Mosquée de Bellefontaine : accord pour un

Mosquée de Bellefontaine : accord pour un déménagement
provisoire
ladepeche.fr /article/2014/01/16/1795744-mosquee-de-bellef ontaine-accord-pour-un-demenagementprovisoire.html
Le maire de Toulouse devrait prochainement se
rendre à la mosquée de Bellef ontaine pour signer
une convention sur le déménagement provisoire
de ce lieu de culte. En 2005, dans le cadre des
travaux du Grand projet de ville (GPV), la
mosquée, logée sous la dalle Maurois, avait été
déplacée sur le parking de la place EdouardBouillière, à Basso Cambo. La mairie avait alors
f ourni les préf abriqués qui abritent aujourd’hui
encore les f idèles. Des conditions pour le moins
précaires.
Depuis, l’Association cultuelle et culturelle
islamique en France (ACCIF) a élaboré un projet de
construction d’un édif ice de 2 500 m2 sur deux
niveaux qui pourrait accueillir 4 000 f idèles à
Basso Cambo. Pour construire, il f aut donc
déménager. Un accord a été trouvé dernièrement
entre la préf ecture, la mairie et l’association pour
une installation provisoire route de Seysses, dans
la zone T hibaud. C’est ce qu’entérine la
convention. La mairie va louer quatorze
préf abriqués pour 1 200 € par an. Une aide liée
l’éviction de 2005, rappelle Jean-Paul Makengo, car une collectivité ne participe pas au f inancement des
cultes. Pour l’adjoint au maire, il s’agit de «f aciliter» la création de lieux dignes de ce nom. «Le maire s’était
engagé sur trois permis de construire durant le mandat», souligne-t-il.
Pour La Faourette, un permis de construire a été déposé en septembre. Les f idèles prient pour l’heure dans
des caves. Un projet existe également autour de l’actuelle mosquée de Tabar mais il n’est pas encore au
stade du dépôt de permis.
Chaque projet f ait f ace aux aléas du f inancement. En juillet 2013, l’imam de Bellef ontaine, Mamadou Daf f é,
annonçait la collecte de 2 des 4 M€ nécessaires. Contacté, celui-ci n’a pas souhaité s’exprimer tant que la
convention n’est pas signée.
Enf in, à Empalot, le projet le plus avancé, Mohamed Tataï, l’imam, tablait sur une ouverture en «f évrier-mars
2014» (la Dépêche du 11 juillet 2013). «Nous avons des dif f icultés à trouver une société spécialisée dans le
marbre», indique-t-il. Mais pour lui, 2014 sera l’année de l’ouverture de la Grande mosquée.
J.-N. G.
ripo st e laique .co m
Publié le 23 avril 2013 - Article du nº 300
http://ripo stelaique.co m/mo squee-de-to ulo use-quand-vo us-tuez-tuez-de-la-meilleure-faco n-quand-vo us-ego rgezego rgez-de-la-meilleure-faco n.html
Mosquée de Toulouse : quand vous tuez, tuez de la
meilleure façon, quand vous égorgez, égorgez de la
meilleure façon
Paul Le Poulpe
Ce vendredi 19 avril, l’imam de la mosquée du
Mirail, à Toulouse, Mamadou Daf f é, annonce
clairement la couleur. Après avoir af f irmé à ses
coreligionnaires que l’islam ét ait au-dessus de
t out es les croyances et des aut res modes de
vie, après avoir dit que les non-musulmans
devront êt re soumis de gré ou de f orce, il ose
af f irmer, à la 2e minut e, cet t e phrase qui lui
parait t out e nat urelle, s’inspirant du message
du prophèt e : « quand vous tuez , tuez de la
meilleure f açon, quand vous
égorgez , égorgez de la meilleure f açon ».
ht t p://ripost elaique.com/wordpress/wpcont ent /uploads/2013/04/2013-04-19lExcellence.mp3
Ce prêche est également présent sur int ernet ,
en bas à droit e du sit e (avant qu’il ne soit
ret iré, d’où not re précaut ion de l’avoir
enregist ré).
