitert. Beide europäischen Konstruktionen scheitern am selben Problem: Die EU konnte sich nur auf den kleinsten gemeinsamen Nenner einigen. Kolumne Für viele von uns, die jahrelang über innereuropäische Grenzen wandelten, war das Schengener Abkommen eine der konkretesten Errungenschaften der europäischen Einigung im täglichen Leben. Viele Jahre lang fuhr ich häufig mit dem Wagen von meinem damaligen Wohnort Brüssel nach Italien und passierte dabei je nach Fahrtroute vier und oder fünf Grenzen, die man kaum noch als solche wahrgenommen hat. Auch der Euro war für den Europendler ein Akt der Vereinfachung. Wer zwischen den Staaten wandelte, hatte ganz plötzlich ein bequemeres Leben. Euro und Schengen haben aber noch etwas anderes gemeinsam. Sie waren beide Schönwetterkonstruktionen. Der Euro zerbricht an einem kaum noch überbrückbaren Gefälle zwischen dem Norden und dem Süden. Und Schengen zerbricht an Flüchtlingen und Terrorismus. Wie beim Euro hat man die Probleme unterschätzt und maßlos geschludert, vor allem im Austausch von Daten über Terroristen. Präsident François Hollande hat nach den Attentaten von Paris sofort den Notstand ausgerufen und für die nächsten drei Monate die Grenzkontrollen wieder eingeführt. So wie Deutschland jetzt auch die Grenze nach Österreich wieder kontrolliert. Notsituationen sind im Schengener System ausdrücklich vorgesehen und sind somit nicht an und für sich Beweis seines Scheiterns. Aber die Notsituationen, von denen wir jetzt reden, werden über die kurzfristigen Maßnahmen hinausgehen. Die Grenzkontrollen werden verlängert. Der Ausnahmezustand wird zur Regel. Und währenddessen wird man von offizieller Seite weiter verlautbaren, das Schengener Abkommen sei nach wie vor gültig und relevant. www.sissu.it Man machte bei der Konstruktion von Schengen eine ganze Reihe von Fehlern. Damit so ein Abkommen langfristig funktioniert, benötigt es das Vertrauen aller Bürger in allen Staaten. Eine Mindestvoraussetzung dafür muss sein, dass die gemeinsame Außengrenze mindestens so gut kontrolliert wird wie die vorher am besten kontrollierte Grenze seiner Mitglieder. So funktioniert es allerdings nicht. Die griechische Grenze wird von griechischen Zöllnern bewacht, die unter Anweisung ihrer Regierung handeln. Und wenn die entscheidet, Flüchtlinge nicht oder nur ungenügend zu registrieren, dann funktioniert das System nicht mehr. Man kreierte nur das Mindeste, was nötig war Auf meinen häufigen Flugreisen zwischen Großbritannien und Ländern aus dem Schengengebiet fällt mir immer wieder auf, wie professionell die Briten ihre Grenzkontrollen organisieren im Verhältnis zu den Schengenländern. Der Grenzbereich in den Flughäfen sind große Hallen. Dort werden Reisende aus EU-Ländern plus Schweiz, Norwegen und Island von Reisenden aus dem Rest der Welt getrennt. Die Beamten sitzen nicht wie in Deutschland in Kabinen, in denen sie häufig mehr miteinander reden als mit den Reisenden. Jeder Pass wird kontrolliert. Niemand wird durchgewinkt. Die verhältnismäßig laxen Schengener Grenzkontrollen sind erstaunlich angesichts der Größe des Schengenraums. Auch hier gibt es Parallelen zum Euro. Man kreierte nur das Mindeste, was nötig war: eine gemeinsame Zentralbank für den Euro, einen gemeinsamen Computer für Schengen. Man schaffte sogar einen gemeinsamen europäischen Grenzschutz, Frontex, der die EU-Außengrenze kontrollieren soll, aber die Behörde hat nur die Hälfte des Personals, die es bräuchte, um allein die Flüchtlinge zu kontrollieren. Zwischen Schengen und dem Euro gibt es aber auch einen bedeutenden Unterschied. Schengen kann man leichter suspendieren und am Ende sang- und klanglos scheitern lassen. Mit dem Euro geht das nicht. Den hat man, oder man hat ihn nicht. Die Niederländer haben den Vorschlag gemacht, das Schengener Abkommen auf nur eine kleine Reihe von Ländern zu beschränken - Deutschland, Österreich, Benelux und Frankreich. Solche Abspaltungsfantasien gibt es zwar auch für den Euro, aber die lassen sich nicht umsetzten. Der Euro hat feste Rechtsgrundlagen, die in den europäischen Verträgen verankert sind. Man kann Länder nicht mal so eben "rausschmeißen". Auch Schengen basiert auf EU-Recht, aber es gibt die Möglichkeit der Suspendierung. Damit kann man Fakten schaffen. Man könnte den Vertrag lange genug suspendieren und dann parallel dazu eine neue außervertragliche passfreie Zone kreieren. Wenn die EU überhaupt noch eine Chance hat in der Zukunft, dann als Gemeinschaft der zwei Geschwindigkeiten. Die EU mit ihren 28 Mitgliedstaaten ist mit allem, was sie tut, überfordert - Euro, Ukraine, Syrien, Flüchtlinge, Terrorismus. Nur eine Kerngruppe kann das alles am Ende stemmen. Der Vorschlag der Niederländer ist nicht zu Ende gedacht. Man kann Schengen nicht so einfach ändern. Ich würde ihn trotzdem nicht verwerfen. Schengen hat fundamental versagt. Man sollte über Alternativen nachdenken. www.sissu.it Spiegel,, 21.11.2015: Grünen-Chef Cem Özdemir hat dem Westen Versagen im Kampf gegen den internationalen Terrorismus vorgeworfen. Saudi-Arabien und die Golfstaaten seien seine Handelspartner, man kaufe von ihnen Öl und liefere ihnen Waffen. Solange "diese Heuchelei und Doppelzüngigkeit" nicht aufhörten, werde es niemals Erfolge geben, sagte Özdemir am Freitagabend zu Beginn des Bundesparteitages der Grünen in Halle. "Der saudische Wahabismus ist nicht Teil des Problems, er ist die Quelle des Problems." Der Wahabismus gilt als besonders orthodoxe Form des Islams. Auch in den Gesprächen mit der Türkei zur Lösung der Flüchtlingskrise gebe es Doppelzüngigkeit, die die Glaubwürdigkeit der Koalition nicht erhöhe. Özdemir sprach sich für eine gut ausgestattete Polizei und demokratisch kontrollierte Geheimdienste aus, die ihre Informationen auch austauschen müssten. Mit Blick auf den Islam sagte Özdemir, es sei natürlich falsch, "Terror mit einer ganzen Religion gleichzusetzen". Die Probleme dürften aber nicht ignoriert werden. "Kein heiliges Buch steht über unserem Grundgesetz", betonte er. "Kein Glaubensvertreter schreibt einer Frau vor, wen sie zu heiraten hat." Kein angebliches Gottesgebot erlaube es, Homosexuelle zu unterdrücken oder sonst wie die Menschenrechte einzuschränken. Die Grünen sind am Freitagnachmittag in Halle in Sachsen-Anhalt zu einem dreitägigen Parteitag zusammen gekommen. Am Samstag stellen sich die bisherigen Vorsitzenden Simone Peter und Özdemir ebenso wie der Parteivorstand zur Wiederwahl. Der Spiegel, 21 November 2015 : Das Land braucht einen Neustart in der deutschen Flüchtlingspolitik. Dafür ist ein Abkommen mit der Türkei über Syrer-Kontingente notwendig. Das Asylrecht bleibt davon unangetastet, eine feste Obergrenze kann es nicht geben. www.sissu.it Sigmar Gabriel, Jahrgang 1959, ist SPD-Vorsitzender und Vizekanzler der Großen Koalition, sein Parteifreund Frank-Walter Steinmeier, Jahrgang 1956, ist Außenminister. Täglich erreichen rund 10.000 Menschen über die Türkei die griechische Küste und schlagen sich unter teils menschenunwürdigen Bedingungen über den westlichen Balkan in die Europäische Union durch. Täglich kommen Tausende Menschen auch nach Deutschland. Diese Menschen fliehen vor Krieg, Terror und Hunger. Wir fühlen mit ihnen, und sehen uns gleichzeitig vor eine historische Bewährungsprobe gestellt. Spannungen auf dem westlichen Balkan leben wieder auf. Die Solidarität innerhalb der Europäischen Union droht zu zerreißen. Die Helfer in Deutschland und andernorts geraten an die Grenze ihrer Belastbarkeit. Dabei ist es nicht unbedingt die absolute Zahl der Flüchtenden, die uns an unsere Grenzen bringt, sondern die Dynamik und Geschwindigkeit, mit der die Flüchtlingszahlen in nur wenigen Monaten angewachsen sind. Eine Nation mit mehr als 80 Millionen Einwohnerinnen und Einwohnern wie Deutschland ist nicht mit einer Million Flüchtlingen überfordert. Die Unterbringung und Aufnahme einer solchen Zahl in nur einem Jahr allerdings ist nur schwer und über mehrere Jahre hinweg kaum durchzuhalten. Geschwindigkeit der Zuwanderung reduzieren Wir müssen deshalb die Geschwindigkeit und Dynamik der Zuwanderung abschwächen und die Zahl der Flüchtlinge, die in einem Jahr zu uns kommen, verringern. Viele Städte und Gemeinden haben schlicht keine Aufnahmekapazitäten mehr, und eine gelungene Integration braucht Maß, gute Vorbereitung und vor allem Zeit. Wir stehen vor einer Jahrzehntaufgabe für eine umfassende Gesellschaftspolitik, damit die Menschen, die bereits Schutz und neue Heimat bei uns gefunden haben, integriert werden können. Nicht nur Schweden und Österreich, unsere beiden wichtigsten Partner in diesen Monaten, brauchen eine Verringerung der Geschwindigkeit des Zuzugs, sondern auch Deutschland. Wenn wir nicht nur ein Jahr, sondern über eine längere Zeit helfen können wollen, müssen wir mehr ordnen und steuern. Dafür brauchen wir einen Neustart in der deutschen Flüchtlingspolitik. www.sissu.it Deutschland muss alle politischen Möglichkeiten nutzen, um die internationalen Bedingungen für mehr Kontrolle und Steuerung der Flüchtlingsbewegungen zu schaffen. Dafür ist neben dem zwingend erforderlichen europäischen System der Registrierung und Verteilung ein Abkommen mit der Türkei ein ganz wesentlicher Baustein. Wir wollen eine wirksame Kontrolle der Seegrenze zur EU erreichen und Voraussetzungen dafür schaffen, dass die in der Türkei in Sicherheit lebenden Syrer nicht den gefährlichen illegalen Weg in die EU wählen. EU-Außengrenze sichern - Türkei helfen - Kontingente aufnehmen Wenn die Türkei bereit ist, große Beiträge zur Sicherung der gemeinsamen Grenze mit der EU zu übernehmen und zugleich Flüchtlinge, die versuchen, diese Grenze zu überschreiten bei sich wieder aufnimmt, dann muss die Europäische Union die Türkei im Gegenzug auch solidarisch und tatkräftig unterstützen. Dazu gehört ein angemessener Finanzierungsbeitrag zur Versorgung der syrischen Flüchtlinge. Dazu gehört schließlich auch, dass wir der Türkei - Zug um Zug - für Fortschritte in der Flüchtlingsfrage bei Themen entgegenkommen, die für die Menschen in der Türkei von großer Bedeutung sind: Das gilt für die Einstufung der Türkei als sicheres Herkunftsland. Hier muss aber auch künftig gewährleistet sein, dass politisch Verfolgte die Möglichkeit behalten, in Deutschland Asyl zu bekommen. Auch in der Frage der Visaliberalisierung müssen wir viel schneller vorankommen. Und schließlich müssen wir neuen Schwung in die seit Jahren stagnierenden Beitrittsverhandlungen bringen. Wenn diese Zusammenarbeit mit der Türkei also gelingt, dann sollte - im Gegenzug - im Rahmen einer europäischen Anstrengung Deutschland in Zukunft Kontingente syrischer Flüchtlinge aufnehmen, wie es dies bei anderen Bürgerkriegskonflikten schon getan hat. Die Menschen in diesen Kontingenten sollen auf sicheren Wegen nach Europa und Deutschland gebracht werden. Statt chaotischer und ungesteuerter Zuwanderung auf gefährlichen Fluchtrouten wie heute also geordnete und sichere Aufnahme von Bürgerkriegsflüchtlingen. Dabei muss gelten: Frauen und Kinder zuerst. Vorrang für Familien Dieses Verfahren erhöht die Kontrolle darüber, wer zu uns kommt, denn Antragstellung, Identitätsfeststellung und Registrierung finden vor der Einreise statt. Zugleich erspart es den Menschen, die Schutz suchen, einen lebensgefährlichen Weg über das Mittelmeer und die Fluchtrouten. Niemand soll auf dem Weg nach Europa sein Leben riskieren. Das ist ein hoher Anspruch, aber geringer darf er nicht sein. Klar ist für uns: Wir werden das deutsche Grundrecht auf Asyl nicht antasten. Jeder Mensch, der verfolgt ist und zu uns gelangt, muss und wird auch in Zukunft Anspruch auf ein Asylverfahren und als Asylberechtigter auch auf Aufnahme haben. Allerdings erhält nur ein relativ kleiner Teil der zu uns Flüchtenden Asyl aufgrund seiner individuellen Verfolgung. Die allermeisten flüchten vor Krieg und Bürgerkrieg und erhalten bei uns Schutz als Bürgerkriegsflüchtlinge. Deshalb kann die Aufnahme relevanter Kontingente von Bürgerkriegsflüchtlingen die Asylverfahren nicht ersetzen, aber durchaus entlasten. Dabei gilt: Feste