COMPTE-RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU JEUDI 18 SEPTEMBRE 2014 L’an deux mille quatorze, le jeudi dix-huit septembre à vingt heures quarante-cinq, le Conseil Municipal, légalement convoqué, s’est réuni à la Mairie, en séance publique, sous la présidence de Monsieur Georges JOUBERT, Maire. ETAIENT PRESENTS : M. Joubert, Mme Boulenger, M. Murail, Mme Gloron-Petit, M. Aubry, Mme Letessier, M. Lafon, Mme Riva-Dufay, MM. Preud’Homme, des Garets, Mmes Calaudi, Vieillevigne, Luneau, M. Machut, Mme Cousin, M. Eck, Mmes Bove, Ficarelli-Corbière, MM. Dutartre, Genot, Couton, Mmes Soutif, Lipp, M. Poncet (pouvoir de M. Ollivier) et Mme Lambert Formant la majorité des membres en exercice ABSENT EXCUSE AYANT REMIS POUVOIR : M. Ollivier a remis pouvoir à M. Poncet ABSENT : M. Gauquelin SECRETAIRE DE SEANCE : M. Lafon 1 Ordre du jour 1. Reprise de la voirie du lotissement « les Sorbiers », route de Cheptainville : Acquisition amiable des voies, en vue de leur transfert dans le domaine public de la commune – Nouvelle Délibération 2. Reprise de concessions caduques dans le cimetière 3. Taxe sur la consommation finale d’électricité – Fixation du coefficient multiplicateur unique 4. Demandes de subventions pour la restauration de la statue de Saint Joseph – Actualisation du programme prévisionnel de restauration 5. Demande de subvention au titre du Plan Départemental d’Actions de Sécurité Routière (PDASR) de l’Essonne pour le projet 2015 « Critérium du jeune conducteur » 6. Budget principal – Décision modificative n°-2014 7. Communauté de Communes de l’Arpajonnais - Approbation du rapport n° 1/2014 de la Commission Locale d’Evaluation des Transferts de Charges, relatif à l’évaluation de la charge transférée en matière de « gestion et entretien des services et équipements culturels » 8. Personnel communal : modification du tableau des effectifs 9. Personnel communal : assurance statutaire 10. Approbation et autorisation de signer l’avenant n°1 à la convention opérationnelle entre la commune de Marolles-en-Hurepoix et la commune de Lakamané pour le financement et la mise en œuvre d’une action du programme de coopération décentralisée multipartite entre des collectivités françaises et des collectivités des cercles de Diéma, Douenza et Nioro du Sahel au Mali 11. Approbation et autorisation de signer le 2ème contrat de bassin Juine 2014-2018 12. Approbation et autorisation de signer la convention locale pour l’enfouissement coordonné des réseaux aériens de communications électroniques de Orange et des réseaux aériens de distribution d’électricité établis sur supports communs portant attribution à Orange de la propriété des installations souterraines de communications électroniques, et les conventions particulières à intervenir 13. Avis du Conseil Municipal relatif au Schéma Régional de Coopération Intercommunale d’Ile de France 14. SICTOM du Hurepoix – Approbation du rapport d’activités 2013 15. Compte-rendu des actes effectués par le maire par délégation du Conseil Municipal, conformément à l’article L 2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales 16. Compte-rendu des activités de la Communauté de Communes de l’Arpajonnais et des différents syndicats 17. Questions diverses Le compte-rendu de la séance du Conseil Municipal en date du 5 juillet 2014 est approuvé avec une modification mineure en page 5 « Démolition, sur la parcelle 226, d’un des 3 courts de tennis non couverts et reconstruction au préalable sur la parcelle 227p d’un court de tennis ». 2 Monsieur le Maire débute la séance en annonçant les décès de : - Monsieur Alain Loiseau, ancien Maire de Marolles-en-Hurepoix (maire-adjoint dès 1983, puis Maire de 1994 à 2008), - Monsieur Alain Puichaffret, ancien conseiller municipal (élu de mars 1989 à mars 2008), - Madame Béatrice Rouches, adjoint d’animation au centre de loisirs (employée depuis septembre 2010). Il demande au Conseil Municipal d’observer une minute de silence pour leur rendre hommage. Monsieur le Maire demande ensuite l’accord du Conseil Municipal pour ajouter un point à l’ordre du jour : Tarifs municipaux – Location de la salle des fêtes. REPRISE DE LA VOIRIE DU LOTISSEMENT « LES SORBIERS », ROUTE DE CHEPTAINVILLE : ACQUISITION AMIABLE DES VOIES, EN VUE DE LEUR TRANSFERT DANS LE DOMAINE PUBLIC DE LA COMMUNE – NOUVELLE DELIBERATION Monsieur le Maire rappelle que le Conseil Municipal a donné un avis favorable quant à la reprise de la voie du lotissement « Les Sorbiers » et de ses délaissés dans le domaine public communal (hors espaces verts), le 30 mars 2000. Compte-tenu de l’ancienneté de cette délibération, il y a lieu de l’actualiser (nouvelle numérotation cadastrale) et de la compléter afin d’officialiser cette reprise devant notaire dans les prochaines semaines. Délibération VU le Code Général des Collectivités Territoriales, VU le Code Général de la Propriété des Personnes Publiques, et notamment ses article L 2111-1 à L 2111-3, VU le Code de la Voirie Routière et notamment son article L 141-3, VU l’arrêté du lotissement « Les Sorbiers », en date du 22 juillet 1983, VU le dossier d’autorisation de lotir, et notamment l’article 13 du règlement de construction et l’article 16 du Cahier des Charges qui indiquent que les réserves de voirie du lotissement peuvent être utilisées pour la desserte des terrains limitrophes, sans que les habitants du lotissement puissent s’y opposer, VU l’avis favorable donné par les propriétaires de la voirie du lotissement « Les Sorbiers » et de ses délaissés à la reprise de ces biens par la commune, VU la délibération n°18 en date du 30 mars 2000 par lequel le Conseil Municipal a donné son accord quant à la reprise de la voirie de ce lotissement et du terrain d’assiette du transformateur EDF, CONSIDERANT qu’aux termes de l’article L 318-3 du Code de l’Urbanisme, la propriété des voies privées ouvertes à la circulation publique dans des ensembles d’habitations peut être transférée d’office sans indemnité dans le domaine public de la commune sur le territoire de laquelle ces voies sont situées, 3 CONSIDERANT que, selon la jurisprudence administrative, il résulte des termes mêmes de cet article que la procédure d’incorporation d’office dans le domaine public d’une commune de voies ouvertes à la circulation publique dans des ensembles d’habitations ne revêt qu’un caractère facultatif et que, par suite, les communes, après délibération de leur conseil municipal, peuvent acquérir par voie amiable les voies privées d’un ensemble d’habitations, CONSIDERANT que l’allée des Sorbiers, constitutive de la voirie du lotissement « Les Sorbiers » est ouverte à la circulation publique, CONSIDERANT que les délibérations concernant le classement ou le déclassement des voies sont dispensées d’enquête publique préalable sauf lorsque l’opération envisagée a pour conséquence de porter atteinte aux fonctions de desserte ou de circulation assurées par la voie, CONSIDERANT que le classement de la voie concernée n’est pas de nature à modifier les conditions de desserte, CONSIDERANT que cette reprise, en permettant, le cas échéant, de désenclaver des terrains limitrophes, représente un intérêt général lié à une urbanisation future limitée, accentuant le côté résidentiel de cette partie de la commune, LE CONSEIL MUNICIPAL après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, AUTORISE l’acquisition amiable des biens ci-après désignés et constitutifs de la voirie du lotissement « Les Sorbiers » et de ses délaissés : 1°) Une parcelle de terrain à usage d’espace vert, supportant un transformateur EDF, cadastrée : Section AH N° 36 Lieudit Allée des Sorbiers Surface 00 ha 00 a 23 ca Total surface : 00 ha 00 a 23 ca 2°) Une parcelle de terrain à usage de fossé, cadastrée : Section AH N° 53 Lieudit Allée des Sorbiers Surface 00 ha 00 a 14 ca Total surface : 00 ha 00 a 14 ca 3°) Deux parcelles de terrain constituant la voirie de l'Allée des Sorbiers, et un fossé, cadastrées: Section AH AH N° 245 248 Lieudit Allée des Sorbiers Allée des Sorbiers Surface 00 ha 23 a 40 ca 00 ha 01 a 20 ca Total surface : 00 ha 24 a 60 ca DECIDE de classer, après acquisition, les dits biens dans le domaine public communal, AUTORISE Monsieur le Maire à effectuer les démarches nécessaires à cette reprise et à signer toutes les pièces nécessaires à cette acquisition et les actes afférents, DIT que cette acquisition s’effectuera à l’euro symbolique, 4 DIT que la présente délibération rapporte celle n°18 du 30 mars 2000. REPRISE DE CONCESSIONS CADUQUES DANS LE CIMETIERE Madame Riva-Dufay précise que depuis le 10 juillet 2014, un avis est affiché en mairie et au cimetière concernant certaines concessions funéraires caduques et en état d’abandon. Ces concessions ont été ciblées en raison de leur emplacement : certaines permettront d’accueillir l’ancien monument