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bulletin·
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pour une école juste,
efficace et stimulante
Septembre 2014 - no 171
JAB 1005 Lausanne
Ecole enfantine : comment bien démarrer l’école
2
actus
apé-Vaud
Prix BCV
3-10 dossier
L’école enfantine
5 Rapport
d’activité
2013
11 divers
Offre d’emploi
12 agenda
édito ·
En 2004, le canton de Vaud comptait quelques
3’000 places d’accueil parascolaire pour 82’000
élèves. Faute de solution adéquate, des milliers
d’écoliers vaudois, la clé autour du cou, se
retrouvaient seuls chez eux à midi et après l’école.
Sollicitées par leurs membres, les APE s’étaient
du coup attaquées à cette problématique : tandis
que les comités multipliaient les enquêtes, certains
groupes créaient des structures bénévoles, alors
que d’autres intervenaient
sur
le
plan
politique.
Parallèlement, le débat interne
battait son plein : quel accueil
parascolaire envisager, pour
quelle tranche d’âge, avec quel encadrement et,
bien sûr, à quel prix ? Pour aboutir à un constat :
que ce soit par choix ou par nécessité, l’activité
professionnelle des mères de famille était en
constante augmentation et, au vu des horaires
scolaires, l’offre d’accueil de jour ne pouvait
s’arrêter à 4 ans. Et puisque nos édiles optaient pour
la politique de l’autruche, il fallait les sensibiliser.
Devant un parterre - clairsemé - de journalistes,
notre association s’est donc fait la voix des
parents en présentant le fruit d’un vaste travail
collectif : un état des lieux sur l’accueil parascolaire
qui mettait en lumière les besoins des familles et le
fossé existant entre la capitale et le reste du canton.
Profitant ensuite des échéances politiques, l’apé
a régulièrement remis cette question à l’ordre
du jour. Ces efforts ont trouvé un écho inespéré
auprès des parlementaires vaudois, qui ont
souhaité ancrer dans la constitution l’obligation
pour les communes de mettre en place un
accueil parascolaire pour tout écolier dont les
parents en faisaient la demande, comme le stipule
HarmoS. C’est ainsi que, le 27 septembre 2009,
le peuple acceptait à 70% une initiative dans ce
sens, maladroitement intitulée « école à journée
continue ». Le soutien de l’ensemble des groupes
APE à cette initiative a été
massif : s’il n’était pas question
d’obliger tous les enfants à
rester manger à l’école à midi,
il devenait impératif de mieux
concilier l’organisation familiale, les rythmes
scolaires et la vie professionnelle.
Aujourd’hui, alors que le reste des dispositions
d’HarmoS sont en application, la généralisation de
l’offre d’accueil parascolaire attend toujours : nos
élus cherchent encore la clé… de la répartition
des charges. Certes, 4’000 nouvelles places
ont été créées ces dix dernières années et des
cantines ont vu le jour. Mais les listes d’attente
ne raccourcissent pas et trop d’enfants ont encore
la clé autour du cou. C’est pourquoi, à l’occasion
des 5 ans de cette votation, et afin de rappeler à
nos politiques les attentes des parents, l’apé vous
invite, symboliquement, à revoter. Rendez-vous
sur ape-vaud.ch d’ici le 27 septembre 2014 et
faites passer le message !
Accueil parascolaire :
Revotez avec l’apé !
Barbara de Kerchove, Présidente
actus apé-vaud
Réunis en Assemblée générale des délégués dans les locaux de l’Ecole cantonale d’art (ECAL),
les représentants des 40 groupes locaux de l’apé-Vaud ont adopté trois résolutions qui visent à
-réduire la pression sur les élèves de 8P pour une orientation en voie prégymnasiale, grâce à une meilleure information des élèves et de leurs parents sur l’organisation du secondaire, sa perméabilité et ses débouchés,
-améliorer le fonctionnement des conseils d’établissement,
-soutenir l’enseignement des langues secondes (allemand puis anglais) au primaire en encourageant à davantage de souplesse dans cet enseignement.
Pour le détail des résolutions: www.ape-vaud.ch
L’apé-Vaud fait peau neuve! Après près de 15 ans de bons et loyaux services, le site internet de l’association
cantonale a fait place à une nouvelle formule, plus vivante, plus colorée et dotée d’un graphisme aux
couleurs de l’apé. Agrémenté de photos, il sera régulièrement mis à jour. C’est grâce à l’énergie et aux
nombreuses heures de travail en grande partie bénévoles de Marianne Jaquet, graphiste du Bulletin, que
cette nouvelle interface a pu voir le jour. N’hésitez pas à nous rendre visite régulièrement! Et surtout,
dès que possible, allez re-voter en faveur d’une meilleure offre d’accueil parascolaire (voir édito) www.
ape-vaud.ch
Le 11 juin 2014 sera une date à retenir dans les annales de l’apé-Vaud. En effet, pour la première
fois en 45 ans d’existence, l’association s’est vu remettre le prix du domaine social de la Fondation
BCV pour le projet “Tous différents, tous élèves” destiné à accompagner les parents d’élèves
dans le cadre de la mise en œuvre de la future Loi sur la pédagogie spécialisée. Grâce à un pôle
d’information renforcé et la formation de parents-ressources, notre association souhaite représenter, à l’image de l’école,
l’ensemble des parents d’élèves.
Le comité cantonal de l’apé-Vaud a exprimé sa gratitude à la Fondation BCV : ce prix est plus qu’une marque de confiance,
c’est la reconnaissance du travail accompli jusqu’ici par des milliers de parents d’élèves de ce canton depuis bientôt un
demi-siècle, ainsi qu’un précieux soutien à notre engagement citoyen en faveur d’une école qui permette à chaque enfant
de trouver sa place dans la société.
Le 23 juin dernier, le comité cantonal a rencontré Madame Lyon, Cheffe du Département de la
Formation, de la Jeunesse et de la Culture afin de faire le point après une année de mise en œuvre de la
LEO. Différents points étaient à l’ordre du jour de cet échange : les dérogations aux zones de recrutement
scolaire, le contenu et les modalités d’accès au dossier scolaire de l’élève, les commentaires devant
accompagner les résultats de fin de semestre, ainsi que les résolutions votées en AG par nos délégués.
