57 20 1 a rs M 3 ACTU CLUB Derrière les télés, tout un écosystème Médialoire se penche sur la situation des télés locales. Elles ne sont plus que deux dans la région. TV Tours Val de Loire, détenue par La Nouvelle République, et BIP TV, chapeautée par André Laignel, le maire (PS) d'Issoudun. En ces temps de disette, toutes les deux sont en danger. Un temps évoquée, la relance d'Orléans TV semble oubliée. Si on s'inquiète, ce n'est pas seulement pour la trentaine de salariés. C'est surtout parce qu'elles participent à la diversité de l'information. Combien de fois a-t-on vu un sujet traité par une télé prendre une toute autre ampleur, "challenger" les radios et les journaux, bref créer de l'émulation ? L'autre raison qui nous mobilise, c'est que ces télés participent à un écosystème peu visible pour le grand public. Si quelques sociétés de production et leurs cohortes de cadreurs, monteurs et pigistes peuvent perdurer en région Centre, c'est aussi en partie grâce à elles. Pour déclencher des financements, un programme TV a besoin d'un diffuseur. Et ces télés locales y contribuent. Bien sûr, on les aimerait plus fortes financièrement. Encore faut-il savoir qu'avant de produire la moindre image, chaque télé achète plusieurs centaines de milliers d'euros un droit de diffusion. Avant de trancher dans les "masses" salariales, on pourrait s'interroger sur cette rente de situation offerte au "tuyau" de diffusion en question, en l'occurrence TDF, autrefois monopole d'État, aujourd'hui contrôlé par des fonds d'investissement. Tous mauvais Mardi 12 février, à Orléans, le Club de la presse vous conviait à une rencontredébat avec Jean Stern, journaliste et auteur du livre Les patrons de la presse nationale : tous mauvais. Un livre qui explique le déclin des quotidiens parisiens et s'efforce d'établir le partage des responsabilités. La presse quotidienne traverse une crise dont le web n'est pas la cause principale - même s'il aggrave la situation - puisque l'origine des difficultés remonte au début des années 1980 et que, dès 1970, elle avait perdu plus de la moitié des titres publiés à la libération. Cette crise touche plus particulièrement la presse nationale. Jean Stern, ancien journaliste de Libération et de La Tribune, lui consacre un ouvrage (1) autour duquel il est venu débattre à Orléans à l'invitation du Club de la presse Val de Loire. Le livre incrimine, au premier chef, la responsabilité des patrons, désignés "tous mauvais" tant du point de vue technique, pour avoir conduit au naufrage, que moral, pour utiliser la presse au profit de la défense de leurs intérêts. Jean Stern dénonce, de surcroît, la politique capitalistique conduite par les grands propriétaires des journaux dont la stratégie consiste à racheter des titres en difficulté sans leur donner les moyens de se relancer. L'auteur y voit un étranglement des effectifs des rédactions conduisant à un appauvrissement du contenu des journaux contraire aux attentes des lecteurs. Les journalistes ne sont pas dédouanés pour autant. Il leur est reproché en généralité d'avoir laissé faire le patronat des groupes puissants quand les quotidiens ont basculé entre les mains de celui-ci. Après avoir regretté le temps de la libération où les dirigeants de la presse, souvent des journalistes, ont cassé le rêve et les espoirs nés alors, en méconnaissant l'insuffisance de trésorerie des titres qu'ils avaient hérités, Jean Stern dénonce la folie des grandeurs à laquelle ont succombé certains journalistes, notamment Serge July Jean Stern & Jean-Jacques Talpin ©Berti Hanna et Jean-Marie Colombani, en se lançant dans des politiques de croissance sans les moyens financiers indispensables. Aux yeux de Jean Stern, l'État, qui a commis l'erreur de distribuer des subventions au lieu d'instaurer un statut de la presse, concernant particulièrement des concentrations de titres, trouve également sa part de responsabilité. Ultime