1 - Archives municipales

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iti&ssncas.
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10.1?
85, Rue FontOielle, 86
Adnasa Télêgrapbiqua: EA1TD0LBT
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Le Petit Havre
Bureau du Joursax,, US, bool' de Strassourg.
L'AGENOEHAYAS,6, plftsede la Bourse, est
seule ohargée de recevoir lee Annoncespour
A PARIS
ie Journal.
tl PETITHAVRE
ut déslgntpourtot Annenaas
Jadialalraaut liga/et
AU HAVRB
J Cwifimfs
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—5Cnrttaes f-S Pages)
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ORGANE RÉPUBLICAIN DÉMOCRATIQUE
Le plus fort Tirage des Journaux de la Région
Les«Indésirables
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1_A GUERRE
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RÉDACTEUR
SN CHBF
&«J. CASPAR - JORDAN
Téléphoae
t 14.SO
SeorêtftlraGénéral; TE VALLÉÏ
Ródaction,35, rue Fonteneüe - Tél. 7.30
ABONNEMENTS
ïhois Mors
| Six ilois
ÜN A*
Le Havre, la Seine-Inférieure, l'Eure.
SO] O Fr, * 8 Fr.
l'Oise et la Somme
Autres Départoment»
.......
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Fr. i 1 1 so S2
Union Postale
...?.
.
«O
leo Fr. 40
Oni'abonnaégalemant,SANSFRAIS,danstoustasBureausdePosh da frnnos
j question des neulres soit d'une extréme
délicatesse; mais il est des sujets neutres
dont la présenceparmi nous constitue un
dangeraussi réel que s'il s'agissait de su¬
jets
appartcuantaux nations beitigérantes,
.- La question des étrangers résidani en
49Gi
JOXJ-^tTSTJESiaï
[Trance,de la situation qui leur est faile, a un momentsurtout oü l'Auslro-Allemades raisonsqui ont fait suspendreImpli¬ gne dépioietoute son habiletéa exercer sa
cation des mesures de defense en faveur propagandepar la voiedes pays neutres, »
II y a, sans doute, beaucoupde vrai dans
de certainsoriginates des pays avec lescette
opinion,commeil y a peut-êtrequelqnels noussommesen guerre,n'a pas cessé
depuis le début des hostitités d'etre l'objet que chosede fondédans les dénonciations
personneües de {'ActionFrancaise. Mais,
de controversesnombreuses.
La Population haA^raise s'associe au deuil
Paris, 14 Décembre,15 heures.
tière qu'aucun soldat bulgare n'a en
Certainsde nos confrèresqui, avant Ia puisque le gouvernement annonce qu'il
tient
les
listes
de
permis
de
séjour
a
la
'guerre, déjè, avaient protesté contre les
Aucun événement important a si¬ core franchie .
de nos amis Beiges
trop grandesfacilités accordées selon eux dispositionde ia presse et qu'il sollicite gnaler.
ainsi
son
concours
pratique
dans
l'oeuvre
,aux étrangerspour séjourneret commercer
cheznous, ont continué a affirnier que la de defensecontre les « indésirables», il ne
Paris, 23 heures.
Des renseignements
complémentai
vigilancedu gouvernementne s'était pas doit plus s'agirde critiques vagues,ou d'ac
Le Service Furtèbre
rnrler, Vigné, JenneqBld, Valentiu et BaSur
divers
points
du
front, la lutte
!suffisammentexercée, et que trop notn- cusalions imprécises. G'est le devoir des d'artilleri© assez intense a tourné a res permettent d'établir que les per
dooreau, adjoiots.et les membres du Conseil
journalistes,
qui
ontjnené
ces
campagnes,
tes causées a l'ennemi par notre bom
Les funéraiües des viciimes de l'explosion municipal ; Morel,premier adjoint, r9mplis,l)reux élaient encorea l'heure actuelle les
qui a détruit ia poudrerie beige, ont eu bier sant ies fonctions de maire'*de Rouen, ei
sujets ennemismunis de permis dc séjour de répondre a l'invitation de M. Malvy, notre a vantage. Nos batteries ont dis- bardement du 12 ont été considématin un caractère véritablement grandiose plusienrs autres adjoinls ; de Querhoëit,
ou ies neutres suspects. L'un de ces publi- d'aller consuller ces listes et, s'ils eroient persó un detachement ennenai sur la rables.
et profo&démentémotionnant.
maire da Sainte-Adresse; Thomas, adjoint,
v
voir
des
attributions
inaliieureuses
ou
route
de
Villers,
dans
la
région
de
(Cisteseonsacre mèine presque quotidienUne foule considérable dans laque'le se remplissant les fonctions de maire 4 Gra
Au cours de la journée du 13, l'arnementune ou deux colonnes de sonjour¬ abusivesde permisde séjour, de les signa- Roye, et bombardé aveo succès un tillerie turque de la cóte d'Europe et móiaient a nos concitoyens toute la colonie ville-Samte-IIonorine ; Gapelle, maire de
beige et de nombreox anglais, s'était massée Gonireville-l'Orcher; les secrétaires génénal a de virulentesattaques eontrc certai- Ier au gouvernement.
convoi vers Thaescourt.
celle de la cóte Asie se sont montrées
snr ies trottoirs des différentes voies que de- ranx et chefs de cabinets des ministèret
nes personnalités du monde commercial, S'ils ne le faisaient pas, on serail fondéa
En Champagne, a i'Est de la butte
Tait suivre le lunèbre convoh et, profondé- beiges.
trés actives.
industriel ou financier qu'il accuse de ehercherderrière leurs articles des préoc- de Mesnil, un tir bien dirigé sur les
ment recaeiliis, a assisté dans le plus impo¬
MM. Patrimonio, président dn Tribunal
Nos
canons
ont
efficacement
risant silence au défilé des chars et des trou¬ civil ; Reaugrand, procureur de la Répubün'être que des agents de l'Allemagne, ou cupations d'ordre politique, antérieures a ouvrages ennemis du bois Marteau, a
pes qoi les escortaient.
que; Guitteau, substitnt ; Lafaurie, prési¬
même—plus simplement,sinon plus pure- la guerre, ou a y voir des manifestations provoqné une forte explosion suivie postê.
De tons cói s les magasins avaient clos dent, et G. Fiagollet, juge au Tribunal de
chroniquesd'
«
espionnite».
Sous
la
protection
de
leur
tir
nos
ment — desAllemandsinsuffisammentmaleurs volets en signededeuilet les drapeaux commerce: J. Couvert, président, et plu¬
D'autant que Ia matière est cssenlielle- d'un incendie .
troupes ont perfectionné leurs défenses
quiilés par une trop récente naturalisation.
ilottaient 4 mi mat sur les édifices publics, sienrs membres de la Cbambro de commer¬
En Woevre, au cours de tirs exécu- en les renfor^ant par de nouveaux ré- aux fayadesdes maisons particulières et aux ce ; J. da Vigan, secrétaire général de !a
II aurait mèmetrouvé un de ces derniers ment délicate, fertile en cas spéciaux, et
matures des navires,
Clnmbre de commerce ; Rimeiot, président
parmi les maires d'un de nas départements que i'on risque, a tout instant, d'y com- tós dans le secteur de Limey, au Sud seaux de ui de far.
Pendant toute la journée de iandi et une da Syndiiat général du commerce et de ('in¬
mettro
des
injustices.
Témoinle
cas
de
ces
de
Thiaucourt,
nous
avons
pris
4
parti
jiiormands.
pirtie de la nnit, les infirmiers avaient pro¬ dustrie ; Doliveux, inspecteur d'Académie ;
L'opinion publique n'a pas manqué deux étrangers, que signalait ces jours-ci une batteris allemande dont les abris
cédé 4 la raise en b ère des corps.
Berson, provisenr du Lycée; Risson, insuecIe
Petit
Journal,
et
qui,
l'un
Arméuien,
Les crrcueils étaient ensnite rangés dans teur primaire ; Ducroeq, ingénieur en chef
•d'ètre émue par ces dénonciations,d'autant
et les casemates ont subi d'importants
ia grande cour couverte dn I.veéa transfor- des ponts et chaussées : Le Garrié, directeur
qu'elies émanaicntd'organes apparieuant l'aulre Grec, mais tous,deux sujets tures, dégat.s ,
en chapelie ardente.
des douanes ; Vi froid, directeur des fabics :
li Uéccmbre. mée
a toutes les nuancesde l'opinion. ï Action se voientde ce dernier fait refuser la natu¬ Dans les Vosges, au Ban de Sapt,
Dans ia cour voisine, quinze prolonges Olry, receveur des téHgraplms : Sigandy,
ralisation,alorsqu'ils
se
sont
i'nn
et
l'autre
Actions
d'arülierie
assez
vivss
sur
divers
,Frmmise, l'QEuvre,ie Rappel,ia Lankme
d'artiüerie avaient été amsnées pour être iogéuieur en chef des Forges et chaatiers ;
en réponse a un violent bombarde¬ points de notre front.
disposées en chsrs lanèbres ; sur chacnne Marzelie,rccavenr des postes ; lfubert, di¬
;notamment. On s'esl dernandési vraiment engagéspour la durée de Ia guerre, et ont ment de nos positions de Fontenelle,
Nosbatteries
bóuleverseat
dos
boyanx
de
d'eiles sept a huit cercueils iurent pla- recteur de la Binque do France ; F. Purin,
,Jes pouvojrspublics s'étaient laissé endor- été l'un et l'aulre grièvement blessés sur
communication
et
rédnisent
au
silence
l'arcés, recouvorts de drapeanx des nations inspecteur général, et Ronot, directeur des
[Tnlr£Upoint de laisser ainsi de nombreux nos champsde balaille. Ne semble-t-ilpas la riposte de notre artillerie a provo- tillorie adverse qui, de Luyghen, avait ou- aliiées.
^
Agences Gontinentaies E iropéennes, de la
qué
l'cxplosion
d'un
dépdt
de
muni¬
que
leur
sang
versé
pour
nousdevrait
leur
vert
le
feu
snr
nos
lignes.
« indéslVh.bles
» s'oecuperde leurs affaires
Des massifs de verdure masqnaient Ie de- Commercial Gable Gompinv ; Ilausemann,
En
vne
de
La
Panne,
un
avion
allemand
a
vaut des voitures et les innombrables con- receveur honoraire des lin'ancés; O. Han<<—
qui étaieni vraisemblablementcellesde être un titre suöisant pour obtenir cette tions a Laitre.
été deseenda par un appareil ami et est ronnes, garoies de rnbans aux couleurs des doiet, administrate!,r-déiégné des journaux
'l'ennemi — cepèï^ant que nous étionsen- naturalisation,seule récompensequ'ils soltombé en mer entouré de fiarnine».
donateurs, envoyées de toutes parts, vinrent Le Havre et Le Petit Havre; Albart Dnbosc,
Ce matin, une de nos escadrilles
gagés dans une lutte lelie que toutes les licitent ?
compléter Tornementation des véhicules.
président de l'OEuvredes mutiles de goerre;
Or les diilicultés qu'ils éprouvent pro- composée de onze avions a lancé de
La conduite de treize de ces voitures int le Comitéde la Groix-Rooge,représerdé par
mesuresde pi'écaulion, nitffpeles plus sévieiinentde la lettre, sinonde l'esprit de ia nombreux obus de 155 et de 90 sur
conüée 4 la cavalerie anglaise, les deux au¬ Mmes Lerch, Perquer et Génestal, MM.F.
vères, sont absoiumentindispeh^ables.
tres étaient dirigées par les artifieurs fran¬ Perqusr et Evrard ; les officiersd'état-major
nouvelleloi
sur
les
naturalisations,
volée
Et cetté émolionayant flni par p<jffé(rer
Ia gare et ies bifurcations de Mulcais,
du général commandant Ia 3« régloo et dn
quelqucfoisjusque daus les tranchées, Ie au moisd'avril, sousl'empire des plus lé- heim.
Vers onze heares, ies véhicnles quittaient gouverneur de la place ; les délégations de
Rome,13décembre.
gitimes
préoccupations.
la conr du Lycéeet venaient se ranger anx toutes les Sociétésiccales, etc., etc.
.gouvernementa cru devoirdonnerdes ex¬
Un autre groupe de ving t deux apLe long dn front de i'Isonzoet sur le Gareo abords
Geseul exemple suffiraita prouverquel
de i'égüseNotre-Öameott allaif avoir
Aux premiers rangs de la grande nef avait
plications de nature & rassurer tous les
l'eonemi
déploya
hier
une
grande
asiivité
pris {Vacsle groups éploré des rayoapavent
ie service funèbre.
tact, au mèise titre qu'une active vigilan¬ pareils francais a également jeté avec d'artiüerie.
* '
•- iiea
[BonsFrancais.
Ine assistance considerable se pres ait aes Yicfimesprésents au Havree! dont l'atro
succès des obus sur ies installations
A la nnit torabante l'infanterie ennemie dans ia vaste enceinte qui avait reen ;>our ia cedcnieur ISisait peine 4 voir.
1 C'estM. Malvy, ministre de l'intérieur, ce, est indispensable pour résoudre cette
prononpa
des
atiaque?
dans
la
direction
da
l'emiemi
a
Hauriaucourt.
question
du
séjour
des
étrangers.
qui
peut
A ei^naier encore de nombreux Officiers
circonstance usae«nnopln&u-edécóratiOfi
qui s'est acquitlé de cettemission,en rourd'Osiaviaet do Sole.Mals ces aitaqnes torent néraire.
Eafin, un troisièma groupe dedouze
'fout ie ehoeur éiait tendu de soiw- francais, anglais et betges, puis des group"»
liissanl ii un de nos confrèresun apergudu se présenter sous mille aspects différents,
repoussées avec de graves pert03 pour l'en¬ DitfS
des CWtUa
écotes LI.1
du 11'
Havre,
ct IC3
les D"d*
braves
163 Cfcjdit
LllldlHo uco
Vlc. tl
- IJ
bres QlripVl
draperies
et, anxA pill0^
piiiejs ulalcDl
étaient ulSpU"
dispo | ud'entants
nombredes étrangers de toutes nationali- el peut prêter 4 toutes les .imprudences appareils a bombardé efficacaijaent les nemi.
sés des faiscsanx da drapeaux aux couleurs i soldats de la pyrotechnie beige venos pour
comme
a
toutes
les
injustices.
Sur
les
pentes
méridionales
da
la
hauteur
ouvrages
allemands
au
Sud
de
Ham¬
;lés, sur lesquels s'exerce sa surveillance.
aliiés. L'antel était enlouró de draperies rendre hommage 4 leurs clièrs camarades
du Calvario, a I'Oaest de Goriiz,4 Ia faveur des
noires rehaussées d'une longue banderole disp srns.
F. Polet.
pont, dans la région de Chateau-SaD'après ces chiffres,il y avait, a Paris
du brouiilard, qnelques-uns de nos déta- tricolore.
La messe fat célébrée par M. I'abbé Mor¬
Settlement,avant la guerre, 400,000étranlins et Chateau-Burthecourt.
chsraents conqnireat une tranchée ennemie
De cbaqne cèté avaient été placées des tier, aumonier de la pyrotechnie beige, asot
s'emparèrent
d'une
trsotaino
de
fasils
et
1gers. Dès ie début des hostilités. le gou¬
Nos avions d'escorte ont attaqué et
sisté de MM.lesabhés Dubois, anmonier mi¬
d'une grande quantité de munitions et de couronnes, parmi Iesquelles celles offertes
vernementfit interner dans les camps de
mis en fuite une escadrille de cinq matérie! abandonné par l'ennemi, qai s'était par le ministre de la gnerre de Belgique, litaire beige au Havre et Nicaise, aumonier
composée de lilas et'de roses ; celie du gou¬ des réiagiés beiges.
[concentration 45,000 Austro-AUemands.
enfai.
avions ennemis.
Après l'officej Mgr Dslestre, vieaire gé¬
verneur de la Villo da Havre, en liias,
!Depuis, un certain nombre de ceux-ci,
chrysanthèmes et oeillets rouges ; celle du néral, prononca le discours snivant :
slgés de moins de seizeans ou de plus de
Depót des Invalides beiges,en peries vioietsoixante, des femmesel des enfantsont élé
tes et vertes ; celle dn Corps diplomaticus
iiisconrs de STgrDcicslre
Auiuée
(d'Ouient
(88 NOTRB C0RRKSP0TOAN5PARTICULIEB)
prés du gouvernement beige,en chrysanthè¬
'■renvoyés
en Aiiemagneen échungede priLe mouvement de repli de nos trou¬
Messieurs,
mes blanches, en lilas blanc et ea glycines
Paris,li dóeembre,
jsonnierscivils que celle-ei nous rendait.
pes se poursuit dans un ordre parfait .