Madame Lyon, ainsi que le Directeur général de l’enseignement obligatoire, Monsieur Bouquet, et le
Directeur pédagogique, Monsieur Martin, ont pris acte des requêtes de l’apé-Vaud et apporté quelques
réponses : dans l’attente de la mise en œuvre de l’école à journée continue, davantage de pragmatisme
prévaudra concernant les dérogations aux zones de recrutement, comme l’avait demandé l’association.
Ils travailleront aussi à mettre en lumière le rôle clé des conseils d’établissement en matière d’accueil
parascolaire et concernant les transports, afin que leurs actions s’en trouvent renforcées. Par ailleurs, avec quelques 2,5%
des élèves passés de VG à VP en cours ou à la fin de leur 9ème année, l’école démontre qu’elle peut dorénavant mieux
prendre en compte la diversité des rythmes des enfants dans leur parcours scolaire. A notre demande, Mme Lyon s’est
engagée à ce que les services de la DGEO s’emploient à améliorer la communication quant à la perméabilité du système
et à rendre visible les bonnes pratiques des établissements à cet égard.
Enfin, en tant que cheffe de la CIIP, Madame Lyon a salué l’engagement de l’apé-Vaud et de sa faîtière romande en faveur
de l’enseignement des langues secondes : cet appui est précieux compte-tenu du contexte politique actuel. Si l’association
se réjouit que cette nouvelle année scolaire soit placée sous le signe du plurilinguisme, elle invite l’école à faire preuve de
souplesse et de créativité dans l’enseignement des langues, afin que tous ces efforts ne soient pas vains.
2
dossier
École enfantine obligatoire : une chance à ne pas gâcher ·
Au sein du parcours scolaire de chaque enfant, les deux années d’école enfantine se distinguent des autres
sur bien des points. Leur nouveau caractère obligatoire et la réorganisation du système qui en découle
permettront-ils de sauvegarder ces spécificités ?
Texte : Violaine Vidal
Illustrations : Ariane de Nyzankowsky - Koux
Avant l’arrivée d’HarmoS et la volonté
d’harmoniser les différents systèmes
scolaires en Suisse, chaque canton était
libre de décider de la manière dont les
enfants de 4 et 5 ans seraient pris en
charge. Dans le canton de Vaud, où
la fréquentation des enfantines était
jusqu’à présent facultative et décidée
par les parents, le choix de placer ces
enfants dans un cadre scolaire plutôt
que dans d’autres types structures –
privées ou publiques – est fait depuis
longtemps par une grande majorité
de ces derniers. Le fait que l’école
soit devenue obligatoire dès 4 ans
n’a donc pas suscité beaucoup de
débats au sein des milieux politiques,
professionnels ou sociaux. Cependant,
cette obligation amenant certaines
contraintes, telles que la mise en
place d’un programme commun –
repris dans le Plan d’études romand
(PER) –, certains parents et enseignants
s’inquiètent
des
conséquences
collatérales d’un tel changement.
En effet, les classes enfantines étant
considérées comme très spécifiques du
point de vue de l’apprentissage et de
leur organisation, il s’agit de négocier
ce tournant de manière intelligente
pour que soit évitée ce qu’on a appelé
la «primarisation» de l’école enfantine.
A savoir le plaquage simple et non
réfléchi du système primaire sur ces
deux premières années.
Scolarisation précoce positive
L’idée même de l’obligation de
scolarisation à 4 ans est, elle, plutôt
bien passée. Il faut dire que les
professionnels de l’école et de la petite
enfance ont depuis longtemps saisi
l’importance de ces deux premières
années pour les enfants, et leur impact
primordial sur la manière dont va se
dérouler le reste de leur scolarité.
Plusieurs études internationales et
nationales démontrent en effet que les
enfants, surtout ceux issus de milieux
défavorisés, sont gagnants à être pris
en charge scolairement de manière
précoce dans des établissements
publics ou privés. En plus de favoriser
leur développement cognitif et social,
cette prise en charge développe leur
bien-être individuel. Elle favorise
également la réduction des inégalités
et la détection et la prise en charge
précoce des enfants à besoins
particuliers. Enfin, elle permet une
meilleure cohésion sociale.
3
En Suisse, depuis les années nonante
déjà, la CDIP prenait la mesure de
l’importance de l’école enfantine en
réalisant plusieurs études sur le sujet.
Avec l’élaboration du concordat
HarmoS, d’autres recherches venaient
appuyer encore l’intérêt d’une entrée
à l’école dès 4 ans. Bref, il n’est plus
besoin de démontrer aujourd’hui
l’impact sans équivalent sur les élèves
et sur la société en général de nos
années enfantines. Leur entrée dans
l’école obligatoire est aussi, en ce sens,
une reconnaissance de la valeur et de
l’importance du travail fourni par les
enseignants de ces deux premières
années.
dossier
deux premières années implique de
fait une manière bien spécifique de
transmettre les savoirs et d’organiser la
classe, mais aussi la manière de garder
des traces et de rendre compte du
travail des enfants. La place du jeu y est
aussi très importante, notamment le jeu
libre. À cet âge-là, les enfants réalisent
par jeu des choses qu’ils ne feraient
pas s’ils étaient obligés de les faire lors
d’un apprentissage classique. Enfin, la
notion de socialisation est également
primordiale.
exemple, et contrairement à ce
qu’imaginent ou craignent certains, il
n’est inscrit nulle part que les enfants
doivent savoir lire à la fin de la
deuxième année. Au contraire, le PER
fait bien la distinction entre les deux
premières années du cycle, où « l’enfant
reconnaîtra quelques mots (prénoms,
mots familiers, par exemple) », et les
deux années suivantes où il apprendra
« à écrire de courtes phrases et petits
textes respectant les règles d’accord
élémentaires, par exemple ».
Lieu de transitions
Le PER, nouvelle référence
Quid de l’évaluation ?
