Jeudi 19 Septembre 19i2 Edition du matin J 8 ^^^^^ r^^^"" téléphone : 3.21 -10.37 — Imprimerie 3.08 ABONNEMENTS : -.ncV Meuse ' Khe-et-Moselle, GRAND TRONCS i *g" >0SgeS * 50 44° Année. «X.O.. „S " ° » 7 14 6 0 » 28 12 6 inires départements • B ^„ger. * * » On peut s'abonner sans frais dans tons les bureaux de postes 13. S5 tt *?» 24 » ~~~ ^^^ ^ ^ , ^ JOURNAL, itfXMCTKW £F QUOTIDIEN ^rasr/UTIOiV : M " ^ DIRECTEUR: RENÉ MERCIER " ln> *** ^% m, ^ — N° 9113. PUBLICITÉ : Annonces (4e page)... 30o. laligne L'Agence Havas, 8, place de la Bourse, à Paris Réclames (3e page)... 60 et MM. John F. Jones et C'e, 31 feis, faubourg m ■ Faits divers 90 — Montmartre, à Paris, sont seuls chargés de recevoir la Chronique locale 150 publicité extra-locale du journal. , . rthe-ct-l1osel(e. Meuse. Vnsnes. Alsar.e-1 nrrainf. f l mmhnmn Mn. ^ ho«, ,„ vv<* |_ C« SI. Saint-Dizier, W% SI NANCY I "i lia ■ . . '■ ?m a b|i d Mell fi M rience des pêcheurs bretons. L'industrie de la pêche en A. O. F. ne sera paa une des dernières à profiter des avantages que la \-J paix française apporte avec elle. ; yzL La création et le développement des voies de communication, tes travaux proLA PACIFICATION MAROCAINE LES ALLIANCES POLITIQUES pres à faciliter l'accès des côtes aux naviChacun sait que ces trois lettres, A. O- res métropolitains et aux échanges interF., désignent le Gouvernement général de nationaux, tiennent une large place dans l'Afrique Occidentale Française, c'est-à-di- l'économie coloniale. La mise en valeur re l'une des parties les plus productives n/est possible qu'au prix de ces opérations de notre domaine africain et un groupe de coûteuses ; à plus forte raison dans un cclonies qui tendent à jouer dans ce do- paya aussi vaste que l'A. O. F. Chemins de M Us Pressûnsê, au nom de !a 1Les désordres rte /y fibàml m hmmaine et dans notre vie nationale un rôle fer, voies navigables, lignes télégraphiques Uffue des Droits de l'homms singulièrement actif. Sa contribution à la y jouent un rôle sans cesse grandissant. grosse, où un ministre est défend les Syndicats formation du corps d'armée chargé de pa- Ce sont les liens puissants qui permettent frappé, se poursuivent PARIS, 19 septembre. — Le bulletin officifier te Maroc est une des preuves les d'associer dans un effort commun toutes tes des instituteurs CASABLANCA, 17 septembre. — En préviciel du parti républicain démocratique, à la dans la rue plus récentes de sa vitalité, mais nous en énergies productives. sion des mouvements et de la présence de suite de quatre articles successifs dans lesPAIUS 19 septembre. — M. do Pressenquelques rassemblements hostiles au sud pouvons donner d'autres et de nombreuses, L'A. O. F. dispose d'un réseau ferré de quels l'organe officiel du parti radical soci denuté, président do la Ligue des cialiste l'invite à préciser sa politique et lui r BUDAPEST, 18 septembre. — Voici d'inté- et à l'est de Marakesch, l'état de siège a d'un caractère purement économique. 2169 kilomètres. Les principales lignes ont détails- sur les scènes tumultueu- iété proclamé à Marakasch. nmits'de l'homme, vient d'écrire au mi- reproche d'avoir fait alliance aux élections tressants L'A. OF. — nous continuerons d'ems pour objet de relier aux ports maritimes qui ont recommencé aujourd'hui à la ktre de l'instruction publique pour cri- avec les réactionnaires^progressistes pour ses commmode — des différentes colonies le Sénégal et te Nos troupes campent actuellement au ployer cette abréviation t Chambre hongroise : f~m, ia circulaire relative aux institu- certaines Dar-Eil-Maghzen, offert par le khalifat comprend les colonies du Sénégal, de la élections, comme celles d'Apt et Les membres de l'opposition sont en Bou-Recker. Niger, les grandes voies naturelles du era syndiqués. du Haut-Rhtn, publie aujourd'hui une ré- grand g Guinée française, die la Côte d'Ivoire, du pays. Les plus longues sont celles de Ko* nombre à leurs bancs. Au moment M de Pressensé dit que cette circulai- ponae dans laquelle il dit : coù un certain nombre do députés du parti i De Mekra-ben-Abou, on signale qu'un Dahomey, du Haut-Sênégal-Niger, le Ternakry au Niger et de Dakar à Saint-Lowfe, ^voyée sans avertissement préalable, convoi partira te 20 septembre. « La politique du parti républicain dé- d ritoire civil de la Mauritanie et le Terri- qui mesurent respectivement 588 et 264 ki«aïs enquête, constitue à l'égard des ins- mocratique est d'une clarté et d'une sincéri- cdu gouvernement entrent, dans la salle pour La route des convois de ravitaillement toire militaire du Niger. occuper leurs places, il se produit un tuSuteurs, un acte de défiance injustifié. lomètres : celte de Thiès à Kayes, en coura de Marakesch paraît actuellement sûre té républicaines si évident qu'il n'est be- multe r épouvantable. Ils sont accueillis par i Sa superficie estt de 4 millions de kilomè- d'exécution, en comptera 340, 182 sont dé„ je nio refuse à penser, monsieur le mi- soin d'aucune polémique pour la justifier. i flot d'injures. Le ministre du commerce par suite de la proclamation de Moulaïun tres carrés environ ; sa population s'élève jà construits. nistre ajoute M. de Pressensé, que le deri<( D'autre part, le parti radical socialiste 1 est traité de » misérable » par un Yousef dans la capitale du Sud. Sa reconSier mot soit dit en cette affaire. Il n'est et le parti irépublicain démocratique ont Bœthy nafissance dans l'ensemble du pays soumis à 12 millions d'habitants, dont 5 millions c L'amélioration des voies fluviales, l'ades députés de l'opposition. nas d'esprits élevés, réfléchis comme le mieux à faire que d'examiner les choses à son autorité doit être considérée comme de musulmans, près do 7 millions de féti- ménagement des ports se poursuivent. Le ministre s'avance alors vers le député un fait accompli. sont ceux des principaux membres du gou- passées et d'organiser des débats. cd'opposition en lui criant : « Qu'avez-vous chistes et 30 000 chrétiens, 6.000 Français, Dakar dispose de plus de 2 kilomètres de vernement à qui n'apparaisse pas bientôt MAZAGAN, 16 septembre (Dépêche retardée « Son unique préoccupation doit être cdit ? » Plusieurs députés de l'opposition atmilitaires non compris, et 1.700 étran- quais dont 700 mètres à 8 mètres de prola gravité de la faute qu'on veut leur faire maintenant de rapprocher tes forces répu- t dans la transmission). — Depuis que gers. taquent le ministre à coups de poing ; il fondeur. Le service postal et télégraphique commettre. Hadj-Dann a pris le gouvernement de Mablicaines desunies, de les orga-niiser pour t De l'organisation administrative, nous est assuré par 230 bureaux p< « Les hommes, même les hommes poli- mieux combattre et pour gagner ceux que ttombe à terre ; mais finalement les dépu- rakesch et que Moulaï-Yousef y a été protés du parti gouvernemental, parviennent tiques, s'honorent en reconnaissant leurs l'on cherche à éloigner de la République clamé sultan, le 13 septembre, la circu- dirons seulement qu'elle a été conçue de kilomètres de lignes télégraphiques sillonà délivrer te ministre des mains des assaillation des convois est redevenue réguliè- manière à donner aux colonies le plus de nent l'A. O. F. Actuellement, on aménage par des sophismes et par des mensonges. » Jlante. erreurs. ... , . « Je souhaite bien vivement que le miliberté possible, tout en permettant au un vaste réseau de télégraphie sans filre .entre l'Oued-El-Rebbia et Marakesch. Lorsque le comte Tisza apparaît à la nistre reconnaisse et répare la sienne. » Gouverneur général, chef suprême, d'exer- Une station à très grande portée va être Les fonctionnaires espagnols tribune présidentieite pour ouvrir la séancer son autorité et son contrôle, avec ra- installée à Tombouctou. Elle établira des ce, le tumulte se renouvelle. SAINT-SÉBASTIEN, 18 septembre.— M. GarLes membres de l'oppositiion commen- cia Prieto, ministre des affaires étrangè- pidité, sûreté et de concentrer tous les communications aériennes avec l'Afrique LE HAVRE, 18 septembre. — Aujourd'hui < cent un véritable concert infernal avec les res, dément un bruit suivant lequel le co- moyens d'action nécessaire à la sauvegar- équatoriale, l'Algérie et les postes côtiers PARIS. 19 septembre. — L' « Echo de a commencé, devant le congrès de la C. *sifflets et les trompettes, qu'ils avaient ap- lonel Sylvestre et le consul de Mogador de des intérêts supérieurs qui lui sont con- de la Tunisie et de l'A. O. F„ 1 fiés 1 avec eux. De forts détachements de auraient été appelés à Madrid. Paris », organe libéral, annonce que d'o- G. T., la grosse question des rapports des portés Les ressources financières de l'A. O. F. 1police se tiennent dans les couloirs. «s et déjà la Fédération des instituteurs cégétisles avec les socialistes. Nous sommes arrivés à établir une paix n'eussent pas permis de réaliser tous ces Les deux sultans M. Dumoulin rappelle le rôle des sociaest décidée à combattre vivement le proL'agnee « L'inloumation » reçoit de Budéfinitive dans cette immense région, en travaux. Il a fallu recourir à l'emprunt. listes dans la grève des cheminots, dans <dapest le telégramme suivant : TANGER, 18 septembre. — Abd-El-Aziz est jet de statut. ; ~_ L' « Echo » croit savoir que si des me- celle des inscrite et dans celle des agricoles ; Le ministre de l'intérieur, comte Johon toujours à Algesiras. Il vit dans un hôtel même temps que nous affermissions notre La confiance de la métropole dans l'avenir Désormais l'indigène voit de l'A. O- F. et dans les hautes qualités Zichy, a demandé une audience à l'em- avec quelques-unes des femmes de son ha- domination. sures sont prises contre les instituteurs du Midi et fait cette réflexion : « Eat-ce que les camarades, qui sont allés 3pereur Françoisi-Joseph pour lui remettre rem. dans l'ocupation française une garantie de ses différents révoltés, le conseil de la Fédération congouverneurs généraux, ! Il dément l'intention qu'on lui a prêtée de sa tranquillité et de son bonheur. L'at- s'est manifestée lors des trois emprunte voquera uns assemblée générale et provo- de bonne foi, pendant la grève des chemi- sa démission. Cette nouvelle a provoqué la plus vive de vouloir faire un voyage en France. quera une violente agitation, d'accord nots, s'asseoir à 1' « Humanité », dans l'antitude de la masse de la population ne qui ont mis à la disposition de notre colo< GIBRALTAR, 18 septembre. — Moulaï-Hadans les milieux politiques. avec l'Union fédér-ative des travailleurs cien fauteuil de Briand, ne croient pas émotion nous donnerait aucune préoccupation si nie, de 1903 à 1910, une somme totale de qu'ils se prêtaient à une atteinte contre fM est arrivé aujourd'hui. Il est reparti do l'Etat. Au début de la séance d'Hier, le minisl'on ne craignait pas que l'islamisme dont 779 millions. 1 1 l'indépendance syndicale ? » peu après pour Tanger. — Havas. tre avait quitté son banc, dès l'intervention L « Echo de Paris » ajoute : — « Ainles progrès sont évidente ne dresse des Grâce à cet effort, le commerce de MAI En terminant, il dit : « Il faut que le 1de la police. si sa dessine et ■s'accentue le mouvement obstacles entre une partie de nos sujets et O. F. s'est -rapidement accru. Il est passé congrès déclare si nous voulons subordonUne grande manifestation £ist otgesnisée d'insuboidi,;., ; ' -1 générale des fonctionnoua. ner notre action à celle du parti socialiste. pour ] naires. » d© 131.500-000 francs, en 1901, à 269.0T0.00Û ce soir dans les rues de la ville. Le La C. G. T. et le parti se sont rencontrés ]parti socialiste a fait distribuer pi-us de L'A. O. F. est un pays surtout agrico- en 1911. L'augmentation des échanges anLe triomphateur Védrines dans certaines circonstancjesi :partie,iuSITè- ;200.000 prospectius invitent les ouvriers à se le. Chaque colonie entretient sur son bud- ruels (importation et exportation réunies} ras ; ne donnons pas à ces rencontres un joindre au mouvement, à la sortie des usiPARIS, 19 septembre. — L'aviateur Jules , get des inspecteurs et des sous-inspecteurs est de 12.600.000 francs, en moyenne, pour sens qu'elles ne peuvent avoir. Ne nous |nes, pour manifester contre M. ïisza et en Védrines, revenamt de Chicago, est rentré d'agriculture et dea agents de culture- Le les onze dernières années. Du 1" jfmvte,' hier soir à Paris. PARIS, 19 septembre. — Une mate du comignorons pas, mais ne nous rapprochons Ifaveur de la réforme électorale. er mandant Driant dit que les généraux de pas. » Après une courte réception à la gare, service de l'agriculture s'efforce d'amélio- 1909 au 1 janvier 1911 elle a été de 84 Comme il n'y a pas de programme bien rer les cultures déjà pratiquées, recherche millions, soit de 44 %. division membres du comité d'honneur de Après ce discours qui a été accueilli par arrêté, on s'attend à de graves désordres Védrines s'est rendu à l'Aéro-Club de la Hgue militaire se sont démis de leurs des manifestations d'enthousiasme. M. et les troupes sont consignées dîaaas leurs France, où il a reçu les félicitations du' des productions nouvelles, utilise tes proLes principaux produits exportés sont . ktributions, conformément à l'invitation Bousquet a insisté sur la nécessité d'un dé- casernes. ductions encore peu connues, acclimate comte de la Vauîx, vice-président. Les arachides 50 894.000 fr. en 1918 ministérielle, la Ligue ne désirant pas, dit bat nouveau sur les rapports avec le parti Le général Roques a également félicité les espèces étrangères au pays, fait des esBUDAPEST, 18 septembre. — Le commisLes caoutchoucs... 37.403 00C fr. en 1910 linote, priver le pays des services de ceux- socialiste. Gordon Ben- sais scientifiques et pratiques. En outre, il saire en chef de police a fait publier une le vainqueur de la coupe Les amandes de ci, maïs la Ligue ne se dissoudra que « Il y a des gens, dit-il, qui, sans appar- proclamation interdisant les défilés socia- nett. enseigne aux indigènes les procédés de palme 12.400.000 fr. en W& quand elle aura la certitude que les mili- tenir à l'alimentation, sans avoir été cui- listes à travers les .rues et ordonnant que Le « Matin » a interviewé Védrines, qui culture rationnelle. L'huile de palme.. 9.067.341 fr. en 19*6. tair.es auront été invités à quitter la fr.anc- siniers, entendent à merveille l'art d'accom- les portes des maisons soient fermées à 8 a félicité et remercié les organisateurs; La gomme arabique 1.632.272 fr. en WK L'exploitation du sol est entre les mains maçoanerie. » moder les restes. Je dirai amicalement, à heures du soir. américains do la Coupe Gordon Bennett. Las bois =.. 687.000 fr. en des indigènes. Sur plusieurs points se maRenard qu'il est de ceux-là. » Védrines a déclaré ensuite : —B La Chambre a été ajournée pour toute nifeste l'action des Européen®. Au SénéLes importations comprennent surtout : Et comme un interrupteur coupe unie dei la durée de la session des Délégaticmè. « Je suis content d'avoir ramené en ses tirades contre le guesdlsme par cette Tissus de coton DANS L'ARMEE Deux forts détachements de troupe® et France cette coupe, qui n'aurait jamais; gai, ils développent les cultures maraîchèréflexion : « Tu l'as été, guesdiste », il ré- de gendarmes sont placés sur différents dû en sortir. (autres que dea res. Dans le Haut-Sénégal-Niger, nos complique : Promotion de lieutenants « Mais je veux aussi la coupe Pommc- patriotes ont créé-des plantations d'arbres points de te ville. Jusqu'à présent, il n'y Guinées) 39 630-000 fr. en 1910 « Oui, et voudrait^on me reprocher cVa- a eu que des collisions peu importantes. ryPARIS, 19 septembre. — Sont maintenus Riz 8.735.000 — — fruitiers, de riz, de sésame. Dans la Haute« Une fois, les rente du chemin de fer,, Guinée, une importante société pratique La police a dispersé un nassemblement à tas leurs corps respectifs, lies sous-lieut- voir fait des progrès ? » Guinées 7.361.000 — — Sa conclusion, c'est que pour les débar- 8 heures du soir. en heurtant ma tête, m'ont empêché dei les cultures vivrières. Dans la Basse-GuiAutres tissus et tooants d'infanterie dont les noms suivent rasser de ces travaux forcés à perpétuité, La circulation est suspendue. faire Douai-Paris. Je vais recommencer «teoat promus au grade de lieutenaiiit : vêtements 5-693.000 — — ' née, une autre se livre à la production inQa a conduit dams les postes de police tout de suite... sans rails ! » Houilles „ 6.331.000 — •— Labofêe, 00e ; Paphillat, 3e bat. chas.; qu'est le salariat, les travailleurs syndiqués, e tense et à l'exportation des bananes, des n'ont pas confiance dans les avocats et les \ plus de 200 manifestants qui avaient été Vogd, 1S !ct. chas.; Dehnas, 79 ; QuinMachines ... 4.836.000 — — Chute d'Astloy et de miss Davies ananas, des noix de kola. A la Côte d'IvoiAlcools 4,386-000 — — te, 153e : iteriat, 146» ; Grégy, 94e ; Vé- ingénieurs du Parlement, fussent-ils socia- foules aux pieds. LILLE, 18 septembre. — L'aviateur As-. re, des plantations de cacaoyers sont en Da nombreux réverbères ont été brisés. Kola 4.049.000 — — jari, 94e ; Davit, 94° ; Lucot, 146e ; Noiet, listes. 161». thley avec miss Davies comme passagère, « Mettre te syndicalisme' a leur remorDes pierres ont été lancées des fenêtres Fors 3.649.000 — — , voie de création. Dans la basse vallée du qui se rendait de Lièges à Londres, a faii Tabacs 3-283.000 — — Oesohènes, 146e ; Muîler, 154e ; Maurel, que, c'est accepter la désagrégation et la sur les agents de police. t Sénégal, à Richard-Toll et à Podor se une chute de 150 mètres en voulant aiterrh e résignation. » 29 personnes ont été blessées, dont une *" ; Vieille-Carré, 69° ; Eigenschenk, 37 ; ' poursuivent avec méthode et patience des Cette prospérité se reflète dans te budget au camp de Ronchard. e grièvement. M. Klemczynski, d'e Saint-Claudei, quiL *flon, 09= ; Thieulant, 79 ; Merle de Les voyageurs sont sains et saufs, maiss essais de culture industrielle du coton par général. Ua agent de police a été aussi blessé. fassoimeau, 145° ; Vallette, 4e bat. chas.; reproche incidemment à la C. G. T. d'avoir l'appareil' est brisé. irrigation- Avec le concours des indigènes e Depuis onze années, les recettes douaniè28 de ces blessés ont dû être transpor™*touin. 15 bat, chas.; Schwantz, 69° ; eu Je tort de is'ingénfer à effrayer l'opinion l'Administration travaille à développer les res, ressource principale de ce budget, acDe Calais à Saint Sébastien iptnaiid, ô« bat. chas>.; Racadot, 10e bat. et la maladresse d'aller à la chasse du lion tés dans les hôpitaux. cultures de9 lianes à caoutchouc, du pal- cusent une progression moyenne annuelle 80 arrestations ont été opérées, dont 37 f»3*-; Doveruii6° rég.; Grelot, 2e bat. capitaliste avec une épingle à la majin, CALAIS, 18 septembre.