1 - Kiosque Lorrain

gardi 8 Octobre 1907. — (Bttfln uun >
- ■—=-s--— ===J!g!y
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S Ctnfaiws -
B8
"^RÉDACTION et ADMINISTRATION, 51
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|:p Dermèr@ Meure §| |
:
i4
Taris, 8 octobre, i h. 50 malin.
Le ministre de la guerre communique l'a
note suivante :
« Certains journaux ont annoncé la mise
en disponibililô du général Allmavor, commandant du 12» corps d'armée, à'Limoges.
« Celte information est inexacte. L'apti,tude physique et l'activité intellectuelle de
;cet officier général sont pleinement à la
hauteur
des exigences du gouvernement
;
qu il exerce. » — Ilavas.
La position ries nauires
i; amiral Philibert télégraphie de GasaHaoca au ministère de la marine les. reaijencnicnts suivants suc la situatioa.de
bâtiments :
KS
Le H Dcsaix » et le « Du Chayla » sont à
iianger ; la « Gloire », le « Guesdon.n: est le
,t jeanne-d'Arc » à Rabat ;
1' « Aîairal■guuÈ », le « Mvtho » «t le « Winhlong » à
Casablanca ; le* « Coodé » est à Mazagan,
ie iî Eorbin » à Mogador.
Le « Galilée » a quitté Casablanca, pour
gjler relever le « Forbin ».
La situation politique me présente rien de
particulier.
Le ministre de. France est arrive à Rajiat- La barre est franchissable.
Le
LE TORPILLEUR 234
« Shamrock »
à
fission
DE
n. mnmn
\
FILLETTE ÉBOUILLANTÉE PftRUHE INFIRMIERE
M. Chêncbenoitjuge d'instruction au parquet de la Seine, a inculpé d'bnmicide par
l'hôpital
.imprii'dleintte une infirmière Je
Trousseau, à Paris, qui, voulant donner
un
J bain à une malade, une fillette de huit
ans,
la petits Debry, la mit dans une bai,
<gnoire remplie d'eau bouillante.
K. enfant est morte des suites de ses brûlures. — Havas.;
«elon des renseignements dignes de foi,
» "mission de M. Regnault à Rabat sera
iroffrir au sultan Abd-El-Aaiz le preteetorit de la France, mais le ministre d'Espagne n'appuiera pas «on collègue dans., ces
oégociah'ons.
Z* Daprès 'IIPS télégrammes parvenue
dans la journée de lundi à Paris, la barre
<mj se trouve devant Rabat serait maiatejîant franchissable. Il parait, par suite, proBable que M. Regnault, ministre de France
à Tanger, oui se rend, comme on sait,
après du sultan Abd-El-Aziz, a pu. d-èbar-
LES CAMBRIOLEURS
Les intérêts espagnols sur la côte du fttf.
Madrid. — Le gouvernement a décidé -ue
li'flônéral Marina, gouverneur de Mehlla,
irait à Tanger pour y conférer avec M. ûawria, représentant de l'Espagne, et que,
'accord avec lui,il exposerait aux-délégués
iu sultan et au ministre de la guerre shéfifien la situation dans le Riff (cote raorolaine sur la Méditerranée, le long de laquelle l'Espagne a plusieurs possessions,
telles que Mclilla),
Le général Marina est arrivé hier à Tanger. Il a été présenté aujourd'hui par M.
iteveria.à EI-Torrès (ministre des affaires
étrangères dn Maroc) et à El-Guebhasv- (mimètre de la guerre du sultan).
An cas où les questions qu'il est chaygô
g( traiter ne recevraient pas leur solution
à Tanger, il serait nécessaire de lés souirw directement devant le sultan, à Rn-
ÇCONSEILLERS
MUNICIPAUX
l
Londres. - Le correspondant ^ Dawjrctcftrapfi télégraphie de Casablanca, le G
.
,.
-Mmm
.
„ Le croiseur espagnol Mana
est
revenu de Tanger ayant à bord M. Estramaduras, attaché à la légation d Espagne
à TangerM. Estramadnras se rend à Rabat, pour
y préparer la visite du ministre d'Espagne
au sultan.
ET FRÂMPÎS
Les prétentions du commandant Sania Malla
i
1
,
1
"
Le Journal publie la dépêche suivante
& Casablanca,
que
nous
reproduisons
sous toutes réserves :
« Les Espagnols
font toujours
parler
feux, mais pas à leur avantage.
« Il n'est pas de jour qu'ils ne suscitent
tes plaintes de la part d'E-uropé«ps moles<fe. et nous croyens savoir qu'il existe- entre nos autorités et le commandant SantaOlalla, un conflit aigu qui ne pourra prendre fin que par le rappel de ce dernier.
« Le commandant Santa-Olalla a ét&rjus?»'à émettre la prétention de ne permetH en qualité de chef de la police extra«jttros, à aucun Européen de sortir de la
v
ille sans une autorisation signée de lui.
« H en avisa le général Drude en termes
corrects, mais manquant de courtoisie; Il
ie fut. d'ailleurs, tenu aucun compte de
3
& protestation,
mais il arrive fréquem»ent que des Européens qui s'aventurent
w delà de la porte de Marakesch donnant
accès au secteur dans lequel se trouve le
camp espagnol, sont arrêtés par les seniinellfR espagnoles et obligés de rentrer
«n ville. »
Rappel possible des troupes espagnoles
;
_
.
^
.Madrid, 7 octobre. — La Correspondance
fUltoxre, dit, à propos des derniers ineiv-nts.qu'on admettrait maintenant en haut
la possibilité de la rentrée des troupes
ajagncies de Casablanca et de leur: redans la péninsule.^— Havs.
m.
J
HOS
MINISTRES
M:
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la sucrrc ct d6 ut6 de la circons
Option
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Clemenceau, président du conseil et,
"! »stre de l'intérieur,a longuement conféré
uier après-midi, avec M. Jonnart, gouveraeur général de l'Algérie,
Un banquet a été offert hier à
Cr~
yseulles, à M. Chéron,
sous-secrétaire
lr
t
P
-
au refus du lieutenant
et 1°
Biville (son adversaire politique
urrent
nori
aux dernières élections) de
{je £le clruPeau du régiment a une revue
jQ^pcorations,
M. Chéron a dit dans son
te-ab
sommes des républicains démof>i;,-5s' mais nous sommes aussi des répuPatriotes.
eu
• h ï-là ne sont pas des nôtres qui trouÇen
îein » ,Prêtexte pour ne pas saluer le dratri
,, , «olore. (Acclamations.)
Srmée
n est;
as faite
ur
triais
P
P°
discuter,
Pline
obéir. Sans ordre, sans disciét
a
res
ablio! "f
Pect des autorités légalement
et 3 11 n'y a place que pour l'anarchie,
saur
Cal 0 ons 7l'empêcher d'être. »
Rea' ,^/ ""^
octobre. — M. DujardinS011s-V3ecrétaire
Beayv A
d'Etat
aux
i°urdw / Gt déPuté de l'Aude, passait auqu'ii !nil ans uno rue de Carcassonne,lorsreconn
crits.
u par un groupe de consde .fl'S's^e fut acclam'ê par eux aux cris
:
Ve
La
Boaumetz ! Vive l'armée ! »
<J,!
§c
=
S^ÊorsT
PARISIENS A LONDRES
I
NAXCZ , hindi 7 octobre W07.
Nous avons déjà parlé: sommai l'omonl
<do ce congrès, qui va s© réunir à Stolf
Sébaslien-Nancy, dons un dos locaux do
la brasserie Micliaul. Voici, à litre doo
i
monlaire, l'ordre du jour complet du
<congrès :
!
- « Jeudi .10 octobre,a dix heures du m
séance préparatoire du congrès.
I. — Tirage au sort des trente-trois m.
1
bres do la commission de vérification d&9
Ipouvoirs.
électeurs con-
député radical frotté de socialisme, mais
qui avait protesté et voté contre les 15,000
francs, s'y présentait.
Il a été élu à l'énorme majorité de 579
voix
sur
641
votants, aucun
s'étant porté contre
lui, afin
candidat ne
de
donner
à son élection, par l'union visible de tous
les partis, le caractère d'une manifestation
plus imposante contre le relèvement de l'indemnité parlementaire.
Cette fois, ce n'est plus seulement une
majorité qui s'affirme hostile, c'est, ù cinquante et quelques voix près, l'unanimité
d'un corps électoral. Ce n'est plus un arrondissement qui prononce la condamna-
secrélaire d Etat fut trè3
tion, c'est un département tout entier. Et
cette
'
^nche
^ontan^"1'1!1^09^1'0" patriotique et toute ces deux voles significatifs se succèdent à
e reme
Havas
rcia les. jeunes gens. — 1
.quelques semaines l'u» de l'autre.
que
résidera l'intérêt de'c»
—
Attén-
Hnuflts iïmmz
AU MAROC
^Casablanca, 6- octobre: — La situation
reste la mémo.. Une reconnaissance, a.été
mile incr msqu'à ,Aïn-Seba, point d'eau..important.
PI
Elle n'a pas rencontré de.résistance et
même deux uouars sont venus au-devant
<te la colonne française pour protester ' de
leur dévouement ct nous- offrir l'hospitalité.
Mips isî iiètrtgitâiîJiïiile
Notis avoua relaté,, il y a quelques-jours,,
l'ineident créé par le lieutenant Biville, du
23Ï régiment d'infanterie .territorial, à Caen,
qui refusa de porter le drapeau, prétextant
que c'était .lui faire injure que, do le faire
assister.a- une remise.de décorations.politiques.
Les déserteurs
Les deux Sultans
AljuI-el-.Vziaî
MB
en pèlerinage à Scia'
Tanger, 7' octobre. — Aucune lettre, partie de Rabat de 13, n'est encore parvenue à
Tanger.
On. ignore mémo, si le- canot du.« JeanncdArc », qui doit prendre le . courrier, peut
franchie la .barre. ,
Les "dernières ,nouvelles do Rabat disent
qu Abd-El-AzLz s'est .rendu, le 5» à Salé,
Pour accomplir Un .vécu. (Salé est la ville
rfifee téVrasscâde'fe'vifîe^ra'îMU wtèm fés
de femmes. Les, rues étaient encombrées
d«-eurieux.
Le sultan devait. d'ubord strivre à. pic il
le chemin principal,- mais • il .y-, renonça au
dernier moment.,
"'.'»•
Tournant le dos: au., chemin, devant latour Hassan,, il se -dirigea vers-la douane,
pour prendre, la barque impériale.
Il fut acclamé sur tout le parcoprs.
Un embarras^ de . cavaliers l'ayant,, h un
moment, obligé de s'arrêter, un in.ii; '-ne
perça la foule et remit une lettre au sultan;
que"cet incident rendit très inquiet ct très
préoccupé.
Le sultan ouvrit ,1e pli. et en- prit connaissance, tandis que le cortège s'arrêta il...
La foule formait une double- haie. Les
premiers rangs étaient prosternés.
Le sultan, qui. était à cheval, descendit
à la douane-,et moula dans la barque impériale.Il arriva-peu ■ après à Salé,, où l'attendaient les notables, le- soldats- et la cota*
nie-juive au complet.
Il visita le fort et les marabonts de Sidiben-Abmed • et de. Sidi-Aliun!!;;i-.
protecteurs de Salé, puis, 1 heure.-i appèasi il)reprit le chemin de Rabat.
Son visage était toujours soucieux.
Boukta-ben-Bagdadi doit- partir, aujourd'hui avec une mcbaila,.=e rendant chez les'
Chaouïas. Il emmène avec lui quelques
piècas de campagne
Le sultan serait l'é^irlièrcm-ent virdté par
le commandant Souriau, chef de la mission
française
Il parait préoccupé par 1'dpproche des
pourparlers avec de 'ministre de France.
... Lfl PESTE
..-H1}
ORûrt (milite
A
.^'^'g'^^mme d'Oran au ministère: d|
1 intérieur, confirme, que le baeille.de la
peste a été constaté dans- les deux cas SU
gnalés-,hier. La libre pratique- d'ès bâtiments est
conséquemment
ajournéeHavas.
>
D'nprcs le journal
«iNatioijal Tidej-ide-,.., de
Copcnlinsuo, le mnringo du prince Georges de
(•ivce- avec la . princesse Marie-Bonaparte, aurart lieu -a Paris, le .19 octobre.-
.ï\F01HÏAÏîO^\S^FÏv"t \rft£!IFs
Nancy, Z octobre.,
Les. hommes - y étoile,, les .(tonneurs de
tuyaux que pendant la-période de lièvre
chacun-,suivait aveuglément passent un
inauvxt/iw-, qirari dïiemx. Les-, éloues.ont pûli- et.les -luyapx sont
crevés, ;., les.victimes,de ces mi ragea jquf'ofe
devisaient ,.sén . prendre qu'à elfes-mihies
de leur .manque de perspicaeité «i <lc sens
critique, s'acharnent sur leurs idoles de la
veille. Tous les jours, elles annoncent leur
suicide ou leur décbnfilumTuut.cela, donne
une piètre, idée de l'inlellèclualité Cle la
spéculation profesîsionnelle.
Crédit foncier: égyptien. — Emisskn ..d'o.bligations de-.oOO francs, rapportant' tî %,
coupons 1er janvier et \? juillet, remboursement par tirages.
Prix démission, 390 ; jouissance 1" juillet 1003 ct payables 100 fr. en souscrivant,
290 fr. à la répartition du H au 17 octobre.
Souscription le 8 octobre.
La -Banque Rcnauld mCl$ reçoit les demandes- sans-- aucuns frais.
Forges- et Aciéries cb>uNt>rd- &t de.-l'Est.
— Assemblée annuelle le 30 <elobre.-; dépôt des titres nu plus tard le'20 octobre.La
Banque Renauld et Cïe- figure parmi tts
établissements- désignés pour les rçcevoin
Le--bilan qui sera- présenté;-aux aetiomnaires fait, ressortir un VtmBÊte de 5j785.471
fr. 50. Mais Ls i.roduifs
de l'exploitation
On sait qTre"Tô'triViOeua*- pj. vtiW^JWiMa
S® francs;- '
mWi
:
Srifîtiewraiei;
ifcN&
t
C,;W
liuas* C(,iisolu.iéÀ-<i|0,... .. .,
"<•>
De Baevs.
U.-oid Mines.
13iki.aste
LA JOURNEE A NANCY
Iftesudfë u château de M?Mi
Mardi, vcm quaire. homes dji matin, ui,
ineendip a'est. décla-re a
Saint-Max,, au
château..dit. de la Tour-MalaRoif, chez. N"b
Xoé.'l, propriétaire...
0 heures du matin, Te feu. avait pris
des proportions-* considèrebles-
9180
75.05 )
512 ..
; pom]Hcrs-de Saint-Max et des communes environnantes, ainsi' <mo de très
nombreux.sauveteurs, saut.sur les lieux.
Nous. donnerons» des délais dansi notre
proob&iûe- édition,
I28\;
2S5:..
L'nrrlVé'o
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f|l| fiEfiM'swîss.
\J Ekk v « i & •<*■ «. A -U
I
?t
. "
19
Mardi 8 octobre:— 2SI* jour de Vannée.
Auiourd'hui rsûinte Brigitte — Demain I
saint Denys.
—Ephémérides lorraines : En 1571, le duc
Charles IH établit les Grands Jours de Lsav
r-airic dans la ville dfe Saint-Mihiel.
A huit heures. — Salle Poirel. :■ Sôïrée
théa,trî.tle>.
ϻB
W< ..
Wt 0
S»-..
,
Dépêche, météorologique
1705..
'.)i;,m,
4-
74S Dunkerque,> 701 Perpignan. Déprev,
sien mer du Nord. Baisse :! il Dunkerquet
Probable- : Vent des. régiqns. Ouest, averses, température nonnala.
