1 - Kiosque Lorrain

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REDACTION
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ADMINISTRATION, 51, RUE
SAINT
BIZIEB
S Centimes - 4. g, 8 JPAGËS - W°7.510
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Téléphone 3 21
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Les pertes françaises
ALCEU, 30 novembre. — L'attaque du 29
aovembre s'est produite sur la fin de l'après-midi, à l'Ouest de Menasseb-Kiss.
[
Nous avons eu le trompette Coudroy, de
la section d'artillerie de montagne, tué, le
eanonnier Dussault, de la même section,
Blessé ; le capitaine Bellida, de la 3" eompagnie de tirailleurs a reçu trois blessures
graves.
L'ennemi a été repoussé avec do gros
ses pertes.
;
Les dispositions dea troupes et les renforts
Le cénéral Lyautey a fait connaître par
dépêche au gouvernement que des detachements ont été envoyés sur les point;:
suivants :
1° Au Kiss, un détachement compose
d'une compagnie de tirailleurs, d'une section d'artillerie de montagne et d'un de
mi-escadron de spahis.
Ï
A El-Arnabra, un demi-escadron d
chasseurs d'Afrique.
"
3"
Bab-El-Assa, deux compagnies du
er
1 étranger, un demi-escadron de spahis
une section d'artillerie de montagne et 1,
goum.
4° A Sidi-Bou-Diennam, deux compagnies de tirailleurs. Ces deux compagnie:'
ont l'ordre de se porter à Bab-El-Assa.dès
que le colonel Brnndières y sera arrive
avec un bataillon de zouaves et une batterie montée.
{Menasseb-Kiss et "Hli-Aïssa sont dent
Points frontière,du côté a;lgéwilî,a« NordOuest de Lalla-Marnia, et un peu au-deâ
sous de Bab-El-Assa et d'Andjeroud, où
eurent lieu les précédents combats.)
TUNIS, 30 novembre. —- Une section d'artillerie de montagne appartenant à la 18"
batterie du 1S8 régiment d'artillerie, en
garnison à Hurmanlis, est partie ce soir
a destination d'Oran et de la frontière
aî'ïéro-maroc&ine.
Elle se compose de 60 hommes, de 40
chevaux et de deux pièces de car,on de 80
«e montagne.
D'antre part, les autorités militaires ont
reçu l'ordre de diriger aussi sur Oran.par
les voies les plus rapides (mer ou terre)
le bataillon du 3" tirailleurs algériens, en
garnison à Bizerte et à l'effectif de 800
nommes.
Le jugement
Il SAiBllSUSE SU ElrSESS
Un des malfaiteurs est arrêté
Les inspecteurs de la sûreté parisienne
ont arrêté, hier soir, à Lille, un des auteurs du cambriolage de l'express Toulouse-Paris, près d'Etampcs.
r C'est un nommé Francis Roche, dit
Louis, âgé de 24 ans, camelot, demeura
rant à Paris, faubourg Montmartre.
Au moment de son arrestation, Roche
avait très peu d'argent sur lui.
_ Deux femmes qui se trouvaient en sa
r
compagnie ont également été arrêtées.
Le trio a été ramené à Paris. — Havas.
15
f■.■1ASSOCiATION D'EEPSONNAGE
DE TOULON
MARSEILLE. — Le service de la sûreté a
ai
arrêté un nommé Benini,_recéieor, qui aur;i clé en rélMliuns avec I bande binm <t
rait,
ce
consorts,
arrêtés et emprisonnés à Toulon
pc
pour
espionnage. — Havas.
LA PEINS DE MORT
Les jurys de l'Isère, de la Seine-Inférieure et de la Gironde, viennent d'adresser au
garde des sceaux des vœux tendant à l'exéCl
cution de la peine de mort.
Le jury de la Gironde a adressé un vœu
analogue
au président de la République.—
JJ
Havas.
g
ECHOS DES INCIDENTS DU MIDI
— M. Camile Peiletan, est arri
rivé
dans l'après-midi pour soutenir la
ci
candidature
de M. Jean Bourrât, député,
ai
au siège de conseiller général, en remplac
cement
de M. le docteur Ferroul, dont l'é<
lection a été annulée.
Son arrivée a donné lieu à une manihostile.
f£festation
Le parti ouvrier a fait, d'autre part, afficher un appel engageant tous "les viticulteurs à conspuer M. Peiletan.
NARBONNE.— M. H. de M..., régisseur de
^
M. C..., et M. O..., épicier à Figean, ont
^1
été arrêtés et incarcérés pour entraves à
\c perception de l'impôt. — Havas.
la
PERPIGNAN.
stsasoïiAMa
Le « Patrie » emporté
par une rafale
[_
VERDIE, 30 novembre. — Le ballon dirigeable
militaire « Patrie » se trouvait,
°
comme on sait, campé depuis son accident
à Souhesmes, pour les réparations nécesSi
saires à sa magnéto.
Le départ allait pouvoir être effectué,
p
lorsqu'une
violente rafale arracha le bal1<
lon des mains des 200 hommes qui le maintenaient.
t<
Après avoir traîné sur un parcours d'une
quarantaine de mètres, le ballon partit
3
vers l'Ouest, et nïffnta à une grande haut|
teur.
Il n'y a eu aucun accident de personne.
Depuis, on n'a nlus de nouvelles du bal
j,fon. — Havas.
FIN DE
LA DERNIERE HEVRE
LE PRESIDENT SES
ÏÉTEPJS
On apprend la mort à la maison de
Nanterre,
Ç
près Paris, de M. Levecq, pré
ssident général honoraire de la société des
vétérans
des armées de terre et de mer.
v
LES AJOURNES DE LA CLASSE DE 1904
Entre deux séances de la Chambre de
g
samedi,
le ministre de la guerre a été enltendu par la commission du budget sur la
question, notamment de la libération des
ajournés
de la classe 1904.
&
Le ministre a laissé entendre qu'il serait
trèposé à les libérer le 13 juillet 1908.
DUEL ENTRE SENATEURS
|j
A lu suite de l'incident que nous avons
I ''relaté, un duel a eu lieu entre MM. Savary
II e Delahaye, sénateurs, à la tour de Villebon.
Deux balles ont été échangées sans réssultat.
Les deux adversaires ne se sont pas réconciliés.
c
Les témoins de M. Delahaye étaient MM.
,Gandin
de Villaine et Le Cour Grandniaison.
s
Ceux de M. Savary étaient MM. Ournac
et
Maxime Lecomte.
e
mm
SE
iss «ÉifTOiTS
Chambra. — Séance du mercredi 27 novembre
1907. — Au scrutin sur l'ajourne'<
sment des mots : « ou de fondations pieuses
», jusqu'après le vote du paragraphe
*
14
l (discussion de l'article 3 du projet de
.1loi relatif à la séoaration des Eglises et de
'l'Etat).
— Ajournement repoussé par 360
*
voix
contre 162.
v
MM. d'Alsace, H. Boucher, Ferrette,
IFîayelle, Krantz, de Ludre, Marin ont votté pour.
MM. Chapuis, Fleurent, Ch. Hunabert,
Grosdidier,
(
Lebrun, Lefébure, Mathîs, Méquillet et Srhmidt ont voté costtre.
— Sur la suppression, proposée par Mï
Rudelle, «poussée par le gouvernement,
du troisième alinéa dudit article 3 :
MM. d'Alsace, H. Boucher, Ferrette,
]Flayelle, Krantz, Lebrun, de Ludre et Ma1
rin
ont voté pour la suppression.
MM. Chapuis, Fleurent, Grosdidier, Ch.
{Humbcrt, Lefébure, Mathis, Môquillet et
=Schmidt ont voté contre la suppression.
Bans le Mares eeeiieiÉi )
* défaite d'Abd el Azi2 provoque une inquiétante agitation
Un télégramme du général Drude au
{Ministre de la guerre, fait connaître que
'a nouvelle de la défaite de Bagdadi (comMandant de la mehalla d'Abd-El-Aziz),
Provoque une certaine effervescence par•nii les tribus Chaouïas.
Celles-ci tiennet de nombreuses réunions.
toutefois, elles paraissent n'avoir arrê1,3
aucune résolution.
soldats de Bagdadi ont, été faits pri»onniers dans le dernier engagemcnt.et en
v
°yes à Marakcsch. — Havas.
BOITOSB DSÏ PASUS
Prem. eoors Dorn.conrs
do 30 nov. dsSOnov.
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. Par décision ministérielle du 30 novem? D„ n œrs
? général de division Bonneau, dis-; RWK! Mle'cs
»°'ulde, est nommé au eomnmndémenl ilfcj
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« . . . .
L
NANCY, samedi 30 novembre 1907.
Voici les noies rapides, prises à l'audience t
Houoecm combat
aSidi-Âissu S
OIUN, 30 novembre. —
On signale un
deuxième combat qui s'est produit le 29, à
la frontière du Maroc, près du marabout
de Sidi-Aïssa, à deux kilomètres de Bab-elAssa,
On pris part à ce combat : la 11e compagnie du 1" régiment étranger, capitaine
Deville ; une compagnie de tirailleurs, capitaine Michaud ; lee 3e escadron de spahis, capitaine Robert ; une section de
montagne, .'ieutenant Richard,
Les Marocains, au nombre de 3,500, ve
liaient à cheval. Ils ont été repoussés et
écrasés par le feu de l'artillerie.
On a tiré 136 obus. Les pertes des Français se montent à deux tués et six blesséappartenant tous à la légion étrangère.
Aueun officier n'a été tué ni blessé.
PARIS. — Le ministre de la guerre a reçu
samedi un télégramme du général Lyautey, daté d'Oran, 10 h. 45 du matin, conflrmant la plupart des renseignements donnés par un précédent télégramme sur le
combat de Sidi-Aissa, sauf que deux compagnies de la lésion, au lieu d'une, ont
pris part à l'action.
C'est après avoir tenté un mouvement
tournant sur la cauche de notre colonne,
que les Marocains ont été repoussés, avec
de grosses pertes.
Le nombre de nos blessés est de quatre
au lieu de six, dont deux caporaux.
L'état sanitaire des troupos est excellent,
et, malgré les fatigues qu'ils ont eu à supporter, les hommes sont admirables d'entrain et de bonne humeurs
„ ~~
Ll^OPsT
-fjp
à la frontière algérieeao „
yn militer de Marocains tués ou blessés
LALU-MAIUMA, 30 novembre. — Voici de
nouveaux détails sur le combat d'hier, entre Menasseb-Kiss et Bab-El-Assa :
Lee Marocains ont combattu avec beaucoup de témérité.
Les ravages faits dans leurs rangs par
nos obus sont immenses.
On ignore le chiffre de leurs blessés,
mais on l'évalue à plus de 500.
Quant aux morts qui n'ont pu Être enlevés par eux, selon leur habitude, plus (le
300 corps jonchent le champ de bataille.
De nouvelles troupes sont arrivées de
Marnia, notamment une batterie d'artillerie de 75, qui est repartie aussitôt pour
iid i-B e n - D] en n am.
en chef :
ia 4i» aivisior a iniamenc, a Kemiremont.
— Havas.
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«&*o ».
Le tribunal correctionnel a rendu samedi matin son délibéré dans l'affaire Silice,
entendue il y a huit jours.
On sait que Mme Silice était poiu^u-ivie
sur trois chefs d'aecusmi • > :
Le premier chef comportait des menaces
de mort sous conditions, laites par des
lettres écrites au ministère de la guerre, à
M. Beneeh, etc.
Le deuxième chef est relatif à des outrages envers les agents de la sûreté Hernard
et Naudin, qu'elle traita de hiches.d'assassins, au moment do son arrestation, ordonnée par le parquet.
Enfin le troisième motif consiste en outrages par lettres adressées par l'inculpée
à M. Lecomte, juge d'instruction, qui était
charge de son affaire.
Dès avant l'audience, une fon'.e nobreusc a déjà envahi la salle.
♦
On se presse, on s'entasse, mais la prévenue est restée un prison. Elle ne viendra
qu'au dernier moment.
Les curieux inspectent vainement te prétoire, Mme Silice n'est pas là, entend-on
chuchoter.
Vers dix heures, le président M. Labroase,. répond à une question de M. Page :,
substitut, que le jugement sera rendu à
onze heures.
Mais dès dix heures et demie, l'audience
sa trouve suspendue, car il n'y a plus d'affaires inscrites au rôle.
Le tribunal se retire alors en chambre
du conseil.
A dix heures cinquante — exactement !
— Mme Silice arrive, amenée par la voiture cellulaire.
Elle est vêtue de la même robe de chambre, en molleton blanc, qu'à l'audience où
elle comparut pour la première fois.
Son mari, sa mère et sa sœur sont également présents. Ils s'efforcent, comme la
première fois, de la calmer, car, comme
la première fois, Mme Silice s'agite et gesticule beaticoup.
Au liane dé la défense, M* B#,-,»>vi .
supplée M" Joaehtm, é.vocat
lice.
Enfin, la sonne" • •> ta SQlle annoncé h
rentrée du tribunal.
Le président lit le jugement. Parmi fes
considérants, il est dit que la mentalité de
la prévenue est anormale ;
Que si l'on rapproche le rapport médt
cal dressé pour la présente affaire de celui
établi antérieurement à Paris, lors d'une
autre procédure, et que si, d'autre part,
on considère l'attitude exaltée de la préve
nue, à l'audience, il est impossible au tribunal de prendre des conclusions sans
qu'il ne soit procédé à une nouvelle exper
lise, etc.
Le tribunal commet 3 experts, médecins S
l'asile Sainte-Anne,à Paris.pour examine:
l'état mental de Mme Silice.
A ce moment, colle-ci s'écrie : « Oui, oi.
veut m'enfermer vingt ans en prison ! :
Je ne suis pas folle I ! On veut me son r
rner ! ! 1
Le tribunal se retire pendant que les parents et amis de la prévenue l'entourent
Mais les gendarmes et les agents fon
évacuer ta salle.
Devant la port:', une foule énorme sir
tionne, entourant le « panier à salade »
Enfin,après une attente de plus d'un quai:
d'heure, on fait monter dans le véhicule
les prisonniers qui avaient été amenés à
l'instruction. Puis c'est le tour de Mme Silice, escortée, jusque-là, par sa famille et
par M" Deubel.
La prévenue, — on doit l'appeler oins:
puisqu'il n'y a pas de condamnation prononcée — monte en voiture et le « panier »
s'ébranle, cahin-caha, au pas lent du cheval « docile » qui le remorque.
Ajoutons que M* Deubel va demander la
mise en liberté provisoire de sa Cliente.
LE REPORTES DE SEKVICE.
Ce jugement remet la destinée de Mme
Silice aux mains de la. science, en vertu
même de la déposition du médecin de Maréville qui avait reconnu à la prévenue
une « constitution anormale ».
Il est vrai que ce médecin avait ajouté :
« Elle est responsable ».
fhiani aux amis de Mme Silice, ils ont
toujours dit : « Elle n'est pas folle, et elle
est si intelligente I n
Certainement, Mme Silice est très intelligente, mais est elle suffisamment maîtresse de son intelligence ?
Voilà la question sur laquelle la Justice
demande à la Science de se prononcer
après un nouvel examen, et il nous semble qne c'est jugé avec prudence et humanité.
Ce qiCon vient de lire o, paru dans notre
précédente édition.
Voici les attendus in-extenso du jugement, rendu le samedi 30 novembre, par
le tribunal correctionnel de Nancy :
« Attendu qu'avant de se prononcer définitivement sur les poursuites exercées par
le ministère public contre la dame Silice
pour menaces de mort sous condition et
j outrages a agents et à magistrat t'aaa I
GOULETTE
CMflQttdn maffl) — Dimancïie^ Décembre 1907,
^ LE D'EXPOSITION, DE PUBLICITÉ ET DE DÉPÊCHES
L
au Foiat Central de la Ville.
l'exercice de leurs fonctions, le tribunal a voi dans l'Est de soldats ehéiifs. Il rend
l'impérieux devoir de s'entourer de rensei- hommage aux officiers qui, dans ce qu'il
gnements aussi complets que possible sur appelle la « détresse » de Verdun, ont monle degré exact de la responsabilité de la tré une unanime solidarité avec leurs solprévenue ;
dats,
(Applaudissements sur tous les
« Que s'il résulte du rapport médico-lé- bancs.)
gal dressé au cours de l'instruction que la
Enfin, M. Meslier fait l'éloge du corps de
dame Silice ne doit pas être considérée santé, mais se plaint de ce que la France
comme «'étant trouvée en état de démen- seule ne profite pas des découvertes hygiéce au temps de l'action, au sens de l'article niques de ses savants.
64 du Code pénal, il n'en ressort pas moins
Les casernes do Verdun, dit-il, sont nodes constatations de ce rapport, et aussi tamment dans un état déplorable.
des déclarations faites à l'audience par te
En terminant, M. Meslier dit que ses
docteur Lalanne, que la prévenue est af- amis et lui voteront tous les crédits nécesfectée dune anomalie mentale constitu- saires pour ne nas laisser nos soldats dans
tionnelle qui se manifeste principalement des casernes ou l'on ne mettrait pas des
par une imagination déréglée et un état chiens. (Applaudise.ments.)
morbide particulier ;
Réponse rio M. Chéron
« Que si l'on rapproche ces constatations
des termes et des conclusions d'un rapport
M. Chéron, sous-secrétaire d'Etat à la.
dressé en UJ06, par les docteurs Dttbuis- guerre, répond que la santé de nos soldats
son, Raymond et Robinowitsch, de Paris, est la principale préoccupation de l'admià l'occasion d'une précédente information nistration de la guerre.
ouverte contre la dame Silice, ainsi que
Dès que le ministre a eu connaissance de
de la procédure actuelle, de sa volumi- l'épidémie de Verdun, il a pris des mesuneuse correspondance et surtout de l'atti- res urgentes. Le nombre des lits a été augtude exaltée de la prévenue à l'audience, menté et ordre a été donné de construire
il apparaît que ces éléments très impor- un hôpital et de caserner dans l'évêché.
tants d'appréciation sont de nature à conLe ministre de la guerre
tredire ou tout au moins affaiblir, dans
une très large mesure, les conclusions adLe général Picqnart prend aussi la pamises nar les docteurs Paris, Lalanne et \ role. "
Anbry ;
Le ministre dit que l'état sanitaire de
« Que dans ces conditions, le tiibunal es- l'armée s'est amélioré beaucoup et que le
time se trouver dans l'impossibilité de nombre des malades a diminué dans des
statuer en parfaite eonnaisance de cause ; proportions considérables.
qu'une nouvelle expertise, seule, peut lever
Il compare ensuite, au point de vue sales scrupules qu'il éprouve et éclairer en
nitaire
notre armée avec les armées
fièrement sa religion.