— L'aviateur Caveont été maintenues. - mier à huile, de l'arbre à beurre ou Ka- de 1.280.000 fr- Les bénéfices nets de l'ex*a«$ afougenot, 2° bat. chas.; Gonnaut, i-combat avec ardeur le point de vue de M. lier est arrivé à Calais par chemin de fer. . rité. w fiât. chas. Renard. Gomme socialiste, il estime qu il i ploitation des chemins de fer augmentent Il compte partir vendredi sur monoplar.1 ^wmliert-Goget., 29° bat. chas.; Lhuvliter, faut maintenir au syndicalisme sa caractépour Saint-Sébastien. Pour le moment, le rôle prépondérant aussi à mesure que de nouvelles sections ristique et sa politique, car, pour lui, il fwt. ohas.; Hugo, 3° bat. chas.; Burluappartient aux espèces que l'indigène ex- de voies sont mises en service. Trop curieux avions Jffi 152" e; Kuhumunch, 25e bat. echas.; n'y a pas d'illusion à se faire, c'est bien de ploite depuis longtemps et d'ailleurs av3-, Mais l'outillage de l'A. O. F. n'est pas la poétique que l'on fait et que l'on doit LONDRES, 19 septembre, — Les manœuvres Jjwret, 18 bat. chas.; Agliany, 20 bat. ; te plus grand succès : l'arachide, graine complet. On estime qu'il faut encore dése sont terminées soudainement, en raison Marteau, 158e ; Dervillle, 9e bat. faire à la G. G. T, Notre construction navale « Nous sommes obligés de reconnaître, diton, de l'impossibilité pour les trouç», oléagineuse à laquelle le Sénégal doit éa penser 140 millions pour son réseau ferré F».; Comtet de ■Cissey, 17° bat. chas.; de richesse et dont la culture se répand dans et 10 millions pour ses ports. Nous te PARIS, 19 septembre. — Le « Matin » dit d'envenir aux prises, à cause des recon ^•urepaire de Louvagnry, 17e bat. chas. dit-il, c|H» nous poursuivons une politique; e que, d'après les renseignements pris au naissances des officiers aviateurs. — Ha les cercles du Haut-Sénégal-Niger, te mil, voyons mieux de jour en jour, les dépenses T rf*. wuturisr, 149 ; Codechèvre, 94e ; de classes. » Et un, cfeîégué de Bordeaux, M. Bu-. ministère de la marine, la décision or- vas. le riz, le manioc qui donnent au noir ses de ce genre sont des plus fécondes. 149e ; Vincent, 146» ; Wallet, 145e ; Curis e insSjsrte égaleement su ce point en di- donnant le départ des cuirassés de iJrest principaux aliments le maïs dont la cuiA tous égards, l'A. O. F. a droit à la solfc J ' 155» ; Rouin, 150 ; mercq, sant : e pour la Méditerranée le 15 octobre, est LES FUNÉRAILLES DE NOGI to M ' x103" ; Dastouet, 149 ; de Carrière ti.re va se développant, surtout au Daholicitude de la métropole. L'argent mie « Le seul examen des moyens qui doivent maintenue. Seul le « Charlemagne », qui ™ «ontvert, 150e ; de Lallemant de Liot Tokio, 18 septembre. — Le corps du gé- mey. Nous verrons plus loin la part qui re- nous lui prêterons ne servira pas seulee amener la transformation sociale à laquela besoin de réparations urgentes, restera bort,,, „ '< Ménétréz, 15 bat. de ch. ; Ga> vient à ces productions dans tes exporta- ment à favoriser la pénétration de notre 1 616 ; Patel 1610 e le nous aspirons, c'est de la politique. » à Brest, mais il sera remplacé, pour que néral Nogi et celui de son épouse ont ét<!'; tiens U îr , ; . ; Blasselle, 160 ; de l'A. O. F. ensevelis en grande cérémonie. e commerce ou l'approvisionnement de nos e n MM. Broutchoux, Lévy, Griffuelhes.Fianla 3 escadre arrive entière dans les eaux fèr^ Lesdos, 150 ; de Barrai d'ALes. missions étrangères étaient présen Les forêts et l'élevage représentent d'au- marchés. Il aidera aussi à nous attacher ; Mauri e eetta et Jouhaux défendent et préconisent i méditerranéennes par le « Carnot », acRitter ce, 156 ; Besoux, 156° ; tes. — Havas. tuellement à Cherbourg. tres éléments de prospérité. Les essences à jamais ces courageuses populations noiïi,,;01 : Desmons, 151e ; Lothe, 150e ; la thèse révolutionnaire. 1506 « La grève des cheminots, ajoute Griffuef( restières'les plus utiles se remarquent res auxquelles noua portons les bienfaits 152» Ô ! May, 79e ; Bourcart, Nouvelle panique à Toulon 1516 prouve que l'englobement parlementai, dans la basse Côte d'Ivoire. Elles compren- de notre civilisation et qui, an retour, 146» î R ! Borcnard, 94e ; Nicod, ihes, re était redoutable. » 14 ; Blan e PARIS, 19 septembre. — Une dépêche de nent 50 % de bois! durs, 35 % do bois de- n'hésitent pas à verser leur sang »ot» i ?' che, 154 ; de BerLes autres orateurs défendent le réfor- Toulon au « Matin » dit qu'une alerte 152», * ' de Louvières, 154e ; Rodiguel, misme. rni-durs, 15 % de bodis tendres ; 70 % con- nous. s'est produite cette nuit à bord du croi, viennent à la menuiserie, à la charpente, ;2 Louis LAF1TTE. Un ordre du jour proclamant ïautonomie» seur-cuirassé « Danton », de la première " ■■ * e-» réservés a"x sous-officiers P!HK ' aux constructions navales, 30 % à l'ébédo la C. G. T. est voté par 1.057 voix contrei escadre, en réparations dans le port. STRASBOURG, 19 septembre. — On annon k tem - nisterie. Actuellement, l'exploitation est HBOURSE DE P&RIS moi rtf se ^P bre. - Sont appelés à 35 . Les officiers durent intervenir pour ra- ce que l'empereur Guillaume a élevé ai ent grade de colonel un Alsacien, le Hautei mitée à l'acajou (l'A. O- F. exporte 20.000 mener le calme. TIÎRMR M chli ^ surveillant : n a e tonnes de ce bois), mais un mouvement se ^mè L f* d .rme à pied à la 7 légion, Prem. conrs Dem, coarr Cette alerte est due à la découverte nant-colonel Scheieh.. P., d'une 0 n de Marseille Le colonel Scheieh, qui est nommé colo _ dessine qui portera des sociétés datées de 18 sept.; 18 sept. gargousse d'exercice enflammée Marina ; Hunel, nel du 5° régiment de la garde à pied, è| capitaux importants vers l'exploitation in- Bente a Dio dans une soute à munitions. 91 52 91 50 Nfi^ a 1la 6° légion, affecté au Berlin, est originaire de Colmar. Il est le «noier militaire d'Albertville. — Ha1279 .. 12/9 .. Le factionnaire prévint l'officier de tense iet scientifique de ces richesses. De ce Actions Lyon PARIS, 19 septembre. — L' « Eclair » >as } Métropolitain 650 .. 653 . premier Alsacien qui ait pris du service3 fait, l'industrie forestière est à la veille de écrit : « M. Poincaré et tous les membres', quart qu'un incendie' venait de se décla- dans Itio Tmto 2116 .. 2127 l'armée allemande. ' rer. du ministère sont décidés à défendre la 1045 .. 1657 TIl était chef du service de géographie et prendre à la Côte d'Ivoire un grand dé- Sosnowice Le feu fut rapidement éteint. Il ne pouréforme électorale devant le Sénat, avec[ t veloppement. Extérieure 4 0)0 94 25 94 Bn LES 6HEM !^Hrrr^~cAT^ A N . de la presse, mission de confiance qui lu: ' vait d'ailleurs offrir aucun danger sérieux L autant d'énergie que devanj la Chambre, 1 94 90 94 l(. L'élevage revêt des formes variées sui- Musse consolidé 4 OiO . . . . fut accordée par l'empereur. .' par suite de ce fait que les poudres et les De Béer» (ord.) 563 50 et à me se prêter à aucune transaction qui1 Le père du colonel était juge à la coui, vant les régions : élevage du cheval, des pa nols liand Mines 177 50 le vote émis par les représen- explosifs avaient été débarqués à l'arrivée d'appel Jfent, danslcs^tres SrH.f <to / ré détruirait de Colmar. — Havas. du <( Danton » dans le port. animaux de boucherie, de moutons recherllriansk (ord.) 578 .. 578 . tants directs du suffrage universel. 5« catalan, des renn^= " 92 55 93 10 Un rapport circonstancié a été demandé chés pour leur laine, de chameaux. La Turc FIN DE LA DERNIERE HEVRU <( Nous avons pu apprendre de la meilbanque ottomane 707 .. 707 .. f^ve. Hiiou\erent la déclaration de . principale ressource est fournie par les Sorbe leure source que le gouvernement est ab- au commandement du « Dantcn » . 87 80 88 2C I bovins. On évalue à 5 millions de têtes de solument résolu à s'engager à fond devant Italien 97 25 97 . le Sénat pour y faire aboutir un proiet bétail le cheptel de l'A. O. F. Dès mainteLES NÉGOCIATIONS ITAI.O-TURQUES Télégramme commercial de réforme comportant, comme le projet; nant, le Soudan français fournit aux colo(Bourse du commerce) PARIS, 19 septembre. — « Excelsior » voté par la Chambre, l'établissement du1 nies de Sierra Leone, Côte d'Ivoire, Gold Cthlffret fournis par la maison Uoger Bollack cl CfM scrutiu de liste avec représentation des croit savoir que les négociations turco-itaCoast, Togo, la viande de boucherie dont Pavis. 18 sep!.. 14 \\. C0, minorités et basé sur le quotient électo-» liennes pourraient bien durer jusqu'au elles ont besoin. Il a été question de recouTrains lapidés Eli*B ■ mois d'octobre, afin que la nouvelle ChamCOUHANT 4 DERNIEa ral. Avoines (100 kil.) 20 05 20 45 S^L a,examinera s'il v a i;„ ■ rir à ce pays pour approvisionner te marBERLIN, 18 septembre. — On apprend que hm de « Sur ces trois points essentiels de la1 bre ottomane soit à même d'adopter ou de Blés (101) kil.) 85 26 80 Jx deminrilo deS I Q che donner repousser les propositions italiennes. dans le duché de Bade, les trains ramenam f ché français. Des essais ont été tentés. Les l'armes (100 kil.).. ...... 36 70 34 80 fc^isX tlch?r. m^ots cata- réforme, M. Poincaré et ses collaborateurs'' ■ PARIS, 19 septembre. — Le conseiller de les troupes des manœuvres ont été, à plu-. difficultés qu'ils ont révélées me semblent «V • • se déclarent absolument intraitables. 80 uO 74 25 sieurs reprises, lapidés. l'ambassade ottomane à Paris est arrivé ài 74 25 77 25 « La seule concestyten à laquelle est dispas insurmontables. L'expérience se pour- Huiles (100 kil.) *** ^U Un convoi, transportant des hommes dt:i suit, Alcool (Vheelol.) 54 48 85 posé M. Poincaré porterait sur la ques-• de Constantinople, porteur du texte des e ■ propositions italiennes en vue do la paix. 114 de ligne, a été cribé de pierres prèf COUDANT 4 OCTOBBB tion secondaire de l'utilisation des restes. — Havas. s A ces ressources s'ajoutent celles que Sucres 36 81 31 68 de Lorbach. Le conducteur du train lu; « Il ne s'opposera pas devant le Sénat à t fournissent te sous-sol : sel gemme, or, imemMgatas^^taijh^i^yiEigKr-se^jjc^g . i assez grièvement blessé. la recherche d'une solution qui ne serait fer, dont on organise l'exploitation et Dans une autre circonstance, les pierre; RCUSSET EST LIBRE pas de nature à en dénaturer la forme 5 te!é ,é PAGE i S fir4h A ^iablissement d'un posto atteignirent un compartiment où se trou- aussi la chasse et la pêche ; la zone litto« Sous aucun prétexte, le gouvernementE OOMSTANÏINE, 18 septembre. — Sur ordre Les manœuvres dans l'Est. : raie est très poissonneuse. Non seulement vaient des officiers, et l'un d'eux a été griène se prêtera même à l'étude d'un pro. du généra] Branlière, commandant par ina deilv ^^unirm^ iron 200 milles, et jet qui aurait pour but, tout en suppri-• terrai la division de Constantine, le diaci- vement blessé. elle fournit aux indigènes un appoint de u PAw^ 4 } «a.v ï«*:ia avec Dunkerque et Bie!, mant le scrutin d'arrondissement, dei planaire Rousset a été mis en liberté ,.,jo On croit, qu'il s'agit d actes antùnilita pourriture important, mais ele sollicite Echos de la Mode. f<s i maintenir le système mgisritsiira >»' ristes, mais on n'a aucune trace des a*xes--^■SPire.. — Havajs. - • geurft . depuis plusieurs années déjà, au large de L'actualité agricole. Ja côte mauriianiennej l'activité et l'expé- st^ Peux protestations Ligues et Syndicats J^.. j Nouveau pugilat | est calme à la Chamhre hongroise,mais estMarakech aussi en état de siège j Vantons a tenta surprise L'Alliance démocratique répond aux radicaux-socialistes G® qu'elle O. F. croit être son vrai rôle i Les fonctionnaires contre le statut Socialistes et Cégétistes < LES AVIATEURS Le commandant Criant et ïes Ligues militaires m% DARSJilURIRE i i L r?' REGION Ils! fi!saeie dans l'armés allemande °îa ^S - , Le gouvernement et la R. mm m ' DES BMEWSES âLLEiMOES ^K^ff^ * ^- SK wma j Petites correspondances. z nimmrTtnii ■«■■munit mu ■ mu "r „..„,.- , nriimMiriii»rmri»™iir-» llt minai i ^Lbl ntr«UpUkAtllZIT" .^ggf3^sgg3K>K?£^gg^^^yj^^^' nii ' '"' i>^.i-..j»^^*ui-.)a _ LE1TRE DE LONDRES I j Arrestation de l'assassin L'avenir démocratique \ en Angleterre ] 7V (Aveyron), 18 septembre. — Le Guitard, 21 ans, a été arrêté ce matin à Cransac ; il est inculpé de l'as1 sassinat de M. Pierre Tarry, contrôleur à ? la gare des Aubrais. Guitard a été reconnu par M. Lelièvre.un des employés ayant 1 poursuivi le voyageur qui devait être le meurtrier. 1 Guitard est bien l'individu qui a été sur pris dimanche à Capdenac dans un train 1 1venant de Paris avec un billet valable ;seulement de la gare Paris-Orsay à la 'gare Paris Austerlitz. — Havas. CKANSAC j j j i DE NOS ENVOYÉS SPÉCIAUX 1nommé LONDRES, 14 septembre. — Quand M. Border» et ses collègues du ministère canadien, au cours de leur Técent voyage à Londres, offrirent au cabinet de SaintJamea la participation du jeune mais puissant « dominion » nord-américain à la défense impériale en échange de certain privilège et que cette offre fut virtuellement acceptée, on se rendit compte qu'un nouvel et intéressant problème était posé. En effet, ce privilège — une participation au gouv-nem-èut général de l'Empire — était déjà désirée par l'Australie et ta. Nouvelle-Zélande, bien, qu'elles n'en firent pas une conditio» de leur effort vers la défense commune. Aujourd'hui, l'opinion publique en Afrique du Sud endosse la démarche canadienne et on prévoit que le gouvernement du général Botha ne tardera pas à répéter, pour son propre compte, l'œuvre de M. Borden. Comment admettre au Parlement actuel de Londres les délégués des colonies ? Quel intérêt pourrait bien avoir pour eux les questions d'intérêt purement anglais qui y viennent en discussion et qui forment bien les neuf dixièmes de son ordre du jour ? Il semble que le gouvernement actuel ait déjà envisagé ce problème et songé à lui donner une solution aussi radicale, que démocratique. Car, bien que M. Winston Churchill, dans le grand discours, qu'il prononça hier à Dundee, ait pris soin de faire remarquer que les opinionsi qu il exprimait ne formaient aucune part; du programme immédiat du cabinet.dont, il est l'un des principaux membres, il[ n'y a guère de doutes à avoir qu'il avait; en vue une tâche réservée à la prochaine> législature libérale. Nous allons, dit-il, donner l'autonomie) à l'Irlande. Ensuite, il faudra songer ài étendre cette mesure au pays de Galles; et à l'Ecosse. Et si le home rule, comme> nous en avons la certitude, sera avantageux à ces trois divisions du RoyaumeUni, pourquoi s'arrêter en si bon che-. min î Pour ma part, la perspective de) voir les affaires locales de notre pays ré-glées par huit ou dix assemblées législa-r tives distinctes n'a rien qui m'effraie. Lei Lancashire, avec ses huit millions d'ha-bitants, ses centres populeux comme Li-verpool et Manchester, gagnerait à avoirr le contrôle de ses affaires locales. On enx *-•-«> peut dire autant du Yorkshire, avec une3 population égale, sinon supérieure. Ces APRÈS LES MANŒUVRES conditions sont partagées par le Midland,! ——— avec le district industriel de Birminghami au centre. L'agglomération londonienne, qui a déjà son petit Parlement, le London County Council, pourrait être élargie en même temps qu'on augmenterait ses préLISLE-BOUCHARD, 18 septembre. — Le rogatives législatives. Resterait deux dis-" général Joffre, directeur des manœuvres. tricts, l'un à l'Ouest, l'un à l'Est, qui1 adresse aux troupes un ordre du jour expourraient, sans trop de difficulté, fox-- primant sa plus entiers satisfaction au commandement et aux états-majors, qui mer deux ■ pr • .'■'•es autonomes. Et M.ChurcriUl fit ressortir quelques-unss ont fait preuve de sagacité, de savoir et des nombietiA uvantages dei cette divisiona d'activité. Les troupes ont montré une apj titude à la marche, une endurance extrêfédérale du pays. Ce serait le pas initial ' me, un esprit de discipline remarquable. vers l'établissement, à Westminster, d'un Enfin, l'incomparable audace de nos aviai_ parlement vraiment impérial, où les questeurs et de nos aérostiers a permis de tions navales et militaires, de politiquee mesurer les nouveaux et très sérieux sers vices que l'on peut attendre d'eux dans extérieure, de communications entre les diverses partes de l'immense empire.etc,., le cadre d'un» organisation militaire raa tionnelle. — Havas. seraient traitées, avec tout le loisir et la i♦ »♦ largeur de vues nécessaires par des hommes ayant fait leur apprentissage de la politique et donné des preuves de capacité dans le gouvernement des divers districts fédéraux qui les auront délégués i au Parlement central. . . Cette réforme réalisée, on ne verra plus,S, comme aujourd'hui, une interpellationa la mStîs&tSoit ai; M@XSS§SSQ l sur, par exemple, la politique de la Gran~ De noire correspondant particulier E de-Bretagne en Perse précédée par une , NEW-YORK, 18 septembre. — On mande de ;autre interpellation au postmaster généWashington que te département des affairal pour savoir pourquoi une distribution ra res étrangères est occupé en ce moment à de courrier à Mud-irj-the-Hole ou toute e transformer en une espèce de protectorat n le contrôle financier de la Maison-Blanche autre bourgade perdue n'eut lieu certain l, à Sanito-Domingo, tandis que le départejour qu'à neuf heures du matin, quand, ment de la guerre prépare en toute hâte z. réglementairement, elle eut- dû être effecfs une nouvelle expédition armée au Nicaratuée une heure plus tôt. Ce sont de telles . gua, où les 600 marins qui y furent débarincongruités qui renient inévitables l'é- qués le 30 août sont insuffisants à empêcourtement des grands' débats, la fameuse ® cher les rebelles, maîtres déjà de Masaya lt guillotine dont les libéraux se plaignaient et de Granada, de marcher sur la capitale, tant à l'époque de Balfour, ce qui ne les ss Managua, empêche pas de la faire fonctionner auiMais c'est toujours du Mexique que nous •s parviennent les nouvelles les plus alarmanjourd'hui avec autant de brio que leurs tes pour la paix du continent américain prédécesiîurs au pouvoir. L'acte de brigandage du général Salazar, A un des principaux lieutenants d'Orozco, en ,e «'emparant du plus grand propriétaire desj Je répète que la. réalisation de cette mines du Sonora, le capitaliste américain, e grande réforme sera probablement une M. Lionel Burrows, et de cinq ingénieursi ;_ des taches que s'imposera la prochaine léT également américains, et en exigeant pour" gislature radicale. Car je ne crois pas à a leur liberté une rançon de cent mille dolu un retour prochain des conservateurs au lars sous la menace de les fusiller, a créé! pouvoir. Hors l'Angleterre, on attachee au gouvernement de Washington une situaztion fort délicate. trop d'importance aux résultats des élecLt . On a été fort étonné d'apprendre que les. tions partielles qui ont eu lieu récemment ,s forces que Salazar conduisit à l'assaut de, et auxquelles les torys ont arraché des sfièges aux libéraux- Ces victoires conser- El-Tigre (Sonora) se composaient presque exclusivement d'Indiens yaquis, qu'on supvatrices sont presque toutes dues à l'en- posait dévoués à Zapata, mais complète-n trée eoj campagne des labouristes. Ici un ment divorcés d'Orozco. Il faut croire que candidat est déclaré élu à la majorité res- depuis que les rebelles du Nord ont inaulative ; il imparte peu si, comme dans la a guré leur lutte de guerritlas, une entente[ 1- est intervenue, par l'intermédiaire du caci-; circonscription du Midlothian il y .a quelque Salgado, entre les révolutionnaires dul ques jours, les libéraux et les labouristes, 3> Nord et ceux du Sud. avec des programmes presque identiques Voici d'ailleurs, à titre documentaire, lai dang ses grandes lignes, aient sur le réacB " description, très claire et très précise', que* tionnaire une majorité de 2.500 voix. Le * la grande feuille de L'Ouest, « The Los-scrutin de ballottage n'existant pas, c'est st Angeles Timeis », reçoit de son corresponce dernier qui est déclaré élu. De plus, la a dant militaire, sur les deux mouvements; discipline de parti est bien plus ' stricteinsurrectionnels qui déchirent la malheu-* 8. ,x reuse République mexicaine : ment observée aux scrutins généraux « II faut, dit notre confrère, ne pas perqu'aux élections partielles, où, d'une part, t [ les questions de clocher et de personnes' dro de vue que la révolution mexicaine est une double affaire. Orozco, au nord ne reont libre jeu et, d'autre part, beaucoup P présente que le vieux régime et n'est que d'électeurs s'abstiennent par indifférence, e, le chef d'une des factions rivales qui se> le résultat,- même favorable à l'adversaire, e, formèrent au lendemain de la chute du dic-. ne mettant pas en péril l'existence du gouî- tateur Porfirio Diaz. Par contre, Zapatai vernement. représente une idée. Il est le champion Sur de l'.appui loyal des Irlandais et du des paysans et des ouvriers, le leader del u 1 ceux qui aspirent à détruire le système\ Labour Party, le gouvernement actuel, en dépit de quelques échecs partiels dans des grandes propriétés créé par Diaz et à. le remplacer par une république de pe-_ les collèges électoraux, restera nu pou- tlt,s *" propriétaires. La situation de ce côté; veir jusqu'à ce qu'il ait complété la a est fort dangereuse, paroe que noufi som-. tâche qu'il s'est imposé, c'est-à-dire forcé :e mes acculés à une lutte de classes. » les lords à donner leur sanction aux trois is Le correspondant ajoute que la lutte me-réfoimes suivantes : Home Rule pour llrnace de se prolonger indéfiniment, — W. r. - Isnde, Séparation de l'Eglise et de l'Etat dans le pays de Galles et nouvelle loi électcrale supprimant le vote plural et établissant le scrutin de ballottage.' Avec cette dernière loi inscrite au Sta;r Le tumulte continue tue Book, le parti du progrès pourra aller aux urnes avec confiance. Au lieu d'un BUDAPEST, 18 septembre. — Le scandalei N rival, il aura dans le Labour Party un qui a commencé hier au Parlement hon-' allié dont les voix, lors des scrutins de grois a continué aujourd'hui. Les députés de l'opposition ont injurié les, ballottage, iront au candidat gouvernegouvernementaux et le minist'e du mental si ce dernier est favorisé au pre- députés commerce. mier tour et récipi'oquemont. Dans un a grand nombre de circonscriptions — on u Minisirs frappé calcule qu'il y en a plus die cinquante — Celui-ci voulant protester a été attaqué le triomphe des conservateurs, dans le a coups de poing et est tombé, mais il a été e passé, n'était possible que grâce au votee délivré par les gouvernementaux. Lorsque le comte Tisza, président, ouvre plural, dont le privilège, comme en Belgi-. que, est genérakm^t détenu par les reac- la séance, les députés de l'oppositi«i re•' corom-encent le tumulte avec des sifâets et iioju^a-ires. des irorai^ttes. — Havas. Ordre du jourju directeur i Les Etats-Unis et l'Amérique latine Le thème général SBï>®êt-œe la paix ? 