Présentation - Ordre des ingénieurs du Québec

Bonjour cher(e)s collègues,
Je me présente pour continuer le travail amorcé l’an passé pour remettre de l’ordre à l’Ordre,
et l’accompagner dans sa transformation vers un Ordre plus efficace, plus efficient et plus
collégial. Pour ce faire, je veux implanter:
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Un ordre qui encourage l’implication de ses membres envers la profession et le public,
et ce, dans le but d’aider à bâtir une génération de futurs ingénieurs fiers.
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Un ordre qui regagne la confiance de ses membres en étant à leur écoute et en
considérant leurs besoins exprimés haut et fort lors de l’assemblée générale
extraordinaire (AGE) de 2014.
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Un ordre qui ne force pas ses membres à adhérer à un système monopolistique
d’assurance médicament, qui n’a rien à voir avec la protection du public.
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Un ordre qui définit les balises d’une assurance en pratique privé mais qui ne force pas
l’adhésion à une compagnie particulière.
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Un ordre qui améliore sa gouvernance et sa transparence en publiant les opinions et
votes de chaque administrateur, pour améliorer la compréhension des enjeux et des
décisions prises, ainsi que rendre disponible les procès-verbaux.
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Un ordre qui met à jour son interprétation de la loi sur les ingénieurs et qui a une vision
élargie de ce qu’est l’ingénierie et ce que sont les actes réservés. Car après tout, la loi n’a
pas changé depuis 50 ans et pendant ce temps la pratique a évoluée. C’est pourquoi je
préconise le développement de bulletins d’application de la loi dans les grands domaines
de l’ingénierie, du biomédical à l’aérospatiale.
Je fais partie des nombreux ingénieurs qui travaillent en génie biomédical - un domaine en
expansion où il n’y a aucun champ de pratique réservé aux ingénieurs. Je suis donc membre de
l’OIQ par conviction et non par obligation.
J’admets volontiers que beaucoup d’efforts ont été faits depuis l’AGE de 2014, mais force est
d’admettre qu'il reste encore beaucoup à faire pour rétablir la pertinence de l’Ordre, la fierté des
membres et revitaliser la profession.
Pour ce faire, l’Ordre a besoin d’administrateurs qui veulent agir en transparence, de façon
responsable, conséquente et vigilante tout en restant à l’écoute des membres et autres parties
prenantes.
En vous remerciant pour votre vote,
Sophie Larivière-Mantha, ing. MBA
Chef du service de génie biomédical – HMR
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