i. prostatectomie en 2014

SYMPOSIUM DE PRINTEMPS EN ONCOLOGIE
LENTESYMPOSIUM ONCOLOGIE
Bruxelles/Brussel, 15.03.2014
Dr. Greet Swinnen
 +32 2 221 99 53
 [email protected]
Dr. Peter De Wil
 +32 2 221 99 53
 [email protected]
Nieuwigheden in de urologie
Nouveautés en urologie
Symposium, 15.03.2014
Dr. Greet Swinnen
Dr. Peter De Wil
Introduction
1. Prostatectomie en 2014
– Intérêt du dépistage ?
– Prostatectomie par robot, pourquoi ?
– Traitement individualisé
2. Small Renal Masses: Treatment
– Néphrectomie partielle
– Traitement ablatif
– Surveillance active
3. Blaassparende behandeling blasstumoren
I. PROSTATECTOMIE EN 2014
 Premier traitement actif dans le cancer de la prostate localisé
 Effectuée en chirurgie ouverte depuis les années ‘40,
« nerve-sparing » depuis les années ’80
 Désavantages d’incontinence à l’effort (temporaire) et
impuissance (temporaire ou définitive)
Intérêt du dépistage ?
 Depuis l’utilisation de PSA pour le dépistage du Pca,
migration vers un diagnostic de maladie localisée
>>> Nette amélioration du pronostic des patients
 Débat autour du dépistage…
– Méta-analyse de l’université de Gand
– 8 études, 572.000 patients : diminution de la mortalité 12%
– Sélection meilleures études :
→ Diminution du risque 24% !
 Mais éliminer le sur-traitement !
– Sélectionner les cas, développer meilleurs tests (IRM)
– Ne pas oublier la surveillance active
Prostatectomie par robot, pourquoi ?
Prostatectomie par robot, pourquoi ?
Prostatectomie par robot, pourquoi ?
Prostatectomie par robot, pourquoi ?
 Results
– We included data from 19.064 men across one RCT and
57 non-randomised comparative reports.
Robotic prostatectomy had a lower risk of major intra-operative harms
such as organ injury [0.4% robotic vs 2.9% laparoscopic], odds ratio
([OR] {95% credible interval [CrI]} 0.16 [0.03 to 0.76]), and a lower rate
of surgical margins positive for cancer [17.6% robotic vs 23.6%
laparoscopic], OR [95% CrI] 0.69 [0.51 to 0.96]). There was no evidence
of a difference in the proportion of men with urinary incontinence at 12
months (OR [95% CrI] 0.55 [0.09 to 2.84]). There were insufficient data
on sexual dysfunction.
– Surgeon learning rates for the procedures did not differ, although data
were limited.
Prostatectomie par robot, pourquoi ?
 Conclusions
– Men undergoing robotic prostatectomy appear to have reduced
surgical morbidity, and a lower risk of a positive surgical margin, which
may reduce rates of cancer recurrence and the need for further
treatment, but considerable uncertainty surrounds these results.
– We found no evidence that men undergoing robotic prostatectomy are
disadvantaged in terms of early outcomes.
– We were unable to determine longer-term relative effectiveness.
Traitement individualisé




Age et comorbidité
PSA
Score Gleason
Nombre de biopsies envahies
 Stade clinique cTx = toucher rectal
 Priorités du patient
 Volume prostatique
Illustration/photo
Traitement individualisé
Concertation pluridisciplinaire
Conclusion
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