18 septembre. — Aujourd'hui mai tin, à onze heures, s'est tenu, au Palazzo Brazzi, '■ un conseil des ministres qui s'est 1 occupé exclusivement des pourparlers de paix.' Dans les milieux politiques, on attache à ce conseil la plus haute importance et on \croit que les pourparlers sont réellement , arrivés à leur phase définitive. D'autre part, publiciste Vittorio Vetiori télégraphie de Ouchy (Suisse) au « Giornale d'Italia » que les conversations des 1délégués italiens et turcs ont repris aujour'd'hui et que les Italiens sont bien décidés à rompre les négociations s'ils n'obtiennent pas satisfaction sur les points suivants : 1° Nulle souveraineté d'aucune sorte de La Turquie en. Lybie ; 2° Rappel complet des officiers et des troupes ottomanes en Lybie ; 3° Suppression de l'organisation turque de la résistance arabe ; 4° Restauration de l'état eapitulaire douanier et commercial dont les Italiens jouissaient dans l'Epire ottoman avant la guerre. Au sujet de la négociation d'un emprunt à l'étranger, une note officieuse dit : « Un journal étranger a annoncé que le gouvernement italien était en train de négocier avec des groupes financiers anglais, belges et français un emprunt de 600 millions en faveur de la Turquie. Cette nouvelle est entièrement dénuée de fondement. » 1 le Le contact DÉTRUIT BERLIN, 18 septembre. — Un télégramme de Yokohama à la « Gazette de Fii-amsl'art » annontee que le ballon « Parseval », récemment vendu à l'armée japonaise par la société des ballons Parsaval, a été complètement détruit. Ce ballon Parseval avait été expédié au Japon dans le courant du mois d'août dernier. Il avait un cubage de 8,000 mètres,, 77 mètres de langueur et une largeur de 15 mètres. H possédait deux moteurs de 150 chevaux. Dix passagers pouvaient (prendre place dans la nacelle. Sûçj^STE ILLEIMD CHEMNITZ (Saxe). — Le congrès, après urne longue discussion et après une intervention passionnée du député Ledebour, a adopté une réorganisation du parti proposée par la commission,—• Havas. L'UNION INTER PARLEMENTA IRE GENÈVE, 18 septembre. — Ce matin, à dix heures, s'est ouverte la dix-septième conférence de l'Union interparlementaire sous, la présidence de M. Bernaert, ministre d'État belge. — Havas. MARIAGE PRINCIER EN AUTRICHE VIENNE, 18 septembre. — L'empereur est; parti ce matin pour le château de Waldsee, pour y assister au mariage de l'archidu-. chesse Elisabeth-Franctsca avec le prince, Georges de Waldburg. L'empereur est arri-. vé en automobile ; il a été acclamé par la population .— Havas. i : Régionale ; La : l M PARLE1EMT H8W6R01S division Voici le thème général des opérations : L'ennemi battu, a franchi l'Ornam couvert par de faibles arrière-garde*, qui tiennent les passage® de la rivière. Son corps de gauche désorganise, semble n'avoir pas dépassé la région BoviolTe, Reffroy, Meirgny-le-Petit. D'autre part, on .a signalé d importants mouvements de trains militaires de Sorcy vers Pagny-sur-Mesuie. La 11° division, entamant la poursuite, franchit l'Ornain .et .se porte dans la direction de Ménil-la-Morgue, elle marche divisée en 3 colonnes. La nuit est superbe, le ciel est étoile. Parti de Saint-Joire avec les troupes, je me trouve au delà de Meligny-le-Petit, à 7 heures du matin, ayant été beaucoup retardé dans la traversée du bois Nouvellois par le 79». Dans la nuit, le général Defforges. a tout mis à profit pour reformer ses lignes! plus en arrière. La 39e division a repr» daùtres postes de combat sur la ligne Meligny-le-Grand, Braux et Naïves, ne perdant pas le point de vue que d'après le thème de la manœuvre, il doit toujours se tenir dans la direction de Ménilla-Horgne et Sorcy. ROME, LE COSGRES 39" (Meuse), 18 septembre. — 3 heures du matin. —- Les soldats des ; 26" et 70°, placée aux avant-postes, dé'fendent conscienieieusement les' approches et se fusillent de temps à autre. Je croise deux officiers russes, les capitaines Emilianoff de la 3° brigade d'artillerie de la garde et Narbout, du 3° chasseurs finlandais. Important Conseil ' des ministres italiens » PARSEVAL » contre NAIVES-EN-BLOIS , BALLON ■ _ ~-.-v. -w- • n /vn T-i LES MANŒUVRES DANS L LSI LE DRAME DES AUBRAI3 Ceci sans compte? l'attrait qu'aura pour le gros de l'électorat un programme de réformes sociales infiniment plus radical que tout aea devanciers, s'il faut en croire M. Lloyd-G-eorge lui-même qui, dans un discours récent, s'écria à l'adresse de ses adveraires : « Vous protestez contre les quelques mesures favorables aux pauvres que nous avons réalisées, telles quo la loi des pensions de vieillesse et l'assurance nationale contre la maladie, l'invalidité et . le chômage. Attendez un peu : nous n'avens fait que commencer. » : Et le joyeux Gallois ne promet pas en vain.Il a déjà fait allusion à toute unes? rfa dd meisurs) \ pour irendre plus supportaLie le lot du travailleur agricole et lui ôter l'envia d'émigrer vers'les villes pour encombrer davantagî le'marché du travail industriel : minimum de salaire, érection, 1 de cottages hygiéniques par les autorités ' locales, facilités pour l'acquisition de terires, organisation de bibliothèques et au■ très sources de récréation dans les villages, etc. L'ouvrier industriel, die son côté, ne ! sera pas oublié. Une mesure qui est un acheminement vers la faxe unique, dont l'Américain Fels est le grand apôtre aux Etats-Unis, fera, dit-on, partie de la plateforme libérale aux prochaines élections générales. Ce sera une réforme de l'impôt foncier qui fera payer aux grands propriétatees — il y en a quelques douxaines qui ont de 20.000 à 100 000 hectares chacun —■ une taxe suffisamment élevée pour les fo.-cer de rendre à la culture d'immenses terrains qu'ila réservent maintenant à leur amusement. Par contre-coup, cette taxe permettra de dégrever notablement les habitants pauvres des villes qui s'upportent à l'heure actuelle plus que leur part du fardeau. A cette activité créatrice les torys n'ont à opposer que le protectionnisme — si on laisse de côté leurs menaces de détruire une partie de l'œuvre du gouvernement actuel. — Quels que soient les mérites des barrières douanières pour des oatit ns autrement situées que l'Angleterre, l'électorat se rend compte chaque joifr plus clairement que la prospérité économique de ce pays, « l'atelier du monde entier » a le libre-échange comme fondation princi paie. Depuis le grand éveil démocratique de 1906, qui .amena au pouvoir un libéralisme « esprit nouveau », la position du parti conservateur en Angleterre devient de plus en plus semblable à celle des parti.» monarchisteg en France. Ou je me trompe fert ou les Anglais, dans le premier quart du vingtième siècle, donneront au monde. entier de grandes et utiles leçons de jus tice sociale. TARRIDE DEL MARMOL. m Lorraine et ses mortsi » ———— NANCY, 18 septembre. — Le dimanche 6î octobre prochain, comme on le sait, auraL lieu à Thiaucourt l'inauguration du mo-. nument élevé au général Clinchant, ancien gouverneur militaire de Paris. ... C'est un sujet d'étonnement pour les5 étrangers à notre province eue ce.perpé-tuel souci des morts, que cette préoccupation constante d'honorer ceux d'entre eux qui ont bien combattu pour leur pays. Constamment autour de nous, des cérémoules funèbi-es déroulent leur rythme et sur notre sol, il est encore bien des braves dont la vaillance appelle la commémoration, par la pierre ou par le bronze. Un Provençal mous disait, l'autre jour. qu'en dix ans il n'avait pas vu, à Marseille, deux de ces grandes' fêtes du souvenir si fréquentes en Lorraine. Car la Provence n'a point, pour ainsi dire, connu la guerre, depuis CharlesQuint, tandis que nous ne comptons plus les luttes et les .invasions terribles. Le général Poline, dès la pointe du jour, a fait prendre à ses avant-gardes un violent contact pour connaître où était le gros de l'ennemi. La 21e brigade est à gauche avec le 69e, longeant le bois Bernisat. La brigade Kaufmant s'appuie SUT les bois de Naives. Aussitôt sur cet autre plateau la bataille prend une forte acuité. Si la poursuite du général Poline est ardente la défense du général Defforges est savante et énergique. Aiirdessus de Melign.yle-Grand on marche à l'arme blanche sur lea manchons blancs. Clairons et musiques s'en mêlent, tandis que la fusillade fait rage, que la canonnade redouble d'intensité et que les mitrailleuses « déchirent de la toile ». Sur ce côté du plateau « il y a de la "-outte à boire » et la « Marseillaise » sont chantés par toutes les poitrines du 69e. Mteligny-le-Grand est occupé par une partie du 69", le 3e bataillon, dont les tirailleurs garnissent les vergers avec les mitrailleuses embusquées à toutes les issues du villageLe général Defforges a placé la 77e brigade à droite et c'est justement le 146° oui reçoit le choc des 1er et 2° bataillons du 69". De ce côté les manchons ont défendu la route grimpante qui va vers Ménil-laHorgne et dans les terres se sont creusés des abris de campagne d'où ils tirent à coup sûr, bien soutenus par l'artillerie, La bataille est toujours très vive dans la direction des bois de Naives et la forêt de la Palisse. La 78", brigade Bajolle, se cramponne à la grande route de Bovée, et se trouve aux prises avec des forces de beaucoup supérieures. Le biplan du capitaine Brunei, parti des champs à la droite de Saint-Joire, se tient à une grande hauteur et vient planer audessus des bois de Naives et de la Palisse, puis revient aussitôt dans les lignes du général Poline. U e^f. 8 heures. Sur tout le front, l'attaque est des plus mordantes. Le soleil est même chaud et l'atmosphère d'un blanc laiteux : de la cote 329 je déoouvre tout le front du combat. Près du bois Vaugrenot des patrouilles de cavalerie se poursuivent, des dragons chargent des hussards. Mais depuis la randonnée du biplan, le plan a dû être modifié. Il semble que la 11° division progresse beaucoup plus sur Broussey-cn-Blois. L'artillerie des manchons blancs suit en mouvement. Le général Defforges se tient sur la crête devant un moulin en ruines. -Le général Poline est a.u loin sur la crête 328, sur la gauche de Naives-en-Blois. A ce moment l'aiie gauche de la 39° division glisse du côté du bois du Tremblois, tandis que son centre s'incline sur Naives et que sa droite (brigade Mazel) déborde Braux. U est certain que, en présence des forces supérieures de la 11° division, le commandant des manchons blancs, dont l'ordre est de se replier sur Sorcy, hésite à s'engager j usqu'à Ménil-1 a-Ho:rghe. La forêt de Gommercy serait un mur auprès duquel il ne fierait pas bon se battre, Le général Defforges semble préférer la direction de Vacon, qui, par Void, le conduira plus sûrement sur la vallée de la Meuse. Son aile gauche progresse sur Broussoy, son artillerie bien campée tient les crêtes. Le général Poline a deviné les intentions de son adversaire. Il resserre ses régi- f Arrestation mouvementée • PONT-A-MOU&SON, le 18 septembre « ar di soir, vers six heures, le nommé Georges Cornu, âgé de 29 ans né ^tf"8^ l ar travaillant ; une huitaine ; V is, aux fonderies de Pont-à-Mousson &»»« vait .attablé au débit Nicolaï rue' ,fd tr°u0 sés, en compagnie de deux autres dus. . 'luivj. Cornu, qui paiaissait surexcité un revolver de sa poche et, sans aiK-,,^W1it tif en tira un coup sans viser M Ttl ■ ^oni personne. Le combat Justement effrayé de voir dans La fusillade fait mage- Les gas de l'in- blissement un' individu qui jouait . , fanterie délestent leurs cartouchières. L'ar- cîléniénit dii revolver, M. N'iooViï fit^1 la. tillerie brûle toutes ses munitions1 èt les mi- lër là'police. Quand Le sous-brïô-, ■ aM»e. trailleuses font du 220 à la minute. Où ne cé et ragent Pok-t arrivèrent, Co-iZ \ * s'entend plus sur les hauteurs d'où j'em- quitté l'établissement Nicolaï «cii? dans sa. pension, chez Dœrr, rue âr nbrasse ce magnifique spectacle. Tout à coup, le général Defforges donne teinte. Des agents L'y reiai«njw„t'N9-1 *'nides ordres. Estafettes et cyclistes courent Le sous-brigûdieir Àncé appela rVv - tôtdans toutes les directions. La 39° division, était attablé en; lui disant qu'il àv j+U m ' a 1 1Ueildans un élan suprême, va charger ses que chose à lui demander. agresseurs. Les musiques sont déjà au cenCornu se leva, mais au même , il ^ lant tre des régiments, les clairons et tambours mettant la main à la poche 11 m s ' °«tt derrière leurs bataillon®. « Baïonnette au son revolver. canon ! » crient les officiers de toutes parts. Voyant Le geste, Le sous-brigadi,,, A Mais les sonneries retentissent : c'est 'e ne laissa pas à Cornu Le temps dÀ f refrain du corps d'armée, puis le « Cessez usage de son arnne. D'une main H iP ro le feu » et le rassemblement. sissait à La gorge pendant que de l'i ^ La critique eut lieu sur La crête 395, de- il lui maintenait solidement le poie-rii* vant Meligny-le-Grand. L'agent Polet tentait également °de „ na ser le cabriolet a 1 autre bras de fn A Pendant cinq minutes ce fut une I^M" Ce soir les campements sont serrés : la corps à corps entre les agents et r ™ 39:: division est à gauche, le long des côtes qui s'efforçait de faire marcher la "\u de Void-Mauvages ; la 11e division, qui a chette de son revolver. Mais le souslt fourni un effort considérable, cantonne le gadier Ance avait soin de lui maintenir , long de la ligne de Vaucouleurs. C'est dans main, de telle sorte que je canon, de r cette ville que se trouve le quartier général. m© était dirigé vers le plancher EfriftT L'après-midi de mardi a constitué un re- malgré la violente résistance de Cornu pos salutaire pour le 20« corps, qui est ap- agents parvinrent à lui enlever son vévîvf pelé encore à fournir une attaque de deux ver .Mais bientôt ils s'aperçurent nue C/T jours. — C. F. nu a.vait une autre arme dissimulée la poche intérieure de son veston Ib tirèrent en effet une longue tige de î» rori NANCY, 18 septembre. — Au moment c-ù de et très effilée. Cornu fut ensuite em les manœuvres vont se terminer, il con- mené — non sans une vive résistance -1 vient de rendre également hommage à la au poste de police. En chemin, i,l tenta dè 20e brigade de cavalerie (dragons de Pont- mordre à plusieurs reprises l'agent Polet à-Mouason, hussards de Nancy et de Gom- Fouillé, on trouva sur lui huit balles dont mer cy). plusieurs étaient mâchées. Le barillet de Nous avons parcouru, ces jours derniers, son revolver contenait «n outre cinq carLes cantonnements du 6" hussards (de touches. Cornu est un ancien légionnaire Mardi, dès le matin, il avait déclaré qu'à Gommercy), dont l'état-roajor occupait Vézelise .L'antique petite cité se faisait une voulait tuer trois personnes dans la jourfête d'offrir un gîte hostipalier à tout Le née. C'est une véritable brute. Ses maîrégiment, mais malgré La bonne volonté tres de pension et ses camarades étefant de tous, on ne put y loger tout le monde terrorisés par lui. Ce fut un véritable sou. et deux escadrons ont été aiguillés respec- Lagement pour eux quand- ils le virent env tivement sur les villages d'Ognéville et de mener par la police, car ils craignaient Vronecurt, qu'il ne fasse un malheur dans la soirée. Ce fut un ravissant spectacle pour les cœurs lorrains que l'entrée dans Vézelise et les villages environnants, par une pluie battante, de ces alertes cavaliers, fiers sous le coquet dolman corseté du brandebourg blanc, et vaillants encore malgré plus de trois semaines de routes et de manœuvres allègrement supportée® malgré le mauvais temps dont nous avons été gratifiés. C'est en effet le 6° hussards qui AUJOURD'HUI : DEMUN : a coopéré aux évolutions et manœuvres do la 11° drtvision au camp de Miailly et Saint JANVIER | Saint EUSTACHE qu'il a quitté en lui laissant un escadron Jeudi 19 septembre. -— 263° jour de Vannée divisionnaires, venant avec ses trois autres Ephémérides lorraines. — En 1284, les escadrons prendre pnurt aur impression- bourgeois de la ville de Toul expulsent les nantes chevauchées de La brigade. chanoines de lia Catéhdrale. Le 6" hussards à Mailly a obtenu du géA 1 heure et demie. — Excursion aux e néral commandant le 20 coups d'armée, champignons de la Société de mycologie. e et du général commandant la 11 division, A 8 heures ©t demie. — Maison du Peules éloges les plus flatteurs, transmis avec ple : Assemblée générale des coupeurs em orgueil, par la voie de l'ordre. Nous tenons chaussures. à reconnaître ici la preuve de son enduNancy-Attractions.- 8-volant,cinéma. etc rance et de son entraînement, ne doutant pas que notre admiration soit partagée APorabw TEMPÉRATURE LA .sans conteste par tous nos lecteurs et avec 'g j' Biarritz 765, Dunkerque 771, pressioï l'espoir de pouvoir acclamer ces vaillants, -f * très élovée Nord Ouest Europe. à la grande revue du plateau de Malzévllle .— H. B. J t" LelS ANANCV Le 19 fJ- *' S La cavalerie NANCY " LA JOURNEE •m» J) r •| ?. Le crime de Varangèvills Les aveux d'Husson NANCY, 18 septembre. — Husson, Le meurtrier de Paul Cornu, à Varangéville, qui depuis son, arrestation avait toujours opposé des dénégationis énergiques aux affirmations de sa femme et de Méllne, chez lequel il a.vait soupe le soir du crime, a été interrogé de nouveau par le magistrat instructeur. Les témoignages de sa femme et de Méline lui furent opposés ; il essaya encore de' nier, puis pressé do questions, il entra dans la voie des aveux. Serré entre deux tampons Le jeune Lecomte, employé aux chemins de fer à la gare de Conflans-Jamy, .a été serré entre deux tampons au cours d'une manœuvre. Après les soins à Conflans du médecin de la compagnie, il a été dirigé sur l'hôpital de Nancy par le train de 9 heures. Heures _ ïhorm. BaromB., _ _ Temps probable: Ia '? 