1 - Kiosque Lorrain

KÏdSS? M8 î !} ! S !
^ ;-j
;■
H
B
^sr^ïï^r
|B \Jff
ELdET KHI
Wm m
■
1
111^. §
^
~T
Rédacteur en chef: LÉON
«ÊDACTIQI et ADilBSTBATK», W. BUE SA1MT-DI2IEB
Téléphone 3.21
iÇANCY, jeudi 5 décembre 1907.
r
SSfjp-
^p
Paris, 6 décembre, 4 h. 50 mat.
LE GOUVERNEMENT
| ET LES PERIODES D'INSTRUCTION
1
F
Une nouvelle conférence a eu lieu dans
la soirée de jeudi au ministère de l'intérieur au sujet de la question de réduction
(jeq périodes d'instruction des réservistes
et des territoriaux.
Le projet «sapjplet qui sera soumis vendredi à la eorSmission sénatoriale de l'arjjiéo constitue non un simple expédient,
niais un projet d'ensemble complet.
Le projet réduit la durée des deux périodes de 28 jours ; toutefois, il spécifie que
seuls en pourront en bénéficier les hommes
de la réserve ayant effectué au moins deux
ans dans l'armée active. Les autres continueront à être astreints à faire leurs 28
jours. Les deux périodes d'instruction n'auront pas la même durée, la seconde devant être moins longue de quelques jours.
En ce oui concerne la période des 13
jours, le projet prévoit des périodes de mobilisation auxquelles les territoriaux seront appelés à prendre, "art pour Uîî laps
de temps inférieur à 13 jours.
Le gouvernement indiquera dans quelle
proportion il se produira des réductions
et à quelle date, sans nuire aux intérêts
de la défense nationale, elles pourront être
mises en vigueur.
Tous les détails du projet seront défmilivement arrêtés dans une nouvelle entrevue qui aura lieu ce matin, vendredi, au
ninistère de l'intérieur. — Havas.
AU MAROC
A la frontière algérienne
MARNIA.
La colonne du colonel BranHère a occupé le marché d'Aghbal.
Ce marché est fameux. C'est là où les
chefs Miads. qui ont organisé l'agitation
actuelle, se réunissaient.
Bou-Arakou, Khalifad, Amel-Ooudjda,
a été arrêté, ce soir, et amené à Marnia.
sous escorte.
Cette arestation se rattache à l'agitation
les Beni-Snassen.
—
SUR LA COTE OCCIDENTALE
=
~
~
I
:
"
i
«
TANGER, 5 décembre. — Suivant une
dépêche de Marakesch, en date du 23, MoulaïBafid a fait arrêter la famille de Ouled-Ké)ir, chef d'une mehalla d'Abd-el-Aziz.
Dans cette famille, se trouve Osmar-Zeàd, protégé français.
On a arrêté aussi deux caïds de la tribu
les Schaghaa, qui avaient essayé de reCindre la mehalla d'Abd-el-Aziz.
TANGER, 5 décembre. — Jne dépêche de
tfogador, datée du 29 novembre, confirne que le caïd Anflous (commandant d'ule mehalla d'Abd-El-Aziz) a été attaqué,
e 23 novembre, par les troupes de Mouaï-Hafld.
La victoire du caïd Anflous a été comilète. Il a fait 52 prisonniers et quatre
Êtes de caïds ont été coupées et envoyées
t Mogador pour v être exposées.
Le caïd des Anflous a demandé des ren>rts pour repousser l'ennemi, qui se reforte en arrière, et qui serait lui-même renircé.
, . ,
-Des troupes devant aller à Safi rejoindre
l caïd Anflous, avec des mitrailleuses,
»it attendues incesssamment.
TANGER.
Une dépêche de Marakech, 1er
Membre, dit qu'âne mehalla est partie relindre celle de Mou '.-ï-Hafid.
On ignore la direction que prendra ce
îrnier.
, \
TANGER.
Moulaï-IIafid a enjoint a tous
s chefs de tribu de se joindre à lui.
La population a profané le cimetière
irétien de Marakesch.
TAN4ER.
Moulaï-Hafld se trouverait a
x milles de Mazagan, avec de nombreus troupôs
Il aurait enjoint aux troupes d'Abd-eldz d'évacuer les lieux.
La population de Mazagan est conster-
—
I
--
1
:
=
—
—
Moulaï-Hafid aurait envoyé aussi
ehalla contre Mogactar.
Havas.
—
une
LE SORT DU « PATRIE »
(Ecosse). — La compagnie de
ivigation Gessen reçoit un télégramme
sant qu'un de ses capitaines déclare
?oir aperçu le « Patrie », hier, par o«°
; longitude et 48° de latitude, et qu il
arch'àit rapidement vers le nord.
GLASCOW
Le successeur du « Patrie »
Les journaux publient ce matin, une lete du ministre de la guerre à M. Deutscn
e la Meurthe), le remerciant de son offre
i dirigeable « Vffle-de-Paris », qui est acpté, en lui exprimant sa vive reconnaisse.
'FIN DE LA DERNIERE HEURE
NOS PORTS
at l'incurie parlementaire
1—•
I
[
I
I
j
|
!
|
S» De 1870 à 1899, Hambourg a progressé
de plus de 6 millions de tonnes, Gênes
de plus de 3 m:"ions,Brême de 1,750,000;
pendant ce temps, si Marseille présente
un pain de 2,750,000 tonnes, le Havre ne
s'est accru que de 969,000 tonnes et Bordeaux de 457,000. Les résultats de F expérience sont donc concluants et justifient
d'une façon indéniable l'établissement
de la franchise. Notre intérêt nous commando de mettre à profit cette institution afin de donner une impulsion salu'taire à notre commerce extérieur et de
'ranimer notre marine marchande.
« Pourquoi ne le faisons-nous pas ? Uni*ltteiuent parce que chez nous la Chamhro des députés perd son temps et abu*e du nôUe en Intcrpelîa-tioiM inutiles,
. Siseuses.
t( Jacques SIEGFRIED,
a Président du Comité des conseillers
% du Commerça extériexir. a
^P
B
I 1
fel
\m
Les ïig-it
an pi de vue
strictement militaire
Nous ne pensons pas que la Chambre ait été bien inspirée en réduisant la
durée des périodes d'instruction.
Ce n'est pas, en effet, au moment où
les charges du service militaire actif
viennent d'être réduites d'un tiers, ce
qui constitue un avantage énorme, qu'il
convient de diminuer les périodes d'instruction — à moins qu'on ne veuille de
parti pris détraquer toute l'organisation
militaire.
On le sait, nous l'avons déjà écrit ici,
la force principal, essentielle de l'armée ne réside plus dans l'armée active,
elle réside désormais dans ses réserves.
L'armée active n'est plus qu'une armée d'encadrement pour ainsi dire,
puisqu'elle ne comprend que deux classes — dont une seule pourra toujours
être considérée comme instruite, ayant
parcouru le cycle de l'instruction — la
2° classe, suivant l'époque où se fera la
mobilisation sera à peine instruite ou
même pas du tout.
Mais prenons le moment le plus favorable.
DE NOTRE PRÉCÉDENTE ÉDITI0H
On adopte le budget des
conventions,
chapitre réservé).
L'interpellation dont il a été question au
cours de la séance relative, au matériel
des chemins de fer et à la crise des transports, est fixée à la suite du projet sur là
dévolution des biens ecclésiastiques.
La séance est levée.
Demain discussion de la loi de financés.
♦
j
Télégramme commercial
(Bourse du commerce)
Chiffres fournis par la maison Roger Bojlackei Oie
Paris, 5 décembre, 2 h. 10 soir.
DÉCEMBRE PBEMÏBBS
Avoines (100 kil.)
Blés (100 kil.)
Farinas (100 Ml.)
Lin
Huiles (100 kiM
Alcool (f hecleM
Sucres
17
22
29
51
86 50 a
39
88
45
..
90
..
8D 75
75
37
17 70
22 80
30 05
50 50
81 50
40 75
88 -67
6
CHRofflEWCÀLB 1 50
1
—■«MMaf *-<,Mr
n==^
SALLE D'EXPOSITION, DE PUBLICITÉ ET DE DÉPÊCHES
OOULETTE
Nouvelles Diverses
«>—
Jfft H l^kH
li
B
11
lui
111
H
ILJf
g lyi
|| 1
au Point Central de la Ville.
du colonel Branlière. Elle est forte de « bataillons, de 3 escadrons, une batterie de 75,
de 2 sections d'artillerie de montagne, et
d'un goum de 150 cavaliers.
Cette colonne opérera dans la plaine des
Triffas.
La 2° colonne est sous les ordres du colonel Félineau. Elle comprend le même effectif que la colonne précédente, et opérera dans la plaine d'Arghbal.
En arrière, le général Lyautey a établi,
sous les ordres du colonel Bachung, une
h>ne fixe de défense, avec quatre points
d'appui, aux endroits ci-dessous désignés :
1° A Menasseb-Kiss, avec un bataillon et
une section de montagne.
2° A Birrou, avec un bataillon et demi et
une section de 75.
3° A Bab-El-Assa, avec un demi-bataillon.
4° A Sidi-Bou-Djennam, avec un demibataillon.
Enfin, le général Lyautey constituera à
Marnia, en arrière de la ligne de défense,
une réserve composée d'un bataillon, d'une
section de 75 et d'un escadron.
Un escadron et le goum de Marnia seront chargés d'établir un contact permanent entre les lignes de défense et la réserve.
SÉNAT
—
Nous pourrions ajouter qu'il est de
toute nécessité de faire exécuter, avant
le départ pour les manœuvres, quelques
tirs à la cible ou un ou deux tirs collectifs — l'instruction du tir étant de plus
en plus importante. Pour remplir ce
programme préparatoire aux grandes
manœuvres, dix jours ne nous paraissent pas un chiffre exagéré, d'autant
qu'en diminuant un dimanche et un
jour pour l'habillement, il n'en reste
plus que huit.
La durée des grandes manœuvres est
1
I1
de quinze jours d'une façon générale.
Rien n'empêcbe et nous serions mente
tout à fait de cet avis, de renvoyer les
Séance âu jeudi 5 décembre
réservistes dès le lendemain des granSéance ouverte à 2 heures 45, sous la
des manœuvres — même par voies fer- présidence de M. Dubost, président.
Ou valide l'élection de M. Camoin, dans
rées. Le réserviste n'a plus rien à faire la Somme, puis on reprend, à l'article 3,
sous les drapeaux, dès la fin des ma- la suite de la discussion de la proposition relative à Félection des Chambres do
nœuvres, il le sent bien, aussi tout re- commerce.
M. Savary, rapporteur, parle en faveur
tard mis à le renvoyer,produit très maudu texte proposé par la commission,
vais effet. Il a payé sa dette,il est quitte,
La séance continue.— Havas.
Après une intervention de M. Touron et
il a hâte, grande hâte d'aller reprendre
une autre de M. Leydet, l'artiote 3 est
ses occupations, revoir ses affaires per- adopté.
Les articles 4, 5, 6, sont atîeptée.
sonnelles, et il a raison — les réservisSuf l'article 6, M. Prevét obtient «jue les
tes ne sont pas convoqués pour être em- contributions aux dépenses des Chambres
ployés à des travaux d'intérieur sur- de commerce seront supportées par tous
les patentés et non par les électeurs seuls.
tout après les manœuvres. Tout leur
Les articles 7, 8, 9 et dernier sont adoptemps devant être consacré à d'instruc- tés, ainsi que l'ensemble de la loi.
•»
tion et uniquement à l'instruction.
L'ordre du jour appelle la suite de la
Dans les corps d'armée n'accomplis- première délibération sur les propositions
sant que des périodes de huit ou dix de loi relative à la réglementation des débits de boissons.
jours, on opérerait de même, le réserM. Hennequin, commissaire du gouverviste serait ainsi renvoyé après dix-huit nement, demande l'ajournement qui n'est
pas accordé.
ou vingt jours, tant mieux pour lui.
L'article 1 est adopté.
M. Maxime Lecomte, sur l'article 2, déMais le principe des 28 jours subsisteclare que les prohibitions contenues dans
rait quand même et il suffirait au mi- la proposition de loi seront suffisantes
nistre, de prescrire, comme il en a le pour enrayer l'alcoolisme. II réclame des
mesures énergiques.
droit, le renvoi des hommes de la réserM. Méline. — Vous ne les voteriez pas.
Après une intervention du rapporteur,
ve dès le lendemain des manœuvres.
l'article 2 est adopté.
Dans un prochain article, nous nous
Les dix derniers articles, et l'ensemble
occuperons de la période des terri(o- du projet de loi sont adoptés.
La séance est levée. Séance lundi.
riaux.
L'-colonel COQUINET.
Séance du jeudi 5 décembre (malin)
Séance ouverte à 9 heures 15, sous la
présidence de M. Rabier, un des vice-présidents.
Le budget {suite)
Supposons que da mobilisation ait lieu
On adopte les divers chapitres du budget
lorsque la plus jeune classe sera consi- des troupes coloniales, ainsi que les chapitres qui avaient été réservés lors de la disdérée comme mobilisable — c'est-à-dire cussion du budget des colonies, après des
vers mi-janvier — il n'en restera pas déclarations rassurantes de M. Doumer,
ancien gouverneur général de l'Indo-Chimoins que nous n'aurons que deux clas- ne, concernant la défense de cette colonie.
On adonte aussi le budget des cuites et
ses sous les drapeaux au lieu de 25 ;
les chapitres du budget des beaux-arts, qui
nous avons donc raison de dire que no- avaient été réservés, puis on aborde la distre armée n'est presque plus qu'une ar- cussion générale du budget des affaires
étrangères.
mée de cadres. Conclusion : Ce sont les
M. Lnailley (Vendée) interpelle sur la
réservistes et les territoriaux qui feront participation des indigènes de Tunisie aux
travaux de la conférence consultative.
la force de l'armée nouvelle — et la vaL'orateur préconise l'extension aux inleur de 'l'armée sera en raison directe digènes de nos méthodes d'instruction.
M. Pichon, ministre des affaires étrande l'instruction des réserves. Nous gères, s'associe aux naroles de M. Chailley.
« La France, dtt-il, est résolue à conticroyons que tout le monde comprendra
nuer sa politique d'association avec les inun raisonnement si simple.
digènes tunisiens. » (Applaudissements.)
M. Albin Rozet (Haute-Marne) demande
Le propre d'une bonne organisation,
que l'instruction la plus large soit donnée
— d'une organisation aussi compliquée aux indigènes.
« Ce n'est pas, dit-il, au moment où les
que celle de l'armée, — est la stabilité.
Arabes d'Algérie versent leur sang pour
Ceci ne signifie pas, certes, que nous nous au Maroc, que nous devons perdre
soyons ennemis du progrès, tant s'en l'occasion de leur montrer notre sollicitude. »
faut.
On adopte à maim levées un ordre du
de M- Chaillev, exprimant sa confianMais nous persistons à croire qu'on jour
ce dans le gouvernement pour introduire
enlèvera beaucoup de force à une orga- dans la politique, à l'égard des populaindigènes, les théories justes et fénisation en discutant tous des ans sur tions
condes de la politique dite d'association.»
M. Bénazet (Indr$ parle du remplaceun de ces principes vitaux : la durée des
ment d'un professeur de droit à l'Ecole
périodes à accomplir dans les réserves. française
du Caire, qui serait dû, dit-il,
En ce qui concerne les réservistes, à des vexations des Anglais.
M. Pichon répond que le cas a été sounous estimons qu'une période d'entraî- mis
au gouvernement anglais et que cenement, préparatoire aux grandes ma- lui-ci a promis de nous donner satisfaction.
nœuvres est indispensable.
« Il n'est pas possible, dit-il, que l'AnIl faut de toute évidence remettre gleterre ne trouve pas, dans l'amitié de la
l'homme en état de supporter les fati- France, le moyen de satisfaire nos intérêts en Egypte. »
gues, les longues marches et le poids
Suite de la discussion cet _ après-midi.
du sac — sans cola, on arriverait, si les — La séance est levée à midi.
Séance du jeudi 5 décembre (après-midi)
réservistes rejoignaient un jour ou deux
Séance ouverte à 2 heures 45, sous la
seulement avant les grandes manœu- présidence de M. Brisson, président.
On reprend la suite de la discussion du
vres, à les semer tous ou à peu près,
budget des affaires étrangères.
sur les routes et les voilures d'ambuM. Dutreil (Mayenne) questionne longuement M. Pichon, ministre des affaires
lance seraient fort insuffisantes.
étrangères, sur la non-observation par le
Brésil de la convention de Madrid (1891)
Le résultat certain serait d'une par!
relative à la propriété littéraire.
d'un effet moral détestable et, d'autre
M. Louis Martin voudrait que l'on chanpart, d'imposer aux réservistes des fa- geât le moins possible les titulaires du portefeuille des affaires étrangères.
tigues excessives et de leur faire per« Les services rendus par M. Delcassé,
dre tout à fait le goût du métier - alors dit-il, sont là pour attester l'avantage de
la stabilité. (Applaudissements à gauche.)»
que tout commanderait aujourd'hui de
Le député du Var signale ensuite une sifaire aimer le métier militaire et cela tuation intéressante.
« Il existe à Londres une poulation franpar tous les moyens possibles, compaçaise nombreuse qui a sa banque, son jourtibles, fcien entendu, avec une ferme nal, mais elle n'a pas de Ivcée où elle puisse envoyer ses enfants. »
discipline et les nécessités d'un entraîOn parle ensuite longuement sur le Maroc.
nement judicieux.
Une motion de M. Deschanel invitant le
Nous pourrions ajouter d'autres con- gouvernement à apporter un plan de réorsidérations qui auraient ileur valeur : ganisation générale des services des affaires étrangères avec garanties légales,
Exemple : un employé de commerce,un protégeant la Situation du personnel, est
commis aux écritures, un employé de adoptée à main levée.
Le voie des chapitres marche rapidebureau, en un mot ne peut pas pas- ment. Ils sont tous adoptés sans modificaser sans transition d'une vie sédentaire tion.
à la vie militaire active, comprenant
d'emblée des marches, avec chargegement complet, de 30 kilos et plus.
E Bfff G
:
IIWMTIONS FINANCIERES
Nancy, 5 décembre.
Hauts-fourneaux, forges et aciéries du
Chili. — Emission d'obligations de 500 fr.-.
rapportant 5 % nets de tous impôts, au
prix de 475 fr., soit un revenu net supé-1
rieur à 5 25 %. Ces titres constituent donc
un placement très rémunérateur; ils jouissent de garanties les plus sérieuses.
En effet, outre le patronage de MM.Schneider et Cie (Le Creusot), dont se
réclame la société, elle a obtenu du gou-,
vernement chilien un ensemble de con-j
cessions et d'avantages qui lui assurentfj
une situation privilégiée.