Petrograd,13décembre. et oeiüetsblancs ; celle du personnel fran¬ Losy.-andesdoulearssont silencieuscs.NsdeLs
Chambre
a
un
aspect
assez
paisible.
11
Quant aux permisde séjour, il en aurait
cais et balge d-'s llsines Schneider, en sa- vraisjo pss mele rappelera cflte heure ou i'naa pas grand empressament poor assister
L'attaque
b uigare contre nos clé¬
Sana changemeat.
été délivré, en tout et pour tout, 407 qui n'y
perbes roses piles et en violettes de Parme ; goisseétreint tous les ccr.urs?.Nousavonsrt»ns
k catte séance qui doit être consacrée aux ments d'arrière-garde
Dans Ia régton 4 l'Onest 'dn lac Rocbio nos celie
a
été
aisément
des officie-sei soldats de l'armée bri- la inéosoirei'horriblespechelede la eits«tropiie
ont élé accordés a des Allemandsou Autri marchés de ia goerre.
troupes, ayant déborné l'ennemi, ont déiogé tanniqup,
en chrysantèmes blancs, eu lilas de samedidernier,et sous 1-s yeaxla vision lu4 conps dè b ïanrettes da village de Vov- et en violettes.
fOhiens,dont les enfants, devenus Fran¬ Dans la distribution fails anx députés. on repoussée.
gubredes tristesre3tesde turt d« victimc». Et
remarque
un
rapport
supplémentaire
fait
Tous nos contingents sont aotuelle- nioany nne demi comoEgnie ailr-mande,faïprés de eet immensecatafalque,que celle église
cais, servent sous nos drapeaux, ou qui, au notn do la Commission civile et crimiToutes
les
notabilités,
beiges,
francaises
et
saat prisonuiers an officier et qnelques sol¬ aaglaises résidant en notre ville, occopaient n'a pu c ntenir,sontagenouitléesdes famiitesea
'ayant fait leur servicedans la légionélran- nelieEurla detaande de discussion imme¬ ment rasse mbiés en deqa de la fron- dats
pleurs
et se tientdebout,rendant un suprème
et eulevant qne raitrailleese.
Ja grande nef.
hommagea ses enfants moits a son service.
igére, sont munis de bons certificate mili- diate et sur le fond de Ia proposition da loi
Aux premiers rangs, on remarqoait M. I'béroïquenationbeige.Et a cötéd'ellela France,
cifcMPaai Meuoier relative an régime de la
tiaires, ou qui enfinsont inflrmes.
Métin, ministre dn Travail, représentant le l'Anglett-rre,tousles peuplesdont ie ceeurbat 4.
en temps de guerre.
A tm moment donné, M. Simyan attaque
\ En dehorsde ces « permis de séjour » presse
gouvernement francais ; ie général Jong- l'unissondu sten. Quellangageégslersjamais1*
Ce ra ; port ren ferme les déclarations faites vivement M.Rousseau, onseilier d'Ftat, an¬
blntt, aide de camp de S.M. le roi Albert-b', njajestéd'unelelie douieur!
\qui, nous dit M.Malvy,sont soumis a une 4 ce
snjet par M. Briind, président du Con- cien secrétaire géoérat du ministère de ia
Maisla paroleditla sympathieet t.i sympathie
et
Mgr Delestre, vieaire général, représen¬ n'est-eliepasdoucea
[surveillancesévère,i! ya égalementa Paris, seil, i'avis du Syndicat de ia presse pari- guerre qu'i! accuse d'avoir dit des .«contre
Famequi souB'reV
tant
1archevêqae
de
Rouen.
Joveils oitVeen co momenterlle du vésArablc
' sans parler de 10,000 AIsaciens-Lorrains, sienne. on article du Tempssar la esnsore, vérités », .
Daus
lecbcenr,
placé
4
canche,
nous
avons
archevêquö
de
ffouea.
Uepuisquosoa diocesea
I'avis do Syndicat da fa presse républicains
M. Miiierand proteste de sa place. Ii pro[3,000Tchèques,8,000Anglais,13,000liiis- départementale,
noté ia présenca de: MM. Justin Godard, l'hoaaeurd'êirele siègoda Gouvernementbeige,
des améndements de MM. ciame i'honorabiüté da soa collaborateur,
La Guerre Balkanique
sous-secrétatre d'Etat au service de la Santé, aveequelle fidóiitéil a prrtagótoutesvos espéses, 20,000BelgeS,45.000 llaliens. 18,000 Rochaet Paul Rinysen, un arrêt do la Cour
G'est trés énergiqoement que M. Miiierand
représentant le gouvernement de la Répa- ranceset toutesvos éprsuve-! Et n'étaitun mai
[Suisses,7,000Espagnois et 8,500 Améri- do cassation, enfin ie.texte reciifié de fa pro- s'ast exprimé sans se laisser intimider par
La rstraite fraECO-arjIaisj
condamnemomestanéttienl4 1'inaclivUé,
blique ; le générai Gossot, représentant M. quite
Fosition de loi qoi subtitae au ministère de les violents mnrmnres de l'extrème gauche.
avecquel empressementemu it seralt venu »ujcains.
Salonique,li décembre. Albert Tiismas, sous-secrétaire d'Etat au mi¬ jourd'öuibénirla
intérieur
le
préfet
do
police
pour
le
con¬
dépouilleKiortetlsde vos chers
M.
Simyan,
après
avoir
demandé
nne
en¬
! Pour tous ces étrangers. qui sont origi- trole de la presse a Paris et supprime Ie. quête, a cru devoir terminer son discours,
Accompagnéed'actions d'arrière-garde, la nistère de la gTerra ; le générai Drude, com¬ disparus, et consoler ceuxqui les pleureat.ii
mandant
la
3»région
;
le
général
Bolgert
;
m'achargéde Iofaire en son notn, et c'esï de
,n airesde puissancesaliiées ou de paysneu- droit de suspension des joernaux. *
qui a tenu toate la séance, par eet air de bra¬ retraite fraaco-anglaisese continue de i'agon ie cóntre-amiral Biard, gouverneur du Hi- grandcorurqueje
m'acquitledc eelte missionde
satisfaisante.
rlres, le gouvernement — et on ne peut, La discussion snr le régime de !a presse a voure.
sympathie.
vrc
;
Brindean
et
Lebiond,
sónatenrs
;
AnLes
pertes
des
ailiés
sont
reialivement
été,
on
Ie
sait,
fixéeé
vendredi
prochain.
« J'ai parió sans liaine, a-t-il dit, j'ai parlé
[bien entendu, que l'approuver — n'a pas
cel et Nibelle, députés ; Franqneville, pre¬ LaReligionaussi vous oü're ses consolations.
Cen'est pas nns seule mais plusiecrs in¬ sang crainte ; je ne snis pas de oeux que Irs faibles.
certesnul n'a dit pius éloquemmentqu'elle
voulu prendre des mesures d'expulsion. terpellations
mier president de la Gonrd'Appel de Rouen ; Ah!
qu'indiqaei'ordre du jour d'au- puissances argent penvent intimider. Cen'est -Des forces allemandes considérables sem- Gcnsoul,
le néantde t'homme.G'est l'herbe qui se ttétrif
procurenr général ; Morain, préfet du
i« Maisehaque fois », a ajoulé M. Malvy, jourd'hui.
bient
soatonir
les
Buigares
qui
suivent
les
matinan
flour qui se fane. I'ombre
pas pour que nous assisiions 4 de pareils
de la Seine-Tnférieure; Talon, commissaire qui passe.. . soir,ia
Cen'est qu'unroseau,le plus faible
[,«que le moindrcdoute a pu s'élever sur
li porto en effet : Discossiondes mterpai- spectacles que nos enfants sont tombés. La aüiés et bombardèrent üoiran.
général
da
gouvernement
francals
prés
le
«e la nature.. . une vapeur, una gouhe d'eau
Le débarquemeut des troupes ang'aises
[leur loyalisme,je n'ai pas hésité a user des tations : 1»do M.Simyan sor les marchés de France attend de vons des actes ! »
gouvernement beige ; L. Benoist, sous-pré- suftitpoui'le tuar... a plus forteraison la puis¬
continue.
goerre ; 2"de M.Ceüiardsur lesconditions
do certains agents de la na¬
[armesque me donne la loi. en prononpant ia
Tit.
Honry.
fet
;
II.
Génestal,
vice-président
du
Conseil
L'état sanitaire de3 armées aliiées est ex- générai, représentant M. Bignoa, président, sanceformidable
dans lesquciles out été passés certains mar¬
ture !...
[des expulsions.G'estainsi que j'ai chassé chés pour la fomitnre des grenades a i'arcelifint.
Maisla Religionneus dit aussique c'est un ro¬
A ['occasionde leur retour 4 Alhènes, tes empêché ; les sons-prêtets de Dieppe, d'Yve- seaupensant,que le principede la penséesurvit
[de Franee 4,700sujets étrangers depuis la mt e ; 3»de M Ernest Laiont sur les sanc¬
tot
et
de
Neul'chatel.
délégcés
de
l'état-nwior
grec
ont
déjeuné
auxdestructions
de ia matière. qu'ac-dessusdes
[déolarationde guerre. J'ai, dc pius, appli- tions que le ministre da ia goerre compta
ruinesdu corpsmortel plane Tame immortelle
avec
les
généraux
allies.
\
édicter
contra
les
fonctionnairos
de
l'intonqué le régimetiesAustro-Aliemandsa tous dance responsabies dans i'affaire de « la MoSur la droite:
Pieuronsdone; maisquo nos iarmes ne soient
p!s sansespéraoce.Noschersdisparusn'ont pas
[ceuxd'entre eux qui, naturalisés Francais, rue franpaise » et sur les mesures qu'il
Les Bulgarss sur la frontier®grecque
MM.Carton de Wiart, ministre de la jus¬ péritout entiers. EtcommaIa mo>-t
les a trouvés
4>ntété dénaturaliséspar décisiondu garde ponrra prendre pour éviter qu'4 l'avenir des
du devoir,que sacs doute
Salonique,li décembre., tice beige ; Bsrryer, ministre de l'intérieur ; dansl'accompiissemant
instroc'ions Insuflisantes on des non lieu
L'vtcUvitéraprendeur le front
Heiiepctte,
ministre
de
i'agricalture
;
ie
ba¬
a
ce'le
heuretragiqueils
ont
jeté
4
Dien un cri
|tles sceaux. »
Les Buigires ont oceapé londi ies postas ron Beyens, ministre des affairesétrangères; suprème,ils ont été regusdausies brasda
interapestifs viennent sonstraire & la jurlsa raiLe rninistrcde l'inlériour a compléteses diciion
franoo-anglaisen
France
occupfis
préoèdamnieut
par
les
Serbes
Ie
des conseiis de auerre les fails esSsger», ministre de la marine et des che- Sérieorde.
long
de
ia
fromière
greco-serhe.
ffléclarationsen donnantdes détails sur le sentiels dont ceux-ci aevraient connaitre ;
la Palrie,cesoot noscbéres Patries,
Voieiie communiquédu msréehalFreccb, daié
rains de far ; Renkin, mioistres des colonies; neEnlinc'est
Tout est caime aotueilement.
semb!e-t-ilpas qu'elies n'en forment qu'une
[liombre de poursuilesqui ont cu lieu de- 4" da M. LéonPerrier sur lesconditions dans du t3 décembro,9 heurosdu soir ;
-j
Poullet ;
seule,depuisqu'ensemble
la jus¬
Les mioistres d'Etat Gooreraan, comte Go- tice, le droit,1honneur.la effesdéfeadrnt
vaut les Conseils de guerre et de condatn- lesqceiles lo ministère de la guerre entend
Iliar soir, nons avons fait éclater une mine
satnte liberlódes peu¬
régfer
définitivement
an
point
de
vue
finan¬
biet
d'Alvieüa,
Lieba»rtet
Vandervelde.
plesqui s'approcheet quiposantIa mainsur ces
jnations prononcéespar ces derniers pour cier ies marchés pas ós par l'intendance ie aevant Givenchyet kous avons occnpé l'enLes sénateurs de Spot et Koch ;
cercueils: Nepleurezpas,dit-elle,ils sontmort»
tonnoir.
;Taitsd'espionnage.
28 aoiit et ie
septembre 1914 avec Ia Sopour
mo!! D'autrestambentsur les champs de
I.es
députés
Boval,Gilles,
Neven
et
Metot;
Aujourd'hui, activité considérable sar dif¬
Amsterdam,li dreembre.
j II a tenu, enfin,a aflinner qu'en ce qui ciétó « la Moruefranpalse«.
Le général A. A. Asser, le contre-amiral bataiffe; ceux-cisent tombésen leur préparant
férents points du front.
Nesont-iispas les martyrsue !a méOn remarque tout d'abord le caractère tenDss renforts allemands, avec de Fartilleriè commandant la base maritime britanniqne, desarmes!
.concerneles permis de séjour, aucun n'a
Nous avons bombardé les positions ennemc cause? Nen assurent-iUpas, par leur sacri¬
du libelié de ces interpellations.
mies, 4 i'Est d'Ypres et dans le voisinage do et des munitions, continuent 4 arriver. Ges et de nombreax officiersde i'Etat-Major bri¬ fice,ie triomphefinal?
;été accordé par faveur ou complaisance, dancieux
LaChambrecommence par renvover aprés
mouvements de troupes ennemies vers le tanniqne.
Osaiutesvoixde la Pairie el de Ia R»l;gicn.
jet que leur lisle est a ia disposition des les marchés de la guerre one interpellation Prelinghien.
Les membres du corps d;p!omatiqne prés parieznousde ros ebers morts.de i'héroïsmeel
Nons avons également bombardé, a l'aide front Occidental eembient présager qoe des
de M,Deyris snr les permissions au front et de gros obusiers, une galerie de mine enne¬ évéaeraents importants netarderont pas 4 se de Sa Mijesté le Roi Albert.
[membresdu Parlementet de la presse.
de la freondité de leur immolation,de Ia pai*
déroaler sur ce front.
Le général d'Ojo de Marchovlette,cbet de éternelledanslaquelleils sont entrés !Et avce
^ II faut soubaiterque cetteliberie de con- nne autre interpellation de M. Deguisq snr mie au Nord da oana! de La Bassée.
Ia
nécessité
de
donner
des
vêiemenis
chauds
cabinet
da ministre de ia gaerre, représen¬ un peude consolation,mettez-nousau coeurITuDans
le
voisinage
de
la
Somme,
combats
ïlróle soit largeihent accordée, surtout k a nos soldats de la zone deSarmées.
vioeibleespérance d'un avenir réparateur qui
tant celui-ci.
violents
4
l'aide
de
mortiers
de
tranchée
et
anteet nobleBeL-iquele soisacré
[ceuxde nos confrèresdont les critiques ont
M.Simyan prouooce ensu te nn réquisi- de grenades.
Le général Lallemand du Marais,attaché 4 renrtra4lavaill
do
ses aïoux,4 la bien-aiméeFrance la chért»
Un
Procés
retentissant
Uniené les déclarationsde M.Malvy.It sem- toire contre Iintendance. It cite des laits, sila légaüon de France en Belgique.
Le temps est aujourd'hui beau et froid.
Alsace-Lorraine,
et qui reudra enfin 4 tous le»
Lausanne,14décembre.
M. Klobukowski, ministre de France, prés peuplesla Justiceet IaLiberlé.
1>le.en effet, que ces explicationsne leur gnale des marchés confiés 4 des gens véreux, même 4 des repris de justice. II
La Cour fédérats a condamné M. Millioud, du gouvernement be'ge.
|aient pas paru suffisaates,car, tout en ren- s'eitorce
Leclergé— MgrDelestre et M. l'archiprëde démontrer que le budget de l'ELe colonel comte de Grnnne, les majors
directeur de fa revae La BibliothèqueUnieerJulien ea tête, se dirige vers la sortie e!
idant hommagek Foeuvre accompliepar le tat est mal défendu par ceux-la qui avaient
selle, 4 500fr. d'amende et aux frais. Elte a Thys, Ifubiet, Lebrun, directeur des ate¬ tre
se placer devant le portail de Tégiisa,
[gouvernement, iis n'cn contiuuent pas la mission de Ie déiendre. H reclame des
déeidé le maintien de la confiscation dn nu¬ liers de pyrotechnie, le doctear major vont
oü apparaït Ie premier char funèbre.
