r ^—mMbym ^'wancfieV^ " REDACTION ^ et ADMINISTRATION, 51, RUE SAINT BIZIEB S Centimes - 4. g, 8 JPAGËS - W°7.510 I ™ Téléphone 3 21 §f| DerrdèrïËèure ÉÊ — —^ Les pertes françaises ALCEU, 30 novembre. — L'attaque du 29 aovembre s'est produite sur la fin de l'après-midi, à l'Ouest de Menasseb-Kiss. [ Nous avons eu le trompette Coudroy, de la section d'artillerie de montagne, tué, le eanonnier Dussault, de la même section, Blessé ; le capitaine Bellida, de la 3" eompagnie de tirailleurs a reçu trois blessures graves. L'ennemi a été repoussé avec do gros ses pertes. ; Les dispositions dea troupes et les renforts Le cénéral Lyautey a fait connaître par dépêche au gouvernement que des detachements ont été envoyés sur les point;: suivants : 1° Au Kiss, un détachement compose d'une compagnie de tirailleurs, d'une section d'artillerie de montagne et d'un de mi-escadron de spahis. Ï A El-Arnabra, un demi-escadron d chasseurs d'Afrique. " 3" Bab-El-Assa, deux compagnies du er 1 étranger, un demi-escadron de spahis une section d'artillerie de montagne et 1, goum. 4° A Sidi-Bou-Diennam, deux compagnies de tirailleurs. Ces deux compagnie:' ont l'ordre de se porter à Bab-El-Assa.dès que le colonel Brnndières y sera arrive avec un bataillon de zouaves et une batterie montée. {Menasseb-Kiss et "Hli-Aïssa sont dent Points frontière,du côté a;lgéwilî,a« NordOuest de Lalla-Marnia, et un peu au-deâ sous de Bab-El-Assa et d'Andjeroud, où eurent lieu les précédents combats.) TUNIS, 30 novembre. —- Une section d'artillerie de montagne appartenant à la 18" batterie du 1S8 régiment d'artillerie, en garnison à Hurmanlis, est partie ce soir a destination d'Oran et de la frontière aî'ïéro-maroc&ine. Elle se compose de 60 hommes, de 40 chevaux et de deux pièces de car,on de 80 «e montagne. D'antre part, les autorités militaires ont reçu l'ordre de diriger aussi sur Oran.par les voies les plus rapides (mer ou terre) le bataillon du 3" tirailleurs algériens, en garnison à Bizerte et à l'effectif de 800 nommes. Le jugement Il SAiBllSUSE SU ElrSESS Un des malfaiteurs est arrêté Les inspecteurs de la sûreté parisienne ont arrêté, hier soir, à Lille, un des auteurs du cambriolage de l'express Toulouse-Paris, près d'Etampcs. r C'est un nommé Francis Roche, dit Louis, âgé de 24 ans, camelot, demeura rant à Paris, faubourg Montmartre. Au moment de son arrestation, Roche avait très peu d'argent sur lui. _ Deux femmes qui se trouvaient en sa r compagnie ont également été arrêtées. Le trio a été ramené à Paris. — Havas. 15 f■.■1ASSOCiATION D'EEPSONNAGE DE TOULON MARSEILLE. — Le service de la sûreté a ai arrêté un nommé Benini,_recéieor, qui aur;i clé en rélMliuns avec I bande binm <t rait, ce consorts, arrêtés et emprisonnés à Toulon pc pour espionnage. — Havas. LA PEINS DE MORT Les jurys de l'Isère, de la Seine-Inférieure et de la Gironde, viennent d'adresser au garde des sceaux des vœux tendant à l'exéCl cution de la peine de mort. Le jury de la Gironde a adressé un vœu analogue au président de la République.— JJ Havas. g ECHOS DES INCIDENTS DU MIDI — M. Camile Peiletan, est arri rivé dans l'après-midi pour soutenir la ci candidature de M. Jean Bourrât, député, ai au siège de conseiller général, en remplac cement de M. le docteur Ferroul, dont l'é< lection a été annulée. Son arrivée a donné lieu à une manihostile. f£festation Le parti ouvrier a fait, d'autre part, afficher un appel engageant tous "les viticulteurs à conspuer M. Peiletan. NARBONNE.— M. H. de M..., régisseur de ^ M. C..., et M. O..., épicier à Figean, ont ^1 été arrêtés et incarcérés pour entraves à \c perception de l'impôt. — Havas. la PERPIGNAN. stsasoïiAMa Le « Patrie » emporté par une rafale [_ VERDIE, 30 novembre. — Le ballon dirigeable militaire « Patrie » se trouvait, ° comme on sait, campé depuis son accident à Souhesmes, pour les réparations nécesSi saires à sa magnéto. Le départ allait pouvoir être effectué, p lorsqu'une violente rafale arracha le bal1< lon des mains des 200 hommes qui le maintenaient. t< Après avoir traîné sur un parcours d'une quarantaine de mètres, le ballon partit 3 vers l'Ouest, et nïffnta à une grande haut| teur. Il n'y a eu aucun accident de personne. Depuis, on n'a nlus de nouvelles du bal j,fon. — Havas. FIN DE LA DERNIERE HEVRE LE PRESIDENT SES ÏÉTEPJS On apprend la mort à la maison de Nanterre, Ç près Paris, de M. Levecq, pré ssident général honoraire de la société des vétérans des armées de terre et de mer. v LES AJOURNES DE LA CLASSE DE 1904 Entre deux séances de la Chambre de g samedi, le ministre de la guerre a été enltendu par la commission du budget sur la question, notamment de la libération des ajournés de la classe 1904. & Le ministre a laissé entendre qu'il serait trèposé à les libérer le 13 juillet 1908. DUEL ENTRE SENATEURS |j A lu suite de l'incident que nous avons I ''relaté, un duel a eu lieu entre MM. Savary II e Delahaye, sénateurs, à la tour de Villebon. Deux balles ont été échangées sans réssultat. Les deux adversaires ne se sont pas réconciliés. c Les témoins de M. Delahaye étaient MM. ,Gandin de Villaine et Le Cour Grandniaison. s Ceux de M. Savary étaient MM. Ournac et Maxime Lecomte. e mm SE iss «ÉifTOiTS Chambra. — Séance du mercredi 27 novembre 1907. — Au scrutin sur l'ajourne'< sment des mots : « ou de fondations pieuses », jusqu'après le vote du paragraphe * 14 l (discussion de l'article 3 du projet de .1loi relatif à la séoaration des Eglises et de 'l'Etat). — Ajournement repoussé par 360 * voix contre 162. v MM. d'Alsace, H. Boucher, Ferrette, IFîayelle, Krantz, de Ludre, Marin ont votté pour. MM. Chapuis, Fleurent, Ch. Hunabert, Grosdidier, ( Lebrun, Lefébure, Mathîs, Méquillet et Srhmidt ont voté costtre. — Sur la suppression, proposée par Mï Rudelle, «poussée par le gouvernement, du troisième alinéa dudit article 3 : MM. d'Alsace, H. Boucher, Ferrette, ]Flayelle, Krantz, Lebrun, de Ludre et Ma1 rin ont voté pour la suppression. MM. Chapuis, Fleurent, Grosdidier, Ch. {Humbcrt, Lefébure, Mathis, Môquillet et =Schmidt ont voté contre la suppression. Bans le Mares eeeiieiÉi ) * défaite d'Abd el Azi2 provoque une inquiétante agitation Un télégramme du général Drude au {Ministre de la guerre, fait connaître que 'a nouvelle de la défaite de Bagdadi (comMandant de la mehalla d'Abd-El-Aziz), Provoque une certaine effervescence par•nii les tribus Chaouïas. Celles-ci tiennet de nombreuses réunions. toutefois, elles paraissent n'avoir arrê1,3 aucune résolution. soldats de Bagdadi ont, été faits pri»onniers dans le dernier engagemcnt.et en v °yes à Marakcsch. — Havas. BOITOSB DSÏ PASUS Prem. eoors Dorn.conrs do 30 nov. dsSOnov. 1 RcnteSOtO Actions Lyon I Métropolitain \ (Comptoir 95 22 ® 03 1338 .. 510 .. &19 .. natiottald'etcomp- te do Parit Rio Tiiito E NOUVEAU COMMANDANT 'Sasiiowice • OE LA 41» Di¥î8I0!>iI jExtérieure 4 0iO 1 consolidé 4 0,0 . Par décision ministérielle du 30 novem? D„ n œrs ? général de division Bonneau, dis-; RWK! Mle'cs »°'ulde, est nommé au eomnmndémenl ilfcj ! i .j .-..s', « . . . . L NANCY, samedi 30 novembre 1907. Voici les noies rapides, prises à l'audience t Houoecm combat aSidi-Âissu S OIUN, 30 novembre. — On signale un deuxième combat qui s'est produit le 29, à la frontière du Maroc, près du marabout de Sidi-Aïssa, à deux kilomètres de Bab-elAssa, On pris part à ce combat : la 11e compagnie du 1" régiment étranger, capitaine Deville ; une compagnie de tirailleurs, capitaine Michaud ; lee 3e escadron de spahis, capitaine Robert ; une section de montagne, .'ieutenant Richard, Les Marocains, au nombre de 3,500, ve liaient à cheval. Ils ont été repoussés et écrasés par le feu de l'artillerie. On a tiré 136 obus. Les pertes des Français se montent à deux tués et six blesséappartenant tous à la légion étrangère. Aueun officier n'a été tué ni blessé. PARIS. — Le ministre de la guerre a reçu samedi un télégramme du général Lyautey, daté d'Oran, 10 h. 45 du matin, conflrmant la plupart des renseignements donnés par un précédent télégramme sur le combat de Sidi-Aissa, sauf que deux compagnies de la lésion, au lieu d'une, ont pris part à l'action. C'est après avoir tenté un mouvement tournant sur la cauche de notre colonne, que les Marocains ont été repoussés, avec de grosses pertes. Le nombre de nos blessés est de quatre au lieu de six, dont deux caporaux. L'état sanitaire des troupos est excellent, et, malgré les fatigues qu'ils ont eu à supporter, les hommes sont admirables d'entrain et de bonne humeurs „ ~~ Ll^OPsT -fjp à la frontière algérieeao „ yn militer de Marocains tués ou blessés LALU-MAIUMA, 30 novembre. — Voici de nouveaux détails sur le combat d'hier, entre Menasseb-Kiss et Bab-El-Assa : Lee Marocains ont combattu avec beaucoup de témérité. Les ravages faits dans leurs rangs par nos obus sont immenses. On ignore le chiffre de leurs blessés, mais on l'évalue à plus de 500. Quant aux morts qui n'ont pu Être enlevés par eux, selon leur habitude, plus (le 300 corps jonchent le champ de bataille. De nouvelles troupes sont arrivées de Marnia, notamment une batterie d'artillerie de 75, qui est repartie aussitôt pour iid i-B e n - D] en n am. en chef : ia 4i» aivisior a iniamenc, a Kemiremont. — Havas. SlB|lUtl IWàÛl A MESASSEB-KISS " Keâacteur 674 1608 Ï4'4 t>2 83 426 I2ff .. .. •• 43 .. ,. .'. G75 .. 1681 1469 02 «'2 431 180 .. .. 47 50 .. 50 «&*o ». Le tribunal correctionnel a rendu samedi matin son délibéré dans l'affaire Silice, entendue il y a huit jours. On sait que Mme Silice était poiu^u-ivie sur trois chefs d'aecusmi • > : Le premier chef comportait des menaces de mort sous conditions, laites par des lettres écrites au ministère de la guerre, à M. Beneeh, etc. Le deuxième chef est relatif à des outrages envers les agents de la sûreté Hernard et Naudin, qu'elle traita de hiches.d'assassins, au moment do son arrestation, ordonnée par le parquet. Enfin le troisième motif consiste en outrages par lettres adressées par l'inculpée à M. Lecomte, juge d'instruction, qui était charge de son affaire. Dès avant l'audience, une fon'.e nobreusc a déjà envahi la salle. ♦ On se presse, on s'entasse, mais la prévenue est restée un prison. Elle ne viendra qu'au dernier moment. Les curieux inspectent vainement te prétoire, Mme Silice n'est pas là, entend-on chuchoter. Vers dix heures, le président M. Labroase,. répond à une question de M. Page :, substitut, que le jugement sera rendu à onze heures. Mais dès dix heures et demie, l'audience sa trouve suspendue, car il n'y a plus d'affaires inscrites au rôle. Le tribunal se retire alors en chambre du conseil. A dix heures cinquante — exactement ! — Mme Silice arrive, amenée par la voiture cellulaire. Elle est vêtue de la même robe de chambre, en molleton blanc, qu'à l'audience où elle comparut pour la première fois. Son mari, sa mère et sa sœur sont également présents. Ils s'efforcent, comme la première fois, de la calmer, car, comme la première fois, Mme Silice s'agite et gesticule beaticoup. Au liane dé la défense, M* B#,-,»>vi . supplée M" Joaehtm, é.vocat lice. Enfin, la sonne" • •> ta SQlle annoncé h rentrée du tribunal. Le président lit le jugement. Parmi fes considérants, il est dit que la mentalité de la prévenue est anormale ; Que si l'on rapproche le rapport médt cal dressé pour la présente affaire de celui établi antérieurement à Paris, lors d'une autre procédure, et que si, d'autre part, on considère l'attitude exaltée de la préve nue, à l'audience, il est impossible au tribunal de prendre des conclusions sans qu'il ne soit procédé à une nouvelle exper lise, etc. Le tribunal commet 3 experts, médecins S l'asile Sainte-Anne,à Paris.pour examine: l'état mental de Mme Silice. A ce moment, colle-ci s'écrie : « Oui, oi. veut m'enfermer vingt ans en prison ! : Je ne suis pas folle I ! On veut me son r rner ! ! 1 Le tribunal se retire pendant que les parents et amis de la prévenue l'entourent Mais les gendarmes et les agents fon évacuer ta salle. Devant la port:', une foule énorme sir tionne, entourant le « panier à salade » Enfin,après une attente de plus d'un quai: d'heure, on fait monter dans le véhicule les prisonniers qui avaient été amenés à l'instruction. Puis c'est le tour de Mme Silice, escortée, jusque-là, par sa famille et par M" Deubel. La prévenue, — on doit l'appeler oins: puisqu'il n'y a pas de condamnation prononcée — monte en voiture et le « panier » s'ébranle, cahin-caha, au pas lent du cheval « docile » qui le remorque. Ajoutons que M* Deubel va demander la mise en liberté provisoire de sa Cliente. LE REPORTES DE SEKVICE. Ce jugement remet la destinée de Mme Silice aux mains de la. science, en vertu même de la déposition du médecin de Maréville qui avait reconnu à la prévenue une « constitution anormale ». Il est vrai que ce médecin avait ajouté : « Elle est responsable ». fhiani aux amis de Mme Silice, ils ont toujours dit : « Elle n'est pas folle, et elle est si intelligente I n Certainement, Mme Silice est très intelligente, mais est elle suffisamment maîtresse de son intelligence ? Voilà la question sur laquelle la Justice demande à la Science de se prononcer après un nouvel examen, et il nous semble qne c'est jugé avec prudence et humanité. Ce qiCon vient de lire o, paru dans notre précédente édition. Voici les attendus in-extenso du jugement, rendu le samedi 30 novembre, par le tribunal correctionnel de Nancy : « Attendu qu'avant de se prononcer définitivement sur les poursuites exercées par le ministère public contre la dame Silice pour menaces de mort sous condition et j outrages a agents et à magistrat t'aaa I GOULETTE CMflQttdn maffl) — Dimancïie^ Décembre 1907, ^ LE D'EXPOSITION, DE PUBLICITÉ ET DE DÉPÊCHES L au Foiat Central de la Ville. l'exercice de leurs fonctions, le tribunal a voi dans l'Est de soldats ehéiifs. Il rend l'impérieux devoir de s'entourer de rensei- hommage aux officiers qui, dans ce qu'il gnements aussi complets que possible sur appelle la « détresse » de Verdun, ont monle degré exact de la responsabilité de la tré une unanime solidarité avec leurs solprévenue ; dats, (Applaudissements sur tous les « Que s'il résulte du rapport médico-lé- bancs.) gal dressé au cours de l'instruction que la Enfin, M. Meslier fait l'éloge du corps de dame Silice ne doit pas être considérée santé, mais se plaint de ce que la France comme «'étant trouvée en état de démen- seule ne profite pas des découvertes hygiéce au temps de l'action, au sens de l'article niques de ses savants. 