gardi 8 Octobre 1907. — (Bttfln uun > - ■—=-s--— ===J!g!y _ „ .. S Ctnfaiws - B8 "^RÉDACTION et ADMINISTRATION, 51 ~ ~ gggj |:p Dermèr@ Meure §| | : i4 Taris, 8 octobre, i h. 50 malin. Le ministre de la guerre communique l'a note suivante : « Certains journaux ont annoncé la mise en disponibililô du général Allmavor, commandant du 12» corps d'armée, à'Limoges. « Celte information est inexacte. L'apti,tude physique et l'activité intellectuelle de ;cet officier général sont pleinement à la hauteur des exigences du gouvernement ; qu il exerce. » — Ilavas. La position ries nauires i; amiral Philibert télégraphie de GasaHaoca au ministère de la marine les. reaijencnicnts suivants suc la situatioa.de bâtiments : KS Le H Dcsaix » et le « Du Chayla » sont à iianger ; la « Gloire », le « Guesdon.n: est le ,t jeanne-d'Arc » à Rabat ; 1' « Aîairal■guuÈ », le « Mvtho » «t le « Winhlong » à Casablanca ; le* « Coodé » est à Mazagan, ie iî Eorbin » à Mogador. Le « Galilée » a quitté Casablanca, pour gjler relever le « Forbin ». La situation politique me présente rien de particulier. Le ministre de. France est arrive à Rajiat- La barre est franchissable. Le LE TORPILLEUR 234 « Shamrock » à fission DE n. mnmn \ FILLETTE ÉBOUILLANTÉE PftRUHE INFIRMIERE M. Chêncbenoitjuge d'instruction au parquet de la Seine, a inculpé d'bnmicide par l'hôpital .imprii'dleintte une infirmière Je Trousseau, à Paris, qui, voulant donner un J bain à une malade, une fillette de huit ans, la petits Debry, la mit dans une bai, <gnoire remplie d'eau bouillante. K. enfant est morte des suites de ses brûlures. — Havas.; «elon des renseignements dignes de foi, » "mission de M. Regnault à Rabat sera iroffrir au sultan Abd-El-Aaiz le preteetorit de la France, mais le ministre d'Espagne n'appuiera pas «on collègue dans., ces oégociah'ons. Z* Daprès 'IIPS télégrammes parvenue dans la journée de lundi à Paris, la barre <mj se trouve devant Rabat serait maiatejîant franchissable. Il parait, par suite, proBable que M. Regnault, ministre de France à Tanger, oui se rend, comme on sait, après du sultan Abd-El-Aziz, a pu. d-èbar- LES CAMBRIOLEURS Les intérêts espagnols sur la côte du fttf. Madrid. — Le gouvernement a décidé -ue li'flônéral Marina, gouverneur de Mehlla, irait à Tanger pour y conférer avec M. ûawria, représentant de l'Espagne, et que, 'accord avec lui,il exposerait aux-délégués iu sultan et au ministre de la guerre shéfifien la situation dans le Riff (cote raorolaine sur la Méditerranée, le long de laquelle l'Espagne a plusieurs possessions, telles que Mclilla), Le général Marina est arrivé hier à Tanger. Il a été présenté aujourd'hui par M. iteveria.à EI-Torrès (ministre des affaires étrangères dn Maroc) et à El-Guebhasv- (mimètre de la guerre du sultan). An cas où les questions qu'il est chaygô g( traiter ne recevraient pas leur solution à Tanger, il serait nécessaire de lés souirw directement devant le sultan, à Rn- ÇCONSEILLERS MUNICIPAUX l Londres. - Le correspondant ^ Dawjrctcftrapfi télégraphie de Casablanca, le G . ,. -Mmm . „ Le croiseur espagnol Mana est revenu de Tanger ayant à bord M. Estramaduras, attaché à la légation d Espagne à TangerM. Estramadnras se rend à Rabat, pour y préparer la visite du ministre d'Espagne au sultan. ET FRÂMPÎS Les prétentions du commandant Sania Malla i 1 , 1 " Le Journal publie la dépêche suivante & Casablanca, que nous reproduisons sous toutes réserves : « Les Espagnols font toujours parler feux, mais pas à leur avantage. « Il n'est pas de jour qu'ils ne suscitent tes plaintes de la part d'E-uropé«ps moles<fe. et nous croyens savoir qu'il existe- entre nos autorités et le commandant SantaOlalla, un conflit aigu qui ne pourra prendre fin que par le rappel de ce dernier. « Le commandant Santa-Olalla a ét&rjus?»'à émettre la prétention de ne permetH en qualité de chef de la police extra«jttros, à aucun Européen de sortir de la v ille sans une autorisation signée de lui. « H en avisa le général Drude en termes corrects, mais manquant de courtoisie; Il ie fut. d'ailleurs, tenu aucun compte de 3 & protestation, mais il arrive fréquem»ent que des Européens qui s'aventurent w delà de la porte de Marakesch donnant accès au secteur dans lequel se trouve le camp espagnol, sont arrêtés par les seniinellfR espagnoles et obligés de rentrer «n ville. » Rappel possible des troupes espagnoles ; _ . ^ .Madrid, 7 octobre. — La Correspondance fUltoxre, dit, à propos des derniers ineiv-nts.qu'on admettrait maintenant en haut la possibilité de la rentrée des troupes ajagncies de Casablanca et de leur: redans la péninsule.^— Havs. m. J HOS MINISTRES M: j f ;l la sucrrc ct d6 ut6 de la circons Option 1 i i | wf511111 allusion m[ : i * v r ' sf 0' * , Clemenceau, président du conseil et, "! »stre de l'intérieur,a longuement conféré uier après-midi, avec M. Jonnart, gouveraeur général de l'Algérie, Un banquet a été offert hier à Cr~ yseulles, à M. Chéron, sous-secrétaire lr t P - au refus du lieutenant et 1° Biville (son adversaire politique urrent nori aux dernières élections) de {je £le clruPeau du régiment a une revue jQ^pcorations, M. Chéron a dit dans son te-ab sommes des républicains démof>i;,-5s' mais nous sommes aussi des répuPatriotes. eu • h ï-là ne sont pas des nôtres qui trouÇen îein » ,Prêtexte pour ne pas saluer le dratri ,, , «olore. (Acclamations.) Srmée n est; as faite ur triais P P° discuter, Pline obéir. Sans ordre, sans disciét a res ablio! "f Pect des autorités légalement et 3 11 n'y a place que pour l'anarchie, saur Cal 0 ons 7l'empêcher d'être. » Rea' ,^/ ""^ octobre. — M. DujardinS011s-V3ecrétaire Beayv A d'Etat aux i°urdw / Gt déPuté de l'Aude, passait auqu'ii !nil ans uno rue de Carcassonne,lorsreconn crits. u par un groupe de consde .fl'S's^e fut acclam'ê par eux aux cris : Ve La Boaumetz ! Vive l'armée ! » <J,! §c = S^ÊorsT PARISIENS A LONDRES I NAXCZ , hindi 7 octobre W07. Nous avons déjà parlé: sommai l'omonl <do ce congrès, qui va s© réunir à Stolf Sébaslien-Nancy, dons un dos locaux do la brasserie Micliaul. Voici, à litre doo i monlaire, l'ordre du jour complet du <congrès : ! - « Jeudi .10 octobre,a dix heures du m séance préparatoire du congrès. I. — Tirage au sort des trente-trois m. 1 bres do la commission de vérification d&9 Ipouvoirs. électeurs con- député radical frotté de socialisme, mais qui avait protesté et voté contre les 15,000 francs, s'y présentait. Il a été élu à l'énorme majorité de 579 voix sur 641 votants, aucun s'étant porté contre lui, afin candidat ne de donner à son élection, par l'union visible de tous les partis, le caractère d'une manifestation plus imposante contre le relèvement de l'indemnité parlementaire. Cette fois, ce n'est plus seulement une majorité qui s'affirme hostile, c'est, ù cinquante et quelques voix près, l'unanimité d'un corps électoral. Ce n'est plus un arrondissement qui prononce la condamna- secrélaire d Etat fut trè3 tion, c'est un département tout entier. Et cette ' ^nche ^ontan^"1'1!1^09^1'0" patriotique et toute ces deux voles significatifs se succèdent à e reme Havas rcia les. jeunes gens. — 1 .quelques semaines l'u» de l'autre. que résidera l'intérêt de'c» — Attén- Hnuflts iïmmz AU MAROC ^Casablanca, 6- octobre: — La situation reste la mémo.. Une reconnaissance, a.été mile incr msqu'à ,Aïn-Seba, point d'eau..important. PI Elle n'a pas rencontré de.résistance et même deux uouars sont venus au-devant <te la colonne française pour protester ' de leur dévouement ct nous- offrir l'hospitalité. Mips isî iiètrtgitâiîJiïiile Notis avoua relaté,, il y a quelques-jours,, l'ineident créé par le lieutenant Biville, du 23Ï régiment d'infanterie .territorial, à Caen, qui refusa de porter le drapeau, prétextant que c'était .lui faire injure que, do le faire assister.a- une remise.de décorations.politiques. Les déserteurs Les deux Sultans AljuI-el-.Vziaî MB en pèlerinage à Scia' Tanger, 7' octobre. — Aucune lettre, partie de Rabat de 13, n'est encore parvenue à Tanger. On. ignore mémo, si le- canot du.« JeanncdArc », qui doit prendre le . courrier, peut franchie la .barre. , Les "dernières ,nouvelles do Rabat disent qu Abd-El-AzLz s'est .rendu, le 5» à Salé, Pour accomplir Un .vécu. (Salé est la ville rfifee téVrasscâde'fe'vifîe^ra'îMU wtèm fés de femmes. Les, rues étaient encombrées d«-eurieux. Le sultan devait. d'ubord strivre à. pic il le chemin principal,- mais • il .y-, renonça au dernier moment., "'.'»• Tournant le dos: au., chemin, devant latour Hassan,, il se -dirigea vers-la douane, pour prendre, la barque impériale. Il fut acclamé sur tout le parcoprs. Un embarras^ de . cavaliers l'ayant,, h un moment, obligé de s'arrêter, un in.ii; '-ne perça la foule et remit une lettre au sultan; que"cet incident rendit très inquiet ct très préoccupé. Le sultan ouvrit ,1e pli. et en- prit connaissance, tandis que le cortège s'arrêta il... La foule formait une double- haie. Les premiers rangs étaient prosternés. Le sultan, qui. était à cheval, descendit à la douane-,et moula dans la barque impériale.Il arriva-peu ■ après à Salé,, où l'attendaient les notables, le- soldats- et la cota* nie-juive au complet. Il visita le fort et les marabonts de Sidiben-Abmed • et de. Sidi-Aliun!!;;i-. protecteurs de Salé, puis, 1 heure.-i appèasi il)reprit le chemin de Rabat. Son visage était toujours soucieux. Boukta-ben-Bagdadi doit- partir, aujourd'hui avec une mcbaila,.=e rendant chez les' Chaouïas. Il emmène avec lui quelques piècas de campagne Le sultan serait l'é^irlièrcm-ent virdté par le commandant Souriau, chef de la mission française Il parait préoccupé par 1'dpproche des pourparlers avec de 'ministre de France. ... Lfl PESTE ..-H1} ORûrt (milite A .^'^'g'^^mme d'Oran au ministère: d| 1 intérieur, confirme, que le baeille.de la peste a été constaté dans- les deux cas SU gnalés-,hier. La libre pratique- d'ès bâtiments est conséquemment ajournéeHavas. > D'nprcs le journal «iNatioijal Tidej-ide-,.., de Copcnlinsuo, le mnringo du prince Georges de (•ivce- avec la . princesse Marie-Bonaparte, aurart lieu -a Paris, le .19 octobre.- .ï\F01HÏAÏîO^\S^FÏv"t \rft£!IFs Nancy, Z octobre., Les. hommes - y étoile,, les .(tonneurs de tuyaux que pendant la-période de lièvre chacun-,suivait aveuglément passent un inauvxt/iw-, qirari dïiemx. Les-, éloues.ont pûli- et.les -luyapx sont crevés, ;., les.victimes,de ces mi ragea jquf'ofe devisaient ,.sén . prendre qu'à elfes-mihies de leur .manque de perspicaeité «i <lc sens critique, s'acharnent sur leurs idoles de la veille. Tous les jours, elles annoncent leur suicide ou leur décbnfilumTuut.cela, donne une piètre, idée de l'inlellèclualité Cle la spéculation profesîsionnelle. Crédit foncier: égyptien. — Emisskn ..d'o.bligations de-.oOO francs, rapportant' tî %, coupons 1er janvier et \? juillet, remboursement par tirages. Prix démission, 390 ; jouissance 1" juillet 1003 ct payables 100 fr. en souscrivant, 290 fr. à la répartition du H au 17 octobre. Souscription le 8 octobre. La -Banque Rcnauld mCl$ reçoit les demandes- sans-- aucuns frais. Forges- et Aciéries cb>uNt>rd- &t de.-l'Est. — Assemblée annuelle le 30 <elobre.-; dépôt des titres nu plus tard le'20 octobre.La Banque Renauld et Cïe- figure parmi tts établissements- désignés pour les rçcevoin Le--bilan qui sera- présenté;-aux aetiomnaires fait, ressortir un VtmBÊte de 5j785.471 fr. 50. Mais Ls i.roduifs de l'exploitation On sait qTre"Tô'triViOeua*- pj. vtiW^JWiMa S® francs;- ' mWi : Srifîtiewraiei; ifcN& t C,;W liuas* C(,iisolu.iéÀ-<i|0,... .. ., "<•> De Baevs. U.-oid Mines. 13iki.aste LA JOURNEE A NANCY Iftesudfë u château de M?Mi Mardi, vcm quaire. homes dji matin, ui, ineendip a'est. décla-re a Saint-Max,, au château..dit. de la Tour-MalaRoif, chez. N"b Xoé.'l, propriétaire... 0 heures du matin, Te feu. avait pris des proportions-* considèrebles- 9180 75.05 ) 512 .. ; pom]Hcrs-de Saint-Max et des communes environnantes, ainsi' <mo de très nombreux.sauveteurs, saut.sur les lieux. Nous. donnerons» des délais dansi notre proob&iûe- édition, I28\; 2S5:.. L'nrrlVé'o f f|l| fiEfiM'swîss. \J Ekk v « i & •<*■ «. A -U I ?t . " 19 Mardi 8 octobre:— 2SI* jour de Vannée. Auiourd'hui rsûinte Brigitte — Demain I saint Denys. —Ephémérides lorraines : En 1571, le duc Charles IH établit les Grands Jours de Lsav r-airic dans la ville dfe Saint-Mihiel. A huit heures. — Salle Poirel. :■ Sôïrée théa,trî.tle>. Ï»B W< .. Wt 0 S»-.. , Dépêche, météorologique 1705.. '.)i;,m, 4- 74S Dunkerque,> 701 Perpignan. Déprev, sien mer du Nord. Baisse :! il Dunkerquet Probable- : Vent des. régiqns. Ouest, averses, température nonnala. . E-xtçmur.c-i,0[0 . rn^isor- Grand opticien-constructeur à Nancy <i h. ma.li» mi.l i.l) «,.ir Maxitna. o;;:rs Do::, cours ûrf.T ni. ils. 7 ocl, 'Ji 30. 95.37 . ., .. 1S8S .. 5FJf... 010-.. Ut* Devant ce refus, le président du syndii oSt,i M.. (Suisot,-- est-entré.dans l'atelier où e'.a-t, restée- cette-fomma, ot avec un grand sac^ à la main panr l'y faire mettre.L'ouvrière s'est .sauvée et, à lai suite de ci meidant trèç grave, la grève était fatale, car M. Bodet affirme qu'on ne pouvait lai-ser s'établir un âaijéil état de choses Lm eprtain no-m-hre d'ouvriers étaient las» ses dedeur syndicat, beaucoup plus politique que profe.ssionneî,. et menaVaient dè lè quitter. Cesf, pour -régner par la terreur que le renvoi de • l'ouvrière avait étâ'dû, cidé. .