J - Kiosque Lorrain

Jeudi 19 Septembre 19i2
Edition du matin
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On peut s'abonner sans frais dans tons les bureaux de postes
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QUOTIDIEN
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DIRECTEUR: RENÉ MERCIER
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30o. laligne
L'Agence Havas, 8, place de la Bourse, à Paris
Réclames (3e page)...
60
et MM. John F. Jones et C'e, 31 feis, faubourg
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Faits divers
90
—
Montmartre, à Paris, sont seuls chargés de recevoir la
Chronique locale
150
publicité extra-locale du journal.
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rthe-ct-l1osel(e. Meuse. Vnsnes. Alsar.e-1 nrrainf. f l mmhnmn Mn. ^ ho«, ,„ vv<*
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Saint-Dizier,
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rience des pêcheurs bretons. L'industrie de
la pêche en A. O. F. ne sera paa une des
dernières à profiter des avantages que la
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paix française apporte avec elle.
;
yzL
La création et le développement des
voies de communication, tes travaux proLA PACIFICATION MAROCAINE
LES ALLIANCES POLITIQUES
pres à faciliter l'accès des côtes aux naviChacun sait que ces trois lettres, A. O- res métropolitains et aux échanges interF., désignent le Gouvernement général de nationaux, tiennent une large place dans
l'Afrique Occidentale Française, c'est-à-di- l'économie coloniale.
La mise en valeur
re l'une des parties les plus productives n/est possible qu'au prix de ces opérations
de notre domaine africain et un groupe de coûteuses ; à plus forte raison dans un
cclonies qui tendent à jouer dans ce do- paya aussi vaste que l'A. O. F. Chemins de
M Us Pressûnsê, au nom de !a
1Les désordres rte /y fibàml m hmmaine et dans notre vie nationale un rôle fer, voies navigables, lignes télégraphiques
Uffue des Droits de l'homms
singulièrement actif. Sa contribution à la y jouent un rôle sans cesse grandissant.
grosse, où un ministre est
défend les Syndicats
formation du corps d'armée chargé de pa- Ce sont les liens puissants qui permettent
frappé, se poursuivent
PARIS, 19 septembre. — Le bulletin officifier te Maroc est une des preuves les d'associer dans un effort commun toutes tes
des instituteurs
CASABLANCA,
17
septembre.
—
En
préviciel du parti républicain démocratique, à la
dans la rue
plus récentes de sa vitalité, mais nous en énergies productives.
sion
des
mouvements
et
de
la
présence
de
suite de quatre articles successifs dans lesPAIUS 19 septembre. — M. do Pressenquelques rassemblements hostiles au sud pouvons donner d'autres et de nombreuses,
L'A. O. F. dispose d'un réseau ferré de
quels l'organe officiel du parti radical soci denuté,
président do la Ligue des cialiste l'invite à préciser sa politique et lui r BUDAPEST, 18 septembre. — Voici d'inté- et à l'est de Marakesch, l'état de siège a d'un caractère purement économique.
2169 kilomètres. Les principales lignes ont
détails- sur les scènes tumultueu- iété proclamé à Marakasch.
nmits'de l'homme, vient d'écrire au mi- reproche d'avoir fait alliance aux élections tressants
L'A.
OF.
—
nous
continuerons
d'ems
pour objet de relier aux ports maritimes
qui ont recommencé aujourd'hui à la
ktre de l'instruction publique pour cri- avec les réactionnaires^progressistes pour ses
commmode — des différentes colonies le Sénégal et te
Nos troupes campent actuellement au ployer cette abréviation
t
Chambre
hongroise :
f~m, ia circulaire relative aux institu- certaines
Dar-Eil-Maghzen, offert par le khalifat comprend les colonies du Sénégal, de la
élections, comme celles d'Apt et
Les membres de l'opposition sont
en Bou-Recker.
Niger, les grandes voies naturelles du
era syndiqués.
du Haut-Rhtn, publie aujourd'hui une ré- grand
g
Guinée française, die la Côte d'Ivoire, du pays. Les plus longues sont celles de Ko*
nombre
à
leurs
bancs.
Au
moment
M de Pressensé dit que cette circulai- ponae dans laquelle il dit :
coù un certain nombre do députés du parti i De Mekra-ben-Abou, on signale qu'un Dahomey, du Haut-Sênégal-Niger, le Ternakry au Niger et de Dakar à Saint-Lowfe,
^voyée sans avertissement préalable,
convoi partira te 20 septembre.
« La politique du parti républicain dé- d
ritoire civil de la Mauritanie et le Terri- qui mesurent respectivement 588 et 264 ki«aïs enquête, constitue à l'égard des ins- mocratique est d'une clarté et d'une sincéri- cdu gouvernement entrent, dans la salle pour
La route des convois de ravitaillement
toire
militaire
du
Niger.
occuper
leurs
places,
il
se
produit
un
tuSuteurs, un acte de défiance injustifié.
lomètres : celte de Thiès à Kayes, en coura
de Marakesch paraît actuellement sûre
té républicaines si évident qu'il n'est be- multe
r
épouvantable. Ils sont accueillis par i
Sa superficie estt de 4 millions de kilomè- d'exécution, en comptera 340, 182 sont dé„ je nio refuse à penser, monsieur le mi- soin d'aucune polémique pour la justifier.
i flot d'injures. Le ministre du commerce par suite de la proclamation de Moulaïun
tres carrés environ ; sa population s'élève jà construits.
nistre ajoute M. de Pressensé, que le deri<( D'autre part, le parti radical socialiste
1
est traité de » misérable » par un Yousef dans la capitale du Sud. Sa reconSier mot soit dit en cette affaire. Il n'est et le parti irépublicain démocratique ont Bœthy
nafissance dans l'ensemble du pays soumis à 12 millions d'habitants, dont 5 millions
c
L'amélioration des voies fluviales, l'ades
députés de l'opposition.
nas d'esprits élevés,
réfléchis comme le mieux à faire que d'examiner les choses
à son autorité doit être considérée comme de musulmans, près do 7 millions de féti- ménagement des ports se poursuivent.
Le
ministre
s'avance
alors
vers
le
député
un
fait
accompli.
sont ceux des principaux membres du gou- passées et d'organiser des débats.
cd'opposition en lui criant : « Qu'avez-vous
chistes et 30 000 chrétiens, 6.000 Français, Dakar dispose de plus de 2 kilomètres de
vernement à qui n'apparaisse pas bientôt
MAZAGAN, 16 septembre (Dépêche retardée
« Son unique préoccupation doit être cdit ? » Plusieurs députés de l'opposition atmilitaires non compris, et 1.700 étran- quais dont 700 mètres à 8 mètres de prola gravité de la faute qu'on veut leur faire maintenant de rapprocher tes forces répu- t
dans la transmission). — Depuis que gers.
taquent
le
ministre
à
coups
de
poing
;
il
fondeur. Le service postal et télégraphique
commettre.
Hadj-Dann a pris le gouvernement de Mablicaines desunies, de les orga-niiser pour t
De l'organisation administrative, nous est assuré par 230 bureaux p<
« Les hommes, même les hommes poli- mieux combattre et pour gagner ceux que ttombe à terre ; mais finalement les dépu- rakesch et que Moulaï-Yousef y a été protés du parti gouvernemental, parviennent
tiques, s'honorent en reconnaissant leurs l'on cherche à éloigner de la République
clamé sultan, le 13 septembre, la circu- dirons seulement qu'elle a été conçue de kilomètres de lignes télégraphiques sillonà délivrer te ministre des mains des assaillation des convois est redevenue réguliè- manière à donner aux colonies le plus de nent l'A. O. F. Actuellement, on aménage
par des sophismes et par des mensonges. » Jlante.
erreurs.
...
,
.
« Je souhaite bien vivement que le miliberté possible, tout en permettant au un vaste réseau de télégraphie sans filre .entre l'Oued-El-Rebbia et Marakesch.
Lorsque
le
comte
Tisza
apparaît
à
la
nistre reconnaisse et répare la sienne. »
Gouverneur général, chef suprême, d'exer- Une station à très grande portée va être
Les fonctionnaires espagnols
tribune présidentieite pour ouvrir la séancer son autorité et son contrôle, avec ra- installée à Tombouctou. Elle établira des
ce, le tumulte se renouvelle.
SAINT-SÉBASTIEN, 18 septembre.— M. GarLes membres de l'oppositiion commen- cia Prieto, ministre des affaires étrangè- pidité, sûreté et de concentrer tous les communications aériennes avec l'Afrique
LE HAVRE, 18 septembre. — Aujourd'hui
<
cent
un véritable concert infernal avec les res, dément un bruit suivant lequel le co- moyens d'action nécessaire à la sauvegar- équatoriale, l'Algérie et les postes côtiers
PARIS. 19 septembre. — L' « Echo
de a commencé, devant le congrès de la C. *sifflets et les trompettes, qu'ils avaient ap- lonel Sylvestre et le consul de Mogador de des intérêts supérieurs qui lui sont con- de la Tunisie et de l'A. O. F„
1
fiés 1
avec eux. De forts détachements de auraient été appelés à Madrid.
Paris », organe libéral, annonce que d'o- G. T., la grosse question des rapports des portés
Les ressources financières de l'A. O. F.
1police se tiennent dans les couloirs.
«s et déjà la Fédération des instituteurs cégétisles avec les socialistes.
Nous sommes arrivés à établir une paix n'eussent pas permis de réaliser tous ces
Les deux sultans
M.
Dumoulin
rappelle
le
rôle
des
sociaest décidée à combattre vivement le proL'agnee « L'inloumation » reçoit de Budéfinitive dans cette immense région, en travaux. Il a fallu recourir à l'emprunt.
listes dans la grève des cheminots, dans <dapest le telégramme suivant :
TANGER, 18 septembre. — Abd-El-Aziz est
jet de statut.
; ~_
L' « Echo » croit savoir que si des me- celle des inscrite et dans celle des agricoles ; Le ministre de l'intérieur, comte Johon toujours à Algesiras. Il vit dans un hôtel même temps que nous affermissions notre La confiance de la métropole dans l'avenir
Désormais l'indigène voit de l'A. O- F. et dans les hautes qualités
Zichy, a demandé une audience à l'em- avec quelques-unes des femmes de son ha- domination.
sures sont prises contre les instituteurs du Midi et fait cette réflexion :
« Eat-ce que les camarades, qui sont allés 3pereur Françoisi-Joseph pour lui remettre rem.
dans l'ocupation française une garantie de ses différents
révoltés, le conseil de la Fédération congouverneurs généraux,
!
Il dément l'intention qu'on lui a prêtée de sa tranquillité et de son bonheur. L'at- s'est manifestée lors des trois emprunte
voquera uns assemblée générale et provo- de bonne foi, pendant la grève des chemi- sa démission.
Cette nouvelle a provoqué la plus vive de vouloir faire un voyage en France.
quera une violente
agitation, d'accord nots, s'asseoir à 1' « Humanité », dans l'antitude de la masse de la population ne qui ont mis à la disposition de notre colo<
GIBRALTAR, 18 septembre. — Moulaï-Hadans les milieux politiques.
avec l'Union
fédér-ative des travailleurs cien fauteuil de Briand, ne croient pas émotion
nous donnerait aucune préoccupation si nie, de 1903 à 1910, une somme totale de
qu'ils se prêtaient à une atteinte contre
fM
est
arrivé
aujourd'hui.
Il
est
reparti
do l'Etat.
Au début de la séance d'Hier, le minisl'on ne craignait pas que l'islamisme dont 779 millions.
1
1
l'indépendance
syndicale
?
»
peu
après
pour
Tanger.
—
Havas.
tre avait quitté son banc, dès l'intervention
L « Echo de Paris » ajoute : — « Ainles progrès sont évidente ne dresse des
Grâce à cet effort, le commerce de MAI
En terminant, il dit : « Il faut que le 1de la police.
si sa dessine et ■s'accentue le mouvement
obstacles entre une partie de nos sujets et O. F. s'est -rapidement accru. Il est passé
congrès
déclare
si
nous
voulons
subordonUne grande manifestation £ist otgesnisée
d'insuboidi,;., ; ' -1 générale des fonctionnoua.
ner notre action à celle du parti socialiste. pour
]
naires. »
d© 131.500-000 francs, en 1901, à 269.0T0.00Û
ce soir dans les rues de la ville. Le
La C. G. T. et le parti se sont rencontrés ]parti socialiste a fait distribuer pi-us de
L'A. O. F. est un pays surtout agrico- en 1911. L'augmentation des échanges anLe triomphateur Védrines
dans certaines circonstancjesi :partie,iuSITè- ;200.000 prospectius invitent les ouvriers à se
le. Chaque colonie entretient sur son bud- ruels (importation et exportation réunies}
ras ; ne donnons pas à ces rencontres un joindre au mouvement, à la sortie des usiPARIS, 19 septembre. — L'aviateur Jules ,
get des inspecteurs et des sous-inspecteurs est de 12.600.000 francs, en moyenne, pour
sens qu'elles ne peuvent avoir. Ne nous |nes, pour manifester contre M. ïisza et en Védrines, revenamt de Chicago, est rentré
d'agriculture et dea agents de culture- Le les onze dernières années. Du 1" jfmvte,'
hier
soir
à
Paris.
PARIS, 19 septembre. — Une mate du comignorons pas, mais ne nous rapprochons Ifaveur de la réforme électorale.
er
mandant Driant dit que les généraux de pas. »
Après une courte réception à la gare, service de l'agriculture s'efforce d'amélio- 1909 au 1 janvier 1911 elle a été de 84
Comme il n'y a pas de programme bien
rer
les
cultures
déjà
pratiquées,
recherche
millions,
soit
de 44 %.
division membres du comité d'honneur de
Après ce discours qui a été accueilli par arrêté, on s'attend à de graves désordres Védrines s'est rendu à
l'Aéro-Club de
la Hgue militaire se sont démis de leurs des manifestations d'enthousiasme.
M. et les troupes sont consignées dîaaas leurs France, où il a reçu les félicitations du' des productions nouvelles, utilise tes proLes principaux produits exportés sont .
ktributions, conformément à l'invitation Bousquet a insisté sur la nécessité d'un dé- casernes.
ductions encore peu connues,
acclimate
comte de la Vauîx, vice-président.
Les arachides
50 894.000 fr. en 1918
ministérielle, la Ligue ne désirant pas, dit bat nouveau sur les rapports avec le parti
Le général Roques a également félicité les espèces étrangères au pays, fait des esBUDAPEST, 18 septembre. — Le commisLes caoutchoucs... 37.403 00C fr. en 1910
linote, priver le pays des services de ceux- socialiste.
Gordon Ben- sais scientifiques et pratiques. En outre, il
saire en chef de police a fait publier une le vainqueur de la coupe
Les amandes de
ci, maïs la Ligue ne se dissoudra que
« Il y a des gens, dit-il, qui, sans appar- proclamation interdisant les défilés socia- nett.
enseigne aux indigènes les
procédés de
palme
12.400.000 fr. en W&
quand elle aura la certitude que les mili- tenir à l'alimentation, sans avoir été cui- listes à travers les .rues et ordonnant que
Le « Matin » a interviewé Védrines, qui culture rationnelle.
L'huile de palme..
9.067.341 fr. en 19*6.
tair.es auront été invités à quitter la fr.anc- siniers, entendent à merveille l'art d'accom- les portes des maisons soient fermées à 8 a félicité et remercié les
organisateurs;
La gomme arabique
1.632.272 fr. en WK
L'exploitation du sol est entre les mains
maçoanerie. »
moder les restes. Je dirai amicalement, à heures du soir.
américains do la Coupe Gordon Bennett.
Las bois
=..
687.000 fr. en
des
indigènes.
Sur
plusieurs
points
se
maRenard qu'il est de ceux-là. »
Védrines
a
déclaré
ensuite
:
—B
La Chambre a été ajournée pour toute
nifeste
l'action
des
Européen®.
Au
SénéLes
importations
comprennent
surtout :
Et comme un interrupteur coupe unie dei la durée de la session des Délégaticmè.
« Je suis content
d'avoir ramené en
ses tirades contre le guesdlsme par cette
Tissus de
coton
DANS L'ARMEE
Deux forts détachements de troupe® et France cette coupe, qui n'aurait jamais; gai, ils développent les cultures maraîchèréflexion : « Tu l'as été, guesdiste », il ré- de gendarmes sont placés sur différents dû en sortir.
(autres que dea
res. Dans le Haut-Sénégal-Niger, nos complique :
Promotion de lieutenants
« Mais je veux aussi la coupe Pommc- patriotes ont créé-des plantations d'arbres
points de te ville. Jusqu'à présent, il n'y
Guinées)
39 630-000 fr. en 1910
« Oui, et voudrait^on me reprocher cVa- a eu que des collisions peu importantes. ryPARIS, 19 septembre. — Sont maintenus
Riz
8.735.000
— —
fruitiers, de riz, de sésame. Dans la Haute« Une fois, les rente du chemin de fer,, Guinée, une importante société pratique
La police a dispersé un nassemblement à
tas leurs corps respectifs, lies sous-lieut- voir fait des progrès ? »
Guinées
7.361.000 — —
Sa conclusion, c'est que pour les débar- 8 heures du soir.
en heurtant ma tête, m'ont empêché dei les cultures vivrières. Dans la Basse-GuiAutres tissus et
tooants d'infanterie dont les noms suivent
rasser de ces travaux forcés à perpétuité,
La circulation est suspendue.
faire Douai-Paris. Je vais recommencer
«teoat promus au grade de lieutenaiiit :
vêtements
5-693.000
— —
'
née,
une
autre
se
livre
à
la
production
inQa a conduit dams les postes de police tout de suite... sans rails ! »
Houilles
„
6.331.000
— •—
Labofêe, 00e ; Paphillat, 3e bat. chas.; qu'est le salariat, les travailleurs syndiqués,
e
tense
et
à
l'exportation
des
bananes,
des
n'ont
pas
confiance
dans
les
avocats
et
les
\
plus
de
200
manifestants
qui
avaient
été
Vogd, 1S !ct. chas.; Dehnas, 79 ; QuinMachines
...
4.836.000
— —
Chute
d'Astloy
et
de
miss
Davies
ananas, des noix de kola. A la Côte d'IvoiAlcools
4,386-000
— —
te, 153e : iteriat, 146» ; Grégy, 94e ; Vé- ingénieurs du Parlement, fussent-ils socia- foules aux pieds.
LILLE, 18 septembre. — L'aviateur As-.
re, des plantations de cacaoyers sont en
Da nombreux réverbères ont été brisés.
Kola
4.049.000
— —
jari, 94e ; Davit, 94° ; Lucot, 146e ; Noiet, listes.
161».
thley
avec
miss
Davies
comme
passagère,
« Mettre te syndicalisme' a leur remorDes pierres ont été lancées des fenêtres
Fors
3.649.000
— —
, voie de création. Dans la basse vallée du
qui se rendait de Lièges à Londres, a faii
Tabacs
3-283.000
— —
Oesohènes, 146e ; Muîler, 154e ; Maurel, que, c'est accepter la désagrégation et la sur les agents de police.
t Sénégal, à Richard-Toll et à Podor se
une
chute
de
150
mètres
en
voulant
aiterrh
e
résignation.
»
29 personnes ont été blessées, dont une
*" ; Vieille-Carré, 69° ; Eigenschenk, 37 ;
' poursuivent avec méthode et patience des
Cette prospérité se reflète dans te budget
au
camp
de
Ronchard.
e
grièvement.
M. Klemczynski, d'e Saint-Claudei, quiL
*flon, 09= ; Thieulant, 79 ; Merle de
Les voyageurs sont sains et saufs, maiss essais de culture industrielle du coton par général.
Ua agent de police a été aussi blessé.
fassoimeau, 145° ; Vallette, 4e bat. chas.; reproche incidemment à la C. G. T. d'avoir
l'appareil' est brisé.
irrigation- Avec le concours des indigènes
e
Depuis onze années, les recettes douaniè28 de ces blessés ont dû être transpor™*touin. 15 bat, chas.; Schwantz, 69° ; eu Je tort de is'ingénfer à effrayer l'opinion
l'Administration travaille à développer les res, ressource principale de ce budget, acDe Calais à Saint Sébastien
iptnaiid, ô« bat. chas>.; Racadot, 10e bat. et la maladresse d'aller à la chasse du lion tés dans les hôpitaux.
cultures de9 lianes à caoutchouc, du pal- cusent une progression moyenne annuelle
80 arrestations ont été opérées, dont 37
f»3*-; Doveruii6° rég.; Grelot, 2e bat. capitaliste avec une épingle à la majin,
CALAIS, 18 septembre.— L'aviateur Caveont été maintenues.
- mier à huile, de l'arbre à beurre ou Ka- de 1.280.000 fr- Les bénéfices nets de l'ex*a«$ afougenot, 2° bat. chas.; Gonnaut, i-combat avec ardeur le point de vue de M.
lier
est
arrivé
à
Calais
par
chemin
de
fer.
. rité.
w fiât. chas.
Renard. Gomme socialiste, il estime qu il i
ploitation des chemins de fer augmentent
Il compte partir vendredi sur monoplar.1
^wmliert-Goget., 29° bat. chas.; Lhuvliter, faut maintenir au syndicalisme sa caractépour Saint-Sébastien.
Pour le moment, le rôle prépondérant aussi à mesure que de nouvelles sections
ristique
et
sa
politique,
car,
pour
lui,
il
fwt. ohas.; Hugo, 3° bat. chas.; Burluappartient aux espèces que l'indigène ex- de voies sont mises en service.
Trop curieux avions
Jffi 152" e; Kuhumunch, 25e bat. echas.; n'y a pas d'illusion à se faire, c'est bien de
ploite depuis longtemps et d'ailleurs av3-,
Mais l'outillage de l'A. O. F. n'est pas
la
poétique
que
l'on
fait
et
que
l'on
doit
LONDRES, 19 septembre, — Les manœuvres
Jjwret, 18 bat. chas.; Agliany, 20 bat.
