54"'unni*— ff*11,981 (Q Pages) Administrateur -Déléffné -Gérant O. RAN DO LET idsniiiistratioii. Impressions etAnnonees. TEL. 10.47 85, Rue Fontenelle, Ait'esse Télêgraphique 35 : EA1ID0LET Havre ANNONCES Le Petit A PARIS . Le le PETITHAVREest dèslgnépour les AnnoncesJurliciutres ei légalas plus Questionslegislatives Eu comprenant les 232 millions du Maroc, on arrive a un chiffre total de dépenses hors budget de prés de 830 millions. LaRentréedssChambres eileBudget A la veille de la rentree, un certain nombre de döputés et de sénateurs diligents se sont préoccupés du travail parlementaire de la procliaine législature, Dans les journaux et dans les revues poiitiques, ils expriment leur sentiment a eet égard et tous sont d'accord pour reconnaftre qu'il u'est pas ques¬ tion plus essentielle que celle de la rélórnie du Parlement iui-même. C'est une ques¬ tion vitale pour lui, disent ils, et s'il ne vent pas tomber dans I'impuissance, il est urgent qu'il a visé aux moyens les plus propres a meltre un terme a certaines métho¬ des défectueuses de travail, 4 certaines ha¬ bitudes fücheuses de discussion. Et toutd'abord, une politique financière nette et précise s'impose comme première préoccupation a la Ghambre et au Sénat. 11leur faut, de toute néeessilé, rétablir l'équilibre budgétaire. Dans un article qu'il publait récemment, et qui fut trés commenté, M. Aimond, rap¬ porteur générai du budget au Sénat, faisait connaitre son avis sur la question. En ce qui concerne le budget 1911, non encore voté, il fallait, disait-il, le boucler le 30 juin, par l'emprunt, afin d'éviter de nouveaux douzièmes provisoires. Quant au prolet de budget de 1913, il estimait que le dépót en devrait être effeclué avont le 14 juillet, pour que le Parlement put ie voter a la session d'octobre, pendant que le Sénat, de soit cólé, voterait l'impót sur le revenu. Or, le rapport générai de M. Aimond sur le budget de 1914 vient d'etre distribué aux sénateurs, et ce document met en pleine lumière l'ëtat de nos finances qui n'est pas trés brillant. Les diffieultés de la situation sedraduisent en effet par un déficit de 800 millions environ, sans compter les dépenses extraordinaires déja engagées ou a en¬ gager pour la Guerre ou la Marine, qui ont étéévaluées a plus de 1 .400.000 millions et dont l'annuité viendra encore s'ajouter aux dépenses de l'exercice 1914, lorsqu'elies aurout été couvertes par 1'empriM. Pour l'exercice 1914, s'il se présente en équilibre, c'est grace aux procédés que volei : 1° un emprunt de 112 millions 1/2 au comple provisionnel qui se trouve ainsi complètement épuisé ; 2° un emprunt de J96 millions en obligations a court terme du Trésor ; 3" l'irnputation, a un compte d'emprunt, des dépenses pour leMaroc, évaluées a 232 millions. Sans le recours au compte spécial, le déficit initial eüt été de 340 millions. On ne prévoit d'ailleurs aucune somme pour le remboursement des 48.330.000 fr. d'obligations a court terme qui viennent a échéance dans le courant de cetteannée même. De plus il faudrait ajouler au déficit initial de 1914 : 20 millions, pour l'iniérêt et i'amortissement de la pre¬ mière tranche de l'emprunt ; 17 millions pour nouvelles dépenses votées par la Chambre. En outre, il conviendrait aussi de prévoir : 277 millions votés par le Sénat, non encore votés par la Chambre, et desti¬ nes a assurer le payemeiit des dépenses a engager ceite année en execution de la loi de trois ans ; 211 millions pour travaux in¬ téressant la délénse nationale; 128 millions pour Ia marine en sus des crédits inscrits au budget. I— — «mi Et la perspective ne serait pas meilleure pour le budget de 1913. Le compte provi¬ sionnel ayant dispara, l'accroissement normal des dépenses continuant et le dégrèvcment foncier faisant sentir ses cfïets, ce se¬ rait une aggravation de plus de 200 millions dans le déficit, — atténué, il est vrai, dans une certaine proportion par la réforme sur les valeurs mobilières et par les plus-values de recettes. Le déficit mi¬ nimum de 1915 atteindrait 610 millions. Même en dégageant momentanémcnl le budget du poids des dépenses marocaines, c'est 410 millions d'impóts nouveaux qu'il faudra trouver, et M. Aimond conclut que les classes aisées doivent tenir la promesse de payer largemeut leur part. Les commentaires de M. Aimond, en ce qui concerne Ja situation financière aetuelle et l'insfilfisanee du controle parlementaire, vient a l'appui de l'opinion de ceux qui es timent que le Parlement a le plus grand besoin de réformer scs méthodes de tra¬ vail : Peut -être, dit-it, en ne présentsni plas des budgets siucères, paree qua les dépenses normaies et inéluetrbies étaient volontairement diniinuées dans ieurs previsions, les différents gouvernam enis ont-iis eu ie 'grand tort de masquer aux yenx du plus grand nombre la situation exacie de nos finances et de iaisser sans defense ie budget coritre les assauts annuels dont il est l'objet ; mais il n'en est pas moins vrai que la droite com¬ me lag niche da nos assemblees ont une part égale de responsabilité dans tont ce!a, comme dans le déficit qn'i! nous faut cotnbler aujoard'hui et que si nous sommes acculés a l'emprunt et 4 l'impót, c'est la faute de tons les partis. Anjourd'hai l'henre n'e<t plus eux rëcrim inations ; i! faut procéder au règlement du passé : l'emprunt et l'impót sout done inévitables. Mais quels seront ces impóts nouveaux ? Nous l'ignorons encore, et la Commission des finances du Sénat ne s'est guère montrée favorable jusqu'ici aux décisions de la Chambre puisqu'ellc a successivement repoussé l'incorporation de l'impót sur le re¬ venu dans la loi de finances et les modifi¬ cations au droit successoral. Or la lache délicate et difficile qui ineombe aux deux Ghambres exige leur en¬ tente compléte et rapide pour fixer et voter les nouveaux impöls el pour voter l'inévitable emprunt. Tii. Vallée. Gonseil des Ministres Tes min'sfes se s«nt réunis,. hier matin, en Conseil, a t'Elysée, sous ia présidence de M. Poincaré. Voici la note qui a été communiqués 4 l'issue du Conseil : Le président da Conseil, mïnistre des affai¬ res étrangères, a fait au Conseil un exposé des événements extérieurs et des diverses questions de politique étraagère. Le ministre des finances a enlrelena !e Couseil de la situation financière et de ia discussion du budget de 1914 qui va eomrneiicar devaai le Sénat dés ia rentree nes Ghambres. Le ministre la gaerre a renseignéses collègues sur la situation au Maroo et sur les conlius algéro-marocains. II a égaiement annoncé ('organisation sans aucune nouvelle dep, use d'une inspection du couchuge et ds ('habillement a ia fois pour assurer la liaison enire les services locaux et ie service centra! et pour faciiiter le controle permament des appro visionnensents de la réserve de gaerre. Tiragefort des Xéléjihooe Secretaire Nos coneitoyens sont Irop réalistes et trop habitués a la collaboration cntre gens de toutes opinions dans le domaine des affaires et sur le terrain des ocavres pour admettre un cloisonnement politique absolu et défmitif basé sur les divergences religieuses... Résumons-nous. Nous tendons la main a tons ceux, quelles que soient leurs opinions religieuses, qui veulent la Patrie forte, la République respectée, l'ordre social maintenu moins par la poigne du gendarme que par des réformes jndiciéuses. Le Petit Havre declare vouloir les mêmes eboses, mais il aime mieux donner la main aux ennemis de, la patrie et de l'ordre social, que de la don¬ ner aux calholiques. Aux Havrais de dire de quel cöté est la lolérance, de quel cölé la saine con¬ ception des intéréts du pays et du ré¬ gime démocratique lui-même. Qu'il est difficile de se Jaire comprendre, même et surlout par un adversaire intelligent ! Nous avians écrit noire article, précisément pour marquer que ce n' étaient pas les divergen¬ ces religieuses qui nous j ais aient peur, que nous respections les croyances qui ne sont pas les nötres, que c'élait- settle¬ ment avec le parti politique catholique que nous ne voulions avoir tien de commun. II est vrai que Af. Urbain Falaize nous a rèpondu Jroidement qu'il n'y avait pas de parti catholique ; nous sommes si sujjoqué de cette affirma¬ tion que nous exigeons de noire contradicteur, pour le croire, qu'il nous cn donne une confirmation éclatante : par exemple, si FAction libérale n'est pas catholique elle dolt certainement, comme tous les partis, être ouverte aux Isréalites ; quon nous donne, parmi cux, les nomè de ceux qui en Jont partie, et nous avouerons noire conjusion ! Alais trève de plaisanterie ; nous aussi nous sommes des réalistes ; nous aussi nous sommes prêts a collaborer dans tel cas determine, pour les affai¬ res municipales ou sur le terrain économique et social, avec des adversaires poiitiques, ceux de ganche, d'ailleurs, comme ceux de droite ; dans les grandes questions d'intérêt générai, comme celle de la defense nationale, nous trouvons tout naturel que les voix de la Droite se mêlent aux nötres si cela lui convient. Alais la n'est pas la ques¬ tion ; se rencontrer occasionnellement dans certains votes, ce n'est pas s'irhif tér, Jaire bloc cn cue d' une politique de gouvernement. Nous remercións Z'Action Libérale de nous tendre la main en vue d'une « llépublique respectée » ; mais nous prétendons avoir bien plus d' autorité quelle pour Jaire respecter la lièpu- de 26 MAI C. Oü 10UR Blé »nr — Maïs sar — ..... $fldfi'üoaxsar. Juillet.... Septembre Juillet.... Seplembre Juillet ABON A'EIVIENTG Le Havre, la Seine-Inférieure, l'Oise et la Somme Autres Département3 Union Postals Trois Mois Six Mois l'Eure, Un Am GO & Fr. a a Ff. G Fr. 1 I so ID 1» »» jjo Fr. so Fr. -AO Ons'abonneegntement,SANSFRAIS, dartstous les Bureauxde Pastede France !a tant mieux ; nous les féliciterons de ceite conversion, ou de cette abnega¬ tion, mais ce n'est pas a nous a aller vers cux et nous ne Jerons aucune con¬ cession pour rallier leurs suffrages. Le Havre-Eclair pr étend nous enjermer dans un dilemme : si nous ne nous unissons pas aux libéraux catholiques, « nous donnons la main aux ennemis de la patrie et de l'ordre so¬ cial ». Alais nous n avons pas de pensées si noircs el nous prétendons simplement et modestement rosier noasmêmes. Nous avons assez prouvê notre indépendance vis-a-vis de l'exlrêmegauqhe pour juger inutile de nous déj entire de*pacliser avec elle. Nous sommes les premiers it réprouver ses visées démagogiqües et son absence do sens des nécessités nalionales et des responsabilités gouvernementales ; mais nous n'en avons pas une terreur telle que nous soyons prêts a tomber darts les bras providenliels da « parti de l'ordre ». Nous avons encore confiance dans noire parti qui est, cn dépit des statistiqnes, leplus nombreux puisque, sans étiquette, il groupe, a la gauche de la Chambre, tous les républicains de gou¬ vernement ; nous savons bien que la Droite tient a pousser les choses au pire, mais nous nous en remettons au bo/t sens francais et nous sommes convaincu qu'il suffira de faire crédit au Parlement pour qu'il s'y dégage la majorité nécessaire. Dans son Jameux discours de SaintÈtienne, Ai. Aristide Briand disail exécllemmenl : « La République au 'pouvoir est le gouvernement au service de tous les citoyens et s'appuyant sar un parti. » Nous désirons aussi la République « libérale », dans le bon sens du mot, respeclueuse de toutes les opinions el de toutes les croyances, juste et aimable pour tous ; mai.s il n'y a pas de gouvernement républicain possible s'il ne s'appuie sur un parti ; ce parti ne peut être que le parti ré¬ publicain, a l'exclusion de tout autre. - Té!. 7.60 4. IPort et 1^ LA RUE LE CHIBLIER I I Cv f'l ' * - ::.yy IIP#* m ..■. .■■ . ■■.. mm..'.::**:'i i . «,V Pödto et ciichöl'clil Uivre SoanouvslAspoctd&aaIa partiesupsrfeure Après avoir été interdfle 4 la circulation pendant plnsLnrs semuiaes, la rue Leciiibner, vient d'être 4 nouveau livrée a la cir¬ culation, 4 la grande satisfaction des riombreuses personnes qui ont coutume d'empn.n er cette vuie pour communiquer avec le puit au de Sanvic et la partie basse de la vibe du Havre. Cette rue qui devrait être appeiée Le Cliiblier, do rsom de i'ancienne famide bavraise, dont le conseii municipal tint ainsi 4 perpótuer le souvi niren raison d'un don qu'eüe fit aux hospices, est certjinernent l'une des voies les pms anciennes da notre cité. Dans les tem[>s les plus reculés, elle constituait l'un de ces chemins d'usage sarpentant entre tes h ies et les talos des feimes Caspar Jordan. qui occupaient les cóteaux d'Ingouvdle et son origine ne peut être retrouvée. Ede figure deja sur un plan du XVII» siècle et remonte fort probablement haaucoup pins loin dans Ie temps. Avec queiques autres, d'un accès aussi fa¬ cile et d'une commodité non moins grande, elle faisait partie de ce réseau, assez rudi¬ La note d'hier sur Ie Conseil des minisfres mentaire, de route-s plus ou moins l.rges, ne fait aucune allusion 4 ia si uition mi- plus ou moins entretenues, qui reliaieDt la nisiérielle, c'est-é-dire au point de savoir si piaine 4 la cöie. Ella conserva toute son im¬ la Gabiuei Doumergue se presentera devant portance jusque vers 1780, époque oü l'oula nouvelle Ghambre ou se retirera. comme verture de la me de Montiviliiers permit son chef a para un instant en manifester d'accéder plus commodément sur ie pla¬ l'mteniion. teau. La question, en effet, n'a pas été agitée en Cette « sente 4 paniers », aiasi nommée Conseil hier matin, et eu tous cas, lorsqu'elle paree que, outie les pii-tons, les chevaux sera examinée.sera traitée au préaiable dans ou lesanes haiés, chargés de corbeilles, voire un Coisei! de Cabinet, e'est-a-dire par les même de petitos charreites purtant des pa¬ ministres entre eux et hors la présence du niers, pouvaient y circuler, perdit alors une prési ent da la République, auquel M. Dou- partie de sa clientèle. mergue commuuiquera easuite la résolutioa Les riverains empiélèrerit sur Ia voïe, des arrêiée. éboulements se prodnisir<jnt, les ronces et M. Doumergue se livra acteel'ement 4 les hroussailles l'énvahirent. Pe i& peu elle nne consultation auprè3 des sénateurs et ne devint plus pratiqnable qn'aux pietons. des députés nouvellement réelus, et il ne M. Burey, I'aimabie archiviste de notre semble pas que cette consultation puisse re- vil e, voulait bien nous signaler récemment cevoir sa conclusion avaut ie debut de ia se- qu'elle était tellement degradée en 1845. maine prochaine. qii'on songea 4 supprimer sa partie haute, L ; Conseii des ministres a fixé sa pro¬ qui aurait été cédée a un propri -taire, M. de chaine reunion au mardi 2 juin, c'est-è-dire Bléville, a charge pir lui de co isirnire on au ie.odemain de l'entrée en function de ia escalier en remn'acement. Une enquête tut nou velle Chambre. Dans l'mtervalle. M. Poin¬ ouverte 4 eet tffe . mais, devaot l'opposition caré doit se rer.dre en Bretagne oü il sera des intéressés, qui entraioa i'avis défavoraaCvOrupagné de M. Dounuirgoe et par plubledu cotnrnissaire enquêteur, l'affaire fut sieurs membres dn Cabinet. Le voyage pré- ciassée. si ienfiel dnrera du vendredi matin au lundi Par Ia suite, l'iniérêt que pré sm tait cette soir Ier juin. Ce n'r-st done, semn toutes pro- voie de communication s'étant aifirmée, les b ibilités qu'après ie retour de M.»Poincaré possessed) s des grand 's propriétés voisines, a Paris que ia siUiaiion mtnistériebe sera désireuses de se proteger contre dos curiosireglee. tés trop nombreuses, édifièrent des hautes La SituationMinistêrielle miiraüiös, faites de silex noir et öb briques blanches, qui rendirent la fréquentation ds ce passage sinueux fort peu attrayante. Neanmoins, et bien quon eut coustrnit successivement les escaliers Boisgérard et de Tourneville, la rue Lecliiblier répondait 4 une telle nécessité, en raison sortout dn développement que prit Skuic comme liea d'habiiation des frmilles desireuses de s'assurer un logis convenable a un pris raisonnabie, que la circulation y 1at toujours des plus actives. D'un pointage cff -clué pir Ie service mu¬ nicipal, il résulte ca clïet que le 7 mars 1913, dr>o heures a lOheures du soir, i! est passé t 683 personnes, et que ie ii du même mois 2,110 l'oat parcourue. «4 % Mais i! ne suffisait pas de cönserver la voie, il fallait la rendre pratieab'e aux piétons et même'. au x voilures d'enfants. Pour èviter la degradation constante cansée par les eaux piuviaies on supprima le caniveau central qui fut remplacé par deux caniveaux latéranx. Ces canalisations établies en rnac mnerie ds brique étaient relativenrent larges et prófondes ; de plus, pour eviter que I'eau ne débordat dans les coudes nombreux que forment la rue, on avail pris soin de recouvrir d'un döme de maqonuerie, les parties de ces caniveaux situées dans les changemmts de direciion. La cliausiée praiicalile fat bitumée, de? becs de gaz éclairèreut ia voie, et des banes threat placós de distance en distance pour la commodité des passants. Mais une servitude, qui faisnit déverser 'es eaux de la rne de l'Abbaye dans la proprieté Uo ker, ay iot pris fin eh 1909, ces eaux, en lomps d'orage, vinrent dévaier en torrents dano, la rue Lechiblier. Celle-ci se irouva ainsi complètement ravinée ; pa?' s sreroit, des murs de cloture lurent aéchaussés et s'ecroulèrent. Pour remédier 4 cette situation, le Conseil municipal décida, da >ssa séance du 28 .out I9i2, de construire dans la ruo Lecli blier uue canalisition en potdrie de 0,30 d?i diamètre et de 52a mètres de longueur. Le coül de ce travail fut evalué 4 30,000 francs. Par la suite on resoint de faire mieux en¬ core, et, Ie 14 raars 1913, une nouvelle deli¬ beration approuvait un proiet de la Gommis¬ sion de la voirie, qui coasistait a créer dans cette rue 28 paiiers reliés eutre eux par des escaliers da queiques marches. Ce travail a été récemment achevé. Le sol BSBBj 0ÜI DÉPÊCHES CQMMERC8ALES CHICAGO. Qénéral : TH. VALLÉS —TT Dernière — • t RédacSion, 35, rue Fonteneile ; si les lib cr aux ju gent a propos HORSDUDILEMMEdebliqueseconder nos eff orts républicains, Les polémiques les plas courics sont les rneilleures ; encore qaelqu.es preci¬ sions et nous considèrerons le débat comme clos ... en attendant une proehaine occasion de le rajeunir ! Nous ne discuterons pas les raisonnements « cculés » que AL. Urbain Falaize nous prête , avec une générosité qui égale son elegance, pour la commodité de son argumentation ; nous ne retiendrons que la conclusion de son article d'hier : EN CHEF Ï.-J. CASPAR - JORDAN GRAVEACCIDENT D'AUTÜMBBILE LTNGÉNIEUR PIERRE A LTflSTRUCHONLIS Melün.— Une automobilo dan-, Jaquelle se trouvaient MM. Gibaux, ingénieur, et Bu¬ reau eommissaire-piiseur è.