.
E-xtçmur.c-i,0[0 .
rn^isor- Grand opticien-constructeur
à Nancy
<i h. ma.li» mi.l
i.l) «,.ir
Maxitna.
o;;:rs Do::, cours
ûrf.T ni. ils. 7 ocl,
'Ji 30.
95.37
. ., ..
1S8S ..
5FJf...
010-..
Ut*
Devant ce refus, le président du syndii
oSt,i M.. (Suisot,-- est-entré.dans l'atelier où
e'.a-t, restée- cette-fomma, ot avec un grand
sac^ à la main panr l'y faire mettre.L'ouvrière s'est .sauvée et, à lai suite de
ci meidant trèç grave, la grève était fatale, car M. Bodet affirme qu'on ne pouvait
lai-ser s'établir un âaijéil état de choses
Lm eprtain no-m-hre d'ouvriers étaient las»
ses dedeur syndicat, beaucoup plus politique que profe.ssionneî,. et menaVaient dè lè
quitter. Cesf,
pour -régner par la terreur
que le renvoi de • l'ouvrière avait étâ'dû,
cidé.
.^1 I 11 I IIK,.* ... . . . ,
I'KIÎJ.
Rerlc 3HiO. ......
...
AclWiis Lyon
1b5lr6poîîfe\nComptoir iiaim,u-ii<ïti<'inivpte dO'PuriS ('l),-.......
lïio Tiiîto
. .
)i
otHH'rvnl.toun mêtéurvloglquei;
18
24 f>5
»i 95
51 87
Kf>..,
41 75
2$ M-
COMITÉ,
Nous, reproduisons, également, à titre â<&
cnmenfaire, ces renseignements, qui traî
(u:»sent la ananièreide voir patronale :
« ta -ditectioB. dès .papeteries d'Etivat a
ou u deux reprises dés démêlés avec
évuclicat aux- occasions, suivantes : Le> 9
-- ; inbre dernier,.deux ouvriers entraient
à J. usine, .l'im, sans la moindre difficulté,
loutre, an-contraii^ provoquant une men»oe de grève immédiate et cela parce qui
ses filles n'étaient* pas syndiquées". Devant
6M menacçs,oc-t ouvrier-a préféré remettre
sm e!tta"ôè drtifutive au retour de M.Uodeft
qui se trouvait', à IJarfe.
Ensuite^ lè 23 soptembre, la grève corn*
mençait, parce que M. Bodet refusait le
renvoi"d'une-ouvrière qui'quittait letsyndiayant eu une discussion-aveG unmem-i
bre • du comité;
i\a la
- rfniH i» rffrii i>nrii»mrrw>j
Cliilït'os fournis par ta ^n\a?«*w» i '.oiïtn-,lïoll1,1. t '.KÎ
l':u is, ', •■
I II, 52 «OIT.
Simmm
(» LE
Aube- maus.-?ade,.. lundi. II. bruinait, il
î-atsait froiff... Dans la-journée, la température est devenue très douce. Beaucoup de
vent, un peu de pluie. Voici le dicton du
i-octobre :
A la Sainte-Foi, si le ciel a*» clair,
■
Même avec un peu de bise dans l'ôir,
l aites ti dii vent eVdeJa froidure,
Cest un jour ou deux, que-ce temps-là dure.,
On- peut craindra tout;- là-haut si l'on, voit,
Les;brouillards épais,£' la.Sainte-Foi.",,
Té ! éfjj r:>!»iu«. «'.«►5»»ti««»r«is»i
2-170
:ït 83
i*,a 73.
«j 50
41 il
(» Four, lè.Syndicat ouvrier d'Eliv;ui(
LE TEMPS QU'IL FAIT
REIUULD ET Cie
' \ lV,
.
La très grande partie du -personnel désii-S
travailfer et compte être libérée définitivement du- joug- qne les- chefs du syndicat
ta.-aient peser sur les faibles surtout, »
CapiUl : 10 iv.UlU-n
2i. ru?. Siiitit-lUtié'r -
Arrimes (100'kit.)
Blés\\M WA
Rtriuo8 (101) kUvi
Lin
Knile.«.(l00 kil.l..
Alcool'(Imiciul.)
:
cmcnl, vous penserez oomnyt!;nojis
en ne perjrnettan.1. pas' que la loi puisse êjtre
souiinis.e à im arbitrage, alors qu'elle «Été,
pose- it tous incHstincte-ment.
« C'est, dans cette pensée, que nous voua
j--r< «entons, Monsieur le sous-préfet, avec
nos remerciements, nos respectueuses civij
-1\'
Comme prcinièi'e mesure di.-ciplinajre, M\
Biville vient d'être puni dé quinze jours
d'arrêt do rigueur, en attendant sa comparution devant un conseil d'enquête qui so
prononcera sur sa révocation' )-<ruY fauté
grave dans le serviéff ou contre la disepline..
•
Paris, 7 octobre, 3 h. soft' '
Rabat, 5 octobre; — Les soldats. de-la
menalla ont amené hier trois légionnaires
dongme. allemande, capturés par eux.
Le- sultan. Abd-el-Aziz„ les a
interrogés
lui-même- sur les événements de Casablanca, et,, a 10 heures du soir, ils ont été coa»
duits au consulat allemand.
É
Sur L'ordre, du ministre, dè la. guerre, le
0
général de Tbrcy, comrnandaaiiTe':} corps,
ouvrit une enquête, qui-.prouva la réalité des
faits.
DE tWTFti PRÉCÉDENTE ÉûfT/OiV
A deux heures, p-remière séance plénière.
I. — Ouverture du ojngrès. par le bureau i
d
du comité exécutif..
M<H!lsiiFlIsîfâ<l
II. — Discours de M. le général Godcrt,
Mazagan,., 6 octobre. — Las munitions
P
président
de la Fédération "de Mcurthe-eten dépôt à la douane, se vendent en ville
S
Moscllc.
peu à peu. Un convoi est parti de. Marakesch pour chercher ces munitions, mais
RI.— Election du bureairde la $éà#èéi
il nen trouvera maintenant que lès
reIV. — Discours du président.
:
V. — Rapport général du bureau sur les liefs.
A Marakesch,. la
même incertitude rè6
travaux
du comité exécutif pendant l'exergne toujours- sur l'état d'esprit de Aloulaïcice 190(3-1907.
c
Hatid.,
VI. — Rapport de la commission de vériCelui-ci recommande le calme à Maza>fl
fication des pouvoirs ; validation des pougan et il a fait emprisonner hier quatre
v
voirs
non contestés;
protégés européens en -résidence dans sa
„ VII. — Fixation de l'ordre- du jour iâ capitale (Marakesch).
congrès.
- '
;
Que faut-il — dira-t-on — penser de
ce programme ?
Pour nous, nous n'en pensons pas
grand'chose, car tout ce programme
n'est encore qu'une table des matières.
— Il faudra voir quel esprit anime ceux
qui sont chargés d'écrire le livre.
Il faudra voir si, à la lumière des événements, l'état, d'esprit radical s'est modifié, si le congrès radical de Nancy
se décide a couper sa queue socialiste
— comme, naguère, le congrès socialiste de Nancy a coupé, sans le moindre
embarras, sa queue radicale.
Nous verrons cela par la Déclaration
.
du parti.
Nous verrons si le parti radical, qui se
vanté de disposer de trois cent trente
voix à la Chambre, aura assez de fierté
Ij pour se séparer nettement de Jaurès ou
' si, au contraire, il se résignera à demeu-
■ ^^^^
SAUE' [?EXf'0SiT(Û»; DE PUBLICITÉ" ET DE DÉPÊCHES
p«ze ipfê'd'arrêtS'ïlc i-ignaor
Les reconnaissances devant Casablanca
H. — Tirage au sort des onze membres
c
do
la commission des finances.
III. — Tirage au sort d'une commission
de
onze membres qui recevra les proposi,
ttions en vue de l'élection des membres du
comité exécutif pour l'exercice 1907-190* tt*
e
en
fera faite l'affichage.
La séance sera levée après le tirage a.s
sort
des trois commissions ;.ccs commiss
sions
se réuniront immédiatement
^
au. Poiut: Centrai dfcja Vfllë*
C'est donc dans la Déclaration du par- '
soeklisîil Nancy ;
Les 15,000 francs
î
i, ^-^^
, ]
If radical
••
nouvelle manifestation des
.
nouveau congrès clé-Nancy.
la
tre le vote des quinze mille francs :
Il y avait, dimanche, dans la Creuse, région où fleurit le (radicalisme le plus avancé, une élection sénatorale. M. Defumade,
GOULETTe
••cr à ta rem-orque, ol à essayer do maintenir la scandaleuse alliance élccloralo
entre radicaux et socialistes.
te Mgrès Éyirti
( Londres. — Un banquet a été offert au
Guildhall, par le lord-maire, en l'honneur
c
VIII. —Dépôt des rapports et des vœux
jd'une délégation du conseil municipal de
Paris.
p
présentés parles fédérations,comités, grouParmi les convives,
on remarquait le , pements
P
et membres des corps, élus .adhés
sous-secrétaire
d'Etat aux affaires étranP
rents.
c
fgères, l'ambassadeur et le. personnel de
IX. — Nomination de la commission du
l'ambassade
de France, le maire 'de Boulo- p
„
programme et de la déclaration du parti.
gne-sur-Mer, etc.
Dans son toast, le lord-maire a dit : « Il
e
est à espérer que les sentiments les plus
Après la; séance pMnièrej réunion des
a
amicaux
continueront a prévaloir entre les membres
n
£
du congrès en commissions : Fid
,, ^ux^ geuveraements, eL que ^cette visite »
nanees ; règlement-et disejnline : .nromidânfT'ln " voie du progrès et de l'amitié,' et réformes
n
fiscales ; enseignement et -défense
'que l'entente cordiale continuera, à la ..sa- u
laïque ;
assistance sociale, prévoyance,
ttisfaction mutuelle.
lois ouvrières ; réformes militaires ; réforM. André Lefcbvre, président du conseil
n
mes
électorales ; réformes administratir
municipal
de Paris, a. répondu :
réformes judiciaires ; commerce,
« Paris a donné son adhésion loyale et ves ;
agriculture, industrie et études économia
rrsincère à l'entente, cordiale, et toute la
ques
;-politique extérieure et affames colo1
France
la ratifiera, n
9
M. Cambon, ambassadeur de France à niales.
n
Londres,
I
a porté un toast au lord-maire
$et dit que la cité de Londres avait concouVendredi 11 octobre; à dix heures du maru, de la façon là plus efficace, à établir
réunion des commissions.
cette entente cordiale,qui constitue la meil- tin,
«
A deux heures, deuxième séance
pléleure garantie de la paix du monde.
•Le maire a répondu que les assemblées n
nièro :
comme celleis de ce jour sont.de nature à
I. — Election du bureau de la séance.
rapprocher
les deux pays toujours davani
H. — Le programme du parti.
tage.
— Havas.
!
III. — Les réformes électorales.
IV. — La discipline et
tactique élecCOLLISION DE TRAINS
■
r
rale.
Gênes, 7 octobre. — Ce soir, à 5 h. 15,
on
<
gare de Saint-PIerrc-d'Arcna, un. train
venant
de Turin et un autre venant de VinSamedi 12 octobre, à neuf heures et de?,
1trmille, se sont rencontrés.'
r:
mie
du matin, troisième séance.
14 voitures ont été renversées. 5 voyaT. — Election, du bureau, de la séance.
geurs ont été blessés. Us sont tous
ItaII. — Règlement et discipline.
liens.
ITT. — Réformes fisca'es:
Les autorités viennent de se transporter
!&'•» En:;:ign?ment et défense laïque.
sur les lieux. — Havas.
,V.— Assistance sociale, .prévoyance,. lois
couvrières..
■UNE FLOTTE ALLEMANDE
VI. — Election des membres du. comité
VISITERAIT L'AMERIQUE exécutif
£
pour l'exercice 1907-1908.
Londres, 8 octobre, 2 heures 35 matin. —
A deux heures, quatrième séance :
On mande de Washington au Dailu-Matt :
T. — Election du bureau de la séance.
« On discute beaucoup, dans les cercles diII. — Réformes militaires,
plomatiques, un bruit d'après lequel, aussini. — Réformes administratives.
tôt que la flotte américaine serait revenue
IV. —Vœux.
du Pacifique, l'empereur d'Allemagne enverV. - Commerce, agriculture, industrie
rait une flotte impériale, sous le commandement de'son frère,le prince Henri de Prusse,
cet éludes économiques.
A huit heures et demie du soir, réunion
<( Cette flotte fera une visite amicale à
New-York et à divers autres ports de l'A- plénière
^
du comité exécutif ; élection du
tlantique.
|
bureau
pour l'exercice 1907-1908.
« xià déparlement d'Etat, où le correspondant du » Daily Mail » est allé aux renseignements, et s'est enquis de la valeur
Dimanche 13 octobre, à neuf heures et
de ce bruit, on. n'a voulu ni le confirmer,
demie du matin, cinquième séance :
ni le démentir ». — Havas.
I. — Election du bureau de la séance
II. — Rapport de la commission des fiFIN DE LA DERNIERE HEURE
nances.
III. — Politique extérieure. ct affaires coloniales.
IV. .— La déclaration'du parti.
A midi, banquet de clôture.
Le vendredi soir, à neuf heures,, une soirée de gala sera offerte aux congressisteis
parla Fédération do Mcurthe-et-Môsclle. »
Après l'élection de M. Archimbaud dans
la Drônie, comme député de Die, voici une
■
"
t
i
_ (HWaji Mtil -- Mardi 8 Octobre 1907.
_
^
—
j
iî GOMFLIT ENTRE ESrÂGKOLS
;
\
D'EGLIStS
Clermonl-Ferrand, 7 octobre. — Antony.J
Thomas,
chef de la bande des- cambrioleurs d'églises,
s'est constitué prisonnier
au bureau de police.
Ha dénoncé de nombreux complices. ~
IHavas. .
*
goer.
octobre :
DÉSECliOUÉ
Toulon, 7 octobre. — Ce soir, après avoir
,travaillé taule la journée, les sauveteurs
du torpilleur « 23i » ont vu leurs efforts
couronnés de succès.
En effet, lorsqu'on eut la certitude que
le uatiment était solidement amarré, on
vida les citernes remplies d'eau, et. landis
que les cftejïiea remontaient ensuite sur
l'eau, elles entraînaient avec elles le torpilleur qui, avec de grandes précautions,
put être ramené aux Salins d'Hyères où il
;
sera .réparé d'une façon provisoire. — Havas.
•\lger. — Le transport « 'ShamroeiC » a
quitté hier soir Alger pour Casablanca. Il
à bord un certain nombre d'officiers,, du
Siatériel et des munitions.
LI
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LE EEHERftL ALTMftYER
MAROC
AU
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Rédacteur• m chvf :
Téléphone 3.21
, i SSSSB^ggS3B gBWSg?535ggSg^
4, g. 8 PAGES - N° 7,461
«ïc*
ISI<MISI
WiHiï
ssJi k> %
Lundi, les. jeunes soldais du côntinge?:.
parisien, dastinés aux régiments en garniLes pourparlers auec M Repnault
son à Nancy, ont commencé à arriver.
Tanger, 7 oclebre: — M. Regnault. miUn très- important service d'ordre avait
nistre'*!* France, emporte à. liabat Un vo«U'i. organisé par» la place et par la police.
lumineux-dossier contenant les divers griefs
A U heures 4, le premier détachement,
de la France contre le gouvernement ma. peu nombreux toutefois; une soixantaine)
rocain, dans-chacun des cas. qui se soat
! d'hommes au plus, arrivait à Nancy, acproduits. depuis l'assassinat ■ de M. Char■ompagné par une section du 4Ge d'ïnfanA'Miîivtti.
bonnier près dé Tanger, jusqu'aux.assassi1lerie.
nats de Casablanca.