aux morts qui sera ainsi implanté à proximité du carré militaire avant le 11 novembre 2014, d’autres, contigües les unes aux autres, seront végétalisées afin de réintroduire le végétal dans l’ancien cimetière très minéral. Bien que la procédure ne soit encadrée par aucun formalisme, les concessions étant caduques, un avis a été affiché à l’entrée du cimetière et des panonceaux ont été placés sur les dites concessions pour alerter les familles ; un courrier a également été adressé à celles-ci, lorsque nous avions une adresse (mais les courriers nous sont le plus souvent revenus avec la mention « N’habite pas à l’adresse indiquée »). Il est donc proposé d’adopter cette délibération afin d’officialiser et de clore cette procédure. Monsieur le Maire ajoute qu’il serait judicieux de fermer l’ancien ossuaire par une pierre. Délibération CONSIDERANT qu’en vertu du Code général des Collectivités Territoriales, article L 222315, les concessions temporaires doivent être renouvelées par leurs concessionnaires. Les demandes de renouvellement doivent être reçues pendant la dernière année de la période en cours. Le concessionnaire (ou ses héritiers) peut encore user de son droit de renouvellement, à compter de la date d'expiration, pendant une période de 2 ans. Si la concession n'est pas renouvelée, le terrain fait retour à la commune, sans procédure spécifique, soit deux ans après l'expiration de la concession, soit après l'expiration du délai de rotation afférent à la dernière inhumation. Le cas échéant, les restes mortuaires sont exhumés et déposés à l'ossuaire. CONSIDERANT que la commune souhaite réaliser certaines interventions dans le cimetière sur des emplacements de concessions caduques et qu’un avis est affiché à la porte du cimetière et en mairie depuis le 10 juillet 2014 pour informer les familles, le cas échéant, et que personne ne s’est manifesté concernant l’une des dites concessions, LE CONSEIL MUNICIPAL, après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, prend acte des éléments suivants : 5 Emplacement Allée B N°1213 Allée B N°1214 Date Nom du d’expiration de concessionnaire la concession d’origine La commune ne dispose pas d’information sur cette concession 11/10/1926 M. RETOURNE Théophile Allée B N°1215 29/03/1993 Famille NAUDIN Allée B N°1216 1924 Allée B N°1217 18/06/1947 Allée B N°1246 Allée B N°1247 25/02/1944 1907 Allée B N°1248 Allée B N°1249 MOSNY- Etat de la tombe Actions envisagées par la commune Terre sans monument Terre sans monument Terre monument cassé et M. FILLEAUD René Terre monument restaurer et à M. BRUJAS (Tombe marquée famille DESPLACE) M. BOUVIER Henri Mme LEFRANC Marie Terre et monument à restaurer Terre Terre et quelques restes d’un monument Terre La commune ne dispose pas d’information sur cette concession La commune ne dispose pas d’information sur cette concession Terre Allée C N°1195 15/07/1947 M. Eugène LAFUMAS Monument dégradé (Croix cassée) Allée C N°1196 1948 Ex concession DUTOUR (Corps exhumés par la famille) Concession vide dont il ne reste que la semelle d’un monument Monument sommaire dégradé Terre Allée C N°1197 Perpétuelle Allée C N°1198 1948 REYROLE Jean (Militaire mort pour la France) Mme MOSNY Augustine Réalisation par la commune d’un massif paysager, sans modification quant au statut des dites concessions, sauf si les travaux nécessitent le retrait des restes mortuaires qui seraient alors déposés à l’ossuaire. Réalisation par la commune d’un massif paysager, après cession des débris du monument funéraire à une entreprise de pompes funèbres et dépose des restes mortuaires éventuels à l’ossuaire. Remise en état du monument funéraire en lien avec la réalisation d’un massif paysager par la commune, sans modification du statut de la dite concession, sauf si les travaux nécessitent le retrait des restes mortuaires qui seraient alors déposés à l’ossuaire. Mise en valeur du monument par la commune, sans modification du statut de la dite concession. Réalisation par la commune d’un massif paysager, sans modification quant au statut des dites concessions, sauf si les travaux nécessitent le retrait des restes mortuaires qui seraient alors déposés à l’ossuaire. Pose de l’ancien monument aux Morts de la commune (à cheval sur les concessions 1195 et 1196) après cession des débris du monument funéraire à une entreprise de pompes funèbres pour destruction dans les règles de l’art et dépose des restes mortuaires éventuels à l’ossuaire. Pose de l’ancien monument aux Morts de la commune (à cheval sur les concessions 1195 et 1196) après retrait de la semelle. Mise en propreté de la sépulture par la commune avec pose d’une plaque portant le nom du défunt. Elargissement de l’allée du cimetière après dépose des restes mortuaires éventuels à l’ossuaire. DIT que la présente délibération, après transmission en Sous-Préfecture au titre du contrôle de légalité, sera affichée en mairie et à l’entrée du cimetière. 6 TAXE SUR LA CONSOMMATION FINALE D’ELECTRICITE – FIXATION DU COEFFICIENT MULTIPLICATEUR UNIQUE Madame Gloron-Petit indique que par délibération du 27 septembre 2011, le Conseil Municipal a instauré la taxe communale sur la consommation finale d’électricité au taux de 8,12. Chaque année, le coefficient peut être revalorisé en proportion de l'indice moyen des prix à la consommation hors tabac, par délibération spécifique. L’arrêté du 8 août 2014 actualisant pour 2015 les limites supérieures des coefficients multiplicateurs des taxes locales sur la consommation finale d’électricité, fixe la limite supérieure du coefficient multiplicateur communal à 8,50 (pour mémoire : le coefficient 2014 s’élevait à 8,44). Il est proposé de répercuter cette augmentation sur tout le territoire de la commune. Délibération VU l’exposé des dispositions des articles L. 2333-2 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales, autorisant le Conseil Municipal à fixer un coefficient multiplicateur unique, dans les conditions et limites prévues à ces mêmes articles, applicable au tarif de la taxe sur la consommation finale d’électricité. VU l’article 23 de la loi n°2010-1488 du 7 décembre 2010 portant nouvelle organisation du marché de l’électricité, VU l’arrêté interministériel du 8 août 2014 actualisant pour 2015 les limites supérieures des coefficients multiplicateurs des taxes locales sur la consommation finale d’électricité, LE CONSEIL MUNICIPAL, après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, FIXE le coefficient multiplicateur unique de la taxe sur la consommation finale d’électricité à 8,50 sur le territoire de la commune de Marolles-en-Hurepoix, à compter du 1er janvier 2015. CHARGE Monsieur le Maire de notifier cette décision aux services préfectoraux. DEMANDES DE SUBVENTIONS POUR LA RESTAURATION DE LA STATUE DE SAINT JOSEPH : ACTUALISATION DU PROGRAMME PLURIANNUEL DE RESTAURATION Monsieur le Maire annonce qu’il a attribué une délégation de fonction à Monsieur Philippe des Garets pour la « Réhabilitation des chemins ruraux » et la « Valorisation du petit patrimoine historique ». Monsieur des Garets explique que le Conseil Municipal s’est déjà prononcé le 20 septembre 2012 sur un programme pluriannuel de restauration pour certains éléments patrimoniaux de l’église. La statue de Saint Georges et son socle sont ainsi en cours de réfection. Une demande de subvention a été adressée à l’automne 2013 (avec un dossier daté de 2013 : devis, délibération…) pour la restauration de la statue de Saint Joseph et de son socle. La Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) Ile de France a adressé un courriel en mairie fin juin afin de solliciter un dossier 2014 pour ce projet. De nouveaux devis ont donc été demandés aux restaurateurs et il est nécessaire de délibérer à nouveau pour confirmer l’inscription au budget 2014 de ces travaux. 