Le Messager N°397 - République Togolaise

Installation des Points Focaux du
Conseil National des Patrons de Presse
du Togo
LA RÉGION CENTRALE VIENT D’ETRE
DOTÉE D’UNE REPRÉSENTATION
DÉCENTRALISÉE DU CONAAP
P. 7
Phénomène d’inondation au Togo
LE GOUVERNEMENT PREND LE
TAUREAU PAR LES CORNESP. 4
LE MESSAGER
Remise du matériel
N° 397 du 11 juin 2014 / Prix: 250 Fcfa
Récépissé N° 259/21/04/HAAC
Maison de la presse, casier N° 61
Directeur de Publication
Tchaboré Bouraïma
Hebdomadaire Togolais d’Informations Générales et de Publicités
Contact: 90 04 71 59
E-mail:
[email protected]
Imprimerie: Saint-Louis
Eglise du Christianisme Céleste du Togo
L’AFFRONTEMENT ENTRE LES P.3
PARTICIPANTS DE BELLOW ET LES
OCCUPANTS LÉGITIMES FAIT DES
BLESSÉS ET DES DÉGÂTS
MATÉRIELS IMPORTANTS
P. 3&5
Photo Louis Vincent
Face aux nouveaux défis
de l’heure
FAURE INITIE UNE
NOUVELLE ORGANISATION
MILITAIRE ET SÉCURITAIRE
AU TOGO
Faure Gnassingbé,
Président de la République (Photo archives)
LES FAT Y ADHÈRENT ET
S’ENGAGENT
Journée de l’arbre et anniversaire de Faure Gnassingbé
LA NJSPF MET DES PLANTS EN TERRE À BOLOU
MODJI POUR DIRE JOYEUX ANNIVERSAIRE AU
P. 2
PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
Noël Depouk’n mettant un plant en terre
P. 3
"ECHEC" DU DIALOGUE TOGOTÉLÉCOM 2
LA MAJORITÉ
SILENCIEUSE
POINTE UN DOIGT
ACCUSATEUR
SUR
L’OPPOSITION
P. 6
Agbéssi Koffi, Porte parole
de la Majorité Silencieuse
NATION
Journée de l’arbre et anniversaire de Faure Gnassingbé
LA NJSPF MET DES PLANTS EN TERRE À BOLOU
MODJI POUR DIRE JOYEUX ANNIVERSAIRE AU
PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
Le samedi, 7 juin 2014, le
bureau national
de la
Nouvelle Jeunesse pour le
S o u tie n a u P r é s id e n t
Faure(NJSPF) était à Tsévié
dans la préfecture du Zio
pour soutenir un projet de
reboisement de plants initié
par le bureau régional de
l’association. A travers ledit
projet, la NJSPF de la
région maritime veut
s’inscrire dans la politique
de reboisement voulue par
les autorités togolaises et
instaurée par Feu
Président Eyadema pour le
1er juin de chaque année.
Aussi, la NJSPF voudraitelle souhaiter un joyeux
anniversaire à Faure
Gnassingbé qui fêtait ses
48 ans le 6 juin 2014. Le
responsable régional de
l’association Agodé Kossi
Tomavo, s’est réjouit de la
promptitude avec laquelle,
le Président national
a
réagit lorsque que le projet
lui a été présenté. « Nous
devons jouer notre partition
pour soutenir le Chef de
l’Etat Faure Gnassingbé
dans sa politique
de
développement à tous le
niveaux. Et le geste de ce
matin fait parti des actions
parmi tant d’autres de la
NJSPF pour soutenir le chef
de l’Etat. Nous remercions
de ce fait le président
national de notre
association pour avoir réagit
avec promptitude à notre
appel pour la réalisation de
ce projet », a-t-il laissé
entendre. Le maire de la
ville de Tsévie, Loglo Kossi
Bruno, a
dit
sa
satisfaction et sa joie du
geste de la NJSPF. « Le Chef
de l’Etat à penser dans le
sens positif pour ma ville en
nous construisant un
nouveau
marché d’une
valeur de 320 millions de
FCFA. Il est du devoir de
tout togolais de soutenir le
projet. L’acte que la nouvelle
Jeunesse pour le Soutien au
Président Faure est en train
de poser ce matin est une
bonne chose. Et je me
réjouis déjà que les arbres
sont plantés. Il reste à la
commune de baptiser cette
rue. Et je voudrais déjà dire
que le nom de baptême de
cette rue, c’est la rue NJSPF.
Je voudrais aussi profiter de
l’opportunité qui m’est
2
Les membres de la NJSPF à Bolou Modji
Les membres de la NJSPF devant leur plants
Le Maire Loglo Bruno arrosant un plant qu’il vient de planter
Le Responsable Régional de la NJSPF couvrant l’arbre planté
Un des membres du Bureau de la NJSPF
offerte
pour souhaiter
joyeux anniversaire à notre
jeune président. Et je me dis
toujours que,
en disant
joyeux anniversaire au
président de la République,
je le convie à lire le livre
d’Essaie au chapitre 43, les
versets 1 à 7. Le Seigneur
est avec lui. Et quand il
prendra le devant nous le
suivrons pour un Togo
meilleur. » a déclaré Loglo
Kossi Bruno.
