OCTOBRE 2014, NO 6. www.sttcjm.ca Le Rassembleur Le journal des travailleuses et travailleurs du Centre jeunesse de Montréal Le moment de vérité Jean-François Quérin, V.P. Information 514-858-3930 [email protected] Ça brasse, mes amis, ça brasse... Chaque jour amène son lot de nouvelles dans le brouhaha politique des négociations et de la restructuration libérale de l’État. Employés municipaux, médecins spécialistes, projet de loi 3 sur les régimes de retraite, projet de loi 10… autant d’événements des plus significatifs comme le sera également la négociation de notre propre convention collective nationale. Employés de la fonction publique québécoise levez-vous et tenez-vous prêt, car le moment de vérité approche. Et ça risque de donner un grand coup! Assemblée générale spéciale Notre tournée d’assemblées locales qui portaient sur les demandes en vue des négociations nationales s’est terminée sur une note agréablement positive. D’abord grâce à un niveau de participation très respectable qui nous a permis d’atteindre le double de personnes nécessaires afin de rendre les résultats valides (les « quorums »). Difficulté supplémentaire cette fois-ci : un quorum devait être atteint pour chaque catégorie d’emploi (infirmières, secteur technique, secteur clinique) ce qui a été réussi. Bravo! suggérées par notre fédération a été accepté avec une large majorité. Vous trouverez à la page 4 du journal le communiqué officiel faisant état de l’ensemble des résultats. Mentionnons que les demandes « centrales » (celles issues du Front commun qui rassemble plusieurs organisations syndicales dans le cadre des négos nationales) concernent entre autres le côté monétaire alors que les demandes « sectorielles » concernent les demandes propres à la Fédération de la santé et des services sociaux. Elles touchent ainsi aux domaines de la lutte à la privatisation, de l’amélioration de la qualité de vie au travail, de la définition de tâches (nomenclature des postes) et de la liberté d’action syndicale. Vous trouverez sur la page d’accueil de notre site web l’intégral des documents d’information à ce sujet au sttcjm.ca. Des proposions de demandes issues de nos membres ont également été acceptées par notre assemblée générale. Intégrées à notre cahier de demandes locales, elles ont été soumises à notre fédération. Au final, l’ensemble des propositions [email protected] La prochaine étape Cette semaine se tient à Rivière-du-Loup une réunion des représentants des syndicats affiliés à notre fédération. La compilation de leurs cahiers de demandes respectifs ainsi que les recommandations du comité de négo nationale seront présentées et débattues. Les propositions de nos membres, même si elles ont été retenues dans notre assemblée locale, devront être reçues également au niveau de la fédération afin de faire partie du cahier de demandes final qui servira à la négociation. Sachez que notre promesse de les défendre chèrement sera tenue, mais que c’est l’assemblée de cette instance qui aura le dernier mot. Projet de Loi 10 Un mot sur le projet de loi 10 du gouvernement provincial libéral qui a été déposé il y a peu de temps et qui propose l’abolition des agences de santés et la création, par fusions, de Centres Intégrés de Santé et de Services Sociaux (CISSS). Le Centre jeunesse de Montréal serait directement touché par ce projet de loi et serait fusionné avec un certain nombre d’établissements de santé. L’Association des centres jeunesse du Québec craint actuellement que le mandat de protection de la jeunesse ne se perde dans la masse de services de santé qui sera dispensée à travers les CISSS. Suite à la page 8 OCTOBRE 2014, NO 6. LE RASSEMBLEUR LECONSEILSYNDICAL DuSyndicatdesTravailleusesetdesTravailleursduCentrejeunessedeMontré al Notre conseil syndical est un groupe constitué de membres élus, les délégués, issus des différents lieux de travail et catégories d’emplois propres au Centre jeunesse de Montréal. Les délégués sont les yeux et les oreilles du comité exécutif. C’est grâce à leur écoute, à leur vigilance et à leur présence