L'ATtnir d« Bouwtix- rooreoing msi t,XJM*rM*vMnI M«H » aUUBal Père Goriot - |fcifl'*P«»elW, i H i t l i R - H I l d l K f l ' t taamt Vcaot paa Mater, 1 i t violence. Mademoiselle Micaomeau 1 - f i e s'en ire 1 - «lie ni par H . de Balzac Buneaud, dit-elle d'u priai de p l e u r * . U mela-sur w l entré e a u mal, s'icrie-l-alla. PartiDt pour la 9TTU Le roulement d'une Toiture qui s'arrêtait retentit tout à coup daaa la rne. Le katae et basa Daaoii . . , — Eoeere quelque chape-chute, dît Sylrif. — Allet donc, vous en mouret d'uvie./raAi'.' Goriot montra aoudain une physionomie briltua netnqut voluptat. dit buncao. lante at colorée de bonheur, qui pouvait Taire — Chacun auit aa particulière, traduction croire a aa régénération. libre de Virgile, dit le répétiteur. - Goriot an fiacre, dirent lei pensionnaire*, Mademoiselle Michonneau ayant fait le geste de prendre le bras de Poiret en le regardant, il ne put résister à cet autel, et fini donner son appui a la vieille. datèrent, ai il y eut • Bravo Poiret! 1 l'or - ÀDolion-Potret. iPai . — Courageux Poiret I . Ltt mouchards ne «ni d'aucun ic , dit Il peintru. chois quelle M M H d' — FaiDluxMiorama.. ait une lettre à Mme Vauquer, qjj » laejuelle elle rivalisait, et qui lui était conaé— A U portorama. iler aur aa chaise, après l'avoir lue. quemment odieuse. Ailes chez la Buoe*ud, voua — Messieurs, « c i est indécent, Quand oi suret du vin à laire damer lea chèvres, et dea - Maia il n'y a plus qa'k bruier ma 0 renvoie le* gêna na doit 7 meure des formel plats achetés chei lesregrttticrt. ormerre y tombe. Le flli Taulefer c: Noua t v o n t payé, noua restons, dit Poiret en s< Ua pensionnaires te mirent aur deux files (outrant de ta c*.sqoe'le et te plaçant sur noi dans t'eût été aa maîtresse. le plus grand silence. Poiret regarda ai • bien T i b s i a : i côte de audemoitella Michonneau, qui tendrement — Dînons, cria le peintre. mademoiselle Michonneau, il ae cts dam prêchait madame Vauquer. montra ai naïvement indécis pour savoir s'il En ce moment chacun prit ta chaise et 1 homme. Madame Couture et Victorine — Méchant, lui dit ta peintre d un t i r corni devait la suivre ou rester, que lea pensiontmndent leurs effets et vont demeurer chez son ane, petit méchant, va I naires, heureux du départ de mademoiselle Mi- père. Monsieur Taillefer permet à aa fille de mple.dit la grosse Sylvie, tout e garder la veuve Couture comme demoisalle de malheur aujourd'hui, Bons en al!o'na, nous autres, dit Rtincboa. pagtiie Quatre appartements vacants, cinq Elle s'assit et parut peu .A VUE POUR TOUS Académie d? Lille UYCÉE D E TOURCOING AWCfiStATlONS L- auvaacdl 13 Octobre *t»O0, à procédé, au Lycée, par devant N'ichetei plu» ni Dcrs n Binchons, la Socie-.c Anonyme d'Eeleirage xot' cciriettilte. tl.ira.e forsut B-ci e: Min in^ntf, l'adresser A TOUIteOINQ : A M Vender llcjden, 61, ru» S i n ;«cques : A B O U B A I X : A H. Sente, Grande-K:c. lï:; bie. AU CORSET ELEGANT Vandorpe-Lava eueS.RunlasFibricinis Palm Viande d e Boucherie Charcuterie Bière t&pfcerle e t l.#ar«en<» Wkm Maison W c i l muMW graaues nu silei iiaervenC la vue t ierîo:;r,cs sujette- PHOTOGRAPHIE ELKAN Portraits Artistiques a Ï O fr. avec une &MMFIQOE PEINTURE A L'HUILE SUR BOIS ïkMmm Met myopes ou presoytes. Envoi îranco contre 1 U. 5<) a majid.