N° 110 février 2014 Edito : D es news ! Le site ! Des actions ! Malgré la distance nous entendons ces cris de désespoir nous parvenir. Et étrangement, ils font chaud au cœur car nous savons que l’association doit rattraper son retard en matière de communication. Et comme une nouveauté ne vient jamais seule (adage moldave), le pôle Communication met à jour ses supports…et il était temps ! Et ça donne : une version en ligne du Tétralien, une présence accrue sur les réseaux sociaux, un site Internet www.ensicaen.com en pleine construction et prêt à sortir, et une newsletter dans le tube ! Cette « newsletter » ou « lettre d’information » pour les défenseurs de la langue de Molière, fera la part belle aux actualités de l’association et de l’école, à l’agenda du mois. L’équipe en charge a choisi un ton informatif et léger, le tout dans un design actualisé. Les sujets de fond, notamment dans le cadre de la recherche et de l’entreprenariat seront toujours réservés à votre cher et tendre Tétralien que vous lisez au coin du feu dans le rocking-chair. Nous souhaitons, via ce nouveau support prévu fin mars, vous informer plus rapidement et à échéance courte. Son format avec l’appui d’une publication mixte (email+site) permettra de toucher le plus grand nombre d’entre vous et d’une manière beaucoup plus interactive. Benjamin MICAT (2012) Vous comprendrez que ce Tétralien a une saveur toute particulière pour moi aujourd’hui. En effet, cela fait maintenant deux ans que nous souhaitons faire évoluer l’association et après plusieurs difficultés et contretemps, nos attentes deviennent enfin réalité ! La première étape, celle de moderniser l’image de l’association, voit le jour aujourd’hui avec l’inauguration d’un nouveau site Internet, la création d’un e-Tétralien et une présence accrue sur les réseaux sociaux (professionnels et personnels). La seconde étape, et la non moins difficile, est celle de fédérer un maximum d’ENSI Caennaises et ENSI Caennais autour du projet de l’association, afin que les services proposés aux ingénieurs mais aussi aux étudiants s’en trouvent améliorés. Sur ce point, et même si dernièrement plusieurs volontaires nous ont rejoints, je ne peux que vous encourager à proposer votre aide ! Nos projets sont axés sur le renforcement du pôle communication, avec pour objectif la consolidation mais également la création de nouveaux partenariats, qu’ils soient institutionnels, professionnels ou commerciaux. De plus, nous souhaitons accroître l’aide à la correction des CV et lettres de motivation, puis développer la gestion des offres de stage et d’emploi qui s’adressent également aux ingénieurs ENSICAEN. Sur ces « news », je vous souhaite une très bonne lecture de ce numéro 110 (eh oui, déjà !) du Tétralien ! Vos réactions à propos de chacun des supports, qu’ils soient nouveaux ou réactivés, sont bien sûr attendues avec impatience ! Henri ANSQUER (2010) Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 2 sur 16 Quentin Hamel (vice-président de l’Association des Ingénieurs ENSICAEN), 27 ans, option nucléaire Etudiant à l’Ecole Nationale Supérieure des Ingénieurs de CAEN (ENSICAEN), en seconde année, il a choisi de se spécialiser. J’ai choisi cette école en raison de son programme en électronique. J’ai opté en seconde année pour la spécialité « nucléaire », une option assez rare, découverte en première année. Comme l’école est reconnue dans cette spécialité et que les enseignants travaillent en lien avec des laboratoires du monde entier, je n’ai pas rencontré de difficultés pour trouver des stages. J’ai pu apprécier la bonne adéquation de la formation avec les besoins des industriels. Diplômé en 2010, je suis aujourd’hui ingénieur en études sûreté-criticité (évaluation des risques de réaction en chaîne), chez Areva. » Ouest-France orientation, Hors-série, édition 2014 3 Questions à…Frédéric Schekler (1990) Plus que des produits, GE (General Electric) se concentre sur les services. Frédéric Schekler vient d’être nommé directeur commercial et marketing France de General Electric Industrial Solutions, groupe spécialisé dans la recherche de solutions dans les secteurs de l’énergie, du médical, du transport, de la finance et du résidentiel. Ingénieur électricien diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Ingénieurs de CAEN (l’ENSICAEN) et titulaire d’un DESS en administration des affaires, il a également suivi une formation de spécialisation en marketing à l’Université de Tennessee Knoxville. Quelle est la stratégie de GE Industrial Solutions en 2013 ? Comment se positionne GE par rapport à la RT (réglementation thermique) 2012 ? Notre présence au salon Rexel montre bien notre volonté de continuer notre développement à travers la distribution, et particulièrement avec Rexel depuis 3 ans. Nous souhaitons Frédéric Schekler, directeur commercial nous différencier des fournisseurs historiques de Rexel en et marketing France de General Electric ciblant des marchés verticaux porteurs tels que les résidences Industrial Solutions seniors et le secteur de la