JH é-^fcPaeresy SS"Snnfè— f IUH Aémia ïstfatsw•Délépié -Géraa! O. RAN DO LET ggaewaiin. lapressisns iti&ssncas. TÉL 10.1? 85, Rue FontOielle, 86 Adnasa Télêgrapbiqua: EA1TD0LBT Haw» abtnowce# r Le Petit Havre Bureau du Joursax,, US, bool' de Strassourg. L'AGENOEHAYAS,6, plftsede la Bourse, est seule ohargée de recevoir lee Annoncespour A PARIS ie Journal. tl PETITHAVRE ut déslgntpourtot Annenaas Jadialalraaut liga/et AU HAVRB J Cwifimfs —IWTWmIIATW —5Cnrttaes f-S Pages) "ssm&m ORGANE RÉPUBLICAIN DÉMOCRATIQUE Le plus fort Tirage des Journaux de la Région Les«Indésirables » 1_A GUERRE Hmfcêi15 f!M!> KT RÉDACTEUR SN CHBF &«J. CASPAR - JORDAN Téléphoae t 14.SO SeorêtftlraGénéral; TE VALLÉÏ Ródaction,35, rue Fonteneüe - Tél. 7.30 ABONNEMENTS ïhois Mors | Six ilois ÜN A* Le Havre, la Seine-Inférieure, l'Eure. SO] O Fr, * 8 Fr. l'Oise et la Somme Autres Départoment» ....... » O Fr. i 1 1 so S2 Union Postale ...?. . «O leo Fr. 40 Oni'abonnaégalemant,SANSFRAIS,danstoustasBureausdePosh da frnnos j question des neulres soit d'une extréme délicatesse; mais il est des sujets neutres dont la présenceparmi nous constitue un dangeraussi réel que s'il s'agissait de su¬ jets appartcuantaux nations beitigérantes, .- La question des étrangers résidani en 49Gi JOXJ-^tTSTJESiaï [Trance,de la situation qui leur est faile, a un momentsurtout oü l'Auslro-Allemades raisonsqui ont fait suspendreImpli¬ gne dépioietoute son habiletéa exercer sa cation des mesures de defense en faveur propagandepar la voiedes pays neutres, » II y a, sans doute, beaucoupde vrai dans de certainsoriginates des pays avec lescette opinion,commeil y a peut-êtrequelqnels noussommesen guerre,n'a pas cessé depuis le début des hostitités d'etre l'objet que chosede fondédans les dénonciations personneües de {'ActionFrancaise. Mais, de controversesnombreuses. La Population haA^raise s'associe au deuil Paris, 14 Décembre,15 heures. tière qu'aucun soldat bulgare n'a en Certainsde nos confrèresqui, avant Ia puisque le gouvernement annonce qu'il tient les listes de permis de séjour a la 'guerre, déjè, avaient protesté contre les Aucun événement important a si¬ core franchie . de nos amis Beiges trop grandesfacilités accordées selon eux dispositionde ia presse et qu'il sollicite gnaler. ainsi son concours pratique dans l'oeuvre ,aux étrangerspour séjourneret commercer cheznous, ont continué a affirnier que la de defensecontre les « indésirables», il ne Paris, 23 heures. Des renseignements complémentai vigilancedu gouvernementne s'était pas doit plus s'agirde critiques vagues,ou d'ac Le Service Furtèbre rnrler, Vigné, JenneqBld, Valentiu et BaSur divers points du front, la lutte !suffisammentexercée, et que trop notn- cusalions imprécises. G'est le devoir des d'artilleri© assez intense a tourné a res permettent d'établir que les per dooreau, adjoiots.et les membres du Conseil journalistes, qui ontjnené ces campagnes, tes causées a l'ennemi par notre bom Les funéraiües des viciimes de l'explosion municipal ; Morel,premier adjoint, r9mplis,l)reux élaient encorea l'heure actuelle les qui a détruit ia poudrerie beige, ont eu bier sant ies fonctions de maire'*de Rouen, ei sujets ennemismunis de permis dc séjour de répondre a l'invitation de M. Malvy, notre a vantage. Nos batteries ont dis- bardement du 12 ont été considématin un caractère véritablement grandiose plusienrs autres adjoinls ; de Querhoëit, ou ies neutres suspects. L'un de ces publi- d'aller consuller ces listes et, s'ils eroient persó un detachement ennenai sur la rables. et profo&démentémotionnant. maire da Sainte-Adresse; Thomas, adjoint, v voir des attributions inaliieureuses ou route de Villers, dans la région de (Cisteseonsacre mèine presque quotidienUne foule considérable dans laque'le se remplissant les fonctions de maire 4 Gra Au cours de la journée du 13, l'arnementune ou deux colonnes de sonjour¬ abusivesde permisde séjour, de les signa- Roye, et bombardé aveo succès un tillerie turque de la cóte d'Europe et móiaient a nos concitoyens toute la colonie ville-Samte-IIonorine ; Gapelle, maire de beige et de nombreox anglais, s'était massée Gonireville-l'Orcher; les secrétaires génénal a de virulentesattaques eontrc certai- Ier au gouvernement. convoi vers Thaescourt. celle de la cóte Asie se sont montrées snr ies trottoirs des différentes voies que de- ranx et chefs de cabinets des ministèret nes personnalités du monde commercial, S'ils ne le faisaient pas, on serail fondéa En Champagne, a i'Est de la butte Tait suivre le lunèbre convoh et, profondé- beiges. trés actives. industriel ou financier qu'il accuse de ehercherderrière leurs articles des préoc- de Mesnil, un tir bien dirigé sur les ment recaeiliis, a assisté dans le plus impo¬ MM. Patrimonio, président dn Tribunal Nos canons ont efficacement risant silence au défilé des chars et des trou¬ civil ; Reaugrand, procureur de la Répubün'être que des agents de l'Allemagne, ou cupations d'ordre politique, antérieures a ouvrages ennemis du bois Marteau, a pes qoi les escortaient. que; Guitteau, substitnt ; Lafaurie, prési¬ même—plus simplement,sinon plus pure- la guerre, ou a y voir des manifestations provoqné une forte explosion suivie postê. De tons cói s les magasins avaient clos dent, et G. Fiagollet, juge au Tribunal de chroniquesd' « espionnite». Sous la protection de leur tir nos ment — desAllemandsinsuffisammentmaleurs volets en signededeuilet les drapeaux commerce: J. Couvert, président, et plu¬ D'autant que Ia matière est cssenlielle- d'un incendie . troupes ont perfectionné leurs défenses quiilés par une trop récente naturalisation. ilottaient 4 mi mat sur les édifices publics, sienrs membres de la Cbambro de commer¬ En Woevre, au cours de tirs exécu- en les renfor^ant par de nouveaux ré- aux fayadesdes maisons particulières et aux ce ; J. da Vigan, secrétaire général de !a II aurait mèmetrouvé un de ces derniers ment délicate, fertile en cas spéciaux, et matures des navires, Clnmbre de commerce ; Rimeiot, président parmi les maires d'un de nas départements que i'on risque, a tout instant, d'y com- tós dans le secteur de Limey, au Sud seaux de ui de far. Pendant toute la journée de iandi et une da Syndiiat général du commerce et de ('in¬ mettro des injustices. Témoinle cas de ces de Thiaucourt, nous avons pris 4 parti jiiormands. pirtie de la nnit, les infirmiers avaient pro¬ dustrie ; Doliveux, inspecteur d'Académie ; L'opinion publique n'a pas manqué deux étrangers, que signalait ces jours-ci une batteris allemande dont les abris cédé 4 la raise en b ère des corps. Berson, provisenr du Lycée; Risson, insuecIe Petit Journal, et qui, l'un Arméuien, Les crrcueils étaient ensnite rangés dans teur primaire ; Ducroeq, ingénieur en chef •d'ètre émue par ces dénonciations,d'autant et les casemates ont subi d'importants ia grande cour couverte dn I.veéa transfor- des ponts et chaussées : Le Garrié, directeur qu'elies émanaicntd'organes apparieuant l'aulre Grec, mais tous,deux sujets tures, dégat.s , en chapelie ardente. des douanes ; Vi froid, directeur des fabics : li Uéccmbre. mée a toutes les nuancesde l'opinion. ï Action se voientde ce dernier fait refuser la natu¬ Dans les Vosges, au Ban de Sapt, Dans ia cour voisine, quinze prolonges Olry, receveur des téHgraplms : Sigandy, ralisation,alorsqu'ils se sont i'nn et l'autre Actions d'arülierie assez vivss sur divers ,Frmmise, l'QEuvre,ie Rappel,ia Lankme d'artiüerie avaient été amsnées pour être iogéuieur en chef des Forges et chaatiers ; en réponse a un violent bombarde¬ points de notre front. disposées en chsrs lanèbres ; sur chacnne Marzelie,rccavenr des postes ; lfubert, di¬ ;notamment. On s'esl dernandési vraiment engagéspour la durée de Ia guerre, et ont ment de nos positions de Fontenelle, Nosbatteries bóuleverseat dos boyanx de d'eiles sept a huit cercueils iurent pla- recteur de la Binque do France ; F. Purin, ,Jes pouvojrspublics s'étaient laissé endor- été l'un et l'aulre grièvement blessés sur communication et rédnisent au silence l'arcés, recouvorts de drapeanx des nations inspecteur général, et Ronot, directeur des [Tnlr£Upoint de laisser ainsi de nombreux nos champsde balaille. Ne semble-t-ilpas la riposte de notre artillerie a provo- tillorie adverse qui, de Luyghen, avait ou- aliiées. ^ Agences Gontinentaies E iropéennes, de la qué l'cxplosion d'un dépdt de muni¬ que leur sang versé pour nousdevrait leur vert le feu snr nos lignes. « indéslVh.bles » s'oecuperde leurs affaires Des massifs de verdure masqnaient Ie de- Commercial Gable Gompinv ; Ilausemann, En vne de La Panne, un avion allemand a vaut des voitures et les innombrables con- receveur honoraire des lin'ancés; O. Han<<— qui étaieni vraisemblablementcellesde être un titre suöisant pour obtenir cette tions a Laitre. été deseenda par un appareil ami et est ronnes, garoies de rnbans aux couleurs des doiet, administrate!,r-déiégné des journaux 'l'ennemi — cepèï^ant que nous étionsen- naturalisation,seule récompensequ'ils soltombé en mer entouré de fiarnine». donateurs, envoyées de toutes parts, vinrent Le Havre et Le Petit Havre; Albart Dnbosc, Ce matin, une de nos escadrilles gagés dans une lutte lelie que toutes les licitent ? compléter Tornementation des véhicules. président de l'OEuvredes mutiles de goerre; Or les diilicultés qu'ils éprouvent pro- composée de onze avions a lancé de La conduite de treize de ces voitures int le Comitéde la Groix-Rooge,représerdé par mesuresde pi'écaulion, nitffpeles plus sévieiinentde la lettre, sinonde l'esprit de ia nombreux obus de 155 et de 90 sur conüée 4 la cavalerie anglaise, les deux au¬ Mmes Lerch, Perquer et Génestal, MM.F. vères, sont absoiumentindispeh^ables. tres étaient dirigées par les artifieurs fran¬ Perqusr et Evrard ; les officiersd'état-major nouvelleloi sur les naturalisations, volée Et cetté émolionayant flni par p<jffé(rer Ia gare et ies bifurcations de Mulcais, du général commandant Ia 3« régloo et dn quelqucfoisjusque daus les tranchées, Ie au moisd'avril, sousl'empire des plus lé- heim. Vers onze heares, ies véhicnles quittaient gouverneur de la place ; les délégations de Rome,13décembre. gitimes préoccupations. la conr du Lycéeet venaient se ranger anx toutes les Sociétésiccales, etc., etc. .gouvernementa cru devoirdonnerdes ex¬ Un autre groupe de ving t deux apLe long dn front de i'Isonzoet sur le Gareo abords Geseul exemple suffiraita prouverquel de i'égüseNotre-Öameott allaif avoir Aux premiers rangs de la grande nef avait plications de nature & rassurer tous les l'eonemi déploya hier une grande asiivité pris {Vacsle groups éploré des rayoapavent ie service funèbre. tact, au mèise titre qu'une active vigilan¬ pareils francais a également jeté avec d'artiüerie. * ' •- iiea [BonsFrancais. Ine assistance considerable se pres ait aes Yicfimesprésents au Havree! dont l'atro succès des obus sur ies installations A la nnit torabante l'infanterie ennemie dans ia vaste enceinte qui avait reen ;>our ia cedcnieur ISisait peine 4 voir. 1 C'estM. Malvy, ministre de l'intérieur, ce, est indispensable pour résoudre cette prononpa des atiaque? dans la direction da l'emiemi a Hauriaucourt. question du séjour des étrangers. qui peut A ei^naier encore de nombreux Officiers circonstance usae«nnopln&u-edécóratiOfi qui s'est acquitlé de cettemission,en rourd'Osiaviaet do Sole.Mals ces aitaqnes torent néraire. Eafin, un troisièma groupe dedouze 'fout ie ehoeur éiait tendu de soiw- francais, anglais et betges, puis des group"» liissanl ii un de nos confrèresun apergudu se présenter sous mille aspects différents, repoussées avec de graves pert03 pour l'en¬ DitfS des CWtUa écotes LI.1 du 11' Havre, ct IC3 les D"d* braves 163 Cfcjdit LllldlHo uco Vlc. tl - IJ bres QlripVl draperies et, anxA pill0^ piiiejs ulalcDl étaient ulSpU" dispo | ud'entants nombredes étrangers de toutes nationali- el peut prêter 4 toutes les .imprudences appareils a bombardé efficacaijaent les nemi. sés des faiscsanx da drapeaux aux couleurs i soldats de la pyrotechnie beige venos pour comme a toutes les injustices. Sur les pentes méridionales da la hauteur ouvrages allemands au Sud de Ham¬ ;lés, sur lesquels s'exerce sa surveillance. aliiés. L'antel était enlouró de draperies rendre hommage 4 leurs clièrs camarades du Calvario, a I'Oaest de Goriiz,4 Ia faveur des noires rehaussées d'une longue banderole disp srns. F. Polet. pont, dans la région de Chateau-SaD'après ces chiffres,il y avait, a Paris du brouiilard, qnelques-uns de nos déta- tricolore. La messe fat célébrée par M. I'abbé Mor¬ Settlement,avant la guerre, 400,000étranlins et Chateau-Burthecourt. chsraents conqnireat une tranchée ennemie De cbaqne cèté avaient été placées des tier, aumonier de la pyrotechnie beige, asot s'emparèrent d'une trsotaino de fasils et 1gers. Dès ie début des hostilités. le gou¬ Nos avions d'escorte ont attaqué et sisté de MM.lesabhés Dubois, anmonier mi¬ d'une grande quantité de munitions et de couronnes, parmi Iesquelles celles offertes vernementfit interner dans les camps de mis en fuite une escadrille de cinq matérie! abandonné par l'ennemi, qai s'était par le ministre de la gnerre de Belgique, litaire beige au Havre et Nicaise, aumonier composée de lilas et'de roses ; celie du gou¬ des réiagiés beiges. [concentration 45,000 Austro-AUemands. enfai. avions ennemis. Après l'officej Mgr Dslestre, vieaire gé¬ verneur de la Villo da Havre, en liias, !Depuis, un certain nombre de ceux-ci, chrysanthèmes et oeillets rouges ; celle du néral, prononca le discours snivant : slgés de moins de seizeans ou de plus de Depót des Invalides beiges,en peries vioietsoixante, des femmesel des enfantsont élé tes et vertes ; celle dn Corps diplomaticus iiisconrs de STgrDcicslre Auiuée (d'Ouient (88 NOTRB C0RRKSP0TOAN5PARTICULIEB) prés du gouvernement beige,en chrysanthè¬ '■renvoyés en Aiiemagneen échungede priLe mouvement de repli de nos trou¬ Messieurs, mes blanches, en lilas blanc et ea glycines Paris,li dóeembre, jsonnierscivils que celle-ei nous rendait. pes se poursuit dans un ordre parfait . Petrograd,13décembre. et oeiüetsblancs ; celle du personnel fran¬ Losy.-andesdoulearssont silencieuscs.NsdeLs Chambre a un aspect assez paisible. 11 Quant aux permisde séjour, il en aurait cais et balge d-'s llsines Schneider, en sa- vraisjo pss mele rappelera cflte heure ou i'naa pas grand empressament poor assister L'attaque b uigare contre nos clé¬ Sana changemeat. été délivré, en tout et pour tout, 407 qui n'y perbes roses piles et en violettes de Parme ; goisseétreint tous les ccr.urs?.Nousavonsrt»ns k catte séance qui doit être consacrée aux ments d'arrière-garde Dans Ia régton 4 l'Onest 'dn lac Rocbio nos celie a été aisément des officie-sei soldats de l'armée bri- la inéosoirei'horriblespechelede la eits«tropiie ont élé accordés a des Allemandsou Autri marchés de ia goerre. troupes, ayant déborné l'ennemi, ont déiogé tanniqup, en chrysantèmes blancs, eu lilas de samedidernier,et sous 1-s yeaxla vision lu4 conps dè b ïanrettes da village de Vov- et en violettes. fOhiens,dont les enfants, devenus Fran¬ Dans la distribution fails anx députés. on repoussée. gubredes tristesre3tesde turt d« victimc». Et remarque un rapport supplémentaire fait Tous nos contingents sont aotuelle- nioany nne demi comoEgnie ailr-mande,faïprés de eet immensecatafalque,que celle église cais, servent sous nos drapeaux, ou qui, au notn do la Commission civile et crimiToutes les notabilités, beiges, francaises et saat prisonuiers an officier et qnelques sol¬ aaglaises résidant en notre ville, occopaient n'a pu c ntenir,sontagenouitléesdes famiitesea 'ayant fait leur servicedans la légionélran- nelieEurla detaande de discussion imme¬ ment rasse mbiés en deqa de la fron- dats pleurs et se tientdebout,rendant un suprème et eulevant qne raitrailleese. Ja grande nef. hommagea ses enfants moits a son service. igére, sont munis de bons certificate mili- diate et sur le fond de Ia proposition da loi Aux premiers rangs, on remarqoait M. I'béroïquenationbeige.Et a cötéd'ellela France, cifcMPaai Meuoier relative an régime de la tiaires, ou qui enfinsont inflrmes. Métin, ministre dn Travail, représentant le l'Anglett-rre,tousles peuplesdont ie ceeurbat 4. en temps de guerre. A tm moment donné, M. Simyan attaque \ En dehorsde ces « permis de séjour » presse gouvernement francais ; ie général Jong- l'unissondu sten. Quellangageégslersjamais1* Ce ra ; port ren ferme les déclarations faites vivement M.Rousseau, onseilier d'Ftat, an¬ blntt, aide de camp de S.M. le roi Albert-b', njajestéd'unelelie douieur! \qui, nous dit M.Malvy,sont soumis a une 4 ce snjet par M. Briind, président du Con- cien secrétaire géoérat du ministère de ia Maisla paroleditla sympathieet t.i sympathie et Mgr Delestre, vieaire général, représen¬ n'est-eliepasdoucea [surveillancesévère,i! ya égalementa Paris, seil, i'avis du Syndicat de ia presse pari- guerre qu'i! accuse d'avoir dit des .