étrangères. Nous venons immédiatement
« Par ces motifs :
après FÀttemagne et avant l'Italie, la Rus« Surseoit quant à présent à statuer sur sie, l'Autriche, l'Espagne, les Etats-Unis,
le fond,
etc., etc.
«Ordonne que par MM. les docteurs BalOn améliorera encore cette situation, en
lot, professeur à la Faculté de médecine éliminant les hommes trop faibles. On réde Paris ; Dupré, professeur agrégé à la duira lo nombre des permissions, afin de
même Faculté, et Vallon, médecin de l'a- diminuer les allées et venues et par suite,
sile clinique Sainte-Anne, à Paris, experts les causes d'épidémie.
nommés d'office, il sera procédé, serment
préalablement prêté, à un nouvel examen
La démission des généraux Hagron
de la prévenue, à l'effet de rechercher :
et ttiichal
1° Si elle était en état de démence dans le
La
question
de
nos troupes de couverture
sens de l'article 64 du Code pénal, au moment où elle a accompli les faits réputés amène le ministre do la guerre à parler
de la démission don généraux Hagron et
délictueux relevés à sa charge ;
« 2° Si actuellement elle ne s'y trou\ o Michal.
Le général Picquart précise à ce propos
point, par suite d'une aggravation dans
ses précédentes déclarations et déclare que
son état de santé ;
îes démissions ne furent nullement dictées
« 3° Dans la négative, si, au moment où
par des préoccupations politiques.
elle a commis les différents faits retenu!
» Ces deux généraux sont parfis, dit-il,
contre elle, menaces de mort, outrage
de la façon la plus correcte, leur conceppar paroles et par écrits, elle ne se trou
lion personnelle ne leur permettant pas
vait pas sous l'influence d'une exaltation
cérébrale morbide poussée an paroxysme, d'accepter la responsabilité de leurs foncconséquence d'une anomalie constitution- tions. »
Lo général Hagron, continue le minisnelle, susceptible de paralyser sa. volonté
tre, a' d'ailleurs été remplacé par un offiet de supprimer toute responsabilité pé
cier de grande valeur.(Applaudissements.)
nale ou de l'atténuer, et dans quelle me
sure ;
Les officiers do l'Est
« Spécialement si, en raison de ce même
Le
général
Picquart s'associe ensuite :\
état morbide,elle a en conscience de la va
l'hommage rendu par M. de Ludre aux
leur des expressions ou'elïe employait
officiers de l'Est.
soit dans les menaces de mort, soit dan
Jl prendra des mesures bien plus lo.rtes oirtrages ; si ces expressions tradu.'
e pour favoriser leur avancement,
"lient fidèlement sa pensée ou an cor
i n décembre, notamment, il donnera
traire, l'exagéraient démesurément aerte sa faveur aux officiers de l'Est qui
point de ne pas pouvoir être co nsidérée
mirent .sur les tableaux d'avancement.
omme délictueuses, notamment e» ce qi>'
En terminant ,1e ministre do la guerre
"oncerne les menaces de mort.
promet de donner satisfaction en ce qui
« Réserve les dépens. »
concerne les frères présents en même
temps sous les drapeaux.
Suite de la discussion cet après-midi. —
Là séance est levée à midi 05.
Séance du samedi 30 novembre
(après-midi)
; Séance du samedi 30 novembr - (matin)
Séance ouverte à 2 heures 45, sous la
La séance est ouverte à 9 h. 15, sous la.
présidence de M. Rainer, un des vice-pré- r résidence de M. Brisson, qui explique
qu'il y a eu confusion dans le sens d'un
lidenis.
colloque, hier, entre MM. Chaumet et Michel, puis M. de I.anjuinais, député du
Morbihan, a la parole dans la discussion
OffiOiars eî troupss ds I Est
générale du budget de la guerre.
Il demande s'il est exact que l'on songe
On continue la discussion générale du
h déplacer de Poriîivy Ie1 c?;* chasseurs à
h Ajet de la guerre,
M, de Ludre fait un vif éloge du îova- cheval ?
M. Lachaud revient sur in, question de
U*me et de la. vaillance des officiers de la
l'hygiène et de l'épidémie «<.- Verdun.
frontière de l'Est. Il se plaint de la lenM. Chéron, sous-secrétaire d'Etat à la
teur de leur avancement,
comparative •
nuot n Ï^UÏV e*ms/adea d^i» U.u'.rts gàî I guerre, répète que Pé1 i.t sanitaire de l'armée est au ri; mta'O de ses principales
préoccupations.
*M. Messimy. rapporteur, dit qu'en Allemagne les casernes sont plus saines et
j confortables que chez nous. Tl se plaint
re ne sont pas assez fortes. Il trouve éga- i de ce qu'on a* incorporé chez rions 25,000
| 'eurent certaines installations défectueu- } homirvid du service auxiliaire.
11 ne faudrait incorporer que les hom|
et demande à la commission de l'arr;
mée de préciser ce qui serti fait à ce. ' \ * ^ assez forts.
point de vue pour les troupes de couverLa discussion générale du budget de le.
ture do l'Est.
fuérre amène encore plusieurs orateurs à
L'orateur termine en faisant un vîf
ta tribune, nuis l'on aborde les chapitres.
éloge de nos soldats qui comhaticn't au
M. Raibf.rt.i (Alpes-Maritimes) dit que
Maroc et à la frontière algérienne, et
l'école et l'armée doivent se pénétrer, il
cite, à ce propos, les exploits de plusieurs
présente un projet de résolution tendant à
de nos officiers en Algérie. (Applaudisseinviter ie gouvernement à enseigner dans
ments.)
Im écoles normales des notions sur l'orM. S. Grillon demande au ministre de
ganisation militaire.
ta guerre de tranquilliser les parents des
M. Carjiaud, socialiste, demande la résoldats de la garnison de Ncncv, soignés,
duction à un an du service militaire.
dlt-u, dans un hôpital délabré."
M. C.
* accepte le principe de la
proposition Raiberti et, repousse l'addition
de M. Carnaud.
La fièvre typhoïde
ST. Paiberfi retire se pro->cs! ' ;l de ré
M. Lachaud, député de la Corrèze, parle soînfioii.
Les 4 premiers chapitres sont adoptés.
de l'épidémie de fièvre typhoïde de Verdun.
Il montre l'état de vétusté clos casernes,
Um médaille de 1870
dont plusieurs, dit-il, remontent à Vauban
Au ehnnitre 5, M. Louis Marin, député
et où les hommes sont logés dans d'anciennes écuries.
de Meurthe-et-Metsette, propose un relèveL'orateur ajoute ou© la comWisaieft ds ïa ment de 100 francs à l'effet de créer une
Chambre a constaté que la source de Bel- rêeOTnm-r,se honorifique pour les jeunes
rupt, une de celles "ui alimentent les ca- g.. us qui, étant mineurs en 1870, s'étaient.
géfi volontairement pendant la guersernes de Verdun, était contaminée -ar
les maisons voisines.
re. Il n'en reste plus, dit-il, que 1,400 sur
H faut absolument, dit-il, l'abandonner. 16,000.
Il faut, à Verdun, des stérilisateurs à vaM. .lourde, puis M. Chéron, font obserpeur pour faire bouillir l'eau.
ver que si l'on voulait donner une méM. Lachaud regrette que l'hôpital mili- daille commémorative, ce n'est pas aux
taire de Verdun soit mixte, mal installé, engagés mineurs seulement, mais à tous
encombré nor des soldats trop faibles,
les combattants de 1870 qu'elle devrait
qu'on ferait mieux de renvoyer dans leurs être décernée. Ils ne sont pas d'avis,
foyers.
d'ailleurs, de commémorer une de nos
il rend justice au dévouement du corps pins douloureux souvenirs.
médical militaire et demande pourquoi on
M. Chéron dit encore qu'il avait pensé
ne loge pas des soldats à l'évêché.
spécialement, en ce qui concerne les engaM. Messimv. rapporteur, répond crue l'é- gés mineurs, pouvoir, tout au plus, leur
vêché de Verdun est un monument d'art et accorder un diplôme. Mais la commission
serait mieux destiné- à un musée.
ayant estimé qu'un diplôme n'était pas ici
Il faut conserver à la France, dit-il, son de mise plus qu'une médaille, il s'est ralpatrimoine de beauté. (Applaudissements.) lié à ce sentiment. Nous repoussons donc
M. Monsservin (Aveyron) voudrait que l'amendement.
lorsque des frères se trouvent ensemble
M. Marin. — Ce n'est point d'une mésous les draneaux, ils soient envoyés dans daille, mais seulement d'une insigne que
la même garnison.
je demande la création. Du reste, il y a à
Il espère, d'autre part, que les soldats la base de ma proposition un caractère
e
du 81 (Bésg&ft) seront récompensés pour spécial : c'est l'héroïsme dont ont fait
l'héroïsme «u'ils ont montré lors des événe- preuve, nar le seul fait de leur engagements du Midi.
ment volontaire, les jeunes gens à qui
Le docteur Meslier, député socialiste de je demande d'attribuer cette distinction.
la Seine, réclame à son tour des mesures
L'amendement est repoussé par 368 voix
Immédiates pour parer au péril qui existe contre 201.
à Verdun, en raison du surnombre de sol*'**
dats,
On reiette diveis smfiBdemôïiô, dont
II se plairr ; comme M. L&chaudj de l'en- quelques-uns font l'objet, d'ailleurs, de
Lo budget de la guerre
j
La garnison de Verdun
projets spéciaux, et les chapitres
p
sont adoptés sans modifications.
s>
Les
28
et
13
fl à 13
jours
Sur le chapitre 14, divers amendements
^
sont déposés. Les uns demandent la ré',i
duction des périodes d'instruction. Les aut
tres vont jusqu'à la suppression des 13
*;
jours.
On demande le renvoi, qui est repoussa
r,
par
Ji 369 voix contre 201, et la discussîoni
reprend.
Finalement, la Chambre se range & l'a*
vis
de M. Berteaux, président de la comy
mission
du budget, et décide de discuter à)
t
yla fois lundi, cette question ainsi que tous
autres
amendements au chapitre 14 et chai
a
rpitres additionnels à la loi des finances.
La séance est levée.
g
%
1 spMie plier
]
I
I
Offert par I' « Est républicain »
LVllm««ac?i Hachette 1908, qui vient dt
un curieux « Conoffre au gagnant
de
ce concours, pour ses étrennes, une
<
somme
de 1,000 francs en or, qui lui sera
s
j 1remise le 31 décembre.
L'Est républicain a pensé à associer1
£
ses
compatriotes à cette ingénieuse com>
,
binaison en faisant un nouveau sacrifice
dont
ses lecteurs lui seront certainement
'
'reconnaissants.
Après entente
avec YAlmanach Ha*
<chette, qui nous a donné toutes autorisa*
!
lions
nécessaires, nous avons décidé, si le
,
gagnant
du prix de 1,000 francs appartient
au département de Meurthe-et-Moselle, de
lui offrir nous-mêmes un splendide mobilier de 5,000 francs qui comprend :
1° Une magnifique salle à manger da
'2,500 francs de style moderne, composée
<d'un grand buffet-dressoir en chêne, sculp1
té
dans la masse ; d'une table noyer à 4
rallonges, de 6 chaises art nouveau, à
,
élastiques,
garnies cuir et vieux cuivres.
2° Une superbe chambre à coucher de
2,500
francs de style moderne, composée
1
'd'une armoire à glace en chêne ciré.aveo
porte à glace biseauté et côtés à tablettes;
d'un lit en bois sculpté doré avec grand
dossier ; de 2 tables de nuit en chêne,
intérieur marbre blanc.
Ces deux cadeaux, d'une valeur totale
de 5,000 francs, ont été fabriqués par la
maison Mercier frères, de Paris (100, faubourg Saint-Antoine) pour être offerts à
l'heureux gagnant au concours de l'Ai*
manaeh Hachette.
Noua offrons, de plus, sept prix aux
sept premières personnes du département
de Meurthe-et-Moselle qui auront trouvé
le plus de solutions justes, et dont l'Ali
manaeh Hachette nous fera connaître ultérieurement les noms.
Ces prix consisteront en volumes que
nos lecteurs-lauréats choisiront eux-mêmes dans le catalogue spécial de la Li<
brairie Hachette, qui leur sera communiqué. Le premier gagnant aura droit à
trois volumes ; le deuxième à deux volumes ; les cinq autres suivants à un volume chacun.
L'Est répu&lfeawi a fait là, comme ©n
peut le voir, un grand sacrifice, et il espère bien que c'est un de nos compatriotes qui sera le gagnant des séduisantes
étrennes : MILLE FRANCS EN OR et le
MAGNIFIQUE MOBILIER.
et qui contient
lparaître,
1
cours
de silhouettes »,
Nuira Concours
DEMAIN, nous publierons la liste dey
lauréats du concours de notre sensatmnnel feuilleton Vera ia Proîo.par René d'An
jou.
AU MAROC
Télégramme officiai
au général Lyutey
Le combat dH 29. — Les renforts
Le ministre de la guefrs a reçu dans Iâ!
matinée un télégramme du générai Lyau*
tey, daté d'Oran, 30 novembre, minuit 30V
Ce télégramme relate les renseignements
parvenus du Kiss sur le combat du 29 et
annonce que les Marocains se sont éloigner
en laissant sur le terrain un mort et pîv
sieurs blessés.
Ce télégramme ajoute :
« La situation morale et sanitaire de P
garnison est excellente.
« A Marnia, il ne s'est preduit aucun
changement.
« Les renforts envoyés se concentrent à
Ben-Djennam, sous la direction du colonel
Brandière.
« L'avant-garde se compose d'une corn*
pagnie de la légion, d'une compagnie de
tirailleurs, d'un escadron de spahis, et
d'un goum. Elle est déjà arrivée à Bab-efc
Assa.
« Les Marocains paraissent vouloir
concentrer un peu au Sud, vers Aghba.
« Ils ont réuni sur ce point des vivres et
des munitions. »
— Le général GiÏÏet, commandant nar intérim le 19» corps, télégraphie d'Alger au
ministre de la guerre que les 21» et 22°
compagnies du 2° tirailleurs,
venant
d'Oran, sont arrivées au Kiss ce matin, a
six heures, à bord d'un vapeur.
• Deux compagnies du 1er zouaves et le 3e
bataillon du 1er tirailleurs sont arrivés
d'autre part à Oran, où ils vont consti
tuer une colonne de réserve.
 la frontière aeeirlgntale
Abd sl-Aziz battu
TANGEB.
— Une dépêche de Casablanca
<ib novembre, donne queloues détails suc
un engagement entre la mehalla shérif>'eii.
ne et diverses tribus.
sntnnenDèsi le début de l'action, de nombreuses
S
ri
n n
dues
dit on
e^v flit ^ o A ,
>
- > a influence du fils de Si-Aissa-Ben-Omar, mmi*tre
de Moulai-Hafid, cpiV. b-El-Azi. «ve.it eu le
tort a accepter dans sa mehallp
*
"
L'engagement s'est produit entre la kasbah de Sidi-Sligman et gens de l'OuedShessib.
Les tribus ont prie trois canons et de
nombreuses munitions à la mehalla shérilicnno. — Havas.
LÀ JOURNEE
,
-I / F, ST _ Tl E PU B I,TC A FrT
A
t
NANCY
Dimanche L" décembre, — 335° jour
de Vannée.
Aujourd'hui
: saint Eloi. - DCÏ; >ain :
■
saint Bibia.no.
Èphéméridet lorraines. — En 1475 entrée triomphale à Nancy du fumeux duc
do Bourgogne, Charles te Téméraire.
A dix heures. Préfecture : Elections
au conseil des prud'hommes (de 10 heures
à 4 heures),
A midi. — Banque! de l'Action lihérale,
restaurant Walter.
rCl
A midi. — Banquet du Ralliement, hôtel de l'Europe.
A midi et. demi. — Hôtel de l'Europe :
Banquet de ta Chorale de l'Est.
A deux heures.
Salle Poirel : Matinée
théâtrale.
a
A deux heures.— Hôtel de ville : ElecUi
tion
au conseil supérieur des sapeurs-pomjpiers.
,i
A deux heures el demie. — Musique miIM
litaire
à la Pépinière (37") et au parc StcM
Marie (79°).
A trois heures. — Salle Dôglin : Cônfélf
renco de l'Action libérale.
ç. A quatre heures. — Hôtel de ville ;
Conférence
de la Ligue de l'enseignement.,
'
Brasserie Michaut. <-— Concert vocal,
salle
des fêtes.
■
.. A huit, heures. — Salle Poire! : Soirée
théâtrale.
t\ huit heures et demie. — Séance de.
projections
du Photo-Club nancéien.
11
A notre Salle
Cette semaine, le « Monde illustré » pu|,j
blie des gravures très intéressante-, sur
|les
e
événements du Portugal et la giganj.,
tesque randonnée du dirigeable « Patrie »,
di Paris à Verdun.
de
■ La « Vie au grand air » continue la série de ses illustrations relatives au salon
automobile, line partie de ses colonnes
est aussi consacrée au match d'athlétis11
me qui a mis en présence le Racing-Club
de France et l'Université de Cambridge, à
Cambridge et qui s'est terminé par la viet(
toire
des Français.
La « Mode illustrée » v est aussi exposée
a
ainsi que le magasine « Madame et Monsieur
», dos caricatures du « Sourire », du
si
« Cri de Paris », etc.
