Paroisse Saint Nicolas des Champs

CAMPAGNE DU
DENIER DE L’ÉGLISE
POUR 2015
Vous aimez la paroisse Saint
Nicolas des Champs et vous souhaitez la soutenir ?
En ligne sur le site Internet il suffit d’un clic !
www.asaintnicolas.com
Des enveloppes sont également disponibles dans
l’église…Merci d’avance pour votre participation !
AGENDA 2015
Paroisse
Saint Nicolas
des Champs
Dimanche 1er mars 2015
2e dimanche de Carême
Ouverture de l’église
- Lundi : 9h30 à 19h15
- Mardi à vendredi : 7h45 à 19h30 (suivant les jours)
Mardi 3 mars
- 20h30 à 22h : Groupe de prière et de louange
Mercredi 4 mars
- 15h : Visite de l’église avec Mme Edith Ibert 06 77 97 49 58
- 18h30 : Aumônerie pour les filles et les garçons.
Les garçons se retrouveront en parallèle des filles puis le
mercredi 11 mars.
Jeudi 5 mars
- 18h30 : Prière pour les malades
Vendredi 6 mars 1er vendredi du mois
- 13h à 14h : Adoration
- 19h : Chemin de Croix médité par un prêtre
dans l’église après la messe,
Samedi 7 mars
Baptême de Lucien LEHR.
Décès de Mr Henri OBERT le 25 février à l’âge de 87 ans.
La date des obsèques n’est pas encore fixée.
A NOTER
GROUPE DE PRIÈRE POUR TOUS
Prochain RDV mardi 3 mars de 20h30 à 22h.
Ce groupe de prière et de louange a lieu le premier et
troisième mardi de chaque mois dans l'église.
Vous y serez tous les bienvenus…
PRÉPARATION AU BAPTÊME (petits enfants)
Prochain cycle : Jeudis 12, 19 et 26 mars 2015
de 20h30 à 22h00 pour un baptême le 5 avril 2015
Nous vous invitons à prendre contact avec nous
pour vous inscrire ou pour toute question :
Marie et Vincent Glatigny : 06 61 94 53 11
[email protected]
Caroline et Damien Coumert : 06 60 34 41 23
[email protected]
AUTRE PROPOSITION
SEMEURS D’ESPERANCE
Prochaine veillée d'adoration
Vendredi 6 mars à 20h15 – Eglise St Gervais (4e)
Justice des hommes, justice de Dieu : quelle connivence ?
(Veillée introduite par Eric de Montgolfier,
célèbre Procureur de la République. )
Pour plus d’informations : www.semeurs.org
Paroisse Saint Nicolas des Champs
254 rue Saint Martin – 75003 PARIS
01 42 72 92 54 – www.asaintnicolas.com
Le Mont des Béatitudes, le Golgotha et le Thabor :
trois sommets pour le Carême
Trois montagnes structurent l’Evangile et la vie du
Christ. Elles structurent aussi le temps du Carême et plus
profondément encore nos propres existences chrétiennes.
La première montagne que Jésus gravit est celle où il proclame les Béatitudes et invite ses disciples à la joie de la
conversion pour retrouver la présence du Père « qui est là
dans le secret ». Nous avons entendu cet appel le premier
jour du Carême lors du mercredi des Cendres.
Au terme de sa vie terrestre, après avoir été « défiguré » par l’angoisse mortelle au jardin de Gethsémani au
point que des gouttes de sang perlent de son corps et de
son visage, Jésus prendra le chemin d’un autre sommet
paradoxal, le Mont Golgotha. Il s’y remettra totalement à
la volonté du Père et donnera sa vie par amour en étant
élevé en haut d’une croix (encore un sommet !) d’où il
remettra l’esprit. Nous ferons mémoire de ces évènements
à la fin du Carême.