64 du Code pénal, il n'en ressort pas moins Les casernes do Verdun, dit-il, sont nodes constatations de ce rapport, et aussi tamment dans un état déplorable. des déclarations faites à l'audience par te En terminant, M. Meslier dit que ses docteur Lalanne, que la prévenue est af- amis et lui voteront tous les crédits nécesfectée dune anomalie mentale constitu- saires pour ne nas laisser nos soldats dans tionnelle qui se manifeste principalement des casernes ou l'on ne mettrait pas des par une imagination déréglée et un état chiens. (Applaudise.ments.) morbide particulier ; Réponse rio M. Chéron « Que si l'on rapproche ces constatations des termes et des conclusions d'un rapport M. Chéron, sous-secrétaire d'Etat à la. dressé en UJ06, par les docteurs Dttbuis- guerre, répond que la santé de nos soldats son, Raymond et Robinowitsch, de Paris, est la principale préoccupation de l'admià l'occasion d'une précédente information nistration de la guerre. ouverte contre la dame Silice, ainsi que Dès que le ministre a eu connaissance de de la procédure actuelle, de sa volumi- l'épidémie de Verdun, il a pris des mesuneuse correspondance et surtout de l'atti- res urgentes. Le nombre des lits a été augtude exaltée de la prévenue à l'audience, menté et ordre a été donné de construire il apparaît que ces éléments très impor- un hôpital et de caserner dans l'évêché. tants d'appréciation sont de nature à conLe ministre de la guerre tredire ou tout au moins affaiblir, dans une très large mesure, les conclusions adLe général Picqnart prend aussi la pamises nar les docteurs Paris, Lalanne et \ role. " Anbry ; Le ministre dit que l'état sanitaire de « Que dans ces conditions, le tiibunal es- l'armée s'est amélioré beaucoup et que le time se trouver dans l'impossibilité de nombre des malades a diminué dans des statuer en parfaite eonnaisance de cause ; proportions considérables. qu'une nouvelle expertise, seule, peut lever Il compare ensuite, au point de vue sales scrupules qu'il éprouve et éclairer en nitaire notre armée avec les armées fièrement sa religion. étrangères. Nous venons immédiatement « Par ces motifs : après FÀttemagne et avant l'Italie, la Rus« Surseoit quant à présent à statuer sur sie, l'Autriche, l'Espagne, les Etats-Unis, le fond, etc., etc. «Ordonne que par MM. les docteurs BalOn améliorera encore cette situation, en lot, professeur à la Faculté de médecine éliminant les hommes trop faibles. On réde Paris ; Dupré, professeur agrégé à la duira lo nombre des permissions, afin de même Faculté, et Vallon, médecin de l'a- diminuer les allées et venues et par suite, sile clinique Sainte-Anne, à Paris, experts les causes d'épidémie. nommés d'office, il sera procédé, serment préalablement prêté, à un nouvel examen La démission des généraux Hagron de la prévenue, à l'effet de rechercher : et ttiichal 1° Si elle était en état de démence dans le La question de nos troupes de couverture sens de l'article 64 du Code pénal, au moment où elle a accompli les faits réputés amène le ministre do la guerre à parler de la démission don généraux Hagron et délictueux relevés à sa charge ; « 2° Si actuellement elle ne s'y trou\ o Michal. Le général Picquart précise à ce propos point, par suite d'une aggravation dans ses précédentes déclarations et déclare que son état de santé ; îes démissions ne furent nullement dictées « 3° Dans la négative, si, au moment où par des préoccupations politiques. elle a commis les différents faits retenu! » Ces deux généraux sont parfis, dit-il, contre elle, menaces de mort, outrage de la façon la plus correcte, leur conceppar paroles et par écrits, elle ne se trou lion personnelle ne leur permettant pas vait pas sous l'influence d'une exaltation cérébrale morbide poussée an paroxysme, d'accepter la responsabilité de leurs foncconséquence d'une anomalie constitution- tions. » Lo général Hagron, continue le minisnelle, susceptible de paralyser sa. volonté tre, a' d'ailleurs été remplacé par un offiet de supprimer toute responsabilité pé cier de grande valeur.(Applaudissements.) nale ou de l'atténuer, et dans quelle me sure ; Les officiers do l'Est « Spécialement si, en raison de ce même Le général Picquart s'associe ensuite :\ état morbide,elle a en conscience de la va l'hommage rendu par M. de Ludre aux leur des expressions ou'elïe employait officiers de l'Est. soit dans les menaces de mort, soit dan Jl prendra des mesures bien plus lo.rtes oirtrages ; si ces expressions tradu.' e pour favoriser leur avancement, "lient fidèlement sa pensée ou an cor i n décembre, notamment, il donnera traire, l'exagéraient démesurément aerte sa faveur aux officiers de l'Est qui point de ne pas pouvoir être co nsidérée mirent .sur les tableaux d'avancement. omme délictueuses, notamment e» ce qi>' En terminant ,1e ministre do la guerre "oncerne les menaces de mort. promet de donner satisfaction en ce qui « Réserve les dépens. » concerne les frères présents en même temps sous les drapeaux. Suite de la discussion cet après-midi. — Là séance est levée à midi 05. Séance du samedi 30 novembre (après-midi) ; Séance du samedi 30 novembr - (matin) Séance ouverte à 2 heures 45, sous la La séance est ouverte à 9 h. 15, sous la. présidence de M. Rainer, un des vice-pré- r résidence de M. Brisson, qui explique qu'il y a eu confusion dans le sens d'un lidenis. colloque, hier, entre MM. Chaumet et Michel, puis M. de I.anjuinais, député du Morbihan, a la parole dans la discussion OffiOiars eî troupss ds I Est générale du budget de la guerre. Il demande s'il est exact que l'on songe On continue la discussion générale du h déplacer de Poriîivy Ie1 c?;* chasseurs à h Ajet de la guerre, M, de Ludre fait un vif éloge du îova- cheval ? M. Lachaud revient sur in, question de U*me et de la. vaillance des officiers de la l'hygiène et de l'épidémie «<.- Verdun. frontière de l'Est. Il se plaint de la lenM. Chéron, sous-secrétaire d'Etat à la teur de leur avancement, comparative • nuot n Ï^UÏV e*ms/adea d^i» U.u'.rts gàî I guerre, répète que Pé1 i.t sanitaire de l'armée est au ri; mta'O de ses principales préoccupations. *M. Messimy. rapporteur, dit qu'en Allemagne les casernes sont plus saines et j confortables que chez nous. Tl se plaint re ne sont pas assez fortes. Il trouve éga- i de ce qu'on a* incorporé chez rions 25,000 | 'eurent certaines installations défectueu- } homirvid du service auxiliaire. 11 ne faudrait incorporer que les hom| et demande à la commission de l'arr; mée de préciser ce qui serti fait à ce. ' \ * ^ assez forts. point de vue pour les troupes de couverLa discussion générale du budget de le. ture do l'Est. fuérre amène encore plusieurs orateurs à L'orateur termine en faisant un vîf ta tribune, nuis l'on aborde les chapitres. éloge de nos soldats qui comhaticn't au M. Raibf.rt.i (Alpes-Maritimes) dit que Maroc et à la frontière algérienne, et l'école et l'armée doivent se pénétrer, il cite, à ce propos, les exploits de plusieurs présente un projet de résolution tendant à de nos officiers en Algérie. (Applaudisseinviter ie gouvernement à enseigner dans ments.) Im écoles normales des notions sur l'orM. S. Grillon demande au ministre de ganisation militaire. ta guerre de tranquilliser les parents des M. Carjiaud, socialiste, demande la résoldats de la garnison de Ncncv, soignés, duction à un an du service militaire. dlt-u, dans un hôpital délabré." M. C. * accepte le principe de la proposition Raiberti et, repousse l'addition de M. Carnaud. La fièvre typhoïde ST. Paiberfi retire se pro->cs! ' ;l de ré M. Lachaud, député de la Corrèze, parle soînfioii. Les 4 premiers chapitres sont adoptés. de l'épidémie de fièvre typhoïde de Verdun. Il montre l'état de vétusté clos casernes, Um médaille de 1870 dont plusieurs, dit-il, remontent à Vauban Au ehnnitre 5, M. Louis Marin, député et où les hommes sont logés dans d'anciennes écuries. de Meurthe-et-Metsette, propose un relèveL'orateur ajoute ou© la comWisaieft ds ïa ment de 100 francs à l'effet de créer une Chambre a constaté que la source de Bel- rêeOTnm-r,se honorifique pour les jeunes rupt, une de celles "ui alimentent les ca- g.. us qui, étant mineurs en 1870, s'étaient. géfi volontairement pendant la guersernes de Verdun, était contaminée -ar les maisons voisines. re. Il n'en reste plus, dit-il, que 1,400 sur H faut absolument, dit-il, l'abandonner. 16,000. Il faut, à Verdun, des stérilisateurs à vaM. .lourde, puis M. Chéron, font obserpeur pour faire bouillir l'eau. ver que si l'on voulait donner une méM. Lachaud regrette que l'hôpital mili- daille commémorative, ce n'est pas aux taire de Verdun soit mixte, mal installé, engagés mineurs seulement, mais à tous encombré nor des soldats trop faibles, les combattants de 1870 qu'elle devrait qu'on ferait mieux de renvoyer dans leurs être décernée. Ils ne sont pas d'avis, foyers. d'ailleurs, de commémorer une de nos il rend justice au dévouement du corps pins douloureux souvenirs. médical militaire et demande pourquoi on M. Chéron dit encore qu'il avait pensé ne loge pas des soldats à l'évêché. spécialement, en ce qui concerne les engaM. Messimv. rapporteur, répond crue l'é- gés mineurs, pouvoir, tout au plus, leur vêché de Verdun est un monument d'art et accorder un diplôme. Mais la commission serait mieux destiné- à un musée. ayant estimé qu'un diplôme n'était pas ici Il faut conserver à la France, dit-il, son de mise plus qu'une médaille, il s'est ralpatrimoine de beauté. (Applaudissements.) lié à ce sentiment. Nous repoussons donc M. Monsservin (Aveyron) voudrait que l'amendement. lorsque des frères se trouvent ensemble M. Marin. — Ce n'est point d'une mésous les draneaux, ils soient envoyés dans daille, mais seulement d'une insigne que la même garnison. je demande la création. Du reste, il y a à Il espère, d'autre part, que les soldats la base de ma proposition un caractère e du 81 (Bésg&ft) seront récompensés pour spécial : c'est l'héroïsme dont ont fait l'héroïsme «u'ils ont montré lors des événe- preuve, nar le seul fait de leur engagements du Midi. ment volontaire, les jeunes gens à qui Le docteur Meslier, député socialiste de je demande d'attribuer cette distinction. la Seine, réclame à son tour des mesures L'amendement est repoussé par 368 voix Immédiates pour parer au péril qui existe contre 201. à Verdun, en raison du surnombre de sol*'** dats, On reiette diveis smfiBdemôïiô, dont II se plairr ; comme M. L&chaudj de l'en- quelques-uns font l'objet, d'ailleurs, de Lo budget de la guerre j La garnison de Verdun projets spéciaux, et les chapitres p sont adoptés sans modifications. s> Les 28 et 13 fl à 13 jours Sur le chapitre 14, divers amendements ^ sont déposés. Les uns demandent la ré',i duction des périodes d'instruction. Les aut tres vont jusqu'à la suppression des 13 *; jours. On demande le renvoi, qui est repoussa r, par Ji 369 voix contre 201, et la discussîoni reprend. Finalement, la Chambre se range & l'a* vis de M. Berteaux, président de la comy mission du budget, et décide de discuter à) t yla fois lundi, cette question ainsi que tous autres amendements au chapitre 14 et chai a rpitres additionnels à la loi des finances. La séance est levée. g % 1 spMie plier ] I I Offert par I' « Est républicain » LVllm««ac?i Hachette 1908, qui vient dt un curieux « Conoffre au gagnant de ce concours, pour ses étrennes, une < somme de 1,000 francs en or, qui lui sera s j 1remise le 31 décembre. L'Est républicain a pensé à associer1 £ ses compatriotes à cette ingénieuse com> , binaison en faisant un nouveau sacrifice dont ses lecteurs lui seront certainement ' 'reconnaissants. Après entente avec YAlmanach Ha* <chette, qui nous a donné toutes autorisa* ! lions nécessaires, nous avons décidé, si le , gagnant du prix de 1,000 francs appartient au département de Meurthe-et-Moselle, de lui offrir nous-mêmes un splendide mobilier de 5,000 francs qui comprend : 1° Une magnifique salle à manger da '2,500 francs de style moderne, composée <d'un grand buffet-dressoir en chêne, sculp1 té dans la masse ; d'une table noyer à 4 rallonges, de 6 chaises art nouveau, à , élastiques, garnies cuir et vieux cuivres. 2° Une superbe chambre à coucher de 2,500 francs de style moderne, composée 1 'd'une armoire à glace en chêne ciré.aveo porte à glace biseauté et côtés à tablettes; d'un lit en bois sculpté doré avec grand dossier ; de 2 tables de nuit en chêne, intérieur marbre blanc. Ces deux cadeaux, d'une valeur totale de 5,000 francs, ont été fabriqués par la maison Mercier frères, de Paris (100, faubourg Saint-Antoine) pour être offerts à l'heureux gagnant au concours de l'Ai* manaeh Hachette. Noua offrons, de plus, sept prix aux sept premières personnes du département de Meurthe-et-Moselle qui auront trouvé le plus de solutions justes, et dont l'Ali manaeh Hachette nous fera connaître ultérieurement les noms. Ces prix consisteront en volumes que nos lecteurs-lauréats choisiront eux-mêmes dans le catalogue spécial de la Li< brairie Hachette, qui leur sera communiqué. Le premier gagnant aura droit à trois volumes ; le deuxième à deux volumes ; les cinq autres suivants à un volume chacun. L'Est répu&lfeawi a fait là, comme ©n peut le voir, un grand sacrifice, et il espère bien que c'est un de nos compatriotes qui sera le gagnant des séduisantes étrennes : MILLE FRANCS EN OR et le MAGNIFIQUE MOBILIER. et qui contient lparaître, 1 cours de silhouettes », Nuira Concours DEMAIN, nous publierons la liste dey lauréats du concours de notre sensatmnnel feuilleton Vera ia Proîo.par René d'An jou. AU MAROC Télégramme officiai au général Lyutey Le combat dH 29. — Les renforts Le ministre de la guefrs a reçu dans Iâ! matinée un télégramme du générai Lyau* tey, daté d'Oran, 30 novembre, minuit 30V Ce télégramme relate les renseignements parvenus du Kiss sur le combat du 29 et annonce que les Marocains se sont éloigner en laissant sur le terrain un mort et pîv sieurs blessés. Ce télégramme ajoute : « La situation morale et sanitaire de P garnison est excellente. « A Marnia, il ne s'est preduit aucun changement. « Les renforts envoyés se concentrent à Ben-Djennam, sous la direction du colonel Brandière. « L'avant-garde se compose d'une corn* pagnie de la légion, d'une compagnie de tirailleurs, d'un escadron de spahis, et d'un goum. Elle est déjà arrivée à Bab-efc Assa. « Les Marocains paraissent vouloir concentrer un peu au Sud, vers Aghba. « Ils ont réuni sur ce point des vivres et des munitions. » — Le général GiÏÏet, commandant nar intérim le 19» corps, télégraphie d'Alger au ministre de la guerre que les 21» et 22° compagnies du 2° tirailleurs, venant d'Oran, sont arrivées au Kiss ce matin, a six heures, à bord d'un vapeur. • Deux compagnies du 1er zouaves et le 3e bataillon du 1er tirailleurs sont arrivés d'autre part à Oran, où ils vont consti tuer une colonne de réserve.  