ht t p://www.accif .com/
A signaler que Mamadou Daf f é parle parf ait ement f rançais, et n’est pas un incult e. Quand il n’est
pas imam, il est également microbiologist e au CNRS, donc payé par nos impôt s. Au lendemain de
l’af f aire Merah, il expliquait que « c’ét ait un st ress pour les musulmans ». Et il est l’aut eur de bien
d’aut res perles dont nous recommandons la lect ure, dans cet art icle de Jacques Philarchein. Hasard
du dest in, à ce jour, Jacques est t oujours poursuivi par le Mrap, pour incit at ion à la haine…
ht t p://ripost elaique.com/ramadan-2012-mamadou-daf f e-limam-doct eur-du-cnrs-def end-les-prieresde-rue-a-t oulouse.ht ml
On at t end donc avec impat ience la réact ion des impost eurs de l’ant i-racisme, de Moussaoui… et
celle de Valls. Le billet d’avion pour Mamadou Daf f é, c’est maint enant … !
Paul Le Poulpe
Lire également art icle de Christ ine Tasin :
ht t p://christ inet asin.over-blog.f r/art icle-quand-vous-t uez-t uez-de-la-meilleure-f acon-quand-vousegorgez-egorgez-de-la-meilleure-f acon-117313040.ht ml
Les mosquées sortent des caves
lexpress.fr /inf ormations/les-mosquees-sortent-des-caves_721835.html
La mosquée en préfabriqué émerge au bout du parking, échouée comme un ovni devant le centre commercial de
Basso Cambo, à Toulouse. Drôle d'endroit pour une prière. Chaque jour, depuis deux ans, des centaines de
musulmans prennent le chemin de ce lieu de culte provisoire, installé par la mairie au pied du quartier du Mirail.
Dans la nuit tiède de cette fin d'hiver, les hommes arrivent par deux ou trois. Des vieux, des jeunes, des gamins en
djellaba et pantalon de sport. Chacun dépose ses chaussures devant la porte puis s'immisce dans la baraque
bondée.
D'ici deux ou trois ans, les fidèles disposeront d'une vraie mosquée de 2 000 places, en complément de celle du
Tabar, construite il y a quelques années dans le quartier de la Reynerie. Le nouveau lieu de culte sera édifié sur un
terrain vendu par la municipalité en 2004 pour 61 600 euros, le prix en vigueur. La ville a fait de même pour un autre
bâtiment de taille comparable dans le quartier d'Empalot, bientôt terminé. " Toulouse compte environ 40 000
musulmans, souligne le maire (UMP), Jean- Luc Moudenc. Si l'on veut respecter l'expression religieuse tout en
combattant les dérives, on doit permettre aux fidèles de disposer de lieux de prière dignes. " Mamadou Daffé,
l'imam malien du Mirail, a voulu un édifice tout simple, sans minaret, mais avec des briques roses, " parce qu'on
est à Toulouse ". Un prêcheur atypique, ce Mamadou Daffé, imam le soir, docteur en biochimie au CNRS le jour. "
Les mosquées sont sorties des caves, se réjouit- il. Nous sommes entrés dans une phase de normalisation. "
A Toulouse comme ailleurs. Là où, il y a encore cinq ans, les maires freinaient l'essor du culte musulman - en
refusant des permis de construire ou en exigeant des plans de financement préalables - ils le facilitent aujourd'hui
ouvertement. Longtemps réticent, le maire (UMP) de Marseille, Jean- Claude Gaudin, a fini par approuver la
construction, au coeur des quartiers Nord, d'une " mosquée cathédrale " dotée d'un minaret de 25 mètres. A Metz ,
la municipalité a commandé un sondage auprès des fidèles afin d'évaluer leurs besoins en lieux de prière.