«contre Famequi souB'reV tant 1archevêqae de Rouen. Joveils oitVeen co momenterlle du vésArablc ' sans parler de 10,000 AIsaciens-Lorrains, sienne. on article du Tempssar la esnsore, vérités », . Daus lecbcenr, placé 4 canche, nous avons archevêquö de ffouea. Uepuisquosoa diocesea I'avis do Syndicat da fa presse républicains M. Miiierand proteste de sa place. Ii pro[3,000Tchèques,8,000Anglais,13,000liiis- départementale, noté ia présenca de: MM. Justin Godard, l'hoaaeurd'êirele siègoda Gouvernementbeige, des améndements de MM. ciame i'honorabiüté da soa collaborateur, La Guerre Balkanique sous-secrétatre d'Etat au service de la Santé, aveequelle fidóiitéil a prrtagótoutesvos espéses, 20,000BelgeS,45.000 llaliens. 18,000 Rochaet Paul Rinysen, un arrêt do la Cour G'est trés énergiqoement que M. Miiierand représentant le gouvernement de la Répa- ranceset toutesvos éprsuve-! Et n'étaitun mai [Suisses,7,000Espagnois et 8,500 Améri- do cassation, enfin ie.texte reciifié de fa pro- s'ast exprimé sans se laisser intimider par La rstraite fraECO-arjIaisj condamnemomestanéttienl4 1'inaclivUé, blique ; le générai Gossot, représentant M. quite Fosition de loi qoi subtitae au ministère de les violents mnrmnres de l'extrème gauche. avecquel empressementemu it seralt venu »ujcains. Salonique,li décembre. Albert Tiismas, sous-secrétaire d'Etat au mi¬ jourd'öuibénirla intérieur le préfet do police pour le con¬ dépouilleKiortetlsde vos chers M. Simyan, après avoir demandé nne en¬ ! Pour tous ces étrangers. qui sont origi- trole de la presse a Paris et supprime Ie. quête, a cru devoir terminer son discours, Accompagnéed'actions d'arrière-garde, la nistère de la gTerra ; le générai Drude, com¬ disparus, et consoler ceuxqui les pleureat.ii mandant la 3»région ; le général Bolgert ; m'achargéde Iofaire en son notn, et c'esï de ,n airesde puissancesaliiées ou de paysneu- droit de suspension des joernaux. * qui a tenu toate la séance, par eet air de bra¬ retraite fraaco-anglaisese continue de i'agon ie cóntre-amiral Biard, gouverneur du Hi- grandcorurqueje m'acquitledc eelte missionde satisfaisante. rlres, le gouvernement — et on ne peut, La discussion snr le régime de !a presse a voure. sympathie. vrc ; Brindean et Lebiond, sónatenrs ; AnLes pertes des ailiés sont reialivement été, on Ie sait, fixéeé vendredi prochain. « J'ai parió sans liaine, a-t-il dit, j'ai parlé [bien entendu, que l'approuver — n'a pas cel et Nibelle, députés ; Franqneville, pre¬ LaReligionaussi vous oü're ses consolations. Cen'est pas nns seule mais plusiecrs in¬ sang crainte ; je ne snis pas de oeux que Irs faibles. certesnul n'a dit pius éloquemmentqu'elle voulu prendre des mesures d'expulsion. terpellations mier president de la Gonrd'Appel de Rouen ; Ah! qu'indiqaei'ordre du jour d'au- puissances argent penvent intimider. Cen'est -Des forces allemandes considérables sem- Gcnsoul, le néantde t'homme.G'est l'herbe qui se ttétrif procurenr général ; Morain, préfet du i« Maisehaque fois », a ajoulé M. Malvy, jourd'hui. bient soatonir les Buigares qui suivent les matinan flour qui se fane. I'ombre pas pour que nous assisiions 4 de pareils de la Seine-Tnférieure; Talon, commissaire qui passe.. . soir,ia Cen'est qu'unroseau,le plus faible [,«que le moindrcdoute a pu s'élever sur li porto en effet : Discossiondes mterpai- spectacles que nos enfants sont tombés. La aüiés et bombardèrent üoiran. général da gouvernement francals prés le «e la nature.. . une vapeur, una gouhe d'eau Le débarquemeut des troupes ang'aises [leur loyalisme,je n'ai pas hésité a user des tations : 1»do M.Simyan sor les marchés de France attend de vons des actes ! » gouvernement beige ; L. Benoist, sous-pré- suftitpoui'le tuar... a plus forteraison la puis¬ continue. goerre ; 2"de M.Ceüiardsur lesconditions do certains agents de la na¬ [armesque me donne la loi. en prononpant ia Tit. Honry. fet ; II. Génestal, vice-président du Conseil L'état sanitaire de3 armées aliiées est ex- générai, représentant M. Bignoa, président, sanceformidable dans lesquciles out été passés certains mar¬ ture !... [des expulsions.G'estainsi que j'ai chassé chés pour la fomitnre des grenades a i'arcelifint. Maisla Religionneus dit aussique c'est un ro¬ A ['occasionde leur retour 4 Alhènes, tes empêché ; les sons-prêtets de Dieppe, d'Yve- seaupensant,que le principede la penséesurvit [de Franee 4,700sujets étrangers depuis la mt e ; 3»de M Ernest Laiont sur les sanc¬ tot et de Neul'chatel. délégcés de l'état-nwior grec ont déjeuné auxdestructions de ia matière. qu'ac-dessusdes [déolarationde guerre. J'ai, dc pius, appli- tions que le ministre da ia goerre compta ruinesdu corpsmortel plane Tame immortelle avec les généraux allies. \ édicter contra les fonctionnairos de l'intonqué le régimetiesAustro-Aliemandsa tous dance responsabies dans i'affaire de « la MoSur la droite: Pieuronsdone; maisquo nos iarmes ne soient p!s sansespéraoce.Noschersdisparusn'ont pas [ceuxd'entre eux qui, naturalisés Francais, rue franpaise » et sur les mesures qu'il Les Bulgarss sur la frontier®grecque MM.Carton de Wiart, ministre de la jus¬ péritout entiers. EtcommaIa mo>-t les a trouvés 4>ntété dénaturaliséspar décisiondu garde ponrra prendre pour éviter qu'4 l'avenir des du devoir,que sacs doute Salonique,li décembre., tice beige ; Bsrryer, ministre de l'intérieur ; dansl'accompiissemant instroc'ions Insuflisantes on des non lieu L'vtcUvitéraprendeur le front Heiiepctte, ministre de i'agricalture ; ie ba¬ a ce'le heuretragiqueils ont jeté 4 Dien un cri |tles sceaux. » Les Buigires ont oceapé londi ies postas ron Beyens, ministre des affairesétrangères; suprème,ils ont été regusdausies brasda interapestifs viennent sonstraire & la jurlsa raiLe rninistrcde l'inlériour a compléteses diciion franoo-anglaisen France occupfis préoèdamnieut par les Serbes Ie des conseiis de auerre les fails esSsger», ministre de la marine et des che- Sérieorde. long de ia fromière greco-serhe. ffléclarationsen donnantdes détails sur le sentiels dont ceux-ci aevraient connaitre ; la Palrie,cesoot noscbéres Patries, Voieiie communiquédu msréehalFreccb, daié rains de far ; Renkin, mioistres des colonies; neEnlinc'est Tout est caime aotueilement. semb!e-t-ilpas qu'elies n'en forment qu'une [liombre de poursuilesqui ont cu lieu de- 4" da M. LéonPerrier sur lesconditions dans du t3 décembro,9 heurosdu soir ; -j Poullet ; seule,depuisqu'ensemble la jus¬ Les mioistres d'Etat Gooreraan, comte Go- tice, le droit,1honneur.la effesdéfeadrnt vaut les Conseils de guerre et de condatn- lesqceiles lo ministère de la guerre entend Iliar soir, nons avons fait éclater une mine satnte liberlódes peu¬ régfer définitivement an point de vue finan¬ biet d'Alvieüa, Lieba»rtet Vandervelde. plesqui s'approcheet quiposantIa mainsur ces jnations prononcéespar ces derniers pour cier ies marchés pas ós par l'intendance ie aevant Givenchyet kous avons occnpé l'enLes sénateurs de Spot et Koch ; cercueils: Nepleurezpas,dit-elle,ils sontmort» tonnoir. ;Taitsd'espionnage. 28 aoiit et ie septembre 1914 avec Ia Sopour mo!! D'autrestambentsur les champs de I.es députés Boval,Gilles, Neven et Metot; Aujourd'hui, activité considérable sar dif¬ Amsterdam,li dreembre. j II a tenu, enfin,a aflinner qu'en ce qui ciétó « la Moruefranpalse«. Le général A. A. Asser, le contre-amiral bataiffe; ceux-cisent tombésen leur préparant férents points du front. Nesont-iispas les martyrsue !a méOn remarque tout d'abord le caractère tenDss renforts allemands, avec de Fartilleriè commandant la base maritime britanniqne, desarmes! .concerneles permis de séjour, aucun n'a Nous avons bombardé les positions ennemc cause? Nen assurent-iUpas, par leur sacri¬ du libelié de ces interpellations. mies, 4 i'Est d'Ypres et dans le voisinage do et des munitions, continuent 4 arriver. Ges et de nombreax officiersde i'Etat-Major bri¬ fice,ie triomphefinal? ;été accordé par faveur ou complaisance, dancieux LaChambrecommence par renvover aprés mouvements de troupes ennemies vers le tanniqne. Osaiutesvoixde la Pairie el de Ia R»l;gicn. jet que leur lisle est a ia disposition des les marchés de la guerre one interpellation Prelinghien. Les membres du corps d;p!omatiqne prés parieznousde ros ebers morts.de i'héroïsmeel Nons avons également bombardé, a l'aide front Occidental eembient présager qoe des de M,Deyris snr les permissions au front et de gros obusiers, une galerie de mine enne¬ évéaeraents importants netarderont pas 4 se de Sa Mijesté le Roi Albert. [membresdu Parlementet de la presse. de la freondité de leur immolation,de Ia pai* déroaler sur ce front. Le général d'Ojo de Marchovlette,cbet de éternelledanslaquelleils sont entrés !Et avce ^ II faut soubaiterque cetteliberie de con- nne autre interpellation de M. Deguisq snr mie au Nord da oana! de La Bassée. Ia nécessité de donner des vêiemenis chauds cabinet da ministre de ia gaerre, représen¬ un peude consolation,mettez-nousau coeurITuDans le voisinage de la Somme, combats ïlróle soit largeihent accordée, surtout k a nos soldats de la zone deSarmées. vioeibleespérance d'un avenir réparateur qui tant celui-ci. violents 4 l'aide de mortiers de tranchée et anteet nobleBeL-iquele soisacré [ceuxde nos confrèresdont les critiques ont M.Simyan prouooce ensu te nn réquisi- de grenades. Le général Lallemand du Marais,attaché 4 renrtra4lavaill do ses aïoux,4 la bien-aiméeFrance la chért» Un Procés retentissant Uniené les déclarationsde M.Malvy.It sem- toire contre Iintendance. It cite des laits, sila légaüon de France en Belgique. Le temps est aujourd'hui beau et froid. Alsace-Lorraine, et qui reudra enfin 4 tous le» Lausanne,14décembre. M. Klobukowski, ministre de France, prés peuplesla Justiceet IaLiberlé. 1>le.en effet, que ces explicationsne leur gnale des marchés confiés 4 des gens véreux, même 4 des repris de justice. II La Cour fédérats a condamné M. Millioud, du gouvernement be'ge. |aient pas paru suffisaates,car, tout en ren- s'eitorce Leclergé— MgrDelestre et M. l'archiprëde démontrer que le budget de l'ELe colonel comte de Grnnne, les majors directeur de fa revae La BibliothèqueUnieerJulien ea tête, se dirige vers la sortie e! idant hommagek Foeuvre accompliepar le tat est mal défendu par ceux-la qui avaient selle, 4 500fr. d'amende et aux frais. Elte a Thys, Ifubiet, Lebrun, directeur des ate¬ tre se placer devant le portail de Tégiisa, [gouvernement, iis n'cn contiuuent pas la mission de Ie déiendre. H reclame des déeidé le maintien de la confiscation dn nu¬ liers de pyrotechnie, le doctear major vont oü apparaït Ie premier char funèbre. Smets. méro incriminé. 'inoins leur campagne. L'ActionFrancaüe sanctions et des nnnitions sévères. MgrDelestre lécite les absoates, puis les lit aes documents 4 l'appui de Les officiersde la pyrotechnie, dont nom¬ M. Millioudaurait signé son recours en Vpersisledans ses dénonciations,cependant saM.Simyan défilent, bénits toar 4 tour 4 leur pas¬ tiièse,'pariant soccessivement des affaires bre portent la trace des blessures recues oa chars cassation. sage devant l'église, tandis qn'en sourdine [que le Rappelesthne que, « franchement» Baumann (MoulinsdeCorbeii), « MornefranRenfertftallemandsen Belgiqus (LaRevueéfait poursuiviepour ua articlede sont encore enveloppés de pansements —■ la mnsiqae da 129«rythme la marche fnnèacs éhiffresqui noussontdonnésnousmon- caise », achats de chevaux en Amérique et do U. PsulStapfer,professen, ancien doyen de tel le commandant Dslettre pontant un ban¬ bre de Mendelssohn." tournitures de vêtements militaires par la Le Telegraaf regoit de la frontère des ren- la Facultedes leitres de Bordeaux.Gelui-cine deau sur roeit gauche. Vtrentqu'il y a encorevraiinenttrop d' « in- Sainatitalue. Dans ia rne, aux fecêtres, sur les toits Les membres du Corps consulaire. sigDalantqu'on bombardement fiouvant,coiaiaecitoyenfrangais,eueclté devant grappes iiumaines s'écrasent et, k ct jdésirables » oliez nous et que le moment Eu ce qoi concerne les MonlinsdeCorbeii, seignemeuts encore pias intense qae celai de jendi a ea es Irihunauxsuissea,c'est M. MauticeMillioud, MM.Acher, Léon Meyer,Gnillard, Pezeril, des profosseurde pbitosopbie.* TBniversiiédo Lau¬ et Debreuille, conseiliers généraux ; Brot, spectacle impressionnent, les yenx se voijsemble venu de redoubler de vigilanceet il rapoelie que l'intendance pouvait achster lien dimancheet landt. sanneet directeurde la Revue qui a été pour- Debut et J. Roussel, conseiliers d'arrondis- lent. Un graad nombre de troupes arrivent aux suivi. Hlesévériték leur égard. » • 300,0)0quintanx de blé 4 des mandataires Les chars funóbres s'ébranient et vont sg amértcafns, entre 18fr. 80 et 20 fr„ mais environs de Gourirai, venant pour la plupart Celarticleéiait un terr.bleet jaste réquisUoire semeat. | Ei notre confrèreajoate : antonr de la place snr laquelle ig qu'eiie oft'rit 23 fr. 50 anx Monlins de Cor- des champs de bataiiie sarbes. Ge* soidats centre Rethaian« ïbffiwegget le «bsadit couMM.Delacoor; admiaistrateur général de placer « .Nousne votions rm iggierei que l« semblent trés faligués. la marine ; Mormand,maire du Havre-; Ser- masseut bientót l?s aniorités rvünS»j COMMUNIQUES 0FFICIELS L'Explosiondela Poudrière SoIennellES Obsèques desVjctim Corps expédifioonaire dss Oardaneliss COMMUNIQUÉ BILGE COMMUNIQUÉ IT4LIEN LE PARLEMENT Impressionsde Sémee COMMUNIQUE RÜS3E DernlèPB Hempb SupleFrontFpanca-Sfiiiois IW OFFENSIVE ALLHA.WI t Sur le Front Beige f Lê Peilt ilavre — Mereretïi15 Déeemftre1915' tons deux leur part è la vleloire ; (ons deox ausst ilje» mscotJHisi onl leurs deuits. il en est peu de plus sensibles ®onr & tonr, MM.Carton de Wiavt, prési¬ et de plus profords que celui qui réunit aujourdent du Conseil des ministres beiges ; Metin, d'IFaiauteur de3 parents des vietimes, leurs cornjuinistre dn travail, et Anesl, député, raaire patriotcs, les autorités frarpsises ft ia population d'Harfleur, v ont pris place et out adressê havralse. Gesoot des smis regret!