-Meiun, a versé dans un tossé par suite de Ia rapture d'un essieu. , L'accident s'eff pro aait a cinq kilometres de Lieusaint. Les deux voyagenrs qui ont été grièvement blesses, ont cté transposes a i'höpuai de Melun. L'état de M. Bureau inspire de vives inquié tudes. Brest. — L'iagenieur Pierre a sebi hier, d» trois 4 snpt heurcs, ua nouval interrogatoii*e> M. B'dirt de Ia Noë, juge d'instruciion, a PARIS, TROIS HEURES MATIN développé la thèsa tie I'accusation suivant laquel e M. Ca iioo, que peisoune re revit ap ès ie 30 décembre, ourait été tué dms le LESMANOEUVRES NAVALES bois de ia Grand'! alud d'un coup de revol¬ Bizerte — Le ministre de la marine ver. II anraii eu ensoite la gorge coupée par n'ay.rn pas terminé hier soir la visite des TVIST.ATJX; M. Pierre, au cours d'une discussion relative installations do la baie de Ponty et exammé Ï.OMlItr.S, 26 Mai. Dépêchede 4 h. 30 au contrat qui ie duit a i'usine et l'empêehait le détail des transformations et des nou¬ d'entrer 4 I'usine voisine de Daoulas. veaux travaux projetés, a fait changer, cette BAISSR TON COURS HAUSSE L'ingénieura protesté énergiquement con¬ nuit, Ie programme de la continuation des cm vue tra l'accusation poitécontre lui. « C'est une C0NFLIT KINIER manoeuvres navaies. abomiiiution I s'est-i! ècrié. Je suis allé une Comptant . . t 63 8/2/6 -/Le programme nonvean est Ie snivant : Alm. — Les mineurs ont tenu hier soir Cülme 3 mois L'armée na vaIe ayant pris quatre jours de une féunion 4 Caguac pour examiner la si¬ seuie fois dans le bois avec M. Cadiou, en £ 63 17/6 2/6 -h vivras, Ie premier parli app.ireille ca soir, tuation créée pur la réponse négauve de ia ociobre. Ja n'ai j tinais levé la main sur perETAIft senne ; j'ai le roe r irop sensible pour comentro troi3 et quatro Jteures, pour aller au compagnie. metire un tel forfait I » Comptant . £ IÖ0 -/large préparer le blocus da la place de Bi¬ 6/-/Après discussion, les assistants ont décidé M Bidart da la N- c a terminé son interrocalme zerte et le deuxième parti sppareillera de3 mois £ 432 -/7,6 do continuer ie travail jusqu 'a nouvel ordre. gatoire en voulant faire avouer 4 M. Pierre, -/main matin, a l'aube, roar forcer le blocus. que lui qui avail dénoncé son directeur, UoIER Après 1'exécuiion de ce theme, l'armée navait lui cönserver une grande animosité. Comptant . calne et/t y, vaie réunia prendra la direction des cöies de LE MAUVAIS TEMPS -/-/L'ingénie ir a prouvé ie contraire au jnge France. B mois Si/6 Nice. — Uu fort coup de rner a occasionné ' Fa d par ce fait q ie le 30 döcernbre, croyam M. hier d'inaportauts degats a la Promonade des Cadiou parti pourPaiii, il lui avait adressé Prix compares avec ceux de ia deuxiemoBourse du 24'mui 1ai4. Anglais et aux travaux du port. ses vceux tie i o ivel an et lui avait dit q ,'il L'ÉTATDESANTÉBE Ge coup de uier est survena vers deux n'oubnait pas ses enfants auxquels ii faisait NEW-YORK, 23 MAI henres da matin. L'EiÜTOBÖLOGISTE FABRE Feixvoi de bonsons. Ctffiinna i mai, hausse 4 points ; juillet, Uae douzaiue da bateaux de pêche ont été Avignon. — Les nouvelles de l'entomoloïncli ngé; oetobre, hausse 4 points ; janvier, emportés au large et da nembreux auties gisie Fubre, de Seiiguan, ne sont pus rassu" hausse 6 points. — A peine soutenu. ont été eodomruagi's sarieussinent. santes. C0ND AÜINÉ AÜXTRAVAUX FORCES C/alen ï hausse 14 4 points. On estime les dég&ts 4 plus de deux cent Le docteur qui se iient au clievet du maPau. — La Cour d'assises d ts B<isses-Pyrémilie francs. lade a signé lner sot a 6 hetires le bulletin nées viant de eondamner a vingt ans de "tra¬ NEW-YORK, 26 MAI ■ <Ui . suivant : « Pas de mieux ;état stalionnaire». vaux forces le nommé Brat, 39 ans, qui, ie t. ie ion t. mcum 18 novembre dernier, 4 Lalongue, tua d'un Orange. — Les dernières nouvelles relati¬ CQSDAMNATION D'UNSATYRE coup de fourche une jeune fille, dans Ia Clitlvre Standard disp. 13 91 13 91 ves a I., santé de l'entomologiste Fabre reMllun. — La Cour d'assises da Seine-et- ch iinbre do laqueile il stétuit introduit pen¬ — juin 13 91 13 91 présentent toujours êoq élat cornme trés Marne vient da conlannier 4 cin j ans de ré- dant la nuit et qui repoussa ses assiduités. Anmlgttinat, Can... 72 t 2 72 1 2 grave et laisseut craindre une issue latale. cmsioa un satyre commé Gateiier, agé de SO ••••••••••• 15 23 IFea' 15 25 ans, mareciial-ferrant. > r Wererpdi 27 *h\ |e|4 RÉDACTEUR ORGANE RÉPUBLICAIN DÉMOGRATIQUE Bureau dtj Journal, 112,bouD de Strasoourg. SL'AGENOE HAVAS,8, place de la Bourse, est seule eliargée de recevolr les Annonces pour le Journal. AU HAVRE. § Cenlimes — EDITION ÖUMATIN — 5 Centimes (O Pages) Septembre 83 83 67 65 9 8 38 I 2 1/4 66 75 90 0. PRECIS!) 87 1/4 86 3/8 67 7/8 66 1 2 0 87 10 05 LESRESTES DUCAPITAINE HERRY LEC0NFLIT KEXIC0-AKÉRICAIN Brest. — Après trois jours de recherches, on vient de découvrir les restes carbonisés Londres. — La nouvelle d'après laqnslle do capitaine Herry, commandant ia goélette les con.siitotionnaiistes se seraient em pares Bertlie-Marie,chargée de füts de pétrole, qui de propriétés appartenant 4 une compagnie fit explosion dans la nuit de dimancbe der¬ anglaise de pétroles 4 Tampico, est alijQlunier. ment dénuée de I'ondemeaL AFFAIRES B'QRIÜIÏ L' Attitude de l'Italie Rome — A Ia Chambre. le marqnis di San Giuliino, ministre ciei affaires etrangères, a répondn longuement 4 des questions qui lui avaiont été posèes au suj t de ia politique de l'Italie dans ics Balkans. Au sujet de l'AIbania, Ie marquis di S.m Ciuliano a déciaré que la politique de l'Italie était exempie de toute ambition terri oriuie et qu'elle avait pour but de corisonoer 1'indépendance de l'Albauie, d'en déveioppar la pmspérité économique et ae pariiciper toujours davantage par son commerce et ses oeuvre* fécondes, a la civilisation des albanais et au progrès de la paix. « Nous voulons, a ajonté l'oratenr, faire tace aux évenements possibles par le ca'me serein qui rtous a permis, dans les dernières années, de surmónter des difficuilés trés graves et dangereuses. » Le marqwis di San Ginlianoa confirms que de son cöté, l'Autriche n'a aucune intention de s'immiscer daus les affaires interieuies de l'Altianie, conformément aux accords pris avec le gouvernement itaiion. Information dëme-ntie Vienne. — Les journaux démentent de souroe bien informed ie bruit d'une inter¬ vention int#i nationale en Albanië. U MAMOC L'agita'ion chez les Zaïacs Tangeh. — La situation chez ics Zalani est toujours aussi troubiée. L'agitateur Amhaouch esf actnellement instalié eutre Kenifra et la kasba T .dia sur l'Oura er Rbia. II disposerait de partisans bien armés avec lesqueis il soutieiodrait ics Zaïins contre la pênétration dos colonnes franpaises. Da son có é, ie caï-i Zatani essaye de grou¬ per des contingents au Nord-Ouest de Kenifra, en face de Oulmès. ILe Retour da M. Monier Tanger.— Le chef de Ia harka-des Otiedras menace de voir le marchê de Tanger term# aux gens de sa tribu, a envoyé cent hommes qui ont délivré M. Monier. Ce'ni-ci a écrit dar.s la matinee pour annoncer le fait. II dit qu'il revient avec dn guide, mais lentement, paree qu'il est fatigrié. M. Moniër, arrivera vraisemblablemeat cs matin. ACCIDENT A BORDD'UNTORPiLUUB Iibau. — Le torpilleur Pogromtchink qui se trouve actuellement dans ie port Aiexandre-lll, vient d'être le theatre d'un accident. Un tube 4 vapeur a éclaté ; nn lieutenant et quatre matelots ont été grièvement brü lés. Les blessés ont été transportés a I'höpUal . UNFILSDEGUiLLAUME II ESTFIAHCÉ Berlin. — Hier soir ont en lieu Ics fiancaities du praice Oscar de Prusse, ie o" ffIs ae l'emp ircnr Gutllaume, avec la comtesse Ina-Marie voa Bassewitz, dame d'hoanear de fimperatrice. LA DiSPARITION DE L'empce'jr a donné son consentement a L'AVIATEUR HAMELcette union morgauatique. La date du maDunkerque. — Les contre-toroilieurs de la riage n'est pas encore nxée, La flancée est la deuxième fille dn comte flotulle out expioré les cótes afin de décou¬ vrir des vestiges de I'aviateur Hamel, mais von Bissewilz-Levetzow . président dn Gon¬ seil des ministres de Mecklcmbourg-Schweles recherchesjïfectaées SQöttes téssjöttRCriu. taenMi» ON TROUVE LEPETITHATOE a Paris a ia LIEHSiiE IHTEHHATiQislLE JtOS, rue SSt-LaZure, 108 (Immeublede l'HOTEL TERMINUS) et dans les PEINCIPAUX Le Petit Havre — Mercredi 27 Mai 191§| a été fait d'un lit de béton reconvert do maconnerie de briques de schiste comprimé, provenant de Marles, et offrant nne trés grande resistance a 1'nsure. Les arêtes de briques des inarches sont protegees par des bandes de fer plat scellées i mèiiie les marches et ans extrémités. La largeur de chaque degró est de 33 cen¬ timetres, la hauteur da 16cenlirnètres et leur fengucur varie de 2 inètres a 4 naètras seioa les dispositions des aliguements. La suppression das deux caniveaux latéranx, des emprises feites dans fes terrains Voisiüsontea effet permis d'élargir sensiélement ia partie jusqu'alors affectée a ia Sireulalion. De plus des percées récemment faites dans (a cloture de i'ancicnne propnété des Ursulincs, sont vejiues rendre plu3 agréable la fréquentülion do cetto voie en lournissant sux intéressés ('occasion do praliquer quei¬ ques variaotes dans les itinera ires des piéton3. Le rnontant de la déperise c-ng'gee dans ec-snouveaux travaux a étó de 21,300 francs. lis rèaiisent nne amélioration considerable qui a été vivement appréciée, On était arrivé au 20 mai et, jusque-lè, le Congrès n'ctait point sorti de son programme d'oü était exclue toute question de politique pure. Mais, insensiblement, deux courants s'étaient formés dans la nombreuse assemblée et la droitc s'est tout a coup trouvée en presence d'une gauche socialiste et suffragiste. Mme Boos-Jayer, délégué suisse, ayant réclamé le droit de suffrage aux applaudissemenls de la gauche, toute la droite demeura silencieuse. Mais ceite hoslilitë latente entre ics deux partis, de¬ vait bientót se manifester d'une fatjou particulièrement vive dans une séance des plus mouvementée. Notre distingue confrè¬ re M. Fernand Ilauser, a raconté cette scène pittoresque ct tumuliueuse : La eomtesse Daisy de Robilant ayant, dans un rapport sur le travail des femmes dans la familie, déelaré que les femmes feraient mieux de demeurer chcz elles et de travailler a leur ménage, ce fut uu tapage intense et les socialistes, Mmes Labriola, Dobelli, Lollini, Yigano, menant Pattaque, *3!« protestèrent avec véhémence. Saif-on cependant qn'il y a nne trentaine — Nous ne voulons pas qn'on nous end'années, i! fat un moment question de snp- voie raccomrnoder les chausseltes 1 criait pvimer cetto rue et de la remplacer par un l'une. tunicufeire. — Votts ne connaissez rien aux questions ira 1879, M. Cb. L©Cesne avail, proposé 5 du travail; Aliez danser le Tango 1 clamait l'admioistration municipale d'étabür nn une auire. tramway allant de la rue diiGhamp-de-Foire — Les onvrières laissent leurs enfants a la töté, avec prolongement éveatueis sar seuls le jour ! criait une troisième. Saa vie et vers (a Bourse. Tóuiefois comme ii domandait avec ces — Mais Yous qui ailez au bal, vous les concessions, que la ville garantit nn cbilfro laissez seuls la nuit ! minimum de voyage tics, Ie projet fut reLa eomtesse de RnM'ant, qui est une poussé par le cöbseil mnnieipai dans sa dame ögéc et respectable, répondit fort séance du 31 mars 1880". Six ans pins tard.appayé par une pétition doucement qu'elle n'avait jamais dansé le qui rébuit tin ncmbre considerable de si¬ tango. Mais ses advorsaiies ne furent point gnatures, un projet analogue, éludié par caimées pour eela. Les bravos se mélaient l'ingénimr Lévêque en vue de désservir le aux protestations. Mme Dobelli déclarait que la femme doit travailler pour consércirrtetièfe, fut présenté. Certains m-mbres de ['Administration mu¬ ver sa dignite ; Mme Gollini revendiqaait nicipale objeetaient eépeiidant que ce projet pour la femme le droit d exerccr son intel¬ paraissait beancoup plüs con?u pour les ha- ligence dans tons les champs de Taetivité Bitaiits tie Sanvic quo pour donner des rela¬ humaine, — ét le débat demeura, ce jourtions npides vers Te eims-tière. A leur instigation M. Geav, icE — lè, sans conclusion, car, dans le tamulte Ebantlers et Ateliers de la Loire, éIndia nne de la réunion et vu l'heufe tardive, aucun variants qui faisait partir ia nouvelle voie ordre du jour ne fut proposé. fei réo du bas de la rae Mazé, prés de la roe Dans les séances qui suivirent, et bien Thiers. La ligne devait traverser en viaduc ia rue Siint-Tlnbault (anjosird'hui rue Gus- que la scission fut désormais irrémédiabie tave Flaubert), passer obliqaement en rem- entre la drOite et la gauehe, un certain biai sar ia propriétê Duduc et con tinner nombre de voeux ayant une portee écono¬ dans une direction sensi bfement paraüèle k mique et sociale furent votés, nolarnment ia rue Léchibüer pour abontir en pafier snr eeux qui avaieltt été soutenus par Mme Du¬ ia terrasse que la ville è réeemtnöat étabiie ehêne. Une autre motion, des plus intéresau bant de la rae Monlivi'iiers. santes, fut également aooptée, par laquelle Certains de nos eoncitoyens se rappellent pent être avoir va ce projet exposé ch-z un les congressistes ont pris Pengagement de COn, mer cant de la place de l'Hötel-de-Ville. demander a leurs gouvernements respectifs le vote de lois accordant la réciprocité aux On avail même tracé a plnsieurs endroits, gur les murs de la rue Lecliiblier des iraits étrangers travaillant dans leur pays, en ce ft la peinture rouge afin d'indiquer les en- qui concerne les secours de maternité et de droits oü le funiculaire couperait les méan- protection è i'enfance. Et eerles, en prin¬ dres de eet te voie. cipe, cette réciprocité est des plus souCe projet, qui portait le qualifieatif d'aépieu, fut fortoment appuyé par M. Risoai, haitables. Mais peut-être,dans l'application, Viais ie Conseil municipal avait posé comma conviendrait-il de tenir compte de certaines stalistiques. II existe certains pays oü j' Rdition sine qua non A son approbation l'immigration est insignifiante, mais dont qu'une soefeté devrait être prealabiemcat ttonstituée. Les pointages des passants era- les populations émigrent en grand nombre. irontant la rue Leclnbüer et l'escalier Bois- Et pour ces nations, cette réciprocité deérard ayant démomré que cette dernière viendrait un trés gros avantage. voia était la plus frêqnentée, la combinaison En séance de Commission, la marquise de M. Lévêque put seute rénnir le nombre Pellicano avait fait adopter, a Tunanimilé, d'aciionnaires suffisant. Etla rue Lechibfier fat ainsi consarvée un vosu en faveur du suffrage, et la eom¬ dans 1'aspect auquel nos eoncitoyens étaient tesse Lucifero un vceu préconisant la cons¬ accoutumés a la voir jusqu'è ces dernier^ cription militaire des femmes. Celles-ei, temps. aux termes de la proposition soumise au A. Petit. Congrès, accompliraient leur service dans les hópitaux et ambulances, — et c'est l'idée qn'avatt développée en France, l'an der¬ nier, Mme Dieulafoy. Dans la séance de clóture, ces proposi¬ tions furent soumises a l'assemblée. Mais, LE par suite, d'une organisation défeetueuse, d'autres questions furent discutées égale¬ ment au milieu d'une certaine confusion. Finalement, un vceu en faveur du suffrage des femmes, présenté par Mmes Maria Vérone, Labriola, Dovelli, fut acclamé par Le Congrès international des femmes, l'assistance, — et pour ce qui concerne ibisant suite an Gonseii international et la proposition de la marquise Lucifero en organisé par les femmes italiennes, s'est faveur du service obligatoire des femmes, ouvert 0 Rome le samedi 10 mai avec solen- elle fut renvoyée a l'étude d'une Gommis¬ nité. Dans la magnifique salie des Horaces sion spéciale pour conëilier, nous dit M. et des Guriaces, au Capitole, le commis- Fernand Ilauser, l'hostilité de l'Assemblée saire royal, entoufé de liauts fonctionnaires et l'insistanee de l'auieur de Ia proposition, et do nombreux députés, recu t les congresqui a pour elle les sympathies particulières sistes, et le ministre de I'instrueiioft publides Romaines. que, M. Daneo, leur adressa un discours {•our leur souhaiter la bienvenue. II fit Tel fut, dans son ensemble, ce Congrè9 'éloge de l'esprit d'initiative des femmes international, succédant au Gonseii inter¬ dans toutes les oeuvres d'éducation et de national des femmes. Beauconp de ehoses philanthropic, il souhaita « la victoire de excellentes y ont élé dites en ce qui con¬ leurs idéés», espérant que cette victoire ne cerne un grand nombre de questions d'asles éloignerait pas de leur maison. sistance, d'bygiène et d'éducation. Mais il Lady Aberdeen qui avait présidé I'ouvcrs'est terminé d'une manière un peu bruyanture du Gonseii international, répondit en te, un peu confuse, sur les questions poli¬ franqais aux représentants de Rome et du tiques, encore bien que le principe du gouvernement, et la eomtesse Spaletti Ras- suffrage des femmes se soit imposé a la poni, en saluant les congressistes au nom majörilé, — et somme toute, et sauf erreur, du Gonseii italien des femmes, fit nne de¬ ce Congrès paralt n'avoir ajouté que peu claration qui devait suseiter d'assez vives de chose aux travaux pratiqöement effeepolémiques : elle assura qu'en Italie le mo¬ tués par le Gonseii international qui l'avait ment n'était pas encore venu de réclamer précédc' le droit de vote. Th. V. Puis le Congrès commenqa ses travaux. La eoniiesse Spaletti futnommé présidente; Mme Jules Siegfried fut l'une des viceprésidentes • lady Aberdeen fut acclamée présidente d'honneur. Dans i'entrefaite, on apprenait que, sur l'initiative de M. Barzilai, un groupe parle¬ mentaire venait de se constituer pour appuyer, a la Ghambre italienne, les revenL'affranchisseroent Bpslettres pour l'étrandieations de femmes en ce qui concerne les ger va être bientót réduit de 25 5 iö centi¬ droits civils et politiques, — et l'on souli- mes. Cette nouvelle n'est pas encore offieielle, gnait ce fait assez singulier que les députés italiens étaient acquis au droit de vote des mais elle est donuée comma certaine. Elle a été, en effet, annoncée a Londres, an ctours femmes alors que les féministes italiennes do ia séance de la Chambre des communes, s'étaient réfusées a inserire la question du rtr sir Hénniker Beaton, l'apötre du timbre droit de suffrage au programme de leur 10 cent. — qui ö'ailleurs en protite pour Congres. cnti(|uer le nouveau taril k 15 cent., absur¬ de, dit il. Si t'on se place aa point de vue Dans les séances qui suivïrent, oft anglui-, on peut envoyer nne lettre de Lon¬ aborda successivement la question de la dres en Australië, dans l'Afrique du Sud, protection des mères, avant et après la aux Etats-Utiis, au Canada pour dix centi¬ naissance de l'enfant, la protection de mes, alors qu'oa devra en payer quinize pour celui-ci, — et ensuite, d'une fagon plus expédier une lettre de Londi es a Calais ou a générale, la question de la mortalité infan¬ Ostende. Le gouvernement francais est tout dispösé tile. On s'occupa de la condition du travail è accepter l'abaisseméut du tarif postal in¬ des femmes et de celui des enfants, de la ternational k dix centimes. Ce sont les auto¬ question du travail des femmes è domicile, rités britanniques et cedes de plusieurs auet Mme Duehêne réclama une loi de pro¬ trés pays qui s'y sont opposóes. tection et d'organisation professionnelle Le nouveau tarif serait ratifié en décetnparee que si les femmes travaillant chez bre prochain au eonrs d'rfn congrès auquel prendront part tous les pays de TUniou pos¬ elles consolident leurs forces, en revanche, tale. elles gagnent móins qne dans un atelier. 