Mp Locale - Le Havre

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Le Petit Havre
Bureau du Journal, 112,boul' da Strasbourg.
I ï/AGENCE HAVAS,8, place de la Bourse, est
PARIS
J seule chargée de recevoir les Annonces pour
( le Journal.
I» PETITHAVHEest déstgni pour las AnntneasJudiclelresel ligatas
ORGANE RÉPUBLICAÏN
DÉMQCRATIQUE
AO HAVRE....
Le plus fort Tirage des Journaux
de la Région
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Rédactlon, 35, rue Fontenelle - Tél. 7.60
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Trois Mois Sik Mo»
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Le Havre, la Seine-Inférieure, l'Eure,
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l'Oise et la Somma.
Autres Départ amants
s » i r. Kr. sa» »
Fr. -4,5 »
«3
» 25
Union Postale
Ons'nbor.naégalamant,SANSFNAIS,dans tousles Bureauxda Posta da Fransa
et des intellectuels hosliles a la revolution,ct un
deRussie
peu partout ies israélites sont massacrés par les
Sur le FrontBeige COMMUNIQUÉS
LeleurMcoieflelirM
OFFICIELSLesEvènements
membres de l'-organisationdes >>Cent-Nobs« qui
chevistesqui leur reprochont d'èlro des bourgeois
leur reprochentleur religion.
Le Coup de Main de Kippe
L'assnssiuat da comtede Mirbachest un
de nos cantonnemsnts
par l'aviation
fait gros de conséquences.Bienqa'on n'ea
FRONT FRANCAIS
D n'est pcut-ètro pas trop tard pour rapporter
ennemie. Notre artillerie
a effectué de
coimaisseencore ni les auteurs ni les rai- quo les troupes beiges ont célébró, comme les
nombreux
tirs de destruction,
de neu¬
Kons—dit M.A. Albert-Petit,dans les Dé- Britanniques, par une operation couronnée de
7 Juillet, 14 heitres. — Actions d'artiltralisation
et
de
harcèlement.
tats — il n'est guère possible de douter Succes, la fête de l'lndependence Day.
au Sud de l'Aisne, dans la région
h'otre aviation a été trés active. Le
qu'il s'agit d'une vengeance de patriotes Leur commandement, dit Ie correspondant du lerie
Longpont et de Corsy.
sous lieutenant
Coppens
a, au cours
russes exaspcrés du traitement infligé A Temps, envisageait, depuis quelque temps, lo de Les
Américains
ont
exécuté
un
coup
et, si possible, la destruction d'un
d'une
même
matinée,
abattu
trois bal¬
leur pays.Jamaispeuple n'a été soumisè nettoyage
et ramené
fortiflé trés gênant, que les Allemands de main dans les Vosges
lons ennemis
dont deux a quelques
nn joug commecelui dont l'ambassadeur système
occupaient au Nord-Est de Kippo ; finalement, dés prisonniers.
minutes d intervalle,
ce qui porte a
alleinand a Moscouappesanlissait chaquo par une délicato attention pour les Américains,
Nuit calme sur le reste du front.
treize le nombre de victoires
de eet
jour le fardeau. Toutes les abdications, il fut décidé que rentrepriso serait cxócutéo le
officier.
tous les abandons,toutes les platitudesdes 4 juillet. L'organisatiou qu'il s'agissait de réS3 heures. — Aucun événement
im¬
bolcheviksn'ont pas mème donné a leur duire comprenait un onsemble trés complexe
malheureuxpaysun simulacrede paix. Les d'ouvrages puissamment bétonnés, a cheval sur portant a signaler au cours de la jourFRONT AMÉRICA1N
traités signésle couteau sur la gorge, et lo Kvriebeek — un affluent de droito du Steews- née.
beek
—
et
affectant,
dans
lour
portion
ossenacceptéssansdiscussion,ne sont pasmême tiello la forme d'un Y, dont les deux branches
7 juillet, — Nous avons exécuté
un
observéspar ceux qui les ont dictés.
comprenaient des tranchées, un
FRONT BRITANNIQUE
raid heureux
dans les Vosges en tuant
Depuiscelui de Brest-Litovsk, dont on supérieures
enchevêtrcmont de réseaux barbclés, des pill¬
et blessant
un certain
nombre
d'enannoncaithier la puérilc ratification, l'a- box, des observatoires cn grand nombro et dont
nemis et en faisant
quelques
prison¬
7 Juillet , après-midi. — Hier aprèsvance"allemandeno s'est pas ralentie, la la branche inférieure, olle-mêmo renforcée par
flottea dü être livrée, les populations en- une demi-douzaine de nids de mitrailleuses, ve- midi, au cours d'un raid a l'Est de niers.
Lajournée
s'est passée
sans inci¬
vahies ont été pilléessans merci et massa- nait s'appuyer a la route de Merckem" a Hout¬ Hamel, nous avons fait quelques pri¬
dent sur les autres points occupés par
sonniers
et pris une mitrailleuse.
erées en masseparee qu'on n'a pas trouvé hulst.
avant et a l'Ouest de la branche de gauche
nos troupes.
L'artillerie
ennemie
a été active
Ie blé imprudemmentpromis&i'Allemagne deEn
une ligne de tranchées, flanquée de quel- dans les environs
de Foncquevillers
affamée.Tout cela, rnalgré la légendaire quesl'Y,boites
pilules balayait le terrain situe en et dans le secteur d'Hinges.
passivitcrusse, ne peut eontinuerindéüui- avant do l'Y.a l'ar
FRONT ITAL1EN
conséquent, il s'agissait, cnl'esinent sans déchainerun désespoirdont les pèce. d'un trés gros moreeau qui, selon toute
conséquencessont inévitablement des at¬ apparence, no pouvait être enlevé qu'au prix de
Soir. — Ge matin, de bonne heure,
7 juillet. — Entre la Sile et la Piave,
tentats individuels.
portes sérieuses.
l'ennemi
a tenté un raid dans le voi- nos troupes ont atteint
la rive droite
II n'y a plus de frontrusse, il n'y a plus L'exécution de l'attaquo fut confiée a deux pe¬ sinage de Locre II a été repoussé.
de la nouvelle Piave, chassant l'enne¬
d'arméerusse, maisil reste la souffrance lotons du . .c régiment do chasseurs a pied, com¬ Rien de particulièrement
intéres¬
mi et se renforqant
sur de nouvelles
russe, qui se venge, commcchez lous les mandos par les lieutenants X. . . et Y. . . et lo sant a signaler en dehors de l'activité
commandant la division tint en pcrsonno
positions.
Les pertes de l'ennemi sont
faiblesopprimés,par des coinplotset des général
ennemie
et des mora adyesscr une allocution a cos braves soldats. de l'artillerie
supérieures
a toutes les previsions.
meurtres.
Ceux-ci, après une violente preparation d'artille- tiers de tranchées
dans le secteur de
Sur le plateau
d'Asiago,
les Fran¬
G'est une matiière de se défendre qui rie, so mirent en route aux grandes allures et Béthune.
cais ont pénétré dans les lignes enne¬
n'est pasglorieuseet qui est rarementelïi- tombèrent sur les Allemands. lis furont si commies et ont pris 2 officiers,
54 hom¬
AVIATION. — Nos ballons et not appareils
cace ; tnieux vaudrail assurément pour les plctement surpris par leur soudaine irruption
ont exécuté le 6 juillet un tra¬ mes et 2 mitrailleuses.
Russesqu'ils eussent continué a tenir ho- quo la plupart d'entro les défcuseurs n'curentpas d'observation
tres intéressant. Les combats aóriens ont
norablement la tranchée, mais nous no le temps do quitter les abris oü ils s'étaient refu¬ vail
été peu nombreux. Trois avions allemands ont
pouvotls que constater ce qui est. Dans giés pendant lo bombardement préparatoire. Un été detruits, un qualriètm est tombe desemun los postes furent enlovés et nettoyés.