Smets.
méro incriminé.
'inoins leur campagne. L'ActionFrancaüe sanctions et des nnnitions sévères.
MgrDelestre lécite les absoates, puis les
lit aes documents 4 l'appui de
Les officiersde la pyrotechnie, dont nom¬
M. Millioudaurait signé son recours en
Vpersisledans ses dénonciations,cependant saM.Simyan
défilent, bénits toar 4 tour 4 leur pas¬
tiièse,'pariant soccessivement des affaires
bre portent la trace des blessures recues oa chars
cassation.
sage devant l'église, tandis qn'en sourdine
[que le Rappelesthne que, « franchement» Baumann (MoulinsdeCorbeii), « MornefranRenfertftallemandsen Belgiqus
(LaRevueéfait poursuiviepour ua articlede sont encore enveloppés de pansements —■ la mnsiqae da 129«rythme la marche fnnèacs éhiffresqui noussontdonnésnousmon- caise », achats de chevaux en Amérique et
do U. PsulStapfer,professen, ancien doyen de tel le commandant Dslettre pontant un ban¬ bre de Mendelssohn."
tournitures de vêtements militaires par la
Le Telegraaf regoit de la frontère des ren- la Facultedes leitres de Bordeaux.Gelui-cine deau sur roeit gauche.
Vtrentqu'il y a encorevraiinenttrop d' « in- Sainatitalue.
Dans ia rne, aux fecêtres, sur les toits
Les membres du Corps consulaire.
sigDalantqu'on bombardement fiouvant,coiaiaecitoyenfrangais,eueclté devant
grappes iiumaines s'écrasent et, k ct
jdésirables » oliez nous et que le moment Eu ce qoi concerne les MonlinsdeCorbeii, seignemeuts
encore pias intense qae celai de jendi a ea es Irihunauxsuissea,c'est M. MauticeMillioud, MM.Acher, Léon Meyer,Gnillard, Pezeril, des
profosseurde pbitosopbie.* TBniversiiédo Lau¬ et Debreuille, conseiliers généraux ; Brot, spectacle impressionnent, les yenx se voijsemble venu de redoubler de vigilanceet il rapoelie que l'intendance pouvait achster lien dimancheet landt.
sanneet directeurde la Revue qui a été pour- Debut et J. Roussel, conseiliers d'arrondis- lent.
Un graad nombre de troupes arrivent aux suivi.
Hlesévériték leur égard. »
• 300,0)0quintanx de blé 4 des mandataires
Les chars funóbres s'ébranient et vont sg
amértcafns,
entre
18fr.
80
et
20
fr„
mais
environs
de
Gourirai,
venant
pour
la
plupart
Celarticleéiait un terr.bleet jaste réquisUoire semeat.
| Ei notre confrèreajoate :
antonr de la place snr laquelle ig
qu'eiie oft'rit 23 fr. 50 anx Monlins de Cor- des champs de bataiiie sarbes. Ge* soidats centre Rethaian« ïbffiwegget le «bsadit couMM.Delacoor; admiaistrateur général de placer
« .Nousne votions rm iggierei que l«
semblent trés faligués.
la marine ; Mormand,maire du Havre-; Ser- masseut bientót l?s aniorités
rvünS»j
COMMUNIQUES
0FFICIELS
L'Explosiondela Poudrière
SoIennellES
Obsèques
desVjctim
Corps
expédifioonaire
dss
Oardaneliss
COMMUNIQUÉ
BILGE
COMMUNIQUÉ
IT4LIEN
LE PARLEMENT
Impressionsde Sémee
COMMUNIQUE
RÜS3E
DernlèPB
Hempb
SupleFrontFpanca-Sfiiiois
IW OFFENSIVE
ALLHA.WI
t
Sur le Front Beige
f
Lê Peilt ilavre — Mereretïi15 Déeemftre1915'
tons deux leur part è la vleloire ; (ons deox ausst
ilje» mscotJHisi
onl leurs deuits. il en est peu de plus sensibles
®onr & tonr, MM.Carton de Wiavt, prési¬ et de plus profords que celui qui réunit aujourdent du Conseil des ministres beiges ; Metin, d'IFaiauteur de3 parents des vietimes, leurs cornjuinistre dn travail, et Anesl, député, raaire patriotcs, les autorités frarpsises ft ia population
d'Harfleur, v ont pris place et out adressê havralse. Gesoot des smis regret!és do»i nous
la porta ; nous parisgeons ('affliction
, aux famiilesTespression des émotiORSqn'ins- déplorons
de leurs proeb.es,nous leur offrons le sccours de
pirent 4 fens ces douloureux événemects.
nos consolations avec une émotion dont les eireonsianees ecluelles portent au plusjhaut point la
Discour» de M. Carton de Wiart
ferveur.
En effet, la sympathie aneienne ei tradiUonseüe
President du Consul
enlre nos deux nations, renforeées par nos joies
et nos peines fraterrclicrnont partasées, avail Jail
Messieurs,
ce qui est bnraain'emcntpossible pour adoutaterprèle 6e la Nation Beigetout entière, ie tout
eir l'attente dont il n'ont pas eu lo bonhenr do
Aouverneuieritdu Roi o le douloureux e,t picux voir
la fin. Quetous ees artisans de la défense na¬
devoir a'spsserter aux vietimes de Ia catsslropffe
et des justps reparations n'aient pu assisdu tl deecmbre sod Iiomnitge êmu et son su¬ tionale
ler au triompbe qu'ils prcparaient, c'est !a une
prème adieu
. triSesses'ajriuiant
a toutes les autres.
Ce preniier devoir cd apjselte un autre : ec.in
Ne nous laissons pourtsnt point accabter. csr
6'sssoeier notre fervente sympsthie au detiil des nous
manqueriotis
ce que nous devons aux
'families francaisas on heiges que cetle cstsstro- morts d'bier, aux aouvriers
d'aujourd'bui : c ost
«Öfea aitetnies et dort heaueoup. a t'neure oü je
1'cspoir que nous prCeheleur exomple.A 1'aspect
farle. ne eoaraisseat paseneore leur malheur.
do
ces
dommages
qu'on
s'empresse
déji da röAu Gouvernementele la Répubtique. qui a teou
a Ia v ie do ces travsilleurs qui s'offrent
« êire représeetê ici par un de ses ministres et un psrer,
les disparus. un sentiment de
öe ses sous-secrétaires d'Elat, aux AntorilAsdo la poür rempiacer
grandit ct se fortifio en nous. Nous
•Scins-isferieure,è celïes de !a Vitle da Havre et réconfort
spercevons
ch
z
tous la voloaté Inébranlabie,
ces coramuBes voisices. a la Direction des éfaindissoluble, la resolution qui ne se lasïfiissemeBts iBönstrietsqui ont aussi été êprou- l'uaion
jusqu'au triompbe du Droit des peu*és. nous devons et bohs voul-ns dire, en roême sera point
et de fa Justice pour lous.
.itercps la psrt que sous preaons è leurs propres ples
Les Amess'èlévent au-dessns des ch*grins psr.Sacrifices,tout®!a gratitude qu'éveille en, noas ie ticutiers,
tous les ceenrs se sentent portés d'un
«obleêlsa <u cotar qui tear fait psrUger noire unsnime cssor
vers ua génér.-ux idéel. S-schons
peine.
en fctrereconnaiasanis a ceux qui ont sacrifié leur
S'il est vrai qae sien n'unit plus les Smes que vie.
soit sur leur terre natale, soit dans l'hospiles souffrasoes sulstesel valliammeat aceeplees
franpaise.
ca cemraus, recennaissoss, Messieurs,que lesort talité
Ces
vicfimcs du devoir comme celles des no¬
noas est prodiguedes cccssioBS d'eprouver ctde bles époques
ont leur part dans l'histoire
eimeBternotre smitiê frsnco-hetge, — et votci de la gioire etpassér-s,
la libesté beiges, daas celle de
que. si élreiteraent nouêo su service dun inème Ia France, dansde
cello do t'tmmtóiiö.
Idèal d'ItuRsear el de liberie, rtirempec cheque
Jour. depuls de losgs mots, par les lsrmes de »09
DifiCOlir®tie M. Gcorg-es Aucel
orpbriias, par Ie sang de nos niarlyrs el de nos
soldats, e©Uc«tailiè vienl de! re mieux souöèe
Deputé
encore, s'il se peut, par un «ffreuxcoup du mystére,
Messieurs les Ministres,
C'est su baros de Broquevilie. ministro de Ia
Mèaie après les éioquenles psroles que vous
guerre et ekef du cabinet, qu'il eül appartcau. 4 venez
d'enlendre, vous permellrtz »u député de
ce doable litre, d'exprlmer ici tos sentiments qui
deuxième circonscription du Havre, représcnanim. nt te gouvernsment. Retenu aaprès de l'ar- la
raée par les devoirs de sa charge, il m a priê de lant de Cftte région si eruellemer.t ravagêe psr la
dire le rerrêt qa'il éprouve de ne pouvoir ê'ro terrible catastrophe, de saluer les dépouiibs de
qui reposed maintenant, morts pour la
persoDnelteBssHt4 eette cérémonie a Isquelle il e ceux
chargé Ie cb»f de soa ctbieel militaire de io re- Pairie.
Paraii eux, Ia Belgique, de nouveau frappée au
présseter. B'antreparl, el dés Ia première hfure,
'ii a ordossê loutes les dispositions nécessaires cceur, pleurc sur le sort de tant d'enfants, hom¬
pour que, daas teute Ia mesure du possible, les mes jeures cl robustcs, emportés par Ia trombe
conséqueaces morales ou matêrielSesde Ia catas¬ brfilaate, brisés loin de leur pays et de leurs
foyers, pour iesqaels iis préparsient les armes
trophe tussen', attênuêes sinon réparêes.
En quelqnes mtaules, ea qaelquos secondes, vistorienses.
Geux-la. aussi, soEl tombés pour la défense de
titus de cent soldsis heiges sont niorts, en vicliIa Terre hien-si»aöe.
nses du travaii, en servileurs de la Patrie.
Ea même iemps, a queiques pas de iè, Ie fiéau
Noire pensêe éveaae leurs images. Je les vols,
ccs bons ouvriers de Chez nous, que le premier cnssnglantait des Francais, des Francises, dont
appelde la mobilisation avail surpris dsns leurs une seuie pensée siimuiail aussi les efforts, for¬
taehes pscifiques, solides euvriers de Bos forges ger et produire töejours plus fort ft d.ivantsge
ou de nos efcerboasages, accounts de ces ruches les armes, les munitions, qui, Ia-bas, su front,
hourdonnaBtes de Fl8B<ireou de Wallonië,de apaortcront aux frères hftroïques Ie meyen de
ceUe belle vsliée de Ia Meuse.de ce pays noir da vaiaore et d'écraser t'ennemi.
Ensangiantés. oerles, je les ai vus, ces ou- •
Rainsul, tont (rêpidants de cettc activité industriesis qui êtait use de eos richesses et uno de vriers, ees ouvrières. sorlant des ateliers dêvas«os fiartés. Je !«s vais. eeh bons fils dc bos cités tés, msis gsrdant quand memo le Eenlimentde la
et da nes eampsgces, avec lenr sliurc un peu forte discipline du temps de guerre. Jo les ai refrusto. ct letirs physionomies êaergtques et réflé- irouvês dansnos hópitaux.ces courageux bleSsês,
chic-s,lelies qa'un Constsnün Meanieraimait a les acceptant leurs sonffrances avee la tranquil!» séIraduire. Se lés entends, avec l'accent rude ou rénité de llsósimo eertain rto soa devoir,
Musieurs, helss t ont été mortciiement atefcastsr.t d« tews provisces tism&ndesou walteinfs. G'est qu'eujonrd'hui, dans celte guerre
loniïcs.
formidable
oü la nation lout eniière est ievéa,
ün jour, dsns notre pays si c&Sme,ou on
crovait a ia parolo iontic,' L'odieui psrjure de la mort ne frappe pis sealsment los vateureux
lignes. Le danger est psrtout —
t'Ailcmsgneèclata brusqueaest, comme un coup des premières
aussi —partoui cü ia lutte, moins dura
sic fondre. flejaur-!a, iis apportèrenl leur chair et l'Bouneur
ceries.
so
poursuit
cependant «pre el sileneieuse,
1car snn.r i Ia Bcietqne, slmplement, sa'ns réser¬ contre les forces aveugles
et brutates qu'il s'agit
ves, Eux ausst, iis firenl leu' devoir de soldats
dans cetie lotte mrgüe et si dure pour lé sol na- d sdapler aux mervsilleux engins de la défense
XiOB»!
Séfemtupi«d 6 pled pendant plus de deux nationale.
Ah ! les trsvaiileurs de i'arrière, nous les
iBois,puis dans i'hdfoïque campsgne do l'Yser.
(Jueiques-uBs,hlessés a la guerre, lous choisis voyons dans l'inlimtté de i'exisieace quotidieane,
ces
hommes, ces f>mines, ellant régulièrement
pour 'cur rar-ritotechnique, on leur assigns, dans
i ëfforl Dstriotique.une lache nouveUs qui. seas vers leur labeur, plus eravos, plus empresses
sa diet iBlelllgcpl et cxpèflmenlö, semfclsit les que jaöis paree que convaïncus «n l'imporiance
rsppsiêr è lenfs métiers d'antsn.Et ce fut un autre do leurs efforts. Ce n'est pius seulement pour
'coup do fgudrs ! El losvois'. satour de nous, dans soutenir eux-njéraes ot leurs families qu'ils donccs cercueits anonymes, chefs et soldats, Fta- nent leurs peines mais bien pour ia France.
msBds cl WatlöBS,membres confoudua et disper¬ Le front haut et fier, è la teix ds la Patrle qui
sppelte, ils répondest : « Préfents ». Le graad
ses. mais rêuats dsns ta mort. ccaisae HaIe fureat les
danger les a trouvès a leur poste : Honneur ®
dsc< le traval',et 1«devoir mftitslre,
eux
!
Certe*.il s reteati su toia.l'écho de ec coup de
Sans doule, la douleur nous élreint en face de
fOGfire,(lien pms ioid qiis cctto belle réglon nor minde, qni nous apprenl a g,idler cUaquejour ce funèbro apparat; la pensée de si nombreux
deleur8 souffrancs, nou3 poursuit el
«avasisge la fralerniiè de soa accueil, il arctenti blessês,
aegoiiso comme aussi i nspeel de tant do
tloutnureussmmt juaque dans nos cantonneaenis notie
ruines
mstérieües.
cl bos traachées, oarmi nos soldata dont esqx ci
Permettez moi d'évoquer ia joh'e petite citö des
etaiest ie« boss compagnons et collaborateurs
10S,cetle psuvre viüe d'Hafil-ur que j'aime et
Maisit a retecti pins lota eaCore,su delède la ligne soigne
de men mieux, et psrdonnez-moi da R8
<3efeu, au sela mêaie do la Beig'tqaesouftracle,
letre la prine que j'éprouve, eu la voyant,
6t )e songs aux fsmmes et aux enfanls demeurés pss
la-bas,aux eicars paternels et raalernels, aux an- raaintenant si maitraitée, si bouleversée, «vee son
goisses dos families Incsrtaines donl la torture église. merveiiieux souvenir de nos sïeux, olie
sera ontreieöne, soit paH'sbsence des couvelies, aussi irappée, blessée.
Tristesses, épreuves de (outes sortes.
soil pent-ê re, — pis encore — par rexagêratioa
Et, pouriant. d une lelie cstes'rophe s'élève un
des Rouveiles, fittraat au travers des vspeurs sentiment
cspible do fortifier nos ames : c'est la
toxiques do rislormation attemanile.
fraternetie, c'est la solidaritypatrioiiQu'ils sacheat, du mains, lorsque Fear deuil symoaibie
qui t'a soudain dominéé.
sera avéré, qae noire pièté a tous a devancc la que
Désta
première
Franpais, Angtais, Bei¬
tour, et qu'elie a associé dés aujourd'hui, dans ges ont vo!é au minute,
sccours. Aucuu hiessé n'a été
,1'asiffiiration
ou Is nr'tère,a nos miiliers tic soldats
'tombéseu ehsrsp J'honneur. cells compagnie du sbandonné, ie dévouement dovanpait l'appel et
eomraamlsBtSleveus, ds raême que ces ouvriers s'ofi'rait encore alors que tous avaient été secoufrarqiis. leurs frères do travail, eaveloppés dans rus.
