N°003 - Mai 2014 Botombuami Bulletin d’Informations de la SNV en République Démocratique du Congo - Botombuani, traduit du lingala : Développement, progrès ATELIER DE FORMATION DES 8 AGENTS DE LA SNV RDC EN ANDRAGOGIE, TECHNIQUE DE FORMATION ET AU PROCESSUS « PAS A PAS » DU PROGRAMME VILLAGE ASSAINI PHASE 2 I l s’est tenu du 28 avril au 13 mai 2014, à Kisantu, dans le Bas-Congo, un atelier de formation de 8 formateurs provinciaux du secteur Wash sur le Module « Pas à Pas » du Programme Village Assaini du Ministère de la Santé, avec l’appui technique et financier de l’UNICEF. L’objectif général de cette formation visait à renforcer les capacités des formateurs provinciaux en andragogie et au processus Pas à Pas du Programme VA Phase 2 pour qu’ils soient capables de former les équipes de soutien des zones de santé des provinces de Bandundu, Bas Congo, Equateur et Kinshasa. Il y a lieu de signaler que ces équipes de soutien des zones de santé sont composées du Superviseur Eau, Hygiène et Assainissement, de l’Animateur Communautaire et Infirmiers Au cours d’une pause pendant la formation Titulaires des aires de santé concernées par le programme VA, et des experts des ONG locales de mise en œuvre). La facilitation de la formation des formateurs provinciaux de la SNV a été assurée par le Maitre formateur de l’ENFEA « Equipe Nationale des Le module de formation contient les éléments ci-après : la décision communautaire, Formateurs en Eau, Hygiène et Assainissement l’engagement mutuel des communautés, les évaluations initiales, l’analyse participative, » et les formateurs nationaux de la SNV, sous la la gouvernance locale, la planification communautaire, l’action à base communautaire, coordination du Directeur de la D9 qui assure l’évaluation post action, la certification, et enfin, la post-certification des villages. aussi la Coordination Nationale du Programme Village Assaini. En effet, le programme Village Assaini est un projet du gouvernement congolais qui a pour objectif l’amélioration des conditions d’hygiène, d’assainissement et l’amélioration A l’issu de leur formation à Kisantu, les formateurs de l’accès à l’eau potable à la population des villages en RDC. Le gouvernement y est provinciaux de la SNV-RDC ont témoigné du représenté par la 9ème Direction, dite la D9 du Ministère National de la santé. relèvement de leur niveau dans le domaine du WASH et en andragogie. Ils sont maintenant très Cependant, l’UNICEF, en tant que partenaire technique et financier assure la maître outillés comme ils l’ont reconnu et ont promis d’ouvrage déléguée pour et au nom du gouvernement de la RDC et les bailleurs des du succès dans leurs prestations partout où ils fonds. seront affectés pour former et assurer le suivi et coaching des équipes de soutien de la zone ouest Et qu’en est-il alors de la SNV RDC ? de la RDC constituée des provinces du Bandundu, La SNV RDC est, dans ce programme, un partenaire technique de mise en œuvre en du Bas-Congo, de l’Equateur et de Kinshasa. charge de la formation des équipes de soutien des zones de santé. TITRES Profils Peter Okioni Responsable Bureau SNV Bukavu Il travaille comme Gestionnaire du Bureau de Bukavu et principalement comme Conseiller en Développement local dans un projet consistant à financer les communautés organisées en coopérative autour des zones communautaires dans des paysages de conservation pour qu’elles développent des activités socio-économiques pouvant réduire la pression sur les écosystèmes. Il a rejoint la SNV depuis octobre 2012. Peter Okioni compte dans son parcours 12 années d’expérience professionnelle au sein des institutions, aussi bien nationales qu’internationales du domaine de l’environnement et de Développement. Il a également travaillé tour à tour