FRONT DES BALKANS
['immenseanarchieque I'Allemagnea pro- a Dans
beaucoup d'entro eux, les occupants qui paré. Un de nos appareils n'est pas reniré.
voquéedélibérément.eilene peut s'étoriner refusaient
Au
cours
des
derrières
vingl-quatre
heures,
do sortir et do so rendre furent mas¬
de voir les procédésanarchistes reprendre sacres a l'aide do grenades. Le nettoyage des 17 tonnes de bombs s ont éló jetéés sur des
6 juillet. — Actions
d'artillsries
ré¬
faveur. Desjacqueries, des guérillas, des defenses ennemies, cffectué sur une profondeur objectits-variés.
ciproques
de part et d autre du Varmeurtres isoléssont dans les probabilités, de 600 metres environ et sur un front d'a peu
dar et dans la bouclé de la Gerna.
car les violationsdu droit des gens se re- prés autant, no coüta qno des pertes légères aux
Grande activité des patrouilles
en¬
FRONT BELGE
tournent it la longue centre ceux qui en chasseurs, grace au bénéfleo dé la surprise.
nemies dans la région de HumaLjumdonnentl'exempleet qui en font presque Quant aux Allemands, ils curcnt une ccntaine de
nica.
tués et perdirent 43 prisonniers et 2 mitrailleu¬
parade.
A l'Ouest
de Goritza,
les troupes
Communiquéliebdomadairedu 29 juin cm
ses qui purent être rapportces. En réalité, ils
Pour le moment,ainsi que le prévoit no- ont perdu au moins une vingtaine do ces engins
franqaises
opérant en liaison avec les
S juillet 1918.
tre confrère,il faut s'attendre it voir les qui ont été ensovelis sous les ruines des pill¬
ont entrepris
sur
Pendant
la semaine
écoulée,
plu- troupes italiennes
Allemandsexploiterit fond le meurtre de box.
les hauteurs
comprises
entre Devoli
,
sieurs
patrouilles,
qui
tentaient
d'aleur représentant. I!s auraient déjii pu ocet Tomorica,
une operation
partielle
Quoiquo peu considérable en lui-même, ce
nos tranchées,
ont été repouscuper Moscouet Petrograd s'ils l'avaient coup de main a produit un gros effot moral sur border
destinée
a améiiorer
leurs positions.
sées
par
le
feu.
Des
rencontres
de
voulu, puisque les Lenine et les Trolski les Allemands, car ils ont cu la deux compagnies patrouilles et différents raids, exécun'étaicnt ni en situation ni en humeur de entièremeüt détruites.
tés avec succes par nos détachements,
leur rien refuser.
nous ont valu la capture
de plus de EST AFRICA1N PORTUG AIS
lis avaient jugé cette formalitéinutile,
quatre-vingts
prisonniers
et de deux
étant donnéque le comte de Mirbachétait
e juillet. — L'ennemi continue h battre en
mitrailleuses.
le maitredu gouvernementbolchevick.Ils
retraite. Le 27 juin, las Portugais ont annoncé
L'activité
de
l'artillerie
ennemie
a
faisaient l'économied'une garnison.L'ocque l'ennemi oocupait Muoubaila. Le Ui juil
été d intensité
moyenne sur l'ensemcupationmatériellede-Moscoune changera
let, dss forces ennemies ont attaqué sam suc¬
La cooperation allemande (?)
ble du front. Quelques luttes de homces Nhamourra, h vingt-cinq mi lies au Nord do
done rlen au fond des choses,mais clle
bes, principalement
vers Dixmude
et Quiiimane. Elles ont rsnouvelé leur attaque la
entraine d'autres occupations,qui ne feOn apprend de source autrichionnc, quo I'Al¬
de plusieürs
3 juillet sans plus de succes.
ront qu'accroitre l'irritalion des Russes lemagne enverrait uno armée au secours do Nieuport. Bombardement
non bolchevikset leur désir de se débar- l'Autricho. Cette armée, de la valour do trois
rasser ii tout prix et par tous les moyens corps dArméc, serait placéesous les ordres di¬
blosresponsahilitésdo I'Allemagneimpërialiste. Et
de la lyranniela plus abjecteque le monde rects dii nouveau gónéralissime Below. La place
ii arrivait aux memos conclusionsque ses amis lo
lui serait assignee serait lo secteur alpiu.
ait jamais connue.C'estainsi que les com¬ quiLes
professeurFcersterct le docteur Muelilon,dont le
chemins
de
for
du
Trentin
sont
dója
pas¬
journal, d'un si poignantintérêt, vient do parait.ro.
plications engendrent les complications, sés au pouvoir des A!^?mands; et co3lignes ferLe comte do Montgelastient a parler en Allemasans qu'il soil encore possible, dans eet rées sorviraient exclusivement au ravitaillement
gno memoen s'adressantdirectementau peuplealle¬
immense marécage grouillant de forces des trojipes allemandes. Des regiments alle¬
mand. Sous le régime du bajllon,il va do soi qu'il
insoupconnéesqu'est devenue laRussie. mands seraient aussi détachés sur d'autres poiuts
no peut-pas encore diro tout ce qu'il a ii dire. Son
artide du Berlin.trTageblattest déja assez hardi.
du front pour soutcnir et survciller los troupes
de prévoir la marchedes événements.
C'estun réquisitoire cbntrolo militarisme.II appuie
Paris, 7 juillet'.
Toutce qu'on peut dire sans trop de pré- aulriehiennes.
les idéés do lord Grey, qui sont cellesdu président
somption,dit encore M. A. Albert-Petit,
NLClemenceau qui avait quitté Paris vondredi Wilson.
soit' et était allé au front, est rent ré a Paris dans
c'est que lemeurtred'liierparait être un de
« La justice entre les nations, dit le comte de
la soirée de diuiauohc après avoir visité plusicurs Montgelas,exigcquo !o » droit du poing» soit détlces failsqui sont capablesd'exercer l'eöet
niiivemcntaboil
ot que les nations,grandes ou pesccteurs.
d'un réactifviolent.Unegouttede solution
titcs, soiontégalementrespectées,qu'elles aiont les
appropriéesuftitü clariflerun liquidetrou¬
mêmesdroits,qu'ellessoient placeesexacteraentsur
lo mèmepied. Be mêmoque, dans Ia vie privée, il
ble grace au précipitéqui se formeau fond
At'quH
teiumt
Uil
n'est plus permis qu'un particulier ait recours a la
de l'éprouvette.Les nouvelles et brutales
LAJOURNÉE
DEFRANCE
force brutale, de mêmocela doit être interdit aux
Grenoble,7 juillet.
exigencesauxquellesil faut s'atlendre de
nations. II no doit pas y avoir deux morales, uno
On se rappelle Ia catastrophe du cliemin de pour l'usagepersonnel,et uno autro pour l'usago
Ia part de I'Allemagne—on peuten croire Un émouvant appel de M. Lloyd George
lei' de Saint-Michel-Demaurienne, en Savoie, politique.»
ses habitudes—conlribuerontftrefaireen
qui, Ie 11 février, coüta Ia vie a un certain nom¬
Cesidées-iasont, pour nous tout a fait courantes.
Russic le minimumde noyaurésistant au- A l'occasiondo la céiébrationdu Jour de France, bro
de soldats permissionnaires do l'armée d'Ita- Cequ'il y a de nouveau,c'est do les voir oxprimées
lo 12 juillet, et a l'appeldu comité brltanniquode la
tour duquelun commencementde recons- Croi.v-Hougo
en
Allomagneet par un général.
fran<*aise,
M.Lloyd Georgea aaressé le lie. L'instruction avait conclu a la responsabilité
Lo comte de Montgelasoso combaltrede front le
tilution peut s'effectucr.G'esttoutce qu'on messagesuivant
de six fonctionnaires ou employés. Lo Conseil do
:
dogmode l'arméo ii laquoltoil appai-ticntencore,ce
peut dire pour aujourd'hui, et c'est du Nous nous tournons les yeux voilés de larmes, guerre a acquittó les inculpes.