\
Mentionnons seulement celui de ces5'
avantages qui intéresse plus directement!
les obligataires : C'est une garantie d'in-"
térêt de 5 % en or pendant 30 ans sur uncapital d'établissement del3,125,000 fr. s
Or, cette garantie est supérieure an ser-,
vice des obligations et elle est affectée par j
privilège aux obligataires au moyen d'un^fe
société civile des obligataires qui en reçoK? I
la délégation.
I
On sait que les finances de l'Etat chilien i
ont toujours été sérieusement gérées, etl
qu'il a toujours fait face à ses engagements avec la plus scrupuleuse régularité.!
Les demandes d'obligations seront ser-i
vies au fur et à mesure de leur inscription, et il est probable que la souscription
sera close à bref délai ; les amateurséventuels feront bien de se hâter.
Les souscriptions sont reçues à la Ban*
que Rénauld et Cie.
BANQUE RENM1LB Eï le
LES SOUVERAINS ESPAGNOLS
BriEST, 5 décembre. — Le cuirassé anglais « Renown », battant pavillon royal
d'Espagne, et portant les souverains espagnols revenant d'Angleterre, est arrivé en
rade à 9 heures.
Il se rendait à la Rochelle, mais il a dû
faire relâche ici, à cause de la tempête.
La salve réglementaire de 21 coups de
canon a été tirée. Le vice-amiral Thomas,
représentant le préfet maritime, s'est rendu à bord saluer le roi et la reine au nom
du gouvernement français.
Il est probable pie les souverains partiront par train spécial pour Bordeaux et
l'Espagne.— Havas.
_
C
Capital : 10 millions
21, rue Saint-Ois 1er.
B08JitSI3 DM Ï»A16ÏS
Prom. CMIÎ'S Dcra.cdiirî
du 5 dcc. do 5 déc.
Rente 3 0[0
95 62
95 50
Actions Lyon
13.14 ..
Métropolitain
512 ..
510 ..
Comptoir national d'escompte de Paris
678 ..
678
Rio Tinto
1667 ..
1672 ..
Sosnowice
14 !..
1472 . ;
Extérieure 4 0[0
92 70
92 65
Husse consolidé 4 0i0 . . . .
82 80
81 40
De Beers
430 SO
429 ..
Rand Mines
134 ..
132 50
Brlansk
SS5 ..
278 . „ ,
♦
Tirages financiers
Ville de Paris 1898
Le numéro 686,684 gagne 200,000 îr.
Le numéro 200,754 gagne 50,000 fr.
Les quatre numéros suivants gagnent
chacun 10,000 fr. :
220.525
508.946
269.668
51:784
Les quatre numéros suivants gagnent
chacun 5,000 fr. :
188.046
547.164
471.340
536.392
Les ministres et sous-secrétaires d'Etat
Les quarante numéros suivants gagnent
se sont réunis jeudi matin en conseil
de cabinet, au ministère de l'intérieur, chacun 1,000 fr. :
sous la présidence de M. Clemenceau. Ils, 456.476 136.894 519.263 337.567 481.277
se sont à peu près exclusivement entretenus' 189.967 407.920 388.456 309.348 277.262
du vote émis par la Chambre, dans la dis- 623.235 646.542 513.279 235.312 577.643
cussion du budget de la guerre, vote ayant 146..824 502.119 273.612 532.253 315.328
87.391
pour objet la réduction des périodes d'ins- 580.898 639.908 686.101 400.587
truction des réservistes et des territoriaux. 245.649 555.259 250.703 611.222 624.089
Lé président du conseil et le ministre 320.908 134.580 146.855 692.430 270.768
3.517
de la guerre ont indiqué le sens de la dé- 047.700 359.887 221.860 311.132
claration qu'ils se proposent de faire, deOb tgcitions communales 50o fr.
main soir, devant la commission sénato2,60 OjO 1899
riale de l'armée.
Le numéro 68,827 agne 100,000 francs.
M. Clemenceau a fait connaître à ses
Le numéro 15,443 gagne 25,000 francs.
collègues du cabinet le résultat de ses
Le numéro 402,368 gagne 5,000 francs.
entretiens, hier et avant-hier, non seuleLes quarante-cinq numéros suivants gament avec le ministre de la guerre, mais
gnent chacun 1,000 francs :
encore avec le vice-président du conseil
18.054 139.624
234.942 302.723
426.099
supérieur de la guerre, avec le chef d'é34.985 151.890
256.902
309.645
435.444
tat-major général de l'armée et avec le
49.721 159.736
257.951
318.935
437.246
général Toutée, chef de cabinet du minis57.027 160.459
274.996
351.500
454.818
tre de la guerre, conférences relatives à
66.831 178.9/0
277.182
361.079 471.642
la réduction des périodes d'instruction.
89.775 183.540
284.881
378.384
477.134
La solution qui a été arrêtée, au cours
97.726 192.023
285.256
405.913
478.509
de ces conférences a été approuvée, à l'u106./87 201.580
292.205
419.345 491.422
nanimité, par les membres du gouverne293.253 419.774
492.218
ment. Elles seront soumises, demain, à 109.660 212.3<5
Obligations communales 400 fr.
la commission sénatoriale, devant la3 OiO 1691
quelle doivent se rendre le président du
conseil, le ministre de la guerre et le géLe numéro 777,905 gagne 100.000 francs.
néral Brun, chef de l'état-major général
Le numéro 414,992 gagne 10,000 francs.
de l'armée.
Le numéro 948,136 gagne 5,000 francs.
Le conseil a décidé que, par déférence
Les vingt numéros suivants gagnent chapour la commission sénatoriale de l'arcun 1,000 francs :
mée, il ne serait fait aucune communica/4.889 312.801
465.926
583.628
730.112
tion sur la décision prise par le conseil,
ui.243 330.218
460.614
644.020
827.001
avant qu'elle soit portée à la connais- 137.184 415.617
501.643
689.617 838.494
sance des membres de ladite commission.
165.619 417.176
529.003 719.876
985.571
— En fin de réunion, le conseil de cabiObligations communales 500 fr.
net a procédé à l'expédition des affaires
courantes. — Havas.
2,60 OjO 1879
Le numéro 724,366 gagne 100,000 fr.
MOUVEMENT ADMINISTRATIF
Le numéro 896,090 gagne 25,000 fr.
Les six numéros suivants gagnent chaM. Clémençeau, président du conseil et cun 5,000 fr. ;
ministre de l'intérieur, a soumis à la si62.422
174.333
584.263
gnature du président de la République, les
171.805
356.872
758.379
nominations suivantes :
Les quarante-cinq numéros suivants gaM. Dauriac, directeur du personnel au
gnent chacun 1,000 fr. :
ministère de l'intérieur, est nommé pré25.381 225.257 361.752 577.320
828.931
fet de première classe de la Sarthê.
27.246 228.128 387.811 595.387 822.988
M. Landrodie, préfet de troisième classe
41.817 248.487 388.220 668.043 864.798
de la Sarthe, est nommé préfet de deuxiè68.175 252.739 458.233 707.030 933.738
me classe des Pyrénées-Orientales.
108.116 254.486 468.155 728.252
952.247
M. Dupré, préfet de deuxième classe des 147.707 279.055 470.805 733.631 956.211
Pyrénées-Orientales, est nommé directeur 150.306 293.304 538.274 745.493 971.689
du personnel au ministère de l'intérieur.
179.419 334.515 562.460 ''85.686 981.690
M. Thirel, ingénieur en chef des ponts 223.134 336.638 568.514 803.420 986.762
et chaussées, dans la Marne, est nommé
Les 6,809 obligations sorties ensuite sont
préfet de l'Yonne, en remplacement de M.
remboursables au pair.
Peyre, nommé trésorier-payeur général de
Obligations communales 500 fr.
l'Indre. — Havas.
3 OjO 1880-8 i
Le numéro 986,473 gagne 100,000 fr.
Le numéro 647,034 gagne 25,000 fr.
Les six numéros suivants gagnent chacun 5,000 fr. :
Il a été aperçu par un navire anglais
64.191 421.191 661.759
FÉCAMP, 5 décembre. — Le steamer an189.700 650.527 919.811
glais <c Olivine » (capitaine Buchmann), est
Les quarante-cinq numéros suivants gaentré hier soir en rade.
gnent chacun 1,000 fr. :
Ses officiers et ses hommes d'équipage
38.246 164.517 421.531 597.291 866.760
déclarent avoir aperçu, dimanche, vers
54.785 172.461 450.060 662.608 890.177
deux heures de l'après-midi, à hauteur de
71.458 216.644 477.758 778.912 893.210
Ayre (Ecosse), par 53° de latitude nord et
83.179 217.837 478.523 803.889 900.511
5° de longitude ouest, un grand ballon
90.344 255.351 481.573 807.585 903.005
qu'ils supposent être le « Patrie ».
99.309 272.692 545.299 831.482 918.523
Le ballon était poussé vers le nord, par
104,038 310.012 562.172 839.192 943.562
un vent très fort. — Havas.
134.337 310.605 583.727 848.503 967.092
162.459 325,281 597.224 860.915 983.691
O—.
Quand il appartenait a l'Hôtel de Ville de Pat'attaque de la redoute de Martinprey ? ris, comme expéditionnaire, Henri Rochcfort
Un journal du matin parle d'une attaque avait une écriture détestable.
Mandé un jour par M. Mcrruau, le conseiller
par les Marocains de la redoute de Martinprey, au cours de laquelle nous aurions d'Etat, secrétaire général, M. Rochelort reçut
l'ordre impérieux de prendre des leçons d'écrieu 15 tués ou blessés.
ture :
Au ministère de la guerre, on déclare
— Vous avez de l'orthographe, mais vous
n'avoir reçu aucune nouvelle à ce sujet.
ne formez pas vos lettres, déclara le haut foncLe corps du lieutenant Roze
tionnaire.
ALGER, 5 décembre. — Le corps du lieuteHuit jours après, M. Merruau recevait une
nant Roze, du 2° régiment de chasseurs lettre ainsi conçue :
d'Afrique, a été embarqué ce matin, pour
« Mossieu le seucreter géné râle,
Marseille, à bord du paquebot « Duc-de» Gez apri a phaurmô mè îailres ; mé gé comBragance ».
plaiteman houbiier l'aurtografe.
On sait que l'inhumation doit avoir lieu
» (Signé) : Rauchephaure (En rit). »
dans un caveau de famille, à Tours.
Rochefork « en rit » encore.
<vvvv
Lee dispositions de combat
L'obsession.
Le général L-cautey télégraphie au minisA la terrasse d'une brasserie. Le consommatre de la guerre qu'il a procédé à la cons- teur s'installe s
titution de deux colonnes, comprenant cha•— Garçon, un ballon 1
cune environ 2,500 hommes.
Le garçon, levant vivement la tête ;
La première colojme est sous les ordres . — Où ça %
Paris, 5 décembre, 3 h. soir.
LA ÉËDUGTIOR DES PERIODES
DliSraOïlOM
Au conseil de cabinet
Le sort du «Patrie»
AU MAROC
pas
g ^jÏ^Ï^
pss ^
L'élection sénatoriale do la Meuse
Les candidaturss. — Candidature Beauchet démentie
Nous avons dit récemment que, se plaçant sur le terrain « arrondissementier »„f
le Réveil de la Meuse, de Bar-le-Duo, prérérerait encore M. Humbert ou M. Lei'ébure à M. Grosdidier, mais qu'il préférerait surtout la candidature d'un homme
nouveau comme, par exemple. M. Ditte, ;
président du tribunal de la Seine, oi-igi- '
naire de Clermont-en-Argonne.
Le Réveil imprime maintenant qu'il ne
connaît pas M. Ditte et que ce dernier n'a
d'ailleurs pas encore posé sa candidature.
Les informations que nous recevons dej
la Meuse confirment pleinement ce que.'
dit notre confrère barrisien.
A Clermont-en-Argonne — où M. Ditte '
vient, paraît-il, passer ses vacances — on-s
ignore même, nous écrit-on, la couleur de
ses cheveux et de sa barbe.
Au surplus, jusqu'ici.les tentatives élec-.
torales de magistrats dans la Meuse, ne
semblent guère être appelées à un succès.
On connaît l'échec au conseil général, à
Bar-le-Duc, de M. Paillot, conseiller à la
cour de cassation.
Il est évident, que si M. Paillot avait été
élu à l'assemblée départementale, il aurait pu songer à poser sa candidature sé-,
natoiïale.
Mais il semble bien difficile que M.
Ditte, qu'on ne connaît point, qui n'a jamais rempli de fonctions électives dans la !
Meuse, puisse ralliei, tout à coup, et toui'
d'un coup, un grand nombre de suffrageg,
•*«
Disons enfin que le Républicain de l'Esde Commercy, imprime que le candidat
des conservateurs et des libéraux, — car-^
didat dont, jusqu'à présent, on n'avait
pas donné le nom — serait M. Beauche,,
maire de Nancy, propriétaire à Charn*
pougny, canton de Vaucouleurs, lequei
fut candidat législatif, en 1902, on sou
souvient, à Commercy.
Un de nos collaborateurs a soumis ce:,
article à M. Beauchet — à simple tit.:,v'
d'information — en lui demandant
jugeait à propos de confirmer ou de <,J
mentir la nouvelle donnée.
M. Beauchet a prié notre collaborâtes
de démentir. Il lui a déclaré textuel ment :
«
«
«
«
« Vous pouvez démentir cette informa.tion, car je n'ai nullement l'intention d»-"
me présenter au Sénat, voulant nuconsacrer entièrement à la Ville
de
Nancy. >>
C'est donc, ailleurs, qu'il faut chercher,
le candidat encore inconnu.
Douille tentative d'assassinat
(SUITE)
_ STRASBOURG,
5 décembre —- Nous avons
signalé la tentative d'assassinat dont Pinsl1}}1^. eVa femme, de Bohrwiller, ont
été 1 objet. La « Gazette de Haguenau » annonce l'arrestation du meurtrier
C'est un nommé Runner, serrurier de «on
état. Runner avait fait son service mirs
taire au régiment de dragons de Ha^uê
nau. Il ne jouissait pas 'de se /'uir'-m entai es.
"
'
-
Vicient Mie à Etais?
Un violent incendie s'est déclaré dans ,
les magasins et ateliers de *
Bergeaucî '
négociant. Tout ce que renfermait ce b;\'
liment a été brûlé. Les pertes s'é'è\ nt da
à 40,000. Ce, nom- ca née liant at C"r»\
I
plume, crin, matelas et mobiliers corn-
I
Les voisins éprouvent aussi des dégâts,
mais tout est assuré.
Le sinistre, dont les causes ne sont pas
connues, paraît accidente).
£lec4î&î3 m Conseil sujrêrieiir
A la suite de la note gue nous avons pu■
bliée
hier, nous avons recueilli quelques
m
nouvelles indications.
Le jugement permettent à la Ville de
faire lever les scellés et de prondre possession, a litre conservatoire, permettra aussi,
de procéder a l'estimation des biens du défl
funt, car le testament r.c les u pas éiium
mérés.
Le testament, très détaillé par certains
ci
côtés, ne fournit aucun renseignement permettant
d'évaluer la fortune du défunt. —
'*
Voilà ce qui aurait pu être dit de suite
P
(semblc-t-il),
à la dernière séance du conse municipal.
scil
|
Jeudi, à deux heures do l'après-midi, a
eu lieu à la préfecture, salle des adjudications, on présence de M. Mercier, adjoint
au maire do Nancy, des capitaines thiéry, de Toul, et Dcgallo, de Nancy, le recensement des votes dos sapeurs-pompier»
du département pour l'élection d'un délôgué au conseil supérieur des pompiers.
Quatre communes n'ont pas envoyé
leurs résultats. Dans certaines oommuass,
les sapeurs n'ont pas voulu voter, déetara-Ht qu'ils no connaissaient pas les oandtdîits ; dans d'autreâ.les sapeurs ont voté
pour leurs chefs directs.
' En même temps qu'à l'inventaire des va'c'
leurs
et immeubles, on procédera à l'invente
taire
des nombreuses oeuvres d'art garnissant le <♦ logis » de M. Mathis, et dont la
e%
«
• Voiei les résultats pour Meurthc-et-Mo- majeure
à
partie, comme nous l'avons déjà
/elle :
d:
dit, revient à la Ville. Nous pouvons donElecteur» inscrits : 4,916 ; votants : 4,314. n
M. Vannier, inspecteur départemental à ner, ici, quelques souvenirs personnels :
Dans cette collection figurent d'excelLunévilke, 4,043 ; M. Clasquin, inspecteur
lc
■s('pari«nTental à Epinal, Û0.
lents
tableaux, et, surtout, des tapisseries
et des meubles de grand prix.
Les principales tapisseries sont des FlanVoici les résultats du département des
Vosges : Electeurs inscrits : 7,540 ; votants: dres.
d
Le meuble du salon, Louis XVI, en
G, 291.
A
Aubusson,
est des plus rares.
M. Clasquin, 4,683 ; M. Vannier, 1,5G0.
D'autres meubles, anciens, en chêne et en
II manque le résultat de trois communes.
sont non moins remarquaLe département de la Haute-Marne, qui marqueterie,
"
fait partie de la même circonscription que bles.
b
Meurthe-et-Moselle et les Vosges, n'a pas
Dans lc cabinet de toilette, se trouve un
encore fait parvenir ses résultats.
r(
fourneau
en faïence de Niedcrviller, qui,
selon la tradition, viendrait des appartement de Stanislas. Voilà une pièce toute
indiquée pour le Musée lorrain.
D'autres objets, modernes, ceux-ci, auraient
leur place, de préférence, dans ce
r
(9-15 décembre)
*
Musée des arts décoratifs, dont il existe,
Le temps commence par se refroidir paraît-il,
1'
un embryon ; mais— à propos —
sensiblement le 9 décembre, puis il se ré- o
où est-il, cet embryon ?
chauffe rapidement, ce qui rend probaOn a parlé de faire une « salle Matins »
bles lc 10 des vents et pluies ou neiges, a
suivant la position dos endroits, suivis au
, musée, mais où l'organiserait-on ? Pas
d'un assez fort refroidissement lc 11 et fde place ! Sous prétexte de ne pas méconmême, probablement, encore, dans la nuit tenter
t
le général en chef (qui nous quittera
du 11 au 12 ; puis il veut s'adoucir, ce qui
-,un de ces jours pour aller siéger à Paris,
ramène fréquemment des vents et pluies D
ou neiges, comme ci-dessus, du 12 au 15 au conseil supérieur de guerre), la Ville
ne veut pas poursuivre la rentrée en jouisdécembre.
ALBERT BERTHOT.
? nce du palais élu Gouvernement, où l'on
Aubigny (Cher), le 3 décembre 1907. pourrait
p
installer de précieuses collections.
[Reproduction interdite).