és do»i nous la porta ; nous parisgeons ('affliction , aux famiilesTespression des émotiORSqn'ins- déplorons de leurs proeb.es,nous leur offrons le sccours de pirent 4 fens ces douloureux événemects. nos consolations avec une émotion dont les eireonsianees ecluelles portent au plusjhaut point la Discour» de M. Carton de Wiart ferveur. En effet, la sympathie aneienne ei tradiUonseüe President du Consul enlre nos deux nations, renforeées par nos joies et nos peines fraterrclicrnont partasées, avail Jail Messieurs, ce qui est bnraain'emcntpossible pour adoutaterprèle 6e la Nation Beigetout entière, ie tout eir l'attente dont il n'ont pas eu lo bonhenr do Aouverneuieritdu Roi o le douloureux e,t picux voir la fin. Quetous ees artisans de la défense na¬ devoir a'spsserter aux vietimes de Ia catsslropffe et des justps reparations n'aient pu assisdu tl deecmbre sod Iiomnitge êmu et son su¬ tionale ler au triompbe qu'ils prcparaient, c'est !a une prème adieu . triSesses'ajriuiant a toutes les autres. Ce preniier devoir cd apjselte un autre : ec.in Ne nous laissons pourtsnt point accabter. csr 6'sssoeier notre fervente sympsthie au detiil des nous manqueriotis ce que nous devons aux 'families francaisas on heiges que cetle cstsstro- morts d'bier, aux aouvriers d'aujourd'bui : c ost «Öfea aitetnies et dort heaueoup. a t'neure oü je 1'cspoir que nous prCeheleur exomple.A 1'aspect farle. ne eoaraisseat paseneore leur malheur. do ces dommages qu'on s'empresse déji da röAu Gouvernementele la Répubtique. qui a teou a Ia v ie do ces travsilleurs qui s'offrent « êire représeetê ici par un de ses ministres et un psrer, les disparus. un sentiment de öe ses sous-secrétaires d'Elat, aux AntorilAsdo la poür rempiacer grandit ct se fortifio en nous. Nous •Scins-isferieure,è celïes de !a Vitle da Havre et réconfort spercevons ch z tous la voloaté Inébranlabie, ces coramuBes voisices. a la Direction des éfaindissoluble, la resolution qui ne se lasïfiissemeBts iBönstrietsqui ont aussi été êprou- l'uaion jusqu'au triompbe du Droit des peu*és. nous devons et bohs voul-ns dire, en roême sera point et de fa Justice pour lous. .itercps la psrt que sous preaons è leurs propres ples Les Amess'èlévent au-dessns des ch*grins psr.Sacrifices,tout®!a gratitude qu'éveille en, noas ie ticutiers, tous les ceenrs se sentent portés d'un «obleêlsa <u cotar qui tear fait psrUger noire unsnime cssor vers ua génér.-ux idéel. S-schons peine. en fctrereconnaiasanis a ceux qui ont sacrifié leur S'il est vrai qae sien n'unit plus les Smes que vie. soit sur leur terre natale, soit dans l'hospiles souffrasoes sulstesel valliammeat aceeplees franpaise. ca cemraus, recennaissoss, Messieurs,que lesort talité Ces vicfimcs du devoir comme celles des no¬ noas est prodiguedes cccssioBS d'eprouver ctde bles époques ont leur part dans l'histoire eimeBternotre smitiê frsnco-hetge, — et votci de la gioire etpassér-s, la libesté beiges, daas celle de que. si élreiteraent nouêo su service dun inème Ia France, dansde cello do t'tmmtóiiö. Idèal d'ItuRsear el de liberie, rtirempec cheque Jour. depuls de losgs mots, par les lsrmes de »09 DifiCOlir®tie M. Gcorg-es Aucel orpbriias, par Ie sang de nos niarlyrs el de nos soldats, e©Uc«tailiè vienl de! re mieux souöèe Deputé encore, s'il se peut, par un «ffreuxcoup du mystére, Messieurs les Ministres, C'est su baros de Broquevilie. ministro de Ia Mèaie après les éioquenles psroles que vous guerre et ekef du cabinet, qu'il eül appartcau. 4 venez d'enlendre, vous permellrtz »u député de ce doable litre, d'exprlmer ici tos sentiments qui deuxième circonscription du Havre, représcnanim. nt te gouvernsment. Retenu aaprès de l'ar- la raée par les devoirs de sa charge, il m a priê de lant de Cftte région si eruellemer.t ravagêe psr la dire le rerrêt qa'il éprouve de ne pouvoir ê'ro terrible catastrophe, de saluer les dépouiibs de qui reposed maintenant, morts pour la persoDnelteBssHt4 eette cérémonie a Isquelle il e ceux chargé Ie cb»f de soa ctbieel militaire de io re- Pairie. Paraii eux, Ia Belgique, de nouveau frappée au présseter. B'antreparl, el dés Ia première hfure, 'ii a ordossê loutes les dispositions nécessaires cceur, pleurc sur le sort de tant d'enfants, hom¬ pour que, daas teute Ia mesure du possible, les mes jeures cl robustcs, emportés par Ia trombe conséqueaces morales ou matêrielSesde Ia catas¬ brfilaate, brisés loin de leur pays et de leurs foyers, pour iesqaels iis préparsient les armes trophe tussen', attênuêes sinon réparêes. En quelqnes mtaules, ea qaelquos secondes, vistorienses. Geux-la. aussi, soEl tombés pour la défense de titus de cent soldsis heiges sont niorts, en vicliIa Terre hien-si»aöe. nses du travaii, en servileurs de la Patrie. Ea même iemps, a queiques pas de iè, Ie fiéau Noire pensêe éveaae leurs images. Je les vols, ccs bons ouvriers de Chez nous, que le premier cnssnglantait des Francais, des Francises, dont appelde la mobilisation avail surpris dsns leurs une seuie pensée siimuiail aussi les efforts, for¬ taehes pscifiques, solides euvriers de Bos forges ger et produire töejours plus fort ft d.ivantsge ou de nos efcerboasages, accounts de ces ruches les armes, les munitions, qui, Ia-bas, su front, hourdonnaBtes de Fl8B<ireou de Wallonië,de apaortcront aux frères hftroïques Ie meyen de ceUe belle vsliée de Ia Meuse.de ce pays noir da vaiaore et d'écraser t'ennemi. Ensangiantés. oerles, je les ai vus, ces ou- • Rainsul, tont (rêpidants de cettc activité industriesis qui êtait use de eos richesses et uno de vriers, ees ouvrières. sorlant des ateliers dêvas«os fiartés. Je !«s vais. eeh bons fils dc bos cités tés, msis gsrdant quand memo le Eenlimentde la et da nes eampsgces, avec lenr sliurc un peu forte discipline du temps de guerre. Jo les ai refrusto. ct letirs physionomies êaergtques et réflé- irouvês dansnos hópitaux.ces courageux bleSsês, chic-s,lelies qa'un Constsnün Meanieraimait a les acceptant leurs sonffrances avee la tranquil!» séIraduire. Se lés entends, avec l'accent rude ou rénité de llsósimo eertain rto soa devoir, Musieurs, helss t ont été mortciiement atefcastsr.t d« tews provisces tism&ndesou walteinfs. G'est qu'eujonrd'hui, dans celte guerre loniïcs. formidable oü la nation lout eniière est ievéa, ün jour, dsns notre pays si c&Sme,ou on crovait a ia parolo iontic,' L'odieui psrjure de la mort ne frappe pis sealsment los vateureux lignes. Le danger est psrtout — t'Ailcmsgneèclata brusqueaest, comme un coup des premières aussi —partoui cü ia lutte, moins dura sic fondre. flejaur-!a, iis apportèrenl leur chair et l'Bouneur ceries. so poursuit cependant «pre el sileneieuse, 1car snn.r i Ia Bcietqne, slmplement, sa'ns réser¬ contre les forces aveugles et brutates qu'il s'agit ves, Eux ausst, iis firenl leu' devoir de soldats dans cetie lotte mrgüe et si dure pour lé sol na- d sdapler aux mervsilleux engins de la défense XiOB»! Séfemtupi«d 6 pled pendant plus de deux nationale. Ah ! les trsvaiileurs de i'arrière, nous les iBois,puis dans i'hdfoïque campsgne do l'Yser. (Jueiques-uBs,hlessés a la guerre, lous choisis voyons dans l'inlimtté de i'exisieace quotidieane, ces hommes, ces f>mines, ellant régulièrement pour 'cur rar-ritotechnique, on leur assigns, dans i ëfforl Dstriotique.une lache nouveUs qui. seas vers leur labeur, plus eravos, plus empresses sa diet iBlelllgcpl et cxpèflmenlö, semfclsit les que jaöis paree que convaïncus «n l'imporiance rsppsiêr è lenfs métiers d'antsn.Et ce fut un autre do leurs efforts. Ce n'est pius seulement pour 'coup do fgudrs ! El losvois'. satour de nous, dans soutenir eux-njéraes ot leurs families qu'ils donccs cercueits anonymes, chefs et soldats, Fta- nent leurs peines mais bien pour ia France. msBds cl WatlöBS,membres confoudua et disper¬ Le front haut et fier, è la teix ds la Patrle qui sppelte, ils répondest : « Préfents ». Le graad ses. mais rêuats dsns ta mort. ccaisae HaIe fureat les danger les a trouvès a leur poste : Honneur ® dsc< le traval',et 1«devoir mftitslre, eux ! Certe*.il s reteati su toia.l'écho de ec coup de Sans doule, la douleur nous élreint en face de fOGfire,(lien pms ioid qiis cctto belle réglon nor minde, qni nous apprenl a g,idler cUaquejour ce funèbro apparat; la pensée de si nombreux deleur8 souffrancs, nou3 poursuit el «avasisge la fralerniiè de soa accueil, il arctenti blessês, aegoiiso comme aussi i nspeel de tant do tloutnureussmmt juaque dans nos cantonneaenis notie ruines mstérieües. cl bos traachées, oarmi nos soldata dont esqx ci Permettez moi d'évoquer ia joh'e petite citö des etaiest ie« boss compagnons et collaborateurs 10S,cetle psuvre viüe d'Hafil-ur que j'aime et Maisit a retecti pins lota eaCore,su delède la ligne soigne de men mieux, et psrdonnez-moi da R8 <3efeu, au sela mêaie do la Beig'tqaesouftracle, letre la prine que j'éprouve, eu la voyant, 6t )e songs aux fsmmes et aux enfanls demeurés pss la-bas,aux eicars paternels et raalernels, aux an- raaintenant si maitraitée, si bouleversée, «vee son goisses dos families Incsrtaines donl la torture église. merveiiieux souvenir de nos sïeux, olie sera ontreieöne, soit paH'sbsence des couvelies, aussi irappée, blessée. Tristesses, épreuves de (outes sortes. soil pent-ê re, — pis encore — par rexagêratioa Et, pouriant. d une lelie cstes'rophe s'élève un des Rouveiles, fittraat au travers des vspeurs sentiment cspible do fortifier nos ames : c'est la toxiques do rislormation attemanile. fraternetie, c'est la solidaritypatrioiiQu'ils sacheat, du mains, lorsque Fear deuil symoaibie qui t'a soudain dominéé. sera avéré, qae noire pièté a tous a devancc la que Désta première Franpais, Angtais, Bei¬ tour, et qu'elie a associé dés aujourd'hui, dans ges ont vo!é au minute, sccours. Aucuu hiessé n'a été ,1'asiffiiration ou Is nr'tère,a nos miiliers tic soldats 'tombéseu ehsrsp J'honneur. cells compagnie du sbandonné, ie dévouement dovanpait l'appel et eomraamlsBtSleveus, ds raême que ces ouvriers s'ofi'rait encore alors que tous avaient été secoufrarqiis. leurs frères do travail, eaveloppés dans rus. Autorités civiles et miliiaires, Sociéiés et parti¬ Ja rnême nsort. Gar c'est aussi bien servir son fsays que do renouveler et multiplier les muni¬ culiere, ont rivslisé de bonne volonté. Rendons tions qui If ferönt définitiveiBent viclorieux. Et un hommage spécial a l'initialive empress *ede ■peurcelui qui ranurt dans ce service, c'est ausst nos slliés britanniques. Tous .Jeurs moyens de un rayon óc b.'sott morale qui êelairera son nom socours ont été mis en oeuvre, et nous ne sausoar fa eoESolatloaet le juste erguell de ses eu- rions assez témoigeer de reconnsissaoco a ceux Tanls.C'est ans'i, sur son front biêaieet ssnglant, qui ont exéeuté et a ceux qui ont dirigé ces déiicates operations. le bslser Se la Patria recormalssante. Et sinsi, de méme que la défense commune du fsroil les fracas da la guerre que nous vIvor's. C?sVietimesreposvnt maiatensnl dans ta pais. Et bon droit, que les efforts et les sacrifices parUgös daas une niêrne volontfi do vaincre, slnsi ie ceUe pais est cello de ia lumière qui ne s'ètcint malheur et la rccontiaissaace, lorsqn'iis sont si pas. J'our nous tons, Messieurs, nous retournerons cordiaiement eolacés forment des Dens plus du¬ a ia latte et au travsil. Si cruelta que soit rables encore. Des fiiigoisses comme celles de ces jours pas¬ cette eaiastrophe, nul de nous ne lui permcttra d'sttetndre un sen! instant son courage. Qu'rin sés, des spectacles eoaorno celui auq iet nous assistons, des souvenirs comtne e;,ux que vous sotdat tombe, un autre Ie remptaeo. Qu'un atelier fjsoit actrult, deux autres surgiront öemain. Sur emporterez «lici, dos lsrmes com ae celles qui i'acler dc bos coeurs, que n'ont pu ronger Its monlent irrêsistiblemcnt aux yeux, jamais le horreurs de Tinvaston, les deuiis et les ruines temps ni les épreuves ne sauraient ieStfcfi'tcerde sccumr.iées, les anaevtuinesde la separation, les nos coeursunis. Que votre Smc immortelle, enfants de Belgi¬ r.ostalgtes ou les privations de l'exil, lo poison snème de Ia caiomnie, rien ne pourra mordre qui que et de Fraoceensevelis dans ce coin do terre, «niame seulement runité de notre vie nationate, que voUc ame se console en recovant notre ï'ardcur de bos volonfós combaltanles et notre adieu. Commevos vaiüanis frères de la Marneet de certitude absoiue dans le triomDhe, C'est qu'od est bien fort, Messieurs,quand on a l'Yser votre sacrifice n'a pas éié Inutile. Vos con,pour sof, dans ss séiênitê intime, la coaseience cüoyens pleurent voire perte. mais iis demeurent fiers de vous. Vous étiez a votre idclie patriotique Su Droit. « Gon'cst pas ce qu'un homme a ou n'a pas lorsquo i'ouragan vous a ssisis et broyés dans ses CXtërieuremeBt*, a dit justeroent Carlyle, qui spiraies de feu. Vietimes du devoir, vous atbz cor.stitue sen bonhenr ou sa misère. La nuditè, la vers Ia graiitude des hommeset la miséricordo de faim, Ia délresse sous loutes ses fórmes, Ia mort Dieu.j'ai la coafiauce que ni i'une ni i'autre ne jclie-mémeont été souffertes avec courage, quan'd vous feront defaut. je cceur était droit » Le Cortège Crux qu'il fsut pUindre, ce sont ceux qui font Vemul et qui ont senti et même avoué qu'ils fiiLe cortège fooèbre s'est ensuite formé. saient le mal. La douleur réelle, c'est la ftêtrisDerrière les pelotons de gendarmerie -sure da I'dme, c'est la honte sani remede de ceux qui, sachant qu'ils commettesl i'injustice, et es- montée, 1'rarcaise et anglaise, avaient pris Ssyant ua momentde se iromper eux mêmes par ptace la batterie et la mnsiqce du 222e régi¬ les sophi-mes de leur Kullur ou Ie cynisme do territorial, doat les tambours étaient leur orgueil, nmoncollentles cadavres et les rui¬ ment nes sans parveDtrjamais a los élevcr aussi hsut voilés de crêpe. Pais venaient deux compagnies d'ini'anteque le mépris des honeêtes gens et les reproches ce la vórite öteroetlc qu'ils ne parviendroat pas a rie avec ledrapean dn régiment. étouffer. non, pas tnémedaas leurs propres Smes t Des détachements de soldats beiges en te¬ Personae ne peut ótouffer dèfmitivement le nue kaki et nne compagnie d'irifanterie anJjroit. ïöt ou tars, il a son heure. giaisï, dont on admira i'impeccabie tenue, Geileheure. nous savons qu'eile approche, et ensnite. qu'après Ia passion souftèrle, elle sonnera pour venaient La muskiue du 129e régiment d'infanJnousla Hédemption, c'est-a-dire Ia liberation et terie avec sa batterie et des sections de la gloire. Ghéresvietimes, dont nous connaisson' a peine tasiliers-marins en armes pfécedaient le les üoms, — et qui ne serez, vous non p us, paa c!ergé, puis venaient divers groupes de mortes en vain, dorraoz done votre de nier soai- baissiers de la mairie et des soldats des jnei! dans la paixIumiaeuse que Ie Pays promet a diverses nationalités portant des civières #es bons servileurs tombés pour lui et quo la Foi lesqnelies avaient été deposées de CbrétienneIrur assure. Dorraezle a l'omhre de sur ces deux chers drapeaux fraternellenaent ur.is, somptueases couronnes. Les cbars fnnèbres qui venaient easuite «elui de la Belgique symiiole du Droit violé, et celui de la France qui, fidélea sa destinóe et a sa étaient aussi recoaverts de nombreases cou¬ gloire, incarne la liberie des peup'es. Et puissiez- ronnes. Nous en donnerons ici la liste aussi vous, a leur ornbro,y tresssillir bientöt aux écla¬ compiète que possible, en indiqoant les tants éehos de la victoire qui vous sera erm- inscriptions qu'elles portaient : pune. Le Gouvernement de la RépubliqöelTranDiscours de .11.Albert Métin ?aise ; Le Gouvernement Beige aux Vietimes de Mtnislre du Trnvail la catastrophe ; La Vilie du Havre aux Vietimes de leur Au nom du gouvernement de Ia République, Tapporle lo salul de la France aux families qua devoir ; vient de trapper un coup si cruel. J'offre