au sein des organisations comme WWF, Gilman Internationale Conservation, et Oxfam. SNV Kinshasa : Bureau National : Av. Col. Mondjiba n°1527 C/Ngaliema, Kinshasa, +243 999305380 EAU-HYGIENE-ASSAINISSEMENT 8 AGENTS DE LA SNV RDC EN ANDRAGOGIE, TECHNIQUE DE FORMATION ET AU PROCESSUS « PAS A PAS » DU PROGRAMME VILLAGE ASSAINI PHASE 2 ENERGIE RENOUVELABLE RENCONTRE DES BENEFICIAIRES DU DON DES RESSOURCES DU FONDS FORESTIER DE BASSIN DU CONGO ET PARTENAIRES DU PROCESSUS REDD+ AGRICULTURE MBONGI - Facilité Locale pour le Renforcement des Capacités avec la SNV en RDC SNV Bas-Congo : Av. de la Tortue n°5, Q/Kinkanda, C/Matadi +243 992221209 - SNV Equateur : Av. Vangu n°14, Mbandaka +243 998262202/991145483 SNV Bozene : Av. Mama Yemo n°27 SNV Gemena : Av. Ireco n°3, Gemena-Centre - SNV Lisala : Av. Mobutu n°460, Cité de Lisala SNV Bukavu : Av. P.E. Lumumba n°211, C/Ibanda [email protected] http://www.snvworld.org RENCONTRE DES BENEFICIAIRES DU DON DES RESSOURCES DU FONDS FORESTIER DE BASSIN DU CONGO ET PARTENAIRES DU PROCESSUS REDD+ Initiative, ADAPEL, PwC, WWF-Luki, Botombuami Page 2 OCEAN, CNREDD, Conservation Internationale, ONFI, etc. Le Bassin Forestier du Congo ? Pour ceux qui l’ignoreraient, il s’agit du deuxième massif forestier tropical après la forêt amazonienne. Elle couvre une superficie de deux millions de km² et s’étend sur 6 pays : Cameroun, République Centrafricaine, CongoBrazzaville, Congo-Kinshasa, Gabon et Guinée équatoriale. Ces institutions-bénéficiaires militent pour que les forets du bassin du Congo ne subissent pas la surexploitation et la dégradation, qui ont pour finalité la diminution de la biodiversité, le réchauffement climatique, et même plusieurs autres pertes d’ordre économique. Par ailleurs, remarquez qu’en 1988, l’ONU avait déjà créé le Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), avec mission d’élaborer une synthèse des études scientifiques sur l’environnement, disons, le climat. Plus de 2.500 scientifiques de 130 pays étaient participants. Ils y ont confirmé la situation du réchauffement climatique et une de ses causes, l’augmentation des gaz à effet de serre. Ce mercredi 14 mai 2014, à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, dans la salle polyvalente du Centre Béthanie au Sacré Cœur, dans la commune de la Gombe, un atelier a mis ensemble, pour la première fois, grâce à l’appui de la SNV, Organisation Néerlandaise de Développement, les bénéficiaires du don des ressources de bassin du Congo. D’emblée, deux questions, me semble-t-il, devront préoccuper tout lecteur de cet article, à savoir : * Devant tous ces termes qui introduisent l’article, que faudra-t-il comprendre ou retenir ? * En plus, de quoi a-t-il été question dans cette rencontre, ou encore, qu’est-ce qu’on peut retenir de cette réunion ? Aussi est-il convenable, éclairer l’opinion sur ces éventuelles interrogations s’avère nécessaire. Comprendre ce que sont le Fonds Forestier de Bassin du Congo et aussi l’importance des Forêts dans le contexte actuel face au réchauffement climatique devant l’émission et la réduction des gaz à effet de serre, le processus REDD+, etc. Enfin, un bref résumé sur les échanges au cours de cette rencontre clôturera cet article. Des bénéficiaires du FFBC et participants de la rencontre… Sur la liste des participants figurent la SNV (AGF), l’organisatrice de la rencontre, l’UC-PFCN, BIOCHAR FUND, Bonobo Conservation Initiative, ADAPEL, PwC, WWF-Luki, OCEAN, CNREDD, Conservation Sans les forêts… Sans les forêts, il fera un peu plus chaud partout ! La disparition des forêts entraîne des bouleversements en chaîne, comme par exemple, une élévation du niveau de la mer, avec le réchauffement des océans, et face à l’eau issue de la fonte des glaces continentales provoquant