Autorités civiles et miliiaires, Sociéiés et parti¬
Ja rnême nsort. Gar c'est aussi bien servir son
fsays que do renouveler et multiplier les muni¬ culiere, ont rivslisé de bonne volonté. Rendons
tions qui If ferönt définitiveiBent viclorieux. Et un hommage spécial a l'initialive empress *ede
■peurcelui qui ranurt dans ce service, c'est ausst nos slliés britanniques. Tous .Jeurs moyens de
un rayon óc b.'sott morale qui êelairera son nom socours ont été mis en oeuvre, et nous ne sausoar fa eoESolatloaet le juste erguell de ses eu- rions assez témoigeer de reconnsissaoco a ceux
Tanls.C'est ans'i, sur son front biêaieet ssnglant, qui ont exéeuté et a ceux qui ont dirigé ces déiicates operations.
le bslser Se la Patria recormalssante.
Et sinsi, de méme que la défense commune du
fsroil les fracas da la guerre que nous vIvor's.
C?sVietimesreposvnt maiatensnl dans ta pais. Et bon droit, que les efforts et les sacrifices parUgös
daas
une niêrne volontfi do vaincre, slnsi ie
ceUe pais est cello de ia lumière qui ne s'ètcint
malheur et la rccontiaissaace, lorsqn'iis sont si
pas.
J'our nous tons, Messieurs, nous retournerons cordiaiement eolacés forment des Dens plus du¬
a ia latte et au travsil. Si cruelta que soit rables encore.
Des fiiigoisses comme celles de ces jours pas¬
cette eaiastrophe, nul de nous ne lui permcttra
d'sttetndre un sen! instant son courage. Qu'rin sés, des spectacles eoaorno celui auq iet nous
assistons,
des souvenirs comtne e;,ux que vous
sotdat tombe, un autre Ie remptaeo. Qu'un atelier
fjsoit actrult, deux autres surgiront öemain. Sur emporterez «lici, dos lsrmes com ae celles qui
i'acler dc bos coeurs, que n'ont pu ronger Its monlent irrêsistiblemcnt aux yeux, jamais le
horreurs de Tinvaston, les deuiis et les ruines temps ni les épreuves ne sauraient ieStfcfi'tcerde
sccumr.iées, les anaevtuinesde la separation, les nos coeursunis.
Que votre Smc immortelle, enfants de Belgi¬
r.ostalgtes ou les privations de l'exil, lo poison
snème de Ia caiomnie, rien ne pourra mordre qui que et de Fraoceensevelis dans ce coin do terre,
«niame seulement runité de notre vie nationate, que voUc ame se console en recovant notre
ï'ardcur de bos volonfós combaltanles et notre adieu.
Commevos vaiüanis frères de la Marneet de
certitude absoiue dans le triomDhe,
C'est qu'od est bien fort, Messieurs,quand on a l'Yser votre sacrifice n'a pas éié Inutile. Vos con,pour sof, dans ss séiênitê intime, la coaseience cüoyens pleurent voire perte. mais iis demeurent
fiers de vous. Vous étiez a votre idclie patriotique
Su Droit.
« Gon'cst pas ce qu'un homme a ou n'a pas lorsquo i'ouragan vous a ssisis et broyés dans ses
CXtërieuremeBt*, a dit justeroent Carlyle, qui spiraies de feu. Vietimes du devoir, vous atbz
cor.stitue sen bonhenr ou sa misère. La nuditè, la vers Ia graiitude des hommeset la miséricordo de
faim, Ia délresse sous loutes ses fórmes, Ia mort Dieu.j'ai la coafiauce que ni i'une ni i'autre ne
jclie-mémeont été souffertes avec courage, quan'd vous feront defaut.
je cceur était droit »
Le Cortège
Crux qu'il fsut pUindre, ce sont ceux qui font
Vemul et qui ont senti et même avoué qu'ils fiiLe cortège fooèbre s'est ensuite formé.
saient le mal. La douleur réelle, c'est la ftêtrisDerrière les pelotons de gendarmerie
-sure da I'dme, c'est la honte sani remede de ceux
qui, sachant qu'ils commettesl i'injustice, et es- montée, 1'rarcaise et anglaise, avaient pris
Ssyant ua momentde se iromper eux mêmes par ptace la batterie et la mnsiqce du 222e régi¬
les sophi-mes de leur Kullur ou Ie cynisme do
territorial, doat les tambours étaient
leur orgueil, nmoncollentles cadavres et les rui¬ ment
nes sans parveDtrjamais a los élevcr aussi hsut voilés de crêpe.
Pais venaient deux compagnies d'ini'anteque le mépris des honeêtes gens et les reproches
ce la vórite öteroetlc qu'ils ne parviendroat pas a rie avec ledrapean dn régiment.
étouffer. non, pas tnémedaas leurs propres Smes t
Des détachements de soldats beiges en te¬
Personae ne peut ótouffer dèfmitivement le nue kaki et nne compagnie d'irifanterie anJjroit. ïöt ou tars, il a son heure.
giaisï, dont on admira i'impeccabie tenue,
Geileheure. nous savons qu'eile approche, et
ensnite.
qu'après Ia passion souftèrle, elle sonnera pour venaient
La muskiue du 129e régiment d'infanJnousla Hédemption, c'est-a-dire Ia liberation et
terie avec sa batterie et des sections de
la gloire.
Ghéresvietimes, dont nous connaisson' a peine tasiliers-marins en armes pfécedaient le
les üoms, — et qui ne serez, vous non p us, paa c!ergé, puis venaient divers groupes de
mortes en vain, dorraoz done votre de nier soai- baissiers de la mairie et des soldats des
jnei! dans la paixIumiaeuse que Ie Pays promet a diverses nationalités portant des civières
#es bons servileurs tombés pour lui et quo la Foi
lesqnelies avaient été deposées de
CbrétienneIrur assure. Dorraezle a l'omhre de sur
ces deux chers drapeaux fraternellenaent ur.is, somptueases couronnes.
Les cbars fnnèbres qui venaient easuite
«elui de la Belgique symiiole du Droit violé, et
celui de la France qui, fidélea sa destinóe et a sa étaient aussi recoaverts de nombreases cou¬
gloire, incarne la liberie des peup'es. Et puissiez- ronnes. Nous en donnerons ici la liste aussi
vous, a leur ornbro,y tresssillir bientöt aux écla¬ compiète que possible, en indiqoant les
tants éehos de la victoire qui vous sera erm- inscriptions qu'elles portaient :
pune.
Le Gouvernement de la RépubliqöelTranDiscours de .11.Albert Métin
?aise ;
Le Gouvernement Beige aux Vietimes de
Mtnislre du Trnvail
la catastrophe ;
La Vilie du Havre aux Vietimes de leur
Au nom du gouvernement de Ia République,
Tapporle lo salul de la France aux families qua devoir ;
vient de trapper un coup si cruel. J'offre son
Prom the officers and mèn of the British
ihommsgea la vaillaistc nation dont, une fois de Army Havre ;
plus,dans l'histoire, nous faisons nötres les épreuLe ministre de la Guerre beige et le prési¬
ves, et tiétres les espérances legitimes.
Comma jidis, sous la Revolution, comme ptHS dent du Gonseil aux membres dn personnel
tard. en 1889,dans la lulte présente se trouvent beige des poudres, morts pour la Patrie ;
Le ministre de la guerre beige et Ie prési¬
associés et l'esprit de llberté du peuple beige et
i'élan d emancipationjailli du sein de la France. dent du Conseil aux membres da personnel
Beiges et Francais, nous combaltonscêteè cète de la Maison Schneider ;
sur les champs de batailte de eelte plaine deFlanLe Gouverneur de la Ville du Havre ;
drc s! héroïquement dêfendue. Nous combaltons
Le Corps diplomatique, prés du Gouver¬
cöte a cöte sur les champsde travail comme ceux
öe cette grande vitle do commerce et d'industrie, nement be'ge, aux Vietimes de la catastro¬
qui mèritait a tant d'égsrds, l'honneur de recevoir phe dn 11 décembre ;
ie gouvernement beige.
Le Personnel iranqais et beige des mines
üiampjöcbatailteet chjjppjd®IrtTéilopt Schneider
<luHavre*
Aanonze Dier Betrnrde S!achtofl»rs Vrien¬ ILe S6juin 19H, il futdésigné pour élre attaché A
iJüspreilon des poudres de guerre, cü comments
den van De qoai Notre Dame, no 13 ;
Le dépót des Invalides beiges a leurs ea- sa carrière technique.
Ag mois de juiliet 1913.la Section des poudres
marades de l'armée franoaise ;
futrattaehée a l'Ecole de Pyr itechnie dont fait
Le Dépót des Invalides beiges h leurs ea> partie
a ce moment le lieutenant Stevens.
marades ;
Le 99 msi 1914,il fut noaimé capitsine en se¬
Le Personnel de l'atslier du N. G. II. a cond et, enfin Ie 23juin de la même annêe. d missionnè sur sa donaande,et nommê ingcn'eur
leurs camarades •
Aan Myne Dierbare Vrienden, G. AHoa- d'arUlleriede 3»classc ; au mois de janvier dernier, par suiie des nêeessités locales de notre
sins ;
installation improvisêe, on fut amend a consiiL'Uoion des Fsmmes d®France ;
tucr un service des poudres distinct placé sous sa
La Scciêté de secours aux Biessés mili- direction.
tairt s ;
Sa compéteacc et ses qsaiités trés sérieases
La Légaüon de la République franchise en l'avaient fait designer pouree serviee des poudres
•qu'il d'rigë» seal, dans uno autonomie eomplète,
Beigique ;
jusqu'a ia réorgsnisation récente de nos établisLe Lycée de garqocs dn Havre;
Les Ingénieurs et Officiers des établisse¬ semcfits ; cello ci ayant raitacbé organlqueaent
service des poadres aux nouveaux ateliers do
ment» d'artülerie beiges & leurs regrettès le
fabricaiioas de munitions.
coüègues ;
Comment vous dire les mérites de ee jeune et
Les Etabiissements Schneider ü leurs ou¬ beifiantingénieur ; sa science et son expêfience
vriers vietimes du devoir ;
déji consommée, sa manifetsient eh*qua jour
Les Ouvrieis du Hoc è lenrs regretlés ca¬ d'une f«eon si êvidonte qu'elles jusiifiaient de
plus
en plus la confiance mise en lui f
marades vietimes au devoir ;
Fau'.-ilrappeler son inlsssable dövouemcn! S sa
Les Biessés ei Malades beiges de l'IIöpital
tflehe, son intf-ltigence vive ct primesautière,
n» 8;
fsut-ii vous parler de l'smênilê do son caraclcre
Les Officiers et Ingénieurs A. F. M. beiges qui faisaient de lui un chef a-doré autsal que resaux miiitaires vietimes d« d-=voir;
peeté de ses sous ordras et qui donnaient a ses
Le Personnel des Etablissements Dssnia- relations avec ses ögaux et ses chefs une valeur
el un charme si appréeiés T
rais Irères ;
Duvantsa tombe, si brutalement ouverte, nous
La Garnison beige du Havre au personnel
du service des poudres mort ponr ia Patrie ; nous iaclinons avec douleur et eous ne pouvons
vetenir
nos iarmes et l'expression des regrets
Le Sous-lieutenant et le Personnel du amers quo
susctte en nos occurs la perte inesti¬
corps des transports du Havre a leurs re¬ mable
quo sous"faisons en lui
grettès camarades ;
Antoui-dece jeune chef sonl tombés tons ceux
Le Personnel de i'A. G. H. a leurs regret¬ qu'il comasssdait ct qui le secondaient dans sa
u'ichequotidiennc.
tès camarades ;
IliLSontsi nombreux, bélas! qua js ne puis
Le personnel des A. C. G H. aux vietimes
socg'er a vous parler do chacun d'eux. Je vous
de l'expiosion ;
mois cepoodant des priBoipaux
La direction des Etab'isseaaents beiges dirai quelques
enx et 'out d'abord da sous-lióutenaRfJaed'artiüerie aux membres da personnel de la d'enlre
quemin. Nouvollementpromu au rang d'eftkier
Maison Schneider ;
depuis quelques jours a peine, il avail dü soa
L'Ecole primaire supérieure de gardens da avaaceaient a ses eonnaissances en mslièrc de
poudro qu'il avail acquiaes dans l'industrio privês
Havre ;
et aux quaiités réehcs qu'il evait apportées daas
Le comptable et Ie personnel des bureaux
Tèserctce
de ses foBcfions.
des A. F. M. au com mis principal Gailiy ;
avait pris du service au moment de
La direction des Etablissements beiges laJacquemin
guerre ct fut désigaé le 3 aoüt dernier ea qaad'artillerie au regretté lieutenant Jacqnelilé d'sdjudant. attecnè au service des poudres et
nain, mort pour 'a Patrie ;
fut commissionné en quoiitê d'ofïicier assiliaire
La compagnie du commandant Stevens;
pour la durêè dè la guerre, a la date du 10nivemLe oersonnet militaire et civil da minis- bre dernier.
Parmi 'e personnel d'éliie des employés et des
lère de ia guerre beige au personnel dn ser¬
agents da service des poudres, il y en a deux dont
vice des pondi es ;
js vous demsnderai la permission d« vous
Les rescapés ds !a poudrière k leur glo- dont
padsv eacore : Ie eoHsmisprincipal de £« classe
ricux commandant ;
Gsiily et i'adjudant Van Alsleifi.
La comoagnie des mortiers de francbées;
Le eommis principal Gsiity avait u»e esrnèi'e
Les officiers et ingénieurs des A. F. M. déja longue ; nö ie IS novembro1857,il s'étaileagagé au régiment du génie Ie 3 fêvricr 1884 ct
be'ges k leur camarade Jacquemia ;
Les ingénieurs et officiers des Etabiisss- rests au ssivice do l'armée jussu'au 29juin tS9l,
en
passin! sueeessivement par fes différents gra¬
ments beiges de Gravide ;
jusqiró celui de l" aergeni qu'il obtiat te 3 dé¬
La direction des E abüssements beiges des
t«S9.
d'artillerie au regretté commandant Ble¬ cembre
I.ë 1" juiltet 1891,1!fut admls comme employé
ven s ;
temporsire eommis aux écritures. II deviat em¬
L'Enlreprise Fongeroüe et ses ouvriers ;
ployé de 3*cissse. puis, passant par les différents
échelons, jusqu'a I'emploi de eommis principal de
La Filature et Tissage de Gravilie ;
2«ciasse, pour iequêl il fut désigaé lo 31 öècemLes Infirmières de l'IIöpital coicpiéiuenbro 1898.
taire ne 8 ;
Attsch'éè l'Ecole de pyrotechaie denuis 190?,03
L'êqnipagedU Saint-Dufour ;
l'appela au service des poudres au mois de raars
L'Amicale de la Police du Havre ;
dernier,
Les Midioeltes Iiivraises ;
C'éiait un fonctlonsalro d'un dévoaemeBt a
Le Personnel militaire et civil da Minis¬ toute épreuve. tres intelligcnl, possédaut loutes
tère de la Guerre beige aa Personnel fran¬ les quatités d'un agept d'èlite ; il apporlait a sa
fache un zèle, une pomctuslitêet une conscience
cais victime du devoir ;
L'Association nationale des Orphelins de dignes do ïous les èloges ; d'un enracère cxlrêmement dèférant et d'uno égalité remarquahle.
Guerre ;i leurs bienfaiteurs ;
L'adjudanl Van Als-eia représenlo une figaro
Le Personnel militaire et civil des Ateliers connue
de toute notre artillerie beige, qui Ta vu
Delhomrae et C*;
Sondant de longues années 0 notro eher poiygone
Les Officiers et Ingénieurs des A. F. M.
c Brasschac-t, oü 11 sccondait Ia commission
beiges 4 leur regretté camarade Stevens ;
ó'expérience, exéeulant pour eile les travaux ct
The Pierce Arrow Keiiy Springfie d and msnipuiatioRs de poudres et ê'exploslïs.
G'étsit un ancien sous-officier de carfièrc. inJ«JTryMotor Gar ;
carnant, dans toute la force du terme, lo type du
Le Personnel de l'Octroi du Havre ;
sous-officierd'éliie.
avait-on peusö natBrélLes Officiers de la 6ie promotion d'artille¬ Icmont a lui pour leAussi
service des poudre», daat il
rie et du génie beige ;
devaii consliuïcr un agèst de premier ordre.
