Rendez-vous autour de l’exposition Activités adultes, enfants et familles Les événements *Transfuseur réseau d’art contemporain de l’axe Belfort/Montbéliard Visites commentées adultes à 14h Parcours enfants et familles à 15h30 → Dimanche 16 novembre 2014 Les Midis du Musée Visites commentées de 12h30 à 13h30 Entrée libre. → Jeudi 9 octobre 2014 → Jeudi 4 décembre 2014 → Jeudi 29 janvier 2015 Rendez-vous enseignants Rencontre Rencontre avec un artiste et Chris Sharp, commissaire invité de l’exposition. Entrée libre. → Samedi 15 novembre 2014 à 10h Musée du château des ducs de Wurtemberg Visite de l’exposition et présentation des pistes pédagogiques. Entrée libre. → Mercredi 24 septembre 2014 à 16h Accueil des groupes Visite-atelier sur réservation pour les groupes scolaires, centres de loisirs, etc. Activités gratuites, sur réservation au 03 81 99 23 61 ou [email protected] 25 200 Montbéliard Tél. 03 81 99 22 61 [email protected] www.montbeliard.fr Tarifs Ouverture Entrée gratuite pour les moins de 18 ans et les personnes handicapées, ainsi que le premier dimanche de chaque mois. Tarif groupes (à partir de 10 personnes) et étudiants : 2 € Conception : Tous les jours sauf le mardi de 10h à 12h et de 14h à 18h. Le musée sera fermé le 25 décembre et le 1er janvier. Tarif normal : 4 € Visuel : Kõji Enokura, Symptom — Sea-Body (P.W. - No. 40), 1972 (détail) Visite commentée par Aurélie Voltz, directrice des musées. → Samedi 4 octobre 2014 à 16h30 Dans le cadre de la 3e édition du TRAC Bus tour, de 11h à 19h30 Entrée libre dans l’exposition. Réservation bus 7 € / Gratuit -18 ans Tél. 03 84 58 67 67 Dimanche au musée Impression : Estimprim TRAC* « Quand les formes se mettent à danser » pour les 4-6 ans : de 10h à 11h30 pour les 7-12 ans : de 14h à 16h → Mercredi 29 octobre 2014 + starHlight → Samedi 20 et dimanche 21 septembre 14h30 : visites commentées adultes 16h30 : visites-ateliers en famille Entrée libre Photographie noir et blanc - 16.1 x 24.5 cm – Courtesy of the estate of Kõji Enokura and Blum & Poe, Los Angeles Activités des vacances Journées européennes du patrimoine De du 19.09.14 au 01.02.15 Musée du château des ducs de Wurtemberg Jean-Luc Moulène, Régulier / Barneville, 24 janvier 2008, 2013 Photographie noir et blanc – 69 x 69 cm Crédits : Jean-Luc Moulène / ADAGP, Paris 2014 Courtesy de l‘artiste et Galerie Chantal Crousel, Paris De Constantin Brancusi, Ulla von Brandenburg, Michael Dean, Kõji Enokura, Esther Kläs, Bruce McLean, Jean-Luc Moulène, Shimabuku et Alina Szapocznikow. « La sculpture ? C’est ce sur quoi l’on bute lorsque l’on recule pour regarder une peinture ». Le peintre américain abstrait Ad Reinhardt ne croyait pas si bien dire1. L’exposition Manières de matière au Musée du château des ducs de Wurtemberg prend à rebours cette méprise du volume et explore justement les relations entre le corps, la sculpture, l’image et la danse à travers les œuvres d’une dizaine d’artistes contemporains. 1 — Lors d’un dîner mondain dans les années 50. Constantin Brancusi, Florence Meyer posant dans l’atelier, 1932 Film 35 mm transféré en DVD, 2 min 13 s Crédit : ADAGP, Paris 2014 Courtesy du Centre Pompidou et Musée national d’art moderne Centre de création industrielle Les photographies, vidéos, film 16 mm, sculptures et installations, réalisés par une dizaine d’artistes du 20e et 21e siècle, interrogent le corps dans son occupation de l’espace. Comment interagit-il physiquement avec le monde, en contrepoint aux images déferlantes, dans une époque dominée par les écrans ? Issue d’un essai de Paul Valéry sur la danse publié en 1936, l’expression « Manières de matière » entend revaloriser le corps, dans son mouvement et son dialogue avec ce qui l’entoure. Ainsi, une danseuse se déploie élégamment au milieu des sculptures de Brancusi et un homme tente de contenir l’océan, s’allongeant le long d’une vague, sur la plage. Un autre se contorsionne sur des socles, rejouant la pose de silhouettes d’Henri Laurens, tandis que de drôles de chewing-gums improvisent leur propre chorégraphie. L’exposition propose une expérience physique du corps, au contact des images, des films et des sculptures interactives. Sentir formes et matières, se mesurer à d’immenses sculptures en béton, se faufiler au milieu d’étroits élastiques et esquisser quelques pas pour tenter d’apercevoir ce qui se cache derrière l’étrange ronde de personnages d’un film en noir et blanc. Le tout se profile au château, où l’on disait en 1771 de la cour du Prince Charles Eugène de Wurtemberg qu’on y voyait « la danse la plus belle, la plus nombreuse et la plus exercée ». Cette exposition est réalisée en collaboration avec le Kunstverein de Salzburg. Bruce McLean, Pose Work for Plinths, 1971/2011 (détail) Série de 15 photographies noir et blanc – 10 x 15,5 cm Crédits : ADAGP, Paris 2014 Courtesy de l’artiste et Tanya Leighton, Berlin Commissaire invité, Chris Sharp, né en 1974, est un écrivain américain vivant et travaillant à Mexico où il dirige l’espace d’exposition Lulu. Il organise des expositions en Europe depuis 2006. Sa pratique de commissaire puise largement dans la littérature, telle l’exposition Bouvard and Pécuchet’s Compendious Quest for Beauty, à la David Roberts Art Foundation de Londres en 2012. Critique, il écrit pour des ouvrages monographiques (Jean-Luc Moulène) et publie dans Art Press, Artforum, Frieze, Le Monde ou The New York Times.
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