La bonne recette pour financer sa croissance

La bonne recette
pour financer sa croissance
11 juin 2014
Page 1
PROPOS INTRODUCTIFS
Marcelino BUREL
Président de l’Ordre des Experts-comptables
Page 2
IEDOM
Thierry BELTRAND
Directeur Régional
Page 3
Le financement bancaire des
entreprises
à La Réunion
Page 4
Évolution des crédits
M€
20 000
18 000
16 000
Autres (coll….)
14 000
12 000
Ménages
10 000
8 000
6 000
4 000
Entreprises
2 000
0
Page 5
Composantes des crédits aux entreprises
En millions d'euros
Evolution des principales composantes des crédits aux entreprises
8000
6000
4000
2000
0
12-05
Source : IEDOM
12-06
12-07
12-08
Crédits d'investissement
12-09
12-10
Crédits d'exploitation
12-11
Crédits à l'habitat
12-12
12-13
Autres crédits
Page 6
Répartition des crédits
par secteur d'activité et par taille d’entreprises
Services
11,8%
Agriculture
2,1%
Industries
7,7%
BTP
11,3%
PME
47%
Commerce ,
automobile
10,3%
Transports
4,2%
TPE
29%
Activités
immobilières
52,6%
GE
25%
Page 7
Le marché bancaire réunionnais est relativement
concurrentiel, même s’il reste concentré
La Réunion
IHH
1 000
2 000
Indice Herfindhal-Hirschmann : 1 550
Evolution des crédits aux entreprises par type d’établissements de crédit
50%
39%
28%
17%
6%
12-98
Prêteurs institutionnels
12-01
12-04
Banques mutualistes
12-07
Banques commerciales
12-10
12-13
Sociétés financières
Page 8
Le coût du crédit
Crédits à moyen et long terme
Découvert
5%
8%
4%
6%
3%
4%
2%
janv.-11
juil.-11
janv.-12
juil.-12
Métropole
janv.-13
juil.-13
2%
janv.-11
juil.-11
janv.-12
juil.-12
janv.-13
juil.-13
La Réunion
Autres crédits à court terme
Escompte
4%
5%
4%
3%
3%
2%
2%
1%
janv.-11
juil.-11
janv.-12
juil.-12
janv.-13
juil.-13
1%
janv.-11
juil.-11
janv.-12
juil.-12
janv.-13
juil.-13
Page 9
Fragilité du tissu économique
Evolution du taux de créances douteuses brutes
des établissements installés localement
6,5%
6,0%
5,5%
5,0%
4,5%
Point national
4,0%
12-09
06-10
12-10
06-11
12-11
06-12
12-12
06-13
12-13
Répartition des entreprises cotées selon leur cote de crédit
France métropolitaine
La Réunion
0%
50%
Cote 3
Cote 4
Cote 5
100%
Cote 6
Cotes 8, 9 et P
Source : FIBEN
Page 10
Définition des grands équilibres financiers :
le FR
Marcelino BUREL
Président de l’Ordre des Experts-comptables
Page 11
Intérêt de l’analyse financière
L’analyse
financière
permet
d’apprécier :
• La sécurité de l’entreprise
• La liquidité de l’entreprise
• La rentabilité de l’entreprise
Elle intéresse :
• Le chef d’entreprise et le directeur financier
• Les banques
• Les fournisseurs
• Les investisseurs
• Le personnel de l’entreprise
Page 12
Bilan fonctionnel
Actifs stables
• Actif immobilisé en
valeur brute
Actifs circulants
• Stocks
• Créances clients
Trésorerie
Passifs stables
• Capitaux propres
• Amortissements et
provisions
----------------• Provisions pour risques
et charges
• Dettes financières
•
Passifs circulants
• Fournisseurs
• Dettes fiscales et
sociales
Page 13
Mise en évidence du Fonds de Roulement (FRNG)
Actifs stables
• Actif immobilisé en
valeur brute
Fonds de Roulement
Passifs stables
• Capitaux propres
• Amortissements et
provisions
----------------• Provisions pour risques
et charges
• Dettes financières
Dans l’analyse du bilan, le Fonds de
Roulement (FRNG) représente l’excédent des
ressources stables sur les emplois stables.