Enfin, nous avons exposé, encore, des
p
photographies
de la Toussaint à Nancy,
cet de l'enterrement de M. Camille Matins.
Ê Or § 0 N ^ L ^
LA
Première sortie « Patrie » :
A VERDUN
'.u saurs de cette sortie, un accident se
produit au moteur.
Le dirigeable
devenu ballon libre, va atterrir
près du village de Souhesmes,
à U kilomètres de Verdun
{De notre correspondant de Verdun)
Ainsi qu'une note officieuse, publiée par
l'agence Havas, l'avait tait prévoir, une
ascension du dirigeable « Patrie » a eu
lieu vendredi après-midi. Le temps était
d'ailleurs à souhait, bien que très légèrement brumeux ; pas ou peu de vent.
L'ascension
A 1 h. 20, l'équipe d'aérostiers de CMlais-Meudon sortait le ballon de son hangar de Belle ville et le maintenait à l'aide
de câbles dits : « cordes de manoeuvres »,
tandis que les mécaniciens procédaient à
quelques manœuvres préliminaires : fonctionnement du moteui', des hélices, etc.
Quelques instants après, l'énorme poisson
aérien était prêt à. appareiller.
Le général de division Andry, gouverneur de Verdun, arrivait au parc à 1 h. 35.
Il prenait presque aussitôt place dans la
nacelle en compagnie du capitaine d'artillerie Cédié, son officier d'ordonnance ;
aux volants de direction, se tenaient le
commandant. Voyer, le capitaine Bois et
le lieutenant Del'assus ; au moteur, l'adjudant Girard et le sergent Duguffray.
A 1 h. 45, le commandement de : « Retirez les cordes des manœuvres », puis celui
de : « Lâchez tout ! » retentissent. Et le
« Patrie » s'élève majestueusement dans
les airs. De nombreux cris de : « Vive la
Patrie ! Vive la France ! » éclatent parmi
les nombreux spectateurs — beaucoup
plus nombreux qu'à l'arrivée — qui se
pressent sur les terrains a Voisinant le
parc.
Le général Andry remercie en saluant
la foule à plusieurs reprises.
A environ 80 mètres d'altitude, les hélices commencent à battre l'air de leurs
bras puissants. Et le « Patrie » se dirige à
une belle allure sur Verdun. 11 en fait rapidement le tour, fait un virago remarquablo au-dessus de la place d'Armes et revient vers le parc ; il tourne autour de son
hangar, repasse exactement à son point
de départ, puis repart, dans la direction
du Faubourg-Pavé. Il plane quelques instants au-dessus du fort de Moulainville,
nuis se dirige vers celui du Rozelier.
«
ç, Nous venons d'exposer aussi à noire
Salle
des dépêches une nouvelle caricatuS
r
re due à Louis Thiriot.
Le crayon de l'artiste a été tout partieulièrement bien inspiré et l'idée a été ren1
Jdue d'une façon très humoristique. Ne fallait-il pas que, dans la série c Le Progrès
«
ddu jour », passe la silhouette des braves
c
chiens
de police ? Ce sont eux, en effet,
qui
ont, cette fois, les honneurs de lu toi<|
hle. Les vaillants toutous ont happé des
malandrins et ils les conduisent vivement
D
à leurs malles les Hgpnts qui, béatement,
ffument la bonne bouffarde ou somnolent
s
sur
un banc.
Celte caricature obtiendra certainement
uun gros succès.
Elections au conseil des prud'hommes
du lor décembre 1907
Scrutin de ballottage
L'accident
?
A ce moment, le moteur s'arrête soudain
de fonctionner, et. malgré tous les efforts
des mécaniciens pour le remettre en route,
le dirigeable n'est plus qu'un ballon libre.
Par intermittence, les hélices font queloues tours et le ballon revient ainsi pla, ner au-dessus des quartiers de cavalerie
de Bévaux. Les aéronautes font des signes
de détresse : des officiers do hussards les
aperçoivent ; ils montent aussitôt à cheval
et s'apprêtent à suivre le ballon oour aider
à l'atterrissage. Pour se maintenir à une'
certaine hauteur, l'équipage est obligé de!
jeter une grande quantité de lest, car le
ballon descend, descend toujours et mena
ce d'aller tomber sur les toits des maison;
de la ville.
ftprès avoir plané pendant nlus d'un!
demi-heure au-dessus du quartier Saint
Victor, le « Patrie », poussé par un léger
vent, se dirige vers le Sud-Ouest.
(SUITE,
On a lu l'appel de candidats, issus des
,
milieux
libéraux et fraternitaires.
D'autre part, l'Union des syndicats ou.vriers de Meurthe-et-Moselle présente les
c
candidats
suivants :
MM. Jacques Fritsch, Pierre Bitsch, Ju,
les Ferrières, Jean Barotte, Joseph Lamol,
le, Auguste Dambach, Fernand Hocquard,
fCharles-Auguste Flickinger.
A propos de la candidature de ce dernier,
nous recevons la lettre suivante :
« Nancy, le 29 novembre 1907.
Monsieur le directeur,
Au nom d'un groupe d'électeurs au concseil des prud'hommes, je viens vous prier
le bien vouloir insérer dans votre estimable journal, les simples questions ci-jointes.
Veuillez agréer, etc., etc.
L'atterrissage
;
Trois officiers du 3e hussards, parmi lesauels un sous-lieutenant, un lieutenant et
un vétérinaire, et un officier du 40° d'artillerie, M. Cabestan, lui font la chasse chasse d'un nouveau genre ! Entre les villages de Nixéville. et de Souhesmes, à 200i
mètres en amont de cette dernière commune, située à 14 kilomètres de Verdun,
ces officiers le rejoignent. Sauter à bas dei
leurs montures et saisir les cordes de l'aérostat est pour eux l'affaire d'un instant.
Mais, ils sont traînés pendant quelque!
temps à travers champs et ce n'est quei
grâce à l'arrivée de plusieurs habitants de
Souhesmes que l'atterrissage peut se faire
Il est un peu plus de quatre heures.
» »
Une automobile fut. immédiatement, envoyée pour ramener à Verdun le généralj
Andry et les autres officiers. Puis trente,
cavaliers du 40° d'artillerie et six attelages du même régiment reçurent l'ordre de.
partir immédiatement pour Souhesmes. Ili
en fut de même pour un groupe de bussards et pour les aérostiers du génie. Une.
compagnie d'infanterie du fort de Lantlrecourt fut dirigée aussitôt SU? le lieu de
l'atterrissage, puis par le train de 7 heures 16 elle fut renforcée par 40 hommes duj
151° d'infanterie, en tenue de campagne.
Le ballon a été ramené dégonflé à son port
d'attache dans la journée de samedi.
ARMAND,
Rue du Joli-Cœur, 12 bis. »
Simple question :
Est-il bien vrai que le nommé Ch. Flic1
kinger,
candidat au conseil des prud'homimes, 5" catégorie, s'est fait réclamer, en
11880, par le gouvernement allemand, étant
i la légion étrangère V
à
Nous lui demandons qu'il veuille bien
i
nous
fournir ses états de service militaire
(complets.
Uu groupe d'électeurs syndiqués
et patriotes. »
La cure de Saint-Epvre
La Cour vient de rendre son arrêt dans
l'affaire relative à la cure de cette église,
dont
nous avons parlé, tout dernièrement.
(
Elle réforme le jugement du tribunal de
jNancy qui s'était déclaré incompétent sur
la demande de M. le préfet de Meurthe-etMoselle.
En conséquence, la Cour renvoie
I
l'affaire
au fond devant le tribunal civil
1
;
Pourvoi en cassation
Boudoux, condamné par la cour d'appel
de
(
Nancy, à six mois de prison et 100 fr.
td'amende pour les faits qu'on connaît.s'est
pourvu
en cassation contre l'arrêt rendu
l
jeudi.
j
\
**-
jI Mon à
Le bruit «avait couru que M. le général
LcOïi Durand,commandant le 6° corps d'armée, devait assister à cette première sortie du « Patrie ». Voici exactement co qui
devait se passer : Il avait été décidé qu'a-'
près avoir évolué au-dessus de la ville ett
d'une partie des forts, le dirigeable se rencirai! à Sainte-Menehould, où il prendraitt
h bord le chef du corps d'armée et reviendroit ensuite à Verdun. On a vu plus3
haut comment ce projet n'a pu se réaliser.
Les magasins de M. Renard, 16, place du
'
Marché, Porcelaines et Cristaux, Beïôht
ouverts les dimanches de décembre, de 8
heures à midi. Grand choix de jolies fantaisies.
Les pensions de la ville
Comme chaque année, à cette époque, leî
projet de budget municipal pour l'années
suivante vient de paraître.
Il comprend l'état des pensionnaires deî
la caisse communale des retraites.
Le chiffre annuel des retraites à payerf
par la ville atteint 142,183 francs, et le
nombre des titulaires est de 150.
La plus ancienne pensionnée est Mme
Pierron, veuve d'un ancien sergent del
ville qui, depuis le 31 décembre 1868 tou-*
che une pension de 150 francs. Mme Pierron est née le 7 mars 1829.
La pension la plus forte est celle servie3
à M. Nicolas Diot, ancien receveur municipal, qui, né le 3 avril 1828, touche, depuis3
le 14 mars 1881, une pension de 6,421 fr.
j
VERDUN, 30 novembre. — L'accident
du1
ballon dirigeable « Patrie » est dû à ce que
le pantalon du mécanicien a été pris danss
la magnéto, provoquant ainsi l'arrêt dui
moteur.
TEMPS
QU'IL
FAIÎ
L'air
était
légèrement
plus
fris-;quet, samedi, à l'aube, qu'à l'aube de cess
deux jours derniers. Une bruine vaguee
a
flottait entre le ciel et nous. Toutefois, la
journée fut. encore digne de l'été de laa
Saint-Martin.
Si l'hiver n'a pas d'encombrée,
Vous l'aurez à la Saint-André.
Tel est le dicton du 30 novembre. C'estt
là décidément une triste perspective.
Observations météorologiques
fie lt» maison Grand opllelen-construcleur
Nancy
6 h, malin IBM 4b.soirr
Fédération des commerçants de Nancy
La Fédération des commerçants de Nan-■
cy nous informe que son assemblée géné-rale annuelle aura lieu le mercredi 11 dé-*
cembre prochain,
Les adhérents seront convoquée ultérieurement par lettre.
à
••••••»
#t;i moinèlre
Mlnlma
MluUiMa.,......
755
-4- 5
+ 4
-ir 8
751
754
-f 8 -J- ?
hmÏÏw
La mairie nous communique :
« Le dernier bulletin hebdomadaire du
bureau
municipal d'hygiène donne le ré!
sultat
des analyses bactériologiques des
'•
l'eau de Moselle
1eaux, parmi lesquelles
1est signalée comme renfermant des colitîcicillcs.
'
Il est donc prudent, pour le moment, dei
n'employer l'eau de Moselle, comme bois,
son,
qu'après l'avoir fait bouillir. »
Peu de personnes ont eu connaissance3
de l'accident au moment où ii s'est produit, et beaucoup voyant, le « Patrie » presque immobile au-dessus de la ville, crurent à une simple manœuvre voulue.
LE
iosaiis!
il faut !a MÎÎ
de
I
Faculté des lettres
f
Cours publics
Lundi 2 décembre, à 4 h. J. — Littéra-■
hl£ê française. — M. Auglade ; Les poé--
sies des Troubadours. Introduction. Les
oi iginea.
Mardi ,*î décembre, à 4 h. 1/4. — Antiquilés
«allô romaines. — M. Grenier : La
;
frontière du Rhin sous l'Emnire romain.
Mardi 3 déoembro, à 5 h. i. • . Géograje
phie coloniale;
"T. Auerbach : f,e° eause
ses de l'expansion allemande,
Mercredi 4 décembre, h % h, 1/4. — tïi.st
t..ire
de la •.orra me. - - M. R. p'hcisol :
r
Charlci
l" el Ricbdieu de 1024 ,i 1641.
Sbù*»n:..iea dj tnèso
M. Gabriel Rieh ud, interne des hôoita
taux
de Nancy, a soutenu, samedi, sa thès(
se : i; Synd-eomes i
dowieus che« les tubi
berculeux
", pour l'obtention du grade do
d<
docteur en médecine.
M. Richard qui a. obtenu plusieurs prix
d
dans
ses années d'étude, a été admis avec
h
la mention c très bien ».
Assistance obligatoire
La mairie nous communique :
« Conformément à l'article 9 île la ioi du
fIV juillet 1905, la. 4» liste des personnes ipp
pelées à bénéficier de l'assistance obligat<
toire
aux vieillards, infirmes et incurables,
s
sera
déposée à. la mairie (entrée par l'imp
passe
de l'hôtel de ville, rue Saint-Julien),
ddu 5 au 24 décembre 1907, inclu.suemeet..,
d huit heures du matin à cinq heures du
de
ssoir.
Pendant ce délai, tout vieillard, infirme
o incurable, dont la. demande a été rejetéo t
ou
p
par
le conseil municipal, pourra préseiî-cr
sa
réclamation à la mairie : dans le même
3
(l
délai, tout habitant ou contribuable de la
commune peut, réclamer l'inscription ou la
rradiation des personne.-, omises ou
indû'
1ment portées sur la liste. »
Exposition internationale «e Paris
(Octobre-novembre 1907)
Dans la liste des lauréats (section de la
cconfection), nous relevons le nom de la
i
maison
à la Belle Jardinière, à Naney,qui
a: obtenu une médaille d'or.
Toutes nos félicitations pour ce brillant
esuccès (fui place ainsi au premier rang
r
notre
commerce local.
A propos d'une mutation
Nous avons annoncé la nomination à
Audun-le-Roman
de M. Guillaume, juge
1
de paix à Gcrbéviller, alors que le ju»» de
paix d'Audun-le-Roman, M. Methelin, était
nommé à Gerbéviller.
Celte mutation cause un certain émoi
dans le canton, d'autant plus que tous lesi
imaires avaient, demandé le maintien
à
<Gerbéviller de M. Guillaume.
Elle serait due à un mobile politique, M.
1Guillaume, ancien officier,
n'ayant pas
'
]paru assez souple à certaines personnali1
tés.
1
Elections au conseil supérieur des
sapeure-sjonîpiers
Lo recensement général des votes qui seront émis, le l"r décembre prochain, dans;
j département, pour l'élection d'un repréle
sentant au conseil supérieur des sapeurs-•
pompiers, se fera à la préfecture (salle des
adjudications), en séance publique, le jeudii
i5 décembre 1907, à deux heures de l'aprèsmidi.
Nécrologie
Nous apprenons avec regret la mort àt
Cherbourg de notre compatriote, le capi-.
taine d'infanterie coloniale Dardaine.
Né à Gellenoncourt, le 1er juillet 1861, le
défunt avait été cité à l'ordre de l'armée3
à plusieurs reprises : une première fois,
pour avoir brillamment contribué avec sa[
section à l'attaque d'une position à Xom-.
Gion (Tonkin), le 13 mars 1891 ; puis pourr
s'être fait remarquer à Madagascar au
cours des onérations contre les Tamba-_
vales et dans la direction du secteur d'Ivohibé.
— La « Semaine religieuse » annonce lav
mort de deux prêtres de la maison de re-traite de Bonsecours : l'abbé Franiatte. néS
à Clémerv, le 1er novembre 1825, et l'abbéS
F.rard, né à Lime" le 1G juillet 1840.
Crédit Lyonnais
Paiement de tous coupons sans aucune9
frais, 15 jours avant l'échéance.
Amicale laïtjuo Bïtfïon
On nous prie d'annoncer que prochainement l'Amicale laïque Didion donnera unes
fête où sera présenté aux jeunes gymnastes de la société, dirigés par M. Robert,>
l'étendard de l'Amicale.
Ajoutons que cet étendard sera exposé'
aux vitrines des Galeries Nar.céicnncs.
Le revolver
Dimanche, â. deux heures du matin, lax
olice a arrêté Henri Levasseur, 20 ans,i(
serrurier, pour avoir, rue Saint-Nicolas,;,
tiré un coup de revolver qui avait, atteintt
au côté droit Charles Beninger, 26 ans,,,
également serrurier, demeurant faubourgT
Sainte-Catherine, 33.
Levasseur se disculpe on disant qu'avantt
fêté la Saint-Eloi, samedi, avec un groupee
de camarades, ceux-ci étaient, à l'issue dee
la réunion, tombés sur lui à bras raccourci. Alors il s'était défendu en tirant uni
coup de revolver.
L'état de Beninger n'inspire aucune inquiétude.
Les voleurs
Joséphine Thouvenin, 28 ans, domesti-que, faubourg Sainte-Catherine, 27, a étéé
arrêtée sous l'inculpation de vol commis auu
préjudice de M. Pièrrejeau, épicier, même
e
adresse.
— Emile Bélier, 23 ans, camelot, demeurant à Paris, a été écroué sous l'inculpa-•tion de vols multiples commis au préjudice de personnes demeurant rue de Bonsecours, n° 3.
Blessa en jouant
Samedi,
dans l'après-midi, un jeunec
garçon d'une quinzaine d'années, s'estt
présenté à l'hôpital pour se faire panserr
une blessure qu'il avait à l'épaule droite.
Ce garçon interrogé déclara que, en^
jouant avec sa sœur, une enfant âgée dee
six ans, celle-ci lui avait jeté un couteaua
qui lui avait fait cette blessure qui avait
■*
provoqué une abondante hémorragie.
Menus faits
— Samedi, à trois heures de l'après-miidi, un car électrique se dirigeant sur la
a
rue du Sergent-Blandan, a déraillé au
u
pont tournant de la rue de Malzéville.
Il fallut plus de trois quarts d'heure de
l
travail pôur replacer la* voiture sur la
voie.
« A LA CHEVRETTE »
29, rue Saint-Georges. Seule maison à
â
Nancy du Gant Perrin, vente réclame aninuelle à prix exceptionnels, du lundi 2 au
u
samedi 7 décembre inclus.
Le Gant Perrin est incomparable par sa
a
coupe et son élégance, le meilleur à l'usage
:e
et le moins cher en raison de sa qualité
,6
supérieure.