considération d'un livre intéressant qui est davantage une histoire de la presse nationale qu'un brûlot contre tel ou tel des acteurs de celle-ci. Gérard Bardin (1) Les patrons de la presse nationale, tous mauvais, éditions La Fabrique, 13 euros. TV France 3: ambiance électrique Ainsi que nous l'avions laissé entendre dans l'édition précédente de Médialoire, Jean-Pierre Vincendet, rédacteur en chef adjoint de France 3 Centre, a fait l'objet d'un licenciement prononcé par la direction nationale de France 3 Stéphane Frachet aux motifs de harcèlement sexuel et de propos obscènes à l'encontre de deux salariées de la station régionale. Les revendications professionnelles, concomitantes à cette affaire de mœurs qui les a aiguisées, alimentent un échange de communiqués entre la direction et les syndicats significatifs de l'ambiance régnant au sein de France 3 Centre. Un tract anonyme, favorable à la direction, ayant contesté le bien fondé des vives critiques formulées envers l'organisation du travail, une réponse s'en est suivie à l'initiative commune du SNJ-CGT et de la CFDT. Après avoir rappelé la lettre ouverte signée par une soixantaine de journalistes et techniciens, les deux sections syndicales constatent que la plupart des dysfonctionnements dénoncés précédemment et « liés aux pratiques de management » n'ont pas été réglés. Ils relèvent en conclusion que « le climat global au sein de la station est plus tendu que jamais ». GB TV La télé du Berry poursuit sa route Première télévision locale portée par un Établissement Public de Coopération Culturelle en France (EPCC), Berry Issoudun Première (Bip TV), est une chaîne de télévision locale publique du Berry basée à Issoudun (Indre). Les émissions proposées par BipTV sont des émissions produites sur place, dans les locaux de la chaîne comme Bip Info, des émissions produites par BipTV en extérieur et des coproductions avec d’autres chaînes locales afin de s'ouvrir aux autres territoires. Disposant d’un budget total de 1,22M d’euros, la chaîne locale est financée par la ville d’Issoudun et la communauté de communes du Pays d’Issoudun; Elle est aussi subventionnée par la communauté d’agglomération de Château- roux et par le conseil général de l’Indre. La chaîne emploie 20 salariés, dont 8 journalistes en CDI, tandis que le personnel des autres composantes de l’EPCC intervient ponctuellement pour mutualiser certains postes. Une structure qui fonctionne avec des subventions est vouée à subir les aléas des décisions politiques. Alors que se profilent les élections municipales de 2014, le Conseil général, présidé par Louis Pinton, puis la communauté d’agglo de Châteauroux, dont le maire, Jean-François Mayet est le président, ont, pour l’un réduit les aides, pour l’autre, totalement supprimé celles-ci. Rigueur budgétaire pour certains, politique politicienne pour d'autres ? Peutêtre un peu des deux ! Ces coupes représentent à elles seules un quart du budget de la station. L'annonce par le président du Conseil régional, François Bonneau, d'une subvention à Bip TV a rassuré André Laignel, président de l'EPCC d'Issoudun sur la capacité de BIP TV à poursuivre sa route. De plus il est envisagé, à moyen terme, une évolution vers le Cher... Gérard Bardon www.bip-tv.fr EN BREF Zoom. - Diffusé samedi 23 février sur France 3 Centre, le dernier numéro du magazine Vues sur Loire (TGA productions) s’intéressait au plus rabelaisien des journalistes tourangeaux, j’ai nommé Jean-Luc Péchinot. L’occasion de re-découvrir cet hédoniste natif de Bourgogne, fondateur du Magazine de la Touraine et aujourd’hui chroniqueur pour le mensuel gratuit Tours Madame, qui agace ou enthousiasme mais laisse rarement indifférent. Nomination. - Yohan Nicolas, qui était jusque-là rédacteur en chef de France Bleu Belfort Montbéliard, vient de rejoindre l’équipe de France Bleu Touraine le 25 février. Il arrive en remplacement