Surveillance active
Prostatectomie radicale
Radiothérapie externe
Brachythérapie
Hormonothérapie
Illustration/photo
 Si prostatectomie radicale,
–Intervention robotisée devient le golden
standard
Illustration/photo
II. SMALL RENAL MASSES: TREATMENT
 Augmentation de détection de SRM chez des patients
asymptomatiques par imagerie de l’abdomen (echo/CT/IRM).
 Diamètre ≤ 4 cm : stade T1a
 Mais :
–20% bénigne
–25% caractéristiques agressives
–55% tumeurs malignes mais non agressives
Possibilités de traitement
1. Néphrectomie partielle (NSS)
2. Traitement ablatif : RFA (cryoablation, HIFU)
3. Surveillance Active
Le choix du traitement pour le patient avec le RCC localisé doit être
individualisé !
Sauver les néphrons !
1. Néphrectomie partielle
Objectif
– Préservation de la fonction rénale ( CKD) avec un résultat équivalent en oncologie
que la néphrectomie totale
Quand ?
– Golden standard ≤ 4 cm (T1a),
– Tumeur 4-7 cm (T1b) en fonction de la faisabilité technique
Indication absolues
– Rein solitaire (anatomique ou fonctionnel)
– Lésions suspectes bilatérales
Avantage
–  QOL (CKD prévention,  risque cardiovasc.,…)
1. Néphrectomie partielle
 Voie ouverte ou cœlioscopique
 Trans péritonéale ou rétro péritonéale
Fonction de la taille et de la
localisation de la tumeur
Important!
- Réduction d’ ischémie (warm ischémie time ≤ 20 min.)
(>20 min.: cold ischémie)
- Une marge négative (1 mm tissu normal suffit)
Désavantages
- Hémorragies (3%
- Urinome (4,4%)
1,2% NR)
1. Néphrectomie partielle
Cas clinique


Une dame de 74 ans, Atcd: hypertension artérielle, hypothyroidie, PTH gauche, ancien
tabagisme
Mise au point pour hématurie microscopique asymptomatique en néphrologie avec CT
abdomen: découverte d’une lésion suspecte au rein droit.
2. Traitement Ablatif : RFA
= Application de chaleur par radiofréquence (T° 50-100°C),
par voie percutanée, CT guidance.
Indication
- Patient à risque élevé d’opération (comorbidité)
- Tumeur < 3 cm
Désavantages
- Absence de confirmation histopathologique
- Taux de récidive locale plus élevé
3. Surveillance Active
Indication
– Survie globale limitée (> 75 y, ≤ cT1)
– Comorbidités
Surveillance
– MRI/CT 1x/6 mois (patient compliance !)
Progression ?
– Volume du tumeur double < 12 mois
– Volume 3-4 cm
– Symptômes
Traitement
– Réservé pour progression
– Après 2 années de SA, il y a 40% des patients qui ont besoin de chirurgie.
Histologie
– Biopsie à l’aiguille percutanée (aide à sélectionner patients pour SA)
III. BLAASSPARENDE BEHANDELING BLAASTUMOREN
 Cystectomie = belangrijke peri-operatieve morbiditeit, vermindering QOL,
vandaar zoektocht naar minder invasieve, minder radicale mogelijkheden
Mogelijkheden blaassparende behandelingen
 Radicale TURBlaas: niet optimaal…
 Partiële cystectomie +/- Brachytherapie …
 Externe radiotherapie +/- concomittante chemotherapie
Externe radiotherapie van de blaas
 Houdt een grondige en uitgebreide TURblaas in, gevolgd door
concomittante radiochemotherapie
 Deze trimodale therapie toonde excellente 5-year overall survival rates
van 48% tot 65%, vergelijkbaar met cystectomie-studies.
 75% à 80% van deze patiënten behouden uiteindelijk hun blaas.
 Salvage cystectomy kan uitgevoerd worden omwille van recidief
 For patients with MIBC who are noncystectomy candidates, or select
patients who are motivated to keep their native bladders, trimodality
bladder preservation therapy is recognized by the EAU guidelines and the
NCCN Clinical Practice Guidelines in Oncology for Bladder Cancer as an
effective alternative to radical cystectomy, and should be considered.
Externe radiotherapie van de blaas
Conclusie
Wat betreft de “grote” Urologische tumoren is er
anno 2014 een tendens naar…
Individualisering
– Verbeteren comfort patiënt
– Verbeteren oncologische resultaten (of
behouden), rekening houdend met QOL!
DANK VOOR
UW AANDACHT
Dr Greet Swinnen
Dr Peter De Wil