SNES Pays de Loire N°6

S
P
L
pays de loire
Loire Atlantique - Maine et Loire - Mayenne - Sarthe - Vendée
Bulletin de la section académique du SNES
15, rue Dobrée – 44100 NANTES
tél. 02 40 73 52 38
fax 02 40 73 08 35
e-mail : [email protected] sur le Web : www.nantes.snes.edu
Edito
Ce numéro de SNES Pays de Loire
contient les appels à candidatures
pour le renouvellement de la Commission Administrative Académique,
instance délibérative qui définit régulièrement, autour de 5 fois par an, la
politique du SNES dans l'académie et
mandate nos représentants pour la
C.A. nationale. Vous trouverez aussi
dans ces pages les appels à candidatures pour le renouvellement des bureaux
départementaux
de
la
Loire-Atlantique, du Maine-et-Loire,
de la Mayenne et de la Vendée. Celui
de la Sarthe sera publié dans le bulletin départemental Second Degré 72.
Ces votes feront suite aux congrès
académique et national où les orientations du SNES pour les années à
venir auront été débattues et
adoptées. Ces congrès sont précédés
des votes sur les rapports d'activité
et financier qui sont organisés dans
les S1 et par correspondance au S3
pour les isolés jusqu'au 26 février.
N°6 - février 201 4 - Prix du numéro : 1 .50€
tions et à l'action du SNES, et des
avancées importantes ont été actées,
notamment pour les contractuels,
mais des points restent inacceptables, comme la banalisation des
compléments de service. Plus largement, des menaces importantes
pèsent toujours sur nos métiers et
pour la perspective d'une revalorisation pourtant plus urgente que
jamais. La poursuite du gel du point
d'indice et les vraies fausses annonces sur le blocage des avancements montrent que le gouvernement
ne mesure pas cette urgence. Au
contraire, en maintenant son calendrier qui avance la pré-rentrée au
mois d'août sans aucune discussion
sur la charge de travail, le ministre
nous envoie un bien mauvais signal.
La remise en cause de ces
orientations qui tournent le dos à
toute perspective de progrès social
doit s'inscrire dans une lutte globale
contre les politiques d'austérité qui
les
cadeaux
aux
L'actualité est aussi marquée par la multiplient
préparation de la rentrée 2014 : Les entreprises en ayant le moins besoin.
CA doivent se prononcer sur la DHG
et son utilisation. Les moyens supplémentaires pour notre académie Ce sont là quelques exemples qui
confirment un changement important montrent que le combat syndical
amorcé à la rentrée 2013 mais ne reste toujours d'actualité et que le
sont pas à la hauteur des hausses renforcement du SNES-FSU pour une
d'effectifs. La rentrée se profile dans intervention des personnels plus forte
de nombreux établissements avec et plus efficace est une préoccupation
des classes plus chargées et plus nécessaire pour chacune et chacun
d'heures supplémentaires.
d'entre nous.
Emmanuel Séchet,
Les discussions sur les métiers se
le 1 3 février 201 4
sont prolongées, grâce
aux
mobilisa-
Retouvez le SNES sur le web
le site national
www.snes.edu
le site académique
www.nantes.snes.edu
Sommaire
1
2
3
4
5
6 &7
8
Éditorial
Préparation de rentrée
Langues Vivantes
Orientation
Appels à candidature
académiques
Appels à candidatures
départementaux
Mobilisation à l'ESPE Congrès
CONGRÈS
ACADÉMIQUE
JEUDI 20
VENDREDI 21
MARS
BOURSE DU
TRAVAIL
ANGERS
2
PRÉPARATI ON DE REN TRÉE
BAISSE DES TAUX D'ENCADREMENT :
L'INVERSION DE LA COURBE N'EST PAS
POUR DEMAIN...
Comme nous le disions au Recteur lors du CTA réuni
le 20 janvier, les annonces de créations de poste sont
trompeuses. Si on fait abstraction de la démographie,
on peut penser que la situation de notre académie va
sensiblement s'améliorer à la rentrée prochaine (! )
car 200 postes supplémentaires pour le second degré,
c'est du jamais vu depuis bien longtemps...
Cela représente en effet une augmentation de
l'ordre de 1,2% des moyens de l'académie. Mais
lorsqu'on regarde dans le détail, c'est déjà beaucoup
moins reluisant. En effet la dotation n'est que de 125
postes et de l'équivalent de 75 postes en HSA. C'est à
dire qu'une bonne partie des moyens supplémentaires
est conditionnée à l'augmentation de la charge de
travail des personnels qui voudront bien accepter ces
HSA.
Et cela n'est rien tant qu'on n'a pas comparé l'évolution des moyens à celle prévue des effectifs. Et là on
est bien obligés de déchanter : si notre académie a la
plus forte progression de sa dotation, ce n'est pas dû
à une quelconque bienveillance. C'est tout simplement parce qu'elle va connaître la plus forte hausse
des effectifs dans le second degré : +3307 élèves attendus à la rentrée dans les collèges et lycées des
Pays de Loire. Soit une hausse de 1,8% des effectifs du second degré, c'est à dire bien plus que
les 1,2% d'augmentation des moyens. Le résultat est
automatique : les H/E (1 ) vont baisser. C'est à dire que
les effectifs des classes vont augmenter, des dédoublements vont être supprimés et des groupes vont
disparaître.