Selon le
président national de la
NJSPF, Noel De Pouk’n,
présent sur les lieux, 3
raisons principales
motivent la démarche de
son association. La 1ère,
c’est de répondre à la
tradition du 1er juin qui a
été initiée par le père de la
nation qui veut que le 1er
juin de tous les ans,
chaque togolais plante un
arbre. Deuxièmement, c’est
de répondre tout suite à
l’appel du gouvernement,
parce que, estime Noel
Depouk’n, un tel appel doit
être entendu par tout jeune
soucieux de l’avenir du
Togo. En effet, le ministre
de l’Environnement lors de
son adresse à la population
à l’occasion de la journée de
la lutte contre le
déboisement, a lancé un
appel à la jeunesse afin
qu’elle
lutte contre ce
fléau, dans notre pays. Et
c’est pour dire au
gouvernement que son
appel n’est pas allé dans les
oreilles des sourds, que la
NJSPF a voulu faire le geste
de planter les arbres à
Bolou Modji sur la rue qui
Noël Depouk’n s’exprimant aux micros des journalistes
mène au nouveau marché. «
Le gouvernement togolais
peut donc compter sur une
jeunesse exploitable, une
jeunesse qui est
à son
écoute » a fait savoir Noel De
Pouk’n. La 3ème raison
pour le Président national
de la NJSPF,
c’est de
manifester l’anniversaire
du président Faure
Gnassingbé. «Nous voulons
planter ces arbres pour
célébrer l’anniversaire de
notre Président. Nous lui
dédions ce geste», a dit Noel
Depouk’n qui a fait savoir
que le geste sera répété
dans toutes les régions du
pays, à travers les
représentations régionales
de l’association. Il a profité
de l’occasion pour lancer
un appel à la jeunesse
togolaise afin qu’elle se
mobilise pour 2015 en
faveur du président Faure
Gnassingbé.
Le chef de l’Etat Faure
Gnassingbé est né selon les
informations, un 6 juin
1966.
Joyeux
anniversaire
Monsieur le Président.
Tchaboré
Le Messager
ACTUALITE
Face aux nouveaux défis de l’heure
FAURE INITIE UNE NOUVELLE ORGANISATION
MILITAIRE ET SÉCURITAIRE AU TOGO
LES FAT Y ADHÈRENT ET S’ENGAGENT
L’annonce a été faite le jeudi
dernier lors du grand rapport
annuel des Forces Armées
Togolaises(FAT)
qui s’est
tenu à Lomé. Presque tous
les grands officiers étaient
présents, auxquels se sont
joints les anciens grands
officiers en retraite.
Désormais, selon la nouvelle
organisation, le pays se
dotera de 2 régions militaires
et de 2 régions de
gendarmeries avec pour siège
Lomé et Kara. On comptera
également 5 secteurs
militaires dans chaque
région administrative,
notamment à Tsévié,
Atakpamé, Sokodé, Kara et
Dapaong. Une idée bien
accueillie par les FAT. Pour le
Chef d’Etat Major Général
des FAT, Félix Abalo Katanga
, c’est une organisation qui
permettra d’accroître
l’efficacité opérationnelle des
forces de défense et de
sécurité pour une meilleure
prise en compte des défis
sécu ritaires actu els et
prévisibles. « Nous prenons la
mesure des changements que
cela impose aussi bien sur le
plan des mentalités que sur
celui des comportements et
nous nous engageons à
relever avec discipline et
professionnalisme les défis
qui s’associent » , a laissé
entendre Félix Katanga qui a
rassuré le Chef de l’Etat ,
Chef suprême des armées de
l’engagement des FAT à
Photo de famille
l’accompagner dans sa
politique de réconciliation du
peuple togolais.
« L’organisation actuelle de
notre système de défense et
de sécurité a répondu en effet
et répond encore dans une
grande mesure à l’évaluation
des menaces existantes, ce
qui nous permet d’y faire face.
Mais chers officiers, convenez
avec moi, autour de nous le
monde bouge et cela de plus
en plus vite. Le climat
sécuritaire de notre sousrégion est en proie à
l’instabilité récurrente dans
certains pays, à l’essor de la
piraterie maritime, à la
montée en puissance du
terrorisme et à l’émergence de
trafics criminels divers », a
déclaré Faure Gnassingbé
dans son allocution. Il a
poursuivi en faisant
remarquer qu’ailleurs sur le
continent, de nouveaux
déchaînements de violence
ici et là s’ajoutent aux foyers
de tensions anciens pour
miner la stabilité des régions
entières et favoriser la
création de sanctuaires pour
les réseaux terroristes et
criminels.
Pour Faure
Gnassingbé, le nouveau
système qui va être
rapidement mis en
place
répond à trois impératifs
principaux.
Garantir la
souveraineté et la défense du
Togo et de ses intérêts vitaux
et préserver ses populations
contre toute attaque
extérieure ou toute agression
intérieure, assurer la
meilleure cohérence possible
et la redondance dans le
recueil et l’exploitation des
renseignements mais aussi
dans l’engagement des forces
au niveau national et
international, gérer au plus
près la ressource humaine
dans le domaine du
recrutement et de la
formation pour répondre aux
retraites technologiques des
matériels modernes et aux
standards requis par les
échanges et les engagements
internationaux. Voilà, les 3
défis que les forces de
défenses togolaises devraient
relever.