Le sous-préfet de Saint-Dié a adressé
A dix heures, un second détachement
L'examen de ces. affaires demandera un
une lettre au ByndrcaH; des papetiers en >' débarquait..
temps considérable. Il sera laissé aux soins
■ grève, lui -demandant do soumettre-le litige
,
Los autres détachements ont suivi dans
dés attachés de-légation et des, mmLstrcs ! à .un arbitre!'
[là jc-tirnée.
du sultan.
i
Vorei!, à: titre dexsume-ntaire, la- réponseM.' Regnault ne, doit,' en effet, que poser , des1 ouvriers :
les questions principales et foiï'"'Séjour à'
« Monsieur !ô sous-préfet,
Rabat se trouvera fort abrégé.
N « Par-votre honorées vous avez bien vouË■uulf, dès- l'aube, on a commencé u -,
Le -ministre dé France emmène avec lûi lu nous proposer de soumettre le lilige qui
j travail qpi contentera toute la ropulation
un interprète d'origine-indigène et .un . innous sépare- de nos paîtrons,-, à la - sentence [au Nouvpau-Xancy. Il s'agit de. rien moins
terprète d'origine française.
d'un arbitre qui poiTi-ia-it être-M. lé préfetjque du pavage de la chaussée de cette imLe sultan préfère avoir un de ces derniers, j dés Vosgo".
finense artère qui porte le nom de la ruedevant'lui,, car if hésité a traiter, des ques» Nous nous empressons de-vous accu- [de Mon-Déseri.
tions religeuscs par l'entremise d'un interser réception de votre proposition et de
prète de sa .race et de sa .religion — Ha4 vous déclarer que s'il s'agissait d'Une ques- i Cette longue voie, qui prend naissance
.rue dé llAbbé-Didelot, sur le côté gauebci
vas.
tion de salaire ou de modification dans le
tde la prison,, aboutit-sur la. place du Bontravail, c'est avec emprcs.sement-.qpc nous
et- ne comporte pas moins de 1,200
L'ÉCHOUFBEHT DU TORPILLEUR* 934* accepterions l'arbitrage du premier magis- fCoin,,
imôtres.
Toulon, 7 octobre. — A diverses reprises, [trat des Vosges, certains. d'avance, que sa
On sait que cette rue est très fatiguée.
sentence- serait conforme à.Ta justice.
les scaphandriers de la direction du port,
{Elle est toute la'journée sillonnée par de
qui avaient pris passage, le soir- de l'acci- ' K Mais .permettez-nous'de vous faire re- (longues Ihésries de Iourtes- voitures chardent, sur le remorqueur « Hercule », ont ; marquer, M. le sous.préfet, que le chôma- gées de. matériaux. OU: de camions qui so,
effectué des plongées autour du torpilleur ,ge que--nous subissons, à Etival, n'a eu,. jd-irjgent .versi la-,gare dn. la.;petite vitesse..
234--pour, relever la situation exacte du bâ- [S aucun moment, pour• objet, de modifier. ^cî'V-igriée kv. plus' souvent sous-le nom detiment.
Iles condifions du tra\^ail' éims la-papeterie; igare do Mon-Délseri..
Celui-ci, est complètement couché, sur tri- ; mais au. contraire de restreindre, fés.attri- i L'opûrauon.! a commencé■. vars la partie
bord, ce qui fait que ni'ses cheminées,, ni, Walions: de notre syndicat professionnei'et; jEsit ,, cfOs,Uà4€li œ près de. la . prison. On palibre
ses -mats, n'émergent, malgré le petit fond. (par- cela1 apporter, une critravo
rverasd'abord le débouché .de cette voie surLa coque du %U 'a touché,un roche, par :exereiêe dé-la loi dti,21 mars 1S8Ï-.
(la- îue.-deT'Abbé-Didelot, puis la sortie dole milieu seulement: Cette position relève ' ! «.lie renvoi .du .président de.notre,syndijla gaao. et le pont, puis l'on se dirigera sur1
à* la fois l'avant et l'arrière, et" permet .aux,,
qui,' dans, tous ses aptes,, n'A-fait que; s«; ilè Bom-€oin;
-scaphandriers de passer facilement' des. teon-former; aux déciisloris - priées, par. l'â'si
Le pavage se fait en granit.L'a Ville et fa
Jsemhléè gimérale des 'adhérents, nous conchaînes, sous là'quille.
Compagnie des tramways! l'exécutent» en
On pense renflouer le torpilleur ce soir,, 'flrme formiellement que ce libre exercice Icommun.
quoique la mer, soit' tf ès. mauvaise1 ct en- 'nous, est' contesté.
g e
'trave les efforts dès, sauveteurs. — Ha* i (( Après ces explications,'.nous,-ayons là: |
iccrti't-ude,' Monsieur le sous-préfet, que,garvas.
Puisque-nous sommes à.Moîi-DéWcrt, ditdien vigilant de la légalité dans notre ar-- rons ausisi que des critiques sont élevées
FXFtOSiftN DAMS Wg ACIERIE
contre la gare au sujet, de l'enlèvement des
ordures..
1), COMPTOiR NAÏIOUAL ■i'ESGOf.lPTE ^ PARIS
Butler (PeusyIvanie). — Une explosion
Agence-dè
Nancy,
56,rue
Saint-Jean
En effet-,, chaque jour, les quais, hangars
s'est produite dans une aciérie. Il y a eii.
et dépendances, sont nettoyés soigneuscquatre tués et trente blessés, dont vingt Ordres de bourse.— Paiement de coupons
men,t,mais les ordures ne sont transportées
«
Locution do coffres-torts. — Garde de titres
mortellement. = Havas.
de la gare Saint-Jean que tous les huit
mm,
dans l'Est
1
A fVION-DÉSERT
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LJuam-i-iMB.miiiw.iii-iJ
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IH-M«IIIMJI
In—n-U
■—S?
de tir de Saint-Nicolas, capitaine Dtftjull- | défaut, le 11 avril 1907, par le tribune
m
hrt du 4" bataillon do chasseurs,,_»UI""' roctionnel
roc
de Nancy, a deux mois ai cm>des voitures e t un divertissant <^
sacrée,
celle-ci,
la musique moderne, à I d'assaut
>as;
ue prj
sac
d
son
pour
vol.
présidence
la
Sociét|
de
tir
d'Emvdle,
jours, le dimanche malin, vers -onze heu.spectacle
pour
les
personnes
qui,
comme
des œuvres de Beethoven. Schumann, Cé- apeç
S0B
res, sur le pourrissoir qui csl situe derriè^
moi,
l'observent
de
leur
fenêtre,
elle
n
est
V
Dans l'aprè- midi de lundi, M. Ilaude- sar Franck, Gabriel hauré, Vincent d In- n'loi
lCli»t civil -if v IIV<*M ^| .-^
et
En tout, il y avait une centaine de cou^
sans inconvénients pour les personre la prison.
ville,
vil!
de Lay-Saint-Christophe, déchargeait d
dv etc. On entendra, en outre, en soliste, nus
pus
Naissances.
— André-Gèôrffes P^'"*
Pour oela, il faut que les proposés a la un(
une voiture de foin rue Jacquard. Quelques a"chacun
^ 'r
des concerts, un des instruinen- |nes
. qui usent de cette locomotion : fem- ve rts
|( s
fils do Marcel, demeurant à [Jomis^''8^
'l
„,irt _ très rai1 — a été fort bien fila
salubrité publique de la Compagnie Ira- bo)
,„cs
vieillards,
enfants,
qu'importe,
c
est
du
<pialuor
virtuose
tant
dans
une
bottes avant glissé, il tomba sur la chaussée "listes
.
I
mes
tjc (
Erneet-Chf.v'ies Roman, (ils de F'ur?,?rUrt—
versent avec leurs tombereaux la voie pu- où
à cc
celui qui pourra arriver k s'accrocher à sertit. Maréchal cuisinier-pâtissier Er
leuv-re ancienne que dans une pièce mo- à
ou il se'luxa l'épaule droite. M. Haudeville
œu
vrier
d'usine.
' »L«e,ou.
blique, c'est-à-dine la chaussée de la rue s
-0, rendu à l'hôpital où la luxation a été derne,
s'est
,
,
I ilaa \voiture, au risque d'être mis en mor- il&
m
(1( r
Publications
de
mariages.
j„
Un orc&re de choix, fourni par la so1
La
Scbola, poursuivant le bul quelle I ce aux.
réduite.
Il a ensuite regagné son domicile.
<le Mon-Désert.
'
rôd
al
l
Renard, manœuvre,
demeurer**
philharmonique, a joué pendant le re- Alix
Ali
Comme ces véhi-cutes sont mal chargés,
— Lundi après-midi, un couple irrégulier B
s'est
.& proposé — but essentiellement éduca- 1
^( véhicule n'est complet que lorsque, ciété
Le
.
a
f i(
et Antoinette Martin, sans
_ exécutera a chacune de ses séan- II montés
.
Do
et qu'il n'y a rien à l'arrière pour on retc- habitant
^al
rue Sainte-Anne, qui était sous j<eu
les uns sur les autres, les voya- pa
_£ ^ et les vaillants jeunes gens de la so- Dombasle,
eur
feseion. — Léon-Marie Rousse,' minp pr°"
nir le corilonu, une partie des ordures p
ciâè
de
gymnastique
des
Usines
ont
monfat
l'empire
de
la
boisson,
s'est
pris
de
querelle
ces,
^
une
œuvre
complète
ou
au
moins
une
«eurs
ne
laissent
plus
le
moindre
petit
vide
£
0I
et Eugônie-Adelmfïï a
Nt
place
du Marché. I.'homme frappa avec ru^
sélection importante d'une œuvre d'un des £
, eux : Oh ! les mœurs ! Aïe les or- (fré dans des exercices variés, leur valeur Neuvas-Maisons,
■transportées tombe sur la voie publique. pi
entre
f
n(
a
my,
repasseuse.
»epWque
et
l'excellence
de
renseignement
m;
desse
la
femme
qui,
tout
en
pleurant
et
les
.
principaux
maîtres
de
l'Art
vocal.
.
..
Ne pourrait-on aussi transporter ce dépôt
te (
cheveux
défaits,
alla
se
faire
panser
à
la
Comme
on
le
voit,
les
concerts
que
pré•de fumier autre part, car réellement il ré- ci1(
l*o ■>!)>«>y
No!is courons vers 1909. Cette année-là que
P] leur donne leur dévoué professeur, M.
<
pharmacie du Point-Central, où un rasscm- pare la Scbola constitueront des fêtes d'art il
.. faut
bien l'espérer, les étrangers seront ^
tpand une bien mauvaise odeur dans tout y,
Boulet.
I Une voiture chargée de pommes do (
{
n
biement
assez nombreux s'était formé.
de premier ordre, intéressant non seule- nombreux, la
population sera
presque
le quartier de Mon-Désert ?
|>h
0
do
Les toasts
ve
venait de TOnt-à-Mousson à Nancy Rn
■ment
les musiciens, mais tous les ania- I doublée
,Q
Adjudication
; on peut se faire une idée de ce
a
Objets trouvés
m*
A l'heure du Champagne, le docteur Ko- sant
à
Pompey,
le
conduicteur
du
\<*iP
*'
aa
leurs de belle ct bonne musique.
que sera le retour de l'Exposition.
M. Drisch, sergent de ville, un diction- tel
my, maire de Dombaslo,se lève le premier. ^
Lundi, dans l'après-midi, a eu lieu l'aden- desceiKlit pour prendre un verre i •
Ce sera une ruée sur les cars, de vérila- rr
c
judication des travaux pour la réorganisa- maire, déposé au bureau central ; M. Grey,
Il'porte le loyal toast au président de la sant
gg
«sa femme sur la voilure.
' a'3'
1 bles batailles.
,
I V,
tion du baraquement du 79° d infanterie, terrassier,
République et associe au nom de M. l<al- I
Mais le cheval prit peur à la ,SUite r
avenue de Boufflers,, 4, une
_
|c
Espérons que d'ici là, un peu d amého- liôrcs
i
caserne Moîitor.
.
celui do son prédécesseur, M. Hou- I <x
montre
ancienne, boîtier argent; M. wol1/
coup de sifflet d'une machine et s'etnh rr'
m,
ration sera apportée à cet état de choses, j'
Ont été déclarés adjudicataires
zel, rue Vayringe, 70, un collier de chien
\±
I
La femme s'oulut sauter de la véiti
!« lot _ Terrassements nécessaires aux I ze
et que comme ailleurs, des mesures seront be
n L'orchestre joue la Marseillaise, écoutée I mais une roue lui passa sur le pied
avec deux petits grelots; M. Buatois, un
bâtiments, maçonnerie, plâtrene. Montant, : av
m
pour empêcher l'envahissement des debout par les convives.
porte-monnaie, renfermant plus de 3 fr
che et elle reçut encore diverses eoiilusif^'
ci
CYCLISFflE i prises
pri.
194,100 fr. — M. Tarlary, rabais de 1 u. oo I>c Par le jeune Péchcrot, rue de l'Equita—————
voitures
et permettre à chacun de monter o M Cordonnier lève son vorre à tous les 1
v0
Heureusement un courageux sam-ni s'
pour 100.
,
,
.
.-,
tour.
I invités
.
Vélodrome du Mont et. — Si, comme le I â
a son
s
4; des pièces d'or ; M. Colin, rue
de la Société de tir ct en particu- M.
Al Heff, facteur à la gare de Pompev ,"v'
2« lot. — Couverture, zmgage, plomberie. tion,
lu
en courait, la réunion du G était la deriIl semble qu'il ne faudrait pas chercher jlier à M. le général Faurie.
îança
à la tête du cheval ct parvint h r
-d'Arc, 116, un chapelet monture ar- bruit
îo
br
Mont : 14,370 fr. — M. Génin, rabais de Jeanne
Je
pour trouver un petit texte de i « En l'honorant- — dit-il — nous bono- ri
nière
de l'année, nous pouvons affirmer beaucoup
ei
rêter à cinq mètres de la voilure d'un f-"
gent
;
M,
Carnet,
boulevard
de
la
Pépinièj
c
b
n
9 fr. 75 pour 100.
S
lier qu'il allait briser.
sans crainte de contradiction qu'elle a fort iloi
i qui interdit aux entrepreneurs de trans- rons l'armée qu'il représente. »
ti
0
3« lot. — Charpente, menuiserie, ameu- 1 re,
rc 54 bis, un carnet de livraison.
sô
ports
d'accepter sur leurs voilures plus de; * M Cordonnier montre ensuite combien
clôturé une saison qui, en tous points, p
:
Enfin, le marchand de pommes de te™
Mlle Charpentier, rue des Jardiniers, 35, bien
0
blâment en hoir. Mont. : 51,170 fr. — M.
bi
que le nombre indiqué et que! l'armée est aimée dans notre pays trontiô-■ put
rentrer on. possession de ,sc»n éauin-ï
une pèlerine ; Mlle Dcntel, élève a l'école■ fut
fn des plus réussies. Simplement, consta- voyageurs
p
Alphonse Erb, rabais de 0 fr. 10 pour 100. ui
vo
1
des
fonctionnaires
sont
même
chargés
de
et il "continua sa roule... sans mémo t, 86
que le temps s'était mis, lui aussi, de dei
Sainte-Anne, nue Jeannot, ton iméda^'lon itons
■re II tient à adresser un salut 'aux soldats; o
l» lot. — Ferronnerie, serrurerie, ameu- s
0
faire
respecter
cette
obligation.
Mais,
voi\
gor à remercier M. Heff.
"e sori'
or, ; la jeune Migevant, rue de la Pépiniè- la
ja partie.