la frontière aeeirlgntale Abd sl-Aziz battu TANGEB. — Une dépêche de Casablanca <ib novembre, donne queloues détails suc un engagement entre la mehalla shérif>'eii. ne et diverses tribus. sntnnenDèsi le début de l'action, de nombreuses S ri n n dues dit on e^v flit ^ o A , > - > a influence du fils de Si-Aissa-Ben-Omar, mmi*tre de Moulai-Hafid, cpiV. b-El-Azi. «ve.it eu le tort a accepter dans sa mehallp * " L'engagement s'est produit entre la kasbah de Sidi-Sligman et gens de l'OuedShessib. Les tribus ont prie trois canons et de nombreuses munitions à la mehalla shérilicnno. — Havas. LÀ JOURNEE , -I / F, ST _ Tl E PU B I,TC A FrT A t NANCY Dimanche L" décembre, — 335° jour de Vannée. Aujourd'hui : saint Eloi. - DCÏ; >ain : ■ saint Bibia.no. Èphéméridet lorraines. — En 1475 entrée triomphale à Nancy du fumeux duc do Bourgogne, Charles te Téméraire. A dix heures. Préfecture : Elections au conseil des prud'hommes (de 10 heures à 4 heures), A midi. — Banque! de l'Action lihérale, restaurant Walter. rCl A midi. — Banquet du Ralliement, hôtel de l'Europe. A midi et. demi. — Hôtel de l'Europe : Banquet de ta Chorale de l'Est. A deux heures. Salle Poirel : Matinée théâtrale. a A deux heures.— Hôtel de ville : ElecUi tion au conseil supérieur des sapeurs-pomjpiers. ,i A deux heures el demie. — Musique miIM litaire à la Pépinière (37") et au parc StcM Marie (79°). A trois heures. — Salle Dôglin : Cônfélf renco de l'Action libérale. ç. A quatre heures. — Hôtel de ville ; Conférence de la Ligue de l'enseignement., ' Brasserie Michaut. <-— Concert vocal, salle des fêtes. ■ .. A huit, heures. — Salle Poire! : Soirée théâtrale. t\ huit heures et demie. — Séance de. projections du Photo-Club nancéien. 11 A notre Salle Cette semaine, le « Monde illustré » pu|,j blie des gravures très intéressante-, sur |les e événements du Portugal et la giganj., tesque randonnée du dirigeable « Patrie », di Paris à Verdun. de ■ La « Vie au grand air » continue la série de ses illustrations relatives au salon automobile, line partie de ses colonnes est aussi consacrée au match d'athlétis11 me qui a mis en présence le Racing-Club de France et l'Université de Cambridge, à Cambridge et qui s'est terminé par la viet( toire des Français. La « Mode illustrée » v est aussi exposée a ainsi que le magasine « Madame et Monsieur », dos caricatures du « Sourire », du si « Cri de Paris », etc. Enfin, nous avons exposé, encore, des p photographies de la Toussaint à Nancy, cet de l'enterrement de M. Camille Matins. Ê Or § 0 N ^ L ^ LA Première sortie « Patrie » : A VERDUN '.u saurs de cette sortie, un accident se produit au moteur. Le dirigeable devenu ballon libre, va atterrir près du village de Souhesmes, à U kilomètres de Verdun {De notre correspondant de Verdun) Ainsi qu'une note officieuse, publiée par l'agence Havas, l'avait tait prévoir, une ascension du dirigeable « Patrie » a eu lieu vendredi après-midi. Le temps était d'ailleurs à souhait, bien que très légèrement brumeux ; pas ou peu de vent. L'ascension A 1 h. 20, l'équipe d'aérostiers de CMlais-Meudon sortait le ballon de son hangar de Belle ville et le maintenait à l'aide de câbles dits : « cordes de manoeuvres », tandis que les mécaniciens procédaient à quelques manœuvres préliminaires : fonctionnement du moteui', des hélices, etc. Quelques instants après, l'énorme poisson aérien était prêt à. appareiller. Le général de division Andry, gouverneur de Verdun, arrivait au parc à 1 h. 35. Il prenait presque aussitôt place dans la nacelle en compagnie du capitaine d'artillerie Cédié, son officier d'ordonnance ; aux volants de direction, se tenaient le commandant. Voyer, le capitaine Bois et le lieutenant Del'assus ; au moteur, l'adjudant Girard et le sergent Duguffray. A 1 h. 45, le commandement de : « Retirez les cordes des manœuvres », puis celui de : « Lâchez tout ! » retentissent. Et le « Patrie » s'élève majestueusement dans les airs. De nombreux cris de : « Vive la Patrie ! Vive la France ! » éclatent parmi les nombreux spectateurs — beaucoup plus nombreux qu'à l'arrivée — qui se pressent sur les terrains a Voisinant le parc. Le général Andry remercie en saluant la foule à plusieurs reprises. A environ 80 mètres d'altitude, les hélices commencent à battre l'air de leurs bras puissants. Et le « Patrie » se dirige à une belle allure sur Verdun. 11 en fait rapidement le tour, fait un virago remarquablo au-dessus de la place d'Armes et revient vers le parc ; il tourne autour de son hangar, repasse exactement à son point de départ, puis repart, dans la direction du Faubourg-Pavé. Il plane quelques instants au-dessus du fort de Moulainville, nuis se dirige vers celui du Rozelier. « ç, Nous venons d'exposer aussi à noire Salle des dépêches une nouvelle caricatuS r re due à Louis Thiriot. Le crayon de l'artiste a été tout partieulièrement bien inspiré et l'idée a été ren1 Jdue d'une façon très humoristique. Ne fallait-il pas que, dans la série c Le Progrès « ddu jour », passe la silhouette des braves c chiens de police ? Ce sont eux, en effet, qui ont, cette fois, les honneurs de lu toi<| hle. Les vaillants toutous ont happé des malandrins et ils les conduisent vivement D à leurs malles les Hgpnts qui, béatement, ffument la bonne bouffarde ou somnolent s sur un banc. Celte caricature obtiendra certainement uun gros succès. Elections au conseil des prud'hommes du lor décembre 1907 Scrutin de ballottage L'accident ? A ce moment, le moteur s'arrête soudain de fonctionner, et. malgré tous les efforts des mécaniciens pour le remettre en route, le dirigeable n'est plus qu'un ballon libre. Par intermittence, les hélices font queloues tours et le ballon revient ainsi pla, ner au-dessus des quartiers de cavalerie de Bévaux. Les aéronautes font des signes de détresse : des officiers do hussards les aperçoivent ; ils montent aussitôt à cheval et s'apprêtent à suivre le ballon oour aider à l'atterrissage. Pour se maintenir à une' certaine hauteur, l'équipage est obligé de! jeter une grande quantité de lest, car le ballon descend, descend toujours et mena ce d'aller tomber sur les toits des maison; de la ville. ftprès avoir plané pendant nlus d'un! demi-heure au-dessus du quartier Saint Victor, le « Patrie », poussé par un léger vent, se dirige vers le Sud-Ouest. (SUITE, On a lu l'appel de candidats, issus des , milieux libéraux et fraternitaires. D'autre part, l'Union des syndicats ou.vriers de Meurthe-et-Moselle présente les c candidats suivants : MM. Jacques Fritsch, Pierre Bitsch, Ju, les Ferrières, Jean Barotte, Joseph Lamol, le, Auguste Dambach, Fernand Hocquard, fCharles-Auguste Flickinger. A propos de la candidature de ce dernier, nous recevons la lettre suivante : « Nancy, le 29 novembre 1907. Monsieur le directeur, Au nom d'un groupe d'électeurs au concseil des prud'hommes, je viens vous prier le bien vouloir insérer dans votre estimable journal, les simples questions ci-jointes. Veuillez agréer, etc., etc. L'atterrissage ; Trois officiers du 3e hussards, parmi lesauels un sous-lieutenant, un lieutenant et un vétérinaire, et un officier du 40° d'artillerie, M. Cabestan, lui font la chasse chasse d'un nouveau genre ! Entre les villages de Nixéville. et de Souhesmes, à 200i mètres en amont de cette dernière commune, située à 14 kilomètres de Verdun, ces officiers le rejoignent. Sauter à bas dei leurs montures et saisir les cordes de l'aérostat est pour eux l'affaire d'un instant. Mais, ils sont traînés pendant quelque! temps à travers champs et ce n'est quei grâce à l'arrivée de plusieurs habitants de Souhesmes que l'atterrissage peut se faire Il est un peu plus de quatre heures. » » Une automobile fut. immédiatement, envoyée pour ramener à Verdun le généralj Andry et les autres officiers. Puis trente, cavaliers du 40° d'artillerie et six attelages du même régiment reçurent l'ordre de. partir immédiatement pour Souhesmes. Ili en fut de même pour un groupe de bussards et pour les aérostiers du génie. Une. compagnie d'infanterie du fort de Lantlrecourt fut dirigée aussitôt SU? le lieu de l'atterrissage, puis par le train de 7 heures 16 elle fut renforcée par 40 hommes duj 151° d'infanterie, en tenue de campagne. Le ballon a été ramené dégonflé à son port d'attache dans la journée de samedi. ARMAND, Rue du Joli-Cœur, 12 bis. » Simple question : Est-il bien vrai que le nommé Ch. Flic1 kinger, candidat au conseil des prud'homimes, 5" catégorie, s'est fait réclamer, en 11880, par le gouvernement allemand, étant i la légion étrangère V à Nous lui demandons qu'il veuille bien i nous fournir ses états de service militaire (complets. Uu groupe d'électeurs syndiqués et patriotes. » La cure de Saint-Epvre La Cour vient de rendre son arrêt dans l'affaire relative à la cure de cette église, dont nous avons parlé, tout dernièrement. ( Elle réforme le jugement du tribunal de jNancy qui s'était déclaré incompétent sur la demande de M. le préfet de Meurthe-etMoselle. En conséquence, la Cour renvoie I l'affaire au fond devant le tribunal civil 1 ; Pourvoi en cassation Boudoux, condamné par la cour d'appel de ( Nancy, à six mois de prison et 100 fr. td'amende pour les faits qu'on connaît.s'est pourvu en cassation contre l'arrêt rendu l jeudi. j \ **- jI Mon à Le bruit «avait couru que M. le général LcOïi Durand,commandant le 6° corps d'armée, devait assister à cette première sortie du « Patrie ». Voici exactement co qui devait se passer : Il avait été décidé qu'a-' près avoir évolué au-dessus de la ville ett d'une partie des forts, le dirigeable se rencirai! à Sainte-Menehould, où il prendraitt h bord le chef du corps d'armée et reviendroit ensuite à Verdun. On a vu plus3 haut comment ce projet n'a pu se réaliser. Les magasins de M. Renard, 16, place du ' Marché, Porcelaines et Cristaux, Beïôht ouverts les dimanches de décembre, de 8 heures à midi. Grand choix de jolies fantaisies. Les pensions de la ville Comme chaque année, à cette époque, leî projet de budget municipal pour l'années suivante vient de paraître. Il comprend l'état des pensionnaires deî la caisse communale des retraites. Le chiffre annuel des retraites à payerf par la ville atteint 142,183 francs, et le nombre des titulaires est de 150. La plus ancienne pensionnée est Mme Pierron, veuve d'un ancien sergent del ville qui, depuis le 31 décembre 1868 tou-* che une pension de 150 francs. Mme Pierron est née le 7 mars 1829. La pension la plus forte est celle servie3 à M. Nicolas Diot, ancien receveur municipal, qui, né le 3 avril 1828, touche, depuis3 le 14 mars 1881, une pension de 6,421 fr. j VERDUN, 30 novembre. — L'accident du1 ballon dirigeable « Patrie » est dû à ce que le pantalon du mécanicien a été pris danss la magnéto, provoquant ainsi l'arrêt dui moteur. TEMPS QU'IL FAIÎ L'air était légèrement plus fris-;quet, samedi, à l'aube, qu'à l'aube de cess deux jours derniers. Une bruine vaguee a flottait entre le ciel et nous. Toutefois, la journée fut. encore digne de l'été de laa Saint-Martin. Si l'hiver n'a pas d'encombrée, Vous l'aurez à la Saint-André. Tel est le dicton du 30 novembre. C'estt là décidément une triste perspective. Observations météorologiques fie lt» maison Grand opllelen-construcleur Nancy 6 h, malin IBM 4b.soirr Fédération des commerçants de Nancy La Fédération des commerçants de Nan-■ cy nous informe que son assemblée géné-rale annuelle aura lieu le mercredi 11 dé-* cembre prochain, Les adhérents seront convoquée ultérieurement par lettre. à ••••••» #t;i moinèlre Mlnlma MluUiMa.,...... 755 -4- 5 + 4 -ir 8 751 754 -f 8 -J- ? hmÏÏw La mairie nous communique : « Le dernier bulletin hebdomadaire du bureau municipal d'hygiène donne le ré! sultat des analyses bactériologiques des '• l'eau de Moselle 1eaux, parmi lesquelles 1est signalée comme renfermant des colitîcicillcs. ' Il est donc prudent, pour le moment, dei n'employer l'eau de Moselle, comme bois, son, qu'après l'avoir fait bouillir. » Peu de personnes ont eu connaissance3 de l'accident au moment où ii s'est produit, et beaucoup voyant, le « Patrie » presque immobile au-dessus de la ville, crurent à une simple manœuvre voulue. LE iosaiis! il faut !a MÎÎ de I Faculté des lettres f Cours publics Lundi 2 décembre, à 4 h. J. — Littéra-■ hl£ê française. — M. Auglade ; Les poé-- sies des Troubadours. Introduction. Les oi iginea. Mardi ,*î décembre, à 4 h. 1/4. — Antiquilés «allô romaines. — M. Grenier : La ; frontière du Rhin sous l'Emnire romain. Mardi 3 déoembro, à 5 h. i. • . Géograje phie coloniale; "T. Auerbach : f,e° eause ses de l'expansion allemande, Mercredi 4 décembre, h % h, 1/4. — tïi.st t..ire de la •.orra me. - - M. R. p'hcisol : r Charlci l" el Ricbdieu de 1024 ,i 1641. Sbù*»n:..iea dj tnèso M. Gabriel Rieh ud, interne des hôoita taux de Nancy, a soutenu, samedi, sa thès( se : i; Synd-eomes i dowieus che« les tubi berculeux ", pour l'obtention du grade do d< docteur en médecine. M. Richard qui a. obtenu plusieurs prix d dans ses années d'étude, a été admis avec h la mention c très bien ». Assistance obligatoire La mairie nous communique : « Conformément à l'article 9 île la ioi du fIV juillet 1905, la. 4» liste des personnes ipp pelées à bénéficier de l'assistance obligat< toire aux vieillards, infirmes et incurables, s sera déposée à. la mairie (entrée par l'imp passe de l'hôtel de ville, rue Saint-Julien), ddu 5 au 24 décembre 1907, inclu.suemeet.., d huit heures du matin à cinq heures du de ssoir. Pendant ce délai, tout vieillard, infirme o incurable, dont la. demande a été rejetéo t ou p par le conseil municipal, pourra préseiî-cr sa réclamation à la mairie : dans le même 3 (l délai, tout habitant ou contribuable de la commune peut, réclamer l'inscription ou la rradiation des personne.