Obergrenzen können wir www.sissu.it nicht definieren, denn sie ließen sich nur durch eine Abschaffung des individuellen Asylrechts in der deutschen Verfassung erreichen. Fluchtursachen bekämpfen Klar ist deshalb auch: Mehr Steuerung, mehr Kontrolle und Ordnung in der Flüchtlingspolitik erfordert die internationale Bekämpfung der Fluchtursachen. Dazu gehören Investitionen in die Verbesserung der Lebensbedingungen in der Türkei, in Jordanien und im Libanon. Wir brauchen den Aufbau von sicheren und menschenwürdigen Flüchtlingsunterkünften unter der Verantwortung der Vereinten Nationen. Weiter geht es darum, den Krieg in Syrien einzudämmen und die Terrororganisation des so genannten "Islamischen Staates" vereint zu bekämpfen. Mit den Wiener Verhandlungen zu Syrien gibt es nun einen ersten, vorsichtigen Hoffnungsschimmer. Alle wichtigen syrischen Nachbarn, auch Iran, Saudi-Arabien und die Türkei sitzen mit am Tisch. Die Türkei ist das Schlüsselland auf der Westbalkanroute. Unverzichtbarer und vor allem schnell greifender Teil eines Neustarts der Flüchtlingspolitik muss deshalb ein substanzielles Abkommen zwischen Europäischer Union und der Türkei sein. Dabei helfen weder Paternalismus noch Anbiederung. Aber es war falsch, Ankara über Jahre mit dem Hinweis auf eine wolkige "Privilegierte Partnerschaft" abzuspeisen. Die Türkei war und ist ein sicher nicht einfacher, aber eben ein unverzichtbarer Partner für Deutsche wie Europäer. Es ist gut, dass sich nun auch andere diese Einschätzung zu eigen gemacht haben, die wir in der SPD seit Jahr und Tag vertreten. Faire Verteilung der Lasten in Europa Für einen Neustart müssen wir nicht zuletzt unsere Anstrengungen auf europäischer Ebene kreativer gestalten. Die Umsetzung der bereits getroffenen Beschlüsse - von der Einrichtung von Aufnahmeund Verteilungszentren bis hin zur Bereitstellung von Geldern und Personal - kommt viel zu schleppend voran. Wir werden nicht nachlassen in unserer Forderung nach einem gemeinsamen Schutz der EU-Außengrenzen, nach einem echten europäischen Asylsystem und vor allem nach einer fairen Verteilung der Lasten in Europa. Aber wir müssen eben auch darüber nachdenken, ob durch einen gemeinschaftlich finanzierten europäischen Fonds Mitgliedsländer, die Flüchtlinge aufnehmen, finanziell entlastet werden können. Als Sozialdemokraten orientieren wir uns an einem klaren Kompass. Wir wollen eine humane Flüchtlingspolitik, die Deutschland auch auf längere Sicht nicht überfordert und die zugleich die große Errungenschaft offener Grenzen in Europa sichert. Wir wollen deshalb eine Flüchtlingspolitik der Solidarität, die Lasten entlang der Westbalkanroute fairer verteilt. Wir wollen eine europäische Flüchtlingspolitik. Deutschland kann nicht ohne Abstimmung mit den Nachbarn die Grenzen dicht machen und die europäische Solidarität aufkündigen. Wer solche Forderungen aufstellt, der hat sich siebzig Jahre nach Ende des Zweiten Weltkriegs nicht klar gemacht, welches existenzielle Interesse wir Deutsche an Europa haben. www.sissu.it AP Antworten auf die wichtigsten Fragen zur Flüchtlingskrise Der Spiegel, 29th November 2015: Vor EU-Türkei-Gipfel: Kommen Sie näher, Herr Davutoglu Von Peter Müller, Brüssel Mehr Artikel www.sissu.it DPA Bundeskanzlerin Angela Merkel und EU-Parlamentspräsident Martin Schulz Der türkische Regierungschef Davutoglu und die EU wollen einen Deal schließen, den Kritiker schmutzig nennen: Geld gegen Flüchtlingsstopp. Eine Vereinbarung über Kontingente an Flüchtlingen hält Parlamentspräsident Schulz für wenig wahrscheinlich. Wenig Zeit? Am Textende gibt's eine Zusammenfassung. Unmittelbar vor dem Gipfeltreffen der Europäischen Union mit der Türkei spricht Parlamentspräsident Martin Schulz (SPD) Klartext - eine Vereinbarung von Flüchtlingskontingenten mit der Türkei sei kaum aussichtsreich. "Die Idee mit den Kontingenten ist gut, hat aber zwei Haken", sagte Schulz in der aktuellen Ausgabe des SPIEGEL. "Der erste ist bekannt: Auch Kontingente setzen voraus, dass alle europäischen Länder bereit sind, Flüchtlinge aufzunehmen. Und zweitens: "Was passiert, wenn das Kontingent ausgeschöpft ist? Wollen Sie dann einem bedrohten Menschen sagen, tut uns Leid, wir müssen dich zurückschicken?" Die Frage der Kontingente gehört möglicherweise auch zu den Themen, die die Staats- und Regierungschefs der EU und der Türkei, die von Regierungschef Ahmet Davutoglu vertreten wird, am Sonntagnachmittag in Brüssel diskutieren. Im Kern geht es bei den Gesprächen jedoch um einen Deal, den Kritiker als schmutzig bezeichnen: Die Europäer stellen den Türken drei Milliarden Euro zur Verfügung, um die Lage in den Flüchtlingsunterkünften zu verbessern. Diese geplante Vereinbarung betrifft die Frage der Kontingente erst mal nicht. Der geplante Deal stellt auch die Eröffnung weiterer Kapitel bei dem ins Stocken geratenen Beitrittsprozess in Aussicht. Es geht dabei um die Visaliberalisierung, die der Türkei extrem wichtig ist - im Gegenzug bemüht sich die Türkei, die Zuwanderung nach Europa zu reduzieren. www.sissu.it Konkret sieht der Entwurf der vierseitigen Abschlusserklärung laut der Nachrichtenagentur Reuters vor, das nächste Verhandlungskapitel bereits im Dezember zu eröffnen und noch bis Ende März 2016 weitere Kapitel vorzubereiten. Ab Oktober 2016 soll die Visumspflicht für Türken in der EU fallen, wenn die Türkei ihren Teil der Abmachungen bis dahin erfüllt. Zudem wird präzisiert, dass die drei Milliarden Euro für die Flüchtlingsversorgung lediglich eine erste Zahlung sein sollen. Je nach Entwicklung der Situation würde die Finanzierung noch einmal überprüft werden. "Das ist kein Deal, sondern eine Notwendigkeit." Parlamentspräsident Schulz verteidigte das geplante Abkommen im SPIEGEL. "Das ist kein Deal, sondern eine Notwendigkeit zum Vorteil der Türken, Europas und vor allem der Flüchtlinge", sagte der SPD-Politiker. "Wenn wir ihre Lebensverhältnisse in der Türkei verbessern, schaffen wir einen Anreiz, dort zu bleiben und sich nicht in die Hände von Schleppern zu begeben." Schulz machte klar, dass er vom türkischen Staatspräsidenten Recep Tayyip Erdogan, der nicht in Brüssel sein wird, Kooperation in der Flüchtlingsfrage erwarte. "Herr Erdogan ist ein Realpolitiker. Er weiß, dass internationale Beziehungen nicht auf einseitigen Forderungen aufbauen, sondern auf Lösungen, die im gegenseitigen Interesse sind", so Schulz. "Die Türkei hat Interesse an Vereinbarungen bei der Visa-Liberalisierung, sie will als sicheres Herkunftsland anerkannt werden und endlich wieder konstruktiv über den EU-Beitritt verhandeln." Bis zuletzt war umstritten, in welcher Form die Frage nach Kontingenten in der Abschlusserklärung überhaupt angesprochen werden wird. Unter Kontingenten versteht man die Zusage, eine bestimmte Zahl an Flüchtlingen direkt aus der Türkei in der EU zu verteilen. Für die Flüchtlinge entfiele der gefährliche Weg über das Meer und die Westbalkanroute nach Deutschland. Kanzlerin Merkel will nun offenbar vor dem Gipfel mit einer ausgesuchten Zahl von EU-Ländern über eine solche Lösung beraten. Die Zusage der drei Milliarden steht Die Türkei trifft in Brüssel auf zerstrittene Europäer. Zum einen war bis zuletzt unklar, wie die drei Milliarden Euro finanziert werden sollen. Vor allem die Deutschen drängen auf einen Beitrag der Osteuropäer, die sich in der Flüchtlingskrise bislang sehr zum Unwillen von Kanzlerin Angela Merkel (CDU) kaum engagieren. In Verhandlungskreisen heißt es, dass die Details der Finanzierung aber notfalls nach dem Gipfel geklärt werden könnten. Die Zusage der drei Milliarden stehe. Mindestens genauso umstritten ist die Frage von Flüchtlingskontingenten. So machen die osteuropäischen EU-Staaten bis zur letzten Minute Druck, jeden noch so zarten Hinweis auf Flüchtlingskontingente in dem Abschlusspapier zu streichen. Die Mitgliedstaaten "unterstreichen die Notwendigkeit von Resettlement-Programmen", hieß da bislang. Die Deutschen wollen eine schärfere Formulierung, die Osteuropäer den Passus am liebsten ganz streichen. Kanzlerin Merkel ist von der Blockadehaltung der Osteuropäer zunehmend frustriert. Sie will vor dem offiziellen Beginn des Gipfels offenbar ausloten, ob einige EU-Staaten bereit wären, der Türkei Flüchtlingskontingente abzunehmen. Bei dem Vortreffen sollen unter anderem die Beneluxstaaten, Österreich und Schweden teilnehmen. Die "FAS" berichtet, dieses Vorgehen hätte www.sissu.it Merkel beim Besuch beim französischen Präsidenten François Hollande am Mittwoch in Paris abgestimmt. Angeblich gehe es um eine Größenordnung von 400.000 Menschen, von denen Deutschland den Großteil aufnehmen müsste. Eine Vereinbarung dazu sei heute allerdings nicht zu erwarten. Zusammengefasst: Die Türkei soll mehr Flüchtlinge vom Aufbruch nach Europa abhalten - das würde sich die EU drei Milliarden Euro kosten lassen. Das Geld soll aus einem Topf kommen, der sonst besonders den Osteuropäern nutzt. So will es zumindest Merkel. Sie ist schon lange genervt von der Blockadehaltung im Osten. Zum Autor Peter Müller ist Korrespondent im Brüsseler Büro des SPIEGEL. E-Mail: [email protected] OLANDA Marcel Maussen & Floris Vermeulen (2015). Liberal equality and toleration for conservative religious minorities. Decreasing opportunities for religious schools in the Netherlands? Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 87-104. Le Monde, 01.12.2015: L’Allemagne va participer à la grande coalition pour lutter contre l’EI en Syrie Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 01.12.2015 à 10h43 • Mis à jour le 01.12.2015 à 18h11 Abonnez vous à partir de 1 € Réagir Classer Partager (545) Tweeter www.sissu.it Comme la chancelière Angela Merkel l’avait promis peu après les attentats du 13 novembre, l’Allemagne va participer à la coalition internationale que la France tente de mettre sur pied pour attaquer l’organisation Etat islamique en Syrie. Le conseil des ministres allemand a validé, mardi 1er décembre, la décision de déployer un nombre indéterminé d’avions de reconnaissance et ravitailleurs, ces derniers faisant défaut à la France, ainsi qu’une frégate de missiles antiaériens qui protégera le porte-avions Charles-de-Gaulle, et un contingent pouvant aller jusqu’à mille deux cents militaires. Il n’est cependant pas question, selon Berlin, de participer directement aux bombardements. Cette aide doit encore être approuvée par la chambre basse du Parlement lors d’un vote le 4 décembre. La coalition de Mme Merkel y disposant de 80 % des sièges, il devrait s’agir d’une simple formalité. Après l’approbation, la ministre de la défense, Ursula von der Leyden, a réaffirmé, comme le font la France et les Etats-Unis, qu’il n’y aurait « pas de coopération avec Bachar Al-Assad et pas de coopération avec les troupes sous ses ordres ». « Nous devons éviter l’effondrement de l’Etat syrien. Mais que les choses soient claires : il ne peut y avoir d’avenir avec Assad. » Après le rapprochement de la Russie et de la France, le point sur les Etats qui luttent contre l’organisation Etat islamique, et les moyens alloués. www.sissu.it http://www.bild.de/ www.welt.de Wirtschaft Rohstoffe: Chinas Aufstieg zur größten Öl-Macht der Welt Wirtschaft Rohstoffe 14:57 Die unbekannte Macht auf den globalen Ölmärkten Das Opec-Kartell, die USA oder Russland: Wer bestimmt das Auf und Ab des Ölpreises? Neueste Zahlen offenbaren einen vierten bedeutenden Mitspieler. Einen, der womöglich mächtiger ist als alle anderen. www.sissu.it Foto: Infografik Die Welt Die Tschuktschensee ist nicht tief, aber teuer. Nur durchschnittlich 77 Meter geht es hinunter, doch nicht selten toben bis zu 20 Meter hohe Wellen in dem Gebiet zwischen Sibirien und Alaska. Der Ölmulti Shell hofft an diesem unwirtlichen Ort auf das große Geschäft. Der britisch-niederländische Konzern hat von den US-Behörden die Erlaubnis erhalten, an sechs Stellen nach Öl und Gas zu bohren. WERBUNG ADVERTISEMENT Jahrelang kämpfte der Rohstoffgigant um das Plazet, in der Arktis aktiv werden zu dürfen. Nach Schätzungen der US-Energieagentur EIA schlummern hier etwa 22 