Marché «1« In Rotonde
Samedi 30 novembre
Blé, 22 à 22 50; farine, V. S. G , 31 .. à .. ;
disponible
à.. livrable â partir octobre;!
'<
farine Tomblaine, 31 .. à 31 50 disponible,
5
.. ..à .. ..livrable; seigle. 18 .;orge, .. ..;>
•*
avoine vieille, ...nouvelle, 1750 à 18 ; fèverôles, 17 à 17 50; colza
; son, 14 50.
Marché Couvert
1
s
u
Marché aux bostlMHi du 30 novembre
Aucune bête n'a été amenée sur la place,
"
par
Par conséquent marché blanc.
Les marchands, mécontents sans doute
"
de la baisse Sensible des prix du bétail
'■'<'
survenue
inopinément au précédent ma r•s',r.
clié, jeudi dernier, se sont abstenus d'y
CM
vcn
venir aujourd'hui.
y,
- ~
Hahitle-toi bien
G, rue Smnt-Jean, NANCY.
.—
"~
""""
'
"
Viiiorc-leiî-Nancy
j
La gendarmerie a ouvert une enquête
&in des violences dont le jeune Charles
sur
Gri
Grandidier, laitier à la ferme de Clairlieu,
aut
aurait été victime de la part d'un garde
for
forestier. Co jeune homme prétend avoir
été menacé d'un revolver.
I garde affirme qu'il o é!é insulté par
Le
Gr
Grarididier, contre lequel it a dressé procès
cès-vèrbal.
Sau'xures-lee-Naniy
Nous
1
avons déjà parié d'iu itlent? qui se
sont passé.'-, à Saulxures-les-Nancy.
soi
1Le conseil municipal est divisé eu deux
fractions
adverses ayant, l'une le maire à
ira
sa tête, l'autre est dirigée par M. do Saintc
Belin,
conseiller municipal.
"
Ce
dernier a même tenu une. réunion
'
|ù
pour
y exposer les affaires de la commune,
l
cl il à été contredit à cette réunion par M.
et
\V>
Weiss, instituteur et secrétaire de la mairie
rie.
IQuoi qu'il en soit, nous recevons de
Sa
Saulxures
une lettre qui a évidemment
tri
trait aux récents incidents de la commune,
<On y parle d'un joli pommier portant du
fn
fruit
couleur jaune et d'un homme arinça
çant des dents comme un chien qui attend
UE jambon !!
un
Evidemment ces allusions éuigmatiques
auxquelles nous ne comprenons goutte doie
V
vent
avoir un sel particulier pour les excellents habitants de Saulxures.
BOURDON, COMPTABLE EXPERT,37,r.J Lamou
Frouarcl
Louis Hcissat, âgé de 57 ans, charretier
de
de bateaux, a été arrêté en flagrant, délit
de
do filouterie d'aliments au préjudice de M.
L<
Louis
Brushey, cafetier.
Accident à la gare de Fi-cuard
Dans l'après-midi de samedi, un employé
de la compagnie de l'Est travaillant
P'
à
* la gare de Frouard, était occupé à la pose de la voie. En plaçant un rail, par suite
cl'
d'une fausse manœuvre, il a eu l'aurieu[g
iaire de la main gauche brisé.
11 s'est rendu à l'hôpital à Nancy, où il
a reçu les soins nécessaires.
a
nu
a
La Soirée Théâtrale
Accident du travail à Heuves-rvïaïscrss
Lcsprit Auguste, 3G ans, demeurant à
F
Flavigny,
en travaillant à l'usine de Nonvcs-Maisons,
a été serré entre deux wav<
g'
gons et a eu la clavicule gauche fracturée.
re
i Le médecin de l'usine qui l'a soigné a
h
jugé
qu'il serait arrêté pendant environ
20
^ à 30 jours.
1T eutative de suicide à Rosiercs-aux-Salines
Samedi dans la matinée, M. Jean Gaga,
p Charles, âcé de 66 ans, a tenté de se
(dit
s(
suicider en se tirant deux coups de revolv(
ver dans la tête.
M. le docteur Sprauel, appelé aussitôt,
a
a pu faire l'extraction d'une des baltes qui
é(
était logée derrière l'oreille droite et qui
p
n'avait fait rru'une blessure légère. ■
Le second coup de feu avait été tiré
d
dans la bouche et la balle avait déchiré le
Pi
palais.
M. le docteur Sorauel n'avant pu
d<
déterminer l'emplacement du nrojectile, a
h
fait conduire le blessé à l'hôpital de Nanc; afin qu'il soit examiné à la radiograc
phie.
p
M. Charles Gaga habite depuis deux ans
1'
Lorey. Il y a quelques jours, il était reven
nu à Rosières, d'où il est originaire, pour
Vl
voir
ses parents.
Depuis quelque temps, Gaga semblait
ei
en proie à un violent chagrin dont on ignor< les causes.
re
É
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—T ITlB'l I '
,...,„
f )FOi)iqjn!jpoF
Gf
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'
cive
ATHLÉTISME
•
Au Parc des Sports. — Dimanche, au Parc des
s
Sports, l'équipé de rugby du Cercle des Sportss
Stade
lorrain se rencontrera, pour la deuxième1
fois, avec celle du 29' chasseurs, de Saint-Miliiel.
lîappelona que le Slade avait gagné la première
fois par 10 points à 8.
f<
. De son coté, l'équipe (3) d'association matcliera
a Remirci..out contre
à
i
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P
Ts-anssrijiîion
Gabriel Mange, 29 ans m-vw •
c
cédé le 22 novembre 19Ô7 -, dn',,enn
Domma
mont (Meurilie-et-Moselle)
^
Publications de mariases
(i Alfred Mosson, vigneron , i „ UV(!S
n/ I tmine"°.1
p Meurthe-et-Mo.se le) et
phine-Alida Laurent
bN'e.tfchàteau (Vosges) avantTM688^4
(
L
gCharles-Augustin
gé au 79- régiment d'&^^ »
IIsabelle-Rosalie Potier, brodeuse à aR™,'
/
kf f
Mcuraio-etAIoselle). Emile ,3
'
8
l aiûbert, représentant d'automobu!
;
de
^ la Constitution, ll.et Hélène
,vlarie Delacroix, sans profession à S
'(Marne). - Justin-Charles Viverge '1
ployé
de commerce, rue Dom-Calmct1 f'
|
micilié
de droit à Champvans (Jurai t'
î
Valérie-Clémentine Dubouloy, sans mh,
!sion aux Sablons.commune de Veneur Ni
\don (Seine-et-Marne). — Amédée ihh
,',terre, docteur en médecine, rue de Villers
37,et Jeanne-Anna-Germaine Frémiot sans
profession
à Lunévillc.—Alphonse-Joseph
l
Huber, voyageur de commerce à Nancy
c
et.
Alice Lapique, compositrice d'imprimé
1
rie
à Rar-le-Duc (Meuse).
"
Paul-Ernest Buisson, électricien, rue {\>
'Strasbourg, 82, et Mathilde Dapremont
ssans profession
à Lay-Saint-Chvistophe'
— Léon-Charles Melck, garçon de calé,
rue
Saint-Georges, 35, avant à Commercy
\
(Meuse),
'
et Marie-Gabrielle Ambroisè,
femme de chambre, rue du Général-Fat
\vier, 13, avant à Commercv. — Charles,
JJoseph Bélin, garçon tripier.rue des Tan.
1
neries,
12, et Mafie-Hortense Matisse.ooJ!vrière en chaussures, chemin des Sœurs,,
9. — André-Auguste Del œil, employé de
\
magasin
à Saint-Max, avant soldat au »
■ Nancy, et Célina Bruno,bonnetière, rue
à
'Laflîze, 68.-- Alfred-Louis Etienne, méca1
nicien,
rue de Strasbourg, 148, et Augus1
line-Eugénie Morgenthaler, ouvrière ea
limes, rue Victor, 17. — Marie-Camille
'Pelletier, soldat au 69° d'infanterie, à
Nancy,
et Lucie-Alphonsine Moreau, couIturière, rue Lamarck, 152, à Paris.
L.
&^tl^tV'^
6
I
§
AVIS SÎOUTUAIïîE
|
|
M
Vous élns prW d'assister aux convoi faneira ère, service el enterrement, de
f}
§
I Madame Marie GABRIEL!
favori des
P
I
EH
ïty
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|
1
|
S
I
WERTHER
drame lyrique eu 4 aMes. d'après Gœlhe.
t MM. Ed. Plan. P. Millet et G. 11»-Umna
de
Musique de Mas-sf'^;
.
'
Soirée
Eidsau ft heures
représentation
de
]
ÏJ« Tour daa Siosïtle
pssv un gamin do l^sj-i-.
drame en 5 actes et 11 tableaux
de M. Ernest Merci.
*\. xw
IBj|l!SIQ«K Mii.iTAiati. — Programme des
1
«• morceaux qui seront exécutés, à la Pc
1pinlère, le dimanche i«-décembre, de 2 h
1[2 a 3 h. 1[2. par la musique du 37* :
Pas re d0ub
«rv,
lé, sur Les Huguenots
o T
l(XX). — 2.
Largo (de Haëndel). — 3 Féiline, valse lente (Baudot). — 4 Marche
-indienne
,
(Sellenick). — 5. Andalucia (F
;
iPopy).
Le chef de musique, E. FRANBRY
De la pari do :
M. EiiRéne GAfilHEE ;
M. Gaston GABlifEL. avoué à la caur: 1
M. le colonel KARFMANT, el Wadaiiisj
KAUFMANT. aée GABKIEL.
S
;
|
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Û
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i
AVIS TiUm'S'VAiîlli
Les personnes qui, par erreur cm omission, i
n'auraient pas reçu de lcllie de faire paît un i
I KaMDi
Jssêpfiine
mmÂ
décédée A Endres,le 30 novembre 1807 j
g
dans sa 7b' année,
?:
t son! priées de vouloir bien excuser la t1*'1, 1
1
SIci de considérer te présent avis comme un»
3 invitation à assister aux convoi funèbl'î, Ht-S
9 vice et enterrement, qui a»"'à,,i n'eu la In»1
I 2 décembre, a m h. Ir3 "du matin, eu lf
' «hse i'c i.udrus, et de là au cimetière w
SS la commune, où se fera l'inhumalioa.
jm
Maison morUiaire :
I
Maison Sainte Thérèse.
1
g
g
!
;
b.lrS.
{l
15 KM mU'iKM I0.VTS
I
Ea fam lle de M. WATR1NET remercie»»|
H céreiiient toutes les personnes qui oui
M voulu lui témoigner leur s)uipaluic a
* casiou du décès de
■
«
ï
1 Slonsle&f FrcflçMcter WûTWSjfj
5 Ancien instit tteur principal
à Mo'''^jL.
!
asïiïïaiiitj'asîwgc^'ifs
i Monsieur SIMONE!', et BU &"»'"«;
,o P^g'^nime du concert donné au parc P ciei.t sincèrement loutes_ les l"'1^'.'
ii.i |
;Sainte Marie, le dimanche 1« décemhre, de B oui liicn voulu leur téninignrrleur '■>> |Kl |
'2 heures liSlà 3 heures lp2 du soir, parla 6 à l'occasion du décès de
v
1musique du 79e;
il
1. Allegro militaire (Stoupan). — 9
\
'Lychnis (Lacbet). - 3. a) Une Fêle A To- t
Née Marie-Fraueeliue MlOHEb.
|
léde ; b) Cortège des Toréadors (Rev- l
1
nm
1
J*K~*- Charmante, valse (Babi Ion)
— 5. En Badinant (Robert).
Le chef de musique, A. LACHET
ItSS.tlBSïSC.ISîSSSîW'fS
LYRE LORRAINE. — La section de chant
t ii
ifl 1
de la société de cours de musique DOP
La Famille do Monsieur
1
n n
e SéanCe Ie
P P .
lia Municipalité de Nancy, lafaiS8nii*|
fléceUr r«
di-anch e° - II Administrative du flie-eau de. \ettpM
, aecemtue,
6 a 8 heures du soir, au sièce so
ca
| Messieurs SIMON el MOiniW'-^r M»;
1
,
f| lestanienlaires, et les vmi> do J"^, ]cs,l'er l
11 a es
?*?-a«J.ourd'hui.
Le
pro1
TI1IS, remercient sincèrement ' ^
■
gramme
est très alléchant.
;m
^ sennes qui ont bien vouln^K»^ d0
I
1
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Madame SIMONET
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goRK CiNfMA,
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rue Bénit. - Vendredi 29 u
accembio en matméo et soitéo, cou IL
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-AuriC
w qui auront lieu le hindi 2 décembre, à dix S
M heures et demie du malin, eu l'église Sai»l-|
H Vincent-Sain t-Fiacre, et de là au cimetière i
S de l'révillo, où se fera rinhumatioD.
|
On se rCumro à l'église.
DIMANC.IfK 1" P^GEMBRE
i
Bureaux
1 h. ljS
Matinée
Rideau fî licufes
Avec le concours de Mlle Maximilienno Mirai
c
du
lUefilro national de l'Opéra-Gomique, 2" rè1
présenlâlipn
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ljLMBLROSE j
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c , ,. , „
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doutez : fcrivez-iui !
F
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LLe Sirop Kalm l'a péri
T
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D£cès
si Marie-Julio Nantis, 69 ans .,
Mon, épouse Gabriel, rue de' t"*. P«H*
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29.
Emile Henrv, 23 ans ;;°U(lo»vilU
si
sion, rue Saint-Dizier, 1C3 ' aTns Profes.
,
c
cour
42 ans, journalier, rue pJT^
A
Antoine Dubas, 10 mois et u Uer'
n
nue Marcel, 1. — Marie K,f Kmrs-avc,
gj
mftn
03
ans, ménagère.épousè'
- •■
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Georges, 08.— François iii,.'
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journalier à Lunévillc — uuL ' " U!1«.
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tikhine, 1 mois et 10 jours
... « n , PW
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la-Meurthe, 15.
Mue Boulay^.
OipU : Î8, HJ9 EtiMoj-asKâi, Pr
7
'ti
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Du 30 novembre
.
Naissances
.
Marie-ivonne
Ferrari, rile . „•
y,
■Mil,
o0. — Goorgette-Marie-W^U
g
Barrey, rue de Bonsecours. cité r 8uer>t«
Jï
i„
uuc
la Chante, 5.
". m
Ls Holroao rend progressé
vement aux cheveux gris et
blancs la nuance et la beauté
JStiTÀl
àe jeunesse. H fortifie et
^SJM|5f « v
fait pousser les cheveux. Il
Sgf |
W enlève les pellicules et donne
S^^KBËL
j \ aux cheveux une souplesse
ip^W*^J(M qui les empêche de bs casser
j
OSfêaax
t
Jules-Aimé Moulinet, 63 an,
an
p,
loger, rue l .othai.e-ii 21. "\ . ?«i ho,
pl
phino-Clémentine Sttiirenn^Mftrthe-j3
8 r
et 18 jours, , ue Victor 27
et
^ ' Il
77 ans, sans profession r 71 ^ >
77
le r
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—
- Charles Franiatte. \* t
^xo ,|
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de Strasbourg. PJ3 bis.
de
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i mort-né.
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L.
—
cmTHl^lC1
rie dc
ŒQgSv'MKf
¥&Y0* >
B.fv
wlJte?
Biainville-eur-i'Eau
M. Camille Pierson, concierge à la filature, a porté plainte contre Joseph Fening
ger, qui, se voyant refuser l'entrée de
•
s
sine,
l'a insulté et menscé.
»
:
.
VQ'JS
vift
[jj,
, Auguste-Antoi^gTch. 1 i
bles. - Pierre-Auguste I ié» "? '" itu c
g
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Salle
6.- Suzannt ;eorgèS°f?' «W
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Charles 111, 96. — MarVeir ^'^-oir* J*
fce
•'•erger
rue de la lA\1%«"S« B>
g(
génie-Louise
Antoine,
'
Théâtre universel
«S llffv
Adjudications, — Vendredi 29 novembre,
à
à 1 heure h de l'après-midi, il a été procéd' à la mairie de Toul, à l'adjudication de
dé
h fourniture de 2,000 quintaux de blé et
la
1,
1,600
quintaux d'avoine, nécessaires pour
v
l'approvisionnement de la place de Toul.
Ont été déclarés adjudicataires :
Blé. — M. Wagmann, de Nancy, 1,000
ff
quintaux
à 23,37, 500 quintaux à 23,47.
M. Thurel, d'Ernecourt, 100 quintaux à
g<
23,60, 100 à 23,70.
M. Nettcr, de Toul, 300 quintaux à 23,70.
Pour l'avoine, il n'y a pas d'adjudication.
Le dernier orix offert était de 18,79.
^
Marché du 29 novembre. — Blé, 22,25 ;
81
seigle,
15,50 ; maïs, 26 ; avoine, 17,50 ; foin,
%8,25 ; paille, 3,75 ; son, 14,50; retraits, 17,50;
pain, 0,40 ; farine, 33 ; pommes de terre,
P
5
5 ; houblons, 40.
SI
TO
décédée i Nancy, dans sa 70' année
Courrier de Tou!
M. Jules Claude, voyageur de commerce,
ffaubourg de Frignicourt, à Vitry-le-Fran-■
ç
çois,
écrit : « Depuis 15 jours, je toussais!
nnuit et jour. Différents remèdes n'ayant
aamené aucun résultat, j'ai pris un flacon1
d SIROP KALM et en 3 jours j'étaisi
de
gguéri. Vous pourrez donc le recommander■
ccomme très efficace. »
Ce qui prouve qu'on guérit toujours et;
rrapidement avec le SIROP KALM. Pourqquoi donc dépenser son argent pour un auitre remède
Sirop Kalm (flacon : 3 fr.) — Dépôts ::
^ Pharmacies Bellot, 34, rue Saint-Jean, à
NANCY ; Demangeon, à LUNEVILLE ;
c
;
)Greiner, à TOUL ; L. Arcille, à PONT-AMOUSSON
;
ph'«
de
la
Gare,
à
BAR-LE.
r
[DUC ; Morelle, à COMMERCY ; Iwanoff, â
LIGNY.
r^Nffc
J
ÉTAT
*H
,
V
**
^BANOE
BRASSERIE
C'est du cinématographe qu'il s'agit !
