Paraît le 93 WOË. Abonnement 1 FR. PAR MOIS yimtnoho 2 Juillet 1816. 1 II I I |U Le D msM mm&wmmm I I mm Numéro FR 10 ° IIKl HTHK TT" MOSELLE — i= . - -- | --- -_■ ■„. •-• • i 8 "" —T...---, " -: ---- - , ., ==^, . . ...... . 11 , .- . MM— lté dactlon, Administration : 11, Place de la Madeleine - Parig (VIII") ORGANE DE U "'SOCIETE D'ASSISTANCE AUX REFUGIES EVACUES ET SINISTRES Siège Social: 35, Boulevard ijj^aussmann, 35 — Bureaux et Permanence — de ÎO h. à midi el de 14 à 17 h. K MËÛRTHE ET ffiOSELi PARIS (IX9) — 11, Place de la Madeleine POUR NOS PETITS RÉFUGIÉS A LA CITÉ RECONSTITUÉE Vacances à la campagne Entrées de faveur pour les sinistrés L'Administration de l'Exposition de la « Cité reconstituée », organisée par l'Association Générale des Hygiénistes et Techniciens municipaux, au jardin des Tuileries, a bien voulu consentir des entrées de faveur aux Sinistrés des Associations affiliées à la Fédération des Asociations départementales de sinistrés, qui se présenteront en groupe. Notre Société faisant partie de la Fédéralion, nos réfugiés pourront donc profiter du prix réduit de 0 fr. 50 au lieu d'un franc pour l'entrée à l'Exposition. La première visite aura lieu le dimanche 16 juillet à 10 h. du matin. Rendez-vous à 9 h. 45, place de la Madeleine, en face l'entrée de notre permanence. Notre Coniilé a mis à l'étude un projet qui, avec le concours d'QEuvres de colonies de vacances, permettra aux enfants de nos réfugiés de passer une partie de leurs vacances au grand air de la campagne. . Pour poursuivre l'étude de ce projet il est indispensable que, dès à présent, nous soyons fixés approximativement sur le nombre d'enfants que nous aurions à proposer et dans ce but, nous prions les parents de les faire inscrire de suite à notre permanence, un premier départ devant avoir lieu avant le 15 juillet. Avis aux réfugiés En raison des ressources de plus en plus limitées dont dispose notre Société, le Comité a dû prendre à son grand regret la décision de ne plus accorder de secours en vêtements dans la période qui s'étendra du 15 juillet au 1er septembre 1916, sauf pour les demandes présentant un caractère tout particulier «d'extrême urgence, ou pour des layettes. Cette mesure s'applique aussi bien aux réfugiés à Paris et banlieue, qu'à ceux ré-' sidant en province. dispositions avaient soulevé de violentes et légitimes protestations. On conçoit que l'Etat soumette le versement des sommes payées par lui à des conditions plus ou moins rigoureuses quand elles ont le caractère de simples subsides, comme celles qui ont été accordées après la guerre de Nous avons publié dimanche le texte ré- 1870. Mais du moment où il proclame, digé par la Commission de la Chambre comme il l'a fait en décembre 1914, le droit chargée d'examiner le projet de loi proposé des victimes des dommages de guerre à la par le Gouvernement pour régler la ques- réparation complète du préjudice éprouvé, tion de la réparation des dommages causés il est à la fois illogique et injuste de respar la guerre. Plus d'un an s'est écoulé de- treindre la liberté d'action de ceux qu'il inpuis le dépôt de ce projet, mais il serait demnise et d'infliger, sous forme de reteinjuste d'accuser la Commission de paresse. nue, une sorte de pénalité à celui qui pré.La rédaction qu'elle fait connaître aujour- fère ne pas reconstruire sa maison détruite. d'hui n'a pas été son premier essai. En oc- La Commission a tenu compte en partie de tobre 1915, elle a mis sur pied un premier cette critique. Elle a supprimé l'article qui texte (1) qu'elle a communiqué aux divers punissait par une réduction de l'indemnité groupements et Associations formés par les le refus de remploi. D'après sa nouvelle révictimes de la guerre. Ce texte a donné daction, « l'indemnité, en matière immoprise à de vives critiques; il a fait notam-: bilière, comprend tous les éléments nécesment l'objet d'un très intéressant rapport saires à la reconstitution des immeubles qui a été présenté par M. Gouge (2) à la endommagés ou détruits »; mais si le béFédération des Associations départemen- néficiaire de l'indemnité ne veut pas reconstales des sinistrés et qui signalait de nom- truire, il reçoit une somme égale au monbreuses améliorations désirables. La Com- : tant de la perte subie, évaluée à la veille mission, après cette sorte d'enquête, s'est I de la mobilisation, sans que cette somme bravement remise à l'œuvre. Elle a fait son j subisse une réduction quelconque. Il est profit d'un certain nombre des observations \ bien question encore d'une avance faite qui lui étaient' soumises, et c'est une oeu- ] par l'Etat : mais elle ne porte, cette fois, vre toule nouvelle qu'elle vient soumettre ! que sur la somme représentant la dépréà la Chambre. Les modifications qu'elle ap- ! ciation subie pour cause de vétusté par porte ainsi à son premier projet portent l'immeuble détruit; l'Etat prête cette surtout sur. deux points, la détermination somme au sinistré pour 25 ans, s'il veut du dommage et la juridiction en cas de dé- reconstruire. C'est du moins ainsi que nous interprétons les articles 4 et 5 du nouveau saccord. projet, qui ne sont pas d'une clarté parfaite D'après le projet précédent, l'indemnité accordée pour la destruction ou l'endomma- i et qui surtout ont le très grave défaut de gement des immeubles était équivalente à ; ne pas indiquer assez nettement que le sila perte subie, évaluée à la veille de la mo- i nistré aura droit à la dispense de remploi. bilisation, c'est-à-dire à une somme très Ainsi entendus, ils constituent une certaine inférieure, dans la plupart des cas, à la dé- amélioration du texte précédemment admis, pense nécessaire pour la reconstruction. Si quoiqu'on n'aperçoive pas nettement la raicette dépense dépassait de plus de 20.000 son d'être de cette avance réduite qui subfrancs ou de plus d'un dixième le montant siste dans le nouveau texte. Par contre, la de l'indemnité, et si le sinistré voulait re- Commission a jugé à propos de traiter plus construire, l'Etat avançait la dépense sup- mal encore qu'elle n'avait fait d'abord les plémentaire à 3 0/0 et sur hypothèque, et propriétaires de meubles sans utilité agricette avance était remboursable, en cin- cole, industrielle ou professionnelle, en réquante ans. Si, au contraire, le sinistré ne duisant de moitié, à leur détriment, le monvoulait pas faire le remploi et n'en avait tant de l'indemnité à recevoir par eux, pas été dispensé par l'autorité, son indem- tandis qu'elle ne leur infligeait, dans son nité était rognée suivant une échelle pro- premier texte, qu'une réduction progresgressive qui montait jusqu'à 40 0/0. Ces sive allant de 5 à 40 0/0. La réduction primitive était déjà difficile à expliquer; la (i) Voir notre N° 6o. . seconde serait injustifiable. (a) Voir nos N0' 65 et 67. I La Commission, dans sa rédaction d'octo- LES DOMMAGES DE GUERRE Les rapatriements bre, avait apporté au projet du gouvernement une modification profonde en créant une juridiction spéciale chargée de statuer, comme un véritable tribunal, dans les cas de conflit sur le montant de l'indemnité, tandis que le Gouvernement donnait un pouvoir de décision définitif aux Commissions d'évaluation créées par décret. Cette juridiction consistait dans une « Cour des dommages de la guerre », unique pour toute la France. On avait fait remarquer, non sans raison, que cette concentration entre les mains d'une seule Cour, appelée à juger tous les litiges, offrait de graves inconvénients. La Commission .a tenu compte* de cette critique en modifiant son texte antérieur par la création de tribunaux départementaux, qui pourront eux-mêmes être divisés en plusieurs chambres composées chacune d'un président et de deux membres désignés par le Ministre de la Justice et de deux délégués nommés par les délégués des maires aux Commissions cantonales. Les décisions de ces tribunaux pourront être attaquées devant la Commission supérieure pour violation des règles relatives aux méthodes et au taux régissant la fixation des indemnités, et devant la Cour de cassation pour vice de forme ou violation de la loi. Ces dispositions auront le grand avantage de rendre la solution des litiges plus rapide et d'écarter les difficultés inévitables auxquelles aurait donné lieu, avec le texte précédent, l'obscurité des articles relatifs aux pouvoirs de la Commission supérieure. Nous, aurons à revenir plus en détail sur la rédaction adoptée par la Commission de la Chambre. Elle donne encore lieu à maintes critiques, notamment en ce qui concerne l'échelonnement du payement des indemnités et certaines dispositions qui restent en contradiction évidente avec le principe du dédommagement intégral adopté par l'Etat comme base de la législation. Mais la nouvelle œuvre de la Commission réalise certainement un sérieux progrès sur sa devancière. H est à souhaiter que la Chambre trouve bientôt le temps d'en aborder l'examen. Les Débats. Charrue lundi de 2 à 5 heures. M. .Tac rruemnrt avocat, se tient h la Permanent des Béfupiés. 