Prozent der weltweiten noch unentdeckten Öl- und Gasreserven. Doch so rohstoffreich die Region auch ist, so aufwendig und teuer ist die Förderung. China ist jetzt offiziell weltgrößter Öl-Importeur Für einen Konzern wie Shell gäbe es angesichts einer stagnierenden Ölnachfrage und eines historisch niedrigen Preises nur einen logischen Grund, dieses Wagnis einzugehen, erklärt USRohstoffexperte Joel Moser. "Es ist die Wette auf die Stärke Chinas." Und sie ist alles andere als kühn. Die Volksrepublik hat inzwischen offiziell die USA als weltgrößten Importeur von Erdöl den Rang abgelaufen. Im April kaufte China mit nahezu 7,4 www.sissu.it Millionen Barrel pro Tag erstmals mehr ein als die USA mit 7,2 Millionen Barrel, wie aus Daten hervorgeht, welche die Nachrichtenagentur Reuters in dieser Woche veröffentlicht hat. Die Entwicklung ist durchaus bemerkenswert, denn das Wachstum der weltweit zweitgrößten Volkswirtschaft ist ins Stottern geraten, sodass eine nachlassende Ölnachfrage erwartet worden war. Doch die niedrigen Ölpreise und eine Reihe von Zinssenkungen zur Konjunkturförderung haben die Nachfrage offenbar angekurbelt. Chinas überraschend großer Öldurst könnte auch die rätselhafte Entwicklung bei den Energiepreisen in den vergangenen Monaten erklären. Nachdem die Notierungen für das Fass bis auf 40 Dollar für die US-Ölsorte WTI und 42 Dollar für die Nordseesorte Brent eingebrochen waren, hatten sich die Preise wieder kräftig erholt. Inzwischen kostet Brent wieder 67 Dollar und WTI knapp 60. Das hat die Frage aufgeworfen, wer letztlich die Preise an den Energiemärkten dominiert. Amerika erlebte ein Öl-Comeback Der Ölmarkt ist in höchstem Maße politisch beeinflusst, hier werden die klassischen Preismechanismen von Angebot und Nachfrage immer wieder durch Interventionen gestört. So gibt es mit der Organisation Erdöl exportierender Länder, der Opec, ein Preiskartell, das sich bei den Fördermengen abspricht und damit durch Ausweitung oder Kürzung der Fördermengen die Notierungen in die gewünschte Richtung bewegt. Jahrelang war der Zusammenschluss von Ölnationen unter der Führung von Saudi-Arabien die zentrale Macht am Energiemarkt. Doch die Schiefergasrevolution in den USA verschob plötzlich die Machtverhältnisse. Durch neue Technologien konnten die USA in den vergangenen sieben Jahren ihre Förderung um 80 Prozent ausweiten und schwangen sich damit zum größten Ölproduzenten der Welt auf. Gleichzeitig zogen sich Saudi-Arabien und die Opec scheinbar aus der aktiven Steuerung des Ölpreises zurück, als sie Ende 2014 trotz nachgebender Notierungen ihr Angebot nicht kürzten. Seither galt Amerika als zentrale Macht. Saudis feiern "Sieg" über die USA Doch das änderte sich, als nach dem Preiskollaps immer mehr Bohrtürme in den USA stillgelegt werden mussten, weil sich die Produktion bei den niedrigen Preisen nicht mehr rechnete. Seither ist die Förderexpansion in Amerika ins Stocken geraten, und es wird offenbar, dass auch Amerika nicht mehr die Kontrolle über den wichtigen Energiemarkt hat. www.sissu.it Foto: Infografik Die Welt Während die Saudis den Sieg für sich in Anspruch nehmen, weil sie durch ihre expansive Ölpolitik die amerikanische Schieferindustrie in die Knie gezwungen haben, wäre der Plan wohl ohne einen anderen wichtigen Mitspieler nicht so schnell aufgegangen – China. Mit dem Reich der Mitte taucht eine neue Macht auf, die über ihre Nachfrage die Preise bestimmt. Die meisten Experten sehen das Land als dauerhaft größten Ölabnehmer. Die Opec etwa rechnet damit, dass Chinas Bedarf in diesem Jahr um rund drei Prozent auf im Schnitt 10,78 Millionen Barrel pro Tag anwachsen wird. Damit saugt die Volksrepublik allein ein Neuntel der global benötigten Ölmenge auf. Als einzelne ausgewiesene Region soll laut Opec-Prognose nur in Indien der Verbrauch noch stärker zulegen, nämlich um 3,4 Prozent auf vergleichsweise magere 3,9 Millionen Fass täglich. Zum Vergleich: Europas Ölbedarf soll 2015 um 0,1 Prozent auf 13,5 Millionen Barrel sinken. Alle großen Förderstaaten buhlen um Pekings Gunst Doch unabhängig von diesen nackten Zahlen und der Spitzenposition im globalen Import-Ranking ist die Bedeutung Chinas als Abnehmer in diesen Zeiten so groß wie nie. Alle großen Förderländer buhlen um den Großabnehmer. www.sissu.it Foto: Infografik Die Welt Dieser ganz anderen Marktmacht ist man sich in China bewusst. Sogar der Opec hat man zuletzt des Öfteren die kalte Schulter gezeigt und die Importquoten gedrosselt. Für Russland etwa ist die Volksrepublik angesichts der westlichen Sanktionen die einzige relevante Zukunftsoption. Moskau und Peking haben bereits vor zwei Jahren einen rekordverdächtigen Vertrag abgeschlossen. Bis zum Jahr 2028 zahlt China Russland 270 Milliarden Dollar, im Gegenzug verpflichtet sich der staatliche Ölgigant Rosneft zur Lieferung von 300.000 Barrel Öl pro Tag. 200.000 weitere Barrel Öl gehen für zehn Jahre an die chinesische Sinpec-Gruppe, für 85 Milliarden Dollar. Im vergangenen Jahr ist der Ölexport in das Reich der Mitte um 36 Prozent gestiegen. Russlands Präsident Wladimir Putin konnte dieses Plus vor wenigen Tagen gar nicht laut genug betonen. "2014 haben wir 28,5 Millionen Tonnen geliefert. Das waren fast 40 Prozent mehr als im Vorjahr. Beachten Sie die Steigerung: 40 Prozent im Jahr." Auch der Westen wird von Peking brüskiert Gesagt hat Putin das in Gegenwart eines hochkarätigen Kreml-Besuchers – Xi Jinping. Chinas Präsident ist derzeit wohl der wichtigste Gast in Moskau. Und er ist sich seiner Macht bewusst. Seine Delegation tritt bei den Verhandlungen mit Moskau spürbar selbstbewusster auf, als dies die europäischen Nationen in der Vergangenheit getan haben. Doch Putin nimmt diese Abhängigkeit in Kauf. Mehr noch. Aufgrund der klammen Staatskassen denkt er inzwischen sogar darüber nach, Anteile an seinen wichtigsten Ölfeldern an Peking zu verkaufen. Das wäre vor einigen Jahren noch undenkbar gewesen. www.sissu.it Pekings Macht wird allerdings auch mit Blick auf den Westen deutlich. Denn das Zentralkomitee macht sich nicht nur Russlands Abhängigkeit zunutze. Gleichzeitig untergräbt Xi mit seinen Verträgen auch die westlichen Sanktionen gegenüber Moskau – wohl wissend, dass man selbst vom Westen nichts zu befürchten hat. Berlin oder Paris werden sich in Peking kaum lautstark beschweren. © WeltN24 GmbH 2015. Alle Rechte vorbehalten Wirtschaft Nach Atomabkommen Iran – eine globale Ölmacht kehrt zurück Wirtschaft US-Rohstoffboom Was Amerikas volle Tanks für den Ölpreis bedeuten Geld Jemen-Konflikt Der neue Poker um den Ölpreis ist eröffnet 16:37 Was ist heute noch links und was rechts? Der Soziologie-Professor Armin Nassehi erklärt, warum rechte und linke Sichtweisen naiv sind, wie er die Zukunft unserer Gesellschaft sieht und warum der politische Liberalismus in der Krise steckt. www.sissu.it Von Ulf Poschardt Stv. Chefredakteur der WELT-Gruppe Foto: picture alliance / dpa Der Soziologe Armin Nassehi lehrt seit 1998 an der LMU in München. In seinem Buch "Die letzte Stunde der Wahrheit" behandelt Nassehi Wege in ein post-ideologisches Politik-Verständnis Die Welt: Der Liberalismus ist im Augenblick politisch ohne Vertretung. Intellektuell gibt es aber eine frische Neugier an einer Theorie abseits klassischer Links-rechts-Einordnungen. Was hat Sie bewogen, eine Theorie abseits der klassischen Trampelpfade zu unternehmen? Armin Nassehi: Was mich primär interessiert, ist die Frage, wie sich die moderne Gesellschaft selbst beschreibt. Diese Beschreibungen bilden nämlich ab, was die Menschen sich über den Zustand der Welt erzählen können. Und sie bilden auch den Rahmen für die Politik. Die Welt: Und wie beschreiben die Menschen derzeit die Welt? Nassehi: Es gibt zwei Hauptmotive, die im Moment besonders viel Aufmerksamkeit erzeugen: zum einen ganz neue rechte, auch rechtsintellektuelle Beschreibungsformen, zum anderen eine Renaissance linker Beschreibungen. Zunächst sollte man sich aber von den parteipolitischen Assoziationen lösen. Die Welt: Was sagen diese Beschreibungen dann aus? Nassehi: Eine rechte Beschreibung der Welt tut so, als wären alle Probleme gelöst, wenn Bevölkerungen ethnisch und kulturell homogener wären. Eine linke Beschreibung hingegen zeichnet sich dadurch aus, dass man so tut, als könne man mit universalistischen Argumenten die Gesellschaft wie ein Werkstück umbauen. Als gäbe es so etwas wie eine Zentralperspektive. www.sissu.it Armin Nassehi Zur Person Das Buch Die Welt: Gab es dieses räumliche Orientierungsbedürfnis schon immer, wenn es um politische Meinungen ging? Nassehi: Nicht immer – aber mit der Entstehung moderner Nationalstaaten hat sich diese Farbenlehre stabilisiert. Es geht letztlich um die beiden Grundprobleme des modernen nationalstaatlichen Gesellschaftsmodells: die Dynamik des Kapitalismus und die Integration von Rechtsstaatlichkeit. Die Welt: In diesem Spannungsfeld entsteht das Orientierungsbedürfnis? Nassehi: Ja, um diese beiden Kräfte herum gruppieren sich politische Orientierungen. Rechte wie linke Beschreibungen wollen letztlich die neu entstehende Dynamik der Moderne in den Griff bekommen. Von links durch Domestizierung des Marktes und Bearbeitung seiner Folgen, von rechts durch die Erfindung eines ethnischen, kulturellen, nationalen Bandes, in dem man Solidarität einfordern darf. Die Welt: Es sind also Bewältigungsstrategien? Nassehi: Beide reagieren auf die unfassbare Dynamik, die mit der Entstehung moderner Industriegesellschaften ermöglicht wird. All das nur auf "Kapitalismus" zu reduzieren ist viel zu einfach. Aber beide Beschreibungen versuchen, diese Dynamik zu bändigen. Die Welt: Wie viel Sicherheit muss die Orientierung geben? Nassehi: Das ist ein schwieriges Problem. Es ist sehr einfach, wenn etwa Naomi Klein (kanadische Globalisierungskritikerin, Anm. d. Red.) betont, am Klimaproblem sei der Kapitalismus schuld und nur eine Massenbewegung könne das Problem lösen. Das hört sich an, als seien es sichere Sätze. Aber selbst wenn die Problembeschreibung stimmen würde – worüber noch nachzudenken wäre –, ist diese Aussage geradezu naiv. Denn sie tut so, als sei "der Kapitalismus" eine Adresse und "eine Massenbewegung" ein realistischer Akteur. Aber sie spendet Sicherheit – wenigstens die Sicherheit, eine Lösung simulieren zu können und auf der richtigen Seite zu stehen. Die Welt: Schon fast ein wenig rührend. Nassehi: Dieser Art linke Intellektualität sieht sich gerne vor einem weißen Blatt, das beschrieben werden muss. Dabei tut sie so, als könne man die Gesellschaft wie ein auktorialer Erzähler nach dem eigenen Bilde formen – so, wie man es eben mit einem weißen Blatt machen kann. Die Welt: Verfehlen nicht sowohl die rechte als auch die linke Beschreibung die Komplexität der Wirklichkeit? Das heißt für einen Soziologen: die Komplexität der Gesellschaft? www.sissu.it Nassehi: Ganz genau Die rechte Perspektive unterschätzt, dass unsere Gesellschaft auch ohne sogenannte Fremde komplex und unübersichtlich ist. Die linke Perspektive tut so, als ließe sich ein "Umbau" der Gesellschaft bewerkstelligen, wenn man nur wollte. Beides ist naiv und verfehlt die Struktur einer modernen Gesellschaft – und beides ist in letzter Konsequenz auch autoritär. Die Welt: Aber was heißt nun Komplexität? Nassehi: Das ist leider auch meistens nur ein Schlagwort, das ganz gut funktioniert, wenn man nicht weiter weiß. Aber Komplexität ist letztlich der Schlüssel zum Verständnis unserer Welt. Man kann es auf drei Formeln bringen. Die Welt: Lassen Sie uns mit der ersten beginnen. Nassehi: Ökonomische, politische und wissenschaftliche Logiken entkoppeln sich voneinander. Es existieren jeweils unterschiedliche Erfolgsbedingungen, die man in Rechnung stellen muss. Es macht einen Unterschied, ob ich auf Märkten erfolgreich sein will, vor einem Wahlvolk oder in Wahrheitsfragen. Das heißt: Dasselbe bedeutet gleichzeitig Unterschiedliches. Die Welt: Die zweite? Nassehi: Die Gesellschaft ist nicht aus einem Guss. Das heißt: Es gibt keinen Ort, von dem aus sich die unterschiedlichen Dynamiken steuern und koordinieren