culto do la violencequi nous a valu la guorroactuel*
reste l'impressionque donneM. Kerenski. vers notro grando alliée et nous voyons les soufIe. Ii raontro que, pour uno nation quelconque, il
La suite dépendde trop de facteurs incon- Irauces qu'elle supporto depuis longtemps ; mais
n'y a plusd'aqtre sauvegardo qu'mic justico inter¬
nationale,garantie, au besoin, par les sanctions né¬
uus pour qu'on puisse aller au-dela. Elle nos coeurs ne s'enilaminont-ils pas quand nous
Japonals
dans
tastiesduPaeifique
cessaires. Que valent ces fameuses" sécurités stradépendde plus en plus de ce que pour- nous rappolons le courage indomptable et les sa- Les
tégiques » que le gouvernement allemand prétenTokio, 7 juillet.
eritices do son peuple.?
ront faire les Alliés.
drait exiger, s'il était victorieux ? Elles ne sorvi¬
La Russie,a dit M.Wilson en un mot Dans notro ïlo que ceint la mer, nous ne pouLe gouvernemen a établi uno administration raient de rien. « lïn eftet, dit M.de Montgelas,dans
vons
pas
nous
rendro
un
compto
exact
des
deso¬
civile dansles ïles du Sud du Paeifique occupées les guerrcs a venir, dès le premier jour de la mobi¬
sur lequel discutentles lexicographes,est
des ruines et des souilranees qui se sont par les Japonais.
lisation, des canonsa longuo portee, d'un calibre
incapable « de se secourir elle-mémc» lations,
dont on n'a encore aucunoidee, pourraient bombarsur la belle terre do France cl sur son
(helpless).L'attentat d'hier ne corrige pas abattues
ber Strasbourgdepuis Toul, Trieste ou Pola depuis
peuple héroïque.
Veniso; des centainesd'escadresaériennosferaient
cette impression, car ce n'est pas en supLes soldats et lo peuple ont, avec un courage
tomber uno pluio de feu, bien loin do la frontière,
primant unagentqu'on affranchitun grand inóbranlable, uno longanimitó et uno patience,
LeMinistère
Chüien
démissionne
sur les cheminsdo for ct les grandesvilles : les gaz
peuple, maisil alteste au moinschezquel- uniques dans l'histoiro, vaillamment arrêtó la
ompoisonnésporteraient la mort a dos lieues de
Santiagodu
Chili,7
juillet.
ques-unsune résolution farouchede sortir maréo du militarisme bas, brutal, dépourvu do
distancedans i'inlérieur du pays. »
Le
ministère
a
démissionné.
Dansla guerre, telle qu'ello"est devenue, si l'un
tous les idéals, qui, s'il était victorieux, briscde l'abime.
des belligérantspeut vaincre, aucun ne peut gagner.
Que cette résolution se manifeste par rait et anéantirait los liberies des peuples libros.
C'est
la legonque tous les peupios doiventtirer do
Mais a quel prix la Franco s'est-elle tomie au
une franche union des forces nationales front
la catastropheactuelle, afin qu'ellesoit la dernière.
avancé de la bataille ? Des morts héroilalcntes, par une conüancesans réticences ques, des muiilés et des blessés innombrables, UN AUTRELiCHNOWSKY
II est intéressant, en outre, de constater
dans la nature du concours que peuvent des villes industrielles prospèros dépouillées, des
qu'un militaire, un homme du métier, confirme
leur apporterlesAlliés,conclutM.A.Albert- villes historiques ayant des traditions et des mo¬
la these du diplomate von Kühlmann sur l'imPetit, et IaRussie pourra encorerevoir de numents d'une architecture inesiimablcs, bomLe gouvernement imperial allemand doït es- possibilité d'une solution exclusi'vopar lo moyen
meilleurs jours. En dehorsde cette dou¬ bardées et en décombres, des villages en ruines, suyer un autre désaveu do sa politique : dans un des armos, indépendamment des procédés crimible condiiion,il n'y aura rien de changé des millicrs de foyers detruits, do longs corteges article du Bejliner Tageblatt le general comto de nels qu'entraino aujourd'hui la « guerre de peu¬
pour les Russes que la personnede leur de femmos et d'enfants sauvés seulement du dé¬ Montgelas, proteste a son tour contro les prati¬ ples » telle que l'ont défrnie Hindenburg et Lusespoir par l'amour immortel de la Patrio. Vrai- ques de guerre dont il a été le témoin indigné. dendorff dans do récentes dédaralions.
tyranneau, ce qui ne serait rien, car tous ment,
quand l'histoirc.sora écrite, le patriotisme Sa protestation n'oura pas moins do retentissese valent.
aura uno signification plus noblo ct lo sacfiiice mont que le mémoire de l'aucien ambassadeur a
Sur le FrontItaliën
Oehér
M.Clemenceau
surle front
ENGRANDE-BRETAGNE
uno plus grande di'gnite.
Avec la « Journéo do France », l'occasion de
l'aider se présente. Une oeuvre magnifiquo a été
accomplie par notre comité britannique de la
Croix-Rouge francaise depuis prés de quatro ans.
Les besoins n'ont jamais été plus grands que
A propos de l'affairo de Villers-Bretonnenx, le maintenant. Donnons done aujourd'hui nos prio¬
correspondaut du Tempsécfit :
res et notre aido a cette Franco dont les fils ont
On doit noter que les Américains se portèrent cornbattu et ont péri aux cötés de ceux quo nous
a l'atlaque en criant : « Lusitania, Lusilanm.' ». chérissons pour Ia cause commune et l'héritage
Parmi ccux d'entro eux qui se distinguérent par- sacré de la liberie.
ticulièremcnt, on signaie un caporal mis a l'orNos zouaves
en Angleterre
dro pour avoir tué sept Allemands, savoir trois
a la baïonnctte et quatro a coups de greaadc3,
La fête du li juillet sera principalement célébré0
inalgré que lui-même fut alteint de trois bles¬ dans les lies Britanniques,sous le nom de « Journée
franc-aise», lo 12juillet.
sures.
La musique du 1" zouaves, comprenant quatreAu fur ql a mesure que l'interrogatoire des
vingts
musiciens, a été prètée par ltvgouvernement
prisonniers avance, on acquiert de.plus en plus francais.
11juillet, elle jouera au palais Buckin¬
la couvlction que les Allemands ont été eomplè- gham en Le
presence du roi. Unemesse solennelle.sera
lement surpris par l'attaquo d«s Australians et célébréodans la cathédrale do Westminster, !o 12
des Américains. Beaucoup d'entre cux, terrés juillet.te gouvernemenibritannique sera représentó
«lans lcurs abris, n'ont pas eu le temps d'en sor¬ et l'ambassadeurde France y assistcra, La inusique
tir. Ceci explique Ie nombre trés élevó relative- des zouavesy jouera aussi ot ello se rendra ensuito
ïuent des prisonniers et aussi le fait que, dans ia a Mansion Ilouse, oil elle sera regue par lc lordcirconstance, les tanks n'ont pas été accueillis a mairo.
Le 12 juillet sera célébré dans toute laGrandecoups de balles perco-cuirasse. En efïct, si leur Bretagneet
dans la plupart des colonies britanni¬
intervention avait été previte, certainement les ques par la ventndans les rues do petits drapeaux
troupes cusseat été pourvues do ces muuitions au profit de la Croix-Rougefrangaise, et il est cer-
L'Affaire
deVillers-Bretonneux
Épécialcs.
Londres.
L'acte courageux de l'ancien général allemand,
renvoyé pour^la cause, infiniment honorable,
d'humanité onvers les vaincus, est signalé commo il suit par le Journal de Genève:
Ce n'est pas sans surprise sans doute que, lo dimanrhe 30juin, les Berlinois auront lu, en tête de
l'organe de ThéodoroWoff,un article d'un général
d'infanterle sur la Sociétéitrs nations et les idéés
récemmenténrises par lord Grey. II n'est peut-ètro
pas sans intérêt dedire quels sont les antecedentsde
Tauteur do cot article, le comteMaxde Montgelas.
It appartienta une familie d'origine savoyarde,
devenue bavaroise au dix-huitièmesiècle.C'étaitun
des officierssupérieursles plus estimés de l'armée
allemande. Aprèsavoir pris part a l'expéditioride
Chine,il avait été attaché au grand ëtat-major. Au
début de la guerre, ü exergait un commandement
sur lo front francais. Révoltépar les excès des ararmées allemandesen Belgiquect dans les dëparternentsonvahis,il s'efforgade trailer les populations
civiios avec justice et humanité.Et ce tut le motif
pour lequel i'l fut inis en disponibilitë.