Pour les élus locaux, les mosquées sont devenues un enjeu à la fois électoral et symbolique. Longtemps
désarçonnés, les maires apprennent désormais à naviguer entre les différents courants et obédiences nationales
de l'islam en France (Marocains, Algériens, Turcs, Comoriens) ; ils choisissent leurs interlocuteurs. " Le tabou est
tombé, notamment à droite, observe le chercheur Franck Fregosi, auteur du livre Penser l'islam dans la laïcité
(Fayard). Les politiques ont compris que le fait islamique s'était enraciné dans le paysage. "
Des terrains loués pour un prix dérisoire
Les maires sont- ils dans leur rôle en facilitant ainsi la vie des musulmans ? " Qu'on le veuille ou non, nous sommes
concernés, ce sont les édiles qui ont le pouvoir de délivrer les permis de construire ", réplique le Toulousain JeanLuc Moudenc. En février, il est venu saluer l'imam du Mirail sur son parking. Pierre Cohen, son adversaire du PS,
n'en a pas fait toute une histoire. " Je ne mettrai aucun obstacle aux musulmans, mais je n'ai pas de programme lié
au fait religieux, dit- il. Je préfère parler des discriminations. "
Intérêts électoraux, préoccupations sécuritaires, souci d'équité républicaine envers la deuxième religion de France :
chaque maire aborde le sujet à sa façon, indépendamment des clivages droite- gauche. Jean- Luc Moudenc, par
exemple, a vendu les terrains mais refusé de verser " un centime " à la construction des bâtiments, conformément à
la loi de 1905, qui interdit le financement public des religions. D'autres édiles trouvent des biais, comme celui du
bail emphytéotique : la municipalité loue un terrain à une association musulmane pour un prix dérisoire sur une très
longue durée. Jugée acceptable par le Conseil d'Etat dans son rapport de 2004, la formule est désormais
contestée - avec succès - par l'extrême droite auprès des tribunaux administratifs, qui assimilent cette solution à
une subvention déguisée. A Montreuil (Seine- Saint- Denis), le bail a ainsi été annulé en juin 2007, stoppant la
construction de la mosquée ; à Marseille, Jean- Claude Gaudin a dû revoir le loyer à la hausse.
Autre ficelle : les municipalités subventionnent les activités culturelles du futur lieu de culte. A Montpellier, l'ancien
maire (PS), Georges Frêche, avait même financé la construction d'une salle, officiellement polyvalente,
officieusement cultuelle. " Illégal ", a tranché la justice.
Selon les élus, ces contournements permettent d'éviter le recours des fidèles aux fonds étrangers opaques. Mais ils
entraînent aussi une " municipalisation " de l'islam. " A Toulouse, le maire mérite les voix des musulmans ", estime
Abdellatif Lemsibak, président du conseil régional du culte musulman de Midi- Pyrénées. Fin du suspense le 16
mars.
Coran, ou l’incitation à la haine sans complexe
agoravox.fr /actualites/religions/article/coran-ou-l-incitation-a-la-haine-113603
J e s uis s urp ris d e c o ns tate r la vio le nc e d e c e rtains mus ulmans e n Franc e (affaire s
Yo us s o uf FO FANA, Mo hame d MERAH e t le urs é mule s ...), ains i q ue d ans le mo nd e o ù
99% d e s g e ns q ui me ure nt au no m d ' un d ie u me ure nt e n fait au no m d ' Allah. J ' ai d o nc
d é c id é d e lire le Co ran p o ur vo ir s i c e te xte p ré s e ntait un lie n ave c c e tte vio le nc e . Ce
q ue j' y ai d é c o uve rt e s t e ffrayant e t s us c e p tib le d e vo us inté re s s e r.
J ' y ai tro uvé d e s ve rs e ts d ' une vio le nc e ino uïe . No n p as d e s his to ire s à lire c o mme d e s
ro mans d ' ave nture , à l' ins tar d e l' Anc ie n Te s tame nt, q ui no us c o nte le s d é mê lé s d u
p e up le juif ave c s e s vo is ins aujo urd ' hui d is p arus . Mais d e s te xte s me ttant d ire c te me nt
e n c aus e no s c o nc ito ye ns , c hré tie ns , juifs , o u athé e s ... vo ire mê me mus ulmans jug é s tro p " mo d é ré s " . De s te xte s ap p e lant s ans
amb ig uïté à la haine , à la d is c riminatio n, e t au me urtre d e s Français . No n p as 2 o u 3 mais d e s c e ntaine s (!) d ' artic le s aus s i allé g o riq ue s
q ue le c o d e Nap o lé o n, q ui s tig matis e nt, ins ulte nt, c o nd amne nt p arfo is à mo rt no s c o nc ito ye ns e n rais o n d e le urs c ro yanc e s re lig ie us e s
(o u d e le ur ab s e nc e d e c ro yanc e ). De s te xte s c o ntre ve nant s ans auc un d o ute à la lo i d u 29 juille t 1881 mo d ifié e e n 2004.
