BANDOLETi UiliistriQn. Impressions itAnnonces, TEL. 10.47 85, Rue Fonteuelle, 35 Adresse Télêgraphique : EA2TD0LET Havre 'ANNONCES AU HAVRE. Bureau du Journal, 112, bout' de Strasoourg. ( L'AGENCE HAVAS, 8, place de Ia Bourse, est A PARIS .... .... { seule chargée de recevoir les Annonces pour , ( le Journal. Li PETITHAVREest déstgnt peur les AnnonessJadiclatres et ligales Le plus réforme Questions législatives électorale, assurant l'extension des libertés communales et régionales, — c'est4-dire la décentralisation, — suffiraient 4 contenter l'ambition d'une législature dési— reuse de faire oeuvre utile et de laisser sa trace dans l'histoire parlementaire du pays ? Les Triwn parlemnntaires . Tout d'abord, il lui faudra voter Ie bud¬ get de 4914, bélclé trop rapidement, et qui va revenir du Sénat. II lui faudra ensuitefaire face aux dépenses indispensable» créées par la Ioi de trois ans et les besoin» de notre armement. Elle devra done se décidér pour un emprunt que Ie ministère actuel a eu le trés grand tort de ne pas réaliser au moment oü il l'eüt pu faire en des conditions plus favorables. Et puis, sans envisager Ia réforme même de ia Constitution, la Ghambre nouvelle ne pourrait-elle réaliser certaines réformes partielles dont l'une, des plus importante»* serait sans doute l'établissement du bud¬ get a la fin du premier semestre de chaque* année ? On éviterait ainsi l'expédient fücheux des douzièmes provisoires. G'est ainsi que l'on procédé au Parlement britannique. Mais si l'on veut maintenir l'usage actuel, peut-êlre faudrait-il se résoudre k écourter les vacances parleinentaires puisque nos députés, rentrant fin d'octobre, na veulent pasabandonner leur déplorable ha¬ bitude d'aborder toutes les questions, d'exposer toutes leurs théories persounelles sur tous les sujete, alors qu'il s'agit plus simplement de leur besogne essentielle, a savoir : l'examea et le vote du budget. L'un de nos confrères du Midi, — qui naturellement exagère, — M. Pierre Roux. du Petit Provencal, envisage même la per¬ manence du Parlement. <rUne Gommission, composée mi-partie de sénateurs, mi-partie de députés, déciderait, en période de congé, l'époque 4 laquelle les travaux parlementaires reprendraient leur cours normal. Les responsabilités seraient ainsi mieux établies ». II est possible. Mais nous doutons fort qu'un trés grand nombre de nos parlementaires s'empressent de solliciter l'honneur de siéger en cette Gommission perma¬ nente. Faudrait-il adopter Ia proposition faite naguère de voter Ie budget pour deux années consécutives ? Peut-êlre bien. Mais Ce qui est certain, e'est que tout le monde sent la nécessité d'une méthode de travail plus sérieuse, plus eflicace; ce qui est évi¬ dent, e'est, que chacun reconnait qu'il importe de mettre un terme 4 des errements qui n'ont que trop duré et qui, en retardant chaque année le vote du budget en temps normal, causent un préjudice véritable a la bonne administration de nos finances. Une discipline plus exacte, une méthode de travail plus rigoureuse permettraient 4 nos députés de résoudre certaines réformes erjentieiles et réclamées de tous. Ainsi pour la réforme électorale qui, ayant comme conséquence la decentralisation, amènerait l'extension des pouvoirs des com¬ munes dont un certain nombre d'affaires sèraient solutionnées sur place. Par suite, le Parlement serait délivré d'une foule de questions minimes qui lui prennent beaucoup de temps, et pour lesquelles il n'a sou¬ vont qu'une compétence fort limitée. N'est-il pas vrai que la réforme budgétaire, basée sur la réforme fiscale, et que la Th. Vallés. LeVoyagede M.Deschanel .A.TJ MAROG M. Deschanel, président de Ia Chambre, effectue en ce moment nn voyage an Maroc. II est arrivé hier 4 Casablanca, venant de Marakech. II a été re?u par le général Lyautey, qui au cours de la récepiion a notamment prononcé les paroles suivantes : Laissez-moi dire toute Ia gratitude qu'inspire 4> tous vutre presence parmi nous : nous vous som¬ mes infioiment reconnaissants d'avoir bravé les fatigues d'un rapide et rude voyage pour venir faire connaissance de ce Maroc dont vous avez été l'ousrier de la première neure. Je revis, en vous voyant ici, les heures nombreu-es que, depuis deux ans, j'ai passées chezi vous, a cnacun de mes voyages a Paris, répondant a vos questions précises, admirantla richesse et la sotidila de votre documentation, vous tro'u» vant loujours sur la brècha pour activer les solu» tions, dèploier les inerlies, suggérer aux pouvoirs. publics les mssures les plus favorables a notra protectorat. LONDKES, 5 Mal. Dépêche de 4 h. 30 CnVRE Comptant . . 3 mois TON co ons HAUSSE calme l 63 7/6 t 63 12/6 -/" -/- 1/3 1/3 £ 150 18/£ 152 15/- -/- 85/88/- ETAIN Comptant : cal ne faible B mois BAISSE FER Comptant . . calme £51/4 % -/-/t 51/9 mois . -/-/Prix comparés avee ceux de la deuxième Bourse ia 4 mal ivii. \ NEW- YORK, 8 MAI Colons i mai, baisse 8 points ; juillet,* baisse 10 points ; octobre, baisse 6 points ; janvier, baisse 5 points. — Soutenu. Cafés t baisse 9 4 12 points. NEW-YORK, 8 MAI !. IB lOSt ■pulvre Standard disp., — juin Imslgamat. Coji... fif®* « • • UIlpJMW i*< u CHICAGO. felè sur..... Maïs sur.!!! J Saiadoux sar. Juillet.. SeptembreJuillet . . Sepiemb Juillet Soptembra 8 MAI, o. oo ros» 83 5 8 84 3 8 66 i 8 es 3 8 10 10 10 27 des Journaux de la Region L'Application delaMie LoiMilitaire enAllemape fications. Nons les avons employés h augmenter l'efficacité des forteresses de frontière d"jr existantes et 4 créer de nouvelles forte¬ resses. U ne des tèches les plus difficiles a été de trouver les tog- ments exigés par eet accroisLe Ministro de la guerre renseigne le sement d'tffeciifs. tl ne fallait pas moins de 268 grands batiments et plusieurs centaines Reichstag de petits batiments destinés aux cbevaux Le Reichstag a abordé hier la discission du sont en achèvrment. Du l0' juillet au lor oc¬ budget de la guerre. Au début de la séance, le tobre, on a constrnit des baraquements pro¬ général de Faikenkayn, ministro de la guerre, a visoires pour quatorze bataillons, six régipris la parole : ments de cavalerie, trois sections d'artillene Au début de cette discussion, je considère et douze compagnies. Les baraquements de mon devoir de renseigner le Reichstag étaient tous terminós au Ier octobre. Us ont sur le mode d'appiication de la loi mi itaire été reconnus excellents 1is sont construits qu'il vota Fan dernrer. Nous avons düpread'après les modèles adoptés dans nos camps dre en 1913, entre juillet et octobre, les me-i d'exercice. sures necessaires puur donner nn abri è Dans trés peu d'endnoits seulement, nous 60,000 hommes et ê 21,000 chevaux da plus avons en quelques difficaltés è loger les qu'en 1912, II s'agissait de !»ger, de nourrir troupes. On a fait appel a la population dans et de vêtir 26 batailloas, 178 compagnies, 7 un ers unique. II s'agit d'une garnison de régunents de cavalerie, et 43 unités de comlOuest oü il fallait loger quatre escadrons niandement. pendant un temp3 variant entre trois et sept Considérons d'abord l'augmenlation de jours. l'effactif en hommes. Nous n'avous eu auC'est 14 un incident regrettable. I! est dü 4 cune difficultó (bravos sur tous les bancs è l'inexact arrivage d'un transport de tentcs. l'exception des socialistes), it nous les procu¬ Dans une garnison de l'Est, le maavais rer dans le contingent annuel. No is avons temps a empèehé d'achever les batiments même dü renoncer a enröier 38.000 reoruespour chevaux. parfaitement bonnes pour Te service. (Ge¬ L'état sanitaire de l'armée est excellent. sera pour la prochaine fois t crie un soetaL'année 1913 est nn record a eet égard. Elle liste. — Vive hitarité). Nous n'avons pas ea prouve une iois de plus les hauies qualités besoin de nous montrer moios exigeants que de notre corps médical. les années précédenles (Bravos sur tous les L'habillement des troupes est le plus diffi¬ bancs, sauf parmi les socialistes). \ cile des problèmes que nous avons eu a ré¬ Nfwis avons dü renvoyer dans leurs foyers soudre. La commando fut faite ën juillet par 4 0/ 0 des hommes alors que l'an dernier Ie le minislère. Elle fut ensuite élaborée par nombre de ceux qu'on dut congédier potir ï'intendance et ne parvint qu'asstz tard aux faiblesse physique était de 4, 5 0/0. Neus fabricants. n'avons pas eté moins indnlgents que les années précédentes ea décidant de libérer enwx a qui leur situation de familie rendait diffici e un long séjonr sous les drapeaux. Le nombre des libérós fut cette année-ci de 0 31 0/0 plus élevé qu'en 1912. II représeniait en 1912 2 37 0/0 de toutes les recrues examinées. Enfin, nous avons classé un bon nombre de recrues recoanues « moins bon¬ nes pour Le service » dans la landsturm et dans la réserve de recrutement. Eu ce qui concerne les offi fiers, nous avions psnsé tout d'abord que le reerntement en serait assez difficile. Or, le nombre M Boucard, juge d'instruction, a entendu, des places è remplir ne dépasse pas anjourMM. Le Couret et dliui 3,000 sur 30,000 officiers. On peut es- au debut de l'après-midi, Albert Livet, publicistes, tous deux mis en pêrer que dans drux ans tous ces vides seau rout comblés. (Bra vos). Si le nombre des de- cause samedi dernier par M. Dubarry, cours de sa déposition. mandes reste ie même que dans ces derniers M. Le Couret, jeune bomme d'une vingtaimois, nous atteindrons ca but dans un délai ne d'années, qui est directeur du Courner de moins de deox ans. du Parlement, a fait au magistral des decla¬ Le notnbre des sous-officiers s'est augrations qu'on peut résutner ainsi qu'il suit : menté de 10,000 cette année p ir le jeu de la — J'ai su, avant qu'elle füt publiée. que loi mifitaire. Le 15 novembre, c est-h-dire Ia leitre « ton Jo » allait paraitre dans le Figa¬ six semaiaes après la constitution des nouro. Et je vous avoue que, d'après la reputa¬ velles uaités de troupes, nons avions quatre tion qu'avait M. Catrnette dans les milieux mille places vacantés seulement. Nous espérons n'en avoir plus une seule it de presse, je n'avais pas era que cela lüt exact. la fin de i'année. II ne taut pas oubher que » Lorsque cette lettre parut, je me soul'application de la loi exiga la c--éation pro¬ vins alors qu'on avait vaguement parlé dechaine de 1,100 places nouvelles. II ea révant moi de plusieurs autres documents de sulte que la situation est moins bonne qu'il même nature. II me parut necessaire d'avoir ne semble. des préeisions 4 ce sujet. Nous avons dans la cavalerie un excédent » Dans l'après-midi du 13 mars, je me rende sons-officiers et une disette de sous-offi¬ dis a la_Chainhra^_ou_ le rencontrai la perciers dans les troupes a pied. Los chiffres dn rehseibudget sonT'grossis d'un bon nombre de sonna qui m'avait déj4 si exactement gné. Elle me confirma que l'on devait pu¬ sous officiers qui ont r ecu des congés. Un blier d'autres lettres de M. Caillaux, d'un bon nombre d'entre enx sont remplacés, 4 celle qui sans doute, mais tons ne le sont pas. Les caractère tout intime, adressées devait êire plus tard Mme Cailiaux. craintes qui furent expriméos au sujet du » On me précisa, entre autres détails, cerecrutement des sous officiers ne sont pas lui-ci : M. Cailleux parlait de sa situation do pleinement justifiées, comma vous le voyez. fortune et se félicitait de certaines opérations Toutefois, on ne doit rien négliger pour avantageases, grace auxquelles il avait pa améliorer le sort de nos officiers et de nos réaliser de jobs bênéfices. D'une manière sous-officiers. générale, d'après ce qu'on me dit, il s'expriPassons a l'eftectif-chevanx. Nons n'avons sur toutes sortes de pas eu de peine è nous procurer les 1,800 mait assez librement sujets. chevaux de remonte supplémentaires dont » Après eet entretien, je me raêlai 4 di¬ nons avoos besoin. J'entends par chevaux la conviction per¬ de remonte les jmines chevaux qui n'ont pas vers groupes et j'aequis d'après les conversations, que encore atteint i'age ordinairernent exigé. A sonnel^, beauconp de gens s'attendaient 4 d'autres partir du mois d'aoüt, nous avons pu compublications. mencer a acheter des chevaux d'age. Nous » Je rentrai 4 mon bureau oü je vis mon avous ache té 1,700 chevaux de seiie d'aoüt ü eu chef, M. Albert Li 'vet, qui de novembre, et nn certain nombre de che¬ rédacteur son cöté, m'annonca qu'il avait ègalement vaux de trait. Le jugement porté sur ces recueilli i'impressibn que de nonvelles let¬ achats est trés favorable. Sans doute, nous tres affaieut être publiées par la Figaro. n'avons pas pu éviter, au cours de l'hiver, » J'en conclus que les lettres étaient bien certaines maladies dont quelques-nnes fu¬ rent assez graves. II est difficile de dire si entre les mains des ennemis du ministro des finances etqu'eiles avaient été divulguées en ces épidémies furent dues è ('incorporation de chevaux d'age on au rude travail que ces petit comité ». De son cöté M. Albert Livet a déclaré au chevaux furent appelés a fournir. En tout juge qu'il avait lui aussi entendu uaus les cas, nous devrons être plus prudents désorlui mais et acheter avec management les che¬ couloirs de la Chambre des conversations l'irnpression que de Douveiles let¬ vaux qu'on laitbrusquement passer de la via donnant tres iutimes étaient sur le point d'etre pu¬ civile a la vie militaire. * J'en arrive aux crédits destines aux forti¬ bliées. L'Aflairc Calmotte J.-J. CASPAR XélépHone EN CHEF - JORDAN i 14.9U SaorétairsGénéral: TH. VALLÉ3 Rédactlon,35, rue Fontenelle- Tél. 7.60 ABOIMNEMENTS Taois Mois Six Mois UïiAn Le Havre, la Seine-Inférieure, l'Eure, 4. SO Fr. O Fr. *» l'Oise et la Somme Autres Départements 93 » o Fr. * * SO 5 O » MO » so Union Postale Fr. Ons'abonneègalement,SANSFHAIS,dans tous les Bureauxde Posts de Franoe Magistrats Finlandais condamnés La cour d'assises de Saint-Pétersbourg a condamné 4 huit mois de prison avec priva¬ tion dn droit d'occnper des postes officials pendant dix ans, MM. Ronimus, Z'mmermann, Vuorinen et Hodelhelm, membres de la cour d'aprel de Viborg, MM. Henrichsen, niaire de Tavastehus. Palmia et Kommeljai, conseillers municipaux de Tavaste¬ hus, pour s'être opposes 4 ['application de la loi, non sanctionnée d'aillenrs par le Parle¬ ment finlandais, accordant l'égalitó des droits aux Russes en Finlande. Le Port et la Ville M. Paul LANGER Olfleler d'instruction publique Les(Mes Hertziennes etleers Elfets M. Cabart-Danneville, sénateor de la Man¬ che, reprend cettequestion, snr laquelle I'attention publique a été appelée récemment par un spéeiaiiste de la T.S.F., Ie modeste et savant instituteur Frank üuroqnier. Mais déja, en sa qaalité de membre de la Commission sénatori tle d'enquête sur Ia ca¬ tastrophe de la Liberté. M. Cabart-Danne¬ ville avait été impressionné par les confiden¬ ces d'un ouvrier électricien de l'arsenal de la Seyne, M. Haudin, qui dcclarait que. pen de minutes avant i'esplosion du malhaureux cuirassé, ses appareils avaient été troublés par des ondss hertziennes, émanant d'un posro de té^égraphie sans fil de l'escadre. Et voici que d'autres fails non moins troublants sont revèlés M Cabart-Danneville les expose dans la Dépêche de Brest : A ia stati >n herizienne de la rue Claude-Ber¬ nard, on voit, lor>.qu'eUe fonctionne, les étincelles jailiir de toutes paris entre les divers luyaux de plomb du naz entre tout ce qui est metaliique ou simpi'-m nt bon conducteur. A l'avant d'un transatlantique dont I'appareil de téiéqraphie sans fil fonctionusit, on a vu des ai¬ grettes hrillantes jaiilir entre deux grosses mailles d'une cbaine d'ancre posée sur un panneau de bois. Dans l'enirepont du Condè, tandis que Ie poste Cliché Petit Havre du bord tèlégraphiait, une lorpilie, suspenilue d«ns la po ition horizontale, avait sa pointe de cboc ornée d'une aigrette d'étincelies. Dins notre précédent numéro nous avons Le fanal S signsux de Scott, qui se piace en tête annoncé que M. Paul Langer, ancien armad'un mflt et qui s'éteint et se rallume électriqueteur au Havre, venait d'être nommé officier rnent pour transmettre d'un navire a l'auire les de l'lnstruction publique. avis, les instruciions etTes ordres, ne fonciionne Nous nous réjouissons d'autant plus de I« plus r gulierement quand la télégraphie aans fil, dont l'antenne se trouve au-dessous de tui, est ac- distinction dont M. Paul Langer vient d'êtra pas que, longtionnée. II devient alors impossible de faire aucun l'obj-t qoe nous n'oubiions signal. temps mêlê a la vie active de noire cité, il Ces faits ne sont pas négligeables. Ils ou- fut l'un des fondateurs de notre Maisoa.avec le regretté S intallier, comme rédacteur en vrent de nouveaux horizons 4 Ia science. chef, et qu'il occupa jusqu'4 son depart du Des observations minutieuses et continues du Cpnsejl d'adnjiniss'imposeut si l'on veut discipliner l'usage si Havre la présidence traiion de no/, journaux. 