DOSSIER DE PRESSE

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THEME : LA GASTRONOMIE
Informations
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http://www.antica.be
Organisation
ARTEXIS EXHIBITIONS SA
Luc Darte – Exhibition Manager
T +32(0)2 740 10 31 - [email protected]
Contact Presse
CARACAS public relations
Hélène van den Wildenberg
T/F +32(0)4 349.14.41- [email protected]
COMMUNIQUE DE PRESSE
38e EDITION – 2014
« LA GASTRONOMIE »
DU 8 AU 16 NOVEMBRE 2014
Une édition festive placée sous le signe de la Gastronomie
Cet automne, pour sa 38e édition, Antica Namur réunit ses antiquaires Belges et
étrangers les plus fidèles mais également une liste de nouveaux participants de
haut vol, pour la plupart membres de Chambres belges et européennes. Les
professionnels du marché de l’art sont en effet particulièrement attentifs à
l'évolution constante et qualitative de ce premier événement du calendrier de la
rentrée des foires d'art et d'antiquités belges. Antica Namur conjugue en effet le
plaisir de la découverte et la sélection rigoureuse, faisant place aux jeunes
antiquaires comme aux grandes maisons belges, françaises, néerlandaises,
anglaises ou allemandes.
Près de 27.000 visiteurs sont attendus à Namur durant 10 jours. Un public belge
et transfrontalier très diversifié, composé d’amateurs, de connaisseurs, de petits
et grands collectionneurs, dont de nombreux décorateurs. La présence remarquée
de jeunes galeries draine également un public de chineurs trentenaires appréciant
l’ambiance décontractée et les prix encore accessibles d’Antica Namur.
Cette année, le thème de la foire est La Gastronomie. Il sera décliné par Gerald
Watelet qui signe le menu du restaurant de la foire et déploiera ses talents de
décorateur au sein d’un stand d‘ambiance totalement inédit et dédié au thème du
salon. Autour de cet espace, l’ensemble des antiquaires illustreront le thème de la
Gastronomie dans l’art à travers la peinture, la gravure, les objets de collection ou
encore l'art de la table, dont le mobilier, la porcelaine, le verre et l'argenterie ou
encore les textiles de collection. La Ville de Namur consacrera également un
espace à une sélection de pièces exceptionnelles issues des collections des
musées de la Ville. Des conférences animeront le salon.
L’art de la table dans l’histoire
L’art de la table commence … au lit. Les Romains possèdent dans leurs villas des
lits à trois places appelées « triclinium ». On y reçoit ses hôtes, on y boit et on y
mange. Toujours avec ses doigts, bien sûr, les couverts ne seront inventés que
beaucoup plus tard. En revanche, les Romains introduisent déjà des poteries fines
et les premiers gobelets en verre, pour rendre les banquets plus festifs et luxueux.
La fin de l’empire romain met un terme aux repas en position couchée.
Dorénavant on mange en position assise, sur un banc, devant une table réalisée
avec de simples planches posées sur des tréteaux. La grande nappe sert aussi de
serviette et tous les convives peuvent s’y essuyer. Il y a encore très peu
d’ustensiles, les riches ont des couteaux en or, les pauvres ont des cuillères et des
écuelles en bois. Les nobles mettent sur la table du sel et des épices (grand signe
de richesse). On mange toujours avec les doigts et on jette les restes par terre qui
sont immédiatement nettoyés par les chiens.
Les nobles commencent à appliquer les bonnes manières à table à la Renaissance,
au XVIème siècle. C’est Erasme qui les a codifiées dans son ouvrage « Civilitas
morum puerilium ». Catherine de Médicis (1519-1589) introduit la fourchette à
deux dents, la faïence fine et la verrerie. Les premières chaises apparaissent et
remplacent les bancs. On ne s’essuie plus avec la nappe mais avec une grande
serviette qui sert aussi à protéger les collerettes. Le repas se déroule d’une
manière chronologique : tout d’abord les fruits, ensuite les bouillies, les rôtis ou
les grillades et, enfin, les desserts. Tout repas commence par le rituel du lavement
des mains à l’aide d’une aiguière et de son bassin.