Comme le montrent bien les deux graphiques cicontre, la rentrée 2014 s'annonce donc comme la pire
depuis 2008.
Évolution des H/E des collèges
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Sarthe
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Pour 2014, le trait plein correspond aux DHG initiales annoncées
par les DASEN, les pointillés correspondent aux dotations départementales annoncées en CTA le 20 janvier.
Évolution des H/E des lycées
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Aca d é
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1 Le H/E est le ratio entre le nombre d'heures d'enseignement et le nombre d'élève.
SN ES PAYS DE LOI RE - n ° 6 - févri er 2 0 1 4
Déclaration de la FSU au
Comité Technique Académique
du 21 janvier 2014 (Extraits)
[...] Les moyens annoncés pour
l'académie de Nantes sont notoirement insuffisants. [...] Pour le
second degré, il faudrait 284
postes pour simplement faire
face à l'augmentation de 3307
élèves. [...] L'attribution de
l'équivalent de 75 postes en HSA
est un signe très inquiétant pour
les collègues à la rentrée. L'utilisation de ces moyens est subordonnée à une augmentation de
la charge de travail qui est déjà
devenue
insoutenable
pour
beaucoup. [...]
La FSU vous demande, Monsieur
le Recteur, d'alerter le Ministre
sur la situation sensible de notre
académie afin d'obtenir une dotation supplémentaire. [...] Pour
le second degré, sans compter
l'incidence du passage des stagiaires à mi-temps, ce sont 284
postes qui sont nécessaires pour
enrayer la dégradation de la situation des collèges et des lycées
généraux, technologiques et
professionnels. Compte tenu du
nécessaire redéploiement de
moyens pour le remplacement,
c'est près de 200 postes qui vont
manquer dans les établissements
à la rentrée.[...]
ÉDUCATION PRIORITAIRE : TROIS RÉSEAUX
REP+ POUR L'ACADÉMIE DE NANTES.
Quels moyens pour améliorer sensiblement les
conditions de travail de tous ?
Trois réseaux sont concernés par la mise en oeuvre du nouveau
dispositif pour les établissements qui concentrent le plus de
difficultés (les REP+). Le Breil à Nantes, Jean Lurçat à Angers
et Costa Gavras au Mans.
Dans ces trois collèges la pondération de 1,1 de toutes les
heures d'enseignement sera mise en oeuvre à la rentrée
2014. Cette pondération doit permettre de répondre à la
principale demande des enseignants de ces établissements :
avoir du temps libéré pour prendre en charge la spécificité de leur
collège. Les services doivent donc être définis à 16,5h. La
plus grande vigilance s'impose pour que cette réduction de
l'obligation de service ne se transforme pas en imposition
d'HSA.
Rémunération : La part fixe de l'indemnité spécifique "ECLAIR"
doit être doublée et devrait donc s'élever à près de 200 €
mensuels.
Quid des autres réseaux d'éducation prioritaire ?
D'un département à l'autre, l'évolution des moyens des collèges
de l'éducation prioritaire est très variable, mais partout ils sont à
la baisse. La situation est particulièrement préoccupante en
Maine-et-Loire où le DASEN prévoit les mêmes seuils d'ouverture
pour tous les établissements, qu'ils soient classés en éducation
prioritaire ou pas.
Ce stage a réuni 19 enseignants, 7 collègues de collège, 11 de lycées et une
collègue de lycée professionnel.
Tout d’abord le rappel sur le
CERCRL et l’enseignement par
compétences a permis de mettre
en évidence la difficulté croissante que nous rencontrons pour
conserver à notre enseignement
un contenu culturel et civilisationnel et le fait que, pour nos
prescripteurs actuels, l’instrumentalisation de la connaissance
semble avoir plus d’importance
que la connaissance elle-même.
Le savoir n’est ainsi plus conçu,
de façon générale et dans
« l’économie de la connaissance », que comme un outil
pour le monde de l’économie, de
l’entreprise, ce qui rejoint, pour
nos élèves, la logique d’insertion,
plus que de qualification, qui prédomine actuellement dans leur
orientation.
Il s’agit alors de renoncer en
langues, comme le veut le socle
commun, à la complexité au nom
de l’efficacité, d’exercer nos
élèves à la résolution de tâches
et
d'appeler
le
résultat
« compétences ». À nous de
créer des situations-problèmes
orientées vers des apprentissages spécifiques ! À nous de
sombrer ensuite dans la frénésie
évaluative qu’engendre inéluctablement un tel mode d’enseignement. On glisse progressivement
de la notion de compétence à la
notion d’aptitude ou de capacité,
et l’échec est d’autant plus mal
vécu par nos élèves.
Ce type d’évaluation provoque
une perte de sens à la fois pour
l’élève et pour l’enseignant, pour
lequel elle est de plus fortement
génératrice de stress, sans
compter les dissensions qu’introduit déjà l’organisation très
lourde des modalités de mise en
œuvre
des
groupes
de
compétence dans les équipes pédagogiques.