1 '■ ' , délicat des ondes hertziennes et rendre inofNé en notre vilie, M. Paul Langer, avec son teusive une des plus merveiileuses applica¬ frère Edouard, s'occupa parlicuiièiement de tions moderaes de i'électricité. la grande maison d'armenient que son père avait fondée en 1827, et tous deux prirent une part trés active au développement de notre cité, comme 4 la prospcrité de nombreuses Sociétés d'éducation. .Personnellement, M. Paul Langer fut, avec M, Jules Siegfried et plusieurs autres place, Ie créateur de Le courrier de l'Afriqne Occidentale ap- n >tabies de notre de commerce; it deviut porte la nouvelle de l'assassinat 4 Dakar de l'Ecole supérieure de son Conseil d'admiuisdeux jeunes femmes, Miles Georgette Pes- même président traiion. qnez et Renée Barthou, par un brigadier Uitérienrement, il fut appelé it occuper Ia d'artillerie corse. Toutes deux ont été atteintes chacnne de présidence de ia Chambre des At is et Ma¬ nufactures de notre arrondissement, qui trois balles qui s'étaient logé-s dans la cage de thoracique, vers la région du coeur. Les che¬ depuis devint la Chambre de commerce mises et peignoirs étaient brülés pir la Bolbec. Appelé plusieurs fois 4 siéger au Conseil d fligration de la poudro 4 la sortie dn canon du revolver dont s'était servi le meurmunicipal du Havre, il n'abandoitna ces fönctions que Jorsqu'il se retira des affaires trier. pour aller habiter Aurigny, sa femme apUn doeteur appelé d'urgence ne pat que partenant a l'une des pms anciennes fa¬ constater les déeès. les Le Les deux victimes étaient agées, l'une de milies des iies angto-normandes, 19 ans, l'autre de 21 ans. Elles n'étaient arriCocq. vees 4 Dakar que depuis deux mois ; elles II est nn fait da Ia carrière de M. Paul Langer, que certains de nos concitoyens ont possédaient chacune 3,000 francs d'éconopeui-êire oubdé et que beaucoup d'autres mie. ignorent ; nous voulons parler des condi¬ Miles Pesquez et Bcrthou se préparaient tions dans lesquelles i! contribua 4 assurer 4 rentrer ea France et c'est pour empêcher l'appiovisionnement de Paris, lors de la leur depart que l'amant de l'une d'elles, guerre-franco -allemande. le brigadier Garomini, le3 a exécutóes froiLa ville de Paris avait fait alors d'impordement. a Londres et les ruarSon forfait accompli, Geromini se rendit 4 tantes c unmandes la caserne d'artillerie, oü il se constitua pri¬ chandisvs acqoises 4 grands frats avaient été appottées au Havre oü elles séjonrnaient son nier. sur les quais. Malgré de nornbreuses et presOn raconte que quatre jours avant le drales Parisiens ne voyaient me, après avoir eu vain insisté auprès de santes reclamations, rien arriver dans leur ville. Le service de ia son amie pour qu'elle reslat 4 Dakar, il lui ravitaillement et avait présenté un revolver, un contelas et guerre s'était bienchargédu avait détaché un officier d'administratiou au un baion en 5,ii disant : « Lequel choisis-tu Havre, mais, peu versé dans les questions pour être tuée ? » LESLETTRES INTIMES LEVOLDEDÉB0UCII01RS De mystérietixVoyagsurs s'enfuieaten Automobile Le Reveil du Nord annonce qu'un vol a été commas au fort des Dunes, 4 Duakerqae. Un débouchoir nouveau modèle d'un canon de 75 a été enlevó par de mystérieux voyageurs venus la nuit, en automobile, 4 proximité du fort. Poursuivis par des officiers, les volenrsont abandonné le débouchoir qui a été retrouvé dans le sable de Ia plage. De temps en temps on apprend la même nouvelle : un débouchoir d'un canon 75 a été volé. Qiftest-ce done qu'un débouchoir ? C'est un instrument servant 4 dt-boucher l'èvent d'un- fusée 4 double effef . Déboucher l'évent d'une fusée est une opération qui consiste 4 pareer en un point déterminé la tête de la fusée 4 double effet qui arme un projectile pour provoquer l'éclatement. de ce dei nier en i'air au bout d'un temps donné et 4 la hauteur convenable. II existe 4 l'heure actoelle, mais pas de¬ puis fort longtemp3, un débouchoir double, employé dans les batteries de campagne et de montagae pour Ie débouchage des évents. II est construit de telle manièrequ'en faisant marquerüt I'appareil ladistance de tir, 18dé¬ bouchoir agit sur un ievier qui débonche l'évent correspondant 4 cette distance. Enfin le correcteur est un dispositif sp Cial du dé¬ bouchoir permettant de modifier, dans le débouchage des évents, la duröe normale de combustion correspondant ét une distance dé erroinée. Le débouchoir est done nn instrument trés utile et trés important pour nos artilleurs. Un deuxième débouchoir, qui avait ègale¬ ment dispara, a été rapporté par un canon¬ nier. Gelui-ci est majntenu 4 vae. ON TROUVE LEPETIT HAVRE&Paris i iaLIBMIRIE ITEÜT10K SOS, rue Saint-Lnzare, lffiS (Immeublede l' HOTELTERMINUS? J PARIS, TROIS HEURES MATIN üveet^us: Tirage RÉDACTKUR — «— — — — ■ $>>— M. Deschanel a népondu ; Général, confrère et ami, Merci des paroles que vous venez de prononcer. Ja suis heureux öe mon voyage et trés fier des efforts prodigieux de nos compalriotes dans l'oeuvre de colonisation qu'ils ont entreprise. Je dirai au Parlement vos i liorts et-soyez assuré de ma sympathie. M. Deschanel, Ie général Lyautey et lears suites sont partis pour Rabat en automobile, continuant leur voyage sur Fez. DernièreHeure DÉPÊCHES CWERCiALES fort .* Ifoimili« üai |«)4 Pages) ORGANE RÉPUBLICAINDÉMOGRATIQÜE .... Si les Elections du 2G avril n'ont guère modiflé la situation des partis au PalaisBourbon, il est possible que celles de dirmancbe prochain, au scrutin de ballottage» augmentent la majorité de gauche. Mais sans rien vouloir préjuger, il est permis d'indiquer sommairement la besogne né¬ cessaire de cette nouvelle Ghambre. (6 Le Petit Havre Administrateur• Délégné- Gérant O. SCentimes —EIttTfftN IffiJWTI1 —5Onhmes (6 Pages) 54"tam — B*H.i faite par LEKOUYEAU DIRECTEUR député. DEL'ERSEIGNfcMEHT PRIMAIRE Brest. M. Lapie, recteur do l'Acaclémie de Tou¬ louse, est nommé directeur de l'enseignement primaire au ministère de l'instruction publique, en remplacement de M. Gasquet, LES HYDROAEROPLANES AUXIYIANGEUVRES HAVALES Marseille. — Les grandes manoeuvres navales annnelles dans la Méditerranée commenceront le 14 mai. Elles seront particulièremeut intéressantes en raison de l'emploi des hydroaeroplanes qui compteront póur une part importante dans i'exéeution du programme. La plupart des appareils auront ienr point de stationnement dans le port da Toalon oü des hangars mobiles ont été cons¬ truits. Bizerte et Ajaccio recevront aussi des avions. Le croisenr Foudre servira d'intermédiaire et mouillera sur les cótes de la Corse. I—..' . I CAN0NNIEBS BLESSÉS Caen. — Un grave accident s'est prodait hier matin, vers dix heures au polygone de Cormeilles. Six chevaux attelès 4 un caisson du 43« d'artillerie, elira yés par un camion automo¬ bile passant sur la route, se sont emballés, traiuant leurs conducteurs et renversant une dizaine de cauonniers. Quatre hommes ont étó grièvement blessés ; ce sont les canonniers Durozay, Yirabeau, Bellanger et Velier. lis ont été transportés 4 l'höpital. Cinq autres canonniers ont eté contusionnés puis légèrement ; ils sont soignés 4 l'infirmerie du 43» d'artillerie. L'AFFAIRECALMETTE Dunkerque. Les Papiers de M. Calmette M. Boucard, juge d'instruction, a entendu 4 la fin de l'après-midi M. Franpois Poncetton, redacteur au Figaro, qui affirmaitqn'aussitöt après ('attentat, tous les papiers qui se tronvaient dans les poches do M. Calmette farent remis, sur la demande du blessé, dans une enveloppe qui fut cachetée et placée dans le coffro-fort de lacaisse dn Figaro. M Henri Quiitard, rédacteur au Figaro, a 73 »/» confirmé la déposition de M. Poncetton. li ja ajouté que le lendemain de i'attentat, lorsqu'il fut décidé que l'enveloppe serail remise ■jaF «o.pmccKb au frère de M. Calmette, Ie rapport Fabre.et> tut extrait et remis dans le conre-fort dn Fi¬ r 86 »/. garo. 85 »/» Le caissler du Figaro, M. Quintard, a con¬ Sft 1/4 esi/s firmé ces déclarapons. II a aionté que la lettre signée « Ton Jo » 10 07 fat ègalement extraite de l'enveloppe, 10 LE VOLDE DÉBOUCHOIRS — La justice, de concert avec l'auiorite militaire, a fait une enquête au sujet de deux dêbouchoirs faisant partie du matériel d'artillerie du fort des Dunes et que l'on trouva enfouis dans les dunes. Un artilienr a été arrèté. L'AFFAIRE CABI0U Brest. — L'inspecteur général des poudres, M. Barral, entendu par le juge d'ins¬ truction, a dit qu'4 la suite des lettres de dénonciation de l'ingénienr Pierre signalant an ministère de la guerre les maifapon3 commises dans ie blanchiment dn coton, il chargé d'une enquête sur l'usine de la firand'Palud. La plupart des dénonciations farent reconnaes exactes. L'inspecteur général déclare en ontre qn'4 la suite de l'exciusion du 12 décembre des adjudications do ï'Etat, one démarche fat le général Godin et par M . Cloarec, — MM. Grall, facteur, et Marcon, ancitin contiemaitre 4 l'usine de la Giaud'Paiitd, ont été convoqués par !e juge d'ins¬ truction, M. Bidard de la Noë. Le facteur a déciaré qu'il avait remis dans la soiree du premier janvier un télégramme 4 M. Pierre. M. Marcon vit Ie lendemain ce télégramme plió sur le bureau de ihngénieur. C'était la dépêche de Mme Cadiou demandant des nou¬ velles de son mari. M. Marcou fut chargé de I'envoi de la réponse de l'ingénienr Pierre ; « Suis sans nonvelles depuis le 29 ». En présencede l'ingénienr, Ie contremaitre tiéclara qu'il était intimement convaincu de l'inaocence de l'ingénieur 4 qui, avec l'autorisation du juge, il serra longUement Ia main. Brest — L'ingénienr Pierre a été appelé 4 s'expliquer sur l'emploi de son temps le 31 décembre, jour oü l'eacaisseur Prigent se présenta, vers une heure etdemie, pour tou¬ cher une traite, et ne trouva l'ingénieur ni 4 l'usine ni au moulin. L'ingénieur donne cette simple explica¬ tion : Ma servanfe Julia étant 4 Brest, j'ai déjeuné seul. Vers une heure, je suis alle faire une promenade au del4 de la ferme de la Grand' Palud, le long de la mer, pour voir les oiseaux migrateurs qui, en hiver, viennent snr l'Elorn. Je cherchais surtout le martinfêcheur. Je suis rentre de ma promenade 4 h. 30. Le soir, j'ai dinó chez Ia mère de Julia Juzeau. Brest. — Au cours de sa déposition, Ie député Cloarec a fait une déclaration qui détruit les témoignages des habitants üe Morlaix qui avaient dit que ia maison du dé¬ puté était inhabiiée aux environs dn 1" jan^ vier. Ils avaient vu cependaut de Ia iun ière dans ia maison et disaient que M. Cadiou avait pu passer la nnit chez M. Cloarec. M. Cloarec a affirmé que sa dome3tiqne était dans sa proprieté 4 cette date et que M. Cadiou ne s'y présenta pas. Un TerribleDramea Dakar Le« Cohiasfeiao » en ïlmm 11 maaque dix-neuf hommes Halifax. — Les paquebots Francoma et Olympic, se sont portés au seeoars d'un sieamer signaié en feu 4 150 miiies au Sud ie Sabie-Island. Londres. — Un radiotélégramme de File du Sable, du paquebot Franconia annonce qu'une embareation cootenant trrize survivants du vapeor Columbian, parti d'Anvers le 13 avril pour New-York, a été sauvée par le paquebot Franconih. Le Columbian a pris feu dimanche passé, au large. Dans cette embareation, avec les survivants, était le corps du premier commissaire du navire. Uue autre embareation contenant le pre¬ mier et le secoud lieutenants et dix-sept au¬ tres survivants, n'a pas encore été retrouvee. UNENOUVELLE CGNTROUVÉE Strasbourg . — La Correspondance du Pays d'Eruptie puthie une note oiïicieuse dans la¬ quelle elle déclare que la nouvelle de i'expulsion du général francais Donat est controuvée. Le générai Donat a ohienn il y a quriques mois a peine son permis de séjonr annuel. LACAMPAGNE CONTRE LALÉGION EN ALLEMAGNE Berlin. — Un ancien légtonnaire, nommé Wahlgemoth, avait été arrèté, 4 Heidelberg, par la police, comme racoleur pour la légion étrangère. On apprend roaintenant que la raison qui avait été donnée de i'arrestation est inexacte mais que Wahlgemuth est poursuivi pour escroqueries et qu'ii était au service de Ia Ligue contrs la légion étrangèro qui lui faisait faire des conférences. Le Confliiiexico-Américain Arrestation de Délégués Mexico. — Les membros de la Commis¬ sion gouvernementale envoyés pour engager Zapata et ses partisans 4 se joindre aux féaéraux en cas d'invasion, ont été arrêtés 4 la trontière de l'Etat de Loredos et retenus prisonniers, Garnison en révolte ? New-York. — Un télégramme d9 Juanez annonce, sans la confirmer, une nonvelle accréditée presque partout et selon laquelle la garnison federale qüi se trouve 4 Mexico, se serait révoltéo conu-e !e président Huerta. Les rues seraient Ie theatre de la lutte. UNEVILLERUSSE ENFLAMES Berlin. — On mande de Skala, en Russié, que ia ville de SkaJa est en Hammes. Trois cents maiaons sont en tea. II y a de nombreuscA viciimes. UNTRUSTMARITIME Londres. — Les armateurs anglais et lei fandes compagnies de navigation vont avoir soutenir une concurrence formidable da la part du plus grand trust maritime qni sa soit jamais forme et qni vient d'être concla en Ailemagne par la fusion de deux graadea compagnies de navigation : la HamburgAmerica et la Norddeutscher Lloyd. Ces deux Compagnies de navigation onl concln un traité d'exploitation pour une pé riode de 75 ans. EXPLOSION DE DYNAMITE Panama.— Hier matin, une explosion s'est proauue dans un magasin contenant de ia dynamite et appartenant au gouvernement de Panama. Il y a hult tués et dix-neuf blessés grieve-ment. L'immeuble est entièrement K Le Petit Havre — Mercredi6 eommerclales, n bo parrenait pas &donner satisfaction a ses mandants. L'ennemi avaugait, das dépêches de plas en plas instantes parvenaient sans cesso an Havre. Désirrux de mettre fin Sicette situation, le commandant de notre place eat la pensée de faire appel au patriotisme et A l'expérience de M. Paal Langer, lequel, nanti de requisitions militaires, parvint a niener A birn la lache qai lai avait été confiée. . Travail lant jour et nuit, — avec nn désintéressement complet qai fait honneur A eet excellent citoyen — il multiplia les efforts, St parlir train sur train et parvint Aintrodu ire A Paris la plas grande partie des farines, eel, fromages et autres denrées accumdées sur nos qaais. B.en que retire des affaires, M.Paul Langer n'en a pas moins continué A se préoccuper de nombreuses questions dans lesqueiles se sont manifestoes les genérosités de ses sen¬ timents. Lors des fê'.e3 dn Milienaire de Norman¬ die, en 1911, il prit line part active a l'organisalion de ceite solennité. Estimant que si politiquement les iles de l'arcltipel normand, qui, dépendaient du dttché de Normandie au temps de Guillaume le Conquérant.oot passé bous la couronne d'Angleterre, elles n'ont jamais cessé deconserver ieurpersonnalité, leur coractère essentiellement normands, il décida un certain nombre de notabilités des quaire lies A venir assister avec leurs costumes et leurs insignes nationaux, an¬ ciens et raodernes, aux fêtes somptueuses qui se déroulèrent ARouen. II lit mieux encore. Le 23 décembre 1912, nous signaiions A cette place, que notre ancien concitoyen, ému par la frequence des accidents maritimes qui se sont produits dans la région des Casquels et de i'üe d'Aurigny, désireux de preserver de noxnbreuses vies humaines, li. Paul Langer prit résolument en main la cause ds marins. Après trois années d'actives démarches, il Obtint du Trinity Board qu'un phare fut édifiA sur l'ane des pointes d'Aurigny et qu signal sonore lui soit adjoint. C j installation, compiétant celles des Casquets et de La Hague, a déjA rendu de lignites services A de nombreux navigaSeura. La campagne de M. Paul Langer ne s'est pas limitée fa. II a en effet suggéré ('établis¬ sement d'un signal sonore au Cap de la Hague, et, g'ace a l'appui que donna Acette occasion notre Chambre de commerce, le minislre a pris une décision favorable a 1'éta¬ blissement d'une sirène de brume sur la cöte frangaise. Grace a noire concitoyen, les marins de toutes nations sont done assurés d'etre efficacement protégés de jour et de nuit, qo'ii y ait brouillard ou temps clair, dans une région pariiculièrement dangereuse. Nous ne ponvons narrer toute la vie de notre actif concitoyen qui, jusqu'en sa reiiaiie, se dépense pour faire prévaloir le3 causes nobles et généreuses comma il s'etforce par une active propagande de contribuer a resserrcr par tons les tnoyens en sou pouvoir les sentiments de cordialité qui unissent les Frangais aux citoyens Anglais. C'est évidemment pour consacrer la no¬ blesse de ses sentiments que le gouverne¬ ment vieut de lui aitribuer l'une de tes plus nobles distinctions. Les nombreux amis que M. Paul Langer compte dans notre viile se joindront a nous pour Pen féliciter. A. Petit. ETRANGER ESPAGNE rier la politique constante de rapprochement toujours plus étroit en Arnérique. Le succès de la médiaiion est difficile, dit le message, mais non pas impossible. Le message signale ^importance des visi¬ tes coidi les de M. Roosevelt et da prince Henri de Prusse et remercie les Etats Unis de la réeeption qu'ils out faite AM. Lauro Muileren (913. II passé ensnite en revue différentes ques¬ tions intéressant l'armée, dont ('organisation ne lui parait pas répondre aux nècessités modernes, l'école d'aviation dont il fandra augmenter les ressources, la lutte contre la fièvre jaune qn'il faudra étendre aux ports du Nord, les frontières avec la Colombie et les trois Guyannes qui ne sont pas encore déterminées. En 1913, les chcmins de ter atteignent une longueur totale de 24,590 kiiomètres, soit une augmentation de 2,303 kiiomètres pen¬ dant l'année. Le chemin de fer central enregistre nn dé¬ ficit de 5,861 contos, qu'on espere voir dis— paraltre en 1914. En 1913, les entreprises de navigation fiscalisées ont rapporté 42 359 contos. Le réseau des lignes teiégraphiques a augmenté de 2,768 kiiomètres. Le mouvement des importation et expor¬ tation réunies (métaux exceptés) a été de 6.058.719 livres sterling intérieur A celui de l'année précédente. L'exportation du café et du caoutchouc a diminué de 11,499 livres sterling. La situation de la Banque du Brésil est prospère ; eet établissement rend de grands services dans la crise actueile. La situation du Trésor a été Acertains mo¬ ments difficile ; aussi le message constate qu'une prudente politique financière s'iinpose pour raffermir le crédit du pays. Mort de M. Louis Gasquet M. Louis Gasquet, directeur de i'enseignement primaire au ministère de l'Instruction publique, est mort hier matin A Paris, en son domicile de la rue da Vaugirard, des suites d'une crobolie cérébrale. Revenu depuis quelques jours A Paris, il se préparait A reprendre ses occupations quand t'embolie l'a terrassé. L'Affaire Cadiou Dès la nouvelle de Ia mise en liberté pro¬ visoire de Bossard, plusieurs ouvriers, travaillant avec l'ancien veiileur de nuit A bord du Gorbea-Mendi,ont adressó A Me Feihard, avocat de Fingénieur Pierre, des lettres dans lesqueiles iis affïrmentque Bossard, dans les premiers jours de son arrivêe A bord du navire en reparations, leur montra, quelque temps après la découverte du cadavre de M. Cadiou, quatre billets de 100francs et acheta une bicyclette d'une valeur de 160 francs. Le jage d'instraction va convoquer ces ouvriers pour les confronter avec Bossard. *** M. Cloarec, député du Finistère, a été entendu hier matin par le juge d'instruction, auquel il a déclaré qu'il ue s'occ>pait plus depuis longtemps da l'affaire de la Grand'Palud. L'ingénieur Pierre, appelé sur ces entrefaites et questioonó sur ce qu'il savait de l'interventiou de M. Cloa^o, a reconnu que c'était A tort qu'il avait mêlé a cette affaire le nom du député. « Si j'ai mis cette personnalité en avant dans une lettre rendue publique, a-t-it dit, c'est simplement paree que je savais que M. Cloarec était un ami de M. Cadiou et je dois bien ajouler que mon opinion était surtout faite de deductions. » Avocat frappé par un Lieutenant Le Message présidenliel au Congres Le message présidentiel a été la dimanche % l'ouverture du Congres. II préconise une politique d'économie et da justice et conseiile l'abrogation de l'état de siège. II constate la cordiaüté des relations inter¬ nationalen, qui est générale, et qui, notamment, a permis A la République Argentine, au Brésil et au Chili, d'offrir leurs bons offi¬ ces aux Etats-Unis et au Mexique -én vee d'apaiser les conllits suseeptibles de contra- Feuilleton du PETIT HAVRE PAR-6I, PAR-LA INFORMATIONS La Grève de Ja Marine marchande En raison de la grève des capitaines, offi¬ ciers et mecaniciens de la marine marchan¬ de, 120 navires sont en souffrance A Bilbao, Assurances confre la pluie 15 a Gijon, 2 a Seville et 2 AIlueiva. La Fedèrat oa des chauffeurs s'est engagóe L'habiiuda de s'assnrer contre Ie mauvais ft Üéciater la grève demain si un arrange¬ temps devient de plus en plus commune en ment n'a pas été conclu. Angteterre, dit le Daily Man, et quoiqu'i! n'y ait que trois ans que la compagnie d'assurances « Pluvius » existe, une immense IJa el au Sabre a Madrid quantité de polices ont été signées par les Un duel au sabre a ea lieu A Madrid hier personnes prenant leurs vacances. matin, a li beures, entre le genéral BarPrenez par exemple un employé de Longuete, chef de la brigade des chasseurs A dre3, explique ce journal ; il donne une cintjied de Melilla, et un jonrnaliste espagnol, quantaine ae francs pour s'assurer pendant M Alexandro Ber, du journal madrilène La une semaine Ie logement et Ia pension dans ilanana. une petite ville sur le bord de ia mer, et it Les conditions de la rencontre étaient ex- tient natureüement A ce que