Conseil général de Seine-et-Marne Schéma départemental de l’autonomie PHASE DE CONCERTATION Groupe 4 : Favoriser l’accès à l’emploi et le développement économique en soutenant les filières d’avenir telles que la « Silver économie » Relevé des échanges – réunion du 1er Juillet 2014 1. Participants Représentants Structures Benoît ALLIOT Délégué aux relations territoriales pour la Seine-etMarne La Poste Monique AUBINEAU Directrice MDS LAGNY SUR MARNE Joachim AVRIL COS - CRPF Serge BERNARD Président société HOM-I (projet DOMOTIQUE POUR TOUS) Lucile BILLAND Représente CNAV Lionel BOUTET Directeur ESAT IMO (hors les murs) Jacques CORBIN Directeur AEDE – ESAT de l’Ambrésis Francine DAUPIAS Retraitée CODERPA Francois-Xavier Directeur seine et marne développement DEFLOU Alain DELAPLACE Représentant CFPSAA Caroline Association Centre Indépendant d’Education de DESMERGER chiens-guides d’aveugles. Béatrice GARRE CONSIGNY ARNAUD GYSSENS Sylvie HOUDANT Gérard HOURI Virginie LABARRERE Valérie LANNEAU Patrick MALLEA Agnès MATHEZROUMEAS Frédéric MEKERKE Frédéric MUSELLI Directrice Esat Adapei77 (les Ateliers Braytois) Délégué MEDEF Directrice UNA’DOM Délégué Général RECYCLAGE CITOYEN Chargée insertion EMPS de l’Ourcq Directrice Cap emploi Directeur CNR SANTE Directrice FOYER DE VILLEMER Fondation des amis de l’Atelier Directeur établiss ESAT LES ATELIERS DE GERMENOY Responsable 3 Esat IPSIS CR_Groupe4_réunion2_CG77_vdef 12-juin Présent 01-juil Présent Présent Présent Présent Présent Présent Présente Excusé Présent Présent Présente Présent Présent Représentée par Mme Petitdemange Présente Présent Représentée par Mme Petitdemange Excusée Présente Excusée Présente Présente Excusé Présente Présente Présente Excusé Excusée Présent Présent Présent Présent Page 1 Djamila NAKHILI Sébastien PAUTASSO –C. Damien POLLET Jean GRINDEL Nathalie BOREL Sébastien ROUSSEAU Amandine SOUBESTE Anabela OLIVEIRA Pierre PREVET Caroline PERON Véronique CHETANEAU Mohamed DIABATE David BRESSON Jessica CHAMBA Chargée insertion EMPS de l’Ourcq Directeur Aura 77 Présente Présente Présent Responsable pôle ESS Afile 77 Directeur commercial Européen Assistance Responsable de service de la MDEF Sénart CG 77 – direction de l’innovation Présent Présent Présente Présent Présent Présente Présent Coordinatrice Plateforme SAP 77 – MDEF Sénart Présente Directrice INITIATIVES 77 Membre bureau UNAFAM Chef du service SI DPA CG77 Directrice de l’insertion CG 77 Présente Présent Présente Présente Présente Présent Présente Présente Chargé de mission emploi CG77 Chargé de mission politiques de santé CG 77 Directrice général Cekoïa conseil Présent Présent Présente Présent Présent Présente CR_Groupe4_réunion2_CG77_vdef Page 2 2. Déroulement de la réunion 2.1 Le soutien aux filières d’avenir telles que la « silver économie » & le développement et l’accès de tous aux technologies favorisant l’autonomie : domotique, téléassistance, télémédecine / « e-santé », etc. Intervention liminaire de B Zimmer, Directeur de la Silver Valley (cf. support de présentation) Quelques notes en complément de la présentation : - Enjeu : créer de la valeur sociale et de la valeur économique autour de la prévention du vieillissement et du soutien au maintien à domicile - Structuration de la filière au niveau national (suite au lancement par deux ministres M. Montebourg et Mme Delaunay): o Lancement d’une consultation en 2013 au niveau national (600 professionnels ont travaillé à la rédaction d’un rapport) avec l’enjeu de la normalisation et du soutien financier aux entreprises pour qu’elles se développent o Production : Contrat de filière signé en déc. 2013 par 40 acteurs du secteur - Cible : l’ensemble des acteurs (commerce / distribution, habitat, transports, etc.) qui doivent prendre en compte le fait que leurs usagers / clients vieillissent - Approche qui vise à soutenir le développement de ces produits, la croissance du secteur - Pour favoriser le maintien à domicile, le secteur des services à la personne est particulièrement impliqué, ce qui génère aujourd'hui des attentes importants sur les niveaux de qualification et sur la qualité des prestations