Mais entre le Mont joyeux des béatitudes et le
Mont douloureux du Golgotha, il ne faudrait pas oublier le
Mont lumineux de la Transfiguration : le Mont Thabor nous
rapporte la Tradition. Et pour ne pas l’oublier la liturgie nous
invite à y monter chaque année dès le deuxième dimanche de Carême. Nous recevons dans la splendeur de
la Transfiguration de Jésus – véritable anticipation de sa
glorieuse résurrection – la force et la lumière dont nous
avons besoin pour continuer le chemin.
La lumière reçue en ce sommet est une double révélation. D’abord révélation sur le mystère de Jésus luimême, véritable Fils du Père. Un court instant, alors qu’il est
en prière, il se donne à reconnaître tel qu’il est en vérité, un
être de lumière, un être dont l’humanité est pleinement
possédée par la divinité. Et voilà que Jésus n’apparaît jamais aussi lumineux que lorsqu’il évoque avec Moïse et Elie
son « exode » pour Jérusalem, c'est-à-dire le don de luimême dans sa passion et sa résurrection. Ensuite révélation
sur nous-mêmes. Nous y recevons la confirmation que nous
sommes vraiment faits pour la lumière et que nous serons
d’autant plus lumineux qu’à la suite de Jésus, nous entrerons dans l’humble et joyeux chemin du don de nousmêmes. Comme l’affirme le Concile Vatican II, « L’homme
ne peut se trouver que dans le don désintéressé de luimême » (GS 24). Voilà précisément ce à quoi nous invite le
temps du Carême.
P. François Gonon
CHANT D’ENTRÉE
LECTURE de la lettre de saint Paul apôtre aux
R. Tournez les yeux vers le Seigneur
Et rayonnez de joie,
Chantez son nom de tout votre cœur,
Il est votre Sauveur,
C’est lui votre Seigneur.
Romains (Rm 8, 31b-34)
1. J’ai cherché le Seigneur
Et il m’a écouté.
Il m’a guéri de mes peurs
Et sans fin je le louerai.
2. Dieu regarde ceux qu’il aime,
Il écoute leurs voix,
Il les console de leurs peines,
Et il guide leurs pas.
3. Ceux qui cherchent le Seigneur
Ne seront privés de rien.
S’ils lui ouvrent leur cœur,
Ils seront comblés de biens.
LECTURE du livre de la Genèse
(Gn 22, 1-2.9-13.15-18)
En ces jours-là, Dieu mit Abraham à l’épreuve. Il lui dit : «
Abraham ! » Celui-ci répondit : « Me voici ! » Dieu dit : «
Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac, va au
pays de Moriah, et là tu l’offriras en holocauste sur la montagne que je t’indiquerai. » Ils arrivèrent à l’endroit que Dieu
avait indiqué. Abraham y bâtit l’autel et disposa le bois ;
puis il lia son fils Isaac et le mit sur l’autel, par-dessus le
bois. Abraham étendit la main et saisit le couteau pour immoler son fils. Mais l’ange du Seigneur l’appela du haut du
ciel et dit : « Abraham ! Abraham ! » Il répondit : « Me
voici ! » L’ange lui dit : « Ne porte pas la main sur le garçon ! Ne lui fais aucun mal ! Je sais maintenant que tu
crains Dieu : tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique. »
Abraham leva les yeux et vit un bélier retenu par les cornes
dans un buisson. Il alla prendre le bélier et l’offrit en holocauste à la place de son fils. Du ciel, l’ange du Seigneur appela une seconde fois Abraham. Il déclara : « Je le jure par
moi-même, oracle du Seigneur : parce que tu as fait cela,
parce que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te
comblerai de bénédictions, je rendrai ta descendance aussi
nombreuse que les étoiles du ciel et que le sable au bord de
la mer, et ta descendance occupera les places fortes de ses
ennemis. Puisque tu as écouté ma voix, toutes les nations de
la terre s’adresseront l’une à l’autre la bénédiction par le
nom de ta descendance. »
PSAUME 115 (116b), 10.15, 16ac-17, 18-19
R. Heureux les habitants de ta maison Seigneur
Je crois, et je parlerai,
Moi qui ai beaucoup souffert.