^1 I 11 I IIK,.* ... . . . , I'KIÎJ. Rerlc 3HiO. ...... ... AclWiis Lyon 1b5lr6poîîfe\nComptoir iiaim,u-ii<ïti<'inivpte dO'PuriS ('l),-....... lïio Tiiîto . . )i otHH'rvnl.toun mêtéurvloglquei; 18 24 f>5 »i 95 51 87 Kf>.., 41 75 2$ M- COMITÉ, Nous, reproduisons, également, à titre â<& cnmenfaire, ces renseignements, qui traî (u:»sent la ananièreide voir patronale : « ta -ditectioB. dès .papeteries d'Etivat a ou u deux reprises dés démêlés avec évuclicat aux- occasions, suivantes : Le> 9 -- ; inbre dernier,.deux ouvriers entraient à J. usine, .l'im, sans la moindre difficulté, loutre, an-contraii^ provoquant une men»oe de grève immédiate et cela parce qui ses filles n'étaient* pas syndiquées". Devant 6M menacçs,oc-t ouvrier-a préféré remettre sm e!tta"ôè drtifutive au retour de M.Uodeft qui se trouvait', à IJarfe. Ensuite^ lè 23 soptembre, la grève corn* mençait, parce que M. Bodet refusait le renvoi"d'une-ouvrière qui'quittait letsyndiayant eu une discussion-aveG unmem-i bre • du comité; i\a la - rfniH i» rffrii i>nrii»mrrw>j Cliilït'os fournis par ta ^n\a?«*w» i '.oiïtn-,lïoll1,1. t '.KÎ l':u is, ', •■ I II, 52 «OIT. Simmm (» LE Aube- maus.-?ade,.. lundi. II. bruinait, il î-atsait froiff... Dans la-journée, la température est devenue très douce. Beaucoup de vent, un peu de pluie. Voici le dicton du i-octobre : A la Sainte-Foi, si le ciel a*» clair, ■ Même avec un peu de bise dans l'ôir, l aites ti dii vent eVdeJa froidure, Cest un jour ou deux, que-ce temps-là dure., On- peut craindra tout;- là-haut si l'on, voit, Les;brouillards épais,£' la.Sainte-Foi.",, Té ! éfjj r:>!»iu«. «'.«►5»»ti««»r«is»i 2-170 :ït 83 i*,a 73. «j 50 41 il (» Four, lè.Syndicat ouvrier d'Eliv;ui( LE TEMPS QU'IL FAIT REIUULD ET Cie ' \ lV, . La très grande partie du -personnel désii-S travailfer et compte être libérée définitivement du- joug- qne les- chefs du syndicat ta.-aient peser sur les faibles surtout, » CapiUl : 10 iv.UlU-n 2i. ru?. Siiitit-lUtié'r - Arrimes (100'kit.) Blés\\M WA Rtriuo8 (101) kUvi Lin Knile.«.(l00 kil.l.. Alcool'(Imiciul.) : cmcnl, vous penserez oomnyt!;nojis en ne perjrnettan.1. pas' que la loi puisse êjtre souiinis.e à im arbitrage, alors qu'elle «Été, pose- it tous incHstincte-ment. « C'est, dans cette pensée, que nous voua j--r< «entons, Monsieur le sous-préfet, avec nos remerciements, nos respectueuses civij -1\' Comme prcinièi'e mesure di.-ciplinajre, M\ Biville vient d'être puni dé quinze jours d'arrêt do rigueur, en attendant sa comparution devant un conseil d'enquête qui so prononcera sur sa révocation' )-<ruY fauté grave dans le serviéff ou contre la disepline.. • Paris, 7 octobre, 3 h. soft' ' Rabat, 5 octobre; — Les soldats. de-la menalla ont amené hier trois légionnaires dongme. allemande, capturés par eux. Le- sultan. Abd-el-Aziz„ les a interrogés lui-même- sur les événements de Casablanca, et,, a 10 heures du soir, ils ont été coa» duits au consulat allemand. É Sur L'ordre, du ministre, dè la. guerre, le 0 général de Tbrcy, comrnandaaiiTe':} corps, ouvrit une enquête, qui-.prouva la réalité des faits. DE tWTFti PRÉCÉDENTE ÉûfT/OiV A deux heures, p-remière séance plénière. I. — Ouverture du ojngrès. par le bureau i d du comité exécutif.. M<H!lsiiFlIsîfâ<l II. — Discours de M. le général Godcrt, Mazagan,., 6 octobre. — Las munitions P président de la Fédération "de Mcurthe-eten dépôt à la douane, se vendent en ville S Moscllc. peu à peu. Un convoi est parti de. Marakesch pour chercher ces munitions, mais RI.— Election du bureairde la $éà#èéi il nen trouvera maintenant que lès reIV. — Discours du président. : V. — Rapport général du bureau sur les liefs. A Marakesch,. la même incertitude rè6 travaux du comité exécutif pendant l'exergne toujours- sur l'état d'esprit de Aloulaïcice 190(3-1907. c Hatid., VI. — Rapport de la commission de vériCelui-ci recommande le calme à Maza>fl fication des pouvoirs ; validation des pougan et il a fait emprisonner hier quatre v voirs non contestés; protégés européens en -résidence dans sa „ VII. — Fixation de l'ordre- du jour iâ capitale (Marakesch). congrès. - ' ; Que faut-il — dira-t-on — penser de ce programme ? Pour nous, nous n'en pensons pas grand'chose, car tout ce programme n'est encore qu'une table des matières. — Il faudra voir quel esprit anime ceux qui sont chargés d'écrire le livre. Il faudra voir si, à la lumière des événements, l'état, d'esprit radical s'est modifié, si le congrès radical de Nancy se décide a couper sa queue socialiste — comme, naguère, le congrès socialiste de Nancy a coupé, sans le moindre embarras, sa queue radicale. Nous verrons cela par la Déclaration . du parti. Nous verrons si le parti radical, qui se vanté de disposer de trois cent trente voix à la Chambre, aura assez de fierté Ij pour se séparer nettement de Jaurès ou ' si, au contraire, il se résignera à demeu- ■ ^^^^ SAUE' [?EXf'0SiT(Û»; DE PUBLICITÉ" ET DE DÉPÊCHES p«ze ipfê'd'arrêtS'ïlc i-ignaor Les reconnaissances devant Casablanca H. — Tirage au sort des onze membres c do la commission des finances. III. — Tirage au sort d'une commission de onze membres qui recevra les proposi, ttions en vue de l'élection des membres du comité exécutif pour l'exercice 1907-190* tt* e en fera faite l'affichage. La séance sera levée après le tirage a.s sort des trois commissions ;.ccs commiss sions se réuniront immédiatement ^ au. Poiut: Centrai dfcja Vfllë* C'est donc dans la Déclaration du par- ' soeklisîil Nancy ; Les 15,000 francs î i, ^-^^ , ] If radical •• nouvelle manifestation des . nouveau congrès clé-Nancy. la tre le vote des quinze mille francs : Il y avait, dimanche, dans la Creuse, région où fleurit le (radicalisme le plus avancé, une élection sénatorale. M. Defumade, GOULETTe ••cr à ta rem-orque, ol à essayer do maintenir la scandaleuse alliance élccloralo entre radicaux et socialistes. te Mgrès Éyirti ( Londres. — Un banquet a été offert au Guildhall, par le lord-maire, en l'honneur c VIII. —Dépôt des rapports et des vœux jd'une délégation du conseil municipal de Paris. p présentés parles fédérations,comités, grouParmi les convives, on remarquait le , pements P et membres des corps, élus .adhés sous-secrétaire d'Etat aux affaires étranP rents. c fgères, l'ambassadeur et le. personnel de IX. — Nomination de la commission du l'ambassade de France, le maire 'de Boulo- p „ programme et de la déclaration du parti. gne-sur-Mer, etc. Dans son toast, le lord-maire a dit : « Il e est à espérer que les sentiments les plus Après la; séance pMnièrej réunion des a amicaux continueront a prévaloir entre les membres n £ du congrès en commissions : Fid ,, ^ux^ geuveraements, eL que ^cette visite » nanees ; règlement-et disejnline : .nromidânfT'ln " voie du progrès et de l'amitié,' et réformes n fiscales ; enseignement et -défense 'que l'entente cordiale continuera, à la ..sa- u laïque ; assistance sociale, prévoyance, ttisfaction mutuelle. lois ouvrières ; réformes militaires ; réforM. André Lefcbvre, président du conseil n mes électorales ; réformes administratir municipal de Paris, a. répondu : réformes judiciaires ; commerce, « Paris a donné son adhésion loyale et ves ; agriculture, industrie et études économia rrsincère à l'entente, cordiale, et toute la ques ;-politique extérieure et affames colo1 France la ratifiera, n 9 M. Cambon, ambassadeur de France à niales. n Londres, I a porté un toast au lord-maire $et dit que la cité de Londres avait concouVendredi 11 octobre; à dix heures du maru, de la façon là plus efficace, à établir réunion des commissions. cette entente cordiale,qui constitue la meil- tin, « A deux heures, deuxième séance pléleure garantie de la paix du monde. •Le maire a répondu que les assemblées n nièro : comme celleis de ce jour sont.de nature à I. — Election du bureau de la séance. rapprocher les deux pays toujours davani H. — Le programme du parti. tage. — Havas. ! III. — Les réformes électorales. IV. — La discipline et tactique élecCOLLISION DE TRAINS ■ r rale. Gênes, 7 octobre. — Ce soir, à 5 h. 15, on < gare de Saint-PIerrc-d'Arcna, un. train venant de Turin et un autre venant de VinSamedi 12 octobre, à neuf heures et de?, 1trmille, se sont rencontrés.' r: mie du matin, troisième séance. 14 voitures ont été renversées. 5 voyaT. — Election, du bureau, de la séance. geurs ont été blessés. Us sont tous ItaII. — Règlement et discipline. liens. ITT. — Réformes fisca'es: Les autorités viennent de se transporter !&'•» En:;:ign?ment et défense laïque. sur les lieux. — Havas. ,V.— Assistance sociale, .prévoyance,. lois couvrières.. ■UNE FLOTTE ALLEMANDE VI. — Election des membres du. comité VISITERAIT L'AMERIQUE exécutif £ pour l'exercice 1907-1908. Londres, 8 octobre, 2 heures 35 matin. — A deux heures, quatrième séance : On mande de Washington au Dailu-Matt : T. — Election du bureau de la séance. « On discute beaucoup, dans les cercles diII. — Réformes militaires, plomatiques, un bruit d'après lequel, aussini. — Réformes administratives. tôt que la flotte américaine serait revenue IV. —Vœux. du Pacifique, l'empereur d'Allemagne enverV. - Commerce, agriculture, industrie rait une flotte impériale, sous le commandement de'son frère,le prince Henri de Prusse, cet éludes économiques. A huit heures et demie du soir, réunion <( Cette flotte fera une visite amicale à New-York et à divers autres ports de l'A- plénière ^ du comité exécutif ; élection du tlantique. | bureau pour l'exercice 1907-1908. « xià déparlement d'Etat, où le correspondant du » Daily Mail » est allé aux renseignements, et s'est enquis de la valeur Dimanche 13 octobre, à neuf heures et de ce bruit, on. n'a voulu ni le confirmer, demie du matin, cinquième séance : ni le démentir ». — Havas. I. — Election du bureau de la séance II. — Rapport de la commission des fiFIN DE LA DERNIERE HEURE nances. III. — Politique extérieure. ct affaires coloniales. IV. .— La déclaration'du parti. A midi, banquet de clôture. Le vendredi soir, à neuf heures,, une soirée de gala sera offerte aux congressisteis parla Fédération do Mcurthe-et-Môsclle. » Après l'élection de M. Archimbaud dans la Drônie, comme député de Die, voici une ■ " t i _ (HWaji Mtil -- Mardi 8 Octobre 1907. _ ^ — j iî GOMFLIT ENTRE ESrÂGKOLS ; \ D'EGLIStS Clermonl-Ferrand, 7 octobre. — Antony.J Thomas, chef de la bande des- cambrioleurs d'églises, s'est constitué prisonnier au bureau de police. Ha dénoncé de nombreux complices. ~ IHavas. . * goer. octobre : DÉSECliOUÉ Toulon, 7 octobre. — Ce soir, après avoir ,travaillé taule la journée, les sauveteurs du torpilleur « 23i » ont vu leurs efforts couronnés de succès. En effet, lorsqu'on eut la certitude que le uatiment était solidement amarré, on vida les citernes remplies d'eau, et. landis que les cftejïiea remontaient ensuite sur l'eau, elles entraînaient avec elles le torpilleur qui, avec de grandes précautions, put être ramené aux Salins d'Hyères où il ; sera .réparé d'une façon provisoire. — Havas. •\lger. — Le transport « 'ShamroeiC » a quitté hier soir Alger pour Casablanca. Il à bord un certain nombre d'officiers,, du Siatériel et des munitions. LI > LE EEHERftL ALTMftYER MAROC AU ~==^ Rédacteur• m chvf : Téléphone 3.21 , i SSSSB^ggS3B gBWSg?535ggSg^ 4, g. 8 PAGES - N° 7,461 «ïc* ISI<MISI WiHiï ssJi k> % Lundi, les. jeunes soldais du côntinge?:. parisien, dastinés aux régiments en garniLes pourparlers auec M Repnault son à Nancy, ont commencé à arriver. Tanger, 7 oclebre: — M. Regnault. miUn très- important service d'ordre avait nistre'*!* France, emporte à. liabat Un vo«U'i. organisé par» la place et par la police. lumineux-dossier contenant les divers griefs A U heures 4, le premier détachement, de la France contre le gouvernement ma. peu nombreux toutefois; une soixantaine) rocain, dans-chacun des cas. qui se soat ! d'hommes au plus, arrivait à Nancy, acproduits. depuis l'assassinat ■ de M. Char■ompagné par une section du 4Ge d'ïnfanA'Miîivtti. bonnier près dé Tanger, jusqu'aux.assassi1lerie. nats de Casablanca. Le sous-préfet de Saint-Dié a adressé A dix heures, un second détachement L'examen de ces. affaires demandera un une lettre au ByndrcaH; des papetiers en >' débarquait.. temps considérable. Il sera laissé aux soins ■ grève, lui -demandant do soumettre-le litige , Los autres détachements ont suivi dans dés attachés de-légation et des, mmLstrcs ! à .un arbitre!' [là jc-tirnée. du sultan. i Vorei!, à: titre dexsume-ntaire, la- réponseM.' Regnault ne, doit,' en effet, que poser , des1 ouvriers : les questions principales et foiï'"'Séjour à' « Monsieur !