-, omises ou indû' 1ment portées sur la liste. » Exposition internationale «e Paris (Octobre-novembre 1907) Dans la liste des lauréats (section de la cconfection), nous relevons le nom de la i maison à la Belle Jardinière, à Naney,qui a: obtenu une médaille d'or. Toutes nos félicitations pour ce brillant esuccès (fui place ainsi au premier rang r notre commerce local. A propos d'une mutation Nous avons annoncé la nomination à Audun-le-Roman de M. Guillaume, juge 1 de paix à Gcrbéviller, alors que le ju»» de paix d'Audun-le-Roman, M. Methelin, était nommé à Gerbéviller. Celte mutation cause un certain émoi dans le canton, d'autant plus que tous lesi imaires avaient, demandé le maintien à <Gerbéviller de M. Guillaume. Elle serait due à un mobile politique, M. 1Guillaume, ancien officier, n'ayant pas ' ]paru assez souple à certaines personnali1 tés. 1 Elections au conseil supérieur des sapeure-sjonîpiers Lo recensement général des votes qui seront émis, le l"r décembre prochain, dans; j département, pour l'élection d'un repréle sentant au conseil supérieur des sapeurs-• pompiers, se fera à la préfecture (salle des adjudications), en séance publique, le jeudii i5 décembre 1907, à deux heures de l'aprèsmidi. Nécrologie Nous apprenons avec regret la mort àt Cherbourg de notre compatriote, le capi-. taine d'infanterie coloniale Dardaine. Né à Gellenoncourt, le 1er juillet 1861, le défunt avait été cité à l'ordre de l'armée3 à plusieurs reprises : une première fois, pour avoir brillamment contribué avec sa[ section à l'attaque d'une position à Xom-. Gion (Tonkin), le 13 mars 1891 ; puis pourr s'être fait remarquer à Madagascar au cours des onérations contre les Tamba-_ vales et dans la direction du secteur d'Ivohibé. — La « Semaine religieuse » annonce lav mort de deux prêtres de la maison de re-traite de Bonsecours : l'abbé Franiatte. néS à Clémerv, le 1er novembre 1825, et l'abbéS F.rard, né à Lime" le 1G juillet 1840. Crédit Lyonnais Paiement de tous coupons sans aucune9 frais, 15 jours avant l'échéance. Amicale laïtjuo Bïtfïon On nous prie d'annoncer que prochainement l'Amicale laïque Didion donnera unes fête où sera présenté aux jeunes gymnastes de la société, dirigés par M. Robert,> l'étendard de l'Amicale. Ajoutons que cet étendard sera exposé' aux vitrines des Galeries Nar.céicnncs. Le revolver Dimanche, â. deux heures du matin, lax olice a arrêté Henri Levasseur, 20 ans,i( serrurier, pour avoir, rue Saint-Nicolas,;, tiré un coup de revolver qui avait, atteintt au côté droit Charles Beninger, 26 ans,,, également serrurier, demeurant faubourgT Sainte-Catherine, 33. Levasseur se disculpe on disant qu'avantt fêté la Saint-Eloi, samedi, avec un groupee de camarades, ceux-ci étaient, à l'issue dee la réunion, tombés sur lui à bras raccourci. Alors il s'était défendu en tirant uni coup de revolver. L'état de Beninger n'inspire aucune inquiétude. Les voleurs Joséphine Thouvenin, 28 ans, domesti-que, faubourg Sainte-Catherine, 27, a étéé arrêtée sous l'inculpation de vol commis auu préjudice de M. Pièrrejeau, épicier, même e adresse. — Emile Bélier, 23 ans, camelot, demeurant à Paris, a été écroué sous l'inculpa-•tion de vols multiples commis au préjudice de personnes demeurant rue de Bonsecours, n° 3. Blessa en jouant Samedi, dans l'après-midi, un jeunec garçon d'une quinzaine d'années, s'estt présenté à l'hôpital pour se faire panserr une blessure qu'il avait à l'épaule droite. Ce garçon interrogé déclara que, en^ jouant avec sa sœur, une enfant âgée dee six ans, celle-ci lui avait jeté un couteaua qui lui avait fait cette blessure qui avait ■* provoqué une abondante hémorragie. Menus faits — Samedi, à trois heures de l'après-miidi, un car électrique se dirigeant sur la a rue du Sergent-Blandan, a déraillé au u pont tournant de la rue de Malzéville. Il fallut plus de trois quarts d'heure de l travail pôur replacer la* voiture sur la voie. « A LA CHEVRETTE » 29, rue Saint-Georges. Seule maison à â Nancy du Gant Perrin, vente réclame aninuelle à prix exceptionnels, du lundi 2 au u samedi 7 décembre inclus. Le Gant Perrin est incomparable par sa a coupe et son élégance, le meilleur à l'usage :e et le moins cher en raison de sa qualité ,6 supérieure. Marché «1« In Rotonde Samedi 30 novembre Blé, 22 à 22 50; farine, V. S. G , 31 .. à .. ; disponible à.. livrable â partir octobre;! '< farine Tomblaine, 31 .. à 31 50 disponible, 5 .. ..à .. ..livrable; seigle. 18 .;orge, .. ..;> •* avoine vieille, ...nouvelle, 1750 à 18 ; fèverôles, 17 à 17 50; colza ; son, 14 50. Marché Couvert 1 s u Marché aux bostlMHi du 30 novembre Aucune bête n'a été amenée sur la place, " par Par conséquent marché blanc. Les marchands, mécontents sans doute " de la baisse Sensible des prix du bétail '■'<' survenue inopinément au précédent ma r•s',r. clié, jeudi dernier, se sont abstenus d'y CM vcn venir aujourd'hui. y, - ~ Hahitle-toi bien G, rue Smnt-Jean, NANCY. .— "~ """" ' " Viiiorc-leiî-Nancy j La gendarmerie a ouvert une enquête &in des violences dont le jeune Charles sur Gri Grandidier, laitier à la ferme de Clairlieu, aut aurait été victime de la part d'un garde for forestier. Co jeune homme prétend avoir été menacé d'un revolver. I garde affirme qu'il o é!é insulté par Le Gr Grarididier, contre lequel it a dressé procès cès-vèrbal. Sau'xures-lee-Naniy Nous 1 avons déjà parié d'iu itlent? qui se sont passé.'-, à Saulxures-les-Nancy. soi 1Le conseil municipal est divisé eu deux fractions adverses ayant, l'une le maire à ira sa tête, l'autre est dirigée par M. do Saintc Belin, conseiller municipal. " Ce dernier a même tenu une. réunion ' |ù pour y exposer les affaires de la commune, l cl il à été contredit à cette réunion par M. et \V> Weiss, instituteur et secrétaire de la mairie rie. IQuoi qu'il en soit, nous recevons de Sa Saulxures une lettre qui a évidemment tri trait aux récents incidents de la commune, <On y parle d'un joli pommier portant du fn fruit couleur jaune et d'un homme arinça çant des dents comme un chien qui attend UE jambon !! un Evidemment ces allusions éuigmatiques auxquelles nous ne comprenons goutte doie V vent avoir un sel particulier pour les excellents habitants de Saulxures. BOURDON, COMPTABLE EXPERT,37,r.J Lamou Frouarcl Louis Hcissat, âgé de 57 ans, charretier de de bateaux, a été arrêté en flagrant, délit de do filouterie d'aliments au préjudice de M. L< Louis Brushey, cafetier. Accident à la gare de Fi-cuard Dans l'après-midi de samedi, un employé de la compagnie de l'Est travaillant P' à * la gare de Frouard, était occupé à la pose de la voie. En plaçant un rail, par suite cl' d'une fausse manœuvre, il a eu l'aurieu[g iaire de la main gauche brisé. 11 s'est rendu à l'hôpital à Nancy, où il a reçu les soins nécessaires. a nu a La Soirée Théâtrale Accident du travail à Heuves-rvïaïscrss Lcsprit Auguste, 3G ans, demeurant à F Flavigny, en travaillant à l'usine de Nonvcs-Maisons, a été serré entre deux wav< g' gons et a eu la clavicule gauche fracturée. re i Le médecin de l'usine qui l'a soigné a h jugé qu'il serait arrêté pendant environ 20 ^ à 30 jours. 1T eutative de suicide à Rosiercs-aux-Salines Samedi dans la matinée, M. Jean Gaga, p Charles, âcé de 66 ans, a tenté de se (dit s( suicider en se tirant deux coups de revolv( ver dans la tête. M. le docteur Sprauel, appelé aussitôt, a a pu faire l'extraction d'une des baltes qui é( était logée derrière l'oreille droite et qui p n'avait fait rru'une blessure légère. ■ Le second coup de feu avait été tiré d dans la bouche et la balle avait déchiré le Pi palais. M. le docteur Sorauel n'avant pu d< déterminer l'emplacement du nrojectile, a h fait conduire le blessé à l'hôpital de Nanc; afin qu'il soit examiné à la radiograc phie. p M. Charles Gaga habite depuis deux ans 1' Lorey. Il y a quelques jours, il était reven nu à Rosières, d'où il est originaire, pour Vl voir ses parents. Depuis quelque temps, Gaga semblait ei en proie à un violent chagrin dont on ignor< les causes. re É Hfr —T ITlB'l I ' ,...,„ f )FOi)iqjn!jpoF Gf t ' cive ATHLÉTISME • Au Parc des Sports. — Dimanche, au Parc des s Sports, l'équipé de rugby du Cercle des Sportss Stade lorrain se rencontrera, pour la deuxième1 fois, avec celle du 29' chasseurs, de Saint-Miliiel. lîappelona que le Slade avait gagné la première fois par 10 points à 8. f< . De son coté, l'équipe (3) d'association matcliera a Remirci..out contre à i * i' ' [« « T r i P Ts-anssrijiîion Gabriel Mange, 29 ans m-vw • c cédé le 22 novembre 19Ô7 -, dn',,enn Domma mont (Meurilie-et-Moselle) ^ Publications de mariases (i Alfred Mosson, vigneron , i „ UV(!S n/ I tmine"°.1 p Meurthe-et-Mo.se le) et phine-Alida Laurent bN'e.tfchàteau (Vosges) avantTM688^4 ( L gCharles-Augustin gé au 79- régiment d'&^^ » IIsabelle-Rosalie Potier, brodeuse à aR™,' / kf f Mcuraio-etAIoselle). Emile ,3 ' 8 l aiûbert, représentant d'automobu! ; de ^ la Constitution, ll.et Hélène ,vlarie Delacroix, sans profession à S '(Marne). - Justin-Charles Viverge '1 ployé de commerce, rue Dom-Calmct1 f' | micilié de droit à Champvans (Jurai t' î Valérie-Clémentine Dubouloy, sans mh, !sion aux Sablons.commune de Veneur Ni \don (Seine-et-Marne). — Amédée ihh ,',terre, docteur en médecine, rue de Villers 37,et Jeanne-Anna-Germaine Frémiot sans profession à Lunévillc.—Alphonse-Joseph l Huber, voyageur de commerce à Nancy c et. Alice Lapique, compositrice d'imprimé 1 rie à Rar-le-Duc (Meuse). " Paul-Ernest Buisson, électricien, rue {\> 'Strasbourg, 82, et Mathilde Dapremont ssans profession à Lay-Saint-Chvistophe' — Léon-Charles Melck, garçon de calé, rue Saint-Georges, 35, avant à Commercy \ (Meuse), ' et Marie-Gabrielle Ambroisè, femme de chambre, rue du Général-Fat \vier, 13, avant à Commercv. — Charles, JJoseph Bélin, garçon tripier.rue des Tan. 1 neries, 12, et Mafie-Hortense Matisse.ooJ!vrière en chaussures, chemin des Sœurs,, 9. — André-Auguste Del œil, employé de \ magasin à Saint-Max, avant soldat au » ■ Nancy, et Célina Bruno,bonnetière, rue à 'Laflîze, 68.-- Alfred-Louis Etienne, méca1 nicien, rue de Strasbourg, 148, et Augus1 line-Eugénie Morgenthaler, ouvrière ea limes, rue Victor, 17. — Marie-Camille 'Pelletier, soldat au 69° d'infanterie, à Nancy, et Lucie-Alphonsine Moreau, couIturière, rue Lamarck, 152, à Paris. L. &^tl^tV'^ 6 I § AVIS SÎOUTUAIïîE | | M Vous élns prW d'assister aux convoi faneira ère, service el enterrement, de f} § I Madame Marie GABRIEL! favori des P I EH ïty im | 1 | S I WERTHER drame lyrique eu 4 aMes. d'après Gœlhe. t MM. Ed. Plan. P. Millet et G. 11»-Umna de Musique de Mas-sf'^; . ' Soirée Eidsau ft heures représentation de ] ÏJ« Tour daa Siosïtle pssv un gamin do l^sj-i-. drame en 5 actes et 11 tableaux de M. Ernest Merci. *\. xw IBj|l!SIQ«K Mii.iTAiati. — Programme des 1 «• morceaux qui seront exécutés, à la Pc 1pinlère, le dimanche i«-décembre, de 2 h 1[2 a 3 h. 1[2. par la musique du 37* : Pas re d0ub «rv, lé, sur Les Huguenots o T l(XX). — 2. Largo (de Haëndel). — 3 Féiline, valse lente (Baudot). — 4 Marche -indienne , (Sellenick). — 5. Andalucia (F ; iPopy). Le chef de musique, E. FRANBRY De la pari do : M. EiiRéne GAfilHEE ; M. Gaston GABlifEL. avoué à la caur: 1 M. le colonel KARFMANT, el Wadaiiisj KAUFMANT. aée GABKIEL. S ; | j Û |j m ma i AVIS TiUm'S'VAiîlli Les personnes qui, par erreur cm omission, i n'auraient pas reçu de lcllie de faire paît un i I KaMDi Jssêpfiine mm décédée A Endres,le 30 novembre 1807 j g dans sa 7b' année, ?: t son! priées de vouloir bien excuser la t1*'1, 1 1 SIci de considérer te présent avis comme un» 3 invitation à assister aux convoi funèbl'î, Ht-S 9 vice et enterrement, qui a»"'à,,i n'eu la In»1 I 2 décembre, a m h. Ir3 "du matin, eu lf ' «hse i'c i.udrus, et de là au cimetière w SS la commune, où se fera l'inhumalioa. jm Maison morUiaire : I Maison Sainte Thérèse. 1 g g ! ; b.lrS. {l 15 KM mU'iKM I0.VTS I Ea fam lle de M. WATR1NET remercie»»| H céreiiient toutes les personnes qui oui M voulu lui témoigner leur s)uipaluic a * casiou du décès de ■ « ï 1 Slonsle&f FrcflçMcter WûTWSjfj 5 Ancien instit tteur principal à Mo'''^jL. ! asïiïïaiiitj'asîwgc^'ifs i Monsieur SIMONE!', et BU &"»'"«; ,o P^g'^nime du concert donné au parc P ciei.t sincèrement loutes_ les l"'1^'.' ii.i | ;Sainte Marie, le dimanche 1« décemhre, de B oui liicn voulu leur téninignrrleur '■>> |Kl | '2 heures liSlà 3 heures lp2 du soir, parla 6 à l'occasion du décès de v 1musique du 79e; il 1. Allegro militaire (Stoupan). — 9 \ 'Lychnis (Lacbet). - 3. a) Une Fêle A To- t Née Marie-Fraueeliue MlOHEb. | léde ; b) Cortège des Toréadors (Rev- l 1 nm 1 J*K~*- Charmante, valse (Babi Ion) — 5. En Badinant (Robert). Le chef de musique, A. LACHET ItSS.tlBSïSC.ISîSSSîW'fS LYRE LORRAINE. — La section de chant t ii ifl 1 de la société de cours de musique DOP La Famille do Monsieur 1 n n e SéanCe Ie P P . lia Municipalité de Nancy, lafaiS8nii*| fléceUr r« di-anch e° - II Administrative du flie-eau de. \ettpM , aecemtue, 6 a 8 heures du soir, au sièce so ca | Messieurs SIMON el MOiniW'-^r M»; 1 , f| lestanienlaires, et les vmi> do J"^, ]cs,l'er l 11 a es ?*?-a«J.ourd'hui. Le pro1 TI1IS, remercient sincèrement ' ^ ■ gramme est très alléchant. ;m ^ sennes qui ont bien vouln^K»^ d0 I 1 T Madame SIMONET I goRK CiNfMA, • rue Bénit. - Vendredi 29 u accembio en matméo et soitéo, cou IL I j... j ^• "'' jO.!al^ ' 1 S,?- f < ' K fi in U '!: u ta ff * P » ? ' , * I V 1 -AuriC w qui auront lieu le hindi 2 décembre, à dix S M heures et demie du malin, eu l'église Sai»l-| H Vincent-Sain t-Fiacre, et de là au cimetière i S de l'révillo, où se fera rinhumatioD. | On se rCumro à l'église. DIMANC.IfK 1" P^GEMBRE i Bureaux 1 h. ljS Matinée Rideau fî licufes Avec le concours de Mlle Maximilienno Mirai c du lUefilro national de l'Opéra-Gomique, 2" rè1 présenlâlipn fi 'l ' » ljLMBLROSE j WK MMCHL :; »' c , ,. , „ i doutez : fcrivez-iui ! F e fl( .fc LLe Sirop Kalm l'a péri T . D£cès si Marie-Julio Nantis, 69 ans ., Mon, épouse Gabriel, rue de' t"*. P«H* jjj 29. Emile Henrv, 23 ans ;;°U(lo»vilU si sion, rue Saint-Dizier, 1C3 ' aTns Profes. , c cour 42 ans, journalier, rue pJT^ A Antoine Dubas, 10 mois et u Uer' n nue Marcel, 1. — Marie K,f Kmrs-avc, gj mftn 03 ans, ménagère.épousè' - •■ *cker G Georges, 08.