; te plus grand succès : l'arachide, graine complet. On estime qu'il faut encore dése sont terminées soudainement, en raison
Marteau, 158e ; Dervillle, 9e bat. faire à la G. G. T,
Notre construction navale
« Nous sommes obligés de reconnaître,
diton, de l'impossibilité pour les trouç», oléagineuse à laquelle le Sénégal doit éa penser 140 millions pour son réseau ferré
F».; Comtet de ■Cissey, 17° bat. chas.; de
richesse et dont la culture se répand dans et 10 millions pour ses
ports. Nous te
PARIS, 19 septembre. — Le « Matin » dit
d'envenir aux prises, à cause des recon
^•urepaire de Louvagnry, 17e bat. chas. dit-il, c|H» nous poursuivons une politique;
e
que, d'après les renseignements pris au naissances des officiers aviateurs. — Ha les cercles du Haut-Sénégal-Niger, te mil, voyons mieux de jour en jour, les dépenses
T rf*. wuturisr, 149
;
Codechèvre, 94e ; de classes. »
Et un, cfeîégué de Bordeaux, M. Bu-. ministère de la marine, la décision or- vas.
le riz, le manioc qui donnent au noir ses de ce genre sont des plus fécondes.
149e ; Vincent, 146» ; Wallet, 145e ;
Curis
e
insSjsrte égaleement su ce point en di- donnant le départ des cuirassés de iJrest
principaux aliments le maïs dont la cuiA tous égards, l'A. O. F. a droit à la solfc
J
' 155» ; Rouin, 150 ; mercq,
sant :
e
pour la Méditerranée le 15 octobre, est
LES FUNÉRAILLES DE NOGI
to M ' x103" ; Dastouet,
149
;
de
Carrière
ti.re
va
se
développant,
surtout
au
Daholicitude
de la métropole.
L'argent mie
« Le seul examen des moyens qui doivent maintenue. Seul le « Charlemagne », qui
™ «ontvert, 150e ; de Lallemant de Liot
Tokio, 18 septembre. — Le corps du gé- mey. Nous verrons plus loin la part qui re- nous lui prêterons ne servira pas seulee
amener
la
transformation
sociale
à
laquela
besoin
de
réparations
urgentes,
restera
bort,,, „ '< Ménétréz, 15 bat. de ch. ; Ga>
vient à ces productions dans tes exporta- ment à favoriser la pénétration de notre
1 616 ; Patel 1610
e
le nous aspirons, c'est de la politique. »
à Brest, mais il sera remplacé, pour que néral Nogi et celui de son épouse ont ét<!'; tiens
U
îr , ;
.
; Blasselle, 160 ;
de l'A. O. F.
ensevelis en grande cérémonie.
e
commerce ou l'approvisionnement de nos
e
n
MM.
Broutchoux,
Lévy,
Griffuelhes.Fianla
3
escadre
arrive
entière
dans
les
eaux
fèr^
Lesdos, 150 ; de Barrai d'ALes. missions étrangères étaient présen
Les forêts et l'élevage représentent d'au- marchés. Il aidera aussi à nous attacher
; Mauri
e
eetta
et
Jouhaux
défendent
et
préconisent
i
méditerranéennes
par
le
«
Carnot
»,
acRitter
ce, 156 ; Besoux, 156° ;
tes.
—
Havas.
tuellement à Cherbourg.
tres éléments de prospérité. Les essences à jamais ces courageuses populations noiïi,,;01 : Desmons, 151e ; Lothe, 150e ; la thèse révolutionnaire.
1506
« La grève des cheminots, ajoute Griffuef( restières'les plus utiles se remarquent res auxquelles noua portons les bienfaits
152» Ô
! May, 79e ; Bourcart,
Nouvelle panique à Toulon
1516
prouve que l'englobement parlementai,
dans la basse Côte d'Ivoire. Elles compren- de notre civilisation et
qui, an retour,
146» î R
! Borcnard, 94e ; Nicod, ihes,
re était redoutable. »
14
; Blan
e
PARIS,
19 septembre. — Une dépêche de
nent 50 % de bois! durs, 35 % do bois de- n'hésitent pas à
verser leur sang »ot»
i
?'
che,
154
;
de
BerLes autres orateurs défendent le réfor- Toulon au « Matin » dit qu'une alerte
152»,
* ' de Louvières, 154e ; Rodiguel, misme.
rni-durs, 15 % de bodis tendres ; 70 % con- nous.
s'est produite cette nuit à bord du croi, viennent à la menuiserie, à la charpente,
;2
Louis LAF1TTE.
Un ordre du jour proclamant ïautonomie» seur-cuirassé « Danton », de la première
" ■■
* e-»
réservés a"x sous-officiers
P!HK
' aux constructions navales, 30 % à l'ébédo la C. G. T. est voté par 1.057 voix contrei escadre, en réparations dans le port.
STRASBOURG, 19 septembre. — On annon
k
tem
- nisterie. Actuellement, l'exploitation est HBOURSE DE P&RIS
moi rtf se
^P
bre. - Sont appelés à 35 .
Les officiers durent intervenir pour ra- ce que l'empereur Guillaume a élevé ai
ent
grade de colonel un Alsacien, le Hautei mitée à l'acajou (l'A. O- F. exporte 20.000
mener le calme.
TIÎRMR
M chli
^
surveillant
:
n a
e
tonnes de ce bois), mais un mouvement se
^mè L f* d .rme à pied à la 7 légion,
Prem. conrs Dem, coarr
Cette alerte est due à la découverte nant-colonel Scheieh..
P., d'une
0 n de Marseille
Le
colonel
Scheieh,
qui
est
nommé
colo
_ dessine qui portera des sociétés datées de
18 sept.; 18 sept.
gargousse
d'exercice enflammée
Marina
; Hunel,
nel du 5° régiment de la garde à pied, è| capitaux importants vers l'exploitation in- Bente a Dio
dans une soute à munitions.
91 52
91 50
Nfi^ a 1la 6° légion, affecté au
Berlin,
est
originaire
de
Colmar.
Il
est
le
«noier militaire d'Albertville. — Ha1279 ..
12/9 ..
Le factionnaire prévint l'officier de
tense iet scientifique de ces richesses. De ce Actions Lyon
PARIS, 19 septembre. —
L' « Eclair »
>as
}
Métropolitain
650
..
653
.
premier Alsacien qui ait pris du service3 fait, l'industrie forestière est à la veille de
écrit : « M. Poincaré et tous les membres', quart qu'un incendie' venait de se décla- dans
Itio Tmto
2116 ..
2127
l'armée allemande.
'
rer.
du ministère sont décidés à défendre la
1045 ..
1657
TIl était chef du service de géographie et prendre à la Côte d'Ivoire un grand dé- Sosnowice
Le feu fut rapidement éteint. Il ne pouréforme électorale devant le Sénat, avec[
t veloppement.
Extérieure 4 0)0
94 25
94 Bn
LES 6HEM !^Hrrr^~cAT^ A N .
de
la
presse,
mission
de
confiance
qui
lu:
'
vait
d'ailleurs
offrir
aucun
danger
sérieux
L
autant d'énergie que devanj la Chambre,
1
94 90
94 l(.
L'élevage revêt des formes variées sui- Musse consolidé 4 OiO . . . .
fut accordée par l'empereur.
.'
par
suite
de
ce
fait
que
les
poudres
et
les
De Béer» (ord.)
563 50
et à me se prêter à aucune transaction qui1
Le père du colonel était juge à la coui, vant les régions : élevage du cheval, des
pa
nols
liand Mines
177 50
le vote émis par les représen- explosifs avaient été débarqués à l'arrivée d'appel
Jfent, danslcs^tres SrH.f <to
/ ré détruirait
de Colmar. — Havas.
du
<(
Danton
»
dans
le
port.
animaux
de
boucherie,
de
moutons
recherllriansk
(ord.)
578
..
578
.
tants
directs
du
suffrage
universel.
5« catalan, des renn^=
"
92 55
93 10
Un rapport circonstancié a été demandé
chés pour leur laine, de chameaux. La Turc
FIN DE LA DERNIERE HEVRU
<( Nous avons pu apprendre de la meilbanque ottomane
707 ..
707 ..
f^ve.
Hiiou\erent la déclaration de
. principale ressource est fournie par les Sorbe
leure source que le gouvernement est ab- au commandement du « Dantcn » .
87 80
88 2C
I bovins. On évalue à 5 millions de têtes de
solument résolu à s'engager à fond devant
Italien
97 25
97 .
le Sénat pour y faire aboutir un proiet
bétail
le
cheptel
de
l'A.
O.
F.
Dès
mainteLES NÉGOCIATIONS ITAI.O-TURQUES
Télégramme commercial
de réforme comportant, comme le projet;
nant, le Soudan français fournit aux colo(Bourse du commerce)
PARIS, 19 septembre. —
« Excelsior »
voté par la Chambre, l'établissement du1
nies
de
Sierra
Leone,
Côte
d'Ivoire,
Gold
Cthlffret
fournis par la maison Uoger Bollack cl CfM
scrutiu de liste avec représentation des croit savoir que les négociations turco-itaCoast,
Togo,
la
viande
de
boucherie
dont
Pavis. 18 sep!.. 14 \\. C0,
minorités et basé sur le quotient électo-» liennes pourraient bien durer jusqu'au
elles ont besoin. Il a été question de recouTrains lapidés
Eli*B
■ mois d'octobre, afin que la nouvelle ChamCOUHANT 4 DERNIEa
ral.
Avoines
(100
kil.)
20 05
20 45
S^L a,examinera s'il v a
i;„
■
rir à ce pays pour approvisionner te marBERLIN, 18 septembre. — On apprend que
hm de
« Sur ces trois points essentiels de la1 bre ottomane soit à même d'adopter ou de
Blés
(101)
kil.)
85
26 80
Jx deminrilo deS
I Q che
donner
repousser
les
propositions
italiennes.
dans
le
duché
de
Bade,
les
trains
ramenam
f
ché
français.
Des
essais
ont
été
tentés.
Les
l'armes (100 kil.).. ......
36 70
34 80
fc^isX tlch?r.
m^ots cata- réforme, M. Poincaré et ses collaborateurs''
■ PARIS, 19 septembre. — Le conseiller de
les troupes des manœuvres ont été, à plu-. difficultés qu'ils ont révélées me semblent «V • •
se déclarent absolument intraitables.
80 uO
74 25
sieurs
reprises,
lapidés.
l'ambassade
ottomane
à
Paris
est
arrivé
ài
74 25
77 25
« La seule concestyten à laquelle est dispas insurmontables. L'expérience se pour- Huiles (100 kil.)
*** ^U
Un convoi, transportant des hommes dt:i suit,
Alcool (Vheelol.)
54
48 85
posé M. Poincaré porterait sur la ques-• de Constantinople, porteur du texte des
e
■
propositions
italiennes
en
vue
do
la
paix.
114
de
ligne,
a
été
cribé
de
pierres
prèf
COUDANT 4 OCTOBBB
tion secondaire de l'utilisation des restes. — Havas.
s
A ces ressources s'ajoutent celles que Sucres
36 81
31 68
de Lorbach. Le conducteur du train lu;
« Il ne s'opposera pas devant le Sénat à
t fournissent te sous-sol : sel gemme, or, imemMgatas^^taijh^i^yiEigKr-se^jjc^g .
i
assez grièvement blessé.
la recherche d'une solution qui ne serait
fer, dont on organise l'exploitation et
Dans
une
autre
circonstance,
les
pierre;
RCUSSET
EST
LIBRE
pas
de
nature
à
en
dénaturer
la
forme
5
te!é
,é
PAGE
i
S fir4h A ^iablissement d'un posto
atteignirent un compartiment où se trou- aussi la chasse et la pêche ; la zone litto« Sous aucun prétexte, le gouvernementE
OOMSTANÏINE, 18 septembre. — Sur ordre
Les
manœuvres dans l'Est.
:
raie
est
très
poissonneuse.
Non
seulement
vaient
des
officiers,
et
l'un
d'eux
a
été
griène
se
prêtera
même
à
l'étude
d'un
pro. du généra] Branlière, commandant par ina deilv
^^unirm^
iron 200 milles, et jet qui aurait pour but, tout en suppri-• terrai la division de Constantine, le diaci- vement blessé.
elle fournit aux indigènes un appoint de
u
PAw^ 4 }
«a.v
ï«*:ia avec Dunkerque et Bie!,
mant le scrutin
d'arrondissement,
dei planaire Rousset a été mis en liberté ,.,jo
On croit, qu'il s'agit d actes antùnilita
pourriture important,
mais ele sollicite Echos de la Mode.
f<s
i maintenir le système mgisritsiira >»'
ristes,
mais
on
n'a
aucune
trace
des
a*xes--^■SPire.. — Havajs.
- • geurft
. depuis plusieurs années déjà, au large de
L'actualité agricole.
Ja côte mauriianiennej l'activité et l'expé-
st^
Peux protestations
Ligues et Syndicats
J^..
j
Nouveau
pugilat
|
est calme
à la Chamhre hongroise,mais estMarakech
aussi en état de siège
j Vantons a tenta surprise
L'Alliance
démocratique
répond aux radicaux-socialistes
G® qu'elle
O. F.
croit être son vrai rôle
i
Les fonctionnaires
contre le statut
Socialistes et Cégétistes
<
LES AVIATEURS
Le commandant Criant
et ïes Ligues militaires
m%
DARSJilURIRE
i
i
L
r?'
REGION
Ils! fi!saeie dans l'armés allemande
°îa
^S -
,
Le gouvernement et la R.
mm
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DES BMEWSES
âLLEiMOES
^K^ff^ * ^-
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Petites correspondances.
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i>^.i-..j»^^*ui-.)a
_
LE1TRE DE LONDRES
I
j
Arrestation de l'assassin
L'avenir démocratique \
en Angleterre
]
7V
(Aveyron), 18 septembre. — Le
Guitard, 21 ans, a été arrêté ce
matin
à Cransac ; il est inculpé de l'as1
sassinat
de M. Pierre Tarry, contrôleur à
?
la gare des Aubrais. Guitard a été reconnu
par M. Lelièvre.un des employés ayant
1
poursuivi le voyageur qui devait être le
meurtrier.
1
Guitard est bien l'individu qui a été sur
pris
dimanche à Capdenac dans un train
1
1venant de Paris avec un billet valable
;seulement de la gare Paris-Orsay à la
'gare Paris Austerlitz. — Havas.
CKANSAC
j
j
j
i
DE NOS ENVOYÉS SPÉCIAUX
1nommé
LONDRES, 14 septembre. —
Quand M.
Border» et ses collègues du ministère canadien, au cours de leur Técent voyage à
Londres, offrirent au cabinet de SaintJamea la participation du jeune mais
puissant « dominion » nord-américain à
la défense impériale en échange de certain
privilège et que cette offre fut virtuellement acceptée, on se rendit compte qu'un
nouvel et intéressant problème était posé.
En effet, ce privilège — une participation au gouv-nem-èut général de l'Empire — était déjà désirée par l'Australie et
ta. Nouvelle-Zélande, bien, qu'elles n'en
firent pas une conditio» de leur effort vers
la défense commune. Aujourd'hui, l'opinion publique en Afrique du Sud endosse
la démarche canadienne et on prévoit que
le gouvernement du général Botha ne tardera pas à répéter, pour son propre
compte, l'œuvre de M. Borden.
Comment admettre au Parlement actuel
de Londres les délégués des colonies ?
Quel intérêt pourrait bien avoir pour eux
les questions d'intérêt purement anglais
qui y viennent en discussion et qui forment bien les neuf dixièmes de son ordre
du jour ?
Il semble que le gouvernement actuel
ait déjà envisagé ce problème et songé à
lui donner une solution aussi radicale,
que démocratique. Car, bien que M. Winston Churchill, dans le grand
discours,
qu'il prononça hier à Dundee, ait pris
soin de faire remarquer que les opinionsi
qu il exprimait ne formaient aucune part;
du programme immédiat du cabinet.dont,
il est l'un des principaux membres, il[
n'y a guère de doutes à avoir qu'il avait;
en vue une tâche réservée à la prochaine>
législature libérale.
Nous allons, dit-il, donner l'autonomie)
à l'Irlande. Ensuite, il faudra songer ài
étendre cette mesure au pays de Galles;
et à l'Ecosse. Et si le home rule, comme>
nous en avons la certitude, sera avantageux à ces trois divisions du RoyaumeUni, pourquoi s'arrêter en si bon che-.
min î Pour ma part, la perspective de)
voir les affaires locales de notre pays ré-glées par huit ou dix assemblées législa-r
tives distinctes n'a rien qui m'effraie. Lei
Lancashire, avec ses huit millions d'ha-bitants, ses centres populeux comme Li-verpool et Manchester, gagnerait à avoirr
le contrôle de ses affaires locales. On enx
*-•-«>
peut dire autant du Yorkshire, avec une3
population égale, sinon supérieure. Ces
APRÈS LES MANŒUVRES
conditions sont partagées par le Midland,!
———
avec le district industriel de Birminghami
au centre. L'agglomération londonienne,
qui a déjà son petit Parlement, le London
County Council, pourrait être élargie en
même temps qu'on augmenterait ses préLISLE-BOUCHARD,
18 septembre. — Le
rogatives législatives. Resterait deux dis-" général Joffre, directeur des manœuvres.
tricts, l'un à l'Ouest, l'un à l'Est, qui1 adresse aux troupes un ordre du jour expourraient, sans trop de difficulté, fox-- primant sa plus entiers satisfaction au
commandement et aux états-majors, qui
mer deux ■ pr • .'■'•es autonomes.
Et M.ChurcriUl fit ressortir quelques-unss ont fait preuve de sagacité, de savoir et
des nombietiA uvantages dei cette divisiona d'activité. Les troupes ont montré une apj titude à la marche, une endurance extrêfédérale du pays. Ce serait le pas initial
'
me, un esprit de discipline remarquable.
vers l'établissement, à Westminster, d'un Enfin, l'incomparable audace de nos aviai_
parlement vraiment impérial, où les questeurs et de nos aérostiers a permis de
tions navales et militaires, de politiquee mesurer les nouveaux et très sérieux sers vices que l'on peut attendre d'eux dans
extérieure, de communications entre les
diverses partes de l'immense empire.etc,., le cadre d'un» organisation militaire raa tionnelle. — Havas.
seraient traitées, avec tout le loisir et la
i♦ »♦
largeur de vues nécessaires par des hommes ayant fait leur apprentissage de la
politique et donné des preuves de capacité dans le gouvernement des divers districts fédéraux qui les auront délégués
i
au Parlement central.
. .
Cette réforme réalisée, on ne verra plus,S,
comme aujourd'hui, une interpellationa
la mStîs&tSoit ai; M@XSS§SSQ
l
sur, par exemple, la politique de la Gran~
De noire correspondant particulier
E
de-Bretagne en Perse précédée par une
,
NEW-YORK, 18 septembre. — On mande de
;autre interpellation au postmaster généWashington que te département des affairal pour savoir pourquoi une distribution
ra res étrangères est occupé en ce moment à
de courrier à Mud-irj-the-Hole ou toute
e transformer en une espèce de protectorat
n le contrôle financier de la Maison-Blanche
autre bourgade perdue n'eut lieu certain
l, à Sanito-Domingo, tandis que le départejour qu'à neuf heures du matin, quand,
ment de la guerre prépare en toute hâte
z.
réglementairement, elle eut- dû être effecfs une nouvelle expédition armée au Nicaratuée une heure plus tôt. Ce sont de telles
.
gua, où les 600 marins qui y furent débarincongruités qui renient inévitables l'é- qués le 30 août sont insuffisants à empêcourtement des grands' débats, la fameuse
® cher les rebelles, maîtres déjà de Masaya
lt
guillotine dont les libéraux se plaignaient
et de Granada, de marcher sur la capitale,
tant à l'époque de Balfour, ce qui ne les
ss Managua,
empêche pas de la faire fonctionner auiMais c'est toujours du Mexique que nous
•s parviennent les nouvelles les plus alarmanjourd'hui avec autant de brio que leurs
tes pour la paix du continent américain
prédécesiîurs au pouvoir.
L'acte de brigandage du général Salazar,
A
un des principaux lieutenants d'Orozco, en
,e «'emparant du plus grand propriétaire desj
Je répète que la. réalisation de cette
mines du Sonora, le capitaliste américain,
e
grande réforme sera probablement une
M. Lionel Burrows, et de cinq ingénieursi
;_
des taches que s'imposera la prochaine léT
également américains, et en exigeant pour"
gislature radicale. Car je ne crois pas à
a
leur liberté une rançon de cent mille dolu
un retour prochain des conservateurs au
lars sous la menace de les fusiller, a créé!
pouvoir. Hors l'Angleterre, on attachee au gouvernement de Washington une situaztion fort délicate.
trop d'importance aux résultats des élecLt . On a été fort étonné d'apprendre que les.
tions partielles qui ont eu lieu récemment
,s forces que Salazar conduisit à l'assaut de,
et auxquelles les torys ont arraché des
sfièges aux libéraux- Ces victoires conser- El-Tigre (Sonora) se composaient presque
exclusivement d'Indiens yaquis, qu'on supvatrices sont presque toutes dues à l'en- posait dévoués à Zapata, mais complète-n
trée eoj campagne des labouristes. Ici un
ment divorcés d'Orozco. Il faut croire que
candidat est déclaré élu à la majorité res- depuis que les rebelles du Nord ont inaulative ; il imparte peu si, comme dans la
a guré leur lutte de guerritlas, une entente[
1- est intervenue, par l'intermédiaire du caci-;
circonscription du Midlothian il y .a quelque Salgado, entre les révolutionnaires dul
ques jours, les libéraux et les labouristes,
3>
Nord et ceux du Sud.
avec des programmes presque identiques
Voici d'ailleurs, à titre documentaire, lai
dang ses grandes lignes, aient sur le réacB
" description, très claire et très précise', que*
tionnaire une majorité de 2.500 voix. Le
* la grande feuille de L'Ouest, « The Los-scrutin de ballottage n'existant pas, c'est
st Angeles Timeis », reçoit de son corresponce dernier qui est déclaré élu. De plus, la
a dant militaire, sur les deux mouvements;
discipline de parti est bien plus ' stricteinsurrectionnels qui déchirent la malheu-*
8.