ô sous-préfet, Rabat se trouvera fort abrégé. N « Par-votre honorées vous avez bien vouË■uulf, dès- l'aube, on a commencé u -, Le -ministre dé France emmène avec lûi lu nous proposer de soumettre le lilige qui j travail qpi contentera toute la ropulation un interprète d'origine-indigène et .un . innous sépare- de nos paîtrons,-, à la - sentence [au Nouvpau-Xancy. Il s'agit de. rien moins terprète d'origine française. d'un arbitre qui poiTi-ia-it être-M. lé préfetjque du pavage de la chaussée de cette imLe sultan préfère avoir un de ces derniers, j dés Vosgo". finense artère qui porte le nom de la ruedevant'lui,, car if hésité a traiter, des ques» Nous nous empressons de-vous accu- [de Mon-Déseri. tions religeuscs par l'entremise d'un interser réception de votre proposition et de prète de sa .race et de sa .religion — Ha4 vous déclarer que s'il s'agissait d'Une ques- i Cette longue voie, qui prend naissance .rue dé llAbbé-Didelot, sur le côté gauebci vas. tion de salaire ou de modification dans le tde la prison,, aboutit-sur la. place du Bontravail, c'est avec emprcs.sement-.qpc nous et- ne comporte pas moins de 1,200 L'ÉCHOUFBEHT DU TORPILLEUR* 934* accepterions l'arbitrage du premier magis- fCoin,, imôtres. Toulon, 7 octobre. — A diverses reprises, [trat des Vosges, certains. d'avance, que sa On sait que cette rue est très fatiguée. sentence- serait conforme à.Ta justice. les scaphandriers de la direction du port, {Elle est toute la'journée sillonnée par de qui avaient pris passage, le soir- de l'acci- ' K Mais .permettez-nous'de vous faire re- (longues Ihésries de Iourtes- voitures chardent, sur le remorqueur « Hercule », ont ; marquer, M. le sous.préfet, que le chôma- gées de. matériaux. OU: de camions qui so, effectué des plongées autour du torpilleur ,ge que--nous subissons, à Etival, n'a eu,. jd-irjgent .versi la-,gare dn. la.;petite vitesse.. 234--pour, relever la situation exacte du bâ- [S aucun moment, pour• objet, de modifier. ^cî'V-igriée kv. plus' souvent sous-le nom detiment. Iles condifions du tra\^ail' éims la-papeterie; igare do Mon-Délseri.. Celui-ci, est complètement couché, sur tri- ; mais au. contraire de restreindre, fés.attri- i L'opûrauon.! a commencé■. vars la partie bord, ce qui fait que ni'ses cheminées,, ni, Walions: de notre syndicat professionnei'et; jEsit ,, cfOs,Uà4€li œ près de. la . prison. On palibre ses -mats, n'émergent, malgré le petit fond. (par- cela1 apporter, une critravo rverasd'abord le débouché .de cette voie surLa coque du %U 'a touché,un roche, par :exereiêe dé-la loi dti,21 mars 1S8Ï-. (la- îue.-deT'Abbé-Didelot, puis la sortie dole milieu seulement: Cette position relève ' ! «.lie renvoi .du .président de.notre,syndijla gaao. et le pont, puis l'on se dirigera sur1 à* la fois l'avant et l'arrière, et" permet .aux,, qui,' dans, tous ses aptes,, n'A-fait que; s«; ilè Bom-€oin; -scaphandriers de passer facilement' des. teon-former; aux déciisloris - priées, par. l'â'si Le pavage se fait en granit.L'a Ville et fa Jsemhléè gimérale des 'adhérents, nous conchaînes, sous là'quille. Compagnie des tramways! l'exécutent» en On pense renflouer le torpilleur ce soir,, 'flrme formiellement que ce libre exercice Icommun. quoique la mer, soit' tf ès. mauvaise1 ct en- 'nous, est' contesté. g e 'trave les efforts dès, sauveteurs. — Ha* i (( Après ces explications,'.nous,-ayons là: | iccrti't-ude,' Monsieur le sous-préfet, que,garvas. Puisque-nous sommes à.Moîi-DéWcrt, ditdien vigilant de la légalité dans notre ar-- rons ausisi que des critiques sont élevées FXFtOSiftN DAMS Wg ACIERIE contre la gare au sujet, de l'enlèvement des ordures.. 1), COMPTOiR NAÏIOUAL ■i'ESGOf.lPTE ^ PARIS Butler (PeusyIvanie). — Une explosion Agence-dè Nancy, 56,rue Saint-Jean En effet-,, chaque jour, les quais, hangars s'est produite dans une aciérie. Il y a eii. et dépendances, sont nettoyés soigneuscquatre tués et trente blessés, dont vingt Ordres de bourse.— Paiement de coupons men,t,mais les ordures ne sont transportées « Locution do coffres-torts. — Garde de titres mortellement. = Havas. de la gare Saint-Jean que tous les huit mm, dans l'Est 1 A fVION-DÉSERT .au cat i* <ê . 1 LJuam-i-iMB.miiiw.iii-iJ n^j mm - ï i«_«-iwM SmBStBSSSSSSSt ■ ML. iliili-TTTlMTI l m ■ g"f?lii-m-l- IH-M«IIIMJI In—n-U ■—S? de tir de Saint-Nicolas, capitaine Dtftjull- | défaut, le 11 avril 1907, par le tribune m hrt du 4" bataillon do chasseurs,,_»UI""' roctionnel roc de Nancy, a deux mois ai cm>des voitures e t un divertissant <^ sacrée, celle-ci, la musique moderne, à I d'assaut >as; ue prj sac d son pour vol. présidence la Sociét| de tir d'Emvdle, jours, le dimanche malin, vers -onze heu.spectacle pour les personnes qui, comme des œuvres de Beethoven. Schumann, Cé- apeç S0B res, sur le pourrissoir qui csl situe derriè^ moi, l'observent de leur fenêtre, elle n est V Dans l'aprè- midi de lundi, M. Ilaude- sar Franck, Gabriel hauré, Vincent d In- n'loi lCli»t civil -if v IIV<*M ^| .-^ et En tout, il y avait une centaine de cou^ sans inconvénients pour les personre la prison. ville, vil! de Lay-Saint-Christophe, déchargeait d dv etc. On entendra, en outre, en soliste, nus pus Naissances. — André-Gèôrffes P^'"* Pour oela, il faut que les proposés a la un( une voiture de foin rue Jacquard. Quelques a"chacun ^ 'r des concerts, un des instruinen- |nes . qui usent de cette locomotion : fem- ve rts |( s fils do Marcel, demeurant à [Jomis^''8^ 'l „,irt _ très rai1 — a été fort bien fila salubrité publique de la Compagnie Ira- bo) ,„cs vieillards, enfants, qu'importe, c est du <pialuor virtuose tant dans une bottes avant glissé, il tomba sur la chaussée "listes . I mes tjc ( Erneet-Chf.v'ies Roman, (ils de F'ur?,?rUrt— versent avec leurs tombereaux la voie pu- où à cc celui qui pourra arriver k s'accrocher à sertit. Maréchal cuisinier-pâtissier Er leuv-re ancienne que dans une pièce mo- à ou il se'luxa l'épaule droite. M. Haudeville œu vrier d'usine. ' »L«e,ou. blique, c'est-à-dine la chaussée de la rue s -0, rendu à l'hôpital où la luxation a été derne, s'est , , I ilaa \voiture, au risque d'être mis en mor- il& m (1( r Publications de mariages. j„ Un orc&re de choix, fourni par la so1 La Scbola, poursuivant le bul quelle I ce aux. réduite. Il a ensuite regagné son domicile. <le Mon-Désert. ' rôd al l Renard, manœuvre, demeurer** philharmonique, a joué pendant le re- Alix Ali Comme ces véhi-cutes sont mal chargés, — Lundi après-midi, un couple irrégulier B s'est .& proposé — but essentiellement éduca- 1 ^( véhicule n'est complet que lorsque, ciété Le . a f i( et Antoinette Martin, sans _ exécutera a chacune de ses séan- II montés . Do et qu'il n'y a rien à l'arrière pour on retc- habitant ^al rue Sainte-Anne, qui était sous j<eu les uns sur les autres, les voya- pa _£ ^ et les vaillants jeunes gens de la so- Dombasle, eur feseion. — Léon-Marie Rousse,' minp pr°" nir le corilonu, une partie des ordures p ciâè de gymnastique des Usines ont monfat l'empire de la boisson, s'est pris de querelle ces, ^ une œuvre complète ou au moins une «eurs ne laissent plus le moindre petit vide £ 0I et Eugônie-Adelmfïï a Nt place du Marché. I.'homme frappa avec ru^ sélection importante d'une œuvre d'un des £ , eux : Oh ! les mœurs ! Aïe les or- (fré dans des exercices variés, leur valeur Neuvas-Maisons, ■transportées tombe sur la voie publique. pi entre f n( a my, repasseuse. »epWque et l'excellence de renseignement m; desse la femme qui, tout en pleurant et les . principaux maîtres de l'Art vocal. . .. Ne pourrait-on aussi transporter ce dépôt te ( cheveux défaits, alla se faire panser à la Comme on le voit, les concerts que pré•de fumier autre part, car réellement il ré- ci1( l*o ■>!)>«>y No!is courons vers 1909. Cette année-là que P] leur donne leur dévoué professeur, M. < pharmacie du Point-Central, où un rasscm- pare la Scbola constitueront des fêtes d'art il .. faut bien l'espérer, les étrangers seront ^ tpand une bien mauvaise odeur dans tout y, Boulet. I Une voiture chargée de pommes do ( { n biement assez nombreux s'était formé. de premier ordre, intéressant non seule- nombreux, la population sera presque le quartier de Mon-Désert ? |>h 0 do Les toasts ve venait de TOnt-à-Mousson à Nancy Rn ■ment les musiciens, mais tous les ania- I doublée ,Q Adjudication ; on peut se faire une idée de ce a Objets trouvés m* A l'heure du Champagne, le docteur Ko- sant à Pompey, le conduicteur du \<*iP *' aa leurs de belle ct bonne musique. que sera le retour de l'Exposition. M. Drisch, sergent de ville, un diction- tel my, maire de Dombaslo,se lève le premier. ^ Lundi, dans l'après-midi, a eu lieu l'aden- desceiKlit pour prendre un verre i • Ce sera une ruée sur les cars, de vérila- rr c judication des travaux pour la réorganisa- maire, déposé au bureau central ; M. Grey, Il'porte le loyal toast au président de la sant gg «sa femme sur la voilure. ' a'3' 1 bles batailles. , I V, tion du baraquement du 79° d infanterie, terrassier, République et associe au nom de M. l<al- I Mais le cheval prit peur à la ,SUite r avenue de Boufflers,, 4, une _ |c Espérons que d'ici là, un peu d amého- liôrcs i caserne Moîitor. . celui do son prédécesseur, M. Hou- I <x montre ancienne, boîtier argent; M. wol1/ coup de sifflet d'une machine et s'etnh rr' m, ration sera apportée à cet état de choses, j' Ont été déclarés adjudicataires zel, rue Vayringe, 70, un collier de chien \± I La femme s'oulut sauter de la véiti !« lot _ Terrassements nécessaires aux I ze et que comme ailleurs, des mesures seront be n L'orchestre joue la Marseillaise, écoutée I mais une roue lui passa sur le pied avec deux petits grelots; M. Buatois, un bâtiments, maçonnerie, plâtrene. Montant, : av m pour empêcher l'envahissement des debout par les convives. porte-monnaie, renfermant plus de 3 fr che et elle reçut encore diverses eoiilusif^' ci CYCLISFflE i prises pri. 194,100 fr. — M. Tarlary, rabais de 1 u. oo I>c Par le jeune Péchcrot, rue de l'Equita————— voitures et permettre à chacun de monter o M Cordonnier lève son vorre à tous les 1 v0 Heureusement un courageux sam-ni s' pour 100. , , . .-, tour. I invités . Vélodrome du Mont et. — Si, comme le I â a son s 4; des pièces d'or ; M. Colin, rue de la Société de tir ct en particu- M. Al Heff, facteur à la gare de Pompev ,"v' 2« lot. — Couverture, zmgage, plomberie. tion, lu en courait, la réunion du G était la deriIl semble qu'il ne faudrait pas chercher jlier à M. le général Faurie. îança à la tête du cheval ct parvint h r -d'Arc, 116, un chapelet monture ar- bruit îo br Mont : 14,370 fr. — M. Génin, rabais de Jeanne Je pour trouver un petit texte de i « En l'honorant- — dit-il — nous bono- ri nière de l'année, nous pouvons affirmer beaucoup ei rêter à cinq mètres de la voilure d'un f-" gent ; M, Carnet, boulevard de la Pépinièj c b n 9 fr. 75 pour 100. S lier qu'il allait briser. sans crainte de contradiction qu'elle a fort iloi i qui interdit aux entrepreneurs de trans- rons l'armée qu'il représente. » ti 0 3« lot. — Charpente, menuiserie, ameu- 1 re, rc 54 bis, un carnet de livraison. sô ports d'accepter sur leurs voilures plus de; * M Cordonnier montre ensuite combien clôturé une saison qui, en tous points, p : Enfin, le marchand de pommes de te™ Mlle Charpentier, rue des Jardiniers, 35, bien 0 blâment en hoir. Mont. : 51,170 fr. — M. bi que le nombre indiqué et que! l'armée est aimée dans notre pays trontiô-■ put rentrer on. possession de ,sc»n éauin-ï une pèlerine ; Mlle Dcntel, élève a l'école■ fut fn des plus réussies. Simplement, consta- voyageurs p Alphonse Erb, rabais de 0 fr. 10 pour 100. ui vo 1 des fonctionnaires sont même chargés de et il "continua sa roule... sans mémo t, 86 que le temps s'était mis, lui aussi, de dei Sainte-Anne, nue Jeannot, ton iméda^'lon itons ■re II tient à adresser un salut 'aux soldats; o l» lot. — Ferronnerie, serrurerie, ameu- s 0 faire respecter cette obligation. Mais, voi\ gor à remercier M. Heff. "e sori' or, ; la jeune Migevant, rue de la Pépiniè- la ja partie. . ., , fai I « qui, à Casablanca, luttent pour l'honneur• g blement en fer. Mont. : C7,480 tr, — M. eu ! il y a peut-être quelques intéressés qui 'de ta France et de la République ». (Appl.) Au point de vue sport, si, en vitesse, le' là re, 1, un col Renaissance. Jeàndel et M. Pelitdidier, rabais de 8 fr. 251 n la ■ l'ont à .tluliHMon considèrent que la recette sans s'occu- I < L'orateur termine en présentant les exgrand favori Piard s'est adjugé, sans trop1 I ne = §o§= g] ne 1 ; dimanche matin, vers huit heure-; i1n de ceux qui l'alimentent. i , d'effort, la première place, en demi-fond, au I per lbU — Peinture et vitrerie. Mont, j . cuses de M. le préfet, empêché d assister pe t énorme chaudière provenant des aYeii ' contraire, Stoquert s'est vu ravir la victoires I Veuillez agréer, etc. 7 755 fr.' M. Ilcrvaux, rabais de 17 fr. 05 L à: cette réunion. , _ d de- la maison Dingler, de Strasbourg 1 Vieux Nancy. ? par Pierre. Stoquert s'étant blessé assez'. Le général Faurie remercie M. Coidon- (ait p de la gare de la petite vitesse traw ti P fortement au début de la 2" manche et n'ail * °C°r kit — Terrassements des cours ctt nier de ses paroles courtoises. Il le rcmer-l gsur un chariot par huit chevaux pour fil Bin»ployez là dans votre cuisine.