11est probable qn'il sera mis en viguenr II faut noter ia trés originale communi¬ e 1«' janvier 1915. cation faite par Mme Pichon-Landry pour demander que la loi reconnaisse a la fem¬ me la valeur économique de son travail doLe Conrrler de la Presse mestique. Ge travail n'est pas rémunéré, Pouvoir recueillir dans les journaux du dit-elle ; la femme, cependant, accomplit monde entier tout ce qui parait sur un sujet dans son ménage un labeur qui, souvent, est plus fatigant que celui de son mari. La quelconque, snr une question dont on aime loi devrait lui reconnaitre une valeur éco¬ k s'occuper, sur son commerce, son indnstrie, ses entreprises : — surtout savoir ce que 1'oa nomique qui donnerait è la femme, dans la dit de vous et de vos oeuvres dans la presse, familie, une indépendance qui lui permet- qui ne le souhaite parmi les hommes politi¬ trait de mieux remplir ses devoirs. Cette ques, les écrivaifis, les artistes, le monde des communication, nous dit M. Fernand Hau- affaires t ser, qui a suivi pour le Jout nat tofts les tra¬ Le Conrrler de la Presse (bureau de öonvaux da Congrès, f«t accueillie par d uuapnres de journaux), 21, bontevard Moiïtnimes aonlaudissemcuts. marlre, Pai-is, lit 8,000jouruaax par jour. LeBoaveeienl Férainisle Gongfès International deRome LEPETIT HAVRE ILLUSTRl LESNATIONALITÉS Eïrange lYgntare enAllemagne recevenr municipal de Caen, et de M. Hin-i poiyte Fenoux décédé. Elle a ratifié ia nomination de M. Besnard lïS Pages S Ceiitimes SS Pages comme tresorier et éiu M. Alp. Petit comme secretaire général et M. Ilenry Hollaëuder Tous les lVlercredis Sous ceite rubrique, nous donnerons déM.Gfêmsa!-Ba?ard e!unHavrais, M.L.SaMier, comme secrétaire adjoint, en adressant des sormais, au fur et a mesure des évériements, sant arrötés comsiie espions Notre supplément illuslré demenre véri- remerciements k M. Chopart, qui s'est acdes informations sur les diverses nationatebleincnt le moins cher en même temps quitté avec nn dévouemeot souvent épreuvó lités qui ont a défendre ou a faire reeonses fonctions de secrétaire général et do que le plus complet des journaux comiqu s. de naitre leurs droits, en taut que peujtles. Uae Plaiate a 3a Chancsllerfe trésorier interimaire. M. Grelé a ete nommé Paraissant chaque mercredi Ae B'etit L'intérêt qu'ont éveillé les articles de M. Clément Biyard, industriel francais, SBnvfe XUitat ré. offi'e pour la modique vice-président honoraire et M. Chopart tenolre rédateur en chef sur les Finlandais, crétnire géneral honoraire. s'est rendu hier après-midi au minis(ère les Danois du Sleswig, les Epirotcs d'AlL'n déjeuner rêunissait, 5 une heure, les des affaires étrangères, pour se plaindre do soiuuie do clsitj ceEïHisnes douze pages en banie, sans parler des Alsaciens-Lorrains, l'arrestation arbitraire dont il a été l'objat en couleurs et en uoir, bourrées de dessins membres de i'Associaaon dans les luxueux drölatiquts avec légendes et des composi¬ salons du restaurant Chandivert. nousestun gage que nos lecteurs agréeront Alléutagae. De nombreuses dames niettaient en cette cette rubrique oü nous aurons souvent a M. Clément Biyard doit rédiger, sur les tions ou eontes humorisiiqnes. ciiconstancos de sou arre^ alioa, un rapport C'eat d'abord un grand roman inédit : Ma¬ réunion le charme de leur gi ace et soutipublier des nouvelles de toute première gnaient le caractère familial d'une lê'e oü écrit qu'il remëura au quai d'Orsay. rie Rose, le Mignon du Nord, écrit spéciaiemain. seresserrent les liens de la plus cordial© Ce rapport seta communiqué au gouverne¬ ment par le maitre du roman moderne Mi¬ Nous laisseronsd'ailleurs sousl'ancienne confrateraité. ment ailetuand. chel Zevacco ; puisce seiorit deux romans rubrique « Alsace-Lorraine », les informa¬ L© journaliste, par profession, n'aims Le grand constructeur de dirieeables s'étions nous venant de ce pays. Si la question les longues allocutions qui marquent tait rendu en Allemagne en compagnie d'un dus A la plumo d'auteurs gais, par Janker guère alsaetenne nous rend particulièremetit sen- de ses ingénieurs bien connu M. L. Saba- et Jean Linot, dont Pivoine avec sa ctnm- le dessert des banquet3 ofliciels. C'est dire queiques mots seulement furent prosibles a toute violation du droit des peuihier, chevalier de la Légion-d'bouneur, frère brée, grand roman militaire amusant ; deux que nonces. pies, cependant elle nous louche de trop de M. Sibsihier, ingénieur de la maison réc t-i en images, Anatole BiMtlard sculpteur ils le furent avec tin savonreux es¬ de génie ; Miss Penny, miiliardaire ; Tom le pritMais prés pour que rious puissions la confondre Caiiiard, du Havre. qui soffit pour réhabiliter te toast tradi¬ Ii voyageait en tourist», muni de toutes avec ia cause d'autres nations. Dompteur ; Rita la Tzigane, récits d'avention nol, et l'on applaudit cbaleureasement les autorisatioas nécessaires, ainsi que deux tures. ies piquantes, éloquentes et délicales impro¬ de ses collaborateurs et leur interprète. lis JPii$!a.ïMl© Welti f far rei lltwsfré peblié visations de M.J, Lafond; M. Deveaox, mem¬ ontétéar.-ótés et gardés treute-quatre heures bra de la Chambre de commerce de Rouen, également un fesHA.* I» «-©au ©tJRst auen prison oü ils subirent uu dor traitemeat. PÉTITIONBEIA BSÊTE DE3SSDAST président du Syodicat d'Initiative du Calva¬ «l« va M. Clémeni-Baya'rd et ses compagnons ve- qnpt sont attnbuês a.S ©« LERÊTABÜSSES1EST BÊL'OfiDflELÊGftL itaient d'assister 5 ia retitrée sous un hangar leur. Les qnatre premiers pnx consiste- dos ; M. Chedot, conseiiler municipal, repré¬ sentant le maire de Caen ; MM. Grelé et L. édifié a Bickcndorf, prés de Cologne, d'un rout en tJTATBE IB8 V'ï VLETT 1ES de Muller. On nons écrit d lleisiogfors : ballon dirigeab e, quand se proeuisit uns luxe pour hommes et dames. Cliaaue annëo, depuis lo commencement L'heure presssit. Nos amis de Caen avaient, scène que le graad industrie! francais ra¬ Ce numéro centient en outre des fantaisiess en effet, préparé pour leurs hötes une im¬ do réghno actoei d'ittégaiité, la Dièto de Fin- conté ainsi : diverses, des jeux d'esprit, des couseils pra¬ lande se voit cbiig'-e de recom meneer son portante et pittoresque excursion : le voyage avions assisté de loin a la manoeuvre tiques et des curiosités intêressantes. travail de Tantale consistant a protes'er con¬ deNous k Ilareourt, en pleiue Suisse normaude, l'aérostat, rentré maintenant dans son tra ce régime. L'une après l'autre les dièies hangar, et nous nous préparions k déjeuner avec la visite du cbSteau historiqu© du comont rèpéié hs plaiotes, «xp03é les iilégaütès te d'llarronrt. Dix-hait automobiles vinreat dans one petite auberge voisine, quand quacorn inises dans 1'admiRisiration et réclamé les prendre et sur le signal du starter, le individus s'adressèrent k nioi, 3ana autre la retour a i'ordre' iégal, mais tons ess efforts tre trés aetif et habile organisateur de la ranpresentation. sont restés reins. Les autorités russes font donée, M. Deveaux, la longue file d'aulos — Parlez-vous francais ? questionnèrentia sourde oreille 5 toutes les recl-iniaiions de prit sou élan, eiriportant vers fbucourt des la Diète, qu'ellas aiant la forme d'adresse ou i is. .lOarnalistes si délicieusement charmés qu'ila — Oui. Js ne parle même que la francais. de petition. en oublièrent de prendre des notes. 0»»ËItVAT0IitË 15E PARIS — Ah I Et que faites-vous ? Ce fut un ravissecnent. La Diète actuelle a déjS votó nne adresse — Eh bien ! je vais déjeuner avec mes dans io sens. Le gouverneur général et le Nous n'atirons pas ia simpücité de déoonParis, 56 mai, ii b. 13. Conseil des ministrss russa ont proposé an amis, en attendant le train de 3 heures qui vrir ia vallée de l'Orae, ni Harcourt, ni la sotivrrain de n'y donner aüeuae suite. On nous raimaera a Paris 11 n'est que 10 heu¬ HztrSmes 767 öiiasia, 5 Brest, resplendissante majestó d'un pays dont les 717mllHs è Mirseille. sail d'avance que le sou vera in snivra leur res. Nous avons tout le temps I • Guides » ont chanté la gloire toujonrs Forte pression lies Britanaiqaes. — Mais qu êtes-vous vonus taire ioi 1 Réconsèii. La Diète a encore rèdigé une péti¬ jeune. Depression Mediterraoée. tion exposant en détail lè3 iilégaliiés commi- ponciez, nous sommes ins peete urs de policej Mais i! faat ponrtant redire la pure beauté TVngpsprohahte : Vent des regions Nord, temps de ce décor naturel, la vai iété des sites, leur — Nous sommes venns voir l'atterrïssage ses. Celle d constitoe, corame les pétiiious nusgeux et frais. précédentes concernant la mème matière, de ce ballon, ainsi qoe les cinquante óu aspect changeant a mesure qne la voiture A.CJ UAVItCI un döcament trés intéressant. Ede expose soixanto parsonnes qui sent id. dévale les pontes, escalade les cö'eaux, livre (Csrarcai la VWs) — Vous ignorez done que ce haugar est lout d'abord la politique fiatandaise d' Alexan¬ aux yeux émerveillés des échappées de bois, aanuru fiussm militaire ? dre 1«, qui vonlait l ósser la Finiandé vivre d'eau et de verdure, le spectacle d'uae mer A midi 763 + il — Tout A fait I immense dont les vagues figses seraient Ie3 sous la protection de ses propres lois, libra A minui' 763 + 13 — C'est bon 1 Suivez-nous a la préfecture vallonnements tapissés d'herbo, agrémentés dans l'intérieur. Cette politique qui fut cell e de bouquets d'arbres. Les espoirs de la saide ses premiers suceesseurs, eut comme ré- de police de 'Cologne. son nouvelle déployaient lè la gamme iofisuitat pour le pays de grands progrès datss M. Clémsnt-Bayard et ses compagnons nie des verts. sa culture intellectuelle et matérielle. Eüe obéirent docilement. En vain essayèreut-iis C'est M. le comte d'Harcoart lai-même qdi arriva aussi psu a peu è écarter la mefimc- de démontrer que l'accasaiiön d'esoiounage a tena k recevoir la presse normande au du people finlandais contra la Russie, noure •qni pesait sur eux était pnérile. Ea vain Question d'appréciation seuil do sa princière demeure. rïe par ks iradiiions dessiècles passés. essayèrent-ils de verser una caution de cent Dans l'an nonce d'un music hall parisien , Avec nne parfaite bonne grace, des délicaLa pétition montre ensuite com ment le niiile mareks pour cb onir la mise en li¬ régime rasse de violence a été dirigé par berie provisoire Riéti n'y fit. L'industr:él et publiée par un journal monda/n* je découpe ces tesses attenuves de geste et de pensée, avec one simplicité qui donna plas de cordiaiité ie gouverneur géoéral actuel. C'est sur sës eompagnons furent mis eii celluie, après ligne s : encore a soa accueil, M. le comte d'IIarcourt son initiative qu'nn grand nombre de sti¬ avoir été dépouiilés de toas leurs papiers, « A la fin du premier acte, une série de a fait les honneurs de ia vieiile et somppulations violant i'aoionomie de la Fin- bijoox, argent, etc. tableaux caractérisant cetie note particulière de lopuse maison. laride ont été édictées. Tous les projets dans Cette incarcération dora 34 heures. Pen¬ Toutes grardes il a onvert devsnt ses visi¬ ce sens ont été éöergiquement appoyés par dant C8 temps, M. Clêment-B <yard refusa grivoiserie charmante qui fait la renommee mondiale de I' établissement ... teurs les poftcs du chétean ; les a conduits lui, de mème qua toutes les violations d. s loate nourriture et but settlement quatre überté3 et privileges que les lóis fondamen» ... Puis k la fin du second acte, une consé- lui -même k travers les iftnombrables salles Verres d'eau. tales garamissenl aux citoyens finlandais Öa Les prisonniefs furent conduits dsvant le cration éclatante de la renaissance du sentiment aux précieax lambris de bois sculptó, aux ricbesses mrrveil leases par tout l'art qu'elles respecte iuSsi peu le droit du people finlan¬ procureur impérial qui se rendit imroédia- patriotique en France. » abritent, par tons les souvenirs qa'elles dais qu'on sauvegarde ses in'érêts. Dans son tement compte de la gaffe de res sn bardon¬ Le peupie le plus spirituel de la terre s'accomévoqiaent. acti vité néfaste le gouverneur général a eu nés. II ordonna done la inise en liherté irnmodë, en effet, fort bien de cetto association ün lointain et glorienx passé repose iel, un insiroment doéile dans lè département médiate de l'industriel et de ses compa¬ reeueiüi, entretenu par les soins pieux des aditiinistratif du Sénat. Compose do russos gnons qui parürent le soir mêoie pour Pa¬ inattendue de la grivoiserie et du patriotisme. celui ei ne possèdé d'auèune mar ière ia ris. La revue de music hall s'est fait une spécia¬ mains famhiales M. le comte d'Harconrt ies competence qu'on a le droit d'exiger du lité de eet extraordinaire mélange. On y peut a présentés avec un tact discret et charmant. L'inipressioii en Allsmagae gouvernement d'un pays. Le Sénat dé Finvoir parfois la même petite femme trés désha- II est conseiüer général du pays, il s'exprilande n'est maintenant qu'un instrument de billee qui tout k i'heure débita des couplets me avec aisance, en esprit affioé et de haute Berlin mai; culture. C'est nn plaisir que de l'entendre russilieatiOT). Aux postes dé gouverneurs ont Un télégramme do Cologne annonce que d'un scabreux téméraire venir en un uniforme corner l'hisloire de ces reiiques, de cette été nom més des hommes qui ouveftem nt de fantaisie déclamer les oonfi&nts espoirs de statue du Roi Soleil qui orne le véstibule ont manila té leur mépris pour les lois du la police déelaré quë l'arrèsiatiÓu dé B. Ctéd'entrée, de ces tableaux d'ancëtrrs qoi marpaysétqni sont tónjours préts 5 obéir aux ment-B3yard eut lieu après one la police d'au- t'armée nationale. Comment le geüt et la délicatesse, qui pas- quent autant de chapitres de l'hiatoire de instructions des ding ants. Le titulaire du tèes villes cüt attiré l'attention des autorités poste de procureur général du Sén3t, char¬ sar I'attitude de l'ingénieur francais. Celui- saient naguère pour êlre des q jaliiés essentiel- France. Le chateau, ancienne résider.ce des gou¬ gé de veiller è l'application des lois, négligé ci se serait no tam ment fait remarqnér k lement franchises, n'ont-ils point protesté avec ses devoirs chaque fois que les lois sont vio- Ilambonrg Son attitude parut susp-cte 5 la véhémence contre cette exploitation d'une idéé verneurs de..'NOrmandie, est du plus pur JtVIie siècle. Les visiteurs en ont aamiré nolées par les dirigeants. Les emp'ois adminis- police qui fie p.-euve a son égard d'urie gran¬ aussi respectable que le sentiment patriotique tamment le cóme, la salie des marechnux, tratilssoritremplis par des russes oa par de indulgence ét non de séverité. par l'industrie des tréteaux de second ordre ? les salons, Ta bibliothèqüè öü se iroüVe sous des arrivistes finlandais, tandis que le3 fonc¬ Berlin, 58 mal. Que la frivolité et la gaillard'Se s'installent vitrine un curieux modèle de fréga e, Ia chationnaires qui obriseent aux lois, sont ptmis La Gazette de Berlin d. Midi attaque Vive¬ en ces bbttes k musique, c'est devenu normal, Ïiell-r, ainsi que le joli pareet ses j;irdi,-is Ü de Suspension, d'ameades ou de destitution. ment la police de Cologne pour sa ma la- et c'est d'ailleurs leur raison d'être. Mais a Francaise qu'ane averse d'orage cnvelopLa pétition condamna sévèremeat les a l'égard de M. Clément- Bayard. Elle pait malheureusement alors de son voile dé poors cites dirigées eóntre les membres de la drasse lui reproche de voulosr attrïbner k Cologne qu'une pensêe aussi haute, aussi noble, aussi Cour de Viborg et contre les membres des « la reputation d'uha police A la main mal- pure, soit trainée parmi les fionflons et les gazé. Avant de prendre congé, H. J. Lafond a Chambres municipales de nos villes. Les su- heureuse ». gauloiseries, c'est une liberté excessive qui jrts rnsses qui ont l'intentioa dVxerctr un porte plutót atteinte k la Causequ'elle ne la sert remercié an nom de tous M. Ie comte d'Harcourt de son extréme courtoisie. commerce én notre pays, n'ont Vré aucun ii li' . mm.muLtn* ■. rèéllemiht. Il i'a fait avec tont l'è-propos et ia d l cap olit des droits qu'on a voulu leur accorII y a des chosss qui dolvent imposer le res¬ tesse coutunnère de son esprit et avec nne der. Au point de vue pratique, le procédé pect en toutes circonstances et que nous debonne grace qui épi ogna è souhait cette vi¬ applique centre nos foncuoonaires est abiovrions tenir k l'écart de certains milieux. C'est site oü le sentiment s'exprima, de part et lument insensé. Mais e'estle soi-disant iutérêt d'empire poor lequol on a saerifié plu¬ une question de principe, de conscience, de d'antre, avec les subtilités traditionnelles de PUSSIE la race et le3 finesses d'une êlégance bien sieurs dizaines de fonctionnaires finlandais dignité morale. Pour Ia F lotte aóilaime coupables d'avoir obéi aux lois de leur pays, Prendre le patriotisme pour un prétexte de fraiicaise. Comme i'usage en est établi depuis qne! Après un innch 5 l'Höte! de Ia Poste, oü et qu'on a profondémeat violó I'ordre iégal ques artnées, une quête pubiique a en lieu revue, j'entend s la révue de café-concert , s'en nn toast a été porté par M.Gamier, prési¬ de la FinlVnde, Les abus du commandant de Viborg sont 5 Saint Pétersboarg, sous les auspices des servir comme estrade et en tirer monnaie, dent da Comité de la Vallée de l'Qrne, la c'est Taviiir outrageusement et causer prejudice Presse normande était ramenée en anto è anssi exposées dans cette péLtion. Le com¬ autorités, en faveur de la Botte «erienne. k tons. Dès le matin, dans tous les etabiissements Caen, retour extra-rapid©, coname si nos mandant en question s'est feit le diciateur A Londres, un soir, II nous souvient avoir chauffeurs avaient voulu fairè connaitre aux tont-puissant aa cette ville. II a, selon son publics, dans Ier rues, dans les tramways, fes passants se sont vets ae cester par des vu sur la scène d'un music-hall une de nos proiessionnels de Ia « Dernière Heure » les boa plaisir, expulsé des citoyeus particuiiers, des journalistes et des pilotes qui tui groupes de jeuaes fiHes et de jennes gens compatriotes, alors notoire par les relations angoisses de la dernière minute. Deux des nötres, qu'accompagnaient leurs ont deplu. Eo ce laisant, ii s'appéie snr ur. lsur offrant, contre t'obols qn'ils voulaient qu'on lui prêiait, dans la vie privée, avec un bien verser, de petits embièrnes représen¬ jeune roi dótrónê, danser,, mimer, chanter une éponses, MM.Louis Muller et BiaM, ont bien décret russe concernant l administratianfif-s forteresses, qui n'est pas iégalement valable tant des dirigeables öa des aeroplanes, que pièce platement insignifiante. Elle reparut de- faiiti voir de prés ie plas déplorable des arti¬ les mains des qtiêtauses ou des quêteurS atcles k faire « Partiele de la mort ». Un virsge en Finlande, et qui, loyatément ïnterprété, même an point de vue russe, ne lui donne¬ tsehaient e'&satte aux boutonnières des do¬ vatit la ramos, au rappel, en brandissant un trop brusque provoqua le versement du drapeku de son pays. véhicule qui alia labourer ie talus. rait pas ce droit. Mais toutes les