N°6 - Jeudi 30 octobre 2014 Pour rire et se souvenir Dans les allées du Corum, on ne verra plus déambuler sa silhouette. Une silhouette que l’on pourrait qualifier, selon sa convenance, de Wellesienne ou d’Hitchkockienne. Pierre Pitiot, le père de Cinemed s’est envolé cet été au “Cinema Paradisio”. Le Festival rend hommage à ce patron du cinéma montpelliérain, ce maître du 7e art italien et cette figure de caractère. Une soirée italienne, cela va de soi, lui est consacrée pour un moment de souvenir et de joie. et restera une référence pour les cinéphiles de la ville tant il a su l’animer avec passion. Le ciné-club Jean Vigo s’en souvient comme l’un de ses plus brillants animateurs. Et Cinemed comme un « directeur inspiré jusqu’en 2001 » et « un président bienveillant quelques années encore » souligne Jean-François Bourgeot. Le plaisir de l’écriture l’a accompagné toute sa vie, tout au long de ses voyages qui le menaient aux États-Unis, en Écosse ou bien en Italie. La soirée sera simple et intime. À l’image de notre ami Pierre Pitiot. Intarissable lorsqu’il Difficile de résumer Pierre Pitiot en une soirée. Ce soir, Cinemed invite ceux qui l’ont très bien connu, ceux qui l’ont un peu connu, ceux qui ne connaissaient que sa sil- ■ Pierre Pitiot houette mémorable, et ceux qui ne le connaissaient pas du tout, à se réunir autour de cet homme qui aimait profondément le cinéma. Mais surtout cet ami intime à qui l’on doit l’existence de ce beau festival. En 1979, avec Henri Talvat et les fidèles du ciné-club Jean Vigo de Montpellier, il lance les premières rencontres autour du cinéma italien. Dix ans plus tard, elles deviennent le Festival International du Cinéma Méditerranéen et s’installent au Corum. Cette nouvelle salle montpelliéraine accueille, depuis 1989, le seul festival français aussi exhaustif tourné vers les productions méditerranéennes. Pierre Pitiot reste s’agissait de parler de Woody Allen ou de films de Yasujirō Ozu, nous le présenterons muet dans un vieux Cinématon de Gérard Courant. Il n’était pas évident de choisir parmi les 2000 films qu’il affectionnait, les perles qui le représenteraient ce soir. Alors nous avons élu deux œuvres italiennes, représentatives de l’immense collection de ses coups de cœur. Mes chers amis de Mario Monicelli est un clin d’œil au cinéma italien qu’il a tant célébré. Et La Pie voleuse, un brillant court métrage d’animation imaginé sur la célèbre ouverture de l’opéra du compositeur italien Rossini. Ami français, ami italien, Pierre Pitiot c’était aussi et surtout l’érudition, la curiosité et la passion, le jazz de la New Orleans, la cornemuse écossaise. Un père aimant et un ami épicurien. Et si nous ne faisions qu’un, tous ensemble, plongés avec émotion dans l’immensité de l’Opéra Berlioz, pour célébrer l’homme multiple qu’il était. L’équipe du festival tient à saluer sa femme, Benoîte Pitiot, par ailleurs médecin du festival, ses deux filles et ses petits-enfants. Jeudi 30 octobre à 19 h, Opéra Berlioz, soirée Hommage à Pierre Pitiot. Mon fils, un trait d’union entre deux cultures Flash Festival : En tant qu’actrice métissée, que représente pour vous le fait d’incarner une mère palestinienne dans un film israélien ? Laëtitia Eïdo : Je suis très touchée de représenter à travers ce film le symbole de la fraternité entre les Israéliens et les Palestiniens. Que ce personnage participe à l’idée qu’il n’y a pas de frontières entre eux. Ce qui est primordial pour moi dans ce film, c’est d’avoir parlé à la fois hébreux et palestinien. L’équipe du film est complètement mixte. Les acteurs palestiniens côtoient des juifs israéliens. La production est allemande et française. C’est ce qui fait la beauté de ce film. D’être ici à Cinemed, cela m’a permis de rencontrer de jeunes réalisateurs israéliens. Et