Depuis quelques temps, les
réseaux criminels opèrent
violemment dans la sous
région, en Afrique et dans le
monde. Des bandes
organisées détruisent les vies
humaines pour atteindre
leur sale besogne. Une
véritable terreur qui se met
en place et qui nécessite une
réponse stratégique et
efficace. Et le seul moyen d’y
parvenir est l’adaptation des
moyens de défenses à un
système qui répond le mieux.
Faure Gnassingbé a donc vu
juste. Car, comme le disait
un grand homme d’Etat « il
vaut mieux
devancer les
événements que de laisser les
événements nous rattraper et
nous dépasser parfois,
puisque, si on sait quand et
comment ça commence, on ne
sait quand et comment ça
fini». Et donc, c’est à juste
titre que les FAT adhèrent
pleinement à l’initiative.
Depuis 2005, les unités des
forces armées togolaises sont
dans des missions de
maintien de la paix et de lutte
contre les envahissements
des pays. Ce qui met le pays
sur le banc des groupes
terroristes qui voudraient
voir le monde croiser les bras
et les laisser faire. Il faut donc
se préparer pour éviter des
surprises dévastatrices.
Une telle initiative devrait
nécessiter également
l’adhésion des populations à
tous les niveaux sans
distinction.
Partis
politiques, société civile,
commerçantes et
commerçants etc… Car, s’il
peut arriver qu’on puisse
avoir des désaccords
sur
certains aspects de la vie
dans le pays,
il serait
absurde qu’on ne puisse pas
s’accorder sur la sécurité
des populations dont nousmêmes faisons parti.
Tchaboré
Eglise du Christianisme Céleste du Togo
L’AFFRONTEMENT ENTRE LES PARTICIPANTS DE
BELLOW ET LES OCCUPANTS LÉGITIMES FAIT DES
BLESSÉS ET DES DÉGÂTS MATÉRIELS IMPORTANTS
Le dimanche 8 juin 2014 des
affrontements ont été enregistrés
entre deux groupes différents de
fidèles de l’Eglise du Christianisme
Céleste dans le quartier
Hédzranawoé. 2 blessés, porte
saccagée, dégâts matériels
importants, tels est le bilan.
Selon les informations recueillies
sur place, tout a commencé avec
l’entêtement de Bellow Adétola, de
célébrer la messe de pentecôte sur
le site de l’Eglise sis à Hédzranawoé.
Et pourtant, un tel rassemblement
avait été interdit par l’autorité
3
compétente.
Pourquoi, Bellow
s’est-il entêté de vouloir célébrer
coûte que coute la messe alors qu’il
lui était interdit ? A cette question,
Charles KPADE, Secrétaire
du
Comité Directeur National et
responsable et responsable de
l’Eglise ne va pas par quatre
chemins pour pointer du doigt,
l’actuel directeur de cabinet du
ministère de l’Administration
Territoriale,
Têko Méwonawovo.
Pour lui, c’est de connivence avec
lui que Bellow envisage tout pour
déstabiliser l’Eglise. Or la
La toiture de l’église saccagé
correspondance du Ministre de
l’Administration daté du 16 octobre
2012 a été claire. « En raison de la
dualité qui prévaut au niveau des
instances dirigeantes du groupe
II de l’Eglise du Christianisme
Céleste du Togo(ECCT) et dans le
souci d’éviter que cette situation
ne dégénère en affrontements ou
violences, je vous exhorte à
prendre les dispositions qui
s’imposent en vue de faire sursoir
sans délai, à toutes activités au
siège de l’Eglise à Hédwranawoé »,
a déclaré le ministre dans sa
correspondance adressé à Charle
Kpadé. Ce dernier dit s’être soumis,
car selon lui, dans leur dogme, il est
dit qu’il faut respecter l’autorité de
l’Etat.
(Suite à la page 5)
Le Messager
ACTUALITE
Phénomène d’inondation au Togo
LE GOUVERNEMENT PREND LE TAUREAU PAR LES
CORNES
Ces dernières années la
capitale Lomé a connu de
grandes et graves
inondations obligeant les
gouvernants à réfléchir pour
redéfinir des stratégies qui
permettront de les contenir et
de les éviter. A ce propos
l’Etat togolais, conscient du
danger du phénomène, s’est
résolu à mettre les bouchers
doubles à travers les efforts
dans la mobilisation des
fonds et de construction
d’ouvrages. Ce qui a permis
de limiter le phénomène au
grand bonheur des
populations.
En effet, le plan directeur
d’assainissement (PDA) de la
ville de Lomé mis en place
depuis 1986 n’a pas permis
de résoudre totalement les
problèmes liés à l’inondation.
Car, la ville de Lomé a connu
un accroissement en matière
de population. Aussi, faut-il
le préciser, en fonction de sa
position en contrebas par
rapport à la basse et la haute
ville, le système lagunaire
qui avait été mis en place a
manqué longtemps
d’entretien courant. Il subit,
non seulement d’importants
apports telluriques, mais
aussi et surtout, des rejets
d’eaux usées, de matières
fécales et d’ordures
ménagères, accentuant son
envasement récurrent ces
derniers temps avec un degré
d’eutrophisation élevé. Tout
ceci occasionne des odeurs
nauséabondes pendant les
saisons sèches.