J ug e z p lutô t ave c c e p e tit é c hantillo n :
s o urate 9 v29 : " Co mb atte z c e ux q ui ne c ro ie nt p as e n Allah, q ui ne c o ns id è re nt p as c o mme illic ite c e q u' Allah e t s o n p ro p hè te o nt
d é c laré illic ite (...) jus q u' à c e q u' ils p aie nt, humilié s e t d e le urs p ro p re s mains le trib ut."
1
s o urate 2 v216 : " Le c o mb at vo us e s t p re s c rit e t p o urtant vo us l' ave z e n ave rs io n. Pe ut-ê tre ave z -vo us d e l' ave rs io n p o ur c e q ui e s t un
b ie n e t d e l' attiranc e p o ur c e q ui e s t un mal. Allah s ait e t vo us ne s ave z p as "
s o urate 9 v5 : " lo rs q ue le s mo is s ac ré s s e ro nt e xp iré s , tue z le s infid è le s p arto ut o ù vo us le s tro uve re z . (...)"
s o urate 8 v17 : " Vo us ne le s ave z p as tué (vo s e nne mis ). C' e s t Allah q ui le s a tué s . Lo rs q ue tu p o rte s un c o up , c e n' e s t p as to i q ui le
p o rte mais Allah q ui é p ro uve ains i le s c ro yants p ar une b e lle é p re uve "
2
s o urate 47 v35 : " Ne faib lis s e z p as e t ne d e mand e s p as la p aix q uand vo us ê te s le s p lus fo rts e t q u' Allah e s t ave c vo us ! (...)"
3
- Co nc e rnant l' inc itatio n à la to rture (o ui, d ans un te xte re lig ie ux d e ré fé re nc e !) : s o urate 5 ve rs e t 33 : " la ré c o mp e ns e d e c e ux q ui fo nt la
g ue rre à Allah (...) c ' e s t q u' ils s o ie nt tué s o u c ruc ifié s , o u q ue s o ie nt c o up é s le urs mains o u le urs p ie d s (...)"
- Co nc e rnant la p ro vo c atio n à la d is c riminatio n e t à la haine d e s no n-mus ulmans (athé e s o u me mb re s d e s autre s c o nfe s s io ns ) :
s o urate 9 ve rs e t 28 : " le s infid è le s ne s o nt q ue s o uillure "
s o urate 9 ve rs e t 30 : (le s juifs e t le s c hré tie ns ) " Q u' Allah le s maud is s e nt(...)"
(Re marq ue : d ans l' Is lam, maud ire q ue lq u' un o u l' ac c us e r d ' ê tre imp ur s o nt c e q u' o n p e ut p o rte r d e p ire c o mme attaq ue ve rb ale ; un
p e u l' é q uivale nt d e no tre mo d e rne " fils d e p ute " )
4
5
Le s juifs s o nt d é c rits c o mme d e s ê tre s injus te s , d e s p e rve rs s ans fo i ni lo i (s o urate 2 ve rs e t 89/95, s o urate 2 ve rs e t 79/85, s o urate 2
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7
5
ve rs e t 73/79, s o urate 5 ve rs e t 41) La s o urate 4 e s t un to rre nt d e c o lè re e t d e haine c o ntre le s juifs (ve rs e ts 154, 155, 156, 157) tand is q ue
8
la s o urate 62 ve rs e t 5 le s c o mp are à d e s âne s ...