son Prom the officers and mèn of the British ihommsgea la vaillaistc nation dont, une fois de Army Havre ; plus,dans l'histoire, nous faisons nötres les épreuLe ministre de la Guerre beige et le prési¬ ves, et tiétres les espérances legitimes. Comma jidis, sous la Revolution, comme ptHS dent du Gonseil aux membres dn personnel tard. en 1889,dans la lulte présente se trouvent beige des poudres, morts pour la Patrie ; Le ministre de la guerre beige et Ie prési¬ associés et l'esprit de llberté du peuple beige et i'élan d emancipationjailli du sein de la France. dent du Conseil aux membres da personnel Beiges et Francais, nous combaltonscêteè cète de la Maison Schneider ; sur les champs de batailte de eelte plaine deFlanLe Gouverneur de la Ville du Havre ; drc s! héroïquement dêfendue. Nous combaltons Le Corps diplomatique, prés du Gouver¬ cöte a cöte sur les champsde travail comme ceux öe cette grande vitle do commerce et d'industrie, nement be'ge, aux Vietimes de la catastro¬ qui mèritait a tant d'égsrds, l'honneur de recevoir phe dn 11 décembre ; ie gouvernement beige. Le Personnel iranqais et beige des mines üiampjöcbatailteet chjjppjd®IrtTéilopt Schneider <luHavre* Aanonze Dier Betrnrde S!achtofl»rs Vrien¬ ILe S6juin 19H, il futdésigné pour élre attaché A iJüspreilon des poudres de guerre, cü comments den van De qoai Notre Dame, no 13 ; Le dépót des Invalides beiges a leurs ea- sa carrière technique. Ag mois de juiliet 1913.la Section des poudres marades de l'armée franoaise ; futrattaehée a l'Ecole de Pyr itechnie dont fait Le Dépót des Invalides beiges h leurs ea> partie a ce moment le lieutenant Stevens. marades ; Le 99 msi 1914,il fut noaimé capitsine en se¬ Le Personnel de l'atslier du N. G. II. a cond et, enfin Ie 23juin de la même annêe. d missionnè sur sa donaande,et nommê ingcn'eur leurs camarades • Aan Myne Dierbare Vrienden, G. AHoa- d'arUlleriede 3»classc ; au mois de janvier dernier, par suiie des nêeessités locales de notre sins ; installation improvisêe, on fut amend a consiiL'Uoion des Fsmmes d®France ; tucr un service des poudres distinct placé sous sa La Scciêté de secours aux Biessés mili- direction. tairt s ; Sa compéteacc et ses qsaiités trés sérieases La Légaüon de la République franchise en l'avaient fait designer pouree serviee des poudres •qu'il d'rigë» seal, dans uno autonomie eomplète, Beigique ; jusqu'a ia réorgsnisation récente de nos établisLe Lycée de garqocs dn Havre; Les Ingénieurs et Officiers des établisse¬ semcfits ; cello ci ayant raitacbé organlqueaent service des poadres aux nouveaux ateliers do ment» d'artülerie beiges & leurs regrettès le fabricaiioas de munitions. coüègues ; Comment vous dire les mérites de ee jeune et Les Etabiissements Schneider ü leurs ou¬ beifiantingénieur ; sa science et son expêfience vriers vietimes du devoir ; déji consommée, sa manifetsient eh*qua jour Les Ouvrieis du Hoc è lenrs regretlés ca¬ d'une f«eon si êvidonte qu'elles jusiifiaient de plus en plus la confiance mise en lui f marades vietimes au devoir ; Fau'.-ilrappeler son inlsssable dövouemcn! S sa Les Biessés ei Malades beiges de l'IIöpital tflehe, son intf-ltigence vive ct primesautière, n» 8; fsut-ii vous parler de l'smênilê do son caraclcre Les Officiers et Ingénieurs A. F. M. beiges qui faisaient de lui un chef a-doré autsal que resaux miiitaires vietimes d« d-=voir; peeté de ses sous ordras et qui donnaient a ses Le Personnel des Etablissements Dssnia- relations avec ses ögaux et ses chefs une valeur el un charme si appréeiés T rais Irères ; Duvantsa tombe, si brutalement ouverte, nous La Garnison beige du Havre au personnel du service des poudres mort ponr ia Patrie ; nous iaclinons avec douleur et eous ne pouvons vetenir nos iarmes et l'expression des regrets Le Sous-lieutenant et le Personnel du amers quo susctte en nos occurs la perte inesti¬ corps des transports du Havre a leurs re¬ mable quo sous"faisons en lui grettès camarades ; Antoui-dece jeune chef sonl tombés tons ceux Le Personnel de i'A. G. H. a leurs regret¬ qu'il comasssdait ct qui le secondaient dans sa u'ichequotidiennc. tès camarades ; IliLSontsi nombreux, bélas! qua js ne puis Le personnel des A. C. G H. aux vietimes socg'er a vous parler do chacun d'eux. Je vous de l'expiosion ; mois cepoodant des priBoipaux La direction des Etab'isseaaents beiges dirai quelques enx et 'out d'abord da sous-lióutenaRfJaed'artiüerie aux membres da personnel de la d'enlre quemin. Nouvollementpromu au rang d'eftkier Maison Schneider ; depuis quelques jours a peine, il avail dü soa L'Ecole primaire supérieure de gardens da avaaceaient a ses eonnaissances en mslièrc de poudro qu'il avail acquiaes dans l'industrio privês Havre ; et aux quaiités réehcs qu'il evait apportées daas Le comptable et Ie personnel des bureaux Tèserctce de ses foBcfions. des A. F. M. au com mis principal Gailiy ; avait pris du service au moment de La direction des Etablissements beiges laJacquemin guerre ct fut désigaé le 3 aoüt dernier ea qaad'artillerie au regretté lieutenant Jacqnelilé d'sdjudant. attecnè au service des poudres et nain, mort pour 'a Patrie ; fut commissionné en quoiitê d'ofïicier assiliaire La compagnie du commandant Stevens; pour la durêè dè la guerre, a la date du 10nivemLe oersonnet militaire et civil da minis- bre dernier. Parmi 'e personnel d'éliie des employés et des lère de ia guerre beige au personnel dn ser¬ agents da service des poudres, il y en a deux dont vice des pondi es ; js vous demsnderai la permission d« vous Les rescapés ds !a poudrière k leur glo- dont padsv eacore : Ie eoHsmisprincipal de £« classe ricux commandant ; Gsiily et i'adjudant Van Alsleifi. La comoagnie des mortiers de francbées; Le eommis principal Gsiity avait u»e esrnèi'e Les officiers et ingénieurs des A. F. M. déja longue ; nö ie IS novembro1857,il s'étaileagagé au régiment du génie Ie 3 fêvricr 1884 ct be'ges k leur camarade Jacquemia ; Les ingénieurs et officiers des Etabiisss- rests au ssivice do l'armée jussu'au 29juin tS9l, en passin! sueeessivement par fes différents gra¬ ments beiges de Gravide ; jusqiró celui de l" aergeni qu'il obtiat te 3 dé¬ La direction des E abüssements beiges des t«S9. d'artillerie au regretté commandant Ble¬ cembre I.ë 1" juiltet 1891,1!fut admls comme employé ven s ; temporsire eommis aux écritures. II deviat em¬ L'Enlreprise Fongeroüe et ses ouvriers ; ployé de 3*cissse. puis, passant par les différents échelons, jusqu'a I'emploi de eommis principal de La Filature et Tissage de Gravilie ; 2«ciasse, pour iequêl il fut désigaé lo 31 öècemLes Infirmières de l'IIöpital coicpiéiuenbro 1898. taire ne 8 ; Attsch'éè l'Ecole de pyrotechaie denuis 190?,03 L'êqnipagedU Saint-Dufour ; l'appela au service des poudres au mois de raars L'Amicale de la Police du Havre ; dernier, Les Midioeltes Iiivraises ; C'éiait un fonctlonsalro d'un dévoaemeBt a Le Personnel militaire et civil da Minis¬ toute épreuve. tres intelligcnl, possédaut loutes tère de la Guerre beige aa Personnel fran¬ les quatités d'un agept d'èlite ; il apporlait a sa fache un zèle, une pomctuslitêet une conscience cais victime du devoir ; L'Association nationale des Orphelins de dignes do ïous les èloges ; d'un enracère cxlrêmement dèférant et d'uno égalité remarquahle. Guerre ;i leurs bienfaiteurs ; L'adjudanl Van Als-eia représenlo une figaro Le Personnel militaire et civil des Ateliers connue de toute notre artillerie beige, qui Ta vu Delhomrae et C*; Sondant de longues années 0 notro eher poiygone Les Officiers et Ingénieurs des A. F. M. c Brasschac-t, oü 11 sccondait Ia commission beiges 4 leur regretté camarade Stevens ; ó'expérience, exéeulant pour eile les travaux ct The Pierce Arrow Keiiy Springfie d and msnipuiatioRs de poudres et ê'exploslïs. G'étsit un ancien sous-officier de carfièrc. inJ«JTryMotor Gar ; carnant, dans toute la force du terme, lo type du Le Personnel de l'Octroi du Havre ; sous-officierd'éliie. avait-on peusö natBrélLes Officiers de la 6ie promotion d'artille¬ Icmont a lui pour leAussi service des poudre», daat il rie et du génie beige ; devaii consliuïcr un agèst de premier ordre. L'Ecole de3 apprcDtis mêcaniciens de Ia Eo lui aussi l'artillcrie bc-igefait une pe.ielerMarine ; fib'ement cruclle. I e surveftlsnt Lenardétait cgalemeBt un suciea Les Officiers rt Ingénieurs des A. F. M. servi'.Hir de Bos étsbfisSMnents.Ex-premier scrbeiges aux employés vietimes du devoir ; gent au 7«de ligne, il était entrè eomine surveil¬ L'Ecole Pratique d'Indnstrie ; lant è l'Ecole de Pyrotechaie 1e 20jinvièr ü>03. A.C.G.A, Sainte-Adresse, k leurs regrettès Ds lui, comma de tons les gradös, les tusréeompatrïotes : ch >ux-deBiogls . Royoarrt, Van Ifebrfe»,Logman, La Société des Forges et Chamfers de Ia W' Huns,Putz ; les brigadiers : Dsssüy, G rrsorls, Méditerranée aa personnel du Service des l.abisu, Foerier ct Van der Aa, lous choisis pour le service des poudres, s cause Öeteurs qusiüés poudres ; Le Syndicat Général da Commerce et de sérieuses, nous pouvaos dire qu'ils étaiest los servileurs du psys, dêvoufs. oVyant d'actre idial i'Industne ; que l'accompiissf-Hientde leur tèehe el ü'ufi paLe Personnel des II. F. M. beiges aux Vie¬ triotisnaea toule éprouve. times du devoir ; Eofin uotre pensée inflniment douloureuse va Le Personnel des A. F. M. beiges 4 leurs 6 tous ces braves soldats cmptfriês dans le déresretfés camarades ; _ sasire et qni sont moris au po$to a'honneur qai leur êtstt cöufiè pour la Palriset pour ie Ról. La Direeiion des Etablissemsnts d'artillerie II y cn a u'aulres donl nous hésitous a sarler be'ges au Personae! francais victime du de¬ teib raónt uoire eommiséraiion ponr c-uxest gran¬ voir ; de ; cc soul los veuves, les orpheiins et les pa¬ La Commission de tir aux Camarades de rents de nos chers mort», vers eux éga'emenl S'armée beige vietimes dn devoir. vont loutes bos symoathies et Bons bous incliLe pnbüc, profondémeut recneiili, Ia lêie cons bien bas devant leur immense douleur. Puissest iis ètre assarés de lout notre dévouenue, salna le passage der. vietimes du de¬ pour allcger, si possible, leur3 souffrances voir et s'iBC'ina, empreint d'un8 réelle émo¬ ment morales et matérietles. tion, au défilé d>-s femmes, des enl'anis, des Au souvenir de nos braves, nous associons ce¬ parents de ccs infortnn?s, dont plusieurs lui de nos Feres d'armes francais, les «gents des avaient peine k se soutenir. Dsines Schneider, que la même catastrophe a Les notabilités miiitaires et administratives •frsppés et.qui sont morts aussi vietimes ds la mêcifi fataiilé. venaient ensuite. Co serait mal honorer nas morts que de s'sbaoTout le long du parcours, des détache¬ au désespoir et au découragemont. Qnfils ments de soldats et ds marins formaiedt la donner eniportent leur lombe l'assurance, "tout, liaie de chaque eöté dn cortège, et des trou¬ d'abord, quedans leur? efforts n'aurout p--sété va'ns et pes rangées le long des trottoirs reudaient que rien no sera perdu du fruit de leur labeur. les honneurs. Ge ternble holocausts sur i'antcl de !« F drie Pendant Ie défilé, les mnfügnes, alter¬ doit é've ub©raison de olns pour nous de faire face au desiin et de prouver que, quand même et nant jouèrent des marches fnnèbres et exécirèrent notanimsnt ia march® da Chopin malgrê tout, nous avons la volonlé de monirer notro énergie »u mbade el que rien ne sauralt et la marehe ds Ssllenick. ab lire le courage des Beiges. Ls cortège arrivait vers trois heures au MaigréI'effroyable traverse, demain plus que cimeticre Sainte-Marie. jama's, nou» nous remeUrotis a i'ouvrage, nous La chapelie avatt été drapéede tenturesde reconstruirons ce qui aura été détruit et nous reprendrons nos efforts sans peur cl sans reprovelours sur lesqueiles se délacbait l'icscripches. tlOn Pro Palriit. . Adieu, chers compagnons, voire souvenir est Prés d ) ia chapelie. une estrade avait été imr-éiissabiepour nous. dressée, snr laquèDe M. lo m jor Lebrun, do Jamais nous n'oublicrons les heures tragiques l'Eoole de Pyroïeehme bnigs, et M. Ober- que nous vivons mainienant ©t qui font de vous hauser, directeur do la Maison Schneider, des héros que la Pairie honorera a t'égal do ses vinrent preodro place et proaoncèrent les plus braves cnfanis tombés sur les champs de badiscours suivants : tailie. Adieu 1 Discours de M. le Major Lebrun De l'Ecole de Pyrotechnü beige Messieurs, C'est avec un sentiment d'indieibla trisfesse que je viens apssorlera nos chers compagnons ae travaii, moris au service de la Patrie,viciinses du Devoir.I'adieu profondément ému du person¬ nel des Ateliers de fabricaiions de muniiions -de Belsque. Comment exprtmer Ie cbsgrin qui nous éireiat lc cosur devant !'f pouvantsbie msiheur qui est venu nous frapper el dans quclles circonstances. Grace a Fadmirable hospitaliié (lo ia France et a l'appui si compict que nous avaieat donné los tuloriiés frsi cGscs, nous avons pu depuis un pea plu3 d'un an insifiücr ici nos ateliers dans des conditions inespérCes et leur donner uno aelivite fecorxtc sans précédent poar eux. A notre chére armee, si éprouvée dans les pre¬ mières heure.' de la iempète döchaïnée sur oile par un peuple a jsmnis sbhorrè. nous «vions pu par un labeur opini&tre,donuer le réconforl souverain d'une recDBstitutioncomplóie de ses res-, s urees en muuitions. Nous éprouvions ce sentimcct que cheque jour nos ellorls devenaient plus fruelncux et que chaque jour «joutait une nouvelle force a celles que nous avians pu créer déja. Nous viviens dans nne sorte d'allégres3e que nous donnaii !e sentiment d'un si beau devoir. Enconragés par les étonnanls rêsultais obtenus grdce au devouement admiranle de noire person¬ nel, nous faisiofisde nouvuaux pfOieis pias ambitieux encore et ne pensions qu a accroltre de plus en pius ros moyens d'action. Et voici que soudain s'est abaitue sur nous I'aveugte fataiiié sumant au miiieu des nötres la devastation et la mort Devantla soudaineté brutale et Imprévue d'un aussi êpouvant bie maiheur, la raison reste confondue et fians l'impossibiiité d'admeitre une aussi affreuse rcalité. Est-il vr&ique tant de nos compagnons aieni disparus a jamais et quo nous ne pourrons plus compter sur eux nl avec eux 1 Nous ne reverrons done plus ce eher camarade Stevens dont, avant lout, je veux V.