auxquels la silver economie peut contribuer. - Silver Valley est une association privée à but non lucratif, 700k€ de budget annuel, avec une participation à 50% – 50% public et privé - 1000 emplois ont été créés en 2 ans => objectif : créer 5000 emplois directs dans 5 ans Que peuvent faire les collectivités pour soutenir le développement de la silver economie ? Ex d’actions réalisées par le CG94 : - Soutien au développement d’activités dans le 94 pour conserver des emplois autour de l’hôpital Charles Foix qui prend en charge beaucoup de personnes âgées - Création d’une association sur la gériatrie autour de cet hôpital pour soutenir la recherche, la formation (métiers de la santé, métiers de services à la personne…), l’urbanisme et le développement économique - Rôle du CG comme lanceur de la démarche et initiateur de ces projets => amorçage - Nécessite de développer les modèles de travail en partenariat public / privé - Le CNR Santé intervient aussi comme organisme de soutien aux collectivités dans le montage de ces projets Débats / Discussion Sur les partenariats publics-privés et la collaboration collectivités - entreprises - Ex. du montage de maisons de santé qui sont des montages publics-privés par essence o Principe : location des murs par des collectivités / acteurs publics pour une exploitation par des acteurs privés (professionnels libéraux) o Constat que ces montages fonctionnent en pratique, à partir du moment où l’on instaure le dialogue, où l’on clarifie les intérêts de chacun et où l’on pose les limites de ce que chacun peut apporter et de comment chacun peut contribuer au projet d’ensemble CR_Groupe4_réunion2_CG77_vdef Page 3 - Il ne faut pas opposer la logique des institutions, des associations et des entreprises mais essayer de trouver les convergences, les points communs - Ex. la Poste = constat que le chiffre d’affaire lié à l’envoi de courrier ne va faire que baisser dans les années à venir, d’où un choix d’entreprise de se développer sur de nouveaux métiers. o La poste est un tiers de confiance, vecteur d’un rapport social avec les gens o Le facteur passe tous les jours et pourrait apporter des services aux usagers Dès lors, la poste a engagé des partenariats avec des start up, des universitaires pour savoir quels doivent être les développements futurs, sur quels territoires et quelles sont les attentes des élus Il semble nécessaire et intéressant de structurer des projets en commun. o Expérience de l’aide au passage à la TNT où les facteurs étaient intervenus pour soutenir ce passage technique (comme tiers de confiance) o Ex du CG45 : installation de boîtiers de type téléassistance au domicile des personnes âgées : les facteurs intervenaient pour faire une installation simple. - Quelle est la différence entre un pôle de compétitivité et une filière ? - La silver valley n’est pas organisée en pôle de compétitivité, car les pôles sont plus orientés sur la technologie et la recherche & développement. - La silver valley a plus une approche marché => créateur de liens entre les projets portés par les pôles de compétitivité, le développement de marchés possibles et les financeurs potentiels - La silver économie c’est un marché mais pas nécessairement une filière (comme l’automobile ou la téléphonie…) puisqu’elle couvre plusieurs secteurs d’activité. La Seine-et-Marne c’est 1,3 M° d’habitants et 300 000 entreprises dont des filières d’excellence, notamment la « ville durable » qui intègre le mieux vivre ensemble Sur les financements possibles au niveau départemental - A noter : les acteurs publics investissent déjà beaucoup dans la préservation de l’autonomie, notamment via les allocations individuelles (APA et PCH) o Comment utiliser l’argent qui est distribué via ces allocations pour apporter un mieux vivre aux personnes, le plus en amont possible (aide technique, prévention…) ? - Enjeu de la solvabilisation, comment les usagers pourront financer ces prestations / services ou produits ? - Il ne faut pas attendre d’avoir des soutiens financiers d’origine publique avant de mettre en place des solutions (services ou produits), car sinon le