Un état de l’enseignement des
langues a permis de débattre autour du constat suivant : d’après
les indicateurs européens de
l’enquête, moins de 30% des
élèves français scolarisés, at-
teignent le niveau A2 en fin de
collège (en anglais, comme en
espagnol). Or en France, où le
socle commun palier 3 doit valider obligatoirement le niveau A2
pour la délivrance du DNB (diplôme national du brevet), et où
80% des élèves réussissent à
obtenir ce diplôme, on semble
juger que ces 80% atteignent ce
niveau A2.
Au niveau académique, le recteur
Chaix a certes affiché un volontarisme apparemment fort dans
le domaine des langues, mais il a
réduit ses prétentions à la création de « pôles d’excellence
Ecoles-Collèges-Lycées », plutôt
axés sur le binôme AnglaisAllemand, au détriment d’une
offre de diversification réduite à
quelques saupoudrages, tout en
généralisant ce qui coûtait le
moins cher, les bi-langues, les
DNL, les sections européennes
de collège.
Nous avons notamment pu
constater l’effet pervers des bilangues Anglais-Allemand, avec
la disparition corrélative des LV2
Allemand dans de nombreux établissements, outre le problème
de la continuité de l’enseignement en Lycée qu’elles peuvent à
l’occasion partager avec des sections européennes de collège.
Les certifications ont suscité de
nombreuses questions :
- Les certifications d’élèves ne
concernent d’abord pas tous les
publics... L’inscription dépend de
leur lycée et de la langue. La certification est un examen qui atteste d’un niveau, ici de langue,
sans dimension culturelle, et à
validité extrêmement limitée. En
lycée les élèves inscrits passent
pour l’essentiel de A2 à B2.
Les certifications dans les différentes langues s’organisent
dans le cadre de trois types de
partenariat : public avec la KMK
(allemand), semi-public avec
l’instituto Cervantes (espagnol)
et privé avec Cambridge (anglais).
- L’Éducation Nationale, qui
prend en charge les frais d’examen, paie des sommes bien supérieures à 100 euros par élève
à ces organismes, qui en ont fait
un fond de commerce sur le territoire national.
Le SNES s’interroge sur le choix
consistant à sous-traiter à des
organismes privés ce que le
service public d’éducation pourrait très bien faire.
Ce qui est certain c’est que, sans
réaction forte dans ce domaine
comme dans d’autres, le bac à
moindre coût, et surtout le bac à
la carte est en marche, le code
de l’Education prévoyant déjà des
dispositions pour leur intégration
possible à la validation des diplômes nationaux (décrets et arrêtés
fort
heureusement
inexistants pour l’instant, s’agissant du baccalauréat).
La soumission à ces organismes
certificateurs est souvent présentée comme le corollaire du
maintien des sections européennes dans les établissements,
ou la condition sine qua non, de
leur création, ce que nous dénonçons. Les collègues de ces
sections sont confrontés aux
pressions exercées par les IPR
pour qu’ils suivent un stage de
formation pour les certifications.
Les IPR n’ont apparemment pas
imposé aux enseignants une
participation à ces stages par des
ordres de mission établis contre
leur gré, dans l’académie, mais
un enseignant qui aura suivi ces
stages volontairement pourra
difficilement refuser ensuite de
faire passer la certification à ses
élèves.
- S’agissant des certifications
d’enseignants d’autres disciplines
souhaitant exercer une DNL, le
stage a été l’occasion d’échanger
sur les conditions actuelles de
passation et d’attribution comme
sur la problématique du profilage
indu de postes en établissement
(postes spécifiques académiques)
sur cette seule base. Nous avons
pu indiquer que, suite à nos
interventions, le recteur actuel
reconnaît enfin qu’en dehors de
la possession du « titre », rien ne
vient justifier une procédure faisant intervenir l’avis prépondérant du chef d’établissement
concerné, pour le choix du candidat retenu. Nous devrions
donc, dans l’académie, voir ces
postes, sinon revenir dans le
3
SN ES PAYS DE LOI RE - n ° 6 - févri er 2 0 1 4
COM PTE- REN DU DU STAG E LAN G U ES, AN G ERS LE 2 0 J AN VI ER 2 0 1 4
LAN G U ES VI VAN TES / ORI EN TATI ON
4
mouvement général intra-académique, du moins être pourvus
selon des éléments minimaux de
barème départageant, in fine, les
candidats.
Les Epreuves de Contrôle en
cours de Formation, mieux caractérisé comme Evaluation en
Cours d’Année, ne sont pas
l’apanage de l’enseignement des
langues, puisqu’elles sont apparues progressivement en bac pro,
BTS, bac STI2D. L’originalité du
dispositif, en ce qui concerne les
langues, tient à sa généralisation
transversale tous baccalauréats
généraux ou technologiques
confondus.
Ces
épreuves
permettent à l’institution un
abaissement de coûts au prix de
l’égalité républicaine de traitement entre établissements et
entre publics scolaires, et fait fi
du caractère national des diplômes ou de l’anonymat des
candidats dans le cadre des examens terminaux.