1i. place de la Madeleine. * la disposition des'Sinistrés de Meurthp-et Moselle, pour leur fournir CTStuitpmenl tous conseils et consultations dont ils peu vent avoir besoin. Les journaux ont publié la note suivante: Le gouvernement allemand a fait savoir que les autorités militaires refusent d'accorder aux Français restés dans les départements envahis l'autorisation de les quitter. On nous prie en conséquence de faire connaître au public que les demandes tendant à l'évacuation de Français se trouvant dans les territoires occupés, qui sont adressées au Ministère des Affaires étrangères, ne sont actuellement susceptibles d'aucune suite. Les termes de cette note et surtout les tites sous lesquels elle a été publiée dans les grands quotidiens : — « Nul ne peut quitter les pays envahis », « Interdiction allemande de quitter les régions envahies » etc., et«. — ont jeté un certain émoi parmi les personnes qui ont des parents restés sous la domination allemande. La note ci-dessus a tout simplement pour objet de prévenir « le public » qu'il est absolument inutile d'adresser au Ministère des Affaires Etrangères à Paris, des demandes tendant à obtenir le rapatriement de personnes restées dans les départements envahis. (Nous avons déjà, ici même à plusieurs reprises, informé nos lecteurs de cette situation.) On sait dans quelles conditions les Allemands autorisent généralement les départs: les habitants qui désirent rentrer en France libre, formulent des demandes sous forme d'inscription à la Kommandatur locale et l'autorité allemande décide. Il y a, au surplus, les mesures d'expulsion; mais en aucun cas il ne peut y avoir d'interventions par la voie diplomatique; les Boches s'y refusent, ainsi qu'on nous le fait savoir une fois de plus. Seuls les vieillards, les femmes, les enfants et les infirmes qui sont actuellement internés en Allemagne à titre de prisonniers civils, peuvent faire l'objet d'une demande de rapatriement qui adressée au Ministère des Affaires étrangères (Direction administrative), à Paris, est transmise à Berlin par la voie diplomatique. Il est recommandé de joindre à la demande une carte postale ou une lettre émanant du prisonnier dont on sollicite le rapatriement. Pour nous résumer disons : qu'il est inutile de demander au Ministre des Affaires Etrangères à Paris, d'intervenir en faveur du rapatriement de quiconque resté en territoire français envahi; mais cette intervention peut être sollicitée pour des civils, (vieillards, femmes, enfants ou infirmes) internés en Allemagne. La note publiée n'implique donc en aucune façon la suppression définitive et officielle ries rapatriements; elle confirme une situation de fait acquise depuis longtemps déjà. Les rapatriements pourront avoir lieu comme par le passé selon... le bon plaisir des autorités allemandes. a BULLETIN DK \;KUTHr ET MO [ Les envois mix_ Prisonniers ! i ouds ui« à la ui»po»ition «ie» pi-eMjls i On sait qu un crédit de cinq millions est Quelques recommandations Mil» ANDERNY Un prisonnier civil, rapatrié récemment prévu uu uuugeL au ministère ue l intéLa famille OEustreicher (Charles) était I après 19 mois de captivité dont 16 au rieur pour venu- en uiùe aux reiugiés. voici I en bonne santé à Anderny, courant mars ie lameuu qui nous a été cuimutinique par camp d'Holzminden, nous écrit : I1916. M. jûouuanueau, que&teur au groupe parie« Pour la plupart des prisonniers, la MONT-SAINT-MARTIN des aliments est impossible, ne dis- 1 weuiaire aes régions envahies, et qui coiuj Nous apprenons que Mme Koehler femme cuisson posant que d'un fourneau pour 54 hom- j porte, pour enaque dépaneuient, i inuiea! de l'employé des Aciéries de Longwy, qui mes; il faut d'ailleurs acheter la houille. ' tion uu nombre ôiiiciei ues reiugies JLrantenait à Mont-Saint-Martin une maison Le nombre de ceux qui peuvent cuisiner est içaib y resiaant au ol mars dernier, et la d'alimentatfcn y est restée avec ses enfants | somme attribuée a ceux-ci dans ia répartidonc forcément très restreint. et que tous sont en bonne santé. a J'estime donc qu'il serait bon d'inviter 1 lion, en date au 19 avril 19io, de ia seMme Koehler s'occupe de la gérance du les familles à n'expédier des aliments à ! conde tranche prélevée sur ce crédit : magasin local du Comité Hispano-Américain iNoiiii>ic ue îciu^ic.-* ittu*v«us 3oii.me j à cuire (pâtes, légumes secs ou conserves de ravitaillement. 1-aCS ; | de légumes) qu'aux seuls prisonniers qui MAILLY 2.412 o.iau (en font la demande car les autres, la plu- Ain V.Î24 îa.isio ! La vie n'est plus tenable dans cette com- ' part du temps sont obligés de A^endre pres- AiSife 8.000 iO.uOo mune. Les habitants n'ont jamais été ravi- I que pour rien, ces denrées qu'ils reçoivent Ailier Apes (.Basses; 788 taillés, ils sont réduits aux expédients i et qu'ils ne peuvent utiliser, 551 1.380 d'une nourriture(P) achetée aux cantines des j « Comme depuis quelque temps le sucre Alpes (.Hautes) Alpes-Maritimes 3.ÛÎ5 »,zi)U troupes allemandes. C'est dire que le choix j manque et que l'on est réduit à se servir de Ardèche 2.037 5.100 est peu varié et que les denrées sont d'une I sacharine aux dépens de beaucoup d'esto- Ariège i-540 3.820 | qualité plus qu'au-dessous de la moyenne. macs, il serait bon de joindre aux envois Aube ly.72y 4<U*20 II est impossible maintenant de se procurer une petite quantité de sucre qui sera le Aude 3.197 0.000 du sucre ou du café, celui-ci était vendu bienvenu. » Aveyron 1.106 4.270 3.166 7.920 9 fr. le kilog, mais à présent il n'a pas de Nous sommes persuadés que ces judi- Bouehes-du-Khône .... 4.431 11.080 prix vu qu'il n'en est plus mis en vente. cieuses observations seront précieuses pour j Calvados Cantal 1.742 4.350 j La récolte du blé de l'année 1914 n'avait les familles de nos chers captifs. Charente 327 880 ! pas heureusement été enlevée, les habitants Rappelons aussi, que depuis le l8r juillet, Charente-Inférieure .. 