programMES - La Voie des Livres

LECTURE
PUBLIQUE
JACK LONDON
MARTIN EDEN
MARC ROGER
Martin Eden, le plus autobiographique
des romans de Jack London, est le
récit d’un écrivain né dans les basfonds, homme de rien basculé dans la
bourgeoisie qui croit tenir sa revanche
sur la vie.
« Certains critiques ont contesté la
rapidité avec laquelle Martin Eden est
parvenu à s’instruire. Parti comme
matelot avec les rudiments de l’école
primaire, j’ai fait de lui, en trois ans,
un auteur à succès. Ces critiques
prétendent que la chose est
impossible. Pourtant, Martin Eden,
c’est moi. »
DR
« Ce fut alors que, dans un élan d’inspiration,
naquit son grand projet. Il écrirait. Il serait les
yeux qui font voir le monde, les oreilles qui le
font entendre, le cœur qui lui donne l’émoi. Il
écrirait - sous toutes les formes : de la poésie,
de la prose, des romans, des récits et du
théâtre comme Shakespeare. Voilà la carrière
qui lui permettrait de gagner Ruth. Les
hommes de lettres étaient les géants de ce
monde. »
Jack LONDON
LA VOIE DES LIVRES - LECTEURS PUBLICS
93, rue de la Réunion
75020 Paris - 01 43 48 79 55
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www.lavoiedeslivres.com
Contact : Corinne Lemonnier
55 MINUTES
LECTURE
PUBLIQUE
JACK LONDON
LE GRAND NORD
©DR
MARC ROGER
« Jack London, s’est rendu au
Klondike, il a passé Chilkoot Pass, il a
franchi les Five Fingers Rapids sur un
radeau de fortune, il a souffert du
scorbut et il a jalonné sa concession.
Mais c’est dans les saloons de Dawson
plus que sur son mythique placer qu’il
a découvert son trésor. C’est là qu’il a
trouvé les personnages et les histoires
qui nourriront son œuvre. À l’entrée
de sa cabane, il a gravé ces mots
attestant sa propriété : « JACK
LONDON, PROSPECTEUR ÉCRIVAIN. »
« L’or ! L’or ! Le 14 juillet 1897, l’Excelsior
accoste à San Francisco avec à son bord
quinze mineurs en haillons, ployant sous le
poids de ballots lourds de pépites. Une tonne
d’or, trouvée dans le Klondike !
En quelques heures la nouvelle est connue
dans toute l’Amérique. Les épiciers
abandonnent leur boutique, les prêtres leur
église, marins et policiers quittent leur
travail. La récolte de fruits dans la vallée de
Sacramento s’arrête, faute de main-d’œuvre.
Vagabonds,
chômeurs,
miséreux,
aventuriers, illuminés, se précipitent par
milliers prêts à tout pour partir. L’époque, en
crise, attendait un miracle, et le miracle a
nom Klondike. »
Bernard RAPP
Michel LEBRIS
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SERONT LUS DES EXTRAITS DE
Smoke Bellew
L’Appel sauvage
Construire un feu
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LECTURE
PUBLIQUE
JACK LONDON
JOHN BARLEYCORN
MARC ROGER
John Barleycorn, littéralement Jean
Grain
d’Orge,
personnification
humoristique de l’alcool, et plus
particulièrement du whisky, très
populaire dans toute l’Amérique du
Nord. John Barleycorn, figure centrale
d’une autobiographie pour le moins
enivrante grâce à laquelle nous
partageons les moments majeurs
d’une vie hors du commun. La vie de
Jack London.
55 MINUTES
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« La première fois que je m’enivrai, j’avais cinq
ans. Par cette chaude journée, où mon père
labourait notre champ, on m’envoya, de la
ferme qui se trouvait à 800 mètres, lui porter
un seau de bière.
– Et surtout ne le renverse pas, me
recommanda-t-on en me laissant partir…»
« À l’âge de sept ans, un dimanche matin, je
me trouvais, au ranch des Morrisey. Un certain
nombre de jeunes gens, venus des propriétés
voisines, s’y étaient réunis. Leurs aînés avaient
bu jusqu’à l’aurore. La beuverie continuait dans
la cuisine, et les femmes, au dehors, sentaient
croître leur frayeur. Toutes connaissaient les
effets de la boisson et pressentaient qu’il allait
se passer quelque chose de terrible… »
Jack LONDON