Le général en chef à l'ancien Evêché, ne
scrait-il pas admirablement bien ? Mais,
AH
autre côté de la question, on craindrait en
.C'est toujours le même temps mou, avec fproposant cela, de mécontenter Mgr Tude fréquentes ond-ées, qui. jeudi, étaient rinaz.
r
fouettées par un fort vent du Sud-Ouest,
•%
— Voici le dicton du 5 décembre :
Revenons-en à Iâ~ succession :
Après vingt ou trente combats,
En raison de la respectueuse et légitime
Qui l'ont attardé sur sa route,
c
curiosité
du public — dont nous nous somL'hiver, au jour de saint Sabas,
• Met le-vieil automne er déroute.
I
mes
fait l'écho — nous croyons savoir que
"Vers deux heures et demie de l'après- les
\
opérations d'inventaire seront menées
midi, le ciel est brusquement devenu d'un
noir d'encre. On se serait cru aux portes avec la plus grande célérité, de façon à
de la nuit. Une ondée, qui menaçait de so •■ouvoir renseigner la population nancéientransformer en averse, mais s'est conten- ne,
i
à assez bref délai, sur l'étendue des
tée de la menace, a été suivie d'une appa- dons
i
faits par M. Camille Mathis à sa ville
rit ion bleue du ciel.
ï
natale.
LE TEMPS PROBABLE
l
LE TEMPS QU'IL F
Observations météorologiques
de la maison Grand opllcieti-conslrucleui
à Nancy
Gh.iaatu» miJ
ih.si-'n
Baromètre
¥hortnoi,uêlra
Mitiima
M&xtuia
LA
737
-j- 5
-j- 7±
+ w
Les iiseïttents de la Fasulté
JOURNÉE A NANCY
\
Vendredi 6 décembre, — 340e jour
de Vannée.
Aujourd'hui : saint Nicolas. -- Demain:
saint Ambroise.
Ephémêrides lorraines : En 1382, premiers anoblissements faits par les ducs de
Lorraine.
A sept heures. — Préfecture : Conférence aux officiers de la garnison.
A huit heures et demie. — Brasserie de
la Poste : Assemblée générale et concert
du Groupe Blandan.
. la Saisi-Miaolas
'<
S'il est une fête restée toujours bien vivante en Lorraine, c'est celle de- SaintNicolas, qui revient le G décembre.
Ceux qui, jadis, ont « cru » ù saint
Nicolas, ne l'attendent plus dans l'émoi de
leur cœur, ce 5 décembre, alors que la
nuit tombe sur la ville et que, par les
airs, au-dessus des hautes cheminées passe le grand saint des jouets, accompagné
de son terriblo compagnon, Foucttard.
Mais de nouvelles générations ont souri
à la lumière du jour et celles-ci « croient »
j
duement, de toute la ferveur de leur âme
Et ce jeudi soir, dans Lion des maisons
de notre ville, des mères sont heureuses
de la joie de leurs bambins recevant de la
main mystérieuse de quelque saint Nicolas à barbe blanche les jouets tant désirés.
Cette légende do Saint-Nicolas se perd
dans la nuit des âges ; elle est très vieille,
très vieille et infiniment respectable .
Même les plus sceptiques ne peuvent
penser, sans s'attendrir aux « Saint-Nicoïas » d'autrefois, alors que la maison était
en fête du bonheur des petits enfants.
|
Dans la soirée de jeudi, Saint-Nicolas,
.iccompagné du père Fouetterd, a parcoulû la bonne ville de Nancy
Mais SaintNicolas est devenu moderne. Aussi voyageait-il... en automobile.
Est-il besoin de dire que, malgré le1
mauvais temps, il a été salué par les exclamations joyeuses de tout un peuple[
'
d'enfants.
Saint-Nicolas a bien voulu faire visite
•
aux bureaux de 1' « Est républicain ».
11 a aimablement distribué des cadeaux
à la rédaction. Comme cette rédaction ne;
compte pas de demoiselles, nous n'avons
pas reçu de mirabelles, — ainsi que le demandait la .vieille complainte — mais, enire autres cadeaux, le saint prélat nous at
offert la trompette de la Renommée. Nous
i
n'en abuserons pas.
:
Saint-Nicolas est allé également exhori, i aux bons principes ses amis les étudiants dont il est aussi le patron. Au cer-.
cle, une chaleureuse ovation lui a été fai-.
Et pendant une partie de la soirée, l'au-.
to transportant Saint-Nicolas et le père
Foucttard a parcouru encore les rues de35
Nancy.
Le spectacle n'était pas banal de voirt
descendre de la voiture trépidante le3
saint, mitre en tête, crosse au poing, ce3
pendant que les enfants entonnaient lai
complainte : « Saint-Nicolas,, mon bon pa-tron ».
D'autres Saint-Nicolas, moin.s cossus,
s'en allaient pédestrement, par les rues»
noueuses, et la. pluie ayant fait trêve pen-_
dant la soirée, qui fut fort douce, l'animation se maintint assez grande, en ville,
avec les magasins demeurés ouverts jus-'
qu'à dix heures, et les petites boutiquesj I
jrès de la place du Marché.
A
j
•
(SUITE)
, Une délégation d'étudiants est venue
nous prier d'insérer la lettre suivante
(
que
leurs camarades adressent au minis{
tre de l'instruction publique, par la voie
jhiérarchique (doyen, recteur). Nous le faisons à simple titre documentaire.
« Les étudiants en médecine de iro et 2»
années, encore présents à Nancy, réunis
le 5 décembre 1907, ont l'honneur de prier
lmonsieur le ministre de l'instruction publi<que de bien vouloir prendre on considérattion l'exposé exact des faits qui se sont
jproduits lors de la dernière manifestation
idirigée contre M. Cuénot.
« Ils espèrent fermement que ces faits
<contribueront à obtenir, de sa haute bienveillance, une atténuation de la sanction
(
qui
les frappe et qui est si préjudiciable
;à leurs intérêts.
« De tout temps, M. le professeur Cuénot a -affecté vis-à-vis des futurs étudiantsi
en médecine un dédain railleur par ses
intempérances de langage et son manque
,de tenue, plus: manifeste encore le jour
<des examens.
.
« Chaque année, une manifestation, formée uniquement de ses anciens élèves,
:
s'organisait
pour protester contre cet état
de choses. " Cette année, sur la demande\ iI
;
spéciale
de M. Cuénot, des sanctions ]I
;avaient: été appliquées contre cinq d'entre eux, pris au hasard, sur la dénoncia- I
i
tion
d'un garçon de laboratoire.
C'est alors qu'a eu lieu la deuxième ma.. jnifestation, formée d'environ 500 étudiants
de toutes les Facultés, qui voulaient protester contre les mesures qu'avait fait
prendre ce professeur.
d C'est pendant cette deuxième maniîes- I
tation que se passèrent les faits les plus' I
graves relevés contre eux (bris de car-'.
reaux, dégâts matériels), faits qui ne se
produisirent qu'après cpie M. Cuénot, sans:
aucune provocation directe, se compromiti
t
au point de frapper violemment cpielqucsuns d'entre eux. Aucune violence n'avaitt
été commise, aucun projectile n'avait été
lancé avant ce geste malheureux, fait im-Î
portant, qu'une enquête pourrait facile-ment vérifier.
735
734
-j- lu -f- 9
informe lns membres de la Prolonge, que
siderata do l'industrie, de l'agriculture et la
ia dernière
^
réunion relative au bal du 21
11
du commerce do Meurthe-et-Moselle.
géci
décembre
aura lieu dfmanphe prochain à
A midi, la Çlîtimbre offrait a M. Klotz, Buatrè
„1UI
heures et -demie du soir, brasserie
un
banquet auquel jpsislaient, en outre (;-..|fcot, rua Héré (près de l'Arc-dc-Triomu
di
des membres de la Chambre, M. le préfet
*lic
(
I i:0,,
de
jj *
j' Meurthe-et-Moselle, M. Lebrun, député f
0
Les derniers préparatifs de.Ja fete
ande Bricy, M. Grosdidier, député de Corn- nu<5
du groupe y seront définitivement
mercy, M. Auguste Daum, président du* nurtlle
j
arr
arrêtas et la remise des cartes de bal aux
t)
tribunal
de coronu-rce, M. Raguet,- direc- ^ocj
sociétaires ,quî en aésii oraîent ejrcore, sera
te
tour des douanes ; M. Gréau, directeur de jai'(
b» Banque do Fï'auce, M. Monnier, direc- faite
la
jjtc par les goins de la .c-mmi-sion'acs
leur des Etablissements de Neuves-Mai- ' -ittes.
^
oc
151
sons.
*>
Société
centrale d^ortieuEiure de Nancy
S'étaient
excusés
:
ai
M.
le
général
LanE
lin raison des élections consulaires qui
^
glois, Mêzttres, sénateurs ; MM. Grillon, doivent
à<n
avoir lieu le dimanche 8 courant,
d Ludre et Mario, députés de Nancy ; et
do
et ipour lesquelles un bureau de vote est
iV
Méquitiet, député de Lunéviite ; Boucher, con
constitué dans Ja salle de l'Agriculture,
député d'Epinal ; Varin-Beinier, présf- rue
rua Ghanzy, la réunion mensuelle de la
de la Chambre de commerce de Bar- Société
Soc
jdent
centrale d'iiorlieuitufc Ue Nancy
£
le-Duc.
est reportée au dimanche suivant, 15 déest
De 2 heures à 5 heures, après une rapi- cen
d visite au nouvel hôtel de la Chambre, cembre. à l'heure habituera. ,
de
•LC bal de ClSnion sydloale des employés
IV Klotz a reçu un certain nombre d'indusM.
1triels qui avaient exprimé le désir de lui
tss commerce
exposer, do vive voix, leurs vues et leurs
'Le bal de l'Union sydrcale des employés
uc' commerce ayant liçu samedi prochain,
v
do
vieux
on matière de douane.
u.1la fealle
de ia RMaissanée) une lettre
Ont été entendus des délégations ou des à
dans le commerce pour demander
r
représentants
des groupements ou des in- (circule
;"''
que
u^ les magasins soient fermés ce jour, à
^dustries qui suivent :
sept heures du soir, et que le lendemain,
« Hauts-fourneaux et fonderie;- de Bont-à- p
,
0
l'ouverture
en soit retardée.
ç
"« Mousson/Manufacture de velours de BlftC'est
très légitime. Il est bien évident
« mont, Syndicat des marchands de bois C,U(
ces mesurés permettront aux einplrcés
<(t( de Meurthe-et-Moselle, Société, oontmle que
j
( c s'habiller convenablement pour se rende
<(« d'agriculture de Meurthe-et-Mosel le,Union <jr£
dre au bal et que, après une huit passée
„aj
"a des fabricants de chapeaux de paille rraiement,
ils pourront se rendre à leur ma« (Lunévillo-Noncy), Syndicat des fajbri- gttS
gasin
sans trop de fatigue, ayont eu le
((
« cants de choucroute, Tonnellerie ntécani- ten
temps de se retourner, si l'ouverture des
«« que, Société française des moteurs Die- mn
n'a lieu qu'à 8 heures 1/2 du nia<•« sel (Bar-le-Duc), Usines Gouvy et Cie magasins
tin
•
«" (DieulOÙard), Fabrique de carton laqué tin.
Société belge de bienfaisaîicâ
« (Établissements Adt à Pont-à-Mousson),
«(( Union syndicale des marchands de bois
'
La
Société belge de bienfaisance, siège
ci
« de Saint-Dié, Conserves alimentaires l,
f, place Stanislas (café Foy), Nancy, a
« (Lunéville, Nancy), Imp.rtBfteTies-Réuhies, ïhi
i honneur d'informer ses memhres que ia
«' Etablissements Bergef-Levraiilt et Cie, réunion
réi
générale aura lieu dimanche 8
<( Union des fabricants de limes, Glacières décembre,
uéi
à 3 heures.
,
« de l'Est (acide carbonique et glace aliOlub-aipin fraaroais
(« mentaire), Commerce des yu'-tvoles et de
.
C.-A.-F. a
«< l'épicerie en gros. »
,,éLa seciion vosgienne du
l'honneur de prévenir ses membres qu'elA plusieurs reprises, M. Klotz a expri- \e
le
1nié la vive satisfaction qu'il éprouvait d'àpj, organise une excursion au plateau de
IVtalzeville
le dimanche 8 décembre 1907.
voir
pris
contact
directement
avec
les
inj
.
dustrîels lorrains. De leur côté, ceux-ci ont ,jeRendez-vous à 1 heure 30 à la station
jpu se féliciter de trouver une occasion de de
py tramways, pont de Malzévilte, route
c
'
<
donner
à M- lc président de la commission d'Aaiance.
- <
' Trois, heures de marche.
(des douanes ou de recevoir de lui des expliUn tapeur
cations
qui aideront à résoudre, au mieux .
.
des intérêts généraux, le grave problème
D
Depuis
quelque
temps, un bohème de Nan<de la revis-ion douanière. »
t,
cy njet en coupe réglée, sous de multiplesj
cy
prétextes,
la bourse des propriétaires, des
Exposition de tfft«;y 1309
g*j
et notamment les prêtres des com-1
Un emploi de garçon de iurcau étant rentiers
j^,
munes de la banlieue.
<
vacant
à l'administration de l'Exposition.
j
1les candidats sont invités à adresser au ,)CMais il nous revient que plusieurs des5
mises à contribution par cet in-.
plus tôt leurs demandes et leurs référen- nersonnes
\[
L
dividu,
vont déposer contre ce dernier une1
ces <( par lettre » au directeur général, 3, pj,
,
plainte en escroqueries.
rue
des Dominicains.
*
Etsïpîoyës de tsartnvay
Comuiïsaion ciépariemesilaie
Dans sa dernière réunion, la commisjçOn nous prie d'insérer qu'une réunion,
ision départementale a voté a titre de r.c- cdes
employés de tramway syndiqués* aura
cours aux familles des rései'vist'es et des ra lieu vendredi 6 décembre à 10 heures'.
territorlftlix : 100 fr. à Tucquegnieux, 15 n; soir, salle Bavtru, 10, faubourg Stafr. à Glonville, 20 fr. à Serrières.
Elle a visé pour avis conforme lc bail r„ Ordre du jour : Organisation d'un banjpassé avec MM. de Wendel pour le loge- quet
pour le mois de janvier.
i
Menus faits
ment
dans trois immeubles de la brigade
Jeudi, vers cinq heures trois quarts du
de
gendarmerie de Jœuf ; l'avenant inter'
matin; le feu s'est déclaré dans l'abri dess
venu pour la fourniture de cinq locomoti- !"
tramways, place de la Commanderie, où:(
ves destinées au chemin de Lunéville à Tv
est
Blàmont et Badonviller.
.j, installée, comme on le sait, une petitee
La commission a autorisé M. le préfet librairie.
à approuver les soumissions présentées
, Une équipe d'ouvriers de la compagniee
par 16 propriétaires de Lagney, Lucey et des
. tramways et les pompiers se sont transsur les lieux et ont éteint le feu à
Bruley, pour se rendre acquéreurs des ré- portés
;.,
coites des vignes dont l'achat s'impose l'aide de quelques seaux d'eau.
pour la construction (le la ligne de Toul _. Les dégâts insignifiants consistent en
1
quelques
journaux et brochures brûlés.
à Thiaueourt.
1Elle a alloué mensuellement une somme rjl — Jeudi, à trois heures et quart de l'a"de 10 fr. à Mme Belleau, de Villers-les- près-midi, à la suite d'un manque de couIrD
rant, les cars électriques de toutes les liNancy sur lc fonds d'assistance aux vieil- r,
l
x
"
gnes
ont
subi
une
-onne
relativement
lonlards. Elle o accordé, pour un séjour au gue.
%K
sanatorium de Lay-Saint-Christophe une
subvention de 135 fr. à Mme Labrousse,
Objets trouvés
veuve d'un adjudant à Toul, et Mme TousLaisse sur le comptoir de M. Fiinck,;
saint, de Damelevières.
g£
gantier, rue des Dominicains, 20, par unn
La commission a accordé la première client
cl
inconnu, une pièce de 20 fr. ; le jeubourse vacante au cours d'accouchement à ne
ni Paupière, rue Lepage, 15, un morceauiu
Mlle maria Ehleringer, de Villerdpt.
d<
de chaîne de montre argent et une clef dee
Elle a décidé le rattachement de la com- oc
coffre-fort ; M. Maycr, chemin des Sables,j
mune de G<">ndreville à la troisième cir- W
1G, une parure de boucle d'oreille argent,
conscription médicale de Toul et le déta- ai
avec pierre.
chôment des communes d'Avrainville et
Par le jeune Didier, rue du Montet, 13G,i,
de Manoncourt-en-Wbèvre de cette cir- ni
un porte-monnaie contenant plus de 1 fr.-.
conscription pour les rattacher à celle de et
pt un billet de chemin de fer ; Mme Graf,
f,
ll
Domêvre-en-Haye.
rue de Strasbourg. 29, un réticule ; M.[.
D
Elle a autorisé SI. le préfet à signer, le Drouin, employé au tram, rue du RuisKî
projet de convention pour les tramways seau,
16, un parapluie.
de Nancy à Pont-Saint-Vincent et à DomMnrclié aux fcestiaux
pasle.
Cours du 5 décembre 1907
271 veaux, de 68 à 80 fr. les 50 kilos, poids
[s
EïsotiOàis au tribunal de sammerce
^
vif.
Le comité des élections consulaires a
'0
l'honneur de rappeler aux électeurs que le1 ;t 15 bœufs, de 76 à 84 fr. : 9 vaches, de 70
à 78 fr. ; 8 taureaux, de 70 à 75 fr. ; 329
scrutin aura lieu dimanche 8 décembre n]
!9
' moutons,
de 95 à 120 fr. ; 254 porcs, de 89 à
courant, et présente à leurs suffrages :
g?
Président : M. George, juge titulaire, en1 95 fr. les 50 kilos, poids net.
,
remplacement de M. Dauih, non rééligible.
, Vente facile sur les porcs et les veaux ; h
n
Juees titulaires : MM. René, ancien ju- noter une légère augmentation.
re, et Chiirdot, juge suppléant.
"
h Sur tout l'autre bétail, vente très calme.
3.
les nrix restent stationnaires.
Juges suppléants : MM. Holliéni et Cens-■ j Néanmoins,
r
s.
tant in, juges sortants, et M: Bonnette, né- gociont en bois à Pont-à-Moiisscn.
I
j
« Les étudiants en médecine espèrent
que quelques mots contribueront à mo-t
difier la sévère décision prise à leur égard.Ils supportent avec peine une sanction qui•
rend désormais impossible tout travaili
et qui peut avoir les plus graves consé--l
quences pour certains d'entre eux, particulièrement les candidats à l'Ecole dej
Lyon, qui, de ce fait, se voient obligés de
renoncer, cette année, à tout espoir de3
;
réussite pour leur concours,
<i Dans l'attente d'une solution qu'ilsg.
espèrent favorable à leurs intérêts,
ils
prient monsieur le ministre d'agréer l'ex-3.
pression de leur plus profond respect. »
Chambra k oMcrcs de Kàticy
La révision douanière. — Visite et r#«
ception de M. iClotî, président de
la commission des douanes
On nous prie d'insérer :
« Ainsi qu'il avait été annoncé, M. le député Klotz, président de la commission desidouanes, est venu mardi à Nancy pours
r
conférer avec la Chambre de commerce,
au sujet de la revision douanière. M. Klotz
a été reçu à la gare, à 10 heures J, par le^
bureau.