lassen. Auch Politik vermag das letztlich nicht. Ich spreche deshalb von einer "verteilten Intelligenz". Die Welt: Und die dritte Formel? Nassehi: Es gibt keine Stoppregeln und zentralen Prinzipien, mit denen die Gesellschaft gesteuert werden kann. Das hat Effizienz- und Leistungssteigerungen sowohl im positiven als auch im negativen Sinne hervorgebracht. Rechte und Linke verniedlichen die Komplexität der Gesellschaft Armin Nassehi Professor für Soziologie Die Welt: Was ist die Konklusion dieser Formeln? Nassehi: Entscheidend ist: Klassische rechte und linke Beschreibungen verniedlichen geradezu die Komplexität der Gesellschaft. Sie schrecken gewissermaßen vor ihren Problemen zurück, indem sie Lösungen suggerieren, die so tun, als könne man die unterschiedlichen Perspektiven dieser Gesellschaft homogenisieren. Für mich ist der Schlüssel für eine angemessene Beschreibung: Es www.sissu.it gibt keine Zentralperspektive und auch keinen Fluchtpunkt. Weder für die Beschreibung der Welt noch für die Einwirkung in die Gesellschaft. Die Welt: Wird das nicht auch in vielen Lebenswirklichkeiten deutlich? Links reden, rechts leben; deswegen halten sich die Grünen für eine linke Partei. Verwechseln die sich selbst? Nassehi: Links und rechts lösen sich nicht nur lebensweltlich auf. Linke Politikprojekte geraten heute immer wieder in die Nähe der nationalen Einhegung, weil man die Solidarität der Umverteilung eben nur den "eigenen" zumuten kann. Da lösen sich die Grenzen auf. Und für das Lebensweltliche … wenn es die Grünen nicht schon gäbe, man müsste sie erfinden. Die Welt: Warum? Nassehi: Zu diesem Milieu gehört doch geradezu der Widerspruch, dass man mit universalistischen, linken Argumenten leicht punkten kann. Die eigene Lebenspraxis gerade dieses eher bürgerlichen Milieus ist dann aber bisweilen sehr distinktiv: Man schickt die Kinder in Privatschulen, meidet allzu schwierige Wohnquartiere und hat wenig Kontakt zu den unteren Schichten. Dafür gefällt man sich darin, anderen Vorschriften machen zu wollen, und ist sehr milieusensibel, um es mal vorsichtig zu sagen. Die Welt: In der Tat. Nassehi: Aber verstehen Sie mich nicht falsch: Ich klage das nicht an. Ich weise nur darauf hin, wie sehr sich schon die Lebenspraxis den universalistischen Umbaufantasien entzieht. Für mich ist das nur ein Hinweis darauf, wie unterkomplex die laute Umbauperspektive für das Lebensweltliche ist – von der Gesellschaft im Großen ganz zu schweigen. Wenn es die Grünen nicht schon gäbe; man müsste sie erfinden Armin Nassehi Professor für Soziologie Die Welt: Welche Rolle kommt dem Intellektuellen in der Umgruppierung gesellschaftlicher Debatten zu? Nassehi: Es geht heute um entscheidende Akzentverschiebungen. Dabei hat der Intellektuelle zunächst kein Publikum, er muss das Publikum erzeugen. Das macht auch die Nähe der intellektuellen zur politischen Rede aus. Diese Nähe zur politischen Rede hängt mit der Funktion des Politischen zusammen. Die Welt: Die "Funktion des Politischen" – das hört sich sehr abstrakt an. www.sissu.it Nassehi: Es geht ja politisch nicht nur um die Frage, kollektiv verbindliche Entscheidungen zu treffen. Es geht auch darum, solche Kollektive überhaupt erst ansprechbar zu machen. Die Welt: Wie meinen Sie das? Nassehi: Der Nationalstaat seit dem 19. Jahrhundert stellte einen klar umrissenen Ansprechpartner dar. Doch dieser Adressat ist nicht einfach da. Er muss erzeugt werden. Das erleben wir gerade in Europa: Die intellektuelle Reflexion über Europa besteht hauptsächlich aus der Beschwörung europäischer Solidarität, einer europäischen Arena. Das Ziel ist, dass dieses Kollektiv ähnlich adressierbar wird, wie es der republikanische Nationalstaat war und noch ist. Die Welt: Muss die intellektuelle Rede also auch das Kollektiv suchen? Nassehi: Es geht fast immer um die Mobilisierung und kollektive Einsicht – und deshalb gruppierte sich intellektuelle Rede fast immer klassisch politisch. Aber womöglich muss die Rolle intellektueller Beobachtung heute darin bestehen, die Adressierbarkeit der Gesellschaft infrage zu stellen. Die Welt: Ist das nicht paradox? Nassehi: In der Tat, denn dafür muss man die Gesellschaft ja adressieren. Aber genau das ist es, was ich mit dem Problem der Komplexität meine: Wenn Gesellschaft keine Adresse ist, stellt sich die Frage, wie man intellektuell neue Formen der Einwirkung, der Kritik, der Steuerung und nicht zuletzt der Analyse von Unzufriedenheit auf den Begriff bringen kann. Die Welt: Wie kann die Soziologie diese Herausforderung leisten? Nassehi: Die Soziologie hat methodische und theoretische Mittel, auf latente Strukturen hinzuweisen. Sie kann zeigen, warum sich Menschen in bestimmten Situationen so verhalten und nicht anders. Sie kann mit statistischen Mitteln Zusammenhänge sichtbar machen, die man nicht direkt sehen kann. Sie macht darauf aufmerksam, wie stark Strukturen sind und wie sich Ordnung dadurch aufbaut, dass wir sie als eigene Handlungen immer wieder bestätigen. Und sie kann heute eben zeigen, dass Gesellschaft keine Adresse ist. Kurzum: Sie macht, wenn es gut läuft, auf Komplexität aufmerksam. Die Welt: Das hört sich an, als laufe es nicht immer gut. Nassehi: Sie haben recht, es läuft nicht immer gut. Die Soziologie ist oftmals ein Fach, das die eigenen Möglichkeiten nicht ergreift, weil es die Gesellschaft am Ende doch allzu sehr in politischen oder politikförmigen Begriffen beschreibt. Die Welt: Wo ist in dieser Frage Ihre Rolle, mit Ihrer Denkbiografie? Nassehi: Ich war immer fasziniert von Situationen, in denen Perspektiven zusammenkommen, die man weder durch Konsens noch durch Hierarchie befrieden kann. Das sind ja die beiden grundlegenden Techniken, an die wir gewöhnt sind. Konsens freilich ist sehr unwahrscheinlich, und Hierarchie ist eine sehr effiziente Methode der Beendigung von Konflikten, aber nicht unbedingt www.sissu.it ihre Lösung. Eine moderne Gesellschaft kennt aber immer mehr Situationen, in denen beide nicht mehr funktionieren. Die Welt: Lassen Sie uns doch in konkreten Beispielen sprechen. Der Niedergang des politischen Liberalismus ist kein Zufall Armin Nassehi Professor für Soziologie Nassehi: Denken Sie an multiprofessionelle Teams in Krankenhäusern. Hier kommen unterschiedliche professionelle Beobachter zusammen. Die sehen in ein und derselben Situation ganz unterschiedliche Dinge, die sich aber weder durch Konsens noch durch Hierarchien lösen lassen. Das Gleiche finden Sie in Unternehmen, in denen ganz unterschiedliche Erfolgsalgorithmen nebeneinander bestehen und die nicht über Ebenenhierarchien gelöst werden können. Und letztlich gilt das für ganze Gesellschaften. Verteilte Intelligenzen sind eben nicht in einer Intelligenz aufzuheben. Die Welt: Was folgt daraus? Nassehi: Wir brauchen Beschreibungstraditionen, die sich in Praxiskonzepte übersetzen lassen. Leider diskutieren wir solche Fragen öffentlich fast nur in politischen Chiffren. Deshalb wette ich, dass Sie gleich fragen, ob das denn dann eine liberale Perspektive ist. Die Welt: Und ist es eine? Nassehi: Ich denke, dass das Liberale, eigentlich seit seiner Entstehung als Abwehrrechte gegen staatliche Kontrolle, stets die Idee starkgemacht hat, dass Einzelperspektiven sich nur unter Zwang kollektivieren lassen. Daraus dann die Konsequenz zu ziehen, dass sich Gesellschaft in Einzelinteressen auflöst und letztlich der Stärkere gewinnen soll, wäre nur die Perversion einer liberalen Denkungsart. Denn die interessiert sich ja dafür, wie sich Ordnung aufbauen kann, obwohl es unterschiedliche Beobachter gibt. Die Welt: Zuletzt wurde das Liberale in der Parteienlandschaft oft nur auf die Wirtschaft bezogen. Nassehi: Dass das Liberale sich besonders für Märkte interessiert hat, ist kein Wunder. Dass es sich zugleich auch für Bürgerrechte interessiert hat, hängt damit unmittelbar zusammen. Und eine nicht autoritäre Form, mit Schwachen umzugehen, braucht gerade die Sensibilität, mit unterschiedlichen Beobachtungsformen und Perspektiven umzugehen. Die Welt: Und wenn man es noch weiter denkt? www.sissu.it Nassehi: Weiter gedacht, müsste sich liberales Denken freilich stark erweitern: Wenn es stimmt, dass wir in einer komplexen Gesellschaft mehrerer Perspektiven leben, die sich nicht zusammenführen lassen, dann müsste eine liberale Denkungsart sich dafür interessieren, wie diese unterschiedlichen Logiken sich wechselseitig beobachten, ermöglichen, behindern und ausschließen. Die Welt: Sie schlagen in Ihrem Buch einen "liberalen Kritiktypus" vor – was soll man sich darunter vorstellen? Nassehi: Ich schlage vor, die Übersetzung zwischen diesen Logiken und Beobachtungsweisen als das zeitgemäße Medium der Kritik anzusehen. In diesem Sinne nenne ich meinen Vorschlag in der Tat liberal. Es wäre sehr aufregend, wenn man aus einer Beschreibung von Komplexität liberale Denkungsarten des Ordnungsaufbaus und kreative Lösungen erneuern könnte. Es ist kaum möglich, sich nicht parteipolitisch zu positionieren Armin Nassehi Professor für Soziologie Die Welt: Ist der Umgang mit verschiedenen Beobachtungsweisen nicht eine Stärke des Liberalismus? Nassehi: Der Niedergang des politischen Liberalismus – nicht nur in Deutschland – zu einem bloßen Klientelismus der Abwehrmöglichkeiten gegen politische Marktkontrolle ist kein Zufall. Hier wurde mit allzu einfachen Lösungen gearbeitet. In der Tat muss die Idee von "Freiheit" heute eher mit anderen Beobachtern rechnen, mit verteilten Intelligenzen, mit nicht harmonisierbaren Perspektiven. Die Welt: Gab es dafür nicht früher schon Formeln? Nassehi: Natürlich, bei Kant hieß es: Meine Freiheit findet an der Freiheit des anderen seine Grenze. Das muss man heute erweitern. Es geht heute nicht mehr nur um die andere Person, sondern auch um andere Logiken, andere Instanzen der Gesellschaft, andere Perspektiven. Es geht um ein praktisches Neuarrangement von Politik, Ökonomie, Wissenschaft, Familie, Religion und so weiter. Liberal ist, wer dieses Neuarrangement nicht per Zentralperspektive herstellen will. Die Welt: Welche Politiker sollten das Buch lesen? Nassehi: Wenn ich nicht sagen würde, alle, hätte ich das Buch nicht schreiben sollen – aber ernsthaft: Interessant ist doch, dass Sie nach Politikern fragen. Die Idee wäre ja gerade, dass wir die unterschiedlichen Perspektiven der modernen Gesellschaft verstehen müssen. Insofern wäre etwas www.sissu.it damit gewonnen, Leute aus verschiedenen Bereichen der Gesellschaft zusammenzubringen, um den abstrakten Gedanken der Perspektivendifferenz und der verteilten Intelligenz zu verstehen. Die Welt: Welchem Politiker unterstellen Sie die höchsten Reflexionsgelüste? Nassehi: Hier nun mit Namen zu antworten wäre vermintes Gelände – was wiederum auf die Bedingungen des Politischen verweist: Es ist nämlich kaum möglich, sich nicht parteipolitisch zu positionieren. Was wir doch in allen politischen Strömungen beobachten können, ist derzeit der Versuch einer Neubestimmung der eigenen Programmatik. Was ist in einer komplexen Gesellschaft noch konservativ? Ist das Gerechtigkeitsproblem wirklich so durchsetzbar, wie es sozialdemokratische Programme suggerieren? All diese Fragen brauchen einen neuen Blick auf die Komplexität der modernen Gesellschaft. Die "Gelüste", von denen Sie sprechen, sind präsenter, als es die Politiker selbst merken. Die Welt: Herr Nassehi, wir danken Ihnen für das Gespräch. © WeltN24 GmbH 2015. Alle Rechte vorbehalten Mehr zum Thema Meinung Gesellschaftskritik Der Liberalismus ist sein eigener Feind Kommentar Links oder Liberal? "Ich brauche unbedingt einen Gegner" Politik Inselstreit 15:22 Kerry streift in China das heikelste Thema nur www.sissu.it In Peking haben US-Außenminister Kerry und sein chinesischer Kollege Wang Yi den Territorialstreit im Südchinesischen Meer eher außen vorgelassen. Der Amerikaner sendete zudem ein Entspannungssignal. Von Johnny Erling, Peking Foto: REUTERS US-Außenminister John Kerry (l.) und sein chinesischer Kollege Wang Yi schütteln sich nach ihrer Pressekonferenz die Hände – nachdem sie beide wenig über den Territorialstreit im