Mais pour bien comprendre les enjeux,
il faut avoir en tête les spécificités du
premier cycle (1 à 4P) et en particulier
de l’école enfantine – qui, rappelons-le,
garde son nom dans le canton de
Vaud, même avec la mise en place
d’HarmoS. Ce premier cycle est un
lieu de transitions multiples : d’enfant
à élève, d’un apprentissage spontané à
un apprentissage structuré, de la famille
à l’école… Il s’y opère un véritable
changement de posture, au cours
duquel les objets familiers et autres qui
entourent les enfants deviennent des
objets d’apprentissage. Par exemple,
la pomme ne sera plus simplement
quelque chose que l’on croque,
mais un fruit dont on peut étudier les
caractéristiques et qui peut être classé
dans une catégorie d’aliments. A la fin
de ces quatre années, l’élève devrait
être capable de véritablement entrer
dans différentes disciplines et de suivre
un programme imposé. On imagine
donc à quel point elles peuvent être
déterminantes pour le bon déroulement
du reste de la scolarité.
Ces aspects, on les retrouvait de
manière claire dans le programme que
suivait l’école enfantine facultative,
rédigé par la Conférence suisse des
directeurs cantonaux de l’instruction
publique (CDIP) en 1992 et 1993
et qui distinguait clairement l’école
enfantine de l’école primaire. Le PER,
en vigueur depuis 2012, a tenté de
conserver les particularités de ces
deux années, du moins sur le papier.
Il y instaure des démarches plus
transmissives de connaissances et de
compétences, mais il insiste aussi sur
la diversité des enfants en première
enfantine et sur le fait que chaque
élève doit y « construire les instruments
favorisant son intégration dans le
monde scolaire et ses apprentissages ».
Il décrit par ailleurs les trois aspects
essentiels autour desquels s’organisent
les activités: la vie avec les autres, les
premiers apprentissages scolaires et la
mise en place de méthodes de travail.
Le programme qu’il impose n’est en
somme pas si différent de ce que
faisaient déjà beaucoup d’enseignants
dans notre canton. En français par
Mais,
au-delà
du
programme,
c’est l’évaluation qui en découle
et la transmission de celle-ci qui
pose question aux parents et aux
enseignants. Sur le sujet, le Cadre
général de l’évaluation (CGE) consacre
à chacun de ses chapitres un espace
réservé aux classes enfantines. Cette
directive explique par exemple qu’en
1ère et 2ème années, « l’évaluation est
formative et s’appuie d’une part, sur
l’observation de l’élève en situation
d’apprentissage, d’autre part, sur
ses productions qui attestent de la
progression de ses apprentissages ».
Quant à la communication des résultats
aux parents, il prescrit que « les parents
sont régulièrement informés sur la
progression des apprentissages de leur
enfant par le biais de commentaires »
et que « l’entretien doit être le mode de
communication privilégié entre l’école
et la famille ». Un point de situation
doit donc être fait avec les parents au
terme de chaque semestre, dont au
moins un sous forme d’entretien.
Si ces quatre années forment un cycle
complet, en quoi les deux premières
sont-elles différentes ? Plusieurs aspects
liés à l’enseignement et à l’organisation
au sein des enfantines peuvent être
mis en avant. D’abord, c’est à l’entrée
à l’école que l’on retrouve la plus
grande hétérogénéité : les nouveaux
élèves arrivent chacun avec leur
bagage familial et socio-culturel. Les
enseignants des classes enfantines
doivent petit à petit les mener à une
situation plus homogène où ils pourront
recevoir, pour la plupart d’entre eux, le
même apprentissage au même moment.
Ensuite, la non-maîtrise de l’écriture et
de la lecture par l’élève au cours des
4
Suite du dossier en page 9
rapport d’activités 2013
4
bulletins
12
séances de
2
numéros
de téléphone
5
au comité
cantonal
personnes
Grâce à son ancrage local, l’apé-Vaud est proche
de son public: ce sont des parents qui s’adressent
à leurs pairs. Par leurs initiatives et leurs activités
concrètes, les 40 groupes apé créent non seulement
du lien social autour de l’école, mais œuvrent à la
rendre plus intelligible à chacun pour faciliter la
collaboration entre l’école, les autorités locales et la
famille. Soucieux de faire prévaloir l’intérêt collectif
sur l’intérêt individuel, chaque comité s’engage à sa
façon pour une école qui permette à chaque enfant de
trouver sa place dans la société.
entièrement
300
Forte de près de 4000
plus de
familles,
l’Association
appels reçus
vaudoise des parents d’élèves
(apé-Vaud) fédère 40 groupes
locaux. Elle s’emploie à représenter
les parents des élèves de l’école vaudoise
auprès des différents acteurs et partenaires de
celle-ci et mène des actions destinées à améliorer le
quotidien des écolières et écoliers vaudois.
18
6000
40
commissions
internes
collaborateurs
bureau
plus de
km
parcourus dans
commissions
le canton
internes
groupes
séances de
comité cantonal
externes au CC
5
séances de
12
locaux
activités organisées
par les groupes
internet
bénévoles
21
1
400
1
site
36
commissions
CoRep
externes
de SG
270
locaux
35%
7
membres
de comités
20x
dans la
presse
conférences
et présentations
3835
membres
De son côté, le comité
cantonal
encourage
Une
20aine
de rencontres bilatérales
les synergies, veille à la
avec nos partenaires
cohérence des actions menées
et tâche de les rendre visibles
à l’échelon cantonal. Il a aussi pour
mission de susciter la réflexion et le débat autour
de thématiques transversales pour l’école vaudoise.
Quatre grands thèmes ont ainsi occupé l’association
cette année :
• la mise en œuvre de la LEO,
• les transports scolaires,
• l’école romande,
• la pédagogie spécialisée.
Que soient ici remerciés les membres actifs de notre
association pour leur engagement bénévole, fait
d’échanges, de débats, de dynamisme, d’enthousiasme
et de créativité.