L'Ecole de3 apprcDtis mêcaniciens de Ia
Eo lui aussi l'artillcrie bc-igefait une pe.ielerMarine ;
fib'ement cruclle.
I e surveftlsnt Lenardétait cgalemeBt un suciea
Les Officiers rt Ingénieurs des A. F. M.
servi'.Hir de Bos étsbfisSMnents.Ex-premier scrbeiges aux employés vietimes du devoir ;
gent au 7«de ligne, il était entrè eomine surveil¬
L'Ecole Pratique d'Indnstrie ;
lant è l'Ecole de Pyrotechaie 1e 20jinvièr ü>03.
A.C.G.A, Sainte-Adresse, k leurs regrettès
Ds lui, comma de tons les gradös, les tusréeompatrïotes :
ch >ux-deBiogls . Royoarrt, Van Ifebrfe»,Logman,
La Société des Forges et Chamfers de Ia W' Huns,Putz ; les brigadiers : Dsssüy, G rrsorls,
Méditerranée aa personnel du Service des l.abisu, Foerier ct Van der Aa, lous choisis pour
le service des poudres, s cause Öeteurs qusiüés
poudres ;
Le Syndicat Général da Commerce et de sérieuses, nous pouvaos dire qu'ils étaiest los
servileurs du psys, dêvoufs. oVyant d'actre idial
i'Industne ;
que l'accompiissf-Hientde leur tèehe el ü'ufi paLe Personnel des II. F. M. beiges aux Vie¬ triotisnaea
toule éprouve.
times du devoir ;
Eofin uotre pensée inflniment douloureuse va
Le Personnel des A. F. M. beiges 4 leurs 6 tous ces braves soldats cmptfriês dans le déresretfés camarades ;
_
sasire et qni sont moris au po$to a'honneur qai
leur êtstt cöufiè pour la Palriset pour ie Ról.
La Direeiion des Etablissemsnts d'artillerie
II y cn a u'aulres donl nous hésitous a sarler
be'ges au Personae! francais victime du de¬
teib raónt uoire eommiséraiion ponr c-uxest gran¬
voir ;
de
; cc soul los veuves, les orpheiins et les pa¬
La Commission de tir aux Camarades de rents
de nos chers mort», vers eux éga'emenl
S'armée beige vietimes dn devoir.
vont loutes bos symoathies et Bons bous incliLe pnbüc, profondémeut recneiili, Ia lêie cons bien bas devant leur immense douleur.
Puissest iis ètre assarés de lout notre dévouenue, salna le passage der. vietimes du de¬
pour allcger, si possible, leur3 souffrances
voir et s'iBC'ina, empreint d'un8 réelle émo¬ ment
morales et matérietles.
tion, au défilé d>-s femmes, des enl'anis, des
Au souvenir de nos braves, nous associons ce¬
parents de ccs infortnn?s, dont plusieurs
lui de nos Feres d'armes francais, les «gents des
avaient peine k se soutenir.
Dsines Schneider, que la même catastrophe a
Les notabilités miiitaires et administratives •frsppés et.qui sont morts aussi vietimes ds la
mêcifi fataiilé.
venaient ensuite.
Co serait mal honorer nas morts que de s'sbaoTout le long du parcours, des détache¬
au désespoir et au découragemont. Qnfils
ments de soldats et ds marins formaiedt la donner
eniportent
leur lombe l'assurance, "tout,
liaie de chaque eöté dn cortège, et des trou¬ d'abord, quedans
leur? efforts n'aurout p--sété va'ns et
pes rangées le long des trottoirs reudaient
que rien no sera perdu du fruit de leur labeur.
les honneurs.
Ge ternble holocausts sur i'antcl de !« F drie
Pendant Ie défilé, les mnfügnes, alter¬ doit é've ub©raison de olns pour nous de faire
face
au desiin et de prouver que, quand même et
nant jouèrent des marches fnnèbres et exécirèrent notanimsnt ia march® da Chopin malgrê tout, nous avons la volonlé de monirer
notro énergie »u mbade el que rien ne sauralt
et la marehe ds Ssllenick.
ab lire le courage des Beiges.
Ls cortège arrivait vers trois heures au
MaigréI'effroyable traverse, demain plus que
cimeticre Sainte-Marie.
jama's, nou» nous remeUrotis a i'ouvrage, nous
La chapelie avatt été drapéede tenturesde
reconstruirons ce qui aura été détruit et nous reprendrons nos efforts sans peur cl sans reprovelours sur lesqueiles se délacbait l'icscripches.
tlOn Pro Palriit.
. Adieu, chers compagnons, voire souvenir est
Prés d ) ia chapelie. une estrade avait été
imr-éiissabiepour
nous.
dressée, snr laquèDe M. lo m jor Lebrun, do
Jamais nous n'oublicrons les heures tragiques
l'Eoole de Pyroïeehme bnigs, et M. Ober- que
nous vivons mainienant ©t qui font de vous
hauser, directeur do la Maison Schneider, des héros que la Pairie honorera a t'égal do ses
vinrent preodro place et proaoncèrent les plus braves cnfanis tombés sur les champs de badiscours suivants :
tailie. Adieu 1
Discours de M. le Major Lebrun
De l'Ecole de Pyrotechnü beige
Messieurs,
C'est avec un sentiment d'indieibla trisfesse
que je viens apssorlera nos chers compagnons
ae travaii, moris au service de la Patrie,viciinses
du Devoir.I'adieu profondément ému du person¬
nel des Ateliers de fabricaiions de muniiions -de
Belsque.
Comment exprtmer Ie cbsgrin qui nous éireiat
lc cosur devant !'f pouvantsbie msiheur qui est
venu nous frapper el dans quclles circonstances.
Grace a Fadmirable hospitaliié (lo ia France et
a l'appui si compict que nous avaieat donné los
tuloriiés frsi cGscs, nous avons pu depuis un
pea plu3 d'un an insifiücr ici nos ateliers dans
des conditions inespérCes et leur donner uno aelivite fecorxtc sans précédent poar eux.
A notre chére armee, si éprouvée dans les pre¬
mières heure.' de la iempète döchaïnée sur oile
par un peuple a jsmnis sbhorrè. nous «vions pu
par un labeur opini&tre,donuer le réconforl souverain d'une recDBstitutioncomplóie de ses res-,
s urees en muuitions.
Nous éprouvions ce sentimcct que cheque jour
nos ellorls devenaient plus fruelncux et que
chaque jour «joutait une nouvelle force a celles
que nous avians pu créer déja.
Nous viviens dans nne sorte d'allégres3e que
nous donnaii !e sentiment d'un si beau devoir.
Enconragés par les étonnanls rêsultais obtenus
grdce au devouement admiranle de noire person¬
nel, nous faisiofisde nouvuaux pfOieis pias ambitieux encore et ne pensions qu a accroltre de
plus en pius ros moyens d'action.
Et voici que soudain s'est abaitue sur nous
I'aveugte fataiiié sumant au miiieu des nötres la
devastation et la mort
Devantla soudaineté brutale et Imprévue d'un
aussi êpouvant bie maiheur, la raison reste confondue et fians l'impossibiiité d'admeitre une
aussi affreuse rcalité. Est-il vr&ique tant de nos
compagnons aieni disparus a jamais et quo nous
ne pourrons plus compter sur eux nl avec eux 1
Nous ne reverrons done plus ce eher camarade
Stevens dont, avant lout, je veux V.>uSn tracer
cn queiques mots la carrière si pieine de promes¬
ses.
Joseph- Albert-Stevens,né a 'Louvain le li jan¬
vier i679.fut adonisa l'Ecole MiiiiaireIe 49 septembre 1897, nommê sous-licutccaot a l'Ecole
d'Appiicationte 19décembre 1839,et désigaé pour
l'artfilcrie ie 8 raars 1908.
Il fut désigaé d'abord ponr l'ariilterie öe forteresa#, ou il fut noraraé tfeutenant le M juin t9»a
Disconi-s de M. Oberbauvcr
Directeur d s Elablissemmts Schneider
Au nom du personnel des usines Schneider,
j'apportc un dernier adieu a no^ camnrades Beiges
et aux nölre», frappés par i'explosioo qui a dêtruit ia poudriere de ros aiiiés et dont le souffle
devastsieur est venu ravagcr nos ateliers.
Les mots sont impuisssnts devant un let mal¬
heur et nous ne pouvons que plourer avee les
families des viciitues ceux qui sont marts pour
défendro four nays.
11y a des infortuoes a soulager, Ie nécessaire
est fait et dos uiesures sont prises pour aUcnUPr
dsns la p 11s large mesure possible Is? conse¬
quence? du ehóin-ge.
L? lulte conire Fesvahissenr continue, plus
Spre que jsmais ; 1! faut rclever ia têlè, rép^rcr
les ruines et recommeneer la bataiüe sans merci,
nuit et jour, pour quö ceux du front puissent
eontinuer le combat.
Toole? ies mesures seront prises pour éviter
le retour de careiiles cstastfophes.
Je remercie ies autorités civiies et miiitaires
beiges, brilanniques et frsr.caiscs du concours
intelligent, actif et üévoaè qu'elios nous on! apporté
Je rcmercie le pr-r'onrel ouvrier ct employé
des u»ines Schneider du zêle, du dévouement et
da sang-froid qu'il a montrê dans ces tragiques
eirconstances.
Je lui demsnde do faire un nouvel effort et rsnpcile a tous que te mot d'ordre est toujqurs is
même : au travail pour la victoire.
Cettfi cérémonie prit, fin par l'exécntion de
Ia Brabanconnc, du GodSave the King et do la
Marseillaise, par la mussque'da 222" d'infanterie.
Puis les autorités saloèrent une dernièro
fois les infortunés parents des vietimes ei e»
retirèrent en même teoap3 que la fóule profoudémeat attristée.
A la Bourse
Les affaires coramerciales ont été suspendues k la Bourse, de li heures 1/4 4 3 heu¬
res, en signe de deail.
Condoléances et Charitè
A la sortie de l'égiise, M. Morain, préfet de
la Seine Inférieure, nous a fait part quit ve-
nistre de la justice de Belgique, une soiame
de dix mille francs pour les families des vie¬
times franchises.
La population sera certainement reconnaissante de la généreuse intention du gou¬
vernement beige.
M. Georges Bureau, députö, se troavant
mobilisé et dans rimpossibililê de venir
assister aux obsèques, a adressé par dépê¬
che au gouvernement beige, l'expression de
la profonde éuiolion qu'il ressent et les sincères regrets qu'il éprouve.
M. Louis Quesnel, sénatenr, retenu aux
armêes par ses fonctions de capitame, s'est
excosê par un téiégramme exprimant ses
condoléances.
M. Jules Siegfried, député, avait aussi envoyé ses excuses et ses condoléances.
On a vn plus haat que !e lieateaant géné¬
ral Jangbluth et le général d'Orjo de Msrchc-velette représentaient lo roi et le ministre
de ta gnerra 4 la cérémonie.
Dès samrdi matin, 4 la première nouvelle
de i'accident, Ie lieutenant général Jungbluth s'était rendu 4 Greville et avait aussi tót
après fait part au roi des conséqnences de
i'accident,
Le souverain se rnuntra vivetasnt aifecté
et chargea son adjudant général d'exprimer
ses conaoiéances aux families de3 viclimes
et de dire, en son nom, au directeur des usi¬
nes Schneider toute ta part qu'ii prenait aa
denil qui est venu ainsi les trapper.
Le lieutenant général Jangbluth était, dès
Ie début de i'après-midi de samedi, retourné
4 Gravitle pour accompiir cette démarche.
M. de Broqueville, retenu au front par des
engagements qu'il no lui était pins possible
de rampre, a téiégraphié ponr iéiiciter les
ouvriers de la Pyrotechaie de lear courage
et informer las families des vietimes qae les
salaires des disparus leur serout payês jusqa'4 ia fin de la gusrre.
Les membres da corps diplomatique resi¬
dent au Havre et 4 Sainte-Adresse sont
venus déposer leur carte an ministère de Ia
Goerre.
Les Secours aux vietimes
Dans le discours qu'il a proaothsê 4 i'occasion des obsèqoes des nulheurenses
vieti¬
mes de l'expiosion de la poudrerie beige, M.
Georges Ancei, député, a justement rendu
bommage an dévouement ce tons Ceux qfli
s dès ia première minute, Francais, Anglais
et Beiges ont volé au seeours ».
« Antorités civiies et miiitaires, Sociétês
et particnliers, ont rivalisé 'de boane volon¬
té. Rendons un hommage spécial 4 l'initiativs eaipresséa de nos alliós hritanniques.
Tons leurs moyens de secours ont été mis en
oeuvre, et noas ne saarioas assez témoignor
de reconnaissance 4 ceux qui ont exéeuté et
4 ceux qui ont dirigé ces dgiicaies opérations ».
3
Notre population ne manqaera pas de
s'assccier 4 ce jnste hommage rendu a lous
ceux qni sa dévooèrent en ces tragiqnes eir¬
constances, et satis vonloir en rien ditninaer
le mérite des uns, l'abnégation et i'empressement des autres, on nous permettra dé
sonfigner tont particulièrement l'importanca du concours apporté en cette occasion
tsnt par ies corps sanitaires que par ies Soeietés privéïs attacbée3 4 i'armêe hritanniqnè.
Dès les premières alarmes les nombreuses
automobiles angiaises arrivaient Sur 16lien
da sinistra et emportaient incessamment les
biessés vers les höpitaux ou leurs domiciles.
En raêmè temps que Ie3 chirargièns an¬
glais, d'importants
détachements d'infirlöiera quiitaient les différents camps anglais
de Sanvic at d'Harlleur et venaient, en praticieus avisés, procsder anx premiers pansements et seeonrir löus ies biessés qn'ils poisvaient rencontrer.
Ils ie lire ut avec mie hahileté at ons rapidité qui firent i'aamiration de tons c®ux qui
en farent témoiny.
Bm nombre de biessés farent êgalemcnt
accueiilis dan? les höpitanx augfais, notamment rae de Phaishoorg, oü !es'j?sr"-as conlinuent 4 leur donoer aes soins que i'on ne
saurait trop ajïprécier.
ont inlormé cfficiellemenl, an nom de leurs
goovemements, que les mesures économlques prises 4 i'égard dë la Grèce étaient levées.
Ils ont ajoutê que les vaisseaux grees retenus dans des ports allsient ètre relachés.
II parait bien que le général Sarrail et te
colonel Pallis soul arrivés a nn accord définitil. Les conférences se seraient teroHnées
hier,
L'attitnde de la Grèce au cas cü les Bnlgares pénélreraient sur son territoire resto
donteuse. Les journaux anglais donnent de
nombreux détails sur l'hostitité passive qa*
geaa a nn moment donnó nos mouvemeats
entre Salonique et le front. Les troupes
grecques semblaient n'avo>r d'autre but que
d'ensombrer les routes et d8 bloquer nos
convois. Ge fait su flit 4 expliquer pourquoz
nous voulons êtro seuls — on presque — 4
Salonique.
Au cours d'une audience accordêe au di¬
recteur dn journal la. Tribune, le roi Cons¬
tants a déclaré : « J'ai donné 4 lord Kitche¬
ner des assurances formelles an sujet des
dispositions de Ja-Grèce vis-4-vis de ('Enten¬
te. La situation s'aplanit. Dèi le début de fa
gaerre j'ai tómoigoó 4 TEatente Ie haat intérèt que jo ports 4 sa cause, a
Daasl'aiöiéegreepe
La démohilisaiion des classes 1832a 1900
qui avait été décidêe par Is Gonseit desj mi¬
nistres et qui devait être iocessimmeut réafisêe vient d'être remise 4 one date iadèterminée 4 ia suite des changement® imprévus
survenus dans la situation politique et mili¬
taire.
Par öécision da ministre de Ia guerre, it
sera formé une compagnie spéciale daas laquelle seront versés tous les maitres d'écoie,
professoQi's et avoeats qni servent actuellement dans t'armée, et qni, après trois mois
d'exercice approprié, recevroat le grade de
sons-iieutenant de réserve.
Aucune décision n'a encore été prise en ce
qoiconcernel'appeidelaclasse1013.
LA SERBIE
ï/arffièe
swk
Le veïvöde Pntaik a déclare que l'arméa
serba compte maidtenant 300,000 nmtés,
aaxqnelles viendront procbainement a'ajoater 130,000hommes de renfort.
L'armée serbe sera manie d'una nouvelle
artillerie par les puissances de l'Entente.