.
.,
,
fai
I
« qui, à Casablanca, luttent pour l'honneur• g
blement en fer. Mont. : C7,480 tr, — M. eu
! il y a peut-être quelques intéressés qui 'de ta France et de la République ». (Appl.)
Au point de vue sport, si, en vitesse, le' là
re, 1, un col Renaissance.
Jeàndel et M. Pelitdidier, rabais de 8 fr. 251 n
la
■
l'ont à .tluliHMon
considèrent que la recette sans s'occu- I < L'orateur termine en présentant les exgrand
favori Piard s'est adjugé, sans trop1 I ne
= §o§=
g]
ne
1
;
dimanche matin, vers huit heure-; i1n
de
ceux
qui
l'alimentent.
i
, d'effort, la première place, en demi-fond, au I per
lbU — Peinture et vitrerie. Mont, j
.
cuses
de
M.
le
préfet,
empêché
d
assister
pe
t
énorme chaudière provenant des aYeii
' contraire, Stoquert s'est vu ravir la victoires I
Veuillez agréer, etc.
7 755 fr.' M. Ilcrvaux, rabais de 17 fr. 05 L
à: cette réunion.
,
_
d
de- la maison Dingler, de Strasbourg 1
Vieux Nancy.
? par Pierre. Stoquert s'étant blessé assez'.
Le général Faurie remercie M. Coidon- (ait
p
de la gare de la petite vitesse traw
ti
P
fortement au début de la 2" manche et n'ail
*
°C°r kit — Terrassements des cours ctt
nier de ses paroles courtoises. Il le rcmer-l gsur un chariot par huit chevaux pour fil
Bin»ployez là dans votre cuisine.• pu
défendre
sa
chance
en
possession
de
*imuts pavage autour des bâtiments, cm-■ j.
cie surtout de la pensée qu'il a adressée? I conduite
p
à l'usine "ui, située, conimo n
c
Vandalisme
tous ses moyens : Pierre a toutefois merveilMont. : 62,000 fr - M. Tar■vw-v
t(
à nos soldats qui se trouvent au Maroc, a* 1:lo sait, au quartier Saint-Martin, à Pnni
r
leusement
marché.
C'est
un
sérieux
adveront"dtary, rabais de 5 fr. 65 pour 100.
Nancy, le 6 octobre 1907.
cas soldats qui, à Nancy, il y a quelques& Moussonj
ïfnrché
aux bestiaux «le Nancy b
%
saire pour notre stayer Sloquert.
s
semaines, on a osé comparer « à des banlîcol« supérieure «le plinmiacic
Monsieur le directeur,
Côurs du 7 octobre Î907
i^e transport de celte chaudière
np^nt
Voici les résultats :
c
.
Un individu indélicat (qui, du parc Sain-- 1 dits portant l'uniforme français ». (Mouve-!- 30,000
kilos et mesurant environ 15
L'examen de validation de stage pour les
107 bœufs, de 80 à 87 fr. : G2 vaches, dec
Amateurs. — 1" série : 1" Maigret, 2" te-Cécile, connaît les détours) s'est livré, laa I ment, de réprobation.)
<
élèves en pharmacie aspirant au diplôme5 74
^ à 82 fr. ; 18 taureaux ; 270 moutons ; rBossu.
6 mètoS de CirCOnfôre
1
™
'■Le
général
Faurie
lient
h
féliciter
cha{
semaine dernière, à un sport non désintéfut
de pharmacien de 1» ou de 2« classe, s'ou-■ 134
porcs, de 95 à 105 fr. ; les 50 kilos poidss
x
2e série : 1" Georges, 2" Auburtin.
| sressé,
*
i
lcureus-emient
les
gymnastes
et
déclare
il a scié, jusqu'aux branches, doux
l
A neuf heures seulement, la chaudière
vrira le 4 novembre, à 8 heures du matin,• net.
Finale : 1er Maigret, 2" Georges, 3« Bossu,' cerisiers
rc
r
>- qu'avec des jeunes gens de leur trempe, cee oui
,
de 12 et 17 centimètres et s'est apexcitait sur son passage mie vive cul
à l'Ecole supérieure de pharmacie.
100 veaux, de 63 h 75 fr. ; les 50 kilos,J' 4
| e Auburtin.
c'
s
ne seraient pas doux ans de service mul-- riOBité,
i
I
propriô
les deux tronçons, de deux mètres
arrivait à l'entrée du pont sur la
1
Les demandes de dispenses de stage, doi-" I ,poids vif.
ir
Match de vitesse.— 1" manche : 1er Piard, P
de hauteur, laissant les branches sur taire qu'il faudrait, Six mois suffiraient,t- iMoselle, dont la montée est trèVrapide
vent être adressées jusqu'au samedi 19 octo-'" I
Cochons de lait : néant,
g e Pinot, 3e Bertrand.
,
2
*
n I pi
place.
,
I M. '-Maljean dit tout le plaisir qu'il res- < Malgré les quatorze chevaux qui furent,
bre, au directeur de l'Ecole, sur papier timVente calme sur le gros bétail et les mou-J
Train assez lent. A la cloche, Piard est en
le
5- attelés à ce moment, il fut- impossible d«
Il aaralt que ce bois est très dur et que
tons,
soutenue
sur
les
veaux,
très
active
,
ls
téte.
Pinot
dans
sa
roue
et
ne
peut
remonbré.
:.
i
> |faine avancer la chaudière,
le grain en est très fin; on en tire des pieds sent d'être venu parmi la laborieuse po2
le
,
Le registre de consignation sera ouvert auu jsur les porcs, avec tendance a la hausse.
' ter.
pulation de Dombasle ; il salue, lui aussi,h
A l'aMe de crics et de leviers, on essaya.
de table et des boutons de meubles.
e
er
e
e
______
23 au 29 octobre, inclusivement, tous less I
P
2 manche : 1 Piard, 2 Pinot, 3 Ber1Ldi On a vu l'indiscret personnage et lon\ nos soldats de Casablanca. (Appl.)
mais
:
en vain, de démarrer le chariot Un
'
jours, de 9 à 10 heures du malin.
BRASSERIE CHARLES V (W« DésiUes) PIGUET
trand.
t
f
M Maringer développe le noble but pourr- service d'ordre fut organisé pour contenir
s
it
f
sait
son
nom.
Train ridiculement lent, Piard qui ne veut s<
Tous les soirs, Sh. itf, GUIGNOL LYONNAIS
c- les nombreux curieux qui se pressaient n»
Coin s d'n*mtes
^ suivi par les sociétés de tir et d'instrucle
S'il ne rapportait pas les deux tronçons,
pour le* Jeune» «lies
8
»
1 plus rien savoir pour mener est obligé de
u >du Pont. Par crainte d'un accident, les ma?
tion militaire ; il commente la phrase du
B
I
on
pourrait
lui
occasionner
des
ennuis.
_ longer les balustrades. Le public siffle. o
;s
i- I gasims du voisinage avaient fermé leur de.
général Chanzy : » Donnez-nous des hom=t
Cas
deux
arbres
étaient
situés
près
des
Les cours d'adultes pour les jeunes filles
«i fiard prend la tête dans la ligne opposée et
mes, nous en ferons des soldats. »
! vantwre et la circulation avait été interromse rouvriront le jeudi 17 octobre courant et
v
villas
habitées
depuis
peu.
\ n'est plus remonté.
u pue.
M. Maringer lève son verre au drapeau
se termineront le 1er mai prochain. Ils son
e
er
e
iAgréez,
etc.
Z.
3 manche : 1 Piard, 2" Bertrand, 3 PiNe pouvant obtenir aucun résultat, le-;
Un abonne,
français. (Applaudissements.)
au nombre de quatre et ont lieu les jours et
not.
;e conducteurs dételèrent les chevaux à onze
M/ Dessez, prenant texte d'une causerie
heures ci-dessous indiqués :
di
Le sur place recommence et Pinot en est 1
I heures, pour leui permettre do se reposer
e,
«rufATRE DE NANCY.— Spectacle du mardi
qu'il vient d'avoir avec le co'one' Bajolle,
e
Ecole des Trois-Maisons,rue Samt-Fiacre,
2
victime, car il est tombé dès le 1" virage,
un peu.
8g
a- 1| 8 octobre 1907. - Bureaux, 7 heures 1|2,
se montre confiant et optimiste dans les
24 ; le jeudi de midi à 2 heures, et le dimanls
Le
train,
à
la
reprise,
est
beaucoup
plus
vij"e I
A une heure de l'après-midi, le travail
rideau 8 heures.— Continuation des débuis
.destinées
du
pays,
gardé
par
une
armée
che, de 10 heures £ à mdii
. .
te. Pinot en tête. Piard se dégage dans la liDU dimanche B octobre
fut repris.
)n
ude la troupe de comédie : lre représentation
puissante.
(Applaudissements-)
Ecole Sainte-Anne, rue Jeannot, 8 ; le jeuie gne opposée. Pinot, épuisé, est remonté par
ir
Ce fut seulement h quatre heures du soif
ac
Naissances — Suzanne-Lucie Detoul, rue
et
10 da Denise, comédie en quatre actes de
L'orateur exalte le culte de la patrie et
di, de midi à 2 heures, et le dimanche, de 10
n- Bertrand.
|I 1Victor, 9 bis. — Renée-Marie Pfiffelmann,
I que la chaudière arrivait devant les établisn'
Alexandre
Dumas
fils,
de
l'Académie
frane
l'amour
de
la
République.
(Applaudisseheures è à midi L
Classement total :
sements Adt.
rue
de l'Atrie, 3 bis. — Roger-Eugène-Arr- j ç lise.
Ecole "Raugraff, rue Raugraff, 12 ; le marr
jg" ments.)
;:
Pinard, 1 + 1 + 1=3.
Cette laborieuse opération avait attiré d>s
I imand Anglade, rue de la Commanderie,28.
li,
«v-wv
di de G heures à 7 heures du soir ; le jeudi,
Pinot. 2 + 2 + 3 = 7.
*
I milliers de personnes difficilement contejL
Reoue des sapeurs-pompiers
la
I
—
Jean-Auguste Geoffroy, quai Choiseul,
'e
Ecnos DU THÉÂTRE. — Spectacles de la
de 7 heures Jt à 9 heures i du matin, et le
'P
Bertrand, 3 + 3 + 2 = 8.
;
de' I nues par la police et la gendarmerie,
n
aLe banquet est terminé. A la sortie de'
20 36. — Marcel-Camille Joux, rue du Fau- semaine. — Après les débuts de la troupe
dimanche, de"8 heures à 9 heures du matin.
a- I
Pendant plusieurs heures de l'après-midi,
U
Match de demi-jond. — 1" manche (20 j
la
salle
sont
rangées
les
subdivisions
de
sa■
I
bourn-des-Troic-Maisons,
48.
yi de comédie qui auront lieu mardi dans DeEcole de Mon-Désert, rue de Grafflgny,
e
si- la circulation avait été également interrom,
kiL), — 1" manche : 1" Stoquert, 2 Pierre,
1
upeurs-pompiers
de
Dombasle
(ville
et
usis'
Décès.
—
Emile
CharieraM.
27
ans,
fu22 ; le jeudi et le dimanche, de 7 heures à 9 nise, le théâtre donnera jeudi la seconde
n- pue sur le pont.
"„ à 150 mètres, 3 Serrière, 4 Protin, 21 m. 10 s.
Î2. ne), Rosières, Hudiviller, Blainville, Anr miste,
rue du Faubourg-Saint-Georges, 22.
de La Petite Mariée, dont l'interprétation
heures d umatin.
a
xtt I
— Un individu,
dont l'identité n'a pu être
Pien>3 est le 1" en action, bien pris par
i
ne
thelupt,
Varangéville,
Mont,
Vitrimont,
—
es s'affirma si excellente en matinée. Samedi,' Moat, Sloquert ne peut passer qu'au 2e tour
Ces cours n'admettent que des élèves figées
ur
l établie, a pris la fuite en emmenant une
- Yvonne-Marguerite Guyot, 10 mois, rue Vigneulles, Crôvic, Sommerviller, Harauu
j Sainte-Anne, 23.
d'au moins 13 ans, ou munies du certificat
at reprise de Lakmê.
bicyclette qu'il avait louée Chez M. Cheret vit alors sur son avance.
court.
:oDu 7 octobre
d'études primaires.
2e manche : 1er Pierre, 2 Serrière, 3 Sto;a- I pitel, négociant.
Le général Faurie passe en revue les saLes billets d'admission sont délivrés au
ite I
Cet individu, qui était accompagné d'tm
1
.I
Comme on l'a déjà dit au lendemain de quert. 4 Protin. 20 kil. en 20 m. 48.
Naissances. — Jeanne-Catherine Gudin,
' peurs-pompiers — qui ont une excellente
bureau des écoles, rue des Dominicains, n° . la réouverture de la saison, la salle
Ile
Au départ, Stoquert tombe et se blesse sé•rs camarade, a couché chez divers logeurs,
ue
7" 1 3rue Clodion, 81. — Isaac Zufrieden, rue
.
allure
—
il
serre
la
main
de
leurs
officiers
Ia I j
(hôtel de VMK).
rr- rieusement. Au 2" départ, Pierre prend la
35 I où il a donné un faux nom.
Poircl offrait,
samedi,
le
plus
charBoulay-de-la-Meurthe, 15. — Marguerite,
et a pour eux quelques paroles aimables.
Clinnibre »yu<lic*1e
mant coup d'œil. Comme la Phihne de tété, Stoquert veut passer, mais décolle; '; II Félicité Frantz, rue Oberlin,
— MarcelJfzttiiiville
f~~
Ajoutons que toutes ces subdivisions de I
la
u
m- l'effort l'a épuisé et Serrière lui prend la pla«le* «mvri <••** |»*¥tHÉrew Mignon, toutes les élégantes nancéien" Jean Laurent, rue Dupont-des-Loges, 17.
:es
- sapeurs-pompiers participent aux exercices
nusieurs jeunes gens habitant Jezainvil
ces
ce
de
second.
nes étaient. .« sous les armes ».
Les
,
— Andréa-Lucie Bastien, rue Vayringe,
3e' de tir de Dombasle.
On nous prie d'insérer :
le, qui avaient été condamnés samedi à
3e manche : 1" Pierre, 2 Serrière, 3 Sto}rs beaux samedis du théâtre vont revenir et
io- 1,
_ Gaston-Armand Staal, rue Notreu La chambre syndicale
des ouvriers
I
francs d'amende par le tribunal de sim,ri- quart, 4 Protin.
)us l'excellence de la troupe d'opéra ne contriI Dame, 47. — Henri-Jean-Jules Humbert,
peintres ct parties* similaires invite tous
' I pie police de Pont-à-Mousson, ont causé
'oiRéédition de la manche précédente,
né- buera pas peu à attirer la foule salle PoiI rue Carnot, 29. — Lueienne-Marie-Thêrèse
les camarades à assister à la réunion généj>endant la nuit un véritable scandale,
ma
Classement total :
26,
I Laehambre, rue du Sergent-Blandan, 26.
rale qui aura lieu le mardi 8 octobre,, a
à rel. Il y avait même des décolletages, ma
Puis aux accents entraînants de la
la I
Aprèa a\cdr frappé à tour de tuas àm
1er Pierre. 2 + 1 + 1 = 'i.