Le comité cantonal
A ces occasions, mais aussi par d’autres voies, voici ce
sur quoi l’apé-Vaud a insisté :
· prévoir une information de qualité pour les parents
au sujet du nouveau système scolaire et une
explication détaillée pour chacun des cycles (primaire
I, II et secondaire),
· informer les parents avec anticipation au sujet des
ECR (épreuves cantonales de référence),
· ménager des conditions de passage des ECR adaptées
pour les enfants ayant des besoins particuliers,
· éviter la surcharge des grilles horaires et veiller à
décloisonner les matières,
· proposer un canevas aux enseignants pour les séances
de parents afin d’assurer une information de base
minimale à tous (objectifs du plan d’études, usage de
l’agenda, évaluation, contenu du dossier de l’élève,
attentes par rapport aux devoirs, aspects pratiques de
la gestion de classe). Ces séances doivent permettre de
créer des liens et fonder la confiance entre enseignants
et parents;
· utiliser les agendas comme outil de collaboration
école - famille et soigner son contenu,
· concevoir un certificat de fin de scolarité lisible et
valorisant pour les élèves de voie générale.
· le traitement des données personnelles des élèves et
les modalités d’accès à leur dossier,
· la possibilité d’accéder aux options spécifiques pour
les élèves de voie générale,
· l’assurance de la perméabilité du système ( passage
d’un niveau et d’une filière à l’autre en cours ou en fin
d’année ) pour les élèves du secondaire,
· l’organisation de la maîtrise de classe, certains élèves
de voie générale n’ayant dorénavant plus de cours
avec leur maître de classe attitré,
· la mise en place d’une nouvelle procédure de
signalement des absences rapide et efficace.
L’apé-Vaud a soutenu le postulat de la députée Catherine
Roulet demandant la mise en place d’un organe
de médiation école-famille neutre et
indépendant.
Préoccupée
par
le
risque
d’inégalité de traitement entre
établissements,
l’apé-Vaud
a suggéré la mise en place
dès que possible d’un
monitoring de la mise en
œuvre de la LEO.
Bilan : le Département a
entendu les principales
requêtes de l’association
et, mis à part le monitoring
de la LEO, y a répondu de
manière favorable.
agir
participer
collaboration
interlocuteurs priv
pour une école juste
intégrer
encoura
confiance
Une fois la LEO en vigueur, l’apé-Vaud a suivi de près les
Ecole romande et PER
· L’information des parents au sujet du Plan d'études
romand n’est pas satisfaisante. L’apé-Vaud a demandé au
Département d’améliorer sa communication et de veiller
à ce qu’un minimum d’informations soit donné aux
parents par les établissements en début d’année scolaire.
Cette requête a aussi été relayée sur le plan romand
(auprès de la CIIP) via notre faitière, la Fédération des
associations de parents d’élèves de la Suisse romande et
du Tessin (FAPERT).
réfléchir
L’apé-Vaud a suivi de près
la mise en œuvre de la Loi
sur l’enseignement obligatoire
(LEO). Pas moins de 15
rencontres ont été organisées avec
le Département de la Formation, de la
jeunesse et de la culture pour relayer les questionnements
des parents et formuler des propositions.
questions suivantes :
Dans l'intervalle, l’association a répondu aux questions
et attentes des parents et formulé des propositions
concrètes.
· L’enseignement de l’allemand et de l’anglais au
primaire est de plus en plus souvent remis en question,
tant par les politiques que par certains enseignants. Le
comité cantonal a participé à différentes réflexions sur
ce sujet pour rappeler les convictions de l’association et
son attachement à l’enseignement précoce des langues
secondes.
partenariat
Mise en œuvre
de la LEO
apolitique
les dossiers
2013
Pédagogie spécialisée
Bientôt, en vertu du nouveau Concordat sur la pédagogie
spécialisée, de plus en plus d’enfants ayant des besoins
particuliers ou porteurs de handicap seront intégrés dans
l’école dite «ordinaire».
Alors que la réussite scolaire devient une injonction
sociale toujours plus forte, l’intégration d’enfants
«différents» dans l’école ordinaire nous rappelle que
la société est plurielle. Pour l’apé-Vaud, l’approche de
cette diversité est enrichissante ; elle permet aux enfants
d’apprendre la tolérance et favorise le vivre ensemble .
dialogue constructif
Aujourd’hui cependant, certains parents craignent que
cette intégration affecte l’efficacité de l’enseignement,
voire porte préjudice à la progression des élèves ou au
réunir
Transports scolaires
respect
équité
giés
fficace et stimulante
er les potentiels
Tout en soutenant les
démarches encourageant la
mobilité douce, l’association
a dressé cette année un état des
lieux des transports scolaires.
Cette enquête a mis en lumière la
disparité des situations et la créativité
des solutions envisagées pour chacun
des lieux concernés. Il n’y a pas de réponse
uniforme à cette problématique.
informer
veiller
proposer
action citoyenne
Les
transports
scolaires
deviennent une question de
plus en plus préoccupante
pour les parents.
Le
nombre
de
situations
compliquées, où l'intérêt
des enfants paraît passer à
l'arrière-plan, semble être
en augmentation.
L’association a donc proposé quatre axes à prendre en
compte concernant la gestion des transports scolaires:
1- La gestion du temps : il faut optimiser la
coordination entre horaires et transports scolaires pour
limiter les temps d’attente avant et après l’école ainsi
que le temps passé par les élèves dans les transports,
en tenant compte de l’âge et du degré d’autonomie
des enfants.
climat scolaire. Tandis que du côté des parents d’enfants
« différents » existe la préoccupation que leurs enfants
soient stigmatisés ou deviennent les boucs émissaires de
leur classe.
Ces inquiétudes sont légitimes. Néanmoins, l’apéVaud considère que si l’ensemble des parents est
correctement informé et que ceux-ci bénéficient d’un
accompagnement adéquat, construit en collaboration
avec les établissements scolaires, afin d’être eux-mêmes
capables d’accompagner leurs enfants, ces expériences
seront bénéfiques à l’ensemble des élèves concernés.
Dans cette perspective, l’apé-Vaud a initié des actions
d’accompagnement, d’information et de soutien aux
parents, qui auront un effet démultiplicateur.
2- La sécurité dans les transports, aux haltes et aux
abords des établissements : elle est à concevoir suivant
l’âge et le degré d’autonomie des enfants. L’apé-Vaud
encourage les acteurs concernés à mettre en place des
campagnes d’information et de prévention.