La note de service du 14 janvier
2014, tardivement intervenue en
cours d’année scolaire, si elle
instaure, pour l’épreuve de compréhension orale déjà programmée en février dans de
nombreux établissements, des
banques de sujets académiques,
avancée à mettre au crédit du
SNES, va fortement réduire leur
effectivité pour cette session,
tout en continuant de faire peser
le poids de leur véritable constitution sur les seuls enseignants,
sans compensation aucune de la
charge de travail induite. Par
ailleurs, les grilles d’évaluation
modifiées restent tout aussi
problématiques que les précédentes, par les écarts de notation qu’elles vont à nouveau
engendrer selon les évaluateurs.
Dans le cadre des banques académiques prévues, le SNES a appelé les collègues à ne pas
fournir de nouveaux sujets.
Quant aux fondements programmatiques (les quatre notions), ils
vont rester très difficiles à respecter,
notamment
pour
l’épreuve d’expression orale.
Etant donné la situation dramatique aujourd’hui des horaires
d’enseignement de langues dé-
diés aux élèves de Terminale, il
sera difficile de respecter les
fondements
programmatiques
(les quatre notions), notamment
pour l’épreuve d’expression
orale.
Le SNES se bat maintenant depuis deux ans pour que soient
rétablies des épreuves terminales
au baccalauréat, cadrées nationalement. Il continuera à lutter
contre l’introduction du CCF dans
tous les examens.
Nous tenons à la disposition des
collègues syndiqués l’ensemble
des textes ayant servi au déroulé
de ce stage. Il suffit de nous les
demander par un mail à
[email protected].
Marie-Hélène Faucou-Cornillet,
Igor Martin
ORIENTATION
SN ES PAYS DE LOI RE - n ° 6 - févri er 2 0 1 4
Compte-rendu d'audience
Le 14 janvier 2014, le SNES-FSU et SUD-éducation ont été reçus en audience au rectorat pour
aborder deux sujets : la révision de la carte des CIO et les incidences de l'expérimentation du SPRO (1 ).
Sur le premier point, aucune décision n'interviendra dans l'attente de la loi de décentralisation et
surtout pas avant les élections municipales... En Mayenne, le rectorat se substitue au Conseil Général
qui se désengage du financement des CIO, mais c’est une solution provisoire. Aucune réponse n'a été
apportée à nos questions sur un éventuel relogement du CIO d’Angers
En ce qui concerne l’expérimentation du SPRO, nous avons exprimé notre crainte de voir cette
expérimentation se traduire par des fermetures de CIO. Nous avons aussi dit notre forte interrogation
sur le « schéma de professionnalisation » envisagé pour les acteurs du SPRO. Les autorités
académiques ont rappelé que la charte SPO et les labellisations signées ou en cours sur les 17
territoires garantissent la reconnaissance des spécificités de chaque structure en promouvant le
partenariat et la mutualisation des pratiques. Nous avons alors insisté sur la spécificité de l’orientation
scolaire : on n’accueille pas un collégien comme un demandeur d’emploi !
Journée OTLV(2) organisée par le CARIF-OREF(3)
Organisée le 21 janvier à la Pommeraye, près d'Angers,cette journée devait marquer le lancement du
SPRO. De l’expérimentation à la préfiguration... Ah, la sémantique !
Présentée par M. Ricochon (DIRECCTE (4)) comme une « journée technique et institutionnelle » elle est
à nos yeux éminemment politique, comme en témoigne la représentation officielle des trois instances
Préfecture - Région - Rectorat, avec comme objectif de valider le passage du SPO au SPRO auprès des
400 professionnels présents.
Nous sommes intervenus pour exiger clairement que ne soient pas remises en cause nos priorités de
mission : différencier l’orientation scolaire de l’orientation des adultes, maintenir le réseau des CIO
dans l’Education Nationale, avec le maillage de proximité nécessaire à une couverture satisfaisante
des territoires et des établissements scolaires.
1 Service Publique Régioal de l'Orientation
2 Orientation Tout au Long de la Vie
3 Le Centre d'Animation de Ressources et d'Information sur la Formation - Observatoire Régional Emploi Formation est un Groupement d'Intérêt Public dont les missions s'inscrivent dans
les orientations du contrat de projets Etat-Région. Il a notamment en charge l'animation du SPRO.
4 Direction Régionale des Entreprises, de la Concurence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi
APPELS À CAN DI DATU RES - CA ACADÉM I QU E
5
Se porter candidat à la CA académique du SNES-FSU
sur la liste « Unité & Action » : Pourquoi pas ?
Chaque syndiqué-e peut se poser la question. La CA académique est un lieu
d'échange où s'élaborent collectivement l'action de la section académique et son
positionnement dans les instances nationales du SNES-FSU. Au sein du courant
« Unité & Action », chaque voix peut s'exprimer et enrichir les débats.
Alors que le Président de la République vient de réaffirmer sa volonté de réduire la dépense publique et
d'amplifier les politiques d'austérité, nous devons être en mesure de porter des ambitions fortes pour le
second degré et ses personnels.