1 . . .A-,—J«t ^A.^:^ ™£>îïl,
ni** fin C.{\~
no
ua- chère I et le nombre des représentants du
du
mo
5 h. 1/2 du soir, salle Chenel, rue des Qua■
I les «eris-ennes de plusieurs habitants, ils
' ; gùlvay, ou à heu m métiiMl
I ««,-•*.. J**-- i. giiioorcr -Vitrîlldim'll Coa TO'lloU- _^
■
:
Décès. - Jean Guillaume, 80 ans, sans
M- D
irc-EirUses. au àromior /rfnna
j« . se sont livrés à des violence* «iw tu pq»
' :
U y en a de très nombreux et d'une r<Joii
nc
ifeorèiHition rrniiçnlae
£I veau quotidien théâtral parisien Comedia
il a
profession, rue de Strasbourg, 119. — Jean
ou garée champêtre qui était uctefu28, valeur,
j oonno
de» industrie'* «lu ptijtii-ïtel* mène une spirituelle campagne contre les
F00T BALL ASSOCIATION
va eo eiiTei.dant ce vacarme,
ON I Laruelle, 83 ans, ancien entrepreneur W
de'
Le
général
Faurie
préside,
ayant
près
de
'
„a_ chapeaux au théâtre, il est curieux de consde 1
Ajoutons que le père d'un de ces dati"eu
Le syndicat des ouvriers ct ouvrières paelî . MMz-Sporting-Club lorrain.— Encore une plâtrerie, rue Foller, 3. — Jean-Pierre Gus^
lui les notabilités présentes au banquet.
ira taler que las aimables Nancéienncts, s'inclireux sarneme.nts s'est cru autorisé ;i inpetiers-relieurs, etc.. 26* section, tiendra
^j"
fois, îe public a eu tort de ne pas venir se, 59 ans, sans profession, rue Saint-FiaM
Plusieurs
officiers
sont
arrivés
pour
la
_ nant devant l'arrêté municipal, non seulela terpelter le maire en des termes peu polis
™ 'cre,' 18. — Marie-Joséphine Daviatte
38
M
oc
son assemblée générale le mercredi 9 ocPlus nombreux h la très intéressante rendistribution des récompenses : le lieutenant
mt
Cette affaire a causé une vive émotion à I
ment, suppriment les énormes chapeaux
l_
cigarière, épouse Kelle, rue Hermite,
te.
tobre, à huit heures et demie du soir, au
au
vrZ contre qui a mis aux prises l'e SCL et Metz
■ans,
MienvUle, de Nancy ; le lieutenant Weslerer- JezaLnvillc.
70
)_ I qui faisaient notre désespoir, mais encore Le SCL a gagné aisément par 4 buts à 0,
n
" ~ Marie-Elisabeth Bergé, 43 ans sans
ins
■café Boïer, rue Baron-Louis (près du tabac).
lC
mann, de Lunéville, etc., etc.
' I)atit«4'lic»x
tés I paraissent même avoir complètement aban,"' profession, épouse Adam, à Marsaï (LorTous les syndiqués ou non sont invités
" l malgré une fort belle défense des Messins.
Les discours
I donné les chapeaux dits « de théâtre » qui
ul
rame).
—
Victor
Domange,
46
ans,
mar
.«spécialement'à cotte importante réunion.
j
Uo
incendie
s'est déclaré vers deux heuar
l
L équipe du SCL a produit excellente im_
M. Cordonnier remercie du fond du cœur
I étaient en honneur la saison dernière. On pression et quand ses éléments auront un chand forain, rue de l'Eqnitation, 27. —
■ur res du matin, dans une maison située rou!.<•■« nntimllHuristcs
toutes les personnes qui ont contribué au
au te de Croismare, appartenant à Mme veu- :
I se ooiffe maintenant avec de précieux écha- peu plus d'homogénéité, nous aurons une Adeline-Appoline-Maria Portmann. 38 ans,
ns
jg' succès de cette journée et qui s'intéressent
Lundi, à trois heures de l'après-midi,
di,
faudages de bouclettes, surmontant de sa- très bonne équipe,
• ''- lmgère, veuve Robert, avenue Hilton, 18.
mt ve Cuny, et occupée par plusieurs locavivement à la prospérité de la société de tir
Jules Damen, 21 ans, ct Pierre Berger, 20 vantes ondulations, et, coquettement posé,
tir tairee.
se,
Voici le résultat de la partie :
îe Dombasle.
;
ans, circulaient,
avenue de la Garenne,
ne, un «simple nœud ou une délicate aigrette.
e
Le feu a pris naissance dans le grenier
'^
Coup
d'envoi
à
trois
heures.
Aussitôt
le
i
é
M. Cordonnier insiste avec justesse sur
lu r
du
où ils injuriaient les sous-officiers qui pas-'
as-v Les modistes vont peut-être s'en plaindre,
re,
.
premier étage, contigu au logement des
SCL se porte sur les buts de Metz. 3 buts
les
Jts
AVIS
MORTUAmE
1
services
qu'une
société
comme
celle
qu'il
mais
les
coiffeurs
seront
dans
la
joie.
saient.
ni éi30ux Joseph Paningle. En peu d'instants,
sont ratés de peu, grâce, d'ailleurs, au garB
préside,
rend
à
l'œuvre
de
défense
nationale
Deux agents étant intervenus furent ausasîle les flammes ont envahi tout l'immeuble,
de-but de Metz. 3 h. 14, premier but au
flU
en préparant des jeunes gens qui deviem
^es Personn"s qui, par errouv ou omis- m
si outragés.
m- qui a été en partie détruit. Les pertes,évaici- SCL. 8 minutes après, deuxième but aU
au I s or,,
,
Seulement, si l'administration municin auraient
■
B
-ront
d'excellents
soldais.
B '
'
Pas reçu de lcltro de faire
cs
Damen et Berger furent alors arrêtés.
huées à 3,900 fr. sont couvertes par l'assu- pale veut encourager l'assiduité du public; à SCL. Puis 5 minutes : 2 corners bien arrôrê- j H part du décès de
m
K
Maintenant, plus que jamais, il faut grouDans leur conduit* ou bureau de police,
>u- rance.
ule lés par l'arrière messin. Peu après, la déÇe> son théâtre, encore faut-il qu'elle ne recule
per les éléments sains du pays, faire front
;is'
mt
.
ils opposèrent aux agents une vive'résispas devant les améliorations, bien faciles
lcs fense du SCL a du travail. Bour fait des
rJ ri y
PIQUET | contre toutes les théories pernicieuses qui
lance.
Ul
I à apporter à son aménagement. De tous cô- prodiges. Peu avant la mi-temps, but non
'
Des
inconnus
ont
fracturé
la porte d'une
U
tendent de s'introduire dans le pays. (AnEn cours de route, près du pont du Montle- accordé au SCL.
née HUMBERT
|
>n- tés, on nous réclame l'ouverture de la gale■S" maisonnette, située dans un pré, situé au
*
plaudisscmenls.)
tet, Emile Louis, 28 ans, ami de Damen,
m, rie Nord, qui servirait, pendant les entr'tr'La mi-temps est marquée par l'éclatelieudit « Etang Dieutmache », et ont dérob!'
t'-- I sont priées d'excuser la famille et de considé 1
essaya de délivrer les inculpés, mais les actes, de foyer-promenade, pour les personm- ment du ballon.
divers -outils. M. le docteur Hanriot, de
I ver le présent avis comras une invitation i I
agents parvinrent à capturer aussi cet ex3x- nés qui ne veulent ni boire, ni fumer. SaLe général Faurio remet la croix d'offisaAussitôt le coup de sifflet, le SCL marque
lie I a assister aux convoi funèbre, service et enter 31
ffi- Blâmont, propriétaire de cette maisonnet
cellent camarade.
medi dernier, on s'écrasait littéralement
1
cier
d
'Académie
à
M.
Casser,
conducteur
mt le troisième puis le quatrième but et la
g rement, qui auront lieu le mercredi 9 octs- |
ur te, a estimé à 40 fr. le préjudice qui lui a
Its dans les couloirs où la circulation était imDamen, Berger et Louis ont été conduits
| bre, à dix heures du malin, en l'église de PS
des ponts et chaussées, officier d'adminism- partie se termine sans incidents.
is- été causé.
possible et où régnait une cohue peu proro"
H
Laxou,
et
de
là
au
cimetière
de
la
commune,
I
au parquet.
8
ration
de
réserve,
et
à
M.
Marin,
direc*
3C_
Kl»* civil «P tIKIIIII lo Roiiinn
I où se fora l'inhumation.
■]j
m* •
pice à la mise en valeur d'une sensationleur des écoles de Dombasle. (ApplaudisseJeu dangereux
5e"
.
Réunion générale du Groupe sporlij nan.
Naissances. — René Watrin. — Aline
nelle toilette. Il serait bien simple d'aménan_
!
ments.)
m
'
1
Maison mortuaire :
Un jeune enfant de Diculouard s'amusait
ceien. — Dimanche soir a eu Heu lé'lection
.
Eugénie-Elisabeth Schimberg.
ait ger en foyer la galerie nord. Quelques planin„
j Un challenge scolaire est ensuite remis
|
Eue de Santifontaine, 37, Laxou-Nancy. f
avec une baguette de fusil qu'il mettait
"f
-nariage. — Bernard Emik-Ferdinand,
l du bureau du comité pour 1907-1908. Sont
ait tes vertes, quelques sièges y suffiraient,
n
|
i
I
école
de
Varangéville.
dans sa bouche. Ayant poussé cet outil un
un Et M. Corbin, qui a déjà si heureusement
l élus à l'unanimité :
employé, et Dccouvelair Mathilde-Eugénie,
De la part de :
|
m
peu fort, il se perça la voûte du palais.
(a.
Président, M. Thouvcnin.
employée de commerce, tous deux à Autransformé la buvette en exposition de 1aMonsieur Jean-Baptiste PIQUET, chevalier "i
dun-.
Le petit blessé a dû être conduit à l'hôui.
Secrétaire, M. Déglin.
La parole est donnée au capitaine Desm- bleaux, serait évidemment heureux de pui3S.
de la Légion d'honneur, directeur honoraire 1%
pital de Nancy.
g(.
Publications de mariages. — Charopagi
rec
Secrétaire adjoint, M. Gaillot.
qmlhhet, du 4» chasseurs à pied, chargé
ser dans sa belle galerie des toiles qui avec
d'école normale, professeur à l'Ecole profes- f-3
sionnello ;
B de faire passer aux jeunes gens de Dom^
Lutcien-Ckimille, chef de comptabilité à k
|
Trésorier, M. G. Lemoinc.
■nos jolies concitoyennes, se partageraient
Aeciilcnt «lu travail
;nt
Banque de France à Bauvais, et Stourffl
Monsieur Charles MATHIEU, professeur _
la notre admiration. '
I "':''"' 1 examen d'aptitude militaire.
M. D.
Lundi, à deux heures de l'après-midi,à la
au lycée,
$
^
—arj-e-Françoise-Joséphine-Olvmpe,
sapa
|
Le capilaine dit que sïïr huit présentés
suite du heurt, par une voilure,
d'une
ne
Et de-, la famille.
I
1
6
profession à Paris. — Hennequin Louis-Kol
''^.e',
^rus
dans
des
conditions
ux
échelle sur laquelle étaient juchés deux
M
I
A propos de buvette, on en a modifié l'ê" monct, employé de commerce à Audun-le»P (out à fait hors hene.
ouvriers électricien.?, qui remplaçaient des
tes clairage. La modification est malencon.„ Roman, ct Mandv Marie-Louise, sans proLe
certificat
d'aptitude
est
remis
à
ces
(:es
charbons, ceux-ci sont tombés sur la voie
ne treuse. On n'y voit plus clair. D'autre part,
fession à Mercy-îe-Haut. — Grisel Eugeije,
jeunes gens.
publique, où ils ont contracté des contutu- la fumée y est tellement dense qu'on s'y
s'y
boulanger, ct Cbaumont Elmirc-Eugénie,
Le
.
général
Faurie
clôture
la
série
des
sions.
s
de
U y a tabac et tabac
croirait dans une taverne. On demande
ii
discours ; il félicite la société de tir ^
de sans profession, tous deux à Audun-fe-Ro*
Transportés à l'hôpital, ils y ont reçu
ae
un
Nancy, le 6 octobre 1907.
Çu pour la buvette un éclairage puissant et un
man.
I
Dombasle,
qui
comprend
800
adhérents
de
de
îles premiers soins.
■Monsieur le directeur,
ventilateur.
Décès. — Leone Bernado, 2» ans, terrasa
bonne
besogne
patriotique.
Leur état né présente pas de danger.
Comme suite à la lettre d'un vieux chassier, époux de Roccho Libéra. — Gentil MV.
Après un mot flatteur aux dames faisant
seur parue dans votre journal de ce jour,
To«»»I>6 «l'un escitlier
ut catem, <S& ans, instituteur honoraire, époux
Dimancbe soir, pendant la représentapartie de la société, le cénéral développe
• * au sujet de la prévoyance administralivè
P° de Flacon Stéphanie. — Bastien NicolasLundi,vers neuf heures du soir, M.Louis
lis lion, la pluie s'est mise à tomber ct a surquelques
idées
pratiques
sur
le
tir.
ce qui concerne les poudres de chasse,
73 ans, propriétaire, époux de Passeras AÏS
j",
Cherot, âgé de 22 ans, cocher, logeant en pris les spectateurs vers la fin du specXa- en
e ferai
Le
général
flagelle
les
théories
révoluu- rie-Hortênsc.
nP" J
remarquer la désinvolture avec lagarni, rue de la Hache, 15, en montant l'es;s- cîe. Or, il fut impossible de trouver une
e
tionnaires
et
antimilitaristes
;
il
met
en
pa,a"
"
quelle la susdite administration traite les
Etnt eivil «le I,on«wy
calier qui conduit à sa chambre, fut pris
ris voilure devant la salle Poirel. Un seul eurallèle les déclarations hervéistes et les
Deuxième' quinzaine de septembre
d'une crise épileptique, et roula en bas des
es cher y stationnait. Interrogé, il répondit fumeurs. Alors que le scaferlati supérieur
affirmations patriotiques des
socialistes
es
Naissances. — André-Louis Thomas. marches.
qu'il attendait un membre de la commis- qu'on achète à Paris et dans les environs
as
La distribution des prix de la prospère
ire allemands.
JosephnlVlarius Mangold. — Heiui-li« ,"
Dans sa chute, il se fit une forte contuu- sion théâtrale. Il ne fallait pas songer â in- de Paris est excellent ct coupé très fin, le
te jsociété de tir de Dombasle — qui a eu lieu
eu
Le général rappelle en terminant une
même
tabac
ou
soi-disant
tel
vendu
à
Nan<
M Bogaert. — Alice Lerov. — François-m''
sion à la tête. Il a été transporté a l'hôIÔsister. Un cocher ne consentirait pas, mên- dimanche — a, comme les années prôcéx
p irase cl Henri Brason, le président de la
Ia
cy est de beaucoup inférieur au tabac pamothée Martin — Jules-Isidore Ligot.
pital.
me à prix d'or, à renoncer à l'honneur dee
•a- ,dentés, revêtu le caractère d'une fête paa
a
Lhambre
:
<
République,
Démocratie,
Pa"
nsien. Le prix du paquet est le même par\triotique, toute de concorde et d'union.
'
- René-Jules Wagner. — Marcel-Franço a
lT(
charger un de nos honorables arislarques.
tine,
no
se
peuvent
pas
séparer.
»
(ApplauISii faisant «lu vélo
u
nn tout.Pourquoi y a-t-il une différence de trataI
- Noo. — Joséphine-Elise Tarhaux. - *"
;
A Inidi, le président de la cérérnonif
On demande, pour la sortie du théâtre, une
m
dissements.)