ENALLEMAGNE
La -protestation
de Haass
Les jonrnanx de Berlin qui viennent d'arriver a Londres (datés de jendi sok) ne pub'iènt pas de commentairrs bien flaüeursaa
sujet dn discours de M. Bètbröann Homveg.
Les journalistes bariiuois sëmblênt d'acoord
pour canstater que l'éloquénce du .chancelier ne souleva aucun enthousiasme. La plu¬
part des journaux, d'ailleurs, et surtout Ie
Berliner TageblaÜ, sè plaigiient amèrèment
quo la censöre impériaté' ne permette pas de
aisenter fes térmeslda iiacours.
Ges journaux donnent ie texte de la profestatión du leader sociaüste, M. Uaase, que
fes tëlégfammes cfficiels n'avaieutpas trans¬
mis ; en voici la traduction :
< Après les generalisations vagues et ambiacë3 du chancetier impériai, aprè3 les paro¬
les du docteur Spahn, il est nécessaire do
constater ia fait que l'ensembie du Reichstsg
n'est pas d'accord avec ces déclarations. Je
tiens 4 declarer, poar ma part, et je crois que
ia majoritó du peuple sera de mon avis (Gris
de désapDrobation) qae je repousse de toutes mes forces les idéés qui viennsnt d'être
esprimées ici. (Longs appiaudissumsnts sur
les bancs socialisten.) Désirez-rous réeiiement que Ie résultat de cette boucherle soit
de rèduiré l'Enrop9 ea Gn mohceau de cendres 1 Pour nous, nous dêsirons une paix basée sur ie rejet absoiu do teute espèce de
conquête ! »
Le cardinal
SarlefrontduYard-ar
A l'heure actueHe, Ia totalité dés forces
franchises et angiaises a quiitê ia Serbia et
s'est "repliée sur ia territoire grsc.
La manoeuvre était difficile. I! s'agissait de
ramener troupes, matérjel et apprevisionnements depnis Krivoiac jusqu'au de!4 de la
frontière serbi-grecqne, soit snr une proIondeur de 60 kilometres ; et cela en eontenant un eanemi acharné qni multiplfait less
attaques d'infanterie et d'artillerie, sihaultanément dans les trois directions du Nord, de
i'Est et de i'Ouest.
Le repli de l'armée franco-ar, g'aise d'Oricnt
a été exécaté avec des pertes faibies en hom¬
mes et insigif.fiantes en roatériel.
Les tentatives faites pour enveloppsr ou
couper nos lignes ont loutes échoué ; et
l'ennemi a subi des pertes considérables au
cours de ses attaques.
Notre ails gauch8 {troupes francaise?) a
Dénétré snr le territoire grec par Gnevgheii,
après avoir détruit !a gare du chemin da l'er.
Notre alle droite (ironpes angiaises) est entrée en Grèce par Doiran et a atteint Kilindir
4 quelques kilomètres plus au Snd. Les Bulgares ont occupé Gusvgheli et Doiran, aban¬
donees par nous.
Jiisqit ici, il ssmbïe bien que nous n'ayons
eu aft'aire qn'4 l'armée bolgare du général
Theodorof, qui comprend au mows quatre
divisions. Aucune iorce allemande ou antrichienne n'a encore été signaléede facoa pre¬
cise sur r>o!re front.
En avant de Sstoaique, les travaux de retranchements sont poussés sctivement. (Le
Temps.)
Hartmann
chez ie chancelier
Le Cardinal Hartmaan est arrivé 4 Berlin
venaal directeuaent de Rome. II a été re?u
par M. de Bethmann-Hollweg 4 qui it a readu compte des résultat3 de sa missioa aa¬
près da pape.
Pour -recueillir
l'or
Le Journal de Genèvedit que pour arriver 4
rècusillir l'or qui se trouve encore entre les
mains des partichliers en Aliemagne, Ia
Reichsbank a ordonné 4 tontes ses succursales d'ASIemagne d'adresser aux locataires
des coffres-forts une circulaire pour les inviter 4 declarer sur l'honaenr que leurs casiers ne contiennent aucun or monnayé. En
cas .de refus de faire cette déclaration, les
banqnes retireront les cases 4 leurs loca¬
taires.
Les Allemands faisant des déclarations
« sur l'honneur i » Oh sait ce qu'ils entendent par 14.
Nouveau
groupe de socialistss
dissisdents
Les députés sozialdemokrates ,
trentaquatre ati total — qui ont adressé au Vorwcerlsune lettre dans laqueüe its déclarent
n'ètre pas d'accord avec le discours da chan¬
celier, viennent da décider ia formation d'un
nouveau groupe:
On dit qu'ils refuseront au Reichstag de
voter le nouveau crédit de guerre de 10 mil¬
liards de marks.
Une grosse
affaire
de fraude
en Aliemagne
Les journaux allemands se sont décidés 4
donn9r quelques détails sur un procés intenté au nommê Arthur Jaeoby et 4 ses
complices, conpabtes de fraudes importantes dans des iivraisons de chaussures ponr
i'armêe.
9,400 paires de chaussures ont étó reconOn conti me que ie gouvernement a ordoané au 5« corps d'armée grec de se dépfa- nues compiètement inutilisabies póur ia
gusrre.
cer et de qavtter Salonique.
La marque d'un fabricant qui passait pour
être coiisciencieux a été contrel'aite et ap~
pfiquée 4 des chaussures qui ne sortaient
Les pertes ennemies dans ie? Bilkans sont, pas de r.liez lui ;
4 la date de öe jour, les suivantes :
Oa a trouvé beauceup de semeiies ea pa«
Allemmds : 27,000 tués ; 43,000 biessés ; pier ;
Des chaussures refosêes ont été comprises
47,000 malades.
dans des iivraisons ültérieures, etc. . .
Aulrichiens : 23,000 tués ; 58,000 biessés;
Détail assez amusant : les antorités miii¬
51.000 malades.
B'ilgares : 11,000 tués ; 32,000 biessés ; taires avaient interdit de livrar des chaussu¬
res des pointures 40 et 41, paree qu'elles ies
8.000 malades.
considéraient comme trop peütes. Les inTurcs : 3.000 tués : 14,000 biessés.
Le total dos pertes s'élève done 4 347,000 culpés, jugeant sms donte qu'il y anrail
dans l'armée antrichienne plus de peiits
doot 64,00# morts.
Comparees a ces chiffres, on peut dire que pieds que ne le crovait i'intendacce, Ont
Fivré des chaussnres de ces pointore3, mai»
les pertes des ADiés sont légères.
Les Dulgsres n'ont tant sonffert quo pour ies ont alTectées de numéros plasélevés.
Les ccndamnalions ont été sévères. Jaeo¬
avoir appliquë ies méthodes allemandes en
répétant les attaques en formation com¬ by, le principal inculpé, s'est vu infliger ie
maximum : 5 ans et 2 mois de prison et
pacte.
5 ans de privation des droits civiques. Parmi ses complices, Rohn a été condamné 4
4 ans et demi de prison et 3 ans de privation
des droits' civiques, Schmidt 4 18 mois de¬
pri son, etc. . .
D'après des renssignements puisés dans
les milieux diplomatique?, ie roi Constantin,
au cours de i'audience qu'il avait accerdée,
samedi, aux ministres dès puissances de l'En¬
tente, aurait donné des assurances personneiles qui sont jugées satisfaisantes.
Les journaux aunocoeut que les quatre
LECH0IX
ministres de '.'Entente se sont rendus aaprès
L'armée
grecque
deSalonique
LesPertescBBcmies
*
LA GRECE
LaGrèce
et !aQoadrnple-EMe
du Gonseil,
qu'il#
naitderecevoirde M.GartendeWiart,mi¬ deM.SkoHioudisLprésideat
POURVOSOIAMANTS
VOYEZ
ETLES
PRIX
CHEZ
GAUBERT,
Ia Fell! Havre — Merere^15 D&emBre19#
TJMTRES
a COÏCEKTS
CHRQKIQÜB
RËRIOHALB
if teaait leefavier, n'empèchèrenl point Emile
Santreuil da s'adonner & la composition
fc'Ansóert MONOEVflLE
; M. Ansbert 80N: musicals. II a signé plusienrs msses d'nn
IfJfLU «' Gadam» ; 8. Amédie 80NDE| style distingaé at d'une belle expression, de
VLL,E'Foh,lisê; 8. /tend SONDEViLLE;8.
[ norabrenses mélodies éiitéesoüs'accnsaient
Louis PAIN, mebilisé nu front. Madame el
Graad
-Thêêlre
!»urs
Enfants ; 8 Georges PAIN. mobilisé
la délicatesse et la fraichenr de son insoiraGraville-Sainte-Honorine
»U frool, et Madam»; S. Engine PAIN. mo¬
I tion, on charmant opéra-eomiqne, Ninon,
Samedi 18 décembre, 4 8 h. 1/1, la tonrbilise, et Modem»; St. EdmondPAIN,mobilisé,
Modlern
- Cinéma
i sur un livrei d'A birt Fox, qui fot repré- née Charley donnera au Theatre une repréMadam»et leur FM»; #. AndréPAIN.mobilisé
Stoa, iionie
jVationale,
soa
■senté sur plnsieurs scènes, au Grand-Thé&tre «rotation du grand nnccès du Théötre de la
»u front, Madameet tear Fits; M Fatal FIQUET,
Bemain Jeudl jmatinéo et soirée], Vendredi,
PorteSaint-Martin, Madame ia Marechalr, piè>ioB«commencCTons
jcudi la pubiieatioa dn Harre notamment.
prisonnler «b-guerre, Madamenee PAINel tears
Samedi et bimsncbe |maiioée et soirée) :
Artiste
anx
sentiments
gênéreax,
Eniite
ce
en
trois
actes,
avec
costumes
Empire
de
Enfants;
8"* Veuce Abraham PAINel ses En
de Tcuvre noavelle de M.MarcelDnrey: Sautrenil n'a cessó do vant toute sa vie a'.--p- la maison de Grenier, de Paris.
Le grand suceès : Le Pont Fatal, elnédrame
fants ; M AntolnsQUA8I0N,mobilisé au front,
en
irois
parlies.
et Madame,nle PAIN; *»• Madehir.ePAIN: M.
porter gracieaseaaent Is concours de son
Dimanche 19 décembre, en matinée, 4 2
flox Linder dons Vu Mm-iagc toreé.
MarcelPAIN-, lis Families80NDEVILLE,
614,1
talent è toates les oeavres de charité liavrai- h. 1/2, et en soirée, 4 8 b. 1/2, l'opéreite
Les
Contrebandiers,
drsme
sniéricaia,
ete.
me*, hicouahd. font, savalle. sou mint
ses. Tous lea concerts de bieafaisance le francaise d'Edmond Audran, La Mascotte,
Iff NT. POUPFL NOHOET.ÏROUYAY.PAIN,BA
Les cartes doanbesdlmanstiedernier sent teaioars
tronvaient prêt a co!laborer.
avec ie concours de Mile Mary Lebey. p e- autables.
NIAU.COLLO/ABEL,
LEROUX,les nutrss Membres
Médaillé de 1870, officier de ^instruction
mière chanteuse du Théatre de la GaMó.Oras la Familie tl les Amis,
pnbliqne, membre d'honnenr de ia Lyre Iïa- chestre et choeurs sons la direction de M.
Graviile-Salnfe-Honorlne
Oat ta Couleur de vous faire part de la perte
▼raise, de {'Harmonie Maritime, mem ore du Dufy.
erueile qu'ila vieaaent ö'éprouver ea fa per¬
Emprunt5 0/0. — ExepplionDetlemenf,et poor
jury de nombreux concours de mnsique,
La location est onverte 2 partir de mersonae de
„f"!»''"»
tflfw IE MAHCHAND
; M. Jean LE
recevoir les dernières souseriptions * Temprant,
notre eoncitoyen disparate a l'age de 68 ,ans. credi ponr ces trois representations.
fc BaHiN0.
'!s tamil!e* LE MAHCHAND,
le bureau de la perception, 34, route Nationale,
enievè par nne longue et erueile mal d>e
MonsieurAnabsrt-Louia
MOSDEVILLS
LEBHtT.
LUhEL,
L
EP
IN
AYet
HE
BE
FT, remerLes billets dêlivrés pour les représentare lera ouvert aujourd'bai mercredi, de 9 beures
dont Tissue fatale n'a pn qu'ètre relardée
cient les personnes qui ont bieDvoulu assisSoldal au 929* Régiment ê' Infanterie
iions de samedi 11 et dimanche 12 décem¬ a 3 iieures.
ter aux convoi, service et inhumation de
par Tempressement et le dévcnement de3 bre pourront êire ch tngés ponr ia soirée du
L»s versements avec prélèvement sur livrets ie
leur époux, fils, frère, bean-frère, oncle, cou
soms.
Caisse
d'f
pargne
sent
toujours
adrois.
18
et
pour
ia
matinée
et
soirée
dn
19
dé¬
sin
et
ami,
décêdé
des
suites
de
ses
blessu¬
Monsieur
Louie-AugusteLI MARCHAUD
Moris au Champ d'Houneiir
A Mme Emile Sautreii. 4 ses enfants, 4 son cembre.
res, le 18 oetcbre i0!3, dsns une ambafaace, a
frère Albert Sautreoif, qui prolongent la tra¬
l'age de 32ans,
La niairie de BratteviTe tient d'etre offi- dition familiale ea servant Ia cause de Tart
Et tous prisat d'ossister au service religieus
BOURSE
DE PARIS
qui sera cébibré a sa mémoire, ic samedi 18
cieilement avisée de Ia mor t de M. Aibert- musical, nous adressoes Texpression èmm
FoliesBergère
14
Décembre
1915
ifêeoBibrecourant,
a dis beurss du matte, en
de
boscondoléances.
Heari Vasso, de la classe ISfü, caporal d'iai'église d'Octe'viHe-sur-ifer,sa paroisse.
rauteri a colonials, tombé g'orieugsinejit le
Aujourd'huimercredi,4 8 h. 1/2:
Prist ftieupaw le reposdc sobóme!
23 septeicbre, a Massiges.
JltSQli
AU BOUT
1 Reet!»
Y®yage (FBBSBtlaatiqiie
suspondu
Be sou tee privés siaio ctrtaiae, on an¬
Dsrnain jeadi, 4 2 h. 1/2, Matinee avee Londres.. .
Oa commuBique Is note suivaafe :
(83Ë6Z)
nonce la mort de M. Aadrê Leber, instituDanemsrlt,
Le voyage ds ia Compagnie Générale Revue.
feur-adjoint, ebargó do cotivs complemen¬ Transatiaatique de Bordeaux sur Nsw-Voik,
Cette re-présentalion est donnés a Ia de- Esnagae...
taire, 4 l'écoïe d« sargoas de THótei de Villc dn samedi ü décembre, a été supprimó.
mandc de personnes ne pouvant assisler, flollande. .
M"*EugènaHANIN,sa vtuve ;
Itsiie
de Fecamp. 11a étó teé dans les jonraêes dé
Les correspoadances qui devaient ètre di- pour diverses raisons, aux. spectacles des soi- New-York.
/»»•fagtnle HANIN;
Rn septembre, &fa lète de sa section. M. Le¬ rigées par cette voie sont aciiemiaées sur rées.
M Henri HANIN;
Norvèvc..
ber avait 31 ans. Sergent d infanterie, i! TAnaieterre ponr ètre espédiéss par Ie plus
Location de 11 hemes 4 midi et de 1 h. J/2 Portugal. .
B. ei S" SfaurieeHAIJIN
el lenrFiile ;
avait été précéd«Bast«Et b'essé et avait été pvochain courrier.
4 3 heares.
Pétrograd.
M. M" RobertLASATEY,
nés HANIN
;
preposé pour is grade de sons-iieatenant.
ses
enfants
:
Suéde
Toutefois, les envois recommandés pcrM"
une»
CR
AND
VAL,
sa
belle-mère
:
Suisse
M. Louis Lebarbey, de virviiie, soidat de la tant l'indication « voie Bordeaux, voie franM" eeuoeProsper LE0ESLEet ses Enfants;
Tbéètre-Cirque Omnia
#Iasse 1914,blessé le S3 septembre, est mort ciise » ou toute autre équivalente, ent été
IB.tl M""Ar/nanüBELOOF
et tears Enfants;
I fffijtrfiitw» dit Journal tm MA NAHMS
£
dé ses blessures, i Epernay, ie 3 novembre.
coaservés pour ètre expediés par le puque8. et M" BAH
RO*t isars infants ;
Clnéina
Omnia«Pathé
S
M. Ssa remaaauA a
9
bot francais qui partira de Bordeaux Je 18
8. ut8" 8ar»»l LESINPLE
et leurs Fittes;
Apjourd'bui mercredi, en matinée 4 deux
8. el 8- Henri6HANOVAL
;
décembre.