-poateUn'J1'',-ttri,iigf jflitl. î HKMODE i y nuijn,\tx ! .Nouveaux 9, n i e du Priez, LILLE BlIX LE CABINET DE LILLE EST OUVERT TOUS LES JOURS M A I S O > ' D E OBNCXatJKCB CAPITALISTES & SPECULATEURS 2LS32 AU Bec »è M 4 fr. 76 Manchon : 1fr.i » à a'aOrester a I t e n t i t t l s -•r »Syndicat Afrer.l de change oltiiiel et de banB*o n- 0 4 fr. 78 deslïani] Nantlion : 1 fr. »» leurs opérations en Bec n 1 6 fr. 60 de itt orure. — Ecrire télèçraphiç.KM. Manthon : 1 fr. 10 COHEN, ÏO, ru-; liougei Bec n ! 6 fr 25 Minchoa : 1 fr. 2 0 Bac n 3 8 fr. »• M»n«kon cour! : 1 fr. 4 0 Miocbon long : 1 fr. 6 0 B*pporter in galerie tneienne IJM^CHÎNËsAcÔÛDRËjg diftire un nouveau tutnehon. DÉPÔT : 14-16. Rue du Curé, Roubaii ARGENT DE SUITE i • •igoeuire sur r ] çente, indunrieif, e D i t o r é t i o B . Wifw n . * Icrirt CONSTANT, e du Hiv PRlTS «IROUBAIX a 6ranMM,80 BON MARCHÉ 'roi'RCOIMG MAISON R E M O N D V E R E T 1, r u e d e s S e p t - i g a c h e s f>r«UGHUS'PUWtllaIturse) TOUS ORDRES DE BOURSE a i r lea marchés de Paria, Lille. Lyon, Londres. Bruxelles, aie. Carbua tt Castosl j Marché officiel. 1 fr. par mille de capital mm M . «•.-..> ( VaixM en banque, 0 , 5 0 tîenteignements et études documentées tur toute» tuteurs induttrieiles et autres, adressés gratuitement sur demande. • U CIRCULAIRE HEBDOMADAIRE do la CAISSE lHDUSrRlELLE il tous les n i, est envoyée, i pendant l ; personne qui < !3ivŒ:Fi^iiwtrHîK,iE; D E , DRAPERIES, MÉRINOS, HOIRIES Mercredis et Samedis : Tente de Coupon». Entrée libre Il aéra offert des assiettes du Broalleus comme prime BUREAUX ^illi A LA.TOUR EIFFEL B 37, me immif M TOURCOINGP MACHINES «COUDRE : ! Chaînes argent, 1 fr. 5 0 RKKONTÛIR ARGUiT, 1 3 fr. Bamontoirs ot, « M aMal. ibricant tfalMloarerie •;t,»»riar' -rS U\U\, i Baaançon (tam). mustAi'UTAUmt tiDESsm» Montre nickel I ir. Acier 7 fr, Argent 14 Ir. TYPOGRAPHIE - LITHOGRAPHIE - GRAVURE Spécialité d'Affiches en tous Genres L E T T R E S MORTUAIRES & D'OBITS Donnant ûrolt â l'IHSER TIQN GRA TU/TE dans l'«Aoenir de Roubaix- Tourcoing » ,dtR*ttb*l*Tourcoinf pensa, en une leconde, de t a longue et hypo- doigts des n Course m Mil ions «tari CAISSE INDUSTRIELLE DE LILLE 2,fl.des Ursulmes, 31-33, R. de Lille, TOURCOING 43 TOUS p r e n d n e i . . e n i o j t l le coupa j Marliilée, Thércse alla ranger tes galeries • su V é s i n e t . . . — Mais non ! mais non t On a des de louage sous la maia. J'ai failli [d'une longue dépê< quoique fort pile e t I hi que j'arais h envoyer à Londres... Ces b u - , faiiguee, afftraoa ijue é£uiitrs- ts-mlne de Drurv-Lane, pour Thérèse. aui télégrapbiquea sont si e n c o m b r é s ! . . . •——•' nt, -a-*-."* qu'elli »OiiiÉ Et M. de Girel ne pouvait s'empêcher de l'adMIII siez parlé de moi ! Comment Ta-l-on rieuse, et qu'elle éprouvait simulera On ne demande pas des nouvelles de plut d« lassitude que la première fois, — Allouai fit joyeusement JK. Rohertson. ce i la fillette. de l'inconscience, ce serait 6 futur collaborateur pour, BOMAN NOUVEAU la folié... Et cet bommt a tout son bon sent.. apt> amicale sa birea de II sait qu'il peut sauter avant huit jours ; > Pierre S A U S Ï S Vempeche pat de tira... Kt son regard reconnaittant ctresaiii H. Ho pourtant no peu lorsqu'ils s'în bertton, puis retombait, admiralif, a sa belle u dîner Le débarrassa de l'ennui! PRBHltBB PARTIE poupée et k ton méntge. loi Auasiiot M. de Girel adressa cette admonestaleur cigare. U m n ' i l peaflra daaa la salon, rien ne deeeThésée* était