— François iii,.' ~-/j( journalier à Lunévillc — uuL ' " U!1«. ti E tikhine, 1 mois et 10 jours ... « n , PW uul j( la-Meurthe, 15. Mue Boulay^. OipU : Î8, HJ9 EtiMoj-asKâi, Pr 7 'ti k Du 30 novembre . Naissances . Marie-ivonne Ferrari, rile . „• y, ■Mil, o0. — Goorgette-Marie-W^U g Barrey, rue de Bonsecours. cité r 8uer>t« Jï i„ uuc la Chante, 5. ". m Ls Holroao rend progressé vement aux cheveux gris et blancs la nuance et la beauté JStiTÀl àe jeunesse. H fortifie et ^SJM|5f « v fait pousser les cheveux. Il Sgf | W enlève les pellicules et donne S^^KBËL j \ aux cheveux une souplesse ip^W*^J(M qui les empêche de bs casser j OSfêaax t Jules-Aimé Moulinet, 63 an, an p, loger, rue l .othai.e-ii 21. "\ . ?«i ho, pl phino-Clémentine Sttiirenn^Mftrthe-j3 8 r et 18 jours, , ue Victor 27 et ^ ' Il 77 ans, sans profession r 71 ^ > 77 le r u — - Charles Franiatte. \* t ^xo ,| u ns de Strasbourg. PJ3 bis. de ' P^tre,'t2 i mort-né. ^ \ L. — cmTHl^lC1 rie dc ŒQgSv'MKf ¥&Y0* > B.fv wlJte? Biainville-eur-i'Eau M. Camille Pierson, concierge à la filature, a porté plainte contre Joseph Fening ger, qui, se voyant refuser l'entrée de • s sine, l'a insulté et menscé. » : . VQ'JS vift [jj, , Auguste-Antoi^gTch. 1 i bles. - Pierre-Auguste I ié» "? '" itu c g r c Salle 6.- Suzannt ;eorgèS°f?' «W e;j Charles 111, 96. — MarVeir ^'^-oir* J* fce •'•erger rue de la lA\1%«"S« B> g( génie-Louise Antoine, ' Théâtre universel «S llffv Adjudications, — Vendredi 29 novembre, à à 1 heure h de l'après-midi, il a été procéd' à la mairie de Toul, à l'adjudication de dé h fourniture de 2,000 quintaux de blé et la 1, 1,600 quintaux d'avoine, nécessaires pour v l'approvisionnement de la place de Toul. Ont été déclarés adjudicataires : Blé. — M. Wagmann, de Nancy, 1,000 ff quintaux à 23,37, 500 quintaux à 23,47. M. Thurel, d'Ernecourt, 100 quintaux à g< 23,60, 100 à 23,70. M. Nettcr, de Toul, 300 quintaux à 23,70. Pour l'avoine, il n'y a pas d'adjudication. Le dernier orix offert était de 18,79. ^ Marché du 29 novembre. — Blé, 22,25 ; 81 seigle, 15,50 ; maïs, 26 ; avoine, 17,50 ; foin, %8,25 ; paille, 3,75 ; son, 14,50; retraits, 17,50; pain, 0,40 ; farine, 33 ; pommes de terre, P 5 5 ; houblons, 40. SI TO décédée i Nancy, dans sa 70' année Courrier de Tou! M. Jules Claude, voyageur de commerce, ffaubourg de Frignicourt, à Vitry-le-Fran-■ ç çois, écrit : « Depuis 15 jours, je toussais! nnuit et jour. Différents remèdes n'ayant aamené aucun résultat, j'ai pris un flacon1 d SIROP KALM et en 3 jours j'étaisi de gguéri. Vous pourrez donc le recommander■ ccomme très efficace. » Ce qui prouve qu'on guérit toujours et; rrapidement avec le SIROP KALM. Pourqquoi donc dépenser son argent pour un auitre remède Sirop Kalm (flacon : 3 fr.) — Dépôts :: ^ Pharmacies Bellot, 34, rue Saint-Jean, à NANCY ; Demangeon, à LUNEVILLE ; c ; )Greiner, à TOUL ; L. Arcille, à PONT-AMOUSSON ; ph'« de la Gare, à BAR-LE. r [DUC ; Morelle, à COMMERCY ; Iwanoff, â LIGNY. r^Nffc J ÉTAT *H , V ** ^BANOE BRASSERIE C'est du cinématographe qu'il s'agit ! Par la variété des spectacles qu'il offre, i; attire, il captive, il subjugue le public, il ttous les publics ! Partout s'ouvrent des cir némas et tous sont envahis par les fouîles. g Au premier rang de tous se placent les établissements créés par les Sociétés qui oont obtenu de la Compagnie PATHË le p privilège de montrer des vues éditées par ccette Compagnie, la première du monde, ddont les filins sont universellement réput tés pour leur netteté, leur fixité, leur beauté. La Société concessionnaire dans r noire région est la. Société Cinéma-Exploit tation. Le Cinématographe Pathé est le s seul qui ne tremble pas et donne l'illusion Cde la réalité sans fatigue pour les yeux, 1le seul qu'on puisse toujours aller voir en f famille. C'est pour lutter contre les einématoe graphes où la mauvaise composition des 1programmes le dispute à la mauvaise Jqualité des vues, que la Compagnie PA3THE a donné son privilège à des sociétés ccontrôlées par elle. C'est donc au cinémat îographe PATHÉ qu'il faut aller, et pour é éviter les contrefaçons, on fera bien do Ss'assurer qu'il y a sur les affiches le nom c de la Société concessionnaire et le Coq f gaulois, marque de la Compagnie (qui ' figure aussi sur toutes les bandes). Ces Sociétés établissent des succursales :et offrent au public un .spectacle constamment renouvelé, des films neufs, que les < ;spectateurs avertis apprécieront à leur valeur. ' Les exploitants qui s'intitulent sans droit d Cinématograpï-se Pathé », ou qui cexhibent des Nouveautés de cette maison seront poursuivis rigoureusement, comme } le seraient des directeurs de théâtre qui 'représenteraient une pièce sans ou malc gré la volonté de l'auteur. Heuves-îvUisons Mme Marion, ménagère, a porté plainte C( contre un de ses pensionnaires qu'elle acc* cuse de lui avoir dérobé une paire de gue très, estimées 1 fr. C0, et qu'elle soupçonne " a aussi de lui avoir volé une pièce de 10 fr. ' |||, i< ions le* dimanches er^Vct ^ LQ Son, »tl, «le |.A Il y a juste dix ans - en 1807 — que ,. •/ ( ..s'i,u fut reprise au théâtre de Nancy. "] Voici ce une j'en écrivais à l'époque : "*0 u 11 est. bien certain que la reprise de Martha oui a eu lieu samedi soir, non ' ., , quelqu ■ solennité, n'est pas une de , ëehcH qu'on attend avec impatience et ! qu'on souhaite avec ardeur. Non pas a qu'il faille partager l'avis de Fétis qui « déclarai!, avec dédain eue Martlta n'é'iu tait qu'une musique d'amateur destinée I « à; tôt disparaître. Mais ii faut avouer « néanmoins qu'elle tient d'une forme ,., ;musical! qui n'est plus la nôtre et que (t « nous n'avons fjlus imjourd'hui qu'un « «« igoût plutôt modéré pour l'italianisme « dont elle dérive. Qu'importe ! cette œu"« vre, qui, en somme, date de 1817, et " «" qui n'est pas proche de disparaître, «" plaira longtemps encore par son a bon"n dance mélodique, ses qualités de viva<( cité et de bonne humeur. » Je pourrais ne rien ajouter à ces lignes. Il " est incontestable qu'on n'attendait, pas cen } 1907 la reprise de Martha avec plus d'impatience qu'en 1897, mais que ?.es d ÙI âmes sensibles ont pu encore prendre quelqu'agrément à son audition. On rie <B saurait nier aussi que la jolie mélodie sa irlandaise de La Dernière ilosc soit toup' jours charmante de fraîcheur et. do grâje ce. ce Il est vrai qu'elle n'est pas de Flotow ! Mais ce qui est de lui, et, ce qui n'a pas M encore trop perdu, c'est le célèbre quatuor ei du w « Rouet », c'est aussi celui de « Bonne Nuit », qui ont conservé leur fraîcheur, N L'interprétation de Martlta a été fort b< bonne. Il faut placer au premier rang M Mlle Pérérol, dont, l'organe, d'une pureté si cristalline, a escaladé avec une sûreté é étonnante les notes les plus, escarpées d rôlo et qui a phrasé si délicieusement du U la Romance de la Rose que la salle entt Itère — une salle comble l'a bissée d'enil thousiastne. Mlle Souvervn, de son côté, a chanté a avec correction — parfois avec charme, t< toujours avec goût, le rôle de Nancy. Côté des hommes, on a applaudi M.Breton-Caubet, plus à l'aise dans les passag ges de vigueur,,que dans les demi-teintes, du A rôle, et M. Labciet, qui. conformément à une tradition déjà ancienne, avait inf. terprété au dernier acte la romance de j! l'Ame en peine, qui a été bissée. M. Audra a complété une interprétation qepri fait honneur à la troupe lyrique. G. B. A %> ' X dcs'dcrnicrcs Martha Pompey Procès-verbal a été dressé contre Léon E Eiffer, ouvrier d'usine, qui, à la suite d' d'une légère discussion aux forges de Pompey, a porté un coup de poing à Eugène P< Jf Jacques, électricien. • j \; Le ciet t'aidera ;; ; Jitî .-«■ ÎJ8'nVa'Jii, !i:i8»ilt« lijfit —— Mercuriale du 30 novembre Bœuf, 1 .. à 1 80 ; veau, 1 60 à 2 20 ; mouton, 1 40 à 2 20 ; lard sec, 1 80 à 2 40 ; lard frais, 1 20 à 1 80 ; grillade. 1 80 à 2 40 ; beurre, 2 60 à 360 ; œufs, 1 20 à 2 30 ; pomimes *e terre, 6 à 10 .. ; nouvelles, . â .. les 100 kil. Mtii'ohé nnx fourrage» Samedi 30 novembre 2 Foin, 33 voilures, 4K .. à 52 ..; paille, 22 voilures, 28 à 32; luzerne,, voilures, .. à .trèfle,. voilure* ... •j - . it r éi M v I n 1 • :: u i i }' :i 1 [ ri t i ■ ' ^niîrar^~~****J " — — i g«i w «s- m—irrnTiiîi«rii.iii Sas incline Dubois, âgée de 24 ans, ?\ Lérouville, étant en mauvai1 m ^,^ avec son mari, a tenté do ll,g V * «s jours en buvant du pétrole, n ■e f' insuccès, elle en arrosa ses Irttit son/v mit le feu. La vue des flamtèfl^11!'3 C-Vu'eur qu'elle éprouvait lui Ict l'alarme dans tout le quartier f1 'ont dans la rue, cou^.ViirwTer garçon marchand de vin, 1. ^ M et Mme Cézard, boulanger, u 5ue ilr'pssés de lui porter secours en em gotit v 5temcnts enflammés, non v e i" f aSup de difficultés, car elle était ^•hlemént brûlée. !t • vio oar imprudence de Bar-!eetion"61" , _ Le tribunal correctionnel en P »o i Duc condamnait, le 23 juillet 1 •PS' François Stcp,. âgé de 56 ans, à \l " ,1'amende pour homicide par imfrancs"',^ 3 000 francs de, dommagesfM-fenvers l'a partie civile. i^L*«ui est propriétaire d'un manejl. Step. S1, | , était installé, le 2 ru sea 1 de g ^.r sur l'une des places de Bar1 in deim -'' J)UC " K soirée, M. Nicolas, âgé de 54 oans lié étant dans une gondole avec I -„n de sa famille, remit à un cmiel(îu„ne -ièce de 1 franc pour payer la «y6. Celle-ci terminée, M. Nicolas, u t oas reçu sa monnaie, alla la réclaa ui On l répondit que la nièce était pour VhUm r Moyen do reconnaître uns nialaiic d'Estomac j Jf Q< jT) AYEZ-VOUS la. lan/ uf^rx Eue' recouvertes d'un M\ Mt^SL enduit jaunâtre. n« o-lissa et tomba entre deux gondoC ,,n filet. 11 fut projeté sur le sol hauteur de trois mètres. îns sa chute, il eut le crâne fracturé «,,'plnues jours après il mourait. '"cour d'appel de Nanov confirme le fcnent du tribunal de Bar-le-Duc. Ll «g» MONTRES.nl BIJOUX ni ORFÈVRERIE ' fonsultcr les Tari/s envoyés Franco, des f£ «J£B |; jE5TKX13A-S7r>SA.TT,dtEESANÇON ol ")«> Pnt Concourt Oi.s:rtato!r) dt flssançon. ^^àr '=^^r* f -J " ' lirecourt. — Deux individus inconnus fsont introduits nuitamment en escalaht un mur d'une hauteur de deux mèL (jans la cour d'une maison sise sur ; chemin de Ràvéhel, et habitée par M. mis propriétaire, marchand de vins. Ces' individus voulaient, suppose-t-on, nnétrer dans les caves, dont les portes Liant accès dans la cour ne ferment S La tentative fut manquée, car M. Renauin domestique de la maison, réveillé par bruit, se leva en hâte, armé d'un fusil I chasse. Apercevant dans l'ombre des fteuettes humaines, il tira un COUD de iu en l'air.'Les deux malfaiteurs escala(rent à nouveau, mais peut-être plus raidernent que la première fois, le mur de fture, et disparurent à la faveur de Obscurité. ;La police a ouvert une enquête. lominiont — Le conseil municipal de fc-nimont vient d'émettre un vœu tendant |ce que le train quittant cette commune 14 h. 30 du main soit rétabli l'an prochain k 1er avril au 1er novembre 1908, son utile ayant été prouvée par l'essai qui a eu Eu cette, année. I CHEMISERIE ,^-^ss^mmiS=-^ 1 NOUVELLE SAMAT NA.NGY — 17, rue St-Dizier — NANCY >ww Chernïçs? oxford et lîanstle Gilet? Ilapeîle ci Caleçon? Sun MESURE . - I f E omnlové prit M. Nicolas par le bras. l Ve fis étaient sur la plate-forme, M. ' ,i■ JI CQiPïOiR D'ESCOMPTE CE H S N ia Appa-j-e-is Pneumatiques perfectionnéss de A. CLAVERIE mt les seuls qui doivent être adoptés pour la gtiérïson et le soulagement de ces infirmités Chacun connaît aujourd'hui la renomuniverselle de M. A. CLAVERIE, lei and spécialiste de Paris, le seul Prati-» qui, en dehors des vagues promesses3 1 guérisseurs, assure d'une façon cer-*e à.lous les malades un soulagement1 médiat ct définitif. U est superflu d'insister sur les hautess Mités que ce Professionnel de. premierr Mre dont la personnalité est bien connue3 « nos lecteurs, ni sur les avantages sans5 «écédents de ses merveilleux appareils3 'ievetés. Le, chiffre énorme de 950,000 donné par n e statistique déjà ancienne des cures obMe3 grâce aux appareils CLAVER'E,* fouve mieux que les plus brillantes pro'Çsses l'efficacité souveraine de cette nou;li e méthode à laquelle ne résiste aucun^ °we de hernies. Aussi est-ce avec plaisir que nos lecteurs nos lectrices atteints de Her.ues,Efforts, ■scenies et Déviations utérines, etc., PPrendront la présence dans notre confee de l'éminent Spécialiste. ™- ft. GLAVERIE recevra les malades ct R* l'application de ses merveilleux appaWs en prodiguant les bons conseils de sa ï>ate expérience professionnelle, de 9 h. à nr portent - OMffl Gûmim mima L F NAL I : 1 ! ! P *** ï BANQUE LILLOISE . CHARGES, dimanche 1" décembre Hôtel la Pasto. MIFIECOÙP.T, lundi 2, Hôte! des Halles, f.tMip.EMONT,mardi 3,Hôtel die la Postec ^IMAL., mercredi 4, Hôtel du Louvre. JftRiT-DSÉ, jeudi 5, Hôtel Terminus. 5^SGARAT.vcndredi 0. Hôtel de la Gare. 3' U«NeViU.E, samedi 7, Hôtel des Vosges. NANCY, dimanche 8, lundi 9 ct mardi 10 cptobre, Hôtel du Commerce. ,'OUL, mercrëli 11, Hôtel de Met;;. J.UNOWY, jeudi'12, Hôte! du Commerce. 3. .«■uNGl,/ON \endredil3, Buffet-Hôtel de le lua»e. PONT-A-PiîOUSSOiN, samedi 14, Hôtel de )e «Poste. 5, LfAGHY.SU R-KOSfiLLE, dimanche 15, 'a «are. e uuNFLAcis.jAfHJY, lundi 1G décembre, ■J;1 du B««et. e, l^f-LE-DUC.mardi 17,Hôtel de la Gare, lu fAINT-MiHIEL, mercredi 18, Hôte! du psne, e gi 0MMEaOY, jeudi 19 décembre, Hôtel fe 3_plûfthe d'Or, iu lo '^Ay, vendredi 20 déc, • Hôte4 du fe I ve " Traité de la Hernie », ouvrage le gravures, où cette belle le EBI «ï clairement expliquée et que Vlin -, AVeniE (234, Faubourg Saint-Mar«3. r s Wern l ' '' envoie gratuitement et dis•__£nv sur demande. lo ilft ,e pages fit 200 te est SlL'K^ïr.M CORDA fl'amour, d'un saint délire, :iV SBwairaale dTwANCY J 6 ' ' r -i':: Ky/loux. Ci vcii'.o partout. 1 o' tisfaisants et permettent au «o»>eil de -oro- dyetion ct les bénéfices. de de Pompey garantit le service des intérêts et et de l'amortissement des obligations à émettre. I HL , ci En effet, les minerais faisant l'objet du marché en question, lui seront livrés au m prix de revient majoré de la somme repréP! sentant par tonne le service des obligase tions, émises, même si celles-ci dépassent ]}' 6u millions. C'est là une garantie supplémentaire pour les obligations La Mourière. ( P Mines do Murvllle. — L'obligation 4 %' traitée au pair plus intérêts. « HOUILLÈRES Le voyage de M. Viviani à Lens â ravh v.é à l'égard V( la méfiance des capitalistes a, valeurs Charbonnières. des Allemagne.