L’état actuel du grand canal
d’équilibre au niveau du
marché d’Ahanoukopé
indique le niveau
d’envasement alors que les
travaux de curage ne
remontent qu’en 2013.
Cet envasement induit
d’importants volumes d’eau à
évacuer vers la mer lors des
averses par les émissaires
existants qui se trouvent
aujourd’hui, sous
dimensionnés. Les exutoires
des émissaires gravitaires de
décharge du lac ouest se
retrouvent constamment
obstrués par du sable de mer
sous les effets des hautes
marées et des houles. Tout
ceci provoque des
débordements sur la lagune,
surtout dans les quartiers
riverains au sud du lac ouest
à Nyékonakpoè ces dernières
années. Ainsi, il a été décidé
de réactualiser le PDA pour
qu’il soit utile. Ce qui a
permis de faire
des
4
propositions d’aménagement
de 24 bassins de rétention
(BR) pour un volume total de
1,35 million de mètres cubes
d’eau à stocker, de
construction de canaux de
différents types, dont 30 km
de canaux primaires sous
formes de conduites de gros
diamètres, de dalots et de
caniveaux à ciel ouvert.
Le coût total des travaux
prévu par le PDA, estimé à
150 milliards de FCFA, est
échelonné sur 10 ans (20042015).
Faute de moyens financiers
liée à la longue crise socioéconomique qu’a connue le
pays, les travaux n’ont pas
été exécutés conformément
aux prévisions. D’où la
nécessité de réfléchir pour
trouver éventuellement
d’autres stratégies. Car,
avec l’exécution des grands
travaux de voiries urbaines
et d’aménagement de
certains bassins de rétention
(BR) munis de réseaux
gravitaires et de stations de
pompage, les apports en
débits instantanés seront
énormes et la capacité de
rétention (volume tampon)
du système lagunaire
se
retrouve
insuffisante pour
contenir les eaux pluviales.
Les actions menées ont été
subdivisées en opérations et
travaux urgents et en actions
à court et à moyen termes.
Concernant les opérations et
travaux urgents, en prévision
aux éventuelles inondations,
le ministère de l’Equipement
rural, après une tournée
d’évaluation de la situation a
relevé
l’existence
des
ouvrages construits mais
non opérationnels et
qui
doivent être rendus
impérativement fonctionnels
avant l’arrivée des grandes
pluies ; il a été également
question des ouvrages en
construction qui doivent être
suivis de façon minutieuse
avec des dispositifs de
secours pour évacuer les
trop-pleins éventuels.
En ce qui concerne les
travaux urgents, ils portent
sur la construction de
plusieurs bassins de
rétention
et
des
dépressions, auxquels
s’ajoutent les stations de
relevage et bien d’autres
ouvrages.
L’ensemble de ces travaux
urgents est estimé à cent
quatre-vingt-dix-neuf
millions cent quatre-vingt
cinq mille (199.185.000)
francs CFA. Ce sont de petits
travaux d’entretien et de
maintenance des ouvrages
d’assainissement.
Les actions à court et à
moyen termes concernent le
projet d’aménagement
urbain II du Togo (PAUT II)
en exécution qui permettra
d’ excaver et équiper le
quatrième lac d’une
superficie de 15 ha pour un
volume de rétention de
300.000 mètre cubes , de
construire un canal de
décharge de 4.500 mètres
linéaires , de Construire plus
de 60.000 mètres linéaires de
divers réseaux de drainage
dans les quartiers
Kanyikopé, Akodesséwa Est
(Kponou), Akodésséwa Ouest
(Kpota), Baguida, Adamavo,
Kagomé, Adakpamé.
En dehors de toutes ces
mesures urgentes ou à court
et à moyen termes, le
ministère de l’équipement
rural, en vue de résoudre les
problèmes d’assainissement
collectif des eaux pluviales,
projette de réactualiser le
p l a n
d i r e c t e u r
d’assainissement de Lomé,
élargi au « grand Lomé »,
c’est- à- dire, à tous les
huit(8) cantons de la
préfecture du Golfe. Cette
étude permettra de disposer
des dossiers techniques
chiffrés pour les zones
critiques du grand Lomé.
Il faut noter que la
construction du 4eme lac
dans la zone de kangnikopé
permettra d’éviter les
inondations dans les
quartiers comme ablogamé,
baguida, avepozo, bè kpota,
adakpamé, kagomè,
kangnikopé etc.., les études
sont déjà prêtes et plusieurs
bailleurs sont prêts à
a c c o m p a g n e r l e
gouvernement.
Vivement que ces projets
puissent être exécutés afin
que le reste de la population
de la ville de Lomé
connaissent le bonheur.
Mais déjà, il faut se réjouir et
s’en féliciter de ce qui a été
fait et de l’engagement du
gouvernement à tout faire
pour contenir le phénomène
pour le reste des quartiers.
La rédaction
Le Messager
NATION
Lu sur le net !
Le tabou de
l'éjaculation
prématurée
Un problème pour l'homme, la
partenaire et le couple
Le manque de contrôle de l'éjaculation peut entraîner une
perte de confiance pour l'homme, et une certaine
frustration chez sa partenaire. Selon l'enquête "Regards
croisés sur la sexualité des Français", 37 % des femmes
concernées mentionnent une baisse de désir sexuel
quand 85 % des hommes soulignent un impact sur leur
confiance en eux. Le risque pour le couple est que
l'éjaculation précoce les entraîne dans une spirale
négative, ce trouble devenant une source de tensions et
de conflits qui vont augmenter les risques d'éjaculation
précoce.