Le comte de Montgelasvint se réfugieren Suisse.
Avec line conscienceadmirable,il se mit a étudier,
d'après les documentsles plus authentiquos,la ques¬
tion des origines do la guerre et do la violationde
la Belgique.A mesure qu'il avangait dans son tra¬
vail, sos idéésse modifiaient. Ce n'est pas trop de
parler d'une conversion. Commc presque tous les
officiersallemands, il avait cru a t'infaiüibititéde
En quelques Mots
— Le président Wilsona conféré une heure et de
mie avec MM.Lansing, Baker, Daniels et l'amiral
Benson,chefdes operationsdo la marine.
— Unineendiea ëclaté samedi soir a Bale dans
les docks du port du Ithin. Un million do francs do
colon a été détruit.
—Unedépêchede Constantinople roctifiolo nom
du nouveau sultan,qui est Vahid-Eddine,et non pas
MehmedVI.
— l'ne delegationduComitédu« Souvenira Henri
Rochefort» s'est rendu au cimetièro Montmartre,
déposerune couronne sur le monument du célébré
polémiste.
— M.Dissard, conseillcr & la Cour d'appel de
Douai,est mort en captivité, dans un camp alle¬
mand, d'une pneumonieinfectieuse.
— Un agent a tué, a Gérardmer, le tcnancier
d'une maison publiquode deux coups de revolver.
— Le Guatemala vient dinstitucr lo li juillet
jour de la fète nationale.
— Un lieutenantet nctif sergents grecs, Instigateurs d'une sedition, Ont été condamucsa mort ct
RdgvaitconstRtgr
lestgrrt- lusüléjA'Cczafl»,
,taiuqu'uucsoauactrésimportante
«ra, rgcutilUe.soup\js. Maiuteuvoit,
D'autropart, eu Autriche,en Galicio,des pogroms
LemeurtreducomtiMirbach
ont lieu uil peu partout ; on cite, a l'heuro actuelle,
plus de 20 villages israélites detruits, nolamnient
Oumande do Berlin:
gros bourg de Klasene,Viclitcho,oü les soldata
C'est samedi matin quo deux hommes firent les
ct la policepartieipérentau massacreet au pillagedemander un entretien au ministro allemand a A Goukhof,toute la population masculine de na,
Moscou.
tionalité juive a été massacröe.
Le comte Mirbach le leur accords en presence
Los « liataillonsde diftenso», qui ont été constldu conseiller de la legation, M Ritzier, et d'un lués par les comraunautës-israélites pom- assurer
leur
jirotection,sont l'objet de la part des autorités
officier qui se trouvait dans lo cabinet du mi¬
allemandesde la plus grande suspicion et la plu¬
nistro.
Les deux inconnus dès qu'ils furent introduits, part d'entre eux ont été dissouspar la force.
sortirent des revolvers et tirèrent sur le comte
Mirbach, le blessant légèrement a la tête. Ensuite, avant d'avoir pu en être empèchés, ils jctèrent deux grenades a main dans la piece, puis
ils sautèreut dans la rue par la fenêtKe
Le comte Mirbach, grievement blessé par les
DEUXAVIATEURS
SUÊDOIS
PERDÜS
EKMER
grenades, mourut peu après, sans avoir repris
Deuxaviateurs suédois, lo capitaineKrokstedt et
conuaissanco.
le baron Cederstroem,qui étaient partis il y a quel¬
M. Ritzier et l'officier allemand ne furent pas ques jours pour traverser la Baltique, dans un iiydroaéroplane construit pour la Finlande par un»
blessés.
Aussifót après quo l'attentat fut connu, les compagniesuédoiso,ont disparu.
Lesrecherchesontreprisosont amendla découvercoinmissaires pour les affaires étrangères, MM.
de débris d'un avion dans leseaux des ïles Aland.
Tchitcherino et ICarachan,vinrent a la legation ie
Oneraint
los aviateurs n'aient péri. Locapitaine
ct ils exprimèrent l'indignation et les regrets Krokstedtque
était le meilieur aviateur do la marina
du gouvernemónt des Soviets pour l'événement. suédoisoet le baron Cederstroem était le premier
On n'a pu jusqu'a présent découvrir les meur- aviateur suédois ayant obtonu son broveten France.
triers.
(LccomtoAlfreddo Mlrbach-Goldern-Egmont
était
MER
né en 1872a Munich.1!entra jeune dans la diploma¬
tie allemandeet a oceupódos postes subalternes ii
Paris, Bruxellos^Viennect Bcrno.II revint a Paris,
IA FIKÜÉROIÜUE
DU« PARTEKOPE
o
avec lo grade do conseillcrde legation, on lyOü,et
y resla deux ans. II était inarié a une coratesse
On telegraphic de Rome :
Hoyos,de la même familie magyare que la femme
Le petit croiseur itaiion Partenope,de 83i lonuod,
du prince Herbertdo Bismarck.
par un sous-marinallemand,alors qu'il conLocomte Mirbachavait présidé la « mission éco- torpiiló
des transports, et mortellementtouché, n'ea
nomiquo » envoyéoa Petrograd fin décembro"1917, voyait
continua
moins ii diriger un feu intense sur 1»
et it avait été nomméambassadeurallemandauprès pirate qui,pas
finalement, fut coulépar sa victimo.
du gouvernementdes Sovietsen avril 1918.)
LES EXCUSES DE LÉNINE
Lénine vient d'adresser au minislre plénipotentiaire Ioffo a Berlin la communication suivante :
Aujoui'd'hui,k 2 heures do l'aprês-midi, deux in¬
connus out pénétré dans l'ambassaded'Aliemagne,
munis do documentsdo la Gommissionextraordinai¬
Ilrc-oi'iiiion
re. Ils ont lancéuno bombo dans lo cabinet du com¬
M. Raymond Qauthier, téléphonisto au 141*
te Mirbach. Celui-cia éló grièvoment blesséet est
mort.
régiment d'artillcrio lourde, a rcgu la decora¬
Les représentantsdu gouvernement ont tónt de tion de la croix de guerre britannique, a la
suite renduvisite a l'ambassaded'Aliemagnepour suite d'uno attaque a laquelle il a participc.
faire part do leur indignationk l'occasiondo eet acte
M. Raymond Gauthicr est le fils du rogretté
qui est considérócommeunoprovocationpolitique.
Lo gouvernementprend toute-,les mesuresnécessai¬ maitre d'escrime de l'Académio d'Amies qui,
res pour découvrir les meurtriers et pour les tradui- engage volontaire, est tombé au champ d'houro dovant un Tribunalrévolutionnaire spécial. On neur au début des bostilités en Belgique, An¬
ronforcerales mesures ayant pour but ia protection cien élève de l'Ecole Primaire Supérieure, ii fut
do l'ambassadoet des ressortissantsallemands.
lui-même, jusqu'a son incorporation, maitre
Lo gouvernementvous demando de vous rendre d'armes en notre ville.
tout do suite auprès du minislre des affaires étran¬
gères pour exprimor au gouvernement allemand
l'indignationdu gouvernement russe en presence
Ije general
Leniiin an Havre
d'un pareil acte, Vousexpriraerez égaleineut votro
Le général Leman, le glorieus 'défenseurde
sympathiea la familiedu feu comte.
on le salt, s'est fixé a Etrctat, était
Un correspondant de AssociatedPress a de- Liége, qui,
au Havre.
mandé a M. Kerensky co qu'il ponsait do l'assas- samedi
Accompagné de M.le commandant Brouyère,
sinat du comte Mirbach. M, Korefisky répondit adjoint
au commandant territorial de la place
qu'il déplorait ièftturellomenttoujours tont meur¬ beige du Havre, le vaitlant general a rendu vi¬
tre, mais que cette mort sera un événement sile aux autorités militaires des nations alliées
heureux pour la Russie, « et marquera sans dans notre ville.
doule le commencement de la renaissance do
Le général Leman a regagué Etretat dans la
mon pays. Do Moscou parlira le mouvement soirée.
contro I'Allemagne. Los Allemands, cela estII sera do nouveau noire böte aujourd'hui
certain maintenant, occuperont.Mosc.ou.Mirbach lundi.