soa congé ne Irêmement sevères. soit pas gaté par le mauvais temps. Pour M. Ber a regu A la tête une blessure large 7 francs versés A la compagnie d'assurande 7 centimètres et a été fortement contu¬ ces, il regoit la som me de 55 francs s'il est sion né au bras. prouvé que pendant sa semaine de vacances Cette rencontre a été motivée par une vio¬ tl a eu trois jours ou plus de piuie, pourvu lente poiémique entre Ie général Burgnete que cette pluie soit supérieure A un milliet M. Gabriel Maura, fiis du leader conser- mètre. vaieur qui lui reprochait de se mêier de po¬ II est assez curieux de noter que dans un litique. pays pluvieux comme l'Angleterre on donne On s'attend A ce que le gouvernement soit aux touristes tant de chances de passer leurs interpelié aux Cortès pour avoir accordé au vacances A l'csil, et c'est cequi fait probabiegénéral Burguete ia permission de quitter ment la vogue de cette assurance. /son poste pour venir se battre. BRESIL wisLocals ans pour des terrains de même nature et fit I. a Retraite militaire de ce «oir travail lent è Ir mise ea état de la chambre. remarquer que, malgré la plus-value acquise Le Deauville rentrerq trés prochainement La retraite militaire qui doit avoir lieu ee depuis cette époque, les prix offerts aujouren service ; <1 procèdera (L'iezdcux ou trois soir parcourra l'itinéraire suivant: d'liui étaient inferieurs. Et M« Amet ajouta jours A son chargement. que pour ia construction des nouveBes ca¬ 6' Canton. — ÉTÉ — Casino, boulevard sernes, les entrepreneurs trouvèrent auprès Miritrme, rue Freiteric-Bellanger, place Saintde l'ad ministration de la guerre plas de faVincent-de-Paul. rue Joseph Morlent, (l'Eirefija Sécurité dca Navire» WE PARIS cilité pour traiter les travaux que les expro¬ OBSaURVATOIRE tat, place de l'Hótel-de-Ville, boulevard de Un projet de Ioi reiatif A la sécurité deS priés n'en trouventpour se faire régler leurs Strasbourg, Caserne Kléber. navires vient d'èire deposé en Belgique A Ia indemnités. Paris, 5 mal, 11 h. 18. Chambre des representants. Aussiiót, M. Schmitt, qui était placé der¬ En vertu des dispositions de ce projet, aurière M«Amet, frappa ce dernier d'un vio¬ Extrémen haroméWamos: 63 nnisa. A Cette, LeYinaigre et Ia Prophylaxïc cun navire, beige ou éti anger, ne pourra lent coup da poing sur la joue droite. Ma- 756mililm &Dunkerque. la mer ou naviguer dan3 les eaux Dêpression persisie Nord-OnestEurope. de la FièvreTypkïdeErendre gistrats et jurés durent intervenir pour emelges, et aucun navire beige ne pourra T'-'ups probante : Vent des rëgions Ouest, pêcher une deuxièrne agression. prendre la mer A l'étranger sans être en état Le lieutenant Schmitt se retira sur Fin averses, temperature normale. La Société de Médectne publique et de Gé¬ ae sécurité. Les navires devront être pourjonction du président du jury. nie sanitaire tenaii séance le mereredi 22 vus de permis de navigation conformes aux On pense que eet officier a mal interprété AU HAVHE (Centreae la (tllel avril A l'Höiet des Sociétes savantes, A Paris. prescriptions de Ia Joi. C'est le service de les paroles de M° Amet, lesqaelies n'avaient Au cours de cette reunion, lecture a été l'inspecuon maritime qui déiivrera ces per« ni dans leur contexte, ni dans Ia pensée de lueiini Buoim donnée d'une communication de M. ledoc- mix de navigation. celui qui les a prononcées un sens péjoralif A midi... 756 15 % teur Loir, directeur du Bureau d'hygiène du a l'adresse de l'administration de ia guerre. A minuit. 758 -f 12 Havre, et de M. Legangneux, pharmacien et L'incident en est IApour l'instant. Ie iffoirtclttm inspecteur dn même bureau, sur « le VmaiLe navire neuf Motrüme, qni, Ie i«» maf, gre et la prophylaxte de Ia fièvre typhoïde. » avait quitté les chantiers de Norraandie de En voict Fonalyse : Oa a installé cinq nouveaux sièges MM. Loir et Legangneux rappellent que Quevilly, son lieu ae construction, pour se h la Chanibre les èpidémies de üèvre typhoïde ont disparu rendre A Ia remorque de l'Abeille-IV, ASaintau Havre depuis que de Peau pure y a été Nazaire oü seront instatlés ses appareils moOu sait qu'il y aura 602 dépnfZg dans la teurs, est entré en reiache A Bresl Ie 4 mal amenee vers 1900. nouvelleChambre au lieu de 597. Il iallait Les Feuilles De 400, la moriaiité est tombée A 40 décès. par suite du mauvais temps. done cinq sièues nouveaux et cinq pupitres D'après les enquêtes qu'ils ont faites au dans i'amphunéaire. Or, Ie nombre des déFleurie de lilas et de muguets, la jeune sai- bureau d'hygiène du Havre, ces décès sont pntés a tenement augmentó qu'on ne sait son nous apporta déjk mieux qua des promes¬ dus marebassde a des marins deb.irqu s malades, A la E sa use 83a de Ia Marine plus oü les caser. La deuxièrne session de 1914 pour les exa¬ consommation du leit cru et infreté, aux ses : de radieuses /ournée s A la faveur desquelLe service de l'architecture du Palais htiiires souillées, et enfin aux légutues con¬ mens de la marine marchande s'ouvrira le Bourbon a cependant réussi A placer cinq les s'opère, plus briilante et plus prestigieuss, sommes crus et venani de ch^z des marai- mois prochain. sièges tout eu h ut de i'hémicycle et lundi la rèsurrection des choses. Le« épreuves écrites seront passées les IS, Comme si la montée des sèves généreuses ne chers oü l'on pratique l'epandage: après-midi les tapissiers procedaient A ceito Us recommandent, pour lutter contre ces 16 et 17 imn 1914,dans les villes sièges d'une instailalion. Trois de ces sièges sont situés suffisait pas pour faire s'èpanouir la vie impa- d fferentes sources de fièvre typhoïde, ie» école d'hydrographie de l'Etat, aiu3i qu'a au centra gauche, entre les cinqoième et tiente des bourgeons, proclamer la joie du re¬ Dieppe, Fécamp, Saint Nazaire, La Rochelle, sixième iravées et aux trois derniers rangs ; tour, l'Administration elie-même se met k faire moyens ordinairement préconisés, mais iis Alger, Phtiippeville. Les épreuves orales que, d'aprè3 les experiences faites les deux autres sont placés en ham du pousser les feuilles. Elle les étale, elle les mul- ajoutent au laboratoire municipal de üactériologie du commenceront le 6 juillet 1914dans les cen¬ centra droit, entre les neuvième et dixième tiplie, elle en fait des fronctaisons jaun&tres — II ivre, il suffit de mettre des feuilles d* sala¬ tres désignés par le sous-secretaire d'Etat. travées. Les inscriptions pour les différents exa¬ pendant 1 heure 1/4 dans de l'eau conteQuels sont les cinq infortunés dépntés qni déja I — qui tombent en gerbes brutales sur de mens seront regues jusqu'au 6 jnin 1914 par oceuperont ces places de poulailler ? Nous nos têtes rafraichies et nos porte-monnaie nant 20 grammes (une cnillerée A bouuhe) les administrateurs de ('Inscription mari¬ de vinaigre ordinaire par litre, pour obtenir le saurons vers le 20 courant, lorsque Ja elfar és. ia destruction du microbe de ia fièvre ty- time. quest ure aura résolu le grave problème de Vous avec comorls, je pense, que J'entends phoï ie. Au snjet de l'organisation des séances caser tous ces messieurs. parler ici des feuilles de. . . Contributions. C'est IAun procédé qui peut être appliqué d'examens et de la surveillance des épreu¬ II faut rendre eet hommage k notre mère Atous les légumes consommés crus. ves, M. Ie sous-secrétaire d'Etat A la marine marchande adr^sse A MM. les administra¬ l'Administration qu'elle demeure un touchant Un incorrigible Suicidé guéri teurs de l'Inscripiion maritime une circu¬ exemple de vigilance attentive et de fidélitó Obsèqnei II faudrait dedier cette histoire A tous les éprouvée. II n'est pas un de ses enfants taxalaire de laquelle nous extrayons le passage désespérés d'amour. Une assistance considerable occupait hier suivant : Barnabó Boyo, de Madrid, qui est poète bles qu'elle n'oublie de venir trouver ainsi cha- matin Ia vaste nef de l'église Saint-Michel, oü «... Je crois devoir appeler tont particuet sensible, s'éiait épris d'une volage. I' en que année, pas un membre de la grande fa¬ a«ait lieu le service lunèffe de notre conci lièrement votre attention sur la nécessité souffrait et il en eut l'ame déchirée jusqu'A milie contribuable qu'elle n'ait inso-it sur son toyen M. Robert Chalet, fits de M Gustave d'assurer avec le plus grand soin la surveil¬ moiirir. registre avec I' indication , pas trés polie, du ma- Chalot, banquier, déc édé A i'age de 33 ans. lance des compositions écrites. II m'a été II se jeta dans la Huerva : un passant le tricuie. signalé que de i'examen des compositions de De nombreuses noiabi'kes du monde com ramena sur la berge. différents centres ('impression ressortait mercial et industriel ont tenu en cetle péni Mais la courtoisie n'est pas une des qualités II se précipita dans le canal Saint-Jean : un dominantes de cette bonne mère. Le sentiment ble circonstance A témoigner leur syrnpa- ties nettement que des communications charreiier l'en retira. avaient eu lieu entre les candidats. II itnthi« A Ia familie du détunt. II se pendit A l'entrée dn bois : nn labon- de sa toute puissance a quelque peu attênué porie d'éviter le retour de pareils laits et je Nous y joignons nos profonds sentiments chez elle le raffinement de délicatesse et l'obreur trancha la corde d'un coup de sa faux. vous prie d'adresser, A ce sujet, des ins¬ de condoleance. servation des belles mamères. Elle s'adr esse II se coueha sur les rails, devant un train tructions trés rigoureuses aux fonctionnaigénéralement k ses enfants — des enfants nourqui arrivait A toute vitesse : le chasse-pierre res chargés de la snrveillance en les avisant Concours Littéraire l'écarta. riciers pouriant, si paradoxal que ce/a soit — que je n'hésiterai pas A mettre leur responOu le porta A l'höpital, blessé, mais vi- avec des mots impérat/fs dépourvus d'élégance. Nous appreuotis avec ptaisir que notre sabiiité en cause si la sincerité absoiue des vant. Elle a sous la plume, a tout instant, des termes concitoyen M. Pierre Seileron est parmi les épreuves n'est pas assurée, grace Aun con¬ La fille du cantonnier.touchéeparsa déses- comminatoires : <•Vous êtes requis ». « Fersez lauréats du concours de sonnets O'ganisé trole vigilant. » pérauce, alia s'asseoir A son chevet.EHeétait par la « Revuedes QEiwies Nouveiles». AParis. joue, et etle lui souriait. II déclare, dès lors, k la caisse sans dé/a/ ». « Contraintes et pcur- Ce concours a réuni plus de six cents son¬ sjites ». que ia vie est bonne et vaut d'être vecue. Et nets qui furent examinés par Henri de RéMême quand cette bonne mère l'Administra¬ guier, de i'Acadómie Frangaise. il ne veut plus mourir. Ge qui manque aux désespérés, c'est de tion emploie des formules attênuées : « Vous sa voir attenüre. étes instamment prié » on devine sous cette Manufacture des Tabac» apoarente concession une êpre menace qui se déguise. M. Gtbriet-Marie Celton, est nommé ouCouri'lor rto la Pi>essie L'omnipotente personne n'a évidemment \T-er titulaire du cadre de la fabrication A Ia Pouvoir recueillir dans les journaux du d'autre souci que de remplir sa caisse le plus manufacture des tabacs du Havre. UNHOMME A LESDEUXJAMBES BROYÉES monde entier tout ce qui parait sur un sujet complètemmt possible. Et peu lui importent, k Up moment do vif éruoi s'est produit hier quelconque, sur une question dont on aime vrai dire, les protestations, les rappels k la a s'occuper, sur son commerce, son industrie, soir sur le houlebard de Strasbourg, provoqué par un grave accident de tramway. Ds ses entreprises : — surtout savoir ce que l'on bonne grkce. les avances de sympathies ou les dit de vous et de vos oeuvres dans Ia presse, mauvaises humeurs, puisque, finalement, le nombreux passanis ont vu, en effet, un qui ne le souhaite parmi les hommés poiiti- dernier mot lui restera. homme rouier sous un de ces lourds véhiMartn déeédé co les qui lui broya les membres inférieurs. ques, les écrivains, les artistes, ie monde des Elle ent-etient ainsi chez ses enfants taxés L'agent de Ia Société des Chargeurs Réunis affaires ï II était six heures quarante. Un car de la un état d' esprit fkcheux qui fait voir en elle ligne de Bléville, portant le n» 75, venait de une dévaliseuse, alors qu'elle vient tout simole- A Tamatave a intbrmé hier l'Administration de la Marine du décès survenu dans ia nuit quitter la gare avec un chargement presqne ment réclamer son dü au nom de l'ordre social du le» au ?. mai, A l'Höpital de cette viile, complet de voyageurs, car c'est l'heure da la et des justes lois. d'un mann da steamtr ViUe-Af Tamatave, cessation du tra**H. Le tramway avait com¬ L'Administration municipale na lui fourniraitAibert-Eugèae Chalain, age de 33 ans, sou¬ me wattman M. Avenel et comme conduc¬ elle pas un charmant exemple de sollicitude ? tier, embarqué le 10 fevrier dernter. teur M. Laporte. La Viile-de-Tamataveavait quitté notre port XS Pages 5 Centimes Xï& Pages Elle a pris soin, cette autre petite mère, de Comme il arrivait devant Ia caserne Ëblé, A cette date. II repartait de Barry le 17avril le wattman apergut un homme qui se dtspofaire figurer au dos de ses avertissements conTous les Mercredia cernant la taxe municipale sur les chiens une et de Pauillac Ie 19 pour La Reunion oü il sait A traverser le boulevard. II pecsait que arriva le 1«»avril. eet homme s'ar/êterait pour laisser passer excellente notice sur la rage du chien. Le 24 avril ce steamer quittait La Réunion le tramway, mais par suite d'une circons¬ Pourquoi la grande Administration n'agiraitMARIE-ROSE pour retouruer au Havre, et arrivait A Ta¬ tance qu'on ne peut expliquer, il vint au Pauvre victime d'une haine injustifiée, elle pas de même en imprimant au verso de ses matave le 27 avril. contraire se jeter sur l'avant du traruw- y et feuilles une non moins excellente notice sur la Chalain qui était célibataire était inscrit au lut cuibutè. Marie-Rose est condamnée brusquement A Son buste se trouva engagé, tandis que la vie errante des grands chemins. Aban- rage de mauvaise humeur du contribuable du- Hïvre sous le numéro inatricule 1059, son donnée par nn être sans pitió aux mains de rement taxó 7 Une simple paraphrase serait trère qui habite 23, rue Fulton, a été infor- l'une des roues avant du tram lui passait sur les jambes, A la hauteur des genoux. Ce ne bohémiens, sa destinée sera-t-elle une suite a/sée C'est k peine si je change quelques mots m-3de la funèbre nouvelle. fut qu'un cri sur la plate-forme. Le wattman ininterrompue de douleurs et de iarmes ? du texto : ayant fait fonctionner Ie trein électrique, le Kt» arrivagc» de Blé Mais l'auteur de ce laehe attentat contre une 1. En lemps ordinaire, Ie eonlribiinbten'est pas vehicnle s'arrêta avant que les roues irrièfurieux et n'a aucime tendance a mordre. It est malheureuse enfant sans défense.cethomme Le 3-mats allemartd Alberlns-Winnm entré res ne soient passées sur le maiheureux qui caime, il mantte, il noit qui sacrifie ainsi bassement l'existence de 2. Le débnt de la rage est caractèrisé par un dans notre port lundi, apporte 33,000 sacs de se irouva pris sous Ia voilure. Ii fallut, pour Ie dégager, soulever le tram¬ cette mignonne fi'lette sera-t-il plus heu- changement subit dans les allures et les habitu¬ blé. Hier soir, vers 6 henres, estentré le second way. Lorsque tons les voyageurs furent desdes du contribuable. II a regu son petit papier. H reux, au milieu du luxe qui l'entoure ?... Vivra-t-il sans remords <t saus crainte par¬ devient trisie, sombre, tacitu^ne. It est inquiet, 3 mats allemaud Heinz, apportant également cendus, une trentaine de personnes s'univa et vient. gronde, ccrit, fait des additions, un chargemeut de bié. rent dans un même effort et l'on put retirer mi les êtres qni l'environnent et dont cer¬ agbé, s'écrie : « C'est elïrayant I Qa augmenle tous les l'infortuné de sa terrible position. II était tains connaissent son crime ?. .. Autant de ans t » affreusement mntilé. Ses jambes avaient été 3. Pourtant, il est toujours docile, obéissant et Ii 'Af ff sta myslères angoissants et troublants qui intrisectionnées par la roue et ne tenaient pins gueront au plus haut point les lectenrs dn alï-'ctueux. La pilotine a essence Argus, constrniteanx que par quelques fibres. Le sang s'écoulait 4. Cetie prem'ère période de Ia rage dure un, nouveau chet-d'ceuvre de Mtchel Zevaco, deux et paifois trots mois pendants lesquels !e Cb.nti'-rs Noi m .nd pour uue Société de pi¬ en abondance de tous ffs vaisseaüx coupés. dont Ie E*etit BMuwe Mttwstré pour- contribuable se propose tous les matins d'aller lotage du canal de Suez, a procédé hier A ses Le maiheureux fut transporté A Ia pharmaessais définitifs en pleine mer. cie Jego au milieu d'une foule de curieux suit la publication avec ua succès grandis- réclamer chez le percepteur. 5. 