"L'éjaculation précoce n'est pas seulement un problème
d'homme. C'est un sujet qui concerne le couple et la
recherche de solution est parfois plus facile à deux…"
précise le Pr Pierre Costa, urologue-andrologue et
président de la Fédération Française de sexologie et de
Santé Sexuelle (FF3S). Mais parmi les hommes touchés,
seuls 49 % en parlent à leur partenaire… qui risque
cependant de s'en apercevoir assez vite.
Malgré ces conséquences, 66 % des hommes concernés et 81
% des femmes n'ont jamais recherché d'informations sur le
sujet. Quand ils le font, c'est majoritairement sur Internet, loin
devant les professionnels de santé… Anticipent-ils une réponse
embarrassée de leur médecin ? Si c'est le cas, voilà un chiffre
qui devrait les rassurer : 92 % des médecins se déclarent
capables de parler sans tabou de l'éjaculation précoce avec
leurs patients3.
Ejaculation précoce, des solutions existent !
L'origine de l'éjaculation précoce reste en partie
mystérieuse même si on soupçonne une origine
multifactorielle5 : origine psycho-comportementale
(stress, tensions au sein du couple, troubles érectiles…),
consommation de certaines drogues, facteur génétique…
"Le facteur psychologique (stress, peur du rapport
sexuel…) est important mais l'éjaculation précoce peut
aussi avoir une origine comportementale (le corps est trop
crispé) ou médicamenteuse (effet secondaire de certains
traitements). Enfin, on pense que la biogénie entre
également en jeu : comme il y a des hommes plus ou
moins grands, certains éjaculent plus ou moins
rapidement. Cette différence pourrait s'expliquer par un
manque de sérotonine, un neurotransmetteur
naturellement présent dans l'organisme qui a pour effet
de retarder l'éjaculation6" précise le Pr Costa.
Mais des solutions existent ! Globalement, on distingue
deux prises en charge qui peuvent être complémentaires :
- L'approche sexo comportementale
Les thérapies comportementales et psychologiques visent
à apprendre à l'homme à identifier et contrôler son niveau
d'excitation, en réduisant l'anxiété et en augmentant la
confiance en soi. Les techniques les plus connues sont le
"Stop and Go", les compressions du gland ou "Squeeze" et
la thérapie sexo-fonctionnelle. Dans ce cadre, la
partenaire peut jouer un rôle important dans la prise
charge et y être directement impliquée. "On dispose
cependant de peu d'études permettant d'évaluer
l'efficacité de ce type de prise en charge mais on constate
dans la pratique une grande variabilité d'un patient à
l'autre" précise le Dr Gilbert Bou-Jaoudé.
- Le recours aux médicaments
Un certain nombre de médicaments sont actuellement
utilisés par les cliniciens pour contrôler l'éjaculation
précoce, parmi lesquels les antidépresseurs ou les
anesthésiques locaux. Mais ces médicaments n'ont pas
d'autorisation de mise sur le marché (AMM) dans cette
indication…
A suivre
5
Secteur minier au Togo
LE NOUVEAU CODE MINIER EN ETUDE
Un nouveau code minier au
cœur d’un atelier de
validation à Lomé. Placé
sous le haut patronage du
Président de la République
Faure Essozimna
Gnassingbé, le ministère
des mines et de l’énergie
organise avec l’appui
financier et technique de la
Banque Mondial du 10 au
12 juin 2014 un atelier de
validation de l’avant projet
de code minier. ‘’Apportons
nos contributions
citoyennes pour une
exploitation optimale des
ressources minières’’, c’est
le thème de cet atelier qui
permettra aux participants
de découvrir le contenu
dudit code afin d’apporter
leur proposition de
modification pour en faire
un document de référence.
La cérémonie d’ouverture
s’est déroulée, hier mardi
10 juin 2014 à l’hôtel Eda
oba en présence du ministre
des Mines et de l’Energie,
Noupokou Dammipi, et ses
collègues de la justice, koffi
Essaw, de la fonction public,
kolani Gourdigou et celui du
travail John Siabi. Etaient
également présents,
la
représentante du
représentant de la Banque
mondiale au Togo et
le
Secrétaire d’Etat chargé à
Photo de famille
l’industrie.
Il sera donc question au
cours de ces trois jours,
d’examiner la pertinence
des dispositifs prévus par
les textes notamment en
terme d’organisation
institutionnelle du secteur,
de mesures de protection
environnementale et
sociale, de développement
socio-économique local,
e t c . … D a n s s o n
intervention,
le ministre
des mines et de l’énergie a
rappelé le contexte dans
lequel se situe ledit atelier.
Selon lui, il s’agit pour les
plus hautes autorités du
pays d’actualiser et
d’améliorer le cadre
institutionnel et
réglementaire du secteur
minier en harmonisant les
différents textes appliqués
dans le secteur par rapport
aux autres pays de la sousrégion, surtout en y
intégrant des éléments de
nature à attirer davantage
d’investisseurs.
Pour le
ministre, cet atelier a deux
objectifs ‘il sera pour le
consultant, l’occasion de
livrer le contenu de ses
travaux et pour les cadres
et acteurs du secteur
minier, d’y apporter de
précieuses contributions
pour son amélioration’’.