de découvrir une richesse vraiment incroyable dans cette nouvelle vague de cinéastes. F.F. : Ce rôle vous a-t-il fermé des portes dans le cinéma arabe ? L.E. : Non pas du tout. Ce film m’a ouvert les portes de nouvelles collaborations israéliennes. Je me présente à des castings pour des films et des séries produits en Israël. Mais ce que je trouve très important aujourd’hui, maintenant que j’ai joué dans un film israélien, c’est de pouvoir continuer à travailler avec les réalisateurs du monde arabe, notamment du Liban. En tout cas je ne veux pas travailler avec des gens qui ne sont pas en faveur de la paix. Ma famille a beaucoup souffert de la confrontation entre ces deux pays. Pourtant, ceux qui en ont le plus souffert sont souvent les premiers à être passés à autre chose, et à réclamer la paix. À travers mes collaborations, je veux montrer que c’est en dialoguant qu’on trouve des solutions. F.F.: Comment êtes-vous arrivée sur ce projet ? L.E. : J’ai atterri sur le projet de manière non conventionnelle. Un jour j’ai eu envie d’écrire à Eran Riklis pour le remercier. Je voulais lui dire tout simplement que j’étais touchée par ses films, du fait de mes origines multiconfessionnelles. Pour moi, ses films sont des traits d’union. Je lui ai dit combien je trouvais cela vital et crucial de réunir les cultures. À ce moment-là, il cherchait justement quelqu’un pour le rôle de la mère d’Eyad, le héros du film. J’ai passé l’audition à Paris et finalement il a adapté le rôle pour moi. Je crois qu’il a été touché par ma lettre. Eran a été le premier réalisateur à me confier un personnage très différent de ceux qu’on me propose d’habitude. Je joue souvent des femmes fortes, des guerrières, notamment dans la série Strike Back. Là, j’incarne une maman très tendre et aimante, peu bavarde. Eran m’a dit quelque chose de très beau à propos de ce personnage : « Elle ne dit rien mais elle sait tout. » Attention moussaka géante ! ■ L’Attaque de la moussaka géante L’Attaque de la moussaka géante (1999), la comédie délirante du réalisateur grec Panos H. Koutras figure parmi les films à avoir vu au moins une fois dans sa vie. Pour ceux qui n’auraient jamais vu cette parodie de série Z, rendezvous à 14 h au Centre Rabelais. Dans cette farce décalée, une portion de moussaka, par l'intervention d'une soucoupe volante, se transforme en monstre géant qui envahit les rues d'Athènes, tuant au hasard dans les rues. Devenu un mythe pour certains amateurs de “nanars”, ce film a tout de même été sélectionné au Festival de Thessalonique. Un grand moment de cinéma… à la grecque ! ■ Embouteillage à Berlioz Dans la grande valse des copies restaurées, Cinemed continue de vous épater avec ce soir, le film de Luigi Comencini, Le Grand embouteillage (1978). Aurez-vous la patience de rester deux heures à l’Opéra Berlioz pour revoir cette très bonne comédie à l’italienne où se déchainent les passions et les haines ? Jeudi 30 octobre, à 21 h 30, Opéra Berlioz. ■ Jury du jour, bonjour ! Deuxième épisode de la présentation des jurys de Cinemed. Aujourd’hui, nous souhaitons la bienvenue aux membres du jury de la Critique BNP Paribas pour la compétition longs métrages. Néamat Allah Hussein est une crytique égyptienne et critique pour le journal Akher Saa. Leïla Amar, est journaliste à France 24. Pavlina Jeleva nous vient de Bulgarie. Elle travaille pour trois journaux bulgares. Alain Masson écrit pour la revue mensuelle du cinéma Positif. Enfin, Umberto Rossi collabore avec cinemaeteatro.com, un site italien de critique spécialisé dans le cinéma. Dans quelques jours, ils devront désigner le meilleur long métrage de la sélection, dont le réalisateur recevra 2000 € de la part de BNP Paribas. ■ ■ Photo © E. Catarina. Mon fils d’Eran Riklis est l’adaptation de deux romans