e I i * ANNEE — 14 6 7 1 SAMEDI 33!JUIN 1916 LE NUMÉRO 5 CENTIMES 4* DU T Ê R E Araok bepred JOURNAL D'UNION REPUBLICAINE PARAISSANT L E SAMEDI A B O N N E M E N T D'UN AN Morlaix et Départements limitrophes. . . Les autres Départements P R I X DBS INSERTIONS a rr. 6 0 Rédaction et Administration : 4 Les abonnements se paient d'avance et partout des t«r ot 15 d° chaque mois. — L'abonnement fini, le défaut de renvoi des numéros suivants équivaudra à renouvellement. tnl» de recouvrement par la poste : 0 tr. 4 0 par abonnement Pour la production habitent dans un rayon de quelques kilomètres autour d'un dépôt ou d'un oantonnement. Mais, dans beauooup de départements, les unités sont dispersées dans des cantonnements nombreux et le nombre des bénéficiaires de la main-d'œuvre volante pourra encore être assez élevé ; au surplus, la situation aotuelle de l'agrioulture no permet de négliger aucun moyen de lui venir en aide, si faiblo qu'il puisse paraître au premier abord. Je vous prie de porter les instructions qui précèdent a la connaissance de tous los corn mandants d'unité, et de velllor a oe qu'elles soient observées dans toute la mesure du possible. « Il faut intensifier la productiou ; il faut empêcher le commerce ot l'industrie de péricliter, il faut favoriser la culture des terres. » Tel est le mot d'ordre du jour qu'on discute au Parlement, qui préoccupe le Gouvernement et que la presse, de toutes nuances, développe et comment*» a l'envi. C'est trôs bien et l'idée est évidemment louable de tendre à maintenir la prospérité du pays, pendant que nos soldats, sur los champs de bataille, versent sans compter leur sang pour assurer la victoire prochaine. Mais, pour organiser le travail national et lui faire produire un reudement appréciable, il faut des bras, et l'armée nous a pris nécessairement le meilleur de la nation. Les directeurs d'usines et leurs cm ployés les plus habiles, sont à l'armée ; a l'armée, la plupart des commerçants ; a l'arméo aussi, les hommes solides dont les bras se sont musclés aux durs travaux des champs. Il ne faut pas s'en plaindre. La défense de la Patrie passe avant toute autre considération. L e général Galliéni, qui avait donné Mais derrière les combattants, dans sa démission de ministre de la guerre les dépôts, demeurent par milliers des pour cause de maladie, avait subi il y hommes inoccupés ou, du moins, occu- n quelques jours une pénib'e opération. pés à des besognes dont l'utilité est Un m i e u x sensible s'était produit chez trop souvent contestable. le malade. Mais son état no tarda pas Le Ministre de la Guerre l'a bien à s'aggraver, et il succomba samedi à compris et s'est efforcé de réagir. 4 h . 4b. Il s'est heurté à la « routine » qui C'est un grand Français qui vient de consiste à immobiliser cent hommes là disparaître. où vingt suffisent amplement. AdminiHtrateur et soldat, lo général La résistance de ses bu- Galliéni a laissé dans tous los postes reaux l'ont empêché de mettre sur pied qu'il a occupé la mémoire d'uno actiune organisation rationnelle des servi- vité inlassable, d'une intelligence ces de l'arriére claire, et d'une volonté énergique. La mort du Général Galliéni On sait comme il a contribué en septembre 1914 à sauver la capitale menacée et pon rôle important dans la bataille de la Mf\rno. •Paris lui a l'ait jeudi des funérailles éraouvaulos. Gilbert s'est évadé On se souvient que l'avialeur'GJlberl, interné à Hospeuthal, s'était évadé lo 21 août dernier, et était rentré on France. Mais il était, à cetto époquo, prisonnier sur parole. Il avait bien averti par lettre les autorités militaires suisses qu'il reprenait cette parolo. P a r malheur, sa lettre, retardée, ne pprvlnt à destination qu'au moment où il avait déjà dépassé la frontière. Le gouvernement français ne voulut pas que la parolo d'un do ses olllciers pût ètro suspectée. Gilbert reeutl'ordro do so reraettro au gouvernement suisso le 28 août. Cette fois, Gilbert refusa de donner sa parole do no plus s'évader. Le b' février 1916, au soir, en compagnie de l'aviateur P a r y , Gilbert tenta une seconde fois do s'évader. Il était alors à Zurich. Reconnus à oieten, tandis qu'ils tentaient d'atteindre la frontière en chemin de fer, les deux fugilifs avaient été arrêtés et renvoyés fi Zurich, Une troisième fois Gilbert à tenté d'échapper à ses surveillants. Colto lois il a réussi. On ignoro encore à l'heure actuelle les circonstances d ) sa fuite, maid on sait qu'il est on Franco. — — a i — . , L'Invasion bulgare en Grèce \ ••• En présence dè la raréfaction croissante de la main-d'œuvre agricole, le Ministre de la Guerre, soucieux de venir en aide aux cultivateurs, dans toute la mesure de ses moyens, vient de rappeler aux commandants de région une circulaire du 22 décembre 1918, recommandantl'empbi de la main d'œuvre volante. Il y a lieu, dit cotte c i r c u l a i r e de donner L'attitude do la Grèce domeuro plus que jamais douteuse. Los troupes bulgares ont pénétré «ur lo territoire grec et occupé les forts Rupel, Caniovo et Dragoulu. L e roi de Greco a défendu à ses troupes do resistor et s'est contenté d'uno i protestation toulc pîalonlquo contre cotte invasion. Contre les accaparements d'or au système de la main-d'œuvre volante la On nous afllrmo quo do nombreuses plus grande extension possible, en autorisant associations su forment pour obtenir dos /as hommes à travailler ohez les cultivateurs du voisinage, non seulement pour une journée Chambres et du Gouvernement que les ou une demi-Journée, mal» mdme pour des pièces d'or déposées par les bons Franpériodes de deux ou trois jours, renouvelées çais dans les caisses publiques soient aussi fréquemment que les nécessités eu ser- poinçonnées après la guerre, avant d'êWot le permettent. Même les hommes sus- tre remises en circulation. oeptlbles de partir en renfort dans un bref Les pièces non poinçonnées n'ai; raient délai peuvent être ainsi utilisés Jusqu'à la der- plus cours apièu la guerro et subiraient nière minute pour la vie économique du paye. une réduotlon de 10 •/<>. c'est-à-dire quo Il eet vrai que lté seule agriculteurs pouvant lier bénéfice de oe procédé, sont eeux qui la pièce de 20 francs ne vaudrait plus 36, Rue de Brest A n n o n c e s J u d i c i a i r e s et diverses Otr. 2 0 Réclames O 80 F a i t s divers O 60 P o u r les a n n o n c e s de trois e t s i x mois ou à l ' a n n é e , on t r a i t e de g r é à g r é T a r i f d é c r o i s s a n t pour l e s A n n o n c e s p l u s i e u r s fois r é p é t é e — MORLAIX que 18 francs, et celle de 10 francs ne un magnifique e x e m p l e de c o u r a g e et d'abnégation. vaudrait que 9 franc». B r i g a d i e r au 35» d'artillerie, E t i e n n e Tous les corps constitués seront priés d'appuyer cette mesure qui s'étendrait Ollivier était au front depuis le début de la c a m p a g n e . également a u x pièces d'argent. Son i n t e l l i g e n c e , son esprit d'initiaiive Appliquée, elle serait une leçon pour le zèle a v e c lequel il remplissait ses m n e los mauvais patriotes qui gardent im- tions. n e tardèrent pas a le faire remarproductifs daua l"urs maisons, l'or que quer, et bientôt il fut n o m m é m a r é c h a l réclame impérieusement la Défense d o s - l o g i s . Aimé et estimé do s e s chefs, qui appré natioualo, et pour c e u x qui accaparent los petites pièces et los accumulent ciaiont s e s hautes qualités, il était adoré dans leurs tiroirs, sa^s se soucier des de ses h o m m e s pour sou c a r a c t è r e enjoué et l'entrain a v e c lequel il e n t r e t e n a i t l e u r difficultés qu'ils créent au commerce. m o r a l . Il eut, s a n s doute, rapidement conquis do n o u v e a u x grades, m a i s le dostin on avait décidé a u t r e m e n t . Lo . . . n o v e m b r o 1915, un formidable duel d'artillerie était e n g a g é à X . . . L e s coups se s u c c é d a i e n t s a n s interruption Les c a n o n s s'échauffaient et m e n a ç a i e n t d'éclater. V o y a n t le d a n g e r , Ollivier fit r e n t r e r Là bataille autour de Verdun se poursos h o m m e s dans l o i r s a b r i s , revint à sa suit avec un nouvel acharnement. Au pièce et c o n t i n u a le t i r . prix de pertes énormes, l'ennemi a pu Comme un officier l'invitait à prendre prendre pied dans une tranchée au sud l u i - m ê m e dos précautions, il répondit du bon de Gaurettes. « Nos coups portent en plein dans l e s Mais les allemands qui avaient pro- B o c h o s . L ' i n f a n t e r i e compto s u r n o u s . gressé vers Chattancoart ont subi un T a n t quo les c a n o n s tiendront, il faut échec sanglant, ot nous avons réussi t i r e r coûte que coûte. » L'accidout prévu so produisit : le c a n o n on hardi c o u p de main au sud-ost du fit explosion et Ollivier, m o r t e l l e m e n t Mort-Homme. atteint par un éclat, tomba près do s a pièce. Les habitants do Plouvorn et des enviLe communiqué officiel du jeudi 23 r o n s évoqueront longtemps le s o u v e n i r é m u de la physionomie, à la fois é n e r g i heures signale un nouvel effort de l'enque et douco, du j e u n e h é r o s qu'ils ont nemi du côté de Douaumont Après c o n n u et a i m é et que la mort fauche en plusiearsassauts Infructueux (la réussi plein-avenir. a pénétrer dans uuo tranchée entre L'auréole du sacrifice qui entouro s a Douaumont et V a u x . flu et "la c r o i x d'honneur qui vient d'être r e m i s e à son père, s e r o n t uu adoucissement à la douleur des sions et a u x p r o fonds r o g r e t s do s e s a m i s . CONSEIL MUNICIPAL L e 28 j u i l l e t 1914, une forte escadre a l l e m a n d e attendait te s i g n a l pour bomLe c o n s e i l municipal s'est réuni diman- b a r d e r L e H a v r e e t Cherbourg, puis c h e , e n s é a n c e e x t r a o r d i n a i r e , sous la d é b a r q u e r datts l a rade de Morlaix et à p r é s i d e n c e de M. F . H e r v é , m a i r e , assisté M o r g a t des troupes destinées à prendre B r e s t à revers ; l a m e n a c e de la flotte do M . E . Croissant, adjoint au m a i r e . b r i t a n n i q u e suffît à l a faire rentrer au i7 c o n s e i l l e r s étaient présents. Il n ' y port. L a flotte f r a n ç a i s e remplissait le avait à l'ordre du j o u r q u e l a question môme r ô l e de protection dans la Médidu c o l l è g e . terranée. M . l e m a i r e , e n o u v r a n t la s é a n c e , e x Mais l ' A l l e m a g n e avait préparé la pose qu'il a fait près dos pouvoirs publics do n o m b r e u s e ? d é m a r c h e s pour o b t e n i r g u e r r e de Course, il fallut purger la qu'une partie au m o i n s des l o c a u x du m e r ; c e t t e tuche était achevée en avril c o l l è g e fussent rendus au s e r v i c e de 1915. P u i s suivent l e s o p é r a t i o n s de l'Adrial'intornat. D e u x délégués du s o u s - s e c r é t a r i a t tique, des Dardanelles, de Salonique. Que d'Etat des s e r v i c e s do santé sont venus à 'de détails à r é g l e r pour débarquer, puis M o r l a i x . Après a v o i r rendu visite au a p p r o v i s i o n n e r l e s troupes. Aux Dardam a i r e qui l e u r a e x p l i q u é s e desiderata, nelles, pour •30.000 hommes il fallait' ils ont inspecté les l o c a u x du c o l l è g e e t 10 000 tonnes de matériel p a r mois, plus décidé qu u n e partie de c e s l o c a u x s e - 1.200 tonnes d'eau d o u c e par semaine. r a i e n t rendus à l'internat et que l'autre C o m b i e n d a v a n t a g e il en faut à Salonipartie d e m e u r e r a i t c o n s a c r é e au s e r v i c e que où n o t r e a r m é e bien plus nombreuse médical ; l'hôpital 40 devrait é g a l e m e n t est a c c r u e de l ' a r m é e serbe, sauvée par n o s e s c a d r e s de l a destruction, et par ê t r e restitué à l ' e n s e i g n e m e n t p r i m a i r e . T o u t allait pour lo m i e u x quand peu n o s m é d e c i n s des épidémies. L ' a r m é e s e r b e nous a imposé l'admirade temps après le p a s s a g e des d e u x délég u é s de M. Qodart s o u s - s e c r é t a i r e d'Etat, tion de s a for . e morale mais le concours un s e r v i c e de c h i r u r g i e s'installait au fraternel de n o s m a r i n s nous a valu la c o l l è g e a v e c l'intention avouée d'occuper r e c o n n a i s s a n c e é m u e de la Serbie. E n dehors de n o s opérations militaires tout l'établissement. M le m a i r e r e p r i t ses d é m a r c h e s p r ê t du s o u s - s e c r é t a i r e localisées, nous devons garder 400.000 d'Etat et de M. l e P r é f e t e t demanda à k i l o m è t r e s c a r r é s de m e r ; nos arsenaux n'ont c e s s é de t r a v a i l l e r pour la Guerre, ont M. F e n o u x , s é n a t e u r , d ' i n t e r v e n i r . M . F e n o u x e u t a v e c M. H e r v é u n c o n s t r u i t des c a n o n n i è r e s fluviales, armó é c h a n g e a c t i f de c o r r e s p o n d a n c e et d û - u n e flotte de c h a l u t i e r s , réparé nos nament documenté, se rendit au m i n i s t è r e v i r e s to" jours sur la brèche. L e s A n g l a i s n'ont pas moins fait. Le de l'Instruction publique e t au s o u s - s é budget de la m a r i n e b r i t a n n i q u e a passé c r é t a r i a t d'Etat du S e r v i c e de s a n t é . L e 26 m a i , il pouvait é c r i r e à M. Hervé : de 1.200 millions a v a n t l a guerre & 4.750 millions l'année d e r n i è r e ; l'Angleterre a Je sors du soussécrétariat d'Etat du service a c o n s t r u i t toute une flotte nouvelle de de santé. On m'a donné l'assurance que l'ao- c u i r a s s é s , de ; uonitors, de vedettes, do cord intervenu entre vous et les délégués du sous-marins. sous-secrétaire d'Etat serait respecté et qu'on L'effort n'es", pas moins grand pour le laisserait à l'établissement universitaire les p e r s o n n e l ; plus d'un m i l l i e r de marins locaux nécessaires à l'internat » ou d'ouvriers luttent ou travaillent pour Les troupes autrichiennes et italienA cette l e t t r e était j o i n t e u n e a u t r e l'amirauté a n g l a i s e . L e s flottes alliées nes se.livrent des combats acharnés. lettre du d i r e c t e u r du c a b i n e t de M . lo ont o r g a n i s é le blocus de l'Allemagne. Ce La progression autrichienne subit ministre de l'instruction publique, dont fut u n e t â c h e difficile à cause des comun arrêt. Les Italteus ont repoussé des p l a i s a n c e s des neutres, mais chaque jour nous e x t r a y o n s l e s p a s s a g e s suivants : attaques réitérées dans la direction du se r e s s e r r e la c o r d e qui tient l'ennemi à Les Morts Il y a eu fausse alerte. Le médecin qui a Mont-Spin et battu une colonne autrila g o r g e . Nous avons lo r e g r e t d ' e n r e g i s t r o r les passé à Morlaix après le docteur Monod, déléchienne à Santa-Blado. Les niarínes. m a r c h a n d e s ont fait, elles gué du sous-secrétaire d'Etat n'avait aucun mort suivantes : pouvoir et ce qu'il a pu dire n'avait aucune aussi, un cite 't c o n s i d é r a b l e pour répondre a u x b e s o i n s , m a l g r é la diminution importance M. G u s t a v e B E R N A R D du t o n n a g e due a u x réquisitions et à // n'y a plus aucune crainte à avoir, s'il y M. Gustave B e r n a r d , â g é do 23 a n s , d'autres c a u s e s , e t malgré les dangers soldat a u . . . « do ligne, tombé au Champ avait une difficulté nouvelle, je veillerais au que n o s m a r i n s de commerce ont supCitations règlement de cette affaire, conformément aux d'Honneur a M o r t - H o m m e le 3 m a i . porté s a n s uno hésitation, ainsi que eeux M. Y v e s C A R D I N A L Son frôro, F e r d i n a n d , q u i s'était e n g a g é promesses faites de l ' A n g l e t e r r e . J'ai fait préparer dès que j'ai reçu vos renToute la commune sora Hère do la ci- à 17 a n s et demi, est porté c o m m o disNe nous l a i s s o n s pas émouvoir par les tation ôlogleuse, obtenue par un des paru au r a v i n d'Emerisson, le 8 j a n v i e r seignements une lettre de réponse pour vous c r i m e s des s o u s - m a r i n s allemands, que j'ai remise au cabinet du ministre. enfants de Plonvorn, lo camarade Car- 1915. n o y a n t f e m m e s e t e e f a n t s ; ils ne nous dinal Yves, soldat au 71» d'infanterie. T o u s doux, avant l e u r départ pour l e Après a v o i r donne c o n n a i s s a n c e de e n l è v e r o u t pas l a v i c t o i r e ; ces quelques Citation a l'ordre du Régiment, n° Ш, r é g i m e n t , é t a i e n t typographos à l'impri- c e s documents, M . lo m a i r e propose au c r i m e s deviennent de plus en plus rares t t mal 1910. m e r i e Hamon et K e r v e l l e c , où ils étaiont c o n s e i l , qui l'approuve ù l'unanimité, un à m e s u r e que se p e r f e c t i o n n e notre déprojet de délibération e x p r i m a n t la n é - fense. trôs a i m é s do leurs c a m a r a d e s . Lo Ue»ronant-Co/ono/, commandant le 71 cessité absolue, tant au point de vue moNos n a v i r e s de s u r i a o e et nos sousrégiment d'infanterie, cite à l'ordre du régiM. P A R C H E M I N A L , L a u r e n t r a l q u e m a t é r i e l , do r e n d r e l i b r e u n e marins, pour ê t r e i lus humains, n'eu ment, P a r c h o m i p a l . L a u r e n t - M a r i e , soldat au partie du c o l l è g e pour les besoins de font pas m o i n s de b o n n e b e s o g n e . Cardinal Yvos, M. 03540, cfasso 1908, sol''internat. E c o u t e z le k a i s e r v e r s e r des l a r m e s de dat do f ro c/asse, 1" C . Très bon soldat, ..» d'infanterie, d e m e u r a n t place du S u r l'avis du m a i r e la motion suivante c r o c o d i l e s u r l e s souffrances de la populatrès bravo. Au front depuis lo début do la M a r c h a l l a c h , né à Plougonven lo 1 " j u i l tion qui contraindront les puissances centracampagne. Lo 16 juin 1915 est sorti avec sa let 1895, tombé au Champ d'Honneur en- est votée à l ' u n a n i m i t é . sootion pour s'emparer d'uno tranchée enne- tre lo l " e t lo 5 Mai, a u F o u r do P a r i s . Le Conseil municipal, réuni en séance ex- les victorieuses a la capitulation. L a v i c t o i r e des Alliés se produira sans mie. Son capitaine ayant été blessé mortelletraordinaire le 28 mai 1916, exprime à M. doute s u r t e r r e , m a i s c'est la mer qui M. N E V E U , J e a n - H e r v é ment d'uno grenade a la tête, il est resté près de lui toute la journée. N'est rentré que le Neveu, J e a n - H e r v é , tailleur d'habits, le sénateur Fenoux sa vive reconnaissance fournit les a r m e s . R e n d o n s donc justice soir après avoir pris tous los papiers quo le soldat au . . « d'infanterie, d e m e u r a n t r u e et ses chaleureux remerciements pour le à l'effort fait s u r m e r et saluons nos macapitaine avait sur lui. des V i g n e s , n é a M o r l a i x lo 21 f é v r i e r concours précieux qu'il a bien voulu apporter r i n s , c o l s bleus de l ' Y s e r o u des escadres franco-anglaises. T o u s n o s enfants ont 1895, tombe au Champ d'Honneur entro Depuis, le camarade Cardinal a été déà la cause de notro collège, concours qui droit à la m ê m e admiration affectueuse, le l « et lo 5, Mai au F o u r do P a r i s . coré do la médaille militaire lo 13 counous vaut la solution réconfortante qu'il nous qu'ils combattent sous le drapeau ou sous rant sur lo front. M. R O L L A N D , F r a n ç o i s transmet aujourd'hui, et qui vient apaiser le pavillon. C'est a v e c uno légitime fierté quo nous R e s c u c i t a n t l'union celtique contre les Rolland, F r a n ç o i s , f a c t e u r - t é l é g r a - notre appréhension. adressons a notre compatriote et a sa G e r m a i n s , les habitants des deux rives famille, qui demouro a Kervennec a r phisto, soldat au .