,x reuse République mexicaine :
ment observée aux scrutins généraux
« II faut, dit notre confrère, ne pas perqu'aux élections partielles, où, d'une part,
t
[
les questions de clocher et de personnes' dro de vue que la révolution mexicaine est
une
double
affaire.
Orozco,
au
nord
ne
reont libre jeu et, d'autre part, beaucoup
P présente que le vieux régime et n'est que
d'électeurs s'abstiennent par indifférence,
e, le chef d'une des factions rivales qui se>
le résultat,- même favorable à l'adversaire,
e, formèrent au lendemain de la chute du dic-.
ne mettant pas en péril l'existence du gouî- tateur Porfirio Diaz. Par contre, Zapatai
vernement.
représente une idée. Il est le champion
Sur de l'.appui loyal des Irlandais et du
des paysans et des ouvriers, le leader del
u
1
ceux qui aspirent à détruire le système\
Labour Party, le gouvernement actuel,
en dépit de quelques échecs partiels dans des grandes propriétés créé par Diaz et à.
le remplacer par une république de pe-_
les collèges électoraux, restera nu pou- tlt,s
*"
propriétaires. La situation de ce côté;
veir jusqu'à ce qu'il ait complété la
a est fort dangereuse, paroe que noufi som-.
tâche qu'il s'est imposé, c'est-à-dire forcé
:e mes acculés à une lutte de classes. »
les lords à donner leur sanction aux trois
is
Le correspondant ajoute que la lutte me-réfoimes suivantes : Home Rule pour llrnace de se prolonger indéfiniment, — W.
r.
- Isnde, Séparation de l'Eglise et de l'Etat
dans le pays de Galles et nouvelle loi électcrale supprimant le vote plural et établissant le scrutin de ballottage.'
Avec cette dernière loi inscrite au Sta;r
Le tumulte continue
tue Book, le parti du progrès pourra aller
aux urnes avec confiance. Au lieu d'un
BUDAPEST, 18 septembre. — Le scandalei
N
rival, il aura dans le Labour Party un qui a commencé hier au Parlement hon-'
allié dont les voix, lors des scrutins de grois a continué aujourd'hui.
Les députés de l'opposition ont injurié les,
ballottage, iront au candidat gouvernegouvernementaux et le minist'e du
mental si ce dernier est favorisé au pre- députés
commerce.
mier tour et récipi'oquemont. Dans un
a
grand nombre de circonscriptions — on
u
Minisirs frappé
calcule qu'il y en a plus die cinquante —
Celui-ci voulant protester a été attaqué
le triomphe des conservateurs, dans le
a coups de poing et est tombé, mais il a été
e
passé, n'était possible que grâce au votee délivré par les gouvernementaux.
Lorsque le comte Tisza, président, ouvre
plural, dont le privilège, comme en Belgi-.
que, est genérakm^t détenu par les reac- la séance, les députés de l'oppositi«i re•' corom-encent le tumulte avec des sifâets et
iioju^a-ires.
des irorai^ttes. — Havas.
Ordre du jourju directeur
i Les Etats-Unis
et l'Amérique latine
Le thème général
SBï>®êt-œe la paix ?
18 septembre. — Aujourd'hui mai
tin,
à onze heures, s'est tenu, au Palazzo
Brazzi,
'■
un conseil des ministres qui s'est
1
occupé
exclusivement des pourparlers de
paix.'
Dans les milieux politiques, on attache
à ce conseil la plus haute importance et on
\croit que les pourparlers sont réellement
,
arrivés
à leur phase définitive.
D'autre part,
publiciste Vittorio Vetiori télégraphie de Ouchy (Suisse) au « Giornale d'Italia » que les conversations des
1délégués italiens et turcs ont repris aujour'd'hui et que les Italiens sont bien décidés
à rompre les négociations s'ils n'obtiennent
pas satisfaction sur les points suivants :
1° Nulle souveraineté d'aucune sorte de
La Turquie en. Lybie ;
2° Rappel complet des officiers et des
troupes ottomanes en Lybie ;
3° Suppression de l'organisation turque
de la résistance arabe ;
4° Restauration de l'état
eapitulaire
douanier et commercial dont les Italiens
jouissaient dans l'Epire ottoman avant la
guerre.
Au sujet de la négociation d'un emprunt
à l'étranger, une note officieuse dit :
« Un journal étranger a annoncé que le
gouvernement italien était en train de négocier avec des groupes financiers anglais,
belges et français un emprunt de 600 millions en faveur de la Turquie. Cette nouvelle est entièrement dénuée de fondement. »
1
le
Le contact
DÉTRUIT
BERLIN,
18 septembre. — Un télégramme
de Yokohama à la « Gazette de Fii-amsl'art » annontee que le ballon « Parseval »,
récemment vendu à l'armée japonaise par
la société des ballons Parsaval, a été complètement détruit.
Ce ballon Parseval avait été expédié au
Japon dans le courant du mois d'août dernier. Il avait un cubage de 8,000 mètres,,
77 mètres de langueur et une largeur de
15 mètres. H possédait deux moteurs de
150 chevaux. Dix passagers pouvaient
(prendre place dans la nacelle.
Sûçj^STE ILLEIMD
CHEMNITZ (Saxe). — Le congrès, après urne
longue discussion et après une intervention passionnée du député Ledebour, a
adopté une réorganisation du parti proposée par la commission,—• Havas.
L'UNION INTER PARLEMENTA IRE
GENÈVE, 18 septembre. — Ce matin, à dix
heures, s'est ouverte la dix-septième conférence de l'Union interparlementaire sous,
la présidence de M. Bernaert, ministre d'État belge. — Havas.
MARIAGE PRINCIER EN AUTRICHE
VIENNE, 18 septembre. — L'empereur est;
parti ce matin pour le château de Waldsee,
pour y assister au mariage de l'archidu-.
chesse Elisabeth-Franctsca avec le prince,
Georges de Waldburg. L'empereur est arri-.
vé en automobile ; il a été acclamé par la
population .— Havas.
i
: Régionale
; La
:
l
M
PARLE1EMT H8W6R01S
division
Voici le thème général des opérations :
L'ennemi battu, a franchi l'Ornam couvert par de faibles arrière-garde*, qui
tiennent les passage® de la rivière.
Son corps de gauche désorganise, semble n'avoir pas dépassé la région BoviolTe, Reffroy, Meirgny-le-Petit.
D'autre part, on .a signalé d importants
mouvements de trains militaires de Sorcy
vers Pagny-sur-Mesuie.
La 11° division, entamant la poursuite,
franchit l'Ornain .et .se porte dans la direction de Ménil-la-Morgue, elle marche
divisée en 3 colonnes.
La nuit est superbe, le ciel est étoile.
Parti de Saint-Joire avec les troupes, je
me trouve au delà de Meligny-le-Petit, à
7 heures du matin, ayant été beaucoup retardé dans la traversée du bois Nouvellois
par le 79».
Dans la nuit, le général Defforges. a
tout mis à profit pour reformer ses lignes! plus en arrière. La 39e division a repr» daùtres postes de combat sur la ligne Meligny-le-Grand, Braux et Naïves,
ne perdant pas le point de vue que d'après le thème de la manœuvre, il doit toujours se tenir dans la direction de Ménilla-Horgne et Sorcy.
ROME,
LE COSGRES
39"
(Meuse), 18 septembre.
— 3 heures du matin. —- Les soldats des
;
26"
et 70°, placée aux avant-postes, dé'fendent conscienieieusement les' approches
et se fusillent de temps à autre.
Je croise deux officiers russes, les capitaines Emilianoff de la 3° brigade d'artillerie de la garde et Narbout, du 3° chasseurs finlandais.
Important
Conseil
'
des ministres italiens
» PARSEVAL »
contre
NAIVES-EN-BLOIS
,
BALLON
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LES MANŒUVRES DANS L LSI
LE DRAME DES AUBRAI3
Ceci sans compte? l'attrait qu'aura pour
le gros de l'électorat un programme de
réformes sociales infiniment plus radical
que tout aea devanciers, s'il faut en croire
M. Lloyd-G-eorge lui-même qui, dans un
discours récent, s'écria à l'adresse de ses
adveraires : « Vous protestez contre les
quelques mesures favorables aux pauvres
que nous avons réalisées, telles quo la loi
des pensions de vieillesse et l'assurance
nationale
contre la maladie, l'invalidité et
.
le chômage. Attendez un peu : nous n'avens fait que commencer. »
: Et le joyeux Gallois ne promet pas en
vain.Il a déjà fait allusion à toute unes?
rfa dd meisurs) \ pour irendre plus supportaLie le lot du travailleur agricole et lui ôter
l'envia d'émigrer vers'les villes pour encombrer davantagî le'marché du travail
industriel
: minimum de salaire, érection,
1
de
cottages hygiéniques par les autorités
'
locales, facilités pour l'acquisition de terires,
organisation de bibliothèques et au■
très sources de récréation dans les villages, etc. L'ouvrier industriel, die son côté,
ne
!
sera pas oublié. Une mesure qui est un
acheminement vers la faxe unique, dont
l'Américain Fels est le grand apôtre aux
Etats-Unis, fera, dit-on, partie de la plateforme libérale aux prochaines élections
générales. Ce sera une réforme de l'impôt
foncier qui fera payer aux grands propriétatees — il y en a quelques douxaines
qui ont de 20.000 à 100 000 hectares chacun —■ une taxe suffisamment élevée pour
les fo.-cer de rendre à la culture d'immenses terrains qu'ila réservent maintenant à
leur amusement. Par contre-coup, cette
taxe permettra de dégrever notablement
les habitants pauvres des villes qui s'upportent à l'heure actuelle plus que leur
part du fardeau.
A cette activité créatrice les torys n'ont
à opposer que le protectionnisme — si on
laisse de côté leurs menaces de détruire
une partie de l'œuvre du gouvernement
actuel. — Quels que soient les mérites des
barrières douanières pour des oatit ns autrement situées que l'Angleterre, l'électorat se rend compte chaque joifr plus clairement que la prospérité économique de
ce pays, « l'atelier du monde entier » a le
libre-échange comme fondation princi
paie.
Depuis le grand éveil démocratique de
1906, qui .amena au pouvoir un libéralisme « esprit nouveau », la position du parti conservateur en Angleterre devient de
plus en plus semblable à celle des parti.»
monarchisteg en France. Ou je me trompe
fert ou les Anglais, dans le premier quart
du vingtième siècle, donneront au monde.
entier de grandes et utiles leçons de jus
tice sociale.
TARRIDE DEL MARMOL.
m
Lorraine
et ses mortsi
»
————
NANCY, 18 septembre. — Le dimanche 6î
octobre prochain, comme on le sait, auraL
lieu à Thiaucourt l'inauguration du mo-.
nument élevé au général Clinchant, ancien gouverneur militaire de Paris.
... C'est un sujet d'étonnement pour les5
étrangers à notre province eue ce.perpé-tuel souci des morts, que cette préoccupation constante d'honorer ceux d'entre eux
qui ont bien combattu pour leur pays.
Constamment autour de nous, des cérémoules funèbi-es déroulent leur rythme et
sur notre sol, il est encore bien des braves
dont la vaillance appelle la commémoration, par la pierre ou par le bronze.
Un Provençal mous disait, l'autre jour.
qu'en dix ans il n'avait pas vu, à Marseille, deux de ces grandes' fêtes du souvenir si fréquentes en Lorraine.
Car la Provence n'a point, pour ainsi
dire, connu la guerre, depuis CharlesQuint, tandis que nous ne comptons plus
les luttes et les .invasions terribles.
Le général Poline, dès la pointe du jour,
a fait prendre à ses avant-gardes un violent contact pour connaître où était
le
gros de l'ennemi.
La 21e brigade est à
gauche avec le 69e, longeant le bois Bernisat.
La brigade Kaufmant s'appuie SUT les
bois de Naives. Aussitôt sur cet autre plateau la bataille prend une forte acuité. Si
la poursuite du général Poline est ardente
la défense du général Defforges est savante et énergique. Aiirdessus de Melign.yle-Grand on marche à l'arme blanche sur
lea manchons blancs.
Clairons et musiques s'en mêlent, tandis que la fusillade fait rage, que la canonnade redouble d'intensité et que les
mitrailleuses « déchirent de la toile ». Sur
ce côté du plateau « il y a de la "-outte à
boire » et la « Marseillaise » sont chantés par toutes les poitrines du 69e.
Mteligny-le-Grand est
occupé par une
partie du 69", le 3e bataillon, dont les tirailleurs garnissent les vergers avec les
mitrailleuses embusquées à toutes les issues du villageLe général Defforges a placé la 77e brigade à droite et c'est justement le 146° oui
reçoit le choc des 1er et 2° bataillons du
69". De ce côté les manchons ont défendu
la route grimpante qui va vers Ménil-laHorgne et dans les terres se sont creusés
des abris de campagne d'où ils tirent à
coup sûr, bien soutenus par l'artillerie,
La bataille est toujours très vive dans la
direction des bois de Naives et la forêt de
la Palisse. La 78", brigade Bajolle, se cramponne à la grande route de Bovée, et se
trouve aux prises avec des forces de beaucoup supérieures.
Le biplan du capitaine Brunei, parti des
champs à la droite de Saint-Joire, se tient
à une grande hauteur et vient planer audessus des bois de Naives et de la Palisse,
puis revient aussitôt dans les lignes du général Poline. U e^f. 8 heures. Sur tout le
front, l'attaque est des plus mordantes.
Le soleil est même chaud et l'atmosphère
d'un blanc laiteux : de la cote 329 je déoouvre tout le front du combat. Près du bois
Vaugrenot des patrouilles de cavalerie se
poursuivent, des dragons chargent des
hussards.
Mais depuis la randonnée du biplan, le
plan a dû être modifié. Il semble que la 11°
division progresse beaucoup plus sur
Broussey-cn-Blois. L'artillerie des manchons blancs suit en mouvement.
Le général Defforges se tient sur la crête
devant un moulin en ruines. -Le général
Poline est a.u loin sur la crête 328, sur la
gauche de Naives-en-Blois.
A ce moment l'aiie gauche de la 39° division glisse du côté du bois du Tremblois,
tandis que son centre s'incline sur Naives
et que sa droite (brigade Mazel) déborde
Braux.
U est certain que, en présence des forces
supérieures de la 11° division, le commandant des manchons blancs, dont l'ordre est
de se replier sur Sorcy, hésite à s'engager
j usqu'à Ménil-1 a-Ho:rghe.
La forêt de Gommercy serait un mur auprès duquel il ne fierait pas bon se battre,
Le général Defforges semble préférer la direction de Vacon, qui, par Void, le conduira plus sûrement sur la vallée de la Meuse.
Son aile gauche progresse sur Broussoy,
son artillerie bien campée tient les crêtes.
Le général Poline a deviné les intentions
de son adversaire. Il resserre ses régi-
f
Arrestation mouvementée
•
PONT-A-MOU&SON, le 18 septembre
«
ar
di soir, vers six heures, le nommé
Georges Cornu, âgé de 29 ans né ^tf"8^
l
ar
travaillant ;
une huitaine ; V is,
aux fonderies de Pont-à-Mousson
&»»«
vait .attablé au débit Nicolaï rue' ,fd tr°u0
sés, en compagnie de deux autres
dus. .
'luivj.
Cornu, qui paiaissait surexcité
un revolver de sa poche et, sans aiK-,,^W1it
tif en tira un coup sans viser M Ttl ■ ^oni
personne.
Le combat
Justement effrayé de voir dans
La fusillade fait mage- Les gas de l'in- blissement un' individu qui jouait . ,
fanterie délestent leurs cartouchières. L'ar- cîléniénit dii revolver, M. N'iooViï fit^1 la.
tillerie brûle toutes ses munitions1 èt les mi- lër là'police. Quand Le sous-brïô-, ■ aM»e.
trailleuses font du 220 à la minute. Où ne cé et ragent Pok-t arrivèrent, Co-iZ \ *
s'entend plus sur les hauteurs d'où j'em- quitté l'établissement Nicolaï «cii?
dans sa. pension, chez Dœrr, rue âr nbrasse ce magnifique spectacle.
Tout à coup, le général Defforges donne teinte. Des agents L'y reiai«njw„t'N9-1 *'nides ordres. Estafettes et cyclistes courent Le sous-brigûdieir Àncé appela rVv - tôtdans toutes les directions. La 39° division, était attablé en; lui disant qu'il àv j+U m
' a 1 1Ueildans un élan suprême, va charger ses que chose à lui demander.
agresseurs. Les musiques sont déjà au cenCornu se leva, mais au même
,
il ^ lant
tre des régiments, les clairons et tambours mettant la main à la poche 11
m s
'
°«tt
derrière leurs bataillon®. « Baïonnette au son revolver.
canon ! » crient les officiers de toutes parts.
Voyant Le geste, Le sous-brigadi,,, A
Mais les sonneries retentissent : c'est 'e ne laissa pas à Cornu Le temps dÀ f
refrain du corps d'armée, puis le « Cessez usage de son arnne. D'une main H iP ro
le feu » et le rassemblement.
sissait à La gorge pendant que de l'i ^
La critique eut lieu sur La crête 395, de- il lui maintenait solidement le poie-rii*
vant Meligny-le-Grand.
L'agent Polet tentait également °de
„
na
ser le cabriolet a 1 autre bras de fn
A
Pendant cinq minutes ce fut une I^M"
Ce soir les campements sont serrés : la corps à corps entre les agents et r ™
39:: division est à gauche, le long des côtes qui s'efforçait de faire marcher la "\u
de Void-Mauvages ; la 11e division, qui a
chette de son revolver. Mais le souslt
fourni un effort considérable, cantonne le gadier Ance avait soin de lui maintenir ,
long de la ligne de Vaucouleurs. C'est dans main, de telle sorte que je canon, de r
cette ville que se trouve le quartier général.
m© était dirigé vers le plancher EfriftT
L'après-midi de mardi a constitué un re- malgré la violente résistance de Cornu
pos salutaire pour le 20« corps, qui est ap- agents parvinrent à lui enlever son vévîvf
pelé encore à fournir une attaque de deux ver .Mais bientôt ils s'aperçurent nue C/T
jours. — C. F.
nu a.vait une autre arme dissimulée
la poche intérieure de son veston Ib
tirèrent en effet une longue tige de î» rori
NANCY, 18 septembre. — Au moment c-ù
de et très effilée. Cornu fut ensuite em
les manœuvres vont se terminer, il con- mené — non sans une vive résistance -1
vient de rendre également hommage à la au poste de police. En chemin, i,l tenta dè
20e brigade de cavalerie (dragons de Pont- mordre à plusieurs reprises l'agent Polet
à-Mouason, hussards de Nancy et de Gom- Fouillé, on trouva sur lui huit balles dont
mer cy).
plusieurs étaient mâchées. Le barillet de
Nous avons parcouru, ces jours derniers, son revolver contenait «n outre cinq carLes cantonnements du 6" hussards (de touches. Cornu est un ancien légionnaire
Mardi, dès le matin, il avait déclaré qu'à
Gommercy), dont l'état-roajor occupait Vézelise .L'antique petite cité se faisait une voulait tuer trois personnes dans la jourfête d'offrir un gîte hostipalier à tout Le née. C'est une véritable brute. Ses maîrégiment, mais malgré La bonne volonté tres de pension et ses camarades étefant
de tous, on ne put y loger tout le monde terrorisés par lui. Ce fut un véritable sou.
et deux escadrons ont été aiguillés respec- Lagement pour eux quand- ils le virent env
tivement sur les villages d'Ognéville et de mener par la police, car ils craignaient
Vronecurt,
qu'il ne fasse un malheur dans la soirée.
Ce fut un ravissant spectacle pour les
cœurs lorrains que l'entrée dans Vézelise
et les villages environnants, par une pluie
battante, de ces alertes cavaliers, fiers
sous le coquet dolman corseté du brandebourg blanc, et vaillants encore malgré
plus de trois semaines de routes et de
manœuvres allègrement supportée® malgré le mauvais temps dont nous avons été
gratifiés. C'est en effet le 6° hussards qui
AUJOURD'HUI :
DEMUN :
a coopéré aux évolutions et manœuvres
do la 11° drtvision au camp de Miailly et
Saint JANVIER
|
Saint EUSTACHE
qu'il a quitté en lui laissant un escadron Jeudi 19 septembre. -— 263° jour de Vannée
divisionnaires, venant avec ses trois autres
Ephémérides lorraines. — En 1284, les
escadrons prendre pnurt aur impression- bourgeois de la ville de Toul expulsent les
nantes chevauchées de La brigade.
chanoines de lia Catéhdrale.
Le 6" hussards à Mailly a obtenu du géA 1 heure et demie. — Excursion aux
e
néral commandant le 20 coups d'armée, champignons de la Société de mycologie.
e
et du général commandant la 11 division,
A 8 heures ©t demie. — Maison du Peules éloges les plus flatteurs, transmis avec ple : Assemblée générale des coupeurs em
orgueil, par la voie de l'ordre. Nous tenons chaussures.
à reconnaître ici la preuve de son enduNancy-Attractions.- 8-volant,cinéma. etc
rance et de son entraînement, ne doutant
pas que notre admiration soit partagée APorabw
TEMPÉRATURE
LA
.sans conteste par tous nos lecteurs et avec
'g
j'
Biarritz
765,
Dunkerque 771, pressioï
l'espoir de pouvoir acclamer ces vaillants,
-f * très élovée Nord Ouest Europe.
à la grande revue du plateau de Malzévllle .— H. B.
J t"
LelS ANANCV
Le 19
fJ- *'
S
La cavalerie
NANCY "
LA JOURNEE
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J) r
•| ?.