Cilatieus
« i'lfirdre d» Jeur
I
LETTRES
dk
OÉCÈS
f
hsures et demie, en soirée 4 buit beures, déLesFaailhs BOFOOH,
PAT/HE
et MARTIN,
but da nouveau programme de cinématoSes beaux-frères, belies-seeurs, seveux cl
J
Btytli C tuiM
le Oul
♦
Dó f Armee
M, MOTET MSÏÏ.SJ.r.ö&Bstfjt iï.f.B -TRHit srsphe de la semaine avec h»
aièces,
NAISSANCEt
Lc 4 décsisbre, aans RnEoncions la moré
Marehande
de Fleure,
Ce que Femme
Oat ia donleur de vous faire part de is
Du i4 dèennbre. — CarmaiBOI1AMEL,rue
au champ d'hsnnsnr de M. Ie eapitaine Joparte Cfiieite qu'iis viejment d'éproaver es la
vent
Rigadin célib'toire, Dvpeur dupe. ffiAnsterihz,9; France BIBOIS,rae d'Etre'sS. 33 ;
I7es Ëalaatu
lerbes
' seph Daprez. dn 239» d'infanterie. Get ofiipersoBuo
de
Continuation des 58 yntèvr» de K»w-1orl4
3i«r vient d'etre cité en ces ter mes 4 i'ordre
L'Assccistion nationale des Ophelias de dins ie second épisode. Palkt-Joumal et les Mar»si DÉMA8E, rne öe l'Eglise, 71; Eiiane LE
föoaaicur
Eitgène HANIN
ruc d'Estiaaaviüo, S7.
Je i'armèe :
la Gnerre (Permaaeuce centrale 4 Paris, 40, dernières actnaiitês de Ia guerre teFminent MAR'EC,Ancien
Dresseur
és Cidre du Havre
Le freidet i'bnmidUéessspèreal ionics les affec¬
OfBeicrde ia pias rraade bravoure. «Raïl ius- naai d'Oriéaos) a, comtne on le sait, déeidé ce spectacle exceptionnef.
tions chroniqués des voies respirstoires ; anssi,
décédé ie dirasncae 12 déeembre f'.'jp, a 11
«O'a is témérilé. S'est élascé to 1" octobre 1918i I de recaeibis' innmédiatGaient, quel qua soit
Les personnes atii avaient pris ieurs bil¬
en
cett«>saison, recomtaaBdons-noas ta Poudre
het1res du raaiin. dans sa .30«asoCse,ituri
Le plus Grand Gholx
fass.iut tie trer.eïiêKSallemandfts, s'est empsrê de ieur nombre, tous ies orphehn» «fa ia guerre
lets en location samedi pourront les faire
Louis Legras,ee merveilieux remede qui a obtemi
des Saercmenls de TEgüae,
deux mitraülpuses qu'il s'est' rfforeé de mcltre serbes dins sa section dn Midi (colonies de servir
I» plus feauterécf-Eipecs»b TExposition üniveraujonrd'hui. En cas contraire, les remEi vous pvisirt de bien vouloir assister a
hers de service et a Eiè griÈvemenf atteiat au
Cannes, Juan-les-Pins,
selle ie 1909.Elle sou! se iastantauémeat l'aslhboors^ménts se ferost an bureau ds location
ses convoi. serviee et r&bumatios.gei auroct
moHieat oii i! cberehait h organiser Ie terrain Saint-Jean-Cap-Ferrat,
9,
Bd
de
Strasbourg
itél.93)
me, le esifisrbe,l'esseüMesient, Is tous «!eviebles
Ponpönvuère3 de Nice), oü ils serent euionlieu Ie mercreai 13 coursat, a trois üeures tfu
4 partir de dix heures le matio. Les persoanes
«ertquis, sur iequei, essaite, sa ceatpsgnie n'a pa rés
WOÏTURES
dcu.
47
tl.
bronebiles, ies suites de pleurésie et d'influenza,
des soins les pius tendves et fes pios vi- ayant pris des biiiets d'avance pour ia mati¬
soir, en Tcglise do Bié'Hte, sa psroisae.
se maintesir.
el
guévli progressivemeBt.Uae boite est expedite
gilants, et vivront la même via de familie née et ia soirée do dimanche pourront s'en
Oa
se
réïiaira
an
domicile
mortuaire,
rue
coBtre msndat de 2 fr. 10 adressé 4 Louis Lesras,
Ia famiile da ce brave a ree® de la Croii- que les petits orpbefins de fa guerre fran¬
lean-Weber,
station
des
tramways
RastsuraBt
servir
dimancne
proehain
oa
sa
faire
rem139,HdMagenta, Paris.
Roage ds Geaèvo Ia communication sui- cais. M. Yesoitch, ministre de Serfcie, a réThieuHesi.
bourser 4 voionté.
vattts ;
pondn ; « Messieurs, c'est une bian grande
fri-iM
t'ïf
is
nm
tom
tei'.
Bureau de location or,vert de 10 heures 4
Nous avoss reeu de dsex soidais bavarois les oeuvre qae ceiie des Orpheiins de la Gaer re. midi et de I b. 1/2 4 3 heures.
OECÉS
11 us sera pas sn-rojó do lettres d'inièces et phot&=rapbiesei-iceluses. Les soldats Je ne saarais assez vous proever toute ma
vitatiou. le préseot avis en tenant lieu.
Dl«
i-ADètemlr».—
GORJÜ,
m
ort-Bé,
taasculin,
yOUtCEt
ics espTlcalioassntvautes : * Nous avoas gratitude et mOn éasotion pon? la sponta"t*[""rfyiimTBTiirii'rtf'iMBiB'ffnriMM**
i*irttwroxE
APBÈSotENTREtesHEPAS
rue rts Fieurus, 10 ; Celestiae DELALANDE,
épouroavé hier ie corps d'us officiorfraBgaisappsr- néité de voire offre. An nom de mon gou¬
14.18 (8291)
se V1GOT,42 aaa, sans profession, rno Hélsne, 4;
CBsatoa 230» d'infanterie. Cel officierest tombé
■ii oe'obFs tot.3. Nou*vous prions de faire sa- vernement et de toute la nation eerbe :
Reymoed LE KOEL,1 an, rue Persaaviüe, 9 ;
Marei f »
ir sa mort a sa famifie.»
Sur ïe Front
!
Slsre BERURE,19 ans 1/9, jouraaiier, rue des
les dispositions en eonséquenee
8" Emile SAUTRENIL;
Mos Bteseén
£
Remparis, 16 ; Augustine GtiLLEMARD,11mois,
".e eapitaine Duprez, parti, iors de Ia rno- ontTantes
été prises d accord avec M. Vesaitch et
8. EmtieSAIJWéUIL,soldst au 94«terrilorial,
Ko# Prisoiiniers
I rue du Lyeêe, 4 ; Gélesiiae LEFÈV'RE veuve
'sation, eomme lieutenant de réserve, !e gouvernement serbe 4 Scutari. Le pre¬
et
8" EmUaSeUÏBEUIL;
Hl'ET, 73ans, saas profession, rue de Normanété proma capitaino ea avrii 'dernier.
8. et 8" MarcelSAU7MU1L
et «,!*Ctaudtns
mier
convoi
des
enfants
serbes
quistera
in1
4,
rue
Edouard-X.ai'uc,
11
die,
925;
Jean
DUVEtifss,
7
4
ans,
terrassier,
rae
ut aacien éiève de l'Eeole primaire su- ctssamment Athèues ponr Marsetlie oü one
tear Fill»;
de Mofitiviltiers,73 ; Eueèse RICHER. 8S ans,
nre du Havre, ancien éiève de l'Eeole déidgation de petits orpheiins de la guerre
«"• cease BenéSAUTRENIL
;
Ge soir, a S henres, débnt dn programme
journnüer. rne des Gaiions, a ; MarisSAIZ,êpouso
rts et métiers de Liiie, et ingénieur aux i frangais ira les recev6ir 4 fa descente du
8. RobertSÉRNAGEO.
j eigent a lïBlendance,
soivant
:
LAPOiHTE,26 aas, jouroal er®, piage des Haliestiers Mormand du Havre,
8" Robert BERAHSER
et leur Fits :
batean.
On demande un candidal (comfqne) ; Captain C -Dirsies.14; Eugénie DESANAUX,épouse RÉ8- Jean SAUTRENIL,
caporal au 236*d'infan¬
abitait SaiEt-LaoreiR-öe-Brêvedeni, oü | La prochaine permanence de l'Association
Kate
(aventure)
;
Premières
Amours
(semiterie ;
MOND,28 ans, journslière, ruö Frédéric-Belianère exerce les fonetions d'institutenr.
nationale
des
Orpheiins
de
ia
Gaerre
aura
mental)
;
Polidor
presse
(ioo
rire)
;
Snob
Pro8"
et
Cés/IeLEBOUT;
g>r, 10 ; Emiie SAUTREüIt,,66 ans, professeur de
ï femme celles d'institutrice.
Ii faisss
HYGIËNE
samedi proehain 18 décembre, 4 i'Hotel prio (conaiqne) ; I, A PJLAfE
TIDE
8 Albert SAUTRENIL
;
tnusiffiie,rne de I'«ris, 131; Gornélie LAMBERT,
x enfants ea baa-age. Notts adressons 4 lieu
8. Louis HEVEL,soldat au C. 0, A., M"
Moderne.
Les
inscriptions
des
petits
orphe¬
(grand
dratue)
;
Camille
empoieonné
malgré
épouse ABDE, 72 ans. sues profession, rue
femme épiorêe nes plus syrnpathiques
Louis BEVEL
a leurs laf bats ;
iins y seront recues, ainsi qu? les adhésions lui ! (comiqus).
Thiers, 07.
ndoiéances.
LaFamilieBAHOUY.
Ds Parents et les Amis,
4 TAsaociation. Les dons en espèces et en
Orchestre suns !a direction de M. G. Fleary.
HILITAIKES
Ont la dmiüeur de veus faire part do perte
Le générai Iléiy d'Oissel, commandant Ia nature seront êgaiement reerts avec nae
cruelKJqa'ii, vicaucst U'Opruuverco ia per¬
TROXGHET
(Albert!,42 ans, soldat au 13* barégion fortifiée de Dunkerque et le . .« profonde reconnaissance.
™ , ,, O
«lil
sonae de
(aiti-jjietechasseurs a pied, ctsiaehü ans ateliers
Pocaette^#! ^0
Pharmacies
Corps d'armée, cite 4 l'ordro du jonr de l'arSchneider, dinaicilié a La Bazage(Ssrthe), Höpita!
nsêe i'ofiicier d«s équipages de la fiotte
Woosieup ErnHe SAUTREüiL
Pasteur ; PECQUET(EdraoBCh,29 ans, soldal au
Emiie-Georgss Devisse, du f« régiment de
Exiger Mam* VïOHY ÉTAT
Professeur ds 3lus>qite .
TT* rfiginrcHt rte drcife'oag,
cms «tK>!fcrv
fnsiücrs raaring :
Cl'sanrsre ct rEgiïsc Saiïïc-rmes-nt-de-Paul
Schneider, domicilie a ooafreviile-SOreher, Hos¬
Officierde UnsDuclto-t publiqus
Officierti'ans aaiiviié et d'ime énergie exern- J
pice Générai ; MEitTENSHenri), 2S ans, soidat
Médailléde ÏO-71
blaire, hlessé trés gfièvemeBt, les deux jambes j Tm Iftaelie
(rappe
deus
Beiges
et
de
2»eiasse,
détacheiuenl
des
ou
vriers
d'arliilerie
VOULEZ-VOUSVOIR BIEN CLAIR
aécbiqaelêes par ua ofcQ3,a continué é douner j
leur
êpoux,
père,
besu-père. grand-père, frère.
N'uscz poar volro J.,AHl*E DE POCHE que
un
Mareeain.
aricée beige, Ilospiee Générai; MARAISiEugène),
ses or.Jres su sjrougeda ploaniers qa'il eomman- |
oacie. cousin, décédé le 14 décembre 1913.4
Is pile marque 1LA. LLMIÈRE
ï' O 2; k
tlaü Jasqu'4 ee que t# service fut parfaiieaienl as- I Ua moment d'émoi s'est produit fundi
33 ans, soidat au 28*régiment d'infanterie, détaebé
une hecre du matin, dans sa es«annêe, muni
tors.
Eile se trouve dans toutes les bonnes
suré : atupctó <Subo cuisse.
aus ateliers Schneider, dofcicilié a SonfreviBc.
des sacr«3mep.tsde I'église.
soir, entre six et sept heures, dans Ia rue
maisons. Venteen gros, 7, ruc St-FloroBtin.Paris.
l'Orcher (Sdne-Inférieurc) ; THüNE (MarceU,24
i M. Eroiie Devisse, a été déeorê Ie 23 no¬ Baxan.
Et V033prient de bien vouloir assister 4 ses
11,13.15(3549)
Com*s gratuit «Ie pltotograpliie.
— Ce ons soidat au 13»régiment d'arüllerie, doniicilié
vembre par S. M.ie roi Albert I«, en pereonvoi,
service
et
inhumation,
qui
auront
Cette rne, si souvent Iroublée par lea soir
ttiererodi,
de
8
h.
3/4
a
9
h.
3/4,
au
local
de
lieu te jeadi i@ courant, a nest heures du
sonne, an litre de Chevalier de i'ördre de agressions de toutes sortes q»i s'y commetla Société Ilavraise de Photographic, 18, roe Gus- au Havre, rue L'misrline, 43,Hospice générai.
matio, ea Téglise Ssinl-Vincent-iie-Pauf.
léopold .
tént 4 toute henre, venait d ètre ie IheAtre tave-Flaubert, cours graiuit, par M. LscaiPe. Su¬
Le bénficiaire de cetio éfeciense eilation d'une nouvelle seèno de sauvsgerie.
On se réuoira 4 i'Egiise.
jet traité : LeRevfarcemet.tdfs néqaltjs : I' par Ie
est le frère de M.A. Devisse, géamètre-expert
Spécialité
de XXeu.il
Sans avoir été provoqoé
le moins du oteklofure de mercure, £* i'iodure meren»ique, els.
PfilïSimpaf!»fSH!
feI0Biat!
Le même cours aurs lieu ïe jeudi aietio. de
4 Criquetot-TEsneval.
monde, un jeune apache s'était jelé furienA L'ORPHELÜUE,13 15, rue Thiers
10 h 1,2 a II h. 1/2, pour les dames el demoi11 ne sera pas envoyé de iettres d'insemest sur deux soldats beiges qui pas- se;les
Bfittil eompfót en li"*beu re «
vitation, le présent avis en tenant lieu.
saient et un sujet marocain. I! avait réossi a
Sar demacde»cno persoBseiaUiée au denii poriek
S'inscrire au IWal, a l'heure des eours.
cboisir 4 öoieicile
les b'esser tons trois a coups de coutean.
Lo Marocain, noramé Mcktar, 4gé de 21
TELEPHONE 93
Les souseriptions eont recues lans asiKerersdl.. 13
ans, jonrnalier, ree.trait a son domicile, 37,
fun fp«is chrz ;
rne Bazan, lorsqa'il rsyut un coup de cou¬
tean dans les reiEs. Oa dnt le transporter 4
8"' AlfredBURGER,sa veuve ; 8"" Ray¬
niopital.
monds,Ida et Lueienn»BURGER
; 88 René et
Service des Eaos. -r Avrii cl'eau. — Ponr
9. ruc de la I'als,
ILe Havre.
Quant aux deux soldats beiges, Van Mayl- répsrstion d'un robinet de borBc-fontaine, la con¬
Nartel BURGER,
sas enfants : #"*• Anna et Ida
der et Jacques Cloots, ils reijurenj s ie pre¬ duite d'eeu dc in rue Mlchel-Yvon, sera foraée
BURGER
, 8. et 8a' EdaaardBURGER,
ses soeurs
Décembre
8. et K" DOUVRY.
ses père et rnère; 8.
et frère ; 8. st 8 *• HenriHERTELet tears en¬
Woisalaallüïi
mier un coup de conteau au-dessns de i'oei! aujourd'hui a 10heures du matin et pendant qutiRené
BOUVRY,
su
366'
d'infanterie,
selneüefants ; 8 et M*"LESAUrHOtS
et tears enfants ;
ques heures.
droit,
le
second
un
coup
de
Ia
même
arme
Nous relr-vons 4 I'Ofjicitl, ia nomination
tu.-fii n;i front, son frère ; 8,u' Jeanne et
8. et 8<" GeorgesHERTELet leur FUie ; 8 si
LouiseBQUVRY,
ses soeurs; 88. Louiset Gas¬
tm grade de sona-lieHtenant.l'aspivant Pierre dans ia baache gauche.