* zouaves, 2G, place des L a s é a n c e est ensuite levée. de la M a n c h e luttent d'une môme ame Guon (Plouvorn) nos plus sincères ot Halles, n é au H a v r e le 23 Novembro 1894, pour f o r c e r à n a î t r e l'aurore de l a tombé ù l'ennemi le 25 août 1915. cordiales félicitations. g r a n d e p a i x du m o n d e . Conférence Nous prions los familles, en d«mil do Remise de décorations V i e n n e le j o u r de la mêlée sur mer, C'est devant un public n o m b r e u x et c e s vaillants soldats d'agrûer, l'oxpresils sont prêts les u n s et l e s autres. AdresDimanche, les habitants do Plonzévêdô slon é m u e do n o s s y m p a t h i e s . a t t e n t i f que M. P a u l C l o a r e c , c a p i t a i n e sons-leur, à t r a v e r s l'espace, l'assurance ont ou lo plaisir do voir la croix do de frégate, frôro du r e g r e t t é député do que nous les c o m p r e n o n s , q u e nous les guerre épingléo sur la poitrine do doux M o r l a i x , a fait m e r c r e d i u n e c o n f é r e n c e a i m o n s , q u e nous s o m m e s sûrs d'eux et poilus, compatriotes en permission : des plus i n t é r e s s a n t e s sur l'Effort des Alliés. crions ensemble : François Faujonr, do Créac'h-ar-Stang, La société d'éducation populaire prêVivent les marines alliées 1 et René Pronost, do Kerscaven. Ces tait son c o n c o u r s à l a r é u n i o n . Vive l ' A n g l e t e r r e et vive la France I vaillants ont été l'objet dos citations suiL a s c è n e avait c o n s e r v é s e s ornevantes : m e n t s d'ancre m a r i n e , plus quo j a m a i s L a c o n f é r e n c e de M. Cloarec, si claire, do c i r c o n s t a n c e , puisque l e c o n f é r e n - si d o c u m e n t é e , s e m é e de comparaisons l<autour, François, de la 23» compagnio Nous voulons v a i n c r e et nous v a i n - c i e r allait magnifier l'œuvre de notre frappantes, souvent i m p r é g n é e d'émotion du Silo» d'infanterio : Sur le front depuis le début de la campagne ; soldat très c r o n s I . . . La paix s o r t i r a do la victoiro Hotte ot que lo bénéfice de la soiréo de- t e r m i n é e par u n e v i b r a n t e péroraison, a dévoué. Blessé grièvement ù la poi- dos Alliés ! E l l e no peut s o r t i r quo do n o - vait ê t r e a t t r i b u é à l'œuvre do « S o u v e - v i v e m e n t i n t é r e s s é l e public qui ne loi a pas m é n a g é s e s applaudissements, et n i r do la F r a n c o a s e s m a r i n s . » trine par un éclat d'obus pendant le tro v i c t o i r e ! La F r a n c o vient d'ontendro c e s viM. .T. Philippe présidait, assisté de MM. qui les r e n o u v e l l e l o r s q u e M. Philippe, travail dans la tranchée, a fait preuve qui est bien l'interprète Adèle du public, de courage et de sang-froid en criant brantes paroles ; m a i s il ne suffit p a s P a r m e n t i e r , a d m i n i s t r a t e u r principal do r e m e r c i e le c o n f é r e n c i e r du plaisir & la и ses camarades accourus à son se , qu'ello les entende, il faut, de plus, qu'elle l'inscription m a r i t i m e , L e Guélinel trés o r i e r des Invalidos, Croissant adjoint au fois i n s t r u c t i f e t patriotique qu'il lui a !> cours : « Prenez garde, les gars, vous s'en p é n è t r e Nos e n n e m i s soutiennent la lutte p a r m a i r e , K é r c b o l président de la c h a m b r e p r o c u r é . allez vous faire attrapper aussi l » « leurs Industrie do g u e r r o » et c'ost « p a r do C o m m e r c e . M. M a x G u y , du théâtre Sarah-BerRené Provost, soldat do 1« olasso au c e s mômes industries » que nous a u r o n s M. Philippe, dans u n e allocution très nardht, dans s e s monologues, conquiert 23» d'infanterie colonial" : < Blessé deux raison d'eux. r e m a r q u é e présente A l'auditoire l e con- u n e fois de plus l e public qui a pris l'hafois depuis le début de la campagne. Augmentons donc n o s m o y e n s d'action. f é r e n c i e r , n o t r e c o n c i t o y e n , officier do bitude de se l a i s s e r charmer par lui. S'est particulièrement distingue au Et c o m m e il faut, pour y p a r v e n i r , d é - m a r i n e d'uno haute v a l e u r , dont la comUno seconde représentation de la pièce combat du 9 février 1910, comme gre- penser et dépenser encore, v e r s o n s a u pétence h o r s pair v a nous d o n n e r s u r c h a r m a n t e et é m o u v a n t e de M. Philippe, nadier, en défendant avec un courage Trésor, on é c h a n g e do Bons et d'obligations de la Provence, clôt la a g u e r r e n a v a l e des documents p r é c i e u x L e s naufragés remarquable un barrage violemment 5 o/O de la Défense toutes les disponibili- et dos a s s u r a n c e s r é c o n f o r t a n t e s . soirée. attaqué. tés dont nous pouvons disposer. Mlles II non et G r a l l et M. Delepines M . C l o a r e c prend e n s u i t e l a parole : Il s'agit m a i n t e n a n t d'agir vite pour sobre de g e s t e s , s a n s é c l a t s de v o i x , m a i s ont recueilI l e s m ê m e bravos qu'à la Les décorés sont sur lo iront dopuis a v e c u n e sûreté de diction qui sait souli- p r e m i è r e r e p r é s e n t i o n et il. Philippe, l'ouvorturo dos hostilités ot no sont pas n o s héroïques c o m b a t t a n t s . g n e r les passages saillants et é m o u v o i r i n c a r n a n t , en l ' a b s e n c e de M. de Saint- ' a leur premier coup ri'écla». A eux notro les auditeurs, lo c o n f é r e n c i e r c a p t i v e L a o n , le viol Alain, a v e c un naturel sympathique admiration. et u n e vérité saisissante à révélé qu'à son tout de suite l'attention. Les Morts Après avoir rapidement e x p o s é le but talent d'auteur il ajoutait un talent scôdu Comité de C o n f é r e n c e s dont nous nique r e m a r q u a b l e . M. Etienne O L L I V I E R avons indiqué a n t é r i e u r e m e n t l a c o n s COURS DU B E U R R E Nous avions, il y a quelques mois, lo retitution, le c o n f é r e n c i e r a e x p o s é l'ellort gret d'enregistrer la mortde M. Etienne 27 Маг, '240 fr. les lOOkilogs. accompli s u r m e r par la F r a n c o et l'AnDans les remerciements que nous Ollivier, llls du syinpalhiqno M. René ЬО Mai, 280 fr. — gleterre. avons adressés, la semaine dernière, aux oiilvler, marchand-éleveur, à Mez-arL a m e r , dit-il, j o u e dans c e t t e g u e r r e organisateurs de la soirée de gala, nous Lappi on Plonvorn. le r ê l e du Destin dans les t r a g é d i e s a n - avons omis de signaler leconcoursdôvouô P h a r m a c i e de service Les circonstances émouvantes do sa tiques ; si son action n'est pas toujours de MM. Guézennec et Marzio. Nous sommort, quo nous avons apprises depuis, La pharmacie de service dimanche visible, son influence d o m i n e l e s é v é n e - mes heureux de réparer aujourd'hui s u t dignes d'être relatées, c a r elles sont sera la pharmacie Barbier. ments. „ette omission. La Guerre La bataille de Verdun Communiqué du Jeudi M mai 23 heures Sur le Iront italien Les Morlaisiensà la guerre NOS COMPATRIOTES Л LA GUERRE e u r AUGMENTONS vite nos moyens d'action CHRONIQUE LOCALE L'ECLAIREUR DU FINISTERE ' P a i e m e n t dea A l l o o a t l o n a Les allocations seront payées à la Re finances de Morlaix le jeudi 8 Juin 1916, de 8 h. & 11 h. 1/2 pour les certificats noi 1 à 800. De 1 h. à 4, h. pour los certificats n " 301 à 600. Le Vendredi 9, de 8 h. a 11 h. ili pour les certificats n°» 601 à looo. De 1 h. a 4 h , pour lea oertiflcata n°« 1001 à la fin. Les bénéficiaires devront se présentoir striotement aux jours et heures cl-desms indiqué! et ae munir de l'appoint de la pièce de 5 fr. cette des P r i é e d'armes Une prise d'armes pour remise de dé* oorattons, aura lieu demain samedi 3 Juin au Poullet, à3 heures do l'après-midi Accident mortel M, J . - F . Tallabardon, 30 ans, qartlermaUre, dont lea parents demeurent au Verger, devait prendre mardi le train de 18 h. 45 pour Brest. Il arriva en retard a la gara, sauta par dessus le comptoir d'enregistrement des bagages et pénétra sur le quai. Le train était déjà on marche. M. Tallabardon voulut quand môme entrer dans un wagon. Il manqua le marohe-pied et glissa sur la voie. Quand on le releva il avait les deux jambes coupées au-dessus des genoux. L'esprit préoccupé de ses bagages, il eût encore la forée de s'écrier « ou est mon aao ? » puis il suocomba. Le malheureux devait se marier pro chainement. On se souvient qu'un de ses frères, surpris par uno machine haut-le-pied, avait été écrasé U y a deux ans. Au T h é â t r e Au CHEMINS DE F E R DE L ' E T A T L'Asthme d'été Validité prolongée dea billets d'aller et retour à l'occasion de la Pentecôte L e s billets d'aller et r e t o u r o r d i n a i r e s émis p a r les g a r e s du r é s e a u de l'Etat bénéficieront, oette a n n é e c o m m e les a n n é e s précédentes, d'une validité pro> longée A l'occasion de la P e n t e c ô t e . P a r suite de dispositions spéciales in aérées dans les tarifs, les billets d'aller et r e t o u r c o m p o r t a n t seulement dos p a r c o u r s dans l'intérieur de l'ancien r é s e a u de l'Etat, a u r o n t une validité exception nello un peu plus longue : du jeudi a v a n t la Penteoôte jusqu'au jeudi 28 J u i n . C'est ainsi quo les billets dont la déli v r a n c o a u r a é t é effectuée A p a r t i r du 8 J u i n pourront ê t r e utilisés a u r e t o u r jusqu'au t»' Juillet. Billets de bains de mer Des billets d'aller e t retour â p r i x r é duits, dits de bains de m e r , sont délivrés actuellement dans toutes les g a r e s du r é s e a u de l'Etat. L e s oatégorles de billets ainsi offertes a u x v o y a g e u r s pour la saison d'été seront les suivantes : S u r l'ensemble du r é s e a u , dos billets de toutes olasses valables pendant 33 j o u r s e t pouvant ètro prolongés d'une ou de d e u x périodes do 30 jours m o y e n n a n t un supplément do loo/o par période. S u r les lignes du sud-ouest, dos billets à validité réduite : 1* — billets du vendredi ou mardi ou d e l'avant-veille a u surlendemain d'une féte ; 2 ' — billets valables seulement le dimanche ou un j o u r férié. Librairie MA U V IE L M. Chaque année, dans la seconde quinzaine de m a i . pour d u r e r environ d e u x mois, apparaît l'asthme d'été. — Los i a , R u e de B r e s t , - M o r l a i x symptômes sont le c o r y z a , des picotements dans les youx, des ôlernuoments répétés puis enfin do la g è n e respiratoire, les bronohos so prennent et de véritables crises d'asthme se déclarent. — L e s meilк t.SO, 4.36, 0.9S, OMS, 0.S0, leurs remèdes A opposer A ces crises sont le Narizol Berthiot c o n t r e le r h u m e de OAS, 0.20 et 0.10. oerveau, et.la P o u d r e Louis L e g r a s c o u PUBLICATIONS DIVEMSES — JOUHNAUX la suffocation. L a P o u d r e Louis L e g r a s c a l m e instantanément les plus violents Papeterie, Registres, P r e s s e s à Copier a c c è s d'asthme, do c a t a r r h e , d'essoufleEncadrements, Gravures, ment, d'oppression, do toux, de veilles Papiers peints — Devants de Cheminée bronchites, et guérit progressivement. — Articles de Peinture Narizol Berthiot, 1 fr. 35 la boite. P o u d r e Couleurs Lefrano & Bourgeois Louis L e g r a s , 2 f r . 10. E n v o i c o n t r e mandat adressé à Louis L e g r a s , 139, Bd CIERGES & COURONNES MORTUAIRES Magenta, P a r i s . VOLUMES DE TOUTES COLLECTIONS AVIS On demande un j e u n e h o m m e de 10 à 17 ans c o m m e g a r ç o n do b u r e a u . * S'adresser au j o u r n a l . demande or* de Une chienne " R u e d e l a Mairie, 36 Vêtements confectionnés et sur mesure pour hommes et enfants F r a n c o du Catalogue CREME SIMON pourlatoileOe^ Le Gérant BREST - générai Membre e t d'échantillons de Fondateur la Ligue Anti-Germanique pour It Defense det.lntérêtt francali V o i r nos é t a l a g e s Y . L E QUÉRÉ. 1 à p a r t i r du SERVICE DE SEMAINE 13 13 14 14 14 M o r l a i x - F u n i c u l a i r o . . ..dép. Ploujean Lo B a s de la R i v i è r e . . Lo Dourdulf-en-Mer.. .arr. Plouézoc'h. .dép. Kermouster ( a ) . . . Saint-Jean-du-Doi)igt Plougasnou Saint-Nicolas-Lo Diben ( a ) . . Prhnol-Trégastol arr. Dépôt: PhermaoleCentrale COEFF-COQUART 9, Rue Carnot et Rue Notre Dame Conviendrait à Jardinier, Maraîcher Petite Ferme A LOUER Plouézoc'h Lanmeur Plouégat-Ouérand Ooasmelquin (a) Pont-Menou (a) Plostin-les-Qrôves pour fe 29 septembre prochain 40 50 » a, 6£ IG S' •a 14 14 14 14 14 15 24 «r 33 z> 45 1 51 F 56 * 2 S 14 23 14 44 14 53 15 00 15 2 15 10 dép. arr. e r .Juin 1 9 1 6 % Y 1CK DES DIMANCHES ET FÊTES (1) 3 101 Prli : 3 fr. Il grand* boitillli (fnico gin pir 3 flacons) du 36 Mai au 3 juin 1916 18 30 18 40 18 50 18 56 10 С Trains régulier» 201 203 205 8 50 9» 9 10 9 16 9 26 13 20 13 30 13 40 13 46 13 56 19 20 19 30 19 40 19 46 19 56 19 14 9 34 14 4 19 23 9 43 14 t3 19 a5 9 55 14 25 19 41 10 1 14 31 19 46 10 6 14 36 19 52 10 12 14 42 19 13 19 34 19 43 19 50 19 52 20 » 9 33 9 54 10 3 10 10 10 12 10 20 12 307 17 35 17 45 17 55 18 » 20 20 20 20 20 20 33 40 42 50 о D Au c h â t e a u de Landivineo • a Roscoff Un la demeure des époux de KORWIN LE VENDREDI 16 JUIN K Monsieur Gustave BERNARD Poursuites judiciaires K ces diffamateurs que, devant la» Jugea, il se charge de confondre. » L'auteur des O/oofies de guerre ajoute : Etude de M» L E VAILLANT, e J e n'a! ni la faculté, ni le loisir de ré* notaire à Plougasnou pondre par la voie de la presse aux traîtrises d'ennemie metqué» qui assassinent â travers mol l'Union Saorée. J e me fais seulement un devoir d'avertir, pour que nulle bonne fol ne puisse être surde gré A gré prise) qu'à mon très vif regret je me ou . •errais contraint d'englober dans les A VENDRE A. L O U E R pour le 29 septembre 1910 Maison et dépendances Au Bel-air, on Ploujeau S'adresser à l'étude. 216 6 50 658 7 00 7 li 7 80 7 40 11 il 11 11 il 12 15 50 15 58 16 00 16 11 16 20 16 40 25 33 35 46 55 15 208 A Primel-Trégastel dép. Sl-Nicolss-Le Diben (a) Plougasnou Saint-Jeandu-Doigt K e r m o u s t e r (a) arr. dép. и » _® Le Dourdufl-en-Mcr L e B a s de la R i v i è r e Ploujean Morlaix-Funicu'aire UNE MAISON Vente Mobilière sise à Morlaix, 4, rue des Fontaines comprenant : Au rez-de-chaussée 4 pièces. Au 1" étage, salon, salle à man- LE LUNDI 12 JUIN 1916 ger, office, petit salon. Au 2* étage, 3 chambre et sal'e de bains. Au 3* étage, 4 chambres. Jardin derrière la maison. S'adresser à Af* G. du PENHOAT, notaire. Etude de M* G. DU PENHOAT, notaire à Morlaix, successeur de M ' P O I L L E U A LOUER A une heure A Trohoat en S t - M a r t i n - d e s - C h a m p s Meubles meublants et objets mobilier de ferme, 2 chevaux, 7 bêtes à cornes, paille et lande en tas, e t c . A terme, 5 0/0 en sus. Consulter les affiches. Etude de M* ERUSSARD, notaire à Morlaix, successeur de M" F L E U R Y et de LANSALUT. pour fo 29 septembre 1917 LA MÉTAIRIE de Luzuria-Iaella Sise en la commue de Plourln S'adresser M DU PENHOAT, notaire 0 arr. 7» 7 6 7 13 7 18 7 29 7 38 16 » 16 6 16 13 16 18 16 29 16 38 7» 7 6 713 718 7 29 7 38 li 30 11 36 11 43 11 48 il 59 12 8 7 44 754 7 59 8 9 820 16 44 16 54 1С 59 17 9 17 20 7 44 7 54 7 59 8 9 8 20 12 16 12 26 12 31 12 41 12 52 16 44 18 18 16 54 A 16 59 17 10 17 20 18 54 pour /o 2 9 septembre prochain L a métairie de Kerjoaïc en la commune de Morlaix. S'adresser à M G. du P E N HOAT, notaire. Elude de M* ERUSSARD, notaire à Morlaix, successeur de M» F L E U R Y et de LANSALUT. 