9
- Co nc e rnant la lib e rté d e c ulte : s o urate 4 ve rs e t 89 : " (c e ux q ui q uitte nt l' Is lam) s ais is s e z -le s alo rs , e t tue z -le s o ù q ue vo us vo us
10
tro uvie z ." - Co nc e rnant la lib e rté d e d is p o s e r d e s o n c o rp s : s o urate 4 ve rs e t 19 (o u 15) : (le s le s b ie nne s ) " Re te ne z c e s fe mme s d ans
vo s d e me ure s jus q u' à c e q ue la mo rt le s rap p e lle (...)" e tc ...e tc ...J ' arrê te -là la litanie p o ur ne p as las s e r...
Ce s q ue lq ue s e xe mp le s s uffis e nt amp le me nt à jus tifie r le s ac te s d e Mo hame d MERAH e t d e to us s e s p artis ans ac tue ls ...e t futurs ! Il me
s e mb le q u' ils amè ne nt to ut c ito ye n à s e p o s e r le s q ue s tio ns s uivante s :
- Co mme nt, e n Franc e , le s maire s p e uve nt-ils s ub ve ntio nne r une re lig io n s ' ap p uyant s ur d e te ls te xte s (e n c o nto urnant le s lo i s ur la
laïc ité !), s ans au mo ins e xig e r e n c o ntre -p artie la s up p re s s io n d e s ve rs e ts illé g aux ? Simp le ig no ranc e , o u p ré o c c up atio ns
c lie nté lis te s ? - Co mme nt d ans no tre Ré p ub liq ue laïq ue , le s p o uvo irs p ub lic s p e uve nt-ils p uis e r le ur ins p iratio n d ans c e mê me te xte
s c é lé rat p o ur le s g uid e r d ans la g e s tio n d e no tre s o c ié té (p re s c rip tio n d e re p as s ans p o rc , o u d e viand e hallal d ans le s c antine s
s c o laire s o u militaire s , auto ris atio n d u vo ile is lamiq ue ...) s ans s ' inté re s s e r à l' e ns e mb le d u me s s ag e vé hic ulé ? - Es t-c e q u' un te xte ,
s o us p ré te xte q u' il s e rt d e ré fé re nc e re lig ie us e , a le d ro it d e vé hic ule r le s id é e s le s p lus ab je c te s e t le s p lus c o ntraire s à no tre
d é mo c ratie ?
" Me in Kamp f" d é livre -t-il vraime nt un me s s ag e b e auc o up p lus haine ux, p lus lib e rtic id e , q ue c e s c e ntaine s d e ve rs e ts antid é mo c ratiq ue s ? Auto ris e rait-o n un p arti né o -naz i à d iffus e r d e s te xte s d o nt c e rtains c hap itre s ap p ro uve nt le s c hamb re s à g az , o u la
s up p re s s io n d e la d é mo c ratie s o us p ré te xte q ue : -b e auc o up d ' autre s c hap itre s n' e n p arle nt p as (" s e ule me nt" q ue lq ue s c e ntaine s s ur
6235) -c e s né o -naz is s e raie nt p o ur la p lup art d e s g e ns s ans his to ire , e t q u' ils no us fe raie nt la p ro me s s e d e ne jamais lire le s c hap itre s
inc riminé s (c e s c hap itre s s o nt d o nc là jus te p o ur le fo lklo re , é lé me nt d e c ulture né o -naz ie s o us -jac e nte , p as p o ur ' ac tio n' )
Il me s e mb le urg e nt d ' e ng ag e r un d é b at d e fo nd s ur c e s uje t, d ans la d ig nité mais s ans c o nc e s s io ns ni faux-s e mb lants .
p ar c as s and re s ame d i 31 mars 2012 -
1 : ou v212-213 dans certaines éditions
2 : ou v37 dans certaines éditions
3 : ou v37 dans certaines éditions
4 : ou v83/89 dans certaines éditions
5 : v73/85, ou v67/79 dans certaines éditions
6 : ou v45 dans certaines éditions
7 : ou v153/156 dans certaines éditions
8 : ou v6 dans certaines éditions
9 : ou v91 dans certaines éditions
10 : dans certaines éditions