Le crime de Varangèvills
Les aveux d'Husson
NANCY, 18 septembre. — Husson, Le meurtrier de Paul Cornu, à Varangéville, qui
depuis son, arrestation avait toujours opposé des dénégationis énergiques aux affirmations de sa femme et de Méllne, chez lequel il a.vait soupe le soir du crime, a été
interrogé de nouveau par le
magistrat
instructeur. Les témoignages de sa femme
et de Méline lui furent opposés ; il essaya
encore de' nier, puis pressé do questions,
il entra dans la voie des aveux.
Serré entre deux tampons
Le jeune Lecomte, employé aux chemins
de fer à la gare de Conflans-Jamy, .a été
serré entre deux tampons au cours d'une
manœuvre.
Après les soins à Conflans du médecin
de la compagnie, il a été dirigé sur l'hôpital de Nancy par le train de 9 heures.
Heures
_
ïhorm. BaromB.,
_
_
Temps probable:
Ia
'? 6 7i. m. + 6
5J= MiM.. + 18
i. 4 II. S.. + 16
Max. . + 18
Min... + 6
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(OtservaEioBS de M. Delliéui.)
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EPINAL, 18 septembre. — A la suite de
l'aosorr-tiDn de champignons vénéneux, un
ouvrier peintre, Lucien Martin, 47 ans, est ■
mort. Son frère, Emile, 36 ans, et leur mère, âgée de 67 ans, sont dans un état grave.
L'arrestation d'un journaliste
Nous recevonsi de M. Emile Hinzelin U
lettre suivante :
Paris, le 16 septembre 1912Mon cher confrère et ami,
J'ai lu récemment, avec le plus vif plaisir, dans 1' « Est républicain », la lettre
« d'une de vos lectrices nancéiennes » sjtf
mon arrestation à Vieux-Brisiach. Je vieo*
d'acquérir la certitude que votre lectrice a
raison, quand elle affirme que le sergentmajor Heckmann, qui m'accusait si faussement d'avoir levé des plans au bord d«
Bhin (ci : quatre ans de forteresse), n'est
pas un Alsacien d'origine. Comme votrp
correspondante l'écrit : « son père est venu à Obernai après l'annexion ; s'y e»
marié' ; a plusieurs fils natifs d'Oberna» ;
mais ce père est un Allemand, bien qu'habitant l'Alsace depuis tant d'années, il n*
jamais pu parler le dialecte alsacien »•
Ainsi, la ville d'Obernai, une des plu?
exquises qui soient sous le doux ciel d Alsace, si pleine de loyale hoapitalité, dart
ingénieux et cordial, de discrète poésie,
de nobles souvenirs historiques ou légendaires, demeure dans ma mémoire san* »
moindre nuage.
Voulez-vous1, mon cher confrère et an*
remercier en mon nom votre correspw
dante et agréer l'assurance de mon sfflr
cère dévouement.
EMILE HINZELlN,
Je ne fume cfue le NIL
Pour uns famille malheureuse
L'inauguration, officielle du Ciné-Palace
a lieu mercredi soir à 8 heures et demie,
ainsi que nous l'avons précédem-iic-nt indiqué.
Mais les directeurs ont eu d'abord une
pensée touchante. Au moment où le grand
hall allait s'ouvrir au public, ils ont songé à la multitude de ceux pour qui tous
plaisirs sont interdits, quelque, minime
qu'en soit le prix ; ils ont songé aux bambins de notre grande cité qui ne vont j.amais au Cinématographe, parce que, chaque soir, le père rentre harassé de fatigue, parce que la mère a durement peiné
pendant l'inte.nmina'ble journée.
Aussi, mercredi, dès dix heures du matirn, de longues théories d'enfants, girls et
boys .accompagnés de leurs maîtres et maîtresses, commencèrent à s'engouffrer scus
le porche monumental du Giné-Palace^ur.
monté d'un large auvesâ de fer forgé et de
'
Toujours les champignons
***
l
12
ments. La 22» brigade sert de pivot tandis
aue les 09°, 26° et les bataillons de chasseurs se maintiennent sur les crêtes connues 395-369, sur la roule de Maligny-ieGrand à Bovée, et 678 et 3ti8.
On «ent qu'à cette heure les deux côtés
vont jouer leur va-tout. Los généraux Beltramelli Regnault, chefs des arbitres, et
les autres officiers courent de groupes en
groupes.
Dimanche, sous les vénérables halles de
Vézelise, ne pouvait-on évoquer ces tragiques Suédois qui ravagèrent cruellement
tout le pays, pillant, saccageant, brûlant
Sion-Vaudémont, ruinant à jamais SaintNicolas de Port I
H ne faut pas augurer cependant du
culte que le Lorrain a pour ses morts qu'il
n^aime point la vie. Certes, si elle ne revêt pas, dans notre province, cette forme
exubérante que connaissent des contrées
plus ensoleillées, elle ne s'en développe
pas moins d'une façon magnifique .
H y a de tout en Lorraine, du fer comme
du blé, du blé comme du sel- Et le race,>
patiente, travaille ardemment vers unes
prospérité toujours plus haute.
Mais elle est profondément attaché© aui
passé. Le Lorrain du 20" siècle est l'anneaui
d'une longue chaîne martelée par la douleur.
Chez le plus humble de nos compatriotes, revit confusément notre histoire, une
;
des plus mouvementées du monde. Aussi'■
son âme est-ello comme estompée, sinoni
de tristesse, du moins de mélancolie.
... La Lorraine aime à se pencher vers:
ses morts. Dans la beauté du crépuscule,
elle entend leur voix.
Et cette grande voix dos morts enseigne
toujours plus do courage. A ses accents se
rallume le foyer du vieil espoir...
LÉON PIREYRE.
..
—9 —
St*r}lilioniAs«f£<.
KIM«AO!rfiftll
vitraux et qui rutile au soleil comme la visière d'un casque de géant.
Le porche sombre,'ouvert comme unes
bouche immense, semblait vraiment avaler
[a multitude enfantine, et nous songions
invinciblement au Moloch de GartbaSe à
qu,, lors des calamités, la farouche cité;
sacrifiait la fleur de sa jeunesse en la je-■
'
a
a gUeule d airain
-vinité.
'
' *> »<*'
!u
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J
heures en deux heures 1
îees ,w tes restituait, plus iroses mus ffaiM
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et plus exubérantes que jamais'
Nous n'avons pas demandé
ces mm,
tards, trop jeunes peur
infe'vtew
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qu'ils avaient vu dans les entraiitZ' ^ ,
monstre: L'heure est ^oehe
%tet où!
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Nous avons encore reçu ;
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Un anonvme
,.«•«..•> 9 8
Anonyme
*
Co qui porte à 217 fr. 85 les sommes qu
nous avons reçues.
... „
Les magasins « Au Planteur de Caiita
nous ont fait parvenir un paquet de nia*
chandises.
Libéralité
A l'occasion d'un mariage, un auony#«
a remis à M l'officier de l'état civil
somme de cinquante francs, pour des »
vres de bienfaisance.
"JJ
COFFRES^FORTTS FICIlElf .,,
husincomtibles et blindés, d'acier impertora»
8, rue Saint-Georges, NANCY
Claude Bernard a remarqué, que tes Ja
câlins, pris avant les repas, favoris eoi
pioduction du suc gastrique. ,,te,?^séVICHY-CELESTINS a été créé P^g^
ment pour fournir la seul anér«t.i».
j
mum régional
J /
I ^3 -3
^ggseiêtss.agrfiHw rie ïir, on 1912 biJFODlQuB
'
bpOFtlvBh
Classement des délégations
concours, organisé par le ministre de
"iruerre dans le 20" corps d'armée entre
a
' -iSfés agréées, a eu lieu en août dernier;
8f „
société était représentée par quaufl
délégués appartenant à la réserve ou
tre
, territoriale et exécutant un tir de vi* «„ sur silhouette de buste, à 200 mètres,
TES
„P minute.
îo classement :
. société mixte de tir de Rambervillers,
Ltuille d'or.
■Sfedailles d'argent. — 2. Groupe Blandan, \r j ■ 3. Société de tir du 41» territorial, a
^Sinasle ; 4. Amicale laïque des Trois-Mai, : ■ 5- Société mixte de Nogent-sur-Seine ;
È Us
° iV Persôvéïante, de ïroyes ; 7. Amicale
-M!IB des Cordellers, à Nancy ; 8. Société de
"'in V>» territorial, à Nancy ; 9. Société do
Saint-Max ;
•m La Mussipontaine, de Pont-a-Mousson ;
cncifîfe de tir et de Préparation militaire
1 c'ianuù^meulles ; 12. La Sentinelle des
ËS(,es dê Rambervillers : 13. Amicale laïque
SLni
<ilks Naucy; 14.Société mixte de Romillv^îseine ; 15. Groupe Bara, à Nancy ; 10.
îmicale laïque Saint-Georges, à Nancy ; 17.
c piété de tir du 41° territorial, à Nancy ;
|? Société d'instruction populaire et de préSration militaire d'Essey-les-Nancy ; 19. SoPKÎ de tir de Saint-Phlin ;
9ft Amicale de Saint-Julien ; 21. Société de
rsminastique et de Préparation militaire de
SrbévilJer ; 22. Société mixte de Mussy-suroe;'riD • 23. Société de Préparation militaire
P îarvllle; 24. Société de tir de Maizéville ;
¥ Société Bélénienne, à Blénod ; 20. So- '
de tir de BlaluvIlle-sur-l'Eau ; 27. AmiSp de tir du Nouveau-Nancy ; 28. La SentiMie de Maizièros-la-Grande-Paroisse ; 29.
cS-iété de tir de Pont-Saint-Vincent ;
Q(I
La Fraternelle de Dommartin-le-Fra"nc ;
« Société de tir d'Ervy ; 32. La Patriote de
•rmvcs ■ 33- Société de Gymnastique de Neu«Maisons ; 34. Société de Gymnastique SolV
v.-"d« Dombasle ; 35. La Touloise, de Toul ;
2 «ociété civile de tir de Troyes ; 37. Société
ài tir mixte de Lunéville ; 38. Amicale de tir
IP st Germain ; 39. L'Eclair, do Dommartin ;
1
iii Amicale de Bomilly-sur-Seine ; 41. Ami•ale laïque li i d ion-Sain t-Sébastlen, à Nancy :
'S Espérance
Champcourt ; 43. L'Avantrirdè de MHlery ; «4. Société de tir de Bacîarat ' 45- Société de tir de Blâmont-Cirey ;
S j a' irraternelle de Landreville ; 47. L'Alliance de Sainte-Savinej 48. Amicale laïque ce
Bèudonville-Nancy ; 49. L'Avenir de Saint-Benoit-sur-Seine ;
r,û Amicale laïque de Custines ; 51. La Carabine Nancôiemie, Nancy ; 52. Société'de tir
mivte do Charmes ; 53. Société de tir mixte
lé Toul ; 54. Amicale laïque des Grands-Moulins à Nancy ; 55. La Carabine de Laneuvilié à Bavard ; 50. La Vedette d'Uruffe. ; 57.
Les Francs-Tireurs de la Moselle, à Liverdun;
$ Les Tirailleurs de-t'uinoy ; 59. L'Avant* .
garde de Domgermain ;
60 Société de tir de. St-Nicolas ;' 61. La
patriote de Bainvilie-aùx-Miroirs ; 62. Union
Patriotique de Martigny-les-Bains ; 63. Soeiété de tir de Réméréville ; Amicale laïque
de Jézainville ; Gi. La Trouannaise.de Trouanle-Grand ; 65. Fédération des Sociétés de tir
rie l'Aube à Troyes ; 00. Société de tir de
Moncel-sur-Scille ; 07. Le Réveil, de Troyes ;
68 L'Extrême-Pointe de Bouxiôres-aux-Chênk ■ 09 Amicale laïque de Chanteheux ;
m'Gi'oup" Drouot, à Nancv ; 71. Société de
H-de Vando-uvre ; 72. La Cible Lorraine d'Ermnvs ■ 73 patronage laïque Jean Macé, a
Tmves •Vi." Réveil de Bienville ; 75. AmiMip liïâuo d-> Sorn'éville ; 70. Patronages lai*
mes de Troues ■ 77 Société de tir d'Arracourt • 78. La Fraternelle de Dosches ;. 79. ,
Société'de tir d'Estissac ;
80 L'Avenir d'Aulnois ; 81. Le Réveil de Mannnville • 82 L'Amicale Ory et Saint-Nicolas,
iKancv •' 83 L'Avenir Troyen ; 84. L'Union de
Pont Sainte-Marie ; 85. La Jeunesse Lorraine
LaneuveviUMse, à Laneuveville-devant-Nancy;
■86. Amicale laïque de Laj-Saint-Chriit-phe.
TIR
T
c
fj&
g g"
, • A 5'Association générale des employés
:
M Albert Lebrun, ministre des colonies,
*o*pùtê et président du Conseil général do
éiourthe-et-Mo&elle, a bien voulu se faire
^inscrire comme membre honoraire.
Gejle marque d'intérêt a été très appréciée par les membres de l'A/ G., qui expriment à M. Lebrun toute loin' gratitude
io'.iir sa haute et bienveillante sollicitude
ià l'égard des employés de Meurthe-et-Mo■ stM».DCO FF R ES-FORTS BAUCHE
«sttsciiou supérieur?, 17, rue tf Amenai, NANCY.
Arrestation
Mercredi matin, la police de Nancy a
arrêté Madeleine Schmitt, âgée de 29 ans,
cuisinière, demeurant en gaitai rue de
Mciz, 42, recherchée en vertu d'un mandat d'arrêt du parquet de Saint-Dié pour
escroqueries.
. ,.
—-—
Concours de iir de la Cure d'Air
du t5 septembre
Voici les noms des lauréats :
Carabine (messieurs). — 1" prix, Brice,
40 francs ; 2e prix, Demangon, 20 francs ;
3* prix, Marchand,10 francs ; 46 pr.ix,bourg«ois,un lot.— Plus 40 prix de consolation.
Carabine (dames). — 1er prix, Mme Brice ; 2° prix, Mme Gceury.
Pisto'et (messieurs). — V prix, M. Mar
nier ; 2" prix, M. Goindreau.
Tentative de cambriolage
Perdant la nuit de mardi à mercredi, des
cambrioleurs se sont introduits dans les
■féaux des Docks de la construction, rue
du Tapis-Vert,
Ils ont fracturé le tiroir-caisse, mais rien
Ca été dérobé, car le comptable avait
l'argent dans le coffre-fort.
M. Iverlet, commissaire de police, a ouVei
't une enquête.
Fugue
Lo jeune Charles Apparu, âgé de 13 ans-,
Ipi s'était évadé mercredi matin de l'aPe des orphelins de Lunéville, a été arW dans la soirée,
place de la Cathé-■
drale.
Jeudi matin, il a été dirigé sur Lunéville.
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Siaude matinée à 2 heures 1/2. ■
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i Mnte si^s.iment d'infanterie et au parcC
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MEURTHE^rMOSELLE
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Qusstionsjd^actualltô
Pour les pêûhûiirs
U y a quelque temps, un de nos confrères publiait uao lettre par laquelle un fervent do la gaule so plaignait, avec raison
ARRONDISSEMENT DE NANCY
et amertume, de certaines usines qui dé- clarètcut qu'il pourrait bien en moniii'.
Aujourd'hui, nous aftpïenêns que le bhsversent dans les rivières des eaux contaLAITRE-SOUS-AMANCE
sô est hors de danger. Dans ces coud i lions,
TREMBLECOURT minées. Il concluait ainsi :
Dorne3tique voleur. — Emile Collot était
Le feu. — Un incendie s'est déclaré dans
à
<c Que fait donc l'administration fores- Taffaire sera renvoyée devant lo tribunal
domestique chez M. Vuimenot, Initier ; il c
pprofita qu'il était seul à la maison, et frac- Bune chambre do la maieore d'habitation de tièro chargée de faire appliquer les règle- correctionnel. Elle viendra u une prochaiMme veuvo Ravaino, âgée do 79 ans, pen- ments ? Il semble qu'elle tourne dans un ne audience.
tura une anao'ire dans laquelle il déroba c
Pas de résultat. — L'inimmalk-n. ouverte
que celle-ci était à la messe. Le mobi- cercle vicieux en alimentant d'alevins nos
uno somme die 40 fr. La gendarmerie de dant
1
lier contenu dano cette chambre a été dé- cours d'eau et en facilitant leur destruc- sur la disparition d'un pli contenant 3.000
Nancv a arrêté Collot.
t
francs envoyé par le bureau de poste de
truit, ainsi quo de la paille dans le greSAINT-NIC0LA3 rnier au-dessus. Dégâts : 1.200 fr. assurés. tion en tolérant la contamination des Nancy, n'a pas donné de résid ât.
A propos d'un vol
eaux.
»
Groupe Blandan. — On mous prie d'inMalgré les minutieuses investigations
s
Rien de plus juste. Il est inutile de jeter
sérer
: K Par suite des fêtes qui doivent é Mme Aubriot, fille de Mme Ravaine, a I
Nancy, lo 17 septembre 1912.
auxquelles se livrèrent les agent*, de la briété
assez
gravement
brûlée
au
visage,
en
a
à
l'eau
de
pauvres
petits
poisisions
qui
ne
Monsieur le rédacteur,
avoir
'
lieu à Nancy les 22 et 23 courant, à f
gade mobile, il n'a pas été possibïe de dé, Je vous serais très reconaissant do vou- ;l'occasion de la visite du grand-duc Nico- cparticipant à l'extinction de l'incendie,
demandent qu'à devenir grands, si c'est
couvrir dans quelles circonstances le pli
1
de Russie, la sortie qui devait avoir dont les causes paraissent accidentelles.
pour les laisser empoiaonner par les eaux fut soustrait.
loir
bien publier cette petite rectification las
;
£ sujet des aveux que mon fils a faits au *lieu le dimanche 22, au monument de Bosrésidua.ires do certaines usines qui so souau
Une personne fortement soupçonnée d'ês
ARRONDISSEMENT DE DRIEY
cient peu des règlements concernant le désujet
du vol de mandata au préjudice des ?serville, est remise à une date ultéi
tre l'auteur du vol n'a cessé de protester de
rieure. »
versement
dea
eaux
industrielles
dans
les
Imprimeries-Réuniea
C'est
à
sa
mère
nue
AUCOUi
i
son innocence et aucune charge sérieuse
Un mauvais f ils. — Alfred Révolte, 36 fi Enfant viordu. — M. Gustave Lavallée. rivières.
Emile
Devel a fait les aveux et moi son
_
n'a pu être relevée contre elle.
1
1
Un pisciculteur, M. Paul Marie, maire
cités de Sainte-Marie, se troudemjarant à Nancy, était venu à manœuvre,
père,
jo suis allé immédiatement avertir fans,
Le coupable doit commencer à respirer.
c
dans son jardin, situé non loin de de Longuyon, joignit sa voix à celle du
j
ces messieurs et je les ai remboursés, car Saint-Nicolas, chez sa grand'mère, Mme vant
Aux assises de Forti.— Dans la soirée du
premier
plaignant.
D'une
lettre
qu'il
adresl'Orne,
avec
son
petit
garçon,
Sylvain
La]j'avais la promesse
veuve
Pernard,
propriétaire,
rue
du
Four.
formelle qu'aucune j
14 novembre 1911, à Hussigny, le .sieur Aujplainte no serait portée.
13 ans, envoya celui-ci chercher des sa à notre confrère, nous extrayons ce, qui réllo Giacchino tuait d'un coup de revol13, peur lui demander de l'argent. Mrno vallée,
,,
Pernard ref j'sà, d'autant plus que Révolte roseaux dont il avait besoin pour lier des suit :
Avec mes remerciements, î-ecevez, etc.
A
ver son compatriote Rossi et prenait la fuiJeudi et vendredi dernier, j'ai fait dres- te.
était
ivre et qu'elle savait à quel funeste salades.
E. DEVEL, rue de Tomblalne, 53,
,
ser
par
le
sergent
de
ville
de
Longuyon
Nancy.
,usage l'argent était réservé. Révolte entr i i Pour arriver au bord de l'eau, l'enfant
Pendant longtemps le meurtrier resta
devait traverser un champ dans lequel se deux procès-verbaux contre inconnus, pour introuvable, puis, un beau jour, on l'arrêta
—
—-^-^
.
jdans ure \'iDlenie colère et se mit en de
meure de faire un scandale infernal dans *trouvait la nièce du débitant Pasquale Dal- coloration anormale de « La Crosnes ». En en Italie, ainsi que nous l'avons annonoutre, j'ai porté plainte entre les mains de ce.
Santo, qui ienait en laisse un gros chien.
, .
1le quirtier, menaçant sa grand'mère.
Des voisins coururent prévenir l'agent
procureur de la République, à Briey.
L'animal, ayant vu passer un chat, ar- M.
Sujet italien, arrêté dans la péninsule,
Maret,qui dut entrer en lutte ouverte avec racha'la laisse des mains de la jeune tille Quelques heures pins tard, une dépêche Giacchino ne pouvait être extradé pour ce
Du 18j3eptembre
ile
pochard. Ce n'est que grâce au con
'
mais
au lieu do sauter sur le minet il se officielle de la sous-préfecturo m'informait crime.
d'un homme de bonne volonté que Jjeta sur Sylvain La vallée, qu'il mordit que M- le procureur faisait constater le
Naissances
Jcours
Les'résultats dé l'information ouverte par
1
c
délit.
( Joséphine-Emilienne-Henrietto Lemoy, rue le forcené put être déposé au violon, où la cruellement à la cuisse gauche.
M. le juge d'instruction Gérard ont donc
de la Charité, 10 bis. — Andrée-Jeanne Vin- Ipaille rafraîchissante calma ses nerfs.