était le veritable gouvernement de la Russie, et
il s'ontendait si bien avec Lénine et Trotzky
Klariage
qu'il n'avait pas bcsoin d'appeler les Alle¬
mands. »
M et MmeRene Godot font part du mariagc
de leur lille, Mile Renée Godot, avec le capitaine
Maurice Gorge du 329-"régiment d'infantciie.
Un appel de Trotsky a I'Allemagne
La benediction nuptiale leur sera donnée eu
Solon desi informations recues do Moscou par l'église Saint-Vincent-de-Paul, lo mercrcdi 10
Vienne,des combatsauraient déjii commenceentro juillet, a 11 heures précises.
les gardesrouges ct des coiilingenls contre-révolu- Ji n'a pas été envoyé de lettres d'invitation, le
tonnaices,appuyés par des brigades tchëco-slova- présent avis devaut én tenir lieu.
qnes.
1
Dosource süre, on annoncequo Trotsky a ailressé, morcredi soir, un appel pressant au gouverne¬
Daim la Marine
nationale
ment de Berlin, le priant d'intervenil'd'urgenceavec
Par decision ministérielle en dato du 2 juiltet
des forces militaires.
1918, les officiers mariniers et quartiers-maitres
dont tosnoras suivent ont été promus pour compter
Terestchenko a pu s'échapper
du l" juiltot 1918:
Au gi'adede maitre de manmuvretomporaire,les
M.Terestchenko,ministro des affaires étrangères
dans Ie cabinetKerensky, est arrivé a Borgen,par seconds maitres de manoeuvretomporaireGeorges
Dubocet MaximeDehais,do Fëcamp.
la cóto mourmane.
D'aprèslesdëclarations qu'il a faites, M.Kerensky Au grade do maitre mecanicien tomporaire, Ie
est Ia soul ministre qui ait rëussi a s'échapper lor's secondmaitre mëcanicientomporaire Louis Bailledo l'insurrection bolchoviste. Ses collèguesfurent hache,du Havre.
Au grade de premier maitre canonnier,lo maitro
emprisonnésdans la forteressePierre-et-PauI. &eux
du Havre, avec
d'entre eux, MM.Kossikanet Scutgin, qui étaient canonnier Acbille-Auguste-Suipiee,
tombésmalades,furent assassinés a I'büpitalpar des 410points.
Au
grado
de
maitre
mécanicien,lo
secondmaitro
marins.
Libéré en févrlor, M.Terestchenko réussit ii fhir mécamcien (application des dispositionsdu décret
du 17 avril 1917),Jcan Déniel, du Havre,avec 838
dernièrementla Russie.
points.
Au grade de second maitro do manoeuvre, les
Avance des Tchéco-S/ovagues
quartiors-maitres do manoeuvreJulien-DanielMonó l'Ouest de la Volga nier, de Fecamp,311points ; Henri-EdouardLo Gohio, du Havre,202points,ct Raymoud-Eugéne-Paul
Selonun télégrammedo Moscouiil'agenceReuter, Foron,
de Fecamp,112points.
l'agenceofficiebomaximalistoannoncoque les trou¬
Au grado de second maitre timonier, les quar¬
pes tchécoslovaques,après avoir occupé Sysran,sur tiors-maitres timoniers Fernand-Paul-André
Lofranla Volga,ü l'Ouestdo Samara,avancontvers l'Ouest, fois, doFecamp, 290 points ; Albert-ThomasGuerdans la directionde Kusnetzot dePenza.
ricr, du Havre,206 points; Louis Lectêrc,du Ha¬
vre, 202points ; Mauricc-I.ouis-Frangois
Martin,du
Une nouvelle revolution en Ukraine
Havre. 131points, et Bernard Ccccaldi,du Havre,
Une dépêche de Moscou, 28 juin, relardée en 140points.
transmission, dit :
Franco-Amtrleaine
Dosvoyagcurs arrivés do Kief a Vitebsk confir¬ IHaullrStation
med lo commencementd'uno nouvelle revolution
Un auditóire.nombreuxet rccueilli a écouté, bier
en Ukraine.Ils estiment A75,000 le nomine des ré- matin, avec l'intérêt le plus vif ct le plus soutenu,la
volutionnairesqui, bien armes, s'avancentdo Fastof remarquableallocutionprononcée au Templede la
dans la directionde Kief.
rue du Lycéepar M.le pasteur Grauierii l'occasion
Les détachements allemandsóvitent le combatet de la doublecommemorationdo deux anniversaires
se replient dans la directionde Kief.
3ui marquent des dates inoubliablesdans l'histoiro
Toutesles communicationsentro Kiel ct Odessa es démocratieset do Ia liberie : 4 juillet et 11 juil¬
sont interrompuosdepuis quatre jours.
let.
Kousr *saurionsentreprer.drode resumer eet ex¬
Le sort des Frangais
cellentdiscours, vibrant do foi patriotique,oü l'orateur,
Les Frangais qui resident en Russie, soit stir plus :
le torritoiro de la « ltépublique des Soviets», ' tional,
soit dans les regions occupées, no courent en tions et illuminedes mêmescspéranc.os.
L'évocationdo trois grandes figures américaines,
général aucun danger.
La question alimentaire est cependant préoc- synthese do la race : Washington, qui avait fait au Havre,cn 1873,d'une inoubliableconfe¬
cupante pour eux, comme pour tous les autres l'objet,du
regretté pasteur Ernest Fontauès, a la¬
habitants, dans lo Nord do la Russie ct jusque rence
quelle l'orateuca fait uno touchanteet respectueusa
dans la region do Moscou.Mais dans cette der¬ altusion; Abraham Lincolnot le président Wilson,
nière ville le consulat général do Franco a pris a fourni au pasteur Granicr un des plus beauxpas¬
les mesures nécessaires pour la subsistanco des sagesde son discours.
On a reténu l heureuse et juste pensde républiFrangais peu fortunés.
caincqui relia enlroeux les souvenirs de ces illustres
ouvriers do l'avenir démocratique: WastiingBolchevisies et Allemands
ton, apótredo la Liberie; Lincoln,apótre de l'Kgaiité par l'abolitionde l'esclavage; lo président Wil¬
On mandede Stockholmt
son, apötre de Ia Fraternitó — rësolue dans uua
Suivant des nouvelles venues de Moscou, le Sociétédos Nationsdresséesur les bases du Droitet
bruit s'est répandu dans cette ville, vers lo mi¬ do la Justice.
L'élévationdes pensées, l'barmoniouso souplesse
lieu do juin, que les autorités militaires alle¬
mandes avaient demandé a faire passor sur tor¬ et l'e.xpressien vivo de la forme esquissant, eu
ritoiro russe onze échelons de troupes, dans les marge do cesgrandespages, la jeune ct iumineuse
silhouettedoLa Fayette, ont causé sur l'auditoirö
directions de Vologda ct de Yiatka.
uno profondeet forte impression.
LAGUERRE
AÉRIENÜ1E
Mp Locale
Les Pogroms se génêralisent en Russie
lies frnvaux
des soldats
beiges
De toutes les nalionalités de la Russie, il scmbtc
au front
que ce soient actuellement les israélites qui soufLe Cercle militaire beige LThiion, de Grafrent lo plus de I'anarohie générale et du confiit
d'intérêts ct d'idées qui met aux prises tous los ville, organise, pour le samedi 13 juillet ,una
partis.
exposition artistique des travaux des soldats bei¬
En Ukraine,les communautés juives sont l'objet
de la part des nationalistes do violencescontinuel- gesO'dutefront.
exposition, qui aura lieu, 170, route Na¬
les par suite de leur attachement a I'unité de la
tionale,s'auuoucccommedevant être.lortiutó
Russie.
EntmssisBiaticiiv»
ils spattuitssacrcj
p«uks bol-.
Le Petit Havre — Lundi8 JuittetIMS
Noecè* nnivcr»lt«lr«
MileVertier, filte ainée de M.Vertier, sous-in¬
génieur principal des Ponts et Chaussées, qui dirige a Tancarviile des travaux trés importants
pour le eompte dc l'Etat, vient de subir, cette
année, aver suceèsies examens dn diplome de¬
ludes supérieures, a la Sorbonne.