Au cours des XVIIème et XVIIIème siècle, l’art de la table devient de plus en plus
raffiné. Chaque convive dispose de son couvert individuel : une assiette, une
cuillère, un couteau et une fourchette (à trois dents), placés à droite de l’assiette,
le tout recouvert d’une serviette. L’orfèvrerie est en plein essor. En matière du
service, la cour de Versailles donne le ton. Les repas festifs sont mis en scène
sous forme de buffets somptueux, richement décorés et parfaitement structurés, à
l’image des jardins à la française. Les plats sont disposés en parfaite symétrie. Ce
type de service, appelé « savoir-recevoir à la française », sera imité par toute la
noblesse à travers l’Europe. Les nouveaux produits exotiques (café, thé ou
chocolat) apparaissent sur les tables. Les épices se démocratisent. Ces
nouveautés demandent des récipients et ustensiles spécifiques pour pouvoir être
servis. La porcelaine remplace la faïence. Les plus grandes et célèbres
manufactures sont Sèvres et Chantilly en France, Meissen en Allemagne, Chelsea
en Angleterre et Tournai (XVIIIème siècle) et Bruxelles (XIXème siècle) en
Belgique.
Après la Révolution française, les premiers restaurants apparaissent à Paris. La
Ville Lumière devient la capitale gastronomique de l’Europe. Mais le grand service
à la française, obsolète et inadapté, cède la place au service à la russe : les plats
sont présentés les uns après les autres. Le poisson devient le plat à part entière et
est servi avant les viandes. On invente donc le couvert à poisson. La Cristallerie
Saint-Louis lance sur le marché les verres en cristal et le service à vins complet
(grand verre à eau et vin ordinaire, verre moyen pour vins fins et étrangers, verre
à champagne et petits verres pour alcools et liqueurs). Au XIXème siècle, il y a
trois repas dans la journée : le déjeuner vers 11 heures, le dîner vers 18 heure.
(repas le plus important de la journée) et le souper vers 22 heures, après le
spectacle (il tendra à disparaître à la fin du siècle).
Le XIXème siècle, c’est aussi l’époque de l’apparition des critiques
gastronomiques. Brillat-Savarin, le plus fameux, écrit « Physiologie du goût » qui
deviendra une grande référence.
Au fil du XXème siècle, l’art de la table se démocratise et s’industrialise. Les livres
et les guides consacrés à cet art sont à la portée de tout le monde. La restauration
hors-foyer se développe car beaucoup de femmes travaillent. Les mentalités
évoluent vers plus de simplicité. Cela dit, la tradition de grandes tables se
perpétue. L’engouement pour la belle porcelaine, les verres de cristal et
l’argenterie précieuse reste intact.
Gerald Watelet, l’invité d’honneur d’Antica Namur
Pour son édition 2014, la Foire de Namur invite Gerald Watelet, fin gastronome,
épicurien, couturier et décorateur de renom, bref, un grand spécialiste de l’art de
vivre. Il animera son propre stand d’ambiance, donnera une conférence le mardi
11 novembre à 15 heures et signera le menu du restaurant de la foire.
Diplômé de l’école hôtelière de Namur, Gerald Watelet fonde sa maison de couture
en 1988. Dans les années 1990, il présente des collections à New York et devient
membre officiel de la Chambre syndicale de la haute couture à Paris. En 2003, il
s’installe dans les salons du 62, rue François 1er à Paris. La maison de couture
ferme fin 2008 et Gerald regagne Bruxelles où il poursuit son activité en tant que
chroniqueur à la RTBF dans l’émission « C’est du Belge ! » qu’il a démarrée en
2005. En 2009, il est sollicité par des antiquaires pour monter des stands hors des
sentiers battus. L’idée ? Sortir les objets de leur contexte et les réunir dans un
ensemble inédit. Tout est assemblé juste au feeling, « au chic », comme on dit
dans la haute couture. Ce projet et son succès permettent à Gerald Watelet de
décrocher un important chantier de décoration à Londres. L’art de Gerald Watelet
consiste à faire cohabiter harmonieusement les choses qui ne devraient pas être là
ensemble. Il a une vision très personnelle de la décoration, en évolution constante
et en mouvement perpétuel. Si sa voie de décorateur est bien tracée, il
ambitionne d’aller plus loin et de s’investir dans la création. Ainsi, pour 2015, est
prévu le lancement d’une ligne de linge de maison (pour la table, la cuisine, la
chambre et la salle de bains) de style « classique chic ». Confectionnée avec les
meilleurs artisans elle fait appel à des matières nobles : les plus beaux lins et
cotons. Gerald Watelet planche aussi sur une petite ligne de lampes en bois laqué,
et qui sait des bougies parfumées. Aujourd’hui, la vie professionnelle de Gerald
Watelet déploie un éventail de trois activités : la télé (avec une émission
quotidienne « Un gars, un chef »), le travail de décorateur qui se décline de
petites interventions à tous les chantiers et la création de linge de maison. Ces
trois activités reflètent parfaitement sa philosophie qui se résume à cette phrase :
« Transformer l’ordinaire en quelque chose d’un tout petit peu extraordinaire ».