2.730 6.820 [ont eu là une ressource qui leur a bien l'adjonction de pain ou biscuit est rigou- Cher IM taxation des denrées 4.236 16.600 ; servi, mais qui est à peu près épuisée, reusement interdite dans la composition des Corrèze 2.557 6.400 M. le Préfet de Meurthe-et-Moselle vient i Mailly est comme on le sait situé à. quelcolis destinés aux prisonniers^ Ceux qui Côte-d'Or 15.813 39.530 d'adresser aux maires du département une ques kilomètres de nos lignes aussi le vilen contiendraient seraient saisis. Côtes-du-Nord 2.722 6.810 circulaire concernant la taxation des den- lage est-il souvent bombardé par nos pièces Creuse 3.244 8.110 rées alimentaires et définissant le rôle et les de 75 et de 120. La population vit dans les ûordogue 1.361 3.400 pouvoirs des magistrats municipaux en cette : caves et les Boches s'y réfugient également JDoubs 2.021 5.050 matière. ûrôme 4.563 11.410 ' ce qui fait qu'il y en a très peu de touchés avec les régions envahies Le lieutenant Lecomte I £ure 4.799 12.000 par nos projectiles. Il n'y a du reste que 6.054 15.148 M. CHARPENTIER, député des Ardennes, ai Eure-et-Loir Nous publiions récemment ie texte de deux compagnies de la « Landsturm » dans 1.545 3.890 la citation à l'ordre de l'armée, méritée par la localité. demandé à M. le MINISTRE DE LA MARINE de | Finistère Gard 16.630 le lieutenant Lecomte Gis du lieutenant-coLe 10 mai, Mme Authelin a été tuée au bien vouloir arrêter les dispositions néces- i Garonne (Haute) 4.514 11,290 lonel, conseiller municipal de Nancy, ac- cours d'un bombardement. Mme Bargmann, saires pour assurer, dans le plus bref délai ! Gers 2.079 5.2ÛÛ tuellement aux armées. dont le fils mobilisé a été tué sur le front, possible, le service de la correspondance ; Hérault 4.140 10.350 Le lieutenant Lecomte qui commande une a été blessée en août 1915 par un éclat des militaires des armées de mer avec leurs j nie-et-Vilaine 5.210 13.030 3.079 7.7ÔO escadrille avait été cité à la suite d'un com- d'obus. Emmenée à l'hôpital de Metz pour familles demeurées dans les départements i Indre 3.806 9.520 bat aérien dans lequel il avait réussi à y être soignée elle est, depuis peu rentrée envahis et la délivrance aux intéressés des j Indre-et-Loire 5.291 13.230 abattre un « fokker ». On nous apprend à Mailly, incomplètement guérie, puisqu'elle cartes spéciales destinées à cette correspon- ] Isère Jura 4.203 10.51» que l'appareil allemand en question est ce- ne peut encore marcher sans aide. dance. Landes 1.831 4.B80 lui qui est . exposé dans la cour d'honneur | Les maisons sont assez éprouvées. Le Voici la réponse de l'Amiral' Lacaze : Loir-et-Cher 3.050 7.636 « A la date du 8 juin, des cartes-messages Loire des Invalides où nos lecteurs habitant Paris W décembre 1915, un incendie allumé par 10.378 25.950 Pourront aller le contempler. ! l'explosion d'un obus tombé dans la grange nécessaires pour correspondre avec les person- Lcire (Haute) 2 613 6.540 | de la maison Lamy en a détruit les écuries. nés qui demeurent dans les pays envahis, ont Loire-Inférieure 8.553 21.390 BLAMONT été envoyées aux différentes autorités maritiQuelques personnes sont décédées. On mes 8.950 22.388 Nécrologie qui auront à les remettre aux officiers, Loiret Lot 791 1.980 'cite entre autres : Mme François (Marie), ■marins et agents placés sous leurs ordres. » Nous apprenons la mort survenue à Lot-et-Garonne 2.921 7.300 , 64 ans, née à Craincourt, qui est morte dans » Rambervillers, le 15 juin dernier, de M. » * , Lozère loi 1.200 Le service de correspondance organisé Maine-et-Loire François Welker, ancien notaire à Blâmont. | la semaine de Pâques 1915, Mlle Damien ' 6.777 16.940 ((Marguerite), 15 ans, morte en mai 1915, par le Ministère de l'Intérieur ne concerne Le défunt était âgé de 75 ans. 3.418 8.580 I M. Gourrier-Sonnet mort subitement à pas l'Alsace-Lorraine qui n'est pas consi- Manche BACCARAT Marne 36.394 91.006 l'âge de 84 ans, et Mme Paumy, 65 ans endérée par le gouvernement allemand comme Marne (Haute) 12.375 30.946 Une victime des Taabes viron. territoire occupé, mais comme pays d'em- Mayenne 2.614 6.530 Nous signalions dans notre dernier nuLe moral des soldats allemands est ce pire. Meurthe-et-Moselle .... 23.816 59.54» méro que des avions allemands avaient qu'il est à peu près partout, c'est-à-dire Meuse 20.702 51.760 lancé des bombes sur Baccarat Morbihan 4.565 11.410 très bas. Leur opinion est que la guerre ne MILITAIRES Nièvre 5.048 peut durer longtemps maintenant vu la péAux familles des réformés n° S Nord (1) 14.673 36.680 nurie des aliments qui se fait sentir de 14.396 Nous avons déjà défini à plusieurs repri- Oise plus en plus. Le ravitaillement de la troupe laisse beaucoup à désirer et les rations ont ses les règles qui président au maintien de Orne Pas-de-Calais 114.369 285.930 été fortement diminuées depuis quelque l'allocation aux familles des militaires ré- Puy-de-Dôme 5.708 formés n° 2. temps. Les lettres que les soldats reçoivent Pyrénées (Basses) .... 4.492 3.730 Rappelons encore une fois que les ins- Pyrénées (Hautes) .... de leur famille- expriment toutes des plain5 468 13.660 tructions qui ont été adressées à maintes tes au sujet des difficultés de se procurer Pyrénées-Orientales .. 2 391 8.881 reprises aux préfets par le Ministre de l'In- Rhin (Haut) 709 1.606 des denrées alimentaires. 7 874 19.686 Il y a eu dernièrement un petit convoi de térieur stipulent que les allocations militai- Rhône 2.327 5.62© rapatriés. Ce convoi est arrivé à Annemasse res ne doivent être retirées aux familles des Saône (Hante) TA GUERBE DANS L 9.794 24.406 réformés n° 2 qu'après que ceux-ci auront Saône-et-Loire en date du 26 mai. Nous avons donné les Nos avions 2.831 7.086 noms des personnes qui le composaient retrouvé à leur retour dans leurs foyers, le Sarthe 2.840 7.10O Bans la nuit du 22 au 23 juin, une de nos dans notre numéro 89. Ces personnes salaire, le traitement ou, d'une façon géné- Savoie 2.310 5.806 escadrilles a bombardé les gares de Lon- étaient parties de Mailly le 25 mars, pour rale, la situation qu'ils avaient avant la Savoie (Haute) Seine 88.432 220.500 guyon et Audun-le-Roman. le camp de Rasstadt où elles sont restées [ guerre. ..... 13.6B1 34.136 internées jusqu'au 25 mai. Elles ont dû Aus familles des hommes versés dans Seine-et-Marne 6.478 16.200 l'auxiliaire et renvoyés dans Seine-et-Oise 14.568 36.420 verser une somme de 70 marks pour les leurs foyers' Sèvres (Deux) 1.918 4.790 De nombreux obus de gros calibre ont frais du voyage. Les différentes communiSomme ' 29.475 73.696 Ces familles doivent être traitées, au; cations que nous avons reçues de ces rapaété lancés causant à la gare de Longuyon ' " 8,970 triés insistent toutes sur la cordialité de point de vue du maintien de l'allocation Tara uu violent incendie. Tarn-et-Garonne 1.459 3.680 militaire, comme celles des réformés n° 2, l'accueil fait par les Suisses. Leur» exploits Var 1.990 4.980 [ suivant les instructions télégraphiques Une rapatriée nous écrit : « Je conserve les aviateurs boches Vaucluse 3.106 7.770 ont jetés des bombes sur Lunéville et Bac- un excellent souvenir de mon passage en 1 adressées aux Préfets par le Ministre de Vendée 2.040 5.100 carat, ceci dans la nuit du 24 au 25. Les Suisse et de l'accueil qui y est réservé à i l'Intérieur en date du 15 janvier 1916 et li- Vienne 1.881 4.630 nos prisonniers blessés ou malades qui y j bellées comme suit : Vienne (Haute) 1.778 4.488 dégâts matériels sont peu importants. 5.928 14.866 viennent séjourner. J'ai assisté à l'arrivée i « J'ai l'honneur de vous faire connaître Vosges 9.603 24.006 que mes instructions en date des 3 et 23 i Tonne Etat civil des Réîugié5 d'un train à Genève, c'était admirable. J'ai ! avril et 11 mai 1915, concernant le maintien été vraiment touchée de la sympathie renTotal ....... «.686 1.725.000 NAISSANCES contrée sur tout notre parcours en ce joli j des allocations aux familles des hommes Julien-Auguste, fils de Pizel (Eugène) et de pays. » I réformés n° 2 et mis en réforme temporaire, Lemey (Juliette), de Droitaumonfc à Nanterre, j doivent également s'appliquer aux familles BATILLY «lté Pennincq, rue des Fontaines (Seine), le j des hommes qui, à la suite de blessures de aux fonctionnaires retraités S juin 1916. Nous apprenons avec regret la mort de i guerre, ont été versés dans les services auxi- ! Mme Didier (Camille), née Clausset (Léonie), Périn, ancien instituteur, décédé le M. CHARPENTIER, député des Ardennes. \ liaires et renvoyés dans leurs foyers. » de Moineville (Beaumont) a mis au monde un 4 avril, dans sa 88" année. ayant demandé à M. le MINISTRE DE L'INTÉAux familles des cheminots fils à Cosnes en novembre 191b. M. Périn, qui avait été instituteur à RIEUR si un fonctionnaire en retraite des Mme Charue (Marie), de Moineville (BeauMoyeuvre-Petite et à Ranguevaux (Lor- j Par circulaire en date du 29 avril 1915, pays envahis peut bénéficier de l'allocation mont) a mis au monde une fille, .