7 Délibération CONSIDERANT qu’après accord du Conseil Municipal le 1er avril 2010, la Direction des Archives et du Patrimoine de l’Essonne, service de la Conservation des antiquités et objets d’art, a décidé de protéger au titre des monuments historiques les éléments patrimoniaux suivants : Tableau de la Crucifixion et son cadre (16ème-17ème), bénitier en fonte (19ème), fonts baptismaux en fonte (19ème), 6 lustres (19ème), statue de Saint Georges en bois peint (19ème), statue de Saint Joseph en bois peint (19ème). CONSIDERANT que le 20 septembre 2012, un programme pluriannuel prévisionnel de restauration d’œuvres de l’église a été adopté, CONSIDERANT qu’avec subventions, le tableau de la Crucifixion et son cadre ont été restaurés et que, conformément au programme pluriannuel évoqué ci-dessus, la statue de Saint Georges et son socle sont actuellement en cours de restauration, CONSIDERANT que pour confirmer la demande de subvention de la commune auprès de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) Ile de France pour la restauration de la statue de Saint Joseph et de son socle, il est demandé de confirmer que ces travaux sont bien inscrits au budget et qu’il y a donc lieu d’actualiser le programme pluriannuel comme suit : Montant prévisionnel de restauration 5.100,00 € HT Programmation 5.100,00 € HT 2014 Tableau « Religieux trinitaire » 6.000,65 € HT 2015 Tableau « Evangéliste à l’écriture » Tableau « Saint Jérôme » 6.000,45 € HT 2016 Classement Subventions Monuments sollicitées Historiques Oui CG 91 DRAC Oui CG 91 DRAC Non CG 91 DRAC Non CG 91 6.600,90 € HT 2017 Non Œuvres concernées Statue de St Georges + socle Statue de St Joseph + socle 2013 CG 91 Il est proposé de délibérer pour : Approuver le programme pluriannuel prévisionnel de restauration ci-dessus, Solliciter les subventions nécessaires à la restauration des deux statues. DEMANDE DE SUBVENTION AU TITRE DU PLAN DEPARTEMENTAL D’ACTIONS DE SECURITE ROUTIERE DE L’ESSONNE POUR LE PROJET 2015 « CRITERIUM DU JEUNE CONDUCTEUR » Monsieur Murail évoque le "Plan Départemental d'Actions de Sécurité Routière" ou PDASR de l'Essonne, document annuel qui fixe : les enjeux de sécurité routière pour ce département ; les actions concrètes qui permettent de prendre en compte ces enjeux. 8 Le PDASR se concrétise sur le terrain par des actions de sécurité routière à destination de la population essonnienne, organisées sur le terrain par les communes, des communautés d’agglomération, des associations ou les entreprises. L'analyse des accidents de la route dans le département montre que certaines tranches de la population sont plus touchées que les autres. Sur la base de cette accidentologie, le PDASR cible les enjeux sur lesquels il faut travailler, et fixe ainsi le cadre dans lequel les actions doivent se tenir. Pour 2015, les actions du PDASR doivent être centrées sur les enjeux suivants : les jeunes, les 2 roues motorisées qui représentent plus d'un tiers des accidents de la route, les piétons et en particulier parmi eux les seniors et les jeunes, particulièrement touchés notamment dans les zones agglomérées (urbaines), la lutte contre la vitesse et la conduite sous l'emprise de l'alcool/stupéfiants. Les actions du PDASR peuvent se présenter par exemple sous forme : d’interventions dans des écoles primaires pour évoquer les risques de la conduite à vélo (avec des ateliers pratiques) ; de débats dans des lycées sur les risques d'une conduite sous l'emprise d'alcool ou de stupéfiants ; d’ateliers organisés pour les séniors avec un rappel aux règles du code de la route ; etc. Ces actions sont financées pour moitié par les organisateurs eux-mêmes (parfois avec des sponsors) et pour la 2ème moitié par des crédits de l’État et du Conseil Général. Ces aides financières du département et de l'Etat accordées dans le cadre du PDASR ne peuvent excéder 50% du montant total de l'action. A Marolles, l’action serait destinée aux jeunes d’ATLAN 13. Délibération VU le Code Général des Collectivités Territoriales, CONSIDERANT le projet 2015 portant sur l’organisation de deux journées « Kid e Conduite », CONSIDERANT que cette action est susceptible d’être retenue au titre du Plan Départemental d'Actions de Sécurité Routière (PDASR) de l'Essonne 2015, CONSIDERANT que le coût de cette action est estimé à : 4.740,00 € hors taxes, LE CONSEIL MUNICIPAL, après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés APPROUVE le projet d’organisation de deux journées « Kid e Conduite » en 2015, dans le cadre d’Atlan 13, APPROUVE le plan de financement ainsi qu’il suit : Montant TOTAL HT : Subvention PDASR (50% maximum) : Autofinancement de la commune : 4.740,00 € 2.370,00 € 2.370,00 € + TVA en vigueur 9 DEMANDE à bénéficier pour cette action, d’une aide au titre du Plan Départemental d'Actions de Sécurité Routière (PDASR) de l'Essonne 2015 au taux maximum, S’ENGAGE à réaliser cette action si elle est retenue dans le Plan Départemental d'Actions de Sécurité Routière (PDASR) de l'Essonne 2015, AUTORISE Monsieur le Maire à effectuer toutes les démarches pour mener à bien cette action et à signer la convention à intervenir après accord du Préfet, DIT que les crédits seront inscrits au budget 2015. BUDGET PRINCIPAL – DECISION MODIFICATIVE N° 2 Madame Gloron-Petit explique que la présente décision modificative ne porte que sur un complément de crédits sur la ligne de dépense du Fonds de péréquation des recettes fiscales communales et intercommunales sur laquelle la commune doit alimenter sa part de reversement au FPIC. L’estimation calculée lors de la préparation du budget primitif s’avère insuffisante et les crédits supplémentaires alloués sont compensés par la perception de produits supplémentaires (régularisation de la part des services fiscaux). Délibération VU le budget primitif voté le 29 avril 2014 modifié par décision modificative n° 1 en date du 12 juin 2014, CONSIDERANT qu’il est nécessaire d’augmenter le chapitre 014 « Atténuation de produits » suite à la notification de la participation de la commune au FPIC, LE CONSEIL MUNICIPAL, après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, APPROUVE la décision modificative n°2 ci-dessous : Dépenses Recettes Augmentation Augmentation de crédits de crédits Désignation FONCTIONNEMENT Fonds de péréquation des recettes fiscales 73925 communales et intercommunales Chap. 014 Atténuation de produits 73111 taxes foncières et d'habitation Chap. 73 Impôts et taxes TOTAL 2 883.00 2 883.00 2 883.00 0.00 2 883.00 2 883.00 2 883.00 ARRETE le budget de l’année 2014 (cumulé) ainsi qu’il suit : Section de fonctionnement ………. Section d’investissement ................. Dépenses 5.703.289,95 € 2.574.229,64 € ------------- Recettes 5.703.289,95 € 2.574.229,64 € ------------- TOTAL …………………………... 8.277.519,59 € 8.277.519,59 € 10 COMMUNAUTE DE COMMUNES DE L’ARPAJONNAIS - APPROBATION DU RAPPORT N° 1/2014 DE LA COMMISSION LOCALE D’EVALUATION DES TRANSFERTS DE CHARGES, RELATIF A L’EVALUATION DE LA CHARGE TRANSFEREE EN MATIERE DE « GESTION ET ENTRETIEN DES SERVICES ET EQUIPEMENTS CULTURELS » Monsieur le Maire indique que la Commission d’Evaluation des Transferts de Charges (CLECT) de la Communauté de Communes de l’Arpajonnais a pour mission d’identifier et de chiffrer le montant des charges transférées par les communes à la communauté de communes dans les domaines de compétences qui lui ont ou seront dévolus. Dans le cadre de sa compétence culturelle, la CCA a repris les équipements suivants : conservatoire d’Arpajon, école de musique de Boissy sous Saint Yon, conservatoire de Breuillet, bibliothèque et conservatoire de Lardy, Bibliothèque, école de musique, service Culture et salle de danse de Saint Germain lès Arpajon. Il y a donc lieu d’approuver le rapport que la CLECT a établi à cet effet (il s’agit d’une délibération de principe, la commune n’est pas directement impactée par ce transfert). Monsieur le Maire précise que la reprise des équipements de Saint Germain-lès-Arpajon va être difficile car le budget prévisionnel du centre culturel de cette commune n’a rien à voir avec les coûts réels de cette opération qui s’avère très onéreuse. Madame Bove demande s’il n’est pas possible de dénoncer la délibération d’origine, vis à vis de Saint Germain. Monsieur le Maire explique que cela n’est pas envisageable : la communauté de communes s’est engagée. Il n’était pas favorable à ce projet et rappelle qu’auparavant, il avait déjà voté contre la structure petite enfance implantée à Cheptainville, car il prônait une implantation à Marolles-en-Hurepoix par ailleurs, il s’était également prononcé contre l’implantation d’un gymnase communautaire à Lardy car cet équipement se trouve très excentré par rapport au reste du territoire de la communauté de communes, mais les délibérations sont prises à la majorité. Madame Gloron-Petit confirme que la situation financière du centre culturel de Saint Germain comporte encore des inconnues. Monsieur le Maire ajoute que cet équipement n’est pas encore ouvert : son ouverture était initialement prévue le 1er juillet 2014, elle devrait finalement avoir lieu le 1er janvier 2015. A ce jour, les frais de fonctionnement ne sont toujours pas connus. Délibération Il est rappelé au Conseil Municipal que, conformément aux dispositions de l’article 1609 nonies C du Code Général des Impôts, une Commission d’Evaluation des Transferts de Charges (CLECT) a été mise en place à la Communauté de Communes de l’Arpajonnais lors du renouvellement électoral. Cette commission a pour mission d’identifier et de chiffrer le montant des charges transférées par les communes à la Communauté de Communes dans les domaines de compétences qui lui ont ou seront dévolus. La commission s’est réunie le 7 juillet 2014 afin d’examiner les charges afférentes à la gestion et entretien des services et équipements culturels