Par la variété des spectacles qu'il offre,
i; attire, il captive, il subjugue le public,
il
ttous les publics ! Partout s'ouvrent des cir
némas
et tous sont envahis par les fouîles.
g Au premier rang de tous se placent les
établissements créés par les Sociétés qui
oont obtenu de la Compagnie PATHË le
p
privilège
de montrer des vues éditées par
ccette Compagnie, la première du monde,
ddont les filins sont universellement réput
tés
pour leur netteté, leur fixité, leur
beauté. La Société concessionnaire dans
r
noire région est la. Société Cinéma-Exploit
tation.
Le Cinématographe Pathé est le
s
seul
qui ne tremble pas et donne l'illusion
Cde la réalité sans fatigue pour les yeux,
1le seul qu'on puisse toujours aller voir en
f
famille.
C'est pour lutter contre les einématoe
graphes
où la mauvaise composition des
1programmes le dispute à la mauvaise
Jqualité des vues, que la Compagnie PA3THE a donné son privilège à des sociétés
ccontrôlées par elle. C'est donc au cinémat
îographe
PATHÉ qu'il faut aller, et pour
é
éviter
les contrefaçons, on fera bien do
Ss'assurer qu'il y a sur les affiches le nom
c
de
la Société concessionnaire et le Coq
f
gaulois,
marque de la Compagnie (qui
'
figure
aussi sur toutes les bandes).
Ces Sociétés établissent des succursales
:et offrent au public un .spectacle constamment
renouvelé, des films neufs, que les
<
;spectateurs avertis apprécieront à leur
valeur.
'
Les exploitants qui s'intitulent sans
droit d Cinématograpï-se Pathé », ou qui
cexhibent des Nouveautés de cette maison
seront
poursuivis rigoureusement, comme
}
le seraient des directeurs de théâtre qui
'représenteraient une pièce sans ou malc
gré
la volonté de l'auteur.
Heuves-îvUisons
Mme Marion, ménagère, a porté plainte
C(
contre
un de ses pensionnaires qu'elle acc*
cuse
de lui avoir dérobé une paire de gue
très,
estimées 1 fr. C0, et qu'elle soupçonne
"
a
aussi
de lui avoir volé une pièce de 10 fr.
'
|||,
i<
ions le* dimanches er^Vct
^
LQ
Son,
»tl, «le |.A
Il y a juste dix ans
- en 1807 — que
,.
•/
( ..s'i,u fut reprise au théâtre de Nancy.
"]
Voici
ce une j'en écrivais à l'époque :
"*0
u 11 est. bien certain que la reprise de
Martha oui a eu lieu samedi soir, non
' ., , quelqu ■ solennité, n'est pas une de
, ëehcH qu'on attend avec impatience et
! qu'on souhaite avec ardeur. Non pas
a qu'il faille partager l'avis de Fétis qui
« déclarai!, avec dédain eue Martlta n'é'iu tait
qu'une musique d'amateur destinée
I
« à; tôt disparaître. Mais ii faut avouer
« néanmoins qu'elle tient d'une
forme
,., ;musical! qui n'est plus la nôtre et que
(t
« nous n'avons fjlus imjourd'hui qu'un
«
«« igoût plutôt modéré pour l'italianisme
« dont elle dérive. Qu'importe ! cette œu"« vre, qui, en somme, date de 1817, et
"
«" qui n'est pas proche de disparaître,
«" plaira longtemps encore par son a bon"n dance mélodique, ses qualités de viva<( cité et de bonne humeur. »
Je pourrais ne rien ajouter à ces lignes.
Il
" est incontestable qu'on n'attendait, pas
cen
} 1907 la reprise de Martha avec plus
d'impatience
qu'en 1897, mais que ?.es
d
ÙI
âmes
sensibles ont pu encore prendre
quelqu'agrément
à son audition. On rie
<B
saurait
nier aussi que la jolie mélodie
sa
irlandaise de La Dernière ilosc soit toup'
jours charmante de fraîcheur et. do grâje
ce.
ce Il est vrai qu'elle n'est pas de Flotow !
Mais ce qui est de lui, et, ce qui n'a pas
M
encore trop perdu, c'est le célèbre quatuor
ei
du
w « Rouet », c'est aussi celui de « Bonne
Nuit
», qui ont conservé leur fraîcheur,
N
L'interprétation de Martlta a été fort
b<
bonne. Il faut placer au premier rang
M
Mlle
Pérérol, dont, l'organe, d'une pureté
si cristalline, a escaladé avec une sûreté
é
étonnante
les notes les plus, escarpées
d rôlo et qui a phrasé si délicieusement
du
U
la Romance de la Rose que la salle entt
Itère
— une salle comble
l'a bissée d'enil
thousiastne.
Mlle Souvervn, de son côté, a chanté
a
avec
correction — parfois avec charme,
t<
toujours avec goût, le rôle de Nancy.
Côté des hommes, on a applaudi M.Breton-Caubet, plus à l'aise dans les passag
ges de vigueur,,que dans les demi-teintes,
du
A rôle, et M. Labciet, qui. conformément
à une tradition déjà ancienne, avait inf.
terprété
au dernier acte la romance de
j!
l'Ame en peine, qui a été bissée.
M. Audra a complété une interprétation
qepri fait honneur à la troupe lyrique.
G. B.
A %> '
X
dcs'dcrnicrcs
Martha
Pompey
Procès-verbal a été dressé contre Léon
E
Eiffer, ouvrier d'usine, qui, à la suite
d'
d'une légère discussion aux forges de Pompey, a porté un coup de poing à Eugène
P<
Jf
Jacques,
électricien.
•
j
\;
Le ciet t'aidera ;; ;
Jitî .-«■ ÎJ8'nVa'Jii, !i:i8»ilt« lijfit
——
Mercuriale du 30 novembre
Bœuf, 1 .. à 1 80 ; veau, 1 60 à 2 20 ;
mouton, 1 40 à 2 20 ; lard sec, 1 80 à 2 40 ;
lard frais, 1 20 à 1 80 ; grillade. 1 80 à 2 40 ;
beurre, 2 60 à 360 ; œufs, 1 20 à 2 30 ; pomimes *e terre, 6 à 10 .. ; nouvelles, . â ..
les 100 kil.
Mtii'ohé nnx fourrage»
Samedi 30 novembre
2
Foin, 33 voilures, 4K .. à 52 ..; paille, 22
voilures, 28 à 32; luzerne,, voilures, .. à
.trèfle,. voilure* ...
•j
-
.
it
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m—irrnTiiîi«rii.iii
Sas
incline Dubois, âgée de 24 ans,
?\ Lérouville, étant en mauvai1
m ^,^
avec son mari, a tenté do
ll,g
V
* «s jours en buvant du pétrole,
n
■e f'
insuccès, elle en arrosa ses
Irttit son/v mit le feu. La vue des flamtèfl^11!'3 C-Vu'eur qu'elle éprouvait lui
Ict
l'alarme dans tout le quartier
f1 'ont dans la rue,
cou^.ViirwTer garçon marchand de vin,
1. ^
M
et Mme Cézard, boulanger,
u 5ue ilr'pssés de lui porter secours en
em
gotit
v
5temcnts enflammés, non
v
e
i" f aSup de difficultés, car elle était
^•hlemént brûlée.
!t
• vio oar imprudence de Bar-!eetion"61" , _ Le tribunal correctionnel
en P
»o i Duc condamnait, le 23 juillet
1
•PS' François Stcp,. âgé de 56 ans, à
\l " ,1'amende pour homicide par imfrancs"',^ 3 000 francs de, dommagesfM-fenvers l'a partie civile.
i^L*«ui
est propriétaire d'un manejl. Step. S1,
|
, était installé, le 2
ru sea
1 de g
^.r
sur l'une des places de Bar1
in deim -''
J)UC
" K soirée,
M. Nicolas, âgé de 54
oans
lié étant dans une gondole avec
I -„n de sa famille, remit à un cmiel(îu„ne -ièce de 1 franc pour payer la
«y6.
Celle-ci terminée, M. Nicolas,
u
t oas reçu sa monnaie, alla la réclaa
ui
On l
répondit que la nièce était
pour VhUm
r
Moyen do reconnaître uns nialaiic d'Estomac
j
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jT)
AYEZ-VOUS la. lan/ uf^rx Eue' recouvertes d'un
M\
Mt^SL enduit jaunâtre.
n« o-lissa et tomba entre deux gondoC ,,n filet. 11 fut projeté sur le sol
hauteur de trois mètres.
îns sa chute, il eut le crâne fracturé
«,,'plnues jours après il mourait.
'"cour d'appel de Nanov confirme le
fcnent du tribunal de Bar-le-Duc.
Ll
«g»
MONTRES.nl BIJOUX
ni ORFÈVRERIE
' fonsultcr les Tari/s envoyés Franco, des f£ «J£B
|; jE5TKX13A-S7r>SA.TT,dtEESANÇON
ol
")«> Pnt Concourt Oi.s:rtato!r) dt flssançon.
^^àr
'=^^r*
f
-J
"
'
lirecourt. — Deux individus inconnus
fsont introduits nuitamment en escalaht un mur d'une hauteur de deux mèL (jans la cour d'une maison sise sur
; chemin de Ràvéhel, et habitée par M.
mis propriétaire, marchand de vins.
Ces' individus voulaient, suppose-t-on,
nnétrer dans les caves, dont les portes
Liant accès dans la cour ne ferment
S
La tentative fut manquée, car M. Renauin domestique de la maison, réveillé par
bruit, se leva en hâte, armé d'un fusil
I chasse. Apercevant dans l'ombre des
fteuettes humaines, il tira un COUD de
iu en l'air.'Les deux malfaiteurs escala(rent à nouveau, mais peut-être plus raidernent que la première fois, le mur de
fture, et disparurent à la faveur de
Obscurité.
;La police a ouvert une enquête.
lominiont — Le conseil municipal de
fc-nimont vient d'émettre un vœu tendant
|ce que le train quittant cette commune
14 h. 30 du main soit rétabli l'an prochain
k 1er avril au 1er novembre 1908, son utile ayant été prouvée par l'essai qui a eu
Eu cette, année.
I CHEMISERIE
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« nos lecteurs, ni sur les avantages sans5
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Le, chiffre énorme de 950,000 donné par
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fouve mieux que les plus brillantes pro'Çsses l'efficacité souveraine de cette nou;li
e méthode à laquelle ne résiste aucun^
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fAINT-MiHIEL, mercredi 18, Hôte! du
psne,
e
gi
0MMEaOY, jeudi 19 décembre, Hôtel
fe
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iu
lo '^Ay, vendredi 20 déc, • Hôte4 du
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1
o' tisfaisants et permettent au «o»>eil de -oro-
dyetion ct les bénéfices.
de
de Pompey garantit le service des intérêts
et
et de l'amortissement des obligations à
émettre.
I HL ,
ci
En effet, les minerais faisant l'objet du
marché
en question, lui seront livrés au
m
prix
de revient majoré de la somme repréP!
sentant par tonne le service des obligase
tions, émises, même si celles-ci dépassent
]}'
6u millions.
C'est là une garantie supplémentaire
pour
les obligations La Mourière.
(
P
Mines do Murvllle. — L'obligation 4 %'
traitée au pair plus intérêts.
«
HOUILLÈRES
Le voyage de M. Viviani à Lens â ravh
v.é
à l'égard
V( la méfiance des capitalistes
a, valeurs Charbonnières.
des
Allemagne.— On a interpellé au Reichstag
sur le prix élévé des charbons, et l'ut£
, des mesures préconisées a été comme
ne
n
d'
d'habitude un droit d'exportation. Le gouvernement
est déclaré adversaire résolu
V(
d'une
telle mesure.
d
Charbonnages Réunis. — Encore négocié à 350.
ci
La Houve. — Dernier prix fait 1,800 mk.
O parle à nouveau du rachat en bloc de
On
cette
affaire ; lo marché du titre ne trahit
C(
rien
de pareil, et nous sommes d'ailleurs
r]autorisés
a
à démentir ce bruit d'une fa,
çon
catégorique.
c
Ronchamp, — Rappel 7,750.
Voici quelques renseignements sur la
station d'électricité qu'installent, on le
s
sait, les houillères de Ronchamp pour utig;
\\
liser
leurs déchets de charbons :
La Centrale est terminée. Elle a mis
]
dernièrement
en service une turbine à
c
vapeur de 2,500 chevaux, produisant du
v
courant
triphasé à 5,000 volts; une deuxièc
me
turbine est en montage et sera prête
n
à tourner d'ici trois semaines ; une troi. ssième suivra dans les premiers jours de
jjanvier.
:
La ligne de Belfort est terminée ; celles
d
de Lure, Luxeuil, Remircmont sont en
voie
d'achèvement.
v
A Lure, Luxeuil, Val-d'Ajol,
Remire-1
pmont, Frahier, Belfor£ se trouvent des
s
sous-stations
de distribution.
Les communes de Ronchamp, Champas
gney,
Plancher-Bas,
Plancher-les-Mines
èèt Frahier sont dès à présent desservies.
En résumé, dans le courant de ja'nvier,
!, réseau sera en pleine exploitation et
le
ypourra donner l'énergie électrique dans
iles départements de la Haute-Saône, Vosc
ges,
Doubs, Territoire de Belfort.
Le tableau de distribution est en mont
tage,
mais un tableau provisoire permet
l
la
distribution de ce qui pourra être demandé
jusqu'à la fin de ce montage.
r
En dehors des trois turbines de 2,500
chevaux,
c
la station comporte une turbine
gà vapeur de 700 chevaux alimentée par le3
ffou s à cokes, et un alternateur de 250
cchevaux mû par une machine genre Cor*liss, qui sont en marche.
L'ensemble a été prévu pour 30,000 chevaux.
Les agrandissements ultérieurs se
;
feront par addition successive de turbines
.ët de chaudières, au fur et à mesure des -'
besoins et sans qu'il en résulte un arrêt
même momentané de la marche de l'usi*
ne pendant les travaux.
Les travaux ont été commencés l'année
,dernière, on voit qu'ils ont été poussés
vigoureusement.
SEL, SOUDE, PRODUITS CHIMIQUES
Cours des nitrjtcs fermes avec tendant
ce
à la hausse.
1
Les Aulnois. — Nous avons preneur à'
400.
■
Bosssrville. — Nous disposons de quelques
titres.
'
Chemiserie Werkc-H. et E. Albert (Biebrich). — Cote 4,060 et 4,120.
LaneuvevïUe. — Nous avons preneur à
600.
Marchéville, Baguin et Gie. — Nous
avons preneur à 630. L'obligation 4 %'
traitée au pair plus intérêts.
Rosières-Varangéville. — Nous avons,
preneur.
Saïnî-Gofeaïn. — Traité à 15,850 et
15,800.
Salines de S'Est. — Entre 350 et 359. L'oi
bligation à 600 en dernier lieu.
Sommervilier. — Nous avons preneur à
1,840.
BRASSERIE ET MALTERÎE
Louis Arien et Cie (Montbéliard). —- As> .
semblée le 14 décembre.
Ghampigneuiles.— Négociée récemment
à 1,160.
Comète. — Traité à 605.
Courlancy (Brasserie et Malterie à
Reims). — Assemblée le 17 décembre.
Voici les résultats qui lui seront présem
tés :
Ventes, 12,496 hectos contre 10,500 hectos.
" Bénéfices, 46,920 fr. 30 contre 43,952 fr,
40.
Dividende proposé 5 %.
Les amortissements recevront 24,852 fj>
80.
Diekiroh, — Assemblée tenue le 24 novembre. Elle a fixé le dividende à 3 %<
payable, coupon n° 14.
Le bilan au 30 septembre faisait ressortir un bénéfice net de 77,406 fr. 93, après
un amortissement de 95,494 fr. 36, soit au
total 172,901 fr. contre 173,216 fr. précédemment.
Les obligations sorties au tirage seront
remboursées le 1er octobre 1908.
A. Hanus et Cie (Charmes). — Noua
avons preneur jusqu'à 800.
Maxéville. — Traitée à 695 ea dernier
lieu. Nous disposons de quelques titres. '
L'obligation 4 % ** obtenable au pair
plus intérêts.
Meuse. — Traité récemment à 510. L'obligation 4 % cote 495.
Moreau et Cie (Vézeîise). — L'obligation
4 %■ ** au pair plus intérêts.
J. Prudnon et Cie.
Négocié en dernier lieu à 550.
L'obligation 4 £ % au pair plus intérêts.Saint-Nicolas. — Nous avons preneur
d'obligations 4 * % au pair plus intérêts.Union (Jarny-Pagny). — Nous dispo-.
sons d'un petit nombre de titres. L'obligation 4 1/2 % demandée au pair.
Brasserie du XX' Siècle. — L'action traitee a 111 en dernier lieu.
Anderny-Cheviilon. — Les souscriptionsi
aux actions seront intégralement servies.
Mines de Oonflans. - - C'est une sociétéj
civile qui s'est formée pour exploiter lat
concession de Confions (820 ha.). Elle a lei
°
caractère d'une association de personnes.,
Siège social à Confions.
. Fcmds-sccial. divisé en 200 parts égalesi
sans désignation de valeur.
avec l'indication de;
i, Voici les associés
leur part dans l'affaire :
MM. Viellard Migeon et Cie, de Morvilt,
lurs, apportent de la concession, 100)
parts ;
a La Société Dillingen (une affaire d'ori-gine française), 70 parts ;
La Société de Vireux-Molhain, 10 parts ;;
La Société d'Espérance-Longdoz, à Liè-g
ge, 10 parts ;
Usines de Moneheret, à Acoz (Belgia Les 10
que),
parts ;
La Société Viellard-Migeon se réserve:
h 1/10 du minerai extrait pendant toute>
le
b durée de la concession livrable gratui-.
la
b
tement
sur wagons.
Une émission d'obligations est prévuei
S1 concurrence de 5 millions.