>uSn tracer cn queiques mots la carrière si pieine de promes¬ ses. Joseph- Albert-Stevens,né a 'Louvain le li jan¬ vier i679.fut adonisa l'Ecole MiiiiaireIe 49 septembre 1897, nommê sous-licutccaot a l'Ecole d'Appiicationte 19décembre 1839,et désigaé pour l'artfilcrie ie 8 raars 1908. Il fut désigaé d'abord ponr l'ariilterie öe forteresa#, ou il fut noraraé tfeutenant le M juin t9»a Disconi-s de M. Oberbauvcr Directeur d s Elablissemmts Schneider Au nom du personnel des usines Schneider, j'apportc un dernier adieu a no^ camnrades Beiges et aux nölre», frappés par i'explosioo qui a dêtruit ia poudriere de ros aiiiés et dont le souffle devastsieur est venu ravagcr nos ateliers. Les mots sont impuisssnts devant un let mal¬ heur et nous ne pouvons que plourer avee les families des viciitues ceux qui sont marts pour défendro four nays. 11y a des infortuoes a soulager, Ie nécessaire est fait et dos uiesures sont prises pour aUcnUPr dsns la p 11s large mesure possible Is? conse¬ quence? du ehóin-ge. L? lulte conire Fesvahissenr continue, plus Spre que jsmais ; 1! faut rclever ia têlè, rép^rcr les ruines et recommeneer la bataiüe sans merci, nuit et jour, pour quö ceux du front puissent eontinuer le combat. Toole? ies mesures seront prises pour éviter le retour de careiiles cstastfophes. Je remercie ies autorités civiies et miiitaires beiges, brilanniques et frsr.caiscs du concours intelligent, actif et üévoaè qu'elios nous on! apporté Je rcmercie le pr-r'onrel ouvrier ct employé des u»ines Schneider du zêle, du dévouement et da sang-froid qu'il a montrê dans ces tragiques eirconstances. Je lui demsnde do faire un nouvel effort et rsnpcile a tous que te mot d'ordre est toujqurs is même : au travail pour la victoire. Cettfi cérémonie prit, fin par l'exécntion de Ia Brabanconnc, du GodSave the King et do la Marseillaise, par la mussque'da 222" d'infanterie. Puis les autorités saloèrent une dernièro fois les infortunés parents des vietimes ei e» retirèrent en même teoap3 que la fóule profoudémeat attristée. A la Bourse Les affaires coramerciales ont été suspendues k la Bourse, de li heures 1/4 4 3 heu¬ res, en signe de deail. Condoléances et Charitè A la sortie de l'égiise, M. Morain, préfet de la Seine Inférieure, nous a fait part quit ve- nistre de la justice de Belgique, une soiame de dix mille francs pour les families des vie¬ times franchises. La population sera certainement reconnaissante de la généreuse intention du gou¬ vernement beige. M. Georges Bureau, députö, se troavant mobilisé et dans rimpossibililê de venir assister aux obsèques, a adressé par dépê¬ che au gouvernement beige, l'expression de la profonde éuiolion qu'il ressent et les sincères regrets qu'il éprouve. M. Louis Quesnel, sénatenr, retenu aux armêes par ses fonctions de capitame, s'est excosê par un téiégramme exprimant ses condoléances. M. Jules Siegfried, député, avait aussi envoyé ses excuses et ses condoléances. On a vn plus haat que !e lieateaant géné¬ ral Jangbluth et le général d'Orjo de Msrchc-velette représentaient lo roi et le ministre de ta gnerra 4 la cérémonie. Dès samrdi matin, 4 la première nouvelle de i'accident, Ie lieutenant général Jungbluth s'était rendu 4 Greville et avait aussi tót après fait part au roi des conséqnences de i'accident, Le souverain se rnuntra vivetasnt aifecté et chargea son adjudant général d'exprimer ses conaoiéances aux families de3 viclimes et de dire, en son nom, au directeur des usi¬ nes Schneider toute ta part qu'ii prenait aa denil qui est venu ainsi les trapper. Le lieutenant général Jangbluth était, dès Ie début de i'après-midi de samedi, retourné 4 Gravitle pour accompiir cette démarche. M. de Broqueville, retenu au front par des engagements qu'il no lui était pins possible de rampre, a téiégraphié ponr iéiiciter les ouvriers de la Pyrotechaie de lear courage et informer las families des vietimes qae les salaires des disparus leur serout payês jusqa'4 ia fin de la gusrre. Les membres da corps diplomatique resi¬ dent au Havre et 4 Sainte-Adresse sont venus déposer leur carte an ministère de Ia Goerre. Les Secours aux vietimes Dans le discours qu'il a proaothsê 4 i'occasion des obsèqoes des nulheurenses vieti¬ mes de l'expiosion de la poudrerie beige, M. Georges Ancei, député, a justement rendu bommage an dévouement ce tons Ceux qfli s dès ia première minute, Francais, Anglais et Beiges ont volé au seeours ». « Antorités civiies et miiitaires, Sociétês et particnliers, ont rivalisé 'de boane volon¬ té. Rendons un hommage spécial 4 l'initiativs eaipresséa de nos alliós hritanniques. Tons leurs moyens de secours ont été mis en oeuvre, et noas ne saarioas assez témoignor de reconnaissance 4 ceux qui ont exéeuté et 4 ceux qui ont dirigé ces dgiicaies opérations ». 3 Notre population ne manqaera pas de s'assccier 4 ce jnste hommage rendu a lous ceux qni sa dévooèrent en ces tragiqnes eir¬ constances, et satis vonloir en rien ditninaer le mérite des uns, l'abnégation et i'empressement des autres, on nous permettra dé sonfigner tont particulièrement l'importanca du concours apporté en cette occasion tsnt par ies corps sanitaires que par ies Soeietés privéïs attacbée3 4 i'armêe hritanniqnè. Dès les premières alarmes les nombreuses automobiles angiaises arrivaient Sur 16lien da sinistra et emportaient incessamment les biessés vers les höpitaux ou leurs domiciles. En raêmè temps que Ie3 chirargièns an¬ glais, d'importants détachements d'infirlöiera quiitaient les différents camps anglais de Sanvic at d'Harlleur et venaient, en praticieus avisés, procsder anx premiers pansements et seeonrir löus ies biessés qn'ils poisvaient rencontrer. Ils ie lire ut avec mie hahileté at ons rapidité qui firent i'aamiration de tons c®ux qui en farent témoiny. Bm nombre de biessés farent êgalemcnt accueiilis dan? les höpitanx augfais, notamment rae de Phaishoorg, oü !es'j?sr"-as conlinuent 4 leur donoer aes soins que i'on ne saurait trop ajïprécier. ont inlormé cfficiellemenl, an nom de leurs goovemements, que les mesures économlques prises 4 i'égard dë la Grèce étaient levées. Ils ont ajoutê que les vaisseaux grees retenus dans des ports allsient ètre relachés. II parait bien que le général Sarrail et te colonel Pallis soul arrivés a nn accord définitil. Les conférences se seraient teroHnées hier, L'attitnde de la Grèce au cas cü les Bnlgares pénélreraient sur son territoire resto donteuse. Les journaux anglais donnent de nombreux détails sur l'hostitité passive qa* geaa a nn moment donnó nos mouvemeats entre Salonique et le front. Les troupes grecques semblaient n'avo>r d'autre but que d'ensombrer les routes et d8 bloquer nos convois. Ge fait su flit 4 expliquer pourquoz nous voulons êtro seuls — on presque — 4 Salonique. Au cours d'une audience accordêe au di¬ recteur dn journal la. Tribune, le roi Cons¬ tants a déclaré : « J'ai donné 4 lord Kitche¬ ner des assurances formelles an sujet des dispositions de Ja-Grèce vis-4-vis de ('Enten¬ te. La situation s'aplanit. Dèi le début de fa gaerre j'ai tómoigoó 4 TEatente Ie haat intérèt que jo ports 4 sa cause, a Daasl'aiöiéegreepe La démohilisaiion des classes 1832a 1900 qui avait été décidêe par Is Gonseit desj mi¬ nistres et qui devait être iocessimmeut réafisêe vient d'être remise 4 one date iadèterminée 4 ia suite des changement® imprévus survenus dans la situation politique et mili¬ taire. Par öécision da ministre de Ia guerre, it sera formé une compagnie spéciale daas laquelle seront versés tous les maitres d'écoie, professoQi's et avoeats qni servent actuellement dans t'armée, et qni, après trois mois d'exercice approprié, recevroat le grade de sons-iieutenant de réserve. Aucune décision n'a encore été prise en ce qoiconcernel'appeidelaclasse1013. LA SERBIE ï/arffièe swk Le veïvöde Pntaik a déclare que l'arméa serba compte maidtenant 300,000 nmtés, aaxqnelles viendront procbainement a'ajoater 130,000hommes de renfort. L'armée serbe sera manie d'una nouvelle artillerie par les puissances de l'Entente. ENALLEMAGNE La -protestation de Haass Les jonrnanx de Berlin qui viennent d'arriver a Londres (datés de jendi sok) ne pub'iènt pas de commentairrs bien flaüeursaa sujet dn discours de M. Bètbröann Homveg. Les journalistes bariiuois sëmblênt d'acoord pour canstater que l'éloquénce du .chancelier ne souleva aucun enthousiasme. La plu¬ part des journaux, d'ailleurs, et surtout Ie Berliner TageblaÜ, sè plaigiient amèrèment quo la censöre impériaté' ne permette pas de aisenter fes térmeslda iiacours. Ges journaux donnent ie texte de la profestatión du leader sociaüste, M. Uaase, que fes tëlégfammes cfficiels n'avaieutpas trans¬ mis ; en voici la traduction : < Après les generalisations vagues et ambiacë3 du chancetier impériai, aprè3 les paro¬ les du docteur Spahn, il est nécessaire do constater ia fait que l'ensembie du Reichstsg n'est pas d'accord avec ces déclarations. Je tiens 4 declarer, poar ma part, et je crois que ia majoritó du peuple sera de mon avis (Gris de désapDrobation) qae je repousse de toutes mes forces les idéés qui viennsnt d'être esprimées ici. (Longs appiaudissumsnts sur les bancs socialisten.) Désirez-rous réeiiement que Ie résultat de cette boucherle soit de rèduiré l'Enrop9 ea Gn mohceau de cendres 1 Pour nous, nous dêsirons une paix basée sur ie rejet absoiu do teute espèce de conquête ! » Le cardinal SarlefrontduYard-ar A l'heure actueHe, Ia totalité dés forces franchises et angiaises a quiitê ia Serbia et s'est "repliée sur ia territoire grsc. La manoeuvre était difficile. I! s'agissait de ramener troupes, matérjel et apprevisionnements depnis Krivoiac jusqu'au de!4 de la frontière serbi-grecqne, soit snr une proIondeur de 60 kilometres ; et cela en eontenant un eanemi acharné qni multiplfait less attaques d'infanterie et d'artillerie, sihaultanément dans les trois directions du Nord, de i'Est et de i'Ouest. Le repli de l'armée franco-ar, g'aise d'Oricnt a été exécaté avec des pertes faibies en hom¬ mes et insigif.fiantes en roatériel. Les tentatives faites pour enveloppsr ou couper nos lignes ont loutes échoué ; et l'ennemi a subi des pertes considérables au cours de ses attaques. Notre ails gauch8 {troupes francaise?) a Dénétré snr le territoire grec par Gnevgheii, après avoir détruit !a gare du chemin da l'er. Notre alle droite (ironpes angiaises) est entrée en Grèce par Doiran et a atteint Kilindir 4 quelques kilomètres plus au Snd. Les Bulgares ont occupé Gusvgheli et Doiran, aban¬ donees par nous. Jiisqit ici, il ssmbïe bien que nous n'ayons eu aft'aire qn'4 l'armée bolgare du général Theodorof, qui comprend au mows quatre divisions. Aucune iorce allemande ou antrichienne n'a encore été signaléede facoa pre¬ cise sur r>o!re front. En avant de Sstoaique, les travaux de retranchements sont poussés sctivement. (Le Temps.) Hartmann chez ie chancelier Le Cardinal Hartmaan est arrivé 4 Berlin venaal directeuaent de Rome. II a été re?u par M. de Bethmann-Hollweg 4 qui it a readu compte des résultat3 de sa missioa aa¬ près da pape. Pour -recueillir l'or Le Journal de Genèvedit que pour arriver 4 rècusillir l'or qui se trouve encore entre les mains des partichliers en Aliemagne, Ia Reichsbank a ordonné 4 tontes ses succursales d'ASIemagne d'adresser aux locataires des coffres-forts une circulaire pour les inviter 4 declarer sur l'honaenr que leurs casiers ne contiennent aucun or monnayé. En cas .de refus de faire cette déclaration, les banqnes retireront les cases 4 leurs loca¬ taires. Les Allemands faisant des déclarations « sur l'honneur i » Oh sait ce qu'ils entendent par 14. Nouveau groupe de socialistss dissisdents Les députés sozialdemokrates , trentaquatre ati total — qui ont adressé au Vorwcerlsune lettre dans laqueüe its déclarent n'ètre pas d'accord avec le discours da chan¬ celier, viennent da décider ia formation d'un nouveau groupe: On dit qu'ils refuseront au Reichstag de voter le nouveau crédit de guerre de 10 mil¬ liards de marks. Une grosse affaire de fraude en Aliemagne Les journaux allemands se sont décidés 4 donn9r quelques détails sur un procés intenté au nommê Arthur Jaeoby et 4 ses complices, conpabtes de fraudes importantes dans des iivraisons de chaussures ponr i'armêe. 9,400 paires de chaussures ont étó reconOn conti me que ie gouvernement a ordoané au 5« corps d'armée grec de se dépfa- nues compiètement inutilisabies póur ia gusrre. cer et de qavtter Salonique. La marque d'un fabricant qui passait pour être coiisciencieux a été contrel'aite et ap~ pfiquée 4 des chaussures qui ne sortaient Les pertes ennemies dans ie? Bilkans sont, pas de r.liez lui ; 4 la date de öe jour, les suivantes : Oa a trouvé beauceup de semeiies ea pa« Allemmds : 27,000 tués ; 43,000 biessés ; pier ; Des chaussures refosêes ont été comprises 47,000 malades. dans des iivraisons ültérieures, etc. . . Aulrichiens : 23,000 tués ; 58,000 biessés; Détail assez amusant : les antorités miii¬ 51.000 malades. B'ilgares : 11,000 tués ; 32,000 biessés ; taires avaient interdit de livrar des chaussu¬ res des pointures 40 et 41, paree qu'elles ies 8.000 malades. considéraient comme trop peütes. Les inTurcs : 3.000 tués : 14,000 biessés. Le total dos pertes s'élève done 4 347,000 culpés, jugeant sms donte qu'il y anrail dans l'armée antrichienne plus de peiits doot 64,00# morts. Comparees a ces chiffres, on peut dire que pieds que ne le crovait i'intendacce, Ont Fivré des chaussnres de ces pointore3, mai» les pertes des ADiés sont légères. Les Dulgsres n'ont tant sonffert quo pour ies ont alTectées de numéros plasélevés. Les ccndamnalions ont été sévères. Jaeo¬ avoir appliquë ies méthodes allemandes en répétant les attaques en formation com¬ by, le principal inculpé, s'est vu infliger ie maximum : 5 ans et 2 mois de prison et pacte. 5 ans de privation des droits civiques. Parmi ses complices, Rohn a été condamné 4 4 ans et demi de prison et 3 ans de privation des droits' civiques, Schmidt 4 18 mois de¬ pri son, etc. . . D'après des renssignements puisés dans les milieux diplomatique?, ie roi Constantin, au cours de i'audience qu'il avait accerdée, samedi, aux ministres dès puissances de l'En¬ tente, aurait donné des assurances personneiles qui sont jugées satisfaisantes. Les journaux aunocoeut que les quatre LECH0IX ministres de '.'Entente se sont rendus aaprès L'armée grecque deSalonique LesPertescBBcmies * LA GRECE LaGrèce et !aQoadrnple-EMe du Gonseil, qu'il# naitderecevoirde M.GartendeWiart,mi¬ deM.SkoHioudisLprésideat POURVOSOIAMANTS VOYEZ ETLES PRIX CHEZ GAUBERT, Ia Fell! Havre — Merere^15 D&emBre19# TJMTRES a COÏCEKTS CHRQKIQÜB RËRIOHALB if teaait leefavier, n'empèchèrenl point Emile Santreuil da s'adonner & la composition fc'Ansóert MONOEVflLE ; M. Ansbert 80N: musicals. II a signé plusienrs msses d'nn IfJfLU «' Gadam» ; 8. Amédie 80NDE| style distingaé at d'une belle expression, de VLL,E'Foh,lisê; 8. /tend SONDEViLLE;8. [ norabrenses mélodies éiitéesoüs'accnsaient Louis PAIN, mebilisé nu front. Madame el Graad -Thêêlre !»urs Enfants ; 8 Georges PAIN. mobilisé la délicatesse et la fraichenr de son insoiraGraville-Sainte-Honorine »U frool, et Madam»; S. Engine PAIN. mo¬ I tion, on charmant opéra-eomiqne, Ninon, Samedi 18 décembre, 4 8 h. 1/1, la tonrbilise, et Modem»; St. EdmondPAIN,mobilisé, Modlern - Cinéma i sur un livrei d'A birt Fox, qui fot repré- née Charley donnera au Theatre une repréMadam»et leur FM»; #. AndréPAIN.mobilisé Stoa, iionie jVationale, soa ■senté sur plnsieurs scènes, au Grand-Thé&tre «rotation du grand nnccès du Théötre de la »u front, Madameet tear Fits; M Fatal FIQUET, Bemain Jeudl jmatinéo et soirée], Vendredi, PorteSaint-Martin, Madame ia Marechalr, piè>ioB«commencCTons jcudi la pubiieatioa dn Harre notamment. prisonnler «b-guerre, Madamenee PAINel tears Samedi et bimsncbe |maiioée et soirée) : Artiste anx sentiments gênéreax, Eniite ce en trois actes, avec costumes Empire de Enfants; 8"* Veuce Abraham PAINel ses En de Tcuvre noavelle de M.MarcelDnrey: Sautrenil n'a cessó do vant toute sa vie a'.--p- la maison de Grenier, de Paris. Le grand suceès : Le Pont Fatal, elnédrame fants ; M AntolnsQUA8I0N,mobilisé au front, en irois parlies. et Madame,nle PAIN; *»• Madehir.ePAIN: M. porter gracieaseaaent Is concours de son Dimanche 19 décembre, en matinée, 4 2 flox Linder dons Vu Mm-iagc toreé. MarcelPAIN-, lis Families80NDEVILLE, 614,1 talent è toates les oeavres de charité liavrai- h. 1/2, et en soirée, 4 8 b. 1/2, l'opéreite Les Contrebandiers, drsme sniéricaia, ete. me*, hicouahd. font, savalle. sou mint ses. Tous lea concerts de bieafaisance le francaise d'Edmond Audran, La Mascotte, Iff NT. POUPFL NOHOET.