.
ne
tement dans les différentes villes ? Et s
sif le
i général Faurie, commandant la 22e bri
Au cours d'une promenade à bicyclette,
te>
plîonsine-Francoiso Barlh.
station de voitures.
ri
lorsque le général s'est
assis, il est
l'on va dans les campagnes, le tabac est
,
M. Henri Depoil, employé de commerce, rue
!S'
**
Décès. — Biaise Tabressc, 58 ans.
gade
d'infanterie à Nancy, et les officiers
„®
SCAPIN.
ri
procédé à 1a lecture du palmarès" Le preencore moins bon qu'a Nancy. Pourquoi ?? qui
ï
de la Faïencerie, 19, a'fait une chute dans
'Ç- Paul-Julien Feltz, 13 ans. — Marie-Wa^
ub
<VW"*l'accompagnaient, a été reçu à la gare
n.
mier appelé est M. Lebée, qui reçoit un di>la
Veuillez agréer, etc.
laquelle il s'est fracturé la jambe droite. II
Il
SciiOLA CANTORUM DE NANCY. --La Scbola
«- leine-Meyrieux Brevet, 82 ans, veuve
de Dombasle, par M. Cordonnier, président
n
pleine d honneur, justement- mérité, cour
a dû être transporté a l'hôpital.
Un de vos abonnés.
rouvre ses portes le 7 octobre.
»r Loute-Joseph Colliex. - Reine Métayer,,
de la Société de tir, et les membres de soi
oi
les
servies
qu'il
a
rendus
et
ne
cesse
de
Voici les grandes lignes du programme
ne
Accident «le voiture
comité.
de ans |. — Jean Heinfz, 62 ans. - FT
(
rendre à la cause du tir.
pour cette année :
Seginger, 35 ans, veuf de. Madeleine-A^
On s'est immédiatement rendu à la salle
Lundi, vers dix heures du matin, M. EuLes tramways de Nancy
Ile
Telle fut celte réconfortante fête de Dom■uLa Scbola donnera, cet hiver, 4 grands
ds
\'- line Stehl. — Marcel-Armand Puah
du gymnase, où était servi
gène Gombart. âgé de 32 ans, charretier,
basle
Elle
prouve
à
quels
merveilleux
ré-J,
concerts avec soli, chœurs
ct quatuor
or
Nancy, le 4 octobre 1907
F — Joseph Verlaine, 10 ans.
,
,.n?ino,
•au service de M. Gérard, entrepreneur de
sultats peuvent arriver des
hommes de
ac
oe d'instruments anciens (quinton, viole d'a'aMonsieur le directeur,
Mariages. — Henri Leitz, ouvrier qi»
transports, rue de la Croix-de-Bourgogne, mour, viole de gambe ct clavecin).
cœur et de bonne volonté mus par ce puiss
Vous avez donné dans un de vos deri
"
et
Catherine
Schuller,
sans
profession^
conduisait deux tombereaux chargés de terfi
Le général Faurie, présidait, ayant à sep
3r_
er sant levier qu'est le sentiment du devoir.
ir
Nous n'avons pas à revenir sur le succès
:ès niers numéros quelques chiffres qui font
nt
- Joseph-Albert Bieau, employé des P°^L"0=re faubourg des Trois-Maisons.
ig—
L. P,
côtés,
MM.
Boulvain,
directeur
des
établisremporté par le célèbre quatuor dans les
.es voir quelle a été l'importance du trafic des {
Rosalie-Matliilde Denis, employée aesj e(
A la hauteur du numéro 54, il voulut «e
™
se
magnifiques séances qu'il donna, il y a tramways, en particulier pour la ligne
\M monts Solvay, docteur Remy, maire de
tes. — Louis-Alfred Petitjean, brasscw^
"e Dombasle, les colonels Bajolle, du 37e Cougarer d'autres véhicules venant en sens
»s quelques années, à la Salle Poirel, et qui
[ui Lobau-Scrgent-Blandan à
l'occasion
dee
e
Clara Parisot, sans profession. "n!itavie
,p,
SIî»JaîévB!l<inverse. Ayant été atteint par une de ces
"
|s laissèrent dans l'esprit de tous les audidi- la course du » Tour do Nancy ».
,turier, du 79 , MM. Manager, président de
Dionisius, serrurier, et Marguerite-^. ^
voilures, il tomba sur le sol ct la roue du
la
Fédération
des
sociétés
de
tir
de
l'Esl
ït,
La
maison
incendiée
sur
la
côte
de
Mal^ leurs le souvenir inoubliable de soirées
es
La progression constante du nombre
re
»Dubois, sans profession. — Gastoi tfentombereau lui passa sur la cuisse droite qui
zéville appartenait à M. Baurieux, l'orad
• m charmantes. Celle nouvelle ravira donc,
îc, des voyageurs va encore subir du fait de
iDessez, inspecteur A'Académie.Cordohriier
îr
ae
" Brassants, bottier, et Marie-Hortense
a été contusionnée.
Tisserant,
inspecteur
primaire,
Cbamoleur
syndicaliste
connu.
a
nous en sommes sûr, les habitués de nos
os la mise en service des nouvelles lignes
r
Il a été conduit à l'hôpital par la voiture
rion, sans profession.
lec-vn'
Tc
f' îgne,
conseiller d'arrondissement, Maljean.
concerts.
r
une sensible augmentation pour le'plus
s
d ambulance des pompiers.
Publications de mariages. — Cha» -can3
"
maire
de
Ncufchâteau,
président
de
la
sor
Chaque programme comportera deux
ux grand profit de la compagnie des tramdré Hans, emplovê,et Maria Humiiieide tir de celte ville,commandant \nnn
c Mr
Menus faits
parties, — intéressantes, tant au point de ways, mais il est permis de se demander ciété
nt
î
à Rai"?M?v
P«ntier, demeurant
profession. — Fernand-Charles }ll^ii%enier,inspecfeur départemenlal des sapeurs
j_
vue
de
l'Histoire
que
do
l'Esthétique.
A
la
si
l'on
va
continuer
les
errements
anciens
La police de Nancy a arrêté René Gœlls
e
pompiers.
î?
artificier
au 48 d'artillerie à pied. c\IarA
aa.iiK., s est empressé d en recherr-her
io
„
première partie, consacrée essentiellement
nt pour l'embarquement des voyageurs.
^
la
ler, 19 ans, terrassier, au Pont-d'Essey,
Marie-Josèphe
Pieraux. — Alfrea »j u.
Henrion,
adjoint
au
maire
de
Dombasle
Piopriefau-e etde la lui restituer
voS
En temps ordinaire déjà," à certaines
A
pour ivresse et vol présumé d'épongés, et
et à la musique ancienne — instrumentale et
es
le
comimerçant, et Marie-Françoise-^
^
Martin,
chef de service aux usines Solvay.
v.
lou
accepter
aucune
récompense.
vocale
-à
des
œuvres
de
Lulli,
Rameau,
u,
heures
de
la
journée,
on
s'entasse
liltéraî
Marien Roussel, 29 ans, maçon, rue Faa
a
dig, institutrice à Mont-Saint-Marw
" Houot, maire de Varangôville, Klein, viceClérambault,
Gluck,
Marc-Antoinle
Charrlement
sur
les
plate-formes,
mais
les
dibert, 3, pour vol de poules et, lapins au
j r
, NOM.Voii 3I«i«,"„
u
m
Otto Krebs, ouvrier d'usine, et LCO^ ^.
" président de la société de tir de Nancy, caw
La gendarmerie a arrêté
ju I pentier, Hœndel on Jean-Sébastien Bach,
*!"
b, manches et jours de fête, l'entassementl ^
préjudice de M. Marmettier, chemin du
Pn ,rÛV<„
m ne-Garolinc Hamm, sans profession.
^.
^
pitaine
Pon,
officier
d'ordonnance
du
gêné
I
viendra
s'&iouter
une
seconde
partie
conn- ! déoasse la limite permise ; et, si la prise
\
Placeur, II.
se
>t, guate-Albcrt Michel, ouvrier d usine,
ral Faurie, RollinA Drésident de la société ,
rr |. ne Ctrethcm, sans profession.
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m
j
6l)F0i)iqae spoFtiH u!
\\La VÉGÊTALINt uaut le beurre %
et ne rancit pas
j
SM.
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iœicile.
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ETAT CIVIL DE NANCY
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53.
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La distribution des prix
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Madame Justine
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TRIBUMBLÏÛUE
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La distribution des prix de iîr
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de Dombasle
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Le banquet
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L'EST jREf»UBi.jfCA n*
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^FOUR LES MAUVAIS TEMPS
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»«»w«o«r.iW^'yji|ng5i^
--„> ;, jtfljap-*'2*'
'''«WWT.-tCSJaOSr tWaaWBytgtinHWWBIll-wiM
On nous ouvre aimablement celle porte I
massive toujours fermée maintenant... et
c'est un charmant édiculc aux croisées
d'ogive qui garde d'adorables vieilleries : j
une statue antique de la douce patronne I
8
des artilleurs, Sancla Barbara, des vesti^^48, rue tics Dominicains, 43, IV ANC Y
ges intéressants d'un Calvaire...
choses 1
sacrées de nos ancêtres, qui venaient là à
des festivités locales, des Rapports de lun- I
dis de Pâques et de Pentecôte.
On ne vient plus en pèlerinage à la cha-1
MCT
pelle Sainte-Barbe ; les us et coutumes s'en I
sont allés, comme s'en vont toutes les tra-1
et les Déplacements des Organes
ditions de chez nous. Des canons, des obu-1
siers, des engins' meurtriers braquent d'éLes Appareils Pneumatiques perfeoAUX PORTES DE NANCY
[marines gueules sur tout le pays... et parr I
tlonnôs de A. CLAVERIE
les mystérieux défilés de ce fort gigantes-. I sont les seuls qui doivent être adoptés
que* qui répond, les soirs, aux faux de I
pour la guérison et le soulagement
Modèles de la DERNIÈRE NOUVEAUTÉ, vendus très bon marché
de ces infirmités.
Toul, de la Vierge à Epinal et de Mananvib I
VOIR LES ÉTALAGES OU TOUT EST AFFICHÉ
Chacun connaît aujourd'hui la renommée
1er sur Vczouse, nous montons plus hautf I
Atelier de couture pour le Costume et le Vêtement de Dame sur mesure
encore, au faite d'un monticule artificiel...' universelle de M. A. CLAVERIE. le grand
• spécialiste de Paris, le seul praticien qui,
et c'est la Lorraine entière qui nous appa-,- en dehors des vagues promesses des guéraît, des .lointains grisâtres des côtes dee I risseurs, assure d'une façon certaine à tous
Meuse à la grande ligne bleue des Vosges, I les malades un soulagement immédiat et
' définitif.
ia Lorraine avec ses quatre flèches de pier(c ciennement 16, rue des Carmes) nfiHuI I
11 est superflu d'insister sur les hautes
res qui sont : la Cathédrale de Toul et laj, quaUtés de ce professionnel de premier orMadone de Sion, la Cathédrale de Nancy.. I dre dont la personnalité est bien connue
' de nos lecteurs, ni sur les avantages sans
ct les tours massives de Saint-Nicolas.
précédents de sos merveilleux appareils
POUR
Dix, vingt, trente villages sont là, seméss brevetés.
En grimpant ferme la vieille côte du ici régnent Vulcain et les cvclopes...- ici ce
au
hasard
des
plateaux
et
des
plaines,
ac-1
Montet, où des eaux sourdent du sol pier- I sont les forges et les hauts-fourneaux qui
Le chiffre énorme de 950,000 donné par
ET
reux et ferrugineux, où des pastourelles ne s'éteignent jamais et dont les blanches crochês au flanc d'une colline, avec de la une statistique déjà ancienne des cures obtenues grâce aux appareils CLAVERIE,
Ne
confiez
vos
commandes
qu'à un TAILLEUR SPÉCIAL qui n'à aucun rapport
terre
tout
à
l'entour
de
la
terre
rouge
et
1
courent après des gorets qui feurguegnent I fumées embuent le confluent de Moselle et
prouve mieux que les plus brillantes prc~
avec les couturiers ni avec les maisons de nouveautés.
violette,
et
des
vignes
et
des
bois...
tout
un
de
Madon.
dans les champs dépouillés, elle nous rei messes l'efficacité souveraine de cette nouM. PETIT eoupe et essaye lui-même ; il se rend à domicile sur demande
avec échantillons.
Face à nous, des sapins immenses nous pays agricole cent fois vu, cent fois décrit,, I vello méthode à laquelle ne résiste aucun
vient comme une obsession, la tant vieille
genre de hernies.
11
1 dérobent un coin de Neuves-Maisons ; c'est et toujours plue cher à nos cœurs.
chanson de Barbe-Bleue :
Aussi est-ce avec plaisir que nos lecteurs
La
coulée
des
eaux
se
fait
lente
au
con1
J l'ancienne Tuilerie, adossée au Haut-deMadame à sa tour monte
" et nos lectrices atteints de Hernies, Efforts, dient. Le drapeau de la société offert par oe
I Chatel, tout voisin des rochers à pic de St- fluent du Pont Saint-Vincent... mais la cou-- [ Descentes et Déviations utérines, etc..., ap- dernier sera remis à la police.
Si haut qu'elle peut monter '!,
Mme Richert-Collin, professeur au ConIée du fer cm feu s'active de plus en plue... I prendront la présence dans notre contrée
Et ça monte roide et dur en effet, au-des- jI Joseph de Mcissein, qui supportent le faservatoire, 1" prix du Conservatoire de
de
l'émincnt
spécialiste.
NOTRE CHAMHON DE « DIABOLO » K LONet là-haut, vigies d'attente et d'espoir, les
•sus du Vélodrome moderne*, nouveau stade 1j meux camp d'Affrique, où César aurait
M. A. CLAVERIE recevra les malades DRES. — On rapporte qu'au Palais de cris- Paris, informe le public que, pour donner
canons se taisent et regardent.
et fera l'application de ses merveilleux ap- tal, à Londres, hier, dans l'après-midi, le■ satisfaction aux personnes qui lui en ont
des jeunes performances ; au-dessus du j groupé ses cavaliers de Mumidie.'
Emile BABEL.
pareils en prodiguant les bons conseils de jeune Marcel Meunier, de Mantes, âgé de exprimé le désir, elle organisera à partir du
Un chemin de fer poussif, wagonnets de
Reclus ou frère Séguin mena la plus élran- I
sa hanta expérience, pnofeteibnnelle, de- 12 ans, champion français du Diabolo, a 1" novembre prochain, des cours de solAit fort, de Pont-Sainl-Vincent,
I
urinerai
remorqués
par
deux
locomotives,
ge existence; au-dessus du vallon verdoyant J
fège et de piano pour commençants.
9 h. à 5 h., à :
septembrelJ907.
reçu 65 fois la bobine dans une minute.
Les cours de musique d'ensemble seront
de sainte Valériane du Montet, propice au- J empanache ce vallon agreste de ses boufSt Dlé, mardi 8 octobre, hôtel du ComSon plus haut lancé a envoyé la bobine faits comme par le passé par M. Heck,
merce.
trefois aux mères angoissées et à leurs pe- fées cotonneuses ; il grimpe, ce train spéjusqu'au plafond de verre ; il l'a ressaisie professeur au Conservatoire.
liiiiséville,mercredi 9, hôtel des Vosges. à proximité de la tête d'un spectateur. TouI cial, par une immense courbe, jusqu'à
tits nâpions fébricitants.
Pour tous renseignements, s'adresser,
Itaceai-nt, jeudi 10. hôtel de la Gare. tes les bobines lui sont indifférentes : il a
A droite, les fondraisons closes de. Rémi- jI rentrée môme des galeries de mine, où les
43, faubourg Saint-Jean, tous les jours, de
Tonl. vendredi 11, hôtel de Metz.
une maîtrise de lui-même qui est vraiment 6 heures à 7 heures, à partir du 1" octocourt et de Brabois, de Saint-Fiacre et de I serviteurs des génies souterrains vont le
IVAfVCY, samedi 12, dimanche 13 et lun- remarquable.
bre, jusqu'au 1" novembre.