• pu défendre sa chance en possession de *imuts pavage autour des bâtiments, cm-■ j. cie surtout de la pensée qu'il a adressée? I conduite p à l'usine "ui, située, conimo n c Vandalisme tous ses moyens : Pierre a toutefois merveilMont. : 62,000 fr - M. Tar■vw-v t( à nos soldats qui se trouvent au Maroc, a* 1:lo sait, au quartier Saint-Martin, à Pnni r leusement marché. C'est un sérieux adveront"dtary, rabais de 5 fr. 65 pour 100. Nancy, le 6 octobre 1907. cas soldats qui, à Nancy, il y a quelques& Moussonj ïfnrché aux bestiaux «le Nancy b % saire pour notre stayer Sloquert. s semaines, on a osé comparer « à des banlîcol« supérieure «le plinmiacic Monsieur le directeur, Côurs du 7 octobre Î907 i^e transport de celte chaudière np^nt Voici les résultats : c . Un individu indélicat (qui, du parc Sain-- 1 dits portant l'uniforme français ». (Mouve-!- 30,000 kilos et mesurant environ 15 L'examen de validation de stage pour les 107 bœufs, de 80 à 87 fr. : G2 vaches, dec Amateurs. — 1" série : 1" Maigret, 2" te-Cécile, connaît les détours) s'est livré, laa I ment, de réprobation.) < élèves en pharmacie aspirant au diplôme5 74 ^ à 82 fr. ; 18 taureaux ; 270 moutons ; rBossu. 6 mètoS de CirCOnfôre 1 ™ '■Le général Faurie lient h féliciter cha{ semaine dernière, à un sport non désintéfut de pharmacien de 1» ou de 2« classe, s'ou-■ 134 porcs, de 95 à 105 fr. ; les 50 kilos poidss x 2e série : 1" Georges, 2" Auburtin. | sressé, * i lcureus-emient les gymnastes et déclare il a scié, jusqu'aux branches, doux l A neuf heures seulement, la chaudière vrira le 4 novembre, à 8 heures du matin,• net. Finale : 1er Maigret, 2" Georges, 3« Bossu,' cerisiers rc r >- qu'avec des jeunes gens de leur trempe, cee oui , de 12 et 17 centimètres et s'est apexcitait sur son passage mie vive cul à l'Ecole supérieure de pharmacie. 100 veaux, de 63 h 75 fr. ; les 50 kilos,J' 4 | e Auburtin. c' s ne seraient pas doux ans de service mul-- riOBité, i I propriô les deux tronçons, de deux mètres arrivait à l'entrée du pont sur la 1 Les demandes de dispenses de stage, doi-" I ,poids vif. ir Match de vitesse.— 1" manche : 1er Piard, P de hauteur, laissant les branches sur taire qu'il faudrait, Six mois suffiraient,t- iMoselle, dont la montée est trèVrapide vent être adressées jusqu'au samedi 19 octo-'" I Cochons de lait : néant, g e Pinot, 3e Bertrand. , 2 * n I pi place. , I M. '-Maljean dit tout le plaisir qu'il res- < Malgré les quatorze chevaux qui furent, bre, au directeur de l'Ecole, sur papier timVente calme sur le gros bétail et les mou-J Train assez lent. A la cloche, Piard est en le 5- attelés à ce moment, il fut- impossible d« Il aaralt que ce bois est très dur et que tons, soutenue sur les veaux, très active , ls téte. Pinot dans sa roue et ne peut remonbré. :. i > |faine avancer la chaudière, le grain en est très fin; on en tire des pieds sent d'être venu parmi la laborieuse po2 le , Le registre de consignation sera ouvert auu jsur les porcs, avec tendance a la hausse. ' ter. pulation de Dombasle ; il salue, lui aussi,h A l'aMe de crics et de leviers, on essaya. de table et des boutons de meubles. e er e e ______ 23 au 29 octobre, inclusivement, tous less I P 2 manche : 1 Piard, 2 Pinot, 3 Ber1Ldi On a vu l'indiscret personnage et lon\ nos soldats de Casablanca. (Appl.) mais : en vain, de démarrer le chariot Un ' jours, de 9 à 10 heures du malin. BRASSERIE CHARLES V (W« DésiUes) PIGUET trand. t f M Maringer développe le noble but pourr- service d'ordre fut organisé pour contenir s it f sait son nom. Train ridiculement lent, Piard qui ne veut s< Tous les soirs, Sh. itf, GUIGNOL LYONNAIS c- les nombreux curieux qui se pressaient n» Coin s d'n*mtes ^ suivi par les sociétés de tir et d'instrucle S'il ne rapportait pas les deux tronçons, pour le* Jeune» «lies 8 » 1 plus rien savoir pour mener est obligé de u >du Pont. Par crainte d'un accident, les ma? tion militaire ; il commente la phrase du B I on pourrait lui occasionner des ennuis. _ longer les balustrades. Le public siffle. o ;s i- I gasims du voisinage avaient fermé leur de. général Chanzy : » Donnez-nous des hom=t Cas deux arbres étaient situés près des Les cours d'adultes pour les jeunes filles «i fiard prend la tête dans la ligne opposée et mes, nous en ferons des soldats. » ! vantwre et la circulation avait été interromse rouvriront le jeudi 17 octobre courant et v villas habitées depuis peu. \ n'est plus remonté. u pue. M. Maringer lève son verre au drapeau se termineront le 1er mai prochain. Ils son e er e iAgréez, etc. Z. 3 manche : 1 Piard, 2" Bertrand, 3 PiNe pouvant obtenir aucun résultat, le-; Un abonne, français. (Applaudissements.) au nombre de quatre et ont lieu les jours et not. ;e conducteurs dételèrent les chevaux à onze M/ Dessez, prenant texte d'une causerie heures ci-dessous indiqués : di Le sur place recommence et Pinot en est 1 I heures, pour leui permettre do se reposer e, «rufATRE DE NANCY.— Spectacle du mardi qu'il vient d'avoir avec le co'one' Bajolle, e Ecole des Trois-Maisons,rue Samt-Fiacre, 2 victime, car il est tombé dès le 1" virage, un peu. 8g a- 1| 8 octobre 1907. - Bureaux, 7 heures 1|2, se montre confiant et optimiste dans les 24 ; le jeudi de midi à 2 heures, et le dimanls Le train, à la reprise, est beaucoup plus vij"e I A une heure de l'après-midi, le travail rideau 8 heures.— Continuation des débuis .destinées du pays, gardé par une armée che, de 10 heures £ à mdii . . te. Pinot en tête. Piard se dégage dans la liDU dimanche B octobre fut repris. )n ude la troupe de comédie : lre représentation puissante. (Applaudissements-) Ecole Sainte-Anne, rue Jeannot, 8 ; le jeuie gne opposée. Pinot, épuisé, est remonté par ir Ce fut seulement h quatre heures du soif ac Naissances — Suzanne-Lucie Detoul, rue et 10 da Denise, comédie en quatre actes de L'orateur exalte le culte de la patrie et di, de midi à 2 heures, et le dimanche, de 10 n- Bertrand. |I 1Victor, 9 bis. — Renée-Marie Pfiffelmann, I que la chaudière arrivait devant les établisn' Alexandre Dumas fils, de l'Académie frane l'amour de la République. (Applaudisseheures è à midi L Classement total : sements Adt. rue de l'Atrie, 3 bis. — Roger-Eugène-Arr- j ç lise. Ecole "Raugraff, rue Raugraff, 12 ; le marr jg" ments.) ;: Pinard, 1 + 1 + 1=3. Cette laborieuse opération avait attiré d>s I imand Anglade, rue de la Commanderie,28. li, «v-wv di de G heures à 7 heures du soir ; le jeudi, Pinot. 2 + 2 + 3 = 7. * I milliers de personnes difficilement contejL Reoue des sapeurs-pompiers la I — Jean-Auguste Geoffroy, quai Choiseul, 'e Ecnos DU THÉÂTRE. — Spectacles de la de 7 heures Jt à 9 heures i du matin, et le 'P Bertrand, 3 + 3 + 2 = 8. ; de' I nues par la police et la gendarmerie, n aLe banquet est terminé. A la sortie de' 20 36. — Marcel-Camille Joux, rue du Fau- semaine. — Après les débuts de la troupe dimanche, de"8 heures à 9 heures du matin. a- I Pendant plusieurs heures de l'après-midi, U Match de demi-jond. — 1" manche (20 j la salle sont rangées les subdivisions de sa■ I bourn-des-Troic-Maisons, 48. yi de comédie qui auront lieu mardi dans DeEcole de Mon-Désert, rue de Grafflgny, e si- la circulation avait été également interrom, kiL), — 1" manche : 1" Stoquert, 2 Pierre, 1 upeurs-pompiers de Dombasle (ville et usis' Décès. — Emile CharieraM. 27 ans, fu22 ; le jeudi et le dimanche, de 7 heures à 9 nise, le théâtre donnera jeudi la seconde n- pue sur le pont. "„ à 150 mètres, 3 Serrière, 4 Protin, 21 m. 10 s. Î2. ne), Rosières, Hudiviller, Blainville, Anr miste, rue du Faubourg-Saint-Georges, 22. de La Petite Mariée, dont l'interprétation heures d umatin. a xtt I — Un individu, dont l'identité n'a pu être Pien>3 est le 1" en action, bien pris par i ne thelupt, Varangéville, Mont, Vitrimont, — es s'affirma si excellente en matinée. Samedi,' Moat, Sloquert ne peut passer qu'au 2e tour Ces cours n'admettent que des élèves figées ur l établie, a pris la fuite en emmenant une - Yvonne-Marguerite Guyot, 10 mois, rue Vigneulles, Crôvic, Sommerviller, Harauu j Sainte-Anne, 23. d'au moins 13 ans, ou munies du certificat at reprise de Lakmê. bicyclette qu'il avait louée Chez M. Cheret vit alors sur son avance. court. :oDu 7 octobre d'études primaires. 2e manche : 1er Pierre, 2 Serrière, 3 Sto;a- I pitel, négociant. Le général Faurie passe en revue les saLes billets d'admission sont délivrés au ite I Cet individu, qui était accompagné d'tm 1 .I Comme on l'a déjà dit au lendemain de quert. 4 Protin. 20 kil. en 20 m. 48. Naissances. — Jeanne-Catherine Gudin, ' peurs-pompiers — qui ont une excellente bureau des écoles, rue des Dominicains, n° . la réouverture de la saison, la salle Ile Au départ, Stoquert tombe et se blesse sé•rs camarade, a couché chez divers logeurs, ue 7" 1 3rue Clodion, 81. — Isaac Zufrieden, rue . allure — il serre la main de leurs officiers Ia I j (hôtel de VMK). rr- rieusement. Au 2" départ, Pierre prend la 35 I où il a donné un faux nom. Poircl offrait, samedi, le plus charBoulay-de-la-Meurthe, 15. — Marguerite, et a pour eux quelques paroles aimables. Clinnibre »yu<lic*1e mant coup d'œil. Comme la Phihne de tété, Stoquert veut passer, mais décolle; '; II Félicité Frantz, rue Oberlin, — MarcelJfzttiiiville f~~ Ajoutons que toutes ces subdivisions de I la u m- l'effort l'a épuisé et Serrière lui prend la pla«le* «mvri <••** |»*¥tHÉrew Mignon, toutes les élégantes nancéien" Jean Laurent, rue Dupont-des-Loges, 17. :es - sapeurs-pompiers participent aux exercices nusieurs jeunes gens habitant Jezainvil ces ce de second. nes étaient. .« sous les armes ». Les , — Andréa-Lucie Bastien, rue Vayringe, 3e' de tir de Dombasle. On nous prie d'insérer : le, qui avaient été condamnés samedi à 3e manche : 1" Pierre, 2 Serrière, 3 Sto}rs beaux samedis du théâtre vont revenir et io- 1, _ Gaston-Armand Staal, rue Notreu La chambre syndicale des ouvriers I francs d'amende par le tribunal de sim,ri- quart, 4 Protin. )us l'excellence de la troupe d'opéra ne contriI Dame, 47. — Henri-Jean-Jules Humbert, peintres ct parties* similaires invite tous ' I pie police de Pont-à-Mousson, ont causé 'oiRéédition de la manche précédente, né- buera pas peu à attirer la foule salle PoiI rue Carnot, 29. — Lueienne-Marie-Thêrèse les camarades à assister à la réunion généj>endant la nuit un véritable scandale, ma Classement total : 26, I Laehambre, rue du Sergent-Blandan, 26. rale qui aura lieu le mardi 8 octobre,, a à rel. Il y avait même des décolletages, ma Puis aux accents entraînants de la la I Aprèa a\cdr frappé à tour de tuas àm 1er Pierre. 2 + 1 + 1 = 'i. 1 . . .A-,—J«t ^A.^:^ ™£>îïl, ni** fin C.{\~ no ua- chère I et le nombre des représentants du du mo 5 h. 1/2 du soir, salle Chenel, rue des Qua■ I les «eris-ennes de plusieurs habitants, ils ' ; gùlvay, ou à heu m métiiMl I ««,-•*.. J**-- i. giiioorcr -Vitrîlldim'll Coa TO'lloU- _^ ■ : Décès. - Jean Guillaume, 80 ans, sans M- D irc-EirUses. au àromior /rfnna j« . se sont livrés à des violence* «iw tu pq» ' : U y en a de très nombreux et d'une r<Joii nc ifeorèiHition rrniiçnlae £I veau quotidien théâtral parisien Comedia il a profession, rue de Strasbourg, 119. — Jean ou garée champêtre qui était uctefu28, valeur, j oonno de» industrie'* «lu ptijtii-ïtel* mène une spirituelle campagne contre les F00T BALL ASSOCIATION va eo eiiTei.dant ce vacarme, ON I Laruelle, 83 ans, ancien entrepreneur W de' Le général Faurie préside, ayant près de ' „a_ chapeaux au théâtre, il est curieux de consde 1 Ajoutons que le père d'un de ces dati"eu Le syndicat des ouvriers ct ouvrières paelî . MMz-Sporting-Club lorrain.— Encore une plâtrerie, rue Foller, 3. — Jean-Pierre Gus^ lui les notabilités présentes au banquet. ira taler que las aimables Nancéienncts, s'inclireux sarneme.nts s'est cru autorisé ;i inpetiers-relieurs, etc.. 26* section, tiendra ^j" fois, îe public a eu tort de ne pas venir se, 59 ans, sans profession, rue Saint-FiaM Plusieurs officiers sont arrivés pour la _ nant devant l'arrêté municipal, non seulela terpelter le maire en des termes peu polis ™ 'cre,' 18. — Marie-Joséphine Daviatte 38 M oc son assemblée générale le mercredi 9 ocPlus nombreux h la très intéressante rendistribution des récompenses : le lieutenant mt Cette affaire a causé une vive émotion à I ment, suppriment les énormes chapeaux l_ cigarière, épouse Kelle, rue Hermite, te. tobre, à huit heures et demie du soir, au au vrZ contre qui a mis aux prises l'e SCL et Metz ■ans, MienvUle, de Nancy ; le lieutenant Weslerer- JezaLnvillc. 70 )_ I qui faisaient notre désespoir, mais encore Le SCL a gagné aisément par 4 buts à 0, n " ~ Marie-Elisabeth Bergé, 43 ans sans ins ■café Boïer, rue Baron-Louis (près du tabac). lC mann, de Lunéville, etc., etc. ' I)atit«4'lic»x tés I paraissent même avoir complètement aban,"' profession, épouse Adam, à Marsaï (LorTous les syndiqués ou non sont invités " l malgré une fort belle défense des Messins. Les discours I donné les chapeaux dits « de théâtre » qui ul rame). — Victor Domange, 46 ans, mar .«spécialement'à cotte importante réunion. j Uo incendie s'est déclaré vers deux heuar l L équipe du SCL a produit excellente im_ M. Cordonnier remercie du fond du cœur I étaient en honneur la saison dernière. On pression et quand ses éléments auront un chand forain, rue de l'Eqnitation, 27. — ■ur res du matin, dans une maison située rou!.