Le débitant Dal-Santo, mis au courant
Malheureusement,
en
admettant
'
qu'il
été transmis aux magistrats italiens.
t
cent,
rue GuilberUie-Pixérécourt, 15. — PierRévolte a été remis en liberté le lende- \des exploits de son chien, a déclaré qu'il soit donné suite à ma plainte, le contreveGiacchino devra répondre du meurtre de
r
?
tre-Léon Tallone, rue Saint-Georges, 77. — Es- Imain matin, gratifié d'un procès-verbal.
était
prêt à indemniser M. Lavallée du pré- nant sera condamné à une amende de Rossi devant les assises de Forli en notelle-Rose Rochel, chemin des Sables. — Irq
u
el
q
u
es
f
r
anes...
que lui cause la morsure de son fils.
vembre prochain.
ma
Rcbecchi, avenue de la Garenne, 77. — - Scènes de fasui'le. — Félix Sonrier, 58 judice
iT
ans, ouvrier d'usine à Saint-Nicolas, rue
Vioiences. — Il était huit heures du ma
Ce n'est paa suffisant ! Les usiniers de
jErnile-Améclée-Renc Adrian, rue de la Salle, cdu Haut-de-Tibly, s'étant pris de querelle tin
.
quand Gaston Henry, 15 ans, quitta le « La Crusnes » et de « La Chiers », en rai28.— Maurice-Paul Florentin, rue de Mon-Dé- ,
6
sert,
99.
;avec sa femme, lui asséna un coup de logement qu'occupent ses parents," rue de son de la modicité de l'amende, continueUne odieuse tentative vient de mettre
Décès
bouteille sur la tête, puis il se mit à lui Coînville, poussant devant lui une brouet- ront commo par le passé.
Néant.
.
c
débiter
des injures. Il commit l'impru- te
' sur laquelle se trouvaient deux litres de
Pourtant, 11 y a près de 20 ans, mon en émoi le paisible village de Fjllières.
Une jeune fille de cette localité, âgée do
dence de sortir de chez lui et, une fois vin destinés au déjeuner des penslinnai- père, le docteur Marie, qui était conseiller
i
dehors, de continuer à débiter son réper- !res de la maison, occupés à arracher des d'arrondissement, avait protesté contre le 23 ans, gardait ses vaches dans un champ
J
de terre non loin die là.
toire. 11 fit bénéficier do cette avalanche pommes
I
sans-gêne d'industriels peu consciencieux a quelques centaines de mètres de la locaI
de gros mots ses filles et leurs amoureux,
Devant la maison Léonard, le jeune hom- qui, au risque d'empoisonner le poisson, lité, quand elle fut abordée par un individu
r
cqu'il qualifia du nom de certain poisson
me
croisa les sieurs Charles Qualin, 18 ans,
déversaient des matières nuisibles dans qui lui fit bientôt des propositions qu'elle
AViS MORTUAIRE
1
de mer. L'un d'eux, Auguste Marenne, 24 machiniste
; Emile Dauden, 19 ans, accro- ics rivières » La Crusnca » et « La repoussa avec indignation.
c
La persuasion ne réussissant pas, l'homouvrier d'usine, qui habite la mai- cheur
; Mohammed Benzaghi, 20 ans, ma- Chiers ».
Les personnes qui par erreur ou omis- ans,
,
r
!
A cette époque, radniinistra.tion préfec- me décida d'employer la force. Il se jeta
sion
n'auraient pas reçu de lettre de fai- ,son voisine, entendit les qualificatifs mal- nœuvré.
sonnants. Il sortit et administra .à son fuL'un d'eux prit un des litres transportés torale s'émut ; les industriels furent mis sur la jeune fille, là terrassa et tenta de se
:
re
part du décès de
tur beau-père une correction que eeiui-ci fpar Gaston Henry et fit le simulacre de le on demeure de construire des fosses d'épu- livrer sur elle à des actes tort répréhensibliès,;
"'
'"'
;
■n'oubliera
pas facilement.
....
porter-à ses lèvres. L'enfant ayam. poussé ration.
Mais il avait affaire à forte partie. La
Battu comme plâtre et pas content, .Son- 1les 'houts cris, on lui rendit son litre et il
Depuis.:.,
de
longs
jours
se
sont
écouMéa AdèJe GRANDJEAN
]
c
victime résista vigoureusement, malgré lee
sa route.
rier
est allé porter plainte à la gendarme- continua
lés. Les fosses existent toujours, mais elles coups
que lui portait le satyre.
décôdée ~à Pont-Saint-Vimcent,
i
rie,
qui a procédé à l'enquête d'usage et
Un peu 'pTtfs loin, les trois camarades le doivent être en bien mauvais état car nos
le 18 septembre 1912, dans sa 64° année, a
; dressé procès-verbal.
Elle lutta ainsi pendant près d'une derejoignirent.
L'un
le
saisit
à
bras-le-corps,
rivières
passent
encore
par
toutes
les
cou■
•munie
des Sacrements de l'Eglise, sont
DOMBASLE l'autre
I
lui frappa sur les fesses et le troi- leurs de Tarc-en-ciel et le -poisson dispa- mi-heure contre l'homme, dont la rage alpriées
de vouloir bien excuser la famille
lait croissant. Malgré sa vaillance, la jeune
Contributions indirectes. — M.
Henri sième le bouscula. Il tomba dans le fossé raît de plus en plus... ..
;
:
et do considérer te présent avis comme Lacroix,
î
fille allait peut-être succomber, quand une
receveur ambulant des contribu- et
se blessa au -bras.
Que dit l'administration des eaux et fodébitante do Joppécourt vint à passer à 11une invitation' à assister aux convoi fu- tions
j
indirectes - à Dombasle, vient d'être
dêts ? Rien ou pas grand'chose ! Comme
nôbre, service et enteTTcment, qui auront 1nommé receveur sédentaire à Fromtignau
SAIMT-A3L toute administration, à l'esprit de routine, cyclette.
Se rendant aussitôt compte de ce qui ce
lieu vendredi 20 courant, à 10 heures 1/4,
I(Hérault), son pays d'origine.
. Voleurs surpris. — Constatant que les elle achète encore, chaque année, des ale■
passait, cette brave femme'sauta à bas de,
garnissant les arbres qu'il possède
en
l'église de Pont-Saint-Vincent, et de là
M. Lacroix est président de l'Association poires
!
vins de truites, les abandonne au fil de
au cimetière où &e fera l'inhumation.
1fraternelle et vice-président de l'Union des ^dans un camp situé au Gué disparaissaient l'eau et la pauvre petite truite « se dé- sa machine en criant : « Attendez que je
prenne mon révolver » et elle fouilla" dans
de vulgaires muscades entre les brouillo » comme ello peut.
Maison mortuaire :
employés
j
des contributions indirectes de comme
.
sa sacoche.
Meurthe-et-Moselle.
(doigis d'un émule de Robert Houdin, M.
Rue Nationale, à Pont-Saint-Vincent.
Il est bien certain que le métier de noisL'individu prit peur et s'enfuit en préféGeorges
Génv, cultivateur, décida d'exercer
,
son
est
peu
enviable
dans
les
rivières
de
Do la part die Mf. Eugène GANTENEUR . Nos félicitations à M. Lacroix pour son une
active surveillance de ce côté.
rant des menaces à l'adresse des deux femnotre
arrondissement.
Les
braconniers
et des familles CANTENEUR, NAJEAN et 'ava.ncn.ent mérité.
mes.
VARANGE VILLE , Il s'embusqua un soir dans un coin de
d'eau deviennent de jour en jour plus
,BAUGE.
La débitante aida la jeune fille à regaVol d'une fcioyoiette. — La gendarmerie son champ.
nombreux
;
ils
pèchent
à
la
chaux,
à
la
gner Fillières.
poursuivant
ses investigations au sujet du ; L'attente ne fut pas longue. Ve.:s huit dynamite, avec des engins prohibés'.
REMEfiCIÉMENTiB
>
Cette tentative de viol commise à dix he>r.
M. Génv vit arriver deux individus
vol de la bicyclette de M. Steinlœcher, do heures,
,
Par-dessus le marché, certaines usines res du matin, non loin d'un chemin frél'un porteur d'un sac qui se dirigè.
, Madame Michel SAUR, née GEORGE, et |Dombasle, et"que nous avons relaté, a re- dont
sans la moindre hésitation vers ses déversent dans les rivières des eaux brû- quenté dénote une rare audace de la part
cette machine chez M.. Wettmann, rent
j
les familles SAUR, MACHER, GEORGE trouvé
[
lantes ou chargées de matières nocives de son auteur.
:
café du Cheval-Blanc, à Saint-Nicolas. (poiriers. Un monta sur un arbre, l'autre se pour le poisson, cela en dépit d'arrêtés
et SI BILLE remercient bien sincèrement au
les. personnes qui leur ont témoigné de la
M. Wettmainn .ayant trouvé cette machi- coucha dessous et la cueillette commença. préfectoraux dont l'application reste trop
sympathie à l'occasion du décès de
ne contre le mur de son débit, l'avait ren- , M. Côny alla chercher son beau-père et souvent lettre monte, i
PtENfiC
tréo chez lui.
json beay-îrère qui revinrent avec lui.<t Que
Il arrive ce qui devait arriver,, c'est-àArrêté municipal. — Le maire de Pienfaites-vous là ? » crièrent-ils aux amateurs
M. Steinlcecher estime que son voleur a dé
dire
que
nos
cours
d'eau
se
dépeuplent.
ne
vient
do.
prendre
l'arrêté
suivant>:
:
fruits.
Jadis l'Orne, la Crusnes, la Chiers. le
Article premier. — Est formellement inRetraité de la Compagnie des Chemins de été volé. En effet, il avait enlevé un écrou
Au lieu de répondre, ceux-ci s'enfuirent.
à
sa
bicyclette,
ce
qui
la-,
rendait
momen.
Woigot, etc., étaient des rivières poisson- terdit, sur tout le territoire de la commune
fer Oc l'Est,
■'
i
Les
gendarmes
de
Batilly,
mis
au
coutanément impropre à la circulation. • Le ,
■*-prr*"r-M.-**■••—*•■*' .v^^i.^^ Y..^^
*w^;~ -^**-.*.*a»
neuses. Aujourd'hui, le poisson devient le stationnement sur la voie et les terrains
voleur ignorant cette-particularité, a con- |,rant des faits, se livrèrent 'à des recher- d'une rareté - qui décourage tous les pê- communaux, des ^omanicheis, bohémiens,
REMERCIEMENTS
.t
ches
r
j
i
;
i
amenèrent
la
découverte
des,
vo.sidéré la bicyclette comme Ivora d'usage j
cheurs..
camps-volants ou autres individus nomades
,nc "
i
. et
l'a abandoimée.
. .
jient», >qui 'saut : Auguste Becker, 39 ans,
Pour peu que cela continué, on considé- sans profession avouée, ainsi que dès.voitumineur,
en
pension
enez
M.
Long,
et
ThéoMadame veuve■ Emile BALLAND ; MadaVùl de raisins. — Un vol d'eiivivon 30 ,
rera comme uni véritable phénomène" Te, res servant à ceux-ci de logement. '
"
mineur à Saint-e-Mame E. BALLAND et les familles BAL- kilogiarnnies
:
de raisins frais a été commis ,dore Stendel, 41 ans, ...
chevalier de la gaule qui réussira à prenLedit arrêté spécifie ensuite que ;
LAND, THORE.LLE, VALLET, GUYOT et à
, la garé de Varangèville, au préjudice de rie-aux-Chênes.
dre
une
frituro
en
8
jours.
<c Tous ceux d'entre eux qui exercent une
GODOT remercient hien sincèrement les
M. Eiséh, marchand de vins en gros.
- Avec' une bonne grâce charmante, ils ont
Pour lutter contre une- situation, ne pou- profession régulière tout en voyageant dans
avoué.
personnes qui leur ont témoigné de la symUne enquête est ouverteLa gendarmerie a dressé procès-verba! vant s'o prolonger sans danger, voici ce des voitures leur servant de logement sepathie à l'occasion du décès de
' LUPCOURT .des laits.
que préconisait M. Marie :
ront tenus de se procurer une permission,
Coups-de revolver. — La gendarmerie
« A Longuyon, écrit-il, je vais essayer de l'autorité municipale pour faire stationde Saint-Nicolas vient de venir faire une
LANDRE.S de former un syndicat de pêcheurs et' de ner leurs voitures sur la voie publique; »
Constructeur à Jarville
enquête à Lupcourt, sur la plainte de M.
Il ajoute que :
Menaces. — Au café de la Poste, le ma- propriétaires. Lorsque le tribunal condam!
Ingénieur des arts cl métiers
Simon Maxime, 24 ana, journalier, contre nœuvre Zulioli Christophe flanqua un coup nera les Industriels à un franc d'amende,
« Les voitures autorisées à stationner,
1
Secrétaire du Groupe de Meurthe-etHumbert Mathilde, 30 ans, journalière, de- de poing à la jeune Wagner Marie, 15 ans, nous nous porterons partie civile et le tri- exceptionnellement, soit de jour, soit de!
mourant tous deux à Lupcourt.
Moselle
servante, qui lui avait dit qu'il portait des bunal, en toute justice, voudra bien re- nuit, sur la voie publique, ne pourront le
1
,
Simon accuse Mathilde Humbert d'avoir, chaussures
non payées.
connaître nos droits. »
faire que sur le vieux chemin de Picnle 10 décembre dernier, alors qu'il était
Il menaça également la patronne du caL'idée est bonne, sa réalisation a donné ne ».
Objets trouvés
dans un champ situé a ulieu dit « Thil- fé, après l'avoir copieusement insultée ; d'excellents résultats en diverses contrées
Vengeance. — Le mineur Bresolin GiaUne broche, par M. Esche.Uilohr, rue de aux-Bois », tiré sur lui deux coups de re- le patron étant arrivé dans les entrefaites,
de la France, notamment dans l'arrondis- como, 37 ans, avait congédié son amie Sa1le mit dehors.
la Hache, 45.
volver sainis l'atteindresement de Lunéville, à Baccarat, et dans viner Jeanne, qu'il avait prestement « remles Vosges.
placée ».
Mlle Humbert riposte en disant que c'est
Un porte-monnaie on cuir vert, .conteSimon qui a tiré sur elle deux coups de
BEUV1LLER3
nant 7 fr. et une pièce étrangère, par M.
Pour se venger, la délaissée brisa deux
Nous souhaitons que M- Marie réussisse
.Charles .Mangin, place du Marché, 1.
Touchante manifestation. — Dimanche à constituer un syndica* puissant, capable carreaux dans le logement de son « an•revolver, le même jour et au même lieu,
dernier,
une
touchante
manifestation
cb
de défendre les droits des pêcheurs et nous cien »...
Une breloque formant album (vue de parce qu'elle lui réclamait de l'argent.
Malheureusemcint, aucun témoin n'a vu sympathie réunissait à la salle de la mai- espérons qu'il trouvera dea imitateurs
Ce n'est pas ça qui va la faire rentrer en
Lourdes), par M. He-rr, employé chez M.
rie
les
habitants
de
la
commune
pour
ofgrâce.
dans l'arrondissement.
mi entendu le.') coups de feu, et aucun des
Ippensen, rue Saint-Dizie.r.
La pêche est un divertissement démocraUn archet, de violon, par le jeune Hen- antagonistes ne paraît posséder d'armes frir à M. Dieudonné, instituteur, au mo9 •»
——
ment de sa mise à la retraite, un souve- tique et moralisateur par excellence. Il
nequln, cité Ancel (prairie de Toinbiaine). de cette nature.
Si la gendarmerie n'a pu établir la vé- nir, en raison de ses longs et excellents importe que les hôtes de nos cours d'eau
Une broche argent représentant une credans la localité comme institu- Soient protégés.
■v.Atte, par le jeune Croné, rue de Stras- rité sur ces mystérieux coups de feu, elle services
teur
a du moins établi les faits suivants qui
bourg, 34.
Il n'est peut-être pas trop tard, mais il
ARRONDISSEMENT DE MONIMcDY
Entouré du conseil municipal, M. Mah- est grand temps de veiller à la conservasont d'une douloureuse éloquence et qui
ler, maire, se faisant l'interprète de la tion du poisson si on ne veut pas que les
plaident mal en faveur de Simon.
BOULIGMY
Ce dernier a depuis longtemps des rela- population tout entière, exprima les re- pêcheurs abandonnent les bords de la riLa fanfare municipale. — On nous
tions avec Mlle Humbert. Les dieux amants grets profonds que cause à tous le départ vière pour des distractions moins ^offen- écrit :
ont. eu cinq enfants. Simon avait toujours du maître dévoué qui durant vingt-huit sives.
« Nous sommes heureux de constater que
CKAMPIGNEULLES promis do se marier à sa rentrée du régi- années dirigea avec zèle l'école commula fanfare municipale progresse de plus en
L.
D.
plus.
Renversé par une automobile. — Mardi, ment. Mais c'était une rude charge qu'une nale.
Il rendit un hommage mérité à toute
■
■» o-»
—
vers quatre heures de l'après-midi, M. telle nichée à nourrir. Simon n'eut pas le
Ces heureux résultats sont dus aux efWackermann, âgé do 61 ans, adjudant de coumgo de faire son devoir et renia et son une vie de dignité et ci? travail et, au nom
forts du chef et du dévoué président, M.
Garrouste, [pharmacien. Aussi, sommesgendarmerie en retraite, demeurant ruei sang et ses promesses. Dès lors, ce fut la du conseil municipal, remercia en M.
nous en droit d'espérer que notre société
Lavocat, à Champigneuiles, se promenait, guerre et Simon fut en butte aux incassan- Dieudonaé le collaborateur précieux de
L'agression contre les gendarmes de sera prochainement, avec la bonne volonsur la. route do Nancy, devant l'anciennei tes réclamations et menaces de l'abandon> cette assemblée, en même temps que le
bergerie, lorsque arriva une automobile; nco qui déclare à qui veut l'entendre qu'el- bon citoyen, le parfait républicain qu'est Jœuj. — Les lecteurs de ce journal n'ont té des exécutants, en mesure de rivaliser
allant à une allure modérée Le conduc- le se vengera. Elle avait déjà intenté une — non seulement aujourd'hui — mais qu'a pas oublié la sauvage agression dont le bri- avec d'autres plus anciennes.
gadier Régnier et le gendarme Marchai, de
Qu'il nous soit permis en passant de reteur fit marcher son appareil avertisseur. action devant le tribunal civil, elle fut dé- toujours été M. Dieudoi.né.
Présentant ensuite le souvenir offert, la brigade de Jœuf, furent victimes dans mercier M. Garrouste, qui ne ménage ni
M. Wackermann se détourna, mais pasi boutée, ce qui a encore augmenté sa cola
soirée
du
8
janvier.
par souscription entre tous les habitants
son temps ni son argent pour le succès de
asnez vite, car l'aile de la voiture l'attei-■ 1ère.
Une bande de braillards, invités à se tai- la société.
gnit et le reaversa sur la chaussée.
A Lupcourt, si un dénouement tragique et à laquelle notre éminent compatriote re, se jeièrent sur les deux agents de l'auAux mines de la commune de Bouligny
Le conducteur bloqua ses freins, la voi-• vient solutionner cette pénible situation, M. Lebrun ministre des colonies, délégué
cantonal pour l'école de F.euvillers, a tenu torité et les iardèrent à coups de couteau. nous exprimons toute notre gratitude pouir
ture ne put être arrêtée à temps et la rouei il ne surprendra personne.
à participer, il termina en souhaitant à Grâce à leur courage, à leur énergie, MM. leurs généreuses oboles. »
passa sur M. Wackermanni.
ARRONDISSEMENT DE TOUL
M. Dieudonné de trouver dans sa nouvel- Régmer et Marchai restèrent maîtres du
L'automobiliste releva le blessé, le transBÎCQUSLEY le résidence toute la tranquillité qu'il mé- terrain, mais ils étaient gravement blessés.
porta à son domicile, puis fit appeler M.
Line infoi-mation longue et minutieuse fut
Vioiences- — M- Poirson Victorin, ma- rite, ainsi que toute sa famille, à laquelle
le docteur Frank, qui constata que l'an-1
il adresse également ses plus sincères ouverte sur cette affaire par M. Schwartz,
cien militaire avait la jambe gauche frac-. nœuvre, a porté plainte à la gendarmerie vœux de bonheur.
jug-o d'instruction. Doux des coupables, Ancontre Dogeorges Jules, 21 ans, ouvrier
turée et des contusions a la tête.
M. Die idonné, très ému, remercia de gelo Suriatti et Boccaccini furent arrêtés
carrier, pour violences ; Degeorges, qui est
Sooiété de tir et de P. M. (S. A. G. 659).
la marque de profonde estime dont il est le lendemain du drame. Un troisième, Ar— Dimanche 22 septembre, de 8 heures at reçu chez M. Poirson, prolongeant sa yi- l'objet ; il en gardera toujours, dit-il, le changelo, fut arrêté en Alsace-Lorraine
Les jurés
la nuit, au stand de la société, rue de, site jusqu'à une heure indue (minuit), souvenir reconnaissant. Il dit que durant et extradé. Un quatrième Italien avait été
Bediefontaine, première séance des exer-'. ayant été invité à se retirer, tomba à coups sa longue carrière d'instituteur il fut tou- arrêté, mais il bénéficia d'une ordonnance
Voici la liste des jurés de la session des
dé poing sur M. Poirson. La gendarmerie
assises qui s'ouvrira lundi 23 septembre
cices et concours d'automne.
jours guidé par l'amour du devoir, aussi de non-lieu.
Tous les t'-ii'S peuvent être exécutés enj a ouvert uno enquête.