plaintes nateurs. Vous ne sauriéz vous Imaginer le malaise Par miracle, tout se borna 5 de graves déVers midi, un cortège original d'animarsx contrales abus du commandant soatinudu jardlfi zoblögjque a parcouru lés roes causé k l'éme franchise, sur le sol étranger, par gêts matérieis. Les voyageurs et ie chauffeur tiles tant qu'il est appuye p^r le gouverneur principale'! «e la ville, nota m ment la pers¬ cetie exhibition ridicule et vilaine de nos cou¬ furent soriis sains et saufs des débris de la général. voiture et si nous enregistroas eet incident, La pétition parle an«si des nouvelles me- pective Newsky, tandis qu'une fóuie dé da¬ leurs ,. ce n'est point paree qu'ils n'ontpas fait « des sures que .préparen! les ministères russes et mes et de jeunes fiües quêteuses distri— N'y a-t-ilpas un peu de cela dans l'entreprise démarches dans les journaux pour qu'on qui visent 5 de nouvelles vtoiati ons de l'aa- buaient les 'insignes de la souscripüon. Ap'ès les réeöats exploits des aviatenrs, la do /'impresario qui reclame le succes au nom n'en parle pas » mais bien pour dire Ia joie tonomie de la Finlande. Le plus impoftaot da la « gau'oiserie charmante » et da la « re¬ confraternelle que nous avons tons éproude ces projets concerne l'introdnctión de la quête pabiique a rencontré partout on acnaissance du sentiment patriotique » ? vée i les felicifer et k ies retrouver parmi laogue russe dans l'admiaistration fiuian- cueil ernpressé qui fait prévcir uae reeette nous, souriants et remis de leur terrible daise. Déja mainlertaat on a accordé a cette importante. auanT-llERRGNSCHlliDT. Les journaux avaient d'aiHeure adressé ü émotion. langue une situation au Sénat, qui n'est pas Un banquet a terminé fa fête. La table Ia population uu appel chalenreux, insistant compatible avec la legislation du pays.L'emavait été a nouveau dressée dans le3 salons sar la necessité, pour la Russie, de dêvetopploi de Ia langue russe anssi dans d'autres Chandivert. Clière superieure et service administrations entraiaerait torcément la per sa llotte aérienne. somptueux. démissiön des meilieurs fonctionnaires ncQueiques allocutions ponr compléter celles ineis et leur remplacement par des russes L'Assocïaüoa syndicale des journalistes du dejeuner et surtout rendre nn reconnaiset des firtlaridais saus aueuna compétencj. protèsstonnels de Nar mandie a tenu soa as¬ sant hommage a nos excellents camarades Toute noire administration serait désorganisemblée générale aonuelle dimanche der¬ de Caen, a nos confreres Grelé, Aliiot, le di¬ sée et ia corruption y pénétrerait exacterecteur du BoiihommeNormand, que ses qtianier a Caen, ment comme en Ros'sie. Parmi les uutres Ses membres ont re?n de leurs confrères tre-vingt-qüatre années, toüjours aiertes, mesures en preparation la petition cite te Le Mauvais Temps caénuais et des amis nombreux doet ils font nolre doj'en et probablement Ie doyen projet d'anrtexer deux communes de ia pro¬ de la presse franchise, Haulard-La-Brière ; a êtAient entoui éi i'hospitalité la plus sécévince de Viborg. Cette meSure constituerais La neigo est tombêe en abondance liier re uso. li plus délicate, la plus cordiale. Tous M. Deveaux, président du Syndicat d'initiaia vioiation ia plus grave de la constitution de la Fmlande et en même temps une of- matin aa Beésat et sar ie massif du mout les journalistes nórmarids qui prirent part tive ; k son Syndicat. . . 5 l'initiative si avifenso nationale qu'on no pourrait jamais oa- Pilat. Une ep-hse concha recoavre le sol. a cotie fêie en ont remportó an charmant et sée, k louses les sympathies et concours qui se sont lémoignés k l'adresse de ia presse b'ier dans ce pays. A la Domna u'Empire a Las aüüó'S haltes sommets de ia rógion soat durabro souvenir. lis étaient prés d'nne centaine réitnis sous norminde. encore été présenté un projet da loi con¬ également couverts do neige. Usie violente bonrrasqu'O de vent et de ia prósidcnce ae leur distingue et trés e fiOa a appiandi anssi, non moins vivement, cernant l'application du Code pótiai rosse pluie sévit dep nis ta nuit dernière sur ie lit¬ nié president, M. J, Laload, directeur du Jour¬ le toast humorislique du « rescapé » Muller aux crimes politiques cómmisenFiniande.Eo nal de Rouen quand celui-ci a onvert Ia séan¬ et line jolie improvisation de notre confrère vioiation de ta constitution fiolanditse la ioi toral mediterranean. De nombreuses embarcaüons de phlsance, il avail k ses cötés MM. Louis Mulier, Kmile Desvanx, le conseil Ier municipal de ainsi projetée porblrait des modilicuioos trés Grelé, vice-présidents ; Alp. Petit, secrétaire Puris, qui a tracé dn journaliste profession¬ importautes au Code pénal finlandais. La loi ce, ronipant leurs amarres, sont k la cöte. A Carqaeiranne, une dizaine de bateaux adjoint, Besnard, trésorier, Anriré flofgaard, eel une silhouette vivante et expressive. russe s'appliqneratt non seuiement aux actes Albert Eerreaschniidt, Pretnpaia, S&Ifray, L'heure de la separation est hienlót ve¬ présentant le caractère d'un crime politique, de pêèbe ont été détrurts. Le bruit court qu'on navire aurait fait Careère, Montauzé, Morière, Langlois, Biard, nue. Chacun a repris Ia route du journal, mais anssi k une grande quaatité d'autres ceux-ci vers Cherbourg et la ligne, ceux-la actes s'ils sont commis ponr des motifs poli¬ nau frage darts fes par ges de la presqo'rle syndics. de Giens et qu'il y aurad plusieurs Vfetune-i. La presse havrais© était eu outre repre¬ vers Rouen, Le Havre et emuraochements. tiques. Mais ceei n'est pas tout. Ou punirait sentee par MM. A. Lanehard, Gh. Daboc, P. Et comme i'habitude professionnelle est trés comme crimes poiitiqoes anssi des actes qui A ia préfecture maritime, on déciare n'avoir torts chez ces gaillards, machinalement, è Danau, G. Gosseiin. du point de vue du Code pénal finlandais ne tet?u aucune noaveüe k e© sujet. Après 1'é.xamen de différentes questions ieur rentree, ils se sont mis k comer aux peuvefit pas être cö isidér'és comma étant d'imérêt proli'ssionnol, après que M J. La- autres le plaisir qu'ils s'étaient offerts euxeriminèls. Le people finlandais ne peut pas fond, dans une allocution d'un sentiment mèuaes. ne pas voir dans ce projet un nouvel essai L'Affaire Calmstte profondémeat ému, ent fait l'éioge de3 con¬ de supprimer Tedroit 5 l'activité po itique et frères disparus ét rendu un torn -haat hom¬ La chambre des mises en accusation* prêsociale qne la constttntiof; finlandaise garan¬ sidée par M. Milliard, a examiné hier après- mage de regrets a la mémoire de lbppoiyte tit k chaque citoyen finiandars. La collabcraiion erttre le gouvernement et midi ie dossier iuculpant Mine Caiiiaux d'as- Fenoax, rédactenr eu chef du Petit Harre; et de Marcel Hue, rédacteur en ehet de Vlndile people, dit ea términant la péotion, est süssiaat Le greffier a tont d'abord dnnné lecture cat ar de Bayeux, après que M. Besnard, tré¬ une condition essentielle ponr i'existonce de l'Etat. Mais il y a une condnionabsolue pour des pieces pricci pales, pais il. Mornet, subs- sorier, ent présente l'étai financier de ('As¬ que cette collaboration soit possible, c'est titut du procureur général, a dep03ó son ré- sociation et souligné, au nrilieu des applandisseménts, nne nouvelle libéralité dé M. J. .^ . que ia Constitution soit respectèe et i'ordre quisitoire écrit. Le substitut et le greffier S'étant retirés, la Lafopd en faveur de Pceuvre cörïimune, l'asiégal rétabli. L'abirae qui existe entre le gouvernement et te peupie finlandais ne chambre des mises en accusation a délibéré sénrblêe a procédé au reöouvellemeöt de snr la designation da rapporteur qa'èTfè én- ebn büfohü. Elté a tromfii© MM.Mbriére et pottrra être rempfi1 que par le rétabiissetendra a huitaine. m eat de ia Constitution colenarilément reit'arró» sera saae douta raaüa le 6 juin. con&ae du payfc PAR-CI^JPAR-LA LaTimbre &15centimes poor la Correspondanee Internationale LAPRESSE NORHANDE INFORMATIONS CHRISTS,MÉDAILLES VIERDES,CR0IX LE MIEUXASS0RTI GAU8ERT, 16,PtWft l'Hötsl-Se-VHa Lm*tow**&*mËms fi««SË«5 frise -ummmbe Le fVtit Havre — Mercredi $7 Mai 1914 do Mandoliniste de Neuilly-sur-Seino, la Flo¬ rentine de Versailles, la Mandolinette dé Mont¬ morency (Seine-et-Oise). TAMBOURS ET CLAIRONS Voiren5sFagsdétaildsnotre Importante Mise en Vente de DEMAIM JEUDI 28 MAI Consfil Attucsfeijp.»! öia Havre Seance pnttKquc du mercredi 27 Mai 1914 OIII)UKDUJOURSUPPLEMENTAIRE Société « La protection muluelle des em¬ ployes et ouvriers de3 chamins de fer fran¬ cais », subvention. Grand Concours de Musique Kos eoncltoyens savent qn'A l'oceasion do cinquanten-aive de !a Société chorale La Lyre Havraise, fondée en 1864, cette Société orga¬ nise, sons lea auspices de la Municipilité, avec le concours des Sociétés de la vnle da Havre, sous le patronage de la Fédération régionale de l'Eore et de Normandie et de la Fédération Musicals ds France, un grand concours international de musique. Gette fête aura lien au Havre, lesdimanche 31 mai et lundi ie' juin 1914. De norobreuses Sociétés prendront part A se concours. Voici la lists de celles qui ont envové leur adhésion : ORPIiÉONS Ccccle Choral Parisien, Sairile Cécile d'Angers, Les Eufanls e Paris, Orphéon d'Evreux, Les Méloman-s Donaisiens, La Cigale do Pa is, La Lyre Tarbienne, Le Choral de la Villette, L'lndépendanto de Vt rdun, La Garonnaiso de Langon (Gicondej, l'Huion Orphéonique de Boutogne-surSeiDe, Les Enfaats du Sornin Biilsnet de Charlien (Loire), l'Doion Cnorale de Coye (Oise), i'Avenir de Chateaubriant (Loire Inférieure), Ia Société Cho¬ rale de Gunnat (Alitor/, La Cécilia de Marles-lesMines (Pas-de-CLlais), l'Union Musical®de Vaux-lePesni (Selne-et-Marne), la Chorale do la Maison fiusson do CLétesuroux, l'Orphéon Contangais, i'Orphéon de Fourgueux (Seine-et-Oise), ITFpbéoa et Chorale réunis de Troyes, la Li ue Protectrice des Eotants Abandonnés et Orptielins du Havre de Sanvio. HARMONIES Les Eafenlsde Saint-Nicolas de Paris, la Musi¬ que Municipale do Rouen, la Musique Municipale de Bernay, Pllarmonio Municipale de Clicby, la Sociéié des Forges et Scieries de Denain Anzin, rilaruiunie des Ateliers de Chemins do l'Etat de Mohon Ardennes), i'tlarmonie Municipale de Cormiey iMarnei, la Sainle-Cécile de Moniouis (Indreet-Loire), la Société des Sapeurs-Poinpiers de la Manufacture de Charmes (Aisne), la Lyre de Cher¬ bourg, la Société de t'üsinede TourmigniestNord), la Concorde de Pouiilon Marnc), la Pbilharmonique de Biliom (Puy-do Dome), l'llarmonie de la Fosse n» 13 ces Mines do Lens de Halluck (Pas-deCslais), la Sainie Cécile de Vernon, l'llarmonie Secialiste doISb arrondissement de Paris. FANFARES La Société Musieale dos Fondeurs de Pori-Briilet iMayenne), la Lyre Amicale da Poissy (Seine-etOise), la Société Masicaledes Fondeurs d'Anioigné de Sainte-Jamme-sur-Surtho, la Fanfare Libre de Vernon, la Fanfare Libre de Mayenne, l'Union Musieale de Hoi (Orno), la Fanfare de Saint-Nico;as-d'Atiermont, la Société Musieale de Chaumonten-Yexin La Vigneronne d'Origny (Marne), la Fan¬ fare de l'Ecole Normale de Caen, la Musique de Gamaches iSonime),la Fanfare des Ateliers d'Abel Pifre d'Alberl (Somme), les Amis du Progrès de öourges, la Fanfare de Crugny iMarne), la Fanfare Municipale du Chesnay (Seine-et Oise), la Fanfare d'Illiers (Eure-'t-Lolr), la Renaissance de Chavanges (Aubei, la Fanfare Municipale d'Athis de l'Orne, la Fanfare Saint-Briee de Togny-aux-Baufs iMarne), la Lyre Ouvriéro de Benvardes (Aisnei, i'Un on des Communes, Fanfare des Ilorlogers de ssint-Nicoias-frAbermont, la Dómocratique de Viliedomer (Indre-eFLoiie), La Renaissance d'Orboisl'Abbaye (Marne), Saint® Panburge, Sainte-Golombe de-l'Orne, la Fanfare de Saint-J alien du-Sault (Yvonne), la Lyre de Sadno de Cauville-la-Riviére, La-Croix-ep-Brie (Seim-et-Marne), la Fanfare Muni¬ cipale de Songny 'lndre-et-Lohe). la Fanfare Muni¬ cipale de Villoroeaux Lolrel), la Fanfare Municipale de Montagny (Loire), la Fanfare Municioale d'Aliemant (Marne), la Lyre de Moset-Saint-Père, la Con¬ corde Musieale d'liornoy (Somme;, la Fanfare de ia Chapeile-Monlfr.don (Aisne), la Fanfare de Mortrée (Ome), la Fanfare de Criquebeuf-sur-Seine (Eu e), 1Union Fraternelle de llampigny (A.ube),la Fanfare des Sapeurs-Pompiers de Reuil tMarne), la Fraternette de Daubeuf-la-Campsgne (Eurej, Ia Fanfare de Baye (Marne) la Renaissanco de Villevenard iMarnei, 1Union Musieale du Ménil (Mayenjie). la Fraternelle de Maurupt-le-Montov (Marne), ia Fanfare de Villobaron (Loir-et-Cher), l'Indépendante do Landreville (Aube), l'Union Musieale de Saint-Lonp-sur-ï'honet (Deux--èvres), la Fanfare Municipale de Piney (Aube), la Musique Munici¬ pale de Sil!é-!c-G'uillaumo(Sarlhe). SYMPHONIC L'Union Syruphonique de Noisy-Ie-Sec -Seine). ACCOUDÉONISTES La Syrophonie des Accordéonistes Ilenlnois de Uénin-Liélard (Pas-de-Calais), la Lyre. Joyeuso de Bmsy iPas-de-Calais), l'Orcheslriana Amiénoise l'Aniit ns Somme). ESTl'RI ANTINAS L'EsIndianiina du iS» arrondissement de Paris, l'Estudianttoa Ange vine d'Angers, l'Accord Parfait de la Condamine iPrincipautó de Monaco), le Cer- Feuilleton du PETIT HAYRE 74 LA PAR Coastaiat PREMIERE G-UÉEOTJLT PARTIE La Comèdie du iVIariage Ccpendant, l'intérèt de Cypriennercniportaut sur toute autre consideration, il allait se résoudre a ailer faire celte propo¬ sition è sa ntère, lorsqu'il entenditle comle de Glamareinss'écrier tout Acoup: — Eh bien I non, Madame Tillard, je partageentièrementl'avis de MmeDathis, il y a IAdessousquelque méprise et e'est Hioiqui me chargede l'éelaircir. — Vous,MonsieurIe comte,dit I'horloger d'un ton pénélré,non, non,'je ne Ie permettrai pas, j'irai moi-mêmem'assuier . , . — Laisséü-moifaire, cher MonsieurTil¬ lard, je suis assuré de réussir la oü vous pourriez tjcliouer; je connais les amis d'Albert, OontranBixou entre autres, son camaradede collége,son confidentintime ; si jc ne irouvepas Albertcltezlui, ie cours La Compagnie des sapcurs-pompiers de Meaux, le Réveil (le Palaisoau (Seine-et-Oise), la Compa¬ gnie des sspeurs-pour.piers de Cherbourg, les T,ju¬ ristes de Brive (Corrcze), la Lyre de Cherbourg, l'Avant-Garde de Levallois-Perret, la Rueilloise de Rueil (Seine-et-Ohe), la Viroflaysienne de Virotlay (Seine-et-Oise), l'Avant-Garde de Torcy (Seinc-etMarne), Ia Revanche queviliaise de Pi til-Quevilly, la Saint-Maurice de Paris, l'Avant-Garde-de-1 Yvelte de Longjumean (Seine-et Oise), I'Avenir de llouilIes, l'Union patriotique hartleuraise d'ltai fleur, Tambours et clairons de l'tlarmonio de Mohon (Ar¬ dennes), l'Amicale des Pompiers de Lillebonne, la Revanche de Viarmes (Seine-et-Oise), l'Union sanvicaise de Sanvic, les Enfanls de Saint-Nicolas de Paris. TROMPETTES Pas de Retraite ee aoir Par suite des fêtas organisées a l'oceasion dn Grand Concours de Musique, la retraite militaire hebdomadaire qui devait parconrir ce soir l'itinêraire dn 3" canton, est suporimfie, une aotre retraite devant avoir beu samedi avec itinéraire spécial. Concours Agricole Un concours régiona! agi-icole et concours hippique se tiendra ii Yvetot (Chatnp de courses), du 28 mai au l^r juin 1914. En voici le programme : jEUDi 28 m<i. — A midi : Ouverlure de VExposition des Hachin.es et p. oduits. — Reception des Animaux. — Mensurations des Bovi'tis. — A ï beures : Operations du concours beurder (traite d'épuisementj. vcndrrm 39 mxi. — A 8 heures : Exposition L'Etendard de Levaüois-Perret, la Nogentaise de des machines cl produits ; mensuration des R .vi¬ NogcLt-sur-Marne, la Bienvenuede Vilry (Seine), des . — A 9 heures : Opératioas du jury des pro¬ la Senlinelle d'Ons-tn-Bray (Oise), i'Avenir de duits. — A 11 heures : Operations du concours Yillecresnes (Seine-et-Oise). Ia Fraternelie de l'U¬ beurrier. — A 3 beures : Traite ; écrémage et nion de la Nbne (Marne), l'Etoile do Meru (Oise), analyse du lait (au siège de l'Ecole ménagóre, rue I'Avenir do Vallaut Saint Georges (Aube', les Amis du Calvairei. Réunis de Cuigy de Cuigy-en Bray (Oise), l'Espésamedi 3ö mai. — A 8 heures : Exposition rance d'Arc-les-Cray (II .ute-Saöne), la Concorde générale. — A 9 lieures : Operations du jury des de Maiciily-le llayer (Aube). animaux. — AH heures et a 8 heures : Opératlons du concours Beurrier. — A 2 heures : brCTROMPES DE CHASSE seutalion des chev«ux de trait primes.— A 3 heu¬ res : Concows hippique, pnx d'essai. — A3 heu¬ La Saint-Hubert de Luxeuil-les-Bains (IlauleSaóne), la Haltye Belfort de Belfort, Ia Saint Hu- res : Concours hippique, prix des régiments. diman'chis 31 51.M.— A 8 heures : Exposition bert de Rouchamp (II mte-Saóne), les (rompettes Brivadoises do Bnoude (Haut-Loire), Ie Rallye gêné' de ; tin dr s operations du concours B -unier ; Cors de Sauvie, la Rallye Cbat«auroussin de Cba- operations du jury du concours de conformation teauroux (Indrc), la Rallye Luroa de Lure (Ilauto des vachos laiiières.— A 11 heures : Presentation Scóac), l'Amicale de Saint-Hubert d'Eawy des des bovidés primós. — A 2 heures : Presentation des chovaux prirnés. — A 3 heures : Concours Grandes-Ventes. hipoique, prix do la Ville d'Yvetot. — A 5 heures : Concours hippique, prix couplés. mvDi 1" .riuv. — A 8 heures : Exposition gé¬ Conaeil de Kéviiien nérale. A li beures : Presentation des bovidés Le Gonspil de revision a continué hier, primés. — A 2 heures : Presentation des clievaux de trait primés. — A 3 heores : Concours' hippique, ses operations aa Havre, pour examiner les prix du championnat. — AS heures : Concours jeunes gens appartenant an canton. hippique, prix de la Société des courses d'Yvetot. La séance a éió ouverte è neuf henres dn matin, sous la présiUence de M. Liard, se¬ crétaire général de la prót'ectnre. II était ©IisèqMes «1« fffi. IPovax-T-avslIe, assist 'de MM. GoH, conseiilerde préfecttire; 1*< rïr( el«t Deiret colonel Berlin; Ficlelin, conseiiler général ; Lundi ont en lien, A Orleans, les obsèquos Ronssel, conseiiler d'arrondissemeni ; Vil le¬ da M. Poux-Laviilé, préfet du Loiret, anci n nt ttve, sous-intendant militaire; Berthonsous- préfet du Havre, décédé après une nière, command ant derecrutement ; Benoist, maladio. sons préfet du Havre ; serrurier, adjoint au courto et douloureuse Les honaeurs militaires étaient rendus maire du Havre; Bourgeot, capitaine de par les deux tiers de ia garnison et p'-ndant gendarmerie; Ponsot etGrenierdeCardenal, la levée da corps, dms la cour rie l'nöte! de médecins-majors. la préfecture, oü avait ótë dressé le catafal¬ Voici les résultats de cette opération : que, la musique du 131" d'infanterie, les AjOurnésde Ia classe 1912 : bons, 3; ajourttompettes do 8» chasseurs et de I'artillerie né, 1 ; exemptés, 5 ; total, 8. ont execute des marches funèlres. Ajournés de la classe 1913 : bons, 7 ; ajourLe deuil était conduit par M. Becays, dénés, 13 : exemctês, 3 ; total, 23. pnté du Lot, et les cordons étaient leaus par Classe 1914 : bons, 73 ; engagés et inscril? MM. Brisac, préfet du Cher, représentant le mariiimes, 33 ; services anxiiiaires, 4 ; ajour¬ gouvernement ; Antrand, préfet de Seine-etnés, 31 ; exi-mptés. 