un peu partout sur les sites, dans les foyers, les ateliers, les unités, les cuisines… que le syndicat demeure constamment en contact avec la réalité du plancher et à l’affût de ce qui s’y passe. Les membres peuvent se référer à eux afin de transmettre ou obtenir une information, signaler une situation particulière ou initier une démarche avec le syndicat. Voici, par catégories et par secteurs, vos délégués au conseil syndical : CATÉGORIE 1 – Soins infirmiers POSTE VACANT CATÉGORIE 2 - Para-technique, services auxiliaires et métiers Rose-Virginie-Pelletier : VALÉRIE DESNOYERS Foyers de groupe Centre (Morgan, 1ère avenue, Rosemont, L.Hémon, Chambord, Chaumière, C.Colomb et le 1001 Maisonneuve) : RAYMOND CORMIER Réadaptation externe Nord-Ouest (Bur. Nord, Ouest, St-Laurent et le site Décarie): GUYLAINE BOUDREAULT Rose-Virginie-Pelletier (Également Site Décarie et les foyers :Pierrefonds, Lachine, Godbout, Verdun et Gouin): LOUIS-PHILIPPE ST-ONGE Dominique-Savio-Mainbourg (Également Unité Escale et foyers : Ahuntsic, Harmony, Meilleure et St-Vital) : DANIK JEANNOTTE Mont St-Antoine et Beaurivage (Également Siège social et foyers : O.Roussin, Le Carrefour et Mercier-Est-Anjou) : YVES DUFRESNE Cité-des-Prairies (Également les foyers : RDP et Désy): SAMUEL SICARD Réadaptation externe Sud-Est (Bur. Sud, Est, 5800 et 8000 StDenis, P.A.T., Lafontaine , le Tribunal et l’Escale): YVES BOLDUC Foyers de groupe Est (RDP, Désy, O.Roussin, Mercier-Est-Anjou et Morgan): MARILYN ALBERT Foyers de groupe Centre (Rosemont, 1ère ave, L.Hémon, Chambord, Chaumière, C.Colomb, Harmony, St-Vital et Ahuntsic): ÉMILIE BLANCHETTE Foyers de groupe Ouest (Meilleur, Gouin, Pierrefonds, Lachine, Verdun et Godbout) : GÉRARD BLANCHARD Psychosociaux Est (Bur. Est et P.A.T.): NOÉMIE DESBOIS Psychosociaux Ouest (Décarie): VÉRONIQUE BOURASSA Psychosociaux Sud (1001 Maisonneuve) : DENISE LAVERDURE CATÉGORIE 4 – Techniciens et professionnels de la santé et des services sociaux Professionnel et Médiation : OLIVIER LACROIX Cité-des-Prairies : DANY DUFOUR Psychosociaux Nord (Bur. Nord et St-Laurent): DOMINIQUE LAJOIE Psychosociaux Centre (Bur. Lafontaine, 5800 et 8000 St-Denis et le Tribunal): PATRICK FOURNIER Mont St-Antoine et Beaurivage : YVAN BOUCHARD Dominique-Savio-Mainbourg : SANDRA DUCASSE PAGE 2 Avocats : SYLVIE BOUCHARD [email protected] OCTOBRE 2014, NO 6. LE RASSEMBLEUR SECTEUR RÉADAPTATION Les vacances Céline Pageau, V.P. Réadaptation 514-858-4868 [email protected] peler que, selon notre convention, la semaine de vacances ne commence pas obligatoirement le dimanche. Vous pouvez donc prendre 1 semaine du mercredi au mardi si c’est cela qui vous convient.) La période officielle de vacances est maintenant derrière nous. Et pour ceux et celles qui n’ont pas pris toutes leurs journées de vacances, il reste à planifier celle à venir. À cet égard, l’employeur a expédié à tout le personnel le 2 juillet 2014, une note interne sur le déploiement du nouveau module Logibec Web-Vacances (WEB-V). Et oui, alors que vous étiez pour plusieurs en train de vous prélasser au soleil, l’employeur avait décidé de vous informer d’un nouveau programme Logibec pour planifier vos vacances restantes. Il ajoute qu’une tournée des régies est déjà amorcée pour l’hébergement… les chefs de service n’ont-ils donc pas de vacances? Lorsque j’ai questionné quelques membres à ce sujet durant l’été, leurs chefs n’étaient pas au courant… Bien que concernant les vacances reportées en dehors de la période officielle de vacances, la convention stipule que « la personne salariée doit indiquer sa préférence au plus tard le 1er septembre », l’employeur a généralement permis aux gens une plus grande latitude. À ce sujet, le syndicat a rencontré l’employeur il y a quelques mois afin d’étudier la possibilité d’établir plus d’une date de référence concernant les choix de vacances en dehors de la période normale. Cela aurait permis pour plusieurs d’en faciliter grandement la planification. Bien que les deux parties s’entendaient sur le principe de base, la démarche n’a