11est des contribunbles qui n'ont aucune Elle sera prochainement exoédiée pour sa impreasionnés. sant. tendance a mordre et qui ne hurlent pas; on dit" destination par le paquebot ces Messageries. On ne put lui faire reprendre coanaissasce Lire également dans ce numéro: Les Infor¬ qu'ils ont la « rage mue ». et il paraissait être dans ie coma lorsque la Puis le virus s'atténue progressivemenl. Le tunés de M■Rondolet, roman gai, par J tnk ?r ; devient lout è fait caime. Un jour, il Miss Penny, milliardaire ; Ihta la Tzigane ; contribuable IiC SXeawvitte met de l'argent en poche et va le verser gentiTom le Dompteur, par Louis Boussenard ; ment a la caisse des Contributions. It est st bien Le steamer Deuumlle, ae la Compagnie les désopilantes Tribulations de Bébé, 3 ans, guéri de son acces qu'it se retire en soulevant Normando de Navigation A vapeur, qui fut chapeau et en disant au scribe en cage : coulé dans l'avant port, est sorli de cale sé1 m. 70 ; Pivoine avec sa ckambrée, histoire «son Bonjour Monsieur1» che hier. comique de Jean Linot ; Anatole Babillard a Eu se rendant par ses propres moyens du gvüt pour la peinture. Que diriez vous de ce petit avis préventif liNotre Supplément illustré oflre en outre A vré aux reflexions du contribuable. II aurait dan3 le bassin du Roy, ce steamer a procédé ses le-C'eurs un Graml Concours doté de peut-être l'avantage de le faire rira. Et dame, A ses essats de machine qui ont été satisfaisanls. l,SCO |irix de valeur et coat les quatre avec une gorgee de gaftó, la pilule serait moins Au quai de l'Arsenal, les ouvriers charpremiers sont quatre bicyclettes de luxe amère. pentiers terminent les réparations du panpour hommes et dames. neau de la caie pendant que les menuisiers iLBEnT-HEnnENSCHHIBT. PfilME - LACGflRMUMIQN DEST-JEAM A Remiremout, au cours des operations du jury d'expropriation des terrains sur lesquefs sont édities les nouveaux casernements d'artillerie, le jury que próridait M. Geroane, juge au Tribunal, était appelé A irancher le différend existant entre les propriétaires expropriés et l'Etat, représenté par M. Sehmilt, lieutenant d'admimstration du génie. MeCamilte Amet, avocat au barrean de Remiremont, qui représentait les expropriés, fournissant des explications an jury fut amené A établir une comparaison entre les prix payés par l'Etat il y a vingt 53 le restaurateur répondit que sa maison avait deux issues, et qu'il était prêt A cotiduire l'agent au cabinet oü, en elïet, deux LA personnes étaient entrain de diner, — Veuillez placer ces messieurs- aux deux sorties de votre maison el faites-moi conduire par un gargon au cabinet occupé par vos deux clients. Le restaurateur s'éloigna avec Marcel et PAR Gontran, et Guimbard, accompagné de Torribio, suivit le gargon auquel le patron Coa3.sta.21t &TTÉSOtrLT venait de donner ses ordres. Tout en gravissant l'escalier derrière lui, l'agent tira son revolver de sa poe be, PREMIÈRE PARTIE l'armaet l'amorga. La Comêdie du >V3ariage Puis il le remit dans sa poche avec précaution. — Je ne veux pas d'esclandre, dit-il enr >—Le premier sera occupé par MM. Mar- suite au gargon, je tiens a ce que tout se Ïel et GonIran, le second par M. Ie duo, passe en douceur, j'atlendrai done pour 'orribio et rnoi . entier que vos clients vous sonnent. II y avait au boulevard une station de — C'est inutile. Monsieur, répondit le voitures. Gontran courul en chercher une, gargon, j'ai justement le dessert a porter ; dans laqueüe il revenait au bout de cinq on me l'a demandé et je cours. . . minutes. — Le chercher ? C'est inutile, ouvrez On la üt avancer jusqu'a la porte du res¬ comme si vous J'apportiez, j'entrerai a vo¬ taurant, ainsi que cetle qui était restée A tre place et je vous jure qu'en me voyant, cinquante pas de lè, puis Guimbard entra, ils ne songeront plus au dessert. suivi de ses trois auxiliaires, et deinanda a — Gomme vous voudrez, Monsieur. parler au inaitre de l'étabiissement. Et Ie gargon ouvrit la porte du cabinet. Ceiui-ci se présenta bientót. Cc fut Guimbard qui entra. — Monsieur, lui dit-il en lui montrant II referma ia porte derrière lui, puis sa carte, je suis agent de police et j'ai une s'approcha de la table a laquelle étaient arrestation a opérer cliez yous ; veuillez me assis le due de Dyonis et la marquise de . ire d'abord si votre maison a plusieurs Caravan. issues et me conduire ensuite au cabinet Leduetémoignaune extrémesurpriseA oil dinent en ce moment les deux personnes sa vue. qui sont entrées ioi il v a une demi-heure. — Vousne recoivnaissez peutètrc pas Ua moment aliuri oa'' cotle declaration. Guimbard.MonsieurIe due? dit eelui-ci. mKHsmuK Faits Divers GraveAccidentdeTramway LIPETIT HAVRE ILLIJSTIlS m CHRISTS,EHËDAiLLES ¥IEi©ES5 CR0SX / LE ÜIEUXASSORTS \ GALI8EHT, 16,Place deM-de-Viife' C'est qu'en effet je suis un peu changé de¬ puis le jour ou vous m'avez lancé uue échelle a travers la figure. — Comment 1s'écria le due, mais je ne sais ce que.. . — Passons, Monsieur le due, passons ; je viens vous apporler des nouvelles d'une affaire qui vous intéresse vivemeat ; la po¬ lice, stimulée par vos continuelles sollicitations, est parvenue Adécouvrir enfin, nou votre femme, mais sou meurtrier. — Ah ! dit le due de l'air du plus vif intérèt. et eet homme?. . — Ne vous est pas inconnu, car l'assassin de Mme la duchesse est eu même temps son mari. En pronongant ces mots, l'agent avait glissé la main dans sa pocbe. Mais le due ue brouchait pas. 11conservait un caime imperturbable. — Quelle est cette mauvaise plaisanterie ? demanda -t-il en souriant. — Je crois, en elïet, que vous la trouverez mauvaise tout A l'heure, riposta Guimbard. II ajouta : — II y a même deux assassins, l'un qui a frayé et préparé les voies ; l'autre qui a frappé. Le premier est le due de Dyonis ; le second, votre complice, est Torribio. — En vérité, s'écria le due toujours souriant et ironique, il y a done quelqu'un dans le monde qui porte le nom de Torri¬ bio ? Eh biea, IA, franchement, je serais curieux de le voir. — C'est un désir qu'on peut satisfaire, répondit Guimbard, qui sedisaiten même ïemps : YoilA uu gaiilard diaatremeut effroaté. II courut aussitöt ouvrir la porie, et l'Espagnol entra. — VoiiA Torribio, Monsieur le due, dit Guimbard en le regardant d'un air triomphant, êtes-vous satisfait ? — Non, répondit le due en toisant tranquillement Torribio, je me ie figurais tout autre. — A Ia bonne heure ; mais lui, il vous reconnait parfaitement pour ITtomme qui a armé sa main contre la duchesse de Dyo¬ nis ; mest-ce pas, Torribio ? Celui-ci, immobile et effaré, regarda le due avec une expression de stupeur et d'hébètement. — Eh bien,parlez done, lui dit Guimbard. — Mais ce n est pas lui ! s'écria Torri¬ bio en levaut les bras au ciel, XXIX DÉSABR0I Après un assez long silence, pendant lequef il avait tiré de son porte-cigare un puros qu'il avait allumé avec Ie respect du a un cigare de choix, Ie due se tourna vers l'agent de police et, lui adressant ia parole entre deux.bouffées de tabac : — Et inaintenant, mon citer Monsieur .Guimbard, lui dit-il avec une nuance de raillerie dans la voix, que faites-vous ici et Aquel propos êtes-vous venu me déranger ? Savez-vous que, si Thistoire de cette sotte et extravagante méprise était connue de vos supérieurs, cela n'aiderait pas précisément A voire avancement 1 Guimbard ne se dissimulait pas que Ie ducavait parfaitement raison ; aussi lui, qui d'habitude était toujours si maitre de luimème, avait-il perdu compiètement la téte. II était encore sous Ie coup de la stu¬ peur dont il avait été frappé en entendant Torribio s'écrier : Ge n'est pas lui ! — Pardon, Monsieur Guimbard, reprit le due avec une iégère teinte d'impertinence, mais je ne sais comment m'y pren¬ dre pour vous faire comprendre que... vous êtes de trop ici. Guimbard comprit qu'il fallait accepter franchement sa défaite, c'est ce qu'il üt. — Je suis dans mon tort, Monsieur le due, dit-il en s'inciinant, et je vous demande pardon de vous avoir dérangé. — C'est bien, Monsieur Guimbard, répiiqua le due avec un geste de la main, allez et ne reeommencez plus ; quant A vos excuses, je déciderai si je dois m'en contenter ou s'il me convient de pousser les choses plus loin. L'agent s'inciina de nouveau et sortit, suivi de Torribio. Puis il donna ordre A ceiui-ci d'aller chercher Marcel et Gontran et de venir le rejoindre avec eux au café d'en face. Un instant après, ils y étaient réunis tous les quatre. — Eli bien, que s'est-il done passé ? de¬ manda Marcel en entrant. — Demandez a Torribio, il vous donnera peut-être la clef du mystère, répondit l'agent avec humeur, car pour moi je n'y comprends absoluinent rien, et vous me voyez écrasé, apiati comme sous un coup de massue. — Et ie due, nous ne l'emmeuous done pas ? — Ah bien ! oui, c'est-a-dire que je dois m'estimer lieureux s'il ne me fait pas destituer. — Que voulez-vous dire ? — Vous vous rappelez toutes les raisons que nous avions d'être convaincus que le due était complice de Torribio ; vous étiez la tous les deux, lorsqu'il est venu nous dire : « 11est la, je viens dele voir entrer»; et lorsqu'il a ajouté : « Je le vois causer avec la marquise, c'est bieu lui, je le reconnais a sa chevelure. » Nous nous dirigeons de ce cêté, Torribio ne quittant pas de vue la chevelure de sou complice que, moi, je ne pouvais voir, lorsque tout a coup il s'éloigne de la mar¬ quise, se giisse jusqu'a la serre et y disparaït. C'est alors seuleinent que je l'apergus, mais ülant avec la rapidité de l'éclair, da sorte que je ne pus qu'eotrevoir vaguenienf une silhouette humaine sans pouvoir rien distinguer. Mais Torribio, lui, qui était prés de mei et qui Ie connaissait, m'affirma que c'était bieu son complice et qu'il était sürde ne pas se tromper. Je me précipita alors sur ses traces, je regeis en plein visage l'atout dont vous voyez les suites, je m'informe en sortant de IA et j'apprends que la première personne qui a été vua prés de la serre au moment de Ia délonation est le due de Dyonis ; on le cherche, il s'est empressé de dispara! tre, et pouk-*; me confirmer dans mes soupcons, j'ap-, prends qu'il a causé une partie de la soiréa avec la marquise de Caravan. II me parait prouvé dès lors que je n'ai plus qu'a ma présenter devant le due de Dyonis avec Torribio et A faire constater par celui ci que c'est bien IA l'homme dont il a regu vingt mille francs pour assassiner la du¬ chesse ; ce fut également votre avis et celui deTorribiolui-mêiue. Gi mivre.j lie Petit Havre — Mercredi6 Mai1914 Accident » la Ctarc complet chef-d'oeuvre, oü Massenet a mis Ie meilleur de son esprit, de son émotion, de sa sensibiliié, toute la ferveur de son ame vibrante. Peut-être classera-t-elle après Manon, pour certaines de ses parties, éiégantes et Hen¬ ries, nn peu miguardes en leur préciosité voulue mais pimpantes tout do inême, et plus enluminées que profondes. Peut-être retiendra-t-elle aussi le Jongleur Voir en 5"-Page, détail de notre de Notre Dame, — que je vois avec regret quitter ie répertoire — son premier acte est GRANDEM/SEen VENTE une des choses les plus dêlicates, les plus jolies et les plus savoureuses, au sens arde DETAINJEUDI chaïque, que Massenet nous ait doanées. Et bien loin, bien loin, je présume, vien^SSSgaSS=^05^=3E3l!=y dra cette prétentieuse et cllnqiiante Ile'iodiade, avec ses boersoufflures et ses éclats, 'mm&smm Iwmsm voitnre d'ambulance, maadée en toute liate ses cuivres plus bruyants qu'héroïques et a l'llospice Général, vint le clierchcr. ses leit molive qui pnsrent (oute une soirée Cet horame est nn journalier nommé Vic¬ è se poursuivre eu file babyloriienne et fiaistor Person, agé de 43 ans, demeurant rue sent par tottrner h la « scie ». Dauphine, 31. II serait célihataire. II taut le reconnaitre, saus nuire d'aiilenrs M. Frambourg, commissaire de police de i'exceptionneiie popniarité dont le maitre la quatriènie section, venu sur les lieux de francais a bénéficié durant sa vie, dont il 1'aceideiH, a aussitót onvert une enquête. continue de jouir après sa mort, ('inspiration mélodique d'e Massenet ne s'est pas renouveiée en produisant Hérodiade. fVifUIOTET.MS7IS7B. 5S.r.fls iaBonua1Ï.T. 1.-TMrtc# Après avoir chanté les éians do l'amour profane, eiiea trouvé exacternent les mêmes rythmes poar traduire les extases de Fanaour Ace5sl«ss3; d mystique. Mort de la Victims Massenet resfe le mnsicien des tendresses, des délicatesse» sentimeatales, l'interp-ète Nous avons relate le pênible accident d'an'des accents passionnés. S i Salomé exprime tomobiie dont l'ut victime, dimanche, k Quilsa foi dans le même Ian gage musical que sa lebenf snr-Seino (Eure), 51. Marcel Auvray, Manon contie l'enlhoiisiasme de sa jeune agé de vingt et un ans, clerc cbez M. Aubry, flam me. notaira a Colbec. Son état étant des pins graves dans la soiOEuvre inégale, avec des retours fréquents vers i'ancienne formule et uue manifesto rée, M. Walch, chirurgien an Havre, fut lourdeur dans les passages de déciamation mandé d'urgence prés dn biessé. Le praticien, ea prósenca du docteur Despure, Hérodiade, faite surtout de « morcbamps, qui avait donné 'es premiers soins ceanx >>, est loin d'avoir la belle et liornogène a I'infortuné jeune homme, dut procéder k ampleur des partilions que nous venons de l'opération dn trópan. II enleva une esquille citer et cü les dons caractéristiques du com¬ osseuse mesurant environ cinq centimetres, positeur se sont si rnagisiralement et si natuJaqueile était proloadément enfoncée dans rellemont épanouis. le cerveau. Plutöt quelconque celte reprise de Héro¬ Tont malheurensement, fnt inutile, et diade, malgré l'iatérêt que donnait k lïnterMarcel Auvray ce put snrvivre a ses horri • prótation deux artistes en representation : bles blessures. I! est mort lundi, a cinq Mile Mazirin et M. Fontaine. lieures du soir, tans avoir repris connaisKous avions déjè applaudi Mile Mazarin, sance. sur roire scène, dans Wertlter ct avions Ge terrible accident a produit une certaine eonsorvé un sympathiqae souvenir d'une émolion parmi la population de Bolbec, cü nature profondëment artiste. Eile est appaMarcel Auvray était trés connu et estimé. rue è nouveau hier dans le röle do Salomé. II est indéniable que i'interprèto apporte dans la composition de ce personnagg une S'«ïs virnt Sa Fouwure ? S.fadMsSyd recherche da mouvement et d'exoressibn qui Nous avons reiaté l'arreslation de trois procédé d'un art minutieux ot lür. individns, Francois Lepêcbenr, Anseime La Salomé d'hier s'écaria sens biement de Bérubó et Marcel Goivanier, inculpés de vol celles qui nous furent, ces dernières and'nne tourrure de prix. nées, présentée3, et qui conservaient une L'enquète onverts par 51. Treifous, jugo allure Iroidement traditionnelle, biéralique d'instruetion du Parquet du Havre, n'a fait et toute cljssiqne. Da. 5 Xlai 1S>14 qu'aiïermir i'opinion do la justice sur le Mlie Mazarin a mis dans cette curieuss compie de ces individns. La fourrure en figure des touches vives d'un réalisme trè3 Vide <le ï'ariis question pfovient bien d'un voi, mais on défendabie, Elles n'altèrent point ia légende Emprunt 1ST5 ignore encore oü et d qui elle fut dérobée. bibliquo et contribuent plutöt a l'illuhiiner La recherche du propriétairo de cette four¬ Le numéro 383,063est remboursé par 100,000 d'une vie saisissante. rure retardera encore l'instruction de cette francs. La Salomé de Massenet n'a évidemment Le numéro 255.082 est remboursé par c'0,000 qn'uno parenté assez iointaine avec celie de affaire. francs. e-' Richard Strauss, mais il m'asembié qne Mile Les trois numéros suivanls son! remboursés Mazarin s'était sou venue do csllo-ci en aniAHentioit aux Camluioleiirs 1 chacun par 10,000francs : mant Faiitre. L'expérience était originale, En rentrant d son domicile lundi soir, vers 3.390 1 5.391 1 173.039 curiense, hardie. Jo suis tenté do voir en elie buit lieures et demie, Mme Fraval, nee Marie Les quatre miméros suivants sont remboursés le seul intérêt de la soirée. Clérivet, agée de 40 ans, sans profession, ElIe attire, tout au moins, I'attention sur demeurant rue de Normandie, 197, trouva Ia cbacun par S 000francs. 71.881| 173.900| 239.C9i | 172.095 une personnaiité artistique que uous anrons porte de son logement tonto grande ourerte. Les 25 numéros suivants sont remboursés cha¬ l'occision de revoir sous peu dans Lohcngnn, Son buffet, son armoire, sa commode avaient Werther et Carmen. étó fouiliés. Que clurchaient les voieurs ? cun par 1,000francs. M. Fontaine a parn faibiir dans Ie lourd 2.732 120.831 295.390 491.383 212 555 De l'argent, probablement. N'en ayant pas trouvé.ils dédaiguèrent ie conlenn des meu- 10Ö.246 239.013 49u.785 80.559 340.144 róie de Jean, röle délicat è rendre aussi bien 438309 25 354 203.906 98.6.8 au point do vue dramatique tant son luimabies, car Mme Fraval n'a constaté la dispari- 238.673 433.039 4.362 165.094 329.187 228.420 nité est d'essence supérieure qu'au point de tion d'aucun objet. 3.260 140.283 290.805 91.139 381.550 vue lyriquo tant le mnsicien J'a chargé de * no!e3juchéos è la hauteur de i'idéal philoEmprunt 1912 * * Le numéro 695,116est remboursé par 100,000 sophique. Dans ïa rue de Normandie êgaiement, au L'émission éclatante, oü généraiernent no 223, Mme veuve David, née Adrienne Le- franos. Le numéro 362,051est remboursé par 10,000 excelto M. Fontaine, n'a pas toujonrs étó jard, agé8 de 47 ans, habitant cet immeuble, d'une justesse impeccable. se renait compto en rentrant, vers sept beu¬ francs. Au reste, ces petits écarts vocanx n'ont Les 8 numéros suivants sont remboursés cha¬ rss et demie, qu'on avait pénétré chez elle cun par 1,000francs : pas étó le privilège exclusif de i'apótre. pendant son absence, a i'aide de fausses I 337.770 | 593.807 1032.431Hérodo les connut et Pbanuel aussi. clefs. Une somme de 70 francs qui se trou- 27.019) .V?-S8 Le premier avait pour interprète M. Mézy, Les 35uumi'fos suivants sont remboursés cha¬ vait dans un sac a main placé dans un tiroir dont la voix aux qualités sonores, sans avoir cun par 500francs. de i'armoire avait dispara. 10.694 278.093 539.913 560.782 519.013 toujonrs la distinction du style, n'a pas Bien quo n'ayant aucun soupqon suscepti¬ 45i 325.010 594.359 douné è la fameuse « vision fugitive» tout ble de faire déeouvrir l'auteur de ce cam- 541.229 393.404 513. 230.494 557.829 160.387 555.211 537.224 i'eftet que nous en attendtoas. brioiage, Mme David a portó piainte. 101.311 324.400 574.394 184.844 Quant h Phanuel, c'était M. Valès. II a fait Des enquêtes tont ou vertes sur ces deux 377.695 554.834 550.764 470.708 127.272 368.641 de soa mieux, et la lache élait lourde. Mais affaires. 21.249 307. 2;s 573.843 575.736 519.296 il est hors de doute que ce röle s'adapte sur¬ 149.863 431.020 114.200 367.853 693,032 tout aux moyeu3 de la basse noble. II lul Seule, Ia Grande Brasserie de i'Ouest faemprunte alors l'autorité, la gravité, Failure, orique ia célèbre et populaire « Pallas », qui un relief vocal et scénique qui a fait quelque Crédit S'oneiev de Frames est sa creation et sa propriété. Exiger pen défant h Finierprétation d'hier. Foncièrcs 1ST9 exprossément la bande do garantie jauneavec Mme Oalcia a chaaté trés correctement le Les numéros 1.203.885et 378.196sont rembour¬ rölo ie mot « Pailas » en rouge. do Herodiade avec una viguenr et une Les plus hauies recompenses aux exposi¬ sés cbacun par 100.000francs Le numéro 527,685est remboursé par 25,000 puissance qui ont servi h souhait le tragique tions imernaiionales et imiverseües. de la situation. francs. Turin 1911 : LE GRAND PRIX Le succès, un pen rétif au début, s'est ceLes numéros 470.301et 711.131sont remboursés chscun par 10.000francs. Gand 1913 : i¥lEi¥88RE DU JURY pendant dessinó franchement dans les derLes cinq numéros suivants sont remboursés niers actes. Geux-ci ont étó enlevés avec one HORS CONCOURS Chacunpar 5 000 traucs. chalear, un lyrisme, un brio remarquables. 1.181.818 I 174.161| 1.282.288 Us ont notairnneut vaiu h M.Fontaine et a 1.791.476I 1.710.958| Suv le iiant Mile Mazarin une ovation enthousiaste mar¬ Les 90 numéros suivants sont remboursés quee par trois francs rappels. Lundi après-midi, vers deux lieures, un Un mot pour les choeurs. Us font un tra¬ camion de i'entreprise Yasselin, rne de la chacun par 1.000francs. 5751,526.0 5 102.027.644.232 623868 vail énorme depuis le commencement de la Gare, 7, passaitsur lepont Notre-Dame, sous 1.738. 84"). 8831.256.295 (.388.935 1.164.157saiton. Songez done è i'entraïnement, 1.330.498 è la Ja conduito du charretier Franc-ois Jamet. Co 5.103.858243.031 1.100.280 1.464.558 1.194.095fidélitó de mémoire que Fon exige d'enx. lis véliicule était chargé de cais3es, débordant 680.742 1.615,' 30 1.315.679338.3321.538.518se tirent le plus souvent avec ai'resse des sur les cötés. 5.024.422 77.858 668.970 980.596 245.824 grands efforts qu'on leur demaado. Un petit Un garqonnet de treize ans, Georges Dick, 5.204. 7801.466.673985.461 52.293 837,156 1.305:277 demeurant rue Saint-Julien, 29, qui passait I.160-908 380.247 bravo. Messieurs, pour ces humbles. 720*. 9541.550.7t« 937 14076 339.495 6'0 209 445.713 AH. sur le pont au même moment, se trouva 350770 9"6. 1 365.7651.366.263 528 509.31 serré entre le parapet du pont et una caisse. 45.367 934.7721.194.439 992.054 II éprouva ainsi des contusions légères a ia 1.574.378 11.8051.268. 6801.106.596943.1361 782.577 Demain jeudi, représpntaliou de Thais, cuisse gauche. 1.517. 344 34.343 639.550 940.9041.453.957musiqlie dé Masstnei, avec le concours de Après avoir été soïgné a la pliarmacie De157.080 480540 20.121 691.825 509.331 Mile Geibron, si applaudie dans Louise,samebains, ie jeune Dick a été reconduit a son 1.783.086420.188 959.218 643.131 di dernier, dans ie .'