Il s'est rendu'dans les nouveaux locaux
de la Chambre de commerce, 40, rue Gam-l
betta. Après lui avoir présenté les membres~
de la Chambre, M. le président Vilgrainn
lui a souhaité la bienvenue et l'a assuréé
du concours très dévoué de tous ses collègues à une œuvre qui intéresse, au pluss
haut point, l'avenir du pays.
M. Klotz a -remercié la Chambre de l'ac;cueil si cordial qu'elle lui ménageait. Il lui
li
a exposé avec autant de clarté que d'élo>quence les principes dont la commission
n
des douanes s'inspire dans son travail dee
revision. Il a félicité la Chambre de Nancy
y
de son initiative et de la création de 1' « Of•* j
fico écoaamiuue
utile innovation qui a
a
:
' TRIBUNAL CORRECTIONNEL
M. GÎiapùis; u'épuïl de Mcurthe-et'Moselle. a déposé sur le bureau de Vn Chambre
une pétition émanant d'anciens tnilKaires;
de Meuithc-et-Mosellè.
Ls iaurâat CM pnix Goncourt
Nous apprenons avec plaisir que l'Aca-démie dôs Concourt vient de décerner son
prix annuel (5,000 francs) à un de nos
;
compatriotes, M. Chénin, professeur au
lycée d'Orléans.
.
On sait que M. Chénin, sous le pseudo-•
nyme; d'Emile Moselly, a écrit des oeuvres!
très .remarquées nue l'Académie des Goncourt récompense justement aujourd'hui,
Parmi ces œuvres, figurent Terres lorraines et Le Doucl d'ivoire,, qui parutt
pour la première fois dans lc Pays lor-rain, l'excellente revue décentralisatrice,
(M. Chénin a obtenu 5 voix contre 4 à1
M. Jean Vignaud.)
j
Outragea à employés d'oetroi. — Cliar-rles Klein, 25 ans, cordonnier, est inculpé
d'
%
d'avoir,
le 12 novembre, vers dix heures
du soir, injurié MM. Hnsson, brigadier
d'octroi, et Leelerc, commis ambulant de
[e
ce
cette
administration. — 50 fr.
Es-is de g!ac3. — Charles-Louis Mazuri
}'
rier est cité pour avoir, le 3 décembre, brisi une des glaces de la devanture de M.
sé
j"
H
Housseaux, marchand de blanc rue des
;s
D
Dominicains.
Comme le casier du prévenu n'est pas
IS
ci
complété,
l'affaire est renvoyée à une aud
dience ultérieure.
Entre voisins. — Ernest-Paulin Gerbe,
i
41
43 -ms, commissionnaire à Pont-à-Mousssi
son, est poursuivi pour bris de clôture. J]
aa cassé les carreaux d'une voisine (coût : 6
fi
fr. 45) dit "accusation.— 1 fr. d'amende.
La petite bonne.—- Marie-Ceorgette Peetitgérard,
14 ans, domestique à Cha^igny,
L'affaire Silice (suite)
f?
v,
a
dérobé
à
ses
patrons,
des
débitants,
Comme nous l'avons dit, la cour s'est dé- J
s
dans
le tiroir-caisse, une somme de 30 fr(>
clarée incompétente pour statuer sur la1■ —
_ Acquittée.
demande de mise en liberté provisoire do
Mme Silice, par ce motif que c'est le tribu-5 j, La fuite. — Jean-Nicolas Urbain, 49 ans,
Sj
- journalier à Malzéville, est inculpé d'un
nal qui, d'après la loi, aurait dû être saisi a
in
i abus de confiance, commis au préjudice de
de la demande.
3
^
àon patron, marchand de d^abustibles. —
Mine Silice a le droit de renouveler sa1 Quatre
f
mois par défaut.
demande en s'adressant, cette fois, au trit„ri r-lancHer du « propro ». — Albert-Hennbunal. Ajoutons que le parquet général,, ri
r Dciiarbe, A> ans, terrassier, à Toul ; Juudans le but de hâter la solution de l'affaire,, les-Victor
b
Dubois, 25 ans, et Marie Dubois,
•8>
l'a fixée d'urgence ù l'audience fies appelss ffemme Deharbe, 53 ans, sont accusés d'acorrectionnels du mercredi 11 décembre.
vvoir dérobé dans la cour comrnjine, des
planches
à M. Hetzel, propriétaire. Celui-ci
At îs et métiers
•
.ci
La réunion mensuelle des Anciens élèves €comptait employer ce bois pour remplacer
er
1
des Ecoles nationales d'arts et métiers au- un plancher de sa maison. — 25 fr. chacun.
n
ra lieu samedi prochain 7 décembre, au ca- , Injures. - Auguste Robain, dit Charles,
;s
'
a 24
fé des Deux-Hémisphères, à partir de 8
t ans, et Jules Nicaise; 24 ans, tous deux
ax
8à Die il ai ird, ont injurié le garde. — 25 f.
heures et demie du soir (salle du 1er étage).,
f.
pp.
Adultère. — Marguerite Narbaque, 26
Le soutien fraternel
'
sans, épouse Wilz, et Henry
Gitzhoffer,
M. Jean Buffet, ancien inspecteur dess même
1:
âge, ouvrier d'usine, tous deux V
à
finances, vient de se faire inscrire commee Marbache
I
J-l
sont accusés d'adultère et de
membre fondateur, et d'adresser, à cet ef-;- complicité.
c
^
— Chacun 25 fr.
fet, la somme de cent francs à M. Moulot.
Les épaves. — Charles-Emile Harau, r,s
58
00
Conférence retardée jjans. et Thérèse Gérardin, femme Harau,
?'
L'autorité militaire informe MM. less "56 ans, à -Sommerviller, sont prévenus de
le
de bois commis au préjudice de M.
officiers de réserve et de territoriale qu'enn vols
,
iraison des obsèques de M. le capitaine iAùbert, marchand de comestibles à DomnBastion, du 37e régiment d'infanterie, lan basle.
nt
conférence que devait faire M. le général.
j Les prévenus soutiennent qu'ils n'ont
Faurie, commandant la 22° brigade d'in- {jamais rian volé. Ils ont ramassé, dit
sent-ils,
des
épaves,
du
bois
nerdu,
qui
fanterie, le vendredi 6 décembre, à 1 houre de l'après-midi, est reportée le mêmee flottait sur le canaii, — Chacun 16 fr.
n
jour, à 2 heures et demie.
^ La corvée du fourrage. — Mario Chambron, 36 ans, femme Heatenfeld, et Justi1
Groupa Lantsrclie
rne Varing, veuve Bouîle, ménagère, sont
Lt
Le comité du groupe Lamarche (ancienss c.accusées toutes deux d'avoir dérobé, nt
à
à
raiiitaires du isj?" régiment d'infanterie},1,1
J. Tomldaine,
1
dans un clmm» de l'école d'aa-.|
lc
J!
f
; 1
•••
» •'<•
M'.'
I
"),,(',,;;î,>;v
fthdii
»t-f'
• <
bicn aviser pnanpto^'
1^' I
^ Le mouillage'du lait.— Marie-Julie X. ., j -oudra
57 ans laitière, à Kancy, est inculpée de prochaine
pi
conférence de sei7« U ^iuS I
'r
falsification de lait. — 50 fr.
le
le, a à l'umphiUiéùtre des lrCUl
.H '° «0,^1»
On mauvftlp blient. — Charles Nicolas
Agréez, etc.
^
' ' 'cs.
I
D
DardinilC, 40 ans, jardinier, à Benney,
est poursuivi pour avoir fait un délicieux
cs
'
repas
à « l'œil » chez M. Ferry, restaur c
rateur, faubourg Stanislas. — Deux mois.
ETAT CIV
L'irascifcle marinier. — Léon-Charles
p
Proy 35 ans, marinier, se trouvait sur
di« 5 décembre
se
son'batcau, a Jarville, lorsqu'il injuria l'éNaissancea
clusier.
— 16 fr.
cl
Roger-Lucien Vaugenot, ru«
Vois.
—
Edmond
Mauehamp,
J4
ans
;
bt
„
bourg-des-Trois-Maisons, :',o lt uU pai,
1
Pferrë
Thïry, 13 ans, et Pauï-Désiré Ja- Ernilo
E
Beauregard, rue Vieto .~7, W[
cob
c
16 ans," viennent s'expiinuer sur des drée
di -Marie-Marguerile WIM r '•-■/!'
-;
vols
commis
à
la
gare
de
triage
de
JarC'
\
Commanderie, 26. — Jeanne r FUe de t :
m
v
JjHC. __ Thiry et Jacob sont acquittés, min
des Sables, 2. — Fernand pq„Uot. <& 1
mais
ils iront dans une maison de correc- ri
j?
rue de Strasbourg, 32.
\£ !
tion.
Quant à Mauchaud, il s'en tire avec
'
Décès
' î
quinze
jours.
Augusline Rolniont, |S aas
"
Coupa. - GhArleâ-Engène Dany, 23 ans, fe.ssion,
fe
épouse Richard, rue
ni»
i
4
ouvrier
d'usine, à. bombàsle, est cité pour 0
- Jeanne-Maria-Thérèse Bornai1
ci
coups portés à M. Fauvei — Deux mois, n
mois, ruo des Fabriquas 53 '
â« ?
On î-écifJivîste.— Julien HouiUpn, 48 ans, Claude,
C
I an 2 mois, ,•„<,'
'.,„7 AHM,
de
nmanœuvré, à Varangéville, est un alooo- 4'
U
47. - Jcar.-Pien-e Louis AubuS '^»
li
Houe incorrigible. Il est poursuivi aujour- c<
cordonnier, rue Foller, 1 " V9 »ïï
H
U'hal pour la cinquante-troisième fois A
Alcxandrine Pachot, 48 ans san=
ppour ivresse. — Un mois.
s
sion, veuve Thomassin, rue Nnû ^es. 1
LOTIîAMO.
5!
Da
58. - Picrrc-Edmond Schiffer i"
^
1
jours,
Grande-Rue,
8.
*
aa »j 1
Mort-né : 1.
vj
.
Publiealions de mariages
Angelo Montagna, ajusteur «,»
I
rmge, 91, de fait et de droit à \IS
province de Pavie (Italie», et
1
nise Thomas, brodeuse, mêrrm
1
Î8T.ITRE
.I!. 0E
épouse
divorcée de Charles-JosPnK^ 1
SAMEDI 7 BÉCEMBltE 1907
r
h
j
nard. - Antoine-Alphonse Bou
Bureaux 7 h. Ir3
Rideau 8 heures donnier,
d
rue de la Vanne n cho
I,
, c«f< i
Repréaentition cxtraordinaire,avee le concours
1
)uis
de Mme Fierons, 1" chanteuse dulhéâtre
'\Pourel, ouvrière de verrerie 'r\L 7 1« 1
Vanne
12,
épouse
divorcée
de
Hen™,
* I
national do l'Opéra
(
cob Seheider. - (iustave-EmileS»' I
L\ FAVORtTV
cchauuronmer, rue du Crôno. 12 J
grand opéra en A actes et 5 tableaux
î
Marie-Therèse
Ham-Bouzonvil er li^
de MM. A. Rover et G. de Vadz
j
rue
de Toul, 167 - Emile-Adolph»
Musique'de DoniKoUi.
,
galochier, rue de l'Abbé-Gré^ohe 1
I
Air THÉÂTRE DE NASCY. — Les aflichfcS ont an- sEugenile'-Madelaine Waltor, clomlst
1
1
t
noncé
la
venue
à
Nancy,
de
Mlle
Fierons,
qui
faubourg Stanislas, 56. - Elle
jj
interprétera dans la « Favorite » de Doni/.etti, '
rue Saint-Dizier | 1
]< rôle de Ixîonore de Ouzman. Mlle l-'iereiis.qui chirurgien-dentiste,
le
(
1 donnera dans notre ville que cette seule re- (et Blanche Nathan, sans profession t' 1
ne
ïprésentation ,esl ln créairice ù l'Opéra, du rôle 1de Strasbourg, 5. - Pau?-HuW Cl
1
marinier, de passage à Nencvï I
d'urtrudçi
dans « I.ohengrin
Cette artiste muller,
3
1
bien
connue a chanté sur les principales scè- micMié de droit à Epinal (VosS' î
nes
de France, entre autres Lyon, Bordeaux, Jeanne
j
Fischer, marinière, île
'
etc. Elle s'est également fait applaudir au théâ- Nancy,
!
domiciliée à Nancy, faubourla 1
ire de la Monnaie à Bruxelles.
Georges, 23 - Théophile-Victor SchroJ
Comme la « FayoWto » n'a pas été représentée 1marinier a. Neuves-Maisons, et de droit] 1
( puis longtemps sur notre scène,
d;
bien des 1
Nancy, rue Franç.ois-Guinet, 16, et Ë
'
rie-Anne
Rosin, marinière, demeurant i 1
coiu'ir samedi, salle l'circl.
]
Nancy, rue François-Guinet, 16 bis i l
droit et de fait à Neuves-Maisons.-- LÔuk 1
La direction dé-aii-unt faciliter l'accès du théâ- Charîes-Henri Lecocq, rentier, rue Ver' 1
t
Ire
aux petites bourses, a décidé de donner une laine, 33, et Catherine Veynandt, sani I
[
.dernière
reprOsenlalion de « L'Enfant du Tom-,
pie », mardi, prochain. Pour cette soirée, le prix profession, rue Verlaine, 35. — Edmond I
i(des places sera réduit.
Gaspard, cordonnier, rue Drouin, 7 ei m
avant à Guerpont (Meuse), et Marguerite, j
JÏASINU
. — Vendredi 0, débuts du Trio Augustinc Roliet, piqueuse en chaussuîêB m
i
t» Mayos, célèbres acrobates la ni ai sis! es ù Vandœuvre, avant à Guerpont. — Léot »
'de l'Alhambra de Pnris ; de Miss Vék'ia, Schenel, maçon, à Pont-à-Môusson, avant m
ro
!éqnilibrlsle coulorsionnisle de l'Olympia. soldat de l classe au 37° régiment à%. i
Premicro de : La Maison des Avocates, fanterie à Nancy, et Félicie Chèvre, mn ■
comédie,
!
satirique- de MM. A. Nouveau et profession, à Pont-à-Mousson. — Charte i
Joseph Houillon, domestique, rue Saini
E. Seuretle.
Jean, 41, et avant à Einville, et Marie-}»,
Ratcéc jouera Monrabaf.
séphine Philippe, domestique, rue Saint. 1
Jean, 41 bis.
j
CDEN CINÉMA, rue Bénit. — Vendredi 6011
à, soirée, samedi 7 en soiréo et dimanche
' décembre en matinée et soirée, conti
8
liualion des l'oprésentalions cinémalograAViië 3ÏOKTUAÏÉÎE
phlques. Privilège exclusif pour Nancy
des dernières créations de la maison Pallié.
f Les personnes qui, par erreur ou om»I
I sion, n'auraient pas revu de lettre défaire!»
6 part du décès de
: I
-
Il
ITOTN^J
1
1
1
1
BBSltlP
MSCT
5
1
î
1
1
i
L1
i
I
KLl I
I
I
I
i
I
1
TRIBUNE "PUBLIQUE
I mmw Alphonse BASTIEN 1
Le voie de ?ms députés. — Grillon et Piou.
ci Nuney, 5 décembre 1907.
<i Monsieur le directeur,
« L'Esf répiiblieain signalait hier, il reprochait à M, Piou et à d'autres députés
de la droite, leurs votes regrettables en
faveur de la
réduction des périodes
d'exercices des
réservistes
et territoriaux.
II me semble, monsieur le directeur,
que le même reproche pourrait être adressé aux députés du bloc lorrain et particulièrement à M. Jean Grillon,
Car, si le vote de M. Piou contraste
avec les déclarations qu'il a faites, diman
che à la salle Déglin, il en est de même
pour nos bons députés blocards qui, dcpuis quelques mois, se montraient des
plus chauvins, et selon l'expression même
de M. Grillon, « tiraient à boulets rouges » sur les apôtres de l'internationalisme et du désarmement.
Veuillez agréer, etc.
Un libéral. »
(Ainsi s'exprime notre correspondant.
Ses réflexions sont évidemment très justes et les votes des députés du bloc lorrain ne manquent ni de piquant, ni d'attristant, après les manifestations patriotiques auxquelles ils se livraient il y a
t
quelque temps.
,
Il est vrai que,ces députés, et particulièrement M. Jean Grillon, sont poussés
par le besoin de se faire excuser leur vote
on faveur des 15,000. Afin de faire oublier
celui-ci, ils voteront tout ce qu'on voudra.
II est compréhensible que M. Grillon!
qui, nouveau venu au Parlement et noj
connaissant encore rien de la vie de dôputé, commit l'incroyable erreur de prendre la parole en faveur du relèvement de
l'indemnité, cherche à rattraper la confiance de ses électeurs ; mais cette confiance ne s'est-elle pas absolument évanouie ?
|
Capttà ne au 37' régiment d'infanterie | _
Pi Sont
priées d'excuser ia famille et deconsiilé-l B
rer la. présent avis comme une invitation à| m
S assister aux obsèques, qui auront lieu le ven-ï m
H O.redi C décembre 1907, a 11 heures damatin,! ■
1
rue Jeanne-tl'Arc, 10.
1
AVIS MOBTtAIUB
I
Les familles NICOLAS
Ont la douleur (le vous faire part de lx I t
8 porte cruelle qu'elles vienaunt d'éprouver mil
f ta personne de
8
j
I
' 1 Monsieur Prosper NICOLAS
>
3
S
ancien cultivateur
|
décodé à Vandre-uvre, le 5 décembre
i
dans sa 83- année,
et vous p'-ient d'assister aux convoi funèbre, I
service el enterrement, qui auront lieu leI
samedi 7 décembre, à 10 heures du matin, I
en l'éyliso de Vaudeouvre, et de là au cime- I
tiC-re de la commune,où so fera l'inhumation.I
)'•
Maison mortifire :
1
>|
ï
3
H n'en va pas de même pour M. Piou
'
et ses amis de la droite qui font profession
ï
de nationalisme.
Leur attitude est inexplicable et impardonnable, et tous les « libéraux » de bon-"
ne foi doivent en convenir. - Note de la
;
rédaction.)
'
*
<ÊTm
Le cours de M. Mélin
,
Nancy, décembre 1907.
Monsieur le rédacteur
de 1' « Est républicain »,
Je recours à l'hospitalité de vos colonnes
^adresser une requête à M. le recteur
de 1 Université de Nancy. Le cours de
science sociale fait par M. Mélin, le jeudi
à cinq heures du soir, dans ia salle des exa'i,
mens do a Faculté de droit, ne pburrait-il
se faire dans le grand amphithéâtre do la
e
tres
" 11 y avait beaucoup dee
d
JÇ^esfillcs dui n'avaient pas
,3
de C
1S
En outrc M
^ ^'
- Simonnet,t,
Fa c ultô d dl0
n
" K alie
,,
?