une amplification des phénomènes météorologiques extrêmes, avec tempêtes, ouragans, cyclones, inondations, canicules, sécheresses… Faudra-t-il encore ajouter des bouleversements des conditions de vie, voire, des populations chassées de leur pays par la montée des eaux, les famines ou les tempêtes. Cette fois-là, on parle de réfugiés climatiques. Bref, un chamboulement écologique pour des plantes sauvages et des animaux à cause des conditions climatiques étranges. Une Afrique centrale sans forêts, par exemple ! Le danger de déforestation et de dégradation des forets qui nous guète est énorme… Parce qu’en fait, 13 millions d’hectares de forêts disparaissent, chaque année, de la surface de la terre. Et, même ici en Afrique centrale, les forêts subissent une pression de plus en plus grande, vu que chaque jour, notre utilisation de bois augmente, pour nous chauffer, construire, décorer, mais aussi pour fabriquer du papier, du carton, et autres produits. Pourtant, utiliser les arbres d’une forêt ne provoquera pas son déclin, si et seulement si cette utilisation est rationnelle, c’est-à-dire, aussi équilibrée et accompagnée d’un reboisement. Appel à la bonne conscience de tous… A titre de rappel et en appel à la bonne conscience de tous, les forets du Bassin du Congo, disparues, voici s’en suivront sécheresses, inondations, maladies, migrations, pénuries alimentaires, risques de conflit, disparitions d’espèces animales, diminution du rendement agricole, etc. Cependant, ces risques liés au changement climatique peuvent être réduits en limitant sa vitesse et son ampleur, dit-on. Quelques mesures préconisées sont, par exemple, l’installation de systèmes d’alerte, d’abris contre les cyclones et les inondations. Aussi, la protection des mangroves pour épargner les côtes, l’amélioration du stockage d’eau et des techniques d’irrigation, la création de nouvelles pratiques agricoles, sans oublier, de meilleurs programmes de Bulletin d’Informations de la SNV en République Démocratique du Congo - page 2 Bulletin d’Informations de la SNV en République Démocratique du Congo - page 3 de vaccination, et surtout, la création de zones protégées et l’identification de groupes vulnérables, etc. CBFF de l’anglais, et FFBC du français (Fonds Forestier de Bassin du Congo)… C’est un Plan d’Action, dit, Plan de Convergence pour, bien sûr, la sauvegarde des forêts du bassin du Congo. En effet, la BAD a répondu favorablement à la demande du Gouvernement Britannique et des pays d’Afrique Centrale sur la création et l’abri au sein de la Banque d’un « Fonds spécial pour les MBONGI/FLRC Pour la Facilité Locale pour le Renforcement des Capacités avec la SNV en RDC Une présentation de Jean Yakalu, Conseiller écosystèmes forestiers du Bassin du Congo » (FBC). Les attentes pour ce fonds ne sont autres : (i) développer les capacités humaines et institutionnelles dans les pays du Bassin du Congo pour leur permettre de gérer leurs forêts ; (ii) aider les communautés locales à avoir des conditions de vie qui soient en harmonie avec la préservation des forêts ; et enfin (iii) ralentir le rythme de déforestation grâce à de nouveaux mécanismes de financement et des modèles appropriés. DE QUOI A-T-IL QUESTION DANS CETTE RENCONTRE ? Par cette rencontre des bénéficiaires du don du CBFF, la SNV RDC, partenaire de la BAD dans ce programme CBFF, vise deux éléments : le partage des acquis des appuis de l’AGF, c’est-à-dire de la SNV, et aussi, les réflexions analytiques et prospectives. En plus, la SNV veut mieux cerner les leçons émergeantes des appuis techniques de l’AGF/SNV auprès des bénéficiaires. Elle voudrait établir une base pour des synergies techniques fonctionnelles parmi les bénéficiaires et d’autres acteurs. A la fin des échanges, les