— On a interpellé au Reichstag sur le prix élévé des charbons, et l'ut£ , des mesures préconisées a été comme ne n d' d'habitude un droit d'exportation. Le gouvernement est déclaré adversaire résolu V( d'une telle mesure. d Charbonnages Réunis. — Encore négocié à 350. ci La Houve. — Dernier prix fait 1,800 mk. O parle à nouveau du rachat en bloc de On cette affaire ; lo marché du titre ne trahit C( rien de pareil, et nous sommes d'ailleurs r]autorisés a à démentir ce bruit d'une fa, çon catégorique. c Ronchamp, — Rappel 7,750. Voici quelques renseignements sur la station d'électricité qu'installent, on le s sait, les houillères de Ronchamp pour utig; \\ liser leurs déchets de charbons : La Centrale est terminée. Elle a mis ] dernièrement en service une turbine à c vapeur de 2,500 chevaux, produisant du v courant triphasé à 5,000 volts; une deuxièc me turbine est en montage et sera prête n à tourner d'ici trois semaines ; une troi. ssième suivra dans les premiers jours de jjanvier. : La ligne de Belfort est terminée ; celles d de Lure, Luxeuil, Remircmont sont en voie d'achèvement. v A Lure, Luxeuil, Val-d'Ajol, Remire-1 pmont, Frahier, Belfor£ se trouvent des s sous-stations de distribution. Les communes de Ronchamp, Champas gney, Plancher-Bas, Plancher-les-Mines èèt Frahier sont dès à présent desservies. En résumé, dans le courant de ja'nvier, !, réseau sera en pleine exploitation et le ypourra donner l'énergie électrique dans iles départements de la Haute-Saône, Vosc ges, Doubs, Territoire de Belfort. Le tableau de distribution est en mont tage, mais un tableau provisoire permet l la distribution de ce qui pourra être demandé jusqu'à la fin de ce montage. r En dehors des trois turbines de 2,500 chevaux, c la station comporte une turbine gà vapeur de 700 chevaux alimentée par le3 ffou s à cokes, et un alternateur de 250 cchevaux mû par une machine genre Cor*liss, qui sont en marche. L'ensemble a été prévu pour 30,000 chevaux. Les agrandissements ultérieurs se ; feront par addition successive de turbines .ët de chaudières, au fur et à mesure des -' besoins et sans qu'il en résulte un arrêt même momentané de la marche de l'usi* ne pendant les travaux. Les travaux ont été commencés l'année ,dernière, on voit qu'ils ont été poussés vigoureusement. SEL, SOUDE, PRODUITS CHIMIQUES Cours des nitrjtcs fermes avec tendant ce à la hausse. 1 Les Aulnois. — Nous avons preneur à' 400. ■ Bosssrville. — Nous disposons de quelques titres. ' Chemiserie Werkc-H. et E. Albert (Biebrich). — Cote 4,060 et 4,120. LaneuvevïUe. — Nous avons preneur à 600. Marchéville, Baguin et Gie. — Nous avons preneur à 630. L'obligation 4 %' traitée au pair plus intérêts. Rosières-Varangéville. — Nous avons, preneur. Saïnî-Gofeaïn. — Traité à 15,850 et 15,800. Salines de S'Est. — Entre 350 et 359. L'oi bligation à 600 en dernier lieu. Sommervilier. — Nous avons preneur à 1,840. BRASSERIE ET MALTERÎE Louis Arien et Cie (Montbéliard). —- As> . semblée le 14 décembre. Ghampigneuiles.— Négociée récemment à 1,160. Comète. — Traité à 605. Courlancy (Brasserie et Malterie à Reims). — Assemblée le 17 décembre. Voici les résultats qui lui seront présem tés : Ventes, 12,496 hectos contre 10,500 hectos. " Bénéfices, 46,920 fr. 30 contre 43,952 fr, 40. Dividende proposé 5 %. Les amortissements recevront 24,852 fj> 80. Diekiroh, — Assemblée tenue le 24 novembre. Elle a fixé le dividende à 3 %< payable, coupon n° 14. Le bilan au 30 septembre faisait ressortir un bénéfice net de 77,406 fr. 93, après un amortissement de 95,494 fr. 36, soit au total 172,901 fr. contre 173,216 fr. précédemment. Les obligations sorties au tirage seront remboursées le 1er octobre 1908. A. Hanus et Cie (Charmes). — Noua avons preneur jusqu'à 800. Maxéville. — Traitée à 695 ea dernier lieu. Nous disposons de quelques titres. ' L'obligation 4 % ** obtenable au pair plus intérêts. Meuse. — Traité récemment à 510. L'obligation 4 % cote 495. Moreau et Cie (Vézeîise). — L'obligation 4 %■ ** au pair plus intérêts. J. Prudnon et Cie. Négocié en dernier lieu à 550. L'obligation 4 £ % au pair plus intérêts.Saint-Nicolas. — Nous avons preneur d'obligations 4 * % au pair plus intérêts.Union (Jarny-Pagny). — Nous dispo-. sons d'un petit nombre de titres. L'obligation 4 1/2 % demandée au pair. Brasserie du XX' Siècle. — L'action traitee a 111 en dernier lieu. Anderny-Cheviilon. — Les souscriptionsi aux actions seront intégralement servies. Mines de Oonflans. - - C'est une sociétéj civile qui s'est formée pour exploiter lat concession de Confions (820 ha.). Elle a lei ° caractère d'une association de personnes., Siège social à Confions. . Fcmds-sccial. divisé en 200 parts égalesi sans désignation de valeur. avec l'indication de; i, Voici les associés leur part dans l'affaire : MM. Viellard Migeon et Cie, de Morvilt, lurs, apportent de la concession, 100) parts ; a La Société Dillingen (une affaire d'ori-gine française), 70 parts ; La Société de Vireux-Molhain, 10 parts ;; La Société d'Espérance-Longdoz, à Liè-g ge, 10 parts ; Usines de Moneheret, à Acoz (Belgia Les 10 que), parts ; La Société Viellard-Migeon se réserve: h 1/10 du minerai extrait pendant toute> le b durée de la concession livrable gratui-. la b tement sur wagons. Une émission d'obligations est prévuei S1 concurrence de 5 millions. Mines de Jarny. — L'obligation 4 %" né-. g gociée au pair plus intérêts. Mines de la Mourière — société de-J . I amande une extension de sa concession quii ? 1 porterait la superficie de celle-ci à 692 ha. ; iElle se trouve en concurrence avec la so-. i c ciété de la Basse-Loire, le Nord-et-Est ett * M. San son. Les installations de la mine sont pré-v jvues pour une production annuelle de; 1,200,000 t, et les ressources ' financières s sont représentées par 1,500,000 fr. à appej sur les actions et 6 millions à provenir1er f '| des obligations à émettre. a Siège centrai à PABXS /Sellé ad^^ssoat la <le:»autlo sur environ 32,000 hectares, alors | v qu'il y a. au grand maximum 7 à 8,000 hc hectares à concéder. a ' «se. Rappelons qu'un certain nombre! de ssociétés d'exploitation de minerai de fer ,° dans le bassin de Briey émettent en ce „ moment des obligations. Ces obligations sont du type de 500 fr., rapportant 4 % nets. Elles sont garanties '; par les concessions minières elles-mêmes, y, car les sociétés emprunteuses se sont en~ gagées à ne conférer sur leurs concesS sions aucun privilège ni hypothèque quelconque. " La valeur de ce gage est tangible et re monnayable. C'est, dire qu'il ne peut pas v avoir d'erreur dans son évaluation et y , que les obligations en question constituent n j, des pincements de tout premier ordre. Les titres sont émis au fur et à mesure à, leurs besoins par les sociétés suivande te : tes A mérmon t-Dommary. loudreville. La Mourièrë. Valleroy. Les échéances des coupons ont été écheU lonnées de façon à permettre aux capitali listes de panacher leurs placements. Prix d'émission : le pair plus intérêts ci courus. La V.nngue Renauld et Cie sera reconn naissante au lecteur de lui réserver sa si souscription. Hous recevons les souscriptions S&MS FRAIS TS CÏI m ' Miies de Fer de La Mourière ! me rnim—nw-i—■■ ■n—'-»—»- Pour l'année en cours, les déclarations P de :la direction ne sont pas très encorn agea géantes. Au l8r juillet., le carnet des comai mandes s'élevait à 141,145 t. contre 172,000 m en 1906, et depuis cette date, il n'a pas en àug augmenté. e . ' R Rumelange-Sainî-îngbert. — Négocie entre tre 1,960 et 1,975. .,, g. Ssmbre-et-Mos3H3. — L'action pnvile_,x' giôe se traite entre 639 et 605 ; dernier jL„ cours 620 ; l'ordinaire de 229 à 224. ' Sarrebrùck. q - Fait comme extrêmes ,,,, 8;825 et 8,310, eî comme . dernier ..cours »% 8,425. Toujours da gros écarts sur co ti" tre.' Schneider eî Gie (Crcusot). — Négocie g ide 1,875 à 1,861. . V L'assemblée tenue le 23 novembre a . le dividende à 80 francs, payables par fi fixé moitié les 15 décembre 1907 et 15 juin {on 1908. ... . ■ ■ . , "j Les bénéfices de l'exercice éi.-u-À S?, 6,737,491 francs, contre 6,649,820 francs précédemment. Pj Le bilan, établi sur les bases accoutumées faisait ressortir la situation finanm ( r C1> cière suivante : i' Le capital nominal est de 27 millions L avec une réserve statutaire de 12 milvc ?. 0I lions. " Les nombreux et importants établisseL ments de MM. Schneider et Cie. compor'ne tant tr ;n notamment l'usine du Creusot, les ateliers d'artillerie du Havre, les chanp.tc fiers de constructions de Chalon-sur-Saôllei ne et les grands établissements électrotechniques de Champagne-sur-Seine,ainsi t0C! que <ju« les mines de fer et de houille, sont portés au bilan pour la somme dérisoire poi de 7,700,000 fr. L'excédent de l'actif réalisable sur le I passif exigible est de 43,800,000 fr., chiffre pai rond, au lieu de 26,500,000 l'an dernier. ror Cette augmentation provient pour 6 milCe: lions d'une augmentation des comptes délipi biteurs — la promptitude à payer n'est bitpas pa; le fait des gouvernements — et pour le surplus cette augmentation paraît la conséquence d'éléments qui se sont valocor risés. La puissance financière de la comris oagnie se trouve renforcée d'autant. 1 L'assemblée a réélu membre du conseil de «° surveillance M. de Chassejoup-Launa' bat. enelle-Maubeuge. — Cote 500 et 505. 'Société Alsacienne de constructions, niécaniques. — On offre à 5,900, contre-partie à '5,600. 9 Vi!!crupî-Laval-Die.u. — Négocié à 390 ! en en dernier lieu, prix auquel nous disposons de quelques titres. soi 'Automobiles Peugeot. — Nous disposons rte quelques titres à 1,025. de La société ne paraît pas mécontente de 1 ses ses ventes au Salon. Elle est, assure-t-on, parmi les rares favorisés. no MINERAIS DE FER . Le contrat réservant la vente eh Ailemagne des minerais de fer de Bricy à la ïï| Môtallgesellschaft de Francfort n'est pas Vu en encore signé, Imais il est incontestable qu'aujourd'hui les pourparlers sont fort ?u avancés. En faisant courir te bruit qu'elle *v av avait obtenu le monopolo de cette vente, ,a Métallgesellschaft a éloigné les concurla rents. Ce n'est pas du reste un monopole ve. absolu qui lui est conféré, l'agence de ™ Napcy se réserve la faculté de vendre diNî ,(eetement en Allemagne. ": » « Une nouvelle demande en concession je mine a été publiée récemment. Elle de sn émane des sociétés de Montbard-Aulnoye ,t ît des Forges de Douai, et vise des terri'oires 0 situés au sud du bassin: de Longw ; sur les communes de Chenières, Vilwy, 'ters-la-Montagne et Laix. Elle se trouve ;en en concurrence avec les demandes anté«, rieures de ,M; Variot et de la Société des ™ unies de la Crusnes (M. Schmitt). ■Les demandes actuellement déposées Eiisslu m pair il 4.000 Outrons et les Déplacements des Organes ■nTBWW'Wsa» îLc service de ceitc Sîe vite est fait gracieusement à toutes îcs |îcs sîi:aiie3 «r-ii »i-.\ Sri ',iicrussion éclata entre M. Nicolas D - AVEZ - VOUS une mauvaise haleine, La bourse a repris son sang-froid, et, poser [ La distribution d'an dividende égal surtout le matin ? i celui de l'année dernière, soit 10 %. ,s MANQUEZ - VOUS sans se laisser émouvoir par les évône- à Eîogiîy-Braux (Boulonneries). — Nous monts de la frontière algérienne qui sont : d'appétit ? » i 11 de nature à froisser notre amour- favons' prcneui. AVEZ - VOUS des plutôt ^ Champagne. — L'action négociée à 110. qu'à nous inquiéter, elle se remet ■^jffS^SSÊ renvois, des aigreurs, propre P1. ^ avons encore preneur. au travail. Ce sont toujours les fonds Nous ! \WM^BW^^ dès vertiges, des m , Paiement du coupon n° 10 à raison de ^ Çy*''^^ maux de tête, de l'op- russes qui donnent le « la » . 7' fr. 50 nets. .. j. , . pression, de la somBANQUES 1(marquo déposée) ChâtiUomCommehtry. — Fait preuve de riolence, des gonfleBanque Francs-Américaine. —Toujours meilleures i dispositions de 1,115 à 1,100 ments, des vomissements, de la dilatation, ga me sans transactions, :avec des transactions régulières. . de la congestion, surtout après les repas ? Banque d'Alsace. — Négociée à' 740 ' Chili (Hauts-Fourneaux, Forges et AciéAVEZ-YOUS souvent soif, la bouche m. pour l'action ancienne et 2,200 en dernier ; ries i du). — Cote 112 ct 114. ' des desséchée, la gorge irritée ? &, lieu pour la nouvelle. Le bilan présenté à l'assemblée du 30'noTOUSSEZ-VOUS après les repas ? ] Banque internationale du Luxembourg, vembre est un bilan de construction. »RESSENTEZ-VOUS souvent des dou- _ — Rappel 415 mit. ■ Au 31 mai 1907, les dépenses der premier leu leeirs dans le creux de l'estomac, dans le Martinet ct Gie établissement . se montaient à 850,788 fr. 96. ventre, à la poitrine, entre les épaules ? fr Clraide-Lafontuine, ver des Ardennes). — Nous dispo- ;Sur les versements appelés, la société E ÊTES-VOUS gêné pour respirer ? g(Comptoir 0 sons de quelques titres â 060, :avait disponibles chez - ses banquiers 'AVEZ-VOUS souvent des palpitations, ! fr. 95, et il restait à appeler sur des battements de cœur, des bouffées de ;>t Foncier d'Alaace-Lorraine. — Obtcnable 995,323 «es à 935. La lettre de gage 3'h % oblènabîe à les actions 1,236,000 fr. chaleur, des éblouissements ? rk chi Commentry-Fourchambault. — L'acVOS INTESTINS FONCTIONNENT- 95 - % et la 4 % à 100 50, plus intérêts cou} rus. ru tion ordinaire négociée *n 950 à 9G8 ; la ILS irrégulièrement ? Générale Alsacienne, — Cote 480 mk 80. jouissance entre 466 ct 484. «ÊTES-VOUS vite fatigué et essoufflé ? Lévy, Meoo et Oie. — Dernier prix fait Commorcy.— Récemment négocié à 975. la nuit, ÊTES-VOUS fiévreux, agité, [, ^ Et I 1,015. Nous disposons de quelques titres à 1,000. oppiessé '? ' Bantgue de Mulhouse, — Des demandes à Creil (Forges de). — Nous disposons de ,VOUS ENDORMEZ-VOUS très difficilego avec contre-partie â 835 pour l'action 825 quelques titres à 370. ment ? AVEZ-VOUS des cauchemars ? âr ancienne ; la nouvelle est obtenable à uonaln-Anzln, — Négociations assez ac-1 VOUS TROUVEZ-VOUS souvent sans 2,050. o, 1 tives entre 1, (20 et 1,745. goût, sans force, sans courage, sans éner- "' W Comptoir do Mulhouse. — L'action nouDeutech-Luxoxnburglsche. — Mieux tenu gie 8* ? AVEZ-VOUS parfois le teint jaune ? ve velle offerte à 1,500 mk ct l'action ancienintre 1,420 et 1,400 mk. AVEZ-VOUS souvent des maux de ven' l!C â 1,580 mk. ne Moteurs Diesel. — Nous disposons de lTe tre, des maux de reins, de la lassitude ? Société nanecienne. — Dernier prik fait ruelques titres. N'ÊTES-VOUS PAS devenu triste, de r,i ' fitft Dudelangc. — Marché animé entre 830 mf mauvaise humeur, vous fâchant pour des Banque de Nancy. — Rappel 505. 