<•■« nntimllHuristcs toutes les personnes qui ont contribué au au te de Croismare, appartenant à Mme veu- : I se ooiffe maintenant avec de précieux écha- peu plus d'homogénéité, nous aurons une Adeline-Appoline-Maria Portmann. 38 ans, ns jg' succès de cette journée et qui s'intéressent Lundi, à trois heures de l'après-midi, di, faudages de bouclettes, surmontant de sa- très bonne équipe, • ''- lmgère, veuve Robert, avenue Hilton, 18. mt ve Cuny, et occupée par plusieurs locavivement à la prospérité de la société de tir Jules Damen, 21 ans, ct Pierre Berger, 20 vantes ondulations, et, coquettement posé, tir tairee. se, Voici le résultat de la partie : îe Dombasle. ; ans, circulaient, avenue de la Garenne, ne, un «simple nœud ou une délicate aigrette. e Le feu a pris naissance dans le grenier '^ Coup d'envoi à trois heures. Aussitôt le i é M. Cordonnier insiste avec justesse sur lu r du où ils injuriaient les sous-officiers qui pas-' as-v Les modistes vont peut-être s'en plaindre, re, . premier étage, contigu au logement des SCL se porte sur les buts de Metz. 3 buts les Jts AVIS MORTUAmE 1 services qu'une société comme celle qu'il mais les coiffeurs seront dans la joie. saient. ni éi30ux Joseph Paningle. En peu d'instants, sont ratés de peu, grâce, d'ailleurs, au garB préside, rend à l'œuvre de défense nationale Deux agents étant intervenus furent ausasîle les flammes ont envahi tout l'immeuble, de-but de Metz. 3 h. 14, premier but au flU en préparant des jeunes gens qui deviem ^es Personn"s qui, par errouv ou omis- m si outragés. m- qui a été en partie détruit. Les pertes,évaici- SCL. 8 minutes après, deuxième but aU au I s or,, , Seulement, si l'administration municin auraient ■ B -ront d'excellents soldais. B ' ' Pas reçu de lcltro de faire cs Damen et Berger furent alors arrêtés. huées à 3,900 fr. sont couvertes par l'assu- pale veut encourager l'assiduité du public; à SCL. Puis 5 minutes : 2 corners bien arrôrê- j H part du décès de m K Maintenant, plus que jamais, il faut grouDans leur conduit* ou bureau de police, >u- rance. ule lés par l'arrière messin. Peu après, la déÇe> son théâtre, encore faut-il qu'elle ne recule per les éléments sains du pays, faire front ;is' mt . ils opposèrent aux agents une vive'résispas devant les améliorations, bien faciles lcs fense du SCL a du travail. Bour fait des rJ ri y PIQUET | contre toutes les théories pernicieuses qui lance. Ul I à apporter à son aménagement. De tous cô- prodiges. Peu avant la mi-temps, but non ' Des inconnus ont fracturé la porte d'une U tendent de s'introduire dans le pays. (AnEn cours de route, près du pont du Montle- accordé au SCL. née HUMBERT | >n- tés, on nous réclame l'ouverture de la gale■S" maisonnette, située dans un pré, situé au * plaudisscmenls.) tet, Emile Louis, 28 ans, ami de Damen, m, rie Nord, qui servirait, pendant les entr'tr'La mi-temps est marquée par l'éclatelieudit « Etang Dieutmache », et ont dérob!' t'-- I sont priées d'excuser la famille et de considé 1 essaya de délivrer les inculpés, mais les actes, de foyer-promenade, pour les personm- ment du ballon. divers -outils. M. le docteur Hanriot, de I ver le présent avis comras une invitation i I agents parvinrent à capturer aussi cet ex3x- nés qui ne veulent ni boire, ni fumer. SaLe général Faurio remet la croix d'offisaAussitôt le coup de sifflet, le SCL marque lie I a assister aux convoi funèbre, service et enter 31 ffi- Blâmont, propriétaire de cette maisonnet cellent camarade. medi dernier, on s'écrasait littéralement 1 cier d 'Académie à M. Casser, conducteur mt le troisième puis le quatrième but et la g rement, qui auront lieu le mercredi 9 octs- | ur te, a estimé à 40 fr. le préjudice qui lui a Its dans les couloirs où la circulation était imDamen, Berger et Louis ont été conduits | bre, à dix heures du malin, en l'église de PS des ponts et chaussées, officier d'adminism- partie se termine sans incidents. is- été causé. possible et où régnait une cohue peu proro" H Laxou, et de là au cimetière de la commune, I au parquet. 8 ration de réserve, et à M. Marin, direc* 3C_ Kl»* civil «P tIKIIIII lo Roiiinn I où se fora l'inhumation. ■]j m* • pice à la mise en valeur d'une sensationleur des écoles de Dombasle. (ApplaudisseJeu dangereux 5e" . Réunion générale du Groupe sporlij nan. Naissances. — René Watrin. — Aline nelle toilette. Il serait bien simple d'aménan_ ! ments.) m ' 1 Maison mortuaire : Un jeune enfant de Diculouard s'amusait ceien. — Dimanche soir a eu Heu lé'lection . Eugénie-Elisabeth Schimberg. ait ger en foyer la galerie nord. Quelques planin„ j Un challenge scolaire est ensuite remis | Eue de Santifontaine, 37, Laxou-Nancy. f avec une baguette de fusil qu'il mettait "f -nariage. — Bernard Emik-Ferdinand, l du bureau du comité pour 1907-1908. Sont ait tes vertes, quelques sièges y suffiraient, n | i I école de Varangéville. dans sa bouche. Ayant poussé cet outil un un Et M. Corbin, qui a déjà si heureusement l élus à l'unanimité : employé, et Dccouvelair Mathilde-Eugénie, De la part de : | m peu fort, il se perça la voûte du palais. (a. Président, M. Thouvcnin. employée de commerce, tous deux à Autransformé la buvette en exposition de 1aMonsieur Jean-Baptiste PIQUET, chevalier "i dun-. Le petit blessé a dû être conduit à l'hôui. Secrétaire, M. Déglin. La parole est donnée au capitaine Desm- bleaux, serait évidemment heureux de pui3S. de la Légion d'honneur, directeur honoraire 1% pital de Nancy. g(. Publications de mariages. — Charopagi rec Secrétaire adjoint, M. Gaillot. qmlhhet, du 4» chasseurs à pied, chargé ser dans sa belle galerie des toiles qui avec d'école normale, professeur à l'Ecole profes- f-3 sionnello ; B de faire passer aux jeunes gens de Dom^ Lutcien-Ckimille, chef de comptabilité à k | Trésorier, M. G. Lemoinc. ■nos jolies concitoyennes, se partageraient Aeciilcnt «lu travail ;nt Banque de France à Bauvais, et Stourffl Monsieur Charles MATHIEU, professeur _ la notre admiration. ' I "':''"' 1 examen d'aptitude militaire. M. D. Lundi, à deux heures de l'après-midi,à la au lycée, $ ^ —arj-e-Françoise-Joséphine-Olvmpe, sapa | Le capilaine dit que sïïr huit présentés suite du heurt, par une voilure, d'une ne Et de-, la famille. I 1 6 profession à Paris. — Hennequin Louis-Kol ''^.e', ^rus dans des conditions ux échelle sur laquelle étaient juchés deux M I A propos de buvette, on en a modifié l'ê" monct, employé de commerce à Audun-le»P (out à fait hors hene. ouvriers électricien.?, qui remplaçaient des tes clairage. La modification est malencon.„ Roman, ct Mandv Marie-Louise, sans proLe certificat d'aptitude est remis à ces (:es charbons, ceux-ci sont tombés sur la voie ne treuse. On n'y voit plus clair. D'autre part, fession à Mercy-îe-Haut. — Grisel Eugeije, jeunes gens. publique, où ils ont contracté des contutu- la fumée y est tellement dense qu'on s'y s'y boulanger, ct Cbaumont Elmirc-Eugénie, Le . général Faurie clôture la série des sions. s de U y a tabac et tabac croirait dans une taverne. On demande ii discours ; il félicite la société de tir ^ de sans profession, tous deux à Audun-fe-Ro* Transportés à l'hôpital, ils y ont reçu ae un Nancy, le 6 octobre 1907. Çu pour la buvette un éclairage puissant et un man. I Dombasle, qui comprend 800 adhérents de de îles premiers soins. ■Monsieur le directeur, ventilateur. Décès. — Leone Bernado, 2» ans, terrasa bonne besogne patriotique. Leur état né présente pas de danger. Comme suite à la lettre d'un vieux chassier, époux de Roccho Libéra. — Gentil MV. Après un mot flatteur aux dames faisant seur parue dans votre journal de ce jour, To«»»I>6 «l'un escitlier ut catem, <S& ans, instituteur honoraire, époux Dimancbe soir, pendant la représentapartie de la société, le cénéral développe • * au sujet de la prévoyance administralivè P° de Flacon Stéphanie. — Bastien NicolasLundi,vers neuf heures du soir, M.Louis lis lion, la pluie s'est mise à tomber ct a surquelques idées pratiques sur le tir. ce qui concerne les poudres de chasse, 73 ans, propriétaire, époux de Passeras AÏS j", Cherot, âgé de 22 ans, cocher, logeant en pris les spectateurs vers la fin du specXa- en e ferai Le général flagelle les théories révoluu- rie-Hortênsc. nP" J remarquer la désinvolture avec lagarni, rue de la Hache, 15, en montant l'es;s- cîe. Or, il fut impossible de trouver une e tionnaires et antimilitaristes ; il met en pa,a" " quelle la susdite administration traite les Etnt eivil «le I,on«wy calier qui conduit à sa chambre, fut pris ris voilure devant la salle Poirel. Un seul eurallèle les déclarations hervéistes et les Deuxième' quinzaine de septembre d'une crise épileptique, et roula en bas des es cher y stationnait. Interrogé, il répondit fumeurs. Alors que le scaferlati supérieur affirmations patriotiques des socialistes es Naissances. — André-Louis Thomas. marches. qu'il attendait un membre de la commis- qu'on achète à Paris et dans les environs as La distribution des prix de la prospère ire allemands. JosephnlVlarius Mangold. — Heiui-li« ," Dans sa chute, il se fit une forte contuu- sion théâtrale. Il ne fallait pas songer â in- de Paris est excellent ct coupé très fin, le te jsociété de tir de Dombasle — qui a eu lieu eu Le général rappelle en terminant une même tabac ou soi-disant tel vendu à Nan< M Bogaert. — Alice Lerov. — François-m'' sion à la tête. Il a été transporté a l'hôIÔsister. Un cocher ne consentirait pas, mên- dimanche — a, comme les années prôcéx p irase cl Henri Brason, le président de la Ia cy est de beaucoup inférieur au tabac pamothée Martin — Jules-Isidore Ligot. pital. me à prix d'or, à renoncer à l'honneur dee •a- ,dentés, revêtu le caractère d'une fête paa a Lhambre : < République, Démocratie, Pa" nsien. Le prix du paquet est le même par\triotique, toute de concorde et d'union. ' - René-Jules Wagner. — Marcel-Franço a lT( charger un de nos honorables arislarques. tine, no se peuvent pas séparer. » (ApplauISii faisant «lu vélo u nn tout.Pourquoi y a-t-il une différence de trataI - Noo. — Joséphine-Elise Tarhaux. - *" ; A Inidi, le président de la cérérnonif On demande, pour la sortie du théâtre, une m dissements.) . ne tement dans les différentes villes ? Et s sif le i général Faurie, commandant la 22e bri Au cours d'une promenade à bicyclette, te> plîonsine-Francoiso Barlh. station de voitures. ri lorsque le général s'est assis, il est l'on va dans les campagnes, le tabac est , M. Henri Depoil, employé de commerce, rue !S' ** Décès. — Biaise Tabressc, 58 ans. gade d'infanterie à Nancy, et les officiers „® SCAPIN. ri procédé à 1a lecture du palmarès" Le preencore moins bon qu'a Nancy. Pourquoi ?? qui ï de la Faïencerie, 19, a'fait une chute dans 'Ç- Paul-Julien Feltz, 13 ans. — Marie-Wa^ ub <VW"*l'accompagnaient, a été reçu à la gare n. mier appelé est M. Lebée, qui reçoit un di>la Veuillez agréer, etc. laquelle il s'est fracturé la jambe droite. II Il SciiOLA CANTORUM DE NANCY. --La Scbola «- leine-Meyrieux Brevet, 82 ans, veuve de Dombasle, par M. Cordonnier, président n pleine d honneur, justement- mérité, cour a dû être transporté a l'hôpital. Un de vos abonnés. rouvre ses portes le 7 octobre. »r Loute-Joseph Colliex. - Reine Métayer,, de la Société de tir, et les membres de soi oi les servies qu'il a rendus et ne cesse de Voici les grandes lignes du programme ne Accident «le voiture comité. de ans |. — Jean Heinfz, 62 ans. - FT ( rendre à la cause du tir. pour cette année : Seginger, 35 ans, veuf de. Madeleine-A^ On s'est immédiatement rendu à la salle Lundi, vers dix heures du matin, M. EuLes tramways de Nancy Ile Telle fut celte réconfortante fête de Dom■uLa Scbola donnera, cet hiver, 4 grands ds \'- line Stehl. — Marcel-Armand Puah du gymnase, où était servi gène Gombart. âgé de 32 ans, charretier, basle Elle prouve à quels merveilleux ré-J, concerts avec soli, chœurs ct quatuor or Nancy, le 4 octobre 1907 F — Joseph Verlaine, 10 ans. , ,.n?ino, •au service de M. Gérard, entrepreneur de sultats peuvent arriver des hommes de ac oe d'instruments anciens (quinton, viole d'a'aMonsieur le directeur, Mariages. — Henri Leitz, ouvrier qi» transports, rue de la Croix-de-Bourgogne, mour, viole de gambe ct clavecin). cœur et de bonne volonté mus par ce puiss Vous avez donné dans un de vos deri " et Catherine Schuller, sans profession^ conduisait deux tombereaux chargés de terfi Le général Faurie, présidait, ayant à sep 3r_ er sant levier qu'est le sentiment du devoir. ir Nous n'avons pas à revenir sur le succès :ès niers numéros quelques chiffres qui font nt - Joseph-Albert Bieau, employé des P°^L"0=re faubourg des Trois-Maisons. ig— L. P, côtés, MM. Boulvain, directeur des établisremporté par le célèbre quatuor dans les .es voir quelle a été l'importance du trafic des { Rosalie-Matliilde Denis, employée aesj e( A la hauteur du numéro 54, il voulut «e ™ se magnifiques séances qu'il donna, il y a tramways, en particulier pour la ligne \M monts Solvay, docteur Remy, maire de tes. — Louis-Alfred Petitjean, brasscw^ "e Dombasle, les colonels Bajolle, du 37e Cougarer d'autres véhicules venant en sens »s quelques années, à la Salle Poirel, et qui [ui Lobau-Scrgent-Blandan à l'occasion dee e Clara