3- La responsabilité et la surveillance : pour limiter les
zones grises en matière de responsabilité, la question
de la surveillance des élèves entre le temps scolaire et
les transports, dans le périmètre scolaire et à ses abords
doit faire l’objet d’une réflexion et d’une décision
concertées, au cas par cas, entre les communes, le
transporteur, les parents et l’établissement scolaire. Le
Conseil d’établissement nous semble être le lieu idéal
pour mener ces discussions.
4- La cohérence de la journée de l’écolier : transports
scolaires et organisation de la journée de l’écolier sont
deux réflexions indissociables. Une réflexion globale
et concertée doit être menée, à l’échelle de chaque
établissement, concernant l’ensemble de la journée de
l’écolier, en incluant une éventuelle prise en charge
parascolaire dans le but d’optimiser les conditions
d’apprentissage des élèves.
… présenté à l’Union
des communes vaudoises
l’état
des
lieux de l’association
concernant les Conseils
d’établissement,
Trocs
40
Accueil
groupes
apé
Café des parents
Ateliers
Conseil d’Etablissement
… rencontré les milieux
patronaux au sujet de la
certification de fin de scolarité et l'organisation du salon des
métiers,
… donné des conférences
(mise en œuvre de la LEO,
accueil parascolaire),
Apprendre à apprendre
Devoirs surveillés
Autodéfense
… fait des interventions publiques sur les
attentes des familles
auprès des étudiants
parascolaire de la Haute école pédagogique,
Conférences
Prévention
Pédibus
… rencontré l’Office d’orientation scolaire et
professionnelle dans le but d’améliorer
l’information destinée aux parents,
Bricolages
Soutien à la parentalité
Cours math et français
Commissions de prévention
Parents
Jardin des
… été consultés sur
• le Règlement d’application de
la loi sur l’éducation physique
et le sport,
• l’incorporation de civilistes dans les écoles,
• le Cadre général de
l’évaluation,
Multiculturalité
• la planification des
vacances scolaires,
Patrouilleurs
Spectacles
Nous avons aussi …
cours de langues
2013
en
bref
Pro Vélo
… organisé les Jardins
des parents, grâce à 10
groupes APE,
… répondu à plus de 250
questions ou demandes de
soutien, par voie électronique ou via la permanence
téléphonique,
… démarché différentes institutions, à
la recherche de nouveaux financements.
Nos interlocuteurs
Département de la formation de la jeunesse et de la culture
(DFJC) • Département des infrastructures et des ressources
humaines (DIRH) • Les établissements scolaires • Les
conseils d’établissements • Haute école pédagogique (HEP)
• Service de protection de la jeunesse (SPJ) • Fondation
d’accueil de jour de l’enfant (FAJE) • Fédération des
associations de parents d’élèves de la Suisse romande
et du Tessin (FAPERT) • Conférence intercantonale de
l’instruction publique (CIIP) • Pro Familia Vaud • Office
cantonal d’orientation scolaire et professionnel (OCOSP)
• Fédération patronale vaudoise • Union des communes
vaudoises (UCV) • Pédibus – ATE • CORREF • Vogay •
Société pédagogique vaudoise (SPV) • Société vaudoise des
maîtres secondaires (SVMS) • Association des directeurs
d'établissement vaudois (ADESOV) • Fédération suisse de
la Formation des parents • Pro Juventute • Dyspra’quoi
• Insieme • Aspedah • ASRIM • Association suisse pour
enfants précoces • Cerebral Vaud • ART21 • Trisomie 21 •
Autisme Suisse romande • Pro Juventute.
La version complète du rapport d’activités se trouve sur: www.ape-vaud.ch
comité cantonal apé-Vaud - av. de Rumine 2 - 1005 Lausanne
tél 021 341 90 77 - 078 689 63 63
[email protected]
dossier
Adapter les pratiques
On le voit, nulle part il n’est fait
mention de travaux significatifs, ni de
tests, ni de notes pour les enfantines. La
promotion d’une année à l’autre se fait
d’ailleurs automatiquement. Pourtant,
des termes comme « évaluation
formative » ou « documents attestant
du travail de l’élève » peuvent être
interprétés de manière très différente
d’un établissement scolaire à l’autre,
voire d’une classe à l’autre. Comme
l’expliqueAnne-Clerc Georgy dans notre
interview en page 10, les enseignants
ont souvent une image négative de
l’évaluation. Par conséquent, le stress
des maîtres d’enfantine engendré par
l’apparition de celle-ci et, surtout,
la nouvelle obligation d’effectuer un
retour structuré aux parents les amène
parfois à mettre en place des pratiques
inadaptées aux enfants de 4 ou 5 ans. Il
ne faut pas oublier qu’on n’évalue pas
un enfant de cet âge-là, qui ne maîtrise
pas l’écrit et qui n’en est qu’à l’aube
de son parcours, comme on évalue
le reste des élèves. Si l’évaluation des
élèves d’enfantine doit effectivement,
comme le précise le CGE, passer par
l’observation, elle se doit aussi de se
focaliser sur l’évolution de chaque
enfant et non sur sa capacité à produire
une trace d’une manière unique à un
moment déterminé.
travail et même à l’échange quotidien.
C’est le moment de créer une nouvelle
manière de penser l’évaluation de
l’école enfantine afin de ne pas se
contenter d’une simple primarisation
tentante mais ô combien inadaptée.
Déconstruire les fantasmes
La manière dont les enseignants et les
établissements gèrent les nouvelles
dispositions d’HarmoS, du PER et du
CGE mérite donc une attention toute
particulière. Car c’est souvent plus
par souci de bien faire et de répondre
aux nouvelles exigences que par
incompétence ou négligence que
certains d’entre eux ont mis en place des
pratiques qui se révèlent inadéquates.