ö e de Thaïs. M. Mezy, 711.270 domicile. 157.881 296.397 1.100.490459199 1.269.584 803-619 1.583450 de FOpera Gomique, dans celui d'Athanael èt 1.33J 610 638.0691.176.562 1.154.938247.112 616.9641'. 514.643 044. 071 M. Marnv celui de Nicias. Espiicatioii d'un Tote 1.363.426 1 457.923 914.8141.054.194 Bureaux, 8 hemes ; rideanx, 8 h. 1/2. 541.510 — Pour qui que j'ons voté ? J'vas vons le La !o ration df ja faite nous fait conseiller dine. Not' députó y va è droite, y va k ganFoncières 1909 aux p rscnues désiretues d'assister a cetto ctea : point moyen de savouère düqa'y va.Y Le numéro 501,258est remboursé par 50.000 representation do a',assurer leurs places a fait d's'affiches, de boniments, c'est pas sé- francs. I'a vance. rieux. Pour lors, j'ons voté pour Dubonnet Le numéro 084,157est remboursé par 10,000 Samedi, unique représenlation do lo/ianqu a d'z'affiehes partout, oü qu'y a seule- francs. grin, avec ie concours de M. Fontaine, de Les 10numéros suivanls sont remboursés cha¬ l'Opéra, dans le rölo du chevalier du Graal mect Vin tonique an quinquina. Lui dit point de aienteries, ben star, son Dubonnet cun par 1,000francs : (Lohengrin), de M. Mezy, de i'Opéra-Comi1.339.431j 407.398!1.067.61411.389.ISO!i. 181,212 que, daas CpJni de Telramund ; de Mum Ma¬ est rudement bon l 178.180180.0031 102.91111.081.40011.134.807 zarin, de l'Opéra, dans Ie röle d'E'sa et Mme Les 60 numéros suivanls sont remboursés cha¬ Dalcia dans celui d'Ortrude. Interpolation Ganrniiiniiise ! cun par 500francs : de premier ordre qui nous fait prévoir une 117.045 929.964 220.385 935.704 790.308 salie comble et cesera justice. Se (ronvant dans sa bouliqne, Inndi soir, 1 326 . 499 702.511 1 181.900 1.119.887 85.126 vers nenf heures et demie, M. René Des972.930 224.424 322.321 992.920 625.671 hayes, épicier, demeurant rue de ia Halle, 384.9781.172.810798.4121.211.399200.093 39, était informé par son jeuna iils qn'une 1.312.279 592.073 358.860 408.8x2 688.724 gamine venait de sonstrairé quelque chose k 418.276 154.346 868.658 73.042 221.674 ThéMre-Cirq ue Omnia ('étalage et s'ea allait en dissimulant son 288915 631.7381 186653 1.017. 1 062.977 ('79 larcin sons son vêiement. 474.350 180.21.5369.0121.201.935 1.036.010 OSNERfiA OfVïNIA PATHÉ 1.340.848 612.7781 238.561 504.642 1.170.133Marie Comme M. Deshayes cherchaita rejoindre ^eanne.-Lfn Fil a li» S'atte 237.352 962.565 567.213 1.025. 342 705.1 I t) la gamine, celle-ci prit la fnite ; mass l'epi553.068 293.206 23I.7W5 844.227 Tout l'intérêt des difï'érentes pièce3 popu* cier put quand même la rattraper devant le 1.057.030 7.300 716.5891 279.135 343.275 989. 1U0 laires leprésentées par le Cinéma Pathé resi¬ commissariat.. dent dans la figuration, la mise en scène et C'était une petite gourmande, agée de 8 la mimiquo si expressive de ses interprètes. ans, Félicitó Sénécal, doet les parents ha bi¬ Nous ne croyons pas que Pathé nousait pré¬ tent rue Guillaume-Le Testtn Elle venait de senté des tableaux beaucoup plus érnouvoler un bocal r6mpii de bonbons. vants et avec amant de relief, de sincerité, Se trouvant pincóe, elle dénoncusur-ieque ceux do Marie-Jeanne ou la Femme du Cliamp un complice, gourmand comme elle, Pcuple. Le cclèbre drame de Denuery et Grand - Thé a lre le jeune Marcel Crampon, dgó de 9 ans, de¬ Mailian a été monté cette fois avec toute Ia meurant chez ses parents, rue dos Gabons, Ucrodiade minulie que comportent des péripéties aussi 23, un coutumier dece genre d'opération. II II est encore assez difficile de prévoir ce erapoignantes et palhétiqnes. avait dérobé, de son cöté, un autre bocal de Marie Jeanne est la victime de ce fléan bonbons, qui fnt retrouvé caché dans l'en- que la postérité se plaira é faire de l'ceuvre de Massenat, les ouvrages qa'elle inscrira en qu'est l'aicooiisme. Réduite a la misère par coignure d'une porte. Ayant étó l'instigateur de cette expédition, tête de iisteet lixera sur les tables de Gloire son mari, eile se voit obligée d'abandonner son enfant è l'Hospce des assistés pour le jeune Crampon a étó gardé & la disposi¬ avec les clous d'or da ia Renommée. Eüo exaliera évidemment i'abondance de éviter la mort du petit être. Get enfant sa tion de M. Gibert, commissaire de police. II trouvé volé par un aigrefia qui par ce rapt sera placé en surveillance a l'llospice Géné¬ la production du musicien, son inspiration féconde, son amour de la mélodie, sa sopé- chcrche a accaparer line fortune et un coeur, ral. La fillette a été rendne a sa mère et les liorité indéniable comme mnsicien de thea¬ mais Ie malfaiteur est démasqué lorsque tre. Car Massenet est par dessus tout l'hom- Marie-Jeanne reconnait soa entant dans la bonbons a l'épicier. me de thêötre. On ne pourrait reprendre nraison oü il a étó placé. Cette analyse en dans son ceuvre aucun ouvrage qui n'cüt quatre mots ne peut dêcrire lout l'intérêt de vraiment, au point de vue musical, l'iatérêt cette pièce morale entre toutes, au spectacle scénique. de laquelle le public vibro sincèrement. II Mais la -postérité, en toute justice, fera applaudit comme il convient l'ensembledu Actuellement en réclame dans cet ensemble des réserves et des classi¬ film actuel et la première a été un succès. Au drame succède le vaudeville. Le fafications. Elle placera eh première ligne, hors de pair, Werther, ie pur, le sincère, ie meux Fil ii la vatte de G. Feydcau est tout En procédant ü Ia manoeuvre de wagons & la gare de la Petite Vitesse, hier matin, vers huit heures quarante-cinq, un employé du chemin de fer, Maurice Pergeaux, agé de 24 ans, demeurant rue Hélène, 118, s'est trouvé grièvement biessé. II disposait un cable sur la poupée d'un (renii, forsque cet appareil fat mis en marclie. Pergeaux eut la jambe gauche prise en¬ tre la poupée et le cable. La pression fat telle que I'infortuné ent la jambe fracturée. M. Cornu, homme d'équipe, tat chargé de conduire le biessé en voiture a FHópital Pasteur. AMIR PICON a base d'orand© et ds quinquina Tonique I Agrsable Rafralchissant m Demanded PICON TIRAGES FINANCIERS THÉSTKHS & CONCERTS CHAUSSURES RAOUL Articles spéciaux oour lreCommunion aussi bien interprété et déchaiae le fou-rire tont le long de ses qnatre parties. Ce fil at¬ taché è la « patte » du vicomte de Bois d'Eughien est tout siniplement nne petite amie, chanteuse de café-concert, è laquelle ii n'ose révéler ses projets matrimoniaux par crainte de la voir tout compromettre. Et c'est précisément cela qui arrive par Ie concours de circonstances que l'auteur a su si habilement composer. La troisième partie de ce programme sensationnei nous conduit enfin en Basse-Bretagne et l'on ontrevoit les cötés si piitoresque de cette « terre de granit recouverto de Chênes ». Ajoutons un éloge pour Ie Pathé-Journal, qui nous montre tons les faits da Factual ité, notammont 1'Inauguration d'un nouveau che¬ min de fer en Russie, scène tont k fait cu¬ riense. Etant donné le succès remporté par ce programme nous ne pouvons que conseiller vivement de i'allervoir. C'est 'un boa mo¬ ment a passer. M. Bertillon voudrait voir les Francais s'en inspirer aujourd'hui pour combattr8 le dan¬ ger qui menace leur patrie ; ii importe avant tont que tont citoyen se pénètre de co sen¬ timent que son devoir est do coatribuer a la perpétuité de sa nation comme c'est son de¬ voir de la délondre. Mais pour que ce devoir pnisso être rempli, il faut que la Société en facilite I'accomplissement. Et M. Bertillon en arrive ainsi 4 examiner les roesures legislatives qui s'imposent en faveur des families nombreuses ; il insiBte tout particulièrement sur le sort des veuves cbargées de familie, dit ce qu'il faudrait faire pour elles, et ce qui a deja été fait dans différents pays étrangers. II tuit a ce sujet allusion a la Maison des Veuves de la rue Jéröme-Bellarmato, excel¬ lente initiative, dit-il, qu'il souhaite voir s'éiendre et se généraliser. A son avis, les distributions d'allocations aux families nombreuses devraient être faites avec éclat, avec solennité ; il voudrait voir en France Ue ces admitables fètes de l'enfance comnre il en existe en lloiiarxde, dans sont honorées et ièiées les Ce soir, k 9 lieures, représentation da ci- familiesiesquelles nombreuses. nématographe, avec le célèbre drame de Et il term ine par un appel chalenreux anx MM.Dennery et Milllan : Mas*4e- Js-assase pour la creation dans notre visie eu 2a Fvassisie tlu SJVsijile, et l'amu- Ilavrais d'une section da I' « Aliiance nationale pour sante comédie de M. G. Feydeau, Un Fil a i'accroissement de la population » ; ii an¬ laPalte. Le programme sera compiétó par nonce qu'une réunion constitutive de cette un mervcillcu:c Voyageen Bretogne, des scènes section aura lieu mardi prochain, a l'Hötel comiqués.et les dernières actualités da Pathé- deVille, dans la Sa'ie des M.riages, et il Journal. cspère que nombreux serout nos conciBureau de location ouvert comme d'usage. toyens qui tiendront 4 défendre !e bon reTous les soirs a la sortie, service spécial r.om du Havre, en contribuant 4 etnpêcher de tramways. la race franchise de disparaitie. Les appiaudissements qui saiuèrent ces dernières paroles, et les adhésious qui fu¬ Le Tangoaux Polios-Bergère rent aussitót recueiilies permettent de 3upC'est demain jeudi 7, que débutera pour poser que son appel sera entendü. F. P. une série de six jours, I'excellente tournée Casanova, qui nous jouera le plus «rand Cours d'enseigmenuent supérieur publics succès dramatique de la saison, t'«mr sïe Fiiie, drame en 5 actes et 7 tableaux, lire et gratuits (tivec proj^ciious) faits au nom de Vide par MM.les professeurs de la Facolté (les d'un des meüleurs romans de M. Paul Se- la de Gien. gonzac, du P/ld Journal. Le clou de la soi¬ Sciences Cours d'Astronomie, par M. Zorelti, profesrée sera Fv T»ngn, qui sera dansé au 3e seurde mecunique rutionnelle et oppliquéo: La acte par ia Belie Manuela, créatricedes Thés- Terre autour du Sole'tl. Tango au Casino de Paris, et !e proIVsseur La dernière leoon (l'aslronomie sera faite par 51. Harry Jackson's. Euliu pour permettre è Zorelli aujonrd'liui mercredi 6 mai, a 8 h. 3/4 du soir, 4 l'llóiel de Yillo, dans le grand vestibule tons d'apprendre la plus célèbre danse d'Amérique, Ivo Taugo sera dansé k d'lionneur. sujet : l'entr'scto, dans ia salie parmi les spectaLes preuves mécaniques de Ia rotslion de la teurs. Rappelons que le dernier passage de M. Casanova a eu lieu avec Cceur de Fran- Terre (suite) Foucauii. gaise. Saiiveieurs-Ambtilanciers de la SeineInférieure. —Demainjeudi de 8 h. 30 a 10heu¬ res du soir, au Cercle Franklin, cours tüéorique ct pratique de pansemenls et manoeuvre pour le transport des blessés. La presence de tous les élèves devant être préAajourd'hui mercredi 6 rnai, a seniés a Fexaraenet des brancardiers est ob iea8 h. 3/4, présectation en exclu- toire. Nota. —Les sociétaires sont informés qu'a parsivité au Havre du merveilleux lir du I,r mai, ils recevront aiasi que leur familie, film : les soins de M.ie Dr llamonet, au tarif des sociétés do secours mutnels, sur la presentation de la LE RAiD AÉR3EN carte de l'année en cours . Grand cinémadrame en trois parties, de la série des grauds lilmsartistiques Gaumont Dans ce roman d'aventures, par sa bardl esse etson sang-froid, un aviateur émérite parvient, après mille circonstances dramatiques, è sauver de l'échafaud, un maiCliambre Syndicale des Ouvrlers Bonrheureux injustement condamnó. C'est Foeu- reliers, Seiliers, Hariiacheurs. — Aujour¬ d'hui mercredi a 20 h. So, reunion générale au vre la plus passionnanteet la plus fertile on Cercle Franklin, salie A. émoiions, mise jusqu'a ce jour au ciuématoFaiement des coiisations ; Adhesions ; Ques¬ graphe. tions diverses. Ce film remarquable sera encadré par : L'ltalie seplélitnonale, panorama : L EmpêSyndieat des Pêclieni-s a ia lig-ne de cheur, comédie ; Le Dot, grand drame Gau¬ du Havre. — La S. P. L. 11. mont; Manage rêcé, comiqne ; Haineet Ven- l'arroiniiaseaieiii aux pêcheurs et. amateurs que : g/ance, drame; La Visite du Pasteur, comedie; rappello 1»C'est demain jeudi a i9 heures qu'expire le Les Actuaütés Gaumont, etc., etc. délai description pour parliciper au concours Avoir soin de prendre ses places en loca¬ poule du 10mai. tion. Téléphone 13 31. 2»C'est saruedi 9 mai le dernier jour pour demander son admission comme sociétaire du Service spécial de tramways k la sortie. £>;. I'. L. li. pour pouvoir pjroudro part ou grand On pout i'umcr on piumciiuii". concouis fêto du 2i mai, gratis et réserve aux membres du S. P. L. 11.tl comprenant 25 beaux prix en espèces et objels divers. GEAHDCINÉMAGAÏÏMONT Tribune des Syndicits Conférences ei (Cours Ailiaitcr nationale jiasr IMwrasg«««sent de la Fopulaliaa Un public nombteux et sympathiqae assista hier soir è la conférence que fit a l'Höte! de Viüo M. le dccteur Jacques Bertillon, président de F « Allance nationale pour i'accroissement de la population », sur la Depo¬ pulation de la France et les remêdes a y ap'porter. M. le docteur Vigné, adjoint au maire, présidait. Ea queiques mots.il présenta k son audiloire le docteur Bertillon, dont le nom est bien connu de tous ceux qui s'intéressent ii ia stalistiqua ct ü !a demographic. Après avoir consacré de nombreuses années a ces deux sciences, le docteur Bertition s'cst mis è étudier avec ie même zèie ia question de la dépopuiation, et comme ii y a vu nn gravo problème i la fois moral et social, il s'cst résoiument attaché a en trouver la solution. Et Ie docteur Vigné lui cède aussitót Ia parole pour qu'il expose a nos concitoyens ce problème dans toute son ampleur, "qu'il leur montre touteul'éiendue dn mal, et envi¬ sage avec eux les remödes 4 y apporter. AbOidant immédiatement le vif de son sujet, M. le docteur Beriilion, ponrmontrer la grandeur du dsnger, fait passer toute line série de diagrammes sous les yeux de ces auditeurs. A I'aide de cesdocumenls, il mon¬ tre la disproportion croissante de notre natalité avec la natalitó de l'Aiiemagne puis avec celle do l'ltalie ; ii souligne ia répercussion de notre faibie natalitó sur noire activité indostrielle, sur noire commerce ex¬ térieur, sur ie déveioppementde notre marirc marchande. Dans toutes ces branches de l'activité harnaine, ia situation de ia France est inférieu¬ re, paree qu'elle n'a ni assez do travailleurs ni assez de consommateurs. Nous sommes la seule nation du monde dans laquelle Ie nombre des naissances ne dépassa pas ceiui des décès. Dans ces condi¬ tions, pour une nation, ne pas grandir c'est décroihe ; c'est devenir uue petite nation, sinon disparaitrc. Examioant la situation de notre départe¬ ment, M. Beriilion la montre presque stationnaire depuis un siècle ; mais aiors qu'il y a cent ans ii était un d"s moins peuplés, avec sensiblenieut les mêmes proportions, il est aujouru'hui un des plus peuplés ! Dans presque tous les départements, le nom¬ bre des décès excèdo aujourd'hui celui des naissances ; la Seine Inférieure est favorisóe, ii n'y a en eflet que 97 décès pour 100 naissances, mais pour supérieure que soit cette propor;ion sur celle des antres departements, il faut pourtant bien avouer que ce n'est pas brillant. Dans l'ensemble, la France, pays le pins rlclie du monde, nourrit 72 habitants par kilornètre carré, alors que l'Aiiemagne, dont les ressources sont bien moindres, en nour¬ rit 120. Le pays court done un trés grand danger et c'est ce péril qui a incitó M. le docteur Bertillon et un certain nombre de personnalités qui se sont groupées autour de lui a fonder 1' « Alliance Nationale », au nom de laquelle il parlait hier soir. Sur ie but de cette oeuvre, dont il montra tout d'abord la nêcessité, Forateur donna alors quelques prémsions. Se basant sur des examples puisés en lSivière et en Itoumanie notamment, elle veut faire augmenter le nombre des naissances, et elle considère que cela est parfaitement possible. Guillaume le Taciturne a prononcê cetto parole admirable : « II n'est gas besoin d'espérer pour entreprendve, ni de réussir ponr persévèrer, il suffit d'avoir le sentiment du devoir». Avec une tede devise, il arriva 4 être vainquenr de Philippe II, dont l'Empire étaitsi vasteqnele soleilne s'ycouchaitja¬ mais. waa| TRIBUN A UX Tribunalde Commerce dn Havre Audiencedu 5 Mai 1914 Présidence de M. Lafaurie, président Une iutéreasantc ^aestion «ei* matière tie Pilotage On snit que les navires qui remontent Ia Seine doivent avoir recours aux offices du pilotage de la Seine. Mais, d'autre part, le règiemerst veut quo les navires, lorsqn'ils rencontrent en mer un pilote de la station du Havre, ne puissent pas refuser les ser¬ vices do co pilote tant que le pilote de la Seine n'est pas a leur bord. Si l'on suppose que cette situation se prodnise et qu'nn navire ait ref-u successivoment les services d'nn pilote de la slation du Havre et d'un pilote da la Seine, de quelle fa?on ces deux pilotes vont-iis être réuiunérés ? Fandra-t-ii payer uniquement le pilofe de Ia Seine sur la base des tarifs prévus pour QuilleJuelif et poar Vdlequier, saul a ce der¬ nier 4 s'entendro avec son collogue du Havre, ou bien ce dernier pilote aura-t-ii droit a une rémunération séparée, sur ia base des larits de la station du Havre ? Telle est ia question que le Tribunal avait 4 résoudre 4 propos de i'espèce snivante : Le 13 septembre dernier, !e navire Cynibalin, qui so dingoait vers la Seine, lit en mer la rencontre du pilote Argentin,de la station du Havre, qui lui imposa ses services. Par la suite le pilote de la Seine Fanvel aborda le steamer et en prit la conduite. L'armateur du tiymbtin, M. Boiving, régla le pilote Fauvei, mais se nefusa 4 rétribüer M. Argentin ; ceiui-ci n'ayant, d'après lui, qu'a s'entendre avec son coliègue. M. Argentin assigna alors M. Boiving, qui mit en cause M, Fauvel. Le Tribunal, interprétant les règlements snr !e pilotage, a donné raison au pilote Argentin. Le navire qui a reen les services du pilote du Havre et dn pilote de ia Seine doit payer séparément ces deux pilotes, sur la base des tarifs de leurs stations respectives et le pilote de la Seine n'a pas 4 partager son indemnité avec son coliègue. En consequence, le pilote Fanvel est mis hors de cause, l'armateur Bohitig condamné au rnontant des droits de pilorage vis-4-vis du pilote Argentin, et aux dépens du pro¬ cés. il est intéressant de noter quo la droit du pilote du Havre d'imposer ses services au navire qu'il rencontre e« mer se dirigeant sur ia S ine n'a pas été contesté au cours de ce procés. Plaidaienl : Coty, ponr le pilote Argen¬ tin ; M«Denis Guiilot, pour ie pilote Fanvel; Mede Grandmatsou pour M. Boiving. TribunalCorrectionnel daHavre Séance du 5 mai de M. Tassard, viee-président VOLS Fernand Rondaud, 24 ans, a nn nombre déj4 respectable de condamnations. II encomt l;t relégation par suite des peines qu'il a déj4 su bies. Tout cela ne Fempêcha pas, tout récemment, de bondir sur nn vieitlard qu'il avait rencontré 4 trois heures et demie du matin, de le rouer de coups et de lui dérober sa montre. Ce nonve! exploit lui vant six raois de prison el la relégation. Oscar Hedouin qui a détonrné lid francs au préjudice de sa patronno débitante, rue Diderot, n'a pas jugó utile de se présenter, il est condaané par défant 4 auatre mois de prison. Présidence ENFANTMALTRAITÉ Les époux M. . ., agés, le mari de 30 ans. la femme de 28 ans, ont quatre enfants, dont i'ainé a neuf ans, les autres sept ans, trois ans et vingt mois. Le premier de ces enfants était en bufte aux mauvais traitemenis de sa mère. CeHe,ci dès le matin et queique (emps qu'il lasse, l'envoyait courir les rues. A tout instant elle le frappait, le iaissant des heures entières au cachot, si bien qua les voisios s'émurent et qua le fait fut signalé 4 la police. Le mari loi-même a eu quelques torts dans cette af¬ faire et c'est dans ces conditions quo les deux parents ont été déférés au Tribunal correction nel. La mère est condamné 4 qnarante jours de prison. La père a quarante francs d'amende. Quant au malheurenx bambin, il est confié 4 l'assistance publique. Défensenr des prévenus : Me Coty. SOUSL'IKFLUEKCE DHL'ALCCOL Louis Le Clerc, 16 ans. Robert Poissonfc 19 an3, et Georges Baray, 24 ans, s'éiaient iivrés 4 de copieuses libations dans la soirée du 31 janvier dernier. Les personnes qui les reircontrèrent vers or.ze lieures (lo soir, rua d'Etro at, rue de Mitz et boulevard da Slrasbourg, s'en aperpurent quelque peu. MM. B...,C..,B...,a... etC... eurent successivement 4 subir les voies de fait de ces ivrognts. Louis Le C'erc récolte quinze jours de pri¬ son, Poisson un mois et ü'aray quaraslu jours. * * Marcel T. . 