Enfin, quatre autres agresseurs des gen- prochain, à deux heures de l'après-midi :
bien dans les quelques postes qu'il occupa
MM. Paul-Marie-Auguste Crouzier,quinune séance. A toutes les catégories, les
qu'à Beuvillers, mais s'il est resté si long- darmes de Jœuf, les sieurs Lori, PierinaV
ARRONDISSEMENT DE LUNÉVILLE
caillier à Raon-l'Etape ; Auguste Mise,
munitions sont gratuites. En raison de la
\
LUNEVILLE temps dans cette dernière localité c'est tei, Fabzetti, Piccioni, furent arrêtés en rentier à Epinal ; Nicolas-Isidore Remy,
revue passée en l'hcnneur du grand-duc
Pôshe prohibé*. — La gendarmerie de paace qu'il y a rencontré de la part de la Italie, à la demande du parquet de Briey.
cultivateur à Gérarclmer ; Charles PrixNicolas de Russie, la séance du lundi 23î
population et des municipalités qui se
Après de multiples cinfrontations et de
est reportée au dimanche 20 octobre pro- Blainville a dressé procès-verbal contre M. sont succédé depuis son arrivée beau- nombreuses auditions de témoins, car na- Remy, cultivateur à Basse-sur-le-Rupt ;
Canavy, buraliste, place Saint-Jacques,
chau
coup de sympathie, car, à plusieurs re- turellement, tous les prévenus nient com- Paul-Jean-Baptiste Lalevée, taillandier à
|'
FROUAROj pour pêche avec engin prohibé dans la
prises,
des postes plus importants lui fu- me de beaux diables, M. Schwartz vient de Gérardmer ; Aristide-Marie-Joseph Humbertclaude, négociant à Tendon ; ConsLes îjoebarda. — Un pochard, bien çon-. Meurt ho.
rent offsrts en avancement. Néanmoins, clore son informa lion.
tant-Victor Fondrevelle, cultivateur à Hanu des cafetiers de la ville, ayant feté la
AVRÎOOURT et sans qu'il n'ait sollicité aucunement, il
Les trois malandrins écroués à la mai- digny ; Jules-Joseph Thiéry, cultivateur
bouteille plus que de raison, se décida enIvrogne peu commode. — Théodore Pois- fut élevé sur place à la première classe.
son d'arrêt de Briey passeront devant la au Val-d'Ajol ; Marie-Joseph-Eugène Pafin à regagner son logis.
son, 31 ans, bien connu à Lunéville, vient
H rapporta l'émotion qu'il éprouva cour d'assises à la prochaine session.
tenotte, ouvrier vigneron à Vauhexy ;
Il lui fa'lut passer sur une passerelles de 'faire une véritable récolte de procès- quand pour la dernière fois il ouvrit sa
■Ceux arrêtés en Italie seront jugés par Jean-Baptiste-Lucien Vincent, boucher à
jetée sur un fossé, très profond, et remplii verbaux.
classe dans cette salle d'école où il vit les tribunaux italiens, d'après le dossier Saint-Dié ; Louis-Alphonse PeiTitt, direcd'une eau excessivement sale. Comme sai
Au café Lœffler, où il s'était présenté en s'asseoir sur les mêmes bancs les parents constitué par le magistrat instructeur, dont
fête était de beaucoup plus lourde que sess état d'ivresse, le patron lui refusa à boire, de ses élèves d'aujourd'hui, dont presque copie a été adressée aux magistrats du teur d'usine à Fresse ; Constant Miclot,
marchand de vins au Tholy ; Marie-Adrien
pieds ceux-ci furent emportés par ceUe-iai
royaume voisin.
Poisson provoqua un consommateur voi- tous sont là autour de lui.
Gremillet, cultivateur à Lamarche ; Paulet il s'alongea de tout son long dans le li-- ata et se battit avec lui.
Des jeunes filles présentèrent ensuite
Semser est toujours à l'hôpital, — Le jeu- Louis Hanus, bijoutier à Charmes ; Nicoquide Des passants avaient bien vu taProcès-verbal fût dressé contre lui par un superbe bouquet à Mme Dieudonné, no Semser, de Thil, blessé d'un coup de las-Louis Mathieu, facteur retraité à Deyventure, mais avant pu arriver à tirer 11-" la gendarmerie qui était intervenue,
puis tous les assistants, émus et touchés couteau par le nommé Palombi, est tou- villers ; Charles-Joseph Bachler, mécanivrosme de sa fâcheuse position, le bainî
Interpellé par les gendarmes Davasso et jusqu'aux larmes, leur serrèrent affectueu- jours à l'hôpital de Longwy, où il avait dû
avait été archi complet. Enfin, non sanss Dcpaix, qui le recherchaient en vertu d'un sement les nains, emportant de cette jour- être transporté quelques semaine après cien à Epinal ; Charles-Paul Fave, cultivateur à Etival ; Laurent-Elie Babel, propeine on le sortit de là et tant bien quee extrait de jugement, Poisson les traita née un impérissable souvenir.
avoir été frappé.
priétaire au Val-d'Ajol ; Emile Peureux,
mal il gagna la route nationale. Oh ! danss d'assassins, de vaches et de salauds.
Son état s'est un peu amélioré, mais il rentier au Thillot ; Charles Cordonnier,
GORCV n'est pas encore hors de danger, diverses
cruel état ! Il voulut monter en framwav,•
Un autre procès-verbal lui fut dressé.
cafetier à Raon-l'Etape ; Jean Petitde
Accident mortel. — L'accrocheur Albert complications étant survenues.
mais il réussit avec beaucoup de faciliteS
Mis en état d'arrestation, il fut enfermé
mange, cultivateur à La.neuveville ; Eus'allonger sur les rails. Le wattman ar-'- dans la chambre de sûreté do la caserne Jacquet, 34 ans, attendait un convoi comC'est dans la deuxième quinzaine de juin gène Jeangeorges, cultivateur à la Cleurêta Justa sa machine pour ne pas lee do gendarmerie ; Poisson se mit à briser posé d'un wagon refoulé par une locomoti- que Semser fut blessé.
ve, conduite par son neveu, Hyacinthe Jac- . AJloire correctionnatisée. — Un des pre- rie ; Arsène-Séraphin Thouvenot, propriébroyer. Deux mètres de plus et c'en étaitt le matériel.
taire à Gruey ; François-Alphonse Nicolle,
fait de lui.
Un troisième procès-verbal fut dressé ques. Il était placé lo long du débarcadère, miers soirs de juillet, des jeunes gens de charron forgeron à Lubine ; Louis-Eugène
contre lui et enfin un quatrième pour lorsqu'il fut serré contre le mur et eut la Longwy-Bas et Heçseraage se livraient, Gérardin, rentier à Neufchâteau ; Mariepoitrine écrasée. Le malheureux, né le 7 dans le quartier Saint-Louis au plaisir déivresse.
Pierre-Michel Romary,
propriétaire à
Il a été amené sous bonne escorte à la". octobre 1877, à Saint-Remy (Belgique), ma- licat qu'on appelle « la chasse à l'Ita- GrandviUers ; Ma.rie-Josc-ph-Eugène Dieurié et père de deux enfants, a été transpor- lien ».
r«nlit sur fMHir» sa biw. cxeluslvomcnt f.briqaé»
i»
s
maison
d'arrêt
<Jo
LunéyUle
et
déféré
au
n
donné, négociant à Ramonchamp ; Théoté à Signeulx (Bela'iqtueL où il deracuiaitMALT ET UOUBLOA'S »B tw fMOK. Trh sum il di»eiU>e.• parquet.
Justement un Italien, nommé Antonini. dore Poirson, propriétaire à Raon-l'Eta-
J
c Prélèvement d'cû'iantillon3. —
M. de
Clioudcns, comniisan.ti'O de police, a prélevé des échantillons de vins chez plusieurs
àdébitants da Toul.
l
TRIBUNE PUBLIQUE
J
î
ETAT CIVIL
DEDIL IMtDIAf^lagM Bftfflis
I
Tentative de vioi
J'
J
Madame CANTENEUR
Mâtir
Mth\
SAUR
Monsieur Emile BALLAND
MEUSE
DANS LA BANLIEUE
Au Paiais
Cour d'assises
'
jeudi, à 8 h. J,
>
cl-ards » dans « Les cam,,ïeuAdl
!'s,.deuxLondres », pantomime à cas-"
l'hnm
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également de « Boston's »,•
e 9m e avec S0D
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comique. Derniè-"
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tatl oa de
Petit
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^ scène de Ratcée.•
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complet de prom 0,
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VOSGES
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Amicale laïqua Or^ — Tirs d'automne.
_
— Des tirs à l'arme fto guerre auront lieu
les dimanches 22 et 29 septembre, de 7
"
heures à 11 heures et de 2 heures à 5 heu*
res.
Dernière séance le 6 octobre, de 7 heup
res à 11 heures du matin.
Rendez-vous au stand do Tombkwne.
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^nfajileV?1' la rau?-icrue du 79<> rési"'
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Brasserie de Nancy
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REPUBLICAIN
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L'ACTUALITÉ AGRICOLE
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4>e ; Marie-Paul-Hyacinlhe Perrut, cuJU-1 qu'il
m
adressa une observation à M. Paul l
•dateur à Aulnois ; Joseph-Emile Bertrand, Moyaux.m'içon,
M
qui venait de lui prendre .
«ubergisle à Saint-Dié ; Louis-François %s
une pomme. Une discussion s*éleva, au ■•■ ■
feFachet, fabricant de broderies à Henné- c<
cours de laquelle M. Vaillant fut frappé
zel • Bernard-Auguste Bruzon, négociant' d'un
d
coup de poing.
< à Remiremont ; Aimé Girondcolas, tisse-i
ARRONDISSEMENT DE REMIREMONT
Paris, 17 septembre 1912]
fjrand au Val-d'Ajol ; Joseph-Constant Go-'
Les chapeaux de peluche grise, aion pas '
REMIREMONT
dé, rentier à Lamarche.
1
Conférence. — Sous les auspices de la •lisse, ftiais « écrasée » sont actuellement ;
Jurés supplémentaires. — Elisée Char-.
LA SÉLECTION DU BLÔ
gannit sobrement
Ligue des Droits de l'Homme, M. Georges Jle grand chic On les
;vot, retraiié à Epinal ; François-Emile *■
1, d'une immense ro- '
d'uni
motif
de
plumes
L
Levaxelaire.
professeur
de
mathématic
%lbert, bijoutier à Epinal ; Marie-Jules
S d'un nœud de velours violet très vio-1
■ Baudoin, ancien boucher à Epinal, et qu.es au lycée de Besançon,, fera samedi se,
Tello terre à blé qui, il y a quelque vingt
1
do dentelle d-'or.
à huit heures et demie du soir, lent
Charles Reiss, mécanicien- en retraite à prochain,
|
ans, arrivait péniblement à produire 30
La
peluche
noire,
ou
taupe
ou
blanche,
à l'hôtel de ville, une conférence publique
Epinal.
hectolitres, produit aujourd'hui de 30 à 40
e1 gratuite sur « le système du monde, son
et
tfait de charmantes coiffures auasi. Les quintaux.
.
formes
sont
si
noinbreuses
qu'il
serait
difLe rôle
n
mécanisme, sa formation ».
C'est l'effet d'une main-d'œuvre perfecdo lea décrire.
Mort subite. — Le soldat Charles Bou- ficile
i
' ■ Lundi 23 septembre, à 2 heures ï de l'aChaque femme choisit celle qui lui va tionnée, de l'importance donnée à l'assocher, 23 ans, du 156 bataillon do chasseur;
près-midi. — 1™ affaire : Vol qualifié. Ac- ci
lement de premier ordre fourni au blé par
cusé : Ambroise Stibling, 20 ans, manœu- à
a pied, a été frappé mortellement par une 1le mieux, ou qu'elle se figure le mieux une récolte de betteraves ou de plantes
congestion célébrai*. Il allait être libéré 1lui aller. Et c'est ainsi que l'on coudoie sarclées ; d'une bonne appropriation du
ivre sans domicilie fixe. Ministère public : P<
1
le
grand sombrero, pelucheux, la toque
quelques jours.
M. Couchepin, procureur de la République ; dans
u
en velours, le petit chapeau ven- sol ; de la préparation soignée des semen- S
La famiue, qui habite Neuilly-l'Evêque boléro
t
idéfenseur : M0 Coudré, d'Epinal. Trois tedéen
en
satin, la capeline de velours noir ces, des) façons culturales appliquées à
(Haute-Marne),
a
été
informée
par
les
c
moins.
,
.,.
_„ „ i,
1
recouverte
d'un grand béret plat, de propos au cours de la végétation et surLundi 23 septembre après-midi. — 2° af- soins do l'autorité militaire.
La Suli-Brahim. — C'est dimanche pro- grands
£
bérets de velours cerise, ou noir, tout, c'est mémo par là que nous eussions
Ifaire : Vol qualifié. Accusé : Louis-Jeanc violet, relevés d'un côté sur le bord dû commencer l'énumération, du perfec■Baptiste Henri, 33 ans, manœuvre, sans chain qu'aura lieu la remise du fanion à ou
tionnement deâ diverses variétés de blés
la Sidi-Brahim do Remiremont et en pré- par
I
une haute dentelle d'or.
idomicilo fixe. Ministère public : M. Mar- f
d'une délégation de la société sœur
Beaucoup de chapeaux violets en satin, par une patiente et ingénieuse sélection.
chai, substitut ; défenseur ; M" Toussaint, isence
*
Il importe avant tout de se fixer sur les
d'Epinal, qui viendra à Remiremont avec cou en velours ; d'adorables petits chad'Epinal. Cinq témoins.
_
^
son fanion.
ï
peaux
de satin blanc, de grands feutres meilleures variétés qui conviennent à sa
(Mardi 24 septembre, à 0 heures du matin. B
PLOMBIÈRES Ipoilus et de drôles de petits chapeaux terre et au climat du pays. Au sol pro8e affaire : Attentats à la pudeur. Accusé :
fond, reposant sur un sous-sol compact et
Les mauvais chiens. — Deux chiens ap- pointus
î
pour clowns féminins.
-Urbain Sertaur, 42 ans, cultivateur à Tainpartenant : l'un à M. Delagrange, habiLo chapeau habillé par excellence sera argileux, susceptible de conserver une certrux Ministère public : M. Marchai, subs- P
f
en moire ou en velours ; le dessus taine doaa d'humidité, a fait remarquer le
«tut ; défenseur : M- Jeanpierre, de Saint- tant sur la Promenade des Dames, l'autre grand,
à M. Joseph Larose, marchand forain, cdisparaîtra sous un immense béret de regretté Dehérain, cmvient une variété
Dié. Quatre témoins.
4- affaire : Attentats à la pudeur. Accu- "ont mordu cruellement à la cuisse gauche ttulle, soulevé légèrement par un bord de un peu tardive, c'est-à-dire restant longtemps sur pied, travaillant longtemps, et,
M. Isidore Perrin, propriétaire à Ruaux, skunds
«
ou de zibeline.
Bé : Michel-Gabriel Hugot, 35 ans, manceu- *
D'autres seront piqués d'une aigrette, par suite, susceptible d'élaborer un poids
vre à Remiremont, Ministère public : M. et
, M. Louis Conval, cordonnier, La gen■Marchai, substitut ; défenseur ; M0 David, t(darmerie a été saisie de ces deux plain- cou écliaircis par une grosse rose de ve- considérable de matière végétale. Au contraire, pour une terre reposant sur un
tes.
1lours dans les tons chauds.
d'Epinal. Six témoins.
SAINT-NABORD
On verra aussi énormément de chapeaux sous-sol incapable de faire de grandes ré5« affaire : Attentats à la pudeur. Accu< satin blanc tendre, de chapeaux blanc serves d'humidité, il faut des variétés présé : Edouard-Alfred Gaxatte, 44 ans, culti- h Voies de fait. — Gabriel Burster, tail- de
de nmes, et Joseph Valentin, journa- et
< noir, dont les plumes seront de ces coces, moins prolifiques puisqu'elles tra•jvateur à Coinches. Ministère public : M. leur
];
vaillent moins longtemps, mais capables
se sont pris de querelle, au sortir du teintes
f
mélangées.
'Couchepin, procureur de la République ; lier,
.
Remy, à Longuet, à propos d'un
de mûrir leurs grains assez vite pour n'êPour
le
grand
froidi,
les
toques
habildéfenseur : M0 Toussaint, d'Epinal. Huit café
g
achat
de pommes de terre. Valentin, me- lées
]
^seront en fourrure ou en imitation tre pas prises par les grandes chaleurs et
témoins.
'
^nacé,
paraît-il, d'un coup de fusil, terras- (de fourrure drapée. Elles seront piquées desséchées avant que leur évolution ne soit
Mercredi 25 septembre matin. — C affaiBurster et le frappa si violemment qu'il soit
s
d'une aigrette en fourrure, dernière terminée.
re : Attentats à la pudeur. Accusé : Jean- sa
d
Ce principe, trè général admis et la
Nicolas Antoine, 41 ans, tisserand à Saint- dut garder le lit pendant plusieurs jours, anouveauté, ou d'un plumet de héron.
Valentin a, du reste, manifesté tous ses
Les tittsus des toilettes du soir, cet hi- meilleure variété adaptable à sa terre et
Dié. Ministère public : M. Marchai, substi- regrets.
au climat du pays trouvée, il s'agit, pour
ver, seront particulièrement beaux.
tut ; défenseur : M" Husson, d'Epinal. Seize
On fera des robes en panne très souple, 1 amener progressivement à sa plus gran(témoins.
ARRONDISSEMENT DE SAINT DIÉ
aura aux lumières des tons adorables, de puissance, de rendement, de la perfecMercredi après-midi. — 7° affaire •.AtSAiNT-U'É qui
!
tionner par la sélection. La sélection contentats à la pudeur. Accusé : Louis ConsUn taureaux furieux. — M. Simon surtout dans les teintes vieil or, cuivre et siste à ne reproduire, d'une année à l'autant, dit Pilate Amould, 56 an®, cultivateur IBlum, qui porte le sobriquet de Chimélet, ,violet. On lea garnira de passementerie,
tre, qu'avec des sujets absolument d'élite,
de simili.
a la Bresse. Ministère public : M. Couche- est
«
marchand de bestiaux à Saint-Dié et scintillante
'
Les robes de brocart, de moire, ornées présentant bien tous les caractères de l'apin, procureur -, défenseur : M0 Amet, de doit
c
avoir l'habitude de les conduire. Un
ïteniiremont. Trois témoins.
ttaureau, rétif probablement, le renversa de
' superbes dentelles, alterneront avec les mélioraion de la ^variété. Il y faut évidemJeudi 26 septembre, matin. — 8e affaire : d'un
<
coup de corne et le piétina ensuite, 1toilettes de tulle et de mousseline de soie, ment beaucoup de pratique, beaucoup de ,
Coups mortels. Accusé : François Joseph, 1lui faisant de nombreuses blessures sur 'e richement brodées de guirlandes de fleurs ccup d'œil et des soins infinis, mais le la longueur de l'épi a doublé et son con- donc vous faire prendre des mesures de
cultivateur avise qui s'en mêle est laa-ge- tenu en grains a presque triplé.
relief.
1
«fit Paul Albert, graniteur et débitant à ccorps et à la tête. La victime de cet acci- en
prudence préventive. Nous croyons cepenQuant aux manteaux du soir, ce sera ment récompensé de sa peine, la moisson
S&mont. Ministère public : M. Marchai, cdent a dû s'aliter, mais on ne pense pas
Dans la pratique, et pour nous résumer, dant que, si vous n'obtempériez pas.il n'y a
venue.
surtout
le
brocart
d'or,
ou
or
et
noir,
qui
srahsititut ; défenseur : Me Amet, de Remire- que
c
son état puisse s'aggraver.
le sélectionneur s'assure du meilleur grain pas contravention.
On doit choisir d'une façon rigoureuse en prenant pour hase de son choix tous
mont. Quatre témoins.
Vol. — Chartes Graff est charpentier de enveloppera ces somptueuses toilettes, et,
*\
Jeudi 2t> septembre soir. — 9e affaire : £son état, mais fainéant de son métier. la doublure en sera de satin « noir », les épis de semence, s'attacher à les obte- les grains du meilleur épi de la meilleure
D. — Quand un patron vous retient de
nir
toujours
plus
gros,
plus
volumineux,
pour
permettre
de
mieux
distinguer
touCoups mortels avec préméditation. Accu- Etant
1
entré à Grattin, au débit Gérard, il
touffe et en ne reproduisant tous les ans
contenant de plus en plus de grains et ce- qu'avec le produit des plantes qui ont don- l'argent sur saisie sur vos salaires, celui
sés : Charles Géhén, 19 ans, tisserand, et demanda
<
une consommation qu'il paya ; tes ces splendeurs.
qui doi tvous donner le reçu, est-ce le papendant
ne
jamais
s'écarter,
dans
son
Pour
les
toilettes
de
jour,
elles
consisteiV-alemfcin Géhin, 55 ans, tisserand,
tous mais,
i
en sortant, il fît main-basse sur* une
tron, ou l'huissier ?
né le meilleur résultat .
choix,
des
caractères
du
type
de
blé
que
ront
surtout
en
tissus
à
grosses
côtes,
en
'dteux à Fa-osse-sur-Moselle- Ministère pu- paire
1
de sabots neufs, qui se trouvait
R. — C'est l'huissier.
LONDINIERES,
l'on
s'attache
à
perfectionner.
brochés
souples
à
dessins
à
relief,
eten
JkJic : M. Marchai, substitut ; défenseurs : dans
<
la salle du débit. Le cabaretier, qui
professeur
d'agriculture.
Depuis
un
assez
grand
nombre
d'années
un
tissu
tout
nouveau
en
laine
soyeuse,
SI»- Coudré et Husson, dEpinal. Huit té- aime
'<
bien vendre mais n'aime pas de donD. — Est-ce qu'une jeune fille a le droit
t$ Q ^
—
!
moins.
ner,
courut après son voleur, et rentra se prêtant aux draperies les plus compli- déjà, cette méthode patiente et sûre a été
de partir de chez ses parents à l'âge dû
e
suivie en France et, pour, notre part, il
Vendredi 27 septembre matin. — 10 af- d'abord
<
en possession de ses sabots, puis quées.