Il appartient au Département de la
formation, de la jeunesse et de la
culture de les sensibiliser à la question
de l’évaluation et, surtout, de s’atteler
à déconstruire certaines fausses idées
reçues. La formation des enseignants
devrait donc forcément être au centre
des préoccupations, et c’est peut-être
là aussi que les choses coincent : dans
le canton de Vaud, les enseignants sont
Par ailleurs, on n’insistera jamais assez
sur l’importance de la transmission
orale aux parents. Le cahier de
communication, par exemple, ne
devrait servir qu’à transmettre des
informations
organisationnelles
à
ces derniers, et non être utilisé pour
débattre par écrit des progrès d’un
enfant. Ici aussi, il y a dans certains
établissement un réel effort à faire afin
de pousser les enseignants à la
rencontre avec les parents, à la vraie
discussion autour d’un objet ou d’un
9
formés pour les années allant de la
première à la huitième ! Au cours de
leur cursus, ils peuvent certes choisir
de se spécialiser dans les quatre
premières années (premier cycle) ou
les quatre dernières (deuxième cycle).
Mais, au final, rien n’interdit à un
directeur d’engager un enseignant
spécialisé dans le deuxième cycle
pour enseigner en enfantine, puisque
le diplôme est le même… C’est un
premier problème. Ensuite, ceux qui
choisissent de se spécialiser dans le
premier cycle ne suivront qu’un seul
module, en fin de parcours, qui traite
de la didactique de l’école enfantine.
C’est peu… La volonté de regrouper la
formation de tout le premier cycle est
louable : cela permet une transition
facilitée entre les enfantines et les deux
années qui suivent, ce qui n’était pas
le cas il y a une quinzaine d’année où
il y avait très peu de relation entre les
enseignants de chaque niveau. Mais
on revient toujours au même risque de
primarisation de l’école enfantine au
sens pédagogique du terme, puisque
les enseignants n’ont pas vraiment
de formation spécifique – malgré la
spécificité de ces classes, on y revient !
L’introduction de l’école enfantine
au sein de la scolarité obligatoire est
peut-être l’opportunité pour celle-ci de
prendre enfin, aux yeux des autorités
et des établissements, la place qui
lui revient : une place déterminante,
peut-être la plus importante de tout le
parcours scolaire. Il revient à chacun
d’en prendre conscience afin de
pouvoir lui accorder l’attention qu’elle
mérite et par là-même soigner comme
il se doit le démarrage scolaire de nos
enfants. C’est là tout l’enjeu de ce
passage d’un système facultatif à un
système obligatoire.
dossier
Anne Clerc-Georgy
Professeure à la HEP au sein de l’unité Enseignement,
apprentissage et évaluation.
Selon vous, quelle est la spécificité des enseignants des classes
enfantines ?
C’est un des degrés les plus difficiles pour les enseignants.
Dans un monde idéal, ils devraient avoir une maîtrise parfaite
de tous les savoirs disciplinaires. Non pas pour les enseigner,
mais parce qu’au travers de découvertes, d’activités, de jeux,
ils devraient pouvoir en faire usage tout le temps et de manière
correcte. Non seulement il faudrait avoir cette grande maîtrise,
mais il faudrait aussi être capable de sauter sur tout ce qui se
passe pour pouvoir construire les liens avec ces savoirs.
Deux élèves de classe enfantine qui produisent un même objet
ne sont pas nécessairement passés par les mêmes étapes, ce
n’est qu’en les questionnant pendant leur travail qu’on peut
avoir accès à leur manière de procéder et leur permettre d’en
prendre conscience. En fait, dans l’idéal, on ne devrait pas
séparer l’évaluation de l’enseignement, c’est le même acte.
Si on les sépare, c’est parce qu’il y a maintenant la nécessité
d’établir des bilans et d’en rendre compte officiellement. Mais
il ne faut pas perdre de vue que c’est d’abord pour enseigner
qu’on évalue.
Comment ces enseignants voient-ils le fait que l’école enfantine
est devenue obligatoire ?
Ce qui les angoisse, c’est l’apparition de l’évaluation qui en
découle. Pourtant, les enseignants de ces
classes ont toujours évalué, ils n’en avaient juste
pas forcément conscience… Ce qui a changé,
c’est qu’on leur demande d’en rendre compte.
Du coup certains établissements vont au-delà
des textes officiels parce qu’ils fantasment sur
cette attente. Je pense que cela n’avait pas forcément été bien
anticipé.
Avec quels outils ?
Je pense qu’un dossier d’apprentissage serait particulièrement
adéquat. C’est un dossier dans lequel on garde des traces de
ce qui s’est fait, dont on a discuté et qui
permettent du coup vraiment à l’enfant et
aux parents de voir qu’il y a une progression.
Or, plus on a conscience de ce qu’on
apprend, mieux on apprend. Ce dossier était
très utilisé il y a une quinzaine d’années, et
j’essaie de le remettre au goût du jour. Je pense que c’est le
bon outil, qui permet aussi d’avoir un objet autour duquel les
enseignants, l’élève et les parents peuvent discuter.
«L’évaluation doit
permettre à l’élève
de progresser»
D’où le terme de primarisation de l’école enfantine…
Oui, mais c’est une fausse primarisation : on fait semblant de faire
comme au primaire mais, du point de vue du développement et
de la maîtrise du monde de l’écrit, les enfants n’ont pas les outils
adéquats pour y faire face. L’imitation du primaire est forcément
mauvaise ! Je préférerais qu’on parle de scolarisation : les
enfantines sont des années de transition au cours desquelles les
enfants apprennent comment se comporter à l’école, comment
on y apprend, comment on y prend la parole…
Comment éviter que les enseignants concernés ne tombent
dans le piège de la primarisation ?
Il faudrait plus de formation continue, pour apprendre à ces
enseignants à rendre visible de manière saine une évaluation
qu’ils faisaient déjà, plutôt que d’en inventer une qui ne serait
pas adéquate en croyant que c’est ce qu’on attend d’eux. Il y
aurait aussi du travail à faire du côté des directions. Certains
directeurs s’informent et intègrent les enseignants dans leurs
réflexions. D’autres sont dans l’ignorance des spécificités de
ces degrés et veulent presque plaquer le système secondaire
sur celui des enfantines. Mais aucune formation n’est imposée,
ni aux enseignants ni aux directions, et ceux qui viennent vers
nous sont en général ceux qui ont déjà compris…
Quelle évaluation préconisez-vous pour ces deux premières
années ?