Südchinesischen Meer gesagt haben ADVERTISEMENT Eine Stunde sprach Chinas Außenminister Wang Yi, bevor er Pekings Bau künstlicher Inseln tief im Südchinesischen Meer ansprach, der zum internationalen Streitpunkt eskaliert und bei Chinas Nachbarn tiefe Ängste auslöst. Bei einer gemeinsamen Pressekonferenz nach seinem Treffen mit US-Außenminister John Kerry in Peking ging Wang gleichwohl kaum ins Detail; seit fast einem Jahr lässt Peking – mehr als 1000 Kilometer vom Festland entfernt – Riffe und Atolle großtechnisch zu künstlichen Inseln aufschütten, um seine umstrittenen Besitzansprüche auf das gesamte Seegebiet buchstäblich untermauern zu können. Satellitenfotos brachten vor wenigen Monaten die von den USA "beispiellos" genannte Aktion zur Landgewinnung ans Licht. Was dort geschehe, sagte Wang kurz vor Ende der Pressekonferenz, falle "voll unter Chinas Souveränität". Beim Schutz der Souveränität und territorialen Integrität stehe die Volksrepublik "unerschütterlich, so fest wie ein Felsen". Konkreter wurde Wang nicht, wenngleich seine Aussage ohnehin hart genug ist und deutlich macht, dass die Pekinger Führung nicht zum Nachgeben bereit ist. Im 18. Stockwerk des www.sissu.it Außenministeriums versuchten er und Kerry, das heikle Thema möglichst zu umschiffen. "Überragende Priorität" hätte bei dem Gespräch die Vorbereitung des ersten Staatsbesuchs von Chinas Präsident Xi Jinping bei US-Präsident Barack Obama im September gehabt. Beide Staatsführer wollten mit ihren "neuartigen Großmacht-Beziehungen" zur Lösung einer Vielzahl von Problemen beitragen – von nuklearen Abrüstungsfragen bezüglich des Iran und Nordkoreas bis zu ihrer gemeinsamen Verantwortung, den Klimagipfel in Paris positiv anzuschieben. Kerry bleibt im Ungefähren Kerry skizzierte anfangs nur die großen Umrisse der "weltweit wohl konsequenzenreichsten" Zusammenarbeit, die die USA und China untereinander anstrebten. Erst am Ende sagte er, dass es auch Differenzen zwischen den beiden Großmächten gebe, die ihn nach Peking geführt hätten. Die USA seien besorgt über das "Tempo und den Umfang" der Landgewinnung im Südchinesischen Meer. "Ich habe Peking zum Handeln gedrängt, um die Spannungen zu reduzieren und die Aussichten für eine diplomatische Lösung zu erhöhen", ließ Kerry wissen. Gefragt sei eine "kluge Politik", um zu einem neuen Umgang der asiatischen Länder miteinander zu kommen. Chinas Marine hat inzwischen im neu eskalierenden Territorialstreit – vor allem mit Vietnam, den Philippinen und Malaysia – sieben neue Inseln "aufgebaut". China verbittet sich Einmischung der USA Milliardenschwere Öl- und Gasvorkommen werden im Südchinesischen Meer vermutet. Seit Jahren gibt es Streit darum. Nun schüttet China Sand in der Region auf - und verbittet sich Einmischung von außen. Quelle: Die Welt Der US-Außenminister wich Nachfragen nach der Haltung der USA und ihrer Marine vor Ort aus. Vor seiner Ankunft hatte ein Sprecher seines Ministeriums hingegen noch angekündigt, dass Kerry in Peking Klartext reden wolle. Er würde "absolut keinerlei Zweifel" daran lassen, dass sich Washington verpflichtet fühlt, die Freiheit der Seefahrt im und den Flugverkehr über dem Südchinesischen Meer sicherzustellen. Pentagon-Beamte gingen noch weiter: Die USA erwögen, www.sissu.it Militärflugzuge und Marineboote in die umstrittenen Gebiete der neu gebauten chinesischen Inseln zu schicken, und zwar auch innerhalb ihrer selbst erklärten Schutzzonen im Radius von zwölf Meilen. Darauf antwortete Chinas Außenministerium mit einer Warnung: Peking sei "äußerst besorgt", sagte Sprecherin Hua Chunying. Die Freiheit der Navigation bedeute nicht, dass "ausländische Militärschiffe oder Flugzeuge nach Gutdünken in die territorialen Gewässer oder den Luftraum anderer eindringen könnten". China behalte sich Gegenmaßnamen vor. US-Beamte warfen Peking vor, die künstlichen Inseln aufzuschütten, um im Anschluss territoriale Schutzrechte für sie geltend zu machen. Asien ist in erster Linie das Asien der Asiaten Wang Yi Chinas Außenminister Kerry und Wang mühten sich also, den Schlagabtausch um die Inseln nicht weiter zu eskalieren. Der Amerikaner sendete sogar ein Entspannungssignal: Erstmals erklärte er, dass die USA die von Peking initiierte neue Asiatische Investitionsbank für Infrastruktur (AIIB), der inzwischen 57 Länder als Gründungsmitglieder beitraten, nicht ablehnten. Sie würden grundsätzlich alle neuen multinationalen Entwicklungsbanken "und darunter auch die AIIB" begrüßen. Die gegenteilige Berichterstattung darüber gehe auf "eine enorme Menge an Missverständnissen" zurück. Washington wolle lediglich sehen, dass die AIIB "hohen Qualitäts-, Umwelt- und Sozialstandards" entspricht. Die USA würden eine Zusammenarbeit der AIIB mit der Weltbank oder der Asiatischen Entwicklungsbank begrüßen. Wang lobte Kerry dafür. Als Chinas Außenminister gefragt wurde, ob Peking sich mit seinen expansiven Offensiven von der AIIB-Bankgründung bis zur Seidenstraßen-Strategie gegen die USA richte, die in Asien Fuß fassen wollten, sagte er: Er wisse um solche Sorgen. Aber: China suche die Zusammenarbeit, nicht die Konfrontation. Dann schränkte Wang gleichwohl aber ein: "Asien ist in erster Linie das Asien der Asiaten." www.sissu.it Foto: Infografik Die Welt © WeltN24 GmbH 2015. Alle Rechte vorbehalten Mehr zum Thema Politik Pekings Expansion USA erwägen Militärpräsenz im Südchinesischen Meer Politik Neues Imperium Ein "Drei-Punkte-Plan" für Chinas Weg zur Supermacht Politik Südchinesisches Meer China verbittet sich Einmischung der USA Wer das Falsche studiert, wird keinen Job finden Leserkommentare 3 Kommentare Leserkommentare sind ausgeblendet. Kommentare einblenden www.sissu.it Datenschutz Die Technik der Kommentarfunktion "DISQUS" wird von einem externen Unternehmen, der Big Head Labs, Inc., San Francisco/USA., zur Verfügung gestellt. Weitere Informationen, insbesondere darüber, ob und wie personenbezogene Daten erhoben und verarbeitet werden, finden Sie in unseren Datenschutzbestimmungen Moderation Die Moderation der Kommentare liegt allein bei DIE WELT. Moderiert wird werktags von 6 bis 23 Uhr, am Wochenende von 7 bis 23 Uhr. Allgemein gilt: Kritische Kommentare und Diskussionen sind willkommen, Beschimpfungen / Beleidigungen hingegen werden entfernt. Wie wir moderieren, erklären wir in den Nutzungsbedingungen. NEUES AUS UNSEREM NETZWERK Ließ Kim Jong-un seine Tante vergiften? Vorwürfe eines Insiders N24 Gute Merkel, böse Merkel Zu Gast bei Wladimir Wladimirowitsch Putin N24 Die Deutsche Welle, 3rd December 2015: Deutschland Innenminister billigen Einzelfallprüfung für Syrien-Flüchtlinge Die Innenminister der Länder haben grünes Licht für die Rückkehr zur Einzelfallprüfung gegeben. Das heißt für syrische Bürgerkriegsflüchtlinge, dass ihre Asylberechtigung wieder individuell überprüft wird. www.sissu.it Bundesinnenminister Thomas de Maiziere sagte nach Beratungen mit seinen Kollegen aus den Bundesländern in Koblenz, die Innenministerkonferenz hätte diese von ihm angestrebte Maßnahme gebilligt und zugleich den Wunsch damit verbunden, dass die Asylverfahren sich dadurch nicht verlängerten. Die Entscheidung sei auch aus Sicherheitsgründen geboten gewesen. Künftig soll wieder in jedem einzelnen Fall überprüft werden, welche Art von Schutz syrische Bürgerkriegsflüchtlinge erhalten: den Flüchtlingsstatus nach der Genfer Konvention, politisches Asyl oder lediglich einen "subsidiären" Schutz. Einen konkreten Termin für die Rückkehr zur Einzelfallprüfung nannte de Maiziere nicht. SPD schwenkt um Die Innenminister seien sich einig, dass eine Rückkehr zum alten Prüfverfahren die Asylverfahren nicht verlängern dürfe, so de Maiziere. Über die Frage des Familiennachzugs sei nicht gesprochen worden. Hierüber und über die Einzelheiten der Umsetzung der Einzelfallprüfung müsse nun innerhalb der großen Koalition von Union und SPD in Berlin entschieden werden. www.sissu.it Roger Lewentz: "Sicherheit geht vor" Die Einzelfallprüfung für Syrer sei notwendig, um zu wissen, wer ins Land komme, erklärte auch der Vorsitzende der Innenministerferenz, der rheinland-pfälzische Ressortchef Roger Lewentz (SPD), dessen Partei zunächst gegen die Wiedereinführung der Einzelfallprüfung war. Die Sicherheitslage nach den Anschlägen von Paris mache hier ein Umdenken notwendig, auch wenn eine Rückkehr zum Verfahren mit mündlicher Anhörung einiges mehr an Bürokratie mit sich bringe, sagte Lewentz. Die Unions-Innenminister waren ohnehin für eine Prüfung im Einzelfall. Keine pauschale Anerkennung mehr Mehrheit für de Maizieres Vorstoß Bundesinnenminister de Maiziere hätte im Rahmen seiner Ressortzuständigkeit die Einzelfallprüfung für Flüchtlinge, unabhängig von ihrem Herkunftsland, auch ohne Zustimmung seiner Länderkollegen alleine anordnen können. Er hatte dies Anfang November auch schon getan und damit für Irritationen in der Koalition gesorgt. Auf Intervention des Kanzleramts musste er die Entscheidung auf Eis legen. Sein Argument für die Rückkehr zum alten Prüfverfahren war, dass viele Flüchtlinge, die sich als Syrer ausgeben, in Wirklichkeit aus einem anderen Land kommen. Wegen der vielen Neuankömmlinge aus dem Bürgerkriegsland galt seit November 2014 für Syrer das sogenannte vereinfachte Verfahren. Das bedeutete, dass bei ihnen auf eine persönliche Anhörung verzichtet wurde. Vielmehr reichte seither eine schriftliche Erklärung der Betroffenen. www.sissu.it Fast alle ankommenden Syrer erhielten auf diesem Weg den Status als Bürgerkriegsflüchtlinge nach der Genfer Flüchtlingskonvention. Mit der Wiedereinführung der Einzelfallprüfung dürfte die Zahl der Flüchtlinge steigen, die nur den sogenannten subsidiären Schutz zugesprochen bekommen. Er berechtigt nach einer Übereinkunft der Bundesregierung erst nach zwei Jahren und nur unter verschärften Bedingungen zum Nachholen von Familienmitgliedern nach Deutschland. qu/uh (rtr, kna, dpa, afp) www.bundestag.de www.spiegel.de http://www.dw.com/ La Nacion, 9.12.2015: Angela Merkel es el personaje del año para la revista TIME La prestigiosa publicación estadounidense eligió a la canciller alemana para que encabece la lista; le siguen Abu Bakr Al-Baghdadi y Donald Trump Miércoles 09 de diciembre de 2015 • 10:07 www.sissu.it Angela Merkel, personaje del año para la revista TIME. 330 La canciller alemana Angela Merkel fue elegida "personaje del año 2015" por la revista estadounidense Time, debido a su liderazgo durante la crisis de la deuda en Europa, la ola de refugiados y la intervención de Rusia en Ucrania. Su política respecto de los refugiados le trajo varios inconvenientes a la jefa de Estado alemana, en tanto la oposición fue muy crítica como así una gran parte de la población, que se manifestó para que no entrasen más extranjeros al país. Pese a las trabas, Merkel continuó con su postura. "El 2015 marcó el comienzo de sus diez años como canciller de una Alemania unida y líder de la Unión Europea, la más prospera del planeta. Para finales del año, habrá conducido al bloque a través de dos crisis existenciales que podrían haber terminado con la paz que reina en el continente desde hace siete décadas. El primero fue la crisis del euro, la moneda compartida por 19 naciones, que se encontraba en peligro de extinción por el incumplimiento de un solo miembro, Grecia. El segundo fue estruendoso. Durante el verano, el gobierno de Merkel abrió las puertas a refugiados e inmigrantes; en diciembre, habrán ingresado al país un millón de personas que solicitan asilo", asegura la revista. www.sissu.it Angela Merkel, personaje del año para la revista TIME. www.sissu.it Merkel fue seguida en la elección de Time por el líder del grupo jihadista Estado Islámico (EI), Abu Bakr al Bagdadi, y el precandidato republicano a la Casa Blanca, el controvertido multimillonario Donald Trump. Revista TIME. Sobre el líder del grupo extremista, Time dice: "En 2015, al- Baghdadi transformó al grupo disidente de Al Qaeda en la fuerza del campo de batalla que opera en el caos de Siria e Iraq, una franquicia terrorista transnacional que mata a civiles en