risque est de créer une offre mais que celle-ci ne corresponde à aucune demande, à aucun besoin. o Importance d’informer et de sensibiliser les usagers et leur entourage à l’intérêt de la domotique et de l’utilisation des nouvelles technologies dans leur quotidien, d’une part, o Nécessité de valoriser, faire connaître, éventuellement labelliser des solutions technologiques mais sans nécessairement apporter un soutien financier direct : Constat que plusieurs projets pilotes se sont ainsi arrêtés car suite à une première phase financée par les pouvoirs publics, la suite n’a pas été prise par les usagers qui n’étaient pas prêts à financer le service ou qui n’en avaient pas les moyens. Constat aussi que le prestataire de télé assistance du CG (Europassistance) n’a aujourd'hui aucune demande d’installation de la fonction « visio » dans le cadre de la téléassistance du fait à la fois d’une forte méconnaissance des utilisateurs de ces solutions et du tarif élévé de cette prestation. CR_Groupe4_réunion2_CG77_vdef Page 4 Sur les projets développés par les acteurs du territoire / les difficultés rencontrées par les porteurs de projet - Présentation du projet de télémédecine porté par Aura 77 o Constat de la nécessité de bénéficier de l’expertise de centre expert, basé à Niort, pour pouvoir échanger entre professionnels sur la problématique de l’autisme d’où l’idée d’origine d’investissement dans un système de téléconférence - Puis, projet de développement autour de la téléconsultation (afin de favoriser l’accès aux soins) : o Réalisation d’analyses dans un environnement calme et apaisant pour la personne handicapée (sur son lieu de vie) par un professionnel formé qui enregistrera les résultats o Transmission de ces résultats à distance au centre d’expertise puis analyse immédiate des résultats et réalisation du diagnostic - Difficultés rencontrées : o Coût du matériel (une Valise de téléconsultation = 50k€) o Contrainte légale pour la téléconsultation : il faut un professionnel de santé de chaque côté de la consultation, ce qui nécessite du temps d’infirmier, alors que le coût du professionnel de santé n’est pas pris en charge par l’assurance maladie (seul l’intervention du professionnel qui pose le diagnostic est pris en charge) o Contrainte technique : problème de débit =>nécessité d’un abonnement de 500€ / mois pour Aura 77 pour avoir une ligne au débit suffisant - D’où le souhait de mutualiser / d’optimiser l’investissement dans cet équipement : o Possibilité de rendre accessible ce matériel de façon mutualisée à tous ceux qui en auraient besoin o Projet d’utiliser cet outil pour faire de la téléformation avec les centres experts - Applications learn enjoy pour les tablettes : o Applications permettant de faire un suivi et un accompagnement des enfants avec autisme avec différents niveaux (téléchargeable à l’essai gratuitement) Permet de garder en mémoire l’évolution des enfants Outils personnalisable pour accompagner les enfants avec autisme et notamment les aider dans la verbalisation / la communication Pour les projets portés par la société HOM-I (projet domotique pour tous) - Constat d’un manque de connaissance des entreprises innovantes et de leurs projets : o Peu de budget pour communiquer dans ces petites structures o Les structures innovantes tentent de se faire connaître via des appels à initiatives, des prix mais elles ont besoin d’être mises en relation avec des usagers ou des entreprises plus importantes : possibilité d’être connu et reconnu o Par ailleurs, elles souhaiteraient pouvoir travailler et développer de l’emploi au local o Le besoin n’est pas tant d’un soutien financier mais plutôt celui de la communication et de la mise en relation Quels sont les vecteurs de diffusion de l’information / sensibilisation ? - Rôle très important de toutes les personnes qui interviennent au domicile ou qui sont proches des personnes en perte d’autonomie o L’usager, la famille, l’entourage, les associations d’usagers o Les intervenants à domicile (SAAD notamment) CR_Groupe4_réunion2_CG77_vdef Page 5 - - o Les professionnels des secteurs sociaux, médico-sociaux (CCAS, CG / MdS, CLIC…) et sanitaires (hôpitaux, cabinets d’infirmiers, de kiné, médecins …) o Les caisses de retraite, organismes de sécurité sociale… Besoin aussi de centres de ressource au niveau local permettant de faire connaître les solutions et les produits existants et favorisant l’échange entre acteurs. o Par ex. dans le cadre des projets de mutualisation des services à domicile, il existe la labellisation Handéo pour inciter les services à développer des activités à destination des personnes handicapées o Parallèlement, une réflexion est en cours entre plusieurs structures associatives, établissements, SAVS, porteurs de services à domicile, associations d’usagers, etc. sur la création d’un pôle ressource local (PRL) : cette structure aurait pour objectif de recenser / regrouper les demandes relatives aux besoins de tous types de handicap ou des personnes âgées afin de les mettre en relation avec les ressources qui existent au niveau départemental. Exemple de méthodologie de travail utilisée par le Département pour le développement des « télé centres » = centres de télétravail regroupé, permettant à plusieurs entreprises, associations, services… de faire travailler leurs employer à distance mais dans un cadre professionnel o Le Département a développé ces centres à partir d’une méthodologie de consultation d’acteurs publics, associatifs et privés afin de répondre à un besoin avéré o Une telle méthodologie de réflexion pourrait être dupliquée autour de la notion de promotion des usages numériques appliqués à la santé et à l’autonomie (e-santé, la télémédecine, domotique…) Quel est le public cible ? - La direction de l’innovation du CG constate que de plus en plus de personnes âgées de 55 à 70 ans utilisent l’informatique o Le vrai creux technologique est actuellement plutôt entre 35 et 55 ans car les gens travaillent et ont peu le temps de s’intéresser aux technologies. o Finalement, à l’âge de la retraite, elles ont plus de temps et s’y intéressent plus. A noter : la tablette numérique est aujourd'hui le 1er cadeau de départ en retraite… - Or, la meilleure façon d’accepter la technologie c’est de faire en sorte que les gens se l’approprient quand ils sont valides et qu’ils prennent l’habitude de l’utiliser. - Il est donc probable que l’utilisation de ces outils devienne une demande plus forte dans les années à venir quand c’est cette génération qui s’approchera de la dépendance. - Pour les personnes handicapées, les besoins sont évidents et déjà plus acceptés / reconnus. De nombreuses associations ou organisations développent des solutions ou des outils techniques pour compenser ou améliorer la vie quotidienne des personnes handicapées. - Par contre, pour tous ces usagers il y a un besoin de formation et d’accompagnement qui est récurrent et qui existera toujours … o Là aussi, des objets que l’on savait utiliser peuvent devenir difficile à utiliser en vieillissant ou du fait de certains troubles (ex. Alzheimer) o Comment faire en sorte que ce soit la maison qui aide la personne à rester à domicile ? o Nécessité de prévoir des soutiens techniques et humains pour aider les personnes quand la technologie trouve ses limites o Possibilité de s’appuyer sur les services offerts par les bibliothèques municipales / médiathèques pour initier à l’utilisation de ces outils ? Cela existe déjà, mais on constate que ces services sont peu utilisés, soit parce qu’il y a des difficultés d’accès aux structures, soit parce qu’il y a un manque de connaissance de ces services CR_Groupe4_réunion2_CG77_vdef Page 6 o Possibilité de développer des partenariats avec l’université inter âge ? o Possibilité de créer un réseau de formateur / SAV avec les facteurs - Au-delà, le secteur des services à la personne peut aussi être un utilisateur important de ces outils, car certains peuvent considérablement faciliter le travail des professionnels à domicile. o Il serait donc intéressant de travailler notamment avec les services à domicile, à la fois pour faire connaître les outils aux usagers, mais aussi pour identifier des besoins qu’il s’agisse des besoins des usagers en direct ou des besoins