transférés à compter du 1er juillet 2014. Conformément à l’article 1609 nonies C du CGI, « cette évaluation est déterminée à la date de leur transfert par délibérations concordantes à la majorité qualifiée des conseils municipaux prévue à l’article premier alinéa du II de l’article L.5211-5 du Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT), adoptées sur rapport de la CLECT ». Ainsi, il est proposé au Conseil Municipal d’approuver le rapport n° 1/2014, adopté par la Commission Locale d’Evaluation des Transferts de Charges, dans sa séance du 7 juillet 2014, rapport relatif à l’évaluation des charges transférées par les communes au titre de la 11 compétence « gestion et entretien des services et équipements culturels » à compter du 1er juillet 2014. LE CONSEIL MUNICIPAL, VU le Code Général des Collectivités Territoriales, notamment L.5211-5, VU le Code Général des Impôts, et notamment son article 1609 nonies C, VU la loi n° 99-586 du 12 juillet 1999 relative au renforcement et à la coopération intercommunale et ses décrets d’application, VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, et notamment son article 183, VU les statuts de la Communauté de Communes de l’Arpajonnais, VU le rapport n° 1/2014, à l’évaluation de la charge transférée en matière de « gestion et entretien des services et équipements culturels », adopté par la Commission Locale d’Evaluation des Transferts de Charges, dans sa séance du 7 juillet 2014, notifié aux communes par courrier en date du 16 juillet 2014, Après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, APPROUVE le rapport de CLECT n° 1/2014 relatif à l’évaluation de la charge transférée en matière de « gestion et entretien des services et équipements culturels », adopté par la Commission Locale d’Evaluation des Transferts de Charges, dans sa séance du 7 juillet 2014. PERSONNEL COMMUNAL : MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS Monsieur le Maire propose de créer un poste d’animateur territorial, titulaire à temps plein, pour permettre la nomination d’un agent qui a été inscrit sur liste d’aptitude suite à promotion interne, et un poste d’adjoint technique de 2ème classe à temps non complet 28h/35 affecté à l’équipe d’entretien et de nettoyage des bâtiments communaux. Délibération VU le Code Général des Collectivités Territoriales, VU le tableau des effectifs approuvé par délibération du 12 juin 2014, LE CONSEIL MUNICIPAL après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, DECIDE de créer, à compter du 1er novembre 2014 : Filière animation Filière technique pour 1 poste d’animateur territorial à temps complet, catégorie B 1 poste d’adjoint technique de 2ème classe à temps non complet 28h/35 12 DIT que les crédits seront prévus au budget primitif 2014. AUTORISE Monsieur le Maire à recruter des agents non titulaires à temps complet ou non complet pour maintenir la continuité du service public, et ce pour n’importe quel poste ouvert dans le tableau des effectifs, en cas : d’indisponibilité momentanée d’un agent titulaire (temps partiel, congés de maladie, congés de maternité, congés parentaux…) article 3-1 de la loi du 84-53 du 26 janvier 1984, de vacance temporaire d’un emploi, (le temps des délais de mutation ou de détachement réglementaires…) article 3-1 de la loi du 84-53 du 26 janvier 1984, de besoins occasionnels (6 premiers mois d’une disponibilité) article 3-2 de la loi du 84-53 du 26 janvier 1984, ARRETE le tableau des effectifs ainsi qu’il suit : EFFECTIFS POURVUS SUR EMPLOIS BUDGETAIRES EN ETPT AU 1ER SEPTEMBRE 2014 EMPLOIS BUDGETAIRES GRADES OU EMPLOIS CATE GORIES FILIERE ADMINISTRATIVE (b) EMPLOIS PERMA NENTS A TEMPS COMPLET EMPLOIS PERMA NENTS A TEMPS NON COMPLET TOTAL AGENTS TITU LAIRES AGENTS NON TITU LAIRES TOTAL 20 0 20 15.80 0.00 15.80 Directeur général des services A 1 0 1 1.00 0.00 1.00 Attaché territorial A 2 0 2 2.00 0.00 2.00 Rédacteur principal de 1ère classe B 2 0 2 1.00 0.00 1.00 Rédacteur B 2 0 2 2.00 0.00 2.00 Adjoint administratif principal de 1ère classe C 1 0 1 0.00 0.00 0.00 Adjoint administratif principal de 2ème classe C 1 0 1 1.00 0.00 1.00 Adjoint administratif de 1ère classe C 3 0 3 2.00 0.00 2.00 Adjoint administratif de 2ème classe C 8 0 8 6.80 0.00 6.80 26 3 29 23.10 0.00 23.10 0.50 FILIERE TECHNIQUE (c) Ingénieur principal A 0 1 1 0.50 0.00 Agent de maîtrise C 1 0 1 0.00 0.00 0.00 Adjoint technique principal de 1ère classe C 1 0 1 1.00 0.00 1.00 Adjoint technique principal de 2ème classe C 3 0 3 2.00 0.00 2.00 Adjoint technique de 1ère classe C 1 0 1 1.00 0.00 1.00 Adjoint technique de 2ème classe C 20 2 22 18.60 0.00 18.60 FILIERE SOCIALE (d) 10 1 11 7.27 0.00 7.27 Assistant socio-éducatif B 1 0 1 1.00 0.00 1.00 Agent social de 2ème classe C 0 1 1 0.57 0.00 0.57 Agent spécialisé des écoles maternelles principal de 2ème cl. Agent spécialisé des écoles maternelles de 1ère classe FILIERE CULTURELLE (h) C 4 0 4 3.70 0.00 3.70 C 5 0 5 2.00 0.00 2.00 1 0 1 1.00 0.00 1.00 Adjoint du patrimoine principal de 2ème classe C 1 0 1 1.00 0.00 1.00 FILIERE ANIMATION (i) 21 3 24 16.70 0.00 16.70 Animateur principal de 1ère classe B 1 0 1 1.00 0.00 1.00 Animateur principal de 2ème classe B 1 0 1 0.00 0.00 0.00 Animateur B 2 0 2 1.00 0.00 1.00 Adjoint d'animation principal de 2ème classe C 2 0 2 1.80 0.00 1.80 Adjoint d'animation de 1ère classe C 4 0 4 2.00 0.00 2.00 Adjoint d'animation de 2ème classe C 11 3 14 10.90 0.00 10.90 2 0 2 2.00 0.00 2.00 C 2 0 2 2.00 0.00 2.00 FILIERE POLICE (j) Brigadier chef principal 13 TOTAL GENERAL (b+c+d+h+i+j) 80 7 87 65.87 REMUNERATION AGENTS NON TITULAIRES EN FONCTION AU 01/09/2014 CATE GORIES SECTEUR Indice Agent occupant un emploi permanent (6) Euros 0.00 65.87 CONTRAT Fonde ment du contrat Nature du contrat 0.00 Adjoint d'animation de 2ème classe TNC C ANIM 330 Adjoint technique de 2ème classe TC C TECH 330 Adjoint technique de 2ème classe TNC C TECH 330 Adjoint technique de 2ème classe TNC C TECH 330 article 3 §1 article 3 0.00 §1 article 3 0.00 §1 article 3 0.00 §1 0.00 PERSONNEL COMMUNAL – ASSURANCE STATUTAIRE Monsieur le Maire évoque la délibération en date du 5 décembre 2013 par laquelle le Conseil Municipal a décidé de se joindre à la procédure de renégociation du contrat groupe d’assurance statutaire que le Centre Interdépartemental de Gestion (C.I.G.) allait engager. Au terme de la consultation, le conseil d’administration du C.I.G. a attribué le marché au candidat DEXIA-SOFCAP/CNP. Le taux de cotisation proposé à la commune de Marollesen-Hurepoix à garanties égales, est de 6,64 % garanti 2 ans (contre 9,15 % actuellement) auquel s’ajoute une participation aux frais du C.I.G. de 0,10% de la masse salariale assurée. Délibération VU le Code Général des Collectivités Territoriales, VU le Code des Assurances, VU la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 et notamment son article 26 alinéa 2, VU le décret n°86-552 du 14 mars 1986 pris pour l’application de l’article 26 alinéa 2 de la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 et relatif aux contrats d’assurances souscrits par les centres de gestion pour le compte des collectivités locales et établissements territoriaux, VU le Code des Marchés Publics et notamment l’article 35 alinéa I.2 autorisant le recours à la procédure de marché négocié après publicité et mise en concurrence, lorsque les spécifications du marché ne peuvent être établies avec une précision suffisante pour permettre le recours à l’appel d’offres, VU la délibération du Conseil d’Administration du CIG en date du 15 avril 2013 approuvant le renouvellement du contrat groupe selon la procédure négociée, VU la délibération du Conseil d’Administration du CIG en date du 16 juin 2014, autorisant le Président du C.I.G. à signer le marché avec le candidat SOFAXIS / CNP Assurances, VU la délibération du Conseil Municipal en date du 5 décembre 2013 proposant de se joindre à la procédure de renégociation du contrat groupe d’assurance que le Centre Interdépartemental de Gestion a lancé, VU l’exposé du Maire, VU les documents transmis (rapport d’analyse du C.I.G), 14 CONSIDERANT la nécessité de passer un contrat d’assurance statutaire, CONSIDERANT que ce contrat doit être soumis au Code des Marchés Publics, LE CONSEIL MUNICIPAL, après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, APPROUVE les taux et prestations négociés pour la collectivité de Marolles-en-Hurepoix par le Centre de Gestion dans le cadre du contrat-groupe d’assurance statutaire, DECIDE d’adhérer à compter du 1er Janvier 2015 au contrat d’assurance groupe (2015-2018) et jusqu’au 31 décembre 2018, pour les agents CNRACL (Caisse Nationale de Retraites des Agents des Collectivités Locales) pour les risques (décès, accident ou maladie imputable au service y compris frais médicaux consécutifs, longue maladie/longue durée, maternité/adoption