más de una docena de países de todo el mundo. Orquestar ataques mortales contra objetivos -incluyendo estadios deportivos, balnearios y museos- Estado Islámico ha matado a más de 1.200 víctimas civiles fuera de Irak y Siria este año". Revista TIME. Sobre el magnate millonario Donald Trump , publica: "Mientras una nación con miedo miraba una vez más los ataques que sacudieron París y San Bernardino, Donald J. Trump estaba en su torre dorada de Manhattan, pensando en el tamaño de la oportunidad que se le abría. Rudeza es su marca; y transgresión, su método". Además, advierte que el empresario, precandidato a presidente por los republicanos, ya prometió una y otra vez no tener piedad con los sospechosos de terrorismo y tampoco con sus familias. Completan la lista de los personajes del año el movimiento de derechos civiles Black Lives Matter; el presidente de Irán, Hassan Rouhani; el fundador de Uber, Travis Kalanick; y la mediática Caitlyn Jenner. Suddeutsche Zeitung, 11.12.2015: SPD-Bundesparteitag Fiasko für Gabriel www.sissu.it Bild vergrößern Sigmar Gabriel: Hat so wenig Stimmen wie noch nie bekommen. (Gabriel ist auf dem Bundesparteitag der SPD mit 74,27 Prozent als Vorsitzender bestätigt worden, es ist sein mit Abstand schlechtestes Ergebnis. Er räumte nach seiner Wahl ein, dass die Partei, besser die Parteilinke, ihn abgestraft habe. Der Parteichef dachte offenbar, er könne die Linke mit einigen Angriffen auf den Koalitionspartner beschwichtigen. Analyse von Thorsten Denkler, Berlin Wenn es nur die Wahlcomputer gewesen wären, die nicht funktioniert hätten. Der Wahlgang für den SPD-Parteivorsitzenden musste abgebrochen werden, weil Dutzende Tablet-Computer nicht das taten, was sie sollten - nämlich die Stimme für oder gegen Sigmar Gabriel entgegenzunehmen. Es gingen schon Gerüchte um, Gabriel hätte auf dem elektronischen Weg zu wenig Stimmen bekommen. Da lachten einige Genossen noch. Das Ergebnis am Freitag hat dann schockiert. Gabriel ist auf dem Bundesparteitag der SPD in Berlin mit lediglich 74,27 Prozent als Vorsitzender bestätigt worden. Wobei: bestätigt, das trifft es nicht ganz. Gerade noch geschafft, schon eher. Es ist sein mit Abstand schlechtestes Ergebnis, seitdem er 2009 mit 94,2 Prozent erstmals ins Amt gewählt wurde. Sogar 2013 waren es deutlich mehr als 80 Prozent. Die Partei, besser die Parteilinke, hat den Vorsitzenden abgestraft. Gabriel ist am Freitag der Erste, der das sofort einräumt. Die Presse werde genau das schreiben: Er sei abgestraft worden, sagt Gabriel vor den gut 600 Delegierten. "Und das ist ja auch so." Aber: "Mit der Wahl ist es dann auch www.sissu.it entschieden, liebe Genossinnen und Genossen." So sei das Leben in der Demokratie. Er nehme die Wahl an. Er werde die SPD weiter in die Mitte führen. Auch wenn das einigen Linken nicht links genug sei. Beinahe zwei Stunden hat Gabriel gesprochen Er hat gekämpft auf diesem Parteitag. Beinahe zwei Stunden hat er gesprochen am Freitagmorgen. Vorher und nachher tritt er immer wieder an das Pult, um sich gegen Anwürfe zu wehren. Mal verteidigt er die Kontingent-Lösung der SPD, mit der er die hohe Flüchtlingszahl verringern will. Mal widerspricht er fast zehn Minuten lang der Juso-Chefin Johanna Ueckermann, die ihm vorgeworfen hatte, nicht zu halten, was die SPD versprochen habe. Video SPD-Parteitag Gabriels schlechtestes Ergebnis - SPD straft Parteichef ab 2013 hatte Gabriel sein bisher schlechtestes Ergebnis als SPD-Chef erzielt. Auf dem Parteitag in Berlin wurde es nun noch einmal unterboten. Es war zu ahnen, dass seine Wiederwahl kein Selbstläufer werden würde. Aber so ein Ergebnis hat niemand vorherzusagen gewagt. Der zweite Teil der Demütigung folgte in den Stellvertreterwahlen. Alle bekamen viel mehr Zustimmung als Gabriel. Alle. Hannelore Kraft und Manuela Schwesig kamen gar über 90 Prozent. Und selbst Ralf Stegner, Landeschef aus Schleswig-Holstein, landete drei Prozentpunkte vor dem Parteivorsitzenden. Elektroautos erobern die Firmenflotten Emissionsfrei und sparsam auch im gewerblichen Bereich werden Elektro-Autos zunehmend attraktiver. Die Gründe dafür liegen vor allem in den niedrigen Betriebskosten und ersten steuerlichen Subventionen. mehr ... Gabriel will die SPD in die Mitte führen. Dorthin, wo sich Angela Merkel mit ihrer Union breitgemacht hat. Dorthin, wo die SPD-Linke partout nicht mehr hinwill. Sie will keine HelmutSchmidt-SPD, keine Gerhard-Schröder-SPD und in dem Sinne keine Sigmar-Gabriel-SPD. Dafür scheut sie auch nicht davor zurück, die Partei mit einem großen Knall in die Führungskrise zu stürzen. In seiner Rede wirft er der Kanzlerin Doppelzüngigkeit vor www.sissu.it Der Parteichef dachte offenbar, er könne die Linke mit einigen Angriffen auf den Koalitionspartner beschwichtigen. In seiner Bewerbungsrede wirft er der Kanzlerin und den Unionsparteien Doppelzüngigkeit in der Flüchtlingsfrage vor: "Man kann sich nicht morgens dafür feiern lassen, dass man eine Million Flüchtlinge nach Deutschland holt, und abends im Koalitionsausschuss jedes Mal einen neuen Vorschlag machen, wie man die schlechter behandeln könnte." Er ist sich auch nicht zu schade, den Aufstieg des Front National in Frankreich in Zusammenhang mit Merkels Sparkurs in der Euro-Krise zu setzen - und der Kanzlerin damit eine Mitverantwortung für die Erfolge der Rechtspopulisten zu geben. Er macht auch unerwartete Zugeständnisse in der Außenpolitik. Zwar verteidigt er den Einsatz der Bundeswehr gegen die Terrormiliz Islamischer Staat. Er verspricht den Delegierten jedoch eine Mitgliederbefragung, sollte das Syrien-Mandat ausgeweitet werden. Genutzt hat es nichts. Für Sekunden war nach dem Fiasko offen, ob Gabriel die Wiederwahl überhaupt annimmt. Nun, er macht weiter. Und er hat klargemacht, dass er nicht bereit ist zu weiteren Zugeständnissen an die Parteilinke. Es klingt wie eine Kampfansage. Le Monde, 13.12.2015: En Allemagne, le SPD utilise la France pour attaquer Angela Merkel LE MONDE | 12.12.2015 à 09h40 • Mis à jour le 12.12.2015 à 09h50 | Par Frédéric Lemaître (Berlin, correspondant) Abonnez vous à partir de 1 € Réagir Classer Partager (25) Tweeter www.sissu.it Sans Angela Merkel, Marine Le Pen ne connaîtrait pas le succès qui est le sien. Cette théorie – que l’on entend parfois au sein de la gauche française – a été reprise vendredi 11 décembre par Sigmar Gabriel, président du Parti social-démocrate (SPD), lors du congrès de son organisation. « J’ai averti Angela Merkel que le Front national serait le seul gagnant d’une politique d’austérité en France », a-t-il déclaré, précisant qu’il fallait « regarder la situation sociale d’un pays » avant d’imposer une telle politique. Vice-chancelier et ministre de l’économie, Sigmar Gabriel ne peut pas attaquer trop frontalement la chancelière. Néanmoins, celle-ci risque d’être son adversaire lors des prochaines élections générales, à l’automne 2017. Alors qu’en Allemagne, le chômage n’a jamais été aussi bas et les caisses publiques rarement aussi remplies, Sigmar Gabriel a choisi l’Europe et la situation en France comme angles d’attaque. D’ailleurs, le premier ministre français, Manuel Valls, devait s’exprimer devant les congressistes, samedi 12 décembre. Sigmar Gabriel a qualifié de « honteux » le silence des conservateurs européens et notamment... Die Deutsche Welle, 15.12.2015: Prominenter Salafist in Nordrhein-Westfalen verhaftet Er ist einer der bekanntesten Islamisten Deutschlands. Jetzt hat die Bundesanwaltschaft den Salafistenprediger Sven Lau festgenommen. Er steht im Verdacht, eine terroristische Vereinigung unterstützt zu haben. www.sissu.it Dem vor allem in Nordrhein-Westfalen aktiven Salafistenprediger Sven Lau werde vorgeworfen, 2013 von Deutschland aus als verlängerter Arm der in Syrien aktiven Terrororganisation "Jaish almuhajirin wa-l-ansar" (JAMWA) tätig gewesen zu sein, erklärte die Bundesanwaltschaft in Karlsruhe: "Er ist daher dringend verdächtig, in vier Fällen eine ausländische terroristische Vereinigung unterstützt zu haben." Spätestens seit Mitte 2013 sei die JAMWA "eng an die Terrororganisation 'Islamischer Staat Irak und Großsyrien' (IS) angebunden". Die Redaktion empfiehlt "Scharia-Polizei" entfacht neue Islamdebatte Elf junge Salafisten schlüpften in orangefarbene Westen und patroullierten als "Scharia-Polizei" durch Wuppertal. Deutschland fragt sich: Wie soll man auf den Vorfall reagieren? (08.09.2014) Kommentar: Mit deutschen Muslimen gegen die SchariaPolizei Bundesregierung will Scharia-Polizei nicht dulden Anlaufstelle für Kampfwillige www.sissu.it Nach der Spaltung der JAMWA ("Armee der Auswanderer und Helfer") Ende 2013 habe sich der von Lau unterstütze JAMWA-Flügel der IS-Miliz angeschlossen. "Nach dem Ergebnis der bisherigen Ermittlungen war Lau eine Anlaufstelle für Kampf- und Ausreisewillige insbesondere aus der salafistischen Szene im Großraum Düsseldorf", erklärte die Bundesanwaltschaft. Er soll als Bindeglied zur JAMWA in Syrien fungiert und mit einem dortigen deutschen Konvertiten in engem Kontakt gestanden haben. Konkret wirft die Bundesanwaltschaft dem 35-jährigen deutschen Staatsbürger vor, zwei Dschihaddisten an eine JAMWA-Kampfeinheit in Syrien vermittelt zu haben. Außerdem habe er im September 2013 einem der Kämpfer in Syrien persönlich 250 Euro überbracht und im Auftrag der JAMWA in Deutschland drei Nachtsichtgeräte besorgt. Lau werde noch im Tagesverlauf dem Ermittlungsrichter des Bundesgerichtshofs vorgeführt. Bekannt durch "Scharia-Polizei" Lau hatte bundesweit mit seiner "Scharia-Polizei" für Aufsehen gesorgt. Im vergangenen Jahr waren Islamisten als Sittenwächter durch die Straßen Wuppertals patrouilliert. Sie trugen Westen mit dem Aufdruck "Shariah Police". Die Scharia ist das islamische Recht. Die Islamisten erhoben mit gelben Verbotshinweisen den Anspruch auf eine "Shariah Controlled Zone" (Schariakontrollierte Zone). Darauf sind Verhaltensregeln der radikalen Muslime festgehalten, wie sie in streng islamischen Staaten gelten: Kein Alkohol, kein Glücksspiel, keine Musik und Konzerte, keine Pornografie und Prostitution, keine Drogen. www.sissu.it POLAND February: Magdalena Ogorek, Socialist Party, and Andrzej Duda are two ladies who are running for the presidency. The out-going president Bronislaw Komorowski is the most supported (www.sdpl.pl ). POLAND: 29th August: according to a Polish official, the Nazi treasure, hidden in a train, is located in the national territory. alJazeera, 28th November 2015: Minorities in Poland facing racism after Paris attacks Antiracism groups across Europe report a spike in attacks on Muslims and other minorities since killings in France. 