Depuis deux ans, de nombreux chantiers ont été ouverts par le ministère et le SNES y a pris toute sa
place d'organisation majoritaire pour faire avancer ses revendications. Les militantes et les militants
« Unité & Action » sont convaincus qu'il faut continuer à engranger le maximum de résultats tout en
construisant le rapport de force qui doit permettre d'avancer toujours plus loin avec deux objectifs
indissociables :
• une transformation ambitieuse du système éducatif pour la réussite de tous les élèves et contre les
inégalités sociales, spatiales et toute forme de discrimination ;
• une revalorisation de nos métiers et la résorption de toutes les formes de précarité. Elle impose
l’abandon des politiques managériales et le développement d’un fonctionnement démocratique des
établissements, respectant la liberté pédagogique et notre professionnalité ;
Ces deux exigences, et la nécessaire augmentation des salaires et des pensions, imposent la remise en
cause des politiques d’austérité, d'où qu'elles viennent, et la construction du rassemblement de toutes
les forces progressistes pour cet objectif.
Les militantes et les militants « Unité & Action » appellent toutes celles et ceux qui partagent
ces ambitions à les rejoindre en se portant candidat sur la liste « Unité & Action », pour :
• s'informer, partager, débattre et échanger avec des militants CPE, COPsy, AED, enseignants en
collège ou en lycée, titulaires ou contractuels, actifs ou retraités, venant de toute l'académie ;
• participer à la réflexion syndicale sur nos métiers, sur les évolutions du système éducatif ;
• contribuer à la définition de l'action du SNES-FSU dans notre académie ;
• fortifier le syndicalisme que nous défendons : libre de toutes accointances politiques, recherchant
toujours la plus grande participation des personnels et l'unité d'action la plus large possible.
L'ECOLE
EMANCIPEE
Contact : [email protected]
Pour un SNES plus fédéral, plus unitaire
et pluraliste, plus offensif
Être candidat-e sur la liste EE pour faire vivre la démocratie au
sein du SNES académique
Les élections internes sont un moment important de la vie démocratique du syndicat. Les militant-e-s de l'EE participent quotidiennement
au fonctionnement du Snes, mais toujours en prônant un syndicalisme
de lutte et de transformation sociale capable de défendre ses positions
quelle que soit la couleur du gouvernement. Pour la CA académique,
l'EE est à l'initiative d'une liste qui devra être composée de 39 titulaires
et de 39 suppléants, actifs ou retraités.
à impulser toute véritable mobilisation, se résignant au dialogue dit
"social". A l'EE nous savons qu'on ne transige pas avec les politiques
libérales et qu'il est urgent de :
Pour une école plus égalitaire
En France, la politique du gouvernement Hollande-Ayrault continue
celle de Sarkozy-Fillon. Dans l’Éducation, le gouvernement a mis fin
aux suppressions de postes, mais en reprenant des moyens aux autres
ministères, et en masquant les pénuries par la multiplication des précaires. Quant à la loi d'orientation de Peillon, elle s'inscrit dans le prolongement de la loi Fillon. L'EE se bat pour une école égalitaire et
démocratique, portée par des personnels au statut garanti. Cela suppose
la titularisation immédiate de tous les non-titulaires et l'arrêt du recours
à la précarité.
- s'associer aux mobilisations pour les droits fondamentaux tels que la
régularisation des sans-papiers, le droit au logement, les droits des
femmes, des Roms, etc.
Pour une action fédérale et interprofessionnelle au service de luttes
enfin victorieuses
Cela exige aussi de conjuguer nos forces avec celles des autres syndicats de la FSU et des autres secteurs d'activité. Ce n’est qu'appuyés par
un puissant mouvement social que nous reconstruirons des services publics émancipateurs. Or au nom d'une « meilleure écoute » ministérielle et d'un soi-disant attentisme de la profession, le SNES a renoncé
- mener des campagnes de conviction claires, sans jamais faire passer
un moindre mal pour un bien
- impulser et construire des grèves ainsi que les outils démocratiques
pour les conduire (Assemblées Générales de grévistes) de façon à peser
sur les choix politiques
Si vous partagez ces préoccupations,
portez-vous candidat-e
sur la liste ouverte
présentée par l’École Émancipée
en prenant contact avec les élu-e-s École Émancipée à la CA académique du SNES : Olivier Crapoulet, Danièle Duchemin, Stéphanie
Gourmelon, Christophe Hélou, Pascale Richert, Marie-Noëlle Sargenton Callard, (49), Catherine Allain, Benoit Bossard, Sébastien Canet,
Amélie de Schepper, Marie Haye, Olivier Jolly, Sylvain Marange, Jérôme Ortais, Séverine Pirovano, Amélie Sadoc (44), Luis Cisternas,
Martial Château (72)
ou en envoyant un mail à : [email protected]
SN ES PAYS DE LOI RE - n ° 6 - févri er 2 0 1 4
Et pour ne pas accepter sous la «gauche» ce que nous avons combattu sous la droite
6
APPELS À CAN DI DATU RES - BU REAU X DÉPARTEM EN TAU X
RENOUVELLEMENT DU BUREAU DÉPARTEMENTAL DE LOIRE-ATLANTIQUE
APPEL À CANDIDATURES
2014 est une année de congrès pour le SNES-FSU (académique puis national) ; c'est aussi une
année de vote où l'expression des syndiqués va renouveler le bureau départemental pour décider de
son orientation pour les deux ans à venir.