«' disait son
(m,\tf Î
■ , lw avoisin
ante. On s'est
;t
scrrc
une forte netitc
sallee
tourncau
„
chauffé à blanc. BeaUicoup dé personnes n'ont pu parvenir à onitrer dans la salle.
Nous croyons donc, et en ceci, je parle
e
il
S- l? i1 ¥
ui S«
SSSP-Sïi
»T 1^
™ tS
i
l
l
f j
I I
A
rue de Iloudcmont.
n El n« isej'a
envoyé <'<' leSire»! |
i| «5e fuis-o 5<:«. i ic |»réy«Mît SJVIKCMÏ I
;| tcnatit'llcu.
I I
il
Monsieur Eugène MUNIER, chef Je dis-
'I
h trict à la Oompagi'no de l'Est, à Champ*
igneulles; Madame Eugène MU NIKE, net |
:, GUDIN ; Monsieur Lucien MUNIER. Iwf il
g fils, les familles NiVSCjri'SHEIU LEMAipa-j I
I LA.MONTAGNE,
|
5
Ont la douleur de vous faire part dcl3| I
H perle cruelle qu'ils vieuneut d'éprouver »i I
Ê la persoruic de
I
Madame veuvs C-UDIN
- I
M. Grillon, au surplus, a été élu avec;
l'appui des socialistes, pour siéger à la
gauche très avancée, avec tendances vers
3
un pacifisme dangereux.
Son attitude dans la question des 28 et
des 13 jours est, certes, infiniment blâmable,mais elle peut s'expliquer.dans une2
certaine mesure, par les origines politiques du jeune député, et par le besoini
de surenchère qui affole les « quinzemillistes ».
1
l
I
■
1
1
g
Née Auloinelto NASCIITSHKlM
g I
f|
leur mère, belle-mère, «ranà'mèrc, sœur. | 1
&.
tante et grand'tante,
g décédée à Cliampigneullcs, le 4 décembre 1*'I
B
dans sa 68e année
j
6
Et vous prient d'assister aux convoi W»^
I lue, service et enterrement, qui auront 1"
M le vendredi G courant.à '.) heures lr3 au m
II tin, en l'église de ChampigneuUes.
.,
i
&
L'inhumation aura lieu au r-imetiere t
Pr6ville
< à 11 h. Ir2 du matin.
S
Maison mo)'luaire :
1
81, faubourg de Nancy, Charapigneulles- I
j
H
fC
r
I H f>e sera |>a» envoyé aie |' î,j|
& t!« Istïs'}- |Mi-t. Jic im*és»e»it i»vl»
|
g;1 tenant lle«i.
|
iîrt. A: ./.•*- >..V;iti*«..... .* •.»".*-.-.'
•
6ïB3M13ït<;iiS.MS5IV'S,s*
B.
g
j
3
m Les familles GEOBGEL, LAAGE, SAfjî I
m
MON, MENTItEL et BEJOT reme^J j
M sincèrement toutes les personnes qui oui >'
m voulu leur témoigner leur sympathie a
fâ casion du décès de
1
1■
Monsieur Léon
&E0RGEL
I
:
Voyageur de commerce
„
L
Neveu de Madamo LAAGE-OKOROl^j
gfM>njiB»umiiii inMiiiHiiimi mu HHHIUI'II i"1
Do^b-^sle
. «i
La quête faite mercredi, r. o île --Î^J ^ j,|
bal offert par les ouvriers minc« r-_ _
,Société des salines de P.osierc."-^^- (,,un01
ville, a produit 15 fr. 45 ,cn
'
œuvre de charité.
i
— Sur la requête de M. le i ■ ; :.
darmerie a reconduit à l'ass
^
que le pupille Eugène Bcnm n^.'.,.A ■ '<•'■
ci
qui S'était placé de son
"f '--"
valeur des environs.
;
3
r
H^fr
;V$>'i
ISlÔS
f*
BS
Ç'^Ok, *7àS£i
n
m triât.*
IX il il M M il y y ii yHtïlvuit
•*~> me rtcs f>omiraiealn@,
PjTAIVCY
produisant lui-même tous ses Vêtements à son USINE MODELE
d'Amiens, SUPPRIME TOUT INTERMÉDIAIRE et
"VEND LE
Naissance. — Jacques-Franrois-IIenriAipbonse Nidrccourt.
Publications de mariages. — Henri-Adolphe Sponville, et Julla-Augir^nc Cuny. —
Georges-Victor Legay, et Augustine-Àdeline M a Hier.
Mariages. — Henri-Adolphe Sponville et
.lulia-Augustine Cuny. — or^-i-es-Victor
Lcsray et Augustine-Adeline Malher,
Décès. — Léon-Louis Poé.
■
■1
-■■
.
——____
MEILLEUR MARCHÉ DU MONDE
MMif-rrr;iiiTm^irrwTnriM nrMiifiTiimiiiiiHiiiniwi
"
"''
■ ■ ■ ■
Li verdun
Nous avons annonce la mort de M, Passine tué par un train, à Liverdun. Nous
avons reçu la visite du fds et du
cendre !du
défunt,
qui
nous
c(nt
affirmé que M. r-assino avait été vistiroe d'un accident et que par conséquent
il n'avait nullement voulu se suicider.
On nous écrit également que M. Fassin'était aucunement dans le besoin.
n0
Nous enregistrons bien volontiers ces déclarations.
Lunéville
On nous prci d'annoncer que, dimanche
8 courant, M. P. Moreau, marcheur professionnel, fera une exhibition de 12 kilomètres à la marche, "en une heure, soit plusieurs fois le parcours des principales rues
de Lunéville.
Le départ aura heu à 11 heures du matin, de la place Léopold.
WikmiÉ correctionnel de Lunéville
Atidience (tu 4 ûêcenvOre
Vol de bicyclette. — Harlwig Rudolf, 19
,ns, sans profession, sans domicile fixe, 6
crois, défaut.
Outrages. — Marchai Charles, 24 ans,
mineur à Einville, 6 jours, 5 fr., loi Bérenger. — Marchai Paul, 23 ans, domestique a,
Einville, 1G fr., loi Bérenger. — Thouvenin
Louis, 19 ans, domestique à Einville, 5 fr.
— Humbert Adolphe, 37 ans, cultivateur, 6
jours, 5 fr., loi Bérenger.
Coups. — Frédinger Jeanne, 15 ans, trieuse à Dombasle, 5 ï'r., loi Bérenger. — Virion Joséphine, 14 ans, flleuse à Rosières,
5 fr., loi Bérenger.
Contrebande. — Rouleau Henri, 27 ans,
manœuvre à Luné ville, 3 jours, 500 fr.
Bris de carreau. — Miquel Jules, 27 ans,
domestique, sans domicile fixe, 6 mois.
Homicides par imprudence
L'affaire Mayeur
Victor Mayeur, 44 ans, gantier à Raonl'Etape, se trouvant en chasse avec un camarade. M. Collot, s'en retournait prendre
le train à Azeraillos, le fusil à la bretelle
à l'épaule gauche. A un moment donné, un
lièvre passa devant les deux chasseurs ;
chacun s'empressa aussitôt d'épauler son
fusil, encore chargé, mais par un hasard
extraordinaire et fatal, la Pâchette de l'arme de M. Mayeur s'accrocha à son vêtement et le coup partit, atteignant à l'épaule M. Collot.
Celui-ci mourut peu de temps après des
suites de ses blessures.
16 fr. avec loi Bérenger.
L'affaire Simonet
Sirnonet Eugène se rendait à Ogéviller,
4-ers 10 heures du soir, sa voîtuîe non éclairée. L'automobile de M. Pillard, montée
par * Ptrsonnes, arrivant en sens inverse,
n'aperçut que tro^ tard la voiture du sieur
Simonet, qui obstruait complètement la
route ; le conducteur avait laissé ses chevaux marcher à la dérive, car lui dormait
à l'intérieur de son véhicule.
La collision se produisit avec line extrême violence et le timon de la voiture de M.
Simonet, atteignit en pleine poitrine M.
Pillard, qui fut tué sur le coup.
L'automobile fut fortement endommagée.
L'attitude de M. Simonet, après l'accident, a été des plus déplorables. Il insulta
les autres personnes qui étaient dans l'auto, et quand les secours arrivèrent, il s'écria : « C'est bon, il y en a déjà un des
crevé ».
...
M. Simonet a transité au point de vue
partie civile, et a déjà versé 20,000 fr. à la
veuve de M. Pillard. Malgré cela, le tribunal l'a condamné à 3 mois de prison avec
sursis et 300 fr. d'amende.
:SÏ»B-C!Ï6 <ïo Lasaîévllle
«Isa 4 elécciiiljs'ft
(Cours officiel)
Blé nouveau (choix), le quintal. 22 .. ;
blé vieux (ordinaire), .. . •; farine0, .. .. ;
farine 1", 32 ..; seigle, .. ..; orge,... .. ;
avoine. 18 . ; pommes de terre, 6 ..; foin,
8 .. ; paille. 5 ...
Pain 1™ qualité, le kilog., 0,37o ; pain
2» qualité, 0.325.
„ , „,
Bois à brûler (le stère): Charme, 1» ; helre,
10; chêne, 12.
Charbon do bois, l'hectolitre, 3 25.
Houille, lo quiulal, 4 ...
Viande: Bœuf, i" qualité, le leilog., 2
:
r. ■■
.
2» qualité, 1 80 ; vache, 1» qualité, 2 .. ;
2« qualité, 1 70; veau, 1" qualité, 2 60; 2"
qualité, 2 40; mouton, 1™ qualité, 2 00 ; 2«
qualité, 2 20; porc frais, 2 40; porc'salé,
2 00.
Hop à 8aii5Vii!Ê-ayx-$irofrs
M. Numa Salin, charretier de bateau,
passait dans la soirée près de l'écluse de
Bainville. Trompé par l'obscurité, il tomba
dans le canal de l'Est. M. Joquille, son patron, et d'autres mariniers accoururent à
ses appels, mais lorsque le malheureux fut
retiré, il avait cessé de vivre.
Le défunt habitait Saint-Anaand (Meuse).
Les deux chevaux qu'il conduisait lui appartenaient-ils ? ont été mis en fourrière
par les soins de l'autorité locale.
Saint-Mard
M. Joseph Lemoine, conseiller municipal à 'Haussonville, régisseur à la ferme
de Bouvier, à Saint-Mard, vient d'être élu
conseiller municipal dans cette dernière
commune par 10 voix sur 25 votants et 31
inscrits.
Baosaraî
Dans sa dernière séance, le conseil municipal désigne M. Mercier, pour la révision
de la liste électorale de 1908, et MM. Rauch
et Pierson, pour juger les réclamations ;
les candidats aux fonctions de répartiteurs ; accepte l'estimation de la coupe affouagêre de Badvnénil, de l'exercice 1907, et
du chauffage des gardes ; décide, la location des places du marché et des bols pour
1908 ; accorde un abonnement à l'octroi,
pour 1908, à MM. Rauch frères et Cie, pour
18,900 fr., et M. Toussaint, entrepositaire,
pour 600 fr. ; approuve le procès-verbal de
réception de l'égout dans les rue et ruelle de
Capelot ; vote un crédit complémentaire de
2,000 fr. pour l'éclairage, et un crédit de
350 f r. pour plantations de sapins à la
Mongolie ; revise la liste d'assistance aux
vieillards ; donne un avis favorable à deux
demandes de dispenses au titre de soutien
de famille et à deux demandes de sursis
d'incorporation de jeunes gens de la classe
de 1907 ; autorise le maire à aliéner un lot
de vieille fonte ; approuve une délibération de la commission administrative du
bureau de bienfaisance, ouvrant un crédit
pour secours de loyer.
— Dimanche 1er "décembre, les ouvriers
mécaniciens et maréchaux ferrants ont fêté la Saint-Eloi ; à 11 heures 1/4, une messe a été dite à l'honneur du saint, Puis un
banquet a été servi à la salle des fêtes, nar
M. Mougin, cafetier, avenue de Lachapelle. Les convives en ont été enchantés.
Au dessert, chansons, chansonnettes, monologues, romances ont été chantées. Deux
bouquets ont été offerts au chef d'atelier,
M. Claude, et à l'ingénieur des Cristalleries, qui a assisté au dîner. Le soir, un bal
a eu lieu, il a duré jusque minuit, et les
convives se sont retirés très contents de
leur journée et se donnant rendez-vous à
l'année prochaine.
— Lundi 9 et mardi 10 décembre, le cinématographe Pothé reviendra donner deux
représentations à la salle des fêtes. Ce cinématographe oui revient avec de nouvelles vues, recevra encore un meilleur accueil
que la première fois, car- nombre de personnes qui n'ont pu ni 1er lui rendre visite,
profiteront de son séjour pour le visiter, et
son succès en sera encore plus grand.
Intmanviile
M. Morbois fils, d'Immonville, vient d'être nommé chevalier de la Légion d'honneur. Il est chef de bureau à la Direction
générale des contributions directes à Paris.
Jarny
Olivier, âgé de 18 ans, domestique chez
M. Collignon-Warin, propriétaire-cultivateur à Jarny, est venu porter nlainte à la
gendarmerie" de Confions contre le fils do
son oatron, Joseph Collignon-Warin, 36
ans, oui, trouvant qu'il n'allait pas assez
vite en besogne, s'est emparé d'une fourche
et lui en a porté brutalement deux coups
sur la tête et un à l'épaule. Le pauvre garçon qui perdait son sang par les blessures
qu'il avait reçues, a été recueilli et pansé
par les voisins indignés ; il se plaint de
douleurs de tête et de l'épaule. Les gendarmes Thouvenin et Romu ont procédé, au
sujet de cette affaire, à une enquête.
A LÂ'CH
SO,
ruse
galat-George?,
f Sttssl»
th
Ï
LES'
Gants
Gants
Gants
Gants
Gants
Gants
Gants
US 'HAUTES
RÉCOMPENSE*
chevreau, 3 boulons
2.72
chevreau supérieur, 3 boulons 3.25
chevreau, lacets, 5 crochets— 3.25
chevreau fantaisie, 3 pressions 3.75
Suède, 8 boulons, mousqîetaitss... 4 7c
Suède, 12 boulons, aimsqiioUiMi.. 5.95
Suède, M boulons, mwsçteUÉwi., G.45
ïiîïiâïtoai
»
Nauey
tin
efes £h m tm ai k.m m &i
! (GRAND-PBiX ET MÉDAILLES D'OB)
Sf'iyEsScSaSS rï'J Luridi 2 ou Samedi 7 dcKaiiito mdns
Ganls chevreau, 8 boutonilmonsquclairss.
Gants che,vreau, 12 boutons, nuasquelsirei
Ganls chevreau, 14 boutons, m-jusqaelaires
Gants Mânes pour officiers, 2 pressions
Gants de ville, 2 boutons, pression
Gants tannés, pour conduire, 1 bouton.
Véritable chevrette piquée, 1 press.
5.75
G 95
7.95
2.45
2.95
3.85
3.95
Enseignement primaire. — M. Esselin,
instituteur-adjoint à Sivry-sur-Meuse, passe à Bouligny (Amerrnont), nouvelle école ;
— M. Humbert adjoint à Varennes, passe
à Jouy-sous-les-Côtes, en remplacement de
M. Daudier, nommé professeur ; — M. BarI thélemy, adjoint à Bar-le-Duc, permute
avec M. Lepage, à Stenay ; — M. Clerc,
instituteur a Tronville, remplace M. Esselin, à Sivry-sur-Meuse ; — M. Coulon, ancien élève maître, est nommé à Tronville ;
— M. Depoux, id., est nommé à Varennes.
Mme Biard, institutrice en congé, est
nommée à Bislée, en remplacement de
Mme Garnier ; — Mme Esselin, de Sivry,
est nommée à Bouligny, avec son mari,
instituteur ; — Mme Clerc, de Tronville,
passe à Sivry ; — Mlle Colson, suppléante,
est nommée provisoirement à Tronville ; —
Mlle Guérard, intérimaire à Avocourt, est
nommée à titre provisoire sur place.
Nécrologie — On annonça la mort du
marquis d'Imécourt, maire de Louppy,
décédé à Paris à l'âge de 63 ans. Il avait
épousé Mlle d'Audiffret-Pasquier, fille de
feu le duc d'Audiffret-Pasquier, l'ancien
sénateur et homme d'Etat. Il était administrateur de la Compagnie de l'Est.
L'inhumation aura 'ieu à Louppy.
Br3ux. — L'immeuble où était installe le
pensionnat congrcganislc, a été vendu
2,000 fr. à M. Benoît Scbeuer, de Montm*5dy, c'est-à-dire pour une somme insignifiants.
,
9
Dépôt de pétition. — M. Camille Krantz,
député des Vosges, a déposé sur le bureau
de la Chambreune nétitioa émanant d'anciens militaires de ce département.
Nécrologie. — On annonce la mort de M.
Frédéric Tanant, procureur de la République à Tra-Vinh (Cachinchine), qui vient de
succomber â Paris, dans sa 528 année.
M. Frédéric Tanànt était un Déodatien.
4Sharfns3. — La gendarmerie a arrêté en
flagrant délit de vol Jules Rouleau, âgé de
42 ans, cordonnier à Vinccy, qui a dérobé
deux pelles à l'étalage des Magasins-Réunis.
tsemireir.cnt. — Les nommés Marotel et
Grenot, habitant à Raon-aux-BoLs, que la
gendarmerie de Plombières a arrêtés ces
jours derniers, porteurs de 2 sacs d'allumettes de contrebande, ont été condamnés
à 400 fr. d'amende. Le tribunal a fixé à 4
mois de prison la contrainte par corps.
Plombières. — La nuit, le nommé Albert
Cornu, ferblantier, fut assailli près de chez
M. Remy, boucher, où il est en pension,
par un individu qui le terrassa, le frappa
et lui déchira ses habits. Cornu a déclaré
qu'il avait reconnu à la voix le sieur Marcel Hacquard, ouvrier sur fer, avec lequel
il eut plusieurs discussions à. propos d'une
femme. Interrogé, Hacquard a Opposé des
dénégations formelles à l'accusation de
Cornu.
La Bresse. — La dame Irma Wegel, tisserande au Bas, causait, vers 11 heures du
matin, sur le pas de sa ^orte quand elle
fut injuriée par le sieur Henri Viry, qui la
frappa en outre de deux coups do poing.
Rentrée chez elle, ladite dame y fut poursuivie par Viry qui la frarma encore de
deux coups de poing. Interrogé, Viry a fait
des aveux. £Vil a ainsi agi envers la plaignante, c'est qu'elle avait tenu des propos
désobligeants envers une -ersonne de sa famille, a-t-ii dit.