9 ; décedó, 1 ; total, 133. Oise ; G iiral, premier president ; M tulmoad, Total général : bons, 83 ; engagés et insprocureur génér.d de la cour d'appei ; le crits maritimes, 33 ; service aux'liairs, 4 ; général Penne |uia, commandant par inté¬ ajournés, 43 ; exemptés, 16 ; décédé, 1 ; to¬ rim le 3e corps ; Georses Gochery, président tal, 184. du Gonseil général ; Viger, rénateur, et Fernand RiAier, député, maire ci'Orléans. Dans 18 cortege se trouvaient les autori¬ De rapiteiiie axTatesap Yoigin tés, les corps constitués, les notabilités du et so!» VïécasiicieM iléeerés Loiret et des départements limitrophes. Stir Le général Bernard, directeur de l'aérotout le parcours, de la préfcciure a la gare, nautique militaire, est parti pour Vichy anles b-mè-idaires éketriques étaient aliumés uouctr au capitaine Voisin sa nomina ion au et voiles de crêpe. grade de chevalier de la Légion-d'Honnenr, Dans la cour des messageries, des discours et au sapenr Desclaux, son inscription pour ont é é prononcés par MM. Brisac, Georges la médaille militaire, avec nomination im¬ Gochery, V ger, Fernand Ra bier et par M. mediate. Maureilet, inspecteur d'académie. L'état du capitaine Yolsin est moins grave qu'on i'avait annoncé. Le blessé, qui est soiDans Ia 3' T>égion «Se CrCxxdai'soterSe gné avec dévouement, a passé une bonne Le chef d'escadron B lotte, qui commande nuit et les médecins déclarent qu'il n'y a pas de complication é redouter, car, en dehors actuellement par intérim la 8° légion de gen¬ darmerie A Bourges, est promu lieutenantde la fracture de la cuisse, le brave officier colonel et designó pour commander la 3e lé¬ ne souffre pas. gion, A Rouen. 11 remplacera le colonel Pin, admis A faire valoir ses droits A Ia retraite. Komlnalloim <l<ma l'Etat-Hajor Le colonel Pin était depuis 1910 a Ia tête géuérnl de la 3» légion oü il avait succédé an colonel Ordioni. Soldat de haute valeur, le colonel Parmi les mutations militaires du 23 mai, il en est quelques-unes qui concernent des ihn, A Rouen, comme partout aiilenrs, avait su s'acquérir de nomhreuses sympaihies. A officiers sopérieurs ayant appartenua la garla c iserne, il savaii ailier l'énergie A labiennison de Rouen ou & l'état-major du 3« corps veiilance, oi tous reconnaissaient les senti¬ d'armée : ments de justice qui le guidaient sans cesse Le colonel Da may, ancien chef d'état-madan3 ses rapports avea ses subordonnés, jor k Rouen, est nommé général comman¬ officiers et gendarmes. dant i'artillerie du HD corps d'armée. Le colonel l'onville, ancien sous-chel d'état-major ii Rouen, est nommé par interim au com mandement de ia 79" brigade d'infanterie it Gom mercy. Le colonel Desvaus, ancien lientenant-colonel da 74c d'infanterie, est nommé par intérim au commandement de la 16" brigade d'infanterie an Mans. Le colonel de Mitry, ancien Hentenant co¬ Le Steamer « Bmtang t) sauve l'Equipaga d'un Steainer Greo lonel du 6« dragons a Evreux.est nommépar Le steamer danois Bintang, qui est arrivé intérim au commandement de la 1»'°brigade hier iratin venant de la Göie-Ferme, a ren¬ de cuirassiers it Paris. contré dimancho dernier, A dix heures da matin, par 48" ds latitude Nord o.t 6° de lon¬ Nomination gitude Ouest, le steamer grec Pericles, qui faisait des signaux de détresse. M. Emile Léopoid Gim, candidal militaire, Le Périctès, par suite, croit-on, d'un choc est nommé ouvrter titulaire da cadre de la sur une épavo sous-marine, avait une énor¬ fabrication k la manufacture des tabacs du me voie d'eau.Il fallut l'abandonner. II coula Havre. A trois heures de l'après-midi. Ses 23 hommes d'équipage ont été recueiilis par le Bintang, qui les a débarqués Becriitrnient de l'Armée au Havre. Soutiens de Famiile Le Pénclès se rendait de Swansea A AlexanLe Gonseil chargé, en vertn de l'art. 22 de drie. la loi du 21 mars 1903. modilié par l'art. 12 de la loi du 7 aoüt 1913 do siatuer sur les Kon Transailaiillqnes demandes d'allocations journalières iormées l,a- I'rovcnüc par les soutiens indispensab'es de familie, La Provence est attendue sur rade mercredi se réunira pour l'examen des demandes formulées par les jeunes gens de la classe 1913, soir k 7 heures 1^2. au chef-lieu de la justice de paix, aux jours Go paquebot vient de New-York. indiqués ci-après : Le Montróal Arrondissement du Havre. — Fécamp, 16 juin; Bolbec, 17; Lillebonne, 19 ; GoderLe f tramer Montreal, qui se tronvait dans ville, 20 ; lev et 2» cantons dn Havre, 22 ; 3» le canal de Tancarviüe pour y subir diverses et 6e cantons, 23 ; 3e et 4» cantons, 24 ; Saiattransformations on vue de sa nouvelle affec¬ Romain-de-Colbosc, 26 ( Montivilliers, 27. tation, a pris place dans une des graruks ^onvelles Maritimes UN RAPATRIEMENT chezGontranet e'est par lui que je saurai ce qu'il est devenu. — Attendezun instant, lui dit MmeTil¬ lard, j'ai Avous parlcr, MonsieurIe comte. Puis, s'adressant A sa iillc, qui frissonnait de fempsAautre dans ses bras : — Tu as un peu de üèvre, il faut te mettre au lil, mortenfant, — Je le veux bien, maman, répondit Cypricnneen se blotlissantcomme un en¬ fant sur le sein de sa mère,mais. . . — Eli bien, quoi, ma chérie? que veuxtu dire ? — Eh bien, Aune condition. — Parle, monenfant. — C'est qu'aussitotle retour de M. le comte,on viendrame rendre complede ce qu'il aura appris. — C'estentendu,ma chérie. — Maissans rien me cacher ? — Jctele promets; maintenant,viens, je veux te meltre au lit moi-même. Cyprienne donna son front a baiscr A tous, puis clle suivit sa mère. Celle-ci revenait au bout de dix mi¬ nutes. — Eh bien, lui demondale comte,qu"avez-vousAme dire, MadameTillard ? — Quelquechosede grave, dontj'avais résolu de ne pas parler, paree qu'il s'agit d'une personnedéjAtrop compromisepatsa conduite et qui. . , — Et qui, conséqucmment, ajouta le comte,ne court pasgrand risque Ace qu'oif la comprometteun peu plus. — Malgrétout, reprit Mme Tillard, je n'auraisrien dit s'il ne s'agissait du repos de monenfant, et si je ne voyais dans ce a.uiarrive aujourd'liui la conUrmutionde la lettre anonymeque je vais vouscommuniquer. — Unelettre anonyme! s'écria MmeDa¬ llus. — Cette lettre, la voici,dit MmeTillard en la tirant de sa poclie. Elle lut ia lettre, déja connuedu lecleur, par laqucllela baronne de Karrioldénoncait a la mèrede Cyprienne la liaison de CamilleChaumel avec celui qui allait devenir lemari desa fllle. — Quelle infamie ! s'écria Laurence, avec l'explosion d'une violente indigna¬ tion, quellefemme est-ce done que cette Camille? — Unefemme... légère, plus que le¬ gére, répondit le comte, et son mari, un patLvrehommebien a plaindre,car il est a cent lieuesde soupconnerce dont personne ne douteaujourd'hiti. — Mais 'c'est un monslre que celte femme! — Centfoisplus bideux, plus horrible que tu ne penses.Quant A cette aventure, je ne sais ce qu'il en est, mais Gontranne 'peutl'ignorer, je vais done Taller trouver avec cette lettre et avant une demi-heure j'espère vousapporler la vérité sur celte affaire. — Qui sait si M. Bixou sera chez lui !' dit Laurence. — 11m'a assuré qu'il y était tous les soirs dans le cas oü j'aurais Alui parlcr. II sortit, alia prendre tine voiture a la place Saint-Sulpiceet se fit conduire chez GontranBixou. II le trouvachezlui. en eftet, en train de fumer un cigarc, tout en déssinant une lêle de faalaisie. 3 formes de radon b oü l'on va procéder au remplacement de son arbre porte-bélice et A ia réfection des peintures de sa carène. La ViUe-dO'Barcelono Le steamer Ville-de-BarcHone, de 1,846 tx, appartenant A laCornpaguie Générale Transatlantique, a été v^ndu a <nn armateur italien pour environ 4,500 liv. Ce cargo mixte avail étó construit A Greenock en 1880 ; il mesure 309 pieds de long sur 35 piecisö de large el 24 pieds 3 de creux. Wj'/isle Les expériences de ce sleamer ont été repri.es dans la matinée d'hier et sesont poursuivies durant toute l'après-midi. Eae €SSi»sle rcstHmxaê Le sleamer norvegien tLmk, du port de Bergen, qm s'était échoué lundi matin A Pentree du bassin de üeauvillo a pu être heureusemect relevé. Le soir, au retour du Hot l'Abeilk-4 a fait une yigouto jse tentative pour degager ie batiment, et grace A une plus grande ampli¬ tude de Ia marée, le résub.at espéré a été réalisé. Le Girale a pu alors frauchir le seuil de l'écluse et a pris place au bassin. ïbs fstelsts* «s?r «sus ïméoSepIs» s5o!ts*a« €?esssi3Ï4(aSls!»(rs jJiar 'L". S. SF, Le paquebot Orduna, arrivé A Liverpool, se trouvait A l'entrée du détroit de Magellan quand il recut, du vapour anglais Brodstone, un message sans fil demandant una Consul¬ tation modicale pour le capitain», tombé malade a bord. Le docteur Ayward, de VOrduna, avisé, répondit aussitöt et posa cinq questions auxqtieBes il fut répondu ; il redigca alors une ordon nance pour la malade, qui se trouvait a plus de 150 kilomèTes de IA. Deux jours plus tard, les denx vaisseaux arriyaient ensemb'e A Punta-Arenas, et ie capitaine du Brodstone remit au médecin de 1 Oidunn, avec ses remerciemeiiis, 26 francs d'honoraires. U« Pa?jsieSr»S( fi-dle u « Sc«-lvrrg Le paiiuebot Royai-Edward a envoyé un message sans fil, parvenu A Montréal, pour annoncer qu'il avait touché un énorme ice¬ berg au large da Gap R >ce ; il a rasé la montagne de gkce sans è re endommagé et vo¬ gue maintenant vers Bristol. ïjk' féati'rt'tifa Le steamer Sautemcs, de la mei son Worms qui avait quitté notre poet inndi soir, A six heures, pour Dunkerque, est revenu en relache hier acrèsrinili dans notre port, un biiiiChon de chaudièie ayant sauté en cours de voyage. Des reparations ont été entreprises et le Sauternes doit reprendre la mer ce matin. Eje W^neSMote Le navire peiralier Luciline, venant New-York est monté A Rouen hier. de ï.c y sieist SSet'lhn Un équipage, commande par lo capitaine Le Prénot, va être dirigó du Havre sur Tolles Bury, pour condnire dans notre port oü il sera frarcisé, le yacht anglais Bertha, acquis par M. Deiahaye, do Paris. Avis aiax Navlgatessrs Le lougie de pêche Sucré-Cwar-dc-Je'sus, no 3038, du port de Boulogne, jaugearu 77 tonneaux, a etè coule dans la nuit du 17 au 18 mai par nn vapeur augiais A 4 milles dans le S.S.E. d'Hasting. L'öpave de ce hatiment a été vue par tin pêchéur, llottant euire deux cuts; a 8 ou 10 mutes dans le Sud du Royal Sovereing, te 20 mai A une heure du soir. LeS03SB etuitchavirésur le cóté. Faits Divers Britrerst par un Cyrlisfe So rendant A l'école, vers huit henres et demie, lundi matin, Ie jeune Joseph Dubois, age de 8 ans, demeurant chez ses parents, rue Franpois-Mazeline, 51, fut renversé par un cycliste A l'angle. des rues Massilionet Franpois-Mazoiine. II fut blessé légèiemaut A Ia ièvre supérieure et an nez. Ces blessures iürent pansees A la pharmacie Dubuissoa, rue de Normand, e, et l'enfant tut ensuite conduit A son domicile. Flaitirs do la TaMe S'il es! vrat qu'un verre de bon vin fait souvent oubiier un mauvds iöti, il n'est pas moins certain que celui qui bolt de mauvaises boissons est toujours mécontent. II fant s'approvisiouner anx Caves Ganérales pour avoir d'excellents produits. Arvldent a la dare Au cours d'une manoeuvre de wagons dan3 la gare de ia Pedte-Yitesse, hier maiin, vers quatre heures et demie, un garde-frein des chem ns de fer, Ad dplie Perel, de 39 ans, demeurant rue Montesquieu, 34 bis, a eu le bras droit pris entre deux tampons. En outre d'une piaie profonde de l'uvautbras, on a constaté A t'llopital Pasteur que le radius était fracture. Perel est resté en traitcment dans eet éta¬ blissement. Le comteétait entré tout de suite après avoir frappé. A sa vue, Gontran,qui, on le devine, nó restait chezlui tous les soirs que pour être a momed'ètre prévenuau cas off Laurence serail menacéede quelqueaccident,se leva brusquementet courut a lui en lui disant d'une voix émue : — Vous,citer comte! vous serait-il ar¬ rivé quelque chose? — A moi, rien, réponditle comte, mais Aune jeune liHeA laquelle je m'intéresse trés vivementet qui ne vous est pas inconnue. — Sonnöm? — Cyprienne. — La iiancéed'Alberl? — Qui, et c'est justement de lui que je viens vous parler. — Ditcsdonevile, cher ami ! Le comlelui raconta en deux mots ce qui venait de se passer et lui montra la lettre cn lui Gtsant: — Qu'y a-t-ilde vrai dans tout cela ? — 11y a que Camillea été la maitresse d'Alberl',jc vous dis cela franchement ct sans détoui', paree que sa répulation, qü'elle croit intacte, est percce a jour et que celte créature ne mérite aucun ménagement; la lettre est done vraie, quoique anonyme. Mais, quant a croire qu'il ait quitté Paris avec cette femmequ'il n'aime plus, pour blesser au cöeurCypriennequ'il adore, non, cela ne se peut pas, j'en mettrais ma mainau feu. — Fort bien, mais cela ne suffitpas, la pauvre Cypriennesait que je fais une enauête Ace sujet, et elle attend ma réponse Xitü F«|iuliiire Entreprise privé e assujettie au controle dc l'Etat Nous sommes heureux cl'infonner nos lecteurs que celte honorable Compagnie Frao^aise d'Assurrances sur ia vie, dont le Sièga social est A Paris, 14, rue Chomel, con¬ tinue réguiièremerrt Aprogresser. La production obtenue en 1912 atteignsit environ 3 millions ; le chtffVe d'affVres réa¬ lisé en 1913 a. dépassé 4 millions de francs. Nous apprenons avec piaisir que son orga¬ nisation ou Havre va prendre encore un plus grand devekippement, grace aux trés heureuses modifications qu'elle vient d'y uppcrter. Nous lui sonhaiions bon succès. ThVMve-Cïvque Csnêwsa ommn Omnia pathE H.a Jnlte SSretonne. — I a T«e!ie II est mcontestabiement difficile, même pour uoe direction aussi habile que catle de l'Omnia, de dormer chaque fois on spectacia aussi beau que celui de fa semaine dernfère, oü ie grand film LesMisérables, ob int comme oo Ie sait nu t.»ès gros succes. Pöürtant, le programme qui débutait hier, eo sorée, plus varié que lo précédent,, renffirrmmt plusieurs numéros viaiment attrayauts, promet d'attirer. dans la vaste et coquette enceinte du Th atre-Girque Omnia, tous c<nx de nos conoitoyens désireux de passer une agréable soirée. Aitf-ljst d«5 C?08Jge»S5»ai On a surtout applaudi hier La Jotte- B>eVers sept beores, lundi soir, le gardien de tonne, une scène dramauque, trés HOtidement la puis Vauclui était prévenu qn'un horarae charpen ée, de MM. Zecca et R. Lepiinco. était malade sur le cours de la Répubuque. Miie Roi i me, de la Gomédie-Frar.caise, II s'y rendit et reiava cet bom me qui était I'artiste reruarquablement belle, y dépeuse, étendu A terre, pour le transporter A la phardans ié röle d'Ariaik, ie meiileur de son ta¬ m aai ft Daussy. lent. Elle est secor.déö par d'exceüeots ar¬ Le pratieieii jugea que l'état du malade tistes, qui mettent en relief c tie comèdie était graye et con si ilia son transport A i'Hosparteis émouvante et souvent délicieuse. pice Général. La ruise en scène est trés soignae, et t'nn L'interne reconnut qu'il était atteint ds remarquera de plus, de ces fori joiies piiocongestion. tographies qui soiit la spécialité des ibms Les papiers trouvés sur lui indiquèrent Path®. qu'il se nommait Alfred Chenu agé de 57 A la Jolde Bretome v ion neut s'ajanter deus ans, survti'lant, demeurant a Graviüe-Sainautres drames : La Tache et La Servante inde¬ te-Konorine, roe Bplletontaine, 11. licate, qui complément la série dramattque. La familie fut preventie aussitöt. La première, La Tache, est particuiièrement émouvante et trouve en MM. Saiib rd, Max Doriant, Man pré et Maurice de Pmie.et C«JTï*£eg* ÏSIexgfe Miles Dermoz, Gladys Smythsen et Jeanae En travaillant dans les chaiitiers Anguslin Frémoat de remarquabies iuierprèies. Normand et C®,hier matin, un ouvrier, Paul La seconde scène égaiemeut. La Servante Duval, agé de 17 ans, demeurant rue des indéheate, rvmpiira les spectateurs dVmoViviers, 37, a regu une pianeuse sur le pied tion. Ene est jooée avec beaucoup de talent gauche. par des artistes de valeur. Le lourd instrument lui a écrasé le pkd Dans ces deux fi ms, la mise-«i scène a et Duval a dü être transporté a i'Hospice Gé¬ éto arranges avec la plus grande habileié et néral oü il a étó admis en traitement. le nieilieur soin. La serie instructive ne comprend qn'un puisCHFMISES Communion, CHEMISES céré¬ film ; mais ü est. des plus intéressants, qu'il seri de préiexie A une exhibition de monie, CHEMISES fantaisies, dans touted d'i n jardin zcoiogique des les enoo lures — La plus beau choix de fauves superbes plaioes russes d'O-kania-Nova. Cravates et FausCois. Pothé-Jourval, dunt les deux éditions sephn-j h OQISH cheraisier, 68, rue de Paris ront vues avec ie même plaisir par les assis¬ UslSu M« OllUti cn face le Printemps. tants, prend une large part au suecès de chaque repi ésentation. Les scènes humoristiques sont, celte semaine encore, trés nom?Tïs Woïirsas' tl«ï êtlcjirïirïïe breuses et trés oiiginales. Lundi 25 mai, vers midi, un jeune homme L'orchestre a detaillé ses meillonres pages d'une quinzjine ci'années, qui 'se promenait musicaies, que les amateurs apprecieront dans les mes da Saint- Romain-de-Goi bosc sans nul doute cornme il coovient. avec one hiCjCktto a la main, ayant accostó le jaune Joseph Duclos, ag< do 14 ans, gar¬ Anjonrd'hui mercredi, A 9 heures, repréden boutanger a Saint-Romain-de-Golbosc, sentation de cioématographv, avec ia scène eut avec lui one conversation banale et fluit dr<m»t>qiie de MM Zecc-t et Leprince. 1» par lui proposer d'achetersa bicyclette pour interprétee par M e le prix, defiant touts concurrence, de 5 «ïwêae Ili-s-IaniMt, Rooi .ne et AS. Alexandre, de la Comédia irancs, Franqaise. iAclos A l'anrionce dn prix fut pris de Le programme est cornplétê d'une eoroésoupyons sur i'honnêtetê du possesseur die dramaüque, la Tache, de vues comiqi es de la machine, ai» si fit-il part de sa rencon¬ et df-s dermères actualiié-i da Pathé-Journal. tre aux gendarmes. Bureau de location ouvert comme d'usjge. Geux-ci se mixrnt en qnêie dn gamin et Tous les soirs a la sortie, service spécial l'ayant trouvé dans Ie bourg Tinterrogède tramways. rent. L'enfaut fonrnit d'abord différents alibis, puis fiiialement avoua a®o:r loué la bicy¬ clette, se matia rtième, chez M. LebHc, marcband do cycles, 42, rue B.izan, au Havre, et Ge soic me medi, a a udemiere reprévoutoir la veudre afin d 'avoir d s l'argent Siniation du Tiain de 8 h. 47. pour lui permettre d'aller A Paris se prome ner. «•«Kl'SS I>E Les gendarmes qnesüonnèrent le jeune voleur sur ses moyens dVxisience. II déCcear de Frangaise, ia superbe pièce qui a Clara être empioyó chez M. Julien Tison, triotnphó a Paris au Theatre dfrl'Ambigu, bouianger, 20, rue Malherbe, an Havre, et sera jouée trés prochaioement aux Foliesavoir quitté lürtivement son patrou la vedle Bergère, par la ro ir riée O. DulTenne, A paren emportant cno somme dt 16 francs qu'il tii' de vendredi pruchain. avait recne de différents clients. Cceur de Frangaise est Ie plus grand soccèa II adéciaréde phis avoir dépensé presqne parisien de l'aimée dernière. Depuis la p eentièrement la somme volée a la foire qui se mière, ce ne, sont qae des salles aichitient actuellement au Havre et A payer la combks. Ajontons que la pièce sera jöuée location do ia bicyclette. II ne lui restait, eu en touroée avec le même noinhre d'artisies rlfet que 1 fr. 45 A SfiiH-Rimiaiu-do-Colqu'a l'Ambigu; 26 personnes et des décors bosc. spéciaux. Ge précoce gamin a déclarö se nommer Nous reviendrons prochainemant sur ces Georges Con reau, né A Paris, X®arrondisse¬ belles soirées. ment, le 10 octobre 1899. II a été arrêté et conduit devant M. le procureur de ia République du Havre. il23, boulevard de Strasbourg) La « Cérès » est la bière de table particnlièrement recommandée aux nourriccs et A Anjonrd'hui mercredi 27 mai, toute personne ayant besoin d'une alimenta¬ a 8 h. 3/4, representation du plus tion conforlable." Comme la « Pallas », la « Cérès » se trouve partout. Son prix est de gro3 succès de rire de la saison. 