6 7i. m. + 6 5J= MiM.. + 18 i. 4 II. S.. + 16 Max. . + 18 Min... + 6 1 II 4> «^fp 753 751 753 - „"", Vent d'entreNordetEst Temps beau et frai9 ' (OtservaEioBS de M. Delliéui.) SOLEIL Lever 5 h. 43 Coucher LUNE Lever 3 h.31s. ^^^T^tàilâR/r ^W^S^W1^^^^. ^^A'^^^S^^m. M^Âpf jSffp I I ^U>» \^ / %|^VR^ ^1 [la 7 iuS (SS * S R EPINAL, 18 septembre. — A la suite de l'aosorr-tiDn de champignons vénéneux, un ouvrier peintre, Lucien Martin, 47 ans, est ■ mort. Son frère, Emile, 36 ans, et leur mère, âgée de 67 ans, sont dans un état grave. L'arrestation d'un journaliste Nous recevonsi de M. Emile Hinzelin U lettre suivante : Paris, le 16 septembre 1912Mon cher confrère et ami, J'ai lu récemment, avec le plus vif plaisir, dans 1' « Est républicain », la lettre « d'une de vos lectrices nancéiennes » sjtf mon arrestation à Vieux-Brisiach. Je vieo* d'acquérir la certitude que votre lectrice a raison, quand elle affirme que le sergentmajor Heckmann, qui m'accusait si faussement d'avoir levé des plans au bord d« Bhin (ci : quatre ans de forteresse), n'est pas un Alsacien d'origine. Comme votrp correspondante l'écrit : « son père est venu à Obernai après l'annexion ; s'y e» marié' ; a plusieurs fils natifs d'Oberna» ; mais ce père est un Allemand, bien qu'habitant l'Alsace depuis tant d'années, il n* jamais pu parler le dialecte alsacien »• Ainsi, la ville d'Obernai, une des plu? exquises qui soient sous le doux ciel d Alsace, si pleine de loyale hoapitalité, dart ingénieux et cordial, de discrète poésie, de nobles souvenirs historiques ou légendaires, demeure dans ma mémoire san* » moindre nuage. Voulez-vous1, mon cher confrère et an* remercier en mon nom votre correspw dante et agréer l'assurance de mon sfflr cère dévouement. EMILE HINZELlN, Je ne fume cfue le NIL Pour uns famille malheureuse L'inauguration, officielle du Ciné-Palace a lieu mercredi soir à 8 heures et demie, ainsi que nous l'avons précédem-iic-nt indiqué. Mais les directeurs ont eu d'abord une pensée touchante. Au moment où le grand hall allait s'ouvrir au public, ils ont songé à la multitude de ceux pour qui tous plaisirs sont interdits, quelque, minime qu'en soit le prix ; ils ont songé aux bambins de notre grande cité qui ne vont j.amais au Cinématographe, parce que, chaque soir, le père rentre harassé de fatigue, parce que la mère a durement peiné pendant l'inte.nmina'ble journée. Aussi, mercredi, dès dix heures du matirn, de longues théories d'enfants, girls et boys .accompagnés de leurs maîtres et maîtresses, commencèrent à s'engouffrer scus le porche monumental du Giné-Palace^ur. monté d'un large auvesâ de fer forgé et de ' Toujours les champignons *** l 12 ments. La 22» brigade sert de pivot tandis aue les 09°, 26° et les bataillons de chasseurs se maintiennent sur les crêtes connues 395-369, sur la roule de Maligny-ieGrand à Bovée, et 678 et 3ti8. On «ent qu'à cette heure les deux côtés vont jouer leur va-tout. Los généraux Beltramelli Regnault, chefs des arbitres, et les autres officiers courent de groupes en groupes. Dimanche, sous les vénérables halles de Vézelise, ne pouvait-on évoquer ces tragiques Suédois qui ravagèrent cruellement tout le pays, pillant, saccageant, brûlant Sion-Vaudémont, ruinant à jamais SaintNicolas de Port I H ne faut pas augurer cependant du culte que le Lorrain a pour ses morts qu'il n^aime point la vie. Certes, si elle ne revêt pas, dans notre province, cette forme exubérante que connaissent des contrées plus ensoleillées, elle ne s'en développe pas moins d'une façon magnifique . H y a de tout en Lorraine, du fer comme du blé, du blé comme du sel- Et le race,> patiente, travaille ardemment vers unes prospérité toujours plus haute. Mais elle est profondément attaché© aui passé. Le Lorrain du 20" siècle est l'anneaui d'une longue chaîne martelée par la douleur. Chez le plus humble de nos compatriotes, revit confusément notre histoire, une ; des plus mouvementées du monde. Aussi'■ son âme est-ello comme estompée, sinoni de tristesse, du moins de mélancolie. ... La Lorraine aime à se pencher vers: ses morts. Dans la beauté du crépuscule, elle entend leur voix. Et cette grande voix dos morts enseigne toujours plus do courage. A ses accents se rallume le foyer du vieil espoir... LÉON PIREYRE. .. —9 — St*r}lilioniAs«f£<. KIM«AO!rfiftll vitraux et qui rutile au soleil comme la visière d'un casque de géant. Le porche sombre,'ouvert comme unes bouche immense, semblait vraiment avaler [a multitude enfantine, et nous songions invinciblement au Moloch de GartbaSe à qu,, lors des calamités, la farouche cité; sacrifiait la fleur de sa jeunesse en la je-■ ' a a gUeule d airain -vinité. ' ' *> »<*' !u ' «J ? i' *' de deux J heures en deux heures 1 îees ,w tes restituait, plus iroses mus ffaiM g et plus exubérantes que jamais' Nous n'avons pas demandé ces mm, tards, trop jeunes peur infe'vtew > qu'ils avaient vu dans les entraiitZ' ^ , monstre: L'heure est ^oehe %tet où! "k *S rê Nous avons encore reçu ; c g Un anonvme ,.«•«..•> 9 8 Anonyme * Co qui porte à 217 fr. 85 les sommes qu nous avons reçues. ... „ Les magasins « Au Planteur de Caiita nous ont fait parvenir un paquet de nia* chandises. Libéralité A l'occasion d'un mariage, un auony#« a remis à M l'officier de l'état civil somme de cinquante francs, pour des » vres de bienfaisance. "JJ COFFRES^FORTTS FICIlElf .,, husincomtibles et blindés, d'acier impertora» 8, rue Saint-Georges, NANCY Claude Bernard a remarqué, que tes Ja câlins, pris avant les repas, favoris eoi pioduction du suc gastrique. ,,te,?^séVICHY-CELESTINS a été créé P^g^ ment pour fournir la seul anér«t.i». j mum régional J / I ^3 -3 ^ggseiêtss.agrfiHw rie ïir, on 1912 biJFODlQuB ' bpOFtlvBh Classement des délégations concours, organisé par le ministre de "iruerre dans le 20" corps d'armée entre a ' -iSfés agréées, a eu lieu en août dernier; 8f „ société était représentée par quaufl délégués appartenant à la réserve ou tre , territoriale et exécutant un tir de vi* «„ sur silhouette de buste, à 200 mètres, TES „P minute. îo classement : . société mixte de tir de Rambervillers, Ltuille d'or. ■Sfedailles d'argent. — 2. Groupe Blandan, \r j ■ 3. Société de tir du 41» territorial, a ^Sinasle ; 4. Amicale laïque des Trois-Mai, : ■ 5- Société mixte de Nogent-sur-Seine ; È Us ° iV Persôvéïante, de ïroyes ; 7. Amicale -M!IB des Cordellers, à Nancy ; 8. Société de "'in V>» territorial, à Nancy ; 9. Société do Saint-Max ; •m La Mussipontaine, de Pont-a-Mousson ; cncifîfe de tir et de Préparation militaire 1 c'ianuù^meulles ; 12. La Sentinelle des ËS(,es dê Rambervillers : 13. Amicale laïque SLni <ilks Naucy; 14.Société mixte de Romillv^îseine ; 15. Groupe Bara, à Nancy ; 10. îmicale laïque Saint-Georges, à Nancy ; 17. c piété de tir du 41° territorial, à Nancy ; |? Société d'instruction populaire et de préSration militaire d'Essey-les-Nancy ; 19. SoPKÎ de tir de Saint-Phlin ; 9ft Amicale de Saint-Julien ; 21. Société de rsminastique et de Préparation militaire de SrbévilJer ; 22. Société mixte de Mussy-suroe;'riD • 23. Société de Préparation militaire P îarvllle; 24. Société de tir de Maizéville ; ¥ Société Bélénienne, à Blénod ; 20. So- ' de tir de BlaluvIlle-sur-l'Eau ; 27. AmiSp de tir du Nouveau-Nancy ; 28. La SentiMie de Maizièros-la-Grande-Paroisse ; 29. cS-iété de tir de Pont-Saint-Vincent ; Q(I La Fraternelle de Dommartin-le-Fra"nc ; « Société de tir d'Ervy ; 32. La Patriote de •rmvcs ■ 33- Société de Gymnastique de Neu«Maisons ; 34. Société de Gymnastique SolV v.-"d« Dombasle ; 35. La Touloise, de Toul ; 2 «ociété civile de tir de Troyes ; 37. Société ài tir mixte de Lunéville ; 38. Amicale de tir IP st Germain ; 39. L'Eclair, do Dommartin ; 1 iii Amicale de Bomilly-sur-Seine ; 41. Ami•ale laïque li i d ion-Sain t-Sébastlen, à Nancy : 'S Espérance Champcourt ; 43. L'Avantrirdè de MHlery ; «4. Société de tir de Bacîarat ' 45- Société de tir de Blâmont-Cirey ; S j a' irraternelle de Landreville ; 47. L'Alliance de Sainte-Savinej 48. Amicale laïque ce Bèudonville-Nancy ; 49. L'Avenir de Saint-Benoit-sur-Seine ; r,û Amicale laïque de Custines ; 51. La Carabine Nancôiemie, Nancy ; 52. Société'de tir mivte do Charmes ; 53. Société de tir mixte lé Toul ; 54. Amicale laïque des Grands-Moulins à Nancy ; 55. La Carabine de Laneuvilié à Bavard ; 50. La Vedette d'Uruffe. ; 57. Les Francs-Tireurs de la Moselle, à Liverdun; $ Les Tirailleurs de-t'uinoy ; 59. L'Avant* . garde de Domgermain ; 60 Société de tir de. St-Nicolas ;' 61. La patriote de Bainvilie-aùx-Miroirs ; 62. Union Patriotique de Martigny-les-Bains ; 63. Soeiété de tir de Réméréville ; Amicale laïque de Jézainville ; Gi. La Trouannaise.de Trouanle-Grand ; 65. Fédération des Sociétés de tir rie l'Aube à Troyes ; 00. Société de tir de Moncel-sur-Scille ; 07. Le Réveil, de Troyes ; 68 L'Extrême-Pointe de Bouxiôres-aux-Chênk ■ 09 Amicale laïque de Chanteheux ; m'Gi'oup" Drouot, à Nancv ; 71. Société de H-de Vando-uvre ; 72. La Cible Lorraine d'Ermnvs ■ 73 patronage laïque Jean Macé, a Tmves •Vi." Réveil de Bienville ; 75. AmiMip liïâuo d-> Sorn'éville ; 70. Patronages lai* mes de Troues ■ 77 Société de tir d'Arracourt • 78. La Fraternelle de Dosches ;. 79. , Société'de tir d'Estissac ; 80 L'Avenir d'Aulnois ; 81. Le Réveil de Mannnville • 82 L'Amicale Ory et Saint-Nicolas, iKancv •' 83 L'Avenir Troyen ; 84. L'Union de Pont Sainte-Marie ; 85. La Jeunesse Lorraine LaneuveviUMse, à Laneuveville-devant-Nancy; ■86. Amicale laïque de Laj-Saint-Chriit-phe. TIR T c fj& g g" , • A 5'Association générale des employés : M Albert Lebrun, ministre des colonies, *o*pùtê et président du Conseil général do éiourthe-et-Mo&elle, a bien voulu se faire ^inscrire comme membre honoraire. Gejle marque d'intérêt a été très appréciée par les membres de l'A/ G., qui expriment à M. Lebrun toute loin' gratitude io'.iir sa haute et bienveillante sollicitude ià l'égard des employés de Meurthe-et-Mo■ stM».DCO FF R ES-FORTS BAUCHE «sttsciiou supérieur?, 17, rue tf Amenai, NANCY. Arrestation Mercredi matin, la police de Nancy a arrêté Madeleine Schmitt, âgée de 29 ans, cuisinière, demeurant en gaitai rue de Mciz, 42, recherchée en vertu d'un mandat d'arrêt du parquet de Saint-Dié pour escroqueries. . ,. —-— Concours de iir de la Cure d'Air du t5 septembre Voici les noms des lauréats : Carabine (messieurs). — 1" prix, Brice, 40 francs ; 2e prix, Demangon, 20 francs ; 3* prix, Marchand,10 francs ; 46 pr.ix,bourg«ois,un lot.— Plus 40 prix de consolation. Carabine (dames). — 1er prix, Mme Brice ; 2° prix, Mme Gceury. Pisto'et (messieurs). — V prix, M. Mar nier ; 2" prix, M. Goindreau. Tentative de cambriolage Perdant la nuit de mardi à mercredi, des cambrioleurs se sont introduits dans les ■féaux des Docks de la construction, rue du Tapis-Vert, Ils ont fracturé le tiroir-caisse, mais rien Ca été dérobé, car le comptable avait l'argent dans le coffre-fort. M. Iverlet, commissaire de police, a ouVei 't une enquête. Fugue Lo jeune Charles Apparu, âgé de 13 ans-, Ipi s'était évadé mercredi matin de l'aPe des orphelins de Lunéville, a été arW dans la soirée, place de la Cathé-■ drale. Jeudi matin, il a été dirigé sur Lunéville. m -fô-s» 'gfr Spectacies^GoDcerts l ~ Aujourd'hui Pi , " ■ d'omie, So r : hu Sures W h Ures et 1 '? 5 feea?iibt:en-Guirjm V"™^ - > " Siaude matinée à 2 heures 1/2. ■ °Ss S N SAINTTNTOINE . - Ai:' U Skatin $ ?oS$~ S en plein air.' de c ucts aux , -îïÏÏ" •' enfants à 3 h 0mmandé d t ^K e monter le funicu-•4 urs fa ^ouv111 ^i° ' ce à la ville, afin d,• ri le panorama lentement. ES *^-& 61 , M a la ^ÏTAÏREO. - Le dimatimusique; i S C9* fA ■ Pépinière par la i Mnte si^s.iment d'infanterie et au parcC i i "* I MEURTHE^rMOSELLE J Ail Qusstionsjd^actualltô Pour les pêûhûiirs U y a quelque temps, un de nos confrères publiait uao lettre par laquelle un fervent do la gaule so plaignait, avec raison ARRONDISSEMENT DE NANCY et amertume, de certaines usines qui dé- clarètcut qu'il pourrait bien en moniii'. Aujourd'hui, nous aftpïenêns que le bhsversent dans les rivières des eaux contaLAITRE-SOUS-AMANCE sô est hors de danger. Dans ces coud i lions, TREMBLECOURT minées. Il concluait ainsi : Dorne3tique voleur. — Emile Collot était Le feu. — Un incendie s'est déclaré dans à <c Que fait donc l'administration fores- Taffaire sera renvoyée devant lo tribunal domestique chez M. Vuimenot, Initier ; il c pprofita qu'il était seul à la maison, et frac- Bune chambre do la maieore d'habitation de tièro chargée de faire appliquer les règle- correctionnel. Elle viendra u une prochaiMme veuvo Ravaino, âgée do 79 ans, pen- ments ? Il semble qu'elle tourne dans un ne audience. tura une anao'ire dans laquelle il déroba c Pas de résultat. — L'inimmalk-n. ouverte que celle-ci était à la messe. Le mobi- cercle vicieux en alimentant d'alevins nos uno somme die 40 fr. La gendarmerie de dant 1 lier contenu dano cette chambre a été dé- cours d'eau et en facilitant leur destruc- sur la disparition d'un pli contenant 3.000 Nancv a arrêté Collot. t francs envoyé par le bureau de poste de truit, ainsi quo de la paille dans le greSAINT-NIC0LA3 rnier au-dessus. Dégâts : 1.200 fr. assurés. tion en tolérant la contamination des Nancy, n'a pas donné de résid ât. A propos d'un vol eaux. » Groupe Blandan. — On mous prie d'inMalgré les minutieuses investigations s Rien de plus juste. Il est inutile de jeter sérer : K Par suite des fêtes qui doivent é Mme Aubriot, fille de Mme Ravaine, a I Nancy, lo 17 septembre 1912. auxquelles se livrèrent les agent*, de la briété assez gravement brûlée au visage, en a à l'eau de pauvres petits poisisions qui ne Monsieur le rédacteur, avoir ' lieu à Nancy les 22 et 23 courant, à f gade mobile, il n'a pas été possibïe de dé, Je vous serais très reconaissant do vou- ;l'occasion de la visite du grand-duc Nico- cparticipant à l'extinction de l'incendie, demandent qu'à devenir grands, si c'est couvrir dans quelles circonstances le pli 1 de Russie, la sortie qui devait avoir dont les causes paraissent accidentelles. pour les laisser empoiaonner par les eaux fut soustrait. loir bien publier cette petite rectification las ; £ sujet des aveux que mon fils a faits au *lieu le dimanche 22, au monument de Bosrésidua.ires do certaines usines qui so souau Une personne fortement soupçonnée d'ês ARRONDISSEMENT DE DRIEY cient peu des règlements concernant le désujet du vol de mandata au préjudice des ?serville, est remise à une date ultéi tre l'auteur du vol n'a cessé de protester de rieure. » versement dea eaux industrielles dans les Imprimeries-Réuniea C'est à sa mère nue AUCOUi i son innocence et aucune charge sérieuse Un mauvais f ils. — Alfred Révolte, 36 fi Enfant viordu. — M. Gustave Lavallée. rivières. Emile Devel a fait les aveux et moi son _ n'a pu être relevée contre elle. 1 1 Un pisciculteur, M. Paul Marie, maire cités de Sainte-Marie, se troudemjarant à Nancy, était venu à manœuvre, père, jo suis allé immédiatement avertir fans, Le coupable doit commencer à respirer. c dans son jardin, situé non loin de de Longuyon, joignit sa voix à celle du j ces messieurs et je les ai remboursés, car Saint-Nicolas, chez sa grand'mère, Mme vant Aux assises de Forti.— Dans la soirée du premier plaignant. D'une lettre qu'il adresl'Orne, avec son petit garçon, Sylvain La]j'avais la promesse veuve Pernard, propriétaire, rue du Four. formelle qu'aucune j 14 novembre 1911, à Hussigny, le .sieur Aujplainte no serait portée. 13 ans, envoya celui-ci chercher des sa à notre confrère, nous extrayons ce, qui réllo Giacchino tuait d'un coup de revol13, peur lui demander de l'argent. Mrno vallée, ,, Pernard ref j'sà, d'autant plus que Révolte roseaux dont il avait besoin pour lier des suit : Avec mes remerciements, î-ecevez, etc. A ver son compatriote Rossi et prenait la fuiJeudi et vendredi dernier, j'ai fait dres- te. était ivre et qu'elle savait à quel funeste salades. E. DEVEL, rue de Tomblalne, 53, , ser par le sergent de ville de Longuyon Nancy. ,usage l'argent était réservé. Révolte entr i i Pour arriver au bord de l'eau, l'enfant Pendant longtemps le meurtrier resta devait traverser un champ dans lequel se deux procès-verbaux contre inconnus, pour introuvable, puis, un beau jour, on l'arrêta — —-^-^ . jdans ure \'iDlenie colère et se mit en de meure de faire un scandale infernal dans *trouvait la nièce du débitant Pasquale Dal- coloration anormale de « La Crosnes ». En en Italie, ainsi que nous l'avons annonoutre, j'ai porté plainte entre les mains de ce. Santo, qui ienait en laisse un gros chien. , . 1le quirtier, menaçant sa grand'mère. Des voisins coururent prévenir l'agent procureur de la République, à Briey. L'animal, ayant vu passer un chat, ar- M. Sujet italien, arrêté dans la péninsule, Maret,qui dut entrer en lutte ouverte avec racha'la laisse des mains de la jeune tille Quelques heures pins tard, une dépêche Giacchino ne pouvait être extradé pour ce Du 18j3eptembre ile pochard. Ce n'est que grâce au con ' mais au lieu do sauter sur le minet il se officielle de la sous-préfecturo m'informait crime. d'un homme de bonne volonté que Jjeta sur Sylvain La vallée, qu'il mordit que M- le procureur faisait constater le Naissances Jcours Les'résultats dé l'information ouverte par 1 c délit. ( Joséphine-Emilienne-Henrietto Lemoy, rue le forcené put être déposé au violon, où la cruellement à la cuisse gauche. M. le juge d'instruction Gérard ont donc de la Charité, 10 bis. — Andrée-Jeanne Vin- Ipaille rafraîchissante calma ses nerfs. Le débitant Dal-Santo, mis au courant Malheureusement, en admettant ' qu'il été transmis aux magistrats italiens. t cent, rue GuilberUie-Pixérécourt, 15. — PierRévolte a été remis en liberté le lende- \des exploits de son chien, a déclaré qu'il soit donné suite à ma plainte, le contreveGiacchino devra répondre du meurtre de r ? tre-Léon Tallone, rue Saint-Georges, 77. — Es- Imain matin, gratifié d'un procès-verbal. était prêt à indemniser M. Lavallée du pré- nant sera condamné à une amende de Rossi devant les assises de Forli en notelle-Rose Rochel, chemin des Sables. — Irq u el q u es f r anes... que lui cause la morsure de son fils. vembre prochain. ma Rcbecchi, avenue de la Garenne, 77. — - Scènes de fasui'le. — Félix Sonrier, 58 judice iT ans, ouvrier d'usine à Saint-Nicolas, rue Vioiences. — Il était huit heures du ma Ce n'est paa suffisant ! Les usiniers de jErnile-Améclée-Renc Adrian, rue de la Salle, cdu Haut-de-Tibly, s'étant pris de querelle tin . quand Gaston Henry, 15 ans, quitta le « La Crusnes » et de « La Chiers », en rai28.— Maurice-Paul Florentin, rue de Mon-Dé- , 6 sert, 99. ;avec sa femme, lui asséna un coup de logement qu'occupent ses parents," rue de son de la modicité de l'amende, continueUne odieuse tentative vient de mettre Décès bouteille sur la tête, puis il se mit à lui Coînville, poussant devant lui une brouet- ront commo par le passé. Néant. . c débiter des injures. Il commit l'impru- te ' sur laquelle se trouvaient deux litres de Pourtant, 11 y a près de 20 ans, mon en émoi le paisible village de Fjllières. Une jeune fille de cette localité, âgée do dence de sortir de chez lui et, une fois vin destinés au déjeuner des penslinnai- père, le docteur Marie, qui était conseiller i dehors, de continuer à débiter son réper- !res de la maison, occupés à arracher des d'arrondissement, avait protesté contre le 23 ans, gardait ses vaches dans un champ J de terre non loin die là. toire. 