Mines de Jarny. — L'obligation 4 %" né-.
g
gociée
au pair plus intérêts.
Mines de la Mourière —
société de-J
. I
amande une extension de sa concession quii ?
1
porterait
la superficie de celle-ci à 692 ha. ;
iElle se trouve en concurrence avec la so-. i
c
ciété
de la Basse-Loire, le Nord-et-Est ett
*
M. San son.
Les installations de la mine sont pré-v
jvues pour une production annuelle de;
1,200,000 t, et les ressources ' financières
s
sont représentées par 1,500,000 fr. à appej sur les actions et 6 millions à provenir1er
f '|
des obligations à émettre.
a
Siège centrai à PABXS
/Sellé
ad^^ssoat la <le:»autlo
sur environ 32,000 hectares, alors
|
v
qu'il
y a. au grand maximum 7 à 8,000
hc
hectares
à concéder.
a '
«se.
Rappelons qu'un certain nombre!
de
ssociétés d'exploitation de minerai de fer
,°
dans le bassin de Briey émettent en ce
„
moment des obligations.
Ces obligations sont du type de 500 fr.,
rapportant
4 % nets. Elles sont garanties
';
par les concessions minières elles-mêmes,
y,
car les sociétés emprunteuses se sont en~
gagées
à ne conférer sur leurs concesS
sions aucun privilège ni hypothèque quelconque.
"
La valeur de ce gage est tangible et
re
monnayable.
C'est, dire qu'il ne peut pas
v avoir d'erreur dans son évaluation et
y
,
que
les obligations en question constituent
n
j,
des
pincements de tout premier ordre.
Les titres sont émis au fur et à mesure
à, leurs besoins par les sociétés suivande
te :
tes
A mérmon t-Dommary.
loudreville.
La Mourièrë.
Valleroy.
Les échéances des coupons ont été écheU
lonnées de façon à permettre aux capitali
listes
de panacher leurs placements.
Prix d'émission : le pair plus intérêts
ci
courus.
La V.nngue Renauld et Cie sera reconn
naissante au lecteur de lui réserver sa
si
souscription.
Hous recevons les souscriptions S&MS FRAIS
TS
CÏI
m
' Miies de Fer de La Mourière !
me
rnim—nw-i—■■ ■n—'-»—»-
Pour
l'année en cours, les déclarations
P
de :la direction ne sont pas très encorn agea
géantes.
Au l8r juillet., le carnet des comai
mandes
s'élevait
à 141,145 t. contre 172,000
m
en 1906, et depuis cette date, il n'a pas
en
àug
augmenté.
e
.
'
R
Rumelange-Sainî-îngbert. — Négocie entre
tre 1,960 et 1,975.
.,,
g.
Ssmbre-et-Mos3H3. — L'action pnvile_,x'
giôe se traite entre 639 et 605 ; dernier
jL„
cours
620 ; l'ordinaire de 229 à 224.
' Sarrebrùck.
q
- Fait comme extrêmes
,,,,
8;825 et 8,310, eî comme . dernier ..cours
»%
8,425. Toujours da gros écarts sur co ti"
tre.'
Schneider
eî Gie (Crcusot). — Négocie
g
ide 1,875 à 1,861.
.
V
L'assemblée tenue le 23 novembre a
. le dividende à 80 francs, payables par
fi
fixé
moitié les 15 décembre 1907 et 15 juin
{on
1908.
...
.
■ ■ . ,
"j
Les bénéfices de l'exercice éi.-u-À S?,
6,737,491 francs, contre 6,649,820 francs
précédemment.
Pj
Le bilan, établi sur les bases accoutumées
faisait ressortir la situation finanm (
r
C1>
cière
suivante :
i'
Le
capital nominal est de 27 millions
L
avec
une réserve statutaire de 12 milvc
?.
0I
lions.
"
Les nombreux et importants établisseL
ments
de MM. Schneider et Cie. compor'ne
tant
tr
;n notamment l'usine du Creusot, les
ateliers
d'artillerie du Havre, les chanp.tc
fiers
de constructions de Chalon-sur-Saôllei
ne et les grands établissements électrotechniques de Champagne-sur-Seine,ainsi
t0C!
que
<ju« les mines de fer et de houille, sont
portés au bilan pour la somme dérisoire
poi
de 7,700,000 fr.
L'excédent
de l'actif réalisable sur le
I
passif
exigible est de 43,800,000 fr., chiffre
pai
rond,
au lieu de 26,500,000 l'an dernier.
ror
Cette
augmentation provient pour 6 milCe:
lions
d'une augmentation des comptes délipi
biteurs
— la promptitude à payer n'est
bitpas
pa; le fait des gouvernements — et pour
le surplus cette augmentation paraît la
conséquence
d'éléments qui se sont valocor
risés. La puissance financière de la comris
oagnie se trouve renforcée d'autant.
1
L'assemblée
a réélu membre du conseil
de
«° surveillance M. de Chassejoup-Launa'
bat.
enelle-Maubeuge. — Cote 500 et 505.
'Société Alsacienne de constructions, niécaniques. — On offre à 5,900, contre-partie
à '5,600.
9
Vi!!crupî-Laval-Die.u.
— Négocié à 390
!
en
en dernier lieu, prix auquel nous disposons de quelques titres.
soi
'Automobiles Peugeot. — Nous disposons
rte quelques titres à 1,025.
de
La
société ne paraît pas mécontente de
1
ses
ses ventes au Salon. Elle est, assure-t-on,
parmi
les rares favorisés.
no
MINERAIS DE FER
.
Le contrat réservant la vente eh Ailemagne
des minerais de fer de Bricy à la
ïï|
Môtallgesellschaft
de Francfort n'est pas
Vu
en
encore signé, Imais il est incontestable
qu'aujourd'hui
les pourparlers sont fort
?u
avancés.
En faisant courir te bruit qu'elle
*v
av
avait
obtenu le monopolo de cette vente,
,a Métallgesellschaft a éloigné les concurla
rents. Ce n'est pas du reste un monopole
ve.
absolu
qui lui est conféré, l'agence de
™
Napcy se réserve la faculté de vendre diNî
,(eetement
en Allemagne.
":
» «
Une nouvelle demande en concession
je mine a été publiée récemment. Elle
de
sn
émane
des sociétés de Montbard-Aulnoye
,t
ît des Forges de Douai, et vise des terri'oires
0
situés au sud du bassin: de Longw ; sur les communes de Chenières, Vilwy,
'ters-la-Montagne et Laix. Elle se trouve
;en
en concurrence avec les demandes anté«,
rieures
de ,M; Variot et de la Société des
™
unies de la Crusnes (M. Schmitt).
■Les demandes actuellement déposées
Eiisslu m pair il 4.000 Outrons
et les Déplacements des Organes
■nTBWW'Wsa»
îLc service de ceitc Sîe vite est fait gracieusement à toutes îcs |îcs sîi:aiie3 «r-ii
»i-.\
Sri
',iicrussion éclata entre M. Nicolas
D
-
AVEZ - VOUS une
mauvaise
haleine,
La bourse a repris son sang-froid, et, poser
[
La distribution d'an dividende égal
surtout le matin ?
i celui de l'année dernière, soit 10 %.
,s
MANQUEZ - VOUS sans se laisser émouvoir par les évône- à
Eîogiîy-Braux (Boulonneries). — Nous
monts
de la frontière algérienne qui sont
:
d'appétit ?
»
i
11
de nature à froisser notre amour- favons' prcneui.
AVEZ - VOUS des plutôt
^
Champagne. — L'action négociée à 110.
qu'à nous inquiéter, elle se remet
■^jffS^SSÊ
renvois, des aigreurs, propre
P1.
^
avons encore preneur.
au
travail. Ce sont toujours les fonds Nous
!
\WM^BW^^
dès
vertiges,
des m
,
Paiement du coupon n° 10 à raison de
^
Çy*''^^
maux de tête, de l'op- russes qui donnent le « la » .
7' fr. 50 nets.
..
j.
, .
pression, de la somBANQUES
1(marquo déposée)
ChâtiUomCommehtry. — Fait preuve de
riolence, des gonfleBanque Francs-Américaine. —Toujours meilleures
i
dispositions de 1,115 à 1,100
ments, des vomissements, de la dilatation, ga
me
sans transactions,
:avec des transactions régulières. .
de la congestion, surtout après les repas ?
Banque d'Alsace. — Négociée à' 740
' Chili (Hauts-Fourneaux, Forges et AciéAVEZ-YOUS souvent soif, la bouche m.
pour l'action ancienne et 2,200 en dernier ; ries
i
du). — Cote 112 ct 114.
'
des
desséchée, la gorge irritée ?
&,
lieu pour la nouvelle.
Le bilan présenté à l'assemblée du 30'noTOUSSEZ-VOUS
après les repas ?
]
Banque internationale du Luxembourg,
vembre est un bilan de construction.
»RESSENTEZ-VOUS souvent des dou- _
— Rappel 415 mit.
■ Au 31 mai 1907, les dépenses der premier
leu
leeirs dans le creux de l'estomac, dans le
Martinet ct Gie établissement
.
se montaient à 850,788 fr. 96.
ventre,
à la poitrine, entre les épaules ?
fr Clraide-Lafontuine,
ver
des Ardennes). — Nous dispo- ;Sur les versements appelés,
la société
E
ÊTES-VOUS
gêné pour respirer ?
g(Comptoir
0
sons
de quelques titres â 060,
:avait disponibles chez - ses banquiers
'AVEZ-VOUS souvent des palpitations,
!
fr. 95, et il restait à appeler sur
des battements de cœur, des bouffées de ;>t Foncier d'Alaace-Lorraine. — Obtcnable 995,323
«es
à 935. La lettre de gage 3'h % oblènabîe à les actions 1,236,000 fr.
chaleur, des éblouissements ?
rk
chi
Commentry-Fourchambault. —
L'acVOS
INTESTINS
FONCTIONNENT- 95
- % et la 4 % à 100 50, plus intérêts cou}
rus.
ru
tion ordinaire négociée *n 950 à 9G8 ; la
ILS irrégulièrement ?
Générale Alsacienne, — Cote 480 mk 80. jouissance entre 466 ct 484.
«ÊTES-VOUS vite fatigué et essoufflé ?
Lévy, Meoo et Oie. — Dernier prix fait
Commorcy.— Récemment négocié à 975.
la nuit, ÊTES-VOUS fiévreux, agité,
[,
^ Et
I
1,015.
Nous disposons de quelques titres à 1,000.
oppiessé '?
'
Bantgue de Mulhouse, — Des demandes à
Creil (Forges de). — Nous disposons de
,VOUS ENDORMEZ-VOUS très difficilego avec contre-partie â 835 pour l'action
825
quelques titres à 370.
ment ? AVEZ-VOUS des cauchemars ?
âr
ancienne
; la nouvelle est obtenable à
uonaln-Anzln, — Négociations assez ac-1
VOUS
TROUVEZ-VOUS souvent sans 2,050.
o,
1
tives entre 1, (20 et 1,745.
goût,
sans force, sans courage, sans éner- "'
W
Comptoir do Mulhouse. — L'action nouDeutech-Luxoxnburglsche. — Mieux tenu
gie
8* ? AVEZ-VOUS parfois le teint jaune ?
ve
velle offerte à 1,500 mk ct l'action ancienintre 1,420 et 1,400 mk.
AVEZ-VOUS
souvent
des
maux
de
ven'
l!C â 1,580 mk.
ne
Moteurs Diesel. — Nous disposons de
lTe
tre, des maux de reins, de la lassitude ?
Société nanecienne. — Dernier prik fait
ruelques titres.
N'ÊTES-VOUS
PAS
devenu
triste,
de
r,i
'
fitft
Dudelangc. — Marché animé entre 830
mf
mauvaise
humeur, vous fâchant pour des
Banque de Nancy. — Rappel 505.
8t 850.
riens
ct
à
tous
propos
?
™e
Renauld et Gie. — Traité en dernier lien
Eicli (Le G allais, Metz et Cie). — Cote
FUYEZ-VOUS les réunions, la société ? à-, 1,000 en action ancienne. Nous avons pre3,675.
N'ÉPROUVEZ-vaus PAS une dépres- neur.
m
ElccîroRîétallurgïciue Française (Frosion
Sic physique et morale très profonde ?
Ch. Staehilng, L. Valent!n et Oie, -- Né
ges). — En reprise de 2,085 à 2,185 pour
Si OÙ!, ce sont là autant de SIGNES
-r,
gocié à 132 % en dernier lieu,
ancienne, et de 1,850 à 2,005 pour
SERT
A SMS qui indiquent que vous avez " rf. Thomas et Gie (Longwy). — Nous i'action
t< =
: : nouvelle.
un gros dérangement d'estomac qu'il faul
un
;n
avonfe *pirer.cur' à 505.
Eepéraifea (Louvroil). — L'action privig0j
soigner
de suite.SOUS PEINE D'ANÉMIE
légiée cote 1,676, l'ordinaire de 1,565 à
MÉTALLURGIE
de NEURASTHÉNIE, de RHUMAT8SFV1E,
,600.
de DIABÈTE ou D'ALBUMINURIE. Ce
France. — Aucun ralentissement jusFontoy — Cette société a touché Cette
sent ausi autant de signes indiquant que qu'ici
qi
dans les usines de Meurthe-et-Momnée le loyer payé par Aumetz, soit
les reins, le foie ou les intestins fonction- selle.
se
Elles ont suppléé au ralentissement 875,000 fr., plus une part bénéficiaire de
ne
nent mal.
di
des
livraisons à l'intérieur par des comi-63,980 fr. Elle'a employé son disponible
Prenez les POUDRES DE GOCK, un en- m
mandes à l'exportation prises à coup de
\ des amortissements; et le compte des
h
chet
avant ou après, chaque repas. C'est le baisse,
b:
c
mais il est évident que cette situaoertes antérieures se trouve encore de
pp
plus
sûr remède que vous puissiez em- tion
ti
ne pourra pas durer.
; 1,414 fr.
pi,
ployer pour bien vous guérir".
;
Dans le Centre, à part la branche auto
Franche-Gômté. — Marché très rnaussaL03 POUDRES DE CO0i< vous guéri- mobile,
m
le travail est abondant.
le de 240 à 235. On attend le résultat de
ro
ront
certainement, parce qu'elles désinfecDans les Ardennes, les fabricants de fer- la souscription à l'augmentation du capitei
tent l'estomac et débarrassent le tube di- rures
n
sont
favorisés
;
en
boulonncrie,
on
g
tal. Or, les circonstances ont encore été
gestïf
rte tous les éléments nuisibles qui cjj
e
signale quelques légères concessions sur moins favorables pendant la période de
re
rendent
l'estomac malade et l'empêchenl \e
les prix, et pourtant les commandes ne font prolongation accordée que pendant la
de digérer. Or, sachez que c'est unique
0
pas
défaut.
m'écédente.
.
rm
ment le mauvais fonctionnement de votre ' '
Le
gouvernement s'est glorifié lors de la
Frondes et Vraincourt. — Récemment
es
estomac qui produit tous ces désordres et f;
à la Chambre du budget des, oégocis à 100 ; nous disposons d'un cerqr.
qui vous rend faible, anémique et neuras- tdiscussion
'
travaux
publics d'avoir amené les CompaSain nombre de titres à ce prix.
th
thénique.
"
Gantois et Gie (Saint-Dié). — L'assemLes POUDRES DS COSK guérissent gnies de chemins de fer à remettre depuis
cîi
chaque Jour des milliers de malades dé- deux ans, pour près de 200 millions de.com- blée du 26 novembre a ratifié l'achat fait
n
de matériel. Depuis l'origine des
oar le gérant de l'usine de Monthureuxso
courages et désespérés, qui avaient pris mandes
,
de fer, on n'avait jamais rien vu
•air-Saône, et a décidé l'émission de 200
ïn
înutiîenient
tous les auts-es remèdes. E3- chemins
?
«bligations dé 1,000 fr. 4 1/2 % nets. Un
sa
sayez-les,. elles vous guériront aussi très de
j pareil. En effet ! Mais, c'est précisément
Iroit clc préférence à la souscription est
c3
de ce système dc3 à-coups que se plaicortainsment.
réservé aux actionnaires jusqu'au 8 déle commerce ct l'industrie. A-t-on
Les POUDfiES DE C031C ne peuvent gnent
"
J
oublié les serments solennels échanJamais être nuisibles en aucun cas. Elles déjà
—, Entre 2,292 et 2,324
en vue de régulariser les commandos ? ,■ ;, j ;^Gelseiikirchon.
conviennent aussi bien aux femmes qu'aux gés
g
.(q^
-,
' .
.
■ ■
Allemagne.— En. Westphalie on commenhommes. Il faut toujours les continuer
. Lefh;ive et Gie (La Chaléassiôre). —
ce
à
réduire
le
travail
;
on
chôme
pour
le
snns
Interruption
Jusqu'à
ce
cjue
Ton
soit
J*
totalement guéri.
»
repos
hebdomadaire dès le samedi à 6 heu- Cote 731 èt. 735.
Leîcrt eî Pie (Mohon). — Nous avons
f
du soir, au lieu du dimanche à 6 heu„ Les POUDRES DE COCK se vendent res
ireneur à 750.
2 fr 50 la boîte dans toutes les pharmacies, tres du matin.
Négociations suivies de 1,010
01
ou
quatre boîtes contre mandat-poste de
Le syndicat des fontes de Westphalie ,va è. Longwy.—
1,010.
9 francs adressé à la Pharmacie des Pou- lui
b aussi décider une baisse des prix.
Lorraine de Dietrlch. — Seul cours coté
dres de Cock, à Jeumont (Nord).
A la dernière-bourse de.. Dusschlorf, J,es-■ 700.
Avis trè3 important. — Attendu' que cer- ccotes ont enregistré de nouvelles moinfe-va- ■
Lorraine Indu'sîriello. — Négociée â 750
- ■
tains
Pharmaciens vendent des contrefa- ]h;1 es
jf
et à 755.
eons malhonnêtes dés Poudres de Cock,
Une
réunion
des
tréflleurs
allemands
et
^ client est très instant ment prié de refuser n
Manufacture As-dsnnalse (Rraux). —
le
américains -doit' avoir lieu le 6 décembre à
te
toute
boîte qui ne porterait pas la marque fCologne. On ne voit pas bien quel peut '• ibtenablé à 975.