Moiujoie bruissent légèrement, agitées par jI remplir de la pierre précieuse.
di 14 octobre, hôtel du Commerce.
L'un de ses tours favoris est de lancer
Sur la route, des maisons s'en vont jusI.OIIKW.V, mardi 15, hôtel du Commerce.
■un zéphyr tout mollet ; à gauche, la grand'la
bobine
sans
rotation
préalable
et
de
la
Etat civil de Commercy. — Du 28 septem- j
mercredi 16, hôtel recevoir sur la corde détendue.
clitiume" pelée de Vandœuvre est traversée qu'à Neuves-Maisons, le long du rupt de bre au 4 octobre 1907. — Naissances. —- I duConflnns-Jurny,
Buffet.
Comme variante, il jette la bobine, la
par des bandes de gamins allant à, la ma- La Presle, des maisons neuves, bâties à la Emile-Mauricc-Roger Guillaume.. — RenéS I
Barrois.
I Pagny sur-Moselle, jeudi 17, hôtel reçoit sur une baguette, la fait tourner un
de Lorraine.
raude c! dépouillant les haies et les bois de diable, avec des matériaux de tout genre,
instant, puis la lance très haut, la reçoit
Publications de mariage. — Joseph- J
fruerit "la Constipation
LoiiRiiyo», vendredi 18, buffclhôtel sur une baguette, la fait tourner un insleurs noisettes, de leurs poches, gratte-cul, où les mineurs sont chez eux et cultivent à Alexandre Lenoir, hôtelier, et Sidonie-Loui•
de
la
Gare.
Agit doucement,
tant, puis la lance très haut, la reçoit dans
j l'entour un jardinet de rapport journalier, j se-Célestine Dollet.
mûres, et noix fraîches.
r<»ut-à Mousson, samedi 19, hôtel de sa position primitive sur la corde.
Décès. — Germaine-Alice Pinault. —
Maintenant c'est la grand'rue de la bourplaisamment.
En avant, c'est la route, la route qui 1I
■ de la Poste.
Ou bien encore, pour lancer la bobine, il
Charles-Nicolas Rouyer, maître d'hôtel.monte, droite, et blanche, la route des Vos- gade de Neuves-Maisons, avec, au fond, les
Itor le Duc, dimanche 20, hôtel de la tient la corde dans ses mains, sans se serAgréable à prendre —
Gare.
vir de baguette.
xw9 ooidojd c-moj x>\ 'nTOTÇtpjriOK ap
saë J constructions de la future église du bon cuen
dragées, sans Saveur
Commercy,
lundi
21,
hôtel
de
la
GloMarcel Meunier a débuté lundi à l'Holautos, plus propice encore — à cette heure { ré Gabriel, avec, vers la gauche, les éterDu « Narrateur », de Saint-Mihiel :
che-d'Or.
born-Empirë,
et
chaque
soir,
il
touche
un
— sans Odeur.
I
nelles
fumées
blanches
qui
montent
vers
le
" Ces jours deniers, 1' » Eclair » signamatinale — aux touristes et simplets piéSuiiit-Mlhiel, mardi 22, h. du Cygne. gros cachet.
I eiel bleu .
lait comme dovens des chasseurs français,
tons du pays lorrain.
''"'
Verdun, mercredi 23, hôtel des Troisw\v
Achetez une boîte
Ce village des Neuves-Maisons, comme I M. Picard, de la Côtc-d'Or, 81 ans, et M. Maures.
On mande de Berlin que la fille du bourgDes tranches de brume s'enlèvent d'au-1I
Vilaine, die Monteresson (Loiret), 85 ans.
aujourd'hui
Steuay, jeudi 21, hôtel du Commerce. mestre de Brand, Bertha Beyer, récemment ardessus du val nancéien... et c'est une vision J ils disent, les bons laboureurs et vignerons
Le « Gaulois », de son côté, indique M. I
et portez-vous bien.
Ceintures perfectionnées pour le traite- rêtée pour escroquerie, vient d'avouer qu'elle
grandiose sur la cité, où le soleil se glisse j de là-bals, est vieux comme le monde, an-1 Jean Lagramge, de Vergt (Dordogne) qui,
. ment de toutes les Affections abdominales avait assassiné, le 14 mai dernier, son fiancé,
Phl* Gablin, 23, rue Ballu, Paris, et
pour réveiller les belles de chez nous et pré- jI cien hameau du comté de Chaligny,qui s'est à 89 ans, « chasse encore chaque année sur' chez la Femme.
l'ingénieur Tressler. Celui-ci avait, par testa« les rudes coteaux du Périgord, avec uni I
toutes
les pharmacies, la boite : % francs.
I
successivement
agrandi
et
qu'on
pourrait
I
ment,
laissé
125,000
francs
à
Bertha,
qui
le
tua
ïider h leur toilette.
« entrain et un succès que lui envieraient I
pour hériter de la somme.
« bien des jeunes ncmrods ».
Et nous allons, devisant d'histoire et de Ij aisément qualifier de ville aujourd'hui.
%
'.■■'
■■—.,'
Mi
»
Il convient, jusqu'à nouvel ordre, de détraditions locales, droit devant nous, dans I-. Et les gens, on les appelle Néodomîens, J
Caisse d'épargne
cerner la première palme au vénérable M.
cet entré-deux de la Meurthe et de la Mosel- j savez-vous, et ce mot vous a une saveur Jean Lagrange ; mais, jusqu'à plus ample I
de l'arrondissement de Rrioy
aura lieu le Mttrdl *5 Octobre, les perle, entre les bois de la Champelle et de la J de tribu celtique ou de pagus gallo-ro- informé, la seconde appartient à l'ermite j
Opérations du IS au 30 stpternbre 1907
sonnes qui souscriront avant cetta date, y
VERSEMENTS
de l'Etanche, M. Gérardin, président de la
Grande-Fraise qui s'affaissent par endroits, J main.
Art. Lir. nouT. Somme» participeront.
Puisque Néodomiens ils sont et veulent Société pour la répression du braconnage I
au-dessus deis galeries de nos mnie sde fer. I
Bri«7(«tfss« centrait)
69
16
2S.7S6 >
dans l'arrondissement de Commercy, qui
Succursale* :
Un élévateur d'eau tourne au gré du être, allons vers ces bonnes gens, simples a 84 ans bien sonnés e't comnte à son actif
LongwT
K
11
14.840 »
vent sur ce plateau assez dénudé le long I et droits. Il y a là des caves millénaires 70 campagnes cynégétiques."
(suite)
3or«r
1T
»
3.696 »
J'ai dit 84 ans ; j'aurais mieux fait de dire
de la route... et le grincement de la roue J aux vins finis du crû « qui portent sur leurs
ISniidnge Idénl, à pelote plastique et
S
»
1.070 »
•Nous avons annoncé la double arresta- Vlllen-la-Montagne.
84
printemps,
car
les
saisons
néfastes,
l'auHussignjr-Godbrang»
5
1
710 >
Inclinaison variable, le seul scientifique et
. tion, à Ctermont-Ferrand, de Mme Thomas
iMtlraK'O est le- seul bruit qui frappe nos J flancs leurs titres de noblesse », et rien n'étomne et l'hiver de la vie sont sans influcn- ■
Longuyon
15
3
8:238 » sérieux, garantissant la contention de la
gale l'intérêt qui s'attache aux vieilles de- ce sur la robuste constitution de notre ■et de son fils Antoine, pour vol d'une chape Gharencr-Veiin. . . .
oreilles (k-passants.
..•
"1
»
'1.395 »
hernie-. N!a rien de commun avec les appahistorique de grande valeur, appartenant
:
Pterrepo'nt.
S
»
210 »
Mais, à des places, nous écoutons, cloues j meures anccstrales des Denis, des Iluissoh, doyen 'meusien, dont les chevauchées, et; à l'église de Blansac (Haute-Vienne);
reils vendus par les guérisseurs de hernies.
16
3
4.372 »
au sol, les mystérieux ébranlements d'en j des généraux Thiry, des Caillon et des Fé- •par monts et par vaux, demeureront légen- 1 On vient de découvrir que la châsse des Ylllerupt
C'est le foiuidnge du rêve
•
2
2.435 »
daires. Un obstacle se présente-t-il sur son 1ircliquois de saint. Etienne dé Muret, précieu- Audun-le-Roman ...
dessous. La terre gémit et soupire, comme I ■licien Thiéry»
Ghamblev
4
»
876
»
parcours ? Notre « centaure » le franchit sement conservée dans.l'église de cette lo17
3
5.780 >
une femme en travail... il y a dee génies I
Ces maisons lorraines de vignerons et de J allègrement, avec une ardeur toute juvé- ■calité, avait reçu la visite des complices de Uonflane!
Jceuf
34
»
6.-365 »
souterrains qui démolissent les assises IJ Mers rabourous sont tout un poème, avec nile. Je crois même me souvenir qu'un soir, la famille Thomas.
Norroy-le-SCe
8
3
3 475 »
8
3
5.174 »
géologiques, arrachent les blocs de mine- j ■leur cuisine vaste comme une église, leur surprenant un affûteur, il piqua droit sur
Cette châsse, toute en métal précieux et XiTry-le-Franc
le
mécréant,
qui
ne
put
se
soustraire
à
la
Tucquefnieux
3
»
19Ï »
1
rai et creusent — termites géants — des I cheminée
où le manteau de pierre païle la- chasse endiablée de l'adversaire qu'on dis- jen vieux émaux du douzième siècle — elle Landres
4
1
1.220 »
pèse 60 kilogrammes environ et est estimée
galeries sans fin à des profondeurs va- j tin ou français, leur belle chambre de de- paraissant au plus vite dans les fourrés du une centaine de mille francs — avait été
Ch. 'HUILLIER, bandafjîsîe-ïiernlaîre-spêcïalîsU
Totaux...
309
46
76 835 »
riées.
I vant où des meubles anciens redisent la vie I bois.
,«ue de M. Gérardin »une première fois débarrassée des bijoux
REMBOURSEMENTS
(Brevelô S. G. D. G.)
La
passion
cynSgéfcF
dont elle était sertie. Aussi, depuis, ne l'explusieurs générations.
Ce sont les mineurs du Val de Fer, ce I de
i
Rue Saint-Dizier, 14i, NANCY.
Art. LIT. soldés Sommes
n'a d'égale que" sa haine pour le bracon- ]pôsait-on à la vénération des fidèles qu'à
sont les .mines de fer qui pénètrent au
Briey (caisse centrale)
51
7
24.054 »
Ce qui m'étonne et m'attire dans ces mai- I nier : elle s'affirmera encore en 1908, pour ]
Appnrcile* orthopédiques perfecl'occasion de certaines'solennités ; elle resSuccursales :
tionnés extra-iégei'S, membres articœur des coteaux et des monts... et, de tout I ;sons de nos villages lorrains, c'est le lit, I une période de neuf ans, lors de la location tait enfermée dans un solide coffre dont
Longwy
36
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21.827 01
ficiels
Téléphone ?f»0.
j
partout, en cette région où nous sommes, J l'immense
1
lit conjugal qui n'en finit pas, en des chasses, si, comme j'en ai le grand es- l'abbé
Paillet, vicaire, gardait soigneuse- âorey
6
3
3.394 03
poir,
Saint-Hubert
couvre
toujours
dé
sa
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ment
la
clef.
Villers-la-Montagn».
»
»
»
»
c'est le même labeur incessant... 'et je pen- j ilongueu, en largeur surtout, avec des pailvisible protection son fervent et remarqua1
1
1.531 99
C'est à ce prêtre que s'adressait ces jours Hmsigny-Godbrang»
se à cette parole de l'Ecriture : Toute mon- :lasses, des matelas,
des plumons,
des ble disciple. »
U
1
2.529 86
derniers un opérateur photographe, dési- Longuyon
tagine sera abaissée et toute vallée sera J oreillers
<
1
1
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et des couvertures piquées..., I
Etat civil de Saint-Mihiel. — Naissance, jreux de reproduire la châsse. iJrêtre et pho- Charenoy-Veiin ....
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*
»
t
remplie.
tographe se rendirent à la chapelle. Le cof- Pierrtpont
j et je songe à ces choses d'autre- I — Marie-Claire Brissé.
Ylllerupt
10
4
5.763 14
Publication de mariage. — Auguste-Pol- fre était vide ! La châsse avait dispara ! A.udun-îe-Roman
DE HOLLANDE
§
Narquois, les deux cônes de scories de jj ;fois, à cas pères-grands qui ont en- I
...
9
»
4.254 »
Gabriel Bernard, horloger, ct Augustine- On
.
apprit bientôt nue le matin du 12 sep- OhambleT
La collection suivants de H
3
1
2.783 38
Jarville, par derrière, semblent nous d'ire; I gendré
j
là, à ces bonnes mérettes en bonnet I Juliette Simon, sans profession.
rugs
-k
BOB
beaux
Oignant
pour
II
H
tembre, quelques instants avant l'arrivée Gonflans
17
8
4.558 72
ggEgîâj^
Jnrdin franco àdomioilapour M
« Les vieux du temps passé n'avaient-ils Jj ide lingerie qui ont fait l'œuvre d'amour, en J
Décès. — Alfred Poirson, 49 ans, coupeur du photographe, une automobile avait ame- Jœuf
14
3
8.267 71
1
»
200 »
.
quatre personnes, trois hommes et une Norroy-le-See
point raison ?»
1
IJ tout
bien, tout honneur, et qui, figées pour J tailleur. — Hubert-Léon Simon, 26 ans, né
lunetier.
6
3
4.886 72
femme,tous quatre frè» élégants,qui araient Xivry-le-Franc
J jamais, furent parées sur ce lit, pour l'ôter- J
1
»
200 t
le sanctuaire et avaient paru prodi- Tucquegnieux
Etat civil de Verdun. — Du 28 septembre visité
Landres
»"
»
»
t
j nel sommeil de l'ailrée*
(gieusement s'intéresser à l'architecture du
^^^^^^^^
léem: 30Narcissos; BOScilla B
au 4 octobre 1907. — Naissances. — André ]monument.
Soudain, a un tournant de la route, c'est
Henri Tartivclle. — Georges-Michel-AlbcrtTotaux ...
167
33
85.102 47
Joscph Swyngcdauw. — Marcelle et Mar- < Or, le signalement des quatre voyageurs
2 achats de rente, pour 2.550 fr. 41.
«a merveilleux .changement à vue : il y a
^^OnjpWf
Ixia; SK> Jacinthes à grappes:
exactement à des personnes
S^îgSjWyi
20Renoncnles;30 Anémones; ■
guérite Saunier. — Mathilde Lehmann. — correspondait
i
sous nos pieds, un cirque de verdure
honorablement
connues
de
Clermont-FermWfiSiSÊfX
Jacinthes à plumes; 10 B
j En avant, maintenant,.., la montée sera j Berthe-Marie-Suzanne Sperate.
I j
rand.
Deux d'entre elles, les frères Jean et
des vergers s'étendent à perte de vue ; des ,
j
I rude jusqu'au isommet du fort de Pont- I Publications de mariages. — Ernest François
&.
81sSï3Ir"Vï\Jl' panica; 30 Ailiura. Ensemble
Thomas,
sont
de
notables
comprairies mont ont aux flancs des collines, et, j <
Samson, et Berthe Lofrançois, servante.— ;
Peut-on, pendant vingt ans ou plus, avoir
I Saint-Vincent, jusqu'à la pointe ultime du I Joscph-Emdle-Marcel
* "onrs dans toutes couleurs
Orné, employé de che- »mlctrçants, fabrichnts dé futailles, établis la persévérance de placer à intérêts compo- IjfflL sfpKT'rA^Wu
suivant le fil des eaux claires, des maisons ] ,
de longues années dans la ville, bou^^^^o^iwiiw lrancoAdomiciîoponrFrsl4.
j « cavalier » de oe fort Pélissier, qui, de ses I mins de fer, et Juliette Lallemand, lingère. depuis
]
|\B ^HË^O^IwllmjSlil^L^ LamoUitSciecosquantités
sés et de faire boule de neige avec ses écose sont bâties, en un fouillis pittoresque, au j ,
levard Pasteur.
