Allergique aux pollens? Faites un premier diagnostic

COMMUNIQUE DE PRESSE
Allergique aux pollens? Faites un premier diagnostic sur
www.jesuisallergique.be
Bruxelles, 17 avril 2014 – Eternuements, démangeaisons nasales, nez qui coulent ou yeux qui
picotent, voici quelques-uns des symptômes de l’allergie respiratoire. Facile à diagnostiquer
pourrait-on penser et pourtant. En Belgique, plus de deux millions de personnes souffrent
d’allergie respiratoire. C’est pour conscientiser le public aux conséquences souvent sous-estimées
de cette maladie sur la vie quotidienne que STALLERGENES a créé un site internet. Au-travers de
questionnaires interactifs, l’internaute peut évaluer le niveau de sévérité de son allergie.
Les complications occasionnées par les allergies respiratoires sont importantes et souvent sousestimées. Près de la moitié des patients souffrant de ce type d’allergie, ne sont pas diagnostiqués 1, 8
allergiques sur 10 apprennent à (mal) vivre avec leur allergie respiratoire2. Pourquoi faire ce
compromis?
Pour sensibiliser tout un chacun aux premiers symptômes de l’allergie respiratoire et aux
conséquences de cette maladie sur la vie de tous les jours, Stallergenes a créé un site internet
www.jesuisallergique.be. Ce site met à disposition une information détaillée sur l’allergie
respiratoire. Via plusieurs questionnaires, les internautes peuvent obtenir des informations
personnalisées qui les aident à évaluer la sévérité de leur état et l’impact sur leur quotidien, et
pourquoi pas, à trouver des alternatives appropriées. Cette auto-évaluation ne remplace en aucun
cas la visite chez un spécialiste en allergie. Que du contraire, c’est une invitation à consulter un
médecin. En moyenne, les personnes souffrant d’allergie respiratoire s’adressent à un spécialiste
après 7 ans d’errance médicale3.
Pour renforcer ce message, Stallergènes a également imaginé une campagne de communication
montrant une activité familiale banale à l’arrivée des beaux jours, mais souvent bien difficile à
pratiquer pour des personnes allergiques au pollen. Au travers de cette campagne “Pique-nique dans
le living ”, Stallergenes souhaite montrer que grâce à des soins appropriés, les allergiques peuvent
avoir une meilleure qualité de vie sans se priver de ces menus plaisirs.
Bauchau V, Durham SR. Prevalence and rate of diagnosis of allergic rhinitis in Europe. Eur Respir J. 2004 Nov;24(5):758-64.
Valovirta E. Patients Perceptions and Experience of House Dust Mite Allergy in European Survey. European Respiratory Disease.
2012
3 Leynadier F. Bases du traitement en allergie respiratoire. Revue française des laboratoires. 281 (1996) 41-45
1
2
L’ALLERGIE AU POLLEN ET SON IMPACT SUR LA VIE DE TOUS LES JOURS
Suite au changement climatique et aux saisons de pollinisation de plus en plus longues, une
augmentation4 de la durée d’exposition aux pollens allergisants est à prendre en compte. La période
de pollinisation peut s’étendre de janvier jusqu’à la fin de l’automne5, suivant les régions du globe.
En Belgique, les pollens les plus présents sont :
 Les pollens de graminées. Ce sont les allergènes les plus répandus causant 52% des cas de
rhinites allergiques. Le gazon produit du pollen depuis la fin du printemps jusqu’au début de
l’été6.
 Les pollens d’arbres. Le bouleau, l’aulne et le noisetier peuvent causer des allergies sévères.
La pollinisation couvre généralement une période allant de janvier à mai.