à Cosnes, raine) ainsi qu'à Ecueil (Marne), fut con- I le Ministre de l'Intérieur a fait connaître à aux réfugiés et, dans l'affirmative, quel est en avril 1916. duit à sa dernière demeure par un de ses ■ MM. les" préfets, qui en ont informé les le chiffre maximum de la pension fixant les DECES Veuve Itant, née Briet (Amélie), de Pont- anciens élèves, M. l'abbé Weylande, curé Commissions compétentes, que les familles limites pour l'attribution dé cet avantage. mère de l'Ii : rie] et ili< r de Vernéville (Lorraine) originaire de Ran- _ comme celles des agents de chemins de fer M. Malvy a répondu : à la Chambre de Commerce de Bar-le-Duc, ad- guevaux. j qui ne recevraient pas l'intégralité de trai« La situation des fonctionnaires en retraite joint au maire d'Etain, décédée à Nancy, le ! tement ou salaire de leur soutien mobilisé des pays envahis est examinée en tenant 7 juin. 1 peuvent être admises au bénéfice de la loi compte de la quotité de leur retraite, des resGuillaume (Michel), 82 ans, de Leyr, à sources dont ils disposent et des charges de du 5 août 1914. Nancy. famille qu'ils ont à supporter; lorsque cette j II appartient en conséquence aux ComFulpin (Eugénie), 71 ans, de Petitmont, à les nouvelles qui vous parviennent missions chargées de l'application de la loi retraite est insuffisante pour l»ur permettre Nancy. s d'examiner le cas d'espèce, et d'apprécier de subvenir à la subsistance de leur famille, Labbê (Narcisse), 74 ans, de Doncourt-Beudes pays envahis « 'M' bénéficie d'attribution d'allocation. » s'il y a lieu ou non d'accorder les indemveille, à Bar-le-Duc, 20, rue Exelmans, le 2 mai 1916. Elles intéressent tous les réfugiés • la loi. I (1) Fonds délégués au Préfet de la Somme. [ j j LA CORRESPONDAIS™ ; ij j LES ALLOCATIONS L'allocation des réfugiés COMMUNIQUEZ II) " BULLETIN " Liste des dons reçus m champ d'honneur en Belgique, courant notombé glorieusement en donnant à tous un vembre 1914. | bel exemple de courage, d'énergie et de méPierson (Georges-Jean-Baptiste), de CheDu 19 Avril au 15 Juin pris du danger. nière, sergent au 165e d'infanterie, mort pour! Nous serions reconnaissants à nos lec ès-sciences, le • sous-lieutenant la Patrie des suites de ses blessures à Ver-1 teurs et à nos valeureux soldats de nous y Docteur Af. Comte Molitor, 40, rue de Woh.gemuth avait quitté l'Université de Nanj communiquer les noms de nos compatriotes Monceau, Paris 5 »> dun, le 7 janvier 1915, à l'âge de 27 ans. ; en 1909, pour devenir préparateur de chicy Bazin (René), de Piennes, demeurait à Jœuf | de Meurthe-et-Moselle qui ont mérité la C M. Muller, 4, quai de Charente.Paris 1 » ni e mie organique à la Sorbonne. D était le fils épicerie Couruarote, soldat au 167 d'infaffJ Mme Vve J. Legris, 35, rue Saintcroix de la Légion d'honneur, la médaille d du regretté professeur de géologie et le beauAmbroise, Paris 80 » terie, mort au champ d'honneur à Saint-Remy ; frère de M. Mercier, chargé des conférences militaire ou une citation à l'ordre du jour, h (Meuse), le 23 septembre 1914. M. Fernarid Weill, 1, rue du Plâtre, de Nous adresser la copie textuelle de ces d " zoologie à la Faculté des Sciences de NanBlat, d'Homécourt, employé aux Usines de ! Paris 10 » c; e cycitations ou des motifs de distinction et la Marine, soldat au 167 d'ini., mort au champ M. Simonin, 30, avenue Montsouris, Marin (Louis), sous-lieutenant au 114e d inParis 80 » d'honneur, à Saint-Remy (Meuse), le 23 sep- i nous faire connaître le domicile en Meur- ^fanterie : officier énergique et plein d'allant. terubre 1914. the-et-Moselle de l'intéressé. ^ Af. Parison (Ernest), Vendeuvre-surA brillamment conduit sa section à l'assaut Crausac, de Nancy, caporal au 26e d'infanBarse (Aube) 2 » Nous ne pourrions tenir compte des des a tranchées ennemies, le 9 mai 1915, au terie, cité à l'ordre de l'armée, mort au champ communications non signées ou qui ne com- n Mme Lamy, 35, rue de Couroelles, nord d'Arras. A été très grièvement blessé le Paris 10 » d'honneur, le 27 octobre 1918. porteraient pas l'adresse de leur auteur. 111 mai, au cours d'un bombardement. Debus (Georges-Martial), de Nancy, lieuteMM. Hamburger, 362, rue Saint-HoLe lieutenant Marin, mort à la suite de ses e e noré, Paris 180 » nant au 114 d'infanterie, commandant la 2 blessures, était originaire de Blâmont et était compagnie de mitrailleuses, décoré de la croix Sté des Forges de Chatillon-Comli le neveu du général Marin, décédé à Nice, il y Chevalier mentry et Neuves-Maisons, Paris 1.000 » de guerre, tombé au champ d'honneur le 8 mai a deux ans. 1916 et décédé le 15, des suites de ses blesM. Ernest Vilgrain, Paris 80 » M. Forfer, de Briey, lieutenant-mitrailleur Lapointe (Louis), de Nancy, soldat de 2e sures à l'âge de 27 ans. M. Mourot, 48, rue Gambetta, Ramau 16e bataillon de chasseurs à pied, a été dé- cclasse à la 5e Cie du 26e d'infanterie : rempli Bastion (Charles), chef d'expédition à la Socoré de la Croix de la Légion d'honneur, de la d bouillet 1 » d'entrain et de bravoure, faisant l'a(lmiration ciété lorraine de Lunéville, premier conducteur médaille militaire et de la Croix de guerre. Mme E. Spire, 60, rue Saint-Lazare, dde tous ses camarades par sa crânerie. S'est e e Fuzellier (Fernand), capitaine au 37 d'infan- élancé, é Paris 8 » automobiliste ^u 13 d'artillerie, mort pour la le 9 mai 1918, à l'attaque des tranFrance, le 6 niai 1916, à l'âge de 38 ans. terie : officier d'une bravoure et d'un entrain c Dons divers contenus dans le tronc chées allemandes, entraînant les hommes que Corrard (François), de Nancy, fils de l'insremarquables.. A contribué à la conservation i< de la permanence 40 » les circonstances avaient placés sous ses orpecteur-adjoint des forêts en retraite, sous- d'un point d'appui important en exécutant d Mme Vve J. Legris, 38, rue Saintdres. Est tombé sur des fils de fer, le bras e lieutenant au 56 d'infantarie, décoré de la .avec la plus grande intelligence des reconnais- tendu t, Ambroise, Paris 80 » en avant pour inciter ses hommes à croix de guerre, mort pour la France, le 28 sances très difficiles. Blessé le 10 octobre 1914 ne Mme Lévy Marx, 8, rue de la Paix, D pas s'arrêter dans leur élan. et cité à l'ordre. Paris 50 » mai 1916 à l'âge de 20 ans. Joba (Charles), fils de l'Intendant militaire Heitsmann (Ernest), de Nancy, soldat de Ie Le capitaine Fuzellier, originaire de Gespon- bien connu à Nancy, capitaine au 360e d'inSociété Amicale des Lorrains de e d'infanterie, cité à l'ordre du réclasse au 79 sart (Ardennes), fut successivement sous-lieuf Meurthe-et-Moselle, 28, r. Boissyfanterie : pendant la période des combats du ; e il 21 2 mars au 4 avril 1916, a maintenu sa comd'Anglas, Paris 180 » giment, décoré de là croix de guerre, mort tenant puis lieutenant au 69 d'infanterie, e au champ d'honneur le 29 mai 1916, à l'âge passa ensuite comme capitaine au 153 à Toul, pagnie p Mme Wurnser, 2, rue de Bourgosous un bombardement des plus inpour revenir bientôt au 37e. Toute sa carrière ttenses, et, malgré les lourdes pertes subies, gne, Paris 20 » de 31 ans. Goetz (Ernest-Paul-Emile), de Lunéville, militaire s'est déroulée, pour ainsi dire, a a M. Cadiot, 3, quai de la Marne, a repoussé, le 2 avril, une attaque allemande e j Alfort 100 » chasseur à pied au 2 bataillon, mort pour la Nancy où il s'est, du reste, marié et où habite particulièrement violente, maintenant en tout sa famille. France à l'âge de 27 ans. Deux Messines 10 » point sa position intacte. H avait déjà mérité les