d’Éric Biegala, muté à la rédaction de France Culture. D’origine bretonne, Yohan Nicolas avait officié quatre ans à Strasbourg, dont deux années en tant que rédacteur en chef adjoint, avant de rejoindre l’antenne franc-comtoise. Vendôme : +32 % pour les Promenades. - 85 000 visiteurs ont vu les clichés exposés à Vendôme l'été dernier, lors du festival des Promenades Photographiques. C'est 32 % de plus qu'en 2011. L'édition 2013 aura lieu du 21 juin au 20 septembre et un pont sera fait avec des photographes canadiens. Le Club sera partenaire. À noter que le Conseil général de Loir-et-Cher renforce son soutien. De source sûre. - Patrick Baert, rédacteur en chef de l'Agence France Presse à Rennes, a réagi suite à notre information (Médialoire n° 56) sur une fermeture prochaine du bureau de l’AFP à Tours. « Elle est dénuée de fondement, nous écrit-il. Il est exact que le bureau n’a plus de rédacteur sur place depuis septembre dans l’attente de la nomination d’un nouveau journaliste détaché. Mais le bureau reste doté d’un photographe et d’un technicien permanents et nous espérons que le poste de rédacteur sera pourvu au plus vite afin de poursuivre notre couverture de la région Centre, assurée actuellement depuis Rennes avec l’aide d’un réseau de pigistes ». Dont acte. Angers retrouve son canal Angers Loire Télévision a commencé à émettre le 21 février. Dirigée par Olivier Hamon, cette télé locale d'une dizaine de sala- riés est portée par les collectivités, via une société d'économie mixte qui accueille quelques actionnaires privés. Selon l'agence de presse nantaise API, Laurent Rouault, PDG de la Tribune d'Orléans et actionnaire d'Angers TV, n'a pas apprécié d'être évincé de la régie publicitaire. Il envisagerait de se retirer du tour de table. SF PRESSE ÉCRITE BRGM Vs presse scientifique Rien ne va plus entre la presse scientifique française représentée par l'Association des journalistes scientifiques de la presse d'information (AJSPI) et le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) installé à Orléans. Sylvestre Huet, président de l’AJSPI et journaliste à Libération a saisi mi-janvier Geneviève Fioraso, la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, pour déplorer un « comportement inacceptable du BRGM dans ses relations avec les journalistes. »Les journalistes scientifiques se sont plaints de difficultés relationnelles avec le BRGM sur des sujets tels que le gaz de schistes ou le stockage géologique de CO2, où le BRGM est directement impliqué pour le compte de l’État. C’est vrai en particulier pour le projet européen Ulcos qui devait permettre de maintenir les hautsfourneaux de Florange (Moselle). Mais le BRGM aurait mis en place – via une agence de communication externe - une véritable frontière interdisant tous rapport avec les chercheurs publics. L’AJSPI déplore donc ce « type de comportement insupportable et inacceptable de la part d'un organisme public financé par les deniers publics ». Jean-Jacques Talpin COM Tous les cheval mènent à Loches “I loches you”, c’est le slogan développé par l’agence tourangelle des cheval pour la première campagne de marketing territorial élaborée en Indre-et-Loire. La démarche, commanditée entre autres par le comité départemental du tourisme, vise à sortir Loches de son enclave et à lui donner une image attractive et décalée. HG RENCONTRE AVEC … Alix de Saint-André À l’occasion de sa venue à la Boîte à Livres de Tours pour son dernier livre Garde tes larmes pour plus tard*, une biographie de Françoise Giroud écrite comme un polar, nous avons passé un petit moment avec elle dans les locaux de TV Tours. Extraits de cette interview dont vous pouvez lire l’intégralité sur notre site. MédiaLoire : La première fois que vous avez rencontrée Françoise Giroud, vous êtes partie le fusil à l’épaule : qu’est-ce qui vous irritait chez elle ? Alix de Saint-André : A l’époque, elle avait un statut d’icône