8t 850. riens ct à tous propos ? ™e Renauld et Gie. — Traité en dernier lien Eicli (Le G allais, Metz et Cie). — Cote FUYEZ-VOUS les réunions, la société ? à-, 1,000 en action ancienne. Nous avons pre3,675. N'ÉPROUVEZ-vaus PAS une dépres- neur. m ElccîroRîétallurgïciue Française (Frosion Sic physique et morale très profonde ? Ch. Staehilng, L. Valent!n et Oie, -- Né ges). — En reprise de 2,085 à 2,185 pour Si OÙ!, ce sont là autant de SIGNES -r, gocié à 132 % en dernier lieu, ancienne, et de 1,850 à 2,005 pour SERT A SMS qui indiquent que vous avez " rf. Thomas et Gie (Longwy). — Nous i'action t< = : : nouvelle. un gros dérangement d'estomac qu'il faul un ;n avonfe *pirer.cur' à 505. Eepéraifea (Louvroil). — L'action privig0j soigner de suite.SOUS PEINE D'ANÉMIE légiée cote 1,676, l'ordinaire de 1,565 à MÉTALLURGIE de NEURASTHÉNIE, de RHUMAT8SFV1E, ,600. de DIABÈTE ou D'ALBUMINURIE. Ce France. — Aucun ralentissement jusFontoy — Cette société a touché Cette sent ausi autant de signes indiquant que qu'ici qi dans les usines de Meurthe-et-Momnée le loyer payé par Aumetz, soit les reins, le foie ou les intestins fonction- selle. se Elles ont suppléé au ralentissement 875,000 fr., plus une part bénéficiaire de ne nent mal. di des livraisons à l'intérieur par des comi-63,980 fr. Elle'a employé son disponible Prenez les POUDRES DE GOCK, un en- m mandes à l'exportation prises à coup de \ des amortissements; et le compte des h chet avant ou après, chaque repas. C'est le baisse, b: c mais il est évident que cette situaoertes antérieures se trouve encore de pp plus sûr remède que vous puissiez em- tion ti ne pourra pas durer. ; 1,414 fr. pi, ployer pour bien vous guérir". ; Dans le Centre, à part la branche auto Franche-Gômté. — Marché très rnaussaL03 POUDRES DE CO0i< vous guéri- mobile, m le travail est abondant. le de 240 à 235. On attend le résultat de ro ront certainement, parce qu'elles désinfecDans les Ardennes, les fabricants de fer- la souscription à l'augmentation du capitei tent l'estomac et débarrassent le tube di- rures n sont favorisés ; en boulonncrie, on g tal. Or, les circonstances ont encore été gestïf rte tous les éléments nuisibles qui cjj e signale quelques légères concessions sur moins favorables pendant la période de re rendent l'estomac malade et l'empêchenl \e les prix, et pourtant les commandes ne font prolongation accordée que pendant la de digérer. Or, sachez que c'est unique 0 pas défaut. m'écédente. . rm ment le mauvais fonctionnement de votre ' ' Le gouvernement s'est glorifié lors de la Frondes et Vraincourt. — Récemment es estomac qui produit tous ces désordres et f; à la Chambre du budget des, oégocis à 100 ; nous disposons d'un cerqr. qui vous rend faible, anémique et neuras- tdiscussion ' travaux publics d'avoir amené les CompaSain nombre de titres à ce prix. th thénique. " Gantois et Gie (Saint-Dié). — L'assemLes POUDRES DS COSK guérissent gnies de chemins de fer à remettre depuis cîi chaque Jour des milliers de malades dé- deux ans, pour près de 200 millions de.com- blée du 26 novembre a ratifié l'achat fait n de matériel. Depuis l'origine des oar le gérant de l'usine de Monthureuxso courages et désespérés, qui avaient pris mandes , de fer, on n'avait jamais rien vu •air-Saône, et a décidé l'émission de 200 ïn înutiîenient tous les auts-es remèdes. E3- chemins ? «bligations dé 1,000 fr. 4 1/2 % nets. Un sa sayez-les,. elles vous guériront aussi très de j pareil. En effet ! Mais, c'est précisément Iroit clc préférence à la souscription est c3 de ce système dc3 à-coups que se plaicortainsment. réservé aux actionnaires jusqu'au 8 déle commerce ct l'industrie. A-t-on Les POUDfiES DE C031C ne peuvent gnent " J oublié les serments solennels échanJamais être nuisibles en aucun cas. Elles déjà —, Entre 2,292 et 2,324 en vue de régulariser les commandos ? ,■ ;, j ;^Gelseiikirchon. conviennent aussi bien aux femmes qu'aux gés g .(q^ -, ' . . ■ ■ Allemagne.— En. Westphalie on commenhommes. Il faut toujours les continuer . Lefh;ive et Gie (La Chaléassiôre). — ce à réduire le travail ; on chôme pour le snns Interruption Jusqu'à ce cjue Ton soit J* totalement guéri. » repos hebdomadaire dès le samedi à 6 heu- Cote 731 èt. 735. Leîcrt eî Pie (Mohon). — Nous avons f du soir, au lieu du dimanche à 6 heu„ Les POUDRES DE COCK se vendent res ireneur à 750. 2 fr 50 la boîte dans toutes les pharmacies, tres du matin. Négociations suivies de 1,010 01 ou quatre boîtes contre mandat-poste de Le syndicat des fontes de Westphalie ,va è. Longwy.— 1,010. 9 francs adressé à la Pharmacie des Pou- lui b aussi décider une baisse des prix. Lorraine de Dietrlch. — Seul cours coté dres de Cock, à Jeumont (Nord). A la dernière-bourse de.. Dusschlorf, J,es-■ 700. Avis trè3 important. — Attendu' que cer- ccotes ont enregistré de nouvelles moinfe-va- ■ Lorraine Indu'sîriello. — Négociée â 750 - ■ tains Pharmaciens vendent des contrefa- ]h;1 es jf et à 755. eons malhonnêtes dés Poudres de Cock, Une réunion des tréflleurs allemands et ^ client est très instant ment prié de refuser n Manufacture As-dsnnalse (Rraux). — le américains -doit' avoir lieu le 6 décembre à te toute boîte qui ne porterait pas la marque fCologne. On ne voit pas bien quel peut '• ibtenablé à 975. Marine-Homécourt. — Lourd entre 1,245 de fabrique : L'HOMME AU MARTEAU, être h son objet. et 1,215. C'est tout à fait important si on veut guéTout aussi illusoire nous paraît être le Micheviîle. — Entre 1,135 et 1,145. rir. ri ' projet de syndicat international des fabriMontataire. — Nous disposons de queltnts de tuyaux de fonte. C'est un brriit qui quos titres à 725, dernier prix fait 1 est remis, périodiquement en circulation. Monceau-Saint-Fiacre. — De 325 à 360 0¥ Belgique. — Aucune amélioration à si-■ ' l'action de capital ; l'ordinaire de 210 à 220.. • gnaler. La lutte sur le marché anglais champMenthernié-Laval-Bieu (Fonderies). — clos des vendeurs de demi-produits prend-1. Nous avons preneur à 650. Capital social : 5 Millions ^un caractère inquiétant. Nord et Est. — Calme de 1,795 à 1,790. Eiats-Ui!Ï3. — Période d'attente jusqu'aui Ougrée-Marihays.— A retrouvé son équl£ moment où*' sera réglée la question finan-• libre entre 1,155 et 1,165. Le récent plonT cière. geon à 1,080, paraît le résultat d'une made SOC &. 4 ©iO Russie. — La « Société de constructioni nœuvre de bourse. On avait en effet fait DE LA SOCIÉTÉ ANONYME DES e de location de matériel de chemin deï courir le bruit à Bruxelles que la société et _ fer », constituée il y a quelque temps, patravaillait à perte. C'était tout à fait inj\ raît songer à commencer ses opérations.■ vraisemblable. Un communiqué officieux 41 Est-ce un signe précurseur ? déclare au contraire que pour les six preBassin de Bricy La Dniéprovienne aurait une commande3 m fers mois de l'exercice en cours, les résulde, 6,500 t. de rails pour les Indes. Ne l'en» tats sont supérieurs aux précédents. Cela Ces obligations rapporteront SO francs félicitons \ pas trop bruyamment, car elle ne n nets exempts de tous les impôts actuelle- 'd f.t pas en tirer gros profit, mais il faut? ne surprendra pas ceux qui sont tant soit t peu au courant de l'allure du marché méa meut existants ou de leur équivalent en cas ; bien vivre. tallurgique. d remplacement. de , JÊU «-• - . Pompsy. — Le dividende de 20 fr. est « n» 2. " Le Salon de l'automobile va fermer sës, payable dès à présent, coupon La Banque Renauld et G0 figure parmi Les souscriptions sont également, reçues jportes. Cette manifestation aura été pluss d les établissements désignés pour le payer. dans les mêmes conditions aux guichets de ,éclatante encore mie de coutume. La paj\MM. BLOCQ frères et fila, nos CO!'Produits électrc-înatanurgicjues dés Pyrade avant la bataille ! Certains fabrirespondants à Toul. cants n'ont môme pas pu attendre la fin. rénées.— Sans transactions. L'eau sera mir incessamment dans la conduite forcée ; C'est une impression générale de ma-; se pini ■ ■■un ii n ■■■ iat»^ifta'i»iiij'»ttt..'-w.v'>»'<wtn»i» es dl vors essais auront ainsi lieu pendant" laise qui se ■ dégage des conversations.;; ] les acheteurs étrangers, ceux oui pren- la mauvaise saison et au printemps, la f nent sans discuter les grandes marquess Société sera en état de marche anormale d'HORLOQBRIB fie Besançon (Doul>s) font défaut, on ne vend pas. Il faut toute-J* et productive. le n a i B. DUPAS, Directeur, 19, rue <:c Bet&rL ' Pas ù redouter les tâtonnementsi fois mettre à part, trois ou quatre fabri-i- . P. Manufactura do MONTRES, REVEIL*, TCNDULES, U inhérents à toute entreprise nouvelle ; ses i^-3Hf i BïjouUria pour Maria^a cants à la clientèle fidèle qui se déclarent ^^^^^^^^ ' ' '' ' ' "' ^ - '-''- K:.I.P. MONTRE installations ont en effet été établies par très satisfaits. Le temps n'est plus où les adeptes dee dcs Professionnels qui ont fait leurs preu-■ i Pautomobilisme changeaient de voituree ves dans l'élcctrochimie et l'âiectrométalI lurgie, nous voulons parler du personnelI tous les ans pour suivre les progrès et la a \ l. technique, administratif et commercial de: mode. A part une nouveauté qui paraî■e la « Société des Forces motrices de l'Arve »i tra révolutionnaire — la voiture Ampère — on ne signale aucune modification imi- dont la Société des Pyrénées n'est qu'une> portante. La voiture automobile a trpuvé filiale. . | sa formule, il lui faut trouver aujourd'hui u L'affaire est intéressante au plus haut ; . une nouvelle couche d'acheteurs.Les jour- point, et il nous semble que l'on peut conJ ' naux signalent une évolution vers la voij. seillor de profiter de îa dépression actuelle, ture moyenne et utilitaire. Cette évolution P du.marché pour mettre en portefeuille les: Ed. RIONDEL assurera à Pautomobilisme le développe- titreS qui pourraient se présenter, ment normal de toute industrie. Mais elle .e Providence. — Se relève de 1,910 à 1,985. n'est pas encore bien apparente. Providence ruaee. — Esquisse un mouve2, rue du 4-Septembre Pour les poids lourds, il y a des pro3ruent de hausse de 121 "à 145 pour l'action grès incontestables, mais la question nee A ; de 54 à 74 pour l'action B et de 20 à 28 ;Succursales à LILLE, Abbêoille, Aoesnes,/ paraît pas encore au point. pour l'action C. Besançon, Chttrteoille, Nancy, Orléans, Rouen, En résumé, après le Salon, la liquidaiRatf et Gie (Sauînes). — Après une IonSaint-Quentin, Tours, Yalenciennes. tions d'affaires ciui ne sont pas outillées is gue absence reparaît à la cote à 4,450. financièrement s'imposera ;, et sur un 1 erfRombas, — peu d'affaires entre 1,653 et '" d 1,665 mk. ra in déblayé, les affaires saines pourront reprendre leur marche en avant. Voici quels sont les résultats présentés3 ti, rue de u U;> -utulion à l'assemblée du 30 novembre : (POUR LU KEBSTHE-tl MO,.-LE Eï LEO VOSGES)! Bénéfices industriels : 11,563,557 mk; r- (10,111,028). Téléphone 6.96 — Télégr. IIWXDEL-NAXCYi' Aciéries des France. — Continue à marquer le pas de 471 50 à 475. Bénéfices avant amortissements: 8,610,3393 " Angieur. — Reste lourd de 295 à 280. (7,574,038) mk, qui ont donné lieu à la réLa. BANQUE LILLOISE ne fait pas l'esAre-sur-Moselie. — L'action ordinaire off- partition suivante : compte du papier de commerce et n'ac(cepte pas les Dépôts de fonds. ferte à 121 mk G0. Amortissements 3,484,872 mk^ Athus. — Cote 1,275 et 1,265. La BANQUE LILLOISE s'occupe speciaTantièmes 249,843 e Aubrives-Villerupt. -Obtenable à 350, lement des placements de capitaux ;*Elle 0, Dividende 14 % 4.620,000 •dernier prix fait. étudie et surveille la composition des porOuvriers 100,000 Audincourt (Forges d'). — Nous avons tefeuilles ; Elle renseigne sur toutes vara Report à nouveau 155,624 preneur. leurs ; Elle vérifie les tirages. Voici quels ont été les principaux chif-La BANQUE LILLOISE exècre::; tous Or-•. " Aumetz-la-Paix. — Reprend légèrement « fres de la production : dres de Bourse à Paris, Lille, Bruxelles,i, de 680 à 720. Minerais 2,010,000 tonness Paiement du dividende de C0 fr., coupon Londres, New-York, Berlin,Genève, Saint'n Fonte 594,000 — Pétersbourg, etc.. (Demander le tarif dee n° 6. Lingots d'acier 585,000 — Les actions anciennes n° 1 à 52,133 doicourtages). «• Laminés 130,000 — îe La BANQUE LILLOISE paie tous less vent être présentées en'même temps que . Le rapport fait savoir que les transforcoupons sans commission ; Eîie fait toutess le coupon pour être frappées d'une estama ij. mations et nouvelles constructions entreopérations sur titres : Libérations, trans-;- pille portant la mention du nouveau capi'•' prises ne sont pas encore terminées parr ta! de 35,500,000 fr. ferts,^ versements, ^ échanges, renouvelle> n- suite de retards dans les livraisons du ma!Bavard (Fonderies de). —- Assemblée annuelle le 10 décembre. Dépôt des titres le tériel. C'est le cas pour > les Hauts-Four-lites ou "^{j^' i .,„.., «ratiiii- 5 décembre^ au plus tard. Là^ Banque^Ree- ner régulièrement durant tout l'exercice,■> temant à qui en fait la ^dcinandc, Ta cWi. fp> /*\/N r us5e 4iAI(CT£7 . • MAX QUE MENA VLB ■ e t C% à NANCY (Capital: 10 millions) UB Al f&CHe I È£ w. ■ . m U Uitt rïôsespéréa mt «■■■■■■■■in nu—, -— J j i |! j : g VERRERIE ST GLACERIE Par suite des hésitations de deux fabricants, la France n'a pas encore pu adhérer officiellement à la Société europcenne des fabricants de bouteilles constituée le 15 novembre à Dusseldorf. Un délai lui a été laissé jusqu'au 8 décembre pour entraîner les dissidents et obtenir sa participation aux conditions d'origine. La Société européenne a été constituée au capital de 1,000,000 de mark ; ce capital va être porté à 6 millions de mark et il pourra, être élevé jusqu'à concourrence de 16,500,000 mark. Cette somme est très seiisib ment supérieure au prix d'acquis!tion des brevets qui est de 12,000,000 mk, mais le paiement devant se faire par anouïtes, la Société Owens a voulu se ga''--'mir contre des défaillances possibles m ei:5 a exigé un capital élevé. C11 d'Assurances générales SUR J-A VIE 4 : ' ^ ^^^^ ACHETEZ^ } %" négociée récemment au pair plus . intérêts. Nous disposons encore de quelques titres. Gaz de Mulhouse. — Nous avons preneur d'actions ordinaires h 1,695, et d'actions de jouissance à 1,325. L'obligation 4 % Cftpttaiix différés , cote 504. Par uno assurance de cnpilal difGaz Franoo-Belge.— L'action traitée de 448 à 454. L'obligation 5 % de 513 50 à féré, la Compagnie s'engage à payer une somme déterminée à l'assuré, s'il est vivant 515. Gaz de Lunévillc. — Nous avons preneur à une échéance fixée. En cas de décès du dit assuré avant l'échéance, les primes verd'obligations. Gaz de Nancy. — Nous avons preneur sées «estent acquises à la Compagnie — ou bien celle-ci les rembourse aux ayants d'obligations. Gaz du Mord et de l'Est.