santé. Concernant la RT 2012, nous avons 3 axes : la domotique autour de la technologie EnOcean, l’efficacité énergétique avec Gradilux et enfin la recharge intelligente des bornes de recharge de véhicules électriques. Nous associons notre bus filaire HabiTEQ à « HabiTEQ sans fil EnOcean », qui communique grâce à une passerelle. Dans le tertiaire, nous utilisons notre système bus pour la colonne vertébrale et la technologie sans fil ni pile pour les 30 derniers mètres. Ensuite, l’efficacité énergétique, avec Gradilux pour la gestion de l’éclairage public ou encore avec la gestion de la recharge de véhicules électriques. La stratégie de General Electric Industrial Solutions est de se positionner fortement sur le tertiaire et l’industriel. Dans le tertiaire, nous intégrons le résidentiel répétitif. GE n’est pas un vendeur de composants mais de solutions. Grâce à EnOcean, nous attaquons des marchés verticaux (hôtellerie, résidences seniors) avec le développement de kits pour répondre aux différents besoins du marché ciblé. L’électricien pourra se procurer les différents kits prêts à l’emploi. Mais plus que des produits, GE se concentre sur les services. Les installateurs sont fébriles avec le building automation. C’est pourquoi nous avons ainsi mis en place une hotline avec des domoticiens pour répondre aux questions et même intervenir lors de l’installation. Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 3 sur 16 Résidentiel : quels sont les avantages de HabiTEQ ? A la base, le développement d’HabiTEQ bus filaire est le résidentiel. Depuis 1998, de nombreuses évolutions ont eu lieu. Dernièrement, la version sans fil EnOcean est sortie et va permettre d’aller vers le tertiaire. Nous souhaitons faire du répétitif. En Belgique, un des marchés les plus porteurs concernant la domotique, HabiTEQ est leader sur le marché du résidentiel. Mais pour atteindre davantage de croissance, il fallait empiler les contrôleurs et le nombre d’entrées/sorties. Ce qui est dorénavant possible et nous ouvre le champ des applications. Nous avons réalisé une étude qui montrait qu’il n’y avait que peu de marchés pour le résidentiel, mais que le cœur de l’investissement serait dans le tertiaire. Avec la hausse du coût de l’énergie, nous intégrons de base la mesure d’énergie dans notre offre HabiTEQ EnOcean. Le véhicule électrique se développe. Quelle stratégie adopte GE et quelles réponses apporte-t-il ? Notre mission est de vendre du service. Nous ne nous positionnons pas comme un vendeur de bornes. Dès lors qu’il y a une connexion à distance, nous pouvons dialoguer avec l’installateur. Deux marchés se dessinent, les flottes de véhicules d’entreprises et celles des administrations. Le Service Plus porte sur le développement de maintenance et de SAV sur les bornes. Ce n’est pas qu’une borne, mais un opérateur de service. La borne va évoluer dans le temps et nous garantissons son retrofit. Qui peut le plus peut le moins. Les installateurs pourront commander chez les distributeurs les bornes, mais pour l’instant la demande n’est pas encore là. GE fait partie de l’Avere (France mobilité électrique) et peu de nos concurrents y sont. Avec GE Fleet, notre division flotte de voitures, notre expérience est forte et nous connaissons les habitudes des clients. Electricien 3 e Bimestriel mars/avril 2013 www.filiere-3e.fr Leur signature électronique trouve déjà preneur Les deux créateurs de Yousign ont déjà convaincu une cinquantaine de petites et moyennes entreprises. Pour développer leur start-up, ce mois de janvier est décisif. Au printemps 2012, leur micro-entreprise faisait ses premiers pas dans les locaux de Normandie Incubation. Deux ans plus tard, ils ont convaincu une cinquantaine de clients. Pour Antoine Louiset (2011) 24 ans, et Luc Pallavidino (2011) 25 ans, les deux créateurs de Yousign, anciens étudiants de l’Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs de CAEN, l’ENSICAEN, ce mois de janvier est décisif. Ces deux spécialistes en monétique et sécurité des systèmes ont mis au point une offre complète de système de services de signature et d’archivage électroniques, adaptée aux besoins des petites entreprises. Après plusieurs mois de mise au point, des essais en conditions réelles ont été L’entreprise d’Antoine Louiset (à gauche) et Luc Pallavidino est en pleine phase de menés dans une vingtaine développement en ce mois de janvier. d’entreprises de la région, entre l’été et l’automne 2013. La commercialisation a été lancée le 28 octobre. Et ça marche. En novembre, Yousign a même décroché un prix de 25 000€, dans le cadre du concours 101 projets, lancé notamment par Xavier Niel, le fondateur de Free. « Nous avons déjà une cinquantaine de clients. Des chefs de petites et moyennes entreprises, des experts-comptables. Des commerciaux aussi, pour signer leurs bons de commandes, explique Antoine Louiset. Plusieurs grands groupes industriels ou logistiques nous ont également contactés. » Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 4 sur 16 Désormais, Antoine Louiset et Luc Pallavidino