11 fit bénéficier do cette avalanche pommes I sans-gêne d'industriels peu consciencieux a quelques centaines de mètres de la locaI de gros mots ses filles et leurs amoureux, Devant la maison Léonard, le jeune hom- qui, au risque d'empoisonner le poisson, lité, quand elle fut abordée par un individu r cqu'il qualifia du nom de certain poisson me croisa les sieurs Charles Qualin, 18 ans, déversaient des matières nuisibles dans qui lui fit bientôt des propositions qu'elle AViS MORTUAIRE 1 de mer. L'un d'eux, Auguste Marenne, 24 machiniste ; Emile Dauden, 19 ans, accro- ics rivières » La Crusnca » et « La repoussa avec indignation. c La persuasion ne réussissant pas, l'homouvrier d'usine, qui habite la mai- cheur ; Mohammed Benzaghi, 20 ans, ma- Chiers ». Les personnes qui par erreur ou omis- ans, , r ! A cette époque, radniinistra.tion préfec- me décida d'employer la force. Il se jeta sion n'auraient pas reçu de lettre de fai- ,son voisine, entendit les qualificatifs mal- nœuvré. sonnants. Il sortit et administra .à son fuL'un d'eux prit un des litres transportés torale s'émut ; les industriels furent mis sur la jeune fille, là terrassa et tenta de se : re part du décès de tur beau-père une correction que eeiui-ci fpar Gaston Henry et fit le simulacre de le on demeure de construire des fosses d'épu- livrer sur elle à des actes tort répréhensibliès,; "' '"' ; ■n'oubliera pas facilement. .... porter-à ses lèvres. L'enfant ayam. poussé ration. Mais il avait affaire à forte partie. La Battu comme plâtre et pas content, .Son- 1les 'houts cris, on lui rendit son litre et il Depuis.:., de longs jours se sont écouMéa AdèJe GRANDJEAN ] c victime résista vigoureusement, malgré lee sa route. rier est allé porter plainte à la gendarme- continua lés. Les fosses existent toujours, mais elles coups que lui portait le satyre. décôdée ~à Pont-Saint-Vimcent, i rie, qui a procédé à l'enquête d'usage et Un peu 'pTtfs loin, les trois camarades le doivent être en bien mauvais état car nos le 18 septembre 1912, dans sa 64° année, a ; dressé procès-verbal. Elle lutta ainsi pendant près d'une derejoignirent. L'un le saisit à bras-le-corps, rivières passent encore par toutes les cou■ •munie des Sacrements de l'Eglise, sont DOMBASLE l'autre I lui frappa sur les fesses et le troi- leurs de Tarc-en-ciel et le -poisson dispa- mi-heure contre l'homme, dont la rage alpriées de vouloir bien excuser la famille lait croissant. Malgré sa vaillance, la jeune Contributions indirectes. — M. Henri sième le bouscula. Il tomba dans le fossé raît de plus en plus... .. ; : et do considérer te présent avis comme Lacroix, î fille allait peut-être succomber, quand une receveur ambulant des contribu- et se blessa au -bras. Que dit l'administration des eaux et fodébitante do Joppécourt vint à passer à 11une invitation' à assister aux convoi fu- tions j indirectes - à Dombasle, vient d'être dêts ? Rien ou pas grand'chose ! Comme nôbre, service et enteTTcment, qui auront 1nommé receveur sédentaire à Fromtignau SAIMT-A3L toute administration, à l'esprit de routine, cyclette. Se rendant aussitôt compte de ce qui ce lieu vendredi 20 courant, à 10 heures 1/4, I(Hérault), son pays d'origine. . Voleurs surpris. — Constatant que les elle achète encore, chaque année, des ale■ passait, cette brave femme'sauta à bas de, garnissant les arbres qu'il possède en l'église de Pont-Saint-Vincent, et de là M. Lacroix est président de l'Association poires ! vins de truites, les abandonne au fil de au cimetière où &e fera l'inhumation. 1fraternelle et vice-président de l'Union des ^dans un camp situé au Gué disparaissaient l'eau et la pauvre petite truite « se dé- sa machine en criant : « Attendez que je prenne mon révolver » et elle fouilla" dans de vulgaires muscades entre les brouillo » comme ello peut. Maison mortuaire : employés j des contributions indirectes de comme . sa sacoche. Meurthe-et-Moselle. (doigis d'un émule de Robert Houdin, M. Rue Nationale, à Pont-Saint-Vincent. Il est bien certain que le métier de noisL'individu prit peur et s'enfuit en préféGeorges Génv, cultivateur, décida d'exercer , son est peu enviable dans les rivières de Do la part die Mf. Eugène GANTENEUR . Nos félicitations à M. Lacroix pour son une active surveillance de ce côté. rant des menaces à l'adresse des deux femnotre arrondissement. Les braconniers et des familles CANTENEUR, NAJEAN et 'ava.ncn.ent mérité. mes. VARANGE VILLE , Il s'embusqua un soir dans un coin de d'eau deviennent de jour en jour plus ,BAUGE. La débitante aida la jeune fille à regaVol d'une fcioyoiette. — La gendarmerie son champ. nombreux ; ils pèchent à la chaux, à la gner Fillières. poursuivant ses investigations au sujet du ; L'attente ne fut pas longue. Ve.:s huit dynamite, avec des engins prohibés'. REMEfiCIÉMENTiB > Cette tentative de viol commise à dix he>r. M. Génv vit arriver deux individus vol de la bicyclette de M. Steinlœcher, do heures, , Par-dessus le marché, certaines usines res du matin, non loin d'un chemin frél'un porteur d'un sac qui se dirigè. , Madame Michel SAUR, née GEORGE, et |Dombasle, et"que nous avons relaté, a re- dont sans la moindre hésitation vers ses déversent dans les rivières des eaux brû- quenté dénote une rare audace de la part cette machine chez M.. Wettmann, rent j les familles SAUR, MACHER, GEORGE trouvé [ lantes ou chargées de matières nocives de son auteur. : café du Cheval-Blanc, à Saint-Nicolas. (poiriers. Un monta sur un arbre, l'autre se pour le poisson, cela en dépit d'arrêtés et SI BILLE remercient bien sincèrement au les. personnes qui leur ont témoigné de la M. Wettmainn .ayant trouvé cette machi- coucha dessous et la cueillette commença. préfectoraux dont l'application reste trop sympathie à l'occasion du décès de ne contre le mur de son débit, l'avait ren- , M. Côny alla chercher son beau-père et souvent lettre monte, i PtENfiC tréo chez lui. json beay-îrère qui revinrent avec lui.<t Que Il arrive ce qui devait arriver,, c'est-àArrêté municipal. — Le maire de Pienfaites-vous là ? » crièrent-ils aux amateurs M. Steinlcecher estime que son voleur a dé dire que nos cours d'eau se dépeuplent. ne vient do. prendre l'arrêté suivant>: : fruits. Jadis l'Orne, la Crusnes, la Chiers. le Article premier. — Est formellement inRetraité de la Compagnie des Chemins de été volé. En effet, il avait enlevé un écrou Au lieu de répondre, ceux-ci s'enfuirent. à sa bicyclette, ce qui la-, rendait momen. Woigot, etc., étaient des rivières poisson- terdit, sur tout le territoire de la commune fer Oc l'Est, ■' i Les gendarmes de Batilly, mis au coutanément impropre à la circulation. • Le , ■*-prr*"r-M.-**■••—*•■*' .v^^i.^^ Y..^^ *w^;~ -^**-.*.*a» neuses. Aujourd'hui, le poisson devient le stationnement sur la voie et les terrains voleur ignorant cette-particularité, a con- |,rant des faits, se livrèrent 'à des recher- d'une rareté - qui décourage tous les pê- communaux, des ^omanicheis, bohémiens, REMERCIEMENTS .t ches r j i ; i amenèrent la découverte des, vo.sidéré la bicyclette comme Ivora d'usage j cheurs.. camps-volants ou autres individus nomades ,nc " i . et l'a abandoimée. . . jient», >qui 'saut : Auguste Becker, 39 ans, Pour peu que cela continué, on considé- sans profession avouée, ainsi que dès.voitumineur, en pension enez M. Long, et ThéoMadame veuve■ Emile BALLAND ; MadaVùl de raisins. — Un vol d'eiivivon 30 , rera comme uni véritable phénomène" Te, res servant à ceux-ci de logement. ' " mineur à Saint-e-Mame E. BALLAND et les familles BAL- kilogiarnnies : de raisins frais a été commis ,dore Stendel, 41 ans, ... chevalier de la gaule qui réussira à prenLedit arrêté spécifie ensuite que ; LAND, THORE.LLE, VALLET, GUYOT et à , la garé de Varangèville, au préjudice de rie-aux-Chênes. dre une frituro en 8 jours. <c Tous ceux d'entre eux qui exercent une GODOT remercient hien sincèrement les M. Eiséh, marchand de vins en gros. - Avec' une bonne grâce charmante, ils ont Pour lutter contre une- situation, ne pou- profession régulière tout en voyageant dans avoué. personnes qui leur ont témoigné de la symUne enquête est ouverteLa gendarmerie a dressé procès-verba! vant s'o prolonger sans danger, voici ce des voitures leur servant de logement sepathie à l'occasion du décès de ' LUPCOURT .des laits. que préconisait M. Marie : ront tenus de se procurer une permission, Coups-de revolver. — La gendarmerie « A Longuyon, écrit-il, je vais essayer de l'autorité municipale pour faire stationde Saint-Nicolas vient de venir faire une LANDRE.S de former un syndicat de pêcheurs et' de ner leurs voitures sur la voie publique; » Constructeur à Jarville enquête à Lupcourt, sur la plainte de M. Il ajoute que : Menaces. — Au café de la Poste, le ma- propriétaires. Lorsque le tribunal condam! Ingénieur des arts cl métiers Simon Maxime, 24 ana, journalier, contre nœuvre Zulioli Christophe flanqua un coup nera les Industriels à un franc d'amende, « Les voitures autorisées à stationner, 1 Secrétaire du Groupe de Meurthe-etHumbert Mathilde, 30 ans, journalière, de- de poing à la jeune Wagner Marie, 15 ans, nous nous porterons partie civile et le tri- exceptionnellement, soit de jour, soit de! mourant tous deux à Lupcourt. Moselle servante, qui lui avait dit qu'il portait des bunal, en toute justice, voudra bien re- nuit, sur la voie publique, ne pourront le 1 , Simon accuse Mathilde Humbert d'avoir, chaussures non payées. connaître nos droits. » faire que sur le vieux chemin de Picnle 10 décembre dernier, alors qu'il était Il menaça également la patronne du caL'idée est bonne, sa réalisation a donné ne ». Objets trouvés dans un champ situé a ulieu dit « Thil- fé, après l'avoir copieusement insultée ; d'excellents résultats en diverses contrées Vengeance. — Le mineur Bresolin GiaUne broche, par M. Esche.Uilohr, rue de aux-Bois », tiré sur lui deux coups de re- le patron étant arrivé dans les entrefaites, de la France, notamment dans l'arrondis- como, 37 ans, avait congédié son amie Sa1le mit dehors. la Hache, 45. volver sainis l'atteindresement de Lunéville, à Baccarat, et dans viner Jeanne, qu'il avait prestement « remles Vosges. placée ». Mlle Humbert riposte en disant que c'est Un porte-monnaie on cuir vert, .conteSimon qui a tiré sur elle deux coups de BEUV1LLER3 nant 7 fr. et une pièce étrangère, par M. Pour se venger, la délaissée brisa deux Nous souhaitons que M- Marie réussisse .Charles .Mangin, place du Marché, 1. Touchante manifestation. — Dimanche à constituer un syndica* puissant, capable carreaux dans le logement de son « an•revolver, le même jour et au même lieu, dernier, une touchante manifestation cb de défendre les droits des pêcheurs et nous cien »... Une breloque formant album (vue de parce qu'elle lui réclamait de l'argent. Malheureusemcint, aucun témoin n'a vu sympathie réunissait à la salle de la mai- espérons qu'il trouvera dea imitateurs Ce n'est pas ça qui va la faire rentrer en Lourdes), par M. He-rr, employé chez M. rie les habitants de la commune pour ofgrâce. dans l'arrondissement. mi entendu le.') coups de feu, et aucun des Ippensen, rue Saint-Dizie.r. La pêche est un divertissement démocraUn archet, de violon, par le jeune Hen- antagonistes ne paraît posséder d'armes frir à M. Dieudonné, instituteur, au mo9 •» —— ment de sa mise à la retraite, un souve- tique et moralisateur par excellence. Il nequln, cité Ancel (prairie de Toinbiaine). de cette nature. Si la gendarmerie n'a pu établir la vé- nir, en raison de ses longs et excellents importe que les hôtes de nos cours d'eau Une broche argent représentant une credans la localité comme institu- Soient protégés. ■v.Atte, par le jeune Croné, rue de Stras- rité sur ces mystérieux coups de feu, elle services teur a du moins établi les faits suivants qui bourg, 34. Il n'est peut-être pas trop tard, mais il ARRONDISSEMENT DE MONIMcDY Entouré du conseil municipal, M. Mah- est grand temps de veiller à la conservasont d'une douloureuse éloquence et qui ler, maire, se faisant l'interprète de la tion du poisson si on ne veut pas que les plaident mal en faveur de Simon. BOULIGMY Ce dernier a depuis longtemps des rela- population tout entière, exprima les re- pêcheurs abandonnent les bords de la riLa fanfare municipale. — On nous tions avec Mlle Humbert. Les dieux amants grets profonds que cause à tous le départ vière pour des distractions moins ^offen- écrit : ont. eu cinq enfants. Simon avait toujours du maître dévoué qui durant vingt-huit sives. « Nous sommes heureux de constater que CKAMPIGNEULLES promis do se marier à sa rentrée du régi- années dirigea avec zèle l'école commula fanfare municipale progresse de plus en L. D. plus. Renversé par une automobile. — Mardi, ment. Mais c'était une rude charge qu'une nale. Il rendit un hommage mérité à toute ■ ■» o-» — vers quatre heures de l'après-midi, M. telle nichée à nourrir. Simon n'eut pas le Ces heureux résultats sont dus aux efWackermann, âgé do 61 ans, adjudant de coumgo de faire son devoir et renia et son une vie de dignité et ci? travail et, au nom forts du chef et du dévoué président, M. Garrouste, [pharmacien. Aussi, sommesgendarmerie en retraite, demeurant ruei sang et ses promesses. Dès lors, ce fut la du conseil municipal, remercia en M. nous en droit d'espérer que notre société Lavocat, à Champigneuiles, se promenait, guerre et Simon fut en butte aux incassan- Dieudonaé le collaborateur précieux de L'agression contre les gendarmes de sera prochainement, avec la bonne volonsur la. route do Nancy, devant l'anciennei tes réclamations et menaces de l'abandon> cette assemblée, en même temps que le bergerie, lorsque arriva une automobile; nco qui déclare à qui veut l'entendre qu'el- bon citoyen, le parfait républicain qu'est Jœuj. — Les lecteurs de ce journal n'ont té des exécutants, en mesure de rivaliser allant à une allure modérée Le conduc- le se vengera. Elle avait déjà intenté une — non seulement aujourd'hui — mais qu'a pas oublié la sauvage agression dont le bri- avec d'autres plus anciennes. gadier Régnier et le gendarme Marchai, de Qu'il nous soit permis en passant de reteur fit marcher son appareil avertisseur. action devant le tribunal civil, elle fut dé- toujours été M. Dieudoi.né. Présentant ensuite le souvenir offert, la brigade de Jœuf, furent victimes dans mercier M. Garrouste, qui ne ménage ni M. Wackermann se détourna, mais pasi boutée, ce qui a encore augmenté sa cola soirée du 8 janvier. par souscription entre tous les habitants son temps ni son argent pour le succès de asnez vite, car l'aile de la voiture l'attei-■ 1ère. Une bande de braillards, invités à se tai- la société. gnit et le reaversa sur la chaussée. A Lupcourt, si un dénouement tragique et à laquelle notre éminent compatriote re, se jeièrent sur les deux agents de l'auAux mines de la commune de Bouligny Le conducteur bloqua ses freins, la voi-• vient solutionner cette pénible situation, M. Lebrun ministre des colonies, délégué cantonal pour l'école de F.euvillers, a tenu torité et les iardèrent à coups de couteau. nous exprimons toute notre gratitude pouir ture ne put être arrêtée à temps et la rouei il ne surprendra personne. à participer, il termina en souhaitant à Grâce à leur courage, à leur énergie, MM. leurs généreuses oboles. » passa sur M. Wackermanni. ARRONDISSEMENT DE TOUL M. Dieudonné de trouver dans sa nouvel- Régmer et Marchai restèrent maîtres du L'automobiliste releva le blessé, le transBÎCQUSLEY le résidence toute la tranquillité qu'il mé- terrain, mais ils étaient gravement blessés. porta à son domicile, puis fit appeler M. Line infoi-mation longue et minutieuse fut Vioiences- — M- Poirson Victorin, ma- rite, ainsi que toute sa famille, à laquelle le docteur Frank, qui constata que l'an-1 il adresse également ses plus sincères ouverte sur cette affaire par M. Schwartz, cien militaire avait la jambe gauche frac-. nœuvre, a porté plainte à la gendarmerie vœux de bonheur. jug-o d'instruction. Doux des coupables, Ancontre Dogeorges Jules, 21 ans, ouvrier turée et des contusions a la tête. M. Die idonné, très ému, remercia de gelo Suriatti et Boccaccini furent arrêtés carrier, pour violences ; Degeorges, qui est Sooiété de tir et de P. M. (S. A. G. 659). la marque de profonde estime dont il est le lendemain du drame. Un troisième, Ar— Dimanche 22 septembre, de 8 heures at reçu chez M. Poirson, prolongeant sa yi- l'objet ; il en gardera toujours, dit-il, le changelo, fut arrêté en Alsace-Lorraine Les jurés la nuit, au stand de la société, rue de, site jusqu'à une heure indue (minuit), souvenir reconnaissant. Il dit que durant et extradé. Un quatrième Italien avait été Bediefontaine, première séance des exer-'. ayant été invité à se retirer, tomba à coups sa longue carrière d'instituteur il fut tou- arrêté, mais il bénéficia d'une ordonnance Voici la liste des jurés de la session des dé poing sur M. Poirson. La gendarmerie assises qui s'ouvrira lundi 23 septembre cices et concours d'automne. jours guidé par l'amour du devoir, aussi de non-lieu. Tous les t'-ii'S peuvent être exécutés enj a ouvert uno enquête. Enfin, quatre autres agresseurs des gen- prochain, à deux heures de l'après-midi : bien dans les quelques postes qu'il occupa MM. Paul-Marie-Auguste Crouzier,quinune séance. A toutes les catégories, les qu'à Beuvillers, mais s'il est resté si long- darmes de Jœuf, les sieurs Lori, PierinaV ARRONDISSEMENT DE LUNÉVILLE caillier à Raon-l'Etape ; Auguste Mise, munitions sont gratuites. En raison de la \ LUNEVILLE temps dans cette dernière localité c'est tei, Fabzetti, Piccioni, furent arrêtés en rentier à Epinal ; Nicolas-Isidore Remy, revue passée en l'hcnneur du grand-duc Pôshe prohibé*. — La gendarmerie de paace qu'il y a rencontré de la part de la Italie, à la demande du parquet de Briey. cultivateur à Gérarclmer ; Charles PrixNicolas de Russie, la séance du lundi 23î population et des municipalités qui se Après de multiples cinfrontations et de est reportée au dimanche 20 octobre pro- Blainville a dressé procès-verbal contre M. sont succédé depuis son arrivée beau- nombreuses auditions de témoins, car na- Remy, cultivateur à Basse-sur-le-Rupt ; Canavy, buraliste, place Saint-Jacques, chau coup de sympathie, car, à plusieurs re- turellement, tous les prévenus nient com- Paul-Jean-Baptiste Lalevée, taillandier à |' FROUAROj pour pêche avec engin prohibé dans la prises, des postes plus importants lui fu- me de beaux diables, M. Schwartz vient de Gérardmer ; Aristide-Marie-Joseph Humbertclaude, négociant à Tendon ; ConsLes îjoebarda. — Un pochard, bien çon-. Meurt ho. rent offsrts en avancement. Néanmoins, clore son informa lion. tant-Victor Fondrevelle, cultivateur à Hanu des cafetiers de la ville, ayant feté la AVRÎOOURT et sans qu'il n'ait sollicité aucunement, il Les trois malandrins écroués à la mai- digny ; Jules-Joseph Thiéry, cultivateur bouteille plus que de raison, se décida enIvrogne peu commode. — Théodore Pois- fut élevé sur place à la première classe. son d'arrêt de Briey passeront devant la au Val-d'Ajol ; Marie-Joseph-Eugène Pafin à regagner son logis. son, 31 ans, bien connu à Lunéville, vient H rapporta l'émotion qu'il éprouva cour d'assises à la prochaine session. tenotte, ouvrier vigneron à Vauhexy ; Il lui fa'lut passer sur une passerelles de 'faire une véritable récolte de procès- quand pour la dernière fois il ouvrit sa ■Ceux