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Léon Durooùer. homme de lettres, valises, eaux minérales, bouteilen traitement à Lannion, où le « retient la nécessité d'obéir aux prescriptions des les vides, e t c . . médecins », nous prie, « pour qu'on n'ar Ordre de la vente : Les 16 et 17 gné d'un mutisme tremblant », d'annonoer qu'en dépit des prescriptions qui juin : batterie de cuisine, vaislui Interdisent de funestes émotions, il selle et lingerie. va « poursuivre avec une suprême vf Le 19 : continuation des artigueur, fa tête haute, sans rougir de per cles préoédents, bijouterie, parsonne— ni d'un père près de qui il an fumerie, jeux, chaussures. it à marcher au pas dans les rangs de Les SI et 22 : meubles et arGarde Nationale en 70, ni d'un neveu direct sortant de Gt-Syr qui a eu la jambe ticles précédents. Le 23 : malles, cave et articles brisée par une balle allemande, ni d'un propre frère qui en oe moment oontribue précédents. à la défaite des Neo-Vandales — de féroAu comptant S •/, en sus. Î 19, Rue de Siam Horaire provisoire des Trains (Service d'ÉTÉ) SANTE - FORCE - APPÉTIT ÉTAT-CIVIL DE MORLAIX p»r»onne d'exproprier ou de fratlonner ma conscience nationale ; Je revendique le droit Intégral débattre du tambour à ileia cœur pour oeux qui défendent la ustlce, la liberté, la civilisation. » THIERY & SIGRAND S'adresser au j o u r n a l . s'ils sont f a l b l e a ou Cette préparation, dix fois plus active que l'huile d e foie de Morue, e x c e l l e n t e a u goût, leur d o n n e r a toujours, e n très peu de temps treotement se rendraient complices Sd'odieuses Infamies. J e ne permets à Grands Magasins d!Habillemen ts sont pAlea et d é l i c a t s téjour à Kioto, voyage au japon ; der- ounulf» Judiciaire» les confrères qui F O N D É E E N 1859 Envoi nourrice et Septembre. LIGNE DE MORLAIX A PRIMEL ET PLEST1N-LES-GRE VES L I P L U S AGRÉABLE D I S F O R T I F I A N T S NAISSANCES v Armando Penneo, fille de Armand ot de Maria Morellec, rue Hippolyte Violeau. —• Luoienne Moriou, fille de Jean et de Marie Primot, ruedes Bouohera, 30. — Julie Calbecke, fille de Jean et do Véronique Debonne, àLena. — Marie Calbecke, fille de Jean et de Véronique Debonne, à Lena — Paul Loxach, fils ae Alain et de Marie Garlón, ruedes Brebis, 44. PUBLICATION Désiré Martin, plombier et Augustine Havirel, commerçante. MARIAGE François Le Steun, journalier et Marie Le Gall, laveuse. DÉCÈS Marie Nédellee, 45 a. 7 m., quartier du Château. — Anne Mariais, veuve de Jean Le Gàll, 76 a. 2 m., quartier du Château. — Joséphine Cávala n. 49 a . , quartier du Château. — Gaston Lesoher, xo a. 9 m., Hôpital 35. — Maria Lavieo, 3 * a . 9 m . , rue Ange-de-Guernisao, 66. — Jean Talabardon, 29 a. 9 m., a la gare. — Marie Breton, veuve de Auguste Lebreton, 48 a. 11 m.,PlaceEmlle-Souvestre, 4. —Marie Quelleo, veuve de Le Deunff, 59 a. 4 m., quartier du Château. rue de Brest, 24, à Morlaix. Téléphone 94. Maison F r a n ç a i s e r Vniqu9 suite seront fermés le dimanche p e n d a n t les m o i s de J u i n - Juillet - A o û t AUXMËRESDE FAMILLE tin ; Patachon imite Pégoud comédie ; Camélias, A l « M a r q u u Franga M Elle donnera L a Dame aux S'adresser MACHINES à ÉCRIRE Écriture très visible ; derniers perfectionnements ; grande solidité « CONTINENTAL » 4 L ! « NEW-AMERICAN » S l'œuvre oélèbe d'Alexandre Dumas fils, jouée par Sarah-Bornardt. « AU BON ACCUEIL » Vgvm m a n q u e n t d'appétit Emouvoir et égayer tour à tour le pu* VOS s'ils sont atteints de bile, tenir en éveil l'attention p a r l a vao u r m e (toque), fflanriété du spectaole. tel est le succès cons- E N F A N T S es, e c z é m a ou mute tant de la direction du cinéma. a u t r e affection do voici le programme de cette semaine la p e a n qui réalise pleinement ces conditions : Fraternité d'Arme» grande scène N'HÉSITEZ PAS I dramatique en 3 aotea ; le vieux médaillon charmante oomédie ; à Salonique, D o n n e z - l e u r d u ( x l y c o p h o s p h a t o l LL MRILLIUR DIT DÉPURATIFS visite du général Sarrail au roi Constan- L a Dam* a n s Camélias Annonçons que la direction du olnéma réserve la semaine proohaine une heureuse surprise à aes fidèles. MM. DÉNIEL et L E ROUX informent le public qu'ils tiennent à sa disposition des Au 'os pour excursions, courses, etc. les magasins de nouveautés Compagnio des Chemins de fer Armoricains. — Réseau du Finistère Cinéma comédie. A p a r t i r du dimanche 4 J u i n 1 9 1 6 des billets valables suivant lo c a s : 3 j o u r s , 4 J o u r s ou 10 j o u r s . SI nier exploit dea suffragettes, joyeuse AUTOMOBILES DE LOCATION в 18 13 18 18 18 28 18 39 1 D U F I N I S T E R Araok bepred JOURNAL D'UNION REPUBLICAINE PARAISSANT L E SAMEDI P R I X D E S INSERTIONS A B O N N E M E N T D'UN AN Morlaix et Départements limltrephos s fr. 8 0 Les a u t r e s Départements 4 »» Les abonnements se paient d'avance et partout clos !«<• et 15 d° cbaque mois. — L'abonnement fini, le défaut do renvoi des numéros suivants équivaudra à renouvellement. fruì» de recouvrement par lu post» : O t r . 4 0 pur abonnement I* Ugi>« Rédaction Un deuil cruel frappe l'Angleterre Lo Ministre de la Guerre, Lord Kitohe ner, s'ôtaitembarqué à bord du croiseur Hampshire pour se rendre en R u s s i e . A l'ouest des îles Orkuey, le croiseur Les premières nouvelles de la ba- sombra brusquement, coulé soit par taille navale livrée au large du une mine, soit par uuo torpille, entrai Jutland avait provoqué chez nous une nant Lord Kitchener, l'état-major qu émotion pénible. l'accompagnait et l'équipage du navire Pendant que les Anglais, en effet, C'est pour l'Angleterre une perte par reconnaissaient loyalement leurs portes, ticulièremont douloureuse. les Allemands exultaient, et, selon leur Avec Lord Kitchener disparait le plus habitude, autant pour relever le moral glorieux soldat de l'Angleterre et l'une de leurs compatriotes qui semble sin- des plus grandes figures de l'histoire gulièrement déprimé depuis quelque britannique. temps, que pour impressionner les Les Français s'associeront d'autant neutres, se hâtaient de proclamor l'implus au deuil do nos alliés, que Lord portance de la victoire qu'ils venaient Kitchener, en 1870, s'engagea sous nos de remporter. drapeaux. On pavoisait et on illuminait à BerIls se rappelleront aussi qu'il est lo lin, les cloches sonnaient à volées leurs créateur de l'armée nationale anglaise, carillons de (été, les écoles avaient et que c'est grâce à БОП énergie, que la congé, et au Reischstag le président du petite armée anglaise dont se moquait conseil magnifiait déjà la splendeur de le kaisor on 191s, est devenue une ar la puissance navale allemande et es- môe do 4 . OOU.UOt» d ^ o m m e s . comptait les avantages Incalculables que l'Allemagne allait retirer de sa victoire. 1 • Mais les pseudo vainqueurs nont pas tardé à décuautor. Si serrées que soient les mailles de la censure allemande, elles n'ont pu arrêter les renseignements qui de jour en jour, attestent les lourdes pertes subies par la flotte du kaiser ; un dreadnought et un cuirassé ont été coulés, trois autres fortement endommagés, deux croiseurs de bataille, trois cr liseurs légers, neuf contre-torpilleurs et un sous-marin ont sombré. Los dommages subis par un certain nombre d'autres navires da diverses catégories seraient assez graves pour condamner au moins momentanément la flotte de haute m e r à l'inaction. Du côté de la flotte britannique les pertes sont d'après les déclarations très complètes de l'amirauté anglaise : trois croiseurs de batailla et un croiseurcuirassé, deux croiseurs légers et huit contre torpilleurs coulés. Tous les au'batiments et en particulier les dread noughts sont rentrés au port à ce point indemnes qu'ils ont recommencé immédiatement à faire du charbon en vue d'une nouvelle sortie qui aurait pu être nécessaire. En comparant les pertes subies par les belligérants il est facile de constater que la marine allemande a été beaucoup plus affectée que la marine anglaise. Celle-ci n'a perdu que des croiseurs, c'est-à-dire des bateaux de second ou de troisième ordre au point de vue de la valeur combative tandis que la marine allemande a perdu non seulement des croiseurs de bataille et autres croiseurs presque en même nombre que l'Angleterre, des petits navires torpillés en plus grand nombre, mais encore des dreadnoughts, c'est-à-dire des navires de combat par excellence. Il en résulte que la puissanco maritime de l'Allemagne est sensiblement diminuée par la battaillo du Jutland, tandis que celle de l'Angleterre n'est pas atteinte. Voilà le résultat le plus certain de cette bataille. Administration La Guerre La bataille de Verdun L e P o r t d« V a u x e s t t o m b e L a bataille dans la région de Verdun se poursuit avec un acharnement inoui. a. Apres trois mois d'efforts,après avoir sacrifié des milliers d'hommes, IQS Allemands ont Uni par s'emparer du fort de V a u x . A la suite des bombardements vio lents dirigés, par l'artillerie allemande la liaison entre la garnison du fort et les troupes placées a 3UÜ métrés du fort n'avait pu être maintenue. Pendant 7 jours, malgré l'absence de ravitaillement, le commandant Raynal et sa phalange de héros ont tenu tète à l'ennemi, subissant héroïquement un effroyable inannitago et les assauts sans cesse renouvelés des formations appar tenaut à deux divisions fraîche» urne nées sur le champ do bataille. La chiite de Vaux était forcée. C'est uu maigre succès pour les Aile mands, si l'on considère lo prix auquel il a été payé. Les abords du fort sont encore occupés par nos troupes qui b i i sent tous les assauts de l'ennemi. D'autre part notre ligne de résistance constituée par les forts de Ta vannes, de Souville, les nombreuses batteries de Fleury et de Froide-Terre soutenues ar les forts de Belle-Ville et St-Michol oit-être considérée comme la plus forte des ligues que nous possédons devant Verdun. S Une grande victoire russe 40.000 prisonniers autrichiens Los R u s s e s viennent do prendre en Volhyaio une vigoureuse oll'eusivo qui a brillamment débuté. Un télégramme du b juin annonçait que dan* le combat commencé sur le front du Pripiat à la frontière roumaine, les R u s s e s avaient fait 13.000 prisonniers et saiii de nombreux canons. Le lendemain nos alliés avaient encore développé leur succès : à la date du 6 juin, le nombre de leurs prisonniers s'élevait à 900 ofllciors et 40 000 soldats, 77 canons, 134 mitrailleuses et 49 lance bombes sont restés uux mains des vainqueurs. Les portes autrichiennes dopassent 100.000 hommes. do l ' e n n e m i , p e u v e n t d é j à ê t r e c o n s i I dorés: c o m m e u u e i m p o r t a n t e v i c t o i r e . Sur le front italien S u r l'ensemble du i r o n t l e s I t a l i e n s repoussent, a v e c s u c c è s l e s a s s a u t s des A u t r i c h i e n s . Sur nier Une grande bataille navale D a n s l ' a p r è s - m i d i du 31 m a i , u n e b a taille n a v a l e s ' e s t l i v r é e a u l a r g e du Jutlaud, entre u n e encadre anglaise e t toute la (lotte d e h a u t e m e r a l l e m a n d * , c o m p o r t a n t 90 n a v i r e s do t o u t e s c a t é gories. Les Anglais ont perdu : les croiseurs de b a t a i l l e Queen-Alery, Indé/atigable Invincible e t l e s c r o i s e u r s Defence e t Blach-Prince et 8 contre-torpilleurs. L e s Allemands ont perdu : D e u x c u i r a s s é s : Pommern et Wesl/a len ; D e u x ( c r o i s e u r s de b a t a i l l e , d o n t ; l e LuUoui ; Q u a t r e c r o i s e u r s l é g e r s , dont le Frauenlob, VElbing, l e II iesbaden. 9contre-torpilleurs, plus.un nombre inconnu de sous-marins. L ' a r r i v é e d e n a v i r e s d e renforts a n g l a i s , a m i s on fuite l a flotte a l l e m a n d e q u i « ' e s t e m p r e s s é e de r e g a g n e r s e s ports, pour é v i t e r un d é s a s t r e . , (TRAVAILLONS TOUS pour la Défense Nationale ; T o u s , nous devons t r a v a i l l e r pour la Défense N a t i o n a l e . Nos soldats m a î t r i sent l'ennemi, nos o u v r i e r s , dans les usines fabriquent nuit et j o u r les fusils, les c a n o n s , les m u n i t i o n s . Los é p a r g n a n t s doivent prêter au T r é s o r tout l ' a r g e n t qui lui p e r m e t t r a de fournir à n o s défenseurs l e s m o y e n s m a t é r i e l s p >ur a s s u r e r leur puissance. E n é c h a n g e de c e t a r g e n t que nous r e m e t t o n s au T r é s o r , nous pouvons sousc r i r e a u x Sons 4 «/o et 5 ou aux Obligations 5 Va de la Défense Nationale, c'est-Adiro : des titres dont les intérêts e x e m p t s d'impôts, payables d'avance, constituent un e x c e l l e n t p l a c e m e n t . E m p r e s s o n s - n o u s donc do répondre à l'appel du pays. Disposons do nos r e s s o u r c e s s a n s t a r d e r au prollt du T r é s o r Les semeurc de haine Il y l'avis Brest sage» a quinze jours, nous signalions ntîiohô à bord d'un navire do et dont voici les principaux pris : « Les permissionnaires de 24 heures qui assisteront à la messe célébrée à bord, pourront partir dès qu'elle sera terminée. « Les permissionuaires ordinaires du jour qui s'y rendront iront à terre après la messe pour tout le courant de la journée. « Les permissionnaires de 24 heures n'allant pas à la messe, quitteront le bord à 1z h. 30 seulement. » Nous prétendions qu'il y avait là une pression, marquée par le régime do laveur accordé aux murins qui voulaient assister à la messe. nous accuse Là-dessus, la Résistance de « phobie » et nous traite de « s c meurs de baine. » Si l'on considère d'autre part, que Et pour motiver ses aménités, elle seule une très petite partie de la Hotte afllrme quo le commandement aurait anglaise luttait contre toute la flotte simplement voulu faciliter l'assistance de haute m e r allemande, et qu'à l'arria u x offices dans les paroisses do llrest, vée des renforts anglsiB celle-ci a préaux marins catholiques. cipitamment prlf lafultp, Bosontant perE t voilà comment un pieux journal due dès qu'elle n'avait plus la supérioNouveaux suooés russes sait, élégamment fausser un texte et rité écrasante du nombre, il sera permis 11.000 p r i s o n n i e r s torturer avec maestria la v é r i t é . d'arriver à cette conclusion rassuranto Les R u s s e s accentuent leur s u c c è s . Et quand, au surplus, la messo aurait que la marine allemande est totalement ils out occupé la villo do Loutsk, ot eu lieu dans les paroisses do Brest, au incapable de tenir tète à la marine brienlevé une série de nouvelles positions 'ieu d'être célébrée à bord, quello raison tannique. autrichiennes fortement organisées. égltime y avait-il d'établir deux mesuEn Oalicie les troupes russes sont res : l'une tout avantageuse pour ceux arrivées près do la S t r y p a . qui assistaient à l'office, l'autre afTecEn outre des 40.000 prisonniers fait t«nt une sorte de punition pour c e u x hier, ils ont pris 68 ofliciers et 11.000 qui n'y allaient pas ï La Chambre a adopté lo projet d'a- soldats, et un nombreux matériel. La simple justice n'exigeait-elle pas vance de l'heure légale tel quo lo Sénat Les résultats des combats qui se que tous les permissionnaires pussent l'a voté. sont déroulés du 4 au 7 j u i n en V o l h y - . sortir à la mémo heure et eussent lo La loi sera appliquée dans la nuit du 1 nie et en Oalicie et qui ont déterminé I droit do profiter comme il leur aurait 14 au 15 juin. * renfoncement profond du front fortifié I convenu de leur liberté ? L'heure légale est avancée : A n n o n c e s J u d i c i a i r e s et diverses O tr. 2 0 Réclames O 80 F a i t s divers O 60 P o u r les a n n o n c e s de trois et s i x m o i s ou à l'année, on t r a i t e de gré à gré T a r i f d é c r o i s s a n t pour l e s A n n o n c e s plusieurs fois r é p é t é e 36, Bue de Brest — MORLAiX La mort de Lord Kitchener La bataille du Jutland et Nous maintenons qu'il y a eu pression sur les marins d u . . . pour les contraindre à aller à la messe, et nous concluons que les semeurs de haine sont surtout c e u x qui établissent ainsi des distinctions entre des hommes qui, appelés au même titre à servir leur Patrie et considérés comme é g a u x devant le danger, ont le droit de réclamer aussi l'égalité de traitement. Paquet du Prisonnier de l'Arrondissement do Morlaix Les lots do la loterie du P a q u e t du P r i s o n n i e r non r é c l a m é s avant le 15 j u i n r e s t e r o n t acquis à l'œuvre et n e s e r o n t plus délivrés après cette date. L a réunion g é n é r a l e des sous-comités de l'arrondissement se tiendra, samedi 10 j u i n , salons do l'hôtel de ville, à 1 b . 