s’activent pour développer leur start-up. « Nous sommes en pleine phase de recrutement. » Surtout, Yousign lance une levée de fonds de 500 000€, « pour monter en puissance dans toutes les fonctions de la société : support, recherche et développement, commercialisation ». La journée décisive sera celle du 30 janvier : les deux fondateurs de Yousign participeront à la convention d’affaires Normand’Innov, à Colombelles, près de Caen. Objectif : convaincre des investisseurs. Pascal SIMON Ouest France – 23 janvier 2014 Cf. « Normand’Innov : Yousign de Caen lauréate », rubrique « Entreprises et emploi », page 8 Un microscope unique en France au CRISMAT Le Centre National de la Recherche Scientifique, le CNRS, modernise son parc d’équipements. Le Laboratoire de Cristallographie et Sciences des Matériaux (CRISMAT)(1) a fait l’acquisition cette année d’un microscope électronique en transmission unique en France ; il en existe seulement deux en Europe. Un équipement de plusieurs millions d’euros, financé dans le cadre du Contrat de Projets EtatRégion 2007-2013, par le Conseil Régional de Basse-Normandie, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER), le CNRS et l’ENSICAEN. Doté d’un canon à électrons de dernière génération – cathode froide à émission de champ – offrant une grande cohérence et d’un double correcteur sonde-image, il va permettre aux chercheurs d’observer le cœur des matériaux à l’échelle atomique (résolution ultime 0.08nm). La machine a été développée par la société japonaise JEOL. Elle est arrivée en janvier dernier et a été installée à l’ENSICAEN qui compte aujourd’hui 4 microscopes électroniques en transmission. « Notre compétitivité dépend directement des performances de notre parc expérimental », explique Denis Pelloquin, directeur de recherche CNRS au CRISMAT. Depuis sa mise en service en juin, huit chercheurs, dont trois du CIMAP (Centre de recherche sur les Le microscope électronique en transmission a été inauguré le 21 Ions, les Matériaux et la Photonovembre dernier, à l’issue d’une journée organisée par l’IRMA (Institut (2) nique ), sont formés pour le manide Recherche sur les Matériaux Avancés – FR3095) rassemblant les puler. Leurs observations permettront microscopistes des différents laboratoires normands (CRISMAT-CIMAPGPM). une meilleure connaissance des propriétés des matériaux, et d’orienter la découverte de nouveaux matériaux. (1) (2) Recherche ENSICAEN / UNICAEN (UMR 6508) Unité mixte de recherche ENSICAEN / UNICAEN / CNRS / CEA Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 5 sur 16 Contact : Oleg LEBEDEV CRISMAT / Directeur de recherche [email protected] Denis PELLOQUIN Directeur de la Fédération IRMA 02 31 45 26 51 – [email protected] Connexions n° 55 – Janvier 2014 Un challenge qui rend le retrait d’argent innovant L’Ecole Nationale Supérieure des Ingénieurs de CAEN, (l’ENSICAEN) a organisé, la semaine dernière, un challenge visant à améliorer les distributeurs bancaires. Lors de cette 4e édition, les méninges ont chauffé et le défi a été relevé. L’initiative Les traditionnels distributeurs d’argent sontils en passe de devenir des produits high-tech ? Une centaine d’étudiants de l’Ecole Nationale Supérieure des Ingénieurs de CAEN, (ENSICAEN) et de l’Université se sont penchés sur le sujet. « Les équipes ont pioché l’un des thèmes suivants : sécurité, accessibilité, personnalisation, mobilité et nouveau visage » entame Christophe Rosenberger, responsable des diplômes à l’ENSICAEN. « Après, les formations ont eu cinq jours pour Les gagnants de la 4e édition du challenge. L’auditoire a été très attentif aux vidéos de développer une solution présentations ainsi qu’aux questions du jury. viable et adaptable sur un guichet bancaire. » Voilà pour les règles du jeu. L’édition a été parrainée par la société Diebold, chargée de la conception, l’installation et la gestion des guichets bancaires à travers le monde. Michel Moulene, son directeur marketing, explique : « La nouvelle génération a des idées surprenantes, il faut se servir de ces capacités. » Le challenge Une équipe a, par exemple, configuré un programme permettant aux non-voyants de se servir d’un distributeur grâce à un programme tactile guidé vocalement. Les participants, âgés de 22 à 23 ans, sont des élèves ingénieurs (monétique, sécurité, imagerie, etc.) de l’ENSICAEN et des étudiants en informatique de l’Université. « Nous avons défini 10 équipes de 10. Ils ne se connaissaient pas forcément, et devaient travailler ensemble durant cinq jours. » Pas toujours simple, selon certains. Un étudiant avoue : « On n’a pas les mêmes idées, ni les mêmes manières de procéder. » Un autre tempère : « C’est aussi ça qui est intéressant, il faut composer avec toutes les personnalités. » Le projet devait ensuite être présenté devant une assemblée de plus de 300 étudiants en informatique ainsi qu’un jury d’experts. Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 6 sur 16 Des gagnants impressionnants Les lauréats du concours sont les membres de l’équipe SecATM (pour sécurité des automates bancaires). « Pour une meilleure sécurité, ils ont installé un détecteur d’empreinte sur un guichet », explique Christophe Rosenberger. Mais ce n’est pas tout. L’équipe se sert d’une caméra qui reconnaît les mouvements, qui permet aux utilisateurs de voir quand quelqu’un s’approche dangereusement. L’image apparaît alors sur l’écran. La caméra détecte aussi le nombre de personnes dans la file d’attente, ainsi que les mouvements brusques. Ces derniers sont directement stockés sur un serveur et accessibles en direct par le personnel de la banque. « Un projet particulièrement bien mené. Que ce soit dans l’esprit d’équipe, le niveau du travail et sa présentation. » Symboliquement, les gagnants ont reçu des chèques cadeaux. Pour la gloire, leur podium parle pour eux. Jérémy BONNET Ouest France – 15 janvier 2014 Gala de l’ENSICAEN 2013 Pour la quatrième année consécutive, le Gala de l’ENSICAEN s’est déroulé au Centre International de Deauville. Le repas animé par le groupe de Jazz Reverti’go a suivi la cérémonie de remise des diplômes et le cocktail. Le thème du Gala de cette année était « Ice Gala ». Les tables de 10 personnes étaient décorées de gris et de bleu pour coller à l’atmosphère. A l’arrivée des invités, une coupe de champagne a été offerte à chaque personne par l’association des anciens élèves de l’ENSICAEN. Une fois le repas terminé, l’animation de la soirée dansante a commencé par une séance de Rock menée par le Club Rock de l’ENSICAEN. Au fur et à mesure de la soirée, l’ambiance festive a enivré les convives. Le Gala de l’école ne pourrait avoir lieu sans nos partenaires, sponsors et les commerces de la ville de Caen. Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 7 sur 16 Le club Gala 2013 remercie tous ceux qui l’ont soutenu pour la réalisation de cette soirée ! Clément LEFEVRE (2A EMS) Prix UNAFIC A l’occasion des 25 ans de la Fédération Gay Lussac, le prix UNAFIC de 500 euros a été remis à un doctorant du Laboratoire de Chimie Moléculaire et de Thiochimie (LCMT)1, M. Ali Mouawia, pour ses travaux sur le recyclage des déchets pneumatiques2. La Fédération Gay Lussac (FGL)3 regroupe les 19 écoles françaises d’Ingénieurs en chimie et en génie chimique. Son but est d’informer les jeunes des collèges et lycées au sujet des études dans les écoles d’Ingénieurs, les filières pour intégrer ces écoles, la variété des métiers accessibles. La FGL a son siège à la Maison de la Chimie à Paris. L’Union Nationale des Associations Françaises d’Ingénieurs Chimistes (UNAFIC)4 est une fédération des associations d’anciens élèves des 19 écoles françaises d’ingénieurs en chimie et génie chimique. Elle représente actuellement 45 000 ingénieurs chimistes diplômés. Elle est dotée d’un conseil fédéral comprenant au moins un représentant de chaque association, dont celle des Ingénieurs de l’ENSICAEN. Elle anime le comité chimie au sein de l’association des Ingénieurs et Scientifiques de France (IESF). Elle participe aux travaux des directeurs des écoles de la FGL, aux actions communes avec l’Union des Industries Chimiques (UIC), telles que le Village de la chimie à Paris, les Olympiades de la chimie. Elle organise chaque année un grand dîner-débat à la Maison de la Chimie à Paris sur des thèmes d’actualité impliquant la chimie. 1 Unité mixte de recherche CNRS/ENSICAEN/UNICAEN Cf « poster » de M. MOUAWIA page 8 3 www.19ecolesdechimie.com 4 www.unafic.org 2 Alain MINARD (1965) Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 8 sur 16 Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 9 sur 16 Le CNRS récompense deux ingénieurs caennais Le Cristal 2013 du Centre Nationale de la Recherche Scientifique (CNRS), a été décerné à Philippe Bazin, ingénieur de recherche au Laboratoire Catalyse et Spectroscopie (LCS Laboratoire CNRS, UNICAEN, ENSICAEN) et à Emmanuel Méterreau, responsable des ressources humaines de la délégation Normandie du CNRS. Cette distinction leur sera remise par Vincent Goujon, délégué régional du CNRS pour la Normandie, Christophe Coudroy, Directeur des ressources humaines du CNRS et Dominique Massiot, directeur de l’institut de chimie du CNRS, le vendredi 13 décembre 2013 à 11h00 au musée des beaux-arts de Caen. Le Cristal du CNRS, créé en 1992, distingue chaque année des ingénieurs, techniciens et personnels administratifs du CNRS. Il récompense celles et ceux qui, par leur créativité, leur maîtrise technique et leur esprit innovant contribuent aux côtés des chercheurs à l’avancée des savoirs et des découvertes scientifiques. Philippe Bazin est responsable de la plateforme de spectroscopies vibrationnelles du Laboratoire Catalyse et Spectrochimie à Caen. Grâce à sa technicité exceptionnelle et à sa créativité, Philippe Bazin a fortement contribué à faire de son laboratoire une référence unique et mondialement reconnue dans le domaine de la spectroscopie vibrationnelle operando, technique permettant l’observation d’un matériau dans le réacteur chimique, en temps réel et pendant la réaction. Les réacteurs-cellules qu’il a conçus font école dans