I 400 mètres, regarde à des lieues, par tout le — Henri-Gcorgcs-Marie-Charles Balazuc, I L'alné, âgé de trente-quatre ans, mem- nomies ?
^^O^ffll^^^^^^l^r^ ""p ^ Oignons) pour Vvs S,
weux iraême du val de fer, entre les puits
comptable, et Julia Delafond. — Lucien- ]
I pays lorrain.
L'assurance dotale à l'UNION-VIE, en^^Hwj^^^^B^
'Collection Se ZOO Oignon»
René Humblet, plombier, et Jeanne-José- ,bre de plusieurs sociétés de Clcrmont-Fer- treprise privée assujettie au contrôle de
<te mine, le? noyers énormes, les miro.belIHKIÉA^IL
k fleura pour la chambra,
I A travers les noyers qu'on gaule ferme J phine Aubertin, couturière.— Joseph Chris- ,rand, est en outre président d'une asso- l'Etat, fondée en 1829, nous offre ce moyen
«B^ïisÎMtôsa
franco h domicila, Frs 12
«ers chargés à glane et les quoichetiers aux .
ciation
des
plus
réputées
de
la
région,
]
N6Tv 1?^ À (pour la culture forcée on
'ruits si juteux.
■
II en ce matin, à travers les mirabelles et les ton, garçon boucher, et Marguerite-Angèle l'Athletic-Club.
On le voyait à toutes les rare, garantit notre avenir et celui de nos
]
wlSH!'8T
pot3,Ya30S,otc.):20Jacinthos
(
j
enfants.
I
quoiches,
à travers des ronciers et des buis- I Guillaume. — Clovis-Jujes Petit, cafetier, réunions
ei
BBBJBf
simples et douhlos; 10 Jacinsportives.
? ?! ChfVigny de Lorraine, grosse agglo-J ,
et Augustine Valéry, modiste. — François I
«ajï
|jf|
tues romaines blanches préA
l'âge
de
26
ans,
versons
300
fr.
par
an,
n
j sons qui s'agrippent à des pierres, nous I Mafirice, magasinier, et Marie Pérignon, I j Le troisième, An tanin Faure, est de leurs
j
II
cocos ; 30 Tulipes on 10 va^ration industrielle,bourgade de mineurs, \
^Bl|f
riétés; 20 Narcisses & tromI grimpons par le sentier des Rogations pour | lingère. — Marie-Antoine-Gaston Delauzon, I ]amis très intimes, appartenant à une des à 51 ans, nous toucherons 10,000 francs. Si
calme en ce imatinet de septembre, '
nous mourons demain, nous ne laissons aumeilleures familles de Clermont.
Mjr!
pettes; 10 Narcisso» a boncapitaine au 148", et Marie-Caroline Petot. I
I redescendre
par l'escalier à pic.
:
M. Artigues, commissaire de police, et M. cune charge et notre enfant trouve dans 25
|J«C ses maisons blanches, sa coquette
—'Henri
Mila,
sergent
au.
162",
et
Elise-Elo'
^■gS^MuES»^.
rantos; 20 Pcrce-Neigo ElEt, de nouveau, nous éprouvons la sen- j
ans 10,000 francs. Bemboursement immé(SjB^^aK?l7Sr5^ wosi; 10 Scilia Sibérica; 10
^ise gentiment décorée, et ses fontaines
die Varnerot, employée de commerce. — <Vigicr, juge d'instruction, se rendirent à
^SSn
™^-—-^lJ AUium blancs; 10 l'rittildes montées, le désir de voir, le be- Ernest André, blanchisseur à Saint-Lau- idomicile. Au moment où les magistrats pé- diat tle toutes les primes en cas de décès de
w laissent fluer les eaux limpides... les J isation
,
dans la maison des frères Tho- l'enfant.
I soin de 'se retourner..., et nous comprenons I rent, et Alphonsine Gonat. — Hcnry-Ferdi- nétraient
j
!
^B8pi£^_L^-^n
neau; 10 Freesia; 10 ChioX < ue N&
nenseignemente sratuits et confidentiels
mas, ils virent Mme Thomas saisir sur une
-™, ^
ncy a vainement cherchées I i
tBSB?*''" "
nodoxa ; 20 Crocus ; 10 AcoI
bien la démangeaison de cette enragée de nand Maurice, sergent au 3" génie, et Vie- (étagère une enveloppe, qu'elle s'empressa chez : Al. FAIVRE D'ARGIER et fils, 7, rue
nites d'hiver.
«s habitants,
— Louis-Théophi- ,
de dissimuler dans son corsage. Sommée de la Ravinelle (près la gare), Nancy.
I femme de Loth qui s'en allait par les mon- torine-Cn.arl.otte Hautcm.
La moitié de cee çraantités (100 Oignons) pour Frs 7,
€irqU
c,iavi n
Gervois, maréchal des ,
franco
&
domicile.
Payable
par mandat international
«ans
° *
'S y est d'un charme I tagnes de Judée, avec un incomparable 1 le-Joseph-François
ue
remettre
ce
qu'elle
venait
ainsi
de
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on contre remboursement. Tons les oignons sont dans
cher, elle s'y refusa d'abord. On dut l'y
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Alexandre-Henry
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(
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moseii^é , °
"
'
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nous tournons
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i
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r Cî SOnt ,chcveI
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ues et garnies de '
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ciboires, tapisseries, vases sacrés,
raisselets m urmur
d'infanterie.:
,
'
ent au flanc '
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étendu
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Cha* l'anw
' ,
' cueillant les fleurettes
trousses les plus perfectionnées de l'attilatson de P erdre entièrement transformée
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*»i Z
> cherchant des champignon-, ligny adossé à son rude mamelon vert.
rail des cambrioleurs : fausses clefs, min- A |f IC **■ *'H- Morccl, chirurgien-dens
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pincesRliS liste diplômé de la Faculté de mé- Nouvelle
«le d!
'
chapeaux de
installation pour noce»
monseigneur,
soigneusement
polis
et
enC0lircnnff3 de
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veilleuses, ou bien monter encore ! Déjà les bonnes vedettes
ct banquets
tretenus, des armes, des poignards, et en- tèle que son cabinet de consultations (andu fort, sentinelles avancées, nous ont déIa
reS et aux frères de
fin,
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une
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lant
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* ml^%
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Sainte-Lucie, dont
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Téléphone 208
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j
les
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P5SNSÏOK
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Très certainement, d'autres arrestations
t i,ls mêm
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les
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350
à
500
fr.
;
le
jeune
bétail
180
à
250
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des
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^oût
il
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**si*9 c'<w A^-K , **•
les cochons gras, 1 fr. 50 à 1 fr. 60 le kilo, ;soir, le comité de l'Athletic-Club a décidé à
1vingt ans*
micccssoHP
de
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fi
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— Je l'ai reçue tout à l'heure en sortant de l'hôtel. Voici sa lettre 1
« Tu me demandes, mon grand, de lui
garder la meilleure place dans mon
cœur !... Tu sais bien pourtant que tu
l'a déjà prise depuis longtemps !... Il faudra te serrer un peu, voila tout, et vous
mettre deux là où tu étais seul !... Mais
avec quelle passion tu en parles !... Saistu bien que je me sens devenir jaïouse ?
Je crois vraiment que je suis déjà belleRtère
Bref, ne tarde pas trop à venir
me chercher, j'ai hâte d'aller voir moimême dire à celle que tu as choisie que
je suis prête à l'aimer comme ma fille ! »
— Quand parlirez-vous 2
BELLE PROPRIÉTÉ
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—Demain ! J'ai hâte de vous faire connaître ma mère !... Je suis certain que
vous l'aimerez de suite ! C'est vous dire
que je ne m'attarderai pas en Touraine
et que je serai vite de retour.
— Oui, revenez vite !... Vous le disiez
tout à l'heure, ami, c'est un mot charmant que celui de « fiancés », mais c'est
aussi une heure délicieuse que celle des
fiançailles !... C'est une sorte de retraite
que l'on se donne pour ne plus penser
qu'à l'autre, se pénétrer de lui, de lui
seul et oublier tout ce qui n'est pas lui !..
Je ne sais ce que l'avenir nous garde en
réserve, mais je sais que je suis en ce
moment parfaitement heureuse et je
voudrais savourer mon bonheur sans en
rien perdre. Revenez donc vite !... Ne
trouvez-vous pas que nous sommes ici
bien à nous, bien seuls et ne vous semble-t-il pas parfois que le reste du monde n'existe plus ?
Un serrement de la main qu'elle avait
abandonnée à du Breuil fut la seule réponse qu'elle reçut.
Certes nos amoureux ne pouvaient
souhaiter un coin plus discret pour isoler leur bonheur ; un petit nid. de verdure, au bout d'une allée de tilleuls, les
gardait des heures entières à faire mille
projets. Là,au fond du grand parc de ce
vieil hôtel que Mlle de Mortreux possédait rue des Wetz, aucun bruit ne venait
jusqu'à eux.
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ît'JK-:»uit*\\.itM.,\àr.,liK,
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II yntnn innOBillet: UN
nnl. tïrudi.
10r JARliTlfl
13U0P.
1i i _.ni etdaSWUOE. 60, r. de. TournellM.Pir'n.
après la catastrophe qui avait bouleversé sa vie ; petit à petit, dans ce silence
de toutes choses, dans cette atmosphère
de calme, la jeune femme s'était ressaisie ; tout en elle avait repris un cours
normal et l'équilibre s'était fait dans son
moral si bouleversé : la tristesse était
tombée, s'était tassée en quelque sorte,
augmentant le fonds de mélancolie qui
faisait son charme et l'espoir était revenu à la surface, timide d'abord, puis
plus affirmé, triomphant, radieux ! Ainsi dans le flacon que le savant vient d'agiter, dans l'océan que la tempête a bouleversé, tout est mélange et confusion
pendant longtemps, puis, le calme revenu, le liquide se carifie laissant déposer ce qui le troublait et tout reprend
l'ordre normal fixé dans la nature !...
N'est-il pas normal aussi que l'espoir,
cette vapeur si ténue qui flotte devant
nous comme un mirage pour nous forcer
à aller plus loin, à vivre un peu plus,
n'est-il pas normal que l'espoir, cette
mousse de bonheur si légère, surnage
en nous toujours et domine enfin de
tout ?
— Ne trouvez-vous pas, amie, que les
couchers de soleil sont différents chaque jour et se ressentent de la journée
qu'ils finissent ?... Tenez, là-bas, à l'horizon, voyez, tout est d'émeraude ! Nous
serons heureux !... Je me souviens d'un
soir comme celui-ci, là-bas, près de Piguig I... La journée qui finissait emportait avec elle l'âme de mon pauvre petit
ordonnance qui venait d'être tué d'une
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Les ors et les verts mettaient aux funérailles de ce pauvre petit soldat une magnificence qui leur enlevait tout ce que
la mort a de pénible pour exalter la gloire de cette fin d'un brave.
— Et c'est alors que vous avez pris
comme ordonnance cet anarchiste ?...
J'en tremble encore !...
— Lui 1 ..Il a été pour moi d'un 'dévouement !... Je connais beaucoup de gens
considérés qui n'ont ni ld droiture, ni la
loyauté de cet anarchiste... et sans doute, celui-là ressemble à beaucoup d'autres !...
— Mais vous versez dans le socialisme, mon beau capitaine !...
— Si c'est être socialiste que Vouloir
plus de justice, plus d'égalité et plus de
générosité pour les pauvres diables, je
le suis certes !... Nous le sommes tous
dans l'armée !.., seulement, à l'inverse
de ceux qui font profession de l'être,
nous en avons l'esprit sans en accepter
l'étiquette ! Que d'officiers sont socialistes... sans le savoir.
— Vous m'expliquerez tout cela 1
— Oui, Jeanne, je vous expliquerai
tout cela !... Songez que nous n'aurons
plus comme autrefois une heure de
temps à autre pour causer de toutes ces
choses... Nous serons l'un à l'autre toujours !... Nos lectures, nos éludes se feront en commun !... Je vous parlerai de
toutes ces questions d'un intérêt si puissant et... vous... vous serez le charme,
vous serez l'harmonie !... Vous !... Vous
chanterez tout ce que nous aimons !...
Ils rentrèrent, car la nuit venait. Dans,
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Edmond ÎIULISÉ,
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rue «ïu Pont-Mouja»
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la grande pièce qui lui servait de lingerie ils trouvèrent » Tante Amélie », qui
les gronda un peu d'être restés si longtemps « au berceau » malgré la fraîcheur
de la soirée.
La vieille demoiselle avait d'abord eu
un peu de défiance à l'égard de du
Breuil. Sa pruderie provinciale aussi
s'était offusquée d'un mariage à une date
aussi rapprochée des délais légaux !...
Mais petit à petit, l'officier l'avait gagnée
à sa cause ; l'homme lui plaisait : il était
vivement épris 1 Le goût très prononcé
que la vieille fille avait pour les « choses du sentiment », sa sensibilité un peu
romanesque qu'elle n'avait jamais pu
satisfaire pour son propre compte se
plaisaient aussi dans cette « histoire d'amour ».
—■ Ils sont si gentils, pensait-elle, et ce
« vaillant capitaine » a si bien l'air d'un
chevalier du bon temps 1
Dans son imagination, en effet, du
Breuil apparaissait vêtu comme un paladin dont la « dame » n'était autre que
sa nièce, sa petite Jeanne... Elle était
maintenant la plus affairée par les préparatifs.Elle avait été si contraire au premier mariage !... M. de Beauvilliers était
si peu chevaleresque !... Celte union
nouvelle, au contraire, lui offrait une
compensation délicieuse ! Et puis elle
avait été si effrayée de voir l'état moral
dans lequel était sa nièce à son arrivée
de Nancy, que l'officier lui apparut comme un sauveur. Quelle catastrophe !
Four elle, c'était une punition du ciel
parce qu'on « avait marié cette enfant
contre son sentiment *.
Du Breuil annonça son départ, prom»
d'être promptement de retour, dut ae
cepter pour sa mère l'hospitalité dans i
« chambre bleue » et prit congé,. n°«
sans avoir respectueusement baise
main de Mlle de Mortreux pour lia»1
sa manie et achever de la conquérir.
Une heure après, attablé au restaura»
Boussard, l'officier dînait dans un coin,
à part, car il devait le soir même pi"'_
dre le train pour Paris. Tout en majl
géant, il jetait distraitement les yeux su,
un journal ouvert devant lui. MaiS „„.
esprit était ailleurs ; il retrouvait le
venir des quelques jours qu'il venaii
passer à Douai et il se laissait aller a
ver de leur avenir. Que de changeme
s'étaient faits dans son existence aey"
quelques mois !... Quand il se reP°!l „.
en arrière, au commencement de s0\ r-lS.
man, il retrouvait cet amour un Peu i0'n
te qui avait été le sien, ceUe^ Pabsv.a;{
sans espoir dont l'amertume même
été pour lui pleine de charme. H çov v^
rait cette mélancolie dans laquelle complaisait alors à l'amour .raj dor(.
plein d'espoir d'aujourd'hui quilu' :0j6
nait envie par moments de crier su i
comme un oiseau chante de voir
leil. Il était émerveillé !... Qu01,r'Vivre
femme qu'il avait hésité d'abord a
de loin, celte femme dont i}- avau ^
comme un poète rêve d'une étoue- |le
femme allait être à lui !... .La,i7j.revée
qui barrait son horizon avaiV ,,na teréventrée par l'explosion de celte n
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