nationale. Elle avait créé un journal, puis deux journaux, elle avait été ministre, on lui reprochait d’avoir fait élire Mitterrand et d’avoir été ministre de Giscard. Elle avait ce côté « j’ai tout fait, j’ai tout réussi ». Elle était la référente suprême des journalistes mais, curieusement, au sein de la rédaction du magazine Elle qu’elle avait fondée avec Hélène Lazareff, les filles en avaient un peu marre. Elle avait trop tout bon. Elle avait créé l’Action contre la faim, elle s’occupait des droits de l’homme, des droits de la femme. Elle avait presque 70 ans et elle écrivait toujours dans L’Obs, le Journal du Dimanche, elle était membre entre autres du jury Fémina… ML : Pourquoi un autre livre sur elle, après la biographie de Laure Adler par exemple, même Whatts-new : une agence à haute tension Juliette Talpin, Berti Hanna, Aude Richard. Ces trois membres du Club ont mutualisé leurs compétences en octobre dernier pour créer la SCOP Whatts-new, une agence spécialisée dans les énergies renouvelables. si l’exercice de style est complètement différent ? A. de S-A : Il va finir le travail que Laure Adler aurait dû faire et qu’elle n’a pas fait… ML : Qu’est-ce qu’a apporté Giroud au journalisme ? A. de S-A : Un style qui n’était pas du tout celui de la presse à l’époque. C’est-à-dire qu’on accroche le lecteur dès l’attaque et on ne le laisse pas filer jusqu’à la chute. Elle disait « Ce n’est pas la peine d’avoir du talent à la 5ème ligne si personne n’y arrive ». Des phrases très courtes, précises, concises, avec des arguments, des faits vérifiés. Une autre façon d’écrire, en captivant le lecteur par l’information. Ce style venait sûrement du fait qu’elle avait été scénariste avant-guerre et qu’elle savait raconter des histoires. Elle réécrivait tous les papiers des journalistes, elle a donné ce style à son journal qui était un journal de combat : elle faisait du journalisme militant, ce n’était pas un journalisme objectif. Marie Lansade PRESSE ÉCRITE 3e formule pour NRD Après avoir tenté de séduire la ménagère de moins de 50 ans, puis être revenu à un lectorat plus “traditionnel” tout en gardant un esprit “mag”, le groupe NRCO planche sur une nouvelle formule pour son édition du dimanche. Première parution prévue le 7 avril pour ce support qui, sans se prétendre journal du 7e jour, souhaite tout de même raccro- COM cher les lecteurs de la semaine. Au niveau du contenu, ce sont surtout les pages mag de fin de journal qui devraient subir un lifting. Mais la NR va aussi et surtout retravailler son plan de distribution, avec la volonté d’améliorer la diffusion en boîtes aux lettres et d’augmenter le nombre de points de distribution. Hélène Gosset TELEX TMV le mag. - (sous réserve) Mathieu Pays, rédacteur en chef de TMV et désormais responsable des thématiques au sein du groupe NRCO, a beaucoup d’idées pour faire grandir bébé. En passe d’être validé, le prochain projet concerne le développement de magazines mensuels gratuits « qualitatifs » (comprenez « imprimés sur papier glacé »), associés à la marque TMV, et qui se déclineraient chaque fois autour d’un thème différent. © Berti Hanna À l’initiative du projet, Juliette a déjà un beau passé de journaliste et réalisatrice spécialiste des énergies renouvelables (elle a même été primée en tant que réalisatrice pour son film Géotexia, une centrale énergétique à la bio masse au festival Cler Obscur). Aude, journaliste agricole spécialisée notamment en bois et en bio gaz, puis Berti, « pour ses compétences en matière de photo et de vidéo » l’ont rejointe. Whatts-new s’articule autour de deux axes : le rédactionnel – une rubrique de dix pages à chaque numéro de Système solaire, le journal des énergies renouvelables, la Maison Écologique, de bonnes perspectives dans des revues pro du bâtiment et des agences de com — et la vidéo institutionnelle — trois films pour le Sitcom d’Amboise, un film pour