Je pense que tout repose sur l’observation et le questionnement.
Pensez-vous que la communication avec les parents est
importante ?
Bien sûr ! Les écoles fonctionnent beaucoup mieux et tout
le monde est gagnant quand la communication est bonne :
plus les parents seront rassurés, plus ils auront confiance en
l’établissement scolaire. L’enfant le sent ! Il est par ailleurs
important que cette communication se fasse oralement :
quand on leur demande de faire des commentaires par écrit,
les enseignants ne savent pas qu’y mettre, les parents ne
comprennent pas toujours et, surtout, ça échappe souvent à
l’enfant. Pourtant, il est primordial d’impliquer ce dernier dès
son plus jeune âge dans la compréhension de ce qui se joue lors
d’une évaluation, pour qu’il saisisse que c’est à lui qu’elle doit
servir d’abord. Elle doit lui permettre de progresser.
Que conseilleriez-vous aux parents qui craignent l’évaluation
de leur enfant ?
Je les encourage à le faire parler. A lui faire raconter ce qu’il
a fait et ce qu’il a appris quand il ramène une production à la
maison. Il faut faire de ce qui circule entre l’école et la maison
un réel sujet de discussion, et non un objet d’angoisse. Faire
comprendre à un jeune enfant qu’il a appris quelque chose,
c’est vraiment ce qui peut l’aider au mieux à progresser et à
construire une bonne relation avec l’école.
10
propos recueillis par : Violaine Vidal
photo : Source privée
Divers
L’apé-Vaud recrute !
L’association recherche son nouveau
ou sa nouvelle Secrétaire général-e
(35%), pour une entrée en fonction le 1er
novembre 2014 si possible.
Chargé-e de la mise en œuvre des décisions du comité
cantonal, le ou la secrétaire général-e de l’apé-Vaud assure la
préparation et le suivi des dossiers, des actions et des prises de
positions de l’association, ainsi que le relais entre le comité
cantonal, les groupes APE locaux et nos différents partenaires.
De formation tertiaire, possédant une aisance rédactionnelle,
de l’entregent et la capacité d’entretenir le réseau de
l’association, vous êtes également très disponible afin
d’assurer les horaires variables et consacrer du temps
supplémentaire de façon bénévole à l’association. Vous
avez bien sûr un intérêt marqué pour les questions scolaires
et connaissez le domaine. Si l’esprit d’équipe et la maîtrise
des outils informatique complètent votre profil, vous êtes la
personne qu’il nous faut !
Intéressé-e ? Adressez votre dossier, de préférence par courriel,
à Barbara de Kerchove, Présidente, [email protected]
ou Av. de Rumine 2 - 1005 Lausanne.
Par ici les familles !
Une journée pour toutes les familles, le 27 septembre
de 11h à 18h à Lausanne.
En collaboration avec plus d’une vingtaine
d’associations et institutions actives auprès des
familles – dont l’apé-Vaud –, Pro Familia Vaud vous
invite à une journée conviviale, de rencontres et
d’échanges proposée à l’occasion des 20 ans de
l’année internationale de la famille. Au programme :
animations, jeux, ateliers, stands d’informations, bar
et petite restauration.
Venez faire un tour au stand de l’association !
Plus d’infos sur: www.profamiliavaud.ch
14ème Journée internationale à pied à l’école et à Pédibus
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Dans le monde entier, le chemin
vers l’école est l’une des principales
préoccupations des parents. Le 19
septembre, 42 pays participeront
à cette manifestation au cours de
laquelle parents, grands-parents,
enseignants et responsables politiques
sont conviés à accompagner les
écoliers sur le chemin de l’école.
Fanions, ballons, badges, activités en
tout genre dans les rues et à l’école,
toutes les idées sont les bienvenues pour célébrer la mobilité
douce et de redonner vie au béton de nos rues !
Que vous accompagniez trois enfants ou une cohorte de
petits piétons, tout le monde peut participer.
Pour plus d’informations : www.ate.ch/participer.
Vous avez déménagé ou en
avez l’intention.
Faites-le nous savoir, pour
que nous puissions vous
informer de l’existence du
groupe apé le plus proche.
Vous souhaitez soutenir
les actions de l’apé-Vaud?
Vos dons sont les
bienvenus au
CCP 10-7668-1. Merci
impressum
inscrivez-vous sur www.ape-vaud.ch/ inscription
annoncez-nous vos manifestations, conférences, spectacles, etc...
délai de rédaction
adresse rédaction
Lundi 3 novembre 2014 ( parution 1er décembre)
[email protected]
bulletin réalisé par
Violaine Vidal avec le soutien de Barbara de
Kerchove, Juliane Brandt-Monnier, Denis de
Meuron
Ariane de Nyzankowsky-Koux
Marianne Jaquet, nectardesign.ch
Paperforms, Villars-Sainte-Croix
L’atelier de Peyrolaz
illustrations
mise en page
impression
étiquetage et routage
11
comité cantonal apé-Vaud
avenue de Rumine 2
1005 Lausanne
t 021 341 90 77
m 078 689 63 63
[email protected]
www.ape-vaud.ch
Tirage: 6000 exemplaires
agenda des groupes locaux
Bex
Blonay - St-Légier
• 4 septembre, Comment coacher au mieux son enfant,
Maison Picson, 9h-11h
• 19 septembre, «Les enfants, les écrans et les réseaux
sociaux», Maison Picson, 9h-11h
• 9 octobre, «Allergies, intolérances et problèmes de
comportement. Et si c’était en lien avec l’alimentation ?»,
Maison Picson, 20h-22h
• 20 novembre, Que peut apporter la relaxation à vos
enfants ?, Maison Picson, 9h-11h
Coppet (Terre Sainte)
• 11 septembre 2014, Soirée de Bienvenue (accueil
des nouveaux parents d’élèves), salle communale de
Commugny, 20h
Echichens
• 11 septembre 2014, Repas canadien, Salle polyvalente
à Echichens, 18h30.