d’autres laboratoires français et internationaux. Concrétisant au moins une réalisation majeure chaque année, il a développé de nombreux partenariats industriels dans les domaines de la dépollution, des émissions des véhicules et de la synthèse de carburants propres. Emmanuel Méterreau est le responsable des ressources humaines de la délégation Normandie du CNRS, située à Caen. L’action d’Emmanuel Méterreau, à la tête du service des ressources humaines de la délégation Normandie, a fait de cette délégation une référence en la matière. Précurseur, Emmanuel Méterreau a mis en œuvre une politique exemplaire pour l’insertion des personnes handicapées. En tant que chargé de mission à la Direction des ressources humaines du CNRS, il anime la filière « Ressources humaines » au plan national et travaille à sa professionnalisation. Il s’est récemment distingué en créant une charte pour les CDD, dont le Président du CNRS souhaite qu’elle soit étendue aux partenaires de l’organisme. Le CNRS est un acteur majeur de la recherche en Normandie. La Délégation Normandie du CNRS compte 42 unités de recherche et de service située à Caen, Le Havre et Rouen. Au total, près de 850 agents, chercheurs, ingénieurs, techniciens et administratifs, travaillent au sein de ces laboratoires pour répondre aux besoins de l’économie et de la société, plus particulièrement dans le domaine de la santé, de l’énergie, des nouvelles technologies, de l’environnement, des transports, de la combustion et des nouveaux matériaux. Parmi ces unités, le LCS est un laboratoire de renommée internationale. Il occupe une place unique dans le domaine de la dépollution automobile (pots catalytiques), dans la production d’énergie (raffinage, biocarburants) et dans le domaine des bio-ressources. Contact : Presse CNRS, Magali Tencé Connexions Normandie Newsletter hebdomadaire – 14 décembre 2013 www.connexions-normandie.fr Normand’Innov : Yousign de Caen lauréate Normand’Innov a remis son prix à l’entreprise la plus innovante sur les quinze venues défendre leur projet ou leur produit. Blancrem réinvente le marketing pour des produits cosmétiques. Datexim innove dans l’imagerie médicale. Avec ses capteurs, Greensystech crée une auto-alimentation électrique à partir …des Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 10 sur 16 vibrations du camion. Trois exemples des jeunes entreprises, start-up, et PME qui ont concouru au septième Normand’Innov devant 220 participants à Effisciences à Colombelles. Un concours organisé par Synergia, l’agence de développement économique de Caen-la-Mer, et la Miriade qui soutient l’innovation pour la Région avec le soutien d’une quarantaine de partenaires. « Le premier objectif de Normand’Innov est de faire connaître ces entreprises, PME et TPE », rappelle Nicolas Pouchain, directeur business and innovation à Synergia. Depuis deux ans il a lieu alternativement à Caen et à Rouen. Sur une première sélection de 49 entreprises des deux Normandie et de régions voisines, une quinzaine ont été retenues pour défendre leur produit ou projet innovant. Synergia les a « accompagnées, coachées pour qu’elles se présentent dans les meilleures conditions ». et la gagnante est Yousign, start-up de Caen qui développe des solutions innovantes de dématérialisation pour remplacer légalement l’archivage papier. « La signature électronique est au cœur des processus de L’un des concurrents, Laurent Chen, présente Pegways de dématérialisation, expliquent Luc Pallavidino (2011) et Antoine Louiset Colombelles qui aide les (2011), jeunes dirigeants. Avec nous, elle a la même valeur légale que entreprises dans la gestion de carrière et la mobilité de leurs la signature manuscrite sous certaines conditions. » salariés. Normand’Innov ne se contente plus de remettre un prix au plus innovant. Des investisseurs, Business angels comme Norm’angels, des banques, Normandie capital investissement (NCI) ou filiales de grands groupes comme Areva ou Total…entreront dans le capital de l’entrepreneur qui les a convaincus. En attendant un retour sur leur investissement. C’est l’objet de la convention d’affaires en Normandie avec plus de 70 entretiens entre entrepreneurs et investisseurs. « Un record dans l’histoire de Normand’Innov. » En levant ces fonds, ces PME et start-up auront les moyens de se développer, de commercialiser leur produit, trouver des marchés à l’international… « ce qui coûte souvent très cher », souligne Nicolas Pouchain, comme Olivier Cotinat de Flayr. Cette start-up, qui propose de présenter les produits de manière ludique, a levé 5 millions d’euros en novembre. « La plus grosse levée de fonds » apprécie Nicolas Pouchain. Xavier ORIOT Ouest France - 5 février 2014 Les applications Web pour trouver du travail Depuis l’arrivée des smartphones et des tablettes, les applications sont téléchargeables sur ces mobiles. On y trouve de tout et quelques éléments consacrés à l’emploi ; le sujet n’en est qu’à ses premiers balbutiements mais le phénomène est en pleine expansion. Pour le néophyte, il y a, tout d’abord, un