Il en coûte au Seigneur
De voir mourir les siens !
Ne suis-je pas, Seigneur, ton serviteur,
Moi, dont tu brisas les chaînes ?
Je t’offrirai le sacrifice d’action de grâce,
J’invoquerai le nom du Seigneur.
Je tiendrai mes promesses au Seigneur,
Oui, devant tout son peuple,
À l’entrée de la maison du Seigneur,
Au milieu de Jérusalem !
Frères, si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Il n’a
pas épargné son propre Fils, mais il l’a livré pour nous tous :
comment pourrait-il, avec lui, ne pas nous donner tout ? Qui
accusera ceux que Dieu a choisis ? Dieu est celui qui rend
juste : alors, qui pourra condamner ? Le Christ Jésus est
mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu,
il intercède pour nous.
EVANGILE selon St Marc (Mc 9, 2-10)
En ce temps-là, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean,
et les emmena, eux seuls, à l’écart sur une haute montagne.
Et il fut transfiguré devant eux. Ses vêtements devinrent
resplendissants, d’une blancheur telle que personne sur terre
ne peut obtenir une blancheur pareille. Élie leur apparut avec
Moïse, et tous deux s’entretenaient avec Jésus. Pierre alors
prend la parole et dit à Jésus : « Rabbi, il est bon que nous
soyons ici ! Dressons donc trois tentes : une pour toi, une
pour Moïse, et une pour Élie. » De fait, Pierre ne savait que
dire, tant leur frayeur était grande. Survint une nuée qui les
couvrit de son ombre, et de la nuée une voix se fit entendre
: « Celui-ci est mon Fils bien-aimé : écoutez-le ! » Soudain,
regardant tout autour, ils ne virent plus que Jésus seul avec
eux. Ils descendirent de la montagne, et Jésus leur ordonna
de ne raconter à personne ce qu’ils avaient vu, avant que le
Fils de l’homme soit ressuscité d’entre les morts. Et ils restèrent fermement attachés à cette parole, tout en se demandant entre eux ce que voulait dire : « ressusciter d’entre
les morts ».
COMMUNION
R. Vous qui avez soif, venez à moi et buvez
Car de mon cœur ouvert jaillira le fleuve qui donne la vie.
1. Affermissez les mains et les genoux affaiblis,
Dites aux cœurs défaillants :
Soyez forts, ne craignez pas, voici votre Dieu.
C'est lui qui vient vous sauver !
2. En ce jour-là s'ouvriront les yeux des aveugles,
Les oreilles des sourds entendront ;
Alors le boiteux bondira comme un cerf,
Et le muet criera de joie.
3. Ce jour-là dans le désert, les eaux jailliront,
Et les torrents dans la steppe.
La terre brûlée deviendra un verger,
Le pays de la soif, un jardin.
4. Dieu tracera un chemin, une voie sacrée,
Les insensés n'y passeront pas.
Tous les rachetés du Seigneur y marcheront,
Dieu lui-même les conduira.
CHANT DE SORTIE
1. Sous ton voile de tendresse, nous nous réfugions.
Prends-nous dans ton cœur de mère où nous revivrons.
Marie, mère du Sauveur, nous te bénissons.
R. Marie notre mère, garde-nous dans la paix.
Refuge des pécheurs, protège tes enfants.
2. Quand nous sommes dans l´épreuve viens nous visiter.
De tous les dangers du monde, viens nous délivrer.
Marie, mère du Sauveur, prends-nous en pitié.
3. Marie, vierge immaculée, apprends-nous à prier.
Que demeurent dans nos cœurs, le silence et la paix.
Marie, mère du Sauveur, veille à nos côtés