Pour finir, il a exhorté les
participants à faire preuve
de patriotisme et
d’objectivité, de rigueur et
de pondération sans
complaisance et dans un
esprit constructif et créatif
pour jouer leur partition.
DJADE Charles
Eglise du Christianisme Céleste du Togo (Suite)
L’AFFRONTEMENT ENTRE LES
PARTICIPANTS DE BELLOW ET LES
OCCUPANTS LÉGITIMES FAIT DES BLESSÉS
ET DES DÉGÂTS MATÉRIELS IMPORTANTS
Mais curieusement, c’est le contraire chez
Bellow qui ne cesse de défier l’autorité en
refusant de se soumettre à la loi. « Si Bellow
avait respecté la lettre que le ministre a
adressée, nous ne serions pas arrivés là.
Les affrontements que le ministre évitait ont
malheureusement eu lieu. Et le premier
responsable, c’est Bellow », a laissé
entendre furieusement M. KPADE.
Dans plusieurs de nos parutions, nous
avons eu à aborder le sujet concernant ce
dossier. Nos investigations ont toujours
révélé que Bellow en question ne faisait
plus parti de l’équipe dirigeante depuis le
25 septembre 2012 où le saint siège l’a
excommunié pour indiscipline et
insoumission. Nous avions attiré depuis
longtemps l’attention des autorités sur le
danger qu’un tel monsieur présente au sein
de la société. Mais, il nous a semblé que
nos cris n’ont pas été entendus. Sinon ce
qui arrive aujourd’hui est le fait d’avoir
laissé libre quelqu’un qui est prêt à semer
du bordel dans l’irrespect total de la loi.
Sinon comment comprendre qu’un simple
citoyen come Bellow puisse en toute
impunité engager des jeunes pour
terroriser tous ceux qui ne pensent pas
comme lui ?
Il est temps, que les autorités se penchent
sérieusement sur ce dossier et rancher une
fois de bon. Au sein d’une société seules les
hommes ou femmes normaux sont appelés
à diriger. En cela, les autorités doivent se
rendre compte que dans cette querelle, il y a
un camp qui est dirigé par un esprit
démoniaque qu’il faudrait détruire.
En effet, selon Charles KPADE, secrétaire
du Comité Directeur National(CDN),
responsable de l’église en question, Bello a
été dans le bureau du CDN de l’église CCT
dont le mandat était à terme il y a des
années. Ne pas être reconduit, il s’est créer
lui-même avec un groupuscule de pasteur
une autre forme d’église et ainsi s’est
autoproclamé Pasteur. Alerté, le SaintSiège qui est au Benin, l’a excommunié le
25 septembre 2012 et sanctionné les
autres.
La rédaction
Le Messager
ACTUALITE
"ECHEC" DU DIALOGUE TOGOTÉLÉCOM2
LA MAJORITÉ SILENCIEUSE POINTE UN DOIGT
ACCUSATEUR SUR L’OPPOSITION ET APPELLE
AU RESPECT DE LA LOI FONDAMENTALE
ACTUELLEMENT EN VIGUEUR
L’association « Majorité
silencieuse », a organisé
samedi 07 juin 2014 un
meeting populaire à
Hédranawoé à Lomé. Cette
rencontre qui a permis de
sensibiliser et d’informer
les membres, a été aussi
l’occasion pour le bureau de
ladite association de
remobiliser la population en
vues des prochaines
échéances électorales. Le
dernier dialogue et les
péripéties qui l’ont entouré
jusqu’à ce que certains
parlent d’échec a été
également abordé. Et pour
la Majorit2 Silencieuse,
c’est l’opposition
parlementaire présente à ce
dialogue qui a tout foutu.
La sortie de samedi
en
dehors de la mobilisation
et de la sensibilisation, a
été l’occasion pour les
responsables de la
majorité silencieuse
de
situer les responsabilités
sur ce que certains
Quelques militants au cours du meeting
Les Militants et quelques Responsables de la Majorité Silencieuse
pensent être un échec
concernant le dialogue
togotélécom 2.
Selon le
coordonnateur de
l’association,
Agbessi
Koffi,
les raisons qui
expliquent la tenue
du
dialogue sont multiples.
Mais la seule qui est
primordiale est de régler
une fois pour toutes les
crises politiques que
connaissent notre pays et
qui freinent
son
développement. D’après
Agbéssi Koffi, si le dialogue
politique quémandée par la
classe politique de
l’opposition a échoué , c’est
parce qu’il a été tout
simplement saboté par
l’opposition elle-même,
qui depuis longtemps est
spécialiste de la pensée
unique et qui croient que
la démocratie se résume à
l’acceptation par les autres
de leurs vérités et toutes
leurs exigences. Il a ainsi
profité pour lancer un
vibrant appel à l’endroit de
tous les togolais pour le
respect des lois
f o n d a m e n t a u x
actuellement en vigueur
dans notre pays. Respecter
la loi est un impératif. Car,
« jusqu'à preuve du
contraire, le mandat
présidentiel n’est pas pour
le moment limitatif ». La
majorité silencieuse
pointe un doigt accusateur
sur l’opposition togolaise
présente à ce dialogue
dans ce qui est arrivé.