COVED (filiale du groupe SAUR), un film sur Bio vallée, un territoire dans la Drome qui vise l’autonomie énergétique et la conversion à l’agriculture bio. Whatts-new va réaliser les films (une vingtaine) pour chacun des débats organisés en région autour des transitions énergétiques. La SCOP est aussi partenaire de l’ADEME pour la réalisation d’un livre et d’un site Internet sur les chaufferies collectives au bois. Un démarrage lumineux ! Marie Lansade WEB Le fabuleux destin de Clémy À 20 ans seulement, Clémy est bien connue des internautes orléanaises férues de mode. Comme Jocelyne Guerbette, la petite mercière d’Arras, héroïne de la Liste de mes envies, le dernier roman de Grégoire Delcourt, elle a d’abord créé son blog lachroniquedeclemy.com, « sans trop savoir où tout ça allait la mener », pour le plaisir de diffuser des photos, partager ses émotions et son goût pour les jolies choses. Pour les besoins de son blog, qu’elle alimente trois à quatre fois par semaine pour 1 000 à 1 500 lectrices en moyenne par jour – « des femmes actives d’une trentaine d’années d’Orléans, de Paris, de l’étranger parfois » - elle va de conférences de presse en défilés, où les invitées sont triées sur le volet. Le blog, sa « vitrine », a tout lancé. La jeune orléanaise a rejoint l’équipe de Rococo magazine, un gratuit, en papier glacé, sur la mode, distribué dans les villes proches d’Orléans. Clémence Allaire suit en alternance un BTS en communication à l’AFTEC à Paris pour se former à l’événementiel. D’autres portes, qu’elle pensait infranchissables, se sont aussi ouvertes à cette jeune femme espiègle et volubile. En juin dernier, en pleine épreuve du Bac, la maison Lancôme diffusait Rouge in love, son premier court-métrage publicitaire, mettant en valeur les rouges à lèvres de la marque. Depuis Channel lui a confiée la réalisation d’un petit film autour « des yeux ». Elle aide en outre à la promotion de Lorafolk, l’une de ses marques préférées. Xavier Renard www.lachroniquedeclemy.com/ ACTU CLUB Dans les coulisses de TGA TGA est aujourd'hui la plus importante structure de production audiovisuelle en région Centre. Créée il y a 26 ans par Thierry Gautier, la société, récemment installée au nord de Tours, a connu un développement régulier, partageant son activité en deux fonctions aujourd'hui à peu près égales en volume d'affaires. Une dizaine de collaborateurs permanents et cinq pigistes pour l'agence de presse, moitié moins pour la société de production proprement dite. Après avoir réalisé pendant 13 ans un décrochage quotidien ©Imre Hovath de M6 à Tours, TGA travaille maintenant, sans exclusivité, pour TF1/ LCI, avec un contrat pluriannuel depuis 1993. Les sujets de quelques minutes des JT de TF1, c'est régulièrement TGA, soit à la demande, soit de son initiative. L'équipe de Tours et un bureau de Limoges couvrent l'actualité de 12 à 17 départements pour le compte de TF1, 24h/24, mais proposent aussi des programmes à d'autres diffuseurs. Et ça va de « La basse-cour à domicile » à la « TVA 5,5 % et le consommateur » en passant par « Le centre de vaccination ... ».Fabricant de contenus courts TGA réalise aussi des documentaires de 52 minutes (Le Berry des secrets, l'Éthiopie chrétienne, Michel Debré dernier gaulliste, etc ...), L’agence propose ses programmes aux médias les plus divers :Culturz, magazine mensuel de 52 minutes consacré à toute la création artistique de la région Centre et multidiffusé sur BIP TV et Tv Tours ; également Vues sur Loire, magazine culturel hebdomadaire de 26 minutes ©Imre Horvath diffusé sur France 3 Centre, Pays de Loire et Nord-Ouest. Tenant compte de l'évolution des technologies, la société dispose de son propre matériel de tournage et de montage, mais fait appel à des spécialistes extérieurs pour les cas le nécessitant. Les projets ? L'utilisation montante du web et l'attention portée à l'évolution des comportements des consommateurs