Passion de la gastronomie
Pour ce diplômé de l’hôtel hôtelière de Namur (et doté d’une belle expérience au
restaurant « La Villa Lorraine », le restaurant le plus prestigieux à Bruxelles à
l’époque), la gastronomie, l’art de la table et l’art de vivre tout court, sont
forcément une passion. « J’aime la mise en scène de la vie, j’aurais pu être
metteur en scène, dit-il. J’adore aussi les belles tables, mélangeant différents
styles. Il est difficile de parler de l’art de la table avant le XVIIème siècle. Après
1750, on a des manufactures extraordinaires, comme Sèvres, par exemple.
Catherine II a réuni une collection de vaisselle inouïe. Je ne peux pas choisir une
époque de prédilection. J’aime la faïence, la porcelaine, le grès, tout ! J’aime tout
à condition que ce soit beau. Ce qui me frappe chez les antiquaires, c’est qu’en
voulant à tout prix servir le collectionneur, ils s’éloignent des autres clients. Il faut
revoir tout cela. Ne pas avoir peur de faire des fautes. Je dis toujours que seuls
les gens qui ont du goût peuvent se permettre des fautes de goût. Tout est très
relatif. Il faut rêver un peu. En France, on a besoin de symétrie. En Angleterre on
accroche tout ensemble. J’aime cette idée du grand tour. On partait avec le
précepteur à travers les pays européens, on ramenait plein d’objets sans se
soucier s’ils étaient à la mode ». Gerald Watelet a ses chouchous parmi les
antiquaires. Il aime Le Couvent des Ursulines à Liège (dirigé aujourd’hui par JeanFrançois Tasiaux), grand spécialiste de l’époque Charles X. Cette mode décorative
très courte, située entre l’Empire et Louis Philippe, privilégiait des bois très clairs
et des formes douces, un style assez masculin en somme. Il a beaucoup d’atomes
crochus avec Yannick David, l’antiquaire doué d’un flair extraordinaire qui a l’art
de dénicher des objets les plus rares, les plus originaux et les plus insolites.
Gerald Watelet a aussi un faible pour les bijoux anciens et la vaisselle de
collection, tellement spectaculaires de Pierre-Emmanuel Beguin de Liège et de la
maison bruxelloise Ciel Mes Bijoux, au flair et au goût extraordinaire pour le
vintage !
Gerald Watelet va dévoiler à Antica Namur son univers dans son propre stand.
Une table sera dressée dans une cuisine-salle à manger et reflètera son goût et
son talent de métissages et d’associations les plus originales.
Le mardi 11 novembre à 15 heures, il animera une conférence sur l’évolution de la
décoration de 1880 à nos jours. « Les diktats sont imposés par la société.
J’évoquerai des gens qui ont déposé leur patte sur le décor. Et, en conclusion, je
dirai que la maison ne se fait pas en un an. Chez moi, je revends très peu de
choses, je les change régulièrement de place pour inventer un nouveau décor ».
Les nouveaux visages et grandes maisons à épingler à Antica Namur
Parmi les antiquaires étrangers, Antica Namur accueille pour la première fois la
Galerie espagnole Miquel Alzueta, qui a participé cette année à Eurantica et dont
la présence avait été très remarquée par les collectionneurs de mobilier Vintage et
d’art contemporain. A découvrir également, les galeries Becker Antiques
(Amsterdam) et Eurazie (Valkenburg), ainsi qu’Anthony Short Antiques (RoyaumeUni) et, de Berlin, Ikonen Galerie Dr. M. Ewenstein et Kunsthandel Shimanovich.
