Matric word cekoia Def - Seine-et

Conseil général de Seine-et-Marne
Schéma départemental de l’autonomie
PHASE DE CONCERTATION
Groupe 2 : Renforcer l’information, l’accueil de proximité, la
coordination et le travail de réseau entre les acteurs
Relevé des échanges – Réunion du 9 juillet
1. Participants
Représentants
Sabine ABA
Monique AUBINEAU-HERNANDEZ
Structures
Directrice territoriale adjointe AEDE
Directrice MDS Lagny
9 juillet
Excusée
Excusée
Anne-Sophie BONNEAU
Charlène BRULFERT
Excusée
Excusée
Brigitte CATALANO
Sophie CHAMPAGNE
Michel CHAMPEAU
Aziz CHERFAOUI
Stéphanie DECLERCK
Christine DELATTRE DUQUESNE
DPAPH CG 77
Responsable secteur Association Cantonale d'Aide
à Domicile (ACAD)
Action sociale MSA
Assistante sociale Centre hospitalier de Melun
(pôle gériatrie)
Chargée action sociale CNAV
Assistante sociale ITEP 77 MOSAIQUES
Chargé de mission MDPH 77
DSI CG 77
Evaluatrice APA Provins
Chef de service MDPH 77
Jeannine DESPOND
Marie-Laure DURANTE-LECONTE
Membre bureau CODERPA
Directrice MDS TOURNAN
Présente
Présente
Florence DYJA
Chef service SESSAD Adapei77 - SESSAD La
Pépinière
Présente
Christine GAUTHIER
Directrice SAV/SAMSAH Fondation les Amis de
l'Atelier
Présente
Christine GILBERT
Médecin coordonnateur, EHPAD Résidence
Harmonie
Directrice CLIC REPERAGE Pontault-Combault
Pr Club 3ème Age Les Aînés de Thomery
Présente
Adeline BURBAN
Jocelyne CAILLIERET
Sarah GIRARD
Jean-Claude GUILLAUME
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Présente
Présente
Présente
Présente
Présent
Présent
Excusée
Présente
Présente
Excusé
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Catherine HINARD-PESCHI
Directrice Foyer Logement CCAS Villeparisis 77
Présente
Pascale JOLLY
Myriam LANCA SERPE
Colette LLECH
Médecin CH COULOMMIERS
Chef de service CG 77
Maire-adjoint commune de Vaux le Pénil
Excusée
Présente
Excusée
Patricia LORTIC
Emilie MAREAU
Christine MARECHAL
Médecin ARS DT 77
Chef de service adjointe CG 77
Directrice Résidence Harmonie /Moret/ Loing
Présente
Excusée
Excusée
Marie-Claude MENIS
Isabelle NERY MARTINS
Directrice MDS MITRY-MORY
Référent géronto / handicap CCAS Roissy en Brie
Excusée
Excusée
Alexandra ONNEE
Directrice CLIC RELIAGE Lagny/Marne la Vallée
Excusée
Caroline PERON
Claude PLANQUETTE
Valérie POULAIN
Françoise RAYMOND
Corinne ROBIN
Jocelyne SIFFLET GUERQUIN
DPA CG 77
Pilote MAIA CENTRE 77
Gériatre CH Marne la Vallée
CG 77
Responsable du CLIC Reliage
Maire adjointe aux affaires sociales MAIRIE DE
MORMANT CCAS
Directrice CLIC SOUTIEN Nemours
Directeur général ASSOCIATION ANNE-MARIE
JAVOUHEY
DSI-ARS IDF
DSI-ARS IDF
Chef de service CAJ EMPS de l'Ourcq CAJ
Consultante Cekoïa Conseil
Présente
Excusé
Excusée
Excusée
Présente
Présente
Sandrine SIMON
Jean-Pierre VENAULT
Laureen WELSCHBILLIG
Bruno XOUAL
Yannick YVON
Livia CARVALHO
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Présente
Excusé
Excusée
Présent
Présent
Présente
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2. Déroulement de la réunion
2.1 Tour de table
2.2 Validation du compte-rendu de la réunion du 5 juin
2.3 Réflexions et pistes d’action proposées
2.3.1 L’organisation du circuit des entrées et sortie d’hospitalisation ainsi
que la gestion des urgences
Les participants soulignent que la qualité de la prise en charge est variable sur le territoire.
Lorsque les sorties d’hospitalisation sont gérées par le service social de l’hôpital, le lien est fait avec les
services intervenant au domicile des personnes âgées. Mais lorsqu’un autre service gère la sortie, ce lien
n’est pas assuré.
Le CODERPA témoigne d’une situation vécue : une personne âgée sortie à 18h de l’hôpital alors qu’il n’y avait
personne chez elle et que le CLIC et le CCAS étaient fermés. Le CODERPA a été contacté et ce sont les
voisins qui ont dû gérer la situation.
Pour les participants, ce type de situation est quotidienne, par exemple une personne âgée reçue aux
urgences sera renvoyée chez elle s’il n’y a pas de lit disponible1.
La problématique de gestion de la DMS génère également des sorties sans sollicitation des assistantes
sociales des hôpitaux. Parfois les équipes de soins considèrent le travail avec le service social de l’hôpital
comme un facteur rallongeant la durée d’hospitalisation.
Par ailleurs, les équipes de soins peuvent être en difficulté ou ne pas être rassurées avec les personnes
âgées hospitalisées qui semblent être isolées.