Le Ménil. — Le nommé Joseph Rossonblatt, journalier, fut trouvé ivre mort sur
le chemin par des gendarmes qui le relevèrent. L'ivrogne invectiva grossièrement
lès agents qui verbalisèrent pour outrages
et ivresse publique.
Fraient incendie a*ix
VwVkm
On homme carbonisé
Un violent incendie, dont les causes paraissent accidentelles, s'est déclaré dans
la maison d'habitation de M. Jean-Georges Wolff, maréchal-ferrant. L'immeuble
était également occupé par plusieurs locataires.
Aussitôt l'alarme donnée, toute ia population est accourue, mais tous les efforts ont été vains, la maison qui était recouverte de bardeaux a flambé comme un
tas de paille et en peu d'instants tout
était détruit,
-Les voisins étant l'assemblés et regardant les décombres fumants1, furent surpris de ne pas voir un locataire, M. JeanBaptisté Mougeolle, âgé de 61 ans, manœuvre.
Des recherches furent organisées à l'endroit où se trouvait sa chambre, et l'on ne
tarda pas à découvrir le cadavre entièrement carbonisé du malheureux vieillard.
Mougeolle était célibataire.
Dans l'après-midi, il avait acheté de
l'eau-de-vie dans un débit et on suppose
que s'étant enivré, il- n'a pu prendre la
fuite lorsque lc feu s'est déclaré.
Les pertes totales s'élèvent à 12,000 fr.,
et seul* M.. Wolff est assuré pour 3,000'fr.
elle en quittant une ville, il faudrait que
La pauvre enfant, inquiète de ses dixun autre, qu'elle ne fût jamais ailée à la neuf ans, (ne connaissait personne dans la
son regard ne se fut jamais croisé a'/ec ville. M. Puyberton, on le sait, ne recepromenade, qu'elle eût vécu dans cett? vait point ; il ne rendait aucune visite.
maison sans fenêtres décrite par le con
Suzanne employait sa solitude à lire, à
teur allemand.
travailler, à jouer du piano. Elle se lia
Suzanne, cependant, paraissait prendre plus intimement avec Mlle Philomène, la
avec plaisir le courant de sa nouvelle vie \ieille maîtresse de musique
Mais celà L.. iuand un malheur irréparable vint le-ci n'était pas d'un commerce bien réla frapper,
jouissant.
Par Pawl MAÏUSOT
La bonne tante Rose mourut subitement
Quand Philomène avait égrené tous les
enlevée par l'apoplexie.
potins des netites villes, commenté le
Suzanne pleura beaucoup tante Rose.
« Magasin des Modes » et conté la déploQuand elle revint de l'enterrement et rable histoire de son dernier déménageCe n'était pas la première fois que Suzanne faisait cette demande. Et quand les surtout les jours qui suivirent, die com- ment, c'était tout. Il ne fallait point lui
conversations prenaient ce ton, elles prit combien elle allait être isolée.
en demander davantage.
étaient toujours suivies de silence, penDepuis qu'il avait pris près de lui sa fille
Il est vrai qu'elle égayait de détails pitdant lequel la tante regardait avec inquié- Suzanne, M. Puyberton menait une existoresques ce déménagement dans lequel
tude Suzanne, toute songeuse devant ce tence moins active, il passait moins d'heu- elle -mêlait, avec force imprécations, le
mystère de famille. La tante avait ré- res au travail et cependant il semblait voisin habitant le pavillon. Son crime, en
pondu :
plus fatigué qu'autrefois. De retour de ses somme, était de ne pas avoir voulu renou-— Ton père, ma fille, demeure à L... , ateliers, i! se jetait dans «n fauteuil sans veler le bail de Mlle Philomène, mais c'en
°ù ses affaires le retiennent ; il dirige desserrer les lèvres où la vue seule de sa était un de premier ordre pour cette
^'importantes usine?,il y occupe beaucoup fille pouvait amener un sourire.
grande demoiselle sèche et coiffée, depuis
^'ouvriers...
L'œil mi-clos^ il méditait et semblait longtemps par Sainte-Catherine.
— Et pourquoi, avait repris l'enfant, ne faire intérieurement de longs calculs. / .
— Oh ! oui, répétait-elle deux fois, le
3emeurons-nous pas avec lui ?
Supputait-il le gain de ses quatorze jour, vous pouvez vous flatter d'avoir un
La tante avait cherché une bonne réannées de travail ? Se disait-il : « Bon ! singulier voisin.
ponse,
voilà qui est bien et maintenant, repo— Et qui donc ? demanda Suzanne, un
, Et Suzanne atteignit dix-neuf ans. que sons-nous >!. Peu de temps'après la mort peu intriguée ?
a réponse restait encore à trouver. C'est de sa sœur Rose, il mettait son usine en
— Un jeune médecin, je crois, un mau1
cette époque qti'elle fut appelée à L...
venté.
vais sujet assurément, M. Maurice Lever)ar ce père qu'elle connaissait trop pej
rier. Vous pouvez l'entendre racler du vion que nous la voyons s'installer avec tan- l'assidue et affable compagnie qu'elle ve- lon, quand il est fatigué de laisser son
e Rose dans la grande et belle demeure nait de perdre, M. Puyberton n'avait rien monde en paix.
Ie
M, Puyberton.
de ce qu'il faut pour occuper une âme fé— N'est-ce point ce jeune homme que
Suzanne s'accoutuma bien vite. Ne minine. Il ignorait, lui, l'homme labo- nous avons vu au balcon du pavillon, le
p
S»;ftait-elle rien ? 0"' le sait ? Pour. rieux el rude, cet art des riens qui plaît point l'air du monstre que décrit M11» Phi,J1'e qu'une femme ne laisse rien ders i-'
aux fere Jcs.
point l'air du .mo-ntre que décrit Mlle Phi-
Fsuiilolon de YEST REPUBLICAIN
N' 2.
HT âLMGB
iblfiUUUM
Nouveaux noms de tues à Strasbourg
Dans sa dernière séance, la commission
pour la dénomination des rues de Stras' urg a déeidé de donner à deux nouvelles
rusa, près de la porte do l'Hôpital, h s
noms de rue Pasteur et rue Kirschleger.
Cet hommage est rendu à la mémoire de
deux savarits qui illustrèrent l'ancienne
faculté des sciences du Strasbourg. Pas
teur fut, en effet, de 1849 à 1854, professeur
de chimie à cette faculté et épousa à ce.tta
époque la fille du recteur de l'Université,
Mlle Laurent ; la rue de3 Veaux, à Strasbourg, où Pasteur habita pendant son séjour, perte une plaque commémorative
qui fut apposée il y a quelques années.
Quant à Kirschleger, qui fut professeur
•le botanique et connu surtout comme auteur de la « Flore d'Alsace », il aura sous
peu, comme nous l'avons déjà dit, son monument, qui sera érigé à Munster, sa ville
natale, par les soins <le ia Société philomat ique.
M, Ccets
On annonce que M. Gœtz, nommé directeur des contributions directes, a résigné
son mandat de député au Landesausschuss.
Le Haut-Kœnigsjjourg
Le budget de l'Empire porte un crédit de
75,000 m. comme huitième à compte pour
la réfection du Ilaut-Kœnigsbourg. La dépense totale des travaux s'élève à 2,250,000
mark, que l'Empire et l'Alsace-Lorraine
' aient chacun par moitié.
«
-
LA PHLEBITE
Voulez-vous vous mettre a l'abri de l'etn^
boîie, l'accident le plus terrible de la phlébileî SI vous y avez échappé, voulez-vous
éviter les enflures persistantes, les engourdissements, l'impotence qui résultent si
souvent des phlébites anciennes? Prenez â
chaque repas un verre à liqueur d'ESixir
d© Vïrg;sHi« rVyrdalit, qui rétablira
la circulation et fera disparaître toute douleur. Le flacon. 4 fr. 50, franco. Nyrdahl'
20, rue de La Rochefoucauld, Paris. Envoi
gratuit de la brochure explicative. Exiger
sur l'enveloppe de chaque flacon la signature de garantie « Nyrdahl ».
FAITS DIVERS
NOUVELLES POURSUITES
CONTRE
GUSTAVE
HERVÉ,— M.
Flory, juge d'instruction,
vient d'être chargé par le parquet de la
Seine sur la plainte du ministre de la
guerre, d'ouvrir une information contre
M. Gustave Hervé, directeur de la « Guerre sociale », et le gérant de ce journal.pour
un article paru récemment dans cette
feuille sous le titre : « Ceux d'Etampes et
ceux du Maroc ».
Le réquisitoire introductif vise notamment ce..e phrase. : « Au nom de la juslice, si on décore les détrousseurs du Maroc, je demande qu'on décore ceux d'Etampes,.. quand on les aura rattrapés ».
Le délit relevé centre M. Gustave Hervé
est celui d'ootrages et diffamation envcr3
l'armée.
-)o(USE MÈRE JETTE SON FILS DANS UN PUITS. —
A Fagnières, commune des environs de
Châlons-sur-Marne, une mère de famille
la femme Adnet, a jeté son fils, âgé de 4
ans. dans le puits de la maison
Le mari de la mégère, rentrant le soir,
à sept heures, et n'apercevant pas son fils,
demanda à sa femme où il était. Elle lui
répondit que l'enfant dormait dans son lit
et lui recommanda de ne pas faire de brfiit
pour ne pas le réveiller.
Le soir, au moment de se crocher, l'homme alla voir si l'enfant ne s'était pas découvert : 'e lit était vide Adnet questionna
sa femme, qui s'était endormie ; ello lui
lépondit '(u'elle ne savait pas où se trouvait l'enfant, mais que s'il n'était pas dans
son lit, il était dans le puits. (La femme
Adnet est alcoolique.)
Lé père, affolé courut dans le jardin et
vit lc puits dont le lourd couvercle de bois
èiait retiré. Il appela les voisins, et à l'aide d'une griffe, on retira le petit cadavre.
La mère était demeuré?, pendant le
temps des recherches, impassible et indifférente. Elle déclara que l'enfant avait dû
se pencher et tomber tandis qu elle s'était
absentée.
Malgré ses dénégations, la rumeur publique l'accuse, et en outre, sa fille.âgée de
six ans, a dit à des voisins que « maman
avait jeté son petit frère dans le puits
parce qu'il criait ».
JL"4
PALES COULEURSparli-i
FUiEvns outiom
^IfrJy'i^ *.
rflUfïiVHÏ
C0HVAL£SCEHCEStrèsrap!<tcS.^3B«tè^'*<^ r,»»i.
R"»
«.-8 VlBCERi «• PAUL
F,r
"
ifâISMES DE FER DE MEURTHE-^-PiOSELLe
Emission d'Obligations
To M,...iVnncéleiine do Crédit Industriel et do DépôtH reçoit dès
à nrêsemêlTsans frais tant Hon siège social, 78, place Saint Georges à Nancy que
dans
agences, les souscriptions aux obligations 4 0,0 nets d impôts des
Sociétés de Mines de fer suivantes :
p Mine» do a.n Moiu-ièrc. - Coupons 1» avril, 1» octobre.
2°ssintes do Vniioroy. — Coupons 1" janvier, l,r juillet.
3» Aline» de Joudreville. — Coupons 1" janvier, 1" juillet.
4° Mine»
An.or.nont Do«.«i.«ry. - Coupons 1" mars, 1" septembre.
f âl atvlvsà
fflHe^^^l
MUN
QUÉRISON
^TO^^S^
E
T APRÈS
seulement.
Guérison rapide et sûre, sans médicaments, par la MÉDECINE NATURELLE, électricité,
radiations, eau, plantes, hygiène, et que chacun peut suivre chez soi, — dii Joutes
les maladies chroniques les plus anciennes, les plus graves, telles que : Tuberculose,
Maladies de Poitrine, Asthme, Rein, Foie, Vessie, Estomac, Peau, Intestins, Rhumatisme,
Goutte, Gravelle, Vices du Sang, Nerfs, Impuissance, Neurasthénie, Paralysia, Cœur, etc.
Pour recevoir consultation gratuite sous pli fermé, écrira «veo grands détails sq
Président du Comité fiîéd/ca/ de fa médecine Naturelle, 10, Bue des Bons-Enfants, PAWS.
Un
drame horrible s'est déroulé à Montevrain,
près de Lagny (Seine-et-Marne).
11 y a quelques jours, une fillette de cinq
ans, Hélyett Lequint, racontait à sa mère
qu'un de leurs /oisins, le « père Duteil »,
soixante-deux ans, s'était livré sur elle à
d'odieuses violences.
Les patents se rendirent à Liijfny déposer une plainte contre ce triste individu.
Duteil, l'apprenant, vint trouver les
époux Lequint et les supplia de retirer
leur plainte. Sur leur refus, il les menaça
de les tuer tous et se retira.
Le lendemain, Lequint, qui e&t maçon,
partit à son travail, dans une commune
voisine. Sa ferame, très alarmée par les
menaces de Duteil, se rendit, vers midi,
auprès du garde-champêtre, pour ie prier
de retirer au vieillard son fusil de chasse.
A peine était-elle rentré chez elle, .pie
Buteil se présenta, son fusil en bandarj
lière :
— Voulez-vous retirer votre plainte ? demonda-t-il à la femme terrifiée.
Celle-ci reïussnt, il épaula son fusil h
Dout portant. La malheureuse reçut la
charge et, devant ses quatre jeunes enfants terrifiés, elle s'abattit, foudroyée.
Duteil s'éloigna, rentra chez lui et, se
plaçant le canon de son fusil dans la bouche, il pressa la détente. La mort fut instantanée.
Duteil était père de quatre enfants, dont
deux mariés. Des voisins ont îecyeiili les
enfants de la victime.
TERRIBLE VENGEANCE
D'UN
ACCUSÉ.
—
-)o(—
TRAVAUX ET LEÇONS DE COMPTABILITÉ
IMC'OT, iO, r«îe Kstiiito-^nrie
Léon LE PAÏEN
HURON
RSédeeïn-deniJwîe
25, rue Sî Georges, Jlfa/jyfMalson Robardoïïè
ABSOLUE
d TiJ! Il ÏS\
1 1 Al 11 lUn
J 1 i 11 1 ' 'i'
il 1 1 i SI I
I
contre
LE ff©Ia
L'INGINOII
J. I UII Ji 1
COFFRES-FORTS
Incombustibles et blindés d'acier imperforablt
NANCY, 8, rue Saint-Georg s
0. HIftfZlKER, eUlFOifea-ôeiiOsîî
suecesseii!' de "^V. Sîoïjei-t
Nancy, 41 tor, rue Saint-Jean
r.aasiilMws de 0 ti. à midi
et
ds 1 b. if2 à 5 h.liî
Comptoir d'Escompte de Nancy
LEVY, ÏIËS k Cie
VU hUemUW ans, ayant déjà une année ou
deux de banque
MaFOi aux vins des Docfcs Sainî-Georp
Bureaux : Smiii d'Alimentation, rao Lnraotts, téléphone 784
Il est projédc à la dé^untution. tous les
jours, de 2 heures lp2 à 4 heures. Vin» »Je
flcuVieux. On reçoit également les commandes
chez M. ÇHAMBAY. rue des Jardiniers, 63,
JKJJ-S
Agents de oente OEM AND S pour dêoartnments
Ohirurgisn-flentistc
Diplôme d'honneur, doux médailles d'or
NANCY — 47, rue Gambetta — NANCY
Gonsultaiionsde 9 à 5 heures.
441M^iL5^iJ
Docteur Henri
SÉCURITÉ Tl T
Un lugubre événement vient de se produire dans 'a petite
commune de Saint-Aubin (Côte-d'Or).
Un vieux pâtre, nommé lean Lâchiez,
âgé de soixante-cinq ans, n'ayant pas été
vu depuis un jour, par ses voisins, ceuxci, inquiets, pénétrèrent dans son domicile.
Le berger gisait inanimé sur son lit, entouré de ses deux chiens cjui paraissaient
veiller leur maître.
— 11 est mort, dirent-ils, et ils allèrent
à la hâte, chercher un médecin pour lui
faire constater le décès.
Le docteur arriva, examina le beger
et croyant constater, lui aussi, tous les
symptômes de la mort, il accorde le permis d'inhumer.
L'enterrement eut iieu, mais au cin e
tière une scène tragique se produisit.
Le cercueil était descendu dans la fosse
et on le recouvrait de terre, lorsque lc-3
h ssoyeurs reculèrent, en proie a lu pins
vive émotion
Ils venaient d'entendre des coups frappés dans le cercueil
Immédiatement on îemonta le re cueil,
©n 1'HIVrit.... Le malheuroux pâtre vivait
encore, mais, hélas, ce ne fut pas pour
longtemps.
Quelques heures après il expirait
ENTERRÉ VIVANT.
-
MARCHÉ AUX FOURRAGES
La Chapelle, 4 décembre.
Le total des arrivages s'est élevé à 180
voitures. Voici le dénombrement : 150 \oitures étaient chargées de pailles de toutes
sortes et 30 voitures de fourrages dont 12
de foin.
Sur la paille de blé, baisse sensible de 4
fr. par 100 bottes ; sur les autres sortes,
faiblesse. Malgré la douceur de la température, les fourrages maintiennent leuc-j
prix.
QUALITÉS
lra
2"
3
Paille de blé
25 à » 22 à 24 18 à 21
Paille de seigle.. 42 à 45 32 à 35 25 à 23
Paille d'avoine.. 30 à » 23 à 27 18 à 22
Foin
05 à 66 52 à 66 38 à 4P
Luzerne
65 à 06 52 à 56 38 à 43!
Regain
58 à » 48 à 52 38 à 42
Fourrages en gare : on cote sur wagon
par 520 kilos en gare d'arrivée à Paris :
Foin
40 à M
Regain
34 à 36
Luzerne
40 à 50
Paille de blé
24 à 28
Paille de seigle pour l'industrie.. 34 à 38
Paille de seigle
24 à 28
Paille d'avoine
22 à 24
*3I»J
mk GAIE, gâ-aat.
t&g^
Intr. h f'Bti, « 1 .'ra! Suini.Diiierïiiu};
|<3§|pisJ
Al
OBJUL %JLS&
Sautées au^ beurre frais, au jus de viande, au fromage, ou en gratin,
elles constituent des mets succulents et aussi nourrissants que H fiandë
&m
ÏÏXi
^m
les noms Hîl/OIT
lomène. N'est-ce pas, père ?
M. Puyberton, toujours silencieux et
travaillé par son idée fixe, hocha la tête
pour toute réponse, en signe d'assentiment — ce qui scandalisa Mlle Philomène,
IV
Maurice Leverrier était un docteur aussi frais émoulu que possible, de la Faculté
de médecine de Paris.
Vingt-six ans qu'on pouvait comparaître aux dix-neuf ans d'un autre. Grâce à
son teint de blond, son adolescence n'en
finissait pas. Dans le geste, dans la voix,
dans la façon de se vêtir, de marcher, de
parler, il savait mettre un je n» snis quoi
de particulièrement alerte et gracieux.