arrêtés en Italie seront jugés par Jean-Baptiste-Lucien Vincent, boucher à jetée sur un fossé, très profond, et remplii verbaux. classe dans cette salle d'école où il vit les tribunaux italiens, d'après le dossier Saint-Dié ; Louis-Alphonse PeiTitt, direcd'une eau excessivement sale. Comme sai Au café Lœffler, où il s'était présenté en s'asseoir sur les mêmes bancs les parents constitué par le magistrat instructeur, dont fête était de beaucoup plus lourde que sess état d'ivresse, le patron lui refusa à boire, de ses élèves d'aujourd'hui, dont presque copie a été adressée aux magistrats du teur d'usine à Fresse ; Constant Miclot, marchand de vins au Tholy ; Marie-Adrien pieds ceux-ci furent emportés par ceUe-iai royaume voisin. Poisson provoqua un consommateur voi- tous sont là autour de lui. Gremillet, cultivateur à Lamarche ; Paulet il s'alongea de tout son long dans le li-- ata et se battit avec lui. Des jeunes filles présentèrent ensuite Semser est toujours à l'hôpital, — Le jeu- Louis Hanus, bijoutier à Charmes ; Nicoquide Des passants avaient bien vu taProcès-verbal fût dressé contre lui par un superbe bouquet à Mme Dieudonné, no Semser, de Thil, blessé d'un coup de las-Louis Mathieu, facteur retraité à Deyventure, mais avant pu arriver à tirer 11-" la gendarmerie qui était intervenue, puis tous les assistants, émus et touchés couteau par le nommé Palombi, est tou- villers ; Charles-Joseph Bachler, mécanivrosme de sa fâcheuse position, le bainî Interpellé par les gendarmes Davasso et jusqu'aux larmes, leur serrèrent affectueu- jours à l'hôpital de Longwy, où il avait dû avait été archi complet. Enfin, non sanss Dcpaix, qui le recherchaient en vertu d'un sement les nains, emportant de cette jour- être transporté quelques semaine après cien à Epinal ; Charles-Paul Fave, cultivateur à Etival ; Laurent-Elie Babel, propeine on le sortit de là et tant bien quee extrait de jugement, Poisson les traita née un impérissable souvenir. avoir été frappé. priétaire au Val-d'Ajol ; Emile Peureux, mal il gagna la route nationale. Oh ! danss d'assassins, de vaches et de salauds. Son état s'est un peu amélioré, mais il rentier au Thillot ; Charles Cordonnier, GORCV n'est pas encore hors de danger, diverses cruel état ! Il voulut monter en framwav,• Un autre procès-verbal lui fut dressé. cafetier à Raon-l'Etape ; Jean Petitde Accident mortel. — L'accrocheur Albert complications étant survenues. mais il réussit avec beaucoup de faciliteS Mis en état d'arrestation, il fut enfermé mange, cultivateur à La.neuveville ; Eus'allonger sur les rails. Le wattman ar-'- dans la chambre de sûreté do la caserne Jacquet, 34 ans, attendait un convoi comC'est dans la deuxième quinzaine de juin gène Jeangeorges, cultivateur à la Cleurêta Justa sa machine pour ne pas lee do gendarmerie ; Poisson se mit à briser posé d'un wagon refoulé par une locomoti- que Semser fut blessé. ve, conduite par son neveu, Hyacinthe Jac- . AJloire correctionnatisée. — Un des pre- rie ; Arsène-Séraphin Thouvenot, propriébroyer. Deux mètres de plus et c'en étaitt le matériel. taire à Gruey ; François-Alphonse Nicolle, fait de lui. Un troisième procès-verbal fut dressé ques. Il était placé lo long du débarcadère, miers soirs de juillet, des jeunes gens de charron forgeron à Lubine ; Louis-Eugène contre lui et enfin un quatrième pour lorsqu'il fut serré contre le mur et eut la Longwy-Bas et Heçseraage se livraient, Gérardin, rentier à Neufchâteau ; Mariepoitrine écrasée. Le malheureux, né le 7 dans le quartier Saint-Louis au plaisir déivresse. Pierre-Michel Romary, propriétaire à Il a été amené sous bonne escorte à la". octobre 1877, à Saint-Remy (Belgique), ma- licat qu'on appelle « la chasse à l'Ita- GrandviUers ; Ma.rie-Josc-ph-Eugène Dieurié et père de deux enfants, a été transpor- lien ». r«nlit sur fMHir» sa biw. cxeluslvomcnt f.briqaé» i» s maison d'arrêt <Jo LunéyUle et déféré au n donné, négociant à Ramonchamp ; Théoté à Signeulx (Bela'iqtueL où il deracuiaitMALT ET UOUBLOA'S »B tw fMOK. Trh sum il di»eiU>e.• parquet. Justement un Italien, nommé Antonini. dore Poirson, propriétaire à Raon-l'Eta- J c Prélèvement d'cû'iantillon3. — M. de Clioudcns, comniisan.ti'O de police, a prélevé des échantillons de vins chez plusieurs àdébitants da Toul. l TRIBUNE PUBLIQUE J î ETAT CIVIL DEDIL IMtDIAf^lagM Bftfflis I Tentative de vioi J' J Madame CANTENEUR Mâtir Mth\ SAUR Monsieur Emile BALLAND MEUSE DANS LA BANLIEUE Au Paiais Cour d'assises ' jeudi, à 8 h. J, > cl-ards » dans « Les cam,,ïeuAdl !'s,.deuxLondres », pantomime à cas-" l'hnm ? également de « Boston's »,• e 9m e avec S0D T" mn' -" F . comique. Derniè-" i tatl oa de Petit piècX ,^ ct€ * m,se « Tapioca »,> ■S?^™ changement u ' ^ scène de Ratcée.• gramme ' complet de prom 0, ^, ,A VOSGES SPECTACLES> WnT Amicale laïqua Or^ — Tirs d'automne. _ — Des tirs à l'arme fto guerre auront lieu les dimanches 22 et 29 septembre, de 7 " heures à 11 heures et de 2 heures à 5 heu* res. Dernière séance le 6 octobre, de 7 heup res à 11 heures du matin. Rendez-vous au stand do Tombkwne. ■s*--»-» n ^nfajileV?1' la rau?-icrue du 79<> rési"' . Brasserie de Nancy a^M^ t^»^;.-*^-^^ —- —— REPUBLICAIN t»»»^^-^ ■* ——™~ . .. .. ^ L'ACTUALITÉ AGRICOLE ,„ -, "^S!^ I ^^^^^^^^ 4>e ; Marie-Paul-Hyacinlhe Perrut, cuJU-1 qu'il m adressa une observation à M. Paul l •dateur à Aulnois ; Joseph-Emile Bertrand, Moyaux.m'içon, M qui venait de lui prendre . «ubergisle à Saint-Dié ; Louis-François %s une pomme. Une discussion s*éleva, au ■•■ ■ feFachet, fabricant de broderies à Henné- c< cours de laquelle M. Vaillant fut frappé zel • Bernard-Auguste Bruzon, négociant' d'un d coup de poing. < à Remiremont ; Aimé Girondcolas, tisse-i ARRONDISSEMENT DE REMIREMONT Paris, 17 septembre 1912] fjrand au Val-d'Ajol ; Joseph-Constant Go-' Les chapeaux de peluche grise, aion pas ' REMIREMONT dé, rentier à Lamarche. 1 Conférence. — Sous les auspices de la •lisse, ftiais « écrasée » sont actuellement ; Jurés supplémentaires. — Elisée Char-. LA SÉLECTION DU BLÔ gannit sobrement Ligue des Droits de l'Homme, M. Georges Jle grand chic On les ;vot, retraiié à Epinal ; François-Emile *■ 1, d'une immense ro- ' d'uni motif de plumes L Levaxelaire. professeur de mathématic %lbert, bijoutier à Epinal ; Marie-Jules S d'un nœud de velours violet très vio-1 ■ Baudoin, ancien boucher à Epinal, et qu.es au lycée de Besançon,, fera samedi se, Tello terre à blé qui, il y a quelque vingt 1 do dentelle d-'or. à huit heures et demie du soir, lent Charles Reiss, mécanicien- en retraite à prochain, | ans, arrivait péniblement à produire 30 La peluche noire, ou taupe ou blanche, à l'hôtel de ville, une conférence publique Epinal. hectolitres, produit aujourd'hui de 30 à 40 e1 gratuite sur « le système du monde, son et tfait de charmantes coiffures auasi. Les quintaux. . formes sont si noinbreuses qu'il serait difLe rôle n mécanisme, sa formation ». C'est l'effet d'une main-d'œuvre perfecdo lea décrire. Mort subite. — Le soldat Charles Bou- ficile i ' ■ Lundi 23 septembre, à 2 heures ï de l'aChaque femme choisit celle qui lui va tionnée, de l'importance donnée à l'assocher, 23 ans, du 156 bataillon do chasseur; près-midi. — 1™ affaire : Vol qualifié. Ac- ci lement de premier ordre fourni au blé par cusé : Ambroise Stibling, 20 ans, manœu- à a pied, a été frappé mortellement par une 1le mieux, ou qu'elle se figure le mieux une récolte de betteraves ou de plantes congestion célébrai*. Il allait être libéré 1lui aller. Et c'est ainsi que l'on coudoie sarclées ; d'une bonne appropriation du ivre sans domicilie fixe. Ministère public : P< 1 le grand sombrero, pelucheux, la toque quelques jours. M. Couchepin, procureur de la République ; dans u en velours, le petit chapeau ven- sol ; de la préparation soignée des semen- S La famiue, qui habite Neuilly-l'Evêque boléro t idéfenseur : M0 Coudré, d'Epinal. Trois tedéen en satin, la capeline de velours noir ces, des) façons culturales appliquées à (Haute-Marne), a été informée par les c moins. , .,. _„ „ i, 1 recouverte d'un grand béret plat, de propos au cours de la végétation et surLundi 23 septembre après-midi. — 2° af- soins do l'autorité militaire. La Suli-Brahim. — C'est dimanche pro- grands £ bérets de velours cerise, ou noir, tout, c'est mémo par là que nous eussions Ifaire : Vol qualifié. Accusé : Louis-Jeanc violet, relevés d'un côté sur le bord dû commencer l'énumération, du perfec■Baptiste Henri, 33 ans, manœuvre, sans chain qu'aura lieu la remise du fanion à ou tionnement deâ diverses variétés de blés la Sidi-Brahim do Remiremont et en pré- par I une haute dentelle d'or. idomicilo fixe. Ministère public : M. Mar- f d'une délégation de la société sœur Beaucoup de chapeaux violets en satin, par une patiente et ingénieuse sélection. chai, substitut ; défenseur ; M" Toussaint, isence * Il importe avant tout de se fixer sur les d'Epinal, qui viendra à Remiremont avec cou en velours ; d'adorables petits chad'Epinal. Cinq témoins. _ ^ son fanion. ï peaux de satin blanc, de grands feutres meilleures variétés qui conviennent à sa (Mardi 24 septembre, à 0 heures du matin. B PLOMBIÈRES Ipoilus et de drôles de petits chapeaux terre et au climat du pays. Au sol pro8e affaire : Attentats à la pudeur. Accusé : fond, reposant sur un sous-sol compact et Les mauvais chiens. — Deux chiens ap- pointus î pour clowns féminins. -Urbain Sertaur, 42 ans, cultivateur à Tainpartenant : l'un à M. Delagrange, habiLo chapeau habillé par excellence sera argileux, susceptible de conserver une certrux Ministère public : M. Marchai, subs- P f en moire ou en velours ; le dessus taine doaa d'humidité, a fait remarquer le «tut ; défenseur : M- Jeanpierre, de Saint- tant sur la Promenade des Dames, l'autre grand, à M. Joseph Larose, marchand forain, cdisparaîtra sous un immense béret de regretté Dehérain, cmvient une variété Dié. Quatre témoins. 4- affaire : Attentats à la pudeur. Accu- "ont mordu cruellement à la cuisse gauche ttulle, soulevé légèrement par un bord de un peu tardive, c'est-à-dire restant longtemps sur pied, travaillant longtemps, et, M. Isidore Perrin, propriétaire à Ruaux, skunds « ou de zibeline. Bé : Michel-Gabriel Hugot, 35 ans, manceu- * D'autres seront piqués d'une aigrette, par suite, susceptible d'élaborer un poids vre à Remiremont, Ministère public : M. et , M. Louis Conval, cordonnier, La gen■Marchai, substitut ; défenseur ; M0 David, t(darmerie a été saisie de ces deux plain- cou écliaircis par une grosse rose de ve- considérable de matière végétale. Au contraire, pour une terre reposant sur un tes. 1lours dans les tons chauds. d'Epinal. Six témoins. SAINT-NABORD On verra aussi énormément de chapeaux sous-sol incapable de faire de grandes ré5« affaire : Attentats à la pudeur. Accu< satin blanc tendre, de chapeaux blanc serves d'humidité, il faut des variétés présé : Edouard-Alfred Gaxatte, 44 ans, culti- h Voies de fait. — Gabriel Burster, tail- de de nmes, et Joseph Valentin, journa- et < noir, dont les plumes seront de ces coces, moins prolifiques puisqu'elles tra•jvateur à Coinches. Ministère public : M. leur ]; vaillent moins longtemps, mais capables se sont pris de querelle, au sortir du teintes f mélangées. 'Couchepin, procureur de la République ; lier, . Remy, à Longuet, à propos d'un de mûrir leurs grains assez vite pour n'êPour le grand froidi, les toques habildéfenseur : M0 Toussaint, d'Epinal. Huit café g achat de pommes de terre. Valentin, me- lées ] ^seront en fourrure ou en imitation tre pas prises par les grandes chaleurs et témoins. ' ^nacé, paraît-il, d'un coup de fusil, terras- (de fourrure drapée. Elles seront piquées desséchées avant que leur évolution ne soit Mercredi 25 septembre matin. — C affaiBurster et le frappa si violemment qu'il soit s d'une aigrette en fourrure, dernière terminée. re : Attentats à la pudeur. Accusé : Jean- sa d Ce principe, trè général admis et la Nicolas Antoine, 41 ans, tisserand à Saint- dut garder le lit pendant plusieurs jours, anouveauté, ou d'un plumet de héron. Valentin a, du reste, manifesté tous ses Les tittsus des toilettes du soir, cet hi- meilleure variété adaptable à sa terre et Dié. Ministère public : M. Marchai, substi- regrets. au climat du pays trouvée, il s'agit, pour ver, seront particulièrement beaux. tut ; défenseur : M" Husson, d'Epinal. Seize On fera des robes en panne très souple, 1 amener progressivement à sa plus gran(témoins. ARRONDISSEMENT DE SAINT DIÉ aura aux lumières des tons adorables, de puissance, de rendement, de la perfecMercredi après-midi. — 7° affaire •.AtSAiNT-U'É qui ! tionner par la sélection. La sélection contentats à la pudeur. Accusé : Louis ConsUn taureaux furieux. — M. Simon surtout dans les teintes vieil or, cuivre et siste à ne reproduire, d'une année à l'autant, dit Pilate Amould, 56 an®, cultivateur IBlum, qui porte le sobriquet de Chimélet, ,violet. On lea garnira de passementerie, tre, qu'avec des sujets absolument d'élite, de simili. a la Bresse. Ministère public : M. Couche- est « marchand de bestiaux à Saint-Dié et scintillante ' Les robes de brocart, de moire, ornées présentant bien tous les caractères de l'apin, procureur -, défenseur : M0 Amet, de doit c avoir l'habitude de les conduire. Un ïteniiremont. Trois témoins. ttaureau, rétif probablement, le renversa de ' superbes dentelles, alterneront avec les mélioraion de la ^variété. Il y faut évidemJeudi 26 septembre, matin. — 8e affaire : d'un < coup de corne et le piétina ensuite, 1toilettes de tulle et de mousseline de soie, ment beaucoup de pratique, beaucoup de , Coups mortels. Accusé : François Joseph, 1lui faisant de nombreuses blessures sur 'e richement brodées de guirlandes de fleurs ccup d'œil et des soins infinis, mais le la longueur de l'épi a doublé et son con- donc vous faire prendre des mesures de cultivateur avise qui s'en mêle est laa-ge- tenu en grains a presque triplé. relief. 1 «fit Paul Albert, graniteur et débitant à ccorps et à la tête. La victime de cet acci- en prudence préventive. Nous croyons cepenQuant aux manteaux du soir, ce sera ment récompensé de sa peine, la moisson S&mont. Ministère public : M. Marchai, cdent a dû s'aliter, mais on ne pense pas Dans la pratique, et pour nous résumer, dant que, si vous n'obtempériez pas.il n'y a venue. surtout le brocart d'or, ou or et noir, qui srahsititut ; défenseur : Me Amet, de Remire- que c son état puisse s'aggraver. le sélectionneur s'assure du meilleur grain pas contravention. On doit choisir d'une façon rigoureuse en prenant pour hase de son choix tous mont. Quatre témoins. Vol. — Chartes Graff est charpentier de enveloppera ces somptueuses toilettes, et, *\ Jeudi 2t> septembre soir. — 9e affaire : £son état, mais fainéant de son métier. la doublure en sera de satin « noir », les épis de semence, s'attacher à les obte- les grains du meilleur épi de la meilleure D. — Quand un patron vous retient de nir toujours plus gros, plus volumineux, pour permettre de mieux distinguer touCoups mortels avec préméditation. Accu- Etant 1 entré à Grattin, au débit Gérard, il touffe et en ne reproduisant tous les ans contenant de plus en plus de grains et ce- qu'avec le produit des plantes qui ont don- l'argent sur saisie sur vos salaires, celui sés : Charles Géhén, 19 ans, tisserand, et demanda < une consommation qu'il paya ; tes ces splendeurs. qui doi tvous donner le reçu, est-ce le papendant ne jamais s'écarter, dans son Pour les toilettes de jour, elles consisteiV-alemfcin Géhin, 55 ans, tisserand, tous mais, i en sortant, il fît main-basse sur* une tron, ou l'huissier ? né le meilleur résultat . choix, des caractères du type de blé que ront surtout en tissus à grosses côtes, en 'dteux à Fa-osse-sur-Moselle- Ministère pu- paire 1 de sabots neufs, qui se trouvait R. — C'est l'huissier. LONDINIERES, l'on s'attache à perfectionner. brochés souples à dessins à relief, eten JkJic : M. Marchai, substitut ; défenseurs : dans < la salle du débit. Le cabaretier, qui professeur d'agriculture. Depuis un assez grand nombre d'années un tissu tout nouveau en laine soyeuse, SI»- Coudré et Husson, dEpinal. Huit té- aime '< bien vendre mais n'aime pas de donD. — Est-ce qu'une jeune fille a le droit t$ Q ^ — ! moins. ner, courut après son voleur, et rentra se prêtant aux draperies les plus compli- déjà, cette méthode patiente et sûre a été de partir de chez ses parents à l'âge dû e suivie en France et, pour, notre part, il Vendredi 27 septembre matin. — 10 af- d'abord < en possession de ses sabots, puis quées. 18 ans ? .Ont-ils le droit de la faire renEn ce moment, pour les courses et les mous a été donné d'en constater par exnéfaire : Meurtre et tentative de meurtre. Ac- il alla porter plainte à la police. trer Y eusé : Georges Charles, 22ans, soldat au RAON L'ETAPE promenades la vogue -est aux tailleurs rienco les fructueux résultats. R. — En théorie non. Mais c'est en Angleterre que les sélecW régiment d'arfantesie à Epinal. MinisSuicide. — Mardi, à 15 h. 17, au mo- Kaki, soit en toile de laine ou en serge Mais en pratique, on ne peut l'empêcher, tionneurs de blé ont fait merveille et si les lere public : M. Çouçhepin, procureur : dé- -ment où le train de Paris quittait la gare, fine. et si la jeune fille ne commet aucun délit, lênseur : M0 Porterai, de Miraeourt. Vingt- <de Raon-l'Etape, le mécanicien, vit souCes tailleurs clairs ont généralement la cultivateurs qui nous lisent veulent bien L). — Je voudrais connaître l'adresse n'y a ^as de raison pour que le parquet 1dain une femme se précipiter sur la voie, deu x témoins. veste liserée de rouge, avec les parements nous suivre dans une visite aux enclos an- d'une assurance sérieuse contre les mala- il intervienne. Samedi 28 septenabre matin. — Assassi- !|devant la locomotive. Il ne put arrêter. et le col en drap rouge. glais, qu'on pourrait presque appeler des dies. A pal. Accusé : Louis Vuillomard, 36 ans, 'son • convoi assez a temps, et la femme fut; Quelques vestes à basque rapportée sont fabriques d'épis types, ils auront peut-être H. — \Tous ne pouvons, en petite corres1 D. — Pouvez-vous indiquer quelle est là manœuvre à. Gérardmer. Ministère public : coupée en deux. C'est une veuve Choserot, ceinturées de cuitr rouge. Sur la hasque, quelque piroiit à tirer de l'exemple. pondance, prendre la responsabilité des nationalité de la maison d'autos X...? M. ©ouchejjfn, procurear ; défenseur : M* :âgée de 75 ans, et habitant La Neuveville. au milieu du dos, et dans le sens longituDans un vaste enclos de plusieara hec- renseignements de ce genre. R. — C'iest une maison allemande. îeanpîerre. de Saint-Dié. Vingt-deux té- Il ; paraît qu'elle avait déjà tenté à plu- dinal, se trouvent des boutonnières lise- tares recouvert de filets 3e pêche pour *"* 1sieurs reprises de mettre fin à ses jours. *"* moins. rées de aiouge et des boutonis de cristal éviter les dégâts des oiseaux, sont plantés D. — J'ai quitté ma mère à l'âge de dixD. — Je désire me faire naturaliser Lundi 30 septembre matin. — 18e affaire : grain à grain, à raison d'un ou deux par huit ans, en raison de ses mauvaises reFRAPÉLLE; taillé. L'autobus fait panache. — L'auto qui[ tentative d'assassinat. Accusé : Stepha GoFaut-il ajouter que ce genre de costume mètre carré, les variétés de blé, d'avoine lations ; à partir de cette époque, j'ai ga- Français, étant Alsacien. A qui dois-je villot, 52 ans, manœuvre à Nancy. Ministè- fait ? le service de Sâales à Saint-Dié reve-. est exclusivement" réservé aux femmes et d'orge que certains grands producteurs gné péniblement ma vie, voulant rester m'adresser et quelles sont les pièces qui re public : M. Couchepin, procureur ; dé- nait ; mardi, vers neuf heures, de l'Alsace, jeunes et très minces ? Sélectionnent depuis cinquante ams-. Au- une jeune fille honnête, et ma mère ne sont nécessaires et qu'il faut fournir "? R. — Ecrivez à M. Hartmann, rue Clautauseur : M* Jacob, de Nancy. portant quatre voyageurs, lorsqu'à la sor-'. Les boutons de .cristal sont la folie de cun soin, aucune peine n'y est épargnée s'est plus occupée de moi. Je suis aujour1 d'hui âgée de vingt-quatre ans et je me dot, qui vous renseignera. ARRONDISSEMENT D'EPINAL \tie de Frapelle, à l'intersection de la route, l'heure. Il y a en a die longs, comme de et chaque touffe a sa généalogie , c'est un +* EPINAL ,de Bertrimcutiers, la barre de directioni minuscules rouleaux à musique ; de ronds travail d'une minutie extrême,mais on part suis mariée il y a six mois ; or, voilà — Ayant trouvé une maison m'offrant Procès-verbaux. — Des procès-verbaux se brisa et l'auto fut projetée dans le. fos-. comme Une soucoupe profonde, piqués au de ce principe qu'nue bonne généalogie est qu'à présent ma mèré me réclame une à D. placer ses produits, veuillez me dire si ] ^nt été dressés : 1 «pour ivresse publique, \sé. Les voyageurs n'eurent que quelques3 milieu d'une pierre précieuse ; de pointus, •aussi utile pour les plaintes dont on pour- pension alimentaire. Sommes-nous obligés je serai patenté et quelle patente ? contre André F..., ouvrier imprimeur, de- .'