été emmenée k t t t a (ni l'effroyable anguitaa nui lai broyait la pas loi dira M e grand, grand bai • a u * . Et la Itaroa, pourtant très obttrrslear, phraie aimable, maintenant que le a o u t e i i r 4 e Mais M. Rubertaon, l'iaterrompit. l'absent était évoqué. Gatienne veraaii — ferait te de i'ineonatrieace ? Na sant-il — Laissez... Laisses la chérie me dire • tu.» II lui semblait que c'était W i i l t q u i . de nou- petite «r-ret de er s l'tUme aous.ses pieds : C'est si joli I Et cela manque absolument dans veau n'installait chet lui. le Wiily gracieux e t M. de Girel choisit ce moment. l u a d r e m e n t Tnerèst U langue anglaise. — Oui, mignonne, c'est aimé de tons, gâtant sa fille, amusant sa femme Wilij qui n'a dit: «Mon papt, roand vous rèDitidant la joie e t le le bonheur iautour d e lui. To-it en approchant Ma livret de aa tasse de café, il posa, de la façon la plut naturelle, cette irai s Psrii, voua porleres k ma petite a tait était l é même timbre de simole question : Thérèse une grande (.oupée at ua beau ména- bertton s u i t seulement an peu pli — AJ*rs, mon cher parent, tous n'avex p t i afoit biat. ma chtre aafaat, qat e est i btat « - Alors, t u l'a i Wilij? rW.llT,.néd'u — l a «Toit bi< atoseil antm twt Toes française, parlai! l e hésité T e x p é d i e r W i l l j daaataNouveau-Moodc, • Ob t oui. français avec un accent plutôt ind-finisenWe, aana même lui laisser a a jour 4e repos T FBitildoaaaitBateorAiaiaétraiflteàlI. «Vj — A ejHfli bon lui faire perdre du temps b •t eslai ci joua aosti ta taaaédte dt I'SBTM Et langue, tjoa habitudet, at les c • des Jour- Londres ? répliqua non moins natureiltment M. Robertson. Il y avait n a steamer qui filait puit, elie ett betle, la poupée... Je .'tpne.erai [juste le lendemain matin de Liverpool... , — P**n*m\ a'taoir BM vaaéa ajoa J'aille a«- W1I..Ï W i l l i e . . . Wdlkttta... Et puis, regarde, éMtM4f>to •tMaaaar, eontraw t t l n toni jolies, lea astieiua. qiM k I I H M buautyr ta ptoa compléta Mm* a s * a t ^ ^ Ma*|.s^fe4«l<«M> l.,r.«4,i ^ t w e » sttw CM f a ! Untat «e O b i 11 y auMMKtpiàrel Tuméru, regarHa ta bta régner autour de eett« table, oii b a n d a • ce moment, il tut un admirable e*> M l> M R . , . fa Mfc. je Suis lin aoasware trépas te prenaient u n e qu'on dit vingt ' f r é t a s . Personne a'aurart pa deviner qne CM Thérèse ne cessait pas d*tclater de rire, G i _ l e ile'btllait aon aatj.tr mh at'att itlSptamM. à mon - O n va dsaer, dit soa père brutqueittMl. Itienae téMartfau* aooitaait 4e de ivMr t i fsua f« ct a H a'adBtjaai a t t s f . mots : « etae aa »laatan » n'étaient pat d'oat - On aleesjonc ea ** coté, et a'«M«M pas plat l«»f- et tiiati detre aa peu 44Jivrec de la triste <oaton- enUèra i»«i#ntaaee. ' trartle maritale. ftta re*3*se «4 « ^ Roherlao* W rdatt» FauilltUmdf l'itm J SEULS REPRÉSENTANTS A Roubaix : M. TRÉFIER, 168, rue du Collège. A Tourcoing : M. LORIDAN, 24, rue de Gand. A Croix : M. BROCART, 101. nio Kléber. tente* et ptiiidéennei, la lamiudc, U manque d'énergie, le rkuMêtisme, la goutte, le» maux 4e reint, sont tributaires héroïque médicament. OUI ClIStLI est plus active qu'un grand *érre de quinquina. • ^ Eit&r i r i 10 Capsulet .^X^rir œoyf Dépôt dan» t Visible tous les Mard s st Vendredi II. POLACS se rend i âomkila t a demande ? S a l S O I l d ' é t é - — immenses INVENTEUR DE LA QUININE Cet Capsulet, inaltérables, de la grosseur d'u • les pilules «('s'avaient («tus facilet rkumet, la grippe, l'influent* et en général les Chirurgier.