Avec cela,
capricieux comme une chèvre et frileux -avec délices. Hélas ! qu'il
était peu gai, le jeune ami
Maurice,
|uand s'abattait le temps d'hiver et que
la bise s'escrimait contre les girouettes
des toits ! Mais au printemps, lorsque les
mois charmants revenaient au calendrier
quel gentil flâneur il vous faisait, sa cigarette aux doigts et cravaté de couleurs
tendres.
On ne pouvait point dire qu'il posât précisément ; mais son tempérament d'ar
tiste L'entraînait à exagérer les côtés saiilauls de sa nature. Or, avec sa tête délicate, sa voix pleine de caresse, son allure
flottante, il était fait pour jouer quelque
rôle de page spirituel dans un opéra-comique.
Maurice savait que son regard était
éclairé de malice et que le sourire lui
allait bien ; il affectait donc, peut-être, .
son élégant scepticisme et ne se réclamait
et
OJk JrllrîIST
sur cha.aue 23o?** "
guère, l'aimable garçon, des titres de la
qui ont une odeur à ensorceler l'âme la
Faculté ; il possédait, d'ailleurs, une forplus solide ; et elles se posaient, en tourtune à se passer toute fantaisie.
noyant, sur la mousse des verres ou dans
Tel était le juvénil docteur, à qui M.
les cheveux de Suzanne qui alors s'en
Puyberton vint rendre visite un aprèa
débarrassait à moitié par un gracieux
midi.
mouvement de tête, en souriant. C'était
— M. Maurice Leverrier a déposé sa assurément, un tableau à tenter un peincarte chez toi, après son installation dans tre.
le pavillon ; tu ne peux négliger de rendre
Mauricc,un soir, y songeait plus que de
cette politesse, avait dit Suzanne .à son raison, en arpentant sa chambre :
père, tu ne te trouvais pas à la maison,
— Qu'elle est gracieuse, quand elle souquand ce jeune homme est venu ; il faut
rit, quand elle parle, quand elle s'asseoit
t'en excuser.
quand elle marche. Et, le matin, lors',
Jamais M. Puyberton n'était sorti de ses
qu'elle donne à boire à ses fleurs, avec son
habitudes. Mais il comprenait que la préarrosoir bleu ! Non, il n'y a que Mlle
sence de sa fille lui imposait tout un nouSuzanne pour avoir un arrosoir bien comveau genre de vie. Il ne devait plus resme ça.... Maintenant ce n'est pas un motif
ter comme un ours dans son antre ; dépour l'aimer. Car enfin, l'amour, ô philosormais, toute visite reçue devait être
sophe, Maurice ! l'amour...
exactement rendue. Il inaugurait ce nouEt sur ce mot gros d'orages, il s'apprêveau système aujourd'hui même, et il
tait à faire déferler dos flots de maximes
commençait par le plus proche voisin.
ironiques pour bien se persuader qu'il
Maurice reçut M. Puyberton avec beaucoup d'affabilité et il plut, au premier n'aimerait jamais Suzanne. On frappa à
sa porte.
abord, probablement par opposition de
— Qui frappe donc ?
caractère, à ce vieil homme d'affaires séEt
il eut comme un léger frisson du
rieux qu'il mit à son aise dès les premiers
cœur, une sorte de pressentiment qu'on
mots.
venait tuer son repos.
Celui-ci se relira enchanté ; à quelque
— Tiens ; dit Maurice en ouvrant ia
temps de là, il invitait Maurice à venir
visiter son jardin. Il lui promit des piaptes porte, c'est mon vieil ami Julien !
— Ah ! je te trouve donc ; je te cherche
et des boutures.
depuis hier... Je viens à L,..
Maurice accepta, et bientôt il vint sou— -Ej pour y rester ?
vent. Toujours agréablement vêtu, un
— Oui, je- suis nommé dans ia ville.
stick à la main, il s'assoyait dans les chaises peintes en vert des bosquets, devant
les tables rustiques. Là, on buvait des
sirops, de la bière, et l'on causait. On était
[A suivre.)
au mois où tombent les fleurs des acacias.
VH KSi Vil B Wl
Ouate 6
■
A
CÉDER
M
Sans ville imper tanie de l'Est
SALON de COIFFURE
mm vente de Parfumerie, Ganwe, Bonneterie «t articles
Mw*8. Affaires prouvées : 51,000
k. par an Prix et condMons de
finement à débattre. S'ad. â M.
Mtb^l.gwegt-george^A Nancy.
n,ne bonn*
DËHlH?
WOHMIBE
orohii
?®lu eWen noir'ta_
1 tliUU ehea jaunes sur la
région
té. Recette Moyenne, 60 par jour •
Vente «la bière ; 180 hectos par
«n. Prix I8.fl00.ir. S'ad. à M.
IjOfib.M.rueSt-Georges.àSancy.
Le Jeudi 19 décembre, à 2
heures, en la maison commune
1de P ont-Saint-Vincent, de :
tameree da tissus et
Une Maison
ton petit CaféLS=
ON DEMANDE
à acheter dans la Meurthe-et-Moselle et départements voisins propriétés de rapport, d'agrément,
châteaux, fermes, fabriques et industries diverses, usines, scieries,
filatures, tissages, moulins, briqueteries, quincailleries, entrepr
de travaux, constructions, menuiseries, transports, brasseries, distilleries, drogueries, conserves,
pâtisseries, boulangeries, modes,
nouveautés, chaussures, tailleurs,
cafés, hôtels, restaurants, vins,
spiritueux, épiceries, etc. Solution
rapide pour trouver associés, commanditaires, nantissements, capi
taux pour sociétés et l'industrie.
S'adresser i la
BANQUE D'ETUDES
29, bd Magenta, Paris (28' an.)
La plus import. mais, de Paris.
Mise en rapp. dir. et inim. entre
l'on*, et la dem. (Disc. gar.). Etude
des affaires sur place a nos frais.
avec omnibus faisant service de
gare dans bonne localité prés
Nancy, à eéder pour cause de
maladie. Très pressé.
S'adresser à M. Fribourg,
banquier,33,r. de la Hache.Nancy.
Petite
maison T«ti£jS£.
cy, à vendre de suite avec 3,000
On traiterait avant l'adjudication
en cas d'offres suffisantes.
S'adresser, pour ton» renseignements à M" GÉRARDIN.
fr. comptant. S'y adresser pour
visiter, et pour traiter, i M. Fribourg, banquier, 33, rue de la
Hache, Nancy.
COMMANDITAIRES
sont demandés pour affaire très
ancienne. S'adres M. Roussel,
expert-comptable près les tribunaux, 140, r. St-Dlzler, à Nancy.
à
Fox-terrier srtségaré.lier
Ramener rue Saint-Dizier, 138.
Récompense.
SITHftTIflH * sa faire pour
MlUftlIlin jeune homme; teneur de livres ayant quelques
fonds disponibles. S'adresser au
Bureau du journal.
3S7
[M p te maison huiles, savons,
f nll cafés, dem. représent, régionaux, accorde appoint, et remises, fera dépôt. Ecr. Valentin,
13. rue Friedland, Marseille. (22)
On désire vendre un
906
Automobile Peugeot 1
Staeières de l'Est, Nancy On demandeRtyèr™t, >eSr!
"neuf*
ainsi qu'une
OIV î —
SLZJSS
«
t
Machine a coudre
avec coffret.S'ad.au jurnal.230
Occasion V1'^;:
éeriture vieible, 1 duplicateur automatique, 1 presse à copier état
sauf, le tout 300 fr. M. Bey, 17,
faut). Bainte-Catherine, Nancy.
eus, connaissant un peu la maehine à éerire pour service de
J»w. S'ad. boul. Lobau,98. Nancy.
L.
jÈS$Bk GFapîJBpBones
La Maison DONNE uu grapbophone pour 49 gros sous
BB.
OH DEHINOE Marte, impri- [ PQÊT s. sign. 3 OjO. Rembours.
jneur à 1 .ongwv.des OUVRIERS rnC I 19 ans. Rien d'avance.
i
4,250 fr., vaste appartement,
deuxième étage, 10 pièces, bouleTard Lobau, 39.
.
Placerai sûr ei rémanêraîeur',
Sont disponibles q.q. obligations
4 lr3 0(0 garanties par 1" hypothèque.Ec.A.P.bureau du journal.
.
0
!8J
de^aint-Dié un:
Infirmier. Ne se présenter que:
tmuti de bons certificats.
.
Ofl deffl ^e
6,000 fr.
offerte à personne active pouvant
faire apport de 25,000 fr., garantie par nantissement sur commerce valeur 100,000 fr. (candidat
prendrait partie comptable et
écritures dans ledit commerce).
S'adresser à M. Gineste, 17,
rue Saint-Dizicr, à Nancy.
Ëaisens neuves à vendrei
OaS'adresser
imita des \mm\m
me Hermite, 47.
A VENDRE
An demande une bonne à tout
U faire, saehant bien cuisiner,
pour personne seule.chez M»» Leprettre, 20, faub. des 3-Maisons.
jros rapport et autres. 1]5)
estant, g'ad t. Mon-Désert.20.
•
âe
Maison tairgeoise^r
r
Coannanderie, 9 pièces, petit jardin, construction récente et soi-:
gnée. Prix 35,000 francs.
S'adresser à M. Gineste, 17,
rue Saint-Dizier, à Nancy.
DOCTEUR
Bourgogne^ eampagne très saineî
entrée pittoresque, climat doux,,
fwèts, reçoit pensionnaires œa;lades ou convalescents, mais nii
«oniagieux ni aliénés. Vaste ins4aMation très confortable, cours,
jardin, bains,
-Hures, pharmarie, piano, etc
w de famille.
Soins excellents 1 rix très modéjBfe. S'adresser au journal. 216.
Direction divisionnaire
d'ASSURANCE
disponible à Nancy, a*i Syndicat
des commerçants (5« année) pour
l'administration du service d'inspection et des agences et l'exploitation du portefeuille. Adresser
les candidatures a&siège Central,
19, rue Auber, Paris, qui fixera
eonditions, traitement, remises,
allocation de loyer, etc.
(1)
: Véritable occasion Ae
ê Mmm
Discours et Fils
demande de suite de bons coupeurs'
USINE
te* environs de Nancy demande
départ, beUe propriété à louer ou
à vendre au pied du mont SainteOdile : maison d'habitation, jardin, verger, magnifique séjour
d'été. Prix modères, ^adresser à
M. G. Stehberger,àOttrott(Alsace)
D"R 'Ê,rpargent sur signa
MrXXJ-i X ture. Long terme.
Discrétion.Société industrielle
83, r.Lafayette.Paris (80« annéel
ajusteur-forgeroni On demande ap!^«"atsr
t menuisier-charpentier• S'adresser au journal. 645
ra
I
es
e
^
^ÊÊÊB^^yjLoKÊKÊÊM
^i
P^
es
^ li
Ma a<
^
I IP6T0tS, pwaaelft» sassssse et i»lt, I
^Q 'a Vessie,
18tT0U» IMMÉBIATtlai BÊ6LS8 sarlaj
I
Remède le plus efficace et le plus actif.
\ jBy
p
^^^^^^^^^^^^^pF^
imiitiiii :
I
bi>ii'!nimUtII,M.to-lH-Balns'lir< 1
RMutTM
0tpm,» â dimênd, de San,,!g«,m,tttt. S
le véritable SantolBtine préparé par M. N^RODETZEI, Ph* ,
I Banque Franco-Espagnole 1
H
*
H
SOCIÉTÉ
SIÈGI SOCIAL
4lèeE
I
m®
S.
DON ANDRÉS MELLADO, Sénateur a vie,
ancien Gouverneur de la Banque d'Sspif ne,
B
JBÏÏ
» M."
la Légion d'honneur.
B
M
VICE-PRESIDENT i
ARMAND
CHARET
DE LA FRÉMOIRE
Président de la Société du Syndicat Minier.
jjlj;
Wm
ROCHETTE, Administrateur délégué
de la Société Générale du Crédil Minier et
industriel.
-
HENRI
'
ADMimSTItATEUM»
Y PAGÊS. Sénateur
* vie, ancien Ministre de
la JB.tic». essieu
S-E. DON JAVIBRUGARTE
B
^Sœ
M
K. DON RAFAËL GASSKT, Député, ancien
Ministre des Travaux publics et de l'Agriculture premierDéputéduCollègedavos.ti
BP s. HL Dos MÀNCXL DE OLIVA, Marquia DE
^^t?»0t
■K . «animiatratenr de la Caisse d épargne de
DEs. K. Don' JUAN R02PIDE BERIZ, ancien
Wjffi;
sMputé, Administrateur de la Compagnie
B|
GeMcale~d*rs Tabacs des Philippines;
fjjm M'.-ie Tjk^nail BOUTAN, Commandeur da la
ES
Légion «Ttionneur, Admmiïtrateur de«
■
Uainea Franco-Russes.
,_
b.'
R
™T^^^^
î
1
r
Ij
,
t-*»osiii:
H
B
Demieile social
W '
®
Succurfal. de Paris..
g
103.1S0 37
Baoqne d E?p»gne (c/c »Be)R
823.059 80
Banque de France (c/c vue)..
047.250 84
Banqoet et Bioquiàrt (c(c tv«o
intérêts
S.308 684 38
Coraspsad. «t Af eats... V 33 149 80
Débltsars divers
163.096 18
PsrteteaflU :
Caoltal •
^.«m™.....8.562.500 .
En portefeuille
. 16.837.500 s
Comptes courants
1.290.616 71
Créditeurs divera.......
119 052 12
Effets à payer
119.212 36
Profits et Pertes
1 325.777 20
■ „ -K. CKQ--^
. 25.254.658
39
.ÂOMitffB.
.
Wf
nim
T
vsîears
l
nll
mobilierea :
„-,
BS
M
^
* ^ toi 12
Ea*«U a ^"'f/""'"**
rtce»oir
15.305 86
SS
M'SBIÎ
ration» de reporti 3.04,1.250
_
B
fi|
M£ÏX1
18 837
'
0
^
»
n
a^TrU-surVaieuri'.'.-.; a.2ot:?li
Prêts et Escomptas
|
235 000
Frais de crsaaiar établie.
689.737
^
,
61 414
MoblIler
Coupon N* 1 (Acltom). •.
151.953
35.254.65 8
NOMINAL
Valeurs mobtl,en dépSt !
Pour garantie de prêt» et d'ooé-.
rationt de reports 3.041.250 ._ .
Dépôts TCloutairea
13.000 3.054.250
l v^ „„„
0 0
28.308.903
B
H
H
H
M
H
fm
B
H
"î,°?
^^^O
tl>
0^ tolcntaire. ^13.000
10
70
56
39
.
,B
3.054.250
28.308.908 39 mÊ
' mm
W§
Répartition d«a bénéfices :
1.325.777 p. 20.
Dividende aux actions 10 0/0.
559.625
Réserves 70)0
' 391.288 88
Amortissements
J
19 938 21
Conseil d'administration... J
97.98633
Parts de fondateur.
J
244 965 84
Report i nouveau,.
11 974 98
„
^tlw •
—
r
^Tom tOà^t??ÎTT.
1.325.777 20
M
.K
If
.
>
„„
39
■§
Wm
H
BJ
WÈ
H|
I1
ÉMISSION, PUBLIQUE
B
de
20.000
j&ctions a titre irréductible
réservées aux Actionnaires actuels dans la proportion de 1 action Nouvelle pour 1 action ancienne)
I
et de
fiff
20.000 Actions
f""-
L
titre réductible
à
A VENDRE
lelie maison S. ȣ
fc Rapportst
du pont de Mon-Désert.
1,82b fr. Prix 31,000 fr.
■aienn quartier Grandville,,
HilioUII rapport 2,600,pr.38,000.
■aionn rue de Mon-Desert.
MdloUflRap port 5,600, pr.90,000.
Cette dernière de construction1
récente, avec grand jardin, en-tièrement louée.
S'adresser à M. Gineste, 17,
rue Saint-Diiier, & Nancy.
Q EPRÉSEHTAHTS demandés par
fi maison de Bordeaux, p* visit.
anc. client, dans les Vosges et la
Meurthe-et-Moselle.Gondit.avant.
Ec. II.O.B.1879, post.rest.Nancy.
A
a
• j
irpnepit
v
i
l
30
coure clôturant le
Juin
rtopiesd'adrossessurbandesàdames et mess.ayantloisirs. Travail facile, bien payé. Ecr. Star
Office, 5, r. d. Isîettes, Paris. {53)
■
A PARIS
^r
Vi J ? ^ -
SB
ses, 15, rue du Montet, au 1".
A
CEDER
. Brasseri6-M(t de vins?/*,
bénéfices nets par année. Prix
7,500 fr. (départ forcé). Belle occasion. S adresser à M. Gineste,
17, me St-Dizier, à Nancy.
« Compagnie d'Assurances
contre l'incendie demande courtiers sérieux pour les cantons de
Briey, Chambiey et GonflansJarny. Feraient encaissements au
besoin. S'adr. au journal, 983.
O
? 'i1"16?86
un
n
rfomamip munie de sérieuIl UCHlttlHiV
ses références et connaissant parfaitement la balance.
^S'adresser 6, rue. Raugra**
■
DANS LES
■ DÉPARTEMENTS
H
1
W&
■
S
M
■
MB
h
HD ,ST
U
• sachant
ON DEMANDE
leu
coudre et des festonneu-
JEUNE FEMME sachant raccommoder «t connaissant le ser-vice de femme de chambre, de-mande des journées.
73
DAME veuve, sachant racom-iBiodcr et faire le neuf, demande
des journées, maison bourgeoise
ou hôtel.
72
ALLEMAND, leçons, conver-sations et traductions. Dlle Gra-fcowska, poste «estante, Nancy..
Références 1« ordre.
PERSONNE sérieuse demande
place chez monsieur seul.
75
Une PERSONNE sérieuse, sachant très bien racommoder et
faire le neuf, demande des jour69
nées,
*
A
1A ls'Œo^
SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DU CRÉDIT MINIER
IE
;rl
32 9t34
1g
'
'
et ches tous les Banquiers et Changeurs.
l Anx SUCCURSALES ET AGENCES de la
!
SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DD CRÉDIT MINIER
j
™£™ï™
« I/
ltL et Cb<!2,0U
'
U
'
B,rU1Qi,rE
f)
U» Aisembiee» général^ se réanUswt» à Madrid, str eoatocatlon listréa 4ns b
g
I
<«°" P"»
«
^
/
Sm
l
"-g
s3
B
H
H
A
m
'
£ |[
„0Itml,,e „,,,
a
.
,
, , "
îl répartition,_
(£o>)ra U»IH«tn«ol) I
Mnlf 1 ,
- asasa»
„
1
''
"ouctlle quejt souttrù, Je verserai le surplus d
'
~i
.„„.
...
H—
_
PRINCIPALES OPÉRATIONS DE LA SOCIÉTÉ
Achat et vente de valeurs cotées et non cotées en France et i
l'étranger, sans autre courtage que celui de l'agent de change.