La Rédaction
Voici la déclaration de la Majorité Silencieuse à l’occasion du
meeting du 7 juin 2014
Mesdames et Messieurs, jeunesse
togolaise, chers compatriotes,
Nous y voici, le dialogue
quémandée a été sabotée par ses
initiateurs, spécialistes de
la
pensée unique, qui croient que la
démocratie se résume à
l’acceptation par les autres de
leurs vérités et de toutes leurs
exigences ; ces démocrates de
pacotille, inconsolables préfèrent
gesticuler dans la rue, s’adonner à
des jeux d’amateurs plutôt que de
faire triompher leurs idées à
l’Assemblée nationale, sanctuaire
de la démocratie.
Sur cette même place, certains
parmi eux, ont abondamment
menti sur une présumée
présidence à vie, sur les
réalisations sociales du
gouvernent, sur des prétendus
détournements massifs de fonds
publics.
Mais si le gouvernement est si
incompétent, d’où vient cet argent
qu’on l’accuse de détourner,
Si les projets réalisés par le
président Faure GNASSINGBE
sont des programmes
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préexistants, quand et par qui ces
projets avaient –ils été conçus,
Ces agitateurs professionnels
appellent la population à la révolte
contre la vie chère, le chômage,
etc…
En oubliant superbement que ces
problèmes existent dans tous les
pays d’Afrique et d’ailleurs.
Mais les leaders de l’opposition de
marcheurs qui sont plus riches les
uns que les autres ont le droit de se
moquer du programme de micro
crédit aux plus pauvres, de la
gratuité de la césarien et de
l’enseignement primaire.
Et que disent-ils alors de la belle et
rapide métamorphose de Lomé et
ses environs ?
Il n’y a pire aveugle que celui qui ne
veut rien voir.
D’ailleurs, pourquoi ces
marcheurs patentés qui sont si
sûrs d’avoir le soutien du peuple
ne veulent-ils pas saisir leur
chance pour gagner l’élection
présidentielle de 2015 au premier
tour,
Le Président Faure GNASSINGBE
est seul contre tous. Ils chantent
qu’il est illégitime et mal aimé ; ils
claironnent qu’il n’a rien fait pour
les Togolais.
Alors pourquoi ont-ils tous si peur
de laisser les Togolais arbitrer et
décider démocratiquement en
2015 ?
Ont-ils organisé sur ce site une
messe, un culte, pour faire une
quête et vous demander de remplir
leur cagnotte ?
Vous ont-ils dit combien de
centaine de millions, ils ont reçu
parce que certains parmi eux
avaient été exclus du parlement
par leur parti d’origine,
Ont-ils pu vous expliquer que ces
centaines de millions empochés
ont privés le gouvernement de
complément de ressources
indispensables à l’organisation
des élections locales qu’ils exigent
à corps et âme perdu ?
Pourquoi ne mettent-ils pas
l’infime partie du magot obtenu de
ce holdup judiciaire, pour aider les
populations qu’ils prétendent si
bien aimées ?
Ne cotiser plus rien pour qui que ce
soit ! Sous prétexte de défendre
l’intérêt général, ils abusent de la
naïveté de la population.
Nous, nous avons fait le choix de
Faure GNASSINGBE qui reste un
rassembleur, un personnage ancré
dans la modernité, garant de la
stabilité et de la paix sociale dans
le pays.
Que l’élection présidentielle de
2015 soit à un, deux, cinq ou dix
tours, sa victoire ne fait aucun
doute. Ces réalisations parlent
pour lui.
Nous appelons tous les togolais au
respect de la Loi Fondamentale
actuellement en vigueur qui n’est
nullement limitatif du mandat
présidentiel tant que le Parlement
ou le peuple n’a pas voté une
nouvelle la contredisant ;
Tout individu arguant du contraire
n’est pas démocrate et développe
des velléités de putschiste et
devrait être traité comme tel.
Seul le travail dans la paix la
discipline, l’union et la solidarité,
garantit le développement d’un
pays et le bonheur de ses citoyens.
Vive la démocratie !
Vive le Togo!
Le Messager
NATION
Election à la Ligue de Football de Kara (LFK)
HERVÉ PIZA MONTE AU CRÉNEAU ET DÉNONCE
UNE MACHINATION DE GABRIEL AMÉYI
Hervé Piza, premier viceprésident de la Fédération
Togolaise de Football (FTF)
et président de la LFK a
animé hier mardi 10 juin
2014 une conférence de
presse à Lomé, au cours de
laquelle il a dénoncé les
mascarades et dérapages de
Gabriel Ameyi, président de
la FTF et l’ex-secrétaire de la
LFK, le sieur
MALOU
Essobiyou.