y compris congés pathologiques, maladie ordinaire) au taux de 6,64 % de la masse salariale assurée (frais du CIG exclus) avec une franchise de 30 jours cumulés sur le risque de maladie ordinaire, PREND ACTE que les frais du CIG, qui s’élèvent à 0,10 % de la masse salariale assurée, viennent en supplément des taux d’assurance ci-dessus déterminés, Et à cette fin, AUTORISE le Maire à signer le bulletin d’adhésion ainsi que la convention à intervenir dans le cadre du contrat groupe, PREND ACTE que la commune pourra quitter le contrat groupe chaque année sous réserve du respect du délai de préavis de six mois. AUTORISATION DE SIGNER L’AVENANT N°1 A LA CONVENTION OPERATIONNELLE ENTRE LA COMMUNE DE MAROLLES-EN-HUREPOIX ET LA COMMUNE DE LAKAMANE POUR LE FINANCEMENT ET LA MISE EN ŒUVRE D’UNE ACTION DU PROGRAMME DE COOPERATION DECENTRALISEE MULTIPARTITE ENTRE DES COLLECTIVITES FRANÇAISES ET DES COLLECTIVITES DES CERCLES DE DIEMA, DOUENZA ET NIORO DU SAHEL AU MALI Monsieur le Maire explique que dans le cadre de la poursuite de la mutualisation des actions de coopérations décentralisées des collectivités, parallèlement à la signature de la convention avec le Conseil Général, cette convention opérationnelle, entre la commune de Marolles-enHurepoix et la commune de Lakamané, définit le financement et la mise en œuvre des aménagements en eau potable des villages de Soucko GORY et KANIARA de la commune de LAKAMANE. Les communes de Marolles-en-Hurepoix et de Lakamané doivent adopter dans les mêmes termes cette convention opérationnelle; la convention initiale est prolongée de 6 mois. Le coût initial de l’opération est augmenté de 10.000 €, sans répercussion sur le montant de la participation communale. Madame Letessier précise que si la participation de la commune n’a pas à être augmentée, certaines dépenses devront sans doute être réduites. 15 Monsieur le Maire souligne le travail important du Comité de Jumelage et notamment de Messieurs Frimbault et Fauvell-Champion. Délibération VU l’exposé des objectifs de partenariat avec la commune de Lakamané, située dans le cercle de Diéma, VU la délibération du Conseil Municipal en date du 19 septembre 2013 autorisant Monsieur le Maire à signer la convention pour le financement et la mise en œuvre d’actions du programme de coopération décentralisée multipartite, LE CONSEIL MUNICIPAL, après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, APPROUVE les termes de l’avenant n°1 à la convention opérationnelle figurant en annexe à la présente délibération, AUTORISE Monsieur le Maire à signer la dite convention. AVENANT N°1 A LA CONVENTION OPERATIONNELLE EN DATE DU 8/11/2013 ENTRE LA COMMUNE DE MAROLLES-EN-HUREPOIX ET LA COMMUNE DE LAKAMANE POUR LE FINANCEMENT ET LA MISE EN ŒUVRE DE PLUSIEURS ACTIONS DU PROGRAMME DE COOPERATION DECENTRALISEE MULTIPARTITE ENTRE DES COLLECTIVITES FRANÇAISES ET DES COLLECTIVITES DES CERCLES DE DIEMA, DOUENTZA ET NIORO-DU-SAHEL AU MALI La Commune de MAROLLES-EN-HUREPOIX, représentée par son Maire, Monsieur Georges JOUBERT, ayant reçu délégation par délibération n° 10 du 18 septembre 2014 Ci-après dénommée « la commune de Marolles-en-Hurepoix » D’UNE PART, ET La Commune de LAKAMANE, représentée par son Maire, Monsieur Mamadou DIALLO, ayant reçu délégation par délibération n° du Ci-après dénommée « la commune de Lakamané » D’AUTRE PART, Conformément à l’article 6 de la Convention opérationnelle du 8/11/2013 entre les deux Communes autorisant les modifications de la convention susmentionnée, Il est convenu ce qui suit : 16 17 Article 1 de l’avenant : Objet de l’avenant Le présent avenant n°1 à la Convention a pour objet de préciser le déroulement opérationnel des actions, les conditions de maîtrise d’ouvrage et les modalités de versement des fonds inhérents aux opérations pour l’aménagement en eau potable des villages de Soucko Gory et de Kaniara tel que présenté dans l’article 3 et dans l’article 4 de la Convention et développé également dans l’annexe de la Convention (Cf. article 2 de l’avenant). Article 3 de la convention : Description du déroulement opérationnel et montage budgétaire Le programme est prorogé jusqu’au 1er semestre 2016. Les phases d’exécution du programme seront les suivantes : - 2014 – Etudes complémentaires des forages des AEP de Soucko Gory et de Kaniara (Coût total prévisionnel estimé à 10.000 euros soit 5.000 euros par village qui feront l’objet de devis précis). - 2015 et le premier semestre 2016 – Mise en œuvre des actions en fonction des résultats des études des forages et de l’obtention des financements complémentaires actuellement en cours de recherche. Les coûts totaux prévisionnels pour chacune des AEP sont de : - Soucko Gory : 98.360 euros dont 8.385 euros provenant de la participation malienne (débours ou valorisation) - Kaniara : 82.250 euros dont 9.150 euros provenant de la participation malienne (débours ou valorisation) Article 4 de la convention : Versement des fonds La commune de Marolles-en-Hurepoix versera sa participation financière au Conseil Général de l’Essonne, comme prévu initialement, soit : Aménagement eau potable - village de SOUCKO GORY o 2013 : 6.000 € déjà versé, o 2014 : 3.000 €. Aménagement eau potable - village de KANIARA o 2014 : 3.000 €, o 2015 : 6.000 €. Le Conseil Général de l’Essonne mandatera au bénéfice de la Commune de Lakamané les tranches suivantes : - 2014 – Etudes complémentaires des forages des AEP de Soucko Gory et de Kaniara : Une première tranche de financement d’un montant de 6.000 euros sera versée dès la signature du présent avenant à la Convention opérationnelle. Le solde, soit 4.000 euros, fera l’objet d’un mandatement après réception du bilan de l’utilisation de 50 % de la première tranche de financement. Origine des fonds : 6.000 euros seront financés par la Commune de Marolles et 4.000 euros seront financés par le CG 91. - 2015 et le premier semestre 2016 – Mise en œuvre des actions : o AEP de Soucko Gory : En fonction des résultats des études complémentaires des forages et des fonds disponibles (Commune de Marolles, CG 91 et subventions du MAEE) une première tranche de 18 financement d’un montant de 13.000 euros sera versée après transmission au Conseil général d’un appel de fonds de la commune de Lakamané et après transmissions à la commune de Marolles et à l’association des Amis du Jumelage des résultats de l’étude complémentaire des forages. Le solde soit 9.000 euros, fera l’objet d’un mandatement après réception du bilan de l’utilisation de 80 % de la première tranche de financement. o AEP de Kaniara : En fonction des résultats des études complémentaires des forages et des fonds disponibles (Commune de Marolles, CG 91 et subventions du MAEE) une première tranche de financement d’un montant de 13.000 euros sera versée après transmission au Conseil Général d’un appel de fonds de la commune de Lakamané et après transmissions à la commune de Marolles et à l’association des Amis du Jumelage des résultats de l’étude complémentaire des forages. Le solde soit 9.000 euros, fera l’objet d’un mandatement après réception du bilan de l’utilisation de 80 % de la première tranche de financement. Conformément à l’article 4 de la Convention opérationnelle approuvée entre les deux Communes tous les fonds seront versés sur le compte dédié au projet de la Commune de Lakamané. Article 2 de l’avenant : Annexe de la Convention L’annexe de la Convention opérationnelle en date du 8/11/2013 entre les deux communes est modifiée et actualisée « annule et remplace » par celle figurant en annexe du présent avenant n°1. Le présent avenant est signé à Marolles-en-Hurepoix en 4 exemplaires originaux. Pour la Commune de Marolles-en-Hurepoix Le Le Le Maire Pour la Commune de Lakamané Le Maire Monsieur Georges JOUBERT Monsieur Mamadou DIALLO 19 AVENANT N°1 A L'ANNEXE DE LA CONVENTION OPERATIONNELLE DU 08/11/2013 ENTRE LA COMMUNE DE MAROLLES-EN-HUREPOIX ET LA COMMUNE DE LAKAMANE ANNEXE A LA CONVENTION DEROULEMENT OPERATIONNEL ET MONTAGE BUDGETAIRE STRUCTURE(S) PORTEUSE(S) DU PROJET Commune de MAROLLES-EN-HUREPOIX / Commune de LAKAMANE INTITULE DU PROJET AMENAGEMENT EN EAU POTABLE DES VILLAGES DE SOUCKO GORY ET KANIARA OBJECTIF DU PROGRAMME Procurer durablement aux habitants l’eau nécessaire aux besoins quotidiens (besoins et droits fondamentaux), développer l’assainissement et l’aide à la gouvernance LIEU D’INTERVENTION Commune de LAKAMANE, Villages de Soucko Gory et Kaniara, cercle de DIEMA, MALI DUREE DE L’ACTION 3 ans & DATES DE MISE EN ŒUVRE 2013-2015 prorogé au 1er semestre 2016. PARTENAIRES / ACTEURS - Conseil Général de l’Essonne (En France & à l’étranger) - MAEE - Commune de MAROLLES-EN-HUREPOIX - Association « Les Amis du Jumelage » de MAROLLESEN-HUREPOIX - Migrants et bénéficiaires des villages de Soucko Gory et Kaniara - Autres partenaires financiers (à déterminer) - Association « ESSONNE-SAHEL » en appui-conseil - P.S.