Paiements sans frais des coupons de Rente française, Chemin di
fer, Crédit foncier de France, Ville de Paris, etc., pour Us clients
Remboursement de tous les titres sortis aux tirages.
Recouvrement et encaissement d'effets de commerco sur toutes le?
places et toutes opérations de banque.
Avances sur titres, intérêts suivant la valeur du titre.
Reports effectués chez l'argent de change.
Chèques sur Paris et l'étranger.
Renouvellement des feuilles de coupons, change de monnaies.
Souscription sans frais à toutes émissions, libérations des titres
conversions.
Vérification sans frais des numéros des titres susceptibles d»
sortir aux tirages.
Carde des titres.
Formation de toute société industrielle et appoi financier.
La Société livre, sur demande spécialement faite dans ses btt
reaux ou par correspondance, dans les trois jours, les obligation!
de la Ville de Paris, du Crédit foncier de France et dei
grandes lignes des Chemins de fer français.
La direction possédant des dossiers complets de toutes les v*
leurs peut en tout temps donner des renseignements exacts tan)
sur celles émises que sur celles en cours d'émission.
Les conseils sont toujours donnés à l'achat des meilleures valeurs
de la cote.
Tous renseignements sont donnés gratuitement soit par lettre,
soit verbalement.
M. BEAUHAIHE souffrait de l'estomac
depuis «trente ans. Les Eupeptast's.° ferments digestifs du Dr Dupeyroux, l'ont
guéri en quatorze mois.
M. BEAUHAIRE, fabricant de feuillages artifieicls, q«o représente
SJBfe^^^SSS^^**'^■ i la Photogravure ci-contre, est né en
à Arteniy (toi ri) o: habite iCh,
rue Montmartre,
;- Au réjiment,
'1 commença a 50 lïrii de l'es .-.nidc
6K§&«VÀ^|W*S«|MB»*'P01* intermittences, lie iëtj6 u
1!
SJKSM
.
v<^^^w
■'- consulia les «lus hautes son «iitès
WMmW^^ÊmWSKBÊS
$
médicales
de
t*
iris
et
se
sonnai
aux
W$%iÊ:
' . - traUcnients les plus divers iau;-: o!>lc%
V
v
1
^^^^t
^^a^av
'
nird amélioraliar. persiAl .nu
'•
:jd
^^^^^^P'W*'' ~
v
HHgjppp '
^
SgS&gnft \ ,
y
"
V
'
1
le quinzième iné'dccîn qu'il^consultalL Je le trouvai assis tout habillé
sur
son lit en proie aux plus vives
V X
:;
:
»o-if:>anceî 11 c ul ir.-s" jioit^ri.
^^Ê^^^^WKV'it'
' Toutes le» beures, parfois même plus
«nHKË^^H^ggegte.^
souvent.il était p s tie soudi ;<:ices
MBEiSK
"4 " aaaj%HB»Mali terribles au creux de l'estomac, soit
a^a^fc^gr^afi,.-, ..r<My»Tr^i'ig!^^^j| qM-;i prît fa là ruMirr-turo. soit afsHl
a'abstînf de tout aliment. La nuit ne lui amenait pas de rep.»s. Je lui
prescrivis mon traitement à base d'EUPEPTASES, ferments digestifs
en poudre. Sous l'influence de ce médicament les crises s'espacèrent
peu à peu et diminuèrent d'intensité, mais la guérison fut longue à
obtenir. Graduellement, cependant, l'organisme, miné par i'iuatîition
et par
souffrances, reprit des forces et lea fonctions digestives se
rétablirent. De hautes doses d'EUPEPTASES furent nécessaires pour
obtenir ce résultat et le malade était parfois obligé av» absorber une
demi-baite Jiar jour. A la 8n de mai 1907, M. Bcanhairr était complètement guéri. Je l'ai revu le 7 octobre 1903. Depuis u,uatrc mois il avait
>u se passer de tout médicament; il mangeait et digérait les aliments
es plus indigeste.. Il avait augmenté de ao kilors. il m'a permis de
publier SOB cas dans le but d'être utile k ses semblables.
D» DUPEYROUX,
5, Square de Messine. 5, Paris.
— Pour pamwltre aux malades souffrant de resbmac de se soigner seuls,
festoie gratis et franco i toute personne qui m'en fait la demande mon Traite
des maladies de l'estomac et de l'intestin, illustré de nombreuse, planches
d'anatomie, ma brochure intituJée «Des Eupeptases /èrm.vis.- digestifs en
poudre et de leur action curntiae rapide dans le :
-.ternent des
maladies de l'estomac » et un Questionnaire qu'il iv.
Je remplir et
de me retourner pour eue ^'envoie une consultation gratuite pal jr'îTespuîidance.
De plus, |e consulte de 10 b, à U h. du matin, gratuitement, tous les jours, exccplé lé
jeudi, dans mon cabinet du 5, Square de Messine. Les Èupeutafiex sont des
ferments retires des glandes digeetiees des animaux par des
procédés nouoeaiue. Elhs sont efficaces contre toutes les maladies de l'estomac
et de l'intestin,:, quelles que soient leur nature et leurs causes, .l'en envoie ua
échantillon contre 0.50 en timbres.
^^^^^1.
-
* - :J\
^T^^^^^^^WKE; '
'^L
% ^^SS.' :
-y^
1
Dépôt à Nancy : MM. Monal frères, 6, rue
des
Dominicains.
Etude de M' ACHii\, huissier à Nancy, 55-57,
rue des Dominicains.
VENTE MÔBiLiÈflg
aux enchères publiques
PAR AUTORITÉ DE JUSTICE
Le VENDREDI 6 DECEMBRE 1007, à dix heures du mutin,
rue de Santifontaine, n" 21, au domicile de M. Borchi, par l'un
de MM. les commissaires-priseurs de Nancy, des objets ci
après :
Une armoire en bois blanc, un lit en noyer, deux sommiers,
deux matelas, une table, un buffet, une cuisinière, six chaises,
un lit en fer.
Deux chevalets, une balance.
Une scie, une fourche, un tranchet, 1,250 manches de balais.
Une voiture à bras, une cuve, trois tonneaux.
Et quantité d'autres objets.
AU COMPTANT 5 % EN SUS
L'huissier poursuivant,
ACHI.N.
DES
HERBORISTERIE
VOSGES
Chats sauvages des Carpathes
PRIX
TRÈS
MODÉRÉS
B
B
fa
am^
Maison
1
Fayencerie,
NANC1
ÉÊMt
filAJI
|f^j|f
Jumelles prîsmatiaaes
K^J SÉ iPjL
B
souscription P0Ur__
_— action» noumi,,.
A
la
' PPUi de ma souscription, je joins mes actions
anr.ieruws Banque rrsneo-Sepacnole et 100 Trancs
franc* ar
5J
«s îl
.tZ
DATB 7
Agences à NANCY, 11, m Mlia
et a SAINT-NICOLAS-DU-PORT, 18, place ie la ESjilit
B
|1
a ni. sa a*.
Banque
"•"""«■P'wnole.
p
A l ,.put a, ma souscrtptton. j* e.rs, ,00 franc* ,,ar fl
v
tmna .r
.■K
ae
—rttrat i, turpluê d <• réparution. ï
H
,,
,tgni
.
rxftei
M
Jt otu \
,.„.„„„,
~
«imturant a
m
porteur de
actions anciennes Banque
rfanao-SiparaoU, rfécfor. utilise mon privilège de
|j
*uns»s« ■
SIÈGE SOCIAL A LONDRES
Régie par les lois britanniques, opérant en France en vertu
des conventions franco-anglaises de 1862
WÈ
demeurant PH
—
, aemeurant
—
i
aprèe B
connattsanc* du prospectus d'émission déclare
actions nouvelles
<o Bj
g:
H
■ Et dès maintenant par correspondance.
m
I
i^Z l
/A Madrid t s ls BANQUE FRANCOESPAGNOLE, 45 «t 47, Carrer. San
i
Oéronnno, et chez ses correspondants de
I
proTince ■
h L'ÉTRANQER { A Bruxolîo* # 4 la SUCCURSALE de la
SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DU CRÉDIT MINIER
ET INDUSTRIEL, 30 «t 3î, Boulevard
Anipach, et ches les conespondante de
\
provinte.
X«» formSLUti* ponv Viazoription à la Cote d»m motion* nouvelles
seront rempli», tmat an Fraas» qu «n Eipagn», ou VjttMgo
M Banque franco-JB.paffnoI. »l déjà iaecrita à lm Cota oOtiieUe
■ d.« Agents d» enanV*
^.Z
«str.lt d* b HoHs. tasérée «a -Josrsal «taslel» <• St Mevamars IMT.
9 La SooUM a pour obj.» tonte, opér.tloa» ds fcaoqiM.
SBS
S. durée #at de Quat«.vîaf t-dix-osuf aas.
, , ,
■Q
K1J. . publia un bilan dw compte» du pnmitr «uraieo. S.r lu baa<0A £u mil. KIWiest
H| prélevai pour constltnm un fond» de rbarva, pl.. I. tomme »•»«»• po.r dosHf vD
mm Intérêt de 5 0/0 aux actions.
,
_„ ..
B| Snr la aurplu», 10 M mot «ttrlhuéi «n Conseil d'administration. 16 0/0ft aux .art» de
Hll fondataur ; l'àâeadent eus estions.
. . .
H . Il . ate erS» S3S pari» de fondateur ayant droit a K OS dan. la. MneMaiv
H » La capital 4taH repraaeaté par SO.eco «atlooa de 2S* franes ebamoue ; »,000 ont «»totMf
BB î b corutitution da b SoetatC; aoSrU (eraienf.l-ohjet de la pïéeeate «rnoalua ; SWW) «on
Bj *nl»cs restent encore É I» «ouehn-,
I
'•.«««'*■»*
~—
=s
(LIMITED)'
ft-ug. FISCHER, 23, rue da
BULLETIN Di
SOUSCRIPTION
», , »,«,
^_
UeB, U3Che
Société Générale Anglaise & Française
B
francs en souscrivant;
francs à la répartition do 20 au 25 Décembre
475
NANCY-pharmacies Ruttinger, D» Page}
gl
1908
On souscrit du 29 Novembre au 8 Décembre 1907 î
II
PQTIflN FRIl 11
, b.^. d.»
i »» «béa. a* î VI lUIl hUlnB1
te aonlagemcn' sers Insbnlané, la BBJJ
rapide — 4 [f. Bft et S fr. 60
*M«»n
g
PBIX D'ÉMISSION : 275 FRANCS
Les Actions émises ont droit aux bénéfices de l'exercice en
LiT.u*
pour réparations d'entreUen.Place5
«table et bien rétribuée. Offres5
tous A. J. 62 an journal.
"
Votre TOUX rêsi,,^
~|
H
offertes aux Actionnalraa et au Public indistinctement.
■Il
S
H
Caisses et BtnseU
ADMINISTRATEUR DSLtCUtt
M.
||
Rua Saint.Oaorats.
(comptes dti especerr*
BÊK
!
i,
^Tï^gï*™
.
H
B
: MADRID, 46-47, Carrera de San Gérooimo»
: PARIS,
,
Aetless an porttfeoille î
ÎSS.nBïïr?ae??^
BRI
B
H
■ H
H
BILAN au 30 JUIN 1907
B.
■
m%
m
B
CENTRAL
CONSEIL D'ADMINISTRATION
H
B
O
Capital de SO.OOOiOOO de pesetas or ou francs
Mrisé en 80.000 Aettens de 250 pesetas or oa fanes,
"
B.
II
■
ANONYME
4 fr.
■ Dépôts à Nancy. — Pharmacies Oster, rue du Pont-Mouja ;
Rosfelder, rue de la Visitation ;
Monai, rue des Dominicains.—
A Lunéville : pharmacie Denis.— A Toul: pharmacie Maucollot.
WMy
^^^g'^^^y
ABSOLUMENT INOFFENSIF.
^^m6« Mm^
Si méfier des contrefaçons st des produits similaires.
l
■f
de voix. Ecr. V1ALLET, 14, rue
Humbert, Grenoble (Isère), qui
indique gratuitement le moyen
d'obtenir gaérison radicale, même
à la dernière période.
e
cepte partout représentants. Fortes remises. Primes offertes à la
clientèle.
20 ANNÉES DE SUCCÈS
Écoulemants, Cystite (tu Col,
ruêrues les plus rebelles,
jB^^^aBE^^^^^^^^m ■ comme
sans maux de reins, ni douleurs d'estomac,
ar es
MUr WÊl €^ vM^rvB
P
^
Santals impurs, le Copahu et
■ JHU jjk |BML JMI les injections. D'un» pureté absolue.
lullUU commis ôpicier pour travailler dans ses entrepôts.
^^^3^?,T, gur signature depuis
\al 2 lr2 OjO. Remboursement à volonté. SARCV, 111,
r. Turenne, Paris.
t53)
■ Situation de
'
geur.S'adresser
* JST^k^ i f w^WJSÊÈk
JMrmr^ff îtn$Hr%E ^^Bk
La
Société ummu d'atiientatilll ' Nancy, demande un
B
tuberculoses,
MALADIES
À VENDRE écrire, pour; I bronchites
chroniques et extinction
cause de double emploi.
—
j&7y_K GUÉRIS0N RADICALE
pour cause ne santé
1» Onze chambres meublées
avec bail.
2» Epicerie - mercerie - comestibles-fruiterie laiterie (coin de rues)
S'adresser au journal, 886.
Alexandre, 5, r. St-Marc, Paris.
ri
V.CARROUCHÉ
JBQGB
Huiles, k Aix-en-Provence, ac-
ET VOUS SEREZ GUÉRI EN QUELQUES HEURES...»
R
I
PONCELET
Seules Pastilles conseillées par les Médecins
rnnésentants dem. par
tr n huilerie et savonnerie.
Ec.G. Icard, huiles,Marseille. (22)
GRIGNON
Mme Teuve H. Etienne a l'hona-eur d'informer sa nombreuse
clientèle qu'elle continue seule
«omme par le passé à exploiter
«en commerce de tissus en gros,
Ste, rue des Ponts.
TYPOGRAPIIF.S aux pièces, à,
6.50 du mille au calibrage.
Pc*1* magasin,
4S0fr. Pressé.
15, rue des Maréchaux.
10 M 13 HP, état neuf, carrosserie double phaéton, capote cuir.
S'adresser au journal, 979.
Si vous Toussez, si vous avez de la Bronchite ou
de lit tirippe, prenez de*
PASTILLES
n!ICD
LUULII
l
68, rite St-Vizier
ehapeaux, V. Viry.
4 pÉnCD de suite pour
A uCUCn cause de santé un
non. commerce de librairie et de
papeterie dans une ville importante de la région de l'Est.
S adresser an journal.
200l
•
A
i 11 Cil DO C de suitB 1* toxxft VtnUnC dres à vin de
diverses contenanees à prix très
modérés. Pressé. S'adresser à M.
Gavet, épicier, rue de Mon-Désert, n* 24.
Mm employé es\£™T
Pour démentir lTJTlïî\£«ernant la maison Henri Etienne,
jeune employé de 10 à 17 ans.
Les vingt obligadons dont les
numéros suivent sont sorties au
tirage du 3 décembre 1907, remboursables à partir du 1" janvier
1908 :
N-113 143 144 148 166 171
172 245 275 277 879 361 486
451 462 477 481 519 533 551
rapidement
rrN APPARTEMENT à louer .
pNE MAISON à acheter
adresses-vous et»
PETITES ANNONCES LORRAINES
• 47, rue Samt-Dtaier, Nancy
111
*■
"■■ ■ 1
■ 1111111
"'■ ' " ™
Bon louage de voitures
rue du Bac, n» 3
A vendre, riche occasion
HaMlaetore
Pou* trouver
Perdu à Nancy C"^-
AISANCES ET DÉPENDANCES
Grandes facttités d» paiement
lia Coopération financière nous
Informe qu'elle consent à flaire
des avances d'argent i toutes
les personnes momentanément
gênées et tans aucun intérêt à
payer d'avance. Les intéressés
saut priés d'adresser leur déniante aux Directeurs de la Coopération Fins!'•«•ière Mobilière et Inuno'
re du Rhône, 6, quai de
udy, Lyon.
011
demiflde
»u journal, 307.
Que dit-elle
dant au nom de Zizi,porteur d'un
collier neuf, sans marque. Ramener ou prévenir chez M. Houin,
62, r. de Strasbourg.Récompense.
à Pont-Saint-Vincent
■ans précédent
S'adresser au journal, 958.
ENSEIGNEMENT URGENT sur valeur de 1" ordre cotée qui doit acquérir rapidejmsni
Rplus
value de 150 francs. S'adresser au Comptoir Général des Mines, 5, rue Feydeau, Partg ^
tfÀft, répondant au nom de Mouss.
Le rapporter 79, faub. des TroisM-aisoM. Récompense.
Adjudication amiable
M (Boira Piiilanttiropip
Belle
T
d:
l-ï^^
1
Mnfopiînco à céJ('r de suite.
GBMB6UUH3 Affaires 65,000 f».
far an. Beaux bénéfices,Ancienne
maison. Prix 15,000 fr.
S'adresser i M. Loëb, 21, rue
8aiwt-6eorges, à Nancy.
an
KBMHC soltable, garantie
FXIliMInnt très sérieuse, demande emprunt do 500 fr. par
5 mois.Ecrire au journal, G. D.
,
^naïïunr
1bonne i tout faire sachant bien
faire
la
eulsïn».
'
S'adresser au journal.
229
•
]
Etude
te M» Julien GÊRARDIN
notaire â Nancy, rue Lafayette
n* 8.
Bans petite ville de la
^j^^
«>«a«B
**P
M»Bt atino-dactyle.
S'adwswran journal.
S23
i
Bfa
•• -
■,-
i
£ ;}
t&Ë
tH
(a B
SIONATUM :
|||
£■£
- ,
■
.
,
« m i
-
B
B
,.,
'
rrini
'i >r
:
"" ,
; j|
„ ,
WiS
m
,Sf<"
.,
, i| a.a!fM *ataab peuvent unis souacrire à,*Ure IrrêduelDle d«n. i» rowr
<1(% Ul 8,et
0
««J,
non-taUe unir nos aoMon" nri.nn» ll.,«"eLl.iï4
**'
e nM
ioa
prtlIoVtltia
radnetWa.
t» ««mut, dictions
deii™t
«ouecrlre coranns la
""Tit'
WlM
SMm
':
!
H
B|
GRANDE TEINTUREBiE
LAGARDE & FILS
Maison fondée en I874. - Téléphone-HaxéïîUe, I
Usine à vapeur MAXÉVlLLE-NAitiCY
m st-D^. us angi» m- <i-1 ^
Magasins
NANCY iStanislas,
.•ay«»sil0,: mmUl
TEINTUHEUlh
CENTBALEi
;
rue Saint-Dizicr, 17.