18 ans, Pierre Le Gac, 19 ans, Paul Huon, 27 ans, et Harrv 11..., 26 ans, étaic-nt dans ie même état ie"12 janvier. Ha s'étaient fait servir dans deux debits da la rue d'Arcole des consomntations qu'iis refnsèrent de payer. Ils ue s'eu linrent d'aiilenrs pas 14,brisèrent une vitrine, cassèrent de3 verres, etc., etc. Cette peiite scène leur vaut 4 tous trois cinq francs d'amende ponr ivresso ot cinq francs d'ameude pour fiiouterie d'alim»nts. En outre, T. . . récolte quinze jours de pri¬ son, Le Gac et B... un mois pour bris da cloture. Pour les Soins de ia Peau eifiiiaiEbsgiqkale Sainte-Adresse ComitéHepablicatnüémoerntiquade Ste-Adresse.— Les membres du Comité sont prlés de voiffoif bien ussister a la réunion qui aura beu le mer¬ credi 6 mai. a 9 heures du soir. Lieu de réunion : chez M. Buiand, café du Manoir,Carreau. Sanvic SociéléChoreic.— La Soeiété esl henreuse d'iaformer qu'cüo offrira son concert annuel a se* membres honoraires ct amis le samedi 16 rnai prochain, a huit heures et demie du soir, en la Salies des Fètes de Sanvic. L'orgaaisalion, aetivement menée, en fait prévoif le meilleur succès. Répétiiions.— Les sociétaires sont prévenus qu'il y a urgence d'assister aux repetitions. Veadredi, ensemble. Bléviiie Amicalede JeiinesFitles.— Dimancnedernier, a deux heures et demie, i'Amicale do Jeunes Filles de Bléville donnsit son concert annuel dans Is grande Salie des Fétes, Irop petite pour conlenir la r.omhrp.iieo fisaietanco qui s'y était reodue. M. Farcis, adjoint au maire, présidait, avant 4 ses cótés MM.Devin, Boulnots, ffavier, Naün, MmesMoumert,tiaize, etc. 51 Farcis rappela en quelques mots les débuls des deux Amicales; ii moutra i'imporlance da ces Associalions, qui continuent et affermissent l'amilié commencee sur les bancs de i'école pri¬ maire. II termina en forraulant des vieux pour la prospérité des deux Amicales, que président avee tanl de devourment Mme Monmertet 51.Biu'nois. Son discours fut trés applaudi. 5Imeia présidente remercia vivement M.Farcis et les membres honoraires, puis ia parole fut donnéo aux j.-ttnes filles de l'Associalion qui inlerpré'èrent avec goüt piusicurs jolies saynètes et récitèrint avce btaucoup do sentiment quelques beaux poémes : VieillesMaisons, de Sully Prud'bomme ; Petit Paul. de Victor Hugo ; La F.die de Suule, de Gabriel Monmer. et Première Neige. de liobert de la Viilehervé. Deux romances : La Prière, de Gounod, et LeHêoeda Prisonnier, de UubensUin, furent dèlicieusement chantées par 5111e C. ilaize. Unmorceau de piano a quatre mains, Boléro.de Favarge, exéeuié par Miles Dondelol,fut tres apprécie de l'audiloire. A signaler le succès remporté p«r une fillette de dix ans, J. Guéront, qui fit eouler des larmes en récilant d'une fagon touchante Petit Paul, de Victor Hugo. D'aulres associóts furent aussi Irés applaudiss dans des sayneles, chansons, monologues. Citoas Miles51. flaize, 51.Devaux,51 Berirand, G Don¬ delol, C.Dondelol,G. B'ondel, 51. Hives,G. Rives, S. Nouet, L. Lebas, M. Leprêlre. B. Moldan,J, Si¬ mon, G. Préterre, S. Garon, S. llautot, 11.Dubois, C. Dszille.L. Barbanchon et 61.Mouün. Le piano d'accompagnementétait leDtt'par5!mo Petit, prufosseur. dont le talent est bien connu. Unequêie ou profit de l'Associalion fut taita par deux gracieuses jeunes lilies, Miles11.Balatile et G. flaize, accompagnées de 5151.II. Poupel et 51.Hasuelon. Les assislanis se sonl retirés vers six lieures, enchantés de leur après-midi qui leur a laitsè I'impression la plus elurmanle. Etat Ciol. — Naifsances.—Du 31mars : Noémia Fsuquet, rue do la Republique. — Du 1" avri! ; Edouard Sautreuil, ham>au de la Corvée. — Du4 ft Adrienne Cassux, rue Traveisiére, — Du9: Pierre 6l0fin, rue Féltx-Fauro ; Denise Pigeon, rue du Dubocsge. — Du 24 : Lucien Burel, hameatt do la Falsise ; Georgette Sery, rue de Tournion. — Dit 27 : Robert Remain, bameau du Bois. — Du 28 : . Albert Lemercicr, rue Dubocage. P bhcat ons de mariage. — Du 10 avril : AndréErr.est Leioup,livreur a Bléville, et Marie-Joséptuno Sorol, cuisinière au flavro. Pècès. — Du 18 avril : Louise Toutain, veuva Romarv, 29 ans, ssns profession, rue Jean-Dilnbaye. — Du 19 ; Jacques Verdière, 69 ans, saus profession, rue de la République.—Du21: Déhrii, mort-né (mascnlin). — Du 29: Albert Lecnircict" I jour, rue Duboeage. Grayille-Sainte-Honorine Arrtstabon pour mendiclté.— Les non)mós Eugèue Rose, 18ans, chorbonnier, né a Ssnvic, et Aimé Duflot,19ans, né a Denain. ont été srrètés routa Nationale au moment oü ils mendiaient dans une boutangerie. Amenés a la caserne ils ont élé enfermés ati vloion cn attendant leur transfwt au Havre oü ils seront mis a la disposition du Parquet. Harfleur Plaints. — Mme Leroux, demeurant rue des Cent Quatre, a porté plaiale a la gendarmetie d'Hailleur conlre une de ses voisines, MmeBaillobay, qui, jeudi dernier, l'aurait insullée. 61moBaillobayinterrogèe a déciarè que la plsignante l'avait provoquée en lui jetaat de l'eaa alors qu'elle lavait le ruisseau. Arrestntiond'un Vagebond.— La gendarmerie 4 mis en état d'arrestauon, dimanche dernier, vers cinq heures du soir. Charles-Jean-BaptisleLeroux. né a Viilers-Ecalle(Seine-lnférieure),le 18décembre 1887,sans domicile fixe. Leroux a été incuipé de vagabondage,ne possédant aucune ressou-ce, ni papiers, et conduit an Havre, pour être mis a la disposition de 51.le pro¬ cureur ae la République. ON TROUVE LEPETITHAVRE4Paris tlahue nmnmnau AOS, rue St-Lamre, (Immoubltdof HOTELTEft 90S Le Petit Hawe — Mercredi6 Mai1914 canots de Trouville et a été condamné a Pontl'Evéque, pourvol, a plusieurs mois de prison, La gendarmerie maritime a ouvert une enquête et recherche activement eet écumeur de canots. Accident. — Jules Cuvilliez, aeé de 37 ans, jour nalier, lu9, rue des Prés, employé aux travaux de dragage de 1'entreprise Decloedt, a été, en Grant sur un cable, profondément piqué par un lil cassé,a l'arliculation de Ia basede l'index gauche. Le docteur Klein lui a present quinze jours do rcpos. Saint-Léonard Soeiété Excupsionniste e( Matinees Fursy — Le nouveau litre de Ia Soeiété a étó digrteinent inauguré, dimanche dernier, par le succès obtenu par la sortie du Lait de Mai, pre¬ mière excursion de la saison. 133 personnes se trouvaient réunies et pendant le déjeuner copieux et des mieux compose, qui fut servi a Bouelles, Fentraio et la plus tranche cordialRé n'ont cessé de rtgner. Le temps avait bicn voulu semetire de la partio et la matinee a paru courte aux joyux excursionnistes. En so séparant it midi, les soeiétaircs se sont donoé rendez-vous pour la proebaine excursion le 7 juin a Fecamp. Agression. — Nous avons relate dernièrement regression dont fut victime Mare G.. , de Fécamp, le dimanche 2ö avril, sur le terriioire do la commune de Saint-Léonard. Le gendarmo Laporte, chargé de faire une en¬ quête, après avoir inlorrogé de nombreuses per¬ sonnes qui avaient été vues circulant sur le territoire de Saint-Léonard, le soir des elections, et suivi piusieurs pistes, vient d'établir que le coupable est un nomuré Gaston-IIenri Dufresne, agé de 23 ans, domeslique b Saint-Léonard, qui avait égaré les recherches en declarant avoir trouvé une fourrure. It a du roste avoué êlre ie coupab!e et aUriiiue son acte a un excès de boisson. Mme G.'.. a reconnu Dufresne comme son sgresseur. Le parquet du Havre a été saisi dc cette aflatre. Cerele Musical Havrais. — Repetition gérale sour concert. Communication. — Présenco obligatoire. Union Vélocipédique Havraise. — Reunion générale le 7 mai, a 8 b 1/2 du soir, au siège soOrdre du jour : Lecture du procés-verbal de la dernicre réunion ; Gompte rendu sortie Gonnevilie ; Compto rendu course Vitesse ; Gompte rendu réuniöns du Comité ; Sortie tie 2 jours sur Brionne ; Projet d'assuranco. EKJGE2 ^ LE VERITABLE ECOLE PIGIER 75 - BOULEVARD DE STRASBOURG - 75 LANGUES VIVANTES Conversation - Cours Gommerciaux STENOGRAPH IE A LA MACHINE <§ommunieatiosis <§ivgrse$ Comité den Fêtes du qnartler Thiers. — Le Coalite Thiers rappeito a MM. les Foratns actueilement sur noire piace qu'ils doivent saus re¬ tard adresser leurs dsmandes a M. le président des fétes du quartier Thiers. Nous les engagcons d'aulant plus vivement quo les demandes parvenues sont fort nombreuses. Comité des Fêtes du Quartier de Ia Cité Couriois. — l.es membres du Comité des fêtes öu ü juiliet 1913, MM. les cornmcreants et habi¬ tants du quartier sont informés qua la 2» réunion, nour rendre les comptes 1913 et former le Comité I9ii, aura lieu vendredi procbain, a 8 h. 30 du soir, chez M. Avonel, boulevard Amiral ihmchcz, 132 Passé calte dsle, le Comité do l'année 1913 considère son devoir rempti et nc fera aucua au¬ tre appel a des dates uttérieures. tgulletindê§<£ociété$ Soeiété Mutuelle <le Prévoyance des Kinployés ti« Con\;cterce, au siège sosiat, 8, rae C*iigay. — Tiléphons n° 223. MM.les Membres de la Sociétö sont informés j que Tinüumation de Monsieur Louis TKIKRRY Jf emlire stagiaire de la Soeiété aura lieu le jeudi 7 courant, a quinze heures 1 elOn™e'reunira Thiers, 86. au domicile mortuaire, rue | j SANS AUCUN PRÉNOIV1 REFUSES fes mammons ïïx» Federation Rêgiona'e Havraise d?s PHites A.— Le concours organise a Tourueville a donnfó to ctassement saivant : 1" Lesaout, BAM31 p. ; 2* Morlier BAMet Lohlond BAM28 p. : 4« Lebas BAMct Touqa'e BAM27 p. ; 6» Loruz BAMet Leroy BAM, 26 p. ; 8' LoronvUlois BAMet Peltier A d'Harlleur, 23 p. : 10» Drouden, A Leblomt, Ruby A d'Har¬ lleur et Ronaud A .1Macé Sanvic. 23 p. ; 13» r»uboc A. B A M, Levasseur A Flaubert ct Dufour PL GG, 22 p. Ges 13 tsuréats soDt prifis de venir a la dislribulion des prix qui aura lieu dimanche procbain a It b. 30, terrain ciu PL11, 34, rue d'Arcole. "SfacMiasg Snort NavMque du Havre. — Série des 4 me¬ tres : Le dimanche 10 mai, a ö heurcs, devant !e lo¬ cal du Sport Nautique, course des canols do !a série des 4 metres. Avertissement : 3 b. SO; attention : 8 li. 58 ; depart ; 0 heures. Soeiété Amicale des Champenois, Uorrains et Aisacieus. — Réunion mensuelle au¬ jourd'bui mercredi, dans les salons de la Grande Taverne. Au cours de cetle réunion, date ceriaine sera prise pour ï'assetnblèe générale aunuelle. Ecoie Moderne de SSandoline. — Réunion générale obligatoire, domain jeudi, it 8 h. 1/2 préeiscs du soir, salie B. Lts parents des élèves sout invités. A Tissue de la réunioa, audition de 1Estudtantina. du PETIT HAVRE l" Course. — 9 pait. Uin»c Litk) Pelargonium 2" Course. — 9 part. LTmpétueux Cendre de Chène Libérateur 3" Course. — 14 part. Tanit II Sifius 11 Isinboy 4* Course. — 6 part. NomenoéJ Quorum II 5' Course. — 9 part. Daladeur II Valise de Voyage La Topaze 6» Course. — 9 pan Sinaï Léon ill Le Polache, 24 K0 33 50 13 — f — — 34*80' 1» 17 50 r' 132 - 3' — 27 30 76 30 90 50 31 1( i( 33 89 23 — 33 — 18 — 11 lt 289 89 40 — 104 50 if 17 — f 32— 1, 33 - 13 50 23 14 — 17 - P AGNOSTICS CE LA Ktr'ESSE JLe Tremblny, <5 ïflwi PRIX BIJOU Paris-Soort Le Jockey La Liberie Iskmder, Souk. Souk, tskander. Tskander, Souk. Soeiété Franklin de Secours Mntnels. — MM. les membros du Conseii d'administration sont priés d'assister a la proahaiue réunion de bureau qui aura lieu le jeudi 7 courant, a 8 h. 1/2 du soir, au siège de la soeiété. Dans sa réunion générale du 25 avril, Ia Soeiéle a conslitué son bureau comme soit : MM. T Leclerc, président honoraire fondstettr ; Léon Gaudin, président ; Louis Vincent et Gaston Guérard, vice-présidents : Albert Guignochaul, secrétaire ; Renö Ozenne, secrétaire adjoint ; Ju¬ les Baudouin, trésorier ; Léon Tasserie, trésoricradjoint. Paris-Sport Le Jockey La Liberie Primavera. Reode/. Vous. Rendezvous, Primavera. Rendez vous, Primavera. Paris-Soort Le Jockey La ■Liberté Rottdc-z Vous, J'En Vcux. Ren tcz Vous, J'En Veux. Rcndez Vous, Aïtumeur. Paris-Svort Le Joclceu La Liberie Ec. üuryes, Golden Sirup. Ec. Duryea, Golden Sirup. Ec. Duryea, Ec. Decaz;s. La Fratêrnelle Laïqae. — Perception des cotisations demain 7 courant, de 10 heures a ii li. 1/2, Cerele Franklin, salie 8. Paris-Soort Le Jockey La, Liberté Armada, Gslbeuse II. Armada, L'Adorable. Armada, La Pèpite. La Branche de Gui (Soeiété chorale mixte). Siège social, 4,rue Lemaistre — Ce soir, a 8 h. 3/4 trés précises, cours de solfège et de chant. — Cboeurs. Paris-Svort Le Jockey La Liberté Lucknow, Vangoycn Lucknow, Natdi llaodta. Lucknow, Vangoycn. mix VEltNEliH, rr.IX rmx 5 fp. 93 DO !a — U 30- fi 19 — 13 19 50 10 Cerele d'Etudes Musicaies. — Ce soir, a 8 h. 45 précises, repetition générale. Paiement des cotisations. se trouvait en face d'un de ces hommesqui réussissenta devinerpavfoisles chosesies plus secrètesa un regard, a un geste, a un accent. — Madamela duchessede Ponte-Novo? — Je vous pric de m'excuser, dit-elle tout de suiteen montrantun siègea l'agent, dc vousavoir dérangé au milieu dc vosre¬ Grand Roman Contemporain cherches,et je vous suis trés reconnaissante detre venu si vite ü moi,Monsieur,a moi. . . Maisje suis. . . commentvous expiiquer cela, Monsieur Sorguet... Mon Dieu! il faut que je vousl'avoue,quoique cc ne soit pas un trés joli sentiment: je suis jalousequand il s'agit de mes orphelines, et si Tuned'elles se trouve soudain dansl'ennui, il m'est véritablementdésaPuis, la gorgepleinc de larmes: gréable que ce soit d'autres que moi qui — Oh ! pauvrecher petit, commeil faut s'occupentd'elle. . . Voila pourquoi il me que jc trouveen inoi de nouveauxtrésors semble que cette Mademoiselle Pauline dc teiidressepour toi1 comme il faut que Bouchum'appartient, et pourquoi j'ai déjc détruiseen ton sang tout ce qui peut y siré vous voir immédiatement,avant que avoir été mis de mauvais! que tu ne rcstes vous ayezprocédé a l'arrestation de son plus que le filsde ta choremaman,laquelle père. Cettepauvrepetiteva se trouverdans me valait, certes, et que je pleure comme la plus elïroyabledes situations, ainsi que une soeur! sa soeur. . . Elle sanglota un long moment. Mais, Elle était si maitrcsse d'elle qu'elle poucommeon frappait a.sa porte, eile rcfou- vait prononcerd'un ton presquedégagéces Jait instantanément.ses larmes,et. avant deux mots: « Sa soeur!. . . » dc répondre,elle avait mis le leu a celte Sa fille1 leltre. L'agent Sorguet eut un geste trés en¬ *** tendu. — On connaitMadamela duchesse! déLorsque,deux minutesplus tard, l'agent Sorguet, fut introduit auprès d'elle, elle clara-t-il. Car la policevoyez-vous,Mada¬ avait repris ce masque étonnant derrière me la duchesse, fréquente presque autant lequei personaen'avaitjamais rien décou- la misèreque le crime : c'est voisin.. . Et quand on touche a la misèrea Paris, on vert. Elledevaitle conserveravecencoreplus rencontre è peu prés toujours l'action de Madamela duchesse... Ce ae sera pas la dc vigueur, de téuacilé,au momentoü Feuilleton prcslaif: de grande parfumerie, est neutre, sans excès d'aicali ; onctueux, adoucissant. II est vendu partout ou l'on achète Ia Crème Malacerne : Grands Magasins, Parfumeries, Phar¬ macies, Coiffeurs, etc., 1.25 le pain. BULLETIN I U i Le oius Grana Ghoix TISSANDIER FINANCIER Parts. 5 mai. irrégulier par suite des places étran- NoavellesDiverses A coups da tranchet C'est pour one cause trés follio, a c« qu'ont assuró plusieurs téraoins, quo lundi dans io quartier de IWllevilie, A Paris, une discus¬ sion violente a éclaté cntre cordooniers, a ia suite d e laqueiie I'un d'eux a été grievemsrU blossö d'un coup de tranchet duns Ja région du coeur. Au numéro i9 de la rne Lesnge est sitnée line succursale de ia « Beilev; noise », qui com p; end piusieurs ateliers réservés a uiver. es corporations. Plusieurs ouvriers cor¬ don niers y travaiilaient, JorsqueTun d'eus, Louis Casiaing, domicilié 82, rue Jjuiian-L'icroix, se plaignit qu'une feneire lüt laissee on verte. II se leva et vonlut la termer. Mais un de ses camurades, Jules Gréaer, dstneurant 83, rue de Belleville, s'y opposa. Une vive dis¬ pute s'ensuivit, et les deux homines se dressérent face a face, prèts it en venir aux mains. Tout é coup, fou de rage, Caslaing s'arma d'un tranchet et, sb précipitant sar Crélier, le frappe violemmoni a la poi trine. Gelui-ci, surpris par cette attaque subite, n'avait pas eu le temps de se metuo sur ses gardes ; il tomba a ia ren verse dans les bras de ses camarades épouvantés, qui n 'avaient pu iaterve >ir. Pendant qn'on désarmait lo menrtrier, Io blessé fut rapidement transporté a l'iiöpital Tenon, oil son état a étó jugè trés grave. Caataing, conduit an comnnssariat du quar¬ tier, a déclaró avoir agi en ótat de legitime défense. Comment 1jsrlirfia 68janr.EisjcWtes Toiristes |Q5« Eiitrcivtninittqiiipées a 1w^ • :Jt,A..r.AAAAA.I.A.S.J.A^ A l'iiSjtriBierie i\>, Journal LE 15, «I 4|' KOS HAVRE POS'TSKEILE LETTRES DS MARIAGS BlUels rf« Nitissmica # p. OECES Du o mai. — Victor LEFEBVRE, 54 arts, ftéhitant. qu-ii Gttsimir Detavlgne, 5 ; Gontran MEYER, 41 ans, "mployé de commerce, quni Video q. 13 ; Arthur LEBOUGHER,52 ans, journaifer, rue de la Gaffe, 17 ; Marcel GOGO,2 ntols, qoat Videcoq, 17 ; Léonce HAULARD,71 arts, employé, rue de la Bourse, 6 ; Loais TlitERUY, 14 ans, rue Thiers, 88 ; M-" Maria CESAR, 31 aos, sans prt fession, rue Bazsn, 8 , Marie H-AMON,veuve liard, 79 ans, tans profession, rue de I'Egiise, 10. in p-sso Duval ; Claude DO' O, 26 tins, markt a Pléguien (Cótes-du-Nord) ; Charles LE BRAS, 11 ans, ruo des Etoupières, 8. S'ancien Capitaine chassait !e Lapirs Ceci n'est pas Tin conté. C'est la trés authentique et trés lamentable histoire d'un ancien capitaine des douanes qui, atteint d'une douce folie, et se souvenant de Tarta¬ ria, avait pris les fortifications de Paris pour terrain de chasse, un marchand decacabuettes pour rabatteur, et d'irnagiuaires iapines pour gibier. . . Or done, le sieur Marcala, ancien capitaine de douane snr hi maraaaine, ha¬ bile avenue des Marronniers a Nogent surMarne. Chaque jour, depms quelqae temps, •fl quittait son domicile a l'anbe, Ootté, guêtré, éperonné, accompagné d'nt» narchand de cacahuettes qui portait un r;-' i se rendait sur les lortilications ou di«„ bois de Vincennes. Ouelle ne fat pas, lundi matin, Ia stupefac¬ tion de l'agent Strasias, du dottzètne arron¬ dissement de Paris, quand il aperput, accroupi derrière un tains, non ioin de la Porte Dorée, une manière de chasseur qui semblait ótre é l'aflïtt. — Oue faites-voos lè ? damanda l'agent. — Gluit 1 soullïa le Nemrod, j'tmito Ie chant du lapin. A mon appel, les lapines accourent, ja tire sur elles couirne è ia cible et je fais une belle chasse. Ge disant, ii sorlit un cliat de sa carnassière et prenant é témoin son porïe-carnier, le marchand de cacahuettes, il ajouta simplement : , „ — Je viens de tuer ce lapin pres d'un bas¬ tion . Gonvaincu qu'il se trouvaft en presence d'un déséquilibré, l'agent appréhenda le ca¬ pitaine et le conduisit au commissariat !e plus procbe, d'oü il fut envoyéa l'iniirinerie spéciale du Dépót. LAU-VAY ItÊG.tLIA PilIX 3) Ed do Strasbourg del. 93) VOiTURES den. 35 fr. 0?