1/2 après-midi. Souscriptions L a n h o u a r n e a u , écolo do filles, (Mme Lintilbaoj G francs. P l o u g o n v c n id., (Mme Guivarch), 8 f r . P l o u g a r , au paiement des a l l o c a t i o n s (M. Gélin, perceptour, M . B i d e a u , insti tuteur), 2 0 f r a n c s . Les Morlaisiens à la guerre Citation M. J e a u . I N I Z A N M. J e a n Inizan. g a r ç o n b o u c h e r chez Madame Castel, de la b a r r i è r e de B r e s t soldat au 118« r é g i m e n t d'infanterie viont d'ôtro cité à 1 o r d r e du r é g i m e n t dans les t e r m e s suivants :• Au front depuis le début ; pendant les vio lents bombardements du 2 au 6 avril, a sans souci du danger, assuré les liaisons téléphoniques do son poste. Nos vives félicitations. CHRONIQUE LOCALE COURS 5 Juin, 6 Juin, DU 308 fr. Ics 310 fr. BEURRE lOOkilÓgs. - l'li«riiinf<<> d e e e r v i e e L a p h a r m a c i e de s e r v i c e d i m a n c h e s e r a la p h a r m a c i e Coëff. Avis important S u i v a n t les prescriptions r é g l e m e n t a i res, tout chion laissé en libertó dans la r u e d o i t ô t r o muni non s e u l e m e n t d'un collior, m a i s c e c o l l i e r doit de plus porter une plaque indiquant le nom e t l'adresse du propriétaire do l ' a n i m a l . Nous s o m m e s priés d'aviserles I n t é r e s sés quo des o r d r e s s é v è r e s o n t é t é donnés pour fairo o b s e r v e r le r è g l e m e n t ; tout chien qui s e r a r e n c o n t r é démuni de coll i e r ou n e portant qu'un c o l l i e r s a n s plaque indicatrice s e r a mis ou f o u r r i è r e ot son propriétaire s e r a l'objet d'une c o n travontion. Concours de bourse* a u x Collèges Los familles sont a v e r t i e s que l ' e x a m e n pour l'obtentlondesboursos c o m u n í c a l e s , a u x c o l l è g e s de g a r ç o n s o t d e filles, a u r a lieu à la m a i r i e , lo (3 j u i l l e t A 8 h e u r e s . L e s épreuves, e x c l u s i v e m e n t é c r i t e s , c o m p r e n n e n t u n e dictée, uuo n a r r a t i o n ot des problèmes arithmétique de la force du cortilleat d'études p r i m a i r e s . P o u r permettre a u x b o u r s i e r s qui s e ront admis eu s i x i è m e , au mois d'octobre, do t o r m i n e r c o m p l è t e m e n t lours études, et pour l e u r d o n n e r a c c è s a u x g r a n d e s écoles, avant l'ô| oquo dos obligations militaires, le Conseil Municipal a décidé d'abaisser d'un an la limite d'ftgo : Nul no pourra désormais otro candidat s'il a dépassé l'Age de ouzo a n s et s i x mois au 31 m a r s de l'année du c o n c o u r s . I l o s t d u devoir et d e l ' l n t é r ô t des parents pou furtunôs do p r é s e n t e r a u x épreuves l e u r s e n f a n t s dont les aptitudos auront été c o n s t a t é e s A l'école p r i m a i r e . Après le cortilleat d'études, tout élève intelligent et l a b o r i e u x doit prétendre à uno c a r r i è r e plus l u c r a t i v e qu'un simple m é t i e r et A laquollo des études s e c o n daires seules peuvent j i r é p a r e r . E n mettant A profit s e s facultés, dans toute la m e s u r e des m o y e n s qui lui sont a c c o r dés par la villo, il r e n d r a s e r v i c e , non pas s e u l e m e n t A l u i - m ê m e et A sa famille, mais e n c o r e A la nation qui, plus quo jamais, a u r a besoin d'esprits cultivés, e n t r e p r e n a n t s ot vigoureux, capables de prendre part au développement i n t e n s i f de n o t r e p u i s s a n c e é c o n o m i q u e après la guerre. R e m i s e de décorations S a m e d i a p r è s - m i d i , u n e foule nomb r e u s e s e pressait s u r l e c h a m p de foire du Pouliet, où M. le c o m m a n d a n t L a g i i e allait p r o c é d e r à u n e c é r é m o n i e t o u j o u r s é m o u v a n t e , c e l l e de l a r e m i s e de d é c o tions. A 3 h e u r e s , l e s troupes de l a g a r n i s o n p é n è t r e n t s u r l e c h a m p de foire et s e form e n t on c a r r é , au c e n t r e duquel s e tiennent MM. G e o r g e s H e r r , sous-lieutenant au 19« et M . T a i l l i e z , Augustin, c o n d u c teur-canonnier. C r o i x de g u e r r e e t L é g i o n d ' h o n n e u r M. Georges H E R R L e c o m m a n d a n t fait o u v r i r le b a n e t donne l e c t u r e des d e u x citations ôlogieuscs suivantes : « L e g é n é r a l c o m m a n d a n t l e 11« c o r p s d'armée c i t e A l'ordre du c o r p s d ' a r m é e ; Le sergent major Herr, Georges, d'> la 12' compagnie du 19» régiment d'infanterie. Parti comme soldat de 2» classe, a fait la retraite, le combat de Lenharrée. Dans la matinée du 25 septembre 1915. est monté résolument avec sa section h l'assaut des premières lignes allemandes devant Tahure ; est resté plusieurs heures sur la plaine avec quelques hommes, sous un feu violent oUs bombes et de mitrailleuses, montrant ainsi de belles qualités de ténacité et d'endurance. M. H e r r , G e o r g e s , F r é d é r i c . R e n é , sous-lieutenant de r é s e r v e A T . T . au 19« r é g i m e n t d'infanterie a é t é n o m m é dans l'ordre de la L ô g i e n d'Honneur au g r a d e de C h e v a l i e r . Le 19 Avril 1916, à pris spontanément le commandement de sa compagnie dans des circonstances critiques et diflicdes, l'a superbement entraînée a la résistance et a réussi à arrêter /'attaque ennemie en lui causant des perles sensibles. Grièvement blessé « la mâchoire, n'a consenti à so faire panser quo lorsqu'il eût comuniqué, par écrit, les plus utiles renseignements, et signalé ceux de ses subordonnés qui s'étaient fait remarquer. Déjà cité à l'ordre. La présente nomination c o m p o r t e l'attribution d e l a c r o i x d e g u e r r e a v e c p a l m e . Le c o m m a n d a n t s'approohant a l o r s de M. Herr, lui épiDgle s u r l a poitrine la c r o i x do g u e r r e et la c r o i x de la L é g i o n d'honneur e t lui donne l'accolade, a u x applaudissements de l'assistance. L e nouveau l é g i o n n a i r e s'efforce d e r e s t e r impassible. Mais on devine la profonde émotion qui l'agite, émotion q u e double e n c o r e l e , s e n t i m e n t qu'il r e ç o i t la g l o r i e u s e r é c o m p e n s e des b r a v e s , devant la maison paternelle, a u x l i e u x m ô m e s qui furent l e s témoins de s a j e u n e s s e . L e nouveau d é c o r é , a v o c a t A P a r i s , e s t le frère de M. Edouard Herr, d i r e c t e u r do la B r a s s e r i e du Pouliet, c o n s e i l l e r municipal. Il est très e n t o u r é e t v i v e m e n t félicité par les n o m b r e u x a m i s que compte s a famille A M o r l a i x , des hautes distinctions qu'il a si b r i l l a m m e n t c o n q u i s e s s u r le c h a m p de b a t a i l l e . C r o i x de G u e r r e e t M é d a i l l e . M i l i t a i r e Al. A u g u s t i n TAILLIEZ Le c o m m a n d a n t fait de nouveau o u v r i r lo ban, et après avoir donné l e c t u r e de la belle citation suivante, é p i n g l e l a m é daille militaire, s u r la poitrine de M . Tailliez Augustin : Augustin Tailliez, c a n o n n i e r conducteur r e n g a g é A la 8* b a t t e r i e du 15" r é g i m e n t d'artillerie : Etant agent de transmission, a fait i'admiraVon de tous ceux qui étaient présents en allant pendant dix jours, sous des rafales extrêmement violentes d'obus de gros calibre, porter des ordres au lieutenant de la batterie. Le 11 mars a été blessé grièvement au bras gauche en accomplissant sa périlleuse mission. La p r é s e n t e nomination c o m p o r t e l a c r o i x de g u e r r e a v e c p a l m e . L'imposante c é r é m o n i e so t e r m i n e p a r lo défilé dos troupes devant les h é r o s do la j o u r n é e , a u x q u e l s nous s o m m e s heur e u x d'adresser nos m e i l l e u r e s félicitations. Mort expliquée Il résulte de l'enquôto du P a r q u e t de M o r l a i x , a p r è s déclaration d'un témoin présent au m o m e n t de l a mort de M . J e a n P ô r e a u , médecin a u x i l i a i r e au. 72« infanterie que c e d e r n i e r a é t é v i c t i m e de son imprudence en m a n i a n t s a n s précaution un r e v o l v e r g e n r e B r o w n i n g , dans le c a n o n duquel était r e s t é e u n e c a r t o u c h e non e x D l o s é e . La mort de M. J e a n P é r e a u est donc l e fait d'un a c c i d e n t . . Le Commandant du Dépôt du 72* d'Inf, Lkom i 'âii LECLAIREUR DU FINISTERE L e Collège A la suite- des d é m a r c h e s faites pour r e n d r e le collège à sa destination, M . le 8ous-soorétalre d'Etat a u ministère do la G u e r r e , a adresse à M. F e n o u x , s é n a t e u r du F i n i s t è r e , la lettre suivante : P a r i s , le 1 « Juin 1010. Monsieur lo sénateur, Vous avez bien voulu m e t r a n s m e t t r e , en la signalant a m a particulière attention, une correspondance do M. le m a i r e do Morlalx, dans laquelle 11 tous fait part do ses c r a i n t e s au sujet du sort r é s e r v é au collège de g a r ç o u s de cotte ville. J'ai l'honneur do vous f a i r e conn a î t r e qu'à la demande de M. l e ministre do l l n s t r u c t i o n publique, un olllcior do mon oablnet s'est rendu à Morlaix dans les premiers J o u r s du mois oourant pour étudier sur plaoe s'il était possible, sans diminuer les ressources hospitalières, de r e n d r e & l'administration universitaire la libre disposition d'une partie du collège, afin d'y Installer l'internat a la r e n t r é e dos classes. L'accord intervenu outre M, le docteur Monod et l'administration académique s a u v e g a r d a n t à la fois les intérêts du servloe de santé et c e u x du collège, J ' y ai donné mon approbation. Los m e s u r e s nécessaires pour l'évacuation de la partio du oollôgo Indiquée et pour la r e m i s e en état des l o e a u x ont été prescrites, J e vous prie do vouloir bien faire p a r t a M. le m a i r e do Morlaix de cette décision, qui dissipera toutes ses inquiétudes. j'ai r e ç u v o t r e mot aimablo accompagnant l'engagement, signé de la main mémo de M. lo Sous-Socrétaire d'Etat Justin Godart, quo : « les mesures n é c e s saires ont été proscrites pour l'évacuation do la partio du oollôgo indiquée o t l a remise en état dos l o c a u x . » Nous n'avons donc qu'a aller, dro avec patience ot quiétude 1 exécution do cotlo r e m i s e e n état, qui, j e l'espère, s e r a complètement terminée sous peu, tout au moins avant Un septembre. Au nom de toute la population ot au mien, j o vous réitère m e s bien vifs r e merciements pour votre intervention agissante et fructueuse et vous prie de c r o i r e a. l'assurance de mes sentiments de toute cordialité. Morlaix le 6 Juin Monsieur lo Ministre M. le Sénateur Fenoux mo c o m m u n i que, s u r v o t r e invitation, la réponse quo vous voue/, de lui a d r e s s e r : a s s u r a n t le mairo do Morlaix de la mise en exéoution prochaine do l'accord intervenu pour la rétrocession a u collège internat d'une partio do l'hôpital 16. Cette déoision, empreinte de justioo ot de fermeté va mettre tin à des controverses, à d 0 8 projets d'empiétement complotés eu sourdine c o n t r e la décision a r r ê t é e par vos délégués et v a .solutionner h e u reusement une question depuis longtemps troublante. J'ai l'honneur, Monsieur l e Ministre, au nom do touto la population m o r l a i Blenne, du c o r p s enseignant et au mien de vous a d r e s s e r l'expression r e c o n n a i s sante de n o t r e gratitude. Agréez, monsieur le s é n a t e u r , l'assur a n c e de m a haute considération. Signé : J u s t i n GoDAito. M. F e n o u x a aussitôt t r a n s m i s a M . Hervé, m a i r o do M o r l a i x , les décisions Voilà donc résolue, pour lo plus g r a n d de M . l e sous-secrétaire d'Etat e n le intérêt de la ville et des élèves qui suifaisant a c c o m p a g n e r de l a lettre sui- vent les c o u r s du collège, la question do l'internat. P a r i s , lo 2 juin 1916. L a restitution do l'internat est déjà en période d'exécution. Mon c h e r m a i r e et ami, Lo s e r v i c e de santé supprime 200 lits a J'espère que c e s e r a la d e r n i è r e lettre quo j'aurai à vous t r a n s m e t t r e a u sujet l'hôpital 10, ot rond au s e r v i c e de l'enseide l a question du oollôgo de M o r l a i x : g n e m e n t l'aile droite ou sud du collège, le aous-seorétaire d'Etat du s e r v i c e de comprenant : la cuisine, la chapelle, lo sauté nous continue en effet les assuran- dortoir, le réfectoire. U n e p a r t i e d u r e z ces du ministère de l'Instruction publique. de-chaussée de l'ai le g a u c h e s e r a r é s e r v é e T o u t e difficulté semble dono désormais pour les études. De plus les élèves a u r o n t é c a r t é e et j'en suis a v e c vous t r è s heu- pour leur r é c r é a t i o n , la moitié dos d e u x premières c o u r s , l a c o u r du fond tout reux. entière. Signé : FKNOUX Ainsi, à la g r a n d e satisfaction du m a i r e M. H e r v é a a d r e s s é les r e m e r c i e m e n t s suivants à M. F e n o u x et a M. le Sous- et du principal, l'internat et les éludes S e c r é t a i r e d'Etat a u miulBtôro de l a surveillées reprendront dans les conditions normales. guerre : L'école Gantbetta M o r l a i x , lo G J u i n 1016. Ajoutons que l'évacuation de l'hôpital 17 est ohose officielle. Les malades qui y i Mon c h e r S é n a t e u r et a m i , C'est a v e c une g r a n d e satisfaction que Miin\.-H<ii ftMBBBBBJBMBWWHHMfiBSi sont s o i g n é s seront, comme cou x do l'hôpital 10, répartis dans los autres hôpitaux. L'école Gambotta v a donc a ussi ôtro rendue à sa destination. Collège e t é c o l e f i r l m n i r e s u p é r i e u r * ; d e s (cm i;«ns Lo principal a lo plaisir de faire conn a î t r e a u x familles que l'internat sera r o u v e r t au l octobro prochain dans los l o c a u x de l'établissement à K c r n é g u è s . E t a n t donné le nombre considérable des nouveaux p e n s i o n n a i r e s i n s c r i t s , les familles désirant condor leur fila à l'internat sont priées do faire c o n n a î t r e leur intention le plus tôt possible. , r L e s v a e a q c e s d e la P e n t e c ô t e Los v a c a n c e s de la P e n t e c ô t e , au c o l l è g e c o m m e n c e r o n t lo samedi lo j u i n , après la c l a s s e du soir, et la r e n t r é e l e jeudi 15 au matin L a c l a s s e du mercredi s e r a faite le j e u d i . S o u v e n i r de la F r a n c e à nés M a r i n s Les marins-pêcheurs de P r l m e l et de T o r r é n è s ont eu depuis plusieurs mois, la g é n é r e u s e ponséo de prélever mensuellement sur leurs modestes s a l a i r e s , une part qu'ils remettent r é g u l i è r e m e n t à l'administrateur du quartier do M o r l a i x pour l'œuvre du S o u v e n i r do la l-rauce a ses M a r i n s . L e u r 6» v e r s e m e n t vient d'être adressé au comité à P a r i s . La population maritime de Looquenolé et du Dourduft, a lait é g a l e m e n t p a r v e n i r à cet administrateur uno importante cotisation. S o u h a i t o n s q u e l'exemple dovionno c o n t a g i e u x : nos cols-blous, le m é r i t e n t bien. D a n s les postes M. F l o c h , r e c e v e u r des postes et des télégraphes à C b â t e a u b r i a n t , a été n o m m é , en la môme qualité a Morlaix, on r e m placement do M. D u g r é , qui vient de prendre sa r e t r a i t e . Nous lui adressons nos souhaits de bienvonuo. ÉTAT-CIVIL DE M O R L A I X du a au 0 juin 1916 ' NAISSANCES J e a n T a l é g a s , fils do J e a n et do E u g é nie L'Hoslis, r u e ah F i l , 12. — A n n a Coir», fille do Y v e s et do Augusline L * Gall, rue des B o u c h e r s , 00. —• Andrée Doz, flllo do Albert e t do M a r i t Madec, Avenue de Kcrnéguès. PUBLICATIONS S e r g e Lomoino, comptable ot L é o n c e M e s s a g e r , s. p. — Armand Raffry, Garçon d'nôlel et M a r i e L a p e r c h e , e m p l o y é e de c o m m e r c e . — Guillaume C r i m i n e c , marin b r e v e t é et J e a n n e Huon, c i g a r i è r o . — F r a n ç o i s Daniellou, préposé des Tab a c s et J e a n n e P i c a r t , s . p. DÉCÈS Y v e s Auffret, v e u f de F r a n ç o i s e Cousse 05 a. 4 m., quartier du Château. — M n i e Morvan, 28 a. 10 m., q u a r t i e r du Château. — R o s a l i e Pourriot, 81 a . , quartier du Château. — G e r m a i n e G r a l l , 1 a. 3 m . , rue L o n g u e , 25. — Côlestin Gourdon, époux de M a r i e Sarottes, 31 a . 1 m., Hôpital 3 5 . — Anno L e Moal, époux de F r a n ç o i s T a n g u y , 55 a . 5 m . , r a m p e St-Nicolas, 1. — F r a n ç o i s M o n z , 2 4 a . 5 m., Hôpital m i x t e . — Olympo Moris, v e u v e de Joseph P r e t o t , 91 a . , q u a r t i e r du Château. хжсшшатшЁ»шш8шшехявтз> Objet perdu P e r d u il y a trois s e m a i n e s du bas de la r u e L o n g u e à la r u e Gambetta une s o m m e de 35 fr. en billets de 5 f r . L e s rapporter chez Mme L e Gall, 3, rue Loni g u e — Récompensé. Monsieur et Madame B e r n a r d et touto la famille, r e m e r c i e n t bien s i n c è r e m e n t toutes les personnes qui ont assisté au servico de Au T h é â t r e Au AUTOMOBILESDE LOCATION MM. DÉNIEL et L E R O U X informent le public qu'ils tiennent à sa disposition dos Au os pour excursions, courses, etc. •S'adresser rue de Brest, 24, à Morlaix. Téléphone 94. — ****** ( v L'Asthme d'été. - Ses causes (Suite) t. Les causes déterminantes de l'éclosion de la maladie : !• l'hérédité ; 2° l'action des pollens, des poussières et les microbes cantonnés dans les fosses nasales ; 3° l'action des premières chaleurs et de la lumière solaire. Comme traitement : soigner le rhume de cerveau avec le Narizol Berthiot et combattre les symptômes pulmonaires, c'est-à-dire l'oppression les crises d'asthme, avec la Poudre Louis Legras, co merveilleux médicament qui a obtenu la plus haute récompensé à l'Exposition Universelle de 1900. — Narizol Berthiot, i fr. 35 la boîte. Poudre Louis Legras, 2 fr. lo. Envoi contre mandat adressé à Louis Legras, 139, Bd Magenta, A Paris. M. Gustave BERNARD AVIS Royal Femilla Cinéma C'est e n c o r e un s p e c t a c l e de touto beauté que nous offre cette s e m a i n e l a direction du c i n é m a , A la représentation dp, la Dame aux Camé/tas, lo magnifique chef d'œuvr« d'Alexand: o Dumas, fils, j o u é e par M m e S a r a h - B c r n b a r d t , s'ajouteront des t a b l e a u x d'allures j o y e u s e s ou d'un haut intérêt dramatique telB ' que : une émule de Cendrillon, grande, s c è n e comédie-comique r u 2 a c t e s ; la valise jaune, s c è n e hilai ante ; sur les fils télégraphiques, d r a m e policier,' t t des vues é m o u v a n t e s de V e r dun, où depuis plus do c e n t j o u r s se déroulent les s c è n e s l e s plus t r a g i q u e s . OUVERTURE" ainsi que c e l l e s qui leur ont t é m o i g n é de la sympathie en celte douloureuse c i r c o n s t a n c e . d'un Cabinet Dentaire Le 15 Juin prochain par un Chirurgien-Dentiste de la F a culté de Médecine de P a r i s . 14, R u e Carnot, i M O R L A I X (au-dessus de fa Soc/été Générafe) Le Gérant Y . L E QUÉRÉ. Société Générale des Chemins de fer économiques — Réseau Breton Grands Magasins Habillements S e r v i c e a u O .Tuin 1 9 1 6 THIERY & SIGRAND 19, Rue de Siam а REMERCIEMENTS La Direction départementale des postes, et dos T é l é g r a p h e s du F i n i s t è r e rappelle Pendant les mois de juin, juillet, a u x intéressés quo l e s c o r r e s p o n d a n c e s adressées a u x p r i s o n n i e r s de g u e r r e n e août et septembre, l e magasin sera fermé les dimanches et jours de fête. doivent pas être closes. Maison Française Komléo on 1SM> Offre d'emploi Lo médecin-major Mainguy, médecinc h e f .do l a place do M o r l a i x , demande unostôno-dactylographo. .. S'adresser à i<oti bureau, hôpital 16, l e matin à 0 heures ou à son domicile avenue du Collège. « BREST n - u e d e l a M a i Ligne Facult. STATIONS » e , 36 7b 8 8 8 9 9 9 Plounévôzel (halte,).. 