18 ans ? .Ont-ils le droit de la faire renEn ce moment, pour les courses et les mous a été donné d'en constater par exnéfaire : Meurtre et tentative de meurtre. Ac- il alla porter plainte à la police.
trer Y
eusé : Georges Charles, 22ans, soldat au
RAON L'ETAPE promenades la vogue -est aux tailleurs rienco les fructueux résultats.
R. — En théorie non.
Mais c'est en Angleterre que les sélecW régiment d'arfantesie à Epinal. MinisSuicide. — Mardi, à 15 h. 17, au mo- Kaki, soit en toile de laine ou en serge
Mais en pratique, on ne peut l'empêcher,
tionneurs de blé ont fait merveille et si les
lere public : M. Çouçhepin, procureur : dé- -ment où le train de Paris quittait la gare, fine.
et si la jeune fille ne commet aucun délit,
lênseur : M0 Porterai, de Miraeourt. Vingt- <de Raon-l'Etape, le mécanicien, vit souCes tailleurs clairs ont généralement la cultivateurs qui nous lisent veulent bien
L).
—
Je
voudrais
connaître
l'adresse
n'y a ^as de raison pour que le parquet
1dain une femme se précipiter sur la voie,
deu x témoins.
veste liserée de rouge, avec les parements nous suivre dans une visite aux enclos an- d'une assurance sérieuse contre les mala- il
intervienne.
Samedi 28 septenabre matin. — Assassi- !|devant la locomotive. Il ne put arrêter. et le col en drap rouge.
glais, qu'on pourrait presque appeler des dies.
A
pal. Accusé : Louis Vuillomard, 36 ans, 'son
•
convoi assez a temps, et la femme fut;
Quelques vestes à basque rapportée sont fabriques d'épis types, ils auront peut-être
H. — \Tous ne pouvons, en petite corres1
D. — Pouvez-vous indiquer quelle est là
manœuvre à. Gérardmer. Ministère public : coupée
en deux. C'est une veuve Choserot, ceinturées de cuitr rouge. Sur la hasque, quelque piroiit à tirer de l'exemple.
pondance, prendre la responsabilité des nationalité de la maison d'autos X...?
M. ©ouchejjfn, procurear ; défenseur : M* :âgée de 75 ans, et habitant La Neuveville. au milieu du dos, et dans le sens longituDans un vaste enclos de plusieara hec- renseignements de ce genre.
R. — C'iest une maison allemande.
îeanpîerre. de Saint-Dié. Vingt-deux té- Il
; paraît qu'elle avait déjà tenté à plu- dinal, se trouvent des boutonnières lise- tares recouvert de filets 3e pêche pour
*"*
1sieurs reprises de mettre fin à ses jours.
*"*
moins.
rées de aiouge et des boutonis de cristal éviter les dégâts des oiseaux, sont plantés
D.
—
J'ai
quitté
ma
mère
à
l'âge
de
dixD. — Je désire me faire naturaliser
Lundi 30 septembre matin. — 18e affaire :
grain à grain, à raison d'un ou deux par huit ans, en raison de ses mauvaises reFRAPÉLLE; taillé.
L'autobus fait panache. — L'auto qui[
tentative d'assassinat. Accusé : Stepha GoFaut-il ajouter que ce genre de costume mètre carré, les variétés de blé, d'avoine lations ; à partir de cette époque, j'ai ga- Français, étant Alsacien. A qui dois-je
villot, 52 ans, manœuvre à Nancy. Ministè- fait
?
le service de Sâales à Saint-Dié reve-. est exclusivement" réservé aux femmes et d'orge que certains grands producteurs gné péniblement ma vie, voulant rester m'adresser et quelles sont les pièces qui
re public : M. Couchepin, procureur ; dé- nait
;
mardi, vers neuf heures, de l'Alsace, jeunes et très minces ?
Sélectionnent depuis cinquante ams-. Au- une jeune fille honnête, et ma mère ne sont nécessaires et qu'il faut fournir "?
R. — Ecrivez à M. Hartmann, rue Clautauseur : M* Jacob, de Nancy.
portant quatre voyageurs, lorsqu'à la sor-'.
Les boutons de .cristal sont la folie de cun soin, aucune peine n'y est épargnée s'est plus occupée de moi. Je suis aujour1
d'hui âgée de vingt-quatre ans et je me dot, qui vous renseignera.
ARRONDISSEMENT D'EPINAL
\tie de Frapelle, à l'intersection de la route, l'heure. Il y a en a die longs, comme de et chaque touffe a sa généalogie , c'est un
+*
EPINAL ,de Bertrimcutiers, la barre de directioni minuscules rouleaux à musique ; de ronds travail d'une minutie extrême,mais on part suis mariée il y a six mois ; or, voilà
— Ayant trouvé une maison m'offrant
Procès-verbaux. — Des procès-verbaux se brisa et l'auto fut projetée dans le. fos-. comme Une soucoupe profonde, piqués au de ce principe qu'nue bonne généalogie est qu'à présent ma mèré me réclame une à D.
placer ses produits, veuillez me dire si ]
^nt été dressés : 1 «pour ivresse publique, \sé. Les voyageurs n'eurent que quelques3 milieu d'une pierre précieuse ; de pointus, •aussi utile pour les plaintes dont on pour- pension alimentaire. Sommes-nous obligés je serai patenté et quelle patente ?
contre André F..., ouvrier imprimeur, de- .'égratignures, fort heureusement, mais lat., de carrés dont on compose des garnitures suit l'amélioration que pour les animaux. a lui payer, vu que mon mari gagne juste
R. — Vous pouvez en. effet être patenté, !
. charmantes.
Reproduire avec un épi beau par ha- pour nous suffire et que nos meubles ne
meurant à Chantraine ; 2° pour aban- -voiture est dans un piteux état.
En général, on garnit
beaucoup de sard et se contenter de faire subte.au pro- sont payés qu'en partie. Notez que ma mais nous ne pouvons vous indiquer le
'O ■
■ ■ ■
i
don de voiture sur la voie publique contre :
boutons de toutes sortes les robes et mê- duit de cet épi un simple triage ne suffit mère a encore d'autres enfants qui lui montant.
AJjrréd R..;., 46 ans, charretier à Epinal.
***
me lea chapeaux.
pas, il fauii recommencer chaque année rapportent une moyenne de six fran.es par
C«r». — M. Borgmiet, directeur du théâ- ,
D. — M. Collignon, ancien préfet, nom-'
Je vis l'autre jour une jeune fille qui avec un épi dont la généalogie est bien jour.
tre-de ce nom, a fait don de cent francs au
1
mé
secrétaire
général
de la présidence de
portait un feutre souple bleu Nattier. Co- connue. Car il en est de même que pour
R. — Vous devez une pension alimenbureau de bienfaisance.
SCHLESTADT" quettemenit rele.vé sur le devant, il était les animaux. Une bielle jument, belle par taire si votre mère est dans le besoin. la République, est-il l'ancien sous-préfet de
ARRONDISSEMENT DE NEUFCHA TE AU
L'élection au Reichstag.
Une élection retenu par une cooarde faite de petits hasard, c'est-à-dire sans origine, donnera Mais le juge de paix tiendra compte de Mirecourt,
|R. — Nous l'ignorons.
NEUFGHATEAU au Reichstag vient d'avoir lieu pour lai boutons plats en soie floche, de plusieurs hien souvent des produits quelconques, votre situation et de la présence d'autres 1
***
Admirable sang-froid d'un enfant. — circonscription de Schlestadt.
couleurs se mariant parfaitement avec la tandis qu'uni cheval provenant lui-même enfants.
Ont obtenu :
D. — A qui faut-il s'adresser pour saVers trois heures du soir, M. Henriot, ferteinte du chapeau.
d'unie lignée de chevaux remarquables, a
A
M. l'abbé Haegy, centre, 7,112 voix ; M.
blantier, tra\ aillait à la réfection de la
Une guirlande assez épaisse des mêmes toutes les chances de reproduire, sauf .acD. — Je vous serais obligé de me dire voir si un chasseur est muni d'un permis de
loiturre de la maison Gérard, rue Gohier. Andilauer, progressiste, 2,326 voix ; M. boutons contournait la passe- C'était aus- cident, des poulains de touto beauté.
si je puis, sans permis de chasse, tuer à chasse ?
R. — Adressez-vous à la mairie, bureau
Ce toit, élevé de sept mètres, surplombe Imbs, socialiste, 2,769 voix ; M. î'abbé§ si original que joli.
La formation d'une espèce pure de cé- la carabine les petits oiseaux et autres gi«n bâtime it de quatre mètres, sur le faîte Haegy est donc élu.
J'ai vu une garniture bien plus origi- réales eat plus rapide, plus complète et biers insignifiants qui se présentent dans militaire. C'est là qu'on retire les permis.
duquel se tenait un gamin de dix ans, le
nale encore, sur une toque assez haute on plus satisfaisante que celle d'une race ani- ma salle de café, très ouverte .il est vrai, Or. vous renseignera en tous cas.
Extrait de l'état civil de Metz
petit Maurice Seirrière, qui regardait l'ou**
Naissances. — Joseph-Rodolphe-Henri Klap- satin bleu, qu'un, grand nœud de velours male, parce que les grains se reproduisent mais située sur une propriété privée et
vrier opérer.
D. — Voilà trois mois que le notaire a
en plus grand nombre et laissent plus de close ; en outre, si cette tolérance pourrait
per. — Frédéric-Joseph Batt. — Victor Déhé.- de même teinte ornait en oache-peigne.
M. Henriot, par suite d'un faux mouve- —
vendu
le
bien
de
mes
parents, pouvez-vous
Tout autour de la toque, qui emboîtait choix que les rejetons d'une race laniméc s'appliquer à toute la superficie du parc
Eugénie-Barbe Lambinet, — Margueritement, fut précipité dans le vide et tom'ba Marie Gougeon. — Louise Berrang. — Alice-g bien la tête, courait un chapelet de déli- stfunodse à la sélection chevaline, asine, dont je suis gérant, payant pour le servi- me dire combien aie temps dure une liquiprès de i*eniant.
roulait déjà sur la Catherine Baer. — Michel-Henri Béna. — Jo-I. cieux petits coquillages .roses, jouant la bovine, ovine ou porcine.
ce des consommations, et ceci naturelle- dation ?
pente et -éta sur le point de tomber sur 1s séphine Parachini. — Catherine-Louise We-.. fleur absolument.
R. — Il n'y a pas de durée, fixe.
ment à des heures, jusqu'à neuf heures
Autre
avantage,
au
lieu
de
se
présenter
sol, lorsque le gamin le saisit par ses vê- ber. — Marie-Madeleine Oberlé. — Pierre-:Cela dépend de l'importance des opéraComme je complimentais mon amie de avec la Constitution délicate que l'on re- du matin par exemple, où la sécurité des
Clément
Drouot.
—
Henri-Eugène
Reichstein.
tements et le maintint en appelant au
i. son joli chapeau, elle me raconta que ce marque d'ordinaire chez les animaux de promeneurs n'aurait rien à craindre,puis- tions.
Catherine Iung. — Paul Wetzel.
secours.
ouvriers maçons purent ar- —Mariages.
chapelet de coquillages venait de Tahiti, race pure, la plante généalogique descen- que ces derniers n'existent pas encore.
—
Michel
Sehullinger,
conduc***
river assez vite pour tirer le ferblantier teur de tramway, et Mathilde Pierre, à Metz.'" et que c'était là-baa l'ornement de la coif- due d'une lignée d'iancêtres dont chacun
R. — Vous ne le pouvez pas, même avec
D. — 1° Etant marchand de quatre-satet le gamin de leur périlleuse situation. Il — Camille Polla, serrurier, et Elfsabeth Kahl,!' fure des femmes.
un
permis
de
chasse.
était la touffe la plus vigoureuse de Tansons à Nancy, devant partir à Malzévilte
'était temps ; l'enfant était à bout de for- à Metz. — Georges André, emplové de com-il
Qui n'a pas lu « Le Mariage de Loti » ? née, est pariiculiièremient .résistante aux
»**
pour également exercer ma profession de
ces. M. Henriot a été grièvement blessé ; merce, et Félicie Sabé, à Metz. — Richardi — Immédiatement surgit devant moi la intempéries et aux maladies cryptogamiD. — Les démarches à faire pour tou- marchand de quatre--saisons avec voilure à
îl a une côte fracturée, en outre une lar- Gau, garçon de courses, et Madeleine Witt-i- triste et jolie figure de la petite héroïne ques.
cher une indemnité pour , un militaire ma- bras, peut-on m'imposer une patente V
ge blessure a été constatée au sommet du mann, à Metz. — Frédéric Hanemann, sel-1- aux bouclesi noires, enserrées d'une couPour prouver l'efficacité de cette mé- rié et père d'un enfant, une demande
2° Un client m'ay.ant fait crédit dépas«fiàne. Néanmoins, on espère que cet ac- lier, et Jeanne Knab, à Metz. — Victor Bois->2 ranime de fleurs en coquillages.
thode, il y a les résultats dus à l'influence[; ayant été faite il y a dféux mois avec sa- sant la somme de 10 francs, ne voulant pas
taux, confiseur, et Amalie Mougin, à Metz.—
cident n'aura pas de suites mortelles.
Pour terminer, il paraît que cet hiver seule du triage et de la sélection, puisque tisfaction sur tous lies points par la mai- me payer, ayant témoins, que dois-je 1
Buhrer, comptable, et Marie Von Bank,J
Mais il peut remercier son petit compa- Erwin
à Metz. — Joseph Oberlin, chef de bureau, et\l les jabots, revers et manchettes de linon la varmété, le stol et le système de culture! rie ?
faire V
gnon. Sans lui, .il est probable que la deu- Léontine Girard, à Metz. — Adolphe Broc->. blanc seront remplacés par de la mous.se- «M
1
été absolument les mêmes.
R. — Nous ne comprenons pas votre
R. — 1° Oui.
xième chute lui aurait été funeste.
kers, assistant des postes, à Metz, et Ger-r- line de soie marine, ourlée à jours.
2° Citez en justice de paix.
..*w3»î£.
Pour une série consécutive de cinq an- question, mais il nous semble qu'en vous
Goups. — Le jeune Eloi Vincent, âgé de maine Poncques, à Sey.
nées, voici la progression :
adressant à la mairie vous serez rensei*V
Comtesse BERTY.
Décès. — Marie Sohmettler, née Laurent, 50
17 ans, menuisier, a déclaré à la gendarl0
D. au h° 50.
En 1905, nous en sommes à l'épi origi- gné.
merie que, sans aucune provocation, il ans. — Jean Pétry, pensionné, 68 ans. — An***
nal, d'une longueur de 4 pouces 3/8 et d'un;
R. — Rue Jeanne-d'Arc, 153, Nancy.
Dadomo, colporteur, 55 ans. — Charles
&vait été frappé à coups de poing par M. dré
H. — Une personne a porté plainte parce
ouvrier de fabrique, 49 ans. — Macontenu de 47 grains. L'année suivante le'
**
Louis Bausmayer, son camarade d'ate- Drouchon,
l
thias Lang, premier assistant à la gare, 44
i plus bel épi est long de 6 pouces 1/4' ,il' que mon chien aboie quand elle passe deD. — Je suis débitant, je vends à boire et
lier,
"
LA REÈNE DES BiERES
ans. — Philippe Pfister, pensionné, 75 ans.
contient 79 grains et la meilleure plantef3 vaut chez moi ; la police est venue me dire à manger.mon propriétaire n'a fait un bail j
— Marie-Anne-Joséphine Laglasse, sans pro> Brasserie la plus importante
ARRONDISSEMENT DE M/RECOURT
porte 10 épis. La progression continue et, d'attacher mon chien. En a-t-elle le droit ?
de 10 années, qui prend fin en 1913, etc. V _ i
fession, 21 ans. — Jean-Antolne-Hubert Kol1de l'Ouest du ContinentI ou 1910, le plus bel épi est long de 8 pouCe chien est déclaré de luxe et paie 10 fr.
R. — Il faudrait avoir, pour vous réVITTEL. ping, conseiller de justice, 59 ans. — Jacob
"
pair
an.
*
Vente en 1311 : Z30,000 hectolitres
Violence. — M. Henri Vaillant, jardi-• Schmidt, employé des postes pensionné, 67
ces 3/4, contient 123 grains et la meilleure
pondre, les termes exacts de votre bail tout,
7
plante
porte
52
épis.
nier à Nonville, se trouvait à Vittel, lors-. ans. — Nicolas Bour, ouvrier, 33 ans.
R- — Vous devez prendre les précautions entier. D'après les renseignements que vous
TURIN - GRAND» PRIX
Ainsi, au moyen de la sélection répétée, nécessaires pour que votre chien ne cause nous donnez, il semble que le propriétaire I
> \ aucune frayeur aux voisins. La police peut n'a pas le droit d'augmenter.
Eei)0y èeja flode
SemainesTauioniDe
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" n|ettentenveqte 1
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Petites
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Bière de ChampigneuOes
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— N° 149 —
Le Marquis
est double
GRAND ROMAN
par
La & o N
SKZÎE
•— Villaccrboli sait que vous êtes avec
lea amis Palestrini.
— Oui, c'est lui qui m'a engagée à passer la soirée avec eux...
— Parfait. J'ai donc mis à la poste un
petit bleu... dans lequel vous disiez... retenez bien ceci— vous disiez au comte oue
les Palestrini, désireux d'assister à un bal
à l'Opéra do Paris, vous y entraînaient !•..
Pour ne pais être reconnue et vue sans
votre ami... vous portiez un domino noir
comme Mme Palestrini... et vous engagiez
le comte, si ses farces le lui permettaient,
à venir vous rejoindre ici-., à l'Opéra...
dans cette loge...
On applaudit à cette ruse.
— Vous avez fait cela ? C'est parfatl...
— C'était une bonne précaution... Vous
voyez qu'elle doit porter ses fruits... quand
vous vous trouverez en face de Villaccrboli,
-——
— Je ferai par conséquent comme si je
l'attendais, s'il ne venait ici qu'à ma demande et le tour sera joué !...
A présent oni riait dans la loge où tout
à l'heure on s'était senti pris par une forte
émotion.
Cependant, le marquis Primo di Carminé
Santuoci, ne tenant pas à être vu dans
cette compagnie par Martin-Numa, comme
nous le savons, s'esquivait en toute hâte.
Au moment où il filait par la galerie,
cherchant à s'abriter derrière les masques, les groupes, le comte de Villaccrboli
l'aperçut.
Il ste leva péniblement, et avec effort,
très faible, très souffrant...
Mais Primo, qui, précisément, voulait ■
par-dessous l'éviter, continua sa marche
feignant de no pas le voir et ne se laissa
pas rejoindre par le malade.
Cependant, le comte de Villa.cerboli,
grâce à ces quelques pas, se trouvait maintenant à peu près à la hauteur de la loge
qu'occupait la belle Focamore, et d'où venait de sortir le comte di Carminé Santuoci.
Un pierrot blanc, qui, sans doute, le
surveillait, le précédait.
En passant devant la porte de cette loge,
le pierrot frappa du doigt, comme pour un
signal convenu-..
Etait-ce ce que voulait dire ce signal,
ou se trompait-on sur sa signification Y
Toujours est-il que la porte de la loge
s'entrouvrit au moment précis où le comte
de Villaccrboli se trouva devant.
Malgré lui, le comte jeta les yeux dans
cette loge.
Aussitôt, plusieurs exclamations se croisèrent :
— Anglio ... Elvira !... Villacerboli !...
Palestrini...
D y eut un moment de silence comme il '
s'en produit après le cri spontané chez les
ens surpris.
Qui devait le premier se ressaisir et
prendre le haut de la situation ?
— Enfin, te voilà, Anglio mio ! s'écria la
belle Elvira, em se levant et allant au comte. Tu as pu faire ce sacrifice ?... Répondre à mon appel ?... Venir jusqu'ici ? Oh !
que je suis he.uaeuse... que je suis heul'eus e !...
Très digne, luttant pour conserver tout a
son calme, toutes ses forces, le comte es- '
saya de .sourire :
1— Oui, chère amie, fit-il, oui, j'ai pu
venir jusqu'ici... et je suis heureux de vou.
trouver... ça n'a pas été sans peine... je
voua l'assure t...
— En effet, Anglio, tu es très pâle . tu
me parais extrêmement faigué I... Oh !
décidément, j'ai eu tort I... Je 11'aurais
pas dû te prier de venir... pauvre ami quede regrets 1 Mais noua allons rentrer
c'est fini ! Je ne puis plus goûter aucun
plaisir en tevoyant ainsi... Nous rentrons...
~
Tout le monde dans la loge s'était levé.
Elvira fit les présenitations au comte :
;— Nos amis Palestrini... le baron p"asielo... le prince Ramollno...
A chaque nom, lo comte saluait.
Il connaissait d'ailleurs tout ce monde
et so demandait pourquoi Elvira lui présentait ainsi ses compagnons.
— Tu vois, cher Anglio, fit-elle en riant,
que j'étais en bonne compagnie !... Mon
bonheur eût été complet si tu avais, été à
mes côtés-..
Elle était sortie de la loe et avait remis
son masque.
Au silence froid du comte, chacun comprit que cette équipée n'était pas du tout
do son goût e que la Focamore allait, en
.rentrant, s'attirer une forte réprimande.
:
j
]
l
<
oorrespondanees
tsORRAIKB HT ALSAGB!
FEUILLETON DE L'EST REPUBLIGA1N
(
<
—— , wrmt^mmMmmmmnmwwmmmnm^gBfH
Les Palesrini quittèrent aussi la loge et 1
la M.imi-Pinso.n, le pompier. En somme,
le comte et Elvira.
les agents de Martin-Numa surveillaient,
p — Nous devons, cher comte, dit le Pa- «suivaient.
elestnm .vous présenter toutes nos excuses
Le comte marchait lentement.
et
t vous dire que c'est nous qui avons enEnfin, d'une voix blanche, pleine de rage
traîné
ici Elvira. C'est pour nous faire
r
plateir,
qu'après vous avoir averti, elle a contenue, ne pouvant plus garder ce oui
c
lui brûlait le cœur, il dit à Elvira :
econsenti à nous accompagner, ma femme
— Je m'étonne, Elvira...je m'étonne gran0 mort au bal de l'Opéra, que nous n'avion*
dément de vous trouver ici...
jamais vu...