de médias donc des sujets à leur proposer. Imre Horvath www.tga.fr ACTU CLUB Le Club de la presse s'invite au Club des entrepreneurs de l'Indre Vendredi 22 février, à l’initiative de Christophe Matho, le Club de la presse Val de Loire organisait en partenariat avec le Club des Entrepreneurs de l’Indre, son premier déjeuner en Berry. Rétrospective. Le Club de la presse, qui a pour vocation de mieux faire connaître les métiers de l'information auprès du grand public et de favoriser les échanges entre les journalistes et les professionnels de la communication, a choisi le Club des Entrepreneurs de l'Indre pour lancer sa première réunion en Berry. Son dirigeant, Éric Masse, a proposé à Christophe Matho, directeur du journal Le Petit Berrichon et administrateur du Club, justement en charge de développer l'association dans le Cher et l'Indre, de réunir les journalistes et communicants sur une “Table du Club de la presse” lors du déjeuner mensuel du Club des Entrepreneurs de l'Indre. C’est donc une trentaine de personnes issues du monde de la presse et des communicants qui s’est retrouvée aux côtés des entrepreneurs de l’Indre : l’occasion de faire connaissance et d’échanger sur l’actualité économique et les grands projets locaux. Journalistes, correspondants, photographes, éditeurs, auteurs, chef de service de communication et tous ceux qui de près ou de loin ont un rôle dans la diffusion de l’information se sont rassemblés pour envisager une installation durable du Club de la presse en Berry. Pour cette première, Gérard Bardin, vice-président du Club de la presse, accompagnait Christophe Matho. Porte-parole du président Stéphane Frachet. Il a présenté l’ensemble des actions que pourrait mener le Club de la presse à Châteauroux ou à Bourges. Les journalistes et communicants berrichons ont malicieusement remarqué que l’association régionale du Club avait pour dénomination “Club de la presse Val de Loire” et qu’ils ne voyaient pas le mot Berry dedans. Les représentants de l’association les ont vite rassurés en expliquant que les groupes qui se réuniront à Bour- Les 50 ans des Studio Un mois de mars riche en festivités pour les cinémas Studio de Tours et la gratuité des salles le 9, jour J anniversaire ! En prime une expo au château de Tours. www.studiocine.com Tél. : 02 47 20 27 00 ges et Châteauroux pourraient le faire sous un label Berry, l’important étant de rester unis par une association unique. Des échanges certes rapides mais néanmoins fructueux, et qui seront certainement suivis de nombreux autres puisque le Club souhaite, après l’Indre, se réunir dans le Cher. Un mouvement associatif de presse en Berry, voilà une bonne occasion de mettre en œuvre une véritable structure de réflexion de travail de formation et d’information au service des acteurs de la communication. Des correspondants ont été désignés pour Bourges et Châteauroux, avec pour mission de structurer les groupes berrichons et de définir un projet. Fantômes, zombies et petits squelettes Un défilé de plus de 2 000 personnes, des pointures du théâtre de rue comme la Cie Transe Express, un flash mob sur Thriller de Michael Jackson avec la Cie X Press. Journée de liesse à Blois pour le carnaval ! Le 24 mars www.blois.fr Une mystérieuse boîte noire…. … installée place de la Monnaie. On pourra y danser, on sera filmé ! Et dès 16h30, un flashmob place Plumereau ! Un événement organisé par des étudiants de l’IUT de com’ de Tours. Le 9 mars www.dansetaville.fr Jacques Feuillet www.club-presse-valdeloire.com Club de la Presse - 66, boulevard Béranger - 37000 Tours - Tél. : 02 47 64 19 99 - [email protected] - www.club-presse-valdeloire.com Directeur de la publication & rédacteur en chef : S. Frachet - Rédaction : G. Bardin, J. Feuillet, H. Gosset, I. Horvath, M. Lansade, X. Renard, JJ. Talpin. Mise en page : Valérie Pochart-Auger
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