9 9 Membre Fondateur de la Ligue Anti-Qermanique pur li Difaoït du Jnwrlti français Voir nos étalagea S Plougonven-Plourin Le Cloïtre-Lannéanou Scrignac-Berrien... Kervallon ( a r r ê t ) — Huelgoat-Locmaria. 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Etude de M* MOAL, notaire à Saiut-Pol-de-Léon Vente Mobilière Au château de Landivineo • n Roicoflj Bn l a demeure des é p o u x de K O R W I N LE VENDRED116 JUIN tulvent» Etude de M E R U S S A R D , no taireàMorlaix, 38, place Thiers, successeur de M" F L E U R Y et de LANSALUT. Etude de M* G. DU PENHOAT, notaire à Morlaix, successeur de M* POILLEU Vente Mobilière LE LUND112 JUIN 1916 pour /o 29 septembre 1917 0 à midi Batterie de cuisine, vaisselle, verres, services de table, lingerie de table et de toilette, literie, lingerie de corps et vêtements, nombreuses toilettes de sole et de drap, gants, chaussures, paîfums, coupons de soie, llauelle, coton et toile» tapis de parquet, bijouterie en simili, réchauds, théières, cafetières, j e u x et jouets divers, poupée, 2 appareils photographique, volumes divers, papier a lettre, bicyclette à changement de vitesse (Royal Enfleld), électricité, grandes tables do cuisine, salle à manger en chêne, beau lit en cuivre, autres lits, armoires à glace et autres, tables de nuit, de toilette, bureau eu chêne, chaises cannées, rocklng-chair, chaises et bancs de jardin, porte-manteaux, établi, baignoires ot installations de douches, malles, valises, eaux minérales, bouteilles vides, e t c . . . Ordre de la vente : Les 16 et 17 juiu : batterie de cuisine, vaisselle et lingerie. L e 19 : continuation des article s précédents, bijouterie, parfumerie, joux, chaussures. Les 21 et 2<J : meubles et articles précédents. Le 2'J : malles, cave et articles précédents. Au comptant S */• *n tue. pour le 29 septembre prochain L a métairie d e K e r J o a ï c eu la commune de Morlaix. Etude de M* ERUSSARD, notaire à Morlaix, successeur de M» F L E U R Y et de LANSALUT. En S'adresser M' DU PENHOAT, notaire Consulter les affiches. UNE M A I S O N — A Vendre ou à Louer a 7 kilométra» de Morlaix Propriété d'agrément KM EH au 29 Septembre prochain A Kernéguez UNE MAISON composée de six plôceB et cabinet de toilette, cave et jardin. Pour renseignements, s'adresser au bureau du journal, 36, rue de Brest. NICOLAS, MORLAIX Rue Carnot se composant de 6 pièces, cave, 0 A vendre ou à Louer un jardin fruitier et d'agrément nls a Morlaix. S'adresser à M* E R U S S A R D . 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L O U E R Par autorité de justice, en vertu d'ordonnance s u r référé de M. le Président du Tribunal civil de Morlaix du 24 mal 1916. et jours Etude de M» 0 . du PENHOAT, notaire à Morlaix, successour de M* POILLEU. I M P R I M E R I E HAMON Mairie a Morlaix, le par Houe, Maire de Morlaix, cour légalisation de к eau et Water-Closet à l'étage. S'adresser LAFFOREST, 0 à l'étude de M DE notaire à Morlaix. Toutes les maladies dont souffre la femme proviennent do la mauvaise circulation du sang. Quand te sang circule bien, tout va bien : les nerfs, l'estomac, le cœur, les reins, la tetc n'étant point congestionné*, ne font point souffrir. Pour maintenir cette bonne harmonie dans tout l'organisme, il est nécessaire de faire usage, a intervalles réguliers, d'un remède qui agisse à la fois sur le sang, l'estomac et les nerfs, et seulo la Etude de M* SABOT, notaire à Morlaix A L O U E R /mmôd/afement JOUVENCE de l'Abbé SOURY Meublée o u n o n Meublée remplir ces conditions, parce qu'elle est composée Sent e plantes, sans aucun poison ni produits chimiques, arce qu'elle purifie le sang, rétablit la circulation et les organes. Sécongestionne Les méres de familles font prendre à leursfillettesla Jolie Propriété à i k i l o m è t r e s de M o r l a i x Maison de maître avec jardin d'hiver et palle de billard, parc, serre, pelouses, bois, remise, écurie, garage, rivière traversant la propriété. S'adresser à l'élude /% Jouvence de l'Abbé Soury pour leur assurer une bonne formation. Les dames en prennent pour éviter les migraines périodiques, s'assurer des époques régulières et sans douleur. 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(Notice contenant renseignements gratis) 3fi - MORLAIX 1916. 1« signature cl-contrc, Certifié par le gèrrut soussigné, I 31b ' M D U F I N I S T È R E ^ B E P R E D JOURNAL D UNION REPUBLICAINE PARAISSANT LE ^SAMEDI A B O N N E M E N T D'UN AN Morlalx et Départements limitrophes 8 fr 5 0 Les autres Départements . . , 4 »» Les abonnements se paient d'avance et partent des l«r t 15 de chaque mois. - L abonnement fini, le défaut de renvoi des numéros suivants équivaudra à renouvellement. P R I X DES INSERTIONS Rédaction et Administration : 0 86, Rue de Brest — MORLAIX frais de recouvrement par /a poste : O ir. 4 0 par abonnement Sauvons la race française Annonces Judiciaires et diverses oiefttî Réclames O 80 Faits divers O 60 Pour les annonces de trois et six mois ou à l'année, on traite de gré à gré Tarif décroissant pour les Annonces plusieurs fois répétée Quant aux moyens par lesquels l'Etat renforts venant de la région de Brests a c r e loyalement à la défense de s a patrie, pourra recueillir les ressources néces- Lit ovsk. nous-ne c r o y o n s m i e u x faire quo de r e aairesau payement de c e s p i m e s , c'est, produire l'attestation suivante que nous S'ils peuvent s'emparer de ce point comme le remarque M. Bénazet, le côté ou seulement le tenir sous le feu de leur de Pleyber-Christ avons r e ç u e de son c o m m a n d a n t : Favorisons la Natalité par une prime accessoire de son vaste projet. Un im- artillerie, les armées autrichiennes se Le matelot Ollivicr, Auguste, est un exM. Jean MANACH pôt suplémentaire pourrait être créé, cellent soldat dont la conduite n'a jamais donné Sous oe titre, M. Maurice Lctulle, une « taxe de la natalité », qui s'élève- trouveront privées des secours que M. Jean Manach, 42 ans, cultivateur à lieu qu'k des éloges et qui est très apprécié de pourraient lent envoyer par là les Al- Pleyber-Christ, affecté a u 2« territorial, professeur à l'académie de médecine, dans un artiole fortement documente, rait au sixième ou môme au tiers des lemand?, et leur débâcle en sera préci- est a u front depuis le début des hostilités. tous les officiers qui l'ont eu sous leurs ordres : sa réputation est au-dessus de tout soupçon et dont nous reproduisons les grandes li- impôts supportés par toute personne pitée. Il a été l'objet d'une citation et a r e ç u il est profondément regrettable qu'on ait fait gnes, montre le péril que fait courir à la de l'un ou de l'autre sexe demeurée, Les nouvelles du jeudi 23 heures sont la médaille militaire dans les circonstan- circuler sur le compte de ce matelot des bruits France, le fléchissement de lo natalité et pour une raison quelconque, sans en- encore excellentes. ces suivantes : aussi regrettables que mensongers. indique les moyens de le conjurer. tants, ou n'en ayant élevé qu'un seul. Sa c o m p a g n i e , criblée de marmites, n e Les Russes ont remporté de nouLongtemps arant la guerre actuelle, Nous sommes h e u r e u x d'insérer c e p r é Français de France, lisez le projet de pouvant plus tenir, eût l'ordre do se r e la natalité française avait fortement di- loi Bénazet. Faites la pleine lumière veaux succès malgré les renforts alle- plier, mais Manach et un de ses camara- c i e u x témoignage d'estime donné par ses mands venus au secours des Autri- des, Sanquer, considérant le tas de g r e - chefs à M. Ollivier. Il s e r a , nous l'espéminué et était tombé en 1911 à 742.000 naissances. Gonséquenoe, le recrutement autour de la prime à la natalité et for- chiens. nades qui allait r e s t e r dans la t r a n c h é e r o n s , une leçon pour les tristes diffamade notre armée avait diminué d'autant : cez vos députés à la voter, sans n.ucun La pénétration russe en Volhynie abandonnée, ne purent se résoudre à les teurs qui ont si l é g è r e m e n t propagé les 343.000 conscrits en 1893 et 293 000 seule- délai. E t vous, mères douloureuses, est évaluée à ce mom-mt à 60 ki- laisser a u x B o c h e s . insinuations malveillantes dont a u r a i t pu ment de 1911 à 1914. éternelles v ctimes, adorables mamans, lomètres en profondeur et 100 kilomèPendant que leur c o m p a g n i e s'installait ê t r e victime un b r a v e soldat et un h o n Quelle est donc la raison de cette dé espérez : l'aube de la justice se lève,' tres en largeur, et au sud du Dniester dans une a u t r e t r a n c h é e , à 50 mètres en nête h o m m e . oheancede nos forces nationales? La enfin. Soyez bénies, vous qui sauverez à 45 kilomètres en profondeur et 50 en a r r i è r e , les Allemands a r r i v a i e n t . terre est toujours aussi féconde qu'au la France I Ils furent surpris d'être r e ç u s à coups largeur. trefoia ; les mariages sont aussi nomg r e n a d e s . Une centaine d'entre e u x Professeur Maurice Letulle, Les pertes autrichiennes sont de la de breux et l'œuvre accomplie par nos sol tombèrent. Il y eût un fléchissement dans de l'Académie de Médecine. data sur tous les champs de bataille té moitié des effectifs engagés contre les leurs r a n g s . Mais les munitions des deux Nous r e c e v o n s la lettre suivante : molgno que le sang de notre race n'est Russes, c'est-à-dire 300.000 hommes. poilus furent vite épuisées. Manach et pas épuisé. Alors ? Alors la douloureuse Monsieur le R é d a c t e u r , Sanquer. qui ne pouvaient pins songer à vérité est que nombre do nos ménages V o u l e z - v o u s nous p e r m e t t r e d e p r o se s a u v e r , furent faits prisonniers. français veulent se reproduire le moins On les conduisit à l'arrière. Au passage t e s t e r p a r la voie de v o t r e j o u r n a l c o n L'offensive autrichienne h brisée possible ; avoir un enfant, deux au plus. L'offensive autrlchtann» rl^ d'une t r a n c h é e , M a n a c h réussit à se dé- t r e u n e s o r t e d ' o s t r a c i s m e dont e s t •ur tout le front Les résultats de oe criminel égoïsme g a g e r et à se c a c h e r sous trois c a d a v r e s v i c t i m e n o t r e r é g i o n . ont été : l'invasion étrangère, pacifique Les Italiens ont c o m p l è t e m e n t a r r ê - allemands. d'abord, bientôt armée, les meurtres, les Des v e n t e s f r é q u e n t e s d e c h e v a u x Il r e s t a là trois heures sans bouger. L a La bataille do Verdun se poursuit t é s les p r o g r è s a u t r i c h i e n s . Ils ont r é villes en ruine, les désastres sans nomtabli l e u r s l i g n e s s u r p r e s q u e t o u t le nuit venue, il se glissa vers les t r a n c h é e s r é f o r m é s ont lieu clans les villes voisiavec des accalmies dont ont besoin les bre et les crimes sans nom. françaises, se c a c h a n t dans les abris n e s à L a n d i v i s i a u , à L e s n e v e n , L a n La puissance d'une nation no peut en Allemands pour reconstituer leurs front e t à leur tour ils p r e n n e n t l'offen- c r e u s é s p a r les trous de marmites. Profi- d e m e a u , d a n s le d é p a r t e m e n t s v o i s i n , effet être garantie que par les progrès rangs décimés, et des reprises furieuses s i v e . tant du mouvement de relève des senti- à G u i n g a m p , à L a n n i o n . incessants de sa natalité ; il faut dans d'attaque. nelles allemandes, il put f r a n c h i r les Il n'y en a jamais à Morla'x. les familles un quatrième infant oomme Le krompriuz voudrait tirer parti de lignes ennemies et a r r i v e r enfin, à bout L a réquisition n o u s a p o u r t a n t p r i s minimum. Se refuser à cette règle, c'est la conquête, si chèrement achetée, des de forces, a u x lignes françaises, où on nos c h e v a u x c o m m e c e u x d'ailleurs, . Un engagement naval pour un peuple courir au suicide. lui fit une ovation. Il y avait 24 heures ruines de Vaux ; mais nous tenons enet nous sommes dans la nécessité de Ayant ainsi établi la nécessité de favoqu'il n'avait pas m a n g é . 10 Steamers allemands coulés les r e m p l a c e r p o u r les b e s o i n s d e n o t r e riser à tout prix là natalité française sous core une partie du plateau de DouauSa récompense a été la citation sui14 n a v i r e s a l l e m a n d s , c o n v o y é s p a r culture. eine pour notre pays de disparaître mont, ce qui le gône considérablement. vante, a c c o m p a g n ô e d e la c r o i x de g u é r i e C'est pourquoi il multiplie ses efforts huit c h a l u t i e r s a r m é s , un c r o i s e u r ans un avenir prochain, M. Letulle a v e c palmes : N e serait-il p a s j u s t e qu'on nous fasanglants pour s'emparer de l'ouvrage a u x i l i a i r e e t d e u x d e s t r o y e r s ont é t é a t conclut : cilitât, à nous a u s s i , l'achat de c h e v a u x 4 montré le plus grand mépris du danger Dorénavant, le public ne pourra se de Thiaumont, en môme temps qu'il t a q u é s p a r s i x d e s t r o y e r s e t p l u s i e u r s pendant une lutte incessante de 16 heures k r é f o r m é s e n p r o c é d a n t a u chef-lieu d e canonne nos deuxièmes lignes, de Sousous-marins russes. targuer d'avoir ignoré la terrible situala grenade. Fait prisonnier, s'est dégagé par n o t r e a r r o n d i s s e m e n t à la v e n t e d e c e s Un c r o i s e u r e t 10 s t e a m e r s a l l e m a n d s la force et a réussi k regagner nos lignes. c h e v a u x , a u lieu d e n o u s forcer à n o u s tion dans laquelle se débat la nation, ville à Tavannea, pour empêcher de r e n d r e d a n s d e s localités t r o p é l o i g n é e s par la faute de notre dépopulation volon- or te r secou rs aux défenseurs de l'avant, o n t é t é c o u l é s . Mais, en raison du c a r a c t è r e particulais ses efforts demeurent stériles. L e s R u s s e s n'ont subi a u c u n e p e r t e . lièrement audacieux de ses exploits, il a de n o t r e r é s i d e n c e . taire. Chacun de nous, en face de sa Après plusieurs assauts, il n'a réussi conscience, décidera de l'avenir de la r e ç u de plus la médaille militaire. Veuillez a g r é e r , e t c . qu'à pénétrer dans quelques éléments patrie. Les Chambres françaises ont, Nous félicitons MM. Manach et Sanquer Un groupe de cultivateurs. d'avoir une fois de plus, si vaillamment, en effet, reçu une proposition de loi, avancés sur les pentes de la cote 321. affirmé le tradition de b r a v o u r e des déposée par M. Paul Bénazet, tendant Communiqué du Jeudi J5 juin 23 heures Bretons. à instituer dés le l« janvier 1917, des primes à la nationalité en faveur de Le communiqué officiel du jeudi 23 En prêtant ses titres de pays neutres au de l'Arrondissement de Morlalx toutes les mères et des pères de famille. heures annonce qu'au cours d'une vive T r é s o r lo porteur rend plus aisées les NOS COMPATRIOTES A LA GUERRE Ancien rapporteur du budget de la attaque nos troupes ont enlevé une opérations que le Ministre des F i n a n c e s Conformément a u x décisions a r r ê t é e s Nous avons lo plaisir de r e l e v e r pour guerre, M. Bénazet, prévoyant les tranchée allemande au RUd du Mort- doit faire à l'étranger pour les a c h a t s en c o u r s de notre réunion g é n é r a l e du considérables qu'exige la Défense Nationotre région, les citations suivantes dangers qui nous menaçaient, avait Homme et fait 130 prisonniers dont 3 nale. 10 juin 1916, le comité c e n t r a l porte à la Citation à l'ordre du régiment demandé, en temps utile, effectifs et officiers. connaissance des sous-comités c o m m u Il m é n a g e lesdorniers publics ; e n eftet, n a u x les nouvelles dispositions prises crédits nécessaires pour accroître notre M. PIROU François, de Plougonven l'Etat, mis en môme de p a y e r dans les en c e qui c o n c e r n e l'expédition de3 c o matériel de guerre. pays où sont nos fournisseurs en m o n L e colonel c o m m a n d a n t le 118« r é g i - lis a u x prisonniers. Aujourd'hui, après s'être bien battu n a i e de c e s m ê m e s pays devra moins ment d'infanterie cite à l'ordre le soldat L'interdiction d'envoyer du pain en sur le front, l'honorable représentant compter a v e c le c h a n g e qui est élevé, P i r o u , F r a n ç o i s , a v e c la mention : Allemagne r é d u i r a forcément le volume La grande victoire russe puisqu'absorbées par les besoins de nos étudie les grands problèmes nationaux Brave soldat, blessé mortellement dans les et le poids de nos paquets, il n e s e r a donc a r m é e s , nos industries, n'exportent que et demande avant tout, aux Français, 150.000 soldats autrichiens et 2 . 4 6 7 plus désormais adressé que d e u x colis tranchées de !