-" CITIIONSIELLE PJÏ1X NAiSSANCES Du o mai. — René MARIETTE, rue des Reuiperts, 6 ; Roland ROGERET, rue de Norrnandie, 227 ; Odette FLEGGY, rue d'fngouville. 23; Loui-.e COUSIN,rue de la Gaffe, 33 ; Max FOREST, a Sanvie; l.ouise BUN'EL,rue Bourdaloue. S3 ; Emiio GOUBERT,ruo Félix-Faure, 7i ; Barnadeite GÜÉRIN, rue Fiore, 24. Notre marché s'eat montrö des avis moins satisfaisants gères . La Rente francaise, eependant, est résislante et regagno ie cours de so 80 L'Extêrienre espsgnole fiéebit a 88 30, to Tore a 81 83 et ie Sorbe a 81 25. L'ltallen se maintient a 93 93. Les fonds russes s'inserivent : 103 0/0 1891 a "3 40, le 1896. ex-coupoö, a 69 95. le 5 0/0 1%6, ex coupon, i01 23, le i i/2 1969 a 96 SO et le Gonsolidó a 88 ïo. Nos établissements de Crédit sont. hésitanfs. I.a Bsnque do Paris cote 1,605, le Comptoir d'Es compie 1,038, le Credit fonder 894. Ie Credit Lyonnais 1,620, et Ia Soeiété Générale 796. Parmi les chemins fratuj is, le Lyon, ex-cou¬ pon de 37 fr. tcrmine a 1,249 et la Nord a 1,693. Lo Rio-TiDto fsit 1.760, <x-coupon de 41 fr 33. ©«Mgx'ges è. ©xtesa Hard i 5 Mai puix nu bi.avet. — Coursede liaies, it venire aux enebères publiques. — 3,000 fr. — Distance : 3,300 rucires. — i. Minas (F. Williams), a M. Shields. — 2. Litskn (Powers', a M. Dubois. — 3. Pelargonium (J. Bartholomew), au due de Mon¬ tesquieu. Non placés : Canezou, L'ünivors, Bracieux, Cor¬ don Bleu, 'fëgêo, Gars Breton. prix de morg.vt (steeple-chasc). — 4,000 fr. — Distance : 3,two metres — 1. L'Impétueux (A. Gar¬ ter), a M. lames Hennessy. — 2. Gendro de Ghêae (Head), a M. Archdeacon. — 3. Libérateur (J. Bara), a M. Goiittenoire de Toury. Non placés : Astolphe, Galipaux, Angiet, Fruorotio, Bonsoir, Aviation. vnix d'ouessant. — (Course de hairs, handicao, a réclame.") . — 3,000 francs. — Distance : •2SOOmèires. — 1. Tanit It Alaisonnave), au comtedn Verdier. — 2. Strius II (Head), it M. Berg. — 3. Isi.-.boy IA.-V Chapman), a M. Descazeaux. Non placés : Oilskin, Boa'edo Neige V, Sir Peter, Koléab, Gusei, Uliapoal, Ssmarette, Sunplact, Los Oflvos, Marinette V, Libretto. prix or. lVidet. — (Course de haies). — 4,0<"0 francs. — D siance : 2.800 metres. — 1. Nnmenoé (Partridge), a M. de Saint-Alary. — 2. Quorum 11 (Riolfo), a M. Aipbcn-Saivador. — 3. Conserit (Floyd), a M. Oiry. Non placés : Bonheur du Jour, Le Becquet, Agenda. prix QUAxn même (Stcaplc-cbase, handicsp).— IO.OOO fr. — Distance : 3.400 metres. — 1. Uala■ deur it (J. Bara), a M. Gouttenoire do Toury. — 2. Valise de Voyage (Parfrement), a M. Veil-Picard. — 3. La Topaze iBiolfo), a M. llardouin. Non placés : Téléraaquo II, Barbarossa. Prince de Saint-Taurin, Serpenleau, Tenie Lily II, Msxime. pnix de penxmarcu (Steepie-ebase) . — 5.000 fr. — Distance : 3:80:»utètres. — 1. Sinaï (H >wkins). — 2. Léon III (F. Williams). — 3. Le Pota• cha tR. Sattvai). ! Non placés : Lady Fish, Urbaine, Moulières, t Orsacco, Jour do Fèle, Anfelise. Eésultats Pari mutual Prlcuse UTATCIVILDU HAVRE MALACEINE Vélocc-Chtbllavrais. — Programme do mai : Le 10. — Excursion sur Bec-de-Morlagne 188 Idiom.), filler par Fontaine-Ia-Mallet, Citaieau-duBSc. les It's, Menihevitta et Bee-deMortatrne. Retour par Aimouviile, Goderviile, Barfleur. Le 17. — Championnat de Vitesse : 3 prix. Les 31 et l«juin (Pentecöto). — Excursion offlcicile sur Bayeux, allocation liO francs. Le 31. — Trouville, Ouistrehaai, la Dêlivrande, Fontaine-Henry, Thaon, Greully, Bayeux. Le 1™juin. — Cour Mesnil-Mauger, Crèvecoiur, Cambromor, St-Arnouit, Trouviile. Les membres du TCF seront admis a partioiper a ces sorties. CHEVABX Association des Anciens Elèvesdel'Ecola «upéricarc de Commerce. — Service de Pla¬ cement. — M.Gustavo Alexandre, secrétaire, et M. Georges Mundier Fils, trésorier del'Associalton, se tiennent en Bourse a la disposition des camarades qui sont a la recherche de psvees ,ls pi endront cole de leurs demandes et leur fourniront les tnuications nécessaires. LE SAVON DE TOILETTE a neat heares du soir, 'aa siègo social, 14, rue Berihelot. Ordre tin joar : Inscription et organisation da la course. Demiude3 de licences. Questions diverses. ZUT — Parlez surtout avee toute la clarté femmeavee laquelle il vit. . . et aujires de qui. . . il est trés probablequ'il aura amené possible. — Bref,des camaradesfi moi l'ont sure- ses filies ?. . • — La femmeaveelaqueljeil vit, Madame ment vu aux courses... a Longehamp.. . Et, a ee moment,il était bien tel qu'on i'a- la duchesse?. . . Maisil doit y en avoir une vait toujours connu, se donnant des airs demi-douzaine.. . d'olïicicr.. . mais dans une cpurée» noi¬ — Ah! fit la duchesseun peu glacé©. — (Tatoujours été un coureur. . . Nous re... C'est aussi le signalement de lïnvidu qui a réussi a vendrea Londres une covmaissonstout de mème la principale, partie des obligationsvoléesa sa femme.. . une MadameVerneuil, avee qui ii a filé Et comme,quelquesjours plus tard, il ar- autrefois cieParis... Tous ses camarades rivait su-bitcmenta Paris, ayant fait peau de coursesétaient au courant de la chose... ncuvc. il y a déja deschancespour que ce Est-ce chez elle, par elle qu'on le pin, „ , soit lui l'assasski.. . commeil se peut trés cera?... — Enfin... on l'a relrouvee, cette malbien aussi qu'il n'ait été que l'indicateur heureuse? ducoup... — Nous erovons avoir son adresse : — Cependant... vousavez reirouvé ses Sweet-Street,34. . . oü elle ferait un assez traces a Londresdepuis ?. . . — On les a retrouvées... on les a re- triste métier, Madamela duchesse.. . Et, si trouvées.. . sans les retrouver, Madamela- c'était chez elle, vraiment, qu'Hippolyte . aurait amené ses lilies. . . Ah ! duchesse.. . Car, voyez-vous,en ce pays-ei Bouchu.. plus qu'en aucun autre, on défend beau- ce^erait vraimentabominable.. . ef ce secouptrop les voleurs ; et l'on ne sait ja¬ rait une vraie hénedictiondu bon Dieu que mais si l'on vousdonnedes renseignements Madamela duchesse les en enlèvele plus vrais ou faux, quand il s'agit de crimes tot possible.. . conitnissur le continent.Ce qui est proba¬ — Vous ne voulez pas dire. Monsieur ble, c'est qu'Hippolyte Bouchu se trouve Sorguet?. . . interrompitia duchesse inca¬ . en Angieterre.. . encore plus probable pablede dominerson angoisse. 11haussa tristementles épauies et fi. siqu'il est a Londresou dans les environs. Et commeil ne peut pas ne pas se sav-oir gne que « oui », que c'était bien ee qu il soupeonnéa l'heure qu'il est. . . s'il est in¬ voulait dire. nocent,il devraitse présenterde lui-même — Oh ! les misérahles !... prononqa a la justice... S'il ne l'a pas lait d'ici sourdement la duchesse, Mais il faut agir deux ou troisjours, sa culpabilité n'olfrira tout de suite alors. . . il faut organiser ce soir mème.. . immédiatement.. . une desplus de doute pour*nous. — Ainsi, murmurala duchesse,Ia gorge cente de police dans cette maison...iI un peu serrée, vous ne savezpas. . . oü on faut... il faut... — Sivouscroyetque ?a marche comme pourrait le trouver exactement ?... Je cro.vaisaue l'on connaissait l'adressede la cela,Madamela dua&esseI... surtouteu Au- Specialité d« Denil A L'ORPHELINE, 13 15, rue Thiers Beuil complet en l'i heorea Sar demaaao, uai. .^rsünne i:::tièe aa seatl porte a taoisir a ddmtcile TELEPHONE S3 ■AP"VeuosTHicRRYsa mere ; të et M>-°A. CATELMN. nêe THIERRY,IYI et 0" Albert THIERRYet leur Fits, AJ et M RECHERet leurs Eofants, M. et Al'" Robert RtXÈS et tsnrs Enfnnts,At et Al" LARPEet tsurs En fants, sos (jBcks. taqies, cousins et cousinet ; K" VentteHenri HEXES, sn grand'tante ; 9. Henri REXÈS,sort cousin ; LesParents st les Amis. Ont la dauieur de vous faire pi.rt deia perie crneile qu'iis viennent d'éprouver en la per sonne de Louis-Jules-Franck THIERRY décédö Ie maról 3 mai l'Ht. dans sa 14»année, mttni des sacrements de l'Eglise. Et vous p.ientde bion voatoir assister a ses convoi, service ct inhumation qui auront liett le j<utii 7 mai, a 3 h. 1/2 du soir, en l'églist: -ainl-Micht't sa paroisse. On se rêunira au domicile morluaire, 86, ruc Thiers. Friss Binpen? leRep§s 5am Aae! Une Messesera .ht> le otndredi 8 cu imnt , a 7 M"u-es da matin, pour le repos de t'dme du 'léjunt. XIne sera pasanvoyé de lettres de fairepart, lo présent av s en tenant lion. ,V" VeuosLusie LEFÈYRE,nés A10ÜLIH;tóu' SuzanneLEFÈYRE ; 9. et M"' RaouiABRARDer leurs Enfants, IH«>AtAmti et sa Demoiseilt ; ff." YsuoeLELIÈVREet ses Enfants ; M Andre LEHAUX; Les Families MÉRiEü'L T, BL/E, LA/.IY; Parents et Amis. Ont ta dotiiour de vous faire part de Ia perie cruelle qu'iis Viennent d'éprouver en la per¬ sonae do MonsieurVictcr-A&olpheLEFÈVRE décérló le 4 mai 1914, a il heures du soir, a rage de 55 ans. Et to s prient de bien vouloir assister a ses convoi, service ct inhumation, qui auront lieu aujourd'bui 6 courant, a 9 heures du matin, en i'église Sainte Catherine. On se réunira au domioiie mortuaire, 5. quai Casimir-Delavigno, au Havre, oü ia levée du corps aura lieu a 7 heures Bateau parlanl du Havre d 7 h 45. II ne sera pas onvoyó de lettres d'invitation, le présent avis en tenant lieu. IS"» Maria HAULARO ; IS" oeuoe Ernest HAU¬ LARD; Ai"' Yoome HAULARO . IS"' Babrlells et Al LéonceHAULARO;los families CARTIER.LAU RENT et MASSARDprient leurs amis et conndissance; de voulcir bien vouloir assister aux convoi, service et inhumaiion de Monsieur Léonce HAULARD Agent d la C' d'Assurances LA FRANCE décédé a l'agc da 71 ans, qui auront lieu le jeudi. 7 courant, a 8 b 1/2 du malin, en ia cbapelte de l'Hospiee Gétiéral oü le convoi se réunira. Le présent avis tiendra lieu do lettre d'invitation. 1 (7531Z) M. SosthsneEOOUARO ; M et 01" Maur.eeEOOUARO ; M. Albert EOOUARO ; M"' YoonneEOOUARO ; Les Fnmil es EOOUARO, SEMINEL.BOBÊE,LAFONT,BOUiLLAHO,CAILLARD,GUERIH,RUMMN, CAPROHettesAmis, Remercient les personnes qui ont bien vouIti assister aux convoi, service et inhuma¬ iion de Madame A!ix EDOUARD Nés ROULET Le Petit Havre-Mm Metered!6 HU{Ml 8 h seenseurs desservent n os cinq Etages de vento gem-$ei&Yiers si gslmMê Téléphonel&i]^^lï ■» Reykjavik,3 mai. — Sont arrivés lel : MaritThèrèse,cap. Duboa,aveo 150-0 mornea ; Mauritame, cap. Morgan,avec 5.too moruea ; BlisubetU fchal. de Boulogne), avec 6,000monies : NordCaper chal. de Boulogne) et Afrique tcnsl. de Boulogne); ces deux dernlers out tres peu pêché. Mnrégraphe PLURl BEI BASSEEU Leverdu Solell. . >eÏCüï rasi_fi.ua Sjsua «tHëiueub March êeua Pahwt Ahasu ka9i 0* <tj'i /: Grande Mise enVente du]eudi 7Mai Tuoonn véritr.bleorigine, marque orange I UbbUf Largeur ss c/m. Print® aprneau Hés sotiple, boutons uurilö nacre, tan, cuir, drap, beige pour dames. | «n La paire I AU o in Le mètre JL IU Tl IOO/in veritable origine, marque orange» lUooul quniué pius belle. ri /(fY Largeur 85c/m. Le mètre JL 'rU marque noire /. r)f\ Le mètre *+ JU Port noire Qn Le metre H* OU Suède et Chevreau 4 50 Eayonsde B0N1TETERIE Memarquable FIN DE SÉ.RIE Pfia « MIREILLE », coton noir, UUo daun-s, mailles fortes ou i fines. Usage garanti. 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Du 33 au 41. o on C/-aPflte5UOieS'teiateSBOGUeYourS I " La paire O OU da DMn»iu 8, Place Carnot, 8 N.-D. de-!a-Oard« — BB Mai Mercredi. . 6 7 45 16 15 Jeudl 7 8 » 17 15 Vendredi.. 8 8 s 18 Mai Mercredi.. 6 —— » 9 45 18 30 10 30 19 15 —- THOUVILLK 7 20 16 20 » 15 19 li 7 7 20 17 15 9 15 19 ■> —— vendredi.. 8 7 20 18 9 15 Kemereientles personnes qui out bien voulu assister aux convoi, service et inhuma¬ tion de Mercredi. . 6 Jeudi » HAVRE 6 » 1 , 6 15 1 6 30 AUX YACHTS Adomne-M&rle Dinorah Simone Heoé Lista La Perls QVAI ET —_ St-Servan FORMES S te-Adressa nené-Warthe Bassin Doek Oranje-Nassau Bacchus Schwarzwald Garaveli&S Bassin JBellot Djibouti Afrique PREAI1ÈRE Economique Framjois-Arago 6RAND-THÊATRE DUHAVRENOUVELLES MAR1TIMES DirectionA.viGüiRa Le st. fr. St-Miehelest parti d'Alger, le 4 mai, p. Bone. Le st. fr. St-Loui»,ven. d'Alicente, est arr. a Béne le 3 mai. THAI Le st. fr Lvwsiane,ven. de N.-York,est arr. 6 a mai. Opéra en qualre actes et six tableaux, musique Bordeauxle Le st. fr. Basse-Terre.all.des Antilles au Havre, de Massenet. est arr. a Bordeauxle 4 mai. Le st. fr. Amral-Maqonest parti de Bordeaux, le 4 mai, p Uniphoag. Le st. fr. Cara'ibe,all. des Antilles a Nantes et Havre, est rep. de Panillac, le 4 mai, a II h Böslevfifd de Siiaaboarsf Le st. fr. Sephora-Worms,all. de Bordeaux au A.VJJTO SJ m Havre, est arr. i La Pailice, le 3 mai. Le st. fr. St-Vincent,ven. d'Alicante,est arr. 4 Oran le 3 mai. Le st. fr. Guadeloupe,all. du Havre a Colon,a été signalé 4 St-Miehelie 3 mai. A 8 ft. a/4, Seiria Lo st. fr. Europe, all. de Matadi 4 Bordeaux et latlnée t KltïA.VCHES et JEÏiOIS ft 3 b. Hav e, est arr. a Tabou le 4 mai. Lo st. fr. Formosa, all. du Havre 4 Matadi,est arr. a Tabou ie 4 mai. Le st. fr. Amirel-Duperrè. all. du Havre, etc., BAG A. VZViPjETJiR au Gabon, est arr. é Tenériffete 4 mai. Le st. fr. Viile-d'Alger, ven. du Havre,est passé Kctre QU1LLEBËUF et FORT-J^ROMB 4 Barry Island ie 3 mai. Le st. fr. Colbeit,ven. de Liverpool et Havre, Alois de Mai est arr. a Callaole 4 mai. Prem er depart de Quiilebenf a 6 henrea dn matin. Le st. fr. St-Pierre est parti de Rouen Ie 3 mai Uernltr depart da Quillebeuf a 7 hearts du eolr. pour Oran et Alger. vretjlcr a.- Port-Jérome a 6 h. 30 du matin ; deraiei Le st. fr. Pemerol, ven. de Rouen, est arr. a lêpart de Port-Jêróuie & 7 b. 30 du soir. Bordetux Ie 4 mai. l'exeeption des arrêti ci-dessoui indiquét Le st. fr. Amiral-Olry est parti de MarseilleIe 8. arr. de 4 h 03 a 6b 05. (0, Ait de 7 h »n4 9h nn. 3 m«i a 6 h. poor Hayre et Duiuierque, Dern.dép. 4 7 n. i0s.er Le st. fr. Si-Jac.quss,ven. de Bóae, est arr. a 1, 1" dêpart 4 6 b. 40 m t Arr. da 5 h r» 4 7 h na. tl. arr. do 7 h CO a 9 50 Alicante le 3 mai. 2 Arr. de 3 35 10 35 8, rr départ 4 7 ti. 30 mat Le st. fr. Flortde. ven. du Havre, est arr. 4 NewIt Arr. do 9 h 10 4 11 h 20 l>en>.dêp. 5 * EO«ui;. 14 Arr. de 10 n» a 12 u. no York le 2 mai a 10b. », Arr. do 6 !• 154 8 15 15, Fas d'arrêt. Lo st. fr La-Touraineest parti de New-York le Deru. dép.4 6 b. 35 solt 16, dito 2 mai pour lo Havre. Le st. fr. Pèrou, all. de Colon 4 Bordeaux et Pendant les henrea d'arrêt, le seivtói dei TOTlgenri Bnraanx | 8 !j. ».» i Jeudl 7 Mai Inlril-ittrEilkiri] St Luc St *arc DEMANDE PROffiSHIl DEBOXE CINÉMA OMNIA PITHÉ PEINTRE ENVOITURES Soir %PA y2 A F,PA X * '/,PV % X '/, % %. yt '/» % 84 '/, PV «4 83 % X 84 83 X X 83 '2 y, x 83 81 XPA U 78 •/, A 78 77% A 76 y, PV 76 ü X 78 % X 76 % X 76 % X DCS HALLAS 52' AVI8 Suivant acte s, s. p., M. Louis I.EBOrLAlVGE« a vendu a M I-éon BELIlEBITson fords de commerce Chaussures-Bonneterle, qu'il exploiie ENè'JT IH5HANIIÉ an Havre, 24, rue Fréderick-Leruahre. Prise de possession 13mai prochain. Bue J.-J.-Ronsseau,38,chez M.Emile DELACROIX Election de domicile au fonds vendu. I734IZ) 27 6 1707ÖZ) vendredi soir. dans les environs de la Caissed'ép*rgne.un 8AC Pi11 IT P la Jaquette de Barnes litre Fix ©t Arseilt, IJ HU som ilemandés Pierre bl-ue au Fermoir A la Draperie d'Elbenl, 37, boulevard Le rapporter au bureau du journal. — Bonne dè Strasbourg. (7ö03j récomp■use. (7328 % X - A KPV V, X % PA Havre, estrep.deiaPoiate-4-Pitre le| mai| ISb. Mal.. Juin Juil et iOÜI Septembre Octobre Novembre Décembre lapvier Février .......... Mars Avril. LAINES UN ES Prima I.-l. Et. uur. 189 0 Prêc. Matin 21*. A3 50 89 - 59 - 58 7i Ü3 50 5 2'. 59 35 Ï9 — !13 58 35 58 25 58 58 60 .58 iO 58 2 69 69 59 «0 60 60 60 60 50 75 25 '.0 59 59 59 60 60 60 69 50 50 (6 25 50 f.9 li¬ lii es 25 5» 50 59 76 61 - -60 6-J - Uiz J 6 50 «02 ■3.4 50 t02 50 A LA BOULE D'OR '7537) 01mmi unJeuneHomms Blojclelij abandonnè» MUrSlf8. unJeuneHomme f JEUHEHOMME -■ LADAVE E,\DEVIL un Jeune Homme [ S0CIÉTÉ IJIPOKTASiTE unjeuneHomme PETITJEUNE HGMME Prédtdaste (hfttnre PrieS-iant' BLES Courant. Prochain (g 25 «8 25 — — 18 25 — — 18 calmc PAR lNdS 27 75 27 80 27 9» 27 75 27 80 27 90 Mal Juin » de Mai. Juil -*o6t t ae'nler TsndBjoc» ON iTJAtqr» rrésëojjrits CiiTfcira VrihêSRrilt - ClffKira" 35 40 36 40 Lift Cloture PrSeaaaate Cloture — 76 75 50 76 50 61 25 50 75 60 !5 50 76 - 61 75 74 f0 75 50 74 75 75 75 62 62 50 61 50 62 74 7 74 50 75 50 62 75 63 - f>2 50 — 75 25 75 50 '5 75 25 64 25 64 50 63 75 64 '4 6') 75 50 74 50 73 50 64 75 65 -annc wsBft me SPIRIT U8HX PrêeMenta 3.r« Vencieuse JEUNE HOMHE 010ER11IE 0: 14 a 1 _ 32 5U .32 75 Xull.-Aoflt 4 Oeralei O dOctob » d'Octoi t de Nov. Tendance Sueres. 4 68 50. 33 (1 5d 41 41 23 42 il 50 4> 75 33 25 41 7542 4t 75 41 75 42 25 41 75 Stocx2/8:10 2785»32 12 4l 73 42 loorde caltaa de suit" Auioui'd'hui Mercretli, a 2 ht iiros. au Havr- , Hdtel des Ventes. 62 64, rue Victor-Hugo, VENTE PUBLIQUE de : Au CimpUnt. : le matin de 9 heures a midi LOUTER D AVt Tï AM ayec i«rdin, vne rA ViLLUIV sur U mer, 9 pièces, boauderie, eau. gaz, électri'cite. Loeaii>nT,400 fr. S'adr. chez M.DrCOMBEJEAN, 27, rue du üocteur- Couaiure. (7307z) m 01V11IER COBOOIIIR pour la réparsiion. S'adresser 43, rue Gasimir-Périer. (75 7z) CO ra BOURSE DE PARIS au COMPTANT du YaleursDiverses 5 Mai 191 4 an COMPTANT C. Pm«d. 9. raars 537 «6 70 Paf 3 O/O Frani;ats. . . . 1863 4 % 86 55 397 — 3 O/O Amortissab. n 25 — 1871 3 % 92 23 106 - 54 actions 519 60 1873 4 % Öi8 — — 1876 4 % .... Banque ae France.. 4.650 - 4.650 311 „0 — 1892 2 % — de Paris. . . 1 61 — 4.693 90 75 Compt. d'Eseoinpte 1.038 — i.038 — - 54 31 — ^7 890 — 1894-96 2 54 . . Crédit Fonaer 84 75 i 615 Créait Lvonnais 1.630 339 — 800 — 1898 2 %'. 800 — SoeióLé üènéraie... 100 75 yiö — 930 — Est 50Ul"r. t. p '/♦ 3.6 1.28a - 1.251 — 1899 2 % P.-L.-M 91 *5 1.105 Midi 500 tr. t. p.... 1 tl. — - 54 381 50 1904 4 y, Nord 400 fr. t. p... 1 60S - 1» 700 79 50 Orlèans 300 tr. t. p. 1.301 - 1.240 — 1/5 353 75 1903 2 \ Onest 500 fr. t. p. .. 862 — 860 — — - — - - 54 36 Transatlantique — 151 342 — 96 95 — Messagenes Marit.. 1910 2 % 167 75 732 723 Métanx 360 -T715 715 — Bolèo 88 25 4.9*0 — 4 920 — Suez, actions - 54' 257 50 2.210 - 2.2SU - 1912 3 % Suez ipartsi Suez (Sociêtê civ.).. 3.570 — 3.5'G - Foncières 1879 3 %. 497 — 88 — 18833.lots 397 88 23 Russe 4 % cousol.. 73 50 — 18852,60. 3S 50 1891.... 