bénéficiaires ont loué cette initiative de l’Organisation Néerlandaise de Développement, souhaitant que des rencontres de ce genre soient multipliées et régulières, aussi entre eux, en vue de leur propre renforcement et aussi plus de perception dans leur mission qui est le ralentissement du rythme de la déforestation dans les forêts du bassin du Congo en dotant les populations et les institutions de capacités nécessaires pour la gestion de la foret et pour en vivre. Et, dans le cadre des échanges, WWF-Luki a déclaré qu’en fin du projet, il aura produit au moins 1.600.000 plants, mis en place et entretenu des boisements à la hauteur d’au moins 1.000 hectares de nouveaux boisements créés, au moins 5.000 hectares de savanes mises en défens, et protéger au moins des forêts naturelles à +/- 20.000 hectares, en réalisant au moins 432 patrouilles, etc. Aussi, faudra-t-il le dire, WWF-Luki appuiera et renforcera les capacités des autorités provinciales, des ONG locales, du CLP et des CLD, sur la gestion de la REDD+ par au moins 12 ateliers de formation ciblant au moins 650 paysans et 250 agents provinciaux formés. De l’autre côté, avec la RNSA, Réserve Naturelle du SANKURU, en partenariat avec l’Institut Congolais pour la Protection de la Nature, l’ONG congolaise de conservation ACOPRIK, BCI (Bonobo Conservation Initiative) a réussi la création de la réserve naturelle de Sankuru s’étendant sur une superficie de 30.570 Km² pour protéger son unique biodiversité, comprenant les espèces endémiques telles que le Bonobo, l’Okapi et le Paon Congolais ainsi que les différents bassins versants du fleuve Congo. Tandis que ECOKOMAKALA jusqu’au 31 mars 2014 a procédé au reboisement de 370 hectares et produit 287.277 plantules pour la mise en place de 200 hectares (sur 1.000 hectares prévus). Enfin, pour paraphraser Donald Kaberuka, Président de la BAD, dans l’un de ses discours : « Si nous parvenons à ralentir le rythme de la déforestation en Afrique centrale, les populations du bassin du Congo auront apporté à l’humanité une contribution de taille ». MBONGI/FLRC est une Association Sans But Lucratif (ASBL) de droit congolais, apolitique, travaillant en suppléance avec l’Etat, ayant une personnalité juridique et reconnue sous l’arrêté ministériel n° 326 / CAB / MIN / J&DH / 2013 du 29 octobre 2013. En effet, la SNV RDC, en conformité avec sa stratégie globale dans le monde, est en train de développer un nouveau canal de distribution de services, intitulé « Facilité Locale pour le Renforcement des Capacités » (FLRC) ou « Local Capacity Development Facility » (LCDF). Le» LCDF», bien accueillie par le Ministère de la planification et d’autres ministères comme un mécanisme précieux pour réduire le fossé entre secteur public, secteur privé et du secteur de la société civile en termes de renforcement des capacités, est destiné à être à la fois indépendant, et au même moment complémentaire aux services conseils classiques fournis par la SNV. De ce fait, le Bas-Congo a été choisi comme Province pilote avant d’être étendue à d’autres provinces en se concentrant au départ dans le secteur de l’agriculture. Sans être trop exhaustif, notez qu’après avoir largement sensibilisé et recueilli l’adhésion de plusieurs acteurs individuels et institutionnels de divers horizons, Botombuami n03 Nos Images (Suite MBONGI/FLRC) Nos GSO (comptables) en atelier à Bamako En plein atelier des bénéficiaires de la BAD pour le de CBFF Botombuami une assemblée constituante a été organisée à Boma en mars 2012 pour le démarrage effectif du LCDF dans le Bas-Congo sous le label d’une ASBL locale dénommée « MBONGI/FLRC». La vision de l’ONG, c’est-à-dire, de Mbongi/FLRC est d’encourager le développement durable en s’appuyant sur les potentialités et opportunités