«• ligne le 1" avril 1916. très peu. des enfanté. Il se guide sur l'idée mai officiers prisonniers par mois. M. POT F°'» Marie, de St-Vougay Il r e ' i r e , enfin de son prêt un imporCzernowltz cernée tresse tant de foin développée par PiLes prisonniers inscrits s u r nos listes tant profit représenté p a r une bonificaLe commandant du 248« régiment d'iu nard : « Lorsqu'il y aura intérêt à avoir de s e c o u r s c o m m e devant r e c e v o i r un Le foudroyant succès de nos alliés en tion d'un quart, soit de 25 0/o de l'intérêt fanterie cite à l'ordre Pot, F r a n ç o i s - M a colis p a r mois participeront à la predee enfante, lorsque ces derniers, au Volhynie et en Oalicie, se poursuit brut annuel de ses titres. rie, soldat mitrailleur : m i è r e expédition qui se f e r a du 1" au 10. lieu de constituer des chargea, POURRONT sans interruption. S e r v i r les intérêts du pays tout en faiC e u x qui, jusqu à c e j o u r , r e c e v a i e n t un feu violent de mousqueterle, s'est devenir, pour leurs parents, un profit, Les communiqués officiels annoncent sant une excellente affaire, c'est ainsi misMalgré deux colis p a r mois participeront à la en batterie sur le bord d'un boyau, emalors seulement on verra se produire les nombres croissants des prisonniers: ue se r é s u m e l'opération, deuxième expédition, dont la v a l e u r l'augmentationdelanatalitéen France. » usai, a u c u n o hésitation n'est-elle per- pêchant ainsi l'ennemi de sortir de ses tran Dimanche 5.000. sera sensiblement le double de la preohées. mise. Fort de cette vérité sociale, M. Bena Lundi et mardi 35.000. M. Pot, qui est au front depifis le dé- m i è r e . zet compte obtenir des femmes franJeudi C.( 00 C e u x qui recevaient trois colis p a r but des hostilités est titulaire de la c r o i x mois a u r o n t droit à la totalité des envois, çaises qu'elles désireront non pas deux, Le pardon de la Reine Anne de g u e r r e . A l'heure actuelle le total des prisonet par conséquent, seront inscrits à la mais trois et, surtout, quatre enfants, niers est de 150.roo soldats et de 2.467 première et a la deuxième expédition. Le pardon de la Reine Anne a été côlô ces deux derniers chiffres étant, « seuls, officiers, un général, trois commanCes trois c a t é g o r i e s r e c e v r o n t indisimportant pour la conservation de la dants de régiments, cinq aides-majors, bré le 28 mal à Montfort-l'Amaury. Une délégation bretonne était venue, tinctement des sous-vêtements. Il est bien race ». Bans ce but, 11 propose à l'Etat 163 canons, 266 mitrailleuses, 131 lance- selon la tradition, apporter son h o m entendu que le Comité ne peut a c c o r d e r d'accorder à chaque mère 500 francs bombes, 32 lance-mines. Citation m a g e à la bonne duchesse. P a r m i les des souliers, l'expédition en étant interpour chaoun de ses deux premiers endite. Les Russes continuent à avancer à membres de cette délégation, on r e m a r M. Jean BROUDIN tants vivants ; 1.000 francs pour le troi- peu près sur toute la ligne de leur front quait : MM. L a s s e r r e , ancien sous-préfet Les uniformes seront expédiés du 10 M. Broudin, Lôop-Jean, soldat a u 19« au 20. no Pontivy. ancien préfet d'Angers : sième bébé et S 000 francs pour le qua- méridional. r é g i m e n t d'infanterie, a été cité à l'ordre J e a n L o r e d a n , du comité do la société trième ; enfin, 1.000 trancs pour chacun Alin d'apporter au sort de nos prisonDans l'extrême sud, ils ont atteint des gens de lettres ; Bosson, administra du régimeut dans les termes suivants : niers toutes les améliorations possibles, des suivants. d'un côté la rive gauche du Pruth qu'ils teur do la « Revue Bleue » ; A. Oarand. Agent de liaison brave et dévoué. Pendant nous nous sommes adressés a u x direcCet argent sera la propriété exclusive remoutout au delà de Cz îrnowitz ; de vico-prôsidentdosMorbihaunaisde P a r i s ; les journées des 17 et 18 avril 1916, s'est pro- teurs des c a m p s pour les prier de nous de la mère mariée ou non ; Il sera inces- l'autre, la frontière roumaine aux envi- le pointre Duramel ; E m i l e Gilles, direc- digué sans relâche, transmettant les prdres faire savoir quels sont les c a m p s où il sible et insaisissable. Mais, dit l'auteur rons do Bajan. La capitale de la Buko- teur du j o u r n a l de Pontivy ; Léon L e sous les plus violents bombardements. s e r a possible a u x prisonniers de c u i r e du projet, comme il importo d'engager vine est aussi coupée de sa communi- Borro, directeur do t l'Union A g r i c o l e », les aliments qui leur seraient expédiés. Ce brave soldat faisait partie de la Mu- Jusqu'à plus amples i n f o r m a t i o n s nous les mères à prodiguer au nouveau-né cation avec le nord et le sud. On dit etc. sique municipale et est le fils de M. Broules soins minutieux et attentifs que même qu'elle est cernée, et quo déjà A l'iss te de la fête, les membres de la din, Edouard, le très dévoué m e m b r e de n'adressons que des produits ne demandant a u c u n e préparation. réclame une aussi fragile existence, une furieuse bataille se livre dans ses délégation bretonne ont voté l'adresse de la dite société depuis 40 ans. sympathie suivante, au Pentyern Léon L'interdiction de l'expédition du pain, c'est seulement un an après la naissance faubourgs, D u r o c h e r , qu'une cruelle maladie r e t e faite a u x œ u v r e s et. a u x familles, c r é e de l'enfant que les sommes d'argent Plus au nord, nos alliés ont égale- nait loin du pardon. de nouvelles obligations. L a Fédération auxquelles la mère aura droit lui seront ment percé le front autrichien ot franNationale d'assistance donnera mensuel« Les m e m b r e s do la délégation b r e remisas par l'Etat. » chi le Dniester. lement a u x prisonniers huit kilogramtonne et les amis do Montfort-l'Amaury, Des r a c o n t a r s r e g r e t t a b l e s ont, nous- m e s de pain, nous leur en assurions Voilà pour la mère. L e père, lui aussi, Enfin, dans la partie la plus septem- réunis a u piod du monument de la Reine se trouve Intéressé à donner à ses en- trionalo, ils sont arrivés à 25 kilomètres Anne, adressent au P e n t y e r n Léon Duro- a-t-on a s s u r é , circulé s u r le compte do M. douze. Ollivier, Auguste, matelot-canonnier fai fants nombroux tous les soins néoes à l'ouest do Loutsk, à Torchin d'une c h e r , tous leurs r e g r e t s do c e qu'il n'est sant 11 importe donc de remédier à cette partie du 1 « g r o u p e du 19« A. L . Q. P, diminution de pain en la compensant •aires. L a loi projetée accorde une part, et, d'autre part, ils ont atteint la pas aujourd'hui parmi e u x , et tous leurs (1™ battorie de c a n o n n l e r s marins). par un supplément de vivres dont les prime de 2.000 fraucs s'il presento à la rivière Stokhad, qui coule du sud au souhaits do meilleure santé, do prompte On a u r a i t insinué que sa conduite à qualités nutritives seront de n a t u r e à g u é r i s o n . Et, en mime temps, ils tiennent k l'armée n'était pas oxempto do tout r e mairie de son domicile, « au moins qua- nord, pour se jeter dans le Pripet. a u g m e n t e r les forces de nos c h e r s prilui exprimer toute leur sympathlo et toute p r o c h e . tre de ses enfants vivants, dont il aura Ainsi ils se rapprochent des deux leur sonniers. estime, k lui dire l'indignation profonde d'une façon continue assuré l'entretien côtés de Kovel, important noeud do P o u r m e t t r e fin à dos insinuations d'auNous nous r é s e r v o n s à c e t é g a r d de que leur cause l'abominable campagne en ce tant plus iniâmes qu'elle portent atteinte r e p r e n d r e la question des pâtes alimendepuis leur naissance. » chemins de fer par lequel arrivent les moment dirigée contre lui. s Les exploits d'un territorial Les chevaux réformés Sur le front italien La bataille de Verdun Sur mer S £ L'UTILITE DU PRETA L'ETAT des titres des pays neutres r Paquet du Prisonnier Sur le front russe Î Les Morlaisiens_à la guerre 4 propos de racontars à la réputation d'une homme qui se con- t a i r e s à j o i n d r e à nos expéditions, et LECLAIREUR DU FINISTERE P o u r les blessés dont il a été question au oours de oette dernière réunion. Les collectes faites au profit des bles' L e Comité orolt devoir rappeler en sés par les percepteurs de l'arrondisseterminant que nous avons non seule ment, lors des d e r n i e r s paiements des ment le devoir d'atténuer les privations allocations, ont donné les résultats suide nos prisonniers, mais encore celui de vants : sauvegarder l'avenir de notre pays on Perception de St-Thégonnec : Pleybertravaillant à conserver les foroes de Christ 98 fr.45 ; Saint-Thégonnec 71.40 ; coux qui au lendemain de la victoire, Plouaéour, 55.20 ; Le Cloître, 17 ; Locseront appelés & nous aider à relever les Egulner, 11.80 ; total : 853 fr. 8 5 . ruines accumulées sur notre terre de Perception de Lanmeur : Oarlan, 5.40, Franoe. Guimaëo, 16.90 ; Lanmeur, 12.85 ; LooNous serons fidèles à notre t(\cue ; delà quireo, 5.05 ; total : 40 fr. 5 0 . nos nouvelles commandes de pâtes, de Perception de Morlalx-banlieue, Plouconserves variées, de confitures, chocolat, rin, 23.15 ; Sainte-Sève, 3.30 ; au bureau calé, e t c . . sont faites. Il ne nous reste de la perception, 3.35 ; Total : 29 fr. 80. dono qu'à adresser un appel aux familles Le tronc de la recette des finances à et & leur demander de bien comprendre produit 715 f r a n c s . et de bien sentir toute l'importauce de M. Pbilirpe, Receveur des finances, la composition des nouveaux colis. De ohargé de la répartition, vient de distrila continuité de nos envols dépendent la buer au divers hôpitaux de Morlaix, au vie. la santé de ceux que nous aimons prorata du nombre des blessés, une et dont nous espérons le retour. Ils ont somme totale de 980 fr. hautement mérité que nous leur prouvions autrement que par des paroles et D a n s les hôpitaux de stériles regrets la sinoôritô et la chaLe médecin-chef et l'officier d'adminisleur de notre affection et de notre gratration gestionnaire de l'hôpital complétitude. mentaire n* 35 remercient M. Philippe, Nous communiquerons la semaine pro- receveur des finances, et MM. les percepchaine le compte-rendu des travaux de teurs de l'arrondissement de Morlaix. l'Œuvre depuis le 1« janvier jusqu'au 31 pour le don généreux gracieusement mal 1916. offert aux blessés et malades de leur hôpital. CHRONIQUE. LOCALE COURS DU BEURRE 40 Juin, 310 fr. les 100 kilogs. 15 Juin, 300 fr. — Pharmacie de service La pharmacie de service sera la pharmacie Le Maître dimanche L a foire blanche & La foire blanohe, qui s'est tenue jeudi au Pouliet et au Marnallao'h, a otó très importante. Chevaux et bètes à cornes étalent très nombreux sur le marché, où les transactions ont été animées. On a remar* qué beaucoup d'acheteurs étrangers à la région. Les vaches et les bœufs se Vendaient de 1 fr. 70 & i fr. 80 le kilo sur pied ; les oros, de 3 fr. 70 A 3 fr. 80 le kilo. Le prix es chevaux était très rémunérateur. S L'heure légale La réforme de l'heure s'est accomplie dans la nuit du 14 au 15. A 83 heures, toutes les horloges publiques ont été avancées 'l'une heure et les aiguilles ont marqué o heure (minuit). Il ne semble pas que c e changement ait apporté aucune perturbation dans la vie de notre ville. Tout au plus, peut-on signaler que des laveuses, entendant l'angélus sonner a i l heures, à l'église d'une de nos paroisses, s'en furent d'un plèd léger, lâchant 1 heure plus tôt leur besogne. Les chemins de 1er ont naturellement subi le retard que leur imposait la réforme. Le train B . 17 a oependant regagné une certaine avance en cours de route. Il n'est arrivé qu'avec 88 minutes en retard. . Lee versement» d'or Les représentants de la Banque de France à Morlalx se rendront : Le 80 juin à Saint-Pol-de-Lôon, à la mairie ; l e 22 juin & Berven, pour r e ouelllir dans ces communes l o r nécessaire a la Défense nationale. Nous espérons que les habitants leur feront un accueil empressé et se feront un devoir d'éohanger oontre des billets de banque ou des Bons de la Défense nationale, l'or qu'Us possèdent Improductif dans leur bourse et qui, versé à l'Etat, hâtera lafinde la guerre en permettant de fournir à nos soldats les armes et les munitions dont Us ont besoin pour lutter victorieusement contre notre implacable ennemi. serbe, et uniquement r é s e r v é e a u x m « m bres de l'enseignement, a u x . é l è v e s des oollèges et des écoles c o m m u n a l e s a u r a Heu demain samedi. fournis a u x a g r i c u l t e u r s pour leurs t r a v a u x de culture sont tous des B r e t o n s . Les cultivateurs qui ont e n c o r e besoin de main-d'œuvre militaire peuvent faire des demandes en toute confiance. Caisse Nationale d'Epargne A c c i d e n t d e v o i t u r e . — Un acci Opdrtthns effectuées dans le département dent qui a u r a i t pu e n t r a î n e r de fâcheuses conséquence, s'est produit mardi matin, du Finistère pendant le molsde Mai 1916. Versements r e ç u s d e 369 déposants, sur la route du Bas d e l à Rivière, à la hauteur d<. la maison Blanche. dont 64 n o u v e a u x 4 9 . 9 7 6 f r . 4'2. M. Blouzen J e a n , s e rendait à Morlaix Remboursements à 8.594 déposants, en voiture, a c c o m p a g n é de sa fille. dont 81 pour solde 121.779 fr. 03 E x c é d e n t des Remboursements? 1,802f. 62 Le train do Primel passait. L e cheval effrayé s'embaila. L e mécanteien du train a n é t a immédiatdmont le convoi. Mais la béte affolée se jeta v i o l e m m e t sur un tas de pierre qui bordait la route, du 9 au 16 juin 1916 et s'abattit. M. Blouzen et sa fille furent projetés â plusieurs m è t r e s . NAISSANCES L e conducteur du train e t les voyaAuguste Nédellec, fils de Louis et de g e u r s se hâtèrent de leur p o r t e r secours. J e a n n e Lintanf, r u e Général L e F l o . — P a r un h e u r e u x hasard, ils n'avaient Mario Oodeau, F I L L E de L é o n c e et de Anna que des contusions sans g r a v i t é . L e cheCoatélant, r u e de B r e s t , 45. val é g a l e m e n t s'est tiré sans blessures de l'aventure. ^ ^ ^ ^ ^ PUBLICATIONS ÉTAT-CIVIL DE MORLAIX VENTE MOBILIÈRE Au Heu du D o u r d u r t e n - T e r r e eu 1« commune de P l o u é z o c ' h Par le ministère REOUER, suppléant VAILLANT, notaire nou. à i heure de l'après-midi On vendra : Batterie de cuisine, Etide de M* ERUSSARD, notaire à Morlaix, successeur de à 7 kilomètre» de Morlaix Propriété d'agrément comprenant maison divisée en 20 pièc-s, pelouse, parterre, cours d'eau . S'adresser au notaire. 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L a Compagnie des Chemins de for A r DÉCÈS moricains a l'honneur d'informer le puCHIRURGIEN-DENTISTE Marie L e Coz, 38 a. 9 m . , quartier du blic qu'elle m e t t r a «n m a r c h e 1 s 23 et 24 de la Faculté de Médecine de Paris juin prochain, â l'occasion du pardon de ChAtoau. — Camille Malard, 15 a . 8 m . , — Les malades et les infirmières de l'hô- quartier du Château. — Marie Godeau, St-Jean-du-Doigt des t r a i n s supplémen- 14, R u e Carnot et 3 , R u e du Mur pital 34, remercient M. Philippe du don i jour, r u e de B r e s t , 45. — J * a n T o u a i e r , taires facultatifs suivant les besoins du généreux qu'il leur a fait. R e ç o i t tous les jour» époux de J e a n n e Nicolas, 38 a , r u e s e r v i c e : Haute, 3 . — Kfllain Sallou, époux de Anne Départ de Morlaix 8 b . 5 0 . S p é c i a l i t é d'appareils d e n t a i r e s p e r f e c Bourses d e l'enseignement J a c o b , 55 a. 8 m . , r u e de Brest, 58. — A r r i v é e à S t - J e a n - d u - D o i g t — 9 h. 5 5 . tionnés, s a n s p l a q u e , s a n s c r o c h e t s e t primaire supérieure Marie L e F l o c h , épouse de B i g e r , 45 a . Départ de S-Jean-du-Doigt. ...16 h. 18 sans succions Parmi les élèves reçues à l'examen de 7 m . , quartier du Château. —' F r a n ç o i s et trains supplémentaires suivant les beEXTRACTIONS SANS DOULEUR Hervet, 46 a . , q u a r t i e r du Château. — soins du service. bourses de l'enseignement primaire suCONSULTATIONS GRATUITES périeur, nous avons le plaisir de relever P i e r r e Olivier, veuf de Catherine P e r r o le nom de Mlle Mario Le Merrer, de l'é- tin, 70 a. b m . , quartier du Château. — P i e r r e Thibaut, 82 a . 8 m , Hôpital cole publique de St-Martin. Librairie mixte. L a m o r t d'un a n c i e n p r o f e s s e u r {Suite) du Collège Les malades doivent éviter le soleil, la M. Carion, ancien professeur au colI 2 , R u e de B r e s t , - M o r l a i x chaleur, les v o y a g e s en chemin de f e r , lège de Morlalx, a été tué par un obus Au Cinéma les poussières et toutes les causes d'exasallemand au cours d'une,; reconnaissance pération. L e r h u m e de c e r v e a u s e r a qu'il effectuait aux abords du fort d e . . . . Samedi soir, une foule nombreuse a s - soigné a v e c l e Narizol Berthiot. L'opM. Carion était capitaine depuis l'année à 4.S0, 1.25, 0.95, 0.65, 0.80, sistait au c i n é m a à la magnifique r e p r é - pression, les c r i s e s d'asthme disparaîdernière et avait été décore de la Légion tront p a r l'emploi de fulmigations de 0.45,0.20 et 0.10. sentation de la Dame aux Camélias. d'honneur pour fait de guerre. C'est s u r cette pièce superbe que s'est P o u d r e Louis Legras. C e merveilleux PUBLICATIONS D I V E R S E S — JOURNAUX Son corps a été retrouvé, deux jours en terminée dans n o t r e ville l a c saison » médicament L U U I I I U A M O U I calme RAMIE E U moins M O I O S d'une A U N E mi M I - I après, À moitié enseveli dans un boyau. du c i n é m a . nute les plus violents a c c è s d'asthme, I Papeterie. Registres, Presses a Copier Excellent officier, il fut aussi excellent M. et Mme Révil, Q U I par la variété e t c a t a r r h e , essoufflement, toux de vieille* 1 Encadrements, Gravures, rofesseur. Ses collègues appréciaient la beauté des spectacles qu'ILS offraient bronchites et a m è n e progressivement » Papiers peints — Devants de Cheminée autement son mérite professionnel, l'éléa u x a m a t e u r s avaient assuré au c i n é m a la guèrison — Narizol Berthiot, 1 f r . 35 Article)) d e P e i n t u r e vation de son oaractère, sa modestie, la une clientèle fidèle, et qui par leur c o u r - la boîte. P o u d r e Louis L e g r a s , 2 f r . 