citations suivantes : Bêcher (Henri-Paul-Antoine-Georges), de LuDeux des frères du titulaire de cette cita1° Le 6 octobre 1915, à l'ordre de la divi- tion, t néville, soldat au 146e d'infanterie, mort au les capitaines Lucien Joba, du 8e chassion : a fait preuve de la plus grande bravoure sseurs, et Henri Joba, du 2e tirailleurs algéchamp d'honneur à l'âge de 17 ans. Gungel (Alphonse), de Lunéville, canonnier en enlevant avec sa ' compagnie le premier riens, T sont tombés héroïquement au champ e Renseignements communiqué® par les fa- au 13 d'artillerie, mort pour la France, à l'âge objectif, s'y est maintenu avec une poignée ^d'honneu. d'hommes malgré un feu violent et a ainsi de 34 ans. milles : Le 69e régiment d'infanterie : a assuré, * permis l'occupation définitive de ce point. * ». asous la direction de son chef provisoire, le On nous prie d'insérer : Originaires de LUNÉVILLE morts pour la i 2° Le 22 octobre 1915, à l'ordre de la hri- ^commandant Navel, et grâce à l'abnégation et « Nous apprenons avec regret la mort au gade : 2o 12e compagnie du 37e d'infanterie : à$ l'esprit de sacrifice de tout son personnel la champ d'honneur de l'un de nos jeunes com- France : sous le commandement du capitaine Fuzellier, défense 8 Antoine (Charles), sous-lieutenant au... c d'un secteur particulièrement exposé patriotes, Marcel Dudot, étudiant en pharmas'est brillamment élancée à l'attaque. Ayant saux attaques de l'ennemi. A exécuté contre , cie dont la famille habitait Chambley. Ancien d'infanterie. perdu 2 officiers et plus de la moitié de son i Hatton (François-Emile), 39 ans, soldat au l'assaillant une série de brillantes contre- atélève du Collège de la Malgrange où il fit ses e effectif, a réussi, isolée pendant plus de 24 ttaques, dans lesquelles la moitié des hommes études, il fut toujours pour ses camarades ... d'infanterie. Déchap (Eugène-Louis-Auguste-Jules-Phul- heures, à se-maintenir sur le terrain conquis in'avaient comme armes de choc que des pell'ami dévoué. ]les et des pioches, les fusils, les baïonnettes « Lorsque sonna la mobilisation, il faisait Charles), 35 ans, sous-lieutenant au ...e d'in- et l'a définitivement conservé. et les mitrailleuses ayant été démolis par le son stage; bien que n'étant tenu à aucune obli- fanterie. Martig (Frédéric), 19 ans, soldat au...e d'inj bombardement. gation militaire, il s'engagea. Martinot (Jules), d'HannonviHe-au-Passage, J fanterie. j A largement, contribué par sa superbe te« Sur sa demande, il partit sur le front. e Nicolas (Edouard-Théodore), 84 ans, méde- ! adjudant-chef au 16 d'infanterie : Vaillant '; jnue au feu, à limiter et à arrêter les progrès « Le 1er juin dernier, un éclat d'obus vint sous-officier qui a eu une très belle attitude -j (de l'ennemi. e le frapper à la jambe. Il subit l'amputation de cin principal de 2 classe. Iochem (Joseph), 35 ans, soldat au...e d'in- en toutes circonstances. Au cours de l'attaqueIIS Le 79e régiment d'infanterie : sous le comce membre mais le 13 juin, la gangrène l'emdu 15 mars 1916 a entraîné ses hommes à l'as- j fanterie. portait. mandement du lieutenant-colonel Pétin, a ensaut avec le plus grand courage, atteint de trois ] levé à l'ennemi, d'un élan magnifique, plus « Il rendit son âme à Dieu dans les bras balles n'a cessé pendant qu'on le pansait de1 , de 2 kilomètres de terrain, en pénétrant dans d'un aumônier sans avoir eu la suprême cons'intéresser à l'attaque et de demander si la1 , une position fortifiée, malgré des feux de solation d'embrasser les siens, rapatriés depuis NOS DOUANIERS progression continuait. Avait déjà été blessé j un an et réfugiés 35, rue du Bief, à Vichy. » '• flanc meurtriers ; s'y est maintenu plndant {suite) en janvier 1915. , * *. M. Martinot a été nommé sous-lieutenant le ,quinze jours en continuant à progresser, sous Fuchs, de Nancy, fils du fabricant de bijou26 mars, et a reçu la Croix de guerre avec[! jde très vifs bombardements, et a rejeté, en Morts an Champ d'Honneur terie, caporal à la 5e Cie, du 26e d'infanterie, infligeant à l'ennemi de lourdes pertes, une palme le 29 avril 1916. cité à l'ordre de l'armée, mort au champ d'honOnt été tués glorieusement dans la région La famille Martinot a donné cinq soldats à1 jviolente attaque dirigée sur son front et ses neur, le 25 août 1914. de Verdun (combats de fin mai) : la France : l'aîné Emile, au 166e d'infanterie, jflancs par des forces très supérieures en nomBonaventure (Eugène), employé de commerce Taillard, douanier à Jœuf, caporal au 294e le second Auguste, caporal au 4* génie, le troi-1 hre. e e e à Nancy, caporal à la 18 Cie du 269° d'in- d'infanterie. • sième Edouard, au 16e bataillon de chasseurs • Le groupe des 7 et 9 batteries de 78, du fanterie, cité à l'ordre de la brigade, mort au Bonnet, douanier à Jœuf, caporal au 354* à pied, a été tué en Belgique au mois de no-1 J39* d'artillerie : sous les ordres du chef d'eed'infanterie. champ d'honneur le 2 avril 1916. vembre 1914, enfin le cinquième Eugène, est" cadron Georges, tué le 25 septembre 1918, du Morin, douanier à Doncourt-les-Conflans, ca- au 44e d'artillerie comme auxiliaire des suites (capitaine Leeointre, tué le 26, et du capitaine François (Alfred), né à Norroy-le-Sec (a demeuré à Arnoux et Jœuf), caporal au 3* régi- poral au 350e d'infanterie. d'une blessure très grave reçue en août 1914,1' !Tlaugel, après avoirpréparé très efficacement ment mixte de zouaves, blessé face à l'ennemi, l'attaque du 28 septembre, s'est .audacieusealors qu'il était au 166e d'infanterie. Cités à l'ordre du jour le 21 mai 1916 et décédé des suites de sa blesment porté en avant, aux allures vives et en sure le 2 juin à l'hôpital de Chatillon-surterrain découvert, pour suivre l'infanterie A L'ORDRE DE LA DIVISION Seine, à l'âge de 24 ans. Appelé de la classe dans sa progression, et s'est maintenu à proTheillet (André), douanier à Batilly, caporal A ordre de l'Armée 1912, au 4" zouaves à Bizerte, M. François au 294° d'infanterie, 20e Compagnie": Caporal ximité des lignes ennemies, dans une position Marcot (François), de Nancy, maréchal dess <où il a subi de violents bombardements sans était passé au 1er de l'arme en décembre 1913. brave et énergique, s'est porté à l'extrême logis, pilote à l'escadrille C-61 : Quoique i Il avait fait la campagne du Maroc et était re- droite du régiment et a contribué avec son e que son activité ni la précision de son tir en venu en France à la déclaration de guerre. escouade de grenadiers à repousser une très jeune pilote s'est montré d'un courage ett isoient influencées. Nommé caporal sur le champ de bataille il fut forte attaque qui essayait de déborder notre d'un sang-froid dignes de tous éloges. A priss Dans cette citation collective sont compris, blessé le 11 mai 1915 à Poperinghe (Belgique) ligne. M. Theillet a en même temps été promu part le 14 décembre 1915 à une opération dee ile maréchal des logis Drentel (Henri), de la 9e et passa du 9e au 3e zouaves dans les rangs sergent, il avait déjà mérité une première cita- bombardement particulièrement difficile. Tombé5 batterie, bien connu à Nancy parmi les traau cours d'un combat avec un avion ennemi.. vaiïleurs du livre et le canonnier Danon (Mauduquel il trouva une mort glorieuse. tion à l'ordre du régiment dans les termes Notre compatriote F. Marcot avait déjà étéê rice), : Bize (Albert), de Nancy, adjudant au 4e ba- suivants : Caporal courageux; s'est porté avec de la même batterie, nanoéen égaletaillon de chasseurs à pied, mort au champ une demi-section renforcer une Compagnie en cité à l'ordre de la division dans les termes3 :ment. d'honneur, le 1er mars 1916, à l'âge de 26 ans. danger et a combattu sous un violent feu d'in- suivants : sous-officier remarquable d'entrain, Mailfert (René-Camiue), de Pont-à-Mousson, d'énergie et de sang-froid ; l'a particulièreV Dory (Paul), de