autobiographiques de Sayed Kashua. Cette tragi-comédie, présentée en avant-première, pointe l’échec de la coexistence judéo-arabe. L’actrice franco-libanaise Laëtitia Eïdo, joue la mère d’Eyad, jeune Arabe israélien amené à s’intégrer auprès de la communauté juive. Elle est présente à Cinemed pour accompagner ce film à la fois cruel et touchant. Rencontre. le point du jour F.F. : Comment le film a été reçu en Israël ? L.E. : Très bien pour l’instant. Il a été présenté à la cérémonie de clôture du Jerusalem Film Festival pendant la guerre. Toutes les phrases du film, qui se passe dans les années 80, résonnaient avec le contexte actuel. Puis il a été très bien accueilli cet été à Locarno en Suisse. Pareil à Londres, au BFI London Film Festival. C’est un film qui touche et émeut beaucoup le public. J’espère qu’il sera aussi bien reçu à Montpellier. Jeudi 30 octobre, à 20 h, au Diagonal, avant-première de Mon fils en présence de Laëtitia Eïdo. Les invités des longs métrages… Sur la compétition, George Ovashvili présente son film La Terre éphémère à 21 h en salle Pasteur. Du côté du panorama, Liliana Torres Expósito est présente pour son film Family Tour à 10 h en salle Einstein. Pitchipoï est diffusé à 14 h à l’Opéra Berlioz en présence du réalisateur, Charles Najman. Thanos Anastopoulos présente son film, La Fille, à 16 h au centre Rabelais. ■ …et des courts métrages ■ Mon fils, avec Laëtitia Eïdo Le programme 2 de la compétition courts métrages est diffusé à 18 h 15 en salle Pasteur en présence de Patricia Vidal Delgado, réalisatrice de Isa, Karine Wehbé, coréalisatrice de Été 91, Maya Sarfaty, réalisatrice de Remember Ata’lle, Una Gunjak, réalisatrice de La Poule, et Giacomo Abbruzzese, réalisateur de Stella Maris. La séance sera suivie d’une discussion. ■ Courts, grecs et précis La Cinémathèque française donne le tempo Charleston, danses russes, flamenco, danses de salon, swing… Cette année la danse s’invite à Cinemed grâce à la Cinémathèque française. Dans le cadre du partenariat entre la Cinémathèque et le Festival, cinq films courts sont projetés lors d’une séance spéciale. ■ Jésus s’est arrêté à Gyzi “Voyage en cinéma grec par temps de crise” est un programme inédit de six courts métrages projeté ce soir à 20 h à Utopia. Le projet est né l’année dernière à Cinemed, à l’occasion de la projection du film Course contre la montre de Dimitra Nikolopoulou, un court métrage traitant des difficultés quotidiennes des Grecs durant la crise. Poussée par l’amour de la Grèce, la société de distribution montpelliéraine Les films des deux rives a sollicité la réalisatrice grecque. Elle a immédiatement soutenu le projet et a permis son aboutissement. Créée il y a 8 ans, Les films des deux rives est une société qui a la particularité d’être basée en région. Elle centre son activité sur la distribution de films en provenance des deux rives de la Méditerranée. Elle a également un peu élargi son horizon en programmant des documentaires. De la rencontre de la société avec Dimitra Nikolopoulou, est née l’envie de réunir un ensemble de courts métrages autour de la question suivante : comment la fiction représente la période de la crise en Grèce ? Six courts métrages sont projetés. Un mélange de styles, de genres, d’univers autour d’un même thème. Les uns insistent sur la solidarité au sein de la population grecque, les autres sur les difficultés terribles qu’elle rencontre au quotidien. Cette projection en avant-première est accompagnée en deuxième partie d’un documentaire, La Tourmente grecque. Le réalisateur (montpelliérain), Philippe Menut, est présent en compagnie de Jacques Choukroun, gérant de Les films des deux rives Distribution. Un autre court intégré au programme est proposé cette année à Cinemed en compétition courts métrages. Il s’agit de