10. Couleurs L e f r a n c & Bourg;eols sympathieet la cordialitéde ses manières. toisie, leur tact et L E U R amabilité avaient Envoi c o n t r e mandat adressé à Louis Il est tombé sans avoir eu la joie de personnellement conquis toutes les sym- L e g r a s , 139, Bd M a g e n t a , à P a r i s . CIERGES & COURONNES MORTUAIRES revoir les siens, restés en pays envahi. athies. ont e u x - m ê m e s emporté des MACHINES à ÉCRIRE lorlaisieus une excellente impression. Majorations derentes Viagères É c r i t u r e t r è s visible ; d e r n i e r s p e r f e c Il N O U S reviendront en septembre P R O Dans le but d'encourager la prévoyance chain a v e c un grand c h o i x de films S E N t i o n n e m e n t s ; g r a n d e solidité et la constitution de . retraites, des majo- sationnels, et D È S maintenant N O U S pou« CONTINENTAL » & LA « NEW-AMERICAN » rations de rentes viagères seront accor- vons a n n o n c e r Quo-Vadis, les Misérables, MM. DÉNIEL e t L E R O U X informent dées en 1916, en exécution de la loi du le Maître de Forges, Madame Sans Gène, 1 le public qu'ils tiennent à s a disposition 1 M a i q . A U £ ï. 31 décembre 1855, aux titulaires de livrets éîc, e t c . r des Au»OB pour e x c u r s i o n s , c o u r s e s , e t c . de la Caisse nationale des retraites pour S'adresser rue de Brest, 24, à Morlaix. la vieillesse, ainsi qu'aux pensionnaires des sociétés de seoours mutuels ou des Téléphone 94. sociétés de secours et de prévoyance qui Dans la liste des jurés appelés â siéger rempliront, au point de vue de l'àg<\ de Le Gérant Y . L E Q U É R É . la continuité des versements et do la si- pendant les A S S I S E S D U 2 t r i m e s t r e de 1916, qui s'ouvriront le L U N D I 3 Juillet, N O U S r e tuation de fortune, les conditions vouMaison Française levons pour n o t r e région ies noms suilues. F O N D É E E N 1859 vants : Ces rentes supplémentaires seront serMM. Marcel P u y o , n é g o c i a n t à Morlaix. vies par la Gaisso nationale des retraites. B a r o n , s e c r é t a i r e de m a i r i e & LandiviElles ne pourront excéder le cinquième siau. de la rente primitive. Y vos Guillou, m a i r e de Tréflaouônan. Louis Queinec, minotier à Guiolan. L e s c o n f é r e n c e s d e AI. J a o u e n Louis Goaoc, cultivateur à PlounévezM. Jaouen, de Locquénolé, si connu L o c h r i s t . sous le nom de Pipi Talon, fait actuelleY v e s Lautrou, cultivateur à Plourin. ment dans le Finistère, une tournée de J . Y . Abgrall, propriétaire-cultivateur R u ed e l a 19, Rue de Siam Mairie, 36 conférences sur les versements d'or. àSt-Sauveur. Lundi, a Lambader, devant un auditoire de plus de 4.000 personnes, Il a éloquemment démontré que le devoir de chacun était d'apporter à la Patrie, tout l'or qu'il possédait. Envoi Franco du Catalogue général PLOUJEAN Membre Fondateur Nous le félicitons de sa propagande paet d'échantillons Comité agricole triotique. de la Ligue Anti-Germanique L e comité a g r i c o l e de Ploujean est pour li Osteins in intérêts français V o i r n o s é t a l a g e s Matinée h e u r e u x de faire savoir a u x cultivateurs Une matinée donnée par la Tournée que toutes les demandes F A I T E B P O U R obtedes Conférences Spectacles au bénéfice | nir l a main-d'œuvre militaire ont été du Comité (Universitaire de la j e u n e s s e favorablement accueillies. L e s soldats Etude de M* Ernest LE VAIL- Etude de M* ERUSSARD, no- Etude de M» O. DU PENHOAT, notaire à Morlaix, successeur taire à Morlaix, successeur de LANT, notaire à Plougasnou sans attribution de quai lté, de meuble» et objet» mobiliers dépendent de le auooeas/on de Mlle Françoise M0RVAN AUXMERESDE FAMILLE - M O R L A I X Certitìó par le gérant soussigné, gratis) 866 m e 18 ANNEE — № 6 7 4 LE NUMÉRO 5 CENTIMES D U SAMEDI 3 4 JUIN 1 9 1 6 F I N I S T È R E Araok àepred JOURNAL D'UNION REPUBLICAINE PARAISSANT L E SAMEDI A B O N N E M E N T D'UN AN Morlaix et Départements limitrophes 8 if. 5 0 4 »» Les autres Départements Les abonaements sa paient d'avance et partent des 1 » et 15 d chaque mois. — L'abonnement fini, le défaut de renvoi des numéros suivants équivaudra à renouvellement. frais de recouvrement par /a poste : 0 tr. 4 0 par abonnement P R I X D B S INSERTIONS LA LIGNA R É D A C T I O N E T Annonces Judiciaires et diverses 0 tr. 20 Réclames O 80 Faits divers O 00 P o u r les annonces de trois et s i x mois ou à l'année, on traite de g r é à g r é T a r i f décroissant pour les Annonces plusieurs fois répétée A D M I N I S T R A T I O N e Le Privilège des Bouilleurs de crû 36, Rue de Brest — MORLAIX Songeons à l'avenir, c'est le cas de rappeler co mot du poète : « Il faut qu'ici toute lâcheté soit morte. » Après le discours de M. Renoist, M. Un ultimatum des Alliés Tournan qui sent la partie compromise pour les bouilleurs de crû, monte à la La Grèce cède tribune et s'efforce de faire croire que Démission du ministère la suppression du privilège peut être en France une cause de troubles et de En raison de l'attitude du gouvernedivision. ment grec qui a ouvert son territoire « Ce n'est pas, insinuo-t-il, à cette aux troupes Bulgares et qui malgré ses heure, devant l'ennemi qui épie nos déclarations réitérées de neutralité a fautes, qu'il faut risquer de rompre toujours coopéré avec nos ennemis, les « l'Union Sacrée ». Alliés ont adressa un ultimatum à la M. Ribot, ministre des Finances, Grèce. Ils exigent : vient alors à la rescousse. En termes vibrants qui produisent 1° Démobilisation effective et générale sur la Chambre la plus vive impres- de l'armée grecque ; sion, il supplie la Chambre de regarder 2° Remplacement du ministère Skouen faoe tout le problème : loudis par un cabinet présentant toutes — L'alcool, s'écrie-t-il, est devenu un garanties touchant l'observation d'une danger national. La Franoe victorieuse neutralité bienveillante à l'égard de sur les champs de bataille peut être l'Entente, conformément aux engagevaincue demain par ce fléau si elle man ments mêmes du gouvernement grec ; que d'énergie et de courage. 3° Dissolution de la Chambre et réé m- Le privilège des bouilleurs de crû, lections générales ; a fait faire à l'alcoolisme des progrès in 4° Remplacement des fonctionnaires uiétants, plus inquiétants que jamais. e»us les moindres cantons, à la nouvelle do la police, qui ont trop souvent obéi récolte, vont être déversés des torrents à des inspirations étrangères. de poison. Devant do pareilles considéAu cas où le gouvernement grec n'adhérations, allez-vous reculer ? il serait seul — Le péril est à nos nortes I Le cri rerait pas à ces demandes, des événements qui pourraient d'alarme est partout 1 L'Académie de responsable médecine, l'Académie des sciences dé advenir par la suite. clarent, avec l'autorité qui leur apPour appuyer l'ultimatum de l'Eu partient, que la Chambre ne ferait pas son devoir si elle ne faisait pas la ré- tente une escadre anglo-française, sous forme réclamée par le pays. Dans les les ordres de l'amiral Moreau, a fait une départements normands, des voix auto démonstration dans les eaux hellénirisées s'élèvent pour réclamer la sup- ques et s'est tenue prête à assurer la pression du privilège. Quant à la Breta- mise à terre d'un corps de débarque^ gne, qui se sent atteinte'par le fléau, elle ment. vous demande, par ses conseils gêné La Grèce a immédiatement cédé s raux, de venir à son secours. Il faut to'is les points. conserver toutos nos admirables races, Le ministère a tout de suite donné confondues aujourd'hui dans nos armées pour la défense de la Franco, notre sa démission, et M. Zaïmis a remplacé France qui demain ne serait plus la M. Skouloudis à la présidence du conmême si nous laissions se poursuivre l'a- seil et a u . ministère des affaires étranbâtardissement de notro race par l'alcoo- gères . lisme. La nouvelle de la nomination de M L'éloquento et énergique intervention Zaïmis et de la constitution d'un noude M. Ribot a conquis la Chambre qui veau cabfnetaété reçueavecune grande par 252 voix contre 160 repousse la mo- satisfaction à Athènes, où l'on espère tion des bouilleurs de crû tendant à une détente dans la situation. disjoindre du projet de loi du ministre des Finances l'article 5 relatif à leur Une grande révolte Arabe contre les Turcs privilège. Ces derniers, ncus l'espérons, s'incliOn annonce que le Chérif de la Mecneront sans protestation devant la déue a proclamé l'indépendance des cision de la Chambre. .rabes vis h vis des Turcs. S'ils ne voulaient pas faire de bon Les opérations militaires ont comcœur la concession qu'on leur demaude mencé le 9 juin. Les troupes chériflenet qu'impose la situation actuelle, ils nés ont remporté un grand succès et sembleraient oublier qu'ils sont Fran- pris la Mecque (ville sainte de 50.000 çais, avant d'ôtre bouilleurs de c r û . habitants), et assiègent Médine, autre ville Sainte. La Grècejt l'Entente f En août 1915, M. Rlbot, ministre des Finances, déposait sur le bureau de la Chambre un projet de loi destiné à combattre l'alcoolisme. Parmi les réformes proposées, l'une des'plus importantes était la suppression des privilèges des bouilleurs de crû. Ce fut aussitôt parmi les béniilcialres du privilège une levée ardente de boucliers : ils organisèrent des ligues, multiplièrent les conférences, obtinrent l'apnui de quelques conseils généraux, si bien que la majorité de la Chambre sembla devenir douteuse, hésitant a prendre parti contre des intéressés qui sedéfendalent avec tant d'acharnement. Mais la question était tout de môme trop importante pour qu'on l'abandonnât. Le privilège des bouilleurs de crû coûte 300 millions par an à l'Etat et constitue en môme temps une véritable injustice puisqu'il permet & certains privilégiés d'utiliser les fruits de leur* récoltes en les distillant chez eux, pour en faire de l'alcool, sans contrôle ni taxation, alors que tout le reste de ce qui est fabriqué d'alcool dans notre pays est soumis à la surveillance ininterrompue de la régie et au paiement de droits considérables. Seuls les producteurs de vins et de cidres ont le droit de distiller, droit qui est refusé aux cultivateurs de betteraves et de pommes d é t e r r e . Il y a donc la une inégalité entre les droits des récoltants de fruits et ceux des autres produits agricoles. Cette Inégalité déjà choquante en temps de paix devient injustifiable en temps de guerre. L'Etat a, à l'heure actuelle, de constants besoins d'argent: pas plus que les autres citoyens, les bouilleurs de crû ne peuvent soustraire 300 millions aux recettes publiques en vertu d'un principe contraire a u x principes mômes de la République. Aussi M. Ribot a-t-il estimé qu'il n'y avait pas lieu de tenir compte des protestations Intéressées qu'a soulevées son projet. Il a d'ailleurs trouvé d'ardents partisans. A l'occasion du projet de loi sur les crédits provisoires, M. Ch. Renoist a prononcé un vigoureux réquisitoire contre les bouilleurs dè crû. t Leur privilège, a-t-il dit en subsistance, a produit des résultats rapides et effrayants : de 1809 à 1913, eu 44 ans, Les séances secrètes de la Chambre, voici la marohe en Franco, de l'armée commencées le 16 juin, se poursuivent. des boniliours de orû : En 1800, 11 y avait 43 départements Le secret des délibérations est strictement observé. bouilleurs : En 1913, il y a des bouilleurs dans 84 Clôture de la séance secrète départements. En 1869, 11 y avait 00.809 bouilleurs L'ordre du jour de confiance voté En 1013, il y en a 1.070.470. Après sept séances, le Comité secret Aujourd'hui, dix-neuf départements comptent chacun plus do 2 0 . 0 0 0 bouil- a clos ses délibérations. leurs. La Chambre, s'est aussitôt rénnie en Le premlor est la Sartho, avec 58.000 séance publique, et comme sanction bouilleurs; puis, la Mayenne, avcc39.O0O; des débats du comité secret a voté par puis le Maine-et-Loire, l'Orne, etc. 444 voix contre 80 un ordre du jour de Cette extension du privilège a entraîné confiance au gouvernement. la diminution de la natalité, particulièreEn voici les principaux passages ment dans les départements à bouilleurs La C H A M B R E , en collaboration étroite de orû où en 1913, huit sur dix étaient aveo le gouvernement, se déclare résolue en déficit quant aux naissances. à donner une impulsion déplus en plus Dans le Calvados on a signalé la mort vigoureuse a la défense du pays, tqut d'un enfant de 13 ans, déoédé d'alooolismo, en « ' A B S T E N A N T strictement d'intervenir d'un alcoolisme non hérité, mais con- dans la conception, la direction ou l'exétracté individuellement. C U T I O N des opérations militaires. A St-Méen, l'asile des aliénés a vu Elle entend veiller & ce quo, en vue doubler le nombre de ses pensionnaires do C E S opérations, la préparation des du fait de l'alcoolisme. Dans une péroraison très applaudie, moyens offensifs et délensifs, industriels et M I L I T A I R E S , soit P O U S S É E aveo un soin, le député de Paris conclut : une activité et une prévoyanco corresL'un des premiers problèmes qui se pondant à l'héroïsme des soldats de la posera, après avoir sauvé la France, co- République ; géra de la refaire, mais nous ne la refeConstatant que le comité secret lui a rons pas, si nous ne détruisons pas un permis do se renseigner efficacement sur fléau qui la défait au Jour le |our dans a conduite générale de la g u e r r e , ollese j réserve de recourir, si besoin est, à la les générations nées et à naître. -, Ce pays, saigné aux quatres veines, m ê m e procédure ; Elle décide d'instituer et d'organiser 11 faudra le repeupler en gagnant do la qualité et de la quantité. Nous le devons une délégation directe qui e x e r c e r a , avec à l'humanité, pour lui conserver la meil- le concours du gouvernement, le contrôle leure part d'un peuple qui l'a si 'noble- effectif et sur place do tous les s e r v i c e s ment servie. Nous le devons a nous- ayant la mission de pourvoir a u x besoins 1 de l'armée. mêmes. Î Î Les séances secrètes de la Chambre! 1 Mexique La situation est très tendue entre 'Amérique et le Mexique. L e s EtatsUnis refusent de retirer leurs troupes du Mexique tant que le gouvernement mexicain n'aura pas donné la preuve qu'il est capable d'assurer lui-même la tranquillité. Le Président du Mexique exige, de son côté, le départ des troupeu américaines. Des deux côtés on déclare qu'on ne veut pas la guerre, mais qu'on l'acceptera si les circonstances l'exigent Les américains ont massé 60.000 soldats sur la frontière. On assure qu'un violent engagement a eu lieu entre des détachements américains et mexicains. La disette allemande Manifestations T U L M U T U E U B C S De viol ntes manifestations se sont produites à Munich vendredi et samedi dernier. Une foule nombreuse réunie sur la Marionplotz a criblé de pierres les vidu cafô Rathaus, près de l'hôtel de ville en criant : « A bas la guerre 1 Nous voulons du pain. » La démonstration prenant de graves proportions la police a dû charger. Los Muenchncr Neuste Nachrichten ont publié une note officielle du président de la police de la ville qui confirme les faits : a Parmi les manifestants, ajoute la n note, cum posés e n graDde p a r t i e d e f e m m e s e t de jeunes g o n s , se trouv a i e n t des h o m m e s et m a l h e u r e u s e ment aussi des soldats. » La Guerre Les Morlaisiens__ à la guerre Nous avons le plaisir de relever les glorieuses citations suivantes dont ont été l'objet nos concitoyens : Citations M. l e c a p i t a i n e SIMON Le capitaine'Simon, pilotede dirigeable au port d'attache de T . . . . vient d'être cité Les Allemands s'obstinent à livrer à l'ordre de l'armée dans les termes élodans la région de Verdun des attaques g i e u x suivants : « A accompli au-dessusde l'ennemi plusieurs incessantes qui n'ont généralement aucun succès et leur coûtent des pertes ascensions de bombardement au cours desquelles le dirigeable a été soumis au feu de énormes. l'ennemi, notamment dans la nuit du 21 au 22 Par contre, nos troupes profitent sou- mai. où le ballon, éclairé par de nombreux vent du désarroi que leurs échecs pro- projecteurs et violemment canonné, reçut voquent chez les Allemands, pour faire plusieurs atteintes. A fait preuve, dans des d'heureuses contre-attaques : c'est circonstances particulièrement difficiles, de ainsi que le 16 juin, elles ont pris 1 ki- beaucoup d'habileté professionnelle, de courage eide sang-froid. » lomètre de tranchée au Mort-Homme et le 17, des éléments de tranchée aux L e capitaine Simon est le fils du s y m environs de Thiaumont. pathique sor.s-di recteur des contributions indirectes à Morlaix. La bataille de Verdun Communiqué du Jeudi 22 juin 23 heures §£l M. l e sous-lieutenant L e G A D Le dernier comuniqué officiel signale L e général commandant la 22« division qu'après quelques jours de calme relatif les Allemands ont repris l'action au- cite à l'ordre de la division le sous-lieutenant L e Gad, Victor (armée active). tour de Verdun avec un redoublement « A enlevé s a s e c t i o n à trois reprises difféd'énergie. rentes, avec un élan superbe, à l ' a s s a u t des Après une violente canonnade sur les tranchées ennemies à la contre attaque du deux rives de la Meuse, ils ont lancé 2i avril 1916 (Bois d'H...) des colonnes d'assauts sur les pentes L e sous-lieutenant L e Gad, 21 ans, est du Mort-Homme et dans la région du le fils de l'ancien propriétaire de l'Hôtel fort de V a u x . des Bains de Boscoff et le frère de MaIls ont réussi à prendre pied sur la [ dame L e Gall. propriétaire de la mairivo droite entre le bois du Fumin et son Au Chat Noir, à Morlaix. du Chenois, mais ils n'ont pu s'y mainM. l e sous-lieutenant L E GOAZIOU tenir. Le général commandant l'artillerie de la ..." a r m é e cite à l'ordre de l'artillerie de l'armée le sous-lieutenant L e Goaziou L a prise de C z e r n o v l t z P i e r r e , de la 130« batterie de 58 de tranchée du 8« régiment d'artillerie : Nous annoncions dans notre dernier L e 9 janvier, au moment où se déclanchait numéro qu'on se battait dans les fau- une attaque