Page 14
VIVERIS MANAGEMENT
Gilbert MARTIN
Directeur Exécutif
Page 15
LA BONNE RECETTE POUR FINANCER
LA CROISSANCE DES PME
11 JUIN 2014
PRÉSENTATION AU CROEC
16
Le Capital Investissement :
Source de financement stable des entreprises
Accession à des CAPITAUX LONGS & STABLES :
Fonds Propres (Actions)
Quasi Fonds Propres (Obligations convertibles en action)
Renforcement des Fonds Propres de l’Entreprise
permet d’augmenter la Capacité d’emprunt bancaire
favorisant la création de valeur par effet de levier.
Améliore l’indépendance financière de l’entreprise
Structuration de l’Entreprise
17
Le Capital Investisseur :
Un actionnaire particulier
Accession à l’expérience et aux Réseaux Professionnels des
Investisseurs
Contacts dans différents domaines (technique, commercial,
organisationnel, financier) avec l’objectif déjà indiqué d’aider
le chef d’entreprise à sortir de son isolement
Accompagnement ciblé sur les décisions majeures de
l’Entreprise (Investissements, Recrutements, Achats et Cession
d’Actifs). Pas d’intrusion dans la gestion quotidienne et
opérationnelle de l’Entreprise.
Reporting trimestriel avec l’instauration de Comités de
Suivi permettant d’analyser les tableaux de bord d’activité et le
suivi budgétaire.
18
Dispositif REUNION :
un partenariat public-privé avec la mise en place
d’un pole de capital investissement régional
Dispositif REUNION
Montant
Montant à investir
Nombre lignes à investir
Nature du fonds
RUN Développement
RUN Croissance
FIP OM 2011
10,8 M€
> = 8 M€
30
19,4 M€
> = 16 M€
13
0,82 M€
0,5 M€
6
Fonds de Capital Risque
Régional
Fonds Capital
développement et LBO
Fonds Capital
risque et Capital
dév.
(essentiellement en
(Amorçage – création,
expansion)
co-investissement)
Souscripteurs
Tickets
Entreprises cibles :
CA
100% Public
54% Privé
Région Réunion –
FEDER, AFD
CDC E, Région Réunion,
AFD, CRCAMR, CRR,
CEPAC, BR, BFCOI
100 K€ < < 500 K€
Réunion
< 3 M€
500 K€ < < 2 500 K€
Réunion
3 M€ < < 50 M€
19
100% Privé
APE – Retail
(réduction IRPP = 50
% des souscriptions)
<= 82 K€
5 DOM
Dispositif REUNION :
Investissement & Dealflow
Dispositif REUNION
RUN Développement
RUN Croissance
FIP OM 2011
Investissements au
début juin 2014
10 lignes
2,9 M€
6 lignes
7,2 M€
7 lignes
0,5 M€
2 nouvelles lignes
1,4 M€
1 nouvelle ligne
2,3 M€
57 prospects
37 prospects
(25 M€ de besoins en FP)
(56 M€ de besoins en FP)
Investissements
engagés à transformer
Deal Flow
20
34, rue Sainte Anne – 97 400 Saint Denis / 0262 21 43 52
6, allées Turcat-Méry - 13008 Marseille / 04 91 29 41 50
www.viverismanagement.com
21
84, avenue d’Iéna - 75116 Paris
T : 01 56 89 59 00
www.acg-group.eu
AFD
Olivier DELEFOSSE
Directeur Adjoint
Page 22
BRED
Frédéric CORMEROIS
Directeur Régional
Page 23
Financement des investissements
Incorporel : FDC, Droit au bail, patientèle
Corporel :
Mobilier, enseigne,
Machines, véhicules
Immobilier
Parts sociales
Page 24
Comment ?
Un prêt bancaire classique
5/7 ans maxi
> 10 ans pour l’immobilier
Garanti par l’actif (FDC, gage, hypothèque)
Caution personnelle ou SOCAMA ou BPI
Un financement de type locatif
Crédit bail, LOA
Location financière (matériel informatique)
Crédit-bail Immobilier (commercial et activité)
Page 25
Origination
Un Placement Privé de dette est une opération de
financement proposée directement à un nombre
réduit
d’investisseurs
finaux
(institutions,
compagnies d’assurance, caisse de retraite, etc.)