Parmi les grandes maisons, on peut noter la présence, pour la Belgique, du
Couvent des Ursulines, de La Maison Lemaire, de Laurence Lenne, de JeanFrançois Nélis, de la galerie Ming-K’i (art asiatique), de Ciel mes bijoux, des
galeries d’art moderne NF Art Gallery, La Galerie belge, Dus’Art Gallery, et Claeys
Gallery (franco-belge). Pour la France, Antica Namur reçoit entre autres la galerie
Pellat de Villedon, Joëlle Lasry, Jacques Gonthier, Graphiek-Art et la galerie J.C.
Scalabrino. Les galeries venues de Flandre sont également très largement
représentées, comme la Galerie De Pauw-Muller, Frederik Muller et Jan Muller,
William Jonckers, Libertas Gallery, K. van de Ven, Galerie Maru, Raf van Severen
ou encore Yves Vandooren.
Contact presse
CARACAS public relations - Hélène van den Wildenberg
[email protected] - T/F +32/4/349 14 41
Les moments phares d’Antica Namur 2014
Dates et heures
Du 8 au 16 novembre 2014
Du lundi au vendredi: de 14 à 19 heures
Les week-ends et le lundi 11 novembre, de 11 à 19 heures
Avant-Première sur invitation le vendredi 7 novembre de 14 à 23 heures.
« Ladies Day » - accès gratuit pour les dames : le jeudi 13 novembre de 14 à 19
heures
Conférence de presse le jeudi 6 novembre à 12 heures
Conférences durant la foire
'Les après-midis rencontres' Nous vous invitons à assister aux conférences suivantes dans
le lounge BNP Paribas Fortis: (nombre de places limitées)
Mardi 11 novembre - 15h : Gérald Watelet, ensemblier-créateur et présentateur RTBF, 'De
la cuisine à la table'
Jeudi 13 novembre - 15h : Daniel Louka, expert en bijoux, 'Fleurs et fruits en joaillerie '
Lieu
Namur expo
2, avenue Sergent Vrithoff
5000 Namur
Nombre d’exposants
120
Nombre d’experts
20 pour le vetting, 3 pendant toute la durée du salon
Prix
Entrée : 20 € - Guide du visiteur gratuit.
Informations
Tél. : +32(0)2 740 10 30
Fax : +32(0)2 740 10 35
http://www.antica.be
Organisation
ARTEXIS EXHIBITIONS SA
Luc Darte – Exhibition Manager
T +32(0)2 740 10 31 - [email protected]
135, rue Saint-Lambert
B-1200 Bruxelles
Contact Presse Benelux et France
CARACAS public relations
Hélène van den Wildenberg
[email protected]
T/F +32(0)4 349 14 41
Liste Exposants Antica Namur 2014
(liste datant du 4/09/2014
A - Didier Abbeloos (Schellebelle-Wichelen) - Aborigene Galerie (Paris) - Michèle
Ancion (Serville) – Anthemion (Bruxelles) - Antiek Normandie (Heule) - Antiquités
Serignan (Avignon) - Art et Patrimoine-Laurence Lenne (Ath) - Artifacts, Asian
Antiques & Fine Arts (Antwerpen) - Artisy (Liège) - B - Jean-Jacques Bacciochi
(Fontvieille) - Eric Beaumont (Neuvy) - Becker Antiques (Amsterdam) - Jacqueline
Bette (Lasne) – Pierre-Emmanuel Beguin (Liège) - Bernard Bouisset (Béziers) - Bie
Baert (Sint-Job-in-’t-Goor) - Bois d’Acanthe (Thimister-Clermont) - C - Chimara
Antiques (Bruxelles) - Ciel Mes Bijoux (Bruxelles) - Claeys Gallery (Saint-Raphaël) Collette-”Nuances” (Theux) - Andrée Cordeau (Paris) - Crescendo-Anne de Duve