L!an dernier, elle se faisait rccevoir licenciée
ès-leltres.
Cette aneienne élève dn Lycée du Havre fait
hormeur a notie établissement SteDseignemeHt
supérieur pour jeunes files.
1/ tffaire
llnrand
Ce Jottmni (Iflkiel da C judlet publie l'arrêt
rendu le -!5 juin dernier, annulatrt l'arrêt rendu
par la flour d'Assises de la Seine-fnférienre &
f'égard de Jules Dtiravnl.joni-nalier au Havre, qui
avail été «eeuw d'excitaJloa au aieurtrc d'ün
journalferLa place nous manque pour reproduire re, long
document dont nous avoirs d'ailleurs lait connaitre prtevdoronu-nt tos eoaelttsions.
Krave
Arridcnt
d liitomiibilf
Vemiivd* dernier, vers 6 b. i/2 de Fapivs-midi
Cu trés p-ave accident stort preriuit au Nico Havrais
La Jeune Gbrtstiane Leeourt, Sgée de 3 ans, pet tefills tie ft. J. Langkns,
négoefent au Havre, a été
renvorsée. avenue 'des RégakVs, par imc automobile,
anrtwne voitoro de tootsrse, eondurte
par M.J...,
Irandftatee an Havre.
L'-niawt, grirvvmeiit
Messtoe, a été transporten a
ritopifcd
"
dn Palais dos Borates, 06 (die est
resten en ttaftomeiit -sans que les niëdecins paissent
se piMiKWKvirsur les suites do eet accident. La IMh-te.qtu a été trainde sons le vebknde sar nne assez
grande longueur, a la figure tunw'fide -et tout un
rót- partdysé.
Plantte a étc portee au procureur de la République quia ordonaé uno enquête.
COQUELUCHE
Poer faire disparaitre rapidcmorit les qaintes,
emptoyoz le üirop IiiEUMKT, 4. fr. SO
le Bacon. Dépot au PILON D'OR, 20, place
'ie t"flètel-de-Ville.
Thé&tre-Cirque Omnia
Cinéma
— Procés-verbal a été dréssé par la police do
permanence cestoe une 'feu ruw Creasiile, 33 ans,
«mployóo a la manufacture
dé tabaes, doraicUiée,
af, quai d'Oiléans
"Marie Vfba»t, 86 ans, infirmiéfe, même adrdssc, et une tanme
Vasseur. 37
ans, employee d'oeiroi. S3, roe Augusitn-Normana.
Ces trois temmes avaient été surprises, vers six
heures du sou-, dans tui grand magasin du centre
de la vitte, au moment «a dte
une
lainage
'nuit, un caehe-corseLimo vioücUfc, .deux «inpons dë
galon irerr et unc paire do gants.
Dos perquisitions,
opérées a tear domicile, amcnorent la découverte d autres objete égatement soustraits par la femme Croistlle et Marie 'Vibaut.
Patlté
W-
Grand Drame sratsationnrt
111 ii'il iril liiiim
iff
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Spécialité
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M. Louis LISS, actueltement
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Irèro ;
M" Marguerite HOULLE. sa bc-lle-siT-m-;
M. et M"--Joseph LISS et tears Enfants, scs oncle, tante, coitsin et eousine ;
«MXmssznzjrvs
v Monsieur
Alfred
GHROIIQUB
RMIOMLS
déeédé to 6 juiliet 1918, dans
de? «ac-remente dc l'Egüse,
Montivlifiers
On so réunira
de Normandio.
au domicile
LSSS
»
Folifs-ïi er tfèrr
h; 3A »*elaif6
representationqv.1(»
du
Xue(|iment,
valid 'villo cn :t act^
* ap«t ut.
M. Aqgeioi daaa'id tfdie 4u Goloael.
f'onrci-f
die
la
'
Fanfare
dos
Invalide»
beige»
Grace : a rinitiabivo
de eette Socteté, un concert
viaimoiit artistiquo eiait douué hier, au squareSaintRocli Pu> vj' le trés 'beau temps, un trés nombreux
auditqne fut lougunment civarme.
Au programme
figurait l-a première
audition de
^"x
Poéte-compositeur
Théophilc Dron« hat, autcui justofaent iqqdiuidi du niagnifiquo cantiquo a ia ïfelgique : Ta renaXSras 3e s uouveltcs
compositions
: Chant if. Hminc ct La Cathedral.
d une, inspiration allicre ét émouvante,
d un grand
alii aibnmsical. no pouvaient avoir do ajfeilleurs interprctes quo ft. Afeiiiitc Wildt. tenor, pour la premiete,-Rt M. Leo Marco, basse ckantaute.-po.ur ia se¬
conde. Ges artistes excSilont, par uu qiart'ait ernploi
Ac lours nioyeiys vocatix ct Une puissance dfoqaSte
decoraprdtiension,
A denn«
aux deux omvres dé
Thcopliife Drqndbat uu relief ideal.
M. v ildt fait encore admirer
sa .scionco et son
expression dans i:Ml<u,i<e
(Uruncaui et
M. Marco rovj.de telt to temipleur et ütoa«eT«4
organe pour la pres, -illation des strophes fameuscs
du toreador, dims Carmen.
Mme Touriiié-iferb, caniatrico a Ja voix souplo et
charmante, sait trad ut re la grace joyeuse et folle du
motif « Je suis eneoro lom étourdie », de Manon
et la joliesse sentimcntalo
do .fair : « Il rn'est doux
de revote la plaoe accowumco •>, tire de La r«««
(is. liodardl.
Par lour talent et P-ttr brio. Mme Touruié-JJerh
WM. Adbitle wildt '4 l.oo Marco interprdteat
superbement Ie ÏV-i'ode Faust,
11
tJpa
Do vifs compliments sontdus a teortfisno accompagnateurM. Pb. Mousset, [Haaiste au teu ddiieat,
cnergique et sfir.
'
1
Que dire de la Fanfare des Invalides Beiges ?
,
Societé, qui est bhc excellente. .. harmonic,
Ct dans laquelle k-s bois rivaSseat tféclal et do so£ori !'J!T
'é^ éuli'rcx. peut, sous la direction
de
W. Leon lane, ré, chef aussi tatentueux
que svropaIhique, incttro aiseim-ut en vatear
une marebo
implialc, Franc a (do Ü- PiU-adis), le Laid de Faust..
WARHOUT, tèars
Pour
POUR.
:
h S fr. SO
UN ANGK AU CIEL I
h ne
vitation,
eera
pas envoyé
de lettres
d'in¬
le present
axns en tenant
lieu.
8&gB«»iMUmxHmnrvmftHMgB5B—— —
-
—
IIUlWIIMII
I!!>■illWWftBBÉÉ—
pSSsr^
et
Luutli,
Louis
Jtort'L
no fait plus partio de sa maisonde com¬
(2479«)
Obturation des Dents, a for, platine, (mail, eto
TRAVAUX AMÉRICAiNS
Bridges,
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TOUT
SANS
LAMQINBRE
D0ÜLEÜR
le 1/2 kil.
(•ar Anesthésic
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tous les travaux
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DENlAISr
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net.toyage.
S'adresser,
88, rue dc Normandio.
Blens
è Vendre
Loidu 19 Mars 1917
Licitation
(2480Z)
l'ORTHOMME
AUrSHiliP
cn I'audieqce des
VLJiUhL
criées du Tribu¬
nal civil du Havre, au Palais de
Justice, boulevard de Strasbourg,
de 14 A 16 ans, rue dc la Halle, 36.
(2506z)
lo Vtnilredi 26 Juiliet IMS, 4 deux
Retires précises dc 1'apros midi :
I'crmcs,
tlaisnns,
Pavil¬
Bonne
a tont faire,
pas
ions,
Terres
et Bois.
Irop jeune, sachant faire la cuisine. Place stalde.
Bons gages. — S'adresser an bureau du journal.