27 Nov 2015 17:32 GMT | Refugees, Europe, Poland Antiracism groups across Europe have reported a spike in attacks on Muslims and other minorities in recent days. This trend is particularly strong in Eastern Europe. In Poland, where a new right-wing government wants to make it harder for refugees to enter, those already there are becoming increasingly fearful. www.sissu.it Al Jazeera's Laurence Lee reports from Warsaw. Source: Al Jazeera Related Poland's modest refugee policy proves controversial Though the country has agreed to accept just 6,800 refugees from Syria and Eritrea, critics say even that is too many. Refugees, Poland, Syrian crisis, Turkey-Syria border, Europe Europe anti-refugee rhetoric swells after Paris attacks Far-right politicians call for borders to be sealed in wake of Paris assaults amid growing fears for refugees' plight. Refugees, War & Conflict, Politics, Human Rights, Europe www.sissu.it NYT, 6th Dec 2015: Campaign posters for Grzegorz Bogucki of the Nowoczesna Party and Ewa Kopacz of the Civic Platform Party outside a subway station last week in Warsaw. Credit Kacper Pempel/Reuters Poland Poland joined the region’s rightward drift toward nationalism on Sunday, tossing out the centerright party that had governed the country for eight years. The Law and Justice Party, with Beata Szydlo as candidate for prime minister, won 37.6 percent of the votes, according to the election authority. It is further to the right than the governing party, Civic Platform, which conceded defeat on Sunday. Ms. Szydlo had campaigned against being forced by the European Union to accept a set number of the refugees who have been flocking to Europe, as well as for higher wages and traditional Catholic values. Polish election rules state that a party can take control of the government without the need for a coalition partner even if it draws less than 40 percent of the vote, depending on how many of the smaller parties earn seats in the new Parliament. Latest Story: Right-Wing Party Roars Back in Polish Elections www.sissu.it Philippine Star,9.12.2015: Poland's president defies constitutional ruling amid crisis By Vanessa Gera (Associated Press) | Updated December 9, 2015 - 4:42am Demonstrators cheer before the Constitutional Tribunal building after the special court partly approved a move concerning its composition made by the previous ruling liberal Civic Platform party, in Warsaw, Poland on Thursday, Dec. 3, 2015. In an escalating political row between the new ruling Law and Justice party and the Civic Platform, both parties seem to have bent the law while trying to appoint judges to the special court. (AP Photo/Czarek Sokolowski) WARSAW — Poland's constitutional crisis deepened on yesterday, with the president indicating that he will stick by appointments to the Constitutional Tribunal that were declared illegal last week by that same court, the nation's highest arbiter of the law. www.sissu.it A spokesman for President Andrzej Duda said that he will go ahead on Wednesday with the swearing in of the fifth of five controversial appointments to the court. The spokesman, Marek Magierowski, also said Duda won't swear in three of the judges who were last week declared by the court to have been chosen in accordance with the law by the previous government. After the right-wing Law and Justice party took power in November, it moved quickly to place five new judges onto the 15-member Constitutional Tribunal. That involved voiding five recent appointments made by the previous government, even though three of those were in accordance with the regulations. Critics decry the moves against the court as an attack on the nation's democratic guarantees, and fear that Poland is following the example of Hungary, where Prime Minister Viktor Orban has moved the country in the direction of what he calls an "illiberal state." A pro-democracy initiative in Warsaw, "We Are Watching You," called the moves by Law and Justice "a situation without a precedent in Poland's democratic history" and "an erosion of democracy at its constitutional core." Law and Justice now controls the presidency and parliament; its moves relating to the court are aimed at removing the last remaining check on its power as it seeks to remake the country in line with its nationalistic and morally conservative social vision. The party has also vowed to do more to help the poor at the expense of powerful corporations and foreign-owned banks. World ( Article MRec ), pagematch: 1, sectionmatch: 1 Last Wednesday, the new parliament voted in the five new judges, and Duda quickly swore four of them in in the middle of the night. The next day that same tribunal — even with the presence of the new members — ruled that three of those five appointments were illegal. Law and Justice faults the previous government, led by Civic Platform, for making two premature appointments, something it considers a violation of democratic norms. Even supporters of Civic Platform admit that the party helped spark the crisis by naming two new judges before their replacements had actually stepped down. www.sissu.it HUNGARY June: polemics about the wall on Serbia border the gvt. is building to stop migration. August: The gvt is finishing the wall to stop migrants coming from the Balkans. Pope Francis and EU criticize. UK Stephen J. McKinney & James C. Conroy (2015). The continued existence of state-funded Catholics schools in Scotland Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 105-117. www.sissu.it 7 May, elections, Cameron and Conservative Party gains with great majority. June: migrants are refused at the frontiers, as in France. Skeggs B. (2015). Des femmes respectables. Classe et genre en milieu populaire. Marseille: Agone. UK, 14th September: Jeremy Corbyn has been selected as the new leader of the Labour Party. www.sissu.it B ritish Prime Minister David Cameron delivers a speech on EU reform at Chatham House in London on Tuesday. | REUTERS Cameron: Britain’s EU demands not ‘Mission: Impossible’ AP Nov 11, 2015 LONDON – British Prime Minister David Cameron laid out his government’s demands for European Union reform Tuesday, saying a looser “British model of membership” would let him campaign “heart and soul” for his country to stay in the 28-nation bloc. www.sissu.it Cameron said the EU must agree to “irreversible changes” that would cede autonomy back to member states — and limit freedom of movement, a key EU principle, by allowing the U.K. to restrict benefits for immigrants from within the EU. Britain will hold a referendum by the end of 2017 on whether to leave the EU. Cameron says he wants to remain in, provided he can secure the reforms he seeks. He acknowledged that getting the other 27 nations to agree to Britain’s goals would be a major challenge — but not “Mission: Impossible.” “I would argue that it’s Mission: Possible, but it’s going to take a lot of hard work to get there,” he said. The EU’s executive European Commission, however, called some of the issues raised by Cameron “highly problematic.” Cameron outlined his demands in a speech in London and a letter to European Council President Donald Tusk. He told an audience at the Chatham House think tank that his country wants change in four areas, including protection for countries such as Britain that don’t use the euro single currency, less red tape and greater power for national parliaments to opt out of rules made by the Brussels-based EU. “We are a proud, independent nation. We intend to stay that way,” Cameron said, stressing that Britain wanted a “clear, legally binding and irreversible” exemption from the EU’s commitment to an ever-closer union. Most contentiously, Cameron said Britain wants to “control migration from the European Union.” He said Britain wants to bar other EU nationals who move to the U.K. from receiving tax credits and other benefits for four years. Such credits and benefits are currently paid to British citizens and citizens of other EU countries alike. In the letter to Tusk, Cameron said Britain’s concerns “boil down to one word: flexibility.” He asked for recognition that the EU has more than one currency and that changes made by the 19 euro-using countries — such as the creation of a banking union — must be voluntary for noneurozone members like Britain. He also said British taxpayers should “never be financially liable” for supporting the euro. Some of Cameron’s proposals will likely find sympathy in other European capitals, such as his call for fewer regulations on businesses and for more powers for countries within the EU. He said groups of national parliaments should get the power to stop “unwanted legislative proposals” from Brussels. Cameron’s demands on migration within the union are far more troublesome. www.sissu.it It is a key EU principle that citizens have the right to live and work in other member states. But Cameron said EU immigration to Britain — more than half a million people between 2004 and 2013 — was “unregulated and much higher than planned.” Cameron’s attempt to limit EU migrants’ benefits for four years is likely to be a tough sell with some EU leaders, who see free movement of labor, as well as of goods, as a cornerstone of the bloc. Valdis Dombrovskis, the EU’s economic commissioner, said some of Cameron’s demands were “feasible” but that others were “highly problematic, as they touch on the fundamental freedoms of our internal market.” Czech Prime Minister Bohuslav Sobotka said any attempt to limit freedom of movement poses “a serious problem for the Czech Republic,” which became an EU member in 2004. Sobotka said “the right to work and live anywhere in the EU is absolutely essential to us due to our historical experience” as a country that spent decades under Soviet domination. German Chancellor Angela Merkel — one of Cameron’s chief EU allies — said she was willing to work with Britain on the proposals, which contained “no surprises.” “If one has the spirit that we can solve these problems then I’m convinced it can be done,” she said. Cameron told Tusk he hoped for “substantive discussion” of Britain’s demands at an EU summit in Brussels in December. He has not yet set a date for the referendum, which he said would be “a once-in-a-generation choice” — and not, as some “out” campaigners have suggested, reversible with a second vote soon afterward. “If we vote to leave, then we will leave,” Cameron said. He told Tusk that an agreement would let him campaign “with all my heart and soul” for Britain to stay in the EU — proof, according to British Euroskeptics, that Cameron is a pro-European at heart. Jacob Rees-Mogg, one of many anti-EU lawmakers in Cameron’s Conservative Party, called the list of demands “pretty thin gruel — much less than people had come to expect from the government.” U.K. Independence Party leader Nigel Farage said it was “clear that Mr. Cameron is not aiming for any substantial renegotiation.” “His speech was an attempt to portray a new ‘third way’ relationship with Brussels that is simply not on offer,” Farage said. www.sissu.it IRLANDA Nathalie Rougier & Iseult Honohan (2015). Religion and education in Ireland: growing diversity – or losing faith in the system? Comparative Education, Volume 51, Issue 1, February 2015 Special Issue: Religious Schools in Europe: Institutional Opportunities and Contemporary Challenges, Pages: 71-86. Ireland: 24 May, YES at the referendum about gay wedding. Mercille J. (Aout 2015). Médias, le Parlement irlandais accuse. Le Monde diplomatique, Aout 2015. ISLANDA Detroy F. (September 2015). La course à l’Arctique passe par Reykyavik. Le Monde diplomatique, September 2015. NORWAY 22 Feb. 15, Muslim protect the Synagogue in Oslo. FINLAND 20.04.2015: defeated the conservative party at election, gains Juha Sipilia, centrist Party. www.sissu.it SPAIN Lambert, Renaud (Janvier 2015). Podemos, le parti qui bouscule l’Espagne. Le Monde diplomatique, Janvier 2015. 31 January: Manifestation of Podemos, a Syrize-like political party in Madrid. El próximo 12 de marzo, a las 16:00 en el Salón de Actos de la Facultad de Formación de Profesorado y Educación de la Universidad Autónoma de Madrid, el profesor Stephen Ball del Instituto de Educación de la Universidad de Londres impartirá una conferencia titulada: “Big Data/Small Data: Neoliberalism, Measurement and Bio-politics”. La conferencia es gratuita y está patrocinada parcialmente por el Grupo de Investigación sobre “Políticas Educativas Supranacionales” de la UAM. Si alguno está interesado en asistir, se debe escribir un e-mail al profesor Héctor Monarca ([email protected]) con el fin de formalizar la inscripción. SPAIN, 22nd March, electons in Andalucia, Podemos is the third party, afer Socialist Party and Popular one. Ortiz J. (2014). Espagne. La République est de retour! Biarritz: Atlantica. [Le Monde diplomatique, Avril 2015. 