Pont-à-Mousson, mort au fanterie et d'artillerie ennemies. " lieutenant, commandant là 6e batterie du 12e ment montré le 22 novembre 1914, en mainchamp d'honneur en Champagne, le 26 sepBaudron (Léon-René), sous-brigadier des tenant ses pièces à découvert, sous un tir ré- d'artillerie de campagne : commande sa battembre 1915, à l'âge de 37 ans. douanes, à Pagny-sur-Moselle, sergent au 358e ■ ,terie avec une grande fermeté. Très belle atDory (Auguste), de Pont-à-Mousson, frère du d'infanterie : Sous-officier énergique. Dans un glé de l'artillerie ennemie. Michaut (Paul), de Baccarat, lieutenant des ,titude au feu, aux combats de mars 1916, a précédent, décoré de la médaille militaire et de ! moment critique, se trouvant isolé de sa Compuissamment à repousser plusieurs d'infanterie : s'est jeté en contribué , la croix de guerre avec palme, mort des suites j pagnie par le bombardement a rassemblé le réserve au ..." ennemies par la précision et l'oppor- compagnie pour l'entraîner à attaques avant de sa ' Je ses blessures reçues au champ d'honneur, ' reste de sa troupe à travers un tir de barrage * tunité de ses tirs. l'assaut d'une lisière de bois qu'il avait reçu1 le 9 juin 1916, à l'âge de 39 ans. d'une extrême violence. Schneider (Roger), de Mars-la-Tour, caporal l'ordre de dégager et est tombé mortellement 1 , Charpentier (Jean), de Villerupt, soldat au au 21e d'infanterie : le 10 mars 1916, sous un A L'ORDRE DE LA BRIGADE frappé au milieu de la ligne ennemie dans un ] 1 45" territorial, mort au service de la Patrie, à bombardement violent, s'est offert spontanéFrançois (Charles), douanier à Auboué, ser- corps à corps sous bois. l'âge de 40 ans, à Nantes. ment pour porter un pli au colonel commane A l'ordre dn corps d'armée i Manslard (Paul), de Gorey, soldat au 48e ter- gent au 294 d'infanetrie : Au cours des comdant la brigade. Malgré le danger est allé enbats, est resté avec les guetteurs dans la tranCardinal (Louis de Jœuf), soldat infirmier : ritorial, mort au service de la Patrie à l'âge p suite porter secours à des hommes ensevelis re e chée de l ligne pendant le bombardement au 168 d'infanterie : Pendant un bombarde; de 46 ans, à Nantes. - sous un abri. et les a maintenus à leur poste. A refoulé une ment violent et continu d'un village a proLeguet (Emile), de Jœuf-Francbepré (père de Weiss (Pierre), de Nancy, lieutenant-avia1 six enfants), mort au service de la Patrie, reconnaissance ennemie et fait un prisonnier. digué pendant trois jours et trois nuits ses3 teur : officier plein d'entrain, pilote habile et < victime d'un accident du travail, à Nantes, A accompagné et dirigé les volontaires qui soins aux blessés, et assuré l'évacuation de5 courageux. Le 21 février, au cours d'un résont aUés chercher les corps des officiers et cinquante d'entre eux. | dans sa 45° année. e glage, s'est résolument porté au secours d'un e sous-officiers tombés entre les lignes. Bonneau, de Nancy, chef de bataillon au ... ( 8 Pierret (Lucien), de Mance, mobilisé au 151 isolé attaqué à quelques kilomètres M. François (Charles) a été promu adjudant d'infanterie : officier d'un rare sang-froid' ett camarade (de lui par cinq aviatiks. d'infanterie, mort pour la France en août 1914. au même régiment. d'un courage éprouvé. Homme de devoir, touWinckel (Lucien), de Mance, au 16° chasPécastaing (Emile), douanier à Onville, ca- jours en première ligne et aux points les plus i Le 26 février, au cours d'une reconnaisseurs à pied, mort pour la France, en octobre e e poral au 294 d'infanterie, 20 Compagnie : Ca- dangereux, soutenant le moral de sa troupe,5 j ]sance d'escadrille à l'arrière des lignes alle. j: mandes, a eu pour la troisième fois son ap1914.» t ] Favier (Louis), de Mance, au 16» chasseurs poral courageux. A amené la liaison avec un Engagé dans un combat dans un secteur trèss j pareil traversé. Un obus explosif le cribla de régiment voisin sous un violent bombardeexposé, a su résister à toutes les attaques '' ideux cents éclats et coupa les commandes à pied, mort pour la France en octobre 1914. i ment, pendant les combats sous V... e particulièrement violentes de l'ennemi et con- j Obélianne (Louis), de Mance, au 16 chasM. Pécastaing a été promu sergent à la server ses positions du 3 au 10 mars 1916, date- igauches de stabilisation. Le lieutenant Weis seurs à pied, mort pour la France en février ! continua sa mission et rejoignit le gros de. suite de cette citation. à laquelle il a été relevé. s '! son escadriHe. » 1915 Bien connu dans les milieux de l'industrie Pariselle (Maurice), de Dampvitoux, élève de (René), de Nancy, médecin aide-maior du bois, le commandant Bonneau avait été| j ( Weill re e l'école normale d'instituteurs de Nancy, solNOS BLESSÉS^ avec le grade de capitaine, affecté à la mobi-'jj de l classe au 39 d'artillerie : dat au 37» d'infanterie, mort pour la Patrie, -, Médecin d'un dévouement éprouvé, très couRenaud (Paul), instituteur à Mars-lalisation au service d'Etat-major chargé de la h le 17 juin 1916, dans sa 19e année (M. Pane i S! rageux, se portant aux points les plus exposés Tour, sous-lieutenant au 330 d'infanterie, défense d'un secteur d'une. de nos grandes i selle était le beau-frère de M. A. Mauer, inss spour être à même de donner plus rapidement tituteur à Pont-à-Mousson, actuellement pri- vient d'être blessé par un éclat d'obus à places fortes de l'Est. Wohlgemuth (Henri), sous-lieutenant *>• !j ises soins aux blessés. Le 20 août 1914, il se l'épaule droite. II est en traitement à l'hôsonnier de guerre). e ■ imaintint toute la journée sous le feu ennemi 26 d'infanterie : a enlevé vigoureusement Martinot (Edouard), d'Hannonville-au-Pas- pital Terminus à Vittel. Cette blessure son unité en s'élançant à l'attaque d'une posi-. irecueillant des blessés de toutes armes, qu'il sage, chasseur à pied au 16» bataillon, mort n'aura pas de suites fâcheuses. tion ennemie hérissée de mitrailleuses et est; mands. irefusa d'abandonner à l'approche des Alle- NOS HÉROS \lI Légion d'Houueur NOS MORTS GLORIEUX Médaille Militaire \ Citations J i BULLETIN PB MEURTHB ET Robinson (Joseph), de Nancy, soldat au 76" territorial d'infanterie, G. V. G., section G. : Lors d'un bombardement, s'est offert spontanément comme volontaire pour accomplir une mission périlleuse, a été blessé dans 1 accomplissement de cette mission. Très bon soldat. (Croix de guerre avec étoile en vermeil.) A l'ordre de la division Beutzen (Théophile-Léon), de Mont-Saint Martin, maréchal des logis, au 39* artillerie, 106° batterie de 58 : Chef de section à la demi batterie divisionnaire de canons de 58 de tranchée, a fait preuve le lor juillet 1915, de beaucoup de courage et de sang-froid; pris sous un feu violent de l'ennemi a continué à tirer avec énergie, a eu un canon enseveli, et a été grièvement blessé. Bémer (Louis), d'Herserange, sous-lieutenant au 120e d'artillerie, 31e batterie : Dans les combats, lors d'uti bombardement, un obus de 150 étant tombé sur la plateforme d'une de ses pièces sans éclater, a pris lui-même dans ses bras le projectile dont le déplacement s'imposait et l'a transporté hors de la batterie. A écarté ainsi de ses hommes un grave danger dont il a assumé tous les risques. Schmitt (Alexandre), de Jœuf, soldat au 85e d'infanterie, 12e Cie : Soldat courageux et dévoué. Le 25 février 1916 est demeuré en observation en avant des lignes sous un feu violent. (Croix de guerre.) MOSBLLR | née Anne 48 ans et leurs enfants Henri 20 ans, 1 7ve Jans (née Cristine Borvoy) — Nanterre, Pierre 18 ans, Louis 16 ans, Louise 14 ans, 1 ,46, route de Paris (Seine). Charles 11 ans, Jeanne 9 ans, Paul 7 ans, par l iusé (née Augustine Jans, Emilienne) — NanAVIS terre, 46, route de Paris (Seine). Coquard, 6e artillerie à pied, 6e Pour des raisons d'ordre militaire, il ne noua ; M. Auguste e batterie. groupe, 23 j 1 ,offel (née Catherine Jans, Germaine, Marie, i est pas possible de faire figurer dans notre Madeleine) — Nanterre, 46, route de Paris. THIL Bulletin, les adresses des soldats d'une façon ) Afme Soumeillard-Wéry, par M. Wéry (Paul) 1 've Alexandre Bussy (née Adèle Perrin) — Paplus précise. e rie, 20, rue Beautreillis. Si l'indication est insuffisante, écrire à notre . 