Générateur de Nikoleta Leousi présenté en compétition aujourd’hui à 14 h, salle Pasteur. ■ La Cinémathèque française est une association devenue, au fil des ans, l'une des archives les plus célèbres dans le monde grâce à la richesse de ses collections. Martin Scorsese a déclaré : « Les réalisateurs du monde entier connaissent la Cinémathèque française, même s'ils n'y sont jamais venus. C'est notre demeure spirituelle. » La Cinémathèque a pour missions principales de conserver et restaurer les films et les archives de ses collections, de programmer les grands classiques mais également des rétrospectives complètes et des hommages à des personnalités du cinéma, et enfin d’exposer les objets de ses collections et d’organiser des expositions temporaires. Partenaire de longue date de Cinemed, elle propose pour cette 36e édition un programme de films courts inédits. Étonnants, extrêmement rares pour certains, parfois méconnus, ces films ne peuvent pas laisser indifférent. La plupart sont des œuvres sauvegardées et restaurées. Toutes sont liées par la danse et la musique, bien sûr, qui la suscite et l’attise. Documentaire, fiction, animation expérimentale, ces courts surprennent par leur diversité de forme. Tour d’horizon du programme. Paul Nadar, fils du photographe Félix Nadar, s’intéresse à la photographie et aux expérimentations des pionniers du cinéma. Il filme dans son studio vers 1896 les sœurs Rappo sur une danse russe d’à peine une minute. Danses russes a été retrouvé par la Cinémathèque et est projeté ce soir. Jean Renoir, fils de l’illustre peintre, tourne en 1926 un drôle de film mettant en scène la rencontre d’un savant africain atterrissant dans un Paris dépeuplé et sauvage et d’une autochtone qui lui apprend une danse primitive. Il tourne avec sa compagne, Catherine Hessling, et le danseur américain Johnny Huggins. Sur un air de Charleston a été restauré en 2005. Alberto Spadolini, vedette de music-hall et partenaire de scène de Joséphine Baker, rend hommage au chant et à la danse de la culture tzigane par ce film tourné en Andalousie en 1950. Nous, les gitans a été sauvegardé par la Cinémathèque à partir d’une copie d’époque de ses collections. Jean-Daniel Pollet nous immerge pendant vingt minutes dans un dancing peuplé de personnages atypiques et attachants. Pourvu qu’on ait l’ivresse (1957) a obtenu le Lion d’Or du court métrage au Festival de Venise en 1958. Alberti Pierru, artiste miniaturiste est l’auteur de films dans lesquels la musique vient dynamiser la création plastique animée. Surprise Boogie (1957) a fait l’objet d’une sauvegarde et d’un nouveau tirage. Cinq films pour cinq danses, cinq rythmes, cinq horizons différents. Jeudi 30 octobre, à 20 h 15, salle Einstein, Les trésors de la Cinémathèque française en présence de Samantha Leroy (chargée de la valorisation des collections films de la Cinémathèque française). ■ Sur un air de Charleston Jeudi 30 octobre 11 h 00 L de Babis Makridis (Grèce, 2012), 1 h 27 - VOSTF Générateur de Nikoleta Leousi (Grèce, 2013), 19 mn VOSTA+VOSTF Anomal d’Aitor Gutiérrez (Espagne, 2014), 15 mn - VOSTF 14 h 00 Pitchipoï de Charles Najman (France, 2013), 1 h 40 - VOFR 16 h 00 Certifiée Halal de Mahmoud Zemmouri (Algérie/France, 2013), 1 h 25 - VOSTF 16 h 00 La Nuit de Varennes d’Ettore Scola (France/Italie, 1982), 2 h 30 - VOFR 18 h 15 Courts métrages Compétition n° 2 Le Champ d’Asier Altuna (Espagne, 2014), 13 mn - VOSD Isa de Patricia Vidal Delgado (Portugal, 2014), 14 mn - VOSTF Été 91 de Nadim Tabet, Karine Wehbé (Liban/France, 2014), 21 mn - VOSTF Remember Ata'lle de Maya Sarfaty (Israël, 2013), 7 mn VOSTA+VOSTF La Poule d’Una Gunjak (Croatie/Allemagne, 2014), 15 mn - VOSTF Stella Maris de Giacomo Abbruzzese (Italie/France, 2014), 26 mn - VOSTF berlioz UNE NUIT EN ENFER 19 h 00 Soirée Hommage à Pierre Pitiot Mes chers amis de Mario Monicelli (Italie, 1975), 1 h 58 - VOSTF En avant-programme La Pie voleuse de Giulio Gianini, Emanuele Luzzati (Italie, 1964), 11 mn - VOSD 21 h 30 Le Grand Embouteillage de Luigi Comencini (Italie, 1978), 2 h 01 - VOSTF pasteur 10 h 00 Kamen - Les Pierres de Florence Lazar (France, 2014), 1 h 06 - VOSTF LA SAGA EUROCINÉ ! 