24 May: elections, Podemos gain position, while Popular and Socialist remain the majority parties. Excelsior, 10.11.2015: Consejo de Estado español avala recurso contra secesionistas www.sissu.it Da vía libre para impugnar la declaración independentista del Parlamento de Cataluña; concluye que existen fundamentos jurídicos suficientes 10/11/2015 09:27 EFE / Foto: Reuters La posición del Consejo de Estado llega mientras en Barcelona se celebra el debate de investidura del presidente de la región. MADRID. El Consejo de Estado español - órgano consultivo - respaldó hoy por unanimidad la presentación de un recurso de inconstitucionalidad contra la declaración independentista aprobada ayer por el Parlamento de Cataluña, dijeron fuentes de esta institución. La Comisión Permanente del Consejo de Estado dictaminó que "existen fundamentos jurídicos suficientes" para impugnar la declaración ante el Tribunal Constitucional (TC). www.sissu.it El presidente del Gobierno español, Mariano Rajoy, pidió ayer al Consejo de Estado un informe sobre la declaración aprobada por la Cámara catalana, que aprobó una resolución en la que plantea la "desconexión" de esa región del Estado español. El texto plantea que, en el plazo de un mes, comience la tramitación de las "leyes de proceso constituyente, de seguridad social y de hacienda pública", que serían las bases de una hipotética república catalana. El informe del Consejo de Estado servirá de fundamento jurídico para el recurso que el Gobierno de Rajoy presentará mañana al TC. Si el Constitucional lo admite a trámite, previsiblemente el jueves próximo, el efecto será la suspensión inmediata y por un periodo de al menos cinco meses de la resolución. En ese período los magistrados del TC deberán debatir sobre la inconstitucionalidad o no de la moción de los secesionistas catalanes y llegar a una sentencia. No obstante, la propia resolución independentista menciona al TC para asegurar que no respetará sus sentencias. La posición del Consejo de Estado llega mientras en Barcelona se celebra el debate de investidura del presidente de la región, con el nacionalista Artur Mas como aspirante a un cargo que ejerce desde 2010. En la tarde de hoy tendrá lugar la votación y todo apunta a que Mas no tendrá la mayoría absoluta necesaria porque, aunque apoyado por los 62 escaños de Junts pel Sí, le faltan seis para obtenerla. El grupo que ha apoyado la resolución independentista, CUP (izquierda radical, diez escaños) ha reiterado hoy mismo que no apoyará a Mas como presidente porque lo ve vinculado a casos de corrupción y a una política antisocial. jrr Clarin, 24th November 2015: Cataluña: Mas amenaza con convocar a elecciones si no lo reeligen presidente El separatismo en España.Lo anunció el jefe de gobierno de Barcelona. Presiona a sus socios más radicales. www.sissu.it El jefe. Arturo Mas, el presidente de Cataluña (EFE). Juan Carlos Algañaraz Contundente ultimátum de Artur Mas, el líder de Convergencia Democrática y presidente de la Generalitat de Cataluña: o lo eligen candidato por la coalición “Juntos por el Sí” con el apoyo de la izquierda radical (CUP) o se convocarán nuevas elecciones regionales para marzo próximo. Así lo anunció ayer ante una reunión de la ejecutiva de Convergencia. Desde los pasados comicios regionales del 27 de setiembre, los independentistas no han logrado formar gobierno. En las elecciones, “Juntos por el Sí” logró 62 diputados y el resto de la oposición 63 legisladores. Para obtener mayoría absoluta, los independentistas necesitan el apoyo de la CUP (Candidatura de Unidad Popular) que de tres legisladores con que contaba paso a tener ahora diez. Pero la dirección de la CUP, apoyada en el movimiento asambleario que la sustenta, se negó en redondo a apoyar la investidura de Mas, fulminado por su política económica, que los alternativos equiparan a la del presidente del gobierno español, Mariano Rajoy, y los graves cargos de corrupción que pesan sobre Mas y su partido Convergencia. www.sissu.it En dos votaciones de investidura, la CUP reiteró su rechazo que ha generado una crisis en los independentistas y desprestigio en su electorado. Después de que se proclamara en el Parlamento, a grito pelado, la República Catalana, se aprobó un plan constituyente “sin interferencias del estado español”. Además, para muchos comentaristas y políticos se produjo una declaración de facto que “desconectaba” la legalidad española de la catalana. Ante un recurso planteado por el gobierno central de Madrid ante el Tribunal Constitucional, esta instancia superior suspendió el plan rupturista de los catalanes. Al mismo tiempo, alertó a 21 funcionarios –entre ellos, el mismo Artur Mas y Carmen Forcadell, presidenta del Parlamento catalán– de que, en caso de desobediencia, iban a ser castigados con fuertes multas y la inhabilitación de sus cargos. El gobierno catalán declaró que sólo aceptaban las decisiones del Parlamento catalán. Pero, todo el trámite de la ley de ruptura está paralizado porque el gobierno catalán no se ha constituido. Es una situación insólita: los rupturistas proclaman la república soberana pero no pueden empezar a organizarla porque no se ponen de acuerdo para formar gobierno. El 29 de diciembre próximo, una asamblea de militantes de la CUP debe tomar una decisión sobre la candidatura de Mas con la amenaza de una convocatoria a nuevos comicios que no conviene a los separatistas, que temen perder votos. “Es Mas o marzo”, bromean los militantes radicales de izquierda. Entre las alternativas a la desesperada de Artur Mas para no perder su continuidad al frente del ejecutivo catalán, ayer también se anunció que Convergencia Democrática está dispuesta a una refundación dentro de cuatro o cinco meses. Para las cruciales elecciones generales del próximo 20 de diciembre, Artur Mas decidió apartarse de la coalición con Esquerra Republicana y Concurrir en solitario bajo la nueva sigla “Democracia y Liberad”. Para la refundación de un nuevo partido se piensa captar, transversalmente, a democristianos, liberales y socialdemócratas porque “para crear un país nuevo senecesita un partido nuevo”. Josep Rull, principal dirigente de Convergencia después de Mas, anunció que “trabajaremos para crear un nuevo espacio de centro para ampliar el espacio del soberanismo y hacer posible la independencia”. Clarin, 28.12.2015: España: siguen los desacuerdos y asoma escenario de nuevas elecciones www.sissu.it Negociaciones para formar gobierno El líder de Podemos, Pablo Iglesias, le dijo "No" a Rajoy y disparó contra el PSOE, en lo que parece ser el anticipo de una nueva campaña electoral, con miras a comicios generales. Pablo Iglesias, de Podemos, durante una rueda de prensa, tras reunirse con Mariano Rajoy. / Reuters Juan Carlos Algañaraz Madrid. Corresponsal Pablo Iglesias cerró las puertas a un acuerdo con el PSOE, anunció que mantiene su exigencia de un referéndum solo para catalanes, y proclamó que si se convocan a elecciones piensa ganarlas. El líder de Podemos estuvo reunido dos horas con Mariano Rajoy a quien comunicó que no lo apoyará, ni al PP, en la investidura ni contempla abstenerse. Después dio una larga conferencia de prensa donde rechazó la exigencia irreversible del PSOE de que retire su reclamo, también irreversible, de un referéndum soberanista en Cataluña del que solo participarían ciudadanos catalanes. www.sissu.it Para los socialistas, sin discrepancias, esta demanda que constituye una línea roja sobre las pretensiones estratégicas de Podemos, no está contemplada en la Constitución que solo permite referéndum soberanistas si votan todos los españoles. “No aceptaremos nada que ponga en peligro la unidad de España y la igualdad de los ciudadanos de este país como lo manda la Carta Magna democrática de 1978. Esta es para nosotras una línea roja infranqueable”, sostuvo ante la asamblea del Comité Federal del PSOE. El principal dirigente de Podemos hizo otra afirmación de ruptura con los socialistas ya que denunció un “pacto entre el PP, PSOE y Ciudadanos”. Este consenso secreto, espurio lógicamente, prevé que tanto Ciudadanos como el PSOE no voten a Mariano Rajoy en la sesión de investidura pero se abstengan en la segunda votación que el líder del PP puede ganar por mayoría simple de sus 123 diputados. Necesita llegar a 176 para la mayoría absoluta. www.sissu.it Muchos comentaristas en las tertulias de radio y televisión estuvieron de acuerdo en que Pablo Iglesias había realizado “su primer discurso para una nueva campaña electoral”. Otros destacaron que no había pronunciado críticas al PP pero si muchas, e implacables, contra el PSOE. “Tenemos la sensación de que Pablo Iglesias está mucho más interesados en destruir al PSOE que criticar al PP”, había dicho el día anterior con toda energía la presidenta de Andalucía, Susana Díaz. Los partidarios de la gran coalición PP- PSOE arrecian en su campaña a favor de la abstención del PSOE. “Hay un solo responsable del desastre electoral del PP en las elecciones donde perdió 3,5 millones de votos y 60 diputados y de la soledad de Rajoy que gobernó por decreto gracias al rodillo de la mayoría absoluta. Los que tienen que asumir esa responsabilidad son Mariano Rajoy y su partido. Pero quieren que los socialistas, que tenemos 136 años de vida como partido, traicionemos a nuestros votantes y militantes y nos suicidemos para salvar el pellejo de Rajoy. Ni lo sueñen, es ridículo”, explicó a Clarín un alto dirigente socialista durante la reunión del Comité Federal”. www.sissu.it También estuvo con Rajoy en el Palacio de la Moncloa el dirigente principal de Ciudadanos, Albert Rivera, quien anunció al finalizar el encuentro: “le ratifique al presidente que no apoyaré su investidura”. Rivera ha explicado varias veces que piensa facilitar el acceso de Rajoy al poder mediante la abstensión. Aconseja lo mismo al PSOE que rechaza de plano el convite. “Me dejare la piel para tratar de atender las demandas de cambio por la izquierda pero no a cualquier precio. No dialogaremos sobre la unidad territorial de España”, proclamó el candidato del PSOE, Pedro Sánchez, entre aplausos, en el Comité Federal de 250 miembros. O sea que no doblegará los principios socialistas para poder gobernar. También denunció que había “una pinza contra el PSOE a cargo del Podemos y el PP”. El influyente dirigente socialista, Emiliano García Page, presidente de la comunidad de Castilla León, resumió la situación de bloqueo que se abre después de la imposibilidad de acuerdos a derecha e izquierda: “Hoy no salen las cuentas para sumar una mayoría”. Iglesias insiste en mantener su exigencia de referéndum soberanista en Cataluña porque en realidad solo tiene como propio, y así se los acredita el gobierno, 42 diputados. Los otros legisladores fueron obtenidos por tres aliados con los cuales no se sabe si formará un grupo parlamentario o cuatro. Doce, pertenecen a Son en Comun Podemos (Ada Colau alcaldesa de Catalulña), nueve a los valencianos de Compromis y Es el Moment, y seis de las Mareas en Galicia. Los tres, especialmente Ada Colau, están estrechamente ligados a expresiones nacionalistas. El referéndum soberanista en Cataluña, solo para catalanes, es una parte esencial de su identidad política. El 13 de enero próximo se constituyen las Cortes, diputados y senadores. Una vez elegido el presidente de diputados, el Rey inicia una ronda de consultas con todos los partidos que han obtenido representación parlamentaria. En ese momento, debe presentarse el líder de uno de estos grupos que considera tiene el apoyo necesario, la mayoría se forma con 176 diputados o sea la mitad más uno de los 350 legisladores. www.sissu.it Habitualmente el Rey concede prioridad al representante de la lista más votada pero no está obligado a hacerlo de acuerdo a lo dispuesto por la Constitución para la sesión de investidura. El candidato presentado por el Rey leerá entonces un mensaje político a la Cámara donde detallará su programa de gobierno. Si recibe la generalidad, 176 o más representantes, quedará consagrado como presidente del gobierno español con mandato por cuatro años, la legislatura. De lo contrario, habrá una segunda votación esta vez por mayoría simple. El candidato debe recibir más apoyos que rechazos. Si se vuelve a producir un voto negativo de los diputados, el Rey indagará a los grupos para encontrar un nuevo candidato y se reproducirá el trámite constitucional. Al cumplirse dos meses de la primera sesión de investidura, si no se ha logrado elegir un nuevo presidente el Rey deberá convocar a elecciones generales. PORTOGALLO
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