Mais il n'y aurait pas de syndicat sans l’implication de syndiqués pour défendre les personnels, pour
réfléchir ensemble et construire les actions de défense et promotion des services publics.
La section départementale et le bureau veillent, sur la durée de deux ans, à :
- faire vivre les décisions et les mandats que les syndiqués du SNES se donnent en congrès, et
lors des commissions nationales, académiques ou départementales ;
- agir pour la défense individuelle et collective des personnels en soutenant l'action des sections
d’établissements (S1) des collèges, lycées, CIO, à l’ESPE, et en organisant des actions
départementales ;
- organiser des permanences et informer les collègues par tous les moyens possibles (réunions,
courriers, éditions de tracts et bulletins, stages et animations des débats en AG etc.)
- représenter les personnels dans les instances de l'éducation (CDEN, CTSD…) ;
- construire, animer les initiatives de la FSU 44 ainsi que les actions intersyndicales.
Ce collectif est ouvert. Il a besoin de se renouveler. Ceux qui l’animent aujourd'hui
sollicitent ici votre contribution, votre participation à leurs côtés dans le SNES-FSU-44
pour les deux ans à venir.
Vous pourrez lire dans ce bulletin les appels à candidatures académiques des deux tendances qui
composent notre bureau (« Unité & Action » et « Ecole Emancipée »). Si vous vous reconnaissez
dans l'une d'elles, prenez contact avec ses représentants : deux listes départementales de 20 noms
chacune seront constituées en mars prochain.
Pour UA : Céline Pella (06 88 68 22 73) - Thierry Le Bihan (06 62 86 33 74)
Pour EE : Sylvain Marange (06 22 29 61 31) - Catherine Allain (02 40 34 77 03)
SN ES PAYS DE LOI RE - n ° 6 - févri er 2 0 1 4
RENOUVELLEMENT DU BUREAU DÉPARTEMENTAL DU MAINE-ET-LOIRE
APPEL À CANDIDATURES UNITÉ & ACTION
Une très grande majorité d'entre vous a voté pour les représentant(e)s Unité et
Actions lors des dernières élections départementales du SNES 49.
Notre équipe de militant(e)s est à l'écoute des collègues en assurant des
permanences pour aider, accompagner et faire respecter les droits des personnels.
Nous traitons des questions et des problèmes relatifs à l'avancement et la notation,
à la santé des personnels, aux mouvements de mutation ou d'entrée dans le métier ou encore aux
retraites.
Nous nous rendons dans les établissements et nous accompagnons les sections syndicales des
établissements (S1), cœurs de la vie syndicale, avec une information la plus large possible et par
des actions plus spécifiques.
Le bureau départemental peut être réuni en l'élargissant à tous les S1 afin d'avoir une meilleure
coordination départementale.
Nous nous attachons ainsi à poursuivre la mise en oeuvre des orientations définies au plan
académique et national, en ayant comme préoccupations majeures de construire et renforcer l'unité
et de développer l'action, tout en gardant une liberté d'analyse et de parole dans le débat
démocratique.
Nous devons continuer à être force de propositions et faire face aux chantiers de réformes amorcées
par le gouvernement sur l'éducation prioritaire, sur la redéfinition de nos métiers qui s'oriente vers
une dégradation de nos statuts et de nos conditions de travail. Nous devons continuer à nous
opposer au renforcement de la hiérarchie, camouflé derrière l'autonomie de l'établissement ; à la
multiplication des tâches « périphériques » et dématérialisées...
Pour Unité et Action, chaque adhérent a son mot à dire, il peut aussi participer à la vie du
syndicat en tant qu’élu(e), acteur à part entière des débats internes, avoir une influence
directe sur ce qu’est le SNES et sur la construction et la mise en œuvre des actions à venir.
Si vous êtes en accord avec ces orientations, soyez candidat(e) sur la liste présentée par
Unité et Action et rejoignez notre équipe de militant(e)s qui aura en charge pour les deux
années à venir, la vie et l’animation de la section départementale.
Contacts : [email protected], [email protected]
Contacts Ecole Emancipée pour le S2 49 : Frédéric Dabouis et Danièle Duchemin.
APPELS À CAN DI DATU RES - BU REAU X DÉPARTEM EN TAU X
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RENOUVELLEMENT DU BUREAU DÉPARTEMENTAL DE LA MAYENNE
APPEL A CANDIDATURES
Le bureau départemental du SNES 53 est renouvelé en 2014, comme les autres instances du SNESFSU (CA Académique, CA nationale).
Cet encart constitue l’appel à candidature pour le bureau départemental du SNES Mayenne. Il s’agit
d’un scrutin de liste sans panachage (vote pour une liste entière).