-EAU (Programme Solidarité Eau) en appui-conseil - Commune de LAKAMANE sur la base du Programme de Développement Economique Social et Culturel (PDESC) 2010-2014, en tenant compte de l’expertise de la Direction Régionale de l’Hydraulique et de l’Energie de KAYES – DNH OBJECTIFS GENERAUX (Ce sont les objectifs les plus globaux. Ils ne sont pas opératoires, ils visent le long terme) OBJECTIFS OPERATIONNELS Définis en commun accord avec le partenaire du Sud, ils correspondent aux activités à réaliser pour atteindre es objectifs généraux) - Sécuriser (en quantité, régularité et hygiène) l’alimentation en eau potable. Répondre aux objectifs du Millénaire pour le développement -(OMD) - Fournir un approvisionnement durable en Eau Potable, Améliorer l’hygiène, réduire la mortalité infantile et alléger le travail des femmes et des enfants - QUANTITATIFS : Aménager une A.E.P. dans chaque village de Soucko Gory et Kaniara en installant un forage, un château d’eau et 6 bornes fontaines avec une alimentation en énergie électrique photovoltaïque, tout en gardant les installations existantes réservées au bétail. 20 - Permettre aux femmes de disposer de temps pour aménager et réussir l’amélioration du bol alimentaire en cultivant leurs espaces maraichers. - QUALITATIFS : Renforcer la maitrise d’ouvrage par la Mairie de Lakamané, avec l’appui du Syndicat des Collectivités Territoriales du Cercle de Diéma « UCDBenso ». - Sensibiliser la population aux notions d’hygiène et d’assainissement et au paiement du service de l’Eau, afin de garantir la pérennité du système (entretien, renouvellement, formation, gardiennage). - A SOUCKO GORY : Réalisation d’un forage permettant un approvisionnement en eau durable au cours de l’annéeEquipement de panneaux photovoltaïques munis des dispositifs de régulation et de sécurité ; installation d’un château d’eau et d’un réseau de 6 bornes fontaines dans le village. - A KANIARA : Vérification des caractéristiques du forage existant afin de permettre un approvisionnement en eau durable au cours de l’année- Equipement de panneaux photovoltaïques munis des dispositifs de régulation et de sécurité ; installation d’un château d’eau et de 8 bornes fontaines dans le village. - DANS CHAQUE VILLAGE : Formation d’un comité de gestion de l’eau aux impératifs du suivi technique et financier et de la maintenance des équipements. Assistance au Comité de gestion pendant la période d’exploitation de la 1ère année et ouverture d’un compte bancaire de dépôt des redevances. - Mise en place d’un comité de suivi (Représentants du Conseil Municipal, Autorités villageoises et bénéficiaires, partenaires techniques et financiers) et les migrants. - Vérification de la réalisation des relevés des données nécessaires à l’établissement du compte d’exploitation pour préparer les premiers suivis semestriels. - Sensibilisation des populations sur les nouvelles installations, les conditions de sécurité, d’utilisation, d’entretien et de maintenance. Une formation sera dispensée par l’installateur ainsi que par le Syndicat UCDBenso avec une attention toute particulière portée vers l’approvisionnement de l’antenne de l’Ecole Fondamentale - Formation appropriée aux conditions d’hygiène et d’assainissement à proximité des points d’eau et des bornes fontaines, ainsi que sur les risques électriques encourus. ACTIONS MISES EN PLACE (Il s'agit des actions concrètes qui vont être réalisées dans le cadre du projet et qui permettront d'atteindre les résultats attendus) - Réception définitive par un Bureau d’Etudes Technique après un audit de l’état technique des installations, dans les délais conventionnels. – Contrôle de la salubrité des points d’eau ; négociation et signature d’un contrat de maintenance de l’ensemble des installations a l’issue de la 1ère année de service. 21 CHRONOGRAMME - Année 2 : Elaboration du projet, recherche des financements ; consultation des migrants, signatures des conventions opérationnelles et ouverture du compte bancaire ; recherche des fournisseurs, Appels d’offres - Année 3 : Mise en place des équipements solaires, pompes, châteaux d’eau, essais et mesures de débit des châteaux d’eau ; mise en place des bornes fontaines. - Année 4 : Raccordement aux bornes fontaines, mise en activité des sites, mesure de débit sur chaque bornefontaine, recrutement de gardiens ; réception provisoire, formations des comités de gestion, sensibilisation de la population et mise à disposition. Réception provisoire des installations. PUBLIC CIBLE (bénéficiaires directs et indirects, exclus, méthodes d’appropriation …) Le village de Soucko-GORY comporte 1.406 habitants (Estimation 2012), le chef-lieu Lakamané est situé à 40 kms, l’annexe de l’école fondamentale de Lakamané dispose de 6 classes en dur et 3 en banco. Le village de KANIARA est situé à 22 kms de Lakamané, sa population est estimée à 2.780 habitants, il comporte une annexe de l’école fondamentale de Lakamané. Ces villages disposent de magasins de céréales en ciment financés par les migrants ; les principales activités sont l’agriculture et l’élevage. INTERET LOCAL Assurer en permanence l’approvisionnement en eau potable nécessaire aux besoins quotidiens de la population, développer l’assainissement aux abords des bornes fontaines et des points d’eau, Chaque année dès le début de la saison sèche les populations doivent parcourir de nombreux kms quotidiennement pour assurer aux familles un minimum d’eau ; par conséquent celles-ci sont particulièrement motivées pour apporter leur participation dans ces réalisations Une présentation des équipements aux villageois et la sensibilisation aux problèmes d’assainissement aux abords des bornes fontaines. OUTILS DE SUIVI ET D’EVALUATION PREVUS (Implication du partenaire dans cette élaboration d’évaluation) Le maitre d’ouvrage ou le maitre d’ouvrage délégué participera à la formation du comité de gestion, et à la sensibilisation de la population villageoise aux problèmes d’hygiène et d’assainissement. Un état des lieux devra être réalisé avant le début des travaux, suivi d’une concertation générale dans chaque village sur la disposition du château d’eau et des bornes fontaines. La réception définitive aura lieu 1 an après la mise à disposition des équipements, avec un dernier contrôle du bon état des équipements solaires, pompes, châteaux d’eau et des bornes fontaines Un compte-rendu bisannuel de la comptabilité sera transmis aux différentes collectivités et partenaires financiers dans le respect de la législation Malienne. BUDGET DISPONIBLE 190.610 euros 22 PARTICIPATIONS FINANCIERES EN FRANCE - Commune de MAROLLES-EN-HUREPOIX : 18.000 euros ; - Fonds propres du Conseil Général de l’Essonne : 18.000 euros ; - Subvention du MAEE : 18.000 euros - Association « Les Amis du Jumelage » de MAROLLESEN-HUREPOIX : 2.400 euros - Association des migrants de GORY : 8.000 euros - Association des migrants de KANIARA : 8.000 euros - Autres partenaires financiers : 100.675 euros Bénéficiaires (débours ou valorisation) PARTICIPATIONS FINANCIERES A L’ETRANGER - Village de GORY : 8.385 euros. - Village de KANIARA : 9.150 euros APPROBATION ET AUTORISATION DE SIGNER LE 2ème CONTRAT DE BASSIN JUINE 2014-2018 Monsieur le Maire explique que le Contrat de bassin de la Juine engage l’ensemble des communes et intercommunalités du bassin de la Juine dans une gestion globale et concertée de la ressource en eau. Le contrat engage 42 communes, 16 intercommunalités et 3 partenaires techniques et financiers : l’Agence de l’Eau Seine-Normandie, le Conseil Régional Ile-de-France et le Conseil Général de l’Essonne. Il s’agit d’un contrat d’objectif dont la finalité est l’atteinte du bon état écologique des eaux du territoire dans le cadre de la Directive Cadre sur l’Eau. Ce contrat de bassin décline un programme d’actions pour les thématiques suivantes : assainissement, gestion des eaux pluviales, ressource en eau et milieux aquatiques. L’animation de ce contrat global est assurée par le Syndicat mIxte pour l’Aménagement et l’entretien de la Rivière Juine et ses Affluents (SIARJA). Le 1er Contrat de bassin de la Juine s’est terminé le 31 décembre 2013. Le deuxième Contrat a été rédigé en 2014 en concertation avec les collectivités signataires et les partenaires. Sa signature est envisagée fin 2014. Monsieur le Maire ajoute que pour l’assainissement du secteur Sud de Marolles, un programme pluriannuel d’investissement va être fait car tout ce secteur ne pourra pas être mis en séparatif avant la fin du mandat. Délibération CONSIDERANT que le Contrat de bassin de la Juine, est sur le point d’être signé entre les collectivités du bassin versant de la Juine, l’Agence de l’Eau Seine-Normandie, le département de l’Essonne et la Région Ile-de-France pour une