malheureusement pas pu se réaliser à cause que le programme Logibec Web-Vacances ne pouvait être en mesure d’intégrer ce type de changement avant au moins deux ans. La première étape de l’implantation de ce programme s’est L’employeur a cependant décidé ensuite, sans négocier davanappliquée du 1er au 15 septembre uniquement aux interve- tage avec le syndicat, d’appliquer une nouvelle mesure pour nants à l’hébergement???? C’est un projet pilote et ce sont les gérer les vacances hors périodes. membres de ce groupe qui seront les chanceux expérimenta- Sachez qu’étant vos agents négociateurs, responsables de l’apteurs. Cela peut sembler simple pour les membres qui font plication d’une convention locale votée par les membres et déjà leur relevé de paye, mais ce n’est pas le cas pour la majo- signée par la partie patronale et syndicale, nous avons déposé rité des éducateurs/trices qui sont à l’hébergement. Donc, en un grief. Des discussions s’ensuivront donc sur ce dossier, en plus d’avoir expressément eu à choisir le moment où ils veu- souhaitant arriver à déterminer de bonnes conditions de tralent prendre leurs vacances d’ici le 30 avril 2015, il y a eu la vail qui assurent le bien-être des personnes salariées. nécessité de prendre le temps d’apprendre à faire la démarche Pour toutes situations ou questions concernant cet article, avec Logibec. Tout un retour de vacances! n’hésitez pas à me contacter ! (Par ailleurs, lors de votre choix de vacances, juste vous rap- [email protected] PAGE 3 OCTOBRE 2014, NO 6. LE RASSEMBLEUR PAGE 4 [email protected] OCTOBRE 2014, NO 6. LE RASSEMBLEUR SECTEUR LISTE DE RAPPEL Repêchage d’assignations, TPR et droit de supplantation Chantale Morissette, V.P. Liste de rappel 514-858-3910 [email protected] Repêchage d’assignation : Lorsqu’il y a une dotation de poste, il y a inévitablement une période de repêchage d’assignations peu de temps avant la date d’entrée en fonction. Les repêchages d’assignations ont habituellement lieu la semaine qui précède l’entrée en poste. En ce sens, veuillez noter que des entrées en postes sont prévues le 2 novembre pour les ARH-TAS et autre personnel clinique. D’autres entrées en postes sont également prévues le 16 novembre pour les éducateurs, le personnel de soutien. Sachez que pour obtenir une assignation, vos disponibilités, tant sectorielles (choix de secteurs) qu’hebdomadaires (quarts de travail disponible dans la semaine), doivent être conformes à cette assignation. La convention collective locale balise les changements de disponibilités comme suit. Article 2.01 : (…) g) La disponibilité exprimée par la personne salariée peut être modifiée une fois par période de référence, sauf entente entre les parties, par un avis écrit et signé par la personne salariée. Cet avis doit parvenir au service du rappel au travail au moins quatorze (14) jours de calendrier avant son entrée en vigueur. Le saviez-vous ? Nous sommes actuellement dans la période de référence 2, soit du 1er septembre au 30 novembre. La période suivante est du 1er décembre au 28 février. Donc, si vous croyez devoir changer vos disponibilités pour le repêchage d’assignations, faites-le rapidement et n’oubliez pas d’inscrire une date ultérieure d’entrée en fonction (date de début). Les personnes salariées autres que professionnelles (par exemple les éducateurs, les infirmières, les TAS et les ouvriers spécialisés) effectuant du temps supplémentaire peuvent, après entente avec leur chef, reprendre ce temps à taux et demi dans leur service. Leur absence au moment de la reprise de temps ne doit cependant pas nécessiInformations spécifiques pour les té de remplacement à moins d’une dédétenteurs de postes à temps par- cision contraire du supérieur immédiat. tiel (TPR) : Les heures ainsi cumulées n’ayant Les assignations de plus de 30 jours sont pas été reprises sont payées au 15 données par ancienneté sur la liste de octobre et au 31 mars de chaque rappel. Votre droit de priorité ne s’ap- année. L’équivalent de trois jours de plique donc PAS pour les assignations de travail en temps