Page 26
Origination
Montant de dettes élevé
Sous forme d’obligations (le prêt est possible)
BRED joue le rôle d’arrangeur
Remboursement in fine le plus souvent
Durée moyenne plus longue
Diversification des sources de financement
Des taux qui restent très bas
Page 27
AFD
Olivier DELEFOSSE
Directeur Adjoint
Page 28
Le prêt direct de l’AFD
Objet
 Compléter le plan de financement bancaire d’un programme d’investissement
 Bénéficiaires
 ETI et sociétés de projet, sur tickets > 3 M€
 Principales caractéristiques :
 Prêt à LT de durée supérieure ou égale à celle des banques
 Avec schéma de sûretés similaire à celui des banques
 Prêt obligatoirement associé à un concours bancaire, sauf exceptions
 Montant du prêt plafonné à 50% de la dette bancaire…
 Taux d’intérêt au minimum égal à celui des banques
 Cas :
 Limite de risque bancaire
 Bouclage de plan de financement
 Rentabilité différée
 Ingénierie financière particulière
 Règles : complémentarité et additionnalité
L’entreprise s’adresse à sa banque ou directement à l’AFD… le plus en amont
possible !
29
Définition des grands équilibres financiers :
le BFR
Rémy AMATO
Vice-président de l’Ordre des Experts-comptables
Page 30
Mise en évidence du Besoin en Fonds de Roulement (BFR)
fait deendispose
son
activité,
l’entreprise
a des
LeDu
L’entreprise
Besoin
Fonds
aussi
de Roulement
de ressources
(BFR)
de
besoins de
financement,
il s’agit
surtoutpar
du
financement
représente
la du
différence
fait desentre
crédits
: consentis
des
stocks
créances
lesfinancement
besoins
fournisseurs
de financement
et les
différents
et et
les des
ressources
organismes
de
clients.
(État,
financement.
organismes sociaux…) avec lesquels elle
est en relation.
Actifs circulants
• Stocks
• Créances clients
Passifs circulants
• Fournisseurs
• Dettes fiscales et
sociales
Besoin en Fonds de
Roulement (BFR)
Page 31
Financer les BFR
Financer le délai clients
Cession dailly (escompte ou garantie)
Escompte de LCR
Affacturage
Financer les stocks
Ligne de crédit CT garantie par un gage sur stock (Auxiga)
Crédoc import relayé par un crédit de campagne
Page 32
Bpifrance
Christian QUERE
Directeur Inter-régional Réunion-Mayotte
Page 33
Définition des grands équilibres financiers :
la Trésorerie
Marcelino BUREL
Président de l’Ordre des Experts-comptables
Page 34
Mise en évidence de la Trésorerie Nette (TN)
Fonds de Roulement
Besoin en Fonds de
Roulement (BFR)
Trésorerie Nette positive
La Trésorerie Nette est la différente entre le
Fonds de Roulement et le Besoin en Fonds de
Roulement.
Fonds de Roulement
Trésorerie Nette
négative
Besoin en Fonds de
Roulement (BFR)
Page 35
Lien entre : Fonds de roulement, Besoin en Fonds de
roulement et Trésorerie :
schéma de TRESO POSITIVE
BFR
FR+
T+
FR+
T+
RFR
FRRFR+
T+
Page 36
Lien entre : Fonds de roulement, Besoin en Fonds de
roulement et Trésorerie :
schéma de TRESO NEGATIVE
FR+
BFR
TFRTBFR
RFR
FRTPage 37
Bpifrance
Christian QUERE
Directeur Inter-régional Réunion-Mayotte
Page 38
ALIZE Réunion / Initiative Entreprendre
Jacques GUILLAMOT
Coordinateur du dispositif Alizé Réunion
Page 39
La bonne recette
pour financer
la croissance des PME
40
Un réseau national:
27 territoires concernés
1 700 PME accompagnées
10 800 emplois créés
200 grandes entreprises partenaires
41
Principes et objectifs à la Réunion
14 grandes entreprises réunionnaises regroupées dans un tour de
table sans structure juridique formelle (pas de frais généraux),
qui mettent à disposition des PME locales des moyens humains,
et mutualisent des moyens financiers avec ceux de la Région et de
la Caisse des Dépôts :
un vrai partenariat Public / Privé
42
En quoi consiste l’aide apportée aux PME ?