monde à découvrir : celui des applications. Un univers compliqué avec des éléments informatiques extrêmement récents permettant de diffuser des informations sur l’ensemble des mobiles à destination du grand public. Ces applications sont consultables sur les téléphones intelligents (smartphones) et sur les tablettes. Sur ce marché qui n’a pas 10 ans d’existence (Androïd market a été créé en 2008 et la tablette Ipad a vu le jour en 2010), deux systèmes principaux cohabitent : celui d’Apple (Ios) et celui de Google (Androïd). Il existe, par ailleurs, quelques autres systèmes pour l’instant minoritaires. Dans ce cadre, près de 2 millions d’applications sont mis à disposition des consommateurs. Elles sont gratuites pour la plupart mais peuvent aussi coûter de 0,89 à quelques centaines d’euros. Il faut les télécharger sur des sites internet appelés Appstore pour Ios/Apple et Google play, anciennement Androïd market, pour les applications de type Androïd. « Jobaround me » Mais elles ne représentent qu’une poignée lorsqu’il s’agit d’emplois francophones. Ainsi, 78 applications concernent les embauches dans l’Appstore pour les tablettes électroniques et 251 pour les applications concernant les smartphones. « Il existe quelques applications de qualité Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 11 sur 16 publiées par des acteurs importants de l’offre d’emploi comme Cadremploi ou Monster, précise Régis Faubet, responsable du pôle digital à Grenoble Ecole de management. Deux ou trois éditeurs proposent aussi des sites spécifiques sur smartphones comme RSS jobs ou « Indeed.com », un agrégateur d’offres d’emplois. Ce dernier propose une application intéressante ». La société, d’origine américaine, diffuse, « pour la France, plus de 500 000 offres au temps T, précise Chloé Mariën-Casey, directrice marketing (Team Lead) de Indeed pour la France/Benelux. Elle travaille de son bureau texan aux Etats-Unis pour l’Europe. Notre objectif est d’améliorer la qualité de nos offres d’emplois tout en restant le plus exhaustif possible. En France, les chercheurs d’emploi passent de plus en plus de temps sur leurs mobiles. Avec le chômage élevé, ils doivent être très réactifs car il est important de candidater le premier à un job ». Dans le monde des applications, on trouve aussi les géants du recrutement via internet que sont Keljob, Régionsjobs, Pôle emploi, Adecco, Apecita ou Apec. mais aussi des applications destinées aux recrutements d’entreprises spécifiques comme EDF et la Marine nationale ou des sites pour le secteur industriel comme Emploiénergie, Expectra, Autoactu.com, Emploipétrole, Europétrole…Il y a aussi la possibilité de se renseigner sur les opportunités à l’étranger (Canadavisa) ou de contacter des cabinets de recrutement (Mercuri Urval, Michael Page). Ces applications proposent alors des offres d’emplois avec des spécificités importantes comme la géolocalisation permettant (c’est le cas de « Jobaround me ») de trouver les emplois à proximité immédiate du lieu de consultation de son smartphone/tablette. « 120 questions et des réponses à la clef » L’autre grande famille d’application est celle délivrant des conseils. L’appli la plus complète – elle peut paraître juvénile mais le fonds est de qualité – s’appelle Dr Job. Réalisée par la BNP, elle permet de tout savoir pour réussir un entretien de recrutement. « Nous avons créé cette application en octobre 2011 pour qu’elle aide les candidats à se préparer à un entretien avec 120 questions et des réponses à la clef, explique Carole Sottel, responsable adjointe du recrutement. Nous dévoilons les choses à dire lors d’un entretien et celles à proscrire ». D’autres applications permettent de réaliser un CV comme « GigaCV », « PicoCV » ou « Cvmaker » à 2,69 €. Management (2,69 €) ou Courriercadres (3,59 €) propose leur magazine sous forme de PDF. Une autre application, « Négo’ », est aussi de qualité. Elle explique, via des images de synthèse, comment négocier son salaire. Elle permet, de façon interactive, de contourner les pièges et d’obtenir la rémunération la plus élevée possible. Toujours sur ce front des rémunérations, de nombreuses applications déterminent le montant du salaire à demander comme le « SalairOmètre » de Randstad, « Kelsalaire » de Figaro classified, « SimuSalaire » d’Expectra ou « Salairescom ». Ce sont, dans ce cadre, les cabinets de recrutement qui proposent les solutions les plus pertinentes avec en tête le « Salary Checker » de Robert Walters. On y trouve les salaires moyens pour la France mais aussi pour 23 autres pays, des spécialistes de l’ingénierie, de la finance, des ressources humaines ou des technologies de l’information. De petits logiciels (BrutNet) permettent, enfin, de calculer son net par rapport à un brut ou vice versa. L’application de EDF propose toutes les offres d’emplois de l’entreprise. Florence Cordier est responsable marque employeur et recrutement du groupe EDF. er « Notre application « EDF recrute » a été lancée le 1 décembre 2011. Nous avons été parmi les premières entreprises