0 fr. 25 le litre. (Communication tie Ia Grande Brasserie de 10 nest). Les plus hautes recompenses aux exposi¬ tions internalionales et universeiles. Interprets par M Lévesque du Palais Royal. Turin 1911 : LE GRAND PRIX Deux grands (irarnes artisliquos Ganmont t Folies -Bergère GRAÏÏDCINÉMAGAUMQNT LEGENDARME ESTSANS CULOTTE !... Gand 1913 : f?1MYSORE DU JURY HORS CONCOURS Vol dr Cacao Tronvé portenr de deux kilos de cacao dont ii ne put j istifier Ia légiiiine propriété, un nommé Alpüonse Taifei, agó de 37 ans, journalier, demeurant A GravHle, rue de la Vallée, 75, a été arrêté lundi soir, vers huit "neures, au moment oü il passait sur le pont 5. II ad'ailleurs reconnu qu'il venait de oérober cette marchandise A bord du navire OÜ il travaiüait. Le parquet disposera do sen sort. UNE AFFAIRE ÉNIG1VSATIQUE et LA POUDRE X...? Ce programme d'une importance exceptionnede sera accompagné par : De M 'seiue aPoit-Siïd, L' Hotel du Bankeur. La Muison de discorde. Annonces matrimo males, Les Aetna liles a Gdumont », etc., etc. Locatio comme d'usage. Téléph. 15 31. Service spécial de tramways A la sortie. On peut fumer au pront enoir. Concert Wcellelt R ppelons que c'est ce soir, A 8 li. 1/2, qo a ben, rue Aug.-Doiifiis, l'andition organ sée par Al. Wootlett, avec lo concours da Mme Hall, la saxephoniste amértcaiue ; M. l,ongy, chef d'orcbestre de B- s oa ; la cuntalrice AlmeLacoste, la harpiste Mile Laskiue, le quatuor Alesuier, et nombre d'éminents musiciens havrais. — On trouve encore des liiiiets numéroiés Chez M. Hoffmann, marchand de musique, rue de Parts. Prix ï TflÊATRESCONCERTS & Cas in o Ma r ie- C li vist ine ISaHon d'étê lOl-4 Lundi lor Juin, en matinee a trots ©inv-ex'Hii'e «Se Sa Sassoii. heitres, avec une veritableangoisse.Commentfaire pour connaitreIa vérité ? — Avez-vousune voiture? — Oui. — AlIonschezAlbert qui demeuretout prés d'ici, lis parlirent tous deuxcl un instantaprès ils arrivaient chezAlbert. Le concierge leur répondit comme a Lise, qu'il était parti sur les cinq heures avec une dame. Gontrandemnndades détails sur les fa(•ons,la tournure et la toilette de Ja dame, et acquit tout de suite la convictionque c'était bien CamilleChaumel. Oü étaient-iisallés ¥ C'est ce qu'ils n'avaientpas dit. Commentle savoir? — Allonschezelle ! s'écria Gontran.J'ai fait nombre de largesses a sa concierge, elle me dira tout ce qu'elle sait. On se rendit donerue de Rivoli,prés de Ia rue desBourdonnais. La concierge,préalablementstimuléepar le don d'une pièced or, ne refusa pas de causer, en effet. Elle apprit a Gontran que MmeChaumel était ailée passerhuil jours a Fontainebleau cliezune amie. — Et vousêtes sure qu'elle a dit vrai ? demaadaGontran. — J'en suis süre, son mari était avec elle en ee moment. — Que faire maintenant? demanda le comletrés inquiet. — Rentrer chez M. Tillard, dire qu'il s'agit d'une disparition mystcrieuse dans laquclleil n'.va pas trace de l'emme,et que 5 francs. la police,prévenuepar vous, va se meltre immëdiatementen campagne. — Bon! voilarépondreet faire attendre, mais après? — Le reste ine regarde. — Comment? — En vous quittant, je cours cherclier Pierre Lasseille.J'ai besoind'un médecin, et, ce soir même,nous partons tous deux pour Fontainebleau,d'ou je vous rarnènerai Albertavant vingt-quatre lieures,mort ou vif. — Dieuvousentende,car la pauvrepetite Cyprienneest déja au lit, et je ne sais ce qui arriverait si. . . -- Gourez la rassurer et comptez sur moi. XLYI PETIT DRAME INTIME Retournonsde qnelqucs pas en arrière pour renseignerle lecteur sur un fait qui a dü lui paraitre inexplicable,c'est-A-dire la disparitiond'AlbertDathisen compagnie de CamilleChaumel, ie jour même oü il devait passer prés de Cyprienneune soi¬ rée dont il s'était montré si heureux davance. Albertétait chez lui, dans un petit ap¬ partement de gar?on qu'il occupait rue Saint-Benoït; il était en train de faire sa top lette,lorsqu'onsonnaviolemmenta sa portev — Qui peut venir A celte heure ? se ditii, trés contraried'ètre dérangé: il est cinq heures. j'ai tout juste le tempsde faire une toilette convenablepour passer la soirée chez MmeTillardet voilé que. . . ma loi non, ie n'ouvrepas. (A lift Pfclit Havre — Mereredi27 Mai 1914 Cöss!«K4tIaSllustré ^ C'est on veritable album d'art que repréE~~etele dernier numéro de ComadiaIllustré nsacró a la saison chorégraphique rasse, s lecteurs y tronveront, sous la forme la plus séduisante, les dessins, gravures, por¬ traits se rattachant aux ballets russe3 et notamment les curienses aquarelles de Léon Batst, un teste important résumant chaqne ballet, etc. En outre, ce numéro exceptionnal consaCredes clironiques aux nouveautés de la quinzaine théatrale écoulée, des fantaisies sur le3 choses de la scène, des appréciations docurnentées sar la mode, le tout édité avec nn soin attentif, tirages en couleurs, d'un Évidentcaractère d'óléganca et d'art. Conférences et <§qut$ Ecole supérieure de Commerce. — Une Conférencesera faite demaiu jeudi par M.A. Her¬ tsier, ancien é!è*e de I'Ecoie Poiytecbnique, professeur d'hydrographie au Havre, sur le sujet suivant : la Navigationsous-marine. Cette conférence, qui cominencera é 8 h. 1/2 frécises du soir, aura lieu dans Ta«nphithéatre de Ecole supérieure de commerce. M.Mercier,ancien officierde marine, a été com¬ mandant en second d'un submersible. 0 fr. 10dont l'effet était de réduire la quantité de marebandise livrée k l'acheteur. II verbalisa anssitót, ce qui vaut aux époux Lalande de comparaitre devant Ie Tribunal correctionnel. La cnlpabilité du mari n'est pas établie et il est acquitté, mais Mme Lalande récoite cinquante francs d'amende. Détenseur des deux prévenus : MeJennequin, LESVOLEURS En premier lieu, F. X. . . qui, ayant apergu sur ie quai uuo caisse de bouteilies de li¬ queur, eut i'idée do s'appropi'ier deux bou¬ teilies de cherry brandy pour aller les boire avec ies camaraties. I! fat snrpris par le brigadier des douanes Lafferrière. Six bouteilies avaient été dérobées dans la caisse, mais ia cnlpabilité de X. . . n'est établie que pour deux. X. . . avait déja été condamné k dix jours de prison, il y a queiqu.es années, pour un déiit analogue. Cette fois, ce sera quinze jours et cin¬ quante iraucs d'amende. Defenseur : MePatrimonie. — Enfin, deux bonnes, dont I'une, Ia fille Letaintnrier, a largeraent fait danser l'aase du panier ; l'autre, Alberdne Gaillebotte,a puisó quelques subsides dans la caisse de la débitarlte qui l'employait. La première récolte dix jours, Ia deuxième un ruois de prison. o IPO'UlïïSSü ' Pour les Soins de la Peau TRIBUNAUX Tribunal Correctisimol dt Sa?ra Audiencedu 26 mai Présidence de M. Tassard, vice-president DSNGEREUX ÉP1LEPTÏQÜE De nombreuses condamnations ornent Ie easier judiciaire de André Biasser, 23 aas, a tel point qo'il serait reiégable s'il était poursuivi aujourd'hui pour un autre délit que des coups et blessures. Dans one même soirée il frappe trois personnes a coup3 de couteau 1 — Qa'est-ce que voulez que j'y fasse 1 Je suis épileptique i Teile est son excuse. Tout récemment il se trouvait dans un débit de la rue Gustave-Fiaubert-,lorsqu'ii ent I'idée de mettre a profit i'absence de la propriétaire pour dérober un paté. Un consommaleur, M. Leblanc, ayant averti cette dernière, Biasser le solvit lors¬ qu'ii sortit et lui porta on coup de couteau dans le dos, ne lui causani henreusemem qu'une blessure saus gravité. Le même soir, Biasser renconira les époux M... qu'il connaissait déjè. li leur demancli dó l'accompagner jusqu'au Val-Soieil, oü, disait-il, il aliast voir un parent. A peine les trois personnes forent-elies arrivées derrière le lorLde Tourneville que Biasser manifesta des intentions plus ou moins avonabks vis-i-vis do Mme M... M. M... ayant voulu protester, Biasser frappa successivementles deux époux d'un coup üe couteau et s'enfait. , La encore les blessures foreut pen graves. Le médecin légisie qui a examine Biasser a concln-a sa responsabilité trés iégèrement atténuée. Le préveaa est en outre potirsuivi pour infraction a arrêté d'interdiction de séjoar. li est coadamnó a 6 muis de prison. >Dcfenseur : McMasson, ftlOUTÖHCUR1ULE Quelqu'un qui sait rompre ia monotonie du régime de la prison c'est René Josset, dit Monton. Oq peut croiro qu'il s'arrange pour être toujours a eheval sur deux condamna¬ tions. On se rappelie Ie dernier exploit de ce jeune apache dans !a uuit du 9 au 10 mat : au cours d'une discussion suivie de rise, d'un coup de coutc-au, il pertorait le reiu de son rival en amour. Ii Tut ariêté quelques jours après. Le fait qui i'amenait a l'audience do iurtdi remonte a on mois auparavant. II procèle ógaiement du couteau. Mouten accostait, le 12 avril, vers minnit, dans la rue des Drapiers, na navigateur, ie sieur Lautridon, a qui il ofïrit une con-onimation. Cclui-ci accepta, mais au moment de soider la dépense, Josset dit a Lautridon : « Biea, raon vieux, tu peux payer, niaintenant. » Cornme bien on pense, Lautridon se fit an pea tirer l'oreille, mais enfin régia. Cependant, son attitude dépiut è Josset, qui pianta immédiatement son couteau dans l'épauie gaurhe de sou invité. Ce geste rap¬ porto six mois de prison 0 son auteur. Le Tribunal mflige k Josset une peine de 6 mois de prison qui lui permettra d'attendre avec certitude ['attribution du prix que lui vaudra son affaire saivante. Esa Cosss*«3'Aasïees Les assists de Ia Seine out condamné iuiuli : VictorCornec,de Qtiimperlé, coiffeur, a dtx ans da travanx lorcés ; Georges-Maria Légat,né au Havre,24 ans, chauffeur d'automobiie, a huit ans de tra»aux forces, et Au¬ gusts Debio.ode, né a Paris, imprimeur, k cinq ans de traraux lorcés. Tous trois effectuèrent nenf cambriolages, doat deux dans dts dépots d'une Sociétókitière. Lesassises de ia Cöte-d'Oront condamné è sopt ans de réelusion le nommé Eugèns Foissotte, 20 ans, forgeron, et a cinq ans de la même peine Alfred Diètre, 31 ans, journalier. En mars dernier, tous deux ont assas¬ sins et dévaiisé un septuagénaire. Salnt-Romain-de-Colbosc Etai Clolt.—Naissance. — Du 21 mai : Geneviève Le Itoussel, rue Félix-Faure. Décès.— Du 20 mai : Plccide Langlois, 63 ans, joumalier, hameau d'Enfcr. — Du 2- : Emile Dubnc, 73 ans, de la Ceilangue, rue Félix-Faure. — Du 22 : Alphonsine Simon,veuve Cailiieu,62 ans, renlière, route Nationale. Tancarvilie Violences.— La gendarmerie a regu une plsinte de M Gustave Renault, 40 ans, briqui 'ier a Tan¬ carvilie, centre lc nommé Joachim LidosaVidal, sujet espagnol, travaiilant a Tancsrvtile, qui. dans la soirée du )6 mai, iui a porté ua coup de clef au front, ayant formó plaie. Boibec Collisiontl'automobile el de cci/ure. — Lusdi, vers onze heures du matin, Mm- Hauchecornc, demeurant ASaint-Antoinela-Forêt, sortait avec sa voiture atielée d'une ponetto, de la cour de M. Paul Fieury, louageur, rue Thiers, qusnd, au mê¬ me instant, M.Lenourgeois, de Lillebonne, mon tail cetio rue dms son automobile, dans laquelie se trouvait également sa femrae. Une colii.don se produisit et la ponetto, atieintc a ia tö'.o par l'auto, s'abaUitsur Ia chaussée. M. Lebourgeois avait donnè un coup de volant pour éviter le chec, mais sa machine monta sur lo trottoir de gauche et la roue de derrière fut brisóe, Les voyageurs s'en tirèrent avec ia peur, mais Ia pjneüe éprotiva de légéres blessures. Saint -Mico'as-de-la-Tail Ie Blesséou traoail. — Mereredi soir, vers sept heures et demie, M.Charles Letercq. 47 ans, corbtilier, s'est coupé I'indexdroit en travaiilant. M. Ie docteur Léonard a donné ies soins au blessé, mais on craint que i'amputation soit né¬ cessaire. Fécamp Sauoetaged'un Enfant.— Vendredi dernier, un jeune enfant, Eugène Grieu,jouait avec un camarade sur ie gril de carènage, quand, en voulant monter dans un doris, 'il tomba a l'cau dans l'avant-port. Ii a été sauvé par M.Pierre Marcotte,charpenlier. UnnouoeauChalutler. — La mnison Prentout et G' vient de faire t'acquisition du chaiutier a vapeur Véous,d'Arcachon, qui, après cire passé a Nantes pour y être muni d'un gouvrrnail ai'avant, raliiera Fécamp et fera la pecho au hareng et en Islande. . — Hier matin, a 6 h. 3/i, un matelot de la gimlette Charlotte apergut enlre co navire et le Samt-Mielielun corps qui flottait A la surface du bassin üérigny. Aide de piusieurs personnes, il patvint a I'amarrer a un pb u du quai Sadi-Garnol. On reconnut alors qu'on était on presence du corps de la maiheureuse fitlette, Henriette Lebas, dont noas avons signató ta disparition sUrvenue il y a une douzaine de jours. Le corps l'ut recouvert de pailte, pour Ie soustraire a la curiosiló pufdique et ia police fut prévenue. Que'quos instants après, !e brigadier Coliiaux viat et ordoana le transport du corps a la Morgue. Cost la que les parents viarent recoanailre le corps. Grsos accident.—Hier matia, Ie r.oramé Charles Ch-irboonier, 17ans, qui exerce habiiueiiement ia profession de couvreur, mats qui est aclueüemeot en chómage, s'était embauché a bord du s'eainer alletuand Jokannès^Russ,pour faire la déchargem«nt des bois de ia maison Gom-tantin f.-éres. A onze heur. s, ii était occupé sur le pont A chsiner des madriers, lorsque la chaine se remnit ; Charboanter reent une énorme .poutre sur la main gauche, qui fut êcrasée Le docteur Klein qui iui a donaé des soins, croit que ('amputation est inevitable.'II a fixé ie repos que le blessé davra garder a quatre semaiaes. Rouen ConcoursUationn!e! Internationalde Tin. — liter nidtin, au Stand des Bruyeres, s'est ouvert ie 41sConcours national et international de tir. Ii y a i07 cibles et pour assurer ie service, 330 soldats oat été mis a la disposition des organisateurs Ce concours sera honoré do la visite de M. le président de ia ftépublique el de'il. le ministro de ia guerre. couchó et MmeBoisgoutier avait conflrmé leurdire. Convaincus de mensonge, les trois coupables n'out pas tardé è enirer dans la voie des aveux: Les deux seuls points a élucider sont les suivants. Férandier et Noyon se rejettent tous deux la res ponsabilité. En outre, lequel des deux êtait habiiló en femme et qui a prêié les vêtt ments ? Co sont, d'aiileurs, des points que Tixslruction éiucidera rapidement. La vetive Boisgoutier, Féraudier. Noyon ei Carci ont été écroués a la prison Bouse-Nouvefie. lis seront, dans quelques jours, interrogés a nou¬ veau en préser.ce d'un avocat. La rapidité avec laquelje ces arre»talions ont été opérées fait le plus grand honneur a M. le juge d'in-lruction Chalvon-Demeisay. Quant a Ia vietime, qui est a THospiceGéoéral, son état est trés grave et les médtcins redouleut une fracture du erdne. Tribune des Syndictti Synd-cat tgéaéral du Personnel gaziep du filavce. — Reunion générale demain jeudi, a 6 h i/2 du soir, su siege social, 8, rue Jean-Bart. Ordre du jour : Procés-verbal, corrcspondance, rapport sur ia reunion des cclionnaires de ia clinique, situatioa fmancière, importantes questions diverses. §mnmumcaüom $ivmes Assistance aux Families nombrenses. — M. le «laire da ia Vilie su Havre, officier de la Légion d'Hoaneur, a l'honceur de préver,ir ses «dmiiii-strésque, par appiieation des dispositions de Taiilteie4 de ia 'loi du ii juil et i«13, il a déposó au Secretariat du Bureau de Bienf isance, 69, rue ae lij.M.iiiier»ye,!a liste trimeslrielle d'assislance aux families nombreuses, arrêteo par le Conseil municipal, dans sa séance du 13mai. A partir d'aujourd'hui et pendant un déisi de ïO jours, ies postulants don'tla demanie a été rejatéa ou les assistés qui ont été radiés, pourront présenter leur réclam-Miouaudit lieu ; tout habi¬ tant ou contribuable de la vilie peut aussi, dans le même déiai, réclamer l'tnscnption ou ia radia¬ tion des personnes qu'il considéroraiteomme osnises ou portées a tort sur ia liste. USE FöiS, PASSEENCORE, RUIS DEUX-. L'année dernière, ie vérificateur des poids et mssures qui s'était présenté chez les époux Laiaade, épiciers, rus de MontiviiJiers, avail constaté ia presence anormaie de pièces de 0 fr. 10 dans l'un des plateaux d'une balance. 1! n'avait pn verbaiiser, ce GravilEe-Sainfe-Honorine fait pouvant être aitribué au hasatd. Pour-la familiePimont. —P. ft., 2 fr. Ii revirrt a i'improviste le 2o mars dernier, au moment oü l'epicière, Mme Lalande, ef¬ Piston ooyageur.— Un pigeon voyageur s'est fectaait une pesée poar un achetear. Et, ahaitu hier matin, vers 9 heures, boulevard ayant souievé une ieuiile de papier qui se d'Harfieur. S«patte gauche était rnunie d'une batrouvait sur ie plateau opposó a celui qui gue en caoutchouc portant l'inscription H. 135. II a été déposó au commissariat de police. conlenait ies poids, ii apetgut deux pièces de 119 la vérité, Ia vcrité historique dc cetic grande époque oü se créa la nouvelle France, el qui me fait sourire de pitié quand je vois tant de jeunes gens qui en descen¬ dent et qui font les aristocrates aujour¬ d'hui!... Arislocrates, ces petits-fils de simples soldats, qui venaient justement de renverser l'arisiocratie !. . . J'étais done Grand RomanContemporain commc imprégné des pensees de mon aïeul, PAR lorsque je rédigeai cette composition, et ce n'est pas a moi, c'est a lui qu'on aurait dtï Pierre S.A_XjIEIS» donner le premier prix d'histoire ! — Tu ajoutes done une si charmante modestie a tout ce que j'aimais déja en toi, TROISIÈME PAR T IE mon Francis ? — Ce n'est pas être modeste que de constater un fait. Et dix fois, quand tu célé» Ainsi. . . pour en revenfr h ce petit dé¬ brais mon prix... mon unique prix... tail, é propos duquel nous bavardons d bfi- avec une admiration, qui, je t'assure, a ions rompus, j'ai toujours adoré l'histoire, biea queique chose dun peu ridicule, comtne touies les études de la langue fran- j'avais envie de te dire : mais tais-toi done, §aise ; ct si j'avais courageusement tra- maman. . . Seulement, tu ea étais si con¬ Vaillé comine rues eamarades, je t'aurais tente, de ce prix !. . . Ma parole, on aurait donné cette satisfaction de t'apporter cha- dit que ceia valait une grande bataillo ga.que année quelques prix. . . et ce n'est pas gttée par le maréchal dePonte-Novo ! au hasard que j'aurais dti ce prix d'histoire » Non, je ne suis pas modeste, puisque, dont tu es si fiére. malgré cette parfaite certitude que je ne » Si l'on plapa ma composition au-dessus suis hou è rien, que je scrais prodigieusede celle des autres, et si vraiment f ile eut rnent embarrassé si ou me langait dans queique chose de supérieur, e'est paice l'existence en me disant simplement • « Gaqtfun nous avail donné un sujet relatif aux gne ta vie ! » non, je ne suis pas modeste, querres du premier Empire el que, par suite puisque je ne sais pas me défendre de I'ord'une simple coincidence, j'avais, quelques gueil que j'éprouvc a descendre de ce grand jours auparavant, parcouru ces cahiers de homtne !. . . Muisje voudraisêtre vraiment memoires que nous possédons de mon il- digtte de lui. . . je voudrais mieux conlikisire aïeul. tiuer sa race. Je voudrais ne pas être. . . eu » II n'y avait pas de faits spéciaux dans queique sorte. .. je ne sais pas, fit-il, Ia ee hier. ii (tuit s'y trouver niêine quelques main crispée sur son front, par quel mot eiaeuis; mais jl v rèsrne aussi 1accent dc traduire cela !. . . Quand je songc, maman, que je suis Francais. . . que je le suis avec une ardeur, une passion qui ne se comparent qu'a mon amour pour toi, ct que, pourtant, aucune dés carrières dont j'aurais en¬ vie ne m'est ouverte !. . . » Gamin, je vouiais être soldat. Mon père me tit comprendre que, quand on poi'te mon nom, on ne peut pas ne pas être trés mal vu dans l'armée de la République. . . que mon avenir y serait trés lent, borné même... Je me suis engagé alors, pour avoir fait mon service le plus tót possible, me débarrasser de cette sorte de « corvée » . . . car j'ai eu cette idéé stupide, coinme la plupart des jeunes gens de uotre époque, et j'eii rougis aujourd'hui !... Passons. . . » J'aurais désiré/ensuite, entrer dans la diplomatie, puisque !e fils du maréchai de Pontc-Novo fut ambassadeur è Vienne. . . Ah !... c'est alors que papa m'éclata de rire au nez ! La République accepter au¬ jourd'hui, dans la carrière diplomatique, un jeune homme portant un nom aussi bonapartiste que le mien !. . . et j'y renongai encore. . . » Je dois avouer, dn reste, que je m'inelinais trés aisément... en paresseux . . . devant les raisonnements de papa. » La vie s'offrait si teniairice pour moi, les stier,ès étaient si faciles devant mon nom, devant ma frimousse, que tu ne m'as pas faite trop laide, devant ma bourse tou¬ jours si généreuseinent rempiie par toi !. . . Et voila bientót trois ans que, muni d'une intelligence qui n'est certainement pas in¬ férieure è celle des autres, d'une santé de fer, d'une volonté qui n'aurait peur de rieu. . . je n'ai pas d'autre occupation que... Feuilleton du PETIT HAVRE PETITE MM GHROIiaUI RÊüIGMALR Sanvic Unioneyeüsie Sanoioaiss.