pourra cependant être plus de 30 jours. Par contre, un TPR conservé en banque et reporté à plus peut délaisser temporairement son poste tard, à la demande du salarié et avec (sans pénalité) pour obtenir une assigna- l’accord du supérieur immédiat qui ne tion dans son service, si elle lui revient peut refuser sans motif valable. Les par ancienneté. Pour les TPR qui souhai- heures non prises sont payées au comteraient obtenir une assignation à temps plet lorsque la personne quitte son sercomplet (TC) hors service, sachez que vice ou que son assignation se termine. vous pouvez demander de connaître les De façon similaire, les heures cumulées assignations TC qui sont encore dispo- par les personnes salariées professionnibles à votre rang d’ancienneté lors du nelles (par exemple les psychologues, repêchage. Si l'une d’elles vous inté- les SAC et les ARH) sont payées en date resse, et que vos disponibilités concor- du 15 octobre et du 15 mars de chaque dent avec l’assignation convoitée, vous année. Elles peuvent également, après pouvez abandonner votre poste pour entente avec leur chef, reporter l’équiobtenir ladite assignation. Lorsque vous valent de trois jours de travail. Les abandonnez un poste (une fois votre pé- heures non prises sont payées au comriode d’initiation terminée), une plet lorsque la personne quitte son ser« pénalité poste » s’applique. vice ou que son assignation se termine. Suite à la page 8 [email protected] Par Jean-François Quérin, V.-P. Information (514) 858-3930 / [email protected] PAGE 5 OCTOBRE 2014, NO 6. LE RASSEMBLEUR PAGE 6 [email protected] OCTOBRE 2014, NO 6. LE RASSEMBLEUR SECTEUR SANTÉ ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL Arrêt de travail ne veut pas dire partie de plaisir Par la collaboration de Frantz Delice, V.-P. en Santé et sécurité au travail 514-385-2885 [email protected] Et de Jean-François Quérin, V.P. Information 514-858-3930 [email protected] Lorsque l’on se blesse physiquement ou que l’on éprouve cer- Afin de vous assurer que votre période de convalescence se taines difficultés de nature psychologique, il arrive qu’un arrêt passe bien, quelques règles simples sont de mise : faire preuve de travail nous soit prescrit. Dans ce contexte, il s’avère géné- de transparence à l’égard de l’employeur, demeurer joignable ralement pertinent de faire preuve de transparence à l’égard dans un délai raisonnable et disponible pour des rencontres, de notre situation véritable et de tout mettre en oeuvre afin de ne pas pratiquer d’activités incompatibles avec votre incapaciretrouver notre santé et éviter les ennuis supplémentaires. Il est ainsi généralement attendu qu’une personne en arrêt de travail soit… en arrêt de travail. En ce sens elle ne doit pas, durant son temps de convalescence, travailler ailleurs dans un té à travailler et, finalement, toujours vérifier au préalable auprès du syndicat et de l’employeur la possibilité de vous adonner à une activité qui sort du cadre de la convalescence en repos tranquille à la maison. autre emploi, étudier ou encore s’adonner à des activités in- Notez que dans certains cas, il pourra s’avérer possible de pracompatibles avec ses «blessures » ou ses incapacités. En- tiquer certaines activités généralement proscrites en situation freindre cette règle peut conduire à la suspension de l’assu- d’arrêt de travail. Par exemple, certaines personnes pourront rance salaire (et à une obligation de rembourser les indemnités continuer d’aller à l’école ou même partir en voyage dans la financières reçues), à des mesures disciplinaires diverses ou mesure où leur médecin a évalué que cette activité ne nuirait même, dans certains cas, au licenciement. Nos membres étu- pas ou serait favorable à leur rétablissement. L’employeur doit diants qui suivent des cours devront ainsi suspendre temporai- évidemment en être informé au préalable et avoir donné son rement leur programme d’étude le temps de se remettre sur accord. pieds alors que d’autres devront, par exemple, éviter de pratiquer certains sports. N’oubliez jamais que les dossiers