• une analyse du projet et une réflexion partagée avec le dirigeant de la PME,
• une mise à disposition ponctuelle de compétences
• une participation au plan de financement du projet sous forme de prêt
d’honneur avec « effet de levier » auprès du secteur bancaire,
• une « labellisation
les compléments de financement,
» du projet de l’entreprise, utile pour obtenir
• l’ouverture de la PME à de nouveaux réseaux
43
Constitution du fonds
Les 14 entreprises apportent 420 000 € + les appuis en compétence
Participation de la Région Réunion et de la Caisse des Dépôts de 350 000 €
Montant du fonds : 770 000 €
44
Gestion du dispositif
La gestion administrative et financière du dispositif
confiée à un opérateur local :
Initiative Réunion Entreprendre
6 bis route de Savanna
97460 Saint Paul
45
Caractéristiques du prêt d’honneur
Montant du prêt d’honneur : 50 000 € maxi par projet
Durée de remboursement : 60 mois
Différé maximum : 6 mois
Couplage bancaire : effet de levier à minima de 1 pour 1
( en moyenne de l’ordre de 4)
Accompagné d’appuis en compétences si souhaités
46
PME éligibles
- PME de plus de 3 ans ( au moins 2 bilans comptables)
- Entreprise saine et à jour de ses obligations fiscales et sociales
- Entreprise présentant un réel projet de développement
- Obligation de créer au minimum 3 emplois dans son projet.
- Implantation de l’entreprise sur le territoire réunionnais
47
Contact:
Initiative Réunion Entreprendre
Stéphane LAOUSSING
02 62 55 26 44
[email protected]
48
IEDOM
Olivier BOLON
Responsable du Service Entreprises
Page 49
Direction générale des Activités Fiduciaires et de Place
Direction des Entreprises
La cotation Banque de France :
Une expertise performante
à travers les cycles économiques
50
Qu’est-ce que la cotation Banque de France ? (1/2)
 L’objet de la notation financière : évaluer le risque
encouru par un prêteur qui avance des fonds c’est-à-dire le
risque que l’emprunteur soit défaillant au moment de remplir
ses engagements financiers.
 la finalité plus spécifique de la cotation Banque de
France : « apprécier la capacité d’entreprises non
financières à honorer leurs engagements financiers à un
horizon de 1 à 3 ans ».
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
51
La cotation Banque de France :
un modèle original (2/2)
 L’activité de cotation
 ne concerne pas la notation des produits structurés mais
exclusivement les entreprises (non financières) et résidentes ;
 ne concerne pas que les entreprises cotées sur un marché financier
mais 260 000 entreprises résidentes (seuil de CA : 750 k€) dont
environ 2 000 à la Réunion
 Est rémunérée par les banques clientes : absence de conflits d’intérêts
;
 n’est pas rendue publique puisqu’elle concerne exclusivement la
communauté bancaire et les assureurs crédits
 est effectuée à « dire d’expert »
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
52
I - Pourquoi la Banque de France
attribue-t-elle une cotation aux entreprises
non-financières ?
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
53
I - La cotation Banque de France : son utilité
pour la mise en œuvre politique monétaire (1/2)
 La sélection de garanties pour les opérations de
refinancement des banques au sein de l’Eurosystème : les
enjeux
 L’octroi de crédit aux entreprises nécessite que les banques
se refinancent auprès de la Banque Centrale
 Parmi les supports servant au refinancement, on trouve :
• - les titres publics (OAT…)
• - les créances privées disposant des meilleures cotations de
la Banque de France: 3++, 3+,3, 4+ (et 4 depuis février 2012)
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
54
I - La cotation Banque de France : son utilité
pour la mise en œuvre politique monétaire (2/2)
 La performance du système de cotation est mesurée à l’aune du
nombre de défauts observés à l’horizon d’un an sur les
entreprises réparties selon leur classe de cotation : les défauts
doivent rester en deçà d’un plafond exigeant pour les cotes
éligibles
(Défauts = déclaration par les banques des sociétés dont le recouvrement des
encours est considéré comme compromis).