8" MauriceHtRTEL.s s heaux-fiéres et beltesOn
pense
qua
ces
diverses
blessures
ne
ton 03UVRÏ,ses frèr- s ; 8. EmileDOUVRY
et sa
Eiöy. Le nouveau prorna est ïe fits de notre
seeurs ; 8. SbrephmHERTEL
; 8'-' oeuaeAVISFilie; 8 PrudentDOUVRY,
s -.s enc-ns et con¬
SE. sps obcS's et t<n>e; Les Famtths BURGER,
aoncitoyen, M. Geerge» Eicy, assarenr, qui a metient nuilement en danger ia vie des vietimss.
fine
;
8.
EdmondSI0OH
et
èes
Enfants;
8"
LECOHTE.
MÖHSCH,
BRASSEUR,
BARUBE,
GANO. Vendred!..17
sixds ses fils mobilises, dont un, béias ! est
ceuooARGENT/N,
nés SiMON.et ses Enfants;
L'anteur de cette iache agression fut bienBOURBON
; M. le Dirgsteurct le Personnel ass
dispara depuis le 22 aoüt 1914, et na autre
8~" osuss SI80N et ses Enfants; les Families
goelété Mntoelte de Prevoysnce des Eai
Ltablisssments Schneider et C*, la Familieet
töt désigné a la police pour ètre un nommé
Décembre
prisonnier 4 Müncheberg.
BARUU, 8 AIRIERet OuTEUBTRE,
ployés de i'omuierce, au aiêge eoclai, 8, roe
les Amis.
Nous adressons au jeuns officier et a sa André Cavalier, agé de 17 aus.il s'était réfogié Oaligcy.— fAisoiionon• 220.
Oat
'a
douleur
de
vous
faire
part
de
la
perte
Ont
la
Couleurda
vous
faire
part
de
Ia
perte
dans Tiramenbie portent le numero 32 de la
fömiüe nos bien sineêres félieitations.
erueile qu'iis viennent (I'éprouver en la pererueile qu'iis viennsat ö'éprouver en la perCou • Techniques commerciaux
rne Bazan, en apereevant ies agents lancés 4
socae de
sonne de
sa poursuite, et e'est au denxième étage de
«-ours du Merci'odt
Teasgé du Keuvel
Au dans Ie* Eeecetie maison que les policiers parvinrent 4
Monsieur André DOUVRY
Umm Aiirefj-Sysiave-Désiré
BURGER
Droit Commercial (Pref. M.' Eude, avocat au
tea haoras pia«S4««sd'an ute,
fes priissaive»
élémentaire»
et l'arrêter.
tse fièpwts poaroa its b JstAsbarresii du Havre). — 1" aunèe, de 8 h. 1/4 a
Capi-relau i50' d'Infantiris,
Deainateur aux EtobhsiementsSchneider
m«iev-aci5w».
Ajors qu'on le conduisait au poste de poiice 9 h. 1/4.
Cité u l'Orére du Jour de la Brigade,
décédé
accidentellementle
II
déeembre
1913,
Espagnol (Prof. M.E. Vassia, vice-consul d'IlaBècorêde la Croixde guerre,
M. le ministre de {'instruction psb'iqne a de la rue des Drapiers, ii fut un instant arraa to heures du matio, dans sa 50*annêe.
ie|. — ir' anoéei, de 8 b. 1/4 a 9 h. 1/4.
Et vous prient de bien vouioir agister Ases
actorisê M. le préfet, eomme i'an dernier Cbé des mains de ceux qui Ie enndnisaient et
tué
a
l'euüeiai
Ie 26 septembre 1913,dans sa
Ia
loule
voulnt
lui
faire
un
mauvais
parti.
li
convoi, Bervtce,et inhumation, qui auront lieu
La
Soclêtè
se
charge
de
procurer
a
MM.
les
Nego¬
st ponr Ie même mo»if, 4 donner congé aux
21*année,.
ie jeudi 16courant, a netrf hfures du maltn,
êcoles pubiiqnes dn 24 décembre an 2 jan¬ s'en lira avec qnelques hortons, g ace 4 la tiants, Banquiers et Courtiers, les employésdivers
Et vous prient de bien vouloir naaister a ia
en 1'èKÜsaSaiat-Lêon, sa paroisse.
i#at iis auraient besoin dans teurs bureaus.
Le st. fr. Iiermioe, ven. do New-York,est arr. a
vier, ia classa du vendredi 24 décembre de- protection des agents.
raesse
qui
sera
dile
en
sa
mémoire,
!e
veaLe chef du service se tient loua Sesjours, A la
Bordeaux le tl ö«;e.,a 19 heures.
Dans le poste, André Caveiier fut formsiOn se réunira au domicile mortuaire, 10,rue
vant être reportée au jeudi 23.
dredi 17déeembre iSto, a neaf beures du maBourse,
de
midi
a
midi
et
demi,
A
Ia
disposition
Le st. fr. Cautcnac, ven . de Grimsby,est arr. è
de l'Observatoire.
lemenf reconna par ses vie imes. Comma ii
lio, en Tégiise Saini-ViEoeiit-de-Panl,sa pa¬
des sociétaires ssns empioi.
Dieppe la tl öéc.
parait être de la bande de ceux qui n'aPfin6ÏS1558?ISast» U 839llil
roisse.
Le
st fr. Amiral-blieUy,ven. de Haïphong.etc.,
vouent pas, ii a nié avec aplomb, maïs ses
Enseigneaiant
primaire
11.rue Pauï-Lueas.
II ne sera pas envoyó de lettres d'invieat arr. a Marseilleie 11déc.
Sociélé «les Anciens ïliiifaïrcs Colonianx
dénégations
ne
servent
de
rien
en
prèsence
tatioa. le présent avis ea tenant lieu.
Le et. fr. Iloniurm est passé au cap Spartel lo
Gfit été noramés :
i,83ö2z)
des accusations précises des témoins aai — Reunion génerale aujourd'hui mercredi 15c.;u
19 déc.
rant, e 8 b. 3n du soir, a l'Hötel öc Vilie, Salle I.
lüsUluteurs et Instituérices
ont été entendus par M. Ganthier, cemmisLe st. fr. Léoville, ven. de Dieppe, est arr. 4
Paiement des cotisations.
Grimsbyle to öéc.
Adjoinie au Havre (Renouf), Mile Savary, saire ds police de la 2« section.
Le st. fr. Péroei,ven. de Sainl-Nazaire, est arr.
adjointe a Graville (Centre), en remplace¬
Caveiier a été mis 4 ia disposition du par¬
8 et Af" GeorgesPIERRE,nés HUET ; 88.
AColonle 12déc , a 10 beures.
ment dc Mlie Arznr, mise en congé sur sa quet.
Pauhts, Maxime et André PIERRE,s>s petitsLe st. fr. Quebec,ven. du Havre, ete., est arr,
4emande.
***
fiis ; Ds FamiHesHUET, LEFÈVRE
et PIERRE,
ASsn Jusn <P.-R.) le 12 déc , a ie heures.
Adjointe 4 Graviüa (Centre), Miie Chsmin,
Lo nav fr. Dlrppsdatle,ven. d'Adelaide,est arr.
Out ia douieur de vous faire part de la prrte
Dans Ia soirée, un peu avant minuit, une
adjpinte a Yvetot (cours complémentaire).
a Honolalu le 10 dèe.
De» als fnurs de Kew-lterh
crueUe qu'iis vieaoent da faiTe en ta perfilie pubiiqoe, Marthe Barnier, agée da viogtsoime de
Classement tinal
sept ühs, demenrant 9, rue des Gaiions, a
été frappée d'un coup de conteau 4 la hanNew-York, 12 déeembre.
Madams
veuvs
HUET,
neeLEFÉVRE
che droite.
L'équipe Iliil Grenda s'est ciassée première,
décédée
a
i'age
de
72
ans,
Ie
13 décem re, a
Elie vint réc'amer dea soins au poste des ayant couvert 2.770 miiles ct buit tours, soit li
cinq beures du soir, muaie des saeremeius de
Les souseriptions sont revues sana frais : Drapiers et déclara qu'eiie avait été assaiilie ffi'Des et six (ours de plus qu'en 1914.Viennent
— Hecteur 6 » 69
l'Egltse,
KLEINE
MEN
par trois individus qn'eüe prétend ne pas ensuite : Mac F»msra-Spears,Magintawrane et
—
»
0 » 70
Et
votis
prient
de
bien
vouloir
assi3ter
a
Thomas
Rynr,
Esg.-Dupuy,
Caton-Madden,W»I4«Cöfiiptöir
Naliöüüi
d'ËscöDijile
dcParis connaitre. L'agression se prodnisit au mo¬ thom-Vran, Haniey fiatstead, Drèbacb-Garry, Sé—
»
1 » 60
ses
coavoi.
service
et
inhumation,
qui
au¬
BASSE
SEN
ment oü ede pénétrait dans J'ailée dn n° 17 rés-Linart, .MittCa-ilanson.
—
»
2 » 43
2, Rue de la Bourse, 2
ront lieu le j*tidi 16 décembre, & dix heures
de ia rne de ia Gift's.
Leverdu Solell.
et demie du matin.
P.L. 21 déc. A 13 h. t
An
(h'étill
Lyonitais
La blessure qn'eile parte n'est pas grave.
D.Q. 29 — A 13h. 8
Gone,dn Solelt.
Le
convoi
se
réunira
a
l'HospiccGénérai,
ruo
Lev.de1*Lnae.
N.L. — - A -h On la fit néanmoins transporter 4 l'Höpital
24. Place de l'Hötel de-Ville, 24
Toatball
-Af seehf ian
Gustave-Eiaabert.
Condol» Lone.
P.O. - - A - b. —
Pasteur pour lui donner des soins.
H,
4.
C.
bat
Military
Police
F.
C,
II
ne
eera
pas
envoyó
de
lettres
d'inA la Sociélé
öéitérale
M. Jenot, commissaire de police, a ouvert
■par 9 a 2.
vitation. le présent avis en tenant lieu.
Uns enquête.
2 et 4, Place Carnot et 122, Hue de Paris
Aprè' une partie rondement aienée. tes Hsvrais
ont irioaipbé da pnissant team des « Policemen »
La Dharmacie-Drogneria
AT FI DOK par 9 buts a 2.
Rio-iTAPESfi*iM(s). — Lisbonne,10 déc. : Le st.
IVécroIOBÏe
Bien que plus légers que leurs adversaires, les
®'#B
vend et vendra toöjotirs le meilteur
brés. liio-Itapsmirim,ven. du Brésil, a relêchö
« ciel-foncé » surent imuoser leur jeu psr leur
8" VsudbAlbertPOTEL.
'nee HUGH
ARB;
marché.
M. Emile Saulreu.il pers
ici, «ysnt son gouverMil et ion servo-tnotear
science et ieur Vitesse ' Les Angtais nésnmoins
8.
C/taries
POTEL.
h
uissier
de
In
Bsnque
de
eadomruugés.On a commencé aujourd'hui ies
firent queiques écbapDées,qui leur permirent de
Noes apprenons avec regret ia mort de
France
a
Trouvitte,
et
M"
CharlesPOTEt;
reparations, «lies seroot terminées dsns chiq ou
sauver i'hcDneur.
U. Emile Santreuil père, piaaisie-composi0. st 8" HUCHARD
;
six jours. II cc sera pas nécessaire dedébarquer
Au M. P. F. G, 5'arriêre gauche se distingua.
OBSEQUES DE MILITAERES
leur.
8. Robert POTEL,caporal au 36*dïnfshterie ;
le cbsrgemect.
Au H. 4. C. toute l'équipe fit preuve d'une
Et tear Familie,
C'est une figure liavraiss bien connne et
STAROF.VEWZEALAND
(8».— MoUM,10 ÜéC.*.
cohesion e! t'aiie droite Accard-Bcllse fit
Les obsèques du soidat Charles Dumoih grande
bien sympathique qui disparate n'emportant
Remcrcienl bien sincèrement les personnes
Le st. ang. SUr-of-Nste-Zeuland,échoué prèa
partieulièrement remafquer.
chel, da 129ed'infanterie, domicilié au Ha¬
que des amitiés et des regrets.
qui
leur
ont
fémoigné
leur
sympathie
ea
pred'ici, se brise.
Avant ce maich, 1«vailiante équipe seconde du
nant part A la douleur qu'iis éprouvent du
issa d'ane vieiiie familie originaire de no¬ vre, rae du Générai-Lasalte, 9, auront liea club doyen se lit ballre d" justssso par J'ASFB ;
décés de
ire vitte et partni taqueiic ie cuite de la mn¬ le mercredi 15 décembre, 4 8 h. 1/2 du ma¬ ce ne fut en effet qu'a ta aernière minuie que ies
sique élait une tradition que ies génératiODS ting l'llospice Générai, rne Gustave-Flau- « blanc et mauve » réussirent a msrquer un bul
Albsrl POTEL
chanccux qui leur assura la vicioire.
poureuivaient fidèlement, Etniie Sautrenil bsrt, 55 bis.
Adjudant
mitrailleur
au 205* Infanterie
laisaera le souvenir d'nn cceur excellent et
Les obsèques dn soidat Edmond Héouet,
DccUur en droit. — Huissier au Havre
VS*, is
Décembre
Nsvires Bntré»
d'un esprit foncièrement artiste qui servit du 27« régiment de dragons, domicile 4
Patronage Lctique de Gracilis. — Jeudi soir,
réunion a 7 h. t/2. chrz M Testard, boulevard «Ie
tombé gtorteuaeraent A l'ezmemi, Ie 16 sep¬
rart avec tervcnr et dignité.
U St. suêd. EU*
Baitiqua
Gonfreville-i'Orcher, rne de la Verrerie. 29, Graviile,pour
les joncurs de footbsii.
tembre 1613,a i Agede 32 ans, eilö A l'Ordre
De iotsguM années eoosacrées an prolessoSwasseA
— st. fr. Vüte-de-Caen,Clouet .... .
auront lien le mercredi 15 décembre 1915.
da
Joar
de
la
Brigade.
Lesjoueurs
de
ia
3Ȏquipe
sont
sfcciaiemcBt
Soniharoo'oa
— st. «eg. Herneem»,fielt
?at, ses fcncUons «l'organiste 4 i'égiise Ssint- 4 10 h. 1/2 dn matin, 4 l'Hospicc Générai,
convoques peur le dêplacemeitl de Bolhec. Prix
...Liverpool
— St. Mg. Topa»
SRneeitFde-Paal
oit, depuis (rente-deus una rne Gustave-Flaubext,
itöbit.
du voyage 1 fr.
—it. fr, Gttetsau-Pélntr,
fiexeeh.. Bordeaux
Petit
Havre
LA CANTINIÈRE
DE SAMBRE-ET-MEUSE
ÉTATCIVILDü HAVRE
LaTempèrature
et la Santé
TiSSANDIER
JOüETS-i-llREHHES
delaBoucherdei'Estomac
Conférences
ei §qujs
MM.BAERIÊ,GHALOT
et C°
$§mmuatcation§
$ trmss
Mortau Champd'hcnneur
§uMis dss SsciéiéM
§uilêün des Sports
Mort'au Ghampd'Honneur
I
ILf Petit Havre — Mercredif5 D&ftmBre1315
Pendant
1
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d.ö jj'oi©
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PAR
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de Maladies
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ET TOUTESPHARMACIES
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HÖRAIRE
RUSERVICE
1" Séeeaibre
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Pour réoandre A !a demands d'un
| grand nombre de not Leoteure, nou»
) tenons A ieur disposition, sur beau
papier, le tableau oompiet des horsires
1du Chemln de fer. eorWca mod ill6 au
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1916.
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effectuaut un parcours d'au moius 50 kilom. e« ï» classe ct 80 kilm ca 3' clan»
Par exception, il» prennent sens coodiUsu de panaiur». los vwagear» de ï» et SJ
elaxse e« pi-oveaance ou A destinalton des embiaiieliaweats wunis d'un billet «brecfc
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