ÏROUYAY.PAIN,BA Les cartes doanbesdlmanstiedernier sent teaioars tronvaient prêt a co!laborer. avec ie concours de Mile Mary Lebey. p e- autables. NIAU.COLLO/ABEL, LEROUX,les nutrss Membres Médaillé de 1870, officier de ^instruction mière chanteuse du Théatre de la GaMó.Oras la Familie tl les Amis, pnbliqne, membre d'honnenr de ia Lyre Iïa- chestre et choeurs sons la direction de M. Graviile-Salnfe-Honorlne Oat ta Couleur de vous faire part de la perte ▼raise, de {'Harmonie Maritime, mem ore du Dufy. erueile qu'ila vieaaent ö'éprouver ea fa per¬ Emprunt5 0/0. — ExepplionDetlemenf,et poor jury de nombreux concours de mnsique, La location est onverte 2 partir de mersonae de „f"!»''"» tflfw IE MAHCHAND ; M. Jean LE recevoir les dernières souseriptions * Temprant, notre eoncitoyen disparate a l'age de 68 ,ans. credi ponr ces trois representations. fc BaHiN0. '!s tamil!e* LE MAHCHAND, le bureau de la perception, 34, route Nationale, enievè par nne longue et erueile mal d>e MonsieurAnabsrt-Louia MOSDEVILLS LEBHtT. LUhEL, L EP IN AYet HE BE FT, remerLes billets dêlivrés pour les représentare lera ouvert aujourd'bai mercredi, de 9 beures dont Tissue fatale n'a pn qu'ètre relardée cient les personnes qui ont bieDvoulu assisSoldal au 929* Régiment ê' Infanterie iions de samedi 11 et dimanche 12 décem¬ a 3 iieures. ter aux convoi, service et inhumation de par Tempressement et le dévcnement de3 bre pourront êire ch tngés ponr ia soirée du L»s versements avec prélèvement sur livrets ie leur époux, fils, frère, bean-frère, oncle, cou soms. Caisse d'f pargne sent toujours adrois. 18 et pour ia matinée et soirée dn 19 dé¬ sin et ami, décêdé des suites de ses blessu¬ Monsieur Louie-AugusteLI MARCHAUD Moris au Champ d'Houneiir A Mme Emile Sautreii. 4 ses enfants, 4 son cembre. res, le 18 oetcbre i0!3, dsns une ambafaace, a frère Albert Sautreoif, qui prolongent la tra¬ l'age de 32ans, La niairie de BratteviTe tient d'etre offi- dition familiale ea servant Ia cause de Tart Et tous prisat d'ossister au service religieus BOURSE DE PARIS qui sera cébibré a sa mémoire, ic samedi 18 cieilement avisée de Ia mor t de M. Aibert- musical, nous adressoes Texpression èmm FoliesBergère 14 Décembre 1915 ifêeoBibrecourant, a dis beurss du matte, en de boscondoléances. Heari Vasso, de la classe ISfü, caporal d'iai'église d'Octe'viHe-sur-ifer,sa paroisse. rauteri a colonials, tombé g'orieugsinejit le Aujourd'huimercredi,4 8 h. 1/2: Prist ftieupaw le reposdc sobóme! 23 septeicbre, a Massiges. JltSQli AU BOUT 1 Reet!» Y®yage (FBBSBtlaatiqiie suspondu Be sou tee privés siaio ctrtaiae, on an¬ Dsrnain jeadi, 4 2 h. 1/2, Matinee avee Londres.. . Oa commuBique Is note suivaafe : (83Ë6Z) nonce la mort de M. Aadrê Leber, instituDanemsrlt, Le voyage ds ia Compagnie Générale Revue. feur-adjoint, ebargó do cotivs complemen¬ Transatiaatique de Bordeaux sur Nsw-Voik, Cette re-présentalion est donnés a Ia de- Esnagae... taire, 4 l'écoïe d« sargoas de THótei de Villc dn samedi ü décembre, a été supprimó. mandc de personnes ne pouvant assisler, flollande. . M"*EugènaHANIN,sa vtuve ; Itsiie de Fecamp. 11a étó teé dans les jonraêes dé Les correspoadances qui devaient ètre di- pour diverses raisons, aux. spectacles des soi- New-York. /»»•fagtnle HANIN; Rn septembre, &fa lète de sa section. M. Le¬ rigées par cette voie sont aciiemiaées sur rées. M Henri HANIN; Norvèvc.. ber avait 31 ans. Sergent d infanterie, i! TAnaieterre ponr ètre espédiéss par Ie plus Location de 11 hemes 4 midi et de 1 h. J/2 Portugal. . B. ei S" SfaurieeHAIJIN el lenrFiile ; avait été précéd«Bast«Et b'essé et avait été pvochain courrier. 4 3 heares. Pétrograd. M. M" RobertLASATEY, nés HANIN ; preposé pour is grade de sons-iieatenant. ses enfants : Suéde Toutefois, les envois recommandés pcrM" une» CR AND VAL, sa belle-mère : Suisse M. Louis Lebarbey, de virviiie, soidat de la tant l'indication « voie Bordeaux, voie franM" eeuoeProsper LE0ESLEet ses Enfants; Tbéètre-Cirque Omnia #Iasse 1914,blessé le S3 septembre, est mort ciise » ou toute autre équivalente, ent été IB.tl M""Ar/nanüBELOOF et tears Enfants; I fffijtrfiitw» dit Journal tm MA NAHMS £ dé ses blessures, i Epernay, ie 3 novembre. coaservés pour ètre expediés par le puque8. et M" BAH RO*t isars infants ; Clnéina Omnia«Pathé S M. Ssa remaaauA a 9 bot francais qui partira de Bordeaux Je 18 8. ut8" 8ar»»l LESINPLE et leurs Fittes; Apjourd'bui mercredi, en matinée 4 deux 8. el 8- Henri6HANOVAL ; décembre. Cilatieus « i'lfirdre d» Jeur I LETTRES dk OÉCÈS f hsures et demie, en soirée 4 buit beures, déLesFaailhs BOFOOH, PAT/HE et MARTIN, but da nouveau programme de cinématoSes beaux-frères, belies-seeurs, seveux cl J Btytli C tuiM le Oul ♦ Dó f Armee M, MOTET MSÏÏ.SJ.r.ö&Bstfjt iï.f.B -TRHit srsphe de la semaine avec h» aièces, NAISSANCEt Lc 4 décsisbre, aans RnEoncions la moré Marehande de Fleure, Ce que Femme Oat ia donleur de vous faire part de is Du i4 dèennbre. — CarmaiBOI1AMEL,rue au champ d'hsnnsnr de M. Ie eapitaine Joparte Cfiieite qu'iis viejment d'éproaver es la vent Rigadin célib'toire, Dvpeur dupe. ffiAnsterihz,9; France BIBOIS,rae d'Etre'sS. 33 ; I7es Ëalaatu lerbes ' seph Daprez. dn 239» d'infanterie. Get ofiipersoBuo de Continuation des 58 yntèvr» de K»w-1orl4 3i«r vient d'etre cité en ces ter mes 4 i'ordre L'Assccistion nationale des Ophelias de dins ie second épisode. Palkt-Joumal et les Mar»si DÉMA8E, rne öe l'Eglise, 71; Eiiane LE föoaaicur Eitgène HANIN ruc d'Estiaaaviüo, S7. Je i'armèe : la Gnerre (Permaaeuce centrale 4 Paris, 40, dernières actnaiitês de Ia guerre teFminent MAR'EC,Ancien Dresseur és Cidre du Havre Le freidet i'bnmidUéessspèreal ionics les affec¬ OfBeicrde ia pias rraade bravoure. «Raïl ius- naai d'Oriéaos) a, comtne on le sait, déeidé ce spectacle exceptionnef. tions chroniqués des voies respirstoires ; anssi, décédé ie dirasncae 12 déeembre f'.'jp, a 11 «O'a is témérilé. S'est élascé to 1" octobre 1918i I de recaeibis' innmédiatGaient, quel qua soit Les personnes atii avaient pris ieurs bil¬ en cett«>saison, recomtaaBdons-noas ta Poudre het1res du raaiin. dans sa .30«asoCse,ituri Le plus Grand Gholx fass.iut tie trer.eïiêKSallemandfts, s'est empsrê de ieur nombre, tous ies orphehn» «fa ia guerre lets en location samedi pourront les faire Louis Legras,ee merveilieux remede qui a obtemi des Saercmenls de TEgüae, deux mitraülpuses qu'il s'est' rfforeé de mcltre serbes dins sa section dn Midi (colonies de servir I» plus feauterécf-Eipecs»b TExposition üniveraujonrd'hui. En cas contraire, les remEi vous pvisirt de bien vouloir assister a hers de service et a Eiè griÈvemenf atteiat au Cannes, Juan-les-Pins, selle ie 1909.Elle sou! se iastantauémeat l'aslhboors^ménts se ferost an bureau ds location ses convoi. serviee et r&bumatios.gei auroct moHieat oii i! cberehait h organiser Ie terrain Saint-Jean-Cap-Ferrat, 9, Bd de Strasbourg itél.93) me, le esifisrbe,l'esseüMesient, Is tous «!eviebles Ponpönvuère3 de Nice), oü ils serent euionlieu Ie mercreai 13 coursat, a trois üeures tfu 4 partir de dix heures le matio. Les persoanes «ertquis, sur iequei, essaite, sa ceatpsgnie n'a pa rés WOÏTURES dcu. 47 tl. bronebiles, ies suites de pleurésie et d'influenza, des soins les pius tendves et fes pios vi- ayant pris des biiiets d'avance pour ia mati¬ soir, en Tcglise do Bié'Hte, sa psroisae. se maintesir. el guévli progressivemeBt.Uae boite est expedite gilants, et vivront la même via de familie née et ia soirée do dimanche pourront s'en Oa se réïiaira an domicile mortuaire, rue coBtre msndat de 2 fr. 10 adressé 4 Louis Lesras, Ia famiile da ce brave a ree® de la Croii- que les petits orpbefins de fa guerre fran¬ lean-Weber, station des tramways RastsuraBt servir dimancne proehain oa sa faire rem139,HdMagenta, Paris. Roage ds Geaèvo Ia communication sui- cais. M. Yesoitch, ministre de Serfcie, a réThieuHesi. bourser 4 voionté. vattts ; pondn ; « Messieurs, c'est une bian grande fri-iM t'ïf is nm tom tei'. Bureau de location or,vert de 10 heures 4 Nous avoss reeu de dsex soidais bavarois les oeuvre qae ceiie des Orpheiins de la Gaer re. midi et de I b. 1/2 4 3 heures. OECÉS 11 us sera pas sn-rojó do lettres d'inièces et phot&=rapbiesei-iceluses. Les soldats Je ne saarais assez vous proever toute ma vitatiou. le préseot avis en tenant lieu. Dl« i-ADètemlr».— GORJÜ, m ort-Bé, taasculin, yOUtCEt ics espTlcalioassntvautes : * Nous avoas gratitude et mOn éasotion pon? la sponta"t*[""rfyiimTBTiirii'rtf'iMBiB'ffnriMM** i*irttwroxE APBÈSotENTREtesHEPAS rue rts Fieurus, 10 ; Celestiae DELALANDE, épouroavé hier ie corps d'us officiorfraBgaisappsr- néité de voire offre. An nom de mon gou¬ 14.18 (8291) se V1GOT,42 aaa, sans profession, rno Hélsne, 4; CBsatoa 230» d'infanterie. Cel officierest tombé ■ii oe'obFs tot.3. Nou*vous prions de faire sa- vernement et de toute la nation eerbe : Reymoed LE KOEL,1 an, rue Persaaviüe, 9 ; Marei f » ir sa mort a sa famifie.» Sur ïe Front ! Slsre BERURE,19 ans 1/9, jouraaiier, rue des les dispositions en eonséquenee 8" Emile SAUTRENIL; Mos Bteseén £ Remparis, 16 ; Augustine GtiLLEMARD,11mois, ".e eapitaine Duprez, parti, iors de Ia rno- ontTantes été prises d accord avec M. Vesaitch et 8. EmtieSAIJWéUIL,soldst au 94«terrilorial, Ko# Prisoiiniers I rue du Lyeêe, 4 ; Gélesiiae LEFÈV'RE veuve 'sation, eomme lieutenant de réserve, !e gouvernement serbe 4 Scutari. Le pre¬ et 8" EmUaSeUÏBEUIL; Hl'ET, 73ans, saas profession, rue de Normanété proma capitaino ea avrii 'dernier. 8. et 8" MarcelSAU7MU1L et «,!*Ctaudtns mier convoi des enfants serbes quistera in1 4, rue Edouard-X.ai'uc, 11 die, 925; Jean DUVEtifss, 7 4 ans, terrassier, rae ut aacien éiève de l'Eeole primaire su- ctssamment Athèues ponr Marsetlie oü one tear Fill»; de Mofitiviltiers,73 ; Eueèse RICHER. 8S ans, nre du Havre, ancien éiève de l'Eeole déidgation de petits orpheiins de la guerre «"• cease BenéSAUTRENIL ; Ge soir, a S henres, débnt dn programme journnüer. rne des Gaiions, a ; MarisSAIZ,êpouso rts et métiers de Liiie, et ingénieur aux i frangais ira les recev6ir 4 fa descente du 8. RobertSÉRNAGEO. j eigent a lïBlendance, soivant : LAPOiHTE,26 aas, jouroal er®, piage des Haliestiers Mormand du Havre, 8" Robert BERAHSER et leur Fits : batean. On demande un candidal (comfqne) ; Captain C -Dirsies.14; Eugénie DESANAUX,épouse RÉ8- Jean SAUTRENIL, caporal au 236*d'infan¬ abitait SaiEt-LaoreiR-öe-Brêvedeni, oü | La prochaine permanence de l'Association Kate (aventure) ; Premières Amours (semiterie ; MOND,28 ans, journslière, ruö Frédéric-Belianère exerce les fonetions d'institutenr. nationale des Orpheiins de ia Gaerre aura mental) ; Polidor presse (ioo rire) ; Snob Pro8" et Cés/IeLEBOUT; g>r, 10 ; Emiie SAUTREüIt,,66 ans, professeur de ï femme celles d'institutrice. Ii faisss HYGIËNE samedi proehain 18 décembre, 4 i'Hotel prio (conaiqne) ; I, A PJLAfE TIDE 8 Albert SAUTRENIL ; tnusiffiie,rne de I'«ris, 131; Gornélie LAMBERT, x enfants ea baa-age. Notts adressons 4 lieu 8. Louis HEVEL,soldat au C. 0, A., M" Moderne. Les inscriptions des petits orphe¬ (grand dratue) ; Camille empoieonné malgré épouse ABDE, 72 ans. sues profession, rue femme épiorêe nes plus syrnpathiques Louis BEVEL a leurs laf bats ; iins y seront recues, ainsi qu? les adhésions lui ! (comiqus). Thiers, 07. ndoiéances. LaFamilieBAHOUY. Ds Parents et les Amis, 4 TAsaociation. Les dons en espèces et en Orchestre suns !a direction de M. G. Fleary. HILITAIKES Ont la dmiüeur de veus faire part do perte Le générai Iléiy d'Oissel, commandant Ia nature seront êgaiement reerts avec nae cruelKJqa'ii, vicaucst U'Opruuverco ia per¬ TROXGHET (Albert!,42 ans, soldat au 13* barégion fortifiée de Dunkerque et le . .« profonde reconnaissance. ™ , ,, O «lil sonae de (aiti-jjietechasseurs a pied, ctsiaehü ans ateliers Pocaette^#! ^0 Pharmacies Corps d'armée, cite 4 l'ordro du jonr de l'arSchneider, dinaicilié a La Bazage(Ssrthe), Höpita! nsêe i'ofiicier d«s équipages de la fiotte Woosieup ErnHe SAUTREüiL Pasteur ; PECQUET(EdraoBCh,29 ans, soldal au Emiie-Georgss Devisse, du f« régiment de Exiger Mam* VïOHY ÉTAT Professeur ds 3lus>qite . TT* rfiginrcHt rte drcife'oag, cms «tK>!fcrv fnsiücrs raaring : Cl'sanrsre ct rEgiïsc Saiïïc-rmes-nt-de-Paul Schneider, domicilie a ooafreviile-SOreher, Hos¬ Officierde UnsDuclto-t publiqus Officierti'ans aaiiviié et d'ime énergie exern- J pice Générai ; MEitTENSHenri), 2S ans, soidat Médailléde ÏO-71 blaire, hlessé trés gfièvemeBt, les deux jambes j Tm Iftaelie (rappe deus Beiges et de 2»eiasse, détacheiuenl des ou vriers d'arliilerie VOULEZ-VOUSVOIR BIEN CLAIR aécbiqaelêes par ua ofcQ3,a continué é douner j leur êpoux, père, besu-père. grand-père, frère. N'uscz poar volro J.,AHl*E DE POCHE que un Mareeain. aricée beige, Ilospiee Générai; MARAISiEugène), ses or.Jres su sjrougeda ploaniers qa'il eomman- | oacie. cousin, décédé le 14 décembre 1913.4 Is pile marque 1LA. LLMIÈRE ï' O 2; k tlaü Jasqu'4 ee que t# service fut parfaiieaienl as- I Ua moment d'émoi s'est produit fundi 33 ans, soidat au 28*régiment d'infanterie, détaebé une hecre du matin, dans sa es«annêe, muni tors. Eile se trouve dans toutes les bonnes suré : atupctó <Subo cuisse. aus ateliers Schneider, dofcicilié a SonfreviBc. des sacr«3mep.tsde I'église. soir, entre six et sept heures, dans Ia rue maisons. Venteen gros, 7, ruc St-FloroBtin.Paris. l'Orcher (Sdne-Inférieurc) ; THüNE (MarceU,24 i M. Eroiie Devisse, a été déeorê Ie 23 no¬ Baxan. Et V033prient de bien vouloir assister 4 ses 11,13.15(3549) Com*s gratuit «Ie pltotograpliie. — Ce ons soidat au 13»régiment d'arüllerie, doniicilié vembre par S. M.ie roi Albert I«, en pereonvoi, service et inhumation, qui auront Cette rne, si souvent Iroublée par lea soir ttiererodi, de 8 h. 3/4 a 9 h. 3/4, au local de lieu te jeadi i@ courant, a nest heures du sonne, an litre de Chevalier de i'ördre de agressions de toutes sortes q»i s'y commetla Société Ilavraise de Photographic, 18, roe Gus- au Havre, rue L'misrline, 43,Hospice générai. matio, ea Téglise Ssinl-Vincent-iie-Pauf. léopold . tént 4 toute henre, venait d ètre ie IheAtre tave-Flaubert, cours graiuit, par M. LscaiPe. Su¬ Le bénficiaire de cetio éfeciense eilation d'une nouvelle seèno de sauvsgerie. On se réuoira 4 i'Egiise. jet traité : LeRevfarcemet.tdfs néqaltjs : I' par Ie est le frère de M.A. Devisse, géamètre-expert Spécialité de XXeu.il Sans avoir été provoqoé le moins du oteklofure de mercure, £* i'iodure meren»ique, els. PfilïSimpaf!»fSH! feI0Biat! Le même cours aurs lieu ïe jeudi aietio. de 4 Criquetot-TEsneval. monde, un jeune apache s'était jelé furienA L'ORPHELÜUE,13 15, rue Thiers 10 h 1,2 a II h. 1/2, pour les dames el demoi11 ne sera pas envoyé de iettres d'insemest sur deux soldats beiges qui pas- se;les Bfittil eompfót en li"*beu re « vitation, le présent avis en tenant lieu. saient et un sujet marocain. I! avait réossi a Sar demacde»cno persoBseiaUiée au denii poriek S'inscrire au IWal, a l'heure des eours. cboisir 4 öoieicile les b'esser tons trois a coups de coutean. Lo Marocain, noramé Mcktar, 4gé de 21 TELEPHONE 93 Les souseriptions eont recues lans asiKerersdl.. 13 ans, jonrnalier, ree.trait a son domicile, 37, fun fp«is chrz ; rne Bazan, lorsqa'il rsyut un coup de cou¬ tean dans les reiEs. Oa dnt le transporter 4 8"' AlfredBURGER,sa veuve ; 8"" Ray¬ niopital. monds,Ida et Lueienn»BURGER ; 88 René et Service des Eaos. -r Avrii cl'eau. — Ponr 9. ruc de la I'als, ILe Havre. Quant aux deux soldats beiges, Van Mayl- répsrstion d'un robinet de borBc-fontaine, la con¬ Nartel BURGER, sas enfants : #"*• Anna et Ida der et Jacques Cloots, ils reijurenj s ie pre¬ duite d'eeu dc in rue Mlchel-Yvon, sera foraée BURGER , 8. et 8a' EdaaardBURGER, ses soeurs Décembre 8. et K" DOUVRY. ses père et rnère; 8. et frère ; 8. st 8 *• HenriHERTELet tears en¬ Woisalaallüïi mier un coup de conteau au-dessns de i'oei! aujourd'hui a 10heures du matin et pendant qutiRené BOUVRY, su 366' d'infanterie, selneüefants ; 8 et M*"LESAUrHOtS et tears enfants ; ques heures. droit, le second un coup de Ia même arme Nous relr-vons 4 I'Ofjicitl, ia nomination tu.