 Plafonds : 0,10 % sur cotes 3
0,40 % sur cotes 4+
1,5% sur cotes 4, éligibles à titre temporaire depuis
février 2012
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
55
II - Qu’est-ce que la cotation Banque de France ?
Quelles en sont les caractéristiques
essentielles ?
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
56
II - Une échelle d’appréciation à 12 positions
• La capacité de l’entreprise à honorer ses engagements est
:
–
–
–
–
–
–
–
–
–
excellente : 3++
très forte :
3+
cotes éligibles
forte :
3
assez forte : 4+
acceptable : 4
cote temporairement éligible
assez faible : 5+
faible :
5
très faible :
6
à surveiller, compte tenu de la présence d’au moins un incident
de paiement : 7
– menacée, compte tenu des incidents de paiement déclarés :8
– compromise, les incidents déclarés dénotant une trésorerie très
obérée :
9
– entreprise en procédure judiciaire : P
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
57
II - Une cotation destinée aux entrepreneurs et
au monde bancaire
• La cotation d’une entreprise a un caractère confidentiel et
n’est pas accessible à tous
• Elle est pour l’essentiel destinée :
• aux entreprises elles-mêmes (information gratuite
fournie par la BDF);
• aux banquiers (consultation payante via FIBEN)
• Depuis la loi de régulation bancaire et financière (22 octobre
2010), les assureurs-crédit peuvent accéder aux données
diffusées dans FIBEN, y compris à la cotation. Déclaration
en contrepartie des sinistres causés par les acheteurs (95%
du marché couvert depuis janvier 2014)
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
58
II - Le processus de cotation
Entreprises
• Documents comptables
• Données qualitatives
• Dirigeants, Associés
• Groupes …
Un expert :
l’analyste
Banque de France
Tribunaux de commerce
• Jugements
• Évènements marquants
• Dirigeants, Associés
Banquiers
• Incidents de paiements
• Encours de crédit
Cotation Banque de France
45 000 entretiens /an
Entreprises
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
Banquiers
Assureurs Crédits
59
III – Des améliorations constantes
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
60
III –Perfectionnements récents apportés à la
méthodologie
A- Une prise en compte accrue de la liquidité
o Enjeux:
• Mieux répondre à l’enjeu (croissant dans un contexte de
crise) pour les entreprises d’une bonne gestion de leur
trésorerie et pour les banques de s’assurer du bon
remboursement de leurs créances
• Leçons tirées des défaillances observées, souvent induites
par un manque de liquidité ou un déficit de flexibilité
financière
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
61
III –Perfectionnements récents apportés à la
méthodologie
Une démarche d’analyse mieux encadrée reposant désormais sur 4 phases:
• Existence de déséquilibres ou de fragilité structurels ?
Analyse
statique
• Capacité de l'entreprise à dégager des flux suffisants pour assurer sa pérennité et sa liquidité à court terme
Analyse
dynamique
• Aptitude de l'entreprise à faire face à ses échéances futures
Analyse
prospective
• Capacité de l'entreprise à faire face à des tensions actuelles ou futures de trésorerie
Flexibilité
financière
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
62
III – Modernisation de la gestion des
informations
o En aval: i-fiben, un portail internet
• accessible aux personnes physiques représentants légaux
ou dirigeants de personnes morales, ou ayant la qualité
d’entrepreneur individuel.
• qui permet de consulter en ligne les informations
recensées dans FIBEN concernant
 la personne physique elle-même (indicateur dirigeant)
 l’(es) entreprise(s) qu’elles dirigent ou représentent
Pour un droit d’accès plus facile et plus rapide
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
63
CONCLUSIONS
o Une cotation soumise à des contrôles et un suivi réguliers
o Des perfectionnements récents dans la logique de la
méthodologie existante et le respect des principes de
cotation
 Un processus performant dans la durée
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
64
Le Guide de Référence de la Cotation est disponible sous :
http://www.fiben.fr
Rubrique « Téléchargement »
BANQUE DE FRANCE – Direction des entreprises
65
Questions / Réponses
Page 66
Didier ROBERT
Président du Conseil Régional de La Réunion
Page 67
Merci de votre attention
Page 68