-Domisle S<B, l ' i i e d ' I i i l i c r n i i i n n , ftOUBulX d'incandescence 20PA0KK3 un S choix de Vêtements d'Eiommo^, Dames et Enfants, tout faits, et de Draperies et Tissus fantaisie Haute Nouveauté en tous genres pour Vêtements sur mesure. (Coupe et Façon irréprochables.) Fabrique d e Meubles. — Meubles sur corailandes. — Mobiliers en tous genres et Literies complètes. Livraisons discrètes I r a n c o ta d o m i o l f t e par la voiture do l'Administration. — Le V o ^ a f e e n t i e r est r e m b o u r s é à tout acheteur venant à Lille. Quinine de Pelletier M. CharlesPOLACK BECS a maNCHoas-auER" \ VENTE A CRÉDIT '€**> ••<J>r»<^a) CAPSULES Catoinet B e ï l u u r i H à T, i i e n r e s l l u « o i r , • B i l l paralitant tout las Samadis BONGÉNIEDELILLE 4, Rue du Vieuz-Marolié-aux-liIoutoriS,4 Prime à tout Client recommençant nouveau compte u twstiaai ET ICTUS Mmsmmi <M DES JOURNAUX DE MODES U CONTIENT. "" " ï H.US t î HOBELES NOUVEAUX % PLUS DETRAVAUXAt'AIOUIOE fâ PUIS CL LITTERATURE A PLUS DE RKITTES DE CttëME L PLUS DE RENSEIGNEMENTS jf IJVmjCUN AUTRt • ! ' 3 MOIS : 4 banc» — LÎN AN : U Iranea W EDITION S : eaateaant une Gravure eeloriee it A an Patron découpé dans les S*, >' et 4' N". ^ 3 MOIS : S fr. 50 — UN AN : 38 francs TT ABELGODBaCD^imr^.r.daa-Seplembre A UIHH CRIS NI'BRITS H UW1 NMUYI nmmi Les Pilules du D' Mortia sont apécialemeot recommaudéet aux dames pour époques difficiles, entèrent douleurs, préfieunent les retards et réta- • •ctesiastioue i médeti (i. Ils rendent n yeux fatigués nai •.ge, ie «i. ures tnodeaw Vision» JOli. a ï : - . 5 0 , douicile 0 le. 2T> en nhis. c o n t n e heurts du eoir, sauf le Di manche, et demander un m» indat-poile adresie u A L E X A N D R E E O U Q E T T E , V,ns M O N T P E L L I E R . — Esaed:tiona jusque Un Oclobre. dèle de soumission. Les soumissiont cachetées e1 A s c n t a aerieul deiuuadea pour le placement des Vins. rédigées sur papier timbre di •,60 eenl.devront éire déposée! à l'Economat. Elles n'y seront reçue* qui jusqu'au Simedi 1.1 Octobre, i SOCIKTK être plut nombreux qu'à l'ordinaire ; ce lut toute U différence qu'il y eut entre ce dîner t t celui d t la veille. t donc L'inaouciance habituelle de ce monde égoïste rsé, dit le père Goriot. Mais a a u qui, le lendemain, devait avoir daaa lea événes le monde n'a si bien été. Je nul ment! quotidiens de Paris une autre proie à i figures gaiee dans lut rues, d e * dévorer, reprit le dettus, et Mme Vauquer elle- K.'ns u, u donnent dea poignéet de main e t même te laissa calmer par l'espérance, qui em- qui t e m h r a a s e n t ; dea gens heureux commet oruuta U voix de la grosse Sylvie. ' * " dîner chex leura tilles, y gobiCette journée devait être jusqu'au toir une fantasmagorie pour E'igùne, qui, milgré la força de son caractère et la bonté de ta tête, ne savait comment classer ses idée*, quand il se trouva dans le Ancre à côté du père Goriot, dont r k la vie, dit ftiaunt. les discours trahiraient une joie inaccoutumée, entistsient à ton oreille, après tant d'emoUont, comme lea natolea que nous entendons tans danger les fonctions anormalement en retard, Mue P e l l a r t , R O U B A I X blissent même apret plusieurs mois. — Pharmacie P . O E K B E T H , 1K, rue du Chenjin-de Fer, R O U B A I X . — Seul dépôt pour le PREMIERES COMMUNIONS Nord. — 4 fr. 3 G contre mandat-poste. Portraits très soignés depuis 5fr.la douzaine B e u r r e e t tliufn Spécialité utoon Lait C h a r b o n *le ( e r r e ballon au gaz, ou On peut prendre ronnaiaiar.'