des professionnels intervenant auprès des usagers. Quelles sont les conditions de solvabilité ? - Des populations qui ont des retraites très faibles ne pourront pas financer ces technologies sans aide financière - Par contre, les usagers qui ont des revenus supérieurs peuvent y accéder mais ils ont besoin d’une communication et d’informations sur ce sujet pour créer la demande. o NB : actuellement plus de la moitié des bénéficiaires de télé assistance par ex. n’ont pas d’allocation pour cela et ne sont pas connus des services sociaux car ils n’ont pas besoin d’aides sociales. Solutions / propositions : - Soutenir les filières d’avenir et le développement des technologies favorisant l’autonomie par : o Une meilleure sensibilisation et information des usagers, des familles, des professionnels intervenant auprès des personnes âgées et des personnes handicapées sur l’intérêt de ces outils pour favoriser leur qualité de vie à domicile o Un référencement / une labellisation de certains produits ou services par le Conseil général qui répondraient à un cahier des charges défini. Ce cahier des charges pourrait notamment comprendre les éléments suivants : Intérêt du produit / service pour l’usager ou pour un professionnel intervenant dans le cadre du maintien à domicile, de l’accès aux soins, etc. Engagements sociaux respectés par le porteur du produit ou du service (notamment travail avec des entreprises de l’économie sociale, embauche de personnes en situation de handicap ou d’insertion professionnelle…) Etc. Liste à compléter et à travailler dans le cadre du montage d’une telle labellisation. Les produits / services labellisés seraient en partie financés via l’APA ou la PCH (le fonds de compensation ?) pour les personnes aux ressources les plus faibles o La création d’une association de promotion des usages numériques appliqués à la santé et à l’autonomie visant à recenser l’ensemble des produits ou services existants et à redistribuer les informations aux structures qui ont besoin de savoir ce qui est disponible pour accompagner les personnes âgées et les personnes handicapées o La création d’un bouquet de services permettant de faire connaître certains produits ou services et de les tester : En s’appuyant sur les acteurs intervenant régulièrement auprès des personnes (acteurs du secteur social ou médico-social quand ces personnes sont CR_Groupe4_réunion2_CG77_vdef Page 7 accompagnées par ces services, mais aussi acteurs du quotidien, tels que les facteurs par ex.) Dans ce contexte, il semble important de prévoir le service d’assistance en cas de difficulté technique notamment Autres thèmes abordés : - L’intérêt d’étendre l’AMSA (annuaire médico-social de l’autonomie) non seulement aux établissements mais aussi aux dispositifs en faveur des personnes âgées et des personnes handicapées (cf. échanges et propositions réalisés par le groupe 2) - La question du soutien à l’habitat est aussi un enjeu important quand il s’agit de favoriser le maintien à domicile : o L’adaptation de l’habitat est un élément clé de ce maintien Ce thème a été abordé par le groupe de travail n°6. - La question de l’insertion professionnelle des personnes handicapées psychiques ce thème a été abordé lors de la 1ère réunion mais nécessite des approfondissements. Il sera repris dans le cadre de la synthèse réalisée à l’occasion de la 3ème réunion. 3. Prochaine réunion La dernière réunion aura lieu le 11 juillet de 14h00 à 17h00 au Foyer de Villebouvet, 39 rue du laiton à Savigny le Temple Ordre du jour : - Retour sur le relevé des échanges de la réunion précédente : échanges et validation du contenu - Présentation des projets de fiches actions à proposer au Comité de pilotage du schéma - Poursuite des discussions sur les problématiques peu ou pas encore abordées afin de dégager des propositions opérationnelles pour le schéma, notamment : L’enjeu de la formation des professionnels en ESAT Synthèse sur l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap (notamment des personnes handicapées psychiques) CR_Groupe4_réunion2_CG77_vdef Page 8
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