73 20 3 89 — 70 — 3 % 1896.... *0 85 403 — 1906. ... 103 0 I0i 446 y7 — 19033 19U9. ... 97 248 50 88 50 — 19Ö93 1867/69. 91 440 — 88 50 Commun.18'9 2, . 88 : ü 1880. ... 491 75 86 85 — 18803 \. 1839.... »6 80 8ö 70 — 18913 %. 3218902«3» 86 50 86 *0 — 18922,60..387 — 1893.... 86 40 91 40 — 18992,60..389 Interieur 4 % 1894.. 91 50 — 19063 %. 448 415 -. lia Bons Panama — 19123 %. 335 — Trétileriedu Havre. 240 — 23, 50 — 1912 I.HJi 249 — 650 654 50 Compag. Havratse. 537 — 397 75 104 50 51-, — 516 3 2 50 90 — 303 S3 50 359 73 ■00 75 337 iO 89 50 383 79 — 332 86 30 335 «5 '.66 — 360 89 -257 50 490 393 — 387 50 89 — 405 — 443 50 24) — 442 — 49» 75 350 «5 387 — 388 — i5u — SJ3 — 249 — t. httM. fi. CQBH obligations z zU i Sik = SS I S8 Argenterie, Montres, Bijoux,Diamants EXPOSITION A DEMANDE XRNTXS Successionde K DésirêLETSLLISB &HB Biensa Louer Travail a la maré 011a la jouruéeassuré. P. ,x.Ofr 80.Entreprise ZSCHOKKE, Truvaux du port, Dieppe. 8.6 (74841 YaieursDiverses sontenna Roux»18 —a 29 30 . Rafflaea. 68 jhljxik BONSMAQOITS "lötnra Coarant. tO 75 — 40 50 32 62 Procbaha. 4l 23 41 50 4t 41 25 32 87 4 de Vsvs MaLJuin novm A LA BOULE D'OR(7838) 64 25 64 75 lourde PrSrSdeate nour iii-iiiiie/- ans un oureau. Tres bon- Réféc«^Dce«s serieus©»est demandée DE SUITE Ecrire aux iniliales M. G.bureau du journal. (7343) SDCRSS ClOtnr* une jeune Fills pour le Commerce. — Prendre l'adresse au bu¬ reau du journal. Se munlr de références. S'adresser ChezM. GÉlAS, 7, rue de Mexico 1739z) OJST 61 61 50 DEMANDE In Govrier Charron eL™,f8™ 36 60 36 55 36 öu 36 60 27 30 27 35 »7 45 - Z «6 10 — 36 30 - 26 80 — 26 80 26 85 85 35 34 40 35 6a 35 60 »»mtenu,we caluie c<ti*r*<* Soir 215 — 213 ^0 313 50 313 212 2i0 — 2( 8 206 50 li • EzptöS Expres»- Oniaib 1.2.3 1 2.3 1.2.3 GARES Le Havre dép. Graville-Saiute-Honorine.■■ Barfleur.. S.nnt-Laurn: ,-Gainneviile . fctaiiiMibSaint-Romain — Vlrville-Miuinevilk' Bréaute Ueuzeviilejarr iünbntriciie vuijj.,êp. Bolbec-Nointot Foucart-Alvimare. AÜouviil'e-eiletosse (halte) Yvetot Motlevilte arr. (Embrancliement) êp Sdêp: Paris Cours 4 Term» Stablis par MM. les Courtiers de Marchandises asiermeniis prèt Is Tribunal de Commerce Havre, le 5 Mai1914 Soir Munide bonnes references, est oemandÉ UNGARGQN DEMAGASIN Kouen Prêc Mat GARQON DEUAGASIN II a été perdu un PorteIMonnaie 4 Irois fermoirs, rue Dobocage, a Bléviib- II eontenait une petite somooed'argent et une quittance acquitthe — Le rapporter rh -« M»*QÜERTIER,rue Dubocave, a Bêville.— Recompense i74«9) ValsupsDiverses OBLIGATIONS an COMPTANT• (. hciU. I. Stil Marseille, Bóue Gnelma Chemiu de ferêcon. Ëst-Algénen Est 3 % ancienne . nouveile. . 2 y, %.... P.-L.-M.fnsiou anc. nou. 434 399 385 50 400 — 418 — 41)7 — 372 50 4(6 401 75 372 50 Nord 4 % taVJnll . . 499 413 — 3 % ancienne. 412 75 — — nouveile. 374 75 — 2 54 % 4i7 50 Orleans 3 % ancien — — 1884... 407 25 — 18952 54 % 374 — 408 75 Onest 3 % ancienne 405 — — nouveile 369 „ - 2 54 % Ouesl-Algêrien 3 % 394 25 372 50 Autrichiens 333 50 Nord-Éspagne 428 50 Tramways t> Franc. 363 Méssageries Marit.. 327 Transatlantique 592 Suez obl. 5 % 433 50 — 3 % p" s. — 3 % 2. s. 406 — 85 73 — bons de coup. Argemin 1897-1900.. 81 — 87 10 Bresil 5 % 1893 71 45 — 4 % Rês» 82 — Cape Copper 177 — lliarsis 58 Goidtiields 153 Haud Mines..,,.... - *% 433 23 399 50 ——. 399 421 — 4C8-— 374 — 406 — 402 — lui 4i5 413 372 417 408 374 403 40a 369 395 3d9 359 432 361 327 589 75 J0 — — 50 50 — — 50 — — — — — — _ 85 75 —— 86 70 7i «76 — 75 — — 59 sa 153 — CHEa^IINS DH FER DE L'ETAT (Serviced'Hivermodinéau 12 Avril 1914) Havre, le 3 Mai. cafés. — Les cours du ferme acc -saieni, a trois heures et quart, une baisse de 2 >centimes sur ia veille, sauf pour janvier, février ei mors inchangês. Ventes 22,000sacs. A ciDqheures et demie, on notait une hausse de 28 centimes. On a coté en disoonible; 300 s. Jacmel triés 72 — 4hO— P -au-Prince triés 70 73 — — (Le tout aux 30 kilos entrepot). KOIS Ouvriars et Quyrièrss PIRÖ11 Llgne CAFES li ËMilflfmm FÖRBERO H , fV? . ^ Pfaee assupéo 60, rue de ia République,Sanvic. 5»«(7480) EAVKK (MarehdNotre-Dame) le 0 mal. 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ROTTEN,mardi 8 mai M°' I 1\V?TAI1DV 4 V D,4eHamon, n'a nulS'adresser au bureau du journal. (7S21z) L» l/li I IF Lnll 4 I lemrnt été rem. rciée par In Maiiou llarcourt; mais en est PM» OtI I1LÜSB. PM» Ameelt Vend ui partie de son plein gré et liore de tout enga¬ Bsstiaux l.Q. 2. Q. *. Q. extrêmei ge,ment. (7518Z) de 14a 16 ans. —Bonnes Boeufa.... 234 230 1 80 1 70 1 55 i 90 1 45 références. remis sa 281 280 I 80 1 63 1 50 1 90 i .40 Vaches. . . S'adresser chez M. BRETON,armurier, 78, rne . par one chambre] 984 (73i6zi Mouton*. . 934 2 80 2 60 2 40 3.— fl.iO carle signer, v-»dreai der..ier, est priée d'en de Saint-Quen'in. Marché aux Veaox do Mardi rapporter les clefs pour ne pas se eréer d'ennuis M. L. 43 Veatix ont été amenés, 39 ont été vendus Signée Lebel pour faire les courses et le de i fr. 40 4 2 fr. 80 le kilo. Alim ntaire neltoyage, chez L. OHERT, 8, rue Edouard-Larue, Havre. 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(75i6z) Cession de Fonds COSiMlSSSi RES-PR ISfcURS OUHAVRE Ouessant ADSfilftilSTiK A'flOAi DES FOSSES DEUXIÈME DARSE Bermuda Rhea Bonchamp — La dernlêre levée des correspondences pour Uumfi iessliire Souu.w ite tmrrald Ie Brésil et ia Plata, par paquebot angiais pqrtaal M honia Koimand Mei am de Southampton, sera faite su Havre, bureau El-kautara Albert oa Vinnen Heinz t***' ♦ principal, le 7 mai, a 21 beures. Bassin Vanban Imprimtrie du Journal K,JS IMA WI&3HA — La dernière levée des eorrespondances pour <jUAI COLBERT SS.SobFohtbvsll», SS ^ les Etats-Unis, le Canada, le Hexique, ie Guate¬ S'-Edmund Raloo White-Rose mala, Cuba, Curasao, Costa-nica, Equateur, Haiti, Lb, benton LETTRES de DÉCÈS % Saint-Pierre-Mioueton, Tahiti, les ties Marquise, West Quarter QUA! FRISSARD Guyane8fraacafses et ballacdalses. HApiiróiquede . DcpuU 8 fraao* la Oant . * Panama et iapon, par paquebot La-Provence sera Svithiod Jacinth Gannet a itoin faite au Havre, bureau principal, le 9 mai a Canal de TanearvIIle 13 it. 30. 1'Dnion BULLETIN Matin JJeprésentatlon Mont-de-Piétê dn Havre VEWTES PUBLIQUES DARSE fiellucia Tucurn-.U 1462 *62 — 8462 25 161 60 Far ins de eensommatisn.—Premières marqoesDisponible*et Prochain: 61 — a . litre marques : Diseonlbipget at ..rhatsi 59 - » 64 - QUA I DE NOUMEA vendredi.» 8 6 45 6 30 Pour TROUVIt.LE,les heitres prectdécs d'on astêris Tchad que (') indiqusal les départs pour ou de la Jetêe-Pro talabria menade En cas de mauvals temps les departs penvent être supprimês. 03 «3 83 82 «1 78 77 76 76 76 76 76 Juillet AoOt Septembre Oclobre Novembre Décembre Janvier Février Mars Avril 4 ae «tr MARSEILLE I'nTt -Rico Glance | Précéd. Mal Juin MOIS Arthur Capel auDraperie dElbeuf de MOIS Mai Ju'n. « fle M -Jull-Aoüt >d -tuier jifOctob. t.'.'Oct' b 4 de Nov "endance DE ROTTERDAM RENAL'D 159 *59 f.0 7» *59 76 6- 50 Cour» ft Terme des Cotona Publiéspar la Cause de Liquidation Coarant . 75 Procbatn 74 4 da Mars Ary-Scheller de la Citadclle DARSE NORD O.-B.-Suhl Earsac DARSE SCD B -F. Bassin de I'Sure QUA! DES TRANSATLAIVTIQUES Rochambeau La-S&vole QUAIS 50 551 -I 5 PrêeMe»* LAMA1VDÉ GRAKDES DEU1L EN24HEURES pour Messieurs etDames Fauruisfcur -i- Avrit.. , 67 67 67 67 67 67 67 68 75 158 COLZA Le Lami-utin Caroline Le Tara 19 15 • » —— Fêv.... M«rs... unis de la Barre QUA! CA EN I t/ctohi o No*. .. tbc.... Ümv. . . — 50 50| Sff 50 60 — H 60 54 Si _ «5 25 45 2"; 50 55 Sf — '6 25 66 2 50 56 51 75 56 7 67 50 57 5' 2 S 65 26 70 22 75 22 70 18 25 — 22 70 22 65 23 70 18 25 Mai-Juin 4 i Mai . 21 90" Ull.-AOÜt ?| 8* 18 25 ~ 4 de nlers 20 30 20 35 20 25 18 - cal»,- me Teaiiaoce cclme Bnssln Jeudl Mai M.Robert-Artbur-Ch&rles CHALOT 9 ■>18 15 HAVRE paillette, leblond, roussel, Caspar,touFLET, MAR0TTE,BAHRIËet les Amis, BONFLEU* HAVRE «6 66 65 66 66 66 65 67 64 14 55 55 5» 36 56 36 56 57 57 IVTEFLGUPLI^LES ÖUAI LAMBLARDIE Ariana (y, Sauternes SupigaSi Miriiidt& üayijaffca i Vagis? M. BustaoeCHALOT, bauquier, et M" Bustaoe CHALOT, son Père et sa Mere; M et M" B. CHALOT Fils ; Les Families CHALOT,DAVID,BENARD,BA¬ RON,MAILLET,LELAUMiER,BAILLEHACHE, COLIN. */» 1/2 1/2 */» »/» VOftt .r SPTV QV.%1 D OKLEANS Katina (yi itmah (y) Bassin Ses Nièees et Neveux; a a. 4. 4. a. camm©P<!0 Speri&u Velox Partner St-ttioux Lucy St-ieau Joyeusa LMommie PAR Sfn" Renéeet ChristiansCHALOT ; MM. Jacques,Lionel, Clauds, Pierre et Chris¬ tian CHALOT, 14 k. «/» 18 18 18 18 16 Harre P ARTIE RÉaERVÉE PAR HAVRE «Xu Durandal Louise-Alice Vlxir Lady-Marlette Luclole Nereid du M.et IB" Eugéne IBAROTTE,nêe CHALOT, Ses Frères et Soeur,Beau-Frére et BellesSceurs; IBn"Bertheet MarieCHALOT , Ses Tantes ; HAVHI 5 Mai, 4 5 heures du soil JFOl/J«AIVï»S13U« M et M"" Albert CHALOT; lü. et IB"' AndreCHALOT; M. et lil"' FernandCH.'LOT; DU 1914 »,» »/» i/a i/S »/» >/» h Qitssl Lea Merchandises vendues en réclame aux GALERIES du HAVRE peuvent être retenues dans nos succursales de BfloRtiviiiiers, Etretat, Cany, Saint-Valery, Yvetot, Dives-sur-I¥!er. LE WMfT» Mal . . 64 Join. . 65sa 6e s jutstet <6 67 - Mai Navires Sorlls all. d 4 st. ang. Sprightly, Denton Leilh — st fr Hi*onnette Saintillon St-Brieuc 5 st. ang. Enterprise, HunDey Cardiff — st. ang. Hedwurth, Huismeier Sur.d'-rlatd — st. ang. Vera, IIoll Southampton — st. fr. La Vices,Bloch Caen Par te Canal de Tancarvtlle 4 ch. fr. 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Mat Soir MOIS —— —— —— — — «_— - 4— — '—— ____ —. —— 6 56 9 6 arr. 6 6 40 6 15 6 23 6 34 6 44 n 6 49 6 29 6 56 7 5 6 35 n 7 14 » . 7 25 » 7 32 7 44 6 59 7 52 7 7 7 14 7 58 8 4ü 7 44 8 51 7 54 9 58 «2 44 » » » » 2 Rtp. 4.2 ömib. 1 2.3 8 8 8 8 8 8 8 8 9 9 9 9 9 9 9 «9 » » » » » T> 8 23 8 26 » » » » » n 9 3 9 23 li 24 (jfflöib. 1 2-3 9 9 9 «0 10 10 10 40 <0 24 lü 31 10 42 H 5<- 11 55 !< 39 12 12 16 15 2u 27 35 46 51 58 6 Lirne Osiaib. 1.2.3 GAUES Paris*.. . Honen.. . Hotteville dép. farr. )dép. j ir. 0 5 5 6 6 6 6 6 6 7 7 7 7 7 7 45 9 49 43 21 33 44 49 59 6 44 24 30 39 46 (Embrancliement) (di p. ïvetot AUouville-eiletosse (halte). Foucart-Alvimare — Rolhec-Nointot Hrêauté-lteuzc ville jarr (Etnbrahché».enO-toép Virville-Manneville Etairhus-Saiqt-Romain — Saint-Laurén(-Gainnevillo.. Harilenr . .-.M. . Graville-Sainle-Honorine... 7 55 Le Havre. .....arr, OisBib. Omnib. Exp » .2.3 1.2 3 f 2.3 6 44 ' 7 8 8 8 8 8 8 8 9 9 9 9 48 56 7 15 23 33 40 45 55 1 10, 47 23 Rap. dn Exp. 1.2 40 45 52 » 12 17 24 30 £ 48 55 7 15 32 15 25 21 ft Pari» ümiiib- OiQDib. 4.2.3 1.2.3 Kap. 4.2,3 Goioib. 1.2 3 li 11 14 44 11 12 42 ii 10 43 » 13 9 27 32 38 46 59 4 11 12 12 12 42 12 42 12 » f. 12 20 34 36 43 — tl© n — 13 13 43 i. 44 14 44 14 1 15 19 » 43 U 13 44 E 16 Cmnib. Oütib. 1.2.3 4.2.3 Omnib 1.2.3 8 » 12 44 12 24 43 16 13 28 13 40 13 48 13 56 14 7 44 45 44 22 14 31 44 36 14 45 44 51 44 58 40 30 '44 19 14 27 15 48 15 23 15 34 45 42 15 49 13 58 16 5 16 9 16 48 16 24 16 33 16 39 46 45 Oxoib. Ixpress OodID. 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Union singutière, et que tout le monde ne s'est guère expliquée, d'une jeune fille belle et riche avec un homme laid, sans fortune comme sans talent. Avec ce mariage coïncidèrent deux événements qu'il convient de signaIer. L'arrivée d Lille d'une -femme d'une fbeauté troublante et remarquable, paraissant fortunèe, d' origine inconnue, et qui avait su s'imposer d la haute Société, la Comtesse Fanny, — la disparition d Lille, d'un jeune artiste de grand talent, Pierre Latour... De cette union est nêe, après sept mois, une charmante enfant qui fut prénommée Dtarie-Rose. ... Ce soir -ld, Lille est en joie. A Vhótel de la rue Royale qu'habite Mme Lemercier de Champlieu et oü vient. vivre, seulement pendant tes vacances judiciaires, le procuYeur, son mari, on célèbre par une fête enfantine, le quatrième anniversaire de la Yiaisiancé de Marie-Rose. La fête est terminée. Les invités ce sont telirés. Or, voici que Lemercier, rentrant i'dans son cabinet de travail, trouve sur la table une lettre déposée par une main in¬ connue. Gt*1 ,uds- na®eaDe«-"XE m « Marie-Rose n' est pas ootre fllle. Marie-Rose «r est nêe d neuf mois. Pour surprendre l' amant « üe ootre femme, oeitlez ce soir après la fête. « II est inutile qu'on oous le clésigne. Vous ne « l'aoez ou qu'une fois; mais en l'une des oir« Constances dont le souvenir demeure impé« rissable. » « L' amant de voire femme » Et en effet quelques instants après, a la porte d' Hélène, Lemercier va rencontrer Pierre Latour, celui qu'il suppose l' amant de sa femme ei qui a obtenu un rendez-vous d'Hélène avant de. s'ecciler pour toujours. Le procureur, après avoir braqué unrevolver sur le jeune homme, lui demande : « Vous veniez pour me voler, hein!... » Mors, le noble et loyal regard de Pierre Latour se posa sur l'ceil vitreux du procureur et d'une voix qui ne tremblait pas : — II ine serait en effet trop difficile de nier : c'est vrai, monsieur, je venais voler. — Peste ! plaisanta la procureur. Mes¬ sieurs les voleurs s'attaquent maintenant a ceux qui Ids pêursuivent et les condamnent : juste vengeance, après tout I D'ailleurs, nous autres magistrats, nous som¬ mes favorisés : on se met en habit, pour nous piller !... ■Et, changeant soudain de ton : — Je vous arrète I Dans votre intérêt, pas de résistance, pas de tentative de fuite ! — Je ne botige pas, monsieur, dit Pierre, Ie coeur inondé d'une joie aurhumaine et d'une immense douleur. Le procureur, rapidement, avait entr'ouvert une porte dérobée qui donnait sur un A sa Clien¬ 25. rue du Général-Faidherbe Bouteilles a buile pour lipiceries BOUCHONS ET ARTICLES DE CAVES 2 6 14.18.23.26 30b >6426, QU*T«e«^;^-200'rl1 — 20, placede l'EStel-de-Ville, Havre. Essra «prés cabinet. Son valet de chambre, qu'il avait sans doute posté lè d'avance, parut : — Allez me chercher monsieur le commissaire de police, dit froidement le procureur. Qu'il vierine avec quatre agents. Ne faites aucun bruit. Ne réveillez personne. Allez. Le domestique effaré, s'élanga. — Maintenant, jeune homme, dit alors le procureur, comment avez-vous fait pour entrer ici ? Pierre demeura rmiet et frissonnant : il n'avait pas prévu la question I II fallait maintenant prouver qu'il était un voleur. — Vous avez fracturé la porte d'entrée ? Pierre eut un geste comme pour souffleter l'homme qui lui parlait ainsi, geste instinctif qu'il réprima aussitöt. Et, d'une voix haletante : — Oui, monsieur, j'ai fracturé... — Avec un instrument pareil a ceux-ci 1 Du doigt, le procureur montra deux ou trois pinces d'acier rangées sur la table. Pierre fit oui de la tête. II frémissait de honte, d'horreur et de dégoüt. Une exaltation de sacrifice le transportait, le soulevait dans un si grand souf¬ fle d'héroïsme. Le procureur hochait Ia tête. Comme sans y penser, il déposa gon revolver prés des pinces, ■, II n'adressa plus une parole au jeune homme. Mais lui faisant ce signe de bienveillance que les magistrats accordent au coupable après l'aveu, il sortit en fermant soigneüsement la porte A clef. La première pensée de Pierre fut de fuir Mais il reconnut bientöt qu'il se trouvait aff. P?.'." 65 fr. par heau jour. 'ogePrix 2,^00fr. PDIPPPÏP s>éblt, loyer 35*»fr., aff. 45 fr. Xjïiul-iilii par j-ur dont moltié aux liquides. Pnx 900 fr. Depart fo. cé. TAP AP Ca,ébaniieue du Havre, frais géi ÜDH.U néranx nuls, beau logement, aff. 70 a 8o fr. par jour. 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Nous tenons un cas complet'; dans une pièce sans fenêtre.sans autre issue que la porte dérobée par oü était entré le tentative de vol avec effraction la nuit, dans valet de chambre et qui donnait sur un une maison habitée... cela peut aller dans les vingt ans de bagne. étroit cabinet noir. II redressa sa haute taille anguleuse. Quant è, la porte du corridor, elle était Son masque livide de haine se creusa solide. d'un rire silencieux effroyable. La pensée du jeune homme, en ces minu¬ Alors il alla se poster dans la rue. II était tes de tragique angoisse, fut toute pour encore en habit et nu-tête. La neige le soufHélène. fletait. Un froid aigu le cinglait. Le procu¬ La sauver ! La sauver è, tout prix ! Fütpas et aspirait avec ce au prix de son ignominie ! Au prix de reur ne s'en apercevait la honte indélibile !... Les bras croisés, le délices la rafale d'hiver. A oe moment, dans la lueur vacillante du sourcil froncé, la tête penchée, il attendit, gaz qui éclairait la rue, il vit arriver a.u dans le morne silence que parfois balayaient pas de course un groupe de cinq ou six soudain les gémissements des vents d'hiver. personnes. Le procureur était descendu. — Le cammissaire ! gronda-t-il. D'un pas étouffé, rapide, de cette démar¬ C'était bien le commissaire de police et che souple que doivent avoir les tigres dans soli¬ les nuits d'affüt, il avait gagné la porte de les quatre agents demandés, gaillards la rue, l'ouvrit, sortit, referma la porte a des, avec des poings énorme» et des encolures de taureaux. clef. Le commissaire salua jusqu'ü terrre. Et alors, si quelqu'un était passé ü oe Du doigt, le procureur lui montra la sermoment, il eüt assisté ü ce spectacle étrange, fantastique, d'un procureur dccupé a rure brisée. — Effraction ? fit le commissaire. fracturer sa propre porte avec une rare — Oui. Tenez, j'allais me coucher, c'est habileté ! cette vitre brisée qui m'a prévenu. J'ai pris La porte fracturée , il rentra. Le vestibule était au fond, fermê j>ar un ma lampe, j'ai vu l'homme au moment oü vitrage communiquant avec l'mtériety de il -o.lla.it pén ét ré? dans la salie k manger... l'argenterie, vous comprenez ? et je lui ai la maison : avec un diamant qu'il portalt au doigt, le procureur coupa une vitre, la mis la main -au collet. II est la-haut. — Quel -courage, monsieur le procureur I détecha, la posa sur le tap-is, et, du talon, — II est lü-haut. Venez. avec le moins de bruit possible, il l'écrasa : — Attention, vous autres. En douceur, — Lü ! gringa-t-il, avec un sourire n'est-cé pas ? effrayant, e'est le bris maladroit de la vitre La bande monta, sileneieuse, slnlstre. qui -nVa prévenu qu'un voleur était dans la Le procureur ouvrit une porte et dit : maison... Maintenant, M. le . comimssaire sssa — Lü 1... Le commissaire eut un geste. Les quatra agents entrèrent d'un bojid : dix secondes plus tard, sans bruit, Pierre se retrouva, comme dans un atroce cauchemar, büillonné, les menottes aux poings les pieds en« través : il se sentit soulevë, enlevé, emporté... ce fut une minute d'épouvante inexprimable... et alors, ,un cri, un nom adoré vou. lut faire explosion sur ses lèvres, mais se tradulsit par une plainte sourde... la plainta de la béte qu'on égorge... deux larmes brülantes jaillirent de ses yeux.., puis ce fut tout... Pierre avait disparu, entraïné, emporté comme un fétu par la tempête... et il lui semblait qu'il entrait dès lors dans quelque chose de noir, qu'il s'enfongait dans il n« savait auoi dMnsondühle. Lire la suite dans le Numéro de cette semainé Ae 1 Le Petit SUPPLÉMENT Havre, ILLUSTRÉ (EuVeatsDhMtousaosMarshwid», Seint.11 'A est ou ohofd'toa»ie iL'RUit'r-^iC C'est le piet pelpltent et le plut admlnble dee Bemens.
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