-fii n;i front, son frère ; 8,u' Jeanne et 8. et 8<" GeorgesHERTELet leur FUie ; 8 si LouiseBQUVRY, ses soeurs; 88. Louiset Gas¬ tm grade de sona-lieHtenant.l'aspivant Pierre dans ia baache gauche. 8" MauriceHtRTEL.s s heaux-fiéres et beltesOn pense qua ces diverses blessures ne ton 03UVRÏ,ses frèr- s ; 8. EmileDOUVRY et sa Eiöy. Le nouveau prorna est ïe fits de notre seeurs ; 8. SbrephmHERTEL ; 8'-' oeuaeAVISFilie; 8 PrudentDOUVRY, s -.s enc-ns et con¬ SE. sps obcS's et t<n>e; Les Famtths BURGER, aoncitoyen, M. Geerge» Eicy, assarenr, qui a metient nuilement en danger ia vie des vietimss. fine ; 8. EdmondSI0OH et èes Enfants; 8" LECOHTE. MÖHSCH, BRASSEUR, BARUBE, GANO. Vendred!..17 sixds ses fils mobilises, dont un, béias ! est ceuooARGENT/N, nés SiMON.et ses Enfants; L'anteur de cette iache agression fut bienBOURBON ; M. le Dirgsteurct le Personnel ass dispara depuis le 22 aoüt 1914, et na autre 8~" osuss SI80N et ses Enfants; les Families goelété Mntoelte de Prevoysnce des Eai Ltablisssments Schneider et C*, la Familieet töt désigné a la police pour ètre un nommé Décembre prisonnier 4 Müncheberg. BARUU, 8 AIRIERet OuTEUBTRE, ployés de i'omuierce, au aiêge eoclai, 8, roe les Amis. Nous adressons au jeuns officier et a sa André Cavalier, agé de 17 aus.il s'était réfogié Oaligcy.— fAisoiionon• 220. Oat 'a douleur de vous faire part de la perte Ont la Couleurda vous faire part de Ia perte dans Tiramenbie portent le numero 32 de la fömiüe nos bien sineêres félieitations. erueile qu'iis viennent (I'éprouver en la pererueile qu'iis viennsat ö'éprouver en la perCou • Techniques commerciaux rne Bazan, en apereevant ies agents lancés 4 socae de sonne de sa poursuite, et e'est au denxième étage de «-ours du Merci'odt Teasgé du Keuvel Au dans Ie* Eeecetie maison que les policiers parvinrent 4 Monsieur André DOUVRY Umm Aiirefj-Sysiave-Désiré BURGER Droit Commercial (Pref. M.' Eude, avocat au tea haoras pia«S4««sd'an ute, fes priissaive» élémentaire» et l'arrêter. tse fièpwts poaroa its b JstAsbarresii du Havre). — 1" aunèe, de 8 h. 1/4 a Capi-relau i50' d'Infantiris, Deainateur aux EtobhsiementsSchneider m«iev-aci5w». Ajors qu'on le conduisait au poste de poiice 9 h. 1/4. Cité u l'Orére du Jour de la Brigade, décédé accidentellementle II déeembre 1913, Espagnol (Prof. M.E. Vassia, vice-consul d'IlaBècorêde la Croixde guerre, M. le ministre de {'instruction psb'iqne a de la rue des Drapiers, ii fut un instant arraa to heures du matio, dans sa 50*annêe. ie|. — ir' anoéei, de 8 b. 1/4 a 9 h. 1/4. Et vous prient de bien vouioir agister Ases actorisê M. le préfet, eomme i'an dernier Cbé des mains de ceux qui Ie enndnisaient et tué a l'euüeiai Ie 26 septembre 1913,dans sa Ia loule voulnt lui faire un mauvais parti. li convoi, Bervtce,et inhumation, qui auront lieu La Soclêtè se charge de procurer a MM. les Nego¬ st ponr Ie même mo»if, 4 donner congé aux 21*année,. ie jeudi 16courant, a netrf hfures du maltn, êcoles pubiiqnes dn 24 décembre an 2 jan¬ s'en lira avec qnelques hortons, g ace 4 la tiants, Banquiers et Courtiers, les employésdivers Et vous prient de bien vouloir naaister a ia en 1'èKÜsaSaiat-Lêon, sa paroisse. i#at iis auraient besoin dans teurs bureaus. Le st. fr. Iiermioe, ven. do New-York,est arr. a vier, ia classa du vendredi 24 décembre de- protection des agents. raesse qui sera dile en sa mémoire, !e veaLe chef du service se tient loua Sesjours, A la Bordeaux le tl ö«;e.,a 19 heures. Dans le poste, André Caveiier fut formsiOn se réunira au domicile mortuaire, 10,rue vant être reportée au jeudi 23. dredi 17déeembre iSto, a neaf beures du maBourse, de midi a midi et demi, A Ia disposition Le st. fr. Cautcnac, ven . de Grimsby,est arr. è de l'Observatoire. lemenf reconna par ses vie imes. Comma ii lio, en Tégiise Saini-ViEoeiit-de-Panl,sa pa¬ des sociétaires ssns empioi. Dieppe la tl öéc. parait être de la bande de ceux qui n'aPfin6ÏS1558?ISast» U 839llil roisse. Le st fr. Amiral-blieUy,ven. de Haïphong.etc., vouent pas, ii a nié avec aplomb, maïs ses Enseigneaiant primaire 11.rue Pauï-Lueas. II ne sera pas envoyó de lettres d'invieat arr. a Marseilleie 11déc. Sociélé «les Anciens ïliiifaïrcs Colonianx dénégations ne servent de rien en prèsence tatioa. le présent avis ea tenant lieu. Le et. fr. Iloniurm est passé au cap Spartel lo Gfit été noramés : i,83ö2z) des accusations précises des témoins aai — Reunion génerale aujourd'hui mercredi 15c.;u 19 déc. rant, e 8 b. 3n du soir, a l'Hötel öc Vilie, Salle I. lüsUluteurs et Instituérices ont été entendus par M. Ganthier, cemmisLe st. fr. Léoville, ven. de Dieppe, est arr. 4 Paiement des cotisations. Grimsbyle to öéc. Adjoinie au Havre (Renouf), Mile Savary, saire ds police de la 2« section. Le st. fr. Péroei,ven. de Sainl-Nazaire, est arr. adjointe a Graville (Centre), en remplace¬ Caveiier a été mis 4 ia disposition du par¬ 8 et Af" GeorgesPIERRE,nés HUET ; 88. AColonle 12déc , a 10 beures. ment dc Mlie Arznr, mise en congé sur sa quet. Pauhts, Maxime et André PIERRE,s>s petitsLe st. fr. Quebec,ven. du Havre, ete., est arr, 4emande. *** fiis ; Ds FamiHesHUET, LEFÈVRE et PIERRE, ASsn Jusn <P.-R.) le 12 déc , a ie heures. Adjointe 4 Graviüa (Centre), Miie Chsmin, Lo nav fr. Dlrppsdatle,ven. d'Adelaide,est arr. Out ia douieur de vous faire part de la prrte Dans Ia soirée, un peu avant minuit, une adjpinte a Yvetot (cours complémentaire). a Honolalu le 10 dèe. De» als fnurs de Kew-lterh crueUe qu'iis vieaoent da faiTe en ta perfilie pubiiqoe, Marthe Barnier, agée da viogtsoime de Classement tinal sept ühs, demenrant 9, rue des Gaiions, a été frappée d'un coup de conteau 4 la hanNew-York, 12 déeembre. Madams veuvs HUET, neeLEFÉVRE che droite. L'équipe Iliil Grenda s'est ciassée première, décédée a i'age de 72 ans, Ie 13 décem re, a Elie vint réc'amer dea soins au poste des ayant couvert 2.770 miiles ct buit tours, soit li cinq beures du soir, muaie des saeremeius de Les souseriptions sont revues sana frais : Drapiers et déclara qu'eiie avait été assaiilie ffi'Des et six (ours de plus qu'en 1914.Viennent — Hecteur 6 » 69 l'Egltse, KLEINE MEN par trois individus qn'eüe prétend ne pas ensuite : Mac F»msra-Spears,Magintawrane et — » 0 » 70 Et votis prient de bien vouloir assi3ter a Thomas Rynr, Esg.-Dupuy, Caton-Madden,W»I4«Cöfiiptöir Naliöüüi d'ËscöDijile dcParis connaitre. L'agression se prodnisit au mo¬ thom-Vran, Haniey fiatstead, Drèbacb-Garry, Sé— » 1 » 60 ses coavoi. service et inhumation, qui au¬ BASSE SEN ment oü ede pénétrait dans J'ailée dn n° 17 rés-Linart, .MittCa-ilanson. — » 2 » 43 2, Rue de la Bourse, 2 ront lieu le j*tidi 16 décembre, & dix heures de ia rne de ia Gift's. Leverdu Solell. et demie du matin. P.L. 21 déc. A 13 h. t An (h'étill Lyonitais La blessure qn'eile parte n'est pas grave. D.Q. 29 — A 13h. 8 Gone,dn Solelt. Le convoi se réunira a l'HospiccGénérai, ruo Lev.de1*Lnae. N.L. — - A -h On la fit néanmoins transporter 4 l'Höpital 24. Place de l'Hötel de-Ville, 24 Toatball -Af seehf ian Gustave-Eiaabert. Condol» Lone. P.O. - - A - b. — Pasteur pour lui donner des soins. H, 4. C. bat Military Police F. C, II ne eera pas envoyó de lettres d'inA la Sociélé öéitérale M. Jenot, commissaire de police, a ouvert ■par 9 a 2. vitation. le présent avis en tenant lieu. Uns enquête. 2 et 4, Place Carnot et 122, Hue de Paris Aprè' une partie rondement aienée. tes Hsvrais ont irioaipbé da pnissant team des « Policemen » La Dharmacie-Drogneria AT FI DOK par 9 buts a 2. Rio-iTAPESfi*iM(s). — Lisbonne,10 déc. : Le st. IVécroIOBÏe Bien que plus légers que leurs adversaires, les ®'#B vend et vendra toöjotirs le meilteur brés. liio-Itapsmirim,ven. du Brésil, a relêchö « ciel-foncé » surent imuoser leur jeu psr leur 8" VsudbAlbertPOTEL. 'nee HUGH ARB; marché. M. Emile Saulreu.il pers ici, «ysnt son gouverMil et ion servo-tnotear science et ieur Vitesse ' Les Angtais nésnmoins 8. C/taries POTEL. h uissier de In Bsnque de eadomruugés.On a commencé aujourd'hui ies firent queiques écbapDées,qui leur permirent de Noes apprenons avec regret ia mort de France a Trouvitte, et M" CharlesPOTEt; reparations, «lies seroot terminées dsns chiq ou sauver i'hcDneur. U. Emile Santreuil père, piaaisie-composi0. st 8" HUCHARD ; six jours. II cc sera pas nécessaire dedébarquer Au M. P. F. G, 5'arriêre gauche se distingua. OBSEQUES DE MILITAERES leur. 8. Robert POTEL,caporal au 36*dïnfshterie ; le cbsrgemect. Au H. 4. C. toute l'équipe fit preuve d'une Et tear Familie, C'est une figure liavraiss bien connne et STAROF.VEWZEALAND (8».— MoUM,10 ÜéC.*. cohesion e! t'aiie droite Accard-Bcllse fit Les obsèques du soidat Charles Dumoih grande bien sympathique qui disparate n'emportant Remcrcienl bien sincèrement les personnes Le st. ang. SUr-of-Nste-Zeuland,échoué prèa partieulièrement remafquer. chel, da 129ed'infanterie, domicilié au Ha¬ que des amitiés et des regrets. qui leur ont fémoigné leur sympathie ea pred'ici, se brise. Avant ce maich, 1«vailiante équipe seconde du nant part A la douleur qu'iis éprouvent du issa d'ane vieiiie familie originaire de no¬ vre, rae du Générai-Lasalte, 9, auront liea club doyen se lit ballre d" justssso par J'ASFB ; décés de ire vitte et partni taqueiic ie cuite de la mn¬ le mercredi 15 décembre, 4 8 h. 1/2 du ma¬ ce ne fut en effet qu'a ta aernière minuie que ies sique élait une tradition que ies génératiODS ting l'llospice Générai, rne Gustave-Flau- « blanc et mauve » réussirent a msrquer un bul Albsrl POTEL chanccux qui leur assura la vicioire. poureuivaient fidèlement, Etniie Sautrenil bsrt, 55 bis. Adjudant mitrailleur au 205* Infanterie laisaera le souvenir d'nn cceur excellent et Les obsèques dn soidat Edmond Héouet, DccUur en droit. — Huissier au Havre VS*, is Décembre Nsvires Bntré» d'un esprit foncièrement artiste qui servit du 27« régiment de dragons, domicile 4 Patronage Lctique de Gracilis. — Jeudi soir, réunion a 7 h. t/2. chrz M Testard, boulevard «Ie tombé gtorteuaeraent A l'ezmemi, Ie 16 sep¬ rart avec tervcnr et dignité. U St. suêd. EU* Baitiqua Gonfreville-i'Orcher, rne de la Verrerie. 29, Graviile,pour les joncurs de footbsii. tembre 1613,a i Agede 32 ans, eilö A l'Ordre De iotsguM années eoosacrées an prolessoSwasseA — st. fr. Vüte-de-Caen,Clouet .... . auront lien le mercredi 15 décembre 1915. da Joar de la Brigade. Lesjoueurs de ia 3»équipe sont sfcciaiemcBt Soniharoo'oa — st. «eg. Herneem»,fielt ?at, ses fcncUons «l'organiste 4 i'égiise Ssint- 4 10 h. 1/2 dn matin, 4 l'Hospicc Générai, convoques peur le dêplacemeitl de Bolhec. Prix ...Liverpool — St. Mg. Topa» SRneeitFde-Paal oit, depuis (rente-deus una rne Gustave-Flaubext, itöbit. du voyage 1 fr. —it. fr, Gttetsau-Pélntr, fiexeeh.. Bordeaux Petit Havre LA CANTINIÈRE DE SAMBRE-ET-MEUSE ÉTATCIVILDü HAVRE LaTempèrature et la Santé TiSSANDIER JOüETS-i-llREHHES delaBoucherdei'Estomac Conférences ei §qujs MM.BAERIÊ,GHALOT et C° $§mmuatcation§ $ trmss Mortau Champd'hcnneur §uMis dss SsciéiéM §uilêün des Sports Mort'au Ghampd'Honneur I ILf Petit Havre — Mercredif5 D&ftmBre1315 Pendant 1 ó£5ï©xT7.3Pl3=c:©z 1'IEï-u.ila d.ö jj'oi© cL© HSidZorii© 1NDISESTE, NAUSÉABONDEet RÉPUGflAfiTE PAR L'lOUNE R01 1.,Ï5 de Maladies iulétieuret, ragiea, Suites de Cifiipiieg, Manehei, eic. DO DOCTEUR il euripulmouaires MERVEILLEUXPRODUIT m so« ON et place cl© rH8tel.de.VlHc, ET TOUTESPHARMACIES 2&zE£Asxo©"UL'v;ave!S HÖRAIRE RUSERVICE 1" Séeeaibre $015 » Pour réoandre A !a demands d'un | grand nombre de not Leoteure, nou» ) tenons A ieur disposition, sur beau papier, le tableau oompiet des horsires 1du Chemln de fer. eorWca mod ill6 au ! 1"' Dócembre 1916. lO Mabché 3^ GO du Liüvdi Ö» DEMH 13 OKt.KMHilE 19t 5 1 kspboks 3 Sftwntï V.'üiüe»,.., vvrgpus ITO H3 f33 123 523 238 »» FaariWia . VMBX Totanx. Poeu's — ij gs: P»(t HX'l'KÉnES Wans . , •• M-.tstoiisV.. " " (8373Z) pour divers FKoxuaMo 1' I ï« Iravaux, ©l tin Jeniiae> llommei de 4Öaas, — S'adresai r a Ia 2 05 1 95 1 85 GRANDETAVERNS, rue Edonard-Laruc. Referen¬ t - 1 «i 1 89 (8331, ï) — » — ce*■ »— I 31 ..F*. « 10 a 1 80 »— «— , i> — — do !6 i is ans. Courses el msgasin. 8'adresser MAISOiNFOiJQUET, 10. rue de la Comédie. l nnuèio I) Bijoux, rBOISDU UGÈBET Dïï PAYS ?»',»« nisgasin. — BAISitKTTHS genre angiai» tous fes ordres, O fr. ïï«. Moutre» « l.ong-tKcs » Rljeeix « Fix » et Sapin 38 ans. trés sérieuse, avarvt eu maison de commerce, ie manie plats GÉBANTË nrtrT• ...«• GAIS8IÈHK. Mile BOURtiONNEUSE,café de i'Avenue. Gaea. (83«lz| RATÉRIELD'ENTREPRENEUR Les Petites Ancoaoos AVIS PIVEES ffiaatimumsix iignes, goat krifces 3 fr. li lundi soir, dans Ie trsjet de la rue de Saint-Quentln i la PetiteEure, par Ie tramway, - BOUCLÉ «'Orelüe avec briilani. — La rapporter au bureau du .-journal. fRécontpcnóeJ. (8370zi 1 HeiBKOAATKns-itOATFIItS Siares de loet engagement miliUrre.som demandés !lOUnifS25^.?i Etranger.— iicf.re avec réiéfuncas XE. DEPERROIS, 8, rue Laferrlère. Pari» i 1». 15.18 (3360) CHFÏAILYBROUETTIERS il - UNE BONNE 6üOUDE de T8a 20 ans, rnunie de ..... „ .bonnes références, sacbani servlr au débit. — TABAuS-BAR, ia. rue dn Paris EAU PURGATIVEFRASgfllgE - Entrepot general : Phar '-Dvog ' du PILON D'ÖK Détail : Ton fes Pharmacies ■SDI fwur Offioisr anglais, Bens sail-i ei lit.biennieüblèss, . . , . „ salts de bains, pas trop '°in. öare. - S'adresser 1234 Brittrh Officers Club, I/, rue Jutes-Ancel. (8301z) i8:tS9zJ line BONNE trés séri euse, sachaai nien faire 1©ménage et aims&tbienles enfants.S'adresser chez M. SHIGO. 38,rue Voltaire. (8372) i ndépendanlt), r» ó iou©rdiUis " indépendantê, quartier uariier central. Lcrire NANüY, au bureau du journal (83ö7z) 1Mil! UneFEMME daMÉNAGE tous lesjoars de 7 b. 172a raodéré R„«éreTCKei. S'aclrcss'e"rnie d"fL'octourGbert, Bureau-Tabac. (83ii3z) journal. I unaJeune Fille 1 — dans un PaviHoo svec jsrdin Irés bien situé : deux pie¬ ces et Cuisine ïueuhlees, eau, ga*. élecLicité. Prix Prendre i'adresse au burenu du (835az) comme Bonne a tout faire, de preference do la cam¬ -- .— pagne. 5e presenter jeu Si, de 8 a » beures. cataire. Prendre Prendre I'adresse au bureau du journal. (8360z) MUSE lino Juuau Fillo d environ 16 ans, pour aider au ménage, le raaiin, et une Jeune Fille do de 14 a 15 ans, pain apprendreie commerce. Pavf réa de suite.— Vairesser au bureau dn journal. 8309izi petit pouvant faire bon service GBANDE BOl .AXGERIE, t8 rue Beribeiot, de 3 a 4 h. (8337zj une BONNE 611 DEMANDE * tout faire, de 20 8 ïS ans raunio de bonnes références. S'adresser de 2 è S hsrres. Prendre l'adersse au bn.eau du j •uinal, ifS'z.' PRINCIPALE GRANDE PHARMACIE desHALLES CENTRALES LEHAYBK — 58,ni! Tsliairs el roefiercarÉB-fle-Saliit-Pierre, 8 — LEHAVRE R. LE DUC et L. PRESSET, Ph. de P* C/asse Suis aclietenr Biensa Louer zv ixmtiit Bésüx Appailsmcfiis^K® d'üü de la vdle, beau quart. Eau. gsz, éleetricHé. Librcs de suite S'adr a M. LECIIANTRE, régisseur de biens. 7, rue Baciite ou rue Edouard- Larue. 4. »—SMe(4833) BON BANNEAU Faire otfres a uw. G. journal. ï.ai, au bureau au 6.10.15 (7965) CIIBM1N8 DB FER DB L'BTAT (Service modifiéa partirdu 1"Décembre 1915) l>u BAViSE a ROTEN STATIONS 4.2 8 1 2 3 nsoa H 304 Gravilie-ste-tloiioriiie Barfleur ».. St-Laareut -Gainnuvitlo. . . Salnf-Romaia t Irvillo-.Mannevlllc Brrautö Henzov,, einb. . . . Rolbee-Nointat Foucart-AIvimare AUouvilie-hellei'jsso Vvetot Motteville Pavilly Barentia, emb Alalaiinay Maromrae Roiumi (riv. d.) — ar»•. — dép Sol toville StrEticnne-du-Rouv ra\ Oisscl, emb ' Pont-de-l'Arche I.