5 PÉPITES DU "CINÉMA BIS" Vendredi 31 octobre de 21 h à l’aube… Centre Rabelais 12 h 00 I milionari de Alessandro Piva (Italie, 2014), 1 h 44 - VOSTF 14 h 00 Courts métrages Compétition n° 4 L'Homme au chien de Kamal Lazraq (Maroc/France, 2014), 27 mn - VOSTF Suites de l'inauguration des toilettes publiques au kilomètre 375 d’Omar El Zohairy (Égypte, 2014), 18 mn - VOSST Heaven of Watermelon de Gülistan Acet (Turquie, 2013), 14 mn VOSTA+VOSTF 21 h 00 La Terre éphémère de George Ovashvili (Géorgie/France, 2014), 1 h 40 - VOSTF einstein 16 h 00 Le Journal de Schéhérazade de Zeina Daccache (Liban, 2013), 1 h 20 - VOSTF 18 h 00 Our Terrible Country de Mohammad Ali Atassi, Ziad Homsi (Liban/Syrie, 2014), 1 h 35 - VOSTF 20 h 15 Les trésors de la Cinémathèque française Danses russes de Paul Nadar (France, 1896), 1 mn - Muet Sur un air de charleston de Jean Renoir (France, 1926), 23 mn - Muet Nous, les gitans d’Alberto Spadolini (France, 1950), 25 mn - VOSD Pourvu qu'on ait l'ivresse de Jean-Daniel Pollet (France, 1957), 20 mn - VOSD Surprise Boogie d’Albert Pierru (France, 1957), 4 mn - VOSD 22 h 00 Il sud è niente de Fabio Mollo (Italie/France, 2013), 1 h 30 - VOSTF rabelais 10 h 00 Mains armées de Pierre Jolivet (France, 2011), 1 h 45 - VOFR 10 h 00 Family Tour de Liliana Torres Expósito (Espagne, 2013), 1 h 19 - VOSTA 12 h 00 Le Premier Été de Adriano Mendes (Portugal, 2014), 1 h 44 - VOSTF 12 h 00 The Creator of the Jungle de Jordi Morató (Espagne, 2014), 1 h 17 - VOSTF 14 h 00 L'Attaque de la moussaka géante de Panos H. Koutras (Grèce, 1999), 1 h 43 - VOSTF 14 h 00 Les Sentimentalistes de Nicholas Triandafyllidis (Grèce, 2014), 1 h 34 - VOSTF 16 h 00 La Fille de Thanos Anastopoulos (Grèce/Italie, 2012), 1 h 27 - VOSTF 18 h 00 Filmer en région Programme 1 Le Sens du toucher de Jean-Charles Mbotti Malolo (France/Suisse, 2014), 14 mn - VOSD Lenz de Mathilde Monnier, François Olislaeger (France, 2014), 11 mn - VOFR Bulles d'exil de Vincent Marie, Antoine Chosson (France, 2014), 52 mn - VOFR 21 h 00 Fantômes à Rome d’Antonio Pietrangeli (Italie, 1961), 1 h 45 - VOSTF diagonal 20 h 00 Mon fils d’Eran Riklis (Israël/France/Allemagne, 2014), 1 h 45 - VOSTF utopia 20 h 00 Voyage en Grèce en temps de crise 6 courts métrages The Greek Crisis Explained de Nomint Motion Design (Grèce, 2010), 2 mn - VOSTF 45 degrés de Georgis Grigorakis (Grèce, 2012), 14 mn - VOSTF Ça finira par s'arranger de Thanos Psichogios (Grèce, 2012), 13 mn - VOSTF Course contre la montre de Dimitra Nikolopoulou (Grèce, 2012), 10 mn - VOSTF Jésus s'est arrêté à Gyzi de Amerissa Basta (Grèce, 2013), 10 mn - VOSTF Casus Belli de Yorgos Zois (Grèce/France, 2010), 11 mn - VOSD corum joffre 1 10 h 00 Films en fabrication VOFR = version originale en français; VF = version doublée en français; VOSTF = version originale sous-titrée français; VOSTA = version originale sous-titrée anglais (traduction simultanée); VOSST = version originale sans sous-titres (traduction simultanée); VOSD = version originale sans dialogues Flash Festival - Quotidien d’information édité par le Festival International du Cinéma Méditerranéen de Montpellier. Tél. 04 99 13 73 73 - Distribué exclusivement sur les lieux du festival. Direction : Jean-François Bourgeot - Rédaction : Margot Valeur et Marie Savoldelli - Fabrication : Imprimerie du Midi, 34438 Saint-Jean-de-Védas cedex
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