Parisot, sans profession. "n!itavie ,p, SIî»JaîévB!l<inverse. Ayant été atteint par une de ces " |s laissèrent dans l'esprit de tous les audidi- la course du » Tour do Nancy ». ,turier, du 79 , MM. Manager, président de Dionisius, serrurier, et Marguerite-^. ^ voilures, il tomba sur le sol ct la roue du la Fédération des sociétés de tir de l'Esl ït, La maison incendiée sur la côte de Mal^ leurs le souvenir inoubliable de soirées es La progression constante du nombre re »Dubois, sans profession. — Gastoi tfentombereau lui passa sur la cuisse droite qui zéville appartenait à M. Baurieux, l'orad • m charmantes. Celle nouvelle ravira donc, îc, des voyageurs va encore subir du fait de iDessez, inspecteur A'Académie.Cordohriier îr ae " Brassants, bottier, et Marie-Hortense a été contusionnée. Tisserant, inspecteur primaire, Cbamoleur syndicaliste connu. a nous en sommes sûr, les habitués de nos os la mise en service des nouvelles lignes r Il a été conduit à l'hôpital par la voiture rion, sans profession. lec-vn' Tc f' îgne, conseiller d'arrondissement, Maljean. concerts. r une sensible augmentation pour le'plus s d ambulance des pompiers. Publications de mariages. — Cha» -can3 " maire de Ncufchâteau, président de la sor Chaque programme comportera deux ux grand profit de la compagnie des tramdré Hans, emplovê,et Maria Humiiieide tir de celte ville,commandant \nnn c Mr Menus faits parties, — intéressantes, tant au point de ways, mais il est permis de se demander ciété nt î à Rai"?M?v P«ntier, demeurant profession. — Fernand-Charles }ll^ii%enier,inspecfeur départemenlal des sapeurs j_ vue de l'Histoire que do l'Esthétique. A la si l'on va continuer les errements anciens La police de Nancy a arrêté René Gœlls e pompiers. î? artificier au 48 d'artillerie à pied. c\IarA aa.iiK., s est empressé d en recherr-her io „ première partie, consacrée essentiellement nt pour l'embarquement des voyageurs. ^ la ler, 19 ans, terrassier, au Pont-d'Essey, Marie-Josèphe Pieraux. — Alfrea »j u. Henrion, adjoint au maire de Dombasle Piopriefau-e etde la lui restituer voS En temps ordinaire déjà," à certaines A pour ivresse et vol présumé d'épongés, et et à la musique ancienne — instrumentale et es le comimerçant, et Marie-Françoise-^ ^ Martin, chef de service aux usines Solvay. v. lou accepter aucune récompense. vocale -à des œuvres de Lulli, Rameau, u, heures de la journée, on s'entasse liltéraî Marien Roussel, 29 ans, maçon, rue Faa a dig, institutrice à Mont-Saint-Marw " Houot, maire de Varangôville, Klein, viceClérambault, Gluck, Marc-Antoinle Charrlement sur les plate-formes, mais les dibert, 3, pour vol de poules et, lapins au j r , NOM.Voii 3I«i«,"„ u m Otto Krebs, ouvrier d'usine, et LCO^ ^. " président de la société de tir de Nancy, caw La gendarmerie a arrêté ju I pentier, Hœndel on Jean-Sébastien Bach, *!" b, manches et jours de fête, l'entassementl ^ préjudice de M. Marmettier, chemin du Pn ,rÛV<„ m ne-Garolinc Hamm, sans profession. ^. ^ pitaine Pon, officier d'ordonnance du gêné I viendra s'&iouter une seconde partie conn- ! déoasse la limite permise ; et, si la prise \ Placeur, II. se >t, guate-Albcrt Michel, ouvrier d usine, ral Faurie, RollinA Drésident de la société , rr |. ne Ctrethcm, sans profession. (~«i__-' m j 6l)F0i)iqae spoFtiH u! \\La VÉGÊTALINt uaut le beurre % et ne rancit pas j SM. - Jj 1 j j iœicile. J J J j Hj I S8____ï_Cï__S ' «" j ETAT CIVIL DE NANCY IJ J j I J 3 3. 53. S J La distribution des prix J 5 j wit§ 9hi j I I Madame Justine | TRIBUMBLÏÛUE IH I 1 I i 1 1 IciirîJiel-Ioscl' La distribution des prix de iîr | de Dombasle *S Le banquet i ^"\ i saîs f L'EST jREf»UBi.jfCA n* iaaëc:. ■.■rentra:*- ^FOUR LES MAUVAIS TEMPS ■^^^^■màiiMmatÊmixs^nxv^.. 3 »«»w«o«r.iW^'yji|ng5i^ --„> ;, jtfljap-*'2*' '''«WWT.-tCSJaOSr tWaaWBytgtinHWWBIll-wiM On nous ouvre aimablement celle porte I massive toujours fermée maintenant... et c'est un charmant édiculc aux croisées d'ogive qui garde d'adorables vieilleries : j une statue antique de la douce patronne I 8 des artilleurs, Sancla Barbara, des vesti^^48, rue tics Dominicains, 43, IV ANC Y ges intéressants d'un Calvaire... choses 1 sacrées de nos ancêtres, qui venaient là à des festivités locales, des Rapports de lun- I dis de Pâques et de Pentecôte. On ne vient plus en pèlerinage à la cha-1 MCT pelle Sainte-Barbe ; les us et coutumes s'en I sont allés, comme s'en vont toutes les tra-1 et les Déplacements des Organes ditions de chez nous. Des canons, des obu-1 siers, des engins' meurtriers braquent d'éLes Appareils Pneumatiques perfeoAUX PORTES DE NANCY [marines gueules sur tout le pays... et parr I tlonnôs de A. CLAVERIE les mystérieux défilés de ce fort gigantes-. I sont les seuls qui doivent être adoptés que* qui répond, les soirs, aux faux de I pour la guérison et le soulagement Modèles de la DERNIÈRE NOUVEAUTÉ, vendus très bon marché de ces infirmités. Toul, de la Vierge à Epinal et de Mananvib I VOIR LES ÉTALAGES OU TOUT EST AFFICHÉ Chacun connaît aujourd'hui la renommée 1er sur Vczouse, nous montons plus hautf I Atelier de couture pour le Costume et le Vêtement de Dame sur mesure encore, au faite d'un monticule artificiel...' universelle de M. A. CLAVERIE. le grand • spécialiste de Paris, le seul praticien qui, et c'est la Lorraine entière qui nous appa-,- en dehors des vagues promesses des guéraît, des .lointains grisâtres des côtes dee I risseurs, assure d'une façon certaine à tous Meuse à la grande ligne bleue des Vosges, I les malades un soulagement immédiat et ' définitif. ia Lorraine avec ses quatre flèches de pier(c ciennement 16, rue des Carmes) nfiHuI I 11 est superflu d'insister sur les hautes res qui sont : la Cathédrale de Toul et laj, quaUtés de ce professionnel de premier orMadone de Sion, la Cathédrale de Nancy.. I dre dont la personnalité est bien connue ' de nos lecteurs, ni sur les avantages sans ct les tours massives de Saint-Nicolas. précédents de sos merveilleux appareils POUR Dix, vingt, trente villages sont là, seméss brevetés. En grimpant ferme la vieille côte du ici régnent Vulcain et les cvclopes...- ici ce au hasard des plateaux et des plaines, ac-1 Montet, où des eaux sourdent du sol pier- I sont les forges et les hauts-fourneaux qui Le chiffre énorme de 950,000 donné par ET reux et ferrugineux, où des pastourelles ne s'éteignent jamais et dont les blanches crochês au flanc d'une colline, avec de la une statistique déjà ancienne des cures obtenues grâce aux appareils CLAVERIE, Ne confiez vos commandes qu'à un TAILLEUR SPÉCIAL qui n'à aucun rapport terre tout à l'entour de la terre rouge et 1 courent après des gorets qui feurguegnent I fumées embuent le confluent de Moselle et prouve mieux que les plus brillantes prc~ avec les couturiers ni avec les maisons de nouveautés. violette, et des vignes et des bois... tout un de Madon. dans les champs dépouillés, elle nous rei messes l'efficacité souveraine de cette nouM. PETIT eoupe et essaye lui-même ; il se rend à domicile sur demande avec échantillons. Face à nous, des sapins immenses nous pays agricole cent fois vu, cent fois décrit,, I vello méthode à laquelle ne résiste aucun vient comme une obsession, la tant vieille genre de hernies. 11 1 dérobent un coin de Neuves-Maisons ; c'est et toujours plue cher à nos cœurs. chanson de Barbe-Bleue : Aussi est-ce avec plaisir que nos lecteurs La coulée des eaux se fait lente au con1 J l'ancienne Tuilerie, adossée au Haut-deMadame à sa tour monte " et nos lectrices atteints de Hernies, Efforts, dient. Le drapeau de la société offert par oe I Chatel, tout voisin des rochers à pic de St- fluent du Pont Saint-Vincent... mais la cou-- [ Descentes et Déviations utérines, etc..., ap- dernier sera remis à la police. Si haut qu'elle peut monter '!, Mme Richert-Collin, professeur au ConIée du fer cm feu s'active de plus en plue... I prendront la présence dans notre contrée Et ça monte roide et dur en effet, au-des- jI Joseph de Mcissein, qui supportent le faservatoire, 1" prix du Conservatoire de de l'émincnt spécialiste. NOTRE CHAMHON DE « DIABOLO » K LONet là-haut, vigies d'attente et d'espoir, les •sus du Vélodrome moderne*, nouveau stade 1j meux camp d'Affrique, où César aurait M. A. CLAVERIE recevra les malades DRES. — On rapporte qu'au Palais de cris- Paris, informe le public que, pour donner canons se taisent et regardent. et fera l'application de ses merveilleux ap- tal, à Londres, hier, dans l'après-midi, le■ satisfaction aux personnes qui lui en ont des jeunes performances ; au-dessus du j groupé ses cavaliers de Mumidie.' Emile BABEL. pareils en prodiguant les bons conseils de jeune Marcel Meunier, de Mantes, âgé de exprimé le désir, elle organisera à partir du Un chemin de fer poussif, wagonnets de Reclus ou frère Séguin mena la plus élran- I sa hanta expérience, pnofeteibnnelle, de- 12 ans, champion français du Diabolo, a 1" novembre prochain, des cours de solAit fort, de Pont-Sainl-Vincent, I urinerai remorqués par deux locomotives, ge existence; au-dessus du vallon verdoyant J fège et de piano pour commençants. 9 h. à 5 h., à : septembrelJ907. reçu 65 fois la bobine dans une minute. Les cours de musique d'ensemble seront de sainte Valériane du Montet, propice au- J empanache ce vallon agreste de ses boufSt Dlé, mardi 8 octobre, hôtel du ComSon plus haut lancé a envoyé la bobine faits comme par le passé par M. Heck, merce. trefois aux mères angoissées et à leurs pe- fées cotonneuses ; il grimpe, ce train spéjusqu'au plafond de verre ; il l'a ressaisie professeur au Conservatoire. liiiiséville,mercredi 9, hôtel des Vosges. à proximité de la tête d'un spectateur. TouI cial, par une immense courbe, jusqu'à tits nâpions fébricitants. Pour tous renseignements, s'adresser, Itaceai-nt, jeudi 10. hôtel de la Gare. tes les bobines lui sont indifférentes : il a A droite, les fondraisons closes de. Rémi- jI rentrée môme des galeries de mine, où les 43, faubourg Saint-Jean, tous les jours, de Tonl. vendredi 11, hôtel de Metz. une maîtrise de lui-même qui est vraiment 6 heures à 7 heures, à partir du 1" octocourt et de Brabois, de Saint-Fiacre et de I serviteurs des génies souterrains vont le IVAfVCY, samedi 12, dimanche 13 et lun- remarquable. bre, jusqu'au 1" novembre. Moiujoie bruissent légèrement, agitées par jI remplir de la pierre précieuse. di 14 octobre, hôtel du Commerce. L'un de ses tours favoris est de lancer Sur la route, des maisons s'en vont jusI.OIIKW.V, mardi 15, hôtel du Commerce. ■un zéphyr tout mollet ; à gauche, la grand'la bobine sans rotation préalable et de la Etat civil de Commercy. — Du 28 septem- j mercredi 16, hôtel recevoir sur la corde détendue. clitiume" pelée de Vandœuvre est traversée qu'à Neuves-Maisons, le long du rupt de bre au 4 octobre 1907. — Naissances. —- I duConflnns-Jurny, Buffet. Comme variante, il jette la bobine, la par des bandes de gamins allant à, la ma- La Presle, des maisons neuves, bâties à la Emile-Mauricc-Roger Guillaume.. — RenéS I Barrois. I Pagny sur-Moselle, jeudi 17, hôtel reçoit sur une baguette, la fait tourner un de Lorraine. raude c! dépouillant les haies et les bois de diable, avec des matériaux de tout genre, instant, puis la lance très haut, la reçoit Publications de mariage. — Joseph- J fruerit "la Constipation LoiiRiiyo», vendredi 18, buffclhôtel sur une baguette, la fait tourner un insleurs noisettes, de leurs poches, gratte-cul, où les mineurs sont chez eux et cultivent à Alexandre Lenoir, hôtelier, et Sidonie-Loui• de la Gare. Agit doucement, tant, puis la lance très haut, la reçoit dans j l'entour un jardinet de rapport journalier, j se-Célestine Dollet. mûres, et noix fraîches. r<»ut-à Mousson, samedi 19, hôtel de sa position primitive sur la corde. Décès. — Germaine-Alice Pinault. — Maintenant c'est la grand'rue de la bourplaisamment. En avant, c'est la route, la route qui 1I ■ de la Poste. Ou bien encore, pour lancer la bobine, il Charles-Nicolas Rouyer, maître d'hôtel.monte, droite, et blanche, la route des Vos- gade de Neuves-Maisons, avec, au fond, les Itor le Duc, dimanche 20, hôtel de la tient la corde dans ses mains, sans se serAgréable à prendre — Gare. vir de baguette. xw9 ooidojd c-moj x>\ 'nTOTÇtpjriOK ap saë J constructions de la future église du bon cuen dragées, sans Saveur Commercy, lundi 21, hôtel de la GloMarcel Meunier a débuté lundi à l'Holautos, plus propice encore — à cette heure { ré Gabriel, avec, vers la gauche, les éterDu « Narrateur », de Saint-Mihiel : che-d'Or. born-Empirë, et chaque soir, il touche un — sans Odeur. I nelles fumées blanches qui montent vers le " Ces jours deniers, 1' » Eclair » signamatinale — aux touristes et simplets piéSuiiit-Mlhiel, mardi 22, h. du Cygne. gros cachet. I eiel bleu . lait comme dovens des chasseurs français, tons du pays lorrain. ''"' Verdun, mercredi 23, hôtel des Troisw\v Achetez une boîte Ce village des Neuves-Maisons, comme I M. Picard, de la Côtc-d'Or, 81 ans, et M. Maures. On mande de Berlin que la fille du bourgDes tranches de brume s'enlèvent d'au-1I Vilaine, die Monteresson (Loiret), 85 ans. aujourd'hui Steuay, jeudi 21, hôtel du Commerce. mestre de Brand, Bertha Beyer, récemment ardessus du val nancéien... et c'est une vision J ils disent, les bons laboureurs et vignerons Le « Gaulois », de son côté, indique M. I et portez-vous bien. Ceintures perfectionnées pour le traite- rêtée pour escroquerie, vient d'avouer qu'elle grandiose sur la cité, où le soleil se glisse j de là-bals, est vieux comme le monde, an-1 Jean Lagramge, de Vergt (Dordogne) qui, . ment de toutes les Affections abdominales avait assassiné, le 14 mai dernier, son fiancé, Phl* Gablin, 23, rue Ballu, Paris, et pour réveiller les belles de chez nous et pré- jI cien hameau du comté de Chaligny,qui s'est à 89 ans, « chasse encore chaque année sur' chez la Femme. l'ingénieur Tressler. Celui-ci avait, par testa« les rudes coteaux du Périgord, avec uni I toutes les pharmacies, la boite : % francs. I successivement agrandi et qu'on pourrait I ment, laissé 125,000 francs à Bertha, qui le tua ïider h leur toilette. « entrain et un succès que lui envieraient I pour hériter de la somme. « bien des jeunes ncmrods ». Et nous allons, devisant d'histoire et de Ij aisément qualifier de ville aujourd'hui. % '.