éry-Poses \ fWimre-de-V, . emb . Gaillcm La floutet ' Veosoa [ lïonnitlres liosny " 4iantes, emb . ■.arr. . ..dip. Pari* . . -art. bsiieCHAM3BE MEU3LÉE prés la C/aserne Kléber, dans ^ maison parllculiére, sent loladresse au bureau du journal. (8358z) t*sti\ «.I tt 111 e 11 1 lE'JBLËE II!CRiXBRE 8X DEHANDE JeuneBonuc débntanfe, présentée par ses 1, j parents de tl b. ü midi. 3 8 bureau du journal. Preadie ladressesu (8332z) PHARMACIE : CHt'VAL ET VOITURE deux Pieces etCuisine I,e Havre f.Sioiz) Le 1/2 Litre. S3 fr. SO Louis XV et Empire, 1 cbambrc pilchpin grand modéls. Kslfa avec ,aJbles jolis ödiiö ^d utonB'fir iliuifgtl style 5uffe[sReaaissance, (3 et „ p'opf(?s) (8 raüonge-s), chaises cuir, giaces, .'<00 fr. CfiilVrP.-lifc soip' laine fsgon bourrelet, vouriD iifo oreuiers, traversius. Le tout entièremenl nettf. A vendre trés bon Avec jeune bomrae pouvent assurer petit ^ marché, en raison des cifconstances. tous !"S jour? — S'adresser 5 «dresser cours de la Rêpublique, 54, au rez- CamlünoBgc de obaussce. (8283z) chez M. MAR1DOK,20, cours de la P.ópubliquc, a loner.', meublé . . pour officieret sa danse, 8 Gravilleou auxeRrirons Urgent. RéponsoGU1LLADME, au bureau du journal. SO; 28, piaoj do l'Hótol-ds-Villf. 2, Eu3 Jules-Leossao "EBB delaRDCJ' La Reine dss eaux purgatives : Le Litre, ^fr. DÉPOTS 2 Ghambres nnoFortoBOHÏTE de 18 8 20 ans, manie de . . bonnes références, psur maison de commerce. - Prendre Padrasse au bureau du journal, . t8306zj Bureau Moderne ONDEMANDE „ . s. rue Jaloville ^ .mm Pouvaat faire le j/rottenn, des Bonnes 4 t. faire <maia. bourg. et om»., plaa. Fom. derti.etun Jeune Hom. p. cournaa m nettoy., etc.— sc préseiiter avec références. 1*575, AVIS UTILE Jolis Ghambie de AVISDIVERS Le Sirop Le Due est Je meilleur de tous les sirops des enfants, car il augments ' leur appetit, foriifie leurs muscles et leurs nerfs, tout en agissani comme un dépurntif tres actif. II aide puissamment a la formation du système ossetix. II se recom mande particulièrepient aux enfants délicats. sorofuleux, lymphatiqiies, ayant tins croissance difficile, ou prédisposés A la gourme ou A /'engorgement des ganglions, . .. .. rempjace avantageusement l'Htiile de Foie de Morue chez ies enfants, ciui digerent ehfficilemeni ce medicament. IF*:ri^s: Mollires DUG TONIQUE, JOEÏITIAIIT, DSPUEATH' DESENPANTS da (8 ó 18 ass. pour ie travail d 'entrepot. — S'sdresser eh«z HU. Paul tORï/T etC», 18, rue de Phalsbourg. (8303zi 5 eensïGN's ILuEï (Abased'exlrnilTodoTannique.d'extraitdeQuinquinajaune et Glycerophosphate de Chaux 'illfIWIH ii'iIPi1! Ir''liTiiïFiFIlil |TIÏïiiini^ililli1 fiJilHim ■■■III11nu Illmil11 uw11iiihiiii11H jk« \k iiomiH avant tout du SIROP A LOIT'.il pcKdant la Salon d'Iliver véritabia Cataplasme de l'ex de Honfleijp gnéritKhumafisme, Seiaw- S'adresser Lss Frlsoriflqms is l'41/msntatian Tous les genres et tous les prix que,Mauxdereins,Ttrnx.Bronchite, elc.Ginquante Haaretsa, ü, boulevard de Graville -Le Havre, v ÏjÏ4! ï jÏTJÏ 7 '-,,e »r©it«lre |8380z) 'tuis de suceès. des milliers de gaérisons out 7!, Télapbona 54. O'S JLa rue Voltaire commence a VHólel Tortoni) prouvé soil effieaoité. Poup ierrcevoir f ranco, enSelle OaCASION" .{ fr. la Maison paie le Vieil Or brisé, 3 fr. Ie v»ye?inandatdg üfr. 80, piiapinaeieGlilLLOtET, 1!H, gramiue en éehange et sans échsnge «11mieux. laquée et Marqueterio avec ar~ rae de Normandie, le Havre. moire a glacés, grand lit de miDésoratiöns *Töw.wiss,iiiUiia 1°YS Rnbans!€S n omres is©« et ei, teas les lieu, sommier, . able de puit niarbre, 7ï C9O fr. > Ma (5836) IMPORTANTE , line niortaisenae avec accessoires ; 3 chèMres ; lint» «onnette avee soo mouten ; un R-'ble ; un cóbio fer guloentsé as 70 mètras ; tui lot de cordages ; 1» écheües doublé» et simjpiea ; ï crics ; 3 voitures 0 bras ; 18 établis ; etau en fer ; meules ; serre-joinis ; tréteaux ; ®ac ; pluaieui H lots d« quincaillerle. t?n eoGTre-fort et Installation de bureau. le tout Appendantia la saeeesslen Varnier ' tè Vendredi II Itécerubre 1915. a lo btu» Fes du maim. Au Harre, OS, riw Thiébaut, 65 ; Argent cemptant RequÊla des hsbltes a hêriter agissant sans •tlribution de qnaliié. ' 14JS.45 1 r"1'""" it rrrnn' rii»ii—iiiia» ■■n c Donnez-leur SEUlEtSEüT enBGITES porlai un DIAMANTS És Sjlcialilê le BRACELETS - MOSTRÉS Curé iOfflBilSSHRES-PRiaEURS Dü HAVRE et de Cbarpente A PROPOS PRÉSERVERA votre GOÉRIRA AlAIS SUftTOUT SXÏQEZ BIEN wmM LosVérI(akl8S PüSTÜ 1w ® ua JeuneHomme demand© UTIUSÉE « Si vous avez des ayant une <8è'a»isaetMc#i 1tiiffitbile 8r»M«f»ic« , d'una tsante ilrlicttie, 011 prédisposés a la sottnne* ou a I'en&»e // enten! des ffistf/Hniis Gorge, vos Sronches vos Po unions, vos Rhymes, SroncSiites, Grippe influenza, Asthme, Emphysème, etc de 17 a is ans, poar nvsgasia de Ofés. — S'adrasser Chez M, GASC-ETTE, io, rue da Champ de-Foira, Havre, (8364Z) IE Mi de St* LE YAIL'ANT, notxirs a Goderrille. Vente, par' continuation, de trés beaux 37 1 ARB1ÏES de haute iufaie B AUSERVlLLEsi BBETItVILLE Les Mer ere dl 15 et Jeudl 16 Décemhre 7915, a une tu ure et deiuie. Réunion a la Perme de M, Eugéne Deschamps. (8H05; do Menuiseric BIEN EMPLOYÉS, «jr Enfants ippiiatlpes PastIllkVALDA un fort CtAEQOÏ » Pour tous renseignemenfs, s'adresser 9 l'Eiud de 51. A, vh.i.fhuou, régisseur de biens 2. Place des Haiies-Centraios, 2, Le Havre. Maison ia Ctnftance. Bureau ouvert tous les jours dc 9 ü a midi et le soir, da 2 b. a 7 is. M. A. VILLEBROD consu'ta sur rend; z-vous. 7 ills a S>5 le demi kilog. — Gache-Nez nsaelte pure mérmos. — 7!Ms, rue du Lyeée. Havre. to. 16. i7 18.20 (8368Z) wa rAfavint* d'aiimentation. chaussetles laine l 15, 1,75 : tnialité SOLDE exlra mêrinos 2.75. — Gaiecons et Gilets Jaine et coten 5.25 ; laine a tricoter noire ESIO, Hub l.ts'l 111 VENTES PüiUOUES Chêne, Pitckpin Maison 135,rue jules-Lscesae. PRIX MOYENS DES CATEGORIES Basés mr le nmrché dn Havre de ce •uur Baren 'Alojrau 1 89j Chitxi, (sans osi Cöt8s ,1tios. Queues, Noix, Nache... 2 so! FHet MBas-c0l88, lip.tulej.. . Xiou,Pottrlao, yentra, 2 4®JBeefteaclt. . . Jambei 1 75' Lor3ste Lr'Maire, »i<>««■»'» VENTE Un OuTrfer ISO fr. par uiols, uouiTi, cuuctiC. >m ii re;i VENDRE sur deux lè'es Goet 70 ans. tiï ^ x a rv revenu S.aoo f©.. rapporteva 3,SO« f© »emaade que ia rente de fl'- et V.soo fr. argent, saus rien a verser après les décés. A VENORU (pres du Ilavre ayant coüté 9ö,ooo Goafon moderne. Slation do gare. - #»,-lx. IS.OüO fr., 1/2 comptant PAVÏÏIAN 'ö pièces. Prés le bouleva xziviuliUli Maritime. PrixSS.OOO fr. •X5». CHABPIflCÏE 9Bi.BöPAi£ )Rt A. BonneAffaireenrenteViagère -«v-AaI. *>sw bieafaisantea. car feg Mmêde» miiié,-ans et chimiques empolè.onnenfc votre sen» et K?'^LV08 .Of^n^^VOBS qui sou»© 5? : ®TeS«t ©•♦« ®Ihumuaurio,Möémio,constipation, eczema, entéilj®'■^0f"Ee' hydropteje, neupasthénle, obéaitó, retour d'óge. vïrl^ ,incoaül3-nC4!d proslatite, varices, Pvfi»kiU^tS08e' cyst tie, ertério-sclérose, msomnfe,unne, bronchite chrenlque.demandez le méthode&É&ÓLumÈmY VPfi'TAl s? de M. I'Abbé Wiwt Curé ftStalfmeViSP SmEmeS Brotóor» ©gjcatlve et ft™tutu,. - Muséum Botaniqu? d» i Aoe« WARfiK,Marteinaeviile Osomnne), m c&mam (830"z) d'SIccteieitê Bénéflee net, 1.3,000fr. par an. Prix : 5.000 fr. MAUDESffPS»PROPRIÉTÉ itionivetft&nep^ique 'Hm*H S«rga.Up)iiajt»3 ?»SflW4»b. frY'Ée*i09frSiv(CÏ feux.Sfo^J.ifia DiSlVEJVNDB AfCait-e Grand choix de Pari Hons, Aia'so'IS' ,,iv~ rains de tous les centres U6 Ik1 l Ulo pour büiir. Kermes et Chateaux. Nombre uses Occasions oomme Proppv«<4^ï aux environs du Havre ot dans la BanlieuV' Son <lélicle!i<<ies «Jc léjs^uinos cilits et de eé^alcs ayaut conserve ardme et saveur des legumes frais. Préparationinstantanée de Pota^es ct Purees (Pois. haricots, leutilles, crème d'orgo, riz, avoiae). En veuie : paiemcul: Grand choix ftV ^nds ds coasuroo en tons gares ^ ^ccs GilHIUilliSIT m tie ARTICLES DIVERS CAFÉ-BËBÏT Bay, silué au Marcüö LouisPhilippe. Prix 8,000 fr. CAFÉ DEBIT au Rónd Point. Prix 3,000 fr. tlx* Familie, trés ricbe. Prix .PENSION 20,000 fr. petit lle^fnurmit Benefices ,1,800 fr. par mois, peu de lover. Prix CAFh 8,590 fr., öL15''6 comptsnt. SIS D'ALIiVSENTATiQN Ecrire ERNEST, bureau du journal. HAVRB aitx Brstiaux »®S,7«;»«n»B7IWB2»iaj«3WSv-SVT:SO Facilités ASonu© JOUVENCE DEL'ABBÉ SORRY UN CHEF BOUCHER Sons (ippofntemsnts Sérieuscs references I3ESTSAUX DU t»mt^^*Tchanmn qni vous gnérira sürement. Le llacon,3 fr. 50 dansloules Pharmacies; I fr. lo franco: les Irois flacons,to fr. 50 francoconlreniandat-posleadresséPharmacie M»». BUJMOisiTlEH, a Rouen. Notice contenant renseigtiemeiUs gratis lil I'lVftEGij serieus, sachanl soigner ctaevab— Prendre l'adresse au bureau du journal. (83o4z) ON de sso prix :MAISÖN jÉPICERIE !BELLE MAISON IBOIS - CHARBONS BAZAR Confiserie Prix : 3,000 fr. IV© nw a m te» .RénéRces , fiCOb MERCER1E a 6üü fr.par mois. Prix : 6,000 fr CAFÉ-DÉBIT -br« •e* «ncublées.Prix vecChaia : 6,500 fr CONFISERIE dSVEffS.""*0"- PAR MAISON centimes AUX Fr. KEK Vous qnl craignez Ia Congestion, les Chalours, Vapours et tons les accidents du RETOUR D'AGE, faites usage tfé ia ?CA1VW Oppressions éi» FFF *S ineiiblóe. Benefice O'O fr nar mois. Eau, sax, êleetricité a l'ótage.» | Prix lï.OoO fr. ti San.oie. Affaires 90 a a 100 fr. par jour. Gros bénéiiees. Prix 4 tiuo fr. •n©uiti©©.Bénélice net 6ö0 a 700 fr. par mois. j Prix 18,000fr. Lêgiinic*. Prix 1,509 fr. Vertiges, Etourdissements, Varices, Hóntorroïdes, etc. Cicasmes Toux„ Scierie MIGRA'NE, »—31 (8140) qui reeoniinandéfl «IRiTütT Véritables Occasions aprofitsr d«suite irrégulïères JOUR A CM.VHS ^tvrear demandé «« Atupuli 1 zul 1 ponr visiter fiedaurant sspicerie, etc., pour G mis» Alimentsire. Sérieuses references exigées, pas de caution. — Prendre ! aaresse au bureau t!u joura»!. im: des Chemfna de Fer de l'ETAT VILl/H M-M* et de Fonds de Commerce en tons genres et a tons accompagnées de doovpurs dans le venire et les reins; de Mig Migraines, de Maux d'Estomacf ,de Constipation, Régies . DEMANDE Trav»ll 31, rue d'Harfleur, Graville SO flrlARCHÉS HAVRE SGIEURS - RABOTEOBS - CLGUEÜBS BÉpitóaifii au FEMME» francs. Drogierie-Pharmacie AU PILON D'OR >5. Slbdillé AU couflance SPÉCIALITÉS DE VENTE ET ACHAT C'pst le salnt de la Femme Existez ce ortrait _ SPÉCIA.L tic HAVRE CONSUUTATION" ujihieD[ iieisim Vousobiie&drez desrésullats lóervciilenx dims1'Anémïe, !a Convalescence, laNearasfitéale. VosEnkfits deviendrontGRAMD 3 et FORTSen faisant usage de ce DÉPOT Maison FEmMES «tul SOïJFFKEK, anriez-votis essayé tous les trailements sans résultat, que vous n'avez pas le droit de désespérer, et vous devez sans plus tarder, faire une cure avec ia JOt' VEKt't: VAhhi* ÜOlllï. vaut une Saison A Nice, uue Cure de Soieiï et de Plein Air a la Maison. Le flacon 4 fr, SSO ; Les sis flacons pour une cure : 25 LE XlcmosFerte» Grande» ou db ROS estunTRÉS0R DEsanté Poafuos UIOLIWE du ü« ROf fibrome, ïumeurg, JOüVBRÜE Èl'öéSÖURY est nn nemèdescieatifiqne.adopté par iesGonseils L'lOLINE ou 0» BOSSupérieurs de Santé après enquêtes favorable?. vil ' A CDE«8 B.LES8ÉS; chit le sang, le regenère et cicatrise les lésions daas la TUBERCULOSE. Métrile, Wvaritea, Régisseur de Biens 2,Place desHalles-Cenlriles, 2cpremier HEPHEWEiK COURAGE car il existe nn remède incomparable, qui a sanvé des milliers de maiheareuses condamnées a un martyre perpétael, un remède simplo et facile, qui voos gnérira sürement, sans |t»ieos«e ni ojiérations, c'est la quicontieattonsles principesactifsdel'Huilede Foiede Moras L'iOLiNE CiBfflT UIILMOD FEMMES QUI SOUFFREZ l'Hiirer « 25 ! 32 4 41 0 2 » 4 2 20 2 A0 2 54 3 2 3 17 «340 3 55 4 3 S- 17 4 23 4 38 4 Af) 5 £ 5 18 5 20 5 40 5 49 6 7 6 28 6 39 f> 58 7 16 7 20 7 37 i 47 0 40 ] et a I'AftlS Exp. i.2.3 II 326 7 38 n 11306 7 47 1.2.3 H 308 42 47 12 54 13 È 13 14 43 26 13 33 1 8 19 43 54 14 5 H 19 44 27 8 42 14 44 n 8 58 15 6 v> <5 21 1» 9 6 !ö 3j ï> !ö 58 11 13 56 8 50 9 21 40 4 0 1 0 29 16 46 . n 48 42 18 51 9 31 17 il n i) 47 26 17 35 i) 40 11 47 54 G 19 6 20, G 34 6 43 ü 57 / 4 7 23 7 :;i 7 43 7 31 8 6 8 58 9 13 0 20 9 33 9 40 9 47 9 37 10 20 10 28 10 44 10 59 11 8 11 25 n 41 45 11 53 12 13 9 12 32 42 43 12 51 13 3 14 53 11 9 » » » >« » » » » » » » » » » » » »> »> ») » » " » »» » >» » !> « n » 40 35 » i> - 40 51 10 50 ii 52 18 re 48 48 48 49 19 4» 21 He PARIS Ekp'. 1.8.3 1.2 3 H 380 ft 340 II 342 17 23 n 17 32 48 19 18 26 18 33 18 45 19 1 10 19 27 18 38 49 52 : 20 h 20 U 20 36 20 53 tl 5 «21 18 *.1 2V 24 33 24 49 22 23 22 32 2ï 50 23 5 23 44 2S 36 2» 57 O 8 0 29 0 47 0 50 1 7 4 49 3 83 » » » » » H fl >7 » » 8 c » 18 55 18 52 »> » ») » )) 17 H »> 22 M 42 W 9 9 B 47 1) 29 f> 83 80 57 * » » »» 48 4 » w » 18 27 18 37 IS 19 „ l> 19 i f» ie » 17 19 35 17 ff 49 58 17 f> 20 28 >7 0 20 41 20 44 21 39 Ii.rius «, xob (•;H. 310. —Ces trams ne pi-ennei;tea 3«et 3» claascs que le» xoyageur»eOeetsvit un parcours rt'numnins SOkit. ea Pciasse et 80kil. en Pclssse. I ar exeeptton, il» prwnent, sans rendition de pareaurs, lea voraseucv de t* ai m* claves, en provenaaceou k dMtinkUondes embraiichcraeots,maui«d im JDiiietdire#, «JM-KU'tf HL.IF. ....IJ.JHB.-I.ilImmmtm »r—mm Vil prtr WH v. — 111 WM— .1fair:- rir <tt \AI!rdn Hprr, STATIONS 1.2.3 « ROVEN et Exp. H30! UI 323 4 42 7 30 6 21 7» 6 SI J» 0 40 n 6 50 9 7 41 77 7 22 >7 7 33 8 4 h 8 11 8 24 A 8 44 8 51 17 8 59 10 26 9 31 10 36 9 89 40 47 40 56 77 41 41 14 20 44 48 w 12 3 M 1.9.3 au HAVRE lil03 1.2.3 11303 11303 II 309 Esp 1.2.3 4.2. 3 1J3 H 327 11307 H5M 17 6 17 45 is n O 48 40 20 «:> 7» IS 42 20 30 20 39 20 33 n 48 35 21 25 m n 21 37 17 r> 24 50 >7 49 2 22 28 >7 22 38 17 >7 40 44 22 58 40 24 23 26 A 23 3» 7» 23 42 ii 19 7 19 42 49 15 19 50 Holt Paris déf) . 7 37 11 >7 16 18 *2 Pt Mantes, einb arf . 8 33 42 49 18 18 0 4? — — dép . 8 33 12 59 48 38 0 3(1 Rosuy «. » 13 8 IS 47 » » 0 AO Boön'ióres >7 43 19 18 58 » » 0 52 Vernon 8 58 43 41 19 48 1 18 Le Gonlet >7 43 32 49 29 i 3* (iallion *» 17 44 2 19 39 1 a:j St-Pierre-d u-V., emb 9 24 14 32 20 5 2 13 Léry-Poses » n <i)25 44 42 20 15 Pont-de-I'A tvhe .. V7 ii 53 20 28 2 3« Oissel, emb....". » 9 4-2 45 19 20 48 » Si-KUt nne-du-Ptou vi yy . . » 13 28 20 53 » Solteville » 7) 13 48 24 47 36 Rotieu (riv. d ) arr __ 33 ö* 40 4 46 3 21 32 (riv. d.) dép —— 10 9 46 13 21 42 A 4li Mp.romme — 4 21 » 77 Pi 23 24 52 A 17 M&iauuay — — I) 48 32 2* 4 7» U 4 Baieuliu" emb. » 10 29 46 51 22 24 kt 20 42 4 tift Paviliy » >7 17 »> 22 30 >1 17 4 Motteviiie 7» 40 47 4? 86 %2 58 20 31 —«—5 n Vvetot 10 08 47 49 n 42 — )♦ 20 42 — 3 3» Ailouvlile-BeHefosse., — re 43 » n 47 52 23 22 71 » . 5 Koucart-.Afvimare 42 24 » »>1 18 » 23 30 • >> 5 57 Polbee-Nointot 42 31 7» 48 13 28 42 » n 6 9 bréautê-betiBev., euib. . . . 42 55 a 41 22 48 33 24 » A 21 5 —_ 6 27 Virviile ManneviÜe 13 3 >» A 18 41 —— i> tl A G 36 Sainr-Romaln 43 11 1) 48 49 0 re —— . G 44 A A StLaurent-Oainneviile. . . 43 24 II »» 18 59 — — . » A 6 54 Harflenr A 43 29 N » 19 8 0 23 « 1) ' — mmm 7 t Graville-Ste-flonorine. .Tr 13 36 ff 19 46 0 35 V ■mmmm 1) ft S« Le Davre arr. 48 43 40 U 41 42 19 22 0 42 20 3f 21 25 mm mm 7T 1* Trains H. 808 et H 80T .— Ces traius ne prennent ba ï« et 3»cl, que les veyageura effectuaut un parcours d'au moius 50 kilom. e« ï» classe ct 80 kilm ca 3' clan» Par exception, il» prennent sens coodiUsu de panaiur». los vwagear» de ï» et SJ elaxse e« pi-oveaance ou A destinalton des embiaiieliaweats wunis d'un billet «brecfc peur f« thfftiirnHw 'ét h stymtire 0. RANOOLET ttpfmh- c<cmln 1 I3
© Copyright 2025 ExpyDoc