de France à développer ce canal de communication pour le recrutement. Depuis, l’application a enregistré plus de 40 000 téléchargements. Elle est disponible sur smartphones et tablettes car nous voulions nous adapter aux nouveaux enjeux de mobilité et rester attractifs pour nos candidats. Nous avons donc souhaité leur permettre, à partir de leurs mobiles, de disposer de l’ensemble des offres d’emplois proposées par EDF. Nous sommes partis de notre site www.edfrecrute.com et avons adapté cet outil. L’application permet aujourd’hui de consulter nos quelques 800 offres disponibles à un instant T (offres de CDI, stages, VIE, alternance…), en effectuant un tri par niveau d’études, métiers, zones géographiques, sociétés du groupe. Une fois l’offre choisie, le candidat la reçoit via un courrier électronique. Il postule ensuite sur le site internet de EDF. Depuis un an, 1 500 candidatures nous sont arrivées via le canal de l’application ». Gwenole GUIOMARD Emploi-Pro du 07 janvier 2014-01-21 www.emploi-Pro.fr Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 12 sur 16 Plasmons polaritons pour circuit intégré Les plasmons polaritons de surface (PPS) sont intéressants en tant que supports de signal dans les circuits intégrés nanométriques, a rapporté un groupe de chercheurs de l’université de technologies de Toyohashi, au Japon. Le couplage d’un plasmon et d’un photon crée une quasiparticule appelé plasma polariton. Les plasmons polaritons de surface sont des ondes qui se propagent à la surface d’un conducteur, c' est-à-dire l’oscillation mécanique collective du nuage électronique d’un métal couplée avec le champ optique, à l’échelle nanométrique. Beaucoup de chercheurs développent des dispositifs photoniques utilisant des PPS pour les applications à circuits intégrés photoniques, détaille le site de l’Université. L’équipe de chercheurs a développé un circuit intégré à l’échelle nanométrique constitué d’un dispositif de PPS et d’un dispositif électronique sur silicium. Le circuit intégré est constitué d’un détecteur SPP et deux transistors à effet de champ (MOSFET). Le détecteur de PPS est une diode jonction de Schottky en silicium et en or, constituée de fentes multi-grilles et fabriquée sur l’électrode d’un MOSFET. La diode jonction de Schottky intégrée conduit le MOSFET avec un faisceau de lumière de 1550 nm de longueur d’onde. Le photocourant détecté au niveau de la diode Schottky est amplifié 14 000 fois dans le circuit intégré. Sophie EUSTACHE Industrie et Technologies – 16 décembre 2013 Une application mobile de reconstitution 3D Une application mobile de modélisation 3D en temps réel a été mise au point par des chercheurs de l’Ecole Polytechnique fédérale de Zurich. Pour réaliser une modélisation 3D d’un objet, il suffit de viser l’objet avec le capteur photo de son smartphone et de le déplacer lentement. L’application prend automatiquement les clichés en indiquant à l’utilisateur par des signaux visuels et sonores la position qui convient. Une fois la modélisation finie, l’image peut être manipulée à 360° sur l’écran du mobile. Pour cela, les capteurs inertiels du smartphone (accéléromètre et gyroscope) déterminent la vitesse angulaire et l’accélération linéaire du smartphone. Les données sont ensuite croisées pour réaliser une estimation du mouvement et caler l’intervalle de déclenchement entre les prises de vue successives. Le résultat s’affiche sous la forme d’un nuage de points. L’application est également capable de déterminer l’échelle ainsi que la direction verticale de l’objet scanné. Les smartphones et tablettes actuelles disposent de processeurs et de puces graphiques assez puissantes pour permettre une reconstitution 3D d’objets en temps réel. On peut imaginer par exemple coupler l’application à une imprimante 3D. Philippe PASSEBON Industrie et Technologies – 16 décembre 2013 Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 13 sur 16 Un robot qui se recharge… à l’urine ! Pas d’électricité, pas d’essence pour recharger les batteries du prototype de robot EcoBot III : il se nourrit essentiellement d’urine ! Six années de travail ont été nécessaires pour mettre au point cette machine. Au menu pour le prototype de robot EcoBot III : mouches mortes en apéritif, boue et eau saumâtre des égouts, quelques fruits pourris pour le dessert, le tout arrosé d’urine…Cet immangeable repas alimente la machine développée depuis 2007 au Royaume-Uni par cinq chercheurs du © Centre for Fine Print Research and Bristol Robotics Laboratory Bristol Robotics Laboratory. 