Marine-Homécourt. — Lourd entre 1,245
de fabrique : L'HOMME AU MARTEAU, être
h
son objet.
et 1,215.
C'est tout à fait important si on veut guéTout aussi illusoire nous paraît être le
Micheviîle. — Entre 1,135 et 1,145.
rir.
ri
' projet de syndicat international des fabriMontataire. — Nous disposons de queltnts de tuyaux de fonte. C'est un brriit qui quos titres à 725, dernier prix fait
1
est remis, périodiquement en circulation.
Monceau-Saint-Fiacre. — De 325 à 360
0¥
Belgique. — Aucune amélioration à si-■ ' l'action de capital ; l'ordinaire de 210 à
220..
•
gnaler.
La lutte sur le marché anglais champMenthernié-Laval-Bieu (Fonderies). —
clos des vendeurs de demi-produits prend-1. Nous avons preneur à 650.
Capital social : 5 Millions
^un caractère inquiétant.
Nord et Est. — Calme de 1,795 à 1,790.
Eiats-Ui!Ï3. — Période d'attente jusqu'aui
Ougrée-Marihays.— A retrouvé son équl£
moment
où*' sera réglée la question finan-• libre entre 1,155 et 1,165. Le récent plonT
cière.
geon à 1,080, paraît le résultat d'une made SOC &. 4 ©iO
Russie. — La « Société de constructioni nœuvre de bourse. On avait en effet fait
DE LA SOCIÉTÉ ANONYME DES
e de location de matériel de chemin deï courir le bruit à Bruxelles que la société
et
_
fer », constituée il y a quelque temps, patravaillait à perte. C'était tout à fait inj\
raît songer à commencer ses opérations.■ vraisemblable. Un communiqué officieux
41
Est-ce un signe précurseur ?
déclare au contraire que pour les six preBassin de Bricy
La Dniéprovienne aurait une commande3 m fers mois de l'exercice en cours, les résulde, 6,500 t. de rails pour les Indes. Ne l'en» tats sont supérieurs aux précédents. Cela
Ces obligations rapporteront SO francs félicitons
\
pas trop bruyamment, car elle ne
n
nets exempts de tous les impôts actuelle- 'd f.t pas en tirer gros profit, mais il faut? ne surprendra pas ceux qui sont tant soit
t peu au courant de l'allure du marché méa
meut existants ou de leur équivalent en cas ;
bien vivre.
tallurgique.
d remplacement.
de
, JÊU «-•
- .
Pompsy. — Le dividende de 20 fr. est
«
n» 2.
"
Le Salon de l'automobile va fermer sës, payable dès à présent, coupon
La Banque Renauld et G0 figure parmi
Les souscriptions sont également, reçues jportes. Cette manifestation aura été pluss
d
les établissements désignés pour le payer.
dans
les mêmes conditions aux guichets de ,éclatante encore mie de coutume. La paj\MM. BLOCQ frères et fila, nos CO!'Produits électrc-înatanurgicjues dés Pyrade avant la bataille ! Certains fabrirespondants à Toul.
cants n'ont môme pas pu attendre la fin. rénées.— Sans transactions. L'eau sera mir
incessamment dans la conduite forcée ;
C'est une impression générale de ma-; se
pini ■ ■■un ii
n
■■■ iat»^ifta'i»iiij'»ttt..'-w.v'>»'<wtn»i»
es dl
vors essais auront ainsi lieu pendant"
laise qui se ■ dégage des conversations.;; ]
les acheteurs étrangers, ceux oui pren- la mauvaise saison et au printemps, la
f
nent sans discuter les grandes marquess Société sera en état de marche anormale
d'HORLOQBRIB fie Besançon (Doul>s)
font défaut, on ne vend pas. Il faut toute-J* et productive.
le n a
i
B. DUPAS, Directeur, 19, rue <:c Bet&rL
' Pas ù redouter les tâtonnementsi
fois mettre à part, trois ou quatre fabri-i- . P.
Manufactura do MONTRES, REVEIL*, TCNDULES,
U inhérents à toute entreprise nouvelle ; ses
i^-3Hf i
BïjouUria pour Maria^a
cants à la clientèle fidèle qui se déclarent
^^^^^^^^
'
'
'' ' ' "'
^
- '-''- K:.I.P.
MONTRE
installations ont en effet été établies par
très satisfaits.
Le temps n'est plus où les adeptes dee dcs Professionnels qui ont fait leurs preu-■
i
Pautomobilisme changeaient de voituree ves dans l'élcctrochimie et l'âiectrométalI
lurgie, nous voulons parler du personnelI
tous les ans pour suivre les progrès et la
a
\
l. technique, administratif et commercial de:
mode. A part une nouveauté qui paraî■e la « Société des Forces motrices de l'Arve »i
tra révolutionnaire — la voiture Ampère
— on ne signale aucune modification imi- dont la Société des Pyrénées n'est qu'une>
portante. La voiture automobile a trpuvé filiale.
.
| sa formule, il lui faut trouver aujourd'hui
u
L'affaire est intéressante au plus haut
;
. une nouvelle couche d'acheteurs.Les jour- point, et il nous semble que l'on peut conJ
' naux signalent une évolution vers la voij. seillor de profiter de îa dépression actuelle,
ture moyenne et utilitaire. Cette évolution
P
du.marché pour mettre en portefeuille les:
Ed. RIONDEL
assurera à Pautomobilisme le développe- titreS qui pourraient se présenter,
ment normal de toute industrie. Mais elle
.e
Providence. — Se relève de 1,910 à 1,985.
n'est pas encore bien apparente.
Providence ruaee. — Esquisse un mouve2, rue du 4-Septembre
Pour les poids lourds, il y a des pro3ruent de hausse de 121 "à 145 pour l'action
grès incontestables, mais la question nee A ; de 54 à 74 pour l'action B et de 20 à 28
;Succursales à LILLE, Abbêoille, Aoesnes,/ paraît pas encore au point.
pour l'action C.
Besançon, Chttrteoille, Nancy, Orléans, Rouen,
En résumé, après le Salon, la liquidaiRatf et Gie (Sauînes). — Après une IonSaint-Quentin, Tours, Yalenciennes.
tions d'affaires ciui ne sont pas outillées
is gue absence reparaît à la cote à 4,450.
financièrement s'imposera ;, et sur un 1 erfRombas, — peu d'affaires entre 1,653 et
'"
d 1,665 mk.
ra in déblayé, les affaires saines pourront
reprendre leur marche en avant.
Voici quels sont les résultats présentés3
ti, rue de u U;> -utulion
à l'assemblée du 30 novembre :
(POUR LU KEBSTHE-tl MO,.-LE Eï LEO VOSGES)!
Bénéfices industriels : 11,563,557 mk;
r- (10,111,028).
Téléphone 6.96 — Télégr. IIWXDEL-NAXCYi'
Aciéries des France. — Continue à marquer le pas de 471 50 à 475.
Bénéfices avant amortissements: 8,610,3393
" Angieur. — Reste lourd de 295 à 280.
(7,574,038) mk, qui ont donné lieu à la réLa. BANQUE LILLOISE ne fait pas l'esAre-sur-Moselie. — L'action ordinaire off- partition suivante :
compte du papier de commerce et n'ac(cepte pas les Dépôts de fonds.
ferte à 121 mk G0.
Amortissements
3,484,872 mk^
Athus. — Cote 1,275 et 1,265.
La BANQUE LILLOISE s'occupe speciaTantièmes
249,843
e
Aubrives-Villerupt.
-Obtenable
à
350,
lement des placements de capitaux ;*Elle
0,
Dividende 14 %
4.620,000
•dernier
prix
fait.
étudie et surveille la composition des porOuvriers
100,000
Audincourt (Forges d'). — Nous avons
tefeuilles ; Elle renseigne sur toutes vara
Report à nouveau
155,624
preneur.
leurs ; Elle vérifie les tirages.
Voici quels ont été les principaux chif-La BANQUE LILLOISE exècre::; tous Or-•. " Aumetz-la-Paix. — Reprend légèrement
« fres de la production :
dres de Bourse à Paris, Lille, Bruxelles,i, de 680 à 720.
Minerais
2,010,000 tonness
Paiement du dividende de C0 fr., coupon
Londres, New-York, Berlin,Genève, Saint'n
Fonte
594,000 —
Pétersbourg, etc.. (Demander le tarif dee n° 6.
Lingots d'acier
585,000 —
Les actions anciennes n° 1 à 52,133 doicourtages).
«•
Laminés
130,000 —
îe
La BANQUE LILLOISE paie tous less vent être présentées en'même temps que
.
Le rapport fait savoir que les transforcoupons sans commission ; Eîie fait toutess le coupon pour être frappées d'une estama
ij.
mations et nouvelles constructions entreopérations sur titres : Libérations, trans-;- pille portant la mention du nouveau capi'•'
prises ne sont pas encore terminées parr
ta! de 35,500,000 fr.
ferts,^ versements, ^ échanges, renouvelle>
n- suite de retards dans les livraisons du ma!Bavard (Fonderies de). —- Assemblée annuelle le 10 décembre. Dépôt des titres le tériel. C'est le cas pour > les Hauts-Four-lites ou "^{j^'
i .,„.., «ratiiii- 5 décembre^ au plus tard. Là^ Banque^Ree- ner régulièrement durant tout l'exercice,■>
temant à qui en fait la ^dcinandc, Ta cWi.
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us5e
4iAI(CT£7
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• MAX QUE MENA VLB ■ e t C% à NANCY (Capital: 10 millions)
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Uitt rïôsespéréa
mt
«■■■■■■■■in nu—,
-—
J
j
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j
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VERRERIE ST GLACERIE
Par suite des hésitations de deux fabricants, la France n'a pas encore pu
adhérer officiellement à la Société europcenne des fabricants de bouteilles constituée le 15 novembre à Dusseldorf. Un
délai lui a été laissé jusqu'au 8 décembre pour entraîner les dissidents et obtenir sa participation aux conditions d'origine.
La Société européenne a été constituée
au capital de 1,000,000 de mark ; ce capital va être porté à 6 millions de mark et
il pourra, être élevé jusqu'à concourrence
de 16,500,000 mark. Cette somme est très
seiisib ment supérieure au prix d'acquis!tion des brevets qui est de 12,000,000 mk,
mais le paiement devant se faire par anouïtes, la Société Owens a voulu se ga''--'mir contre des défaillances possibles
m ei:5 a exigé un capital élevé.
C11 d'Assurances générales
SUR J-A VIE
4
:
'
^ ^^^^
ACHETEZ^
} %" négociée récemment au pair plus .
intérêts. Nous disposons encore de quelques titres.
Gaz de Mulhouse. — Nous avons preneur
d'actions ordinaires h 1,695, et d'actions
de jouissance à 1,325. L'obligation 4 %
Cftpttaiix différés
, cote 504.
Par uno assurance de cnpilal difGaz Franoo-Belge.— L'action traitée de
448 à 454. L'obligation 5 % de 513 50 à féré, la Compagnie s'engage à payer une
somme déterminée à l'assuré, s'il est vivant
515.
Gaz de Lunévillc. — Nous avons preneur à une échéance fixée. En cas de décès du
dit assuré avant l'échéance, les primes verd'obligations.
Gaz de Nancy. — Nous avons preneur sées «estent acquises à la Compagnie — ou
bien celle-ci les rembourse aux ayants
d'obligations.
Gaz du Mord et de l'Est.— L'action cota droit, si la police a été faite avec conlreassurance.
647 et 650.
Exemple : âge de l'assuré, 1 an ; échéani Gaz cie Vftlerupt. — Cette société va procéder à l'émission des 200,000 fr. d'obliga- ce fixée, 20 ans ; capital assuré, 10,000 fr.
tions prévues pour les statuts.Ce seront des Prime annuelle : sans contre, assurance,
titres de 500 fr. rapportant 4 h % nets de 338 fr. ; avec contre-assurance, 559 fr. — On
tous impôts, et qui constitueront un pla- prime unique : sans contre-assurance, 4,537
fr. ; avec contre-assurance, 5,189 fr.
cement, intéressant.
S'adresser à la <?ouij>«t£e.i« «S'AnmitLa Banque Renauld et Cie reçoit dès à
s-Miio*»» gé«'éi*V»l€h» KUI* Ii» Vif, à
présent les souscriptions.
Paris, 87, rue de Richelieu, la plus ancienne
TRANSPORTS
et la plus jinpor-lant.e des compagnies fr«n: Chemin* de fer de l'Est. —- En reprise de tjaises (fond» de gnmit&lc, »îï.i tutllîoii«, cii(.ièrc>nioitt ré«II«é«i)j — ou
891 et 898. La, jouissance de 401 à 402,50.
à l'un iie ses représentants dans les déparCompagnie générale française de tram- tements.
ways (réseau de Nancy).— De 548 à 540.
Pour tous renseignements, de même que
L'obligation 4 % entre 494 et 500.
our liailer, s'adresser à MM. les agonis :
Wassy à Saint-Oizier. — L'action négoRUN c" SADOUL. 27. rue des Carmes, à
ciée à 360. Nous avons preneur à 350. L'o- Nancy; G. d'AMBRRT, à Lunéville; SAMbligation 3 % demandée à 375.
SON, à Longwy ; de GOLBERY, à Epi»ol ; M ARGILLAT. à Salnt-Dié ; de LA
EAUX ET HOTELS
0ABBE, à Neufcbâleau ; Elvsé MOUGEBrasseries, restaurants et hôtels réunis. NOT, à Mirccourt; DELAUNÔY, à Dar-je— Nous disposons de quelques titres.
Duc; JACQUINOÏ, à Cfynmcrcy ; CELes résultats de l'exercice en cours sont BÀÏÎD, à Verdun: PERETMER, a Chauen progression marquée sur ceux du pré- monl : Joseph GA1DE à Sl-Dizicr; ROGll,
cédent.
àBelforl ; veuve ALEXANDRE, à Luxeuil;
Oontrexéville. — Nous avons preneur à GIJlClIARD.à Lurc; SABOURIN,àVcsoul.
I ,<^|
FIN DE
La llflatson du Bon Marelié tic
I
'vieitt de désî-Barqit.er, d'usie ffîtçosi coiie»^'
r«t*Ie, ses MANTEAUX lie DRAP et de FQU^ljT
.g^Â Geux qui Toysse^^ i
I
II /J
sont Htè^nipafables Gômsns prix et élégance
J i //
. EXCEPTIONNEL " »e QQ fr
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Pelisse»calastrakanvèritaMe
la- bouteille : les deux questions sont
iiées.
Afin d'éviter un bouleversement trop rapide de l'industrie du verre à bouteilles,
notamment au point de vue de la maind'œuvre, il a été décidé que l'emploi de
la machine Owens serait maintenu dans
une proportion déterminée du contingent
de production accordé à chaque pays.
Du reste, cette machine, qui donne des
résultats merveilleux pour les bouteilles
à fond olat, ne pourrait être encore utilisée pour les bouteilles à fond piqué.Mais
il n'est pas douteux qu'elle soit susceptible, d'ici à peu de temps, de donner ce
résultat.
C'est le 17 août 1009 qu'expire le syndicat international des glaces ; tous les intéressés paraissent d'accord pour accepter une prorogation de trois ans qui assurerait une nouvelle période de tranquillité.
Les moyens de production sont actuellement supérieurs de 15 % environ à la
consommation ; on sait que l'on y remédie au moyen d'un chômage de cinq jours
par mois. Comme on peut admettre que
la consommation augmente de 3 % en
moyenne par année, c'est dans cinq ans
que l'équilibre sera l'établi.
Il n'existe aucun stock et les prix de
'ente sont invariables.
GIronccurt. — Assemblée tenue le 2t novembre, Sous la présidente de M. J. Buffet, président du consei?.^'administration.
Le rapport, du censei'»» alsait un exposé
très complet des causes qui ont influencé
défavorablement les résultats de l'exercice
et qui consistent principalement dans le
retard subi par les nouvelles installations,
. four n° 3 et gazogène d'un nouveau système. Définitivement éprouvés aujourd'hui, ces
appareils donnent une économie notoire
de combustible.
Des renseignements détaillés ont en outre été fournis sur le syndicat de la machine Owens auquel la verrerie de Gironcourt a adhéré et dont on peut attendre
une influence heureuse pour la société.
Les actionnaires ont autorisé, le conseil
à émettre, si besoin en était, des obligations jusqu'à concurrence de 900,000 fr.,
mais étant bien entendn que si des garanties spéciales leur étaient conférées, les
obligations anciennes en jouiraient également.
Vallcrysthal. — Nous avons preneur à
3,200, dernier prix fait.
Val-Saint-Lambert
(Cristalleries).
—
Négociée à 775 en dernier lieu.
CERAMIQUES, MATER!AUX DE
CONSTRUCTION
Briqueteries de Charmes. — L'assemblée
tenue le 24 novembre a voté, par 92 oui
contre 8G non. la réduction du capital de
i50,000 à 90,u00 fr. et la reconstitution du
capital à 180,000 fr. par la création de
tfo,000 fr. d'actions privilégiées.
On nous dit, que cette décision va être
attaauéè par certains actionnaires.
-Kèvre eî Cie (Carrières et scieries de
Bourgogne). — Négociée à 259.
-Cîî PîEson et Cie (Xeuilley). — Des demandes à 6,250. L'obligation 4 % demandée au pair plus intérêts.
Cirhents lorrains. — Traitée à 1,210 mk.
Ciments
Bombas. — Dernier cours
«0 mk.
Dividende proposé 10 %'.
TEXTILES
La note générale est le calme, ce qui
l'explique par l'importance des en^agener.tr, contractés et l'incertitude au sujet
lu prix du coton.
—; .
ImSKt
-=
M
■■■
-3^
La trame, introuvable il y a quelques
jours, commence à réapparaître, mais en
petites quantités.
En Allemagne, on est faible, surtout
pour la laine.