— Mais, cher Anglio, je vous ai prévenu
t Le comte, pour toute réponse, fit un ges- par
un télégramme...
te a l'adresse du Palestrini.
—C'est
possible... Mais je suis, quand
Il
avait
pris
le
bras
de
sa
maîtresse
et
1
1i entraînait lentement, se faisant plutôt même, douloureusement surpris de vous
trouver dans cette loge...
porter par elle...
— Vousi savez bien que j'étais avec .nos
Il
la
regardait
;
son
front
se
plissait
et
£
ses
yeux froids brillaient étrangement • amis Palestrini...
=
— Sans doute, mais il y avait aussi avec
^sa bouche se crispait dans un mouvement vous
le baron Pasielo ?
volontaire du menton.
— Oui, en effet, fit Elvira en tressail( La Focamore ne perdait rien de ce Jeu lant.
do physionomie...
— Il y at_\it aussi le prince Ramolino.
i Elle échangea quelques, coups d'œil sin— Oui, mais Us sont venus saluer les
guliers
avec les Palestrini... avec deux ou Palestrini...
1
trois habits noirs... aux cravates en croix
(
— H y avait avec vous, vous dis-je... le
de Saint-André... et un pierrot blanc qu'
]passèrent.
baron Pasielo et le prince Ramolino
— Eh
s'écria
Elvira
J Dans la loge étaient restés le pierrot ..Quel
malbéera,
y a-t-il
? nerveusement ^vua.
blanc, le baron Pasielo et le prince RamoUno.
— Grand !... Elvira... très srand mit 1
Ils avaient refermé la norte ,'de la lo^o et Non seulement vous venez ici sanTmon
parlementaient vivement entre eux "très consentement... à mon insu... mate vous v'
rencontrez le prince Ramolino et le Wn£
émus, très contrariés.
Martin-Numa se trouvait à ce moment Pasielo Ce sont les amis intt^es les a£
en face de cette loge... de l'autre côté du
théâtre.
— Complices en quoi ? pourmir» 9
11 fit un signe, et les dominos, les °entlcmen qui se trouvaient dans sa loge, à lui, gens sont tous de parfaits sent ltinmmi
— Vous savez cependant mm
^mes'.''
laquittreent aussitôt.
Primo di Carnùne%antu7 ^
c
Derrière le groupe formé par 1<? comte,
Elvira et les Palestrini, qui cherchaient à ,i mt"mort11!.! ^ ma PMte- tTciSe
se frayea* un passage parmi la cohue, se
Elvira Focamore ne répondit rien
tenaient le long du couloir la laitière aux
lenLe comte reprit :
volumineux appas et le paysan normand', l - Ainsi, vous Elvira.... que j
-yT.
s
suivirent
1
e
crovais
n
mon amie, que j'aimais comme ma femme,
vvous Elvira... vous étiez en secret l'amw
/j
do mes ennemis !...
Depuis un momeint, un pierrot blanc,
b
bousculant
le monde, fendant la fou- I
1<le, cherchaittout
à se rapprocher du groupe, ]
à
à se tenir auprès de Villacerboli et de 1* ,
b
belle
Elvira, comme s'il voulait écouter ce j
q
que
disait le comte, s'il désirait aussi W
rparler...
Palestrini avait essavé de le reporsser,
d
tde l'arrêter, de l'é:arter.... Mais le pierre*
blanc insistait.
•
Alors, dans un geste machinal, involonttaire, Palestrini toucha J'épaule de la beuB
Focamore.
/
Elvira comprenant sans doute le sens ofi
cce signe s'était retournée vivement.
Elle avait aperçu le pierrot blanc
i Et dans ses yeux noirs, sous son loup,,
un long éclat de haine jaillit.
A ce moment, une bousculade se produi-;
sit.
< Une sorte de farandole, de masques en
délire,
passa... rejetant tout sur son Pet
tsage,
avec des cris, des éclats de voix, ow
1rires de femmes.
...
, C'était la joie au paroxysme, le P«^"
pousse à l'ônervement, le tapage et le mou
vcment atteignant la folie.
„„=
, Plus haut que tous ces cris, que Çen
éclats de rire, dominant tout ce bruit,
en de douleur retentit.
.. ,. .
Et quand la farandole fut passée, a » r
re aux pieds du domino noir de la bw
Elvira, se trouvait étendu, râlant û8j*
une mare de sang, le comte de Villac®'
poli, un poignard planté
dans la PUi
1
trane..,,
_
(A suivre^
g
CHOCOLAT LORRAIN
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L'ES REPUBLICAIN <t^B!W"*WWMwBjw>wtfffliii IIIIII irai n IIHII iii—11 m
■■nii—fl
■«■^■wtiMiii»
Louisi Delannoy, qui «n'est âgé que de 17 I laquelle se trouvaient sept personnes,
ans, et qui est un lymphatique sournois, abordait un virage en S lorsque 1© pneu
dépourvu d'intelligence, dont le père est d'une roue arrière éclata et la voiture eaiEDOxé fou, avait fait la connaissance d'une îïuta dans un fossé. Le conducteur, M.
Jeune ouvrière de la banlieue d'Amiens, Paul Hairdouiini, trente-six ans, entreipreSuzanne Florent, dont il ne pouvait satis- neur de eharpente au Mans, eut le crâne
faire les demandes d'argent. C'est pour el- broyé et mourut sur le coup. M. Collet, diet Jours
le que lo malheureux a tué sa mère. Le reefeur de banque au Mans, et Mme Ooi-CARRIÈRES
DE
JEUNES
GENS
service de la sûreté irecherche la jeune Seft furent grièvement contusionnés. Les
Commis amb;,'an: de i'octmi de Parï3. '
Suzanne afin de l'interroger.
autres voyageuirs ne reçurent que des égraJCrSS1
—
'Baba officiel!c. : 22 octobre. — Délai j
tigniures sans gravité.
'
IXEUL. ^st sur le
d'inscription : 1-2 octobre. — Age : 21 à SO f
Boutognie-sur-Mieir,
17
septembre.
—
RDM.
BMESSÉ A L'ESCRIME. — Deux officiers du
Mont-Blanc.
ans. — Traitement : 2.100 à 5.000 Br. — t
10e dragons, à Carcassonne, le lieutenant Chaïipontier;, adjodmt au maire de Béton- Aucun diplôme n'est exigé.
Cahumc et lo lieutenant de réserve Lt- ne, Pitteux, électricien) à Béthune, DereulExpéditionnaire à la Caisse des dépôts !
M^IaMWMJPffllMMWMaZ/
mousis, faisaient un assaut à l'épée, dans ie, courtier à Paris, Mimes Lemoine et et consignations. — Date probable : déEtvret, de Paris, avaient loué, hier aprèsla salle d'armes du régiment.
cembre
1912.
—
Age
:
22
à
30
ans.
—
TiraiL'armo du lieutenant Cahuzac s'étant midi, dans un garage de Paris>-Pl.age, une tement : 2.000 à 4.500 francs. — Accès aux gor
j
à adresser à tous ceux de nos lecde 60 chevaux, piloté© par lo
^^3
U U V soudain cassée, la lame pénétra de deux limousine
emplois supérieurs.— Aucun diplôme n'est teurs qui en feront la demande accompachauffeur
Georges
Mettler,
avec
laquelle
exigé.
centimètres dans la poitrine du lieutenant
gnée de 1 fr.50 en timbres-poste ou mandat
s'étaient rendus à Boulogne. A sept heuLimousis, au niveau do l'aisselle gau- ils
Employé à la Société de gaz do Paris. 1pour tous frais « Le Livre des candidats
res du soir, les voyageurs quittèrent cette
che.
u
u
lT
T
pour regagner Paris^P'lage. En arri- —Date probable : mars 1913. — Age : 18 à "et candidates aux emplois administratifs »,
Une forte hémorragie s'étant, produite, ville
vant
à
la. petite station de Ponit-de-Briques, 30 ans. — Traitement : 2.100 à 4.800 fr. — édition 1912, un fort volume contenant
l'officier dut être transporté à l'hôpital, où le chauffeur
vit point que la barrière Accès aux emplois supérieurs. Indemnités. 730 pages de texte compact et donnant
les médecins militaires lui donnèrent des du passage à ne
tous les renseignements utiles sur toutes
était fermée. L'auto, — Aucun diplôme n'est exigé.
seins empressés. Sa blessure n'aura »>as lancée à touteniveau
Commis de l'Assistance publique à Pa- les fonctions publiques, conditions d'advitesse,
vint s'écraser conde suites graves.
ris. — Date probable : mars 1913. — Age : mission, concours, traitement, avenir, etc.
tra cette barrière.
i ...
i.
Les voyageurs furent projetés sur le cô- 22 à 30 ans. — Traitement : 2.000 à 4.200
NÉCROLOGIE. — Nous aprenons avec reté de la route. Un seul, M. DereuMe, fut francs. — Accès aux emplois supérieurs.
gret la mort do M. Remy Couzinet, ancien Légèrement blessé. Mais le chauffeur Mett- — Aucun diplôme n'est exigé.
Rédacteur à la préfecture de la Seine.
directeur de la '« Dépêche » de Toulouse, ler, arraché de son siège, fut' projeté conqui vient de succomber presque subite- tre un express qui passait à ce moment —iDote probable : 4e trimestre 1912. —
ment à Gorbe.il, chez des amis auxquels il même. Le corps du malheureux rebondit Age : 31 a 30 ans. — Traitement : 2.700 à
ontd
Parts, 17 septembre 1912.
était allé 'rendre visite.
contre la barrière avec une tel© violence 12.0000 francs. — Indemnités diverses. LiM. Remy Couzinet était un lettré averti. que la tête se trouva pour ainsi dire lami- cence exigée.
Lo marché a été plus> calme aujourd'hui
'
'
Il avait pris en 1882 la direction du grand née et broyée entre deux montants.
Expéditionnaire au ministère des finanLa Rente reste soutenue aux environs
régional du Sud-Ouest ; il écrivait dans ce
ces. — Date probable : 4e trimestre 1912.— des cours d'hier, à 91,50.
journal des articles littéraires qui témoi— Age : 22 à 30 ans. — Traitement : 2.000
Le groupe des Fonds d'Etat? étrangers
NOTRE SURVIVANT DE BORODINO. — Nous
l^/kf \ssi^
g il manifeste sa gnaient de sa forte culture. Il abandonna a\ions, nous aussi, récemment encore, un à 4.500 francs. — Accès aux emplois supé- témoigne d'une certaine èrrégularté : Exrieurs. — Aucun diplôme n'est extigé.
bientôt la direction de la « Dépêche » pour survivant le Borodino aux Invalides.
térieure plus lourde à 94,10 ; ?erbo, 4 %
retourner aux livres qu'il avait rassemblés
Rédacteur à l'administration centrale 87 75 ; Turc uinifié mieux traité à 92,32.
. Je quitte ce lieu. ^
Ou
du
nicins
ses
camarades
présenm
dans une propriété située à Mainvilliers, taient ainsi pittoresquement, le père Syl- de» travaux publics .— Date officielle : 2
Les Etablissements de Crédit sont très
près de Chartres, où il s'était retiré.
décembre1. — Concours ouvert pour 15 em- résistants.
vestre, amputé des deux bras :
plois.
—
Age
:
22
à
30
ans.
—
Traitement
:
Les Chemins français se maintiennent
— Oui, dtl était à Borodino. Un boulet 2.400 à 6.000 francs. — Accès aux emplois
à peu près au cours de la veille.
TiîRRIBLE ORAGE EN ALGÉRIE. NOMBREUSES russe lui emporte le bras droit. « Eh bien, supérieurs. — Licence exigée.
s
Raissle assez vive des
Ch?nnns espamourons ! s'écrie-t-il. Et de rage, saisisVICTIMES. — Un violent orage s'est abattu
Surnuméraire des contributions directes.
sur Laghouat et la région, faisant de nom- sant le sabre d'un officier, il se coupe — Date offioiélle : janvier 1913.Délai d'ins- gnols : TAndalous faiblit à 304 ; le Nord
breuses victimes. Les rues ont été inondées l'autre bras. « Tu es un brtve ! » lui dit cription : 15 novembre 1912. — Age : 18 à Espagne à 483.
0
Un ouvrier nié.
Le Groupe de la traction est plus indéet l'eau a pénétré dans les maisons et les 1 Empereur en lui sierrant la main. Et ii 23 ans, — Traitement : 1.500 à 10.000 fr. cis.
S
content l'a détémagasins. Cinq immeubles .se sont écroués. lo décora.
— Avantages divers. Baccalauréat exigé.
rioré.
Industrielles Ruses très discutées.
Qui n'eût laissé tomber une pièce blanUne femme, Embarka-Bent-Ali bon AbdelCommis de 7e classe du personnel des
Lesi valeurs d'électricité sont moins acche dans la casquette du narrateur ?
kader, a eu une jambe brisée.
trésoreries générales. — Date probable : tives.
lAu Rendit « Dekla », à cinq kilomètres
janvier ou février 1913. — Age : 20 à 32
Le Rio s'alourdit à 2201 après 2115.
Six prix seront tirés au sort parmi les per- do la ville, les eaux ont empor'é une tente
ans. — Traitement : 1.500 à 7.000 francs.
sonnes qui auront envoyé le plus de solu- abritant une famille composée de la mère,
En coulisse, les mines d'or fléchissent
—
Avantages
divers.
—
Aucun
diplôme
tions justes. Voici ces six prix des quatre de deux garçons de deux et de treize ans,
légèremenf : Easit Rand 75,75 ; Goldfields
n'est
exigé.
rébus de la série E. B
104,50, Randsi-Mines, 177,50.
et de six filles de cinq à douze ans. A son
Téléphone 3.S3
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:
retour, le chef de famille, Elem Jeled, dégnements au sujet d'un des emplois in- oe.Diamantifères en recul sons nportan2» prix : On bibelot (fantaisie).
couvrit les corps de sa femme et de ses en- DEJEUNER DU JEUDI 19 SEPTEMBRE diqués ci-dessus ou d'une carrière admi3s prix : Un volume.
Cuprifères fermes en général- Péna,
fants.
4e 5», 6e prix : Deux cartes artistiques.
nistrative quelconque, peuvent s'adresser
Hors-d'œuvre variés
29,75. Parmi les porphyriques vive avan(Chaque gagnant de deux cartes postales
Le courrier allant à Djelfa n'a pas pu
à
MM.
les
directeurs
de
1'
«
Ecole
du
foncMatelote de Moselle
n'aura qu'à nous adresser les noms qu'il dé- partir, tellement la crue est forte.
tionnaire », 128, rue de Rivoli, Paris (I"). ce de la Chine à 239, de la Ray à '•.27.50.
Perdix aux choux
Métallurgiques russes sans grand chansirera voir figurer sur ses cartes. Celles-ci,
Joindre 0.10 et ne pas oublier de men- gement.
Pomn.es
Bataille
dues a une main artiste, constitueront donc
tionner
sa
qualité
de
lecteur
de
«
l'Est
réLES ACCIDENTS D'AUTO.— Le Mans, 17 sepautant d'ceuvres originales.)
Entre-côte grillée
Parmi les pétrolifères, la Fï-anco-Wyopublicain ».
tembre. — Ce matin, à huit heures, à l'en*"*
Croûte aux fruits
Les directeurs de « l'Ecole du fonction- ming ordinaire progresse à 55.
trée du bourg de Chenu, une auto, dans
Ont deviné le dernier rébus î
Cuisine el vins réputés.
PHI! OUÏE ET WADDINGTON
naire », ont bien voulu également s'engaDe Mailly — En manœuvres — La tête de
20. rue Le Peletier.
veau — Une peiite maman — Au camp — Tirez les rideaux — Le petit Thédoricien — Mon
petit pépère — Henri Anfort — Lieutenant POpot attend les palmes — Le loup du P. C. L'invalide de Bains-les-Bains — H. T. D. Balais - Kiki Cholard — Un devin de l'Est Loin du pays (Lyon) — Les deux manîlleurf
du Grand jus — Le grand Victor — Zozor el
Minette — Margot et sa chérie — Le patror
de Mimile — Joséphine des Réunis.
+*
Voici quelle était la solution : *
GUILLE au Mans suit SAS — R, L, A main DUN gêno HERAL française — N, R —
JIK est doux — maint 2 — fer — dans 1 Ganc
— deux pots.
(Guillaume, en Suisse, a serré la man
d'un général français énergique et doux
main de fer dans un gant de Pau.)
Résultat du tirage de la dernière série t
1er prix : Une carnassière : Margat et Si
chérie.
2« prix : Un bibelot (fantaisie) : Un devii
de l'Est.
3° prix : Uno théière : Le petit Théodoricien
4°, 5°, 6» prix : Deux cartes postales artisti
ques : Le loup du P. C. — Le patron de Mi
mile — Tirez les rideaux. — Un baoué de li
Seine.
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9 —
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^OSRÉBUS
Pour les candidats
aux fonctions publiques
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MERCREDI 18 Septembre
suivants
EXPOSITION
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BULLETIN FINANCIER
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Faits-Divers
ACCIDENT DE CHASSE. — Vers quatre hei
ras du soir, des chasseurs rentraient
Mo-ntier-en^Der (Haute-Marne), en suivar
la route, quand près du village de Ce
fonds, un cycliste, âgé de 18 ans, qui v*
nait de la Ville-au-Bois (Aube), heurt
par derrière l'un,d'eux. M. Dissart, qu'
renversa.
La violence de la rencontre fit partir J
fusil de oe dernier et la charge, faisai
balle, atteignit au bras le cycliste qi
était lui-même tombé.
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y * > grièvement blessé — on r
doute l'amputation — a été transporté
1 hôpital de Monitier-en-Der.
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MARCHÉ AUX VEAUX
La Villette, mardi 17 septembre.
Veaux. — Amenés : 162. — Vendus : 79.
Vente mauvaise et prix
difficilement
soutenus.
Les veaux de choix de Selnei-et-Manne,
de l'Eure, de Seine-e.t-Oise, d'Eure-et-Loir,
du Loiret, se sont vendus de 1,05 à 1,10 ;
les champenois, de 95 c. à 1,05 ; les man.
ceaux, de 90 c à 1 fr. ; les gournayeux,
de 85 c. à 1 fr. ; les caennai®, de 80 à
90 c.
Lo domi-ldlo net,
111ËH1S0N
DES
HERNIES
RANOAfîES SANS RESSORTS
BANDAGES SArVS RBSSSORTS
Découverte d'un Rouveau Traitement
Il est profondément douloureux de songer à cette partie de notre pauvre humanité, celle qui est affligée de cette triste
infirmité appelée hernie. Mais il est plus
pénible encore do constater combien tous
ces braves gens sont soignés d'une façon
déplorable. Les uns, martyrisés, écorchés
à vif par de véritable instruments de torture ; les autres, atteints d'abord de pointes de hernies, voient leurs infirmités se
développer, glisser sous le bandage et enfin descendre dans le scrotum.
Pourquoi
continuer ainsi,
pourquoi
n'appelez-vous pas à votre aide cet homme de science qui a consacré la moitié de
son existence à l'étude des hernies et à
chercher le remède pour les combattre.
Vous connaissez tous cet homme : c'est le
renommé spécialiste M. GLASER, l'innovateur d'un nouvel appareil pour lo traitement des hernies, 100 fois plus efficace
que ceux existant a ce jour. Le trop gênant sous-cudsse est supprimé de l'appareil, qui se porto jour et nuit sans gêne
ni interruption de travail ; il est le ptus
solide et à la portée de toutes les bourses. Pourquoi alors continuez-vous à vous
servir de ces mauvais bandages puisque
voua pouvez vous procurer l'appareil de M.
Giaseir, si doux et dont la supériorité a été
reconnue par les sommités médicales. Les
hernies les plus tenaces s/effacent devant
son imposante efficacité.
Nous dirons simplement à nos lecteurs
et lectrices de ne pas confondre la haute
science de M- Glaser avec certains imitateurs et prétendus guérisseurs n'ayant aucune compétence en matière de hernies.
N'achetez plus de bandages avant d'a\oir fait une visite à M. Glaser, qui recevra les hommes, femmes et enfants atteints de hernies, efforts et descentes, de
9 heures à 4 heures :
A Baccarat, le 20 septembre, hôtel de la
Gare ;
A Raon-l'Etape, lo 21, hôtel Clavière ;
A Lunéville, le 22 septembre, hôtel des
Vosges ;
A Pont-à-Mousson, le 23, hôtel de la Poste;
A Briey, le 24, hôtel de la Poste ;
A Longwy, le 25. hôtel de la Paix ;
A Montmédy, le 26, hôtel de la Groixd'Or ;
A Verdun, le 27, hôtel du Coq-Hardi •
A Saint-Mihiel, le 28, hôtel du Cygne ;
A Vaucouleurs, le 29, ihôtel Jeanne-d'Arc ;
A Commercy, le 30,hôtel de la Cloche d'Or;
A Etain-, le 1er octobre, hôtel de la Sirène ;
A Toul, le 2, hôtel de France ;
A Nancy, le 3 octobre, Central-Hôtel r
A Bar-le-Duc, le 4, hôtel du Commerce ;
A Chaumont, le 5, hôtel du Centre" ;
A Joinville, le 6, de 8 heures à 1 heure,
hôtel du Soleil d'Or.
La brochure explicative est envoyée franco sur demande adressée à M. GLASER, à
Héricourt (Haute-Saône).
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1978
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'adresser au journal. 1963 p «tnipfinn« MotollimiOS
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' Pp S garnitures de connaissant la langue allem., LON, avoué, liquidateur. 1980 nOMUC lICkinrilCIT
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8 itB PSrdU
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