Parmi la population souffrant d’allergies respiratoires, 15% à 20% souffrent d’une forme sévère de la
maladie7. Les symptômes peuvent limiter l’activité journalière, altérer la qualité du sommeil, et avoir
comme conséquence un état de fatigue, un impact négatif sur la fonction cognitive, la productivité
au travail, le bien être psycho-social ou encore les performances en période d’examens8. Et comme la
plupart des examens ont lieu de la fin du printemps au début de l’été, période durant laquelle les
indices de pollen sont généralement les plus élevés, les étudiants souffrant d’allergie respiratoire
peuvent avoir des difficultés à étudier et donc obtenir de moins bons résultats à l’école. Une étude a
démontré que les étudiants ayant des antécédents de rhinite allergique avec des symptômes de
rhume des foins avaient deux fois plus de risques de perdre un grade9.
Afin d’éviter ou de minimiser l’impact des pollens allergisants sur leur vie quotidienne, il est conseillé
aux patients de consulter un spécialiste en allergie le plus tôt possible, de préférence avant le début
de la période de pollinisation.
A PROPOS D’IMMUNOTHERAPIE ALLERGENIQUE
L’immunothérapie allergénique (AIT) représente le seul traitement de la « cause » de l’allergie. Cette
approche de désensibilisation consiste à administrer progressivement des doses croissantes de
l’allergène auquel le patient est sensibilisé10. Le but : rééquilibrer le système immunitaire afin qu’il
retrouve une réaction « normale » envers les allergènes.
En exposant les patients à des quantités croissantes de l’allergène responsable de leurs symptômes
(pollens de graminées, acariens, etc.), le médecin vise, sur le court terme, à une atténuation des
4 World Allergy Organization (WAO) White Book on Allergy, 2011
5 Hauser et al. Allergy, Asthma & Clinical Immunology 2010, 6:1
6 D’Amato G. et al. Allergenic pollen and pollen allergy in Europe. Allergy 2007: 62: 976–990.
7 White P. et al. Symptom control in patients with hay fever in UK general practice: how well are we doing and is there a need for
allergen immunotherapy? Clinical and Experimental Allergy. 1998: 28: 266-270.
8 Valovirta E et al. The voice of the patients: allergic rhinitis is not a trivial disease. Curr Opin Allergy Clin Immunol. 2008;8(1):1-9.
Review.
9 Walker S, Khan-Wasti S, Fletcher M, Cullinan P, Harris J, Sheikh A. Seasonal allergic rhinitis is associated with a detrimental effect on
examination performance in United Kingdom teenagers: case–control study. J. Allergy Clin.Immunol. 120(2), 381–387 (2007).
10 Braun J.-J., et al. Recommandations pour le diagnostic et la prise en charge de la rhinite allergique (épidémiologie et
physiopathologie exclues). Revue française d’allergologie 50 (2010) S3-S27
symptômes (dès les premiers mois du traitement), permettant de réduire leur impact sur la vie
quotidienne des patients, et sur le moyen terme (après trois années ou saisons consécutives de
traitement), à un maintien de cet effet selon un phénomène de désensibilisation. L’AIT réduit de
manière significative le besoin de médication symptomatique (antihistaminiques et
corticostéroïdes).
Le traitement est disponible sous forme sublinguale (goutte ou comprimé) ou forme sous-cutanée
(injection).
A PROPOS DE STALLERGENES
Laboratoire biopharmaceutique international, Stallergenes a développé l’immunothérapie
sublinguale au début des années 90 et reste, à ce jour, le leader mondial. L’entreprise est spécialisée
dans la recherche, le développement et la fabrication de traitements à base d’extraits allergéniques
destinés à traiter et contrôler la maladie.
Le savoir-faire de Stallergenes réside dans la connaissance de l’allergène, facteur clé dans le
développement clinique et pharmaceutique des produits, pour la qualité des matières premières ou
encore dans la conception de processus d’extraction et de fabrication. L’entreprise dispose de
plusieurs sites uniques de production de pollens et d’acariens. Chaque année, elle produit une tonne
d’acariens.
En 2012, plus de 500.000 patients ont été traités avec des produits Stallergenes. L’entreprise est
présente dans 50 pays et emploie plus de 1000 personnes.
www.stallergenes.be
CONTACTS PRESSE
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Cathy Schoels, [email protected], 0477/680 280