— Csiie Sociéié fera une sortie officielie tic deux jours, dimaucheet lundi de PentecötC',sur Trouviiie, Gabourg,Gourseulles, Gaenet Pont-l'Evèque. Le dépirt du Havre aura lieu a 7 h. ?0 du ma¬ tin, dimanche, par Treuvide. Les sociétaires et amis sont priés ae doanerleurs inscriptions avant vendredi u9 tnai, ciiez M. A. LeboucRcr,rua du Havre, 33,Sanvic. Coups.—M. Théodore Panchou, 3:é de 61 ans, jaurn/ilier, demeurxnt chez il. Parey, camionncur, 22,rue Gambettaa Sanvic, pnssait nn soir de la semainc passée dans la rue Gambetta, vers neuf heures. Ii fit la rencontre de son beau-fiis Augusta Ca¬ pon, ag'é de 20ans, couvreur, deinturant rue Michcl-Lecrcq, 13,lequel, sans mot dire, vint lui port, r un violent coup do poing. M. Panchou attribue cette agression a ia vengeance car ii est ccmellement en instance do divorce. Icterrogé par la gendarmerie. Capron a déclaré que ('allegation de son besu-pèro était fsusso car il n'etsit p is dehors a t'heure indiquèe. Le Tribunal appréciera. BIévi ile Volds Lapins. — A son réveil, samedi msiin, M.Philippe Kreff,agé de 39 an?, maraïciior a Biéville, au hameau du Bois, a constaté qu'on lui avait vole, pendant la nuit, quinza lapins qui étaient plaeés daus de petits clapicrs a proximitó de sa rnaison. Ce vol avait dü êire commis au moment oü l'orage faisait rage sur la region, ies voleurs ayant profile de l'atmosphère tourmentée pour couvrir ieur bruit. M. Kraft' estime son prejudice a 73 francs. La gendarmerie de Sanvic a ouvert une en¬ quête. ayeztoujoursoutreflacon §ülleim dês § sciétés je te demande pardon de {'expression, ma¬ man, car eile n'est pas jolie, mais il n'y en a pas d'autre... Depuis trois ans, je ne fats pas autre chose que cela... « la fête ! ». » Et, ma foi, je finis par en avoir bonte ! » Et demain, quand je lirai dans les journaux mondains le compte rendu de ta réception et que je boirai les éloges dont on nous couvrira sur la facon dont le jeune due de Foute Novo, ce jeune arbitre de l'élégance parisienne, aura conduit, recréé même, le cake-walk, avec ia déiicieuse Mademoiselle de Rysdale et toute sa jolie bande de jeunesses. . . il me semblera que je bois de la lie, maman 1 Car, ccrtuiuement, tu m'avais créé pour devenir autre chose que cela ! Comme il pronongait ces mots, il se'levait, instinctivement, dans un besoin d'action. Et sa mère, un peu bouleversée, lui prenait le bras et, d'un ton grave, murmurait : — Quel fils je me découvre t . . . Puis, hochatit lentement la tête ; — Ne l'imagine pas, pourtant, que j'en éprouve grande surprise ; car, si cette beure vient plus tót que je ne l'avais cspéré, je .savais bien que mon Francis était un homms dans la plus belle, dans la plus no¬ ble acception du mot 1 — Mais alors. . . mère, pourquoi ne nvavoir jamais rien dit de tout cela ? — Paree que j'altendais, petit, avec confiance. . . paree que j'avais la certitude que la vie de tous les gens qui t'eutourent ne te suflirait plus un jour. . . — Pourtant... pourtant, laissa écbapper Patronage Luiqu de G aville. — Jeudi réunioa chezM. Lucas, a 8 h. 1/2, pour tous les joueursde Football. Questions-diverses ; Paiement des coiis-'tons ; Deptrcement sur Fécamp dima.,cüe prochaiaPrix du voyage l fr. 60. «EAU CARRIES Trouvilte-sur-iVleP Quartier Wotrc-Damo. — (Fête dv,quartier et 14 JU'lt-i). — Les eommerjjanta et habitants du quartier Notre Darae sont Ktstamment priés d'assister a la reunion qui a-ira lieu mereredi 27 mai a 9 heures du soir au CaféMaiine, pltC ' do TArsenat 17,a Teffet de eommer un bureau char¬ gé dq ('organisation de Ia Fêta Nationale et de Ia foto foraine. Neuvlile-Champ-d'O'sel Les membres du Comiléde la fêie 1913su nom Unoieiilardassommi. —Un drarno épouvantabie desquets eet appel est formulé espèrent que tous s'est derotiiê dimanche soir a Neuvitie-Chausps- les comuieicams et habitants y répondront avec d'Oisel,une petite lccatilé située sur la route de empressemont. p„iis, a une quinzaine de kilometres de ftouen. — — mrntm Un vieiilar#, M.Férandicr, qui habile seul une petite ruaison isoiée avec sa bonne, MileAiphoa'ine Piire, a été, vers onze h utcsdu soir, assommö nar deux individus, dont Tun. sembie bien avoir revêtu des vêtoiuents de femme. Msis,grafsoc-ièté SSiatuoOeRe l'révoyauce des Em¬ co a la diligence de M.Chatvon-Deraersay, juge ployés de Commerce, au siège social, 8, rus d'iastfuction, les coupsbles sont crrêlés. Caiigay. — TClsphsnsu' 228. Circonstance particutiér*ment attristante. L'un des assassias est le peiit-iiis de la victime et II Mereredi 27 Avril, Réuason da Conseil d'Adsembie bien quo la mere de ce dernier ne soit pas minisiratiou. étrai gère nu crime. Cours Techniques Commerciaux Celta-ci, une veuvo Boi»gouiier,Sgée de 42 ans, tenait un débit rue Lemire, a Rouen. Ella avait, Cours du Mercrodl comtne g-rc.pn de cafe, son tils, un enfant natu¬ Ai,i.kmand (Prof.II. Fritz).—2»année, de8 h, i/2 rel, Raoul Feraudier, agé de 20 ans, et C'.mme &9h. i/2; 3»année, de 9 h. i/2 ü iOh. 1/2. peasionnaires, Fer-nandNoyon, 23 ans, couvreur, Commercial (Prot. M. Eude, Avocat), et llippoly-ie Garel, un chauffeur d'automobila i" Droit Année, de 8 h. t/2 a 9 h. i/2; 2* Annóo, de sans emp-oi, Sgé de 20 ans. t/2 a 10h. t/2 (tous les IS jourst. Ce qui a mis le parquet sur Ia trace drs coupa- 9 h. ConBESPONDANCE Commehciale(Prof. M.Fcroand blcs, c'vst la dècltretion spontanée d'un chauffeur LevilltuQ).— Uüa ff. t/s a 9 h. 1/2. d'auto, M.CsldelibvS, qui est venu declarer qu«, dimanche soir, il avait conduit trois clients a ia LaSociétóse charge de procurer AMM.les NêgoNe viile, qu'il s'était arrêté a l'entrée du village, giants, Banquterset Courtiers, les employésdivers et qu'un de ses clients êtait res'é a ses cótés pen¬ dont ils auraient hesoin dans leurs bureaux. dant que les deux autres s'éloignaient.a pied Une Lo chef du service so tient tous les jours, Ala heure après, tous étaient de retour et revenaient Bourse, de midi a midi et demi. a la disposition a Rouen. des sociétaires saus emploi. M.Chalvon Demersay, qui, lundi matin, s'était rendu sur place, apprit de ia bonne de ia vietime Association des Anciens Elèvesdel'EcoIs les circonstances du drame. Etle dormait torsqu'elle fut révetliée par dos cris de son patron. supérieure <!e Commerce. — Servicede Pla¬ cement.— M Gustave Alexandre, secrétaire, et M. Ella accoufut, vit un homine et une femmevoilce qui Ie frappaient sur la tête avec une bague a GeorgesMundierFils, trésorier del'Association, se fagot. Elle-méme fut frappée ct laissée inaoimée tiennent en Bourse a ia dispositiondes eamarades sur le sol. Le juge d'inslruction constats qu'une qui sont a la recherche de forces Hs piendronl somtne de 700 francs environ avait été vome et, nole de leurs demandes et leur fourniroat les indi¬ d'aulre part, il retjut de gravs dóciarations de la cations nécessaires. d meslique affirmant que la femme qu'elie avait vue et qui l'avait frappée était la fille de M.FöBédaraJioiis de Sociétés. — Parmi les de¬ raudier. claration-.dissociations parues au Journal O/ftciel L'affairaétait mystérleuse. M. Laurnol, chef de d'hier, nous relevons los sutvanles : la Sffretérouennai5C,fut mandé. Oa dêeida tout 1« mai 1914.—Comitéde propaganda des Fêtes d'ahord de surveitler ta mai on de la title dc Ia vietime. Mme V e Brisgoutier, et hier matin, au du quartier Thiers —Objet : Elaboration et exépetit jour, ses habitants étaient arrê'és. Amenés eutiob de fêt-s dans le quartier. Siege : ch, z la au P rquet et confrontés avec M. Caldelibus, le président, 40, rue Thiers, ie Havre, (Seine-Iaféchauffeur, ce!ui-ci reconnut fort bien srs clients. rieure). 19mai 1914. — Etoile de Friieuse, A Graville C'était Caret qui était resté avec lui pendant que Féraudter ct Noyon allaient faire, disaient i!s, uae (Seine-Inférieure).Objet : Cycii-me et sports, Siègesocial : 28, rue de l'Abbaye. course. Or tous avaient prétendu n'avoir pas dé- ENCORE i. VQiSÏN! II y avait queique temps que i'on n'avait vu au banc des prévenus le sympathique M. Voisin, eet honorable ex-agent voyer qui s'est mis en têto de rcmplscer ia commune da Montiviihers dans la poursuite des con¬ traventions qo'd chaque pas ii croit découvrir. 11passait, il y a queique temps, devant la gare lorsque ses cheveux se hérissèrent sur sa lête. Et, iébrilement, sa main tendne désignait deux voitores en stationnement. — « Stationnement sur ia voie pubiiqne, con¬ travention ! » s'écm-t-ii, etaussitöt ilaccottrut vers le propriétaire des voitures, sön adversaire d'liier, d'aujourd'hni, de demain, M. Aubin père, icquel M. Aubin regut, pour avoir voulu protester, une maüresse volée de coups decanne. Cela suffisuitamplement üjustiiier l'intervenlion de M. Aubin ills et ia distribution de coups de poiag par laquéilo ii répocdit a l'irascibie agent voyer. Ceite histoire, classique a Montiviliiersoü elie se reproduit a époques régulières, a déja vaiu quelques condamnations ü M.Voisin. La dernière était avec sursis. Cette fois il n'y a plus rien k faire, Le tri¬ bunal en a assez. M. Voisin récolte quinze jours de prison. M. Aubin ills cinquante francs d'amende avecsursis. Détenseurs : MpJenneqoin pour Voisin ; MeGotypoar Aubiu. Enooyage,enexcursion GA.L-V^lIDOS Fêtedu Quartier Suint-Jean.— Le Comité de la fête du qiianier S«int-Je<n a décidé que ia fête Saint-Jean sernit fixée cette année au dimanche 21, sameili 27 et dimanche23juin. LeComité,p uir être agrétthle au commerce local en général, a résoiu de donner un peu d'exlension a ta fête et te programme en a été définitiveuteat arrêté de la fagon suivante : Dmanche21 juin. — Grande fête foraine, cour¬ ses et jcux divers, concert par ia musique, illumi¬ nations. bal 8 grand orchestre. ~ Smedi 27 jwn. — Grande retraite aux flam¬ beaux avec pièces d'arlifice sur le parcours de la retraite. Dimanche28 juin. — Grand cortèerede groupes et chars, tels aue char des flours, char dos marins, cher d'enfants costnmés, char du chanteur des rues, char de Ia chasse, oh»r «tela musique, char normaud, char du docteur Moroboianpouf,etc. Continuation do la fête foraine : iiluminalions générales, grand feu d'arbfice, bal a grand or¬ chestre, etc. Viilepvilie Mort sur la Plage. — Lo sieur AlfredDésiró Maitin,SS sas, douanier relraité, AVilterville.con* duisait sur la plage une voiture de moules, lors¬ qu'ii s'afïaissa brusquement. Le doeleur Roe-ser,appeté en hate, ne put aue conslatf-rie décès, qu'il attriaue a la rupture d'un anévrisme. AssociationSportive H ivaise — A 9 heures co soir cbez DOr, réumon du bureau. Les sociétaires en retard de leurs cotisationa sont priés d'y assister. Indispensable enÊiê: DSSS3PE LES üflALAïSES DÊSALTÈRE ENRÉCON FORTAMTf FAC1LITE LA DSGESTSON Cyciisnt» Chib Tourhte Hav-ais. — Le CffibTouriste Ilavrais organise pour ies fêtes de la Penffcóie, une excursion eycfisle sur ia Suisse Normande. Le départ aura li u dimanche31courant par le bateau de Trouviiie de 7 h. 20. D part de Trouviiie a 8 h. 3 , Viliers, Gibeurg, Pont-de-Ranville,Gaen (déjeuner), Thury-Harcourt,Clêcy,Gocdé-sur-Noireau (coucher). Le t«rjuin. départ de Condé-sur-NoireauA7 heu¬ res. Pont d Otiliy. Fa'aise, Crévecoeurtdéjeüaer). Retour a Trouviiie par Poat-i'Evéque. Retour «u Hsvre par le bateau do 6 h. 39.Le prix de I'excur¬ sion est fixóa io francs. La Sociétéaiiouadt 8 francs psr membrp, les sociétaires désirant partictper a c-fftesortie sont priés de se faire inscrire avant vendredi soir (der¬ nier déiai), au siège social, en versant au tréso¬ rier la somme de lo francs. Rendez-vousrfimarch matin a 6h, t/i au siège social. Prière d'etre exact. Union VèiocipédiqueSanvicaise,— Les sociétai¬ res prenant pan a ('excursion de Gisors t31mat et 1" juin) sont priés d'assister a la reunion de jeudi Dans nn pen d'eau fraïcbs. pr'oehain23courant, a 21 heures, au siège social, cafe Guiiii,131.rue de la Gavós-Verte. Les membres honoraires et smis désirant accompagner t« Sociétéa cette excursion, ou seulement aller jusqu'a Rouen, sont priés de se faire Société Havraise de Protection des Aitiluaux. — Extrait au procés-verbalde la reunion inscrire sans retard au magssin de Mmeveuvo Lecordieret ses liis, 168,rue de la Gavee-Verte, a niensuelie de mai 1914: 1»Fourrière municipale. —Remise des chions. Sanvic. Cfoture des inscriptions a ia reunion ennoncéo Tous ies jours : !e matin (dimanche excepté), de ci-dessus. ii ht;ures it tl h. 30. Le soir : du 1« février au 31 oclobre : dc S heu¬ La DénaissanceCycliste Hn.vraise. — Réunion res tt o it. 30 ; du i" novcmbre au 31 janvier : mereredi 27 mai ch<z Le Louvier, 13, rue de Tourde 4 h. 30a 8 heures. v.ille,a 8 heures précises du soir. Les dimanches et fèies : le malin ; de 10 heure3 0<dre du jour : Course de demi-fondsur 70kil. a it. h. 30. Nota • En I'absence du cnpieur, s'adresser au du diinanchu31 mai. bureau de M. Le Pollès, directeur de t'Usine d'icEtoilede Friieuse.—Demainjeudi, 28 mai 1914, Cinération. ï « On continued tirer sur les chats : Use en¬ réunioa a 8 h. 1/2, pour tous les membres da la Sociéié. quête est ouverle. Rut de la réunion : Paiement des cotisalions ; 3° Decisionde la Lol Grarnmont.—Dans la séan¬ ce de la Chambre des députés du »6 février 191 Questions diverses utgentes. Tous les jeunes gens désirant faire psrtie de fa M.Lucien Millevoyea pris la parole pour rsppeier que par voie d'un débat spécial, il avait introduit Société, sont priés dc s'adresser au siège social, 28, rue de l'Aubaye,a Graviile. s la tribune une question qui lui avait paru inté¬ ressante, c'était celie do Tadaptationde nos pro¬ grammes d'enseignement primaire a ce que nous pourrions appeler Tcducation morale integrale, y Tir l'Alerte. — Dimanche proehain, compris lV-nseignementde Ia bonté a l'égard do 3iSociitède courant, ds 8 h. alt h. 2u.aura lieu :yi Hoe, tous les faibles sans distinction... de tir aux gratides distances, qui M. Bienvenu-Martin,garde ces sceaux, ministre la 1™séance : de la justice-, declare qu'il n'a pas perdu de vue comprend te Tir sar cibles a 5 zones. Ia question qui a fait.Tobjet du projet de loi dont 2»Tir populaire sur s ihouettes. la Commissionde réforme judiciaire est actuelle3° Tirau revolver d'ordonnance. roent saisie.II estime toujours qu'il est nécessaire 4° Concoursgratuit réservé aux sociétaires. de compléter la Loi Grammont pour la rendre o»Tv d'études gratuit, réservé a tous les cons¬ plus (fficace. « Aussi, sjoute-t-il, suis-je d'accord ents e aux candtdatsdu B. A. M avec i'honorabie M.Millevoyeet je m'associo a lui 6»Concours réservé auxjeunes gens. pour demander que laChambresoit mise 1cplus lót 7° Concoursde déiégaüoas. possible en mestire de staffier sur ies conclusions du rapport de l'honorsbie M.Dreion ». r.asvM-'t'i-nnin Aurons-nous bientöt enfin cette revision-de la Loi Grammontdepuis si iongtemps promise t AnciensElèvesdé r Ecole Primaire Supérieure. — Un grotiue do sociétaires, sur le point de fon¬ Anciens Elèves do I'Ecole ruc de i'SMt- der une section de lawu-tennis, dósirerait trouver personnes (dames, jeunes filles et messieurs) siy servaïoire. — Les sociétaires désireux de pren¬ dre part a i'excursion de Rouen, qui aura lieu lo intéressant. Pour les adhósions, prière d'écrire ou de dimanche 7 juin, sont priés (ie se faire inscrire ie vendredi 29 u;ai, de «0 a 21 heures, et le dimaa- s'adresser a M. G D. Quoist, 1!, rue du Chillou. Unavis de convocation leur sera adressé ultécbe 31 mai, de fü a 12 heures, au siege social, rue rieuremep.t. da l'Observatoire. Terrain po>trtennis dans le 3' ou 4" canton ost Afinde fueititer Ia remise des billets a la gare, les sociétaires sont priés de remettre leurs cartes demandê en location. au permanent. Dimanche31 mat, pour Ie concours de la So¬ Jtércnauiiqne ciéié de tir 1'Alcrie, sont convaqués uu stand du VJ Salon de TAnronautiqaa Hoc : MM.Crochemore, Levasseur, Héranval, Duval, AndréCousin. Dans sa dernière séance, ia CommUsion exe¬ Au stsnd de TAmicale,entrainemen! en vue du cutive vient d'arrêter ies dales d'ouveriure et de concours de tir des Petites A. laïques, sont con- cloture de la 6° expositioninternationale de locov qués de tö a 12heures ; motion aérienne. Fusil Jouvet : M.\l.Euval, Héranval, Levasseur, Gettoexpofftion aura lieu cette année a Paris, Poisaant. au Grand Paiais des Champs Eiysées, du samedl Ctirabine(edulter) ; MMCrochemore, Lemercier, 21 novembre au dimanche 6 décembre 1914iaE. Loiseau, Fourichsrd. clus. Garabne (pupüies) ; MM.Bouchet, Bilioud,CaLa Commissionexecutive a, dsns cette memo gmoux, R. Mariin. séance, nommé eomjuissaire général M. André Granet, arebiteefe, <t Ta chargé de l'organisatioa « Modern-Style ».