— L'action cota droit, si la police a été faite avec conlreassurance. 647 et 650. Exemple : âge de l'assuré, 1 an ; échéani Gaz cie Vftlerupt. — Cette société va procéder à l'émission des 200,000 fr. d'obliga- ce fixée, 20 ans ; capital assuré, 10,000 fr. tions prévues pour les statuts.Ce seront des Prime annuelle : sans contre, assurance, titres de 500 fr. rapportant 4 h % nets de 338 fr. ; avec contre-assurance, 559 fr. — On tous impôts, et qui constitueront un pla- prime unique : sans contre-assurance, 4,537 fr. ; avec contre-assurance, 5,189 fr. cement, intéressant. S'adresser à la <?ouij>«t£e.i« «S'AnmitLa Banque Renauld et Cie reçoit dès à s-Miio*»» gé«'éi*V»l€h» KUI* Ii» Vif, à présent les souscriptions. Paris, 87, rue de Richelieu, la plus ancienne TRANSPORTS et la plus jinpor-lant.e des compagnies fr«n: Chemin* de fer de l'Est. —- En reprise de tjaises (fond» de gnmit&lc, »îï.i tutllîoii«, cii(.ièrc>nioitt ré«II«é«i)j — ou 891 et 898. La, jouissance de 401 à 402,50. à l'un iie ses représentants dans les déparCompagnie générale française de tram- tements. ways (réseau de Nancy).— De 548 à 540. Pour tous renseignements, de même que L'obligation 4 % entre 494 et 500. our liailer, s'adresser à MM. les agonis : Wassy à Saint-Oizier. — L'action négoRUN c" SADOUL. 27. rue des Carmes, à ciée à 360. Nous avons preneur à 350. L'o- Nancy; G. d'AMBRRT, à Lunéville; SAMbligation 3 % demandée à 375. SON, à Longwy ; de GOLBERY, à Epi»ol ; M ARGILLAT. à Salnt-Dié ; de LA EAUX ET HOTELS 0ABBE, à Neufcbâleau ; Elvsé MOUGEBrasseries, restaurants et hôtels réunis. NOT, à Mirccourt; DELAUNÔY, à Dar-je— Nous disposons de quelques titres. Duc; JACQUINOÏ, à Cfynmcrcy ; CELes résultats de l'exercice en cours sont BÀÏÎD, à Verdun: PERETMER, a Chauen progression marquée sur ceux du pré- monl : Joseph GA1DE à Sl-Dizicr; ROGll, cédent. àBelforl ; veuve ALEXANDRE, à Luxeuil; Oontrexéville. — Nous avons preneur à GIJlClIARD.à Lurc; SABOURIN,àVcsoul. I ,<^| FIN DE La llflatson du Bon Marelié tic I 'vieitt de désî-Barqit.er, d'usie ffîtçosi coiie»^' r«t*Ie, ses MANTEAUX lie DRAP et de FQU^ljT .g^ Geux qui Toysse^^ i I II /J sont Htè^nipafables Gômsns prix et élégance J i // . EXCEPTIONNEL " »e QQ fr ^JJJj Pelisse»calastrakanvèritaMe la- bouteille : les deux questions sont iiées. Afin d'éviter un bouleversement trop rapide de l'industrie du verre à bouteilles, notamment au point de vue de la maind'œuvre, il a été décidé que l'emploi de la machine Owens serait maintenu dans une proportion déterminée du contingent de production accordé à chaque pays. Du reste, cette machine, qui donne des résultats merveilleux pour les bouteilles à fond olat, ne pourrait être encore utilisée pour les bouteilles à fond piqué.Mais il n'est pas douteux qu'elle soit susceptible, d'ici à peu de temps, de donner ce résultat. C'est le 17 août 1009 qu'expire le syndicat international des glaces ; tous les intéressés paraissent d'accord pour accepter une prorogation de trois ans qui assurerait une nouvelle période de tranquillité. Les moyens de production sont actuellement supérieurs de 15 % environ à la consommation ; on sait que l'on y remédie au moyen d'un chômage de cinq jours par mois. Comme on peut admettre que la consommation augmente de 3 % en moyenne par année, c'est dans cinq ans que l'équilibre sera l'établi. Il n'existe aucun stock et les prix de 'ente sont invariables. GIronccurt. — Assemblée tenue le 2t novembre, Sous la présidente de M. J. Buffet, président du consei?.^'administration. Le rapport, du censei'»» alsait un exposé très complet des causes qui ont influencé défavorablement les résultats de l'exercice et qui consistent principalement dans le retard subi par les nouvelles installations, . four n° 3 et gazogène d'un nouveau système. Définitivement éprouvés aujourd'hui, ces appareils donnent une économie notoire de combustible. Des renseignements détaillés ont en outre été fournis sur le syndicat de la machine Owens auquel la verrerie de Gironcourt a adhéré et dont on peut attendre une influence heureuse pour la société. Les actionnaires ont autorisé, le conseil à émettre, si besoin en était, des obligations jusqu'à concurrence de 900,000 fr., mais étant bien entendn que si des garanties spéciales leur étaient conférées, les obligations anciennes en jouiraient également. Vallcrysthal. — Nous avons preneur à 3,200, dernier prix fait. Val-Saint-Lambert (Cristalleries). — Négociée à 775 en dernier lieu. CERAMIQUES, MATER!AUX DE CONSTRUCTION Briqueteries de Charmes. — L'assemblée tenue le 24 novembre a voté, par 92 oui contre 8G non. la réduction du capital de i50,000 à 90,u00 fr. et la reconstitution du capital à 180,000 fr. par la création de tfo,000 fr. d'actions privilégiées. On nous dit, que cette décision va être attaauéè par certains actionnaires. -Kèvre eî Cie (Carrières et scieries de Bourgogne). — Négociée à 259. -Cîî PîEson et Cie (Xeuilley). — Des demandes à 6,250. L'obligation 4 % demandée au pair plus intérêts. Cirhents lorrains. — Traitée à 1,210 mk. Ciments Bombas. — Dernier cours «0 mk. Dividende proposé 10 %'. TEXTILES La note générale est le calme, ce qui l'explique par l'importance des en^agener.tr, contractés et l'incertitude au sujet lu prix du coton. —; . ImSKt -= M ■■■ -3^ La trame, introuvable il y a quelques jours, commence à réapparaître, mais en petites quantités. En Allemagne, on est faible, surtout pour la laine. Bœringer, Guth et Gie. — Nous disposons de quelques titres à 5,950. Gotonnière de l'Est (Vincey). — Nous disposons de quelques titres à 5,500, mais dividende de l'exercice réservé au vendeur, contre-partie à 5,000, coupon attaché. Gotonnière lorraine (Val-et-ChatilIon. — Nous disposons de quelques obligations 4 % " au pair plus intérêts courus. Gotonnière de Mtrecowrt. — Négocié à 4,900, prix auquel J.OUS avons encore preneur. L'obligation 4 £ %" traitée au pair plus intérêts courus. Nous disposons de quelques titres. Doïftts, Mieg et Gie. — Négocié à 3,075. Eefc Guth ct Cie (Malmerspach). — On offre à 4,000 mk. Filatures de Laval (Moyenne). — L'obligation 4 \ %" au pair plus intérêts courus. Filature de Schlettstatit. — Cette affaire nous l'avons dit, est une émanation du croupe qui a fondé La Vologne. Raison sociale : Fein-Spinncree Schlettstadt. Capital : 2,200,000 mk en 2,200 actions de 1,000 mk. Giron et Gie (La Vologne) — L'obligation 4 %** traitée au pair plus intérêts. La Gocse.— Nous avons preneur à 9,000 ; contre-partie à 9,100. Un tout petit effort ! Les Fil3 el'Eroaîiueî Lang (Bonsecours• Nancy). — Sans changer de raison sociale, cette vieille et honorable maison vient do modifier ses cadres. Les chefs se retirent, pour laisser la place aux jeunes, et les associés sont aujourd'hui MM. Paul Lang, Alfred Lartg, Louis Lang, Edmond Lang et Henri Lang. Ils ne sont pas d'ailleurs des novices dans les affaires Manufacture Hartmann et fils (Munster). — Bénéfices 357,431 mk (430,413 mk). Dividende 5 i % (5 %). A. Marcha! et Cio (Filatures de l'Est), à Lunévillc. — L'obligation 4 i ,%" au pair plus intérêts. Russo-Française. — Négociée de 732 à 745 : la part à 155. L'obligation 5 ,% obtenable à tett. Saint-Julien (Teinturerie). — Nous disposons de quelques obligations. Thaon. — Négociations récemment à 11,000, prix auquel nous avons preneur. Tissage de Rovilte.— L'obligation'4 t % est recherchée. Tissus de3 Vosges (Le Thillot). — Nous disposons de quelques titres. Sehappe'de Bâie. — Continue à s'effriter de 2,980 à 2,775 ; dernier cours 2,860. Soie artificielle (Givct). — L'action cote 255 à 260 ; la part 50 à 56. Soie pttardonnet. — Entre 605 et 625. PAPETERIE ET IMPRIMERIE Etlval-Clalrefontainè (Xussc.Bodét et Gie). — Sans transactions. Jeandheurs. — Nous avons preneur à 175. Weibe! et Ole. — Nous avons preneur à 1,450. ÉLECTRICITÉ ET ÉCLAIRAGE Générale électrique.— Négociée à 1,225 en dernier lieu. Nous disposons encore de quelques titres à ce prix. L'obligation 4 % négociée au pair plus intérêts. Compagnie générale d'électricité (Station de Nancy). — De 690 à 708. Electricité de Strasbourg, — L'action négociée à 2,780. Marcel Vilgrain eî Cie. — L'obligation : —— 1 ESliO Pas- Ucnô «l'AXJOU -VVW Reine avait les yeux pleins de larmes. Elle ne savait que faire, que dire. Cet entant l'impressionnait, elle l'embrassa en:ore, le vit partir et longtemps fixa sur la route la petite silhouette décroissante... Quand elle rentra au salon, Blanche avait raconté son rôve d'avenir à madame àe Serpat, elle achevait sa confidence* — Ah ! concluait-elle sincère, jamais je n'aurais voulu épouser un veuf, moi !... XI Charlotte de Romancey avait appris à Sydney où elle était en tournée avec son Errpressario, la terrible nouvelle qui metlait en deuil sa famille. Terrassée du teoup, elle avait dû pourtant se relever, faire face à ses engagements et- le soir Chanter le rôle annoncé. C'était celui tic Roscn du M Roi d'Ys ».Elle y mit de tels actents qu'une ovation enthousiaste finit ja représentation, qu'elle fut comblée de ■ Vittel (Eaux de). — Des demaudes. Hôtels Continental ct Ghâtiilon réunis. — Nous disposons de quelques titres. Hôtel du Lion d'Or (Reims). — On offre à 650. Pensionnat de 8anitlfontalne. — Assemblée tenue le 28 novembre, sous la présidence de M. Daum, président du tribunal de commerce. Les résultats du quatrième exercice sont des plus satisfaisants, puisou'ils ont laissé un bénéfice net de 8,967 fr. 38. Cette somme a été employée à de3 réserves et amortissements. La rentrée de 1907 a été excellente et cette affaire continue à donner la plus entière satisfaction à ses promoteurs. ALIMENTATION Epiciers-Réunis. — Traité à 187 et à 190. Nous disposons d'une certain nombre de titres à 190. Etablissements Miellé et Cie (Châlons); — L'action négociée récemment à 390. On offre à 400. Sermaize. — Nous disposons do quelques titres à 965. Vilgrain, Simon ei Cie. — L'obligation 4 è %" est recherchée. Anciens Etablissements COEÎIOÎ. — L'obligation 4 4 % traitée au pair plus intérêts courus. Coopérative agricole du Nord-Est. — Nous disposons d'un certain nombre de titres à 130, dernier prix fait. Corroieries Lorraines (Ftain). — Nous disposons de quelques obligations à 490. DochS'Réunis (Capit).. — L'obligation 4 %** obtenable au pair plus intérêts. La Lorraine agricole. — Société coopérative établie par acte reçu de Me André notaire à Lunéville. Fondateurs : P. Genay,président du Syndicat agricole de Lunéville ; Em. Suisse, de Moncel ; de Bouvier, propriétaire au château de Bayon ; L. Husson,propriétaire à Haussonville ; Vigneron,, propriétaire à Lunéville. Siège social à Lunéville. But : Opérations commerciales intéressant l'agriculture et qui sont interdites aux syndicats agricoles. Capital variable en action.-, de 100 fr. Majoreile frères et Cie. — L'obligation 4 i % " au pair plus intérêts courus. Scories lorraines. — Des négociations sont entamées pour constituer un capital d'exploitation. . icfboîsrgesell&chaft (Norhausen). —Cote 1,660 mark. Tonnellerie Adolphe FruhlsishQlz—Traité à 1,200 en dernier lieu. L'obligation 4 i % au pair plus intérêts. Nous avons preneur. De la Banque Uotsnssîtï et CJe Nancy, 21,rue Saint-Dlzier (Passage du Casino). ,„ mwiii-iim 99 JE „, H 1 1 iwiwii WWIIIIIII 11 1 mm 1' ■ ■ 1 n dons, offres, compliments de toutes sortes et qu'un jeune journaliste, reporter d'une feuille parisienne, lui déclara sa flamme et lui offrit son nom. Charlotte, bien entendu, le repoussa avec une douce fermeté. Quoi, en un pareil moment, songer à l'amour 1 mais à l'exemple de sa sœur Blanche, quand elle fut seule la nuit et libre de songer en paix, une pensée effleura son cœur : Pauvre papa qui voulait tant nous marier ! pauvre papa, sans doute, il prie là-haut pour obtenir ce miracle : marier neuf filles sans dot ! La jeune artiste passa le reste de la nuit à écrire une longue lettre de part à toute la peine des siens, elle consacra ensuite une autre fcuifle séparée à l'adresse de Marguerite, lui expliquant : — « Les ressources vont être bien réduites chez nous, je m'en inquiète, il va falloir vous résoudre à compter sur moi, tu sais avec que! bonheur èt quelle facilité je mets dans vos mains ma bourse. Je gagne ce que je veux. Je vais rentrer à Paris avec une fortune. Amène maman à consentir à demeurer à Paris, non avec moi, mais près de moi, mes sœurs la suivront. Le gosier de Chatty Chanson nourrira toute la famille et je t'assure de la manière la plus honorable, car l'argent que je gagne est bien mien et de source artistique uniquement, je te le jure. Un jeune homme, d'une excellente famille française, veut m'épouser, peut-être j?lus tard l'admettral-je. Reine le connaît, wiï&lPÊ K I «paieront radicalement la Toux la plus rebelle et le 1011d il n'y paraîtra plus. «iiai a El CERTIFICATS DE GUÉRISOM . « nràce a remploi <io votre «.nu eio iicoreux <in » 3-Tr sAyf^yitt « S/.-eptf»» rcifl..»,.le suis rartlca- « mcrvellleuso orncaniA /, on<l»lcr i. m l XVYO' lcmem enûrl u-on gros intime - rfos Vosges, ren al use«ï° T0lre a/iî I \ r IV r W« coaiplluae <ie crises <l*astl)inc. «pour <lcs maux de r-S S0avc« SIICM! iSïJ—* o i.a loiixn complètement dis- « n'avait pu cnravpr ÏÏ »e S Sk YP—" « P-iru, rasuime n'existe plus, cl « personnes à nui te V.v.,,0«lca S ^ \/ «il me semMo yuo .te no redome plus rien, « ont été unanimes fi»n'Zri ca°ons«HM stfr. J « tant je me .sens les nronclies fortinecs. « excellents résultai" amor lî PWi^l |1 SX 1 t33*^ J SENSIBLE ^^^^ au Pharmacies. 2 r,: le 1/2 flae., 3 fr. ico* pac. — - r-i4kîia|P G i 1 LOTERIES HATïOWAiLE® Ciicnlalion autoiis^c dons looto la France. 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Envol à domici!» af<% m on fyiffi m aolrant ftoai.QBmandata g &%3) do éa l'édition adr. h l'Administration Centrale de Publicité ci de Loteries, il rua J.-B. Dumas,Paris. Diplôme- d'honneur, deux médailles d'« NANCY — 47, rue Gambetta — NANCY Consultalionsde 9 à 5 heures. ||| s §aj $3 i£g PS NÈ I mm Taïlïeur-Couiarîsr I 1 CONSULTANT Rllfnniy aULUUn exèHoe ao l'Ecole dCntaire de Paris, chirargien-â-f^ts ds la Faculté de médecine. \ ÏBfcLADIES v. . LA BOUCHE ET DES DENTS wntultatieM de S h. du malin à G h. du loir (Dimanche excepté) ■O, riio mbitteti<|iii«iu, WttMey. i ,„,i„