PREMIER LOT
cr==_====_____^
(24.tt.8z)
Grande
ct belle
Ferme,
m DEIAADE
UNE bonne
oTIüï
A\l
1)5,114 Ylir
nne Bonne
4 tout fatre,
Uil
HIill.l
tifL
de 17 4 18 ans, avant déja été
placee. Bons gages. Réiércnces sur place.— Prendre
i'adresse au bureau du journal.
(2497z)
lUSTfl-A-TlPRDK1
0n
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8 RJC/flfa 1 i.flHfe -meubfée,
chambre ou
petit salon, pour servir de pied-a-ton'c dans la
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boulevard
Franqois-I",
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chambre
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facultative
pou¬
vant qcrvlr ch\ petit salon.
Conviendrait
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I'rendrc l'adresso au bureau du journal.
(2499Z)
A I (II tl)
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JhULfjII
menWécs,
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joh bourg do cainpagno,
S'adresser au.bureau du journal.
—•» (2409)
Prendre
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au bureau
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du journal.
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TR0JSIÉME LOT
me Léön-Gambelta,
n°- 18, 20, 22, rbites (( I'lIItlPPR
iltftcomprenant
trois
maisons avcc RES
Ferme
a Saint-Nicolas-de-la», et dont lo siège étaft au
lears
dtipendsiices.
TaiJ|e, canton de Litlebonne.
Havre, ruc Dumont-d'Urville, n oo.
• Onitenance
28 ares 20 cen¬
Contenance H hectares 03 ares
Et aux ternes de eet acte Montiares.
94 centiares.
Br.™,„in,-i,
,
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sieur Francis-Jean
Philippe, sent
Revenu 3, 91o fi. pour les porties propriétaire
en vertu des statut.-*
Revenu 1,405 fr.
louées
de ta Société, de la clienlètc et do
Mise 4 prix : I (!,000
fr.
Miso 4 prix
I. 5,000
fr.
i'achaiandage attachés au fonds do
commerce de bois exoliques
et
QUATRIÈME LOT
ONZIÉME LOT
autres, qu'exploitait
ia Sociélé-,
Pavilion
et Ferme
4 SaintUne
Pièee
«lo Tei*re,
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Saini-Euslaclic la-Forêt^sur le bord meub!es,dn mate'riel, del'oulillago
ehemin de Bolbec 4 Tancarviile.
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la rd in jFagrément.
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mer.
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, ,
lant dc Monsieur
Assustc-Léon
Revenu 2,300 fr.
sadresser,
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rensefgnePhilippe,
Mise 4 prix : 35,000
fr.
ments, 4 :
i Les oppositions, s'il v a lieu,
J" M THHiLARD :
seront recues an domicile, élu en
aNQUIÉME LOT
Et 4 Fétnde de feu M' JACQl'OT, i'étudc de M Le Houx, notaire,
Ferme,
4 Saint-Nicotas^de-la
avoué- au Havre ;
dans le délai lé-gal.
Taille, et par extension sur Saint- .
2' M'MIMEREL, notaire 4Bolbec; j
Pour denxiéme insertion :
Jean-db-Folleviiie, Bots taitlis, con- j
S' M'DEFOUG Y.notairc a Rouen, j (2009)
(Signé) : .iavaux.
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a» Havre, 33, rue Jvles-Anccl
et tin JEUNEHOMME
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ou caissifei-e.
Preset:. — Prendre
Fadresse .au bureau du journal.
*24742)
leur filie, so-ur et parente, déeédée le 5 juiliet,
4 4 b. 30 du matin, dans sa -ia" année, munie
des Saerements do i'EgHse.
16,
Havre;
MALADIESDE LAB0UCHEET DES DENTS
D^IVTES
has
Aujourd'hui
Matie!-Yvonne-Lou?ss
WANH0OT
nORDÊT (AThcrt-Gabriel), employé de commerce,
Vous ftes pric do bicn vouloir
assister
aux
ruo Fi-édérie-BolIengor, 83, et JULY (Eugënie-Ferconvoi, service et inhumation de
nande), employee do commerce,
rue do Normandie, 371.
Antoinette LE IVIORE
PAIS AST (Joseph-AIp!ionse),comptablP,
rue Louisdéeédée le 6 juiliet, a 10 heures du matin, a F4ge
Pbillippe,GO, etBOl'DlH (Suzanne-Celine),
satis pro¬
de 2 ans J/2,
b
fession, a Ilonfleur.
Qui auront lieu le mardi 9 courant,
a nne
ROHSIAUX (Ennfe-Vietor),
ingénieur,
rue Raci¬
beure et demie du soir, en Féglise Notre-Dc
■Dame,
ne, et DAUSE (Louise-Gasparino),
institatrice,
a
sa paroisse.
Bolbee. *
On se réunira au domicile mortuaire,
14, rue
STAS (Ernesl-Jeani, comptabie,
ruo Voltaire, 20,
du Perrey.
et DUFHLNK (Marie-Cétestine),
couturlére,
mêmes
De la part do s
rue et numéro.
M. et Mn° Raymond LE MORE,sos parents:
SCKMfD (René-Léon), charretler, place du ïlarchéM, et !tl'- -ophael LE MOREet leurs tnfants ;
Holve-Dame, 35, et LESCH (Louise), empioyée,
rub
M. et M" dues LE PETIT et tears Enfants ;
des Galions, 13.
des Families LE MORE.SAUT EUIL, LE PETIT,
MAUROUARD (Georges-Emilc), vanuier, ii SassetotG0HDUUW,CHAPLLE, FEUTHY, HUCHETTE',
le-Maucoflduit, et DCTOT (Maric-Louise), euisinière,
MO-EL, LECANU,LEoOCQ,LECUYERet les Amis.
boulevard Albert-I", 42.
BENARD (Paul-Louisl,
électrkaen,
au Ifavre. et
(2504zT
SEGAIN iRachel-Gcrmaine), sans profession. a Tours.
P1EDFERT (Georges - Gustave),
chauffeur,
ruc
M. et M-" Ed. SERY, la Familie et tes Amis,
Jeannc-d'Arc, 25, et GENET (Andrée-Stizannc),
sacs
Rcmereient
les personnes qui out bien vonin
profession, é la Roebelle.
assister aux convoi, service et inhumation de
SERY (Adolplie-Louis),
éléctrlcien,
place NotroDame, 12, et TAIION (Albertine-Fernande,
a Lisieux.
Mademoiselle Renée SÉRY
CAPELLE (Albort-Auguste),
cultivateur,
rue Lesueur, 30éfs, et LEVAILLANT (Suzanuc-Gormaine),
ménagère, rue Victor-Hugo. 120.
M Lêon B0ULAUD, et son Fits, et touts ta
LE CESNE (Marcel-Jules), journalier,
quai Col¬
Familie,
bert, 47, et MARCOTTE (Augustine-Julieltfl),
jourRemorcient
les personnes qui ont bien voutu
naliére, mêmes quai et numéro.
assister aux convoi, service et inhumation de
POTTIER (Pierre-August.-!, mécanicien, au Havre,
et LEPKETRE (Germaine-Mario),
confectioimeuse,
Madame BOULAUD
ruc Daupbine, 27.
Née Ernestine-kdolphine
BLONDEL
I.AVANANT (Jean-Francois),
chauffeur, rue Franeois-Mazoline. 33, fit GUÉGt'EN (Loui.se,:, couturiére,
mêmes ruo et numéro.
Alai-égraphe
du
8
Juiliet
*
CAYROT (Alfrod-Eugène). monteur on ter. rue du
G'hiérat-Faidherbe,
lu, et BALIJEN (.loséphine-Augustine, journatière,
mêmes ruo et numéro.
Pleine Mer \ £ jj; ^ _ Hautcui' 7-40
BQISLE (Jacques-Emile), journalier,
rue Ju)es-Ma7 » .53
snrier, 20. et T1FFAY (Rosc-Héiiriettc),
jouriiali.'-re,
»
1 » 35
Basse Mer
!'{ I
mêmes ruo et numéro.
»
1 » 35
PLUS (Eugénel,
journalier,
ruc
du Général
® Heure ancicnne.
Faidherbe, 15, et LEERS (Rendu), jounialiére,
rue
AugusfeAYmite, 48.