brusquée, s'est porté à s e s pièces bourgs de Czernovitz. en traversant une zone particulièrement batAprès une série de combats acharnés, tue par les tirs de barrage : a donné à tous les Russes ont pris cette ville impor- l'exemple du plus grand sang-froid en venant vérifier le tir de ses pièces, dont l'efficacité tante qui compte 92.000 habitants. est parvenue à e,nrayer complètement cette Partout, d'ailleurs, l'avance de nos attaque. alliés s'accentue et bien que la presse M. P i e r r e L e Goaziou est le fils de Maallemande s'efforce de diminuer l'importance de leurs succès, chaque jour dame L e Goaziou, imprimeur-libraire à Morlaix. de cette semaine a marqué pour eux Nous leur adressons nos biens vives féun nouvel avantage. Entrelo 4 et le 17 juin, les Autrichiens licitations. ont perdu plus de 300.000 hommes et les Russes leur ont fait 171.000 prisonniers et leur ont pris 274 canons et 230 mitrailleuses. Poursuivant leur succès, les Russes COURS DU B E U R R E ont coupé en deux l'armée du général 47 Juin, 300 fr. les lOOkilogs. Pflanzer et ont poursuivi leur avance M Juin, 300 fr. — au-delà de Czernovitz, jusqu'à Jadove, sur le Sereth, en Bukovine, et d'autre P H A R M A C I E D E S E R V I C E part, jusqu'à Hliboka, au pied des Car pathes. L a pharmacie de service dimanche Ils ont ainsi dépassé la capitale de la sera la pharmacie Roger. Eukovine de 40 kilomètres. Les Allemands ont amené de nomCONSEIL MUNICIPAL breux renforts dans la région du Styr où se livre une furieuse bataille qui Le Conseil Municipal s'est réuni jusqu'ici demeure à l'avantage des lundi à 8 heures 1/4 du 6oir, en séance Russes. extraordinaire. La seule question à l'ordre du jour comportait une demande du relèvement Sur le front italien, les Autrichiens du prix du gaz. formulée par la compane marquent plus que des échecs. Les gnie Le Eon, et basée sur l'augmentaItaliens continuent à les repousser un tion du prix du charbon. peu partout. Le Conseil a rejeté cette demande en s'appuyant sur les raisons suivantes : Considérant qu'aucun des contrats passes par la Compagnie avec la ville de Morlaix, dont le dernier en date de Mai V e n t e de titres à L o n d r e s 4914, ne prévoit une augmentation quelP r ê t s de titres & l'Btat conque des prix du gai ou d'électricité en du prix du L a Banque de Franoe reçoit tous les relation avec l'augmentation jours les dépôts de titres prêtés à l'Etat coût du charbon ; et les ordres do vente de titres à Londres. Que cette relation, sur laquelle nos E n dehors des titres compris dans la contrats avec la Compagnie Le Bon /ont liste très variée des valeurs pouvant être lors prêtées a l'Etat, qui donnent a u x prê- le silence, a été au contraire stipulée du contrat de 1904 de ta teurs u n e bonification de 25 0/0 du revenu de la passation Bordeaux annuel, beaucoup d'autres peuvent être Compagnie générale du gaz de vendus à Londres, en assurant a u x v e n - avec la ville de Bordeaux et dont fait deurs u n b d n ô f i c o spécial résultant du change : surtout état l'arrêt du Conseil d'Etat du Fonds d'Etat : (Japonais, Busses, e t c . ) , 50 mars 1916 condamnant la ville de valeurs industrielles (caoutchouc, P é - Bordeaux ; trole : Boyal Dutch, Shell, Transport, Considérant que Us bénéfices colossaux etc. e t c . ) Mines d'or (de Beers, Lautaro, réalisés dans le passé par la Compagnie Nitrate, etc). de rembourser à LA Banque de Franco prend à.sa charge Le Bon lui ont permis les 5 dixièmes des actions les frais d'envoi et d'assurance des litres ses actionnaires qui peuvent être négociés à Londres, libérées émises à 300 fr. sans préjudice mémo non revêtus du timbre trançalê. des amortissements effectués et de distri- La victoire des Russes CHRONIQUE, LOCALE Sur le front italien Banque de France x L'ECLAIREUIl DU FINISTERE ¡sjsjsjpssjpssjsjBP huer jsquu'ici, même pour l'exercice 1915, un dividende annuel de 60 fr, ; que ses riches ressources lui permettent d'envisager, sans crainte justifiée, une augmentation passagère du coût de sa matière première qui, au surplus, sera bientôt enrayée par le fait de ta taxation récemment décrétée par l'Etat ; Considérant que les conventions faitant la loi des parties, doivent, lorsqu'elles ont été librement consenties, être scrupuleusement exécutées de part et d'autre, à moins d'impossibilité absolue crée par un cas de force majeure ; Considérant que la Compagnie n'invoque à l'appui de ta demande aucune impossibilité mais seulement la dépense provenant de l'élévation du coût du charoon ; Considérant que cette dépense, malgré le cri d'alarme de la Compagnie, ne peut affecter que dans une certaine mesure et passagèrement la distribution de ses bénéfice» sans ébranler It moindrement la forte constitution de ton actif ; Par cet motif8 : Le Conteil repousse la demande Compagnie Le Bon. de la Collège et E c o l e P r i m a i r e Supérieure Le Principal lait savoir qu'a la rentrée d'octobre, il aura besoin d'un certain nombre de surveillants d'internat. Les candidats à oes fonctions n'ont qu'a lui adresser une demande en indiquant très exactement leurs noms, prénoms, date et lieu de naissanoe, adresse, antécédents et références. Les mutilés de la guerre seront particulièrement bien accueillis. A vis Important Il est rappelé aux familles que l'internat sera rouvert dans les looaux de l'établissement a partir du 1 octobre prochain, les classes continuant a être faites en ville. Il importe que l'administration collégiale connaisse le plus tôt possible le nombre exact d'internes qu'elle aura a loger, Il faut donc que ceux-oi se fassent inscrire dans le plus bref délai. Etant donné le nombre d'intornea nouveaux déjà inscrits, il peut arriver que tous les ic ternes qui se présenteront on > octobre ne puissent être logés. Dans ce cas, ceux-là seuls seront acceptés d'abord qui seront inscrits. Les Boursiers sont inorits d'offloe sans intervention des familles. vies par l'Administration départementale devant les Tribunaux, conformément a la loi. P o u r lesi « Col* bU'iiN » La soirée du 24 mai, organisée par la Commission do Secours, au prolit du Souvenir de la Franco à ses marins, a produit un bénéilce de 750 francs. Le boni de la conférence de M. Cloarec, faite sous les auspices do la Société d'Education populaire a été de luo fr. Ces deux sommes ont été adresséos à M. lo Préfet du Finistère. Les oolleotes faites pour la mémeumvre, Lesi p r i s o n n i e r * * a l l e m a n d s par les percepteurs, ont donné les r é sultats suivants : perception do MorlaixLes prisonniers allemands attendus a banlieue, commune d'Henvic, 19.35 ; M o r l a i x sont arrivés dimanche. I's ont Carantoo. 31.05 ; Ploujean, 07.70. Percep- été cantonnés au champ de bataille, dans tion de Saiut-Pol, 139 fr. Tronc do la les établissements de M . L e Marchand de Rtoetto des llnances, 184 fr., au total: T r i g o n , et sont employés à d é c h a r g e r les 442 francs qui ont été également envoyés wagons contenant des cailloux pour l a réfection des routes du front ot à les r e à M. le Préfet. c h a r g e r dans les bateaux. L a question d u charbon Billets de Banque trouvés Nous recevons, avec prière d'insérer, Une personne a trouvé dans la ruo une la lettre suivante, adressée par les négociants en charbons à M. Krébel, prési- c e r t a i n e somme en billets et s'est emdent de la Chambre de Commerce de pressée d e l à porter au c o m m i s s a r i a t de police où leur propriétaire pourra les Morlaix : réclamer. Morlaix lo 1 Juin 1916, Monsieur le Président de la Chambre de Commerce do Morlaix, ÉTAT-CIVIL D E M O R L A I X Par suite des événements de guerre, le du 16 au 24 j u i n 1916 . service normal des wagons est arrêté pour le commerce de gros ; c'est vaineNAISSANCES ment que nous demandons de nous livrer Y v o n n e Morvan, illlo de Antoine et de notamment de Brest les wagons de charbons que nous y avons achetés. Nous Madeleine Mallégol, rue Villeneuve, 40. n'en avons plus dans nos chantiers et — J e a n Morvan, fils de J e a n et de J e a n n e nous nous trouvons devant une clientèle L T l é n o r e t , r u e L o n g u e , 8 . — Y v o n n e qui a des besoins croissants de ce com- Clec'h, fille de P i e r r e et de Marie L e Qall, bustible et nous en demande malgré son rue L o n g u e , 51. — Louis F e r r e o l , q u a r tier du Château. — S u z a n n e Quéguiner, prix élevé. Importateurs de charbons anglais de fille do F r a n ç o i s et de Marie Lo Disez, provenance de CardiU, Swansea et d'E- F o n t a i n e au L a i t . — Adolphe Berthelemô, cosse, nous n'avons pas voulu contracter fils de Adolphe et de Claudine Edouard, ' de nouveaux achats, voulant faire profi- rue GamboUa, 41. ter nos concitoyens de la baisse devant MARIAGES résulter des conventions engagées enCharles Guyomard, marin breveté et tre les gouvernements Français et Anglais, dont nous attendons l e résultat Y v o n n e Guyader, dactylographe. — F r a n ç o i s Daniellou, préposé â la manupour reprendre nos achats. facture des tabacs et J e a n n i e P i c a r t , s. p. La conséquence de cette situation est — Joseph Rivoalen, c a v a l i e r au dépôt de qu'il nous faut nous adresser aux gros importateurs de notre région qui sont remonte de Guingamp ot F r a n c h i e J é g o u , , / tout disposés à nous en fournir sous la s. PDECEb réserve que nous leur donnions des bons do priorité, ne pouvant obtenir de waElrançois Lo Gac, ônoux de Anne R o gons que munis de oes bons. pars, 62 a. 1 m., quartier du Château. — Nous venons, M. le Président, vous prier E u g è n e G a r r e c . époux do Catherine R a de nous faire obtenir oes bons sans les- zor, ai) a. 8 m., Hôpital m i x t e . — B a r b e quels notre population sera privée d'un Q u e y n n e c , veuve de Mathias Cloach. 70 a. combustible indispensable (privation que 2 nu, quartier du Château. — Pôtronille la population pourrait nous imputer Le Bris, veuve de Georges Nédellec, 79 a. malgré tous nos recours pour la lui épar- 1 m . , q u a r t i e r du Château. - P i e r r e F o l gner;. loroux, veuf de Caroline L e Goil, 75 a. 9 m . , q u a r t i e r du Château. L u t t e c o n t r e la m o r t a l i t é Infantile • • Le Maire de Morlaix rappelle à ses administrés que toute personne qui désire M. Kérébel a transmis a la date du 3 prendre oliez elle un entant de moins de Juin les desiderata des négociants en deux ans doit auparavant obtenir un charbons à M. l'ingénieur en chef du certifloat médloal constatant qu'elle service commercial des chemins de fer remplit les conditions nécessaires pour de l'Ouest-Etat à Rennes, en le priant élever un enfant au sein, au biberon, ou de vouloir bion y faire droit. en sevrage : elle doit ensuite déclarer a Nous croyons savoir que M. lo présila mairie, dans les trois Jour», l'arrivée du dent de la Chambre de Commerce n'a nouirisson chez elle. encore reçu auoune réponse. De même les parents qui placent leur» Nous espérons qu'en raison de l'imporenfants en nourrioe doivent, aussitôt tance do la question au point de vuo du après, en faire la déclaration à la mairie ravitaillement en charbon de la populado leur domicile. I tion morlaisienne, cette réponse ne sauLes personnes qui négligeraient de rait tarder et quelle sera de naturo à remplir oes formalités seraient poursui- donner satisfaction aux intéressés. Etude de M* Ernest L E VAILLANT, notaire à Plougasnou Etude de M» G. DU PENHOAT, notaire à Morlaix, successeur de M» POILLEU VENTE MOBILIÈRE sans attribution de quai lté, de meubles et objet» mobilier» dépendant de la »uooe»»lon de Mlle Françoise MORVAN A u lieu du Dourduffen-Terre e n l a c o m m u n e d e Plouézoc'h Par le ministère de M* O. REQUER, suppléant de M* L E VAILLANT, notaire à Plougasnou. LE DIMANCHE 25 JUIN 1916 à 1 heure de l'aprètmtdi On vendra ; Batterie de cuisine, ustensiles de ménage, lits accoutrés, tables de nuit, armoires, buffets, vaisselle, horloges, glaces, pendules, tables, bancs, chaises, linges do corps et de ménage, épicerie, débit de boissons, agencements d'épicerie et de débit de boissons et quantité d'autres objets. Au comptant .ï°/ en tut. 0 Elude de M* ERUSSARD, notaire à Morlaix, successeur de M - F L E U R Y et de LANSALUT. À Vendre ou à Louer à 7 kilomètre» de Morlaix Propriété d'agrément comprenant maison divisée en 20 pièces, pelouse, parterre, cours d'eau. S'adresser au notaire. A LOUER 2, Place Thiers au 29 septembre 1916 Un 2° Etage aveo W C . à l'étage et électricité à volonté, se composant de cinq pièces et grenier. S'adresser à M. Du val, 2. place Thiers, les mardis e t samedis, de 2 heures à 4 heures. Inscription maritime Paiement des pensions sur la oaisse dos Invalides et sur la caisse de prévoyance A partir du l " j u i l l e t proehain, lpspcn sions s u r la c a i s s e des Invalides ut sur la caisso de prévoyance, seront payées dans l'ordre cl-aprés: de neuf heures à lOheuros 30, pensions sur la caisse des Invalides (hommes) et do 10 heures 30 h mi ti, pensions sur la caisse dos Invalides (vruves). A partir do 13 heures 30, les pensions sur la c a i s s e do prévoyance et lous les autres pensionnaires retardaires. SCRIGNAC F o i r e e t p a r d o n . — L a foire de Scrinac, très importante en raison du nomre de bétail qui y est présenté, aura lieu le mardi 27 j n i n . Le pardon de la localité aura lieu le mémo j o u r . f •CHEMINS DE F E R DE L ' E T A T i Gomme les a n n é e s précédentes, Padministration des chemins fie 1er de l'Etal fait délivrer pour un point quelconque do son réseau, a u x familles composées d'au moins trois personnes payant place entière et voyageant ensemble, des billets d'aller et retour collectifs dont les CHIRURGIEN-DENTISTE p r i x comportent uno réduction très a p de la Faculté de Médecine de Paris préciable sur c e u x des billets ordinaires. L'émission de c e s billets, dits billets de 14, Rue Carnot et 3, Rue du Mur famille pour les vacances, dès à pressent auR e ç o i t tous les jours torisés de et pour toutes les g a r e s du RéS p é c i a l i t é d'appareils d e n t a i r e s perfecseau de l'Etat, s^ra continuée jusqu'au tionnés, s a n s plaque, sans c r o c h e t s e t 30 septembre et tous les billets délivrés sans succions à partir du 15 j u i n seront valables uniformément, au retour, jusqu'au 5 novemEXTRACTIONS SANS nOULEUR bre. CONSULTATIONS GRATUITES Le p r i x total d'un billet collectif de famille s'obtient en ajo'.lant a u prix de Librairie quatre billets simples ordinaires au t a r i f plein*pour les deux premières personnes, le p r i x d'un de c e s billets pour la troisième personne et la moitié de c e prix 1 2 , Rue de Brest, - Morlaix pour la quatrième et c h a c u n e des suivantes, c e qui permet, par e x e m p l e , à une famille de cinq personnes de bénéfic i e r d'une réduction de 40 0/o sur le tarif VOLUMES DE TOUTES COLLECTIONS ordinaire. à 1.50, 1.25, 0.95, 0.65, 0.50, 0.45, 0.20 et 0.10. S i g n a l o n s é g a l e m e n t que lo c h e f de famille peut être autorisé à effeemer le PUBLICATIONS D I V E R S E S — JOURNAUX v o y a g e isolément à la condition qu'il en fasse la demande e n môme temps que P a p e t e r i e . R e g i s t r e s , Presses à C o p i e r Encadrements, Gravures, celle du billet. Dans c e cas, il lui est r e Papiers peints — Gérants de Cheminée mis un coupon spécial pour l'aller et le retour. Article* de P e i n t u r e C o u l e u r » L e f r a n e & Bourgeois Enfin, il peut être délivré à un ou plusieurs dos v o y a g e u r s inscrits sur un billet de famille et en môme temps que ce CIERGES & COURONNES MORTUAIRES M A C H I N E S à ÉCRIRE billet, une carte d'identité sur la présentation de laquelle l e titulaire est admis à É c r i t u r e t r è s visible ; d e r n i e r s p e r f e c v o y a g e r isolément, à moitié prix du tarif t i o n n e m e n t s ; g r a n d e solidité g é n é r a l , pendant ia durée de la villégia« CONTINENTAL » & L» « NEW-SlUERICIN » ture do la famille, entre le lieu de départ et le lieu de destination mentionnés sur Le Gérant Y . LE Q U É R ë T " le billet. C. M A N S E R R E M. Grands Magasins dHabillements THIERY & SIGRAND 19, Rue de Siam Envoi Franco du Calalogue général et d'échantillons Mme Vve Alexandre GUIOMAR et qui leur ont témoigné de la sympathie en cette douloureuse c i r constance. de Voir nos étalages R u e d e l a Mairie, 3 6 Membre Fondateur la Ligue Anti-Germanique pour la Bifenie des intérêt» français i Etude de M» S E R R U R I E R , coin- g missaire-priseur à Morlaix A LOUER pour le 29 septembre 1917 par suite de décès par suite de décès LA MÉTAIRIE LE VENDREDI 30 JUIN 1916 jt* botte de 40 comprimés e fr. 7 5 franco contre mandat. 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La malado s'affaiblit et des pertes abondante* la forcent a s'aliter presque continuellement. o r g a n e A toutes ces malheureuses il faut dire et redire : Faites qui voua guérira sûrement, sans que vous ayex besoin de recourir à uno opération dangereuse. N'hésites pas, car il y va de votre santé, et sachex bion que ls JOUVENCE de l'Abbé SOURY est composée de plantes spéciales, sans aucun,poison ; elle est faite exprès pour guérir toutes les Maladies intérieures de la Femme : tfétrites, Fibromes, Hémorragies, Pertes blanches, Règles irrégulidres et douloureuses, Troubles de la Circulation du Sang, Accidents du RETOUR D'AGE, Etourdissements, Chaleurs, Vapeurs, Congestions, Varices, Phlébites. Il est bon de faire chaque jour des injections avec l'HYQIENITINE des DAMES (1 fr.60 la botte). I.n JOUVENCE de l'Abbé SOURY se vend 4 fr. » lo UN 3° ÉTAGE se composant de 6 pièces, cave, eau ot Water-Closet à l'étage. S'adresser à l'étude de M» DE LAFFOREST, notaire à Morlaix. 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