Tout syndiqué (à jour de sa cotisation) peut faire acte de candidature au sein d’une liste, composée
d'au moins trois adhérents à jour de leur cotisation
Le dépôt d'une liste doit être accompagné d’un texte de présentation et d’orientation destiné à être
adressé aux syndiqués de la Mayenne, à la charge du S2.
Le dépôt ou l’envoi des listes de candidats est à faire auprès du SNES 53, 15 rue Saint Mathurin,
53000 Laval, le mardi 18 mars dernier délai.
Le bureau est l'instance exécutive de la section départementale, dont l’instance délibérative est le
Conseil Syndical des délégués de S1 mandatés par les syndiqués dans les sections, lequel est réuni
sur convocation du bureau départemental ou à la demande d'au moins un S1.
Le bureau se réunit régulièrement et à chaque fois que cela est nécessaire.
Le bureau intervient dans de multiples domaines :
- information et défense des personnels vis-à-vis de l’administration
- impulsion et relais des actions locales
- organisation des actions départementales et de la vie syndicale en Mayenne
- relation avec les autres instances du SNES (académique, national)
- participation à la vie départementale de la FSU et dans ce cadre aux diverses
instances départementales (CTSD / CDEN / CHSCTD)
Tout syndiqué non candidat sur une liste existante et souhaitant participer à la vie
syndicale départementale peut contacter le secrétariat départemental sortant pour étudier
les modalités de son engagement (permanence au local le mercredi après-midi).
L'appel à candidature pour le renouvellement du bureau départemental de la Sarthe
sera publié dans le bulletin "Second Degré 72".
RENOUVELLEMENT DU BUREAU DÉPARTEMENTAL DE LA VENDÉE
APPEL A CANDIDATURE UNITÉ & ACTION
Se porter candidat sur la liste U&A, c'est exprimer sa volonté d'agir pour le
développement de ce syndicalisme.
> Nous aurons à poursuivre nos actions au plan départemental pour :
- Accompagner et informer les collègues.
- Agir pour que l'attribution de moyens horaires suffisants dans les établissements pour
mettre fin aux compléments de service et à la précarité qui dégradent nos conditions de
travail.
- Agir pour le recrutement de personnels titulaires nécessaires dans les établissements.
- Assurer un maillage complet du département par des collèges de l'enseignement public.
> Nous serons présents auprès des collègues dans les établissements comme à l'Inspection
d'Académie pour les soutenir dans leurs actions et défendre leurs droits.
> Nous porterons localement les revendications exprimées par la profession :
- une transformation ambitieuse du système éducatif pour la réussite de tous les élèves et
contre les inégalités sociales, territoriales et toute forme de discrimination ;
- une réelle revalorisation de nos métiers et une baisse de notre charge de travail.
Dans ce cadre nous continuerons à œuvrer au sein de la FSU pour l'unification du mouvement
syndical porteur d'un projet commun.
Pour que le SNES-FSU soit plus fort, nous vous proposons de participer au développement
de ce syndicalisme d'Unité et d'Action.
Si vous souhaitez figurer sur la liste « Unité & Action » pour les élections au bureau
départemental du S2 de Vendée, contactez : [email protected]
SN ES PAYS DE LOI RE - n ° 6 - févri er 2 0 1 4
Faire vivre le SNES-FSU dans le département pour y développer le service public et
laïque d'éducation , soutenir les collègues dans chaque établissement pour la
défense de nos métiers et de nos conditions de travail : c'est ce qui porte
l'engagement des militants Unité & Action au sein du bureau départemental de
Vendée.
Ce qui nous rassemble, c'est avant tout une conception du syndicalisme. Un
syndicalisme de masse, pluraliste, qui articule l'action et la négociation sur la base
du meilleur rapport de force possible et qui conjugue la défense individuelle et collective des
personnels avec celle du service public, des libertés et de la laïcité.
ACTI ON / CON G RÈS
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MOBILISATION À L'ESPE DU MANS : LA LUTTE CONTINUE ET S'ÉTEND !
Dès leur mise en place dans les mauvaises conditions que l'on sait(1 ), plusieurs ESPE (dont
Aix-Marseille et Bordeaux) ont connu des mobilisations. Au mois de janvier, le site du Mans
est à son tour entré dans la danse. Depuis, la mobilisation ne semble pas vouloir faiblir, et
même s'étend, avec le soutien de la FSU.
SN ES PAYS DE LOI RE - n ° 6 - févri er 2 0 1 4
La colère des étudiants de l'ESPE
du Mans remonte aux mois de
novembre-décembre, et s'est
cristallisée sur la situation des
étudiants qui seraient reçus en
M2, mais collés au concours. A
partir du lundi 20 janvier, en raison de conditions de formation
encore dégradées, les étudiants
de M1 et de M2, futurs professeurs des écoles, de collèges et
lycées, ont décidé le blocage du
site, qui a été reconduit toute la
semaine durant. Ces journées
ont été émaillées de plusieurs
AG, auxquelles de nombreux étudiants et des formateurs ont participé. Les étudiants mobilisés
ont été reçus par le nouveau directeur de l'ESPE, ainsi qu'à la
DASEN 72. Leurs actions ont bénéficié d'une bonne couverture
médiatique, et du soutien de la
FSU 72.