■■' ■■—.,' Mi » Il convient, jusqu'à nouvel ordre, de détraditions locales, droit devant nous, dans I-. Et les gens, on les appelle Néodomîens, J Caisse d'épargne cerner la première palme au vénérable M. cet entré-deux de la Meurthe et de la Mosel- j savez-vous, et ce mot vous a une saveur Jean Lagrange ; mais, jusqu'à plus ample I de l'arrondissement de Rrioy aura lieu le Mttrdl *5 Octobre, les perle, entre les bois de la Champelle et de la J de tribu celtique ou de pagus gallo-ro- informé, la seconde appartient à l'ermite j Opérations du IS au 30 stpternbre 1907 sonnes qui souscriront avant cetta date, y VERSEMENTS de l'Etanche, M. Gérardin, président de la Grande-Fraise qui s'affaissent par endroits, J main. Art. Lir. nouT. Somme» participeront. Puisque Néodomiens ils sont et veulent Société pour la répression du braconnage I au-dessus deis galeries de nos mnie sde fer. I Bri«7(«tfss« centrait) 69 16 2S.7S6 > dans l'arrondissement de Commercy, qui Succursale* : Un élévateur d'eau tourne au gré du être, allons vers ces bonnes gens, simples a 84 ans bien sonnés e't comnte à son actif LongwT K 11 14.840 » vent sur ce plateau assez dénudé le long I et droits. Il y a là des caves millénaires 70 campagnes cynégétiques." (suite) 3or«r 1T » 3.696 » J'ai dit 84 ans ; j'aurais mieux fait de dire de la route... et le grincement de la roue J aux vins finis du crû « qui portent sur leurs ISniidnge Idénl, à pelote plastique et S » 1.070 » •Nous avons annoncé la double arresta- Vlllen-la-Montagne. 84 printemps, car les saisons néfastes, l'auHussignjr-Godbrang» 5 1 710 > Inclinaison variable, le seul scientifique et . tion, à Ctermont-Ferrand, de Mme Thomas iMtlraK'O est le- seul bruit qui frappe nos J flancs leurs titres de noblesse », et rien n'étomne et l'hiver de la vie sont sans influcn- ■ Longuyon 15 3 8:238 » sérieux, garantissant la contention de la gale l'intérêt qui s'attache aux vieilles de- ce sur la robuste constitution de notre ■et de son fils Antoine, pour vol d'une chape Gharencr-Veiin. . . . oreilles (k-passants. ..• "1 » '1.395 » hernie-. N!a rien de commun avec les appahistorique de grande valeur, appartenant : Pterrepo'nt. S » 210 » Mais, à des places, nous écoutons, cloues j meures anccstrales des Denis, des Iluissoh, doyen 'meusien, dont les chevauchées, et; à l'église de Blansac (Haute-Vienne); reils vendus par les guérisseurs de hernies. 16 3 4.372 » au sol, les mystérieux ébranlements d'en j des généraux Thiry, des Caillon et des Fé- •par monts et par vaux, demeureront légen- 1 On vient de découvrir que la châsse des Ylllerupt C'est le foiuidnge du rêve • 2 2.435 » daires. Un obstacle se présente-t-il sur son 1ircliquois de saint. Etienne dé Muret, précieu- Audun-le-Roman ... dessous. La terre gémit et soupire, comme I ■licien Thiéry» Ghamblev 4 » 876 » parcours ? Notre « centaure » le franchit sement conservée dans.l'église de cette lo17 3 5.780 > une femme en travail... il y a dee génies I Ces maisons lorraines de vignerons et de J allègrement, avec une ardeur toute juvé- ■calité, avait reçu la visite des complices de Uonflane! Jceuf 34 » 6.-365 » souterrains qui démolissent les assises IJ Mers rabourous sont tout un poème, avec nile. Je crois même me souvenir qu'un soir, la famille Thomas. Norroy-le-SCe 8 3 3 475 » 8 3 5.174 » géologiques, arrachent les blocs de mine- j ■leur cuisine vaste comme une église, leur surprenant un affûteur, il piqua droit sur Cette châsse, toute en métal précieux et XiTry-le-Franc le mécréant, qui ne put se soustraire à la Tucquefnieux 3 » 19Ï » 1 rai et creusent — termites géants — des I cheminée où le manteau de pierre païle la- chasse endiablée de l'adversaire qu'on dis- jen vieux émaux du douzième siècle — elle Landres 4 1 1.220 » pèse 60 kilogrammes environ et est estimée galeries sans fin à des profondeurs va- j tin ou français, leur belle chambre de de- paraissant au plus vite dans les fourrés du une centaine de mille francs — avait été Ch. 'HUILLIER, bandafjîsîe-ïiernlaîre-spêcïalîsU Totaux... 309 46 76 835 » riées. I vant où des meubles anciens redisent la vie I bois. ,«ue de M. Gérardin »une première fois débarrassée des bijoux REMBOURSEMENTS (Brevelô S. G. D. G.) La passion cynSgéfcF dont elle était sertie. Aussi, depuis, ne l'explusieurs générations. Ce sont les mineurs du Val de Fer, ce I de i Rue Saint-Dizier, 14i, NANCY. Art. LIT. soldés Sommes n'a d'égale que" sa haine pour le bracon- ]pôsait-on à la vénération des fidèles qu'à sont les .mines de fer qui pénètrent au Briey (caisse centrale) 51 7 24.054 » Ce qui m'étonne et m'attire dans ces mai- I nier : elle s'affirmera encore en 1908, pour ] Appnrcile* orthopédiques perfecl'occasion de certaines'solennités ; elle resSuccursales : tionnés extra-iégei'S, membres articœur des coteaux et des monts... et, de tout I ;sons de nos villages lorrains, c'est le lit, I une période de neuf ans, lors de la location tait enfermée dans un solide coffre dont Longwy 36 t 21.827 01 ficiels Téléphone ?f»0. j partout, en cette région où nous sommes, J l'immense 1 lit conjugal qui n'en finit pas, en des chasses, si, comme j'en ai le grand es- l'abbé Paillet, vicaire, gardait soigneuse- âorey 6 3 3.394 03 poir, Saint-Hubert couvre toujours dé sa h ment la clef. Villers-la-Montagn». » » » » c'est le même labeur incessant... 'et je pen- j ilongueu, en largeur surtout, avec des pailvisible protection son fervent et remarqua1 1 1.531 99 C'est à ce prêtre que s'adressait ces jours Hmsigny-Godbrang» se à cette parole de l'Ecriture : Toute mon- :lasses, des matelas, des plumons, des ble disciple. » U 1 2.529 86 derniers un opérateur photographe, dési- Longuyon tagine sera abaissée et toute vallée sera J oreillers < 1 1 S51 89 et des couvertures piquées..., I Etat civil de Saint-Mihiel. — Naissance, jreux de reproduire la châsse. iJrêtre et pho- Charenoy-Veiin .... > * » t remplie. tographe se rendirent à la chapelle. Le cof- Pierrtpont j et je songe à ces choses d'autre- I — Marie-Claire Brissé. Ylllerupt 10 4 5.763 14 Publication de mariage. — Auguste-Pol- fre était vide ! La châsse avait dispara ! A.udun-îe-Roman DE HOLLANDE § Narquois, les deux cônes de scories de jj ;fois, à cas pères-grands qui ont en- I ... 9 » 4.254 » Gabriel Bernard, horloger, ct Augustine- On . apprit bientôt nue le matin du 12 sep- OhambleT La collection suivants de H 3 1 2.783 38 Jarville, par derrière, semblent nous d'ire; I gendré j là, à ces bonnes mérettes en bonnet I Juliette Simon, sans profession. rugs -k BOB beaux Oignant pour II H tembre, quelques instants avant l'arrivée Gonflans 17 8 4.558 72 ggEgîâj^ Jnrdin franco àdomioilapour M « Les vieux du temps passé n'avaient-ils Jj ide lingerie qui ont fait l'œuvre d'amour, en J Décès. — Alfred Poirson, 49 ans, coupeur du photographe, une automobile avait ame- Jœuf 14 3 8.267 71 1 » 200 » . quatre personnes, trois hommes et une Norroy-le-See point raison ?» 1 IJ tout bien, tout honneur, et qui, figées pour J tailleur. — Hubert-Léon Simon, 26 ans, né lunetier. 6 3 4.886 72 femme,tous quatre frè» élégants,qui araient Xivry-le-Franc J jamais, furent parées sur ce lit, pour l'ôter- J 1 » 200 t le sanctuaire et avaient paru prodi- Tucquegnieux Etat civil de Verdun. — Du 28 septembre visité Landres »" » » t j nel sommeil de l'ailrée* (gieusement s'intéresser à l'architecture du ^^^^^^^^ léem: 30Narcissos; BOScilla B au 4 octobre 1907. — Naissances. — André ]monument. Soudain, a un tournant de la route, c'est Henri Tartivclle. — Georges-Michel-AlbcrtTotaux ... 167 33 85.102 47 Joscph Swyngcdauw. — Marcelle et Mar- < Or, le signalement des quatre voyageurs 2 achats de rente, pour 2.550 fr. 41. «a merveilleux .changement à vue : il y a ^^OnjpWf Ixia; SK> Jacinthes à grappes: exactement à des personnes S^îgSjWyi 20Renoncnles;30 Anémones; ■ guérite Saunier. — Mathilde Lehmann. — correspondait i sous nos pieds, un cirque de verdure honorablement connues de Clermont-FermWfiSiSÊfX Jacinthes à plumes; 10 B j En avant, maintenant,.., la montée sera j Berthe-Marie-Suzanne Sperate. I j rand. Deux d'entre elles, les frères Jean et des vergers s'étendent à perte de vue ; des , j I rude jusqu'au isommet du fort de Pont- I Publications de mariages. — Ernest François &. 81sSï3Ir"Vï\Jl' panica; 30 Ailiura. Ensemble Thomas, sont de notables comprairies mont ont aux flancs des collines, et, j < Samson, et Berthe Lofrançois, servante.— ; Peut-on, pendant vingt ans ou plus, avoir I Saint-Vincent, jusqu'à la pointe ultime du I Joscph-Emdle-Marcel * "onrs dans toutes couleurs Orné, employé de che- »mlctrçants, fabrichnts dé futailles, établis la persévérance de placer à intérêts compo- IjfflL sfpKT'rA^Wu suivant le fil des eaux claires, des maisons ] , de longues années dans la ville, bou^^^^o^iwiiw lrancoAdomiciîoponrFrsl4. j « cavalier » de oe fort Pélissier, qui, de ses I mins de fer, et Juliette Lallemand, lingère. depuis ] |\B ^HË^O^IwllmjSlil^L^ LamoUitSciecosquantités sés et de faire boule de neige avec ses écose sont bâties, en un fouillis pittoresque, au j , levard Pasteur. I 400 mètres, regarde à des lieues, par tout le — Henri-Gcorgcs-Marie-Charles Balazuc, I L'alné, âgé de trente-quatre ans, mem- nomies ? ^^O^ffll^^^^^^l^r^ ""p ^ Oignons) pour Vvs S, weux iraême du val de fer, entre les puits comptable, et Julia Delafond. — Lucien- ] I pays lorrain. L'assurance dotale à l'UNION-VIE, en^^Hwj^^^^B^ 'Collection Se ZOO Oignon» René Humblet, plombier, et Jeanne-José- ,bre de plusieurs sociétés de Clcrmont-Fer- treprise privée assujettie au contrôle de <te mine, le? noyers énormes, les miro.belIHKIÉA^IL k fleura pour la chambra, I A travers les noyers qu'on gaule ferme J phine Aubertin, couturière.— Joseph Chris- ,rand, est en outre président d'une asso- l'Etat, fondée en 1829, nous offre ce moyen «B^ïisÎMtôsa franco h domicila, Frs 12 «ers chargés à glane et les quoichetiers aux . ciation des plus réputées de la région, ] N6Tv 1?^ À (pour la culture forcée on 'ruits si juteux. ■ II en ce matin, à travers les mirabelles et les ton, garçon boucher, et Marguerite-Angèle l'Athletic-Club. On le voyait à toutes les rare, garantit notre avenir et celui de nos ] wlSH!'8T pot3,Ya30S,otc.):20Jacinthos ( j enfants. I quoiches, à travers des ronciers et des buis- I Guillaume. — Clovis-Jujes Petit, cafetier, réunions ei BBBJBf simples et douhlos; 10 Jacinsportives. ? ?! ChfVigny de Lorraine, grosse agglo-J , et Augustine Valéry, modiste. — François I «ajï |jf| tues romaines blanches préA l'âge de 26 ans, versons 300 fr. par an, n j sons qui s'agrippent à des pierres, nous I Mafirice, magasinier, et Marie Pérignon, I j Le troisième, An tanin Faure, est de leurs j II cocos ; 30 Tulipes on 10 va^ration industrielle,bourgade de mineurs, \ ^Bl|f riétés; 20 Narcisses & tromI grimpons par le sentier des Rogations pour | lingère. — Marie-Antoine-Gaston Delauzon, I ]amis très intimes, appartenant à une des à 51 ans, nous toucherons 10,000 francs. Si calme en ce imatinet de septembre, ' nous mourons demain, nous ne laissons aumeilleures familles de Clermont. Mjr! pettes; 10 Narcisso» a boncapitaine au 148", et Marie-Caroline Petot. I I redescendre par l'escalier à pic. : M. Artigues, commissaire de police, et M. cune charge et notre enfant trouve dans 25 |J«C ses maisons blanches, sa coquette —'Henri Mila, sergent au. 162", et Elise-Elo' ^■gS^MuES»^. rantos; 20 Pcrce-Neigo ElEt, de nouveau, nous éprouvons la sen- j ans 10,000 francs. Bemboursement immé(SjB^^aK?l7Sr5^ wosi; 10 Scilia Sibérica; 10 ^ise gentiment décorée, et ses fontaines die Varnerot, employée de commerce. — <Vigicr, juge d'instruction, se rendirent à ^SSn ™^-—-^lJ AUium blancs; 10 l'rittildes montées, le désir de voir, le be- Ernest André, blanchisseur à Saint-Lau- idomicile. Au moment où les magistrats pé- diat tle toutes les primes en cas de décès de w laissent fluer les eaux limpides... les J isation , dans la maison des frères Tho- l'enfant. I soin de 'se retourner..., et nous comprenons I rent, et Alphonsine Gonat. — Hcnry-Ferdi- nétraient j ! ^B8pi£^_L^-^n neau; 10 Freesia; 10 ChioX < ue N& nenseignemente sratuits et confidentiels mas, ils virent Mme Thomas saisir sur une -™, ^ ncy a vainement cherchées I i tBSB?