Bœringer, Guth et Gie. — Nous disposons de quelques titres à 5,950.
Gotonnière de l'Est (Vincey). — Nous
disposons de quelques titres à 5,500, mais
dividende de l'exercice réservé au vendeur, contre-partie à 5,000, coupon attaché.
Gotonnière lorraine (Val-et-ChatilIon. —
Nous disposons de quelques obligations
4 % " au pair plus intérêts courus.
Gotonnière de Mtrecowrt. — Négocié à
4,900, prix auquel J.OUS avons encore preneur. L'obligation 4 £ %" traitée au pair
plus intérêts courus. Nous disposons de
quelques titres.
Doïftts, Mieg et Gie. — Négocié à 3,075.
Eefc Guth ct Cie (Malmerspach). — On offre à 4,000 mk.
Filatures de Laval (Moyenne). — L'obligation 4 \ %" au pair plus intérêts
courus.
Filature de Schlettstatit. — Cette affaire
nous l'avons dit, est une émanation du
croupe qui a fondé La Vologne.
Raison sociale : Fein-Spinncree Schlettstadt.
Capital : 2,200,000 mk en 2,200 actions
de 1,000 mk.
Giron et Gie (La Vologne) — L'obligation
4 %** traitée au pair plus intérêts.
La Gocse.— Nous avons preneur à 9,000 ;
contre-partie à 9,100. Un tout petit effort !
Les Fil3 el'Eroaîiueî Lang (Bonsecours• Nancy). — Sans changer de raison sociale,
cette vieille et honorable maison vient do
modifier ses cadres. Les chefs se retirent,
pour laisser la place aux jeunes, et les associés sont aujourd'hui MM. Paul Lang,
Alfred Lartg, Louis Lang, Edmond Lang
et Henri Lang. Ils ne sont pas d'ailleurs
des novices dans les affaires
Manufacture Hartmann et fils (Munster).
— Bénéfices 357,431 mk (430,413 mk). Dividende 5 i % (5 %).
A. Marcha! et Cio (Filatures de l'Est),
à Lunévillc. — L'obligation 4 i ,%" au pair
plus intérêts.
Russo-Française. — Négociée de 732 à
745 : la part à 155. L'obligation 5 ,% obtenable à tett.
Saint-Julien (Teinturerie). — Nous disposons de quelques obligations.
Thaon. — Négociations récemment à
11,000, prix auquel nous avons preneur.
Tissage de Rovilte.— L'obligation'4 t %
est recherchée.
Tissus de3 Vosges (Le Thillot). — Nous
disposons de quelques titres.
Sehappe'de Bâie. — Continue à s'effriter
de 2,980 à 2,775 ; dernier cours 2,860.
Soie artificielle (Givct). — L'action cote
255 à 260 ; la part 50 à 56.
Soie pttardonnet. — Entre 605 et 625.
PAPETERIE ET IMPRIMERIE
Etlval-Clalrefontainè (Xussc.Bodét et Gie).
— Sans transactions.
Jeandheurs. — Nous avons preneur à
175.
Weibe! et Ole. — Nous avons preneur à
1,450.
ÉLECTRICITÉ ET ÉCLAIRAGE
Générale électrique.— Négociée à 1,225
en dernier lieu. Nous disposons encore de
quelques titres à ce prix. L'obligation 4 %
négociée au pair plus intérêts.
Compagnie générale d'électricité (Station de Nancy). — De 690 à 708.
Electricité de Strasbourg, — L'action négociée à 2,780.
Marcel Vilgrain eî Cie. — L'obligation
:
——
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Pas- Ucnô «l'AXJOU
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Reine avait les yeux pleins de larmes.
Elle ne savait que faire, que dire. Cet entant l'impressionnait, elle l'embrassa en:ore, le vit partir et longtemps fixa sur la
route la petite silhouette décroissante...
Quand elle rentra au salon, Blanche
avait raconté son rôve d'avenir à madame
àe Serpat, elle achevait sa confidence*
— Ah ! concluait-elle sincère, jamais je
n'aurais voulu épouser un veuf, moi !...
XI
Charlotte de Romancey avait appris à
Sydney où elle était en tournée avec son
Errpressario, la terrible nouvelle qui metlait en deuil sa famille. Terrassée du
teoup, elle avait dû pourtant se relever,
faire face à ses engagements et- le soir
Chanter le rôle annoncé. C'était celui tic
Roscn du M Roi d'Ys ».Elle y mit de tels actents qu'une ovation enthousiaste finit
ja représentation, qu'elle fut comblée de
■
Vittel (Eaux de). — Des demaudes.
Hôtels Continental ct Ghâtiilon réunis.
— Nous disposons de quelques titres.
Hôtel du Lion d'Or (Reims). — On offre
à 650.
Pensionnat de 8anitlfontalne. — Assemblée tenue le 28 novembre, sous la présidence de M. Daum, président du tribunal
de commerce.
Les résultats du quatrième exercice sont
des plus satisfaisants, puisou'ils ont laissé un bénéfice net de 8,967 fr. 38. Cette
somme a été employée à de3 réserves et
amortissements.
La rentrée de 1907 a été excellente et cette affaire continue à donner la plus entière
satisfaction à ses promoteurs.
ALIMENTATION
Epiciers-Réunis. — Traité à 187 et à 190.
Nous disposons d'une certain nombre de titres à 190.
Etablissements Miellé et Cie (Châlons);
— L'action négociée récemment à 390. On
offre à 400.
Sermaize. — Nous disposons do quelques
titres à 965.
Vilgrain, Simon ei Cie. — L'obligation
4 è %" est recherchée.
Anciens Etablissements COEÎIOÎ. — L'obligation 4 4 % traitée au pair plus intérêts courus.
Coopérative agricole du Nord-Est. —
Nous disposons d'un certain nombre de
titres à 130, dernier prix fait.
Corroieries Lorraines (Ftain). — Nous
disposons de quelques obligations à 490.
DochS'Réunis (Capit).. — L'obligation
4 %** obtenable au pair plus intérêts.
La Lorraine agricole. — Société coopérative établie par acte reçu de Me André notaire à Lunéville.
Fondateurs : P. Genay,président du Syndicat agricole de Lunéville ; Em. Suisse,
de Moncel ; de Bouvier, propriétaire au
château de Bayon ; L. Husson,propriétaire
à Haussonville ; Vigneron,, propriétaire à
Lunéville.
Siège social à Lunéville.
But : Opérations commerciales intéressant l'agriculture et qui sont interdites aux
syndicats agricoles.
Capital variable en action.-, de 100 fr.
Majoreile frères et Cie. — L'obligation
4 i % " au pair plus intérêts courus.
Scories lorraines. — Des négociations
sont entamées pour constituer un capital
d'exploitation.
. icfboîsrgesell&chaft
(Norhausen). —Cote 1,660 mark.
Tonnellerie Adolphe FruhlsishQlz—Traité à 1,200 en dernier lieu. L'obligation
4 i % au pair plus intérêts. Nous avons
preneur.
De la Banque Uotsnssîtï et CJe
Nancy, 21,rue Saint-Dlzier (Passage
du Casino).
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dons, offres, compliments de toutes sortes
et qu'un jeune journaliste, reporter d'une
feuille parisienne, lui déclara sa flamme
et lui offrit son nom. Charlotte, bien entendu, le repoussa avec une douce fermeté. Quoi, en un pareil moment, songer à
l'amour 1 mais à l'exemple de sa sœur
Blanche, quand elle fut seule la nuit et libre de songer en paix, une pensée effleura
son cœur : Pauvre papa qui voulait tant
nous marier ! pauvre papa, sans doute, il
prie là-haut pour obtenir ce miracle :
marier neuf filles sans dot !
La jeune artiste passa le reste de la nuit
à écrire une longue lettre de part à toute
la peine des siens, elle consacra ensuite
une autre fcuifle séparée à l'adresse de
Marguerite, lui expliquant :
— « Les ressources vont être bien réduites chez nous, je m'en inquiète, il va falloir vous résoudre à compter sur moi, tu
sais avec que! bonheur èt quelle facilité
je mets dans vos mains ma bourse. Je gagne ce que je veux. Je vais rentrer à Paris avec une fortune. Amène maman à
consentir à demeurer à Paris, non avec
moi, mais près de moi, mes sœurs la suivront. Le gosier de Chatty Chanson nourrira toute la famille et je t'assure de la manière la plus honorable, car l'argent que
je gagne est bien mien et de source artistique uniquement, je te le jure.
Un jeune homme, d'une excellente famille française, veut m'épouser, peut-être
j?lus tard l'admettral-je. Reine le connaît,
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il m'a parlé d'elle avec enthousiasme, il y
eut même entre eux des projets de mariage brisés par sa faute à lui, qui commit
un péché de jeunesse, réparé aujourd'hui
d'ailleurs, car c'est' un débrouillard et un
travailleur. Aussitôt que possible, je m'embarquerai. Tu penses si j'ai le cœur à
jouer !... cependant, je vais te dire une
chose inexplicable. Quand j'entre cn scène, j'oublie tout, je ne suis plus moi, une
autre âme (celle de l'héroïne que je joue)
prend mon cœur et le conduit jusqu'à
mon retour dans la coulisse. J'expliquais
cela à mon presque fiancé et il m'a dit :
« C'est le don génial de la vraie artiste ».
Ah 1 oui, je l'ai, ce don, et j'adore mon
art, jamais, Marguerite, tu ne pourras
comprendre le bonheur que donne l'art,
c'est quelque chose d'inouï, d'extra-terrestre, c'est la communion dans l'au-delà.
Marguerite lisait cette page avec émotion. Oui, Charlotte
avait raison, elles
devaient aller toutes vivre à Paris, se réunir, s'aider, elles s'aimaient tant ! Comme
c'était donc caractéristique, ces deux mariages offerts presque le jour de la mort
du pauvre père, vraiment il y était pour
quoique chose, il avait dû projeter son désir avec tant de force sur terre que le fluide en avait gagné des cerveaux... la Providence, agissait clairement et il fallait à
présent la comprendre.
Alors Marguerite se mit à parler dons
ce sens à sa na^re, elle s'attacha à détacher la censée £e la colonelle du désastre,
elle voulut lui montrer un peu de bleu,
l'occuper du départ. La pauvre Mme de
Romancey tassée, flasque, ne justifiait
plus du tout son surnom, elle abaissait
maintenant en arc les coins de ses lèvres
molles, et se laissait guider par ses filles,
changeant de rôle à présent, soutenue et
protégée, guidée par ces âmes plus vaillantes et plus jeunes.
Octobre était à sa fin, la plage devenait
moins peuplée, le vent balayait le sable
en nuages roulants que les rares promeneurs recevaient dans les yeux. Il fallait
partir. Déjà lord Arthur et Simone avaient
pris les élevants pour chercher un appartement. Ils écrivaient, tous les jours logés
à l'hôtel Ritz, ils visitaient en masse des
appartements, en avaient de notés un certain nombre, de sorte que la colonelle n'aurait à l'arrivée qu'à choisir sans fatigue.
Simone déplorait, l'absence de sa sœur
Charlotte, allait quand même chez celle-ci
causer avec les serviteurs, examiner les
choses familières, leur demander la révélation des secrets intimes de l'artiste. Et
ces choses parlaient, la petite chambre
claire, modestement meublée comme celle
d'une pensionnaire, disait les calmes nuits
de repos. En revanche, les splendides suions racontaient les triomphantes soirées,
les réceptions mondaines. Lord Arthur et
sa femme en conséquence, admirent tout
de suite l'idée de loger le reste de la famille le moins loin possible de l'avenue du
bois, où était situé l'appartement de
Chatty.
Les emballages se poursuivaient à la
villa des Roussalka, toutes les habitantes
en souhaitaient fuir. Reine venait chaque
jour avec Flora donner un conseil, emballer un bibelot, empêcher surtout par sa
présence amie, le trop dur rappel des souvenirs mis en mouvement, par la nécessité de toucher aux vieilles cho~es.
Une fois, au milieu du désordre, Flora
fut tentée par l'idée de descendre seule
sur la grève devant la villa. Elle voyait
monter la mer à petits coups et elle s'élança par l'escalier donnant de la terrasse
sur les rochers Parvenue au ras de l'eau,
elle se mit à construire avec sa pelle de
bois une haute tour pour avoir la joie de
se voir entourée peu à peu par le flot, d'être Robinsonne dans l'île. La fillette avait
retiré ses bas ct ses bottines et tout à coup
elle les aperçut à quelques mètres enlevés
par les vagues. L'effort pour les reprendre était absolument vain. Alors l'enfant
regarda autour d'elle, cherchant une aide
mais n'aperçut rien d'utile. Un unitrae
promeneur la contemplait II devait être
là depuis longtemps, car ses pieds avaient
marqué de profondes empreintes dans le
sable humide.
Elle le fixa, elle aussi. C'était un homme
assez grand, de moyenne corpulence, des
OR .yeux châtains passaient sous sa cas-
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Sous ce titre, et après avoir onuméré les divers produits utilisables avec avantage
pour ia santé pendant le régime végétarien d'une semaine qu'elle recommande à suivre
quatre fois par an (à chaque changement de saison), afin de donner aux organes surmenés un repos nécessaire, la Médical Gazette est amenée à citer l'extrait suivant du rapport de j'cminènt expert et analyste le D'Griffiihs, de l'Université d'Edimbourg (Ecosse) :
« J'ai examiné la Revalcacière du'Barry ; clic e'stjircs riche en phosphates, nitrogene et sels
«dépotasse, — les éléments indispensables au cerveau, nerfs,. sang et muscles; — il s'ensuit
« qu'elle contient tous les ingrédients nécessaires pour restaurer les nerfs, les muscles ct le sys« terne digestif; de plus, la composition de cet aliment lui permet d'être facilement absorbé,
« mêmepar les personnes les plus délicates. Pour les trodbles de- l'estomac et du sang, cile'n'a
« pas d'égale ; je puis donc la recommander en toute confiance ao cjrps médical, comme étant
« un aliment parfait pour les malades aussi bien que pour les enfants les plus délicats. »
■ Elle est le meilleur aliment pour élever les enfanis, qui la prennent avec plaisir quand toute autre
nourriture leur répugne. En boîtes : 1\{ kil., fr. 2.50 ; lp3 kil.. Ir 4.50 ; 1 kit., fr. 7.70. La UEVALESCIKRE CHOCOLATÉE aux mêmes prix.
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un jaune d'eeuf frais.
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yllle, Denis. --A Ponl à-Mousson, Patard. — A Toul, Greiner. — A Nenfciât m' ~ A Lut*
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« employé, 3, ruevninrs, Grenoble.
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MARCHÉ AUX VEAUX
La Villette, vendredi 29 novembre.
Veaux. — Amenés, 370 ; vendus, 321.
On cote au demi-kilo viande nette :
monceaux anglaisés de choix, 1 10 à 1 15 ;
ordinaires, 1 à 1 05 '; veaux de Sézannc,
1 10 à 1 15 ; champenois d'Arcis-sur-Aube
et de Châlons-sur-Marne, 1 10 à 1 15 ; de
Vitry lè-Prançois, 1 08 ; veaux de Brienne
et de Bar-sur-Aube, 1 03 à 1 05 ; veaux de
Nogcnt-sur-Seine, 1 08 à 1 13 ; de Rodez,
0 80 à 0 85 ; toulousains, 0 95 ; auvergnats,
0 80 à 0 85 ; gàtinais, 1 13 à 1 18 par petits
lots et de 1 20 à 1 25 l'unité; arté.siens, 1 05
à 1 10 ; gournayeux'supérieurs, 1 08 à 1 12;
ordinaires, 1 05 ; caennais, 0 95 à 1 05:
Lès affaires sont, également comme hier,
des plus modérées, car elles sont contrariées par une température douce et humide. "
Le froid sévit ct on ne compte plus les enrhumés ' •
qui toussent à fendre l'âme. — Que cette toux provi
C
rhume, d'une grippe, d'une bronchite, quelques culn
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VALEURS DIVERSES
SMlllI nUDtn I
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Pôiiiïlotou de VEST REPUBLICAIN
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NOS PARDESSUS
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' .-- 11 sourit à la •
— Je n'ai qu'une canne, dit-il, F
en l'adjoignant à votre pelle f$
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—Non, répondit Flora
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trop loin maintenant, le plus
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qu'il va falloir escalader pieds
durs rochers.
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Ce disant, elle avançait avec d» ^
piteuses ses roses petits pieds, tou i
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l'un d'eux saigna, Flora s'assit, f t
mouchoir, s'enveloppa comme e
L'étranger vint alors.
.ep«is
— Mademoiselle, dit-il aimable, i^
vous offrir mon mouchoir po"
pied...
,
«rd'
Elle le regarda sans répondje,
mère et marraine lui ayant IO«J ^
fendu de parler aux inconnus,
paternel :
, „.us dc^
— Voulez-vous me dire ou \"
rez, j'irai chercher ce qui vou
-Merci.
, ,, dc'^;.
Elle se releva, seulement
* _ éta,et
vraiment était terrible, les
rugueux, couverts de petites a.^
pantes. Flora avait les lan»dans sa détresse elle dit :
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Nicolas GABHIEL, ci-dessous dénomme et qualifié,
Demanderesse, ayant M> LAMBERT pour avoué,
D'une part ;
•
Et : M. Jean-Nicolas GABRIEL, ouvrier mineur, dom<-r,ra«t
Maxéville en dernier lieu, mais actuellement sans résidence coin»
Défendeur défaillant,
D'autre part.
U appert :
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Que le divorce a été prononcé entre les époux fc*" ,„,OBRINGER, à la requête de la femme et aux torts exclusifs du-n»
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La présente insertion est faite conformément à l'articlefa
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du Code civil, en vertu d'une ordonnance de M. le PeI' wï
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tribunal civil de Nancy, en date du 28 novembre 1907, î ' lr. pour faire courir les délais d'opposition à l'égard du ^u'/le
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Nicolas GABHIEL, le dit jugement n'ayant pu être signiuc p-'a sa personne.
Nancy, le 29 novembre 1907.
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L. LAMBERT.
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CAFÉ-BRASSERIE
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