100% autonome, elle fonctionne sans essence ni électricité. Lors du dernier test effectué par les scientifiques, le prototype a marché sept jours consécutifs sans intervention humaine, jusqu’à ce qu’un problème mécanique vienne interrompre son activité. Pour permettre à ses 63 centimètres de haut et ses 5,88 kilos de se déplacer, EcoBot III récolte eau, boue et excréments avec une pompe et attire des mouches grâce à un piège intégré à sa structure, qui doit être testé à l’avenir. Cette matière organique est stockée dans des poches étanches, avant d’être conduite par une pompe à travers un réseau de tuyaux qui ressemble au cœur humain, comme l’expliquent les chercheurs dans une très sérieuse publication scientifique parue dans la revue Bioinspiration & Boimimetics. Ces tubes sont reliés à un réseau de 48 cellules microbiennes. Avec leurs germes, elles transforment certaines molécules présentes dans la matière organique en énergie. Celle-ci est convertie en électricité grâce à un système de polarité. En produisant de l’électricité, les cellules microbiennes génèrent de la chaleur. Cette dernière actionne la pompe-cœur et conduit à nouveau le carburant jusqu’aux cellules microbiennes. Ce même enchaînement se produit toutes les 3,5 secondes, jusqu’à ce que l’accumulateur électrique dont dispose le prototype soit chargé. EcoBot III peut alors se consacrer pendant trois heures à ses activités avant de procéder à une nouvelle digestion. La matière organique non digérée est évacuée par la machine, comme dans le système digestif du corps humain. Lorsque les recherches auront abouti, de véritables robots pourront être construits sur le modèle d’EcoBot III. D’après l’étude d’IOP Science, ces automates devraient être capables de surveiller la croissance des plantes dans les champs, d’explorer les fonds marins, mais aussi d’alimenter des batteries de voitures et de ventilateurs en toute autonomie. Lélia de MATHAREL Industrie & Technologies – 21 novembre 2013 D é c è s Nous avons le regret de vous annoncer le décès de : Monsieur Jacques CHAMPLEBOUX (1954) Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 14 sur 16 03 AVRIL 2014 : Journée Nationale des Ingénieurs (JNI) La « JNI du 3 avril 2014 organisée par l’IESF (Ingénieurs et Scientifiques de France), c’est aussi la journée des Ingénieurs ENSICAEN ! ( Cf. l’affiche ci-dessus). Le thème prometteur de cette journée « Innover, Entreprendre », fait écho à plusieurs articles de ce Tétralien 110. Alors restons dans la ligne : inscrivons-nous à cette journée ( . Si vous souhaitez participer en tant qu’intervenant, pour échanger sur vos expériences, vos projets, vos réalisations, il vous suffit de prendre contact avec l’association [email protected] qui transmettra vos coordonnées au Bureau Régional des Eleves Ingénieurs de Basse-Normandie (BREI BN) qui organise cette journée à Caen. Jean PARPALEIX (1983), délégué général ENSICAEN à l’IESF Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Page 15 sur 16 Mi-AVRIL : Assemblée générale de l’Association des Ingénieurs ENSICAEN La prochaine assemblée aura lieu au cours de la deuxième quinzaine d’avril, un samedi après-midi. Nous vous confirmerons la date et le lieu par courrier et courriel au plus tard fin mars. N’hésitez pas à consulter le site : www.ensicaen.com Réponses aux énigmes du Tétralien N° 109 Quel poids ? La réponse est la suivante : Mise en équation dans laquelle X=contenu : X= C/3 et X+C=10 d’où 3X= C et C=10-X donc 3X=10-X, donc 4X=10 soit X=10/4=2,5 Le poids est de 2,5 kg. La traversée du tunnel La réponse est la suivante : Il faut une minute pour que le train entre complètement dans le tunnel et une autre pour qu’il en sorte complètement. Il faudra donc deux minutes au train pour traverser complètement le tunnel. Première lettre… La réponse est la suivante : Un œil, des yeux. Enigmes du Tétralien N° 110 Palindrome… Quel est le plus long mot de la langue française qui se trouve être un palindrome ? Précision : un palindrome est un mot pouvant se lire de gauche à droite et de droite à gauche. La dernière pièce de 1 euro… Trois clients entrent dans un hôtel. Ils demandent une chambre à trois lits. Le réceptionniste leur annonce que la chambre coûte 30 €. Chacun des trois clients donne un billet de 10 €. Mais le pauvre diable s’est trompé, la chambre ne coûte que 25 €. Or, cinq euros à diviser en trois, ce n’est pas évident, alors il décide de rendre à chacun des clients une pièce de 1€, et se garde 2 € de pourboire. Chaque client a donc payé 9€. Ils ont donc payé la chambre 3x9 = 27 €, plus 2€ de pourboire, cela fait 29 €…où est passée la dernière pièce de 1€ ? Ingénieurs ENSICAEN – Tétralien n° 110 – Février 2014 Bulletin de liaison édité par : L’Association des Ingénieurs ENSICAEN 6, boulevard Maréchal Juin – 14050 Caen Cedex Avec le concours de : l’ENSICAEN Directeur de publication : Henri ANSQUER (2010) Rédacteur en chef : Serge CHANTREUIL (1965) Comité de rédaction : Aude BUROT (1988), JeanClaude MARCHAND (1964), Gérard MARIE (1963), Rémi LAURENT (1988), Clément JACQUET (2009), Marinette REVENU (1969). Ont collaboré à ce numéro : Alain MINARD (1965), Jean PARPALEIX (1983), Benjamin MICAT (2012), Clément LEFEVRE (2015) et Ali MOUAWIA. Composition et mise en page : Catherine CONTEMARION (Ingénieurs ENSICAEN). Reprographie : Mme MULLOIS (école). Les articles sont publiés sous la responsabilité de leurs auteurs. Ils peuvent être utilisés sous réserve de mentionner la source. Tirage : 430 exemplaires Page 16 sur 16
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