(L’Isle-sur-la-Sorgue) - D - D&Art Galerie (Gent) - Patrick Damidot (Dijon) - De PauwMuller Antiquairs (Gent) – Delobelle & Delobelle (Avelgem) – Gerard Delsing (MaasMechelen) - Pascal Denoyelle (La Neuville-sur-Ressons) - Drees Archeo (Bruxelles) –
Jan Dücker (Oud-Turnhout) - Dus’Art Gallery-Anne-Catherine Simon (LandennesurMeuse) - E – Philippe & Alain Emir (Lyon) - Eufrazie gallery (Valkenburg) - F Laurence Fayolle (Paris) - Marie-Cécile François (Bruxelles) - G - Galeria Miquel
Alzueta (Barcelona) - Galerie Barrez (Paris) - Galerie Capazza (Nancay) - Galerie de
Lyne (Wépion) - Galerie Florence de Voldère (Paris) - Galerie Francis Noël (Sprimont)
- Galerie Gilles Linossier (Paris) – Galerie Humeurs (Bordeaux) - Galerie Kieffer
(Luneville) - Galerie l’Astrée (Rouen) - Galerie le tout venant (Bruxelles) - Galerie
Maru (Deurne) - Galerie Jérôme Pla (Paris) - Galerie Pellat de Villedon (Versailles) Galerie Raf van Severen (Antwerpen) - Galerie Saint Michel (Bruxelles) - Catherine
Gavage (Bruxelles) - Graphik-Art (Paris) - Jacques Gonthier (Paris) - Catherine
Gottmann (Profondeville) - H - Sonia de Haulleville (Bruxelles) – Philippe Huret
(Luxembourg) - I - Ikonen Galerie Dr.M. Ewenstein (Berlin) - J - Jadis au présent
(Franc-Waret) – William Jonckers (Middelkerke) - Joly Antiquités (Namur) - K - Robin
Kowalski (Antwerpen) - L - La Galerie Belge (Namur) - La Galerie-Eric du Maroussem
(Aix-en-Provence) - La Metairie (Les Mureaux) - Catherine Lassus (Bordeaux) - Joëlle
Lasry (Paris) - Le Bijou (Marche-en-Famenne) - Le Camaieu (Tournai) - Le Couvent
des Ursulines-Jean-François Taziaux (Liège) - L’Egide Antiquités (Bruxelles) Leonhard’s Gallery (Antwerpen) – Lex Antiqua (Wellen – Ulbeek) - Libertas Gallery
(Brugge) - Lieven Moenaert (Brugge) - M - Maison Halter Ethnic Jewels (Bruxelles) Maison Lemaire (Bruxelles) - Véronique Malaise (Yvoir) - Malvoisin Décorateurs
(Vieux- Genappe) - Ingrid Mathy (Godinne) - Yves Mattart (Longueville) - Patrick
Martin (Toulouse) - Ming-K’I Gallery (Waardamme) - Miphan (Braine-le-Château) Rémy Motte (Villeneuve d’Ascq) – Caroline Moxhon (Wezembeek- Oppem) - Frederik
Muller (Lokeren) - Jan Muller (Gent) - N- Jean Nelis Fine Paintings (Bruxelles) - NF Art
Gallery (Zoersel) - Nicole Dentelles (Lyon) - Nohara Japanese Art (Berchem) - Bert
Nordin Fine Paintings (Bruxelles) - O - Oud Cortrycke-Ann Herpels (Kortrijk) - P - Axel
Pairon (Antwerpen) - Edouard de Potter d’Indoye (Melle) - Patrick Pascal (Fontvieille) Private Collection (Knokke-Heist) - R - Jean-François Régis (Bruxelles) - Jean- Emile
Ricour (Ransart) - S - Saint-Éloi Antiquités (Couchey) - Jean-Christophe Scalabrino
(Paris) - Arnaud et Sylvie de Spa (Spa) - Kunsthandel Shimanovich (Berlin) - Anthony
Short Antiques (Petworth) - T - Benoit & Sebastien Tercelin de Joigny (Mons) - The
Old Treasury (Kerkrade) - U - Un coin de ciel bleu’s (Mean) - V – Kris van de Ven
(Tervuren) - Yves Vandooren (Diepenbeek) - Nadine Collette-Rene Vanhentenryck
(Verviers) – Henri Vanhoenacker (Bruxelles) - Frank Van Laer (Antwerpen) - Van
Schagen Antiquair (Herwijnen)