67* de ligne, 27 Cie. UGNY 1 've François (née Marie Helluy, Louise, René) permanence qui conserve les adresses complè— Paris (19e), 20, rue d'Aubervilliers. i tes des demandeurs, en indiquant la commune ' Af. Cornus (Prosper), par sou père M. Camus ! sous le titre de laquelle figure la demande et Léon), 4îie terr. Ecrire à Mme Forgeot Miram- ) empfer (iîerthe) — De la Valette (Isère). beau, à Anglet (Basses-Pyrénées). Il fargeot (Claude, Anna née Kiefer, Robert, la date du numéro du Bulletin. VILLERUPT René) —- Montluçon (Allier). Afme Wasmer née Louise Brechler 27 ans, il lahé (Marguerite, Jean, Andrée) — Montluçon Les insertions paraissant sous cette rubrique sout gratuites pour les abonnés et les mili- ses 2 enfants Fernand 7 ans, Raymond 5 ans, j (Allier). Mme Vve Wasmer née Marie Thibessard, 56 ( il lénager (Marguerite) — Epernay (Marne), 51, taires (sous-officiers, caporaux et soldats). Pour les autres personnes, le prix en est fixé ans et la fille de celle-ci Angèle Wasmer, 24 | rue des Huguenots. MAIDIERES ans, par M. Wasmer (Ferdinand), 9* génie, [ i un franc. » Cie 25/3. j / \ntoine (Félix, Maria, René, Louise) — Asniè» » Afme Vagner née Marrotte, ses enfants Su- J res, 1, rue du Château. Tous les noms des personnes recherchées ;.ar nos soins sont transmis à notre Bureau îanne 8 ans, René 5 ans, Jules 2 ans, Afme ! ( Wolbois (Charles, Paul) — Monteux (Vaucluse). l Annemasse aiusi que les adresses de celles Vve Vagner (Michel) et Mme Collignon (Adol- ( Zhéry (Eugène) — Marzan (Vaucluse). phe), née Eugénie Vagner 30 ans et la fille ■ ( ïhateau (Renée) — Sarrians (Vaucluse). jui les recherchent. Andrée. 4 ans, par M. Vagner (Va- ( ïuillère (Auguste) — Monteux (Vaucluse). En cas de rapatriement, elles seraient donc de celle-ci e prévenues dès leur arrivée en France, qu'elles lentin, 9 rég. de génie, C^e 25/2, détachement I )egrotte (Joseph. Alexis) — Monteux (Vaucluse) . -ont l'objet de recherches et pourraient ainsi spécial. i 'eanmaire (Alfred) — Monteux (Vaucluse). donner de leurs nouvelles immédiatement. " ADRESSES * rhomas (Tassin) — Cluny (Saône-et-Loire), « » — M. Saint-Vanne (Remy), de Longuyon, rue de la Liberté. Il est de la plus haute importance que les e d'infanterie, 23e Cie, S. P. 161. 354 MALLAVILLERS iemandeurs nous avisent de leurs change— Capitaine et Mme Paul Souville, de ( ïazin (Céline) — Neuvey-sur-Ouche (Côte-d'Or). ments successifs d'adresse en rappelant touMARS-LA-TOUR jours dans ces avis, les noms, prénoms et do- Villerupt-Micheville, 62, rue Saint-BarthéA l'ordre de la brigade micile et Meurthe-et-Moselle des personnes re- lémy, à Melun (Seine-et-Marne). J Tlorentin (née Julienne Léger) — Le Champ Dommange (Jules), de Mont-ISaint-Martin, , cherchées. par Froyes (Isère). canonnier au 8e d'artillerie à pied, 34e batteTlorentin (Léopold, Bertine, Joseph) — Le 1 rie : S'est acquitté avec opiniâtreté et grand Champ par Froves (Isère). PRffiRE INSTANTE à toutes personnes de courage, durant les bombardements ennemis :onner renseignements, quels qu'ils soient, sur MÀZERULLES du 20 au 28 février, de la réparation des li- ^Ummard (Maurice), sergent au 31' infanterie, îofein (Emile, Appoline) — Bouqueval (S.-etJuin gnes téléphoniques. Donne l'exemp.e du sang- r Compagnie, classe 1911, n° Mie 3861. — Oise) par le Ménil-Aubry. froid et de l'énergie. A été légèrement blessé le Blessé et disparu le 24 août 1914 à Noërs, près HAYANGE MENILLOT 24 février, en réparant une ligne sous le feu. i.onguyon. La famille n'ayant aucune nouvelle Amet (Rosalie née Guermann, Pierre 16 ans, ( Zroquin (Anne) — Sergines (Yonne). Bajolet (Hervé), de Pomèvre-sur-Vezouze, ca- lepuis cette date. Ecrire & M. Gaumard, 15, Alfred 14 ans. Renée 6 ans — Belleville-surMERCY-LE-BAS poral au 276e d'infanterie, 18e Cie : Caporal rue de la Liberté, à Vincennes (Seine). Saône, 122, rue de la République. ! \ Ifichel (née Marie Chbppée, Marcel, Andrée) — très actif et très courageux. Volontaire pour Bourguignon (Constance née Paquit, 41 ans) — ; Carpentras (Vaucluse). PRIERE INSTANTE à toutes personnes de les missions dangereuses, s'est montré très Château-Rouge, maison Durand, Annemasse. j \T MOINEVILLE donner renseignements quels qu'ils soient sur dévoué pendant la préparation de l'attaque du Clévenot (Clémence née Léonard, 35 ans, Marie j laudy (Paul) — Paris, 38, rue d'Aboukir. Thiéry (Augustin-Amédée), chasseur à pied au 25 avril 1916, notamment comme patrouilleur 12 ans, Lucie 8 ans, Yvonne 3 ans) — AnneMON'TAUVILLE 18e bataillon, 3e Cie, classe 1907, disparu le volontaire. (Croix de guerre,avec palme.) masse, route de Genève, maison Ducoing. ', juillut (Justin, Françoise née. Cornette, Marie. Souville (Gaston-Auguste-Paul), de Villerupt, 3 mars 1915 dans une charge à la baïonnette Guerchoux (Marie née Lefondeur, 42 ans, Jus- j Aline, André) — Paris, 7, rue du Poteau. capitaine au 83e artillerie lourde, lre batterie : sur la cote 196, combat de Mesnil-les-Hurlus. tine 14 ans, Marguerite 12 ans, Jeanne 5 ans) { jollière (née Marie Mayer, André-Jean) — EauOfficier de complément, remplissant les fonc- Aucune nouveUe depuis cette date : Ecrire : — Annemasse, rue de Genève, maison Du- ; bonne (S.-et-Oise). Mme Clébrote, 9, rue Marianne-Colombier, Ba1 tions de commandant de batterie avec le sacoing. lollet (Maurice) — Eaubonne (Seine-et-Oise). gnolet (Seine). voir d'un officier de carrière, possédant un Guerchoux (Marguerite née Flisse, 31 ans, Ma- , MONTIGNY-SUR-CHTERS M. Rupertus (Adam), résidant à la mobilisang-froid remarquable. Sur le front de V... rie 8 ans, Yvonne 6 ans) — Annemasse, mai- 1 Maréchal (née Célina Habay, Pauline, Jean, M^par son fils Léon, depuis le 2 avril 1916, a su au cours d'une sation à Athus (Belgique), son Durand. i rie, Edouard) — Salsignes (Aude). e période de 2 mois de combats, donner l'exem- téléphoniste au 166 d'infanterie C. H. R. par Ponsin (Marie née Jonquard, 42 ans) — Nancy, j MONT-SUR-MEURTRE B. C. M. ple du courage, et en particulier pendant les rue Jean-Lamour, 41. chez M. René Ponsin. ; Louis (Jean) — Fpinal (Vosges), 16, rue des ABBEVILLE attaques de la fin du mois de mai, maintenir METZ Nuivimes. Af. Beaurin (Eugène), 50 ans, maréchal-fer- Blatmann (Eugénie née Fircr, 3r> ans) — Anet diriger sa batterie sous lè feu le plus vioMONT-SAINT-MARTIN rant, sa femme née Joséphine Sallerin, par lent de l'artillerie lourde adverse. nemasse provisoirement hôtel Gay. Destremont (Marie, Lucien, André) — LevalM. Beaurin (Marius), 59e artillerie, 12* batteGUEBENHAUSEN A l'Ordre du régiment ou bataillon lois-Perret, 18, rue Mussard. rie, et par M. Beaurin (Fernand), brigadier Blond (Germaine, 18 ans) — Annemasse, proirnould (Emile) — Paris, 5, rue de l'Avre. Caquard (Lucien), de Domprix, 2e canonnier- maréchal, 59* artillerie, 12* batterie. visoirement. Berdonnier (Gabrielle, Elvina, Gaston) —• BonBEU VEILLE servant au 61e_d 'artillerie, 3e batterie : Remplit Ditsch (Jean-Pierre, 65 ans) — Pantin (Seine), j dy, 36 bis, rue de Paris. les fonctions de brancardier depuis le début Veuve Chaudeux, née Marie-Thérèse Reny, 22. rue Sainte-Marguerite. Gœury (née Marie Veyrie, Elise, Léon) — ÀUde la campagne avec courage et dévouement Mme Kinsinzer., née Odile Chaudeux, par M ROSSELANGE bervillers, 125, rue de la Haie-Coq. sous les feux les plus violents. Belle attitude Lucien Chaudeux, 2* escadron train des équi- Delarsus (Léonie née Rousselot, 58 ans) — Marquet (née Marie Mary, Jacques) — Paris, au feu, en particulier sous Ypres, au mois de pages, 9e Cie, B 69. Nancy, rue de Maréville, chez M. Hocquard. 