Il s’est agit aux cours de
cette rencontre avec la
presse de faire le point sur la
situation qui prévaut au
sein la LFK. Pour lui,
le
président de la FTF, Gabriel
Ameyi qui est actuellement
en mission au Brésil est
entrain d’enfreindre aux
dispositions des textes de la
LFK, de la FTF, de l’UFOA,
de la CAF et de la FIFA. En
effet, alors que le président
sortant se trouve à Lomé, et
que la tension au sein de la
LFK reste encore vive,
Gabriel Améyi
aurait
envoyé trois émissaires du
bureau de la FTF à Kara
pour organiser hier 10 juin
2014,
le congrès de LFK
sous la supervision de l’exsecrétaire du bureau Malou,
alors que ce dernier a été
révoqué. Selon Hervé Piza,
l a L F K p a r u n e
correspondance datant du
05 mai 2014
avait fait
savoir à la FTF de la tenue de
son congrès le 10 juin 2014
à Kara. Mais compte tenue
de certaines irrégularités
constatées et pour éviter des
tensions inutiles, la LFK a
adressé de nouveau en date
du 24 mai 2014 une autre
correspondance à la FTF
Hervé Piza, Président sortant de la LFK
demandant un report du
congrès. Cette demande est
relative à l’inexistence de
légitimité de la plupart des
clubs et districts pour
participer à un congrès. Car
n’ayant pas fait à l’avance
leur propre congrès à la
b a s e c o m m e
l e
recommandent les textes.
Malou Essobiyou qui a été
désigné pour superviser le
congrès de Kara est aussi
illégitime, d’après le 1er vice
président de la FTF, car
selon la décision numéro
001/LFK/PDT/2014, le
sieur Malou a été révoqué de
son poste de secrétaire
général de la LFK. Pour se
faire entendre, Hervé Piza a
adressé en date du 08 juin
2014 une correspondance à
la FIFA
afin qu’elle
intervienne pour ramener
Améyi et ses acolytes à la
raison, ceci en invalidant le
congrès
du 10 juin.
Parviendra –t-il à le faire ?
En tout cas l’avenir nous le
dire.
C’est un autre bras de fer
qui vient de s’engager alors
que plusieurs
autres
problèmes relatifs au
football sont en suspens et
n’ont pas encore trouvé de
solution.
DJADE Charles
Installation des Points Focaux du Conseil National des Patrons de
Presse du Togo
LA RÉGION CENTRALE VIENT D’ETRE DOTÉE D’UNE
REPRÉSENTATION DÉCENTRALISÉE DU CONAAP
Une délégation des Patrons de la
presse togolaise, conduite par
Jean Paul AGBOH AHOUELETE,
Président du CONAPP, était à
Sokodé, ce mardi 10 juin 2014 pour
la toute première cérémonie
d’installation des points focaux de
l’organisation à travers les cinq
régions administratives du pays.
La cérémonie qui s’est tenue à
l’Hotel Aléhéri, en présence de plus
d’une dizaines de directeurs des
radios de la région centrale et de
quelques journalistes, s’est
achevée par la mise en place d’une
structure représentative de trois
membres et la remise du matériel
informatique et de communication.
Ayant à sa coordination générale
M. TCHASSANTI Tchatagba
Ridoine, Directeur de radio VENUS
(Préfecture de Tchaoudjo), ce point
focal Région Centrale, compte en
son sein deux autres membres :
MM PELEYI Adinaèdi, Directeur de
radio COSMOS de Sotouboua et
KPENIATCHE Affo, Directeur de
radio Tchamba, respectivement
secrétaire général et trésorier.
« L’installation d’un point focal ici à
Sokodé, tout comme celle à venir
dans les autres chefs-lieux de
région, répond essentiellement à
deux besoins. D’abord pour
corriger la marginalisation dont
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Membres Point Focal Région Centrale
sont victimes les médias de
l’intérieur du pays depuis la
création du CONAPP, il y a sept ans.
Il nous est apparu nécessaire dès le
lendemain de notre élection de
corriger cette injustice en les
impliquant davantage à nos
activités. Ensuite la cérémonie de
cet après midi répond à notre souci
d’efficacité. En installant les points
focaux, cela nous permet d’avoir
dans toutes les régions de notre
pays des interlocuteurs identifiés et
responsabilisés. » a précisé M. Jean
Paul AGBOH AHOUELETE qui a
remis ensuite un kit composé d’un
ordinateur, d’une clé Helim
Nomade et d’un téléphone illico.
« Cet équipement nous permettra
d’être en communication
permanente avec le bureau exécutif
central du CONAPP à Lomé. C’est
avec un grand plaisir que nous
patrons de presse de la région
centrale , accueillons cette
démarche inédite du CONAPP.
C’est la première fois que nous
nous sentons effectivement
impliqués dans la
gestion du
CONAPP » a répondu, pour sa part
M. TCHASSANTE Tchatagba
Ridoine, responsable du point
focal.
Des échanges ont permis à la
délégation du CONAPP, d’informer
leurs interlocuteurs de la région
centrale de la tenue, le 20 juin
prochain à Lomé, de l’assemblée
extraordinaire du CONAPP
destinée à la révision des statuts et
à l’adoption d’un nouveau
règlement intérieur. D’autres
sujets comme les préparatifs des
états généraux de la presse
togolaise et les questions
préoccupantes liées aux
redevances payées par les radios,
ont été également évoquées.
L’installation de ce premier point
focal concerne douze radios des
villes comme
Sokodé, Kamboli,
Blitta, Tchamba et Sotouboua.
La délégation du bureau exécutif
du CONAPP, a pris la route pour
Kara, où, elle installera ce mercredi
11 juin, le point focal de la région de
la Kara. Un représentant des
patrons de presse de la région des
Savanes a pris également part à
cette cérémonie qui sera rééditée
dans les jours à venir dans les
autres régions administratives.
P.G
Le Messager
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Le Messager