• 20 novembre 2014, Assemblée générale, Salle de
couture à Colombier, 20h
• 30 septembre et 2 octobre 2014, Troc d’automne, Salle
polyvalente à Echichens, vente le 1er octobre de 15h30 à
18h30
• 4 septembre 2014, Bibliothèque ouverture, Collège de
Bellicot à Echichens, tous les jeudis de 15h à 16h, sauf
vacances scolaires
Plus d’informations sur : www.apeechichens.com
Ecublens
• 5 novembre 2014, Troc-Ski, grande salle du Motty,
16h-19h. Réception du matériel le 4 novembre
17h-19h30 et paiement et retrait du matériel invendu le 6
novembre 17h30-19h. Renseignements : 078 610 00 71
Ecublens & Saint-Sulpice
• 13 novembre 2014, Conférence « Les devoirs, quelle
prise de tête ! » de Mme Isabel Pérez, enseignante et
conseillère pédagogique, Espace Nicollier, Collège du
Pontet à Ecublens, 20h-22h
Renseignements 079 962 86 04
Epalinges
• 27 septembre 2014, Vente-échange des jouets,
Place de la Croix- Blanche à Epalinges, 9h-13h,
renseignements : [email protected]
• 6 décembre 2014, Cours d’auto-protection Tatout,
Salle de quartier de Bois-Murat à Epalinges, 10h-12h
pour les 4-6 ans et 13h-15h pour les 7-11 ans,
renseignements : [email protected]
Genolier et Environs (ESGE)
• 11 septembre 2014, Jardin des Parents, Salle du 700ème,
1 rue de la Cézille, 1272 Genolier, 20h-22h
• 25 septembre 2014, Conférence d’Action Innocence
sur la Prévention Internet, salle du Gossan de Genolier,
20h-22h
• 2 octobre 2014, Assemblée Générale de l’Apé ESGE,
salle du Gossan de Genolier, 20h
• 30 octobre 2014, Conférence « Les bagarres, la faute à
qui ? », salle du Gossan de Genolier, 20h-22h
• 3 décembre 2014, Information about Vaud School
System, Le Pavillon de Genolier, 20h-22h
La Sarraz-Veyron-Venoge
• 6 septembre 2014, Brocante des enfants, vente de
jouets, livres et équipements enfants, Esplanade du
Château à L’Isle, 9h-17h. Inscriptions et renseignements
078 825 20 48 (à partir de 17h) ou [email protected]
• 29 octobre et 5, 12, 19 et 26 novembre 2014, «Aider
son enfant à mieux apprendre», cours Corref, Collège
des Guébettes, rue des Guébettes à La Sarraz, 20h-22h
Inscriptions et renseignements 078 604 32 20 ou
[email protected].
Menthue et environs (APEME)
• 30 octobre, 6 et 20 novembre, 4 et 18 décembre 2014,
Aider son enfant à apprendre, Collège de Thierrens.
Renseignements et inscriptions auprès de Chantal 078
671 56 22 ou [email protected]
• 5 novembre 2014, Troc d’automne, Battoir de
Chapelle-sur-Moudon. Renseignements et inscriptions
auprès de Nicole 079 689 86 50 ou [email protected]
• 15 novembre et 5 décembre 2014, Ateliers de Noël,
Grande Salle de Boulens
Renens
• 10 septembre 2014, Jardin des Parents, Centre de
Rencontres et d’Animation, rue de la Source 3 1er étage,
Renens, 9h-11h
• 17 septembre 2014, Conférence et table ronde « Ma
langue d’origine : obstacle ou soutien à la langue
scolaire ? » de F. Rosenbaum, médiatrice linguisticoculturelle, salle polyvalente Vaudaire du collège du
Léman, Renens, 20h
• 7 octobre 2014, Conseil d’Etablissement (séance
publique), Buvette de la Salle de spectacles, rue de
Lausanne 37, Renens, 19h
• 8 octobre 2014, Conférence du Dr. Revol (Lyon)
« Eduquer, motiver nos enfants - la Génération Z »,
Grande Salle de spectacles, rue de Lausanne 37, Renens,
20h (ouverture des portes à 19h30). Entrée libre
• 28 octobre 2014, Echanges sur le thème de l’Internet
et des nouvelles technologies, Salle à confirmer, Renens,
20h
• 29 octobre 2014, Jardin des Parents, Centre de
Rencontres et d’Animation, rue de la Source 3 1er étage,
Renens, 9h-11h
• 19 novembre 2014, Conférence : « Les bagarres: la
faute à qui ? », Centre de Rencontres et d’Animation, rue
de la Source 3 1er étage, Renens, 20h-22h
• 3 décembre 2014, Jardin des Parents, Centre de
Rencontres et d’Animation, rue de la Source 3 1er étage,
Renens, 9h-11h
Vallorbe-Ballaigues-Vallon du Nozon
• 23 septembre 2014, cours les clés pour apprendre,
soirée pour les parents, 20h
• 1er octobre 2014, cours les clés pour apprendre,
après-midi pour les enfants dès la 5è année et parents,
14h. Informations sur www.ape-vallorbe.ch
• 1er novembre 2014, vide-armoires d’hiver, Maison de
Paroisse de Vallorbe, 9h-11h30
Informations sur : www.ape-vallorbe.ch
• Novembre 2014, cours de français, pour les parents
des élèves de la 3è à la 6è année.
Informations sur : www.ape-vallorbe.ch 12
Le papier que nous utilisons est certifié du label FSC.
• 9 septembre 2014, Jardin des parents, Hôtel de Ville de
Bex, 20h-22h. Renseignements : ape-bex.ch ou
024 463 32 24
• 27 septembre 2014, Gymkhana trottinette, Cour du
Collège de Bex, 10h-12h. Renseignements : ape-bex.ch
ou 024 463 32 24 Sur inscription : ape-bex.ch/contact
• 4 octobre 2014 (date de remplacement en cas de pluie
le 27 septembre), Gymkhana trottinette, Cour du Collège
de Bex, 10h-12h. Renseignements : ape-bex.ch ou 024
463 32 24. Sur inscription : ape-bex.ch/contact