Les étudiants en lutte se sont
également rendus, dans le but
d'étendre leur mobilisation, sur
les 4 autres sites de l'ESPE Pays
de Loire (Angers, Laval, La
Roche-Sur-Yon et Nantes), où ils
ont pu rencontrer d'autres étudiants et formateurs. Ils ont appelé à une mobilisation nationale
le 4 février, jour d'une réunion
des directeurs d'ESPE à Poitiers.
La FSU Pays de Loire, présente et
solidaire, a également appelé au
4 février, et l'a fait savoir dans
un communiqué. Si depuis, les
cours ont repris, des AG, massives, ont continué à se tenir au
Mans et dans d'autres ESPE,
pour préparer cette journée et la
suite du mouvement.
Le 4 février dernier, des délégations des ESPE du Mans, de Poitiers et de Bordeaux étaient donc
présentes à Poitiers. Elles ont été
reçues par Jean-Michel Jolion, de
la Direction Générale pour l'Enseignement Supérieur et l'Insertion Professionnelle. D'autres
ESPE, comme celles d'Agen,
Chartres, Paris et Toulouse, ont
répondu à l'appel en se mobilisant sur leurs propres sites. Les
dates des écrits des concours approchant, on pouvait craindre
tout au moins une baisse de la
mobilisation. Mais, à la suite de
cette journée, et au vu des réponses qui leur ont été faites, les
étudiants rassemblés à Poitiers
ont décidé d'un nouvel appel à
mobilisation le 12 février à Paris,
jour de la tenue du comité de
suivi des ESPE.
Des AG se tiennent en ce moment dans de nombreux ESPE
pour préparer la journée du 12 et
les suites. La FSU nationale a publié un communiqué de presse
pour manifester son soutien aux
mobilisations, et a lancé une pétition (2), dans laquelle elle rappelle
ses
revendications
largement convergentes avec
celles des étudiants, concernant
la formation initiale.
CONGRÈS ACADÉMIQUE
LE PRÉPARER DANS SON ÉTABLISSEMENT
Y PARTICIPER COMME DÉLÉGUÉ DE SON S1
C'EST L'AFFAIRE DE TOUS
Pour qu'à
l'établissement
FSU
porte
revendications
de personnels.
Jeudi 20 mars
Les mobilisations des étudiants
des ESPE ont ouvert un front de
luttes dont toute la profession
pourrait tirer bénéfice : à travers
elles, ce sont nos propres revendications sur la formation et
notre projet d'école démocratique
et ambitieux, que nous pouvons
voir aboutir, dont certaines
concernent les décisions interministérielles imminentes devant
régir les modalités de stage ellesmêmes. Nous revendiquons notamment qu'aucun stagiaire ne
se voie imposer, au prétexte d'un
mode d'accès distinct, un service
complet devant élèves, et que
tous puissent bénéficier d'une
décharge des deux tiers, au lieu
du demi-service envisagé par le
ministère et pour certains seulement.
N'hésitons pas à prendre toute
notre place dans les mobilisations
en cours !
Marie Haye,
responsable du secteur
« Entrée dans le métier »
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1 Lire à ce sujet le bulletin académique du SNES Pays de
Loire n°4, daté d'octobre 2013.
2 On peut la signer en ligne à l'adresse suivante : http://petitions.fsu.fr/index.php?petition=4, ou la télécharger en
cliquant sur :
http://www.fsu.fr/IMG/pdf/Petition_FSU_des_exigences_pour_une_formation_ambitieuse_des_enseignants_et_CPE.pdf
NB : Ce canevas n'est qu'indicatif. Il sera soumis aux
congressistes à l’ouverture.
9 H 00 Accueil
9 H 30 - complément au rapport d’activité
- résultats des votes sur les rapports d‘activité et financier,
académiques et nationaux
tous les niveaux, de
- débat sur le thème introductif : Une dynamique pour une
au ministère, le SNES12h30 profonde transformation sociale
et
construise
les
qui fédèrent le maximum 14h-17h Commissions de travail sur les 4 thèmes.
17h30 Réunions de tendances
20h00
Chaque section d'établisse- Vendredi 21 mars Reprise dès 8h. Les congressistes qui le souhaitent
sont hébergés sur place.
ment peut désigner un ou
plusieurs délégués qui bématin Thème 3 : Penser des alternatives pour une société plus
néficient d'une autorisation
juste et solidaire
d'absence pour participer
aux deux jours de Congrès
Thème 2 : De l'ambition pour les personnels et nos métiers
(voir circulaire spéciale) .
Ne pas hésiter à contacter
après- Thème 4 : Pour un syndicalisme offensif, porteur d'espoir
la section académique pour
midi et moteur de progrès social
plus de renseignements.
Thème 1 : Du collège au lycée, un tremplin vers la réussite
N°6 – FEVRIER 2014 – directeur de publication : E. SÉCHET – CPPAP 0718 S 06747 – Imprimerie spéciale SNES