Les difficultés de retour à domicile concernent également les personnes en situation de handicap, notamment
les personnes handicapées vieillissantes.
Le retour à domicile en foyer-logement nécessite également une préparation malgré la présence d’astreintes.
Proposition :
- Mener un travail de sensibilisation auprès des équipes de soins afin qu’ils sollicitent le service social
de l’hôpital lorsqu’une sortie est envisagée. La sensibilisation peut notamment permettre d’expliquer
que les passages aux urgences et les sorties non préparées se traduisent souvent par un retour en
hospitalisation
Il serait nécessaire d’anticiper les sorties d’hospitalisation.
Un partenariat très proche des services intervenant à domicile avec les centres hospitaliers permettrait
d’anticiper plus souvent les sorties d’hospitalisation, cependant cela implique un travail partagé sur le terrain
(ex : organisation de réunions de synthèse…).
Les participants soulignent qu’aucun lien n’existe avec les cliniques
Proposition :
- Le travail de sensibilisation/information doit être réalisé avec l’ensemble des établissements sanitaires
1
Et que son état de santé le permet
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Sur le secteur sud du département, il existe des liens privilégiés entres les équipes des soins de suite et les
équipes APA. Ainsi en cas de difficulté, des réunions sont organisées pour présenter les dispositifs. Pour les
participants, il paraît nécessaire et important que les services hospitaliers perçoivent le temps qu’ils peuvent
gagner en préparant les sorties d’hospitalisation.
Il faudrait travailler dès l’arrivée aux urgences pour anticiper la sortie en cas d’hospitalisation. Cependant
certains participants soulignent le manque de moyens aux urgences (« la personne aux urgences ne peut pas
tout faire »).
Proposition :
- Créer une filière particulière d’accès pour les PA/PH sans passer par les urgences (comme sur le
centre hospitalier de Nemours)
- Réfléchir à la possibilité d’organiser une rencontre avec les cadres infirmiers, les équipes hospitalières
et les CLIC pour définir les critères qui doivent alerter les équipes lorsqu’une personne âgée est
hospitalisée et faire en sorte que le CLIC soit sollicité.
- Formaliser ces modalités de fonctionnement
Point de vigilance : certaines aides peuvent être mises en place rapidement (ex : aide humaine) alors que
d’autres nécessitent des délais importants (ex : aides pour l’aménagement du logement).
Certains participants proposent de mettre en place une astreinte départementale comme pour la protection de
l’enfance, notamment pour mieux connaître le nombre de situations concernées. Cependant la mise en place
d’une astreinte au niveau des CLIC ou des CCAS semble trop coûteuse et trop complexe pour être
opérationnelle.
Proposition :
- Sensibiliser les équipes de soins à garder une personne sur un lit-porte pendant la nuit afin de
contacter le CLIC le lendemain matin et permettre l’organisation de l’intervention des services d’aide à
domicile.
Point de vigilance : le suivi/prise en charge des usagers pris en charge sur les établissements sanitaires des
départements limitrophes
Les participants font remarquer qu’il existe une volonté de travail commun entre le médico-social et le sanitaire
et qu’il faudrait aller au-delà avec la mise en place d’outils communs au niveau du Département.
L’ARS a démarré la mise en place d’outils partagés2 (ex : outil de coordination sur les patients déjà identifiés),
notamment sur projet PAERPA et le programme des territoires de soins numériques.
Cependant, il existe plusieurs points à prendre en compte ou à définir :
- la multitude d’acteurs sur le secteur médico-social
- les modalités pour les mobiliser sur la construction d’un outil commun
- l’usage de ce type d’outil pour éviter les dérives et tenir compte des questions relatives au
droit d’accès à l’information et à la volonté de l’usager
- la notion de référent avec un accès total au dossier et l’accès limité pour les autres
professionnels
2
Voir présentation en annexe
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Propositions :
- Mettre en place une charte du partage des informations comme dans la protection de l’enfance
- Créer une base de données pour permettre aux équipes hospitalières d’avoir des informations sur
l’existant (est-ce que la personne est déjà connue ?, quels dispositifs ont déjà été mis en place ?…).
- Lancer une expérimentation de carte vitale sociale (passeport de l’autonomie) sur un territoire. Cette
carte appartiendrait à l’usager et son parcours y serait inscrit avec son accord
- Organiser un groupe de travail sur le partage d’information
2.4 Lecture et correction des fiches action à proposer au Comité de pilotage
du schéma
Commentaires sur les fiches action présentées :
- Préciser que les CLIC sont des portes d’entrée et des relais sur l’accueil et l’information en lien direct
avec les partenaires (généralistes et spécialistes) du territoire
- Rendre plus lisible l’articulation CLIC/MDPH et l’encouragement au travail en réseau
- Mettre plus en avant les partenaires associés
- Intégrer la sous-action « réfléchir sur l’évolution du nom des CLIC »
- Décliner les périmètres d’intervention (départemental, au niveau des territoires, local) et les missions
des différents acteurs (MdS, CLIC, MAIA, SAVS…)
- Retravailler les titres des actions et sous actions, par ex : « renforcer l’information »
- Définir la mission d’accueil
- Ajouter une action sur la participation du Conseil Général à l’expérimentation de l’ARS sur les
systèmes d’information (groupes de travail nomenclature/process/technique – septembre 2014)
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