égratignures, fort heureusement, mais lat., de carrés dont on compose des garnitures suit l'amélioration que pour les animaux. a lui payer, vu que mon mari gagne juste R. — Vous pouvez en. effet être patenté, ! . charmantes. Reproduire avec un épi beau par ha- pour nous suffire et que nos meubles ne meurant à Chantraine ; 2° pour aban- -voiture est dans un piteux état. En général, on garnit beaucoup de sard et se contenter de faire subte.au pro- sont payés qu'en partie. Notez que ma mais nous ne pouvons vous indiquer le 'O ■ ■ ■ ■ i don de voiture sur la voie publique contre : boutons de toutes sortes les robes et mê- duit de cet épi un simple triage ne suffit mère a encore d'autres enfants qui lui montant. AJjrréd R..;., 46 ans, charretier à Epinal. *** me lea chapeaux. pas, il fauii recommencer chaque année rapportent une moyenne de six fran.es par C«r». — M. Borgmiet, directeur du théâ- , D. — M. Collignon, ancien préfet, nom-' Je vis l'autre jour une jeune fille qui avec un épi dont la généalogie est bien jour. tre-de ce nom, a fait don de cent francs au 1 mé secrétaire général de la présidence de portait un feutre souple bleu Nattier. Co- connue. Car il en est de même que pour R. — Vous devez une pension alimenbureau de bienfaisance. SCHLESTADT" quettemenit rele.vé sur le devant, il était les animaux. Une bielle jument, belle par taire si votre mère est dans le besoin. la République, est-il l'ancien sous-préfet de ARRONDISSEMENT DE NEUFCHA TE AU L'élection au Reichstag. Une élection retenu par une cooarde faite de petits hasard, c'est-à-dire sans origine, donnera Mais le juge de paix tiendra compte de Mirecourt, |R. — Nous l'ignorons. NEUFGHATEAU au Reichstag vient d'avoir lieu pour lai boutons plats en soie floche, de plusieurs hien souvent des produits quelconques, votre situation et de la présence d'autres 1 *** Admirable sang-froid d'un enfant. — circonscription de Schlestadt. couleurs se mariant parfaitement avec la tandis qu'uni cheval provenant lui-même enfants. Ont obtenu : D. — A qui faut-il s'adresser pour saVers trois heures du soir, M. Henriot, ferteinte du chapeau. d'unie lignée de chevaux remarquables, a A M. l'abbé Haegy, centre, 7,112 voix ; M. blantier, tra\ aillait à la réfection de la Une guirlande assez épaisse des mêmes toutes les chances de reproduire, sauf .acD. — Je vous serais obligé de me dire voir si un chasseur est muni d'un permis de loiturre de la maison Gérard, rue Gohier. Andilauer, progressiste, 2,326 voix ; M. boutons contournait la passe- C'était aus- cident, des poulains de touto beauté. si je puis, sans permis de chasse, tuer à chasse ? R. — Adressez-vous à la mairie, bureau Ce toit, élevé de sept mètres, surplombe Imbs, socialiste, 2,769 voix ; M. î'abbé§ si original que joli. La formation d'une espèce pure de cé- la carabine les petits oiseaux et autres gi«n bâtime it de quatre mètres, sur le faîte Haegy est donc élu. J'ai vu une garniture bien plus origi- réales eat plus rapide, plus complète et biers insignifiants qui se présentent dans militaire. C'est là qu'on retire les permis. duquel se tenait un gamin de dix ans, le nale encore, sur une toque assez haute on plus satisfaisante que celle d'une race ani- ma salle de café, très ouverte .il est vrai, Or. vous renseignera en tous cas. Extrait de l'état civil de Metz petit Maurice Seirrière, qui regardait l'ou** Naissances. — Joseph-Rodolphe-Henri Klap- satin bleu, qu'un, grand nœud de velours male, parce que les grains se reproduisent mais située sur une propriété privée et vrier opérer. D. — Voilà trois mois que le notaire a en plus grand nombre et laissent plus de close ; en outre, si cette tolérance pourrait per. — Frédéric-Joseph Batt. — Victor Déhé.- de même teinte ornait en oache-peigne. M. Henriot, par suite d'un faux mouve- — vendu le bien de mes parents, pouvez-vous Tout autour de la toque, qui emboîtait choix que les rejetons d'une race laniméc s'appliquer à toute la superficie du parc Eugénie-Barbe Lambinet, — Margueritement, fut précipité dans le vide et tom'ba Marie Gougeon. — Louise Berrang. — Alice-g bien la tête, courait un chapelet de déli- stfunodse à la sélection chevaline, asine, dont je suis gérant, payant pour le servi- me dire combien aie temps dure une liquiprès de i*eniant. roulait déjà sur la Catherine Baer. — Michel-Henri Béna. — Jo-I. cieux petits coquillages .roses, jouant la bovine, ovine ou porcine. ce des consommations, et ceci naturelle- dation ? pente et -éta sur le point de tomber sur 1s séphine Parachini. — Catherine-Louise We-.. fleur absolument. R. — Il n'y a pas de durée, fixe. ment à des heures, jusqu'à neuf heures Autre avantage, au lieu de se présenter sol, lorsque le gamin le saisit par ses vê- ber. — Marie-Madeleine Oberlé. — Pierre-:Cela dépend de l'importance des opéraComme je complimentais mon amie de avec la Constitution délicate que l'on re- du matin par exemple, où la sécurité des Clément Drouot. — Henri-Eugène Reichstein. tements et le maintint en appelant au i. son joli chapeau, elle me raconta que ce marque d'ordinaire chez les animaux de promeneurs n'aurait rien à craindre,puis- tions. Catherine Iung. — Paul Wetzel. secours. ouvriers maçons purent ar- —Mariages. chapelet de coquillages venait de Tahiti, race pure, la plante généalogique descen- que ces derniers n'existent pas encore. — Michel Sehullinger, conduc*** river assez vite pour tirer le ferblantier teur de tramway, et Mathilde Pierre, à Metz.'" et que c'était là-baa l'ornement de la coif- due d'une lignée d'iancêtres dont chacun R. — Vous ne le pouvez pas, même avec D. — 1° Etant marchand de quatre-satet le gamin de leur périlleuse situation. Il — Camille Polla, serrurier, et Elfsabeth Kahl,!' fure des femmes. un permis de chasse. était la touffe la plus vigoureuse de Tansons à Nancy, devant partir à Malzévilte 'était temps ; l'enfant était à bout de for- à Metz. — Georges André, emplové de com-il Qui n'a pas lu « Le Mariage de Loti » ? née, est pariiculiièremient .résistante aux »** pour également exercer ma profession de ces. M. Henriot a été grièvement blessé ; merce, et Félicie Sabé, à Metz. — Richardi — Immédiatement surgit devant moi la intempéries et aux maladies cryptogamiD. — Les démarches à faire pour tou- marchand de quatre--saisons avec voilure à îl a une côte fracturée, en outre une lar- Gau, garçon de courses, et Madeleine Witt-i- triste et jolie figure de la petite héroïne ques. cher une indemnité pour , un militaire ma- bras, peut-on m'imposer une patente V ge blessure a été constatée au sommet du mann, à Metz. — Frédéric Hanemann, sel-1- aux bouclesi noires, enserrées d'une couPour prouver l'efficacité de cette mé- rié et père d'un enfant, une demande 2° Un client m'ay.ant fait crédit dépas«fiàne. Néanmoins, on espère que cet ac- lier, et Jeanne Knab, à Metz. — Victor Bois->2 ranime de fleurs en coquillages. thode, il y a les résultats dus à l'influence[; ayant été faite il y a dféux mois avec sa- sant la somme de 10 francs, ne voulant pas taux, confiseur, et Amalie Mougin, à Metz.— cident n'aura pas de suites mortelles. Pour terminer, il paraît que cet hiver seule du triage et de la sélection, puisque tisfaction sur tous lies points par la mai- me payer, ayant témoins, que dois-je 1 Buhrer, comptable, et Marie Von Bank,J Mais il peut remercier son petit compa- Erwin à Metz. — Joseph Oberlin, chef de bureau, et\l les jabots, revers et manchettes de linon la varmété, le stol et le système de culture! rie ? faire V gnon. Sans lui, .il est probable que la deu- Léontine Girard, à Metz. — Adolphe Broc->. blanc seront remplacés par de la mous.se- «M 1 été absolument les mêmes. R. — Nous ne comprenons pas votre R. — 1° Oui. xième chute lui aurait été funeste. kers, assistant des postes, à Metz, et Ger-r- line de soie marine, ourlée à jours. 2° Citez en justice de paix. ..*w3»î£. Pour une série consécutive de cinq an- question, mais il nous semble qu'en vous Goups. — Le jeune Eloi Vincent, âgé de maine Poncques, à Sey. nées, voici la progression : adressant à la mairie vous serez rensei*V Comtesse BERTY. Décès. — Marie Sohmettler, née Laurent, 50 17 ans, menuisier, a déclaré à la gendarl0 D. au h° 50. En 1905, nous en sommes à l'épi origi- gné. merie que, sans aucune provocation, il ans. — Jean Pétry, pensionné, 68 ans. — An*** nal, d'une longueur de 4 pouces 3/8 et d'un; R. — Rue Jeanne-d'Arc, 153, Nancy. Dadomo, colporteur, 55 ans. — Charles &vait été frappé à coups de poing par M. dré H. — Une personne a porté plainte parce ouvrier de fabrique, 49 ans. — Macontenu de 47 grains. L'année suivante le' ** Louis Bausmayer, son camarade d'ate- Drouchon, l thias Lang, premier assistant à la gare, 44 i plus bel épi est long de 6 pouces 1/4' ,il' que mon chien aboie quand elle passe deD. — Je suis débitant, je vends à boire et lier, " LA REÈNE DES BiERES ans. — Philippe Pfister, pensionné, 75 ans. contient 79 grains et la meilleure plantef3 vaut chez moi ; la police est venue me dire à manger.mon propriétaire n'a fait un bail j — Marie-Anne-Joséphine Laglasse, sans pro> Brasserie la plus importante ARRONDISSEMENT DE M/RECOURT porte 10 épis. La progression continue et, d'attacher mon chien. En a-t-elle le droit ? de 10 années, qui prend fin en 1913, etc. V _ i fession, 21 ans. — Jean-Antolne-Hubert Kol1de l'Ouest du ContinentI ou 1910, le plus bel épi est long de 8 pouCe chien est déclaré de luxe et paie 10 fr. R. — Il faudrait avoir, pour vous réVITTEL. ping, conseiller de justice, 59 ans. — Jacob " pair an. * Vente en 1311 : Z30,000 hectolitres Violence. — M. Henri Vaillant, jardi-• Schmidt, employé des postes pensionné, 67 ces 3/4, contient 123 grains et la meilleure pondre, les termes exacts de votre bail tout, 7 plante porte 52 épis. nier à Nonville, se trouvait à Vittel, lors-. ans. — Nicolas Bour, ouvrier, 33 ans. R- — Vous devez prendre les précautions entier. D'après les renseignements que vous TURIN - GRAND» PRIX Ainsi, au moyen de la sélection répétée, nécessaires pour que votre chien ne cause nous donnez, il semble que le propriétaire I > \ aucune frayeur aux voisins. La police peut n'a pas le droit d'augmenter. Eei)0y èeja flode SemainesTauioniDe ; V/ 1 " n|ettentenveqte 1 ^ g g Petites J L n OCJ Bière de ChampigneuOes jj j — N° 149 — Le Marquis est double GRAND ROMAN par La & o N SKZÎE •— Villaccrboli sait que vous êtes avec lea amis Palestrini. — Oui, c'est lui qui m'a engagée à passer la soirée avec eux... — Parfait. J'ai donc mis à la poste un petit bleu... dans lequel vous disiez... retenez bien ceci— vous disiez au comte oue les Palestrini, désireux d'assister à un bal à l'Opéra do Paris, vous y entraînaient !•.. Pour ne pais être reconnue et vue sans votre ami... vous portiez un domino noir comme Mme Palestrini... et vous engagiez le comte, si ses farces le lui permettaient, à venir vous rejoindre ici-., à l'Opéra... dans cette loge... On applaudit à cette ruse. — Vous avez fait cela ? C'est parfatl... — C'était une bonne précaution... Vous voyez qu'elle doit porter ses fruits... quand vous vous trouverez en face de Villaccrboli, -—— — Je ferai par conséquent comme si je l'attendais, s'il ne venait ici qu'à ma demande et le tour sera joué !... A présent oni riait dans la loge où tout à l'heure on s'était senti pris par une forte émotion. Cependant, le marquis Primo di Carminé Santuoci, ne tenant pas à être vu dans cette compagnie par Martin-Numa, comme nous le savons, s'esquivait en toute hâte. Au moment où il filait par la galerie, cherchant à s'abriter derrière les masques, les groupes, le comte de Villaccrboli l'aperçut. Il ste leva péniblement, et avec effort, très faible, très souffrant... Mais Primo, qui, précisément, voulait ■ par-dessous l'éviter, continua sa marche feignant de no pas le voir et ne se laissa pas rejoindre par le malade. Cependant, le comte de Villa.cerboli, grâce à ces quelques pas, se trouvait maintenant à peu près à la hauteur de la loge qu'occupait la belle Focamore, et d'où venait de sortir le comte di Carminé Santuoci. Un pierrot blanc, qui, sans doute, le surveillait, le précédait. En passant devant la porte de cette loge, le pierrot frappa du doigt, comme pour un signal convenu-.. Etait-ce ce que voulait dire ce signal, ou se trompait-on sur sa signification Y Toujours est-il que la porte de la loge s'entrouvrit au moment précis où le comte de Villaccrboli se trouva devant. Malgré lui, le comte jeta les yeux dans cette loge. Aussitôt, plusieurs exclamations se croisèrent : — Anglio ... Elvira !... Villacerboli !... Palestrini... D y eut un moment de silence comme il ' s'en produit après le cri spontané chez les ens surpris. Qui devait le premier se ressaisir et prendre le haut de la situation ? — Enfin, te voilà, Anglio mio ! s'écria la belle Elvira, em se levant et allant au comte. Tu as pu faire ce sacrifice ?... Répondre à mon appel ?... Venir jusqu'ici ? Oh ! que je suis he.uaeuse... que je suis heul'eus e !... Très digne, luttant pour conserver tout a son calme, toutes ses forces, le comte es- ' saya de .sourire : 1— Oui, chère amie, fit-il, oui, j'ai pu venir jusqu'ici... et je suis heureux de vou. trouver... ça n'a pas été sans peine... je voua l'assure t... — En effet, Anglio, tu es très pâle . tu me parais extrêmement faigué I... Oh ! décidément, j'ai eu tort I... Je 11'aurais pas dû te prier de venir... pauvre ami quede regrets 1 Mais noua allons rentrer c'est fini ! Je ne puis plus goûter aucun plaisir en tevoyant ainsi... Nous rentrons... ~ Tout le monde dans la loge s'était levé. Elvira fit les présenitations au comte : ;— Nos amis Palestrini... le baron p"asielo... le prince Ramollno... A chaque nom, lo comte saluait. Il connaissait d'ailleurs tout ce monde et so demandait pourquoi Elvira lui présentait ainsi ses compagnons. — Tu vois, cher Anglio, fit-elle en riant, que j'étais en bonne compagnie !... Mon bonheur eût été complet si tu avais, été à mes côtés-.. Elle était sortie de la loe et avait remis son masque. Au silence froid du comte, chacun comprit que cette équipée n'était pas du tout do son goût e que la Focamore allait, en .rentrant, s'attirer une forte réprimande. : j ] l < oorrespondanees tsORRAIKB HT ALSAGB! FEUILLETON DE L'EST REPUBLIGA1N ( < —— , wrmt^mmMmmmmnmwwmmmnm^gBfH Les Palesrini quittèrent aussi la loge et 1 la M.imi-Pinso.n, le pompier. En somme, le comte et Elvira. les agents de Martin-Numa surveillaient, p — Nous devons, cher comte, dit le Pa- «suivaient. elestnm .vous présenter toutes nos excuses Le comte marchait lentement. et t vous dire que c'est nous qui avons enEnfin, d'une voix blanche, pleine de rage traîné ici Elvira. C'est pour nous faire r plateir, qu'après vous avoir averti, elle a contenue, ne pouvant plus garder ce oui c lui brûlait le cœur, il dit à Elvira : econsenti à nous accompagner, ma femme — Je m'étonne, Elvira...je m'étonne gran0 mort au bal de l'Opéra, que nous n'avion* dément de vous trouver ici... jamais vu... — Mais, cher Anglio, je vous ai prévenu t Le comte, pour toute réponse, fit un ges- par un télégramme... te a l'adresse du Palestrini. —C'est possible... Mais je suis, quand Il avait pris le bras de sa maîtresse et 1 1i entraînait lentement, se faisant plutôt même, douloureusement surpris de vous trouver dans cette loge... porter par elle... — Vousi savez bien que j'étais avec .nos Il la regardait ; son front se plissait et £ ses yeux froids brillaient étrangement • amis Palestrini... = — Sans doute, mais il y avait aussi avec ^sa bouche se crispait dans un mouvement vous le baron Pasielo ? volontaire du menton. — Oui, en effet, fit Elvira en tressail( La Focamore ne perdait rien de ce Jeu lant. do physionomie... — Il y at_\it aussi le prince Ramolino. i Elle échangea quelques, coups d'œil sin— Oui, mais Us sont venus saluer les guliers avec les Palestrini... avec deux ou Palestrini... 1 trois habits noirs... aux cravates en croix ( — H y avait avec vous, vous dis-je... le de Saint-André... et un pierrot blanc qu' ]passèrent. baron Pasielo et le prince Ramolino — Eh s'écria Elvira J Dans la loge étaient restés le pierrot ..Quel malbéera, y a-t-il ? nerveusement ^vua. blanc, le baron Pasielo et le prince RamoUno. — Grand !... Elvira... très srand mit 1 Ils avaient refermé la norte ,'de la lo^o et Non seulement vous venez ici sanTmon parlementaient vivement entre eux "très consentement... à mon insu... mate vous v' rencontrez le prince Ramolino et le Wn£ émus, très contrariés. Martin-Numa se trouvait à ce moment Pasielo Ce sont les amis intt^es les a£ en face de cette loge... de l'autre côté du théâtre. — Complices en quoi ? pourmir» 9 11 fit un signe, et les dominos, les °entlcmen qui se trouvaient dans sa loge, à lui, gens sont tous de parfaits sent ltinmmi — Vous savez cependant mm ^mes'.'' laquittreent aussitôt. Primo di Carnùne%antu7 ^ c Derrière le groupe formé par 1<? comte, Elvira et les Palestrini, qui cherchaient à ,i mt"mort11!.! ^ ma PMte- tTciSe se frayea* un passage parmi la cohue, se Elvira Focamore ne répondit rien tenaient le long du couloir la laitière aux lenLe comte reprit : volumineux appas et le paysan normand', l - Ainsi, vous Elvira.... que j -yT. s suivirent 1 e crovais n mon amie, que j'aimais comme ma femme, vvous Elvira... vous étiez en secret l'amw /j do mes ennemis !... Depuis un momeint, un pierrot blanc, b bousculant le monde, fendant la fou- I 1<le, cherchaittout à se rapprocher du groupe, ] à à se tenir auprès de Villacerboli et de 1* , b belle Elvira, comme s'il voulait écouter ce j q que disait le comte, s'il désirait aussi W rparler... Palestrini avait essavé de le reporsser, d tde l'arrêter, de l'é:arter.... Mais le pierre* blanc insistait. • Alors, dans un geste machinal, involonttaire, Palestrini toucha J'épaule de la beuB Focamore. / Elvira comprenant sans doute le sens ofi cce signe s'était retournée vivement. Elle avait aperçu le pierrot blanc i Et dans ses yeux noirs, sous son loup,, un long éclat de haine jaillit. A ce moment, une bousculade se produi-; sit. < Une sorte de farandole, de masques en délire, passa... rejetant tout sur son Pet tsage, avec des cris, des éclats de voix, ow 1rires de femmes. ... , C'était la joie au paroxysme, le P«^" pousse à l'ônervement, le tapage et le mou vcment atteignant la folie. „„= , Plus haut que tous ces cris, que Çen éclats de rire, dominant tout ce bruit, en de douleur retentit. .. ,. . Et quand la farandole fut passée, a » r re aux pieds du domino noir de la bw Elvira, se trouvait étendu, râlant û8j* une mare de sang, le comte de Villac®' poli, un poignard planté dans la PUi 1 trane..,, _ (A suivre^ g CHOCOLAT LORRAIN I m I f j ' , ] < 1 ( ( 1 : : I T 38 f " ^■■'^■^"^«''^■''■■■■■■■■w «mu» -*m*i™.