MOREL (Heetor-Edounrdi,
comptabte,
aux Ne\:rotles (Ain), et LUCE (Madeleine-Gabrlefte),
stenódaciyiograpbe,
rue Rcgnard. 2.
LEPLAE (Vtoloi'dt-'ivii, n.'-gofinni, rue'd'Estimaui
1918,4
IS heures.
canalde
vllie, 29, et DE 80S SCHERE (Marguerite-MaddeineL
( Le 8 -Juiliet
Tancarviile, quai de Giro into, MM. Jamein ct C'
gouvernante,
rue du Beau Site, 13.
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LEGAIJ.AIS (Mauriee-RcnëL soldat au 131' d'indroit, cn vertu d'un jugement du Tribunal de Comfanteric, déooré do la Croix do Guerre,
quai de merco du Havre en date du 3 juiliet J9I8, par le miSaöne,, 23, et BARTOLOTTI fMarguerite -Made Jefeae), ïnstero do Etienne bureau
et do turbot
courtiers.
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Environ
100 Ton. HARICOTS.
GttLBERT
(MarMl -Leopold!, joirrnaiier,
ruo de
". , ,300 caisscs
QUAKERS OATS (farino
Normandie,
162, et LELOUVIER
(Jlarie-HélèneL
tl Avenno) plus ou moins avariés.
impropro
4 fa
journaücre, mêmes ruc et numéro.
consommation humaine.
5.7,8 (*2353)
HEBERT (Louis-Marie), employé, rue du Lyeée,
93, et LE FEB4RE
(Lurie Rose), domestique,
rue
Corneillc, tf,
BENARD (Reué-Gustave),
élcetricien,
quai Lamblardie, 44, et JAMES (Adriennc-Yvonne).
emplovée
de commerce, ruc Massillon, 23.
'
[me I've
AMERL1NCK (Camilte-Jean). représentant de com¬
Rombi-ensoclientèle que At. Albert
merce, 4 Sainte-Adresse, et MAR (Louise-Emillennc).
hlanclwseuBb,
ruePercanvtHe,
37,
SalaisonB
91, RUE DE PARIS, AU 1"
Enfants et la
au domicile mortuaire,
vuo des Marches.
i.E
(place Thiers )
Beurre
ÖEMANfê
— DEBRIS, '7, rue Dicquëmare.
(24'.Wzj
Talons
Ont ia douleur de vous faire part de la perto
cruelie qu'ils viennent
d'éprouxer
en la persoiine do
On se réunira
impasse Strrigny,
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Tltéièse
(angle
deiaruenetaBourse)
100
paires
Ghaussures
blanches
345, rue
Et vous prient dc bien voukiir assister 4
res convoi, service
et inhumation,
qui auront
lieu le mardi 3 juiliet, 4 quatre heures et
demie du soir, en Féglise Saint-Michel.
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et de I'Ecole Dentaire Frangatse
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simple fcitre, il passera cliez vous.
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V inhumation
aura licu
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de
GraeMe-Sainte-Honorine.
II ne sera
pas
envoyé
de lettres
d'invitation,
Ie présent
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lien.
THÉATRES_^
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ï-a
♦?«iv©
Lo pcu do piaeo dont nous disposons nous oliligo
a eiiregistrer
brieyemcnt
fes vil succés remporlé
bver, par une excelteirte rrpi-ésêiitation de La hmJ
L interpretation
hritlante
que M. Masmn a valt
assume 1, Pmuvre dHatevy a wmpté S
set v"
dettes M. Sullivan,
qui prêta au róle d'Eleazar
nne voixetenduo et solide, atleignantsoupleincnt
tes
notes -ctevdfts -dn registro; .MileEve ürippon, qui a
ehante le MMe dc Bachei en veritable
tragédienne
Jynquc : Mile Jane Morlot, dont la vóix lillrho
et'
pure' "a "7"
ete apprecn-e r- Udun
dans IK
le MVÖ
rdte U
d'-Eudoxie.
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M. Ruberty
Hu ben V fut
(Ut Dn
rsrrtirial de
,lt\ haute
hnni., allure oui e
M.
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Associous au móins ie tenor Ariel (Léqpold) M
M
Moll, rimf d'oïcbeirtre
et l'orcbestre
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et discipline qn il a conduit arec autorité ct a-ui 1
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chateau dos Ifs. nornrné Georges MaHaurais, avait
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qui auront liea
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pres d'uuc raboteuse, glissa et se prit la main gau¬
che dans cette raboteuse qui tui seeüöstta les quatre
doigls. S'H n'avait en la presence d'esprit de 1iror
sa main, cefle-e* aurail été coupéo complètement au
peignet.
1-1fut-trannporté immédiateinentafa
pharmacie Martinais pour un premier passement
et ensuile chez
M. le doctcur Ducastel qui, vu la grax it.'- de la bies ■
sure, ne put que «oasciiler
fadmission
d'urgencea
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line Van THIESEN, quai de la Gironde ; Simonne
LEBOY, rue de Normandie,
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lc I.ac des Qualre- Cantons,
etc, Perrith-cs Actualites
Llavraisee. Jeudi 4 jvillet, Plndepmilance
Fay. Le
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taire s Francoises et Alliées et Autorités eiviles ; Le
Féfilé des troupes. A Rouen, le id juin, grand Con¬
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I.'OBSTACXE,
comédic d'Alphonse
Daudet;
Lans Ies Ajones dn Verdar, plein air ; Les Surprises
du Fivorcr, comédïe comique (Prince dans Je róle
de Henri Duval) -, Le Petit Matelot, chanson iilmée ;
Carsir
d'Hér©ïn«,
V épisode:
Laquelle?
Bernih-es Actuaiites de. la Guerre et du Pathé-Journal.
Independence Day au Haore. Itiyadin
a tui son
Frt-rc, comique (par Prince). Attraction
: Trio
MAKETTI,
(équiiibristes
sur écht-lies libres).
Bureau de location ouvcrt
boulevard
de Stras¬
bourg.
FAITS LOCAUX
Snmedi soir. vors 0 Retires et domic, M. Simon,
eaissier do la burette du ThéStüedGjrqw;, erut, de¬
voir refuser a deux sótdats francais de leur servir a
boire. 1,'un do cos soldats, qui avait, comme son
raiuaradc, du roste, beaam#
U-op lui, donna alors
lm - tolcnt coup te puieg an eatester et lui lit vine
blessure au-dessoas de Itoeil droit
tic service au theatre. Fageirt Picöt stompressa
«l'intffvoBir : M fut, d'»n coup dc téte cn plekte
poltiine, renvorsé, jm-is il fut aeca'bló do coups do
[Kiing et de piod par les deux miHtaires et ptasieurs
chils qui eurent 1c tort de prendre parti pour tos
clients indésirables.
Hans cette hagarre, M. r.hat-Jes GravrroSips, domi
ciüé 153. bwitevard
do Strasbourg, fut cgateraent
-frappé avoe rtd te-nee.
M. Frambouvg, eommissairc dé police du ti" ar¬
rondissement,
enquête.
Omnia
nrnnij
■ JuUUU
jilaquéc
recompense
-
ALDERSON(Joseph-William),mécanicien, place
Danton, ct DURA
ND (Louise-Franeolse),blanchisseuse, rne Bayard, 13.
MALERHE
(Edmond-Emile),employé de commev
ec, rue Casimir-Delavigue,82, et CHAUZY
(Pauline),
couturièr®,mêmesrue et numéro.
RIOULT(André-Henri),raboteur, rue Pasteur, 11,
et BRUNEI.ET(Ernestine-CbarloUe),ouvrièro d'usine, ruc Berthclot,31.
des fragments des .Voces ie Figaro, i'A'ida, de Ataritana (W. Wallace), dcJUanon et entln les airs nalionaux.
...
Dans ees conditions, la recelte fut eertamemont
trés importante pour l OEuvre du colis aux prisonniei-s de guerre et soldats beiges du front, oeuvre du
C.M.B. de Graville, bénéliciaire du concert.
VAdministrateur-DHégué-Oérant
imprlme
sur maebfnes rotatives
: O.
IlAiVDOLET.
de Ia Matson DEP teTEY f4, 0 ct 8 pages).
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