validité jusqu’au 31 décembre 2018, CONSIDERANT que l’animation de ce contrat est portée par le Syndicat mIxte pour l’Aménagement et l’entretien de la Rivière Juine et de ses Affluents (SIARJA), 23 CONSIDERANT que par une délibération en date du 5 décembre 2013, le Conseil Municipal a émis un avis favorable quant au principe de s’associer au SIARJA, en vue d’élaborer ce contrat de bassin, VU le projet de Contrat de Bassin de la Juine en cours de finalisation, LE CONSEIL MUNICIPAL, après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, APPROUVE le projet de Contrat de bassin de la Juine (ci-annexé*) à conclure entre l’Agence de l’Eau Seine-Normandie, le Conseil Régional d’Ile-de-France, le Conseil Général de l’Essonne, les différentes communes et leurs regroupements sur le bassin versant de la rivière Juine, qui fixe les conditions respectives d’intervention dans le cadre d’un plan 20142018 des actions à mener en matière d’eau. AUTORISE Monsieur le Maire à signer ledit contrat, y compris avec des modifications mineures qui pourraient intervenir en cours de finalisation du contrat et les avenants éventuels. * le projet de contrat est consultable en Mairie. APPROBATION ET AUTORISATION DE SIGNER LA CONVENTION LOCALE POUR L’ENFOUISSEMENT COORDONNE DES RESEAUX AERIENS DE COMMUNICATIONS ELECTRONIQUES DE ORANGE ET DES RESEAUX AERIENS DE DISTRIBUTION D’ELECTRICITE ETABLIS SUR SUPPORTS COMMUNS PORTANT ATTRIBUTION A ORANGE DE LA PROPRIETE DES INSTALLATIONS SOUTERRAINES DE COMMUNICATIONS ELECTRONIQUES, ET LES CONVENTIONS PARTICULIERES A INTERVENIR Monsieur le Maire explique que dans le cadre d’accords nationaux, la Fédération Nationale des Collectivités Concédantes et Régies (FNCCR), l’Association des Maires de France (AMF) et Orange ont constaté qu’il était nécessaire, pour les enfouissements coordonnés de réseaux, de mettre en place un accord national rationnel et efficace dans sa mise en œuvre afin de réduire les coûts de gestion. Deux possibilités s’offraient à la commune : soit le réseau devenait propriété de la commune, soit il restait propriété d’Orange. Il est préférable de choisir la 2ème solution. Les parties ont convenu : - que la pose coordonnée des différents réseaux de service public favorise la réduction du coût des travaux et réduit la gêne provoquée par des chantiers successifs, notamment en ce qui concerne l’enfouissement des réseaux filaires aériens de distribution d’électricité et de communications électroniques qui sont fréquemment voisins et dont la coordination de la mise en souterrain dans un même secteur est d’intérêt général ; - que, lorsque les réseaux électriques et de communications électroniques sont disposés sur les mêmes supports, cette coordination est soumise aux dispositions de l’article L 2224-35 du Code Général des Collectivités Territoriales qui prévoit la passation de conventions entre les collectivités territoriales ou leurs établissements publics de coopération compétents pour la distribution publique d’électricité et les opérateurs de télécommunications ; - que soit établi, dans un souci d’efficacité, un modèle national de convention afin de faciliter et d’accélérer la mise en œuvre de cette procédure au niveau local ; 24 Les dépenses liées aux travaux d’enfouissement des réseaux de télécommunications sont réparties comme suit : (extrait de la convention cadre locale) Monsieur le Maire précise à Madame Lambert qu’Orange ne va pas installer la fibre optique à Marolles; cette opération relève de la compétence du Conseil Général de l’Essonne. Délibération VU l’article L 2224-35 du Code Général des Collectivités Territoriales, LE CONSEIL MUNICIPAL, après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, APPROUVE la convention cadre locale à passer avec Orange relative à l’enfouissement coordonné des réseaux aériens de communications électroniques de Orange et des réseaux aériens de distribution d’électricité établis sur supports communs portant attribution à Orange de la propriété des installations souterraines de communications électroniques (option B), AUTORISE Monsieur le Maire à signer la convention figurant en annexe* à la présente délibération, ainsi que les conventions particulières qui seront établies au vu du dossier technique lors de chaque opération d’enfouissement faisant référence à cette convention cadre locale, et tout autre acte consécutif à l’exécution de ces conventions. * la convention cadre locale est consultable en Mairie. Point supplémentaire à l’ordre du jour TARIFS MUNICIPAUX - LOCATION DE LA SALLE DES FETES Actuellement, ces tarifs (approuvés en mars) sont les suivants (la salle est prêtée gratuitement aux associations marollaises) : Salle des fêtes sans lave-vaisselle ni chauffe-plat : o Marollais (particuliers, entreprises) ................................................ 293,00 euros 25 o Non-Marollais (particuliers, entreprises ou associations) ............ 1057,00 euros. Salle des fêtes avec lave-vaisselle et chauffe-plat : o Marollais (particuliers, entreprises) ................................................ 352,00 euros o Non-Marollais (particuliers, entreprises ou associations) ............ 1267,00 euros. La salle des fêtes n’est traditionnellement louée ni les 24 et 25 décembre ni les 31 décembre et 1er janvier. Pour la 2ème année consécutive une famille marollaise demande à louer la salle des fêtes le 24 décembre. L’an dernier, il avait été répondu par la négative. Il est proposé de donner une réponse favorable à condition que le tarif soit revu à la hausse de façon conséquente pour tenir compte du caractère exceptionnel de cette date de location. Afin d’éviter des dérives, la salle ne serait, de façon générale, louée à cette date, qu’à des familles marollaises (et non à des entreprises ou à des non-Marollais). Votes : Pour : 25 Abstention : 1 (Mme Bove) Délibération LE CONSEIL MUNICIPAL, après en avoir délibéré, à la majorité de ses membres présents et représentés, RAPPELLE que depuis le premier septembre deux mille quatorze les tarifs de location de la salle des fêtes François des Garets sont les suivants : Salle des fêtes sans lave-vaisselle ni chauffe-plat : o Marollais (particuliers, entreprises) ................................................ 293,00 euros o Non-Marollais (particuliers, entreprises ou associations) ............ 1057,00 euros Salle des fêtes avec lave-vaisselle et chauffe-plat : o Marollais (particuliers, entreprises) ................................................ 352,00 euros o Non-Marollais (particuliers, entreprises ou associations) ............ 1267,00 euros DECIDE que pour une location les 24 et 25 décembre, le tarif est le suivant : o Marollais (particuliers uniquement) avec lave-vaisselle et chauffe-plat... 600,00 euros PRECISE que les 24 et 25 décembre, cette salle n’est pas louée à d’autres utilisateurs que les particuliers marollais, et que les 31 décembre et 1er janvier, elle n’est pas louée. RAPPELLE que les accessoires manquants sont refacturés à l’utilisateur comme suit : Fourchette Couteau Cuillère à café Cuillère à soupe Verre à vin, à eau, flûte à champagne ou verre sans pied Tasse ou soucoupe Assiette plate Assiette à dessert Assiette à soupe 3 € l’unité 8 € l’unité 26 Pichet DIT que la présente délibération sera mise en application dès qu’elle sera rendu exécutoire. AVIS DU CONSEIL MUNICIPAL RELATIF AU SCHEMA REGIONAL DE COOPERATION INTERCOMMUNALE D’ILE DE FRANCE Monsieur le Maire annonce que le Préfet de Région a publié le projet de Schéma Régional de Coopération Intercommunale d’Ile de France. Marolles serait englobée dans le « Grand Evry » (532 988 habitants). Parmi les communautés concernées, seules Evry Centre Essonne et Sénart seraient « pour ». Il s’avère que ces communautés sont très endettées. Pour information, la dette de la Communauté de Communes de l’Arpajonnais (CCA) s’élève à 8 € par habitant alors que la communauté la plus endettée a une dette de 3.500 € par habitant. La nouvelle « super-communauté » comprendrait 90 délégués de droit, chiffre porté à 106 après réajustement, dont un délégué pour Marolles. La CCA a pris le cabinet juridique Landot, et le cabinet financier Stratorial Finances, pour approfondir le sujet car de nombreuses questions se posent : quid des délégués communautaires actuellement élus, quid des compétences actuelles des communautés… Les communautés ont jusqu’au 5 décembre pour émettre un avis. Le Préfet de Région devrait rendre son verdict avant le 28 février 2015 (cette date pourrait être repoussée au 30 avril 2015), pour une mise en application au 1er janvier 2016. La CCA va demander une dérogation pour se détacher de cette super-structure. En cas d’échec, elle demandera un rattachement avec la Communauté d’Agglomération du Val d’Orge. Délibération VU le Code Général des Collectivités Territoriales, VU la loi n°2014-58 