— La Sociétéa Ic plaisir compléte de ce proehain salon. d'iiiformer se amis qu'eile orgsnise pour le dimsDche7 juin une excursion a Touques: Avjoard'hui Mereredi 27 Mai, Courses a Départ par le bateau de 7 h. 2<),r. tour par celui de i9 h. 30. Le malin, visite do Deauville et Tou- Le Trembloy ques, a midi, déjeüaer au restaurant de la « Chaumiere Normande», et l'après-midi, visite trés intéressante des ruines do Sainl-Arnouit et du chdteau de Lass y iXVDsiècle), ou en cas de msude i'Estoiuac vais ffraps, G and bal. P,ix de i'excursion ; 1 francs, pourboire et Le fait que les maladies de l'estomac occssiontous frais compris. nent souvent des msux de lête est prouvè sans Lo nontbre des places étnnt iircité a 110,les l'ombre d'un doute par !a lettre suivante qu'écriamis et socilairos sont priés de retirer dés a pré- V8il!e 17mai 1913M Jean Duqueroy, menuisier si m leurs tickets aux endroits suivants : G. Lam¬ a Moniplaisir,commune de Vayr*-s(Haute-V^nne) : bert, 24,rue Jules -LeCesne ; caré Guslave, 23, « Je suis trés heureux, dit-it, de vous faire con rue Thiers ; Biulcy, si, rue Saint Roch. naitre que la Ti<ane Américaine des Shalu-rs a guéri mon fi!s d'une maladicd'estomac, accompaCercle d'Etudcs Mirsicales. — Ce soir, a gnéc de msux de tötc. II ne pouvail digérer le m indro aliment. Maisun seul ilrnon de la Tisano 20 h. 45 préetses, repetition générale. Américainedes Shakers Ta remis sur pieds MainDiscussionpour projet de sortie. tenant il marge et dort bien et a repris son tra¬ vail. Je vous suis trés reconnaissant de sa guériSociété de Tambours et Clairoas « Le son ». Réveil des Acacias ». — L'assemblée gene¬ ra e de la Sociétóaura lieu le vendredi 29 mat, a 9 heures du soir, a Tissue de la répétilion. Tous BULLETIN FINANCIER lts memb es sont priés u'öffe présents. Communicationimportante. Paris. 26 mai. Les dispositionsdu marché se sontsonsiblement améliorées ; un mouveme.it de reprise a eu lieu dans tous ies compartiments. La Rente franchise est plus ferme et regsgne 17 centimes a 83 22. Les fonds u'Etats étrangers sont également AtllilHipinc mieux tenus. L'Extérieureespagno'le se traite tl n A.C. — Afin que les membres de Ia section 88 4 . THaiiena 90 62,le Portugais a 63 30,le Turc d'fith'étisme du HAG puissent se pnérenter en a 8225 et le Serbe a Si 45. Les emprunts rusbonne forme au meeting du lundi de Pentwcöte,le ses s'inscrivent ; !e 3 0/0 1891a 73 63, lo 1865 Comitéa pris b s arrange nents nécessaire- pour a 7040,le 8 0/0 1900a «0140, lei t/2 1909 a 98. Nos Sociélés de crédit so montrent mieux disp. r.iietlre aux coureurs de s'entraïner le jeudi 23 courant, a partir d8 7 heures du matin au terrain posèes. La Banque de Paris est « 1,828, leGomptoir d'Escomple a 1,036, le CréditFoncier a 892, de Blévilie. Sont spéeialement convoqués : MM. Arnaud, lo Crédit Lyoanais È 1,698et la Société Générale Avril. Borthié, Beaufils,Bony. Borgnet, Brosciani, a 795. Le Nurd, a 1,703,est Ie soul chemin coté a Briiki, J.-L. Brtndeau,Carré. Gnamuoud,Deccopm m, Decotidas. En /ter, Favrei frères, Géroult, terme. Le Rio-Tintoest assez soutenu a 1,787. Girardet, Gruchy, Msvel,Nerbeuf,etc. Migraines provenant §ulletin des (Sports involontaircment Francis : mon pcre ?. . . Mais il s'arrêtait aussilöt. Aurait-il pu se permeltre la moindre cri¬ tique a l'égard de ce père si faible, si bon garcon et si fier de son héritier ! La duchesse ne répondit d'abord qu'en baissant son regard vers la terre : puis elle prononga, sa voix dëpassant a peine ses lèvres : — II s'est produit de tels changements en France, nton enfant, que eertaines gené,rations se sont trouvées soudain toutes désemparées. . . Etles appartenaient a un ordre d'idées si différent de celui qui surgissait tout a coup !. . . clles ne pouvaient y trouver leur place. . . et elles sont demeurées. . . eu queique sorte. . . figées dans les souvenirs de tradition si respectable, qu'on tie peut pas les blatner de ne pas avoir pris part a la nouvelle vie de leur pays — si ce n'est pour faire opposition è des idéés qu'eilcs croyaient mauvaises ; et comme cette opposition ne menait a rien, comme elle était certainement en contradiction avec les goüts du pays, combien d'hommes in¬ telligents, actifs, capables de rendre des services a leur pays... sont devenus des inutiles... des mondains. .. n'ayant plus queique influence que lorsqu'ii s'agit d'art, de gout, de modes. . . et encore !. . . Tu en éprouves de 1'bumiliation petit... est-ce bien de notre fautc ?. . . Tu as l'esprit trop juste, trop généreux, pour le croire. Ces géuérations ont été, en queique sorle, de transi¬ tion... Mais voici certainement venue l'époque oü de nouvelles généralions ne sauraient accepter de vivrv eomme. . . com¬ me des émigres k l'intéri» or de ieur pays t — G'est cela, rnarnaa. s'écris Fran«is, , c'est Fexpression que' je cherchais : nous avons Pair d'ètre des émigrés dans notro France !. . . Car elle est bien a nous enfin, autant qu'aux autres. . . — Mais elle est bien tout autant aux autres qu'aux families dirigeantes de jadis. .. Bref, la jeune sagesse a bien jugé, quand elle trouve qu'eile doive y prendre sa place. . . — N'est-ce pas, maman?. . . Alors*alors, tu approuves cela, que je ne eonsente pas a demeurer toute ma vie uu mondain, un inu¬ tile, un Monsieur qui crée des danses ou qui pilote des autos ?. . . ou qui met sa plus grande gloire a se promener dans les bou¬ doirs a la mode? — Et tu ne veux pas que je t'admire !. . . s'écria la duchesse se penchant si tendrement sur sou bras, qu'il se baissait et mettait un long baiser a son front. — Toi, au moius, reprenait-il, tu as ac¬ compli une besogne admirable, toute tavie, en faisant du bien 1. . . Les femmes, voüs n'ètes jamais exclues du dévouement au pays, puisque c'est vous qui accompiissez cette noble têche de la charité ! — C'est un bien élémentaire devoir, va, pour nous faire pardouner notre richesse, notre bonheur. . . et cela donue, du reste, de telles jouissances t — Le devoir accompli pour son pays doit en donner d'au moins aussi belles, maman 1 (A Le Petit Havre — Mercredi27 Mai 1914] 2 Ascenseurs desservent jios cinq Etages de rente Téléphone , Le Président et les Membresdu Syndicat du Camionnage du Havre prient les adherents de vouloir bien assister aux convoi, service et inhumation dc : Monsieur Charles STERNBERGER Secrétaire du Syndicat du Camionnage qui auront lieu Ie Mercredi s7 courant, a une heure et demiö du soir. On se réunira au domicile mortuaire, 38,rue de Fleurus. (8511) ECOLE PIGIER 7B - BOULEVARD d&Jl£ft£-(%£££l e J08SJ est aus ÊiÉtèAHT ETHeIUEUB HaüCHÉ fiüEfttSïöüïAfUJSMW - 75 LANGUES VIVANTES Conversation - Cours Commerclaux STÉSMOGRAPHIE A LA i¥ïACH!ftSE M Arcade DELAUNAÏ ; B. et ld"' Itfarcel CE LAUNAY et leur Oemolseilo : SI. e<F,!"" Fernand DELAUNAÏ; les families DACHEUX, GOOAfiD, THIÊRY, DELAUNAÏ et SAVALLE, prient les p>rsonnes qui, par erreur, n'auraient pas rrcu de lettre d'invitaiion, de vouloir bien les excuscr et assister aux convoi, service et inhumation de MadameArcade DELAUNAY NAVIGATION A VAPEUH Monsieur Raoul VASSE AncienBrasseur de Cidre décédé le 23 mai 1914,a I'ftgede 28ans, muni des sacrements de l'Eglise. Qui auront lieu le 27 courant, 4 3 h. 1/2 du soir, en l'église d'Harfleur, sa paroisse. On se réunira au domicile mortuaire, route de Montiviiliers,4-2,prés la route d'IIirBeur. tm Dies pa?it repsil süAisI Dela part de : Raoul VASSE, sa VfUVO ; Adriaans et-Na ul VASSE,ses enfants ; /il. et EB" Alli ed VASSE, ses pèro et mère; BB. Frangols FERNANP, son bcan-pére ; El. et M" Alfred VASSEet leurs Enfants ; M. e'. ld"' Eugène VASSEet leurs Enfants ; Fit, et tö"' Feor f es VASSE; BI. et Al" Seen VASSE et leur • Enfants; til. et M" Fraugois VASSE ; Ei. et M" Robert VASSE et leurs En¬ fants iW" • Jeanne et Albertlne ; MM. Albert et Andró VASSE,i-e* fréres et soeurs , EB.ldanus QUÊQ0N,son beau-frère, et st FUle; M"" Jeanne et Marie FERRAND, ses belles- seetirs; Les Families VASSE, MALANDAIN, AUBRY PHILIPART, FERRAND, CAILLEUX, TALBOT et AUBIN, ses oncles et tantes, cousins et cousines ; Farents et Amis. line sera pas envoyé de lettres d'invitation, le present avis en tenant lieu. Comptoirsde LAYETTES . ComitédoDéfensedesIntérétsgénérai.xdn2" Canton MM.les membres du Comitésont priös d'sssister.au x obsèqucs do leur regretté coilégue ï'our I on Monsieur Raoul VASSE Fiilettes en lainette, eoipiècement et po*gnets broderie acglaise rose, Corsages Le632 25 pour PiHettes en lainette rayée, garnis bandes rouges Ce jour 2 O SO par taille 4-0 Q/i/ioeoo verre cötelé, bouchon porceQlllieres Ïaine,garnlesdesel n Q/"4 « Cérêbos9. Exeeptionnel U Ou Les Marchandises vendues en réclame aux GALERIES du HAVRE peuvent être retenues dans nos succursales de fViontivilliers, Etretat, Cany, Saint-Valery, Yvetot, Dives-sur-fvler. Membredu bureau Ancien Entrepesitaire Brasseur de cidre, rus Saint-Jacques qui auront lieu eujourd'hui mercredi 27 cou¬ rant, a 3 h. 1/S du soir, a llaifleur. Prière de se réunir au domicile mortuaire, if, route de Montiviiliers(prés la voüte). LePrés-dent, arsève LECONTfi. df"« Leonttne OICHLENSEGER; M. Emtio OICHLENSEGERet ses Enfants ; BI et Bh" SENECAL, née OICHLENSEGER,et leurs Enfants : tl. et BI" Jules FIOELIN, née OICHLENSEGER , et leur Fille ; Bh" Gi:brie He OICHLENSEGER; Ft. et BI" Louis DICHLENSEGER; II et tl" LEVASSEUH, née LEGER; BB.Ferdinand LEGER ; Les Faml les OICHLENSEGER, LEGER, NIEL et les Amis, Remcrcient les personnes qui ont bien voulu assister aux convoi, service et inhuma¬ tion de Madameveuve Léon DI0SLEN3E5SE Née Elóonore-Sophie TÉLÉPHONE 1T.SO 8, Place Carnot, 8 - LE HAVRE - postale Demandez Vendredi.. LEGER Mercredi . . 27 Un horame ivre menait graad tapage, la unit dernière, dans une salie de bal de Monttnartre. Les danseurs, 6mpêcliés par Ini de se livrer ft leurs ébats favoris, prièront Dientöt te patron de l'expalser. Celui-ci chargea de Ö©soin le gardien de la paix Foin, qui était de service ft l'enlrée de l'etabiissemeut. Au premier mot que lui dit l'agent, l'indiVidu aêcocha a cel ii-ci un formidable swing et i'envoy a rouler a trois mètrés. Aussitöt, le eerde qui s'etail t'ormé autour de lui s'élargil. Oa venait de ifconnaitre, ft sa fa^on de « cogner », l'ancien champion de boxe Louis Grojsi . L'agent, pourtant, avait « encaissé » saus trop de domtmge. II fut vite debout, et eotnme Grossi regrettait déjft son geste irraisonné, il pul le conduire eans autre incident au commissariat du passage Tourlaque. • Bieyclettcs "Touriste" ICR'1 enttèrement équipéesd - Mercredi .. 27 8 45 — —I — — Spóolallté ETAT CIVIL Dü HAVRE Ou 86 mal. — SlaiioToTho BERNARD,rued'E'ré. 1st, 129; Berlbe VALOIS,rue d'Arcoie, 13; AIbérlinc SföRISSE,qïiai ffeSóUttiampton,t ; Andrée VIVIER,rue Henri IV, 38 ; Lucien LE BOL' HG, Impasse Baron, 4 ; Jean RIO, rue BèUot,20; JftC«ues DRASSE,rue Letuustro, 39, d< n*nll A L'ORPHELINE, 13 15, rue Thiers Denil complet en 12 beures Sur dcmuutc. ont, ^ersbsne inttió» on deoii porta ft tnoisir a domicile Madame Veuve Julian LE MEEREB Née Yvonne HUET TELEPHONE 17.26 A l'exuplion da arr éls ei-iet sous tndiquil Mai A91* , e>.a d'crrSt !' J ii Atr de 3 h. 23 ft 8 b,». te service des voyagears HAVRE (MarchéNotre-Daase)le 29 mal. Gears des Ligamee Pommes ds tarra : Nonvelles de Bretsgne.Jsa 109kit. 28 — 30 Oignons les Öbotles 2 30 3 »*•••,»>*••«>,, * 4 —- 3 s 2 o0 3 ROGEH, mardi 19 mai Marché Place de la Rougetnare Beurre le kilo 2 80 ft 3 Beurre extra de F.-les-Eaux.. » 3 to — OEufs le eest e 50 10 AUX BESYiAUX raa dd blosb, Quaiités Prix da kilog.. ADMINISTRATION DES M44VKK 10 a » » ft 15 It. »/» 9 ft. »/• li, 6. »/» 6 ft. 1/J 18 h. 1/S EUitE ••••• 6 a. i/% 18 fe.1/a VAUBAN 9 a. »/» 18 Is. »/» DOCK. 10 a. »/a 10 a, »/s Les pontsdonnant accés sur ï'avant-port,ouvrent sfénéraleEuostune heure et domie avant ie plein da u mer SERVICE au HAVREaROTOT 97 Arr. de 8 » 95 10 2.3 28 Arr.de 93»# ilt iin» 49 *« .V 9 35 a Hu. 83 30 Pas d'arrèt 31 0110 Pendant les heures d'arrët, est assurê par nne barque. otre OU Dn 37 Sla! 1»t4 — Veaus TELEPHONE »S Una Vendetta Le 28 mai 1913, uit inee cd e détrnisait une tannerie appartenant aux frères Menant, ft Avalion; on inculpa Camil'e Peréau, ancien ouvrier de i'usine, mais celui-ci fauto de preuves fut relaché après une longue détention. Jeudi dernier, les trères Menant, accorapagnés de plu'iears ouvriers, ajant appris ia présence de Perreau dans les environs, le recherchèrent en automobile, et, l'ayant rencontré sur la route de Lyon, Paul Menant lira sur lui deux coups de revolver qui le blessèrent. Perreau ne se plaignit pas et put se rendre ft pied 4 Brccy, oü il passa la nuitj le lendemaiu, les gendarmes i'arrêtèrent ft Saint-André pour v.igahond3ge, mais ils reroarquèrent ses blessures au maxitiaire su¬ périeur et au dos. Perreau refusa dTndlquer ia provenance de ses blessures et a été con¬ duit ft rhospice d'Avallon. Mulgré le rcfus du blessé de parler, l'enqtiête a permis d'arrèter quatre ouvriers qui se trouvaient dans l'aiuomobile d'cü i'on avait liré des coups de 1'eu ; ces ouvriers ont lait des aveux et ils out déuoncé Paul .Y,ehant, leur patron, comme étant l'aulettr des coups da revolver. Menant a été arrclö. NAISSANCE3 8 45 — — 9 30 Amenb Vendus briMir folds asoyen Bf.st IH" Alexandre LE FBERRER,néeGERMAIN; U. Jullen LE tlERRER : Les Families C0CHEUN, HENRY, CENOROT. LE tlERRER, CAOORET, LE BITOUX, CHAILLY, GERMAIN remsreient Ses personnes qui ont bien voulu ossister a.ux convoi, service et inhumation de voyage, LAMBLARDTE ANGOOLHMË CITABELLE Le st. fr. Caravelk, all de Pointe-4-Pitre au Havre, est arr. a Bordeauxle 2b mai 8 18 beures. Le st. fr. Sephora-Worms,all. du Havre a Bor¬ deaux, est parti de Kiest le 23 mat. Le st. fr. st-Mare, ven. de Barcelone, est arr. a Otie le 24 mai, Le si. fr. Si-Louisest parti d'Oranle 24mai ponr Rouen. PAQiJEBOTS A VAPEURDE LA BASSE-SEIPiE Lest. fr. Si-Michel,ven. d'Alger,est arr. 8Rouen le 24mai. Le st. fr. Listrac, ven. de Hambourg via Dunkerque, est arr. e Rouen le24mai Le st. fr. Venezuela,ven. de Colon,etc., est arr. a St-N-zairele 26 mai a 9 h. 30. Escales a Qulllebouf, Vieux-Port, Vitlequter Le st. ic.Amiral Chart,er, ail. de la Plata 8 Dunet Caadebeo kerque, est arr. a Dakar (et non a Dunkerque) le (L'embsrquemint et e détarquémect anx escales 2 >mai. s^nt 4 la charge vies Voyagenrs) Lest. fr. Saint-Thomas,ven. de Mostaganem, est arr. 8 ftuelva !e 24mai. Le st. fr. S int-Luc, ven. de Nantes, est arr. 8 Départs des Slots de Mai et .Tnia Lisbonne le 23 mat. Le st. fr Michel,all. de Bordeaux an Havre, est de neuEi* DW HAVRE arr. 8 La Pallice le 23 mai. Le st fr. lle-de-ia-fléunion, all. de la Róunion, etc.. 8 Barry et Havre est passé &Barry Island le Jeudl ..... 28 | 8 h 15 Vendredi.. 29 I 8 h. — Sum di ... 30 9 h. 30 Dimanche .34 { J h. 24 mai. Dimauche . 31 | 13 h 30 Luuul .... 1 | 7 b.— Le St f". Amiral Rigault-de-GerioulUy, all. de RESTAURANT ABORD Bunos-Ayies 8 Hull. Havre et Dunkerque, est arr. Londres le 2b mai. Postes des!ateaux IQuai Nulfe-D mt,prés laGrandea Le st. fr llochambeau est parti de New-Yorkle ioiMiie. 23 mai p. Havre. Se: Vice c mbinê 4 prtx réduits (alter et retour par Le st. fr. La-Touraine,ven. du Havre, est arr. a bateau et ciiemin de fer, 6oit a 1'.lier, soit au reiour Québecle 25mai au matin. Pour rensei n ments, s'adresser 4 l'Agence, id, Quai Le st. fr. Mironi est pnrii de la Pointe-A-Fitrele de I'll- (Telephone 4.18) 83mai p. Bordeauxet Havre. Le st. fr. Haiti, «11.d>-Haïti, etc. i Bordeauxet Havre, a élé signalé a Fayal ie 24 mai. Le st. fr. Formosa, all. de Matadi8 Bordeauxet Havre, est rep de Grand-B8ssamle 23 mai. Entre QUILLEBgUF «t PORT-JEROBtg Le st. fr. Af ique, all.du Havrea Matadi,est arr 8 Tabou le 25mai. SMIoIs de Mal Le st. fr. Suzanne-et-htarie, ven. de Bordeaux, Prent er départ de Ouiüebeuf 4 8 hen res do mat,Ia. est arr. a Anvers ie 2b mai, vlernter départ do Quiliebeuf è. 7 hsares du soir. Le si. fr Bordeaux,ven. du Havre, etc, est arr. >'refiler de Port-Jérome 8 8 h. 30 da matin; dernier ft Vera-Gruzle 24 mai. départ do Port-Jóréma 4 7 b. 30 da soir. 1Afottei. 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MULLER Bis et leurs Blies; *»• Lirta HULLEN ; ses c mains et eo»sines ; Les families STERNBERGER, LEBENE, KAESTNER, HEIM, LINONEH, THOSCHNE, WEISS, WA LINSXY, SCHALLEN. M. OUMESNILet le Personnel de ta Malson Ch. STERNBERGEN,et des Amis. II ne sera pas envoyé de lettres d'invitation, le présent avis en tenant lieu. ■■■MM1.1. IRonlivilliers et RoHevlIle GARES l.e Havre dé Graville-Ste-Honorlne. Harfledr itouelles (b) Deuii-Lieue (é' SsoKüvtUiers Epoaville Rulieviiic 0) Entrepreneur de Transports Secrétairedu Syndicat du Camionnage décédé Ie 24 mai 1914.a l age de 34ans. Qui auront iieu le mercredi 27 courant, ft une heure et demie du soir. On se réunira au domicilemortuaire, 38, rue de,Fieurus. L'Hommeest scmalableft un souf11•,sesjoar3sont commel'ombreqal paste A ohsz les ifar^jsaés (» Joxrhs-x »• ftlMMkèRM des 6a»s ft LE HAVRE ELBEUF CAEtM YVETOT LE CAPITAL, JciirnalHebdetcadairepin issanl!»bimsudie; donfclo «accés s'afflrmo tous les joa*3r pnblic chaquo semaine des Etudes Finsncières trés documentées sur les Questions d' Actuality Le No; 25 cent. — AbonnttlO fr. par an. AtaiGistratieH : 0.RUEKGKS1ÖHT, PAÏlft.nireciear: JulesPTRQUEL THEATÏiK-üiitU UB OMNIA Boolevftfé 4*) Stïsihourg ASM. #/=», Satrêe Mxtio6e > DIMAMCHBS et JBVDIS GAUES Oav Ouv Ouv 1.2.3 i.2.3 4.2.3 1.2.3 1.2.3 D F- i .2.3 !)F. t.lüBF. 1-2.3 4.3.3 D F Ouv. Ouv. Ouv. 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Ouvriers, quai d'Orléans, soul tfsn'èse, èpouse de Monsieur Défendeur dêfailiant faute par ouverts tous les jours, depuis Joseph-Aipbonse Pe/ronio, avec lui d'avoir eonsülué avoué. buit beures du malia . lequel ebe est domiciliée de II appert, d'oit, mais résidant de fait Oue le divorce a élé prononcé separémeut .4 Fécamp, rue A r— (Ventre les époux A: i-m- ndyquaise, u° 55, en vertu d'auioriMiousement, au profi de Mada¬ ö ï»AEïI.« sation judiciaire. me Arismetidy.aux torts et griefs Et Monsieur Joseph-Aiphonsc de son mari. i>E>»o.vio susDommó.ayant dePour «xtrait conforme déiivrö LOS. rue Saint-L.azure meuré fa Fecamp, puis a Grugny, par Boucbez, avoué. ayant ocet actuelleme i saas domicile ui cupe dans cette instance pour Ma tame Arismendy. residence connus. Havre, le vm.^cinq mai mil 11 appert : neuf cent quatoize. Qua lo divorce a élé prononcé (8090) P. BOUCBEZ. d'erilre lesdis époux, au profit do la femme et atix torts et griefs du S LOUERDESUTE mari avec tous efftls et suites de HAVRE droit. Inipriierit4njoirsilLe Ifrwrii Iiavre, Ie vingt-ciaq rn.'i mil 35, r>Fontenelie cinq pieces, eau, g»z, êb ctricité, ■contort moderne, situés 59, rtie neuf cent quatorze. josepb-Mor lent.— S'adresser chez Pour exlrail : V A dm n istra teur- Dèlégtiê-Gér a n t M. MAB1LLE, 5, place S -VincentO. RAKDOiJET. (9000) Sixné : LÉPANY. de-Paul. 26.2/ (SiöOz) Imprimerledn Journal LETHESBE DÉCES ftsi'MSBi BcuBOtRiques aanueipa-ji öntrouveLEPSïiT HAVEE 2laLIBRA1RIE IHTERHAT10HALE (MMleilB riinlTetiiiai) Bisns a Louer BEAUX APPARTEMENTS «• Cartes •• Connaissements »• J^egistres » Eciveioppes, de ïiaissafzse LETTRES iV » Cifsalaiires « Pemorandams de Detfcrss Grand GRAND PAVILION ae i2 a >5 pièc s. an oei tye ^oxitaiAello, « Dif-oehafes Catalogues Le Hod a un A!4J 14 UM i 1VÏ\Ï? 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