BET BIANCHI BET Bianchi- Marc Bianchi & Associés-Ingénierie De Maestri Annalisa- Directeur [email protected] 0627844333 -------------PRESENTATION : Notre équipe combine le savoir-faire technique dans le domaine du bâtiment, acquis depuis plusieurs années en matière de synthèse technique et architecturale ainsi que l’expertise dans la gestion du BIM. Nous avons développé nos pratiques et processus BIM en travaillant à la direction de synthèse et BIM Management de projets tels que La fondation Louis Vuitton de Gehry, L’Aréna Nanterre de l’architecte De Portzamparc, le Sporting d’Hiver de Rogers, l’Hôpital d’Ajaccio de AART-Inso et la fondation Luma de Gehry à Arles etc... Nous accompagnons également des bureaux d’études d’ingénieurs et architectes au développement de leurs pratiques BIM en mettant notre savoir-faire au service de leurs besoins pour des projets (Création et gestion de protocoles BIM, modélisation, développement d’outils informatiques…). De la phase de conception à l’exploitation nos équipes sont donc capables de synthétiser les éléments constituant le projet pour créer une maquette (modélisation) et la mettre en relation avec les différents intervenants au projet (gestion). L’équipe permanente est composé d’architectes et ingénieurs qui sont repartis sur rôles différents: Directeurs de synthèse, Responsables de synthèse, BIM Manageurs et Dessinateurs projeteurs et une assistante de direction. Les équipes du BET collaborent sous la direction de Mme. De Maestri. Centre Hospitalier Ajaccio : architecte AART, image MBA-Ingénierie, notre mission BIM Management conceptionexe BET BIANCHI Etude de conception TCE en BIM, bâtiment à usage mixte Image- MBA-Ingénierie notre mission études techniques , modélisation et gestion des productions BIM 3D-2D, développement d’outils. Etude de synthèse TCE, bâtiment résidentiel +commerce, image MBA-Ingénierie notre mission BIM Management et Synthèse et modélisation BET BIANCHI Fondation Louis Vuitton, image LVMH- notre mission BIM Management et Synthèse et modélisation de fabrication 1. Quelles sont selon vous, dans l’intérêt collectif, les composantes les plus prometteuses de la numérisation de la filière, en général et du BIM (Bâtiment et Informations Modélisés) en particulier ? Quels en sont, pour chacune d’elle, les apports principaux (organisationnels, réduction des coûts, augmentation de la qualité, réduction des délais, gains de productivité, etc.) ? La composante la plus prometteuse du BIM est celle qui concerne la collaboration des acteurs autour d’une base d’information cohérente et unique. Pour que cette composante fonctionne il faut que les acteurs du processus soient dans les conditions de pouvoir partager leurs données, dans le respect de leur prestation métier. Cette composante intègre donc une forte partie de management. Ceci permet dès le démarrage d’un projet, d’anticiper les problématiques et de développer un processus BIM flexible et coordonné, permettant d’aider les intervenants à interagir dans un cadre optimisé d’échanges. La composante informatique et modélisation est surement celle qui a déjà fait ses preuves de façon plus tangible tout le long du processus BIM. L’automatisation des processus permet de gagner du temps de production et de qualité de production. Si le processus BIM n’est pas conçu pou répondre correctement à la demande, ces outils peuvent devenir très laborieux d’utilisation. La pratique du BIM nous as permis de démontrer que grâce à ces outils et procédés de management nous avons pu aider les concepteurs et les entrepreneurs à gagner en qualité de production (base de données organisées, diminution des erreurs de production, anticipation des problématiques), optimisation des productions (développement d’automatismes de productions, amélioration du flux de gestions des informations, analyse de la qualité des données fluide, contrôle du bâti…). Ceci a demandé un investissement de départ qui à permis un gain considérable ( de temps , de qualité et donc d’argent) selon les différentes applications 2. Quels en sont les freins (juridiques, financiers, techniques, organisationnels, propriété intellectuelle, manque de compétences, etc.) ? La culture, les habitudes et le manque de compétences/formation qui amènent rapidement à des soucis contractuels ont été des freins considérables au développement du processus. Lors de nos expériences de travail à l’international et avec des partenaires internationaux, nous avons pu constater que le sujet du BIM avait été affronté de le départ comme un sujet positif au tour des gains possibles, et non des freins. Question de culture, d’habitudes et surement d’implication diverses des acteurs dans le processus (responsabilités..) Nous avons par contre constaté que si la volonté du Maitre d’Ouvrage est forte et claire dans la volonté de développer des projets en BIM, dans ce cas les freins cités se réduisent dans des délais mineurs. La technologie n’a été en aucun cas un frein au développement du BIM, bien qu’elle doive encore faire des efforts importants pour s’approcher des réels besoin des différents acteurs du BIM. 3. Quels sont les domaines d’applications que vous imagineriez, le long du cycle de vie du bâtiment ? BET BIANCHI Nous avons pu expérimenter l’application du BIM de la conception à la gestion du patrimoine, sur des projets allant de 2000m² à 100.000m². Ceci nous a permis aujourd’hui de vérifier l’utilité des applications BIM sur toute la chaine de la création/rénovation d’un bâtiment. Nous avons eu des très bons résultats (en termes d’économies et de qualité) pour les projets qui demande une gestion importante des informations (exemple les hôpitaux) : développement de la conception du processus BIM afin de respecter et contrôler l’évolution du programme, vérification des métrés, synthèse tout corps d’état, gestion de volumes d’informations importants, calculs des pertes des charges… Pour les projets de rénovation l’utilisation des techniques de relevé scann a été précieux pour la création d’une base d’informations cohérentes, mais également pour la vérification du bâti construit. De ces expériences nous en avons conclu que tous les métiers de conception, exécution et gestion d’un projet peuvent trouver dans le BIM un allié précieux, à condition que les processus soit créé de façon cohérente avec les attentes et les besoins du projet et des clients en suivant les évolutions du projet. 4. Qu’attendez-vous du rôle des pouvoirs publics dans le développement du numérique dans la construction ? Règlementation des standards et application systématique des processus BIM pour les projets publics :sans imposer les façons/technologie grâce à laquelle nous devons arriver à satisfaire le besoin mais en explicitant les besoins finaux au quel ces procédés doivent arriver. 5. Quelles sont les mesures concrètes, et leur séquençage, que vous préconiseriez pour le développement du numérique et du BIM ? 1. Support au changement culturel : le BIM est un processus, le BIM n’est pas un logiciel. Ce simple point de départ pourrait aider plusieurs professionnels à ne pas tomber dans la question : « quel est le meilleur logiciel pour faire du BIM ? ». 2. Formations spécifiques accompagné d’apprentissage : connaissance du bâtiment et de la construction, du management, des technologies appliquées aux différents métiers de la filière. 3. Evolution contractuelle
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