du 27 janvier 2014 de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (MAPTAM), notamment ses articles 10 et 11, prévoyant à travers l'élaboration d'un schéma régional de coopération intercommunale la création d'intercommunalités d'au moins 200 000 habitants dans l'unité urbaine de Paris sauf dérogation, VU le projet de Schéma Régional de la Coopération Intercommunale (SRCI) établi par le Préfet de la région Ile de France et présenté le 5 septembre 2014, lors de l'installation de la Commission Régionale de Coopération Intercommunale, intégrant la Communauté de Communes de l'Arpajonnais dans une grande intercommunalité autour d'Evry, VU le périmètre proposé, préfigurant un projet de fusion des EPCI suivants, pour former une intercommunalité devant comprendre 532 988 habitants : - la CC de l'Arpajonnais (CCA) - la CA du Val d’Orge (CAVO) - la CA les Lacs de l’Essonne (CALE) (Commune de Grigny seulement) - la CA Evry centre Essonne (CAECE) - la CA de Seine Essonne (CASE) - le SAN de Sénart en Essonne - le SAN Sénart Ville Nouvelle 27 CONSIDÉRANT que la loi MAPTAM indique que les EPCI dont le siège se situe dans l'unité urbaine de Paris sont appelés à former des ensembles d'au moins 200 000 habitants, CONSIDÉRANT que la Communauté de Communes de l'Arpajonnais a son siège à Ollainville situé dans l'unité urbaine de Paris, CONSIDÉRANT que la commune de Marolles-en-Hurepoix, commune membre de la Communauté de Communes de l'Arpajonnais, se situe à l’extérieur de l'unité urbaine de Paris, CONSIDÉRANT qu'il peut être dérogé à ce seuil démographique par le représentant de l’État dans le département pour tenir compte des caractéristiques de certains espaces et des particularités géographiques, physiques, du nombre de communes membres, de la densité de population ou de la superficie des EPCI, CONSIDÉRANT la volonté de la commune de Marolles-en-Hurepoix de s'inscrire dans un projet de développement périurbain, de mutualiser les équipements et les services dans un périmètre adapté, de conforter la cohésion sociale, de valoriser son cadre de vie et de maîtriser sa fiscalité, LE CONSEIL MUNICIPAL, après en avoir délibéré, à l’unanimité de ses membres présents et représentés, ÉMET UN AVIS DÉFAVORABLE au projet de Schéma Régional de Coopération intercommunale d'Ile de France (SRCI) présenté le 5 septembre 2014, lequel intègre la commune de Marolles-en-Hurepoix dans une intercommunalité autour d’Évry de 532 988 habitants pour les motifs suivants : - Manque de cohérence avec l’échelon départemental, pourtant maintenu jusqu’en 2021. - Risque très fort quant à l’augmentation des impôts au vu des dettes de certaines agglomérations (500 millions pour trois d’entre elles), alors que la CCA n’a quasiment pas d’emprunt. - Absence totale de cohérence territoriale : L’Arpajonnais , qui a depuis dix ans forgé son identité sur un bassin de vie qui allie Ville et Campagne , n’a rien à voir avec l’urbanisation de villes comme Grigny – Evry et Sénart Ville Nouvelle. Nos concitoyens ont quitté les villes urbanisées pour rejoindre l’Arpajonnais afin de trouver une qualité de vie différente et répondant à leurs aspirations. - Abandon certain de la proximité, valeur essentielle qui a été mise en avant par tous les électeurs aux dernières élections municipales. - Disparité des compétences qui conduira, dans certains cas à un retour vers les communes. - Centralisation de certaines compétences conduira à retirer aux communes l’affectation de logements dont elles étaient responsables. - Gouvernance réservée aux grandes villes. Dans cette nouvelle agglomération, le conseil aura de l’ordre de 90 représentants, nos communes auront un représentant, 28 voire deux pour quelques-unes d’entre elles. C’est dire le peu de poids que nous aurons pour défendre nos intérêts. DÉCIDE de proposer à M. le Préfet de Région, le maintien de la commune de Marolles-enHurepoix dans la Communauté de Communes de l'Arpajonnais dans son périmètre actuel par dérogation. SICTOM DU HUREPOIX – APPROBATION DU RAPPORT D’ACTIVITES 2013 Monsieur Murail précise qu’en vertu de l’article L 5211-39 du Code Général des Collectivités Territoriales, « le président de l'établissement public de coopération intercommunale adresse chaque année, avant le 30 septembre, au maire de chaque commune membre un rapport retraçant l'activité de l'établissement accompagné du compte administratif arrêté par l'organe délibérant de l'établissement. Ce rapport fait l'objet d'une communication par le maire au conseil municipal en séance publique au cours de laquelle les représentants de la commune à l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale sont entendus. Le président de l'établissement public de coopération intercommunale peut être entendu, à sa demande, par le conseil municipal de chaque commune membre ou à la demande de ce dernier. Les représentants de la commune rendent compte au moins deux fois par an au conseil municipal de l'activité de l'établissement public de coopération intercommunale ». Le rapport d’activités 2013 du SICTOM du Hurepoix est consultable en Mairie. Délibération Le Conseil Municipal donne acte de la présentation du rapport d’activités du SICTOM du Hurepoix, année 2013. COMPTE RENDU DES ACTES EFFECTUES PAR LE MAIRE PAR DELEGATION DU CONSEIL MUNICIPAL, CONFORMEMENT A L’ARTICLE L 2122-22 DU CODE GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Monsieur le Maire précise que par une délibération n° 2 en date du 29 mars 2014, le Conseil Municipal a délégué au Maire l’exercice de certaines missions, en application de l’article L 2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales. Ces actes sont soumis aux mêmes règles que les délibérations du Conseil Municipal (transmission au contrôle de légalité en Sous Préfecture…) Il doit en être rendu compte lors de la réunion du conseil suivante. En application de cette délégation, une seule décision a été prise : Libellé Date signature Décision portant signature d’un contrat de cession pour l’organisation d’une animation « contes » par l’association « L’Ecoute 22/07/2014 s’il pleut » programmée le 3 octobre 2014 à la médiathèque. Comptes-rendus de la CCA et/ou des syndicats intercommunaux 29 SITREVA Monsieur Murail indique que le compte administratif du SITREVA a été voté. Il fait ressortir un déficit de 852.000 euros en investissement. 30 Questions diverses Monsieur le Maire annonce : la renégociation d’un emprunt Bonifix (Caisse d’Epargne) en prêt à taux fixe (1,51%) et la souscription d’un emprunt auprès de la Caisse d’Epargne Ile de France d’un montant de 100.000 € (cent mille euros) correspondant au financement nécessaire au programme de travaux de désamiantage, de mise aux normes des équipements d’incendie et d’insonorisation de l’école maternelle Gaillon ; que les élections départementales devraient avoir lieu en mars 2015 et les régionales fin 2015 ; qu’une commission Urbanisme va être organisée, afin de travailler, notamment, sur le réaménagement de la Poste et du centre ville. Monsieur Machut explique que pour la Participation citoyenne, 6 volontaires se sont manifestés, il en faudrait 10 pour que ce dispositif soit significatif. Monsieur le Maire adresse ses remerciements: à Monsieur Machut, délégué à la sécurité, pour l’organisation de la réunion publique sur la Participation citoyenne, le 10 juin, au CCAS et au personnel de la Résidence du Parc pour le LOTO des 25 ans de la résidence qui s’est déroulé le 11 juin, au CCAS et à Madame Vieillevigne pour l’organisation de la sortie Seniors pour le 70ème Anniversaire du débarquement en Normandie le 19 juin, au CCAS pour les sorties à Deauville et Trouville (20 juillet et 24 août), à la Commission Jeunesse, Sports et Loisirs pour : les retransmissions des matchs de la coupe du monde de football, Marolles en Zik, le 21 juin, Les CinéMarolles du 4 juillet (Les Schtroumpfs2), 18 juillet (Hunger games – épisode 2), 22 août (Les garçons et Guillaume à table), 29 août (Madagascar 3) Les « Ça me dit de l’été » (5, 19, 26 juillet et 30 août), à la Commission Vie culturelle et à Christophe Lemaitre, bibliothécaire, pour : la projection de la conférence UTL du 12 juin, à la Commission Vie culturelle pour la sortie dîner-spectacle à Meaux le 4 juillet au Comité des Fêtes pour les festivités de la Fête Nationale, le 13 juillet, à la Commission Vie associative, pour l’organisation de la Journée des associations le 7 septembre. Monsieur le Maire annonce : le concert de rentrée, à l’église, le 20 septembre, les Journées du Patrimoine (20 et 21 septembre), la prochaine conférence vidéo UTL qui se déroulera le 25 septembre à la médiathèque, le Forum de l’emploi, organisé en partenariat avec la CCA le 7 octobre. Les élus n’ayant pas d’autre question, la séance est levée. ** ** ** ** 31
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