en assurance salaire sont suivis de très près par notre employeur. Si vous avez des questions sur ce sujet ou pour toute autre information, n’hésitez pas à contacter le syndicat. Tous les appels sont confidentiels. [email protected] PAGE 7 OCTOBRE 2014, NO 6. LE RASSEMBLEUR Suite de Le moment de vérité Sylvie Théorêt, présidente de notre syndicat, rappelle qu’il y a 10 ans, le gouvernement libéral de l’époque avait tenté de faire passer un projet similaire de réingénierie de l’État qui menaçait de détruire le filet social que notre société avait décidé de se donner. Elle souligne que la population, avec les syndicats, était parvenue à empêcher sa réalisation par une mobilisation soutenue et des actions concertées. Il faut continuer, soutient-elle, à se mobiliser, à se fâcher et à rappeler au gouvernement que le mandat qui lui a été donné n’est pas de détruire nos acquis, mais bien de les protéger. Nous prenons ainsi l’engagement de tenir nos membres informés de l’évolution de ce dossier et à les inviter, le moment venu, à se joindre à nous afin de prendre une part active au mouvement visant à empêcher le démantèlement de notre réseau. Suite de Repêchage d’assigna- mois. Ce droit peut seulement s’actuali- pour aller supplanter hors service). Par tions,TPR et droit de supplanta- ser lorsque l’assignation permettant contre, le droit de supplantation ne se d’obtenir son droit de supplantation se cumule pas sur l’assignation supplantée, tion Cette pénalité implique que vous ne pourrez pas postuler sur un poste pour les 6 prochains mois, et cela à compter de la date de votre abandon. Par contre, aucune pénalité liste de rappel n’est appliquée. Droit de supplantation (Article 2.04 de notre convention collective locale): Le droit de supplantation s’acquiert lorsqu’une personne occupe successivement et consécutivement une ou des assignation(s) pour une durée supérieure à 6 termine. Pour maintenir son droit de supplantation sans l’actualiser sur le champ, il faut continuer d’occuper successivement et consécutivement une ou des assignation(s). Par contre, notez que si VOUS choisissez de quitter l’assignation qui permettait de maintenir votre droit de supplantation (donc sans qu’elle se termine d’elle-même), vous perdez votre droit de supplantation et devez le regagner. même si celle-ci dure plus de 6 mois. Vous devrez donc obtenir une autre assignation pour acquérir de nouveau votre droit de supplantation. Pour le personnel clinique travaillant à l’externe, le droit de supplantation est balisé comme suit : «la supplantation peut s’appliquer uniquement lorsque l’assignation à effectuer est d'une durée de six (6) mois et plus et qu'il ne s’est pas écoulé plus de trente (30) jours de calendrier depuis le début Un TPR qui détient un droit de supplan- de cette assignation.» tation peut délaisser temporairement son Pour toutes autres questions ou composte pour supplanter dans son service mentaires, n’hésitez pas à nous contac(ou abandonner définitivement son poste ter! Bon repêchage! Rejoignez notre groupe au cœur de l’info et de l’action https://www.facebook.com/groups/sttcjm Information : (514) 858-3930 [email protected] Le Rassembleur Le Syndicat des travailleuses et des travailleurs du Centre jeunesse de Montréal 4434 Boulevard Décarie, Montréal, (Qc), H4A 3P2 www.sttcjm.ca www.facebook.com/groups/sttcjm Courriel : [email protected] Code de courrier interne : 25 Télécopieur : (514) 385-7228 Présidence : (514) 385-2899 Secrétaire général : (514) 858-3908 V.P. Information : (514) 858-3930 Trésorière : (514) 385-2862 V.-P. Réadaptation : (514) 858-4868 V.-P. Technique : (514) 858-4885 V.-P. Santé-Sécurité : (514) 385-2885 V.-P. Liste de rappel : (514) 858-3910 V.-P. Litiges / Permanence syndicale: (514) 850-2396 V.-P. Psychosocial & Professionnel : (514) 385-7879 Mise en page et Production Jean-François Quérin, V.-P. Information, STTCJM-CSN Les opinions exprimées par les membres dans ce journal ne représentent pas nécessairement celles du comité exécutif. 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