*''" " nodoxa ; 20 Crocus ; 10 AcoI bien la démangeaison de cette enragée de nand Maurice, sergent au 3" génie, et Vie- (étagère une enveloppe, qu'elle s'empressa chez : Al. FAIVRE D'ARGIER et fils, 7, rue nites d'hiver. «s habitants, — Louis-Théophi- , de dissimuler dans son corsage. Sommée de la Ravinelle (près la gare), Nancy. I femme de Loth qui s'en allait par les mon- torine-Cn.arl.otte Hautcm. La moitié de cee çraantités (100 Oignons) pour Frs 7, €irqU c,iavi n Gervois, maréchal des , franco & domicile. Payable par mandat international «ans ° * 'S y est d'un charme I tagnes de Judée, avec un incomparable 1 le-Joseph-François ue remettre ce qu'elle venait ainsi de calogis au 40e d'artillerie, et Marie-Augustine I < on contre remboursement. Tons les oignons sont dans cher, elle s'y refusa d'abord. On dut l'y les plus belles conteurs, bien étiquetés etnone donnons Charlet. — Alexandre-Henry Delamarre, < I spectacle derrière elle. °° °- .< contraindre. 0 r garantie pour votre parfaite satisfaction. Catalogne de nn Lorraine, que des amoureux menuisier rampiste et Louise-Pauline Pros-1 illustré gratis et franco. — Etablissement horticole Ma foi, tant pis... statues de sel, si l'on L'enveloppe contenait une photographie Médeciii-tlcntiate tôt. ( nt qUaIiflé de petite Suisse JOS TELKAMP, Hillegom-Haarlem (Hollande) de la châsse dérobée. La perquisition conti- 26, rue St Georges, Nancy (Maison Robardelle moseii^é , ° " ' I veut... mais, à mi-mont, nous tournons | VanJé en 1869, fournisseur do la.Coiiret des rriacipam JirdiM Décès. — Auguste Boulandet, SI ans, nua. i Dans une armoire,' on découvrit toute la tête... Merveille 1 Pont-Saint-Vincent ancien principal clerc d'avoué. — Auguste- I une i r Cî SOnt ,chcveI série de photographies d'objets pieux : iorôtij ° f ues et garnies de ' < est à nos pieds, avec ses maisons entas- Jean-Marie Pelier, 23 ans 1/2, soldat au lSo" châsses, ciboires, tapisseries, vases sacrés, raisselets m urmur d'infanterie.: , ' ent au flanc ' dérobés ces dernières années dans de nomI sées, ses vergers, la flèche de sa curieuse UIe:? enlre d; Bureaux : Société d'Alimentation, rne Lamotte, téléphone 784 1 .breuses églises de France. naitig. es rangées de saules ' Il est procédé à la (légUBtnttoti, tous les J église ogivale, avec les rubans d'argent I<?S vor CT8 Ailleurs, dans un coffre, étaient de nom- jours, de 2 heures 1[2 à 4 heures. Vin» de pays «toèar*ri S . les femmes des ' m de la Moselle, du canal et du Madon, avec breux ouvrages détaillant les richesses des délicieux. On reçoit également les commandes COFFRES-FORTS ûres M Î mirabelles, déjà trop . A chez M. 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Déjà les bonnes vedettes ct banquets tretenus, des armes, des poignards, et en- tèle que son cabinet de consultations (andu fort, sentinelles avancées, nous ont déIa reS et aux frères de fin, dans une pièce du premier étage, une SAI.OXS DE 800 COUVERTS ciennement 30, rue du Ponl-Mouj») vient WmTf ^ "line hdc de I couverts, fourmis humaines au flanc du Ah j la journée. véritable pharmacie de produits toxiques, d'être transféré 10, rue des Dominicains, L'hôtel, disposant d'un matériel spécial, st Cours des fécules , en même temps que des instruments de gy- au I". n gens du I coteau fortifié... et, comme nous sommes charge des noces et grands dîners Epinal, samedi 5 octobre 1907. — Fécule nécologie, : ^'h^^ ?., Chavigny d'audont la destination no pouvait à l'extérieur INSTALLATION MflDERVB Vait 9 seuIem attendus, il n'y a rien à craindre en circu1" des Vosges : Disponible et livrable, 33 fr. , l'micrT ent où se troulaisser aucun doute. 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LAXENA1RE-LALLOUETTE e«t pïu» beau et moins cher que partout ailleurs. 1 PPTTT sur signature depuis 2 lr2 0j0. AJCvûl Remboursement à volonté, .o\ SABCY, 111, r. Turenne, Paris. (53) i rue confie TOUS ET PAIVTOUT, je oi. A adresses sur bandes à faire chez soi. ue Bien payé. Ecrire La Lulèce, 58, rue Custine, Paris. (53)! VEST REPUBLICAIN N" 46. SAINTJ0UEN ww Qjt BPCHISIE BU RÉGIPIEHT — Oui ; je l'ai rassurée en lui disant que tout se passerait aussi simplement que possible. Et madame votre mère ?... Avez-vous sa réponse ? — Je l'ai reçue tout à l'heure en sortant de l'hôtel. Voici sa lettre 1 « Tu me demandes, mon grand, de lui garder la meilleure place dans mon cœur !... Tu sais bien pourtant que tu l'a déjà prise depuis longtemps !... Il faudra te serrer un peu, voila tout, et vous mettre deux là où tu étais seul !... Mais avec quelle passion tu en parles !... Saistu bien que je me sens devenir jaïouse ? Je crois vraiment que je suis déjà belleRtère Bref, ne tarde pas trop à venir me chercher, j'ai hâte d'aller voir moimême dire à celle que tu as choisie que je suis prête à l'aimer comme ma fille ! » — Quand parlirez-vous 2 BELLE PROPRIÉTÉ i i VEStEES ^*-n mmir Sphèriciues, Cylindriques, Toriques, Prismatiques ct double foyer —Demain ! J'ai hâte de vous faire connaître ma mère !... Je suis certain que vous l'aimerez de suite ! C'est vous dire que je ne m'attarderai pas en Touraine et que je serai vite de retour. — Oui, revenez vite !... Vous le disiez tout à l'heure, ami, c'est un mot charmant que celui de « fiancés », mais c'est aussi une heure délicieuse que celle des fiançailles !... C'est une sorte de retraite que l'on se donne pour ne plus penser qu'à l'autre, se pénétrer de lui, de lui seul et oublier tout ce qui n'est pas lui !.. Je ne sais ce que l'avenir nous garde en réserve, mais je sais que je suis en ce moment parfaitement heureuse et je voudrais savourer mon bonheur sans en rien perdre. Revenez donc vite !... Ne trouvez-vous pas que nous sommes ici bien à nous, bien seuls et ne vous semble-t-il pas parfois que le reste du monde n'existe plus ? Un serrement de la main qu'elle avait abandonnée à du Breuil fut la seule réponse qu'elle reçut. Certes nos amoureux ne pouvaient souhaiter un coin plus discret pour isoler leur bonheur ; un petit nid. de verdure, au bout d'une allée de tilleuls, les gardait des heures entières à faire mille projets. Là,au fond du grand parc de ce vieil hôtel que Mlle de Mortreux possédait rue des Wetz, aucun bruit ne venait jusqu'à eux. Cette sorte de demeure claustrale, habitée seulement par « tante Amélie » et ses deux servantes, avait été une précieuse retraite pour Mme de Beauvilliers Sise à MALZÉVILLE, rue d'Amance, n01 3 et 5 Maison de maître, bâtiments divers, cour, jardin potager et fruitier, jardin anglais, pelouse, bosquets, grands arbres. Superficie : 9,000 mètres environ. S'adresser à M' LAISS Y. f LOTERIE 1 Tuierculeax O V/l 111C33UII puttur de Lille. § i500.000' i 250.000' -100.000' 20.000f ; 2 5.000( ; 1020 100 à 1 .OOOr. de firttd 1 Tira»» de Dépôt exclusil : de fr. Mai. ît'JK-:»uit*\\.itM.,\àr.,liK, n iimi r II yntnn innOBillet: UN nnl. tïrudi. 10r JARliTlfl 13U0P. 1i i _.ni etdaSWUOE. 60, r. de. TournellM.Pir'n. après la catastrophe qui avait bouleversé sa vie ; petit à petit, dans ce silence de toutes choses, dans cette atmosphère de calme, la jeune femme s'était ressaisie ; tout en elle avait repris un cours normal et l'équilibre s'était fait dans son moral si bouleversé : la tristesse était tombée, s'était tassée en quelque sorte, augmentant le fonds de mélancolie qui faisait son charme et l'espoir était revenu à la surface, timide d'abord, puis plus affirmé, triomphant, radieux ! Ainsi dans le flacon que le savant vient d'agiter, dans l'océan que la tempête a bouleversé, tout est mélange et confusion pendant longtemps, puis, le calme revenu, le liquide se carifie laissant déposer ce qui le troublait et tout reprend l'ordre normal fixé dans la nature !... N'est-il pas normal aussi que l'espoir, cette vapeur si ténue qui flotte devant nous comme un mirage pour nous forcer à aller plus loin, à vivre un peu plus, n'est-il pas normal que l'espoir, cette mousse de bonheur si légère, surnage en nous toujours et domine enfin de tout ? — Ne trouvez-vous pas, amie, que les couchers de soleil sont différents chaque jour et se ressentent de la journée qu'ils finissent ?... Tenez, là-bas, à l'horizon, voyez, tout est d'émeraude ! Nous serons heureux !... Je me souviens d'un soir comme celui-ci, là-bas, près de Piguig I... La journée qui finissait emportait avec elle l'âme de mon pauvre petit ordonnance qui venait d'être tué d'une balle. Quelle débauche de couleurs !... | I ! PHARMACIE PRINCIPALE i 20, rue Saint-Dizier, NANCY Les ors et les verts mettaient aux funérailles de ce pauvre petit soldat une magnificence qui leur enlevait tout ce que la mort a de pénible pour exalter la gloire de cette fin d'un brave. — Et c'est alors que vous avez pris comme ordonnance cet anarchiste ?... J'en tremble encore !... — Lui 1 ..Il a été pour moi d'un 'dévouement !... Je connais beaucoup de gens considérés qui n'ont ni ld droiture, ni la loyauté de cet anarchiste... et sans doute, celui-là ressemble à beaucoup d'autres !... — Mais vous versez dans le socialisme, mon beau capitaine !... — Si c'est être socialiste que Vouloir plus de justice, plus d'égalité et plus de générosité pour les pauvres diables, je le suis certes !... Nous le sommes tous dans l'armée !.., seulement, à l'inverse de ceux qui font profession de l'être, nous en avons l'esprit sans en accepter l'étiquette ! Que d'officiers sont socialistes... sans le savoir. — Vous m'expliquerez tout cela 1 — Oui, Jeanne, je vous expliquerai tout cela !... Songez que nous n'aurons plus comme autrefois une heure de temps à autre pour causer de toutes ces choses... Nous serons l'un à l'autre toujours !... Nos lectures, nos éludes se feront en commun !... Je vous parlerai de toutes ces questions d'un intérêt si puissant et... vous... vous serez le charme, vous serez l'harmonie !... Vous !... Vous chanterez tout ce que nous aimons !... Ils rentrèrent, car la nuit venait. Dans, "TEINTURE - NETTOYAGE • DETACHAGE Edmond ÎIULISÉ, «Oj rue «ïu Pont-Mouja» XASM LJ VMAISON RAPIDE — TRA VA IL SOIGNÉ — PRIX MODÉRÉ la grande pièce qui lui servait de lingerie ils trouvèrent » Tante Amélie », qui les gronda un peu d'être restés si longtemps « au berceau » malgré la fraîcheur de la soirée. La vieille demoiselle avait d'abord eu un peu de défiance à l'égard de du Breuil. Sa pruderie provinciale aussi s'était offusquée d'un mariage à une date aussi rapprochée des délais légaux !... Mais petit à petit, l'officier l'avait gagnée à sa cause ; l'homme lui plaisait : il était vivement épris 1 Le goût très prononcé que la vieille fille avait pour les « choses du sentiment », sa sensibilité un peu romanesque qu'elle n'avait jamais pu satisfaire pour son propre compte se plaisaient aussi dans cette « histoire d'amour ». —■ Ils sont si gentils, pensait-elle, et ce « vaillant capitaine » a si bien l'air d'un chevalier du bon temps 1 Dans son imagination, en effet, du Breuil apparaissait vêtu comme un paladin dont la « dame » n'était autre que sa nièce, sa petite Jeanne... Elle était maintenant la plus affairée par les préparatifs.Elle avait été si contraire au premier mariage !... M. de Beauvilliers était si peu chevaleresque !... Celte union nouvelle, au contraire, lui offrait une compensation délicieuse ! Et puis elle avait été si effrayée de voir l'état moral dans lequel était sa nièce à son arrivée de Nancy, que l'officier lui apparut comme un sauveur. Quelle catastrophe ! Four elle, c'était une punition du ciel parce qu'on « avait marié cette enfant contre son sentiment *. Du Breuil annonça son départ, prom» d'être promptement de retour, dut ae cepter pour sa mère l'hospitalité dans i « chambre bleue » et prit congé,. n°« sans avoir respectueusement baise main de Mlle de Mortreux pour lia»1 sa manie et achever de la conquérir. Une heure après, attablé au restaura» Boussard, l'officier dînait dans un coin, à part, car il devait le soir même pi"'_ dre le train pour Paris. Tout en majl géant, il jetait distraitement les yeux su, un journal ouvert devant lui. MaiS „„. esprit était ailleurs ; il retrouvait le venir des quelques jours qu'il venaii passer à Douai et il se laissait aller a ver de leur avenir. Que de changeme s'étaient faits dans son existence aey" quelques mois !... Quand il se reP°!l „. en arrière, au commencement de s0\ r-lS. man, il retrouvait cet amour un Peu i0'n te qui avait été le sien, ceUe^ Pabsv.a;{ sans espoir dont l'amertume même été pour lui pleine de charme. H çov v^ rait cette mélancolie dans laquelle complaisait alors à l'amour .raj dor(. plein d'espoir d'aujourd'hui quilu' :0j6 nait envie par moments de crier su i comme un oiseau chante de voir leil. Il était émerveillé !... Qu01,r'Vivre femme qu'il avait hésité d'abord a de loin, celte femme dont i}- avau ^ comme un poète rêve d'une étoue- |le femme allait être à lui !... .La,i7j.revée qui barrait son horizon avaiV ,,na teréventrée par l'explosion de celte n fA sti'^' '• j
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