42, rue Saint-Jacques. décembre 1914. (Croix de guerre.) BRIEY ALBERSCHWEILER Thierry (Gaston), de Serrouville, 1er canonMme Gérardin (Louis), née Léonie Turcq, Gérard (Rosalie née Heitz, 54 ans) — Nancy, Grasset (Paul, Marie-Odile née Erroxj) — Villefranche-sur-Saône. nier-servant au 61° d'artillerie, 4e batterie : son fils André, par M. Gérardin (Louis), 6e barue Pasteur, 27. Perlerin (née Mëlina Violette, Jeanne, Leone, Très bon servant, très dévoué, très courageux, taillon de C. 0. A. Ambulance 1/12. BASST près SAINT-AVOLD_ Marcelle) — Paris, 78, rue de L'Ouroq. à la batterie de tir depuis le début de la camCONFLANS Verschneidcr (Madeleine, 65 ans, Annie 26 ans, Migeon (née Marie Gillet, René, Suzanne, Paupagne, a donné en maintes circonstances, et Mme Legris-Jobas, ses 5 enfants Léonie 14 Anna 67 ans) — Enghien-les-Bains (Seinelette) — Ormay par Brieron (Yonne). notamment au cours des attaques de septem- ans, Lucie 11 ans, Alice 8 ans, Lucien 6 ans. et-Oise), chez M. Grackel. MOUAVILLE bre 1915, l'exemple de la tenue, de la disci- Berthe 3 ans, sa mère Mme Jobas, née MaDoistf (Léon) — La Fermeté (Nièvre). thilde Drouine, par M. Legris (Alexis-Nicolas), pline et du courage sous le feu. (A suivre) Jean (René), soldat de lre classe au ..." d'in- chez M. Guy, marchand de chevaux à Choignesfanterie, téléphoniste : Soldat consciencieux et le-Haut par Chaumont (Haute-Marne). FERMONT-MONTIGNY dévoué qui a fait preuve de beaucoup de bra-, M. Morin, mécanicien, par M. Bagage (Léon). voure et d'énergie pour assurer les liaisons téléphoniques pendant les opérations, circulant 100e infanterie, 25° Cie. anciens ouvriers non mobilisés GORCY sans cesse de jour et de nuit, sans se soucier 16e liste arrêtée an 1« juin 1916 Monsieur Linot et Famille, par M. Henry des Sociétés du danger, sur les lignes constamment coupées par un bombardement violent et inces- (A.), à Nanterre (Seine), rue du Chemin-de-Fer. Afin de nous permettra de tenir constamDES ACIERIES DE LONGWY 76. sant. ment nos fiches h jour, nous prions ceux de HERSERANGE Ce brave soldat est actuellement en traitenos réfugiés qui changent d'adresse, de vouET MÉTALLURGIQUE DE GORCY Af. Godalier, sa femme, par M. Godalier, 22e loir bien nous en informer en nous reppelant ment à l'hôpital 107, à Nancy. Le père, ancien sont priés de se faire inscrire sapeur-pompier de Nancy, a été grièvement C. O. A. d^ns leur lettre leur domicile en Meurthe-etHOMECOURT Moselle. blessé dans un incendie. 35, BOULEVARD HAUSSMANN Famille Krémcr, par M. Rouyer (Maurice), Dengler (Eugène), maréchal des logis à la LONGWY 23* batterie du 8e d'artillerie : chef de pièce blessé à Verdun, hôpital auxiliaire n° 13 Sibourg (Louis, Adèle née Vilvence, Edouard, PARIS M, Orel (Roger), garçon boucher 30 ans, sa consciencieux et dévoué. Le 24 mars, a su Félicie, Charlotte, Henri, Robert) — Levallois-Perret, 221, rue des Arts. maintenir le bon ordre dans sa'pièce, soumise femme née Asser, par M. Orel (Gaston), 1er baPalette (Félicie née Perrin, Pierre, Fernand) — à un intense bombardement d'obus de gros taillon de chasseurs, 1er léger. R0SEE~ JŒUF Bondy, 36, rue de Paris. calibre. Le caisson ayant été enlevé par un Mme Viardot, son fils André 15 ans, par Hanrion (Marie, Alice) — Chalabre (Aude). obus, le tir a continué. BORDELAISE L'intrépide maréchal des logis est le neveu M. Viardot (Alphonse), soldat au 6e génie en Lassange (Paul, Emilie née Roland, Paulette, subsistance a l'ambulance 4/70. Emile) — Xertigny (Vosges). de M. Kiffer, des Deux Hémisphères à Nancy. Afme Kuchler, ses enfants, par M. Kuchier Beliion (née. Hermine Marigny) — Bar-surSon frère, Charles Dengler, sergent au 26e, a S fr. pour 120 litres Aube, 6, boulevard Victor-Hugo. été rapatrié comme grand blessé. Il est mé- (Jean), à Decazeville (Aveyron). Dose d'essai contre 1 fr. 50 pour Afme Vve Fénot née Echelin, par M. Fénot Sert (Léonie, Paul) — Betcave (Gers). daillé militaire avec croix de guerre. 20 litres, franco domicile. Schaal (Ernest, Suzanne née Gallon, Andrée) — Rolle (Julien), de Reherrey, caporal au ..." (Emile), 4e hussards, 5e escadron. LONGWY Tours, 27, rue Gohier (Indre-et-Loire). d'infanterie : Gradé très énergique. Légèrement blessé à la main par éclat d'obus, est néan- ' Mme Maré et sa fille Marie, par M. Godalier. Hella (née Françoise Chevanne, Marcelle, Cécile) — Paris, 12, rue Fenoux. moins resté pendant un bombardement très 22* C. O. A. ai tô\iO â.UL Landy, 31. MANCE Remy (Eugène) — Le Dorât (Haute-Vienne). violent de 5 heures dans la tranchée de lre liGLIGHY (Seine) Mme Herbin, née Lucie Vitré, M. Herbin Coutan (Eugène) — Mas-d'Auvignon (Gers). gne encourageant ses guetteurs le 13 février. e (Louis) père, par M. Herbin (Sébastien), 366 Canon (Louise) — Duran (Gers). 3wI-A.Gr^.SI3SrS rég., 19e Cie, 1™ section. Calviac (Nicolas, Jeanne, Marie et Albert) — MONT-SAINT-MARTIN Isle-Jourdain (Gers). e Serve, d'Auboué, sergent au 16 chasseurs Af. Vignevieille (Paul), par Gaston son frère, Delposen (Lucie) — Paris, 32, rue Caumartin. à pied, a été décoré de la Croix de guerre. : . £ .(Ui. Itoule» M 9e bataillon chasseurs, 2" Cie. Rousselet (Marie, Adrien) — Paris (5«), 63, Petit (Vital), de Conflans-Jarny, au 15e chasMême Maison : 155, Rue de Rennes. Paris PONT-A-MOUSSON avenue Verdier, Montrouge. seurs à pied, a été décoré de la Croix de guerre. Famille Vorisse, par M. Vorisse, Kriegsge Grégoire (née Henry, Marcel) — Annecy (EtéM. Villeneuve dit Darier, l'artiste si popu-1 HABILLEMENTS e e Savoie). laire bien connu des habitués du Casino de j fangenenlager, 9 Cie, 2 bataillon à Mannhedm. pour HOMMES, JEUNES GENS et ENFANTS PIERREPONT 1 Poucet (Thérèse, Robert) • — Noisy-le-Sec, 38, Nancy, vient d'obtenir la croix de guerre avec CONDITIONS SPECIALES Afme Kugener, née Marielle Eourthe, ses enrue de Merlan. la belle citation suivante : — pour les Réfugiés de l'Est « Est allé spontanément et sous le feu d'une fants Aimé, Marie, Paul, Justin et Raymond, Prim (Jeanne, Marcel, Paulette) — Ruelle-sur- Les Magasins sont ouverts le Dimanche jusqu'à midi. Touvre (Charente). mitrailleuse porter secours à un camarade par M. Kugener (Edmond), réfugié chez M. François, ancien café Vally, à Alais (Gard). Krémer (née Elisa Fabert, Gaston, Paulette) — blessé, REHON Choisy-le-Roi, 3, rue Saint-Nicolas. HOTEL DE BOURGOGNE Afme Demanet, née Marguerite Michalet, ses Grignet (Victoria) — Bois-Colombes, 6, chemin MAISON A VENDRE enfants, par M. Demanet (Gustave), prisonnier de la Réunion. Tenu par M. JOLLY, à Cluny (S.-et-L.), Rez-de-chaussée : salon, salle à manger, de guerre, 164* rég. infanterie, 2* Cie, n° 941, Magnery (née Justine Bûche, Maurice, Cyrile, une heure de Mâcon. Pension de famille, bureau, cuisine, 1er étage : 4 pièces dont à Chemnitz. * Fernande, Germaine) — GainnevUle (Seine- ; confort moderne cuisine soignée, prome4 2 petites, 2e étage : une grande chambre, SAULNES Inférieure), route Nationale. nades, séjour agréable. Prix modérés, arranAfme Baikrich (Cécile), par M. Baikrich (AdolLUNEVILLE greniers. Cave, gaz, jardin fruitier, 800 m. gement pour séjour. de terrain; tramway Opéra, chemin de fer phe), chez M. Delpech, à Villeneuve-sur-Lot, Charpentier (née Eugénie Tassin) — Paris, 10, rue du Général-Gonget, n° 31. I rue Taine. Est. Avec 15.000 fr. comptant. PavillonsLe Directeur-Gérant . René Garnit THIAUCOURT Vve Martin (née lagfer, Marcelle) — Paris, H, sous-Bois, 36, allée des Aides. ' M. Coquard (Alexandre), 52 ans, sa femme rue de la Grange-aux-Belles. PERSONNES RECHERCHEES «V • H Rapatriés de Lorraine annexée Convoi du 7 1 J ADRESSES DES RÉFUGIÉS ET EVACUES IIF KRTP-ET PSELLE T()lR\El)RS ET AJUSTEURS LA Remplace le vin E- Croix de Guerre RESTIAUX THIERY ET SIGRAND j
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