locales en vue d’un changement d’attitude et de comportement par une réflexion profonde, et prônant des valeurs comme : la dignité humaine, la sauvegarde de l’environnement, - le respect des rapports sociaux, la participation consciente des acteurs locaux, l’acceptation de la différence culturelle et éducationnelle, l’égalité entre les sexes, l’innovation, la valorisation des compétences, la loyauté, l’intégrité et la flexibilité. Cependant, son travail essentiel est la facilité locale pour le renforcement des capacités ou FLRC dans la gestion institutionnelle et dans la mobilisation des fonds, dans la formation, l’appui-conseil, la fourniture de petits matériels et aussi dans la facilitation des résumé, Mbongi fixe La SNV présente au 8ème Forum de l’Agriculture familiale... La SNV, en résumé La SNV, Organisation Néerlandaise de Développement, est une ONG Internationale, avec siège aux Pays-Bas. Elle travaille dans 38 Pays avec plus de 48 ans d’expérience dans le renforcement des capacités pour la réduction de la pauvreté. Elle intervient en RDC depuis 2006 à travers sept bureaux situés à Kinshasa, Matadi, Mbandaka, Gemena, Lisala, Bozene et Bukavu. Son travail consiste à renforcer (par l’appui conseil) les capacités des organisations et des institutions locales en vue d’améliorer leur performance dans leurs activités de réduction de la pauvreté. Actuellement, la SNV focalise ses appuis sur 3 secteurs: (1) l’Agriculture, (2) les Energies Renouvelables, et, (3) l’Eau, Hygiène et Assainissement (WASH). La décentralisation, la gouvernance, le genre et les préoccupations de changement climatique sont des aspects transversaux et intégrés dans notre stratégie d’intervention. La SNV est dédiée à une société dans laquelle tous les peuples, sans distinction de race, de classe ou de sexe, poursuivent leur propre développement, indépendamment de race, catégorie sociale ou genre. Dans la réduction de pauvreté et la protection des ressources naturelles renouvelables, la SNV apporte des actions SMART. Il s’agit ici de solutions de développement qui sont les plus appropriées aux différents contextes. Par ailleurs, les bénéficiaires des actions de la SNV deviennent plus capables d’intervenir dans la recherche des solutions à leur problème et par la suite plus aptes d’approprier le processus de leur propre développement. Bulletin d’Informations de la SNV en République Démocratique du Congo - n°3 - page 4 son regard sur l’accompagnement des acteurs du secteur agricole et rural du Bas-Congo dans la recherche des solutions pour l’amélioration de la sécurité alimentaire et l’augmentation du revenu, qui est, par conséquent, une amélioration durable de leurs conditions de vie. Dans son fonctionnement, Mbongi travaille à son sein avec 4 courtiers ont les tâches sont la sensibilisation et l’accompagnement des OP dans la formulation et introduction des demandes de financement auprès de Mbongi et aussi la facilitation des rencontres entre producteurs agricoles pour échanges d’expériences, et enfin, l’amélioration du marché des services de la chaîne de valeur du secteur agricole des filières agricoles, de la production à la vente. Mbongi aujourd’hui, c’est un beau cadre de travail à Matadi, une effectivité et une évolution des activités sur terrain, une foire agricole, des campagnes de sensibilisation. D’ailleurs, en 2013, de deux campagnes menées dans 4 territoires du BasCongo, à savoir Madimba, Moanda, Songololo et Tshela, voici que dans l’ensemble 699 OP ont été sensibilisées, 777 villages atteints, 1.614 personnes sensibilisées et 397 projets reçus. Pout tout contact avec Mbongi/FLRC : +243823273312-975511193 Email : [email protected]. Site web : www.mbongiflrc.cd.
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