-s du cahier dos charges d: chaque K.-A. GMHMER. Madame Vtnqoer •'tut p u le eoarege de 4(rs • C w f l o i u t e t matin. N O M dlnona ( o n * ua asot an na v o y a i t ajua dix pertonaee • » 'Un le* trois e use m b la I euMtabUf cofaprtaez -voua» de dix-huit autour de au table ; maie chacun Voici quatre au* que je a ai dlaé aveu ma Del-" t e n u de lu consoler t t de l'égayer. SI d'abord phina, ma petite Delpalae. / * v a ù l'avoir à lea exturnaa a'entretiortut d e Vantrin et dea u n pendent tente « u t aoirtt. Noua t o m m e » èvéoemtnta de U journée, iU obèrent bientôt chttvous dépota e t mutin J'ai travaillé comme ut» t l'allure serpe*Uns de leur convsraation, et maauMivrt, habit hua. f aidait a porter lut meumirent à parler dea duela, du bagat, de U j bles. Ah f ah I voua ua savaz p u comme elle est lice, dea lois a refaire, dut pritont. Puia Ile trouvèrent t mille lieue* d* Jacques Collin l peux pat manger. Oh I y a-t-il longtemps ." an Qu'est-eo que j ' ime cela f M. de Girel lui lanci r l'abus de la gjrmnasti. M. Robertson. J Et il acheta ta tasse de café. | — Non, répondît M. de Girel, j'étais snseot I au moment de son départ... | — Ah t oui, et c'était tout récent ; il avait dri donc h être maladroite : te taira cela la tailla ou l'avant-teille... j 11. de Girel expliqua alors, d'un ton bienvsil- Absolument rien, mon cher ami, et cela Pour quelques pauvret I petites déchirures a l a m a i n t . a cicatrisé pendant la traversée. Du reaie, m'aurait demandé si j a m e moquais de lai même psa écrit un m o t . . . Desr Cela lui est arrivé tant de foie I II Mit parfaite- , égratignuret pour l u i . . . Le voilà exposé, ment se penser l u i - m ê m e . . . - A h . a h !fitM. de Girtl avec un ricane-i ment Intérieur. Car il auivait très bien la penMa de M. t d'interroger, toujours jours prédit le plus magnifique M. de Giral sa tournait vers sa femme, qui. — Je m e ficuri i que, cette fois, < su lieu de leur apporter leurs verres d'armapeu plus grave f Oh 1 si Gatieaoe pu arrêter let paroles gosc, vsnsil de se laisser aller tur un fauteuil el tetnbtatt étouffer. Elle répondit : sur itt icvrts ae H. Robert se n t — Un pea leeee seulement, et je prierai m o n Mait celui-ci, tiroltnt ton café, m regtrdtit ue H. de Girtl i et, nalvemtat, il allait lut aousin aarry de m'exciniec si je me r e t i r e . . . onner l'indéniable preuve qne le mari de Et, essayant de se l e t e ^ V de sourire : Gatienne cherchait si passionné ment, depuit la i — Vous eanaaret pins librement, messieurs. nr.it dru drame qui avait ensanglanté leur broHais elle retomba sur son fauteuil. Et e a priélé. fat M. Robertaon anl M leva el piit aussitôt — Haie non, mon aber ami, affirtaa-t-il, « o n f é . — l'ai 4M w faataeret, dit-il. Tacrais d é c'était eomate toujours... Je ne a e rapaaita Wloa a u Marne al te eue m'a raconta Wihjr... atmplameat tane demanttar k déjeuner. . On. Voyons, était-ee en Jottant u fooi baH « I l ett Mt loujoart a n peu a a « farta an milieu de l a tombé eor an •attaaon éfttalnaa et Vaat aMiaé las i m i t a * ! . . . Nrttavsttn-taet.eatsaae... **sMl...q4.'étaM4Mtaatf|iH^Mtaa J i
© Copyright 2025 ExpyDoc