-*amœ^"am°«\m. gBBga—— ' L'ES REPUBLICAIN <t^B!W"*WWMwBjw>wtfffliii IIIIII irai n IIHII iii—11 m ■■nii—fl ■«■^■wtiMiii» Louisi Delannoy, qui «n'est âgé que de 17 I laquelle se trouvaient sept personnes, ans, et qui est un lymphatique sournois, abordait un virage en S lorsque 1© pneu dépourvu d'intelligence, dont le père est d'une roue arrière éclata et la voiture eaiEDOxé fou, avait fait la connaissance d'une îïuta dans un fossé. Le conducteur, M. Jeune ouvrière de la banlieue d'Amiens, Paul Hairdouiini, trente-six ans, entreipreSuzanne Florent, dont il ne pouvait satis- neur de eharpente au Mans, eut le crâne faire les demandes d'argent. C'est pour el- broyé et mourut sur le coup. M. Collet, diet Jours le que lo malheureux a tué sa mère. Le reefeur de banque au Mans, et Mme Ooi-CARRIÈRES DE JEUNES GENS service de la sûreté irecherche la jeune Seft furent grièvement contusionnés. Les Commis amb;,'an: de i'octmi de Parï3. ' Suzanne afin de l'interroger. autres voyageuirs ne reçurent que des égraJCrSS1 — 'Baba officiel!c. : 22 octobre. — Délai j tigniures sans gravité. ' IXEUL. ^st sur le d'inscription : 1-2 octobre. — Age : 21 à SO f Boutognie-sur-Mieir, 17 septembre. — RDM. BMESSÉ A L'ESCRIME. — Deux officiers du Mont-Blanc. ans. — Traitement : 2.100 à 5.000 Br. — t 10e dragons, à Carcassonne, le lieutenant Chaïipontier;, adjodmt au maire de Béton- Aucun diplôme n'est exigé. Cahumc et lo lieutenant de réserve Lt- ne, Pitteux, électricien) à Béthune, DereulExpéditionnaire à la Caisse des dépôts ! M^IaMWMJPffllMMWMaZ/ mousis, faisaient un assaut à l'épée, dans ie, courtier à Paris, Mimes Lemoine et et consignations. — Date probable : déEtvret, de Paris, avaient loué, hier aprèsla salle d'armes du régiment. cembre 1912. — Age : 22 à 30 ans. — TiraiL'armo du lieutenant Cahuzac s'étant midi, dans un garage de Paris>-Pl.age, une tement : 2.000 à 4.500 francs. — Accès aux gor j à adresser à tous ceux de nos lecde 60 chevaux, piloté© par lo ^^3 U U V soudain cassée, la lame pénétra de deux limousine emplois supérieurs.— Aucun diplôme n'est teurs qui en feront la demande accompachauffeur Georges Mettler, avec laquelle exigé. centimètres dans la poitrine du lieutenant gnée de 1 fr.50 en timbres-poste ou mandat s'étaient rendus à Boulogne. A sept heuLimousis, au niveau do l'aisselle gau- ils Employé à la Société de gaz do Paris. 1pour tous frais « Le Livre des candidats res du soir, les voyageurs quittèrent cette che. u u lT T pour regagner Paris^P'lage. En arri- —Date probable : mars 1913. — Age : 18 à "et candidates aux emplois administratifs », Une forte hémorragie s'étant, produite, ville vant à la. petite station de Ponit-de-Briques, 30 ans. — Traitement : 2.100 à 4.800 fr. — édition 1912, un fort volume contenant l'officier dut être transporté à l'hôpital, où le chauffeur vit point que la barrière Accès aux emplois supérieurs. Indemnités. 730 pages de texte compact et donnant les médecins militaires lui donnèrent des du passage à ne tous les renseignements utiles sur toutes était fermée. L'auto, — Aucun diplôme n'est exigé. seins empressés. Sa blessure n'aura »>as lancée à touteniveau Commis de l'Assistance publique à Pa- les fonctions publiques, conditions d'advitesse, vint s'écraser conde suites graves. ris. — Date probable : mars 1913. — Age : mission, concours, traitement, avenir, etc. tra cette barrière. i ... i. Les voyageurs furent projetés sur le cô- 22 à 30 ans. — Traitement : 2.000 à 4.200 NÉCROLOGIE. — Nous aprenons avec reté de la route. Un seul, M. DereuMe, fut francs. — Accès aux emplois supérieurs. gret la mort do M. Remy Couzinet, ancien Légèrement blessé. Mais le chauffeur Mett- — Aucun diplôme n'est exigé. Rédacteur à la préfecture de la Seine. directeur de la '« Dépêche » de Toulouse, ler, arraché de son siège, fut' projeté conqui vient de succomber presque subite- tre un express qui passait à ce moment —iDote probable : 4e trimestre 1912. — ment à Gorbe.il, chez des amis auxquels il même. Le corps du malheureux rebondit Age : 31 a 30 ans. — Traitement : 2.700 à ontd Parts, 17 septembre 1912. était allé 'rendre visite. contre la barrière avec une tel© violence 12.0000 francs. — Indemnités diverses. LiM. Remy Couzinet était un lettré averti. que la tête se trouva pour ainsi dire lami- cence exigée. Lo marché a été plus> calme aujourd'hui ' ' Il avait pris en 1882 la direction du grand née et broyée entre deux montants. Expéditionnaire au ministère des finanLa Rente reste soutenue aux environs régional du Sud-Ouest ; il écrivait dans ce ces. — Date probable : 4e trimestre 1912.— des cours d'hier, à 91,50. journal des articles littéraires qui témoi— Age : 22 à 30 ans. — Traitement : 2.000 Le groupe des Fonds d'Etat? étrangers NOTRE SURVIVANT DE BORODINO. — Nous l^/kf \ssi^ g il manifeste sa gnaient de sa forte culture. Il abandonna a\ions, nous aussi, récemment encore, un à 4.500 francs. — Accès aux emplois supé- témoigne d'une certaine èrrégularté : Exrieurs. — Aucun diplôme n'est extigé. bientôt la direction de la « Dépêche » pour survivant le Borodino aux Invalides. térieure plus lourde à 94,10 ; ?erbo, 4 % retourner aux livres qu'il avait rassemblés Rédacteur à l'administration centrale 87 75 ; Turc uinifié mieux traité à 92,32. . Je quitte ce lieu. ^ Ou du nicins ses camarades présenm dans une propriété située à Mainvilliers, taient ainsi pittoresquement, le père Syl- de» travaux publics .— Date officielle : 2 Les Etablissements de Crédit sont très près de Chartres, où il s'était retiré. décembre1. — Concours ouvert pour 15 em- résistants. vestre, amputé des deux bras : plois. — Age : 22 à 30 ans. — Traitement : Les Chemins français se maintiennent — Oui, dtl était à Borodino. Un boulet 2.400 à 6.000 francs. — Accès aux emplois à peu près au cours de la veille. TiîRRIBLE ORAGE EN ALGÉRIE. NOMBREUSES russe lui emporte le bras droit. « Eh bien, supérieurs. — Licence exigée. s Raissle assez vive des Ch?nnns espamourons ! s'écrie-t-il. Et de rage, saisisVICTIMES. — Un violent orage s'est abattu Surnuméraire des contributions directes. sur Laghouat et la région, faisant de nom- sant le sabre d'un officier, il se coupe — Date offioiélle : janvier 1913.Délai d'ins- gnols : TAndalous faiblit à 304 ; le Nord breuses victimes. Les rues ont été inondées l'autre bras. « Tu es un brtve ! » lui dit cription : 15 novembre 1912. — Age : 18 à Espagne à 483. 0 Un ouvrier nié. Le Groupe de la traction est plus indéet l'eau a pénétré dans les maisons et les 1 Empereur en lui sierrant la main. Et ii 23 ans, — Traitement : 1.500 à 10.000 fr. cis. S content l'a détémagasins. Cinq immeubles .se sont écroués. lo décora. — Avantages divers. Baccalauréat exigé. rioré. Industrielles Ruses très discutées. Qui n'eût laissé tomber une pièce blanUne femme, Embarka-Bent-Ali bon AbdelCommis de 7e classe du personnel des Lesi valeurs d'électricité sont moins acche dans la casquette du narrateur ? kader, a eu une jambe brisée. trésoreries générales. — Date probable : tives. lAu Rendit « Dekla », à cinq kilomètres janvier ou février 1913. — Age : 20 à 32 Le Rio s'alourdit à 2201 après 2115. Six prix seront tirés au sort parmi les per- do la ville, les eaux ont empor'é une tente ans. — Traitement : 1.500 à 7.000 francs. sonnes qui auront envoyé le plus de solu- abritant une famille composée de la mère, En coulisse, les mines d'or fléchissent — Avantages divers. — Aucun diplôme tions justes. Voici ces six prix des quatre de deux garçons de deux et de treize ans, légèremenf : Easit Rand 75,75 ; Goldfields n'est exigé. rébus de la série E. B 104,50, Randsi-Mines, 177,50. et de six filles de cinq à douze ans. A son Téléphone 3.S3 Les lecteurs qui ont besoin de renseiV prix : Un parapluie. : retour, le chef de famille, Elem Jeled, dégnements au sujet d'un des emplois in- oe.Diamantifères en recul sons nportan2» prix : On bibelot (fantaisie). couvrit les corps de sa femme et de ses en- DEJEUNER DU JEUDI 19 SEPTEMBRE diqués ci-dessus ou d'une carrière admi3s prix : Un volume. Cuprifères fermes en général- Péna, fants. 4e 5», 6e prix : Deux cartes artistiques. nistrative quelconque, peuvent s'adresser Hors-d'œuvre variés 29,75. Parmi les porphyriques vive avan(Chaque gagnant de deux cartes postales Le courrier allant à Djelfa n'a pas pu à MM. les directeurs de 1' « Ecole du foncMatelote de Moselle n'aura qu'à nous adresser les noms qu'il dé- partir, tellement la crue est forte. tionnaire », 128, rue de Rivoli, Paris (I"). ce de la Chine à 239, de la Ray à '•.27.50. Perdix aux choux Métallurgiques russes sans grand chansirera voir figurer sur ses cartes. Celles-ci, Joindre 0.10 et ne pas oublier de men- gement. Pomn.es Bataille dues a une main artiste, constitueront donc tionner sa qualité de lecteur de « l'Est réLES ACCIDENTS D'AUTO.— Le Mans, 17 sepautant d'ceuvres originales.) Entre-côte grillée Parmi les pétrolifères, la Fï-anco-Wyopublicain ». tembre. — Ce matin, à huit heures, à l'en*"* Croûte aux fruits Les directeurs de « l'Ecole du fonction- ming ordinaire progresse à 55. trée du bourg de Chenu, une auto, dans Ont deviné le dernier rébus î Cuisine el vins réputés. PHI! OUÏE ET WADDINGTON naire », ont bien voulu également s'engaDe Mailly — En manœuvres — La tête de 20. rue Le Peletier. veau — Une peiite maman — Au camp — Tirez les rideaux — Le petit Thédoricien — Mon petit pépère — Henri Anfort — Lieutenant POpot attend les palmes — Le loup du P. C. L'invalide de Bains-les-Bains — H. T. D. Balais - Kiki Cholard — Un devin de l'Est Loin du pays (Lyon) — Les deux manîlleurf du Grand jus — Le grand Victor — Zozor el Minette — Margot et sa chérie — Le patror de Mimile — Joséphine des Réunis. +* Voici quelle était la solution : * GUILLE au Mans suit SAS — R, L, A main DUN gêno HERAL française — N, R — JIK est doux — maint 2 — fer — dans 1 Ganc — deux pots. (Guillaume, en Suisse, a serré la man d'un général français énergique et doux main de fer dans un gant de Pau.) Résultat du tirage de la dernière série t 1er prix : Une carnassière : Margat et Si chérie. 2« prix : Un bibelot (fantaisie) : Un devii de l'Est. 3° prix : Uno théière : Le petit Théodoricien 4°, 5°, 6» prix : Deux cartes postales artisti ques : Le loup du P. C. — Le patron de Mi mile — Tirez les rideaux. — Un baoué de li Seine. |9 9 — ' ^OSRÉBUS Pour les candidats aux fonctions publiques m^jmmm , 5 MERCREDI 18 Septembre suivants EXPOSITION ^9 BULLETIN FINANCIER 1 Hôtel Cure d'air St-Antoine I 1 SÉRIE E B I Rébus , m n° î j , ♦ o ♦» ■—' Faits-Divers ACCIDENT DE CHASSE. — Vers quatre hei ras du soir, des chasseurs rentraient Mo-ntier-en^Der (Haute-Marne), en suivar la route, quand près du village de Ce fonds, un cycliste, âgé de 18 ans, qui v* nait de la Ville-au-Bois (Aube), heurt par derrière l'un,d'eux. M. Dissart, qu' renversa. La violence de la rencontre fit partir J fusil de oe dernier et la charge, faisai balle, atteignit au bras le cycliste qi était lui-même tombé. c cuiS e y * > grièvement blessé — on r doute l'amputation — a été transporté 1 hôpital de Monitier-en-Der. i ; , | ; ' I ; il- I i- J it is' e I l "Bii«ii]iii««ttijtta^ : 1 ô Cl ' S,,\ * U r o' hnL LEVY, , Ajrafi 4 Ofin S 5 " Lambert rue des Do^ iWBC l.UUU JX. «inicams, Nancy on peut reprendre petit café bien situé, angle de rues.long Ifmvuimt**** bail, petit loyer. ™MBXm*Sr£Ë£ * Bâr aiiln^ af • A C1DBR V» «mor te de lUStlCB m nivu sur la COmptOir-DeM fljfB (lu fà^rhn j„ u„ sur grand passage, peu de «U Marche dO Nancy loyer? fait 2 000 francs d'aff. . S AMED ' par rûois. 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' ' ' ' fl „ « comptant et 5tin dpma'irio lOURP hnmrtlP te v^huissipp " "» DBmailflB J ISSIMB nOUiniB t ^ Poursuivant la , un a sérieux 5J pour dans dresser £ servir des L. LEVY. ^lssTi^°fe"lsint 7T^— - S ^-Maisons UU f ÏO.OOn „ — ■ — som / irânCS ■■ . . M OC! l6r rani-^maariés r, « *Z. „„ HDmitie SirSiUI PSS ordre J"m^?' „ e . AV f ,! ^,„I,,H> Oit*?» OBt voir BJIRSIÏ Ii ^J ^ r^?Z%frMaà g lawhoïï-B Stanislas ^ M rue dfl'Abbl: ^ Lcré^ofr? I Wonc'' 1976 MlRPliAMIl en isL 3ir s :e un er- l\e S» *r )0i^ * R R ^Sii/îZUT S , trSt ? ,^" S. SSeî' ?k^«™ MARCHÉ AUX VEAUX La Villette, mardi 17 septembre. Veaux. — Amenés : 162. — Vendus : 79. Vente mauvaise et prix difficilement soutenus. Les veaux de choix de Selnei-et-Manne, de l'Eure, de Seine-e.t-Oise, d'Eure-et-Loir, du Loiret, se sont vendus de 1,05 à 1,10 ; les champenois, de 95 c. à 1,05 ; les man. ceaux, de 90 c à 1 fr. ; les gournayeux, de 85 c. à 1 fr. ; les caennai®, de 80 à 90 c. Lo domi-ldlo net, 111ËH1S0N DES HERNIES RANOAfîES SANS RESSORTS BANDAGES SArVS RBSSSORTS Découverte d'un Rouveau Traitement Il est profondément douloureux de songer à cette partie de notre pauvre humanité, celle qui est affligée de cette triste infirmité appelée hernie. Mais il est plus pénible encore do constater combien tous ces braves gens sont soignés d'une façon déplorable. Les uns, martyrisés, écorchés à vif par de véritable instruments de torture ; les autres, atteints d'abord de pointes de hernies, voient leurs infirmités se développer, glisser sous le bandage et enfin descendre dans le scrotum. Pourquoi continuer ainsi, pourquoi n'appelez-vous pas à votre aide cet homme de science qui a consacré la moitié de son existence à l'étude des hernies et à chercher le remède pour les combattre. Vous connaissez tous cet homme : c'est le renommé spécialiste M. GLASER, l'innovateur d'un nouvel appareil pour lo traitement des hernies, 100 fois plus efficace que ceux existant a ce jour. Le trop gênant sous-cudsse est supprimé de l'appareil, qui se porto jour et nuit sans gêne ni interruption de travail ; il est le ptus solide et à la portée de toutes les bourses. Pourquoi alors continuez-vous à vous servir de ces mauvais bandages puisque voua pouvez vous procurer l'appareil de M. Giaseir, si doux et dont la supériorité a été reconnue par les sommités médicales. Les hernies les plus tenaces s/effacent devant son imposante efficacité. Nous dirons simplement à nos lecteurs et lectrices de ne pas confondre la haute science de M- Glaser avec certains imitateurs et prétendus guérisseurs n'ayant aucune compétence en matière de hernies. N'achetez plus de bandages avant d'a\oir fait une visite à M. 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Mme Delannoy avait tout dernièreme: perdu en spéculations les quelques bille te francs TP 4™?! qu'elle possédait. Il ne 1 restait plus p0Uir vivre que ses 400 fran oe pension et les 40 francs par mois qi ^i^ç110. homme gagnait comme emplo; ? J* Société générale. Jusqu'à ces demie uis a-éw ur' Delannoy avait remis tr trf. herement son salaire à sa mère ; s "t„ f«Jamier, pour la première fois, m ri0T1 et prit fort mal les observ -gf® W lui fit Mme Delannoy à ce s ^^^^W m MAffio g«. r .Wom : vendre ueUneUlGnage ^«^ S &^*T 7~, ^W ^° ' , LS Sdlf T. • Ç°gaf ' .r JSSéM^Xleffi lr„f /^f |9 TNTT«T M ï 0LDES m rue SW »T^ : Ilpii§ » gjÉfll sont uniques au monde Wmvoar guérir toutes Les JK5. l'estomac Wf ■MM talion, une entente, des indigt>stions,desvomisse- jfi* W5S maladies de 6 _ . _, .,„,,„ _^ & ,é^W HB J 1,1 ! fmsM A 8 h. 1T2 du soir, OUVERTURE du "™ 3,£ A 0 «««S-Braso.,,. ,, SÊ <« aVec Occasion. HÙir*i-?* ,wll,! y Çg§j a francs. 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Ecrire au jour- &5 - re M Henneauin dpTneuraii ' .WAKCV E ra Un© ChaudjèP© ^^^H^ ^ l^lf^^ A , J vs» , , syndic Par son jugement en « 16 septembre 1912, le U I. bunal a admis au bénéfice* f la liquidation judiciaire, .t LAROCHE, Edmond-Hvpptl I te, entrepreneur de transports, | à Montauville. ■ II a nommé juge-commi-;. re, M. etBonnette, membre * siêge «g , t , d! l *' 1 ^-'' i ^HQ Câî CtRg 1 g.^^^^^^^™»^ A =s uTjnTuÏmTr ,..t , s maint du C0MPTABLE m X?!, .demande des ; IVIAGASINS à KOUer | On B___^ • °» I 1 ^%^rî^ ent?e Tes s'adresser nour tons rem* ^^Xa KSi . Naamr. rue dos Dominlcam n -°- . . , . ,„ r Les créanciers sont to« feuA^^ prix. ' II de ^anc^^rnosildantT^T dom un s'atteint au break. . 1 me Q lîîîtl^1 HlfiTlB leures rfffv— îff ^' S'adresser à M. Hablot, à Kg 4ttlWWI " « ittlOUO références demande è -lesToul. * 1 IIuml)ert 21 PHOTOGRAVURE d^TEtanî' ' > "jezi res , , ET PHOTOTYPIE OUVRKT&F « ■ . A TI«*«^ifl câMail7 6:1 « pom de ^ Ve A . T ,, ni^e H0ÏÏ1ÏÏ16 A l m«eV bé& »- P-r t« -ié, po™éd«itdellr é-bcai* - M^son Farnier et Cre). grtohay. S'adr. 91, rue » X^Î&ïSè UR UVREU . . S EiPIW du A PRIX D'ETE— 119 on^ôto " ICQ les , ALSACIENNE parlant han f^e les mains du liqu* aiCDloUI dlit, delà ^ ande place comme" T ^r ffler dr Trinrnal 111 01dem 6 de ma Chaîne-d'Or â? , ^ gasin. Mme 1988 P ° P G PHILIPPOT. UI»<UUC"Uyi Zmd, 16, avenue Carnot, au Zf Aue <fe« Jardwi*-Fîe«,-is Pont-d'Essey. 'i960 "7 1 ~ : ZT * , DAME, libre toute la matiOlI ! 8H1iai !8 ÎM'B fil A ^«J-"PJiV née. demande à faire des mé uuaiSrf.H.M ■.<» pf) IPFV naaes Torriani m r,,» présentée par S-JS parents r\ - • . r\* « „», ' iolllcllll, lu, me aeS T A Mi'irT ITVIi'P Vrim M DeWUnert et Dîner* à Maréchaux 1Q?A Mau,on L,ArsUbJjJ!,Vli,l. ' tZe heure ^b demande «, me d. 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A^U^liUSwIulSUnU lin ™ 18 , i.- ft a"' Gueldres, Les créanciers sont invité, à déposer imioediaiewi» leurs titres et bordereaux d, créances, soit au greffe, «S „ . . - , entre mams syndic. nM AOiat, ¥8010 8t tStiâilgd p«, S„«, l«. f «,« i r« , ,, ,. n T InR^IilBI IIP lillil Par son jugement du 16 sa t e 5 ft M P«i 'nPM^ n W^® -^ II I tembre 1912, 'le Tribunal a «0 AUCUUiCy U Uwwuwluu Exploité à TOU» claré en état faillite, » Mme Ï3T ATW pendant la laison "d'hiver, Z% Œ ™f / 5 m r OJ -iAllN dans une maison située rué PARBF Sri! K!^ s! . v„» n,„i,. ic„iic«o lolv "< et Pnpnri.nnt la icnn l'ABttti, négociant en vmsj f 0 ' al roTd È^T,t° à%ïé dans uS ]dldm iârdin cn rnn^n Neuves-Maisons, demeurant i C nnU ^'10^ . ° Paris, rue du Louvre, a 1 M ^waBSi^E^^^^^^^^^B^ Mu NAXCY • i Par son jugement da tembre 1912, le Tribunal a 4 I claré en état de faillite S» verte provisoirement à ci I ter du dit jour, M. DECffi SEAUT Albert-Lonis-CléZ mlflh^etSae^^'feP^ nLstùre u M , ° UAUPHIN. II scrl ■ nchi;res î procédé à la vente aux « publiques sur baisse de mise à prix d'un fonds de commerce de café-concert, ' connu sous le nom de : je [iV. beaU jarfllll A M\l 71'VII I lî s'idros i i i riiu 48 Vu/du ài * ïinw I I FV Y f> ^K a '«R Y hAl\lb 1 î gc>XJt Donelns rlo C«ml(fD ICQ IBBOBCTC 'SSSKiTSŒS ^SÏÏ^" rBRSIOB u8 r3IQIIi6 Lté Nubltlb ■^■--^ -iffgrtg LS'iiT¥l3 c^e^&œœ ^fc^.à3sv f]p ******* p&tlla VM R VOltUrette PeUffeOt ^^^^^^^^mSSSS^^S^msaB^E^m^ pur Dfl 6 S^eugT toltr ^f , Escargots, Ecrcvisses H ,** m, »Tbasle^ ^ 8 VÀA-^S B B TT-u,,..**. DEMANDE ^ ^' ^" ! 1 Cessation de coiîiinsrca I ^ ^. & ibK * v«jiuuiVù la Saison d'hiver!! PLSÇ^ÎÏÏL = ' £tra«oTng ^8 1 SS£SS ^'à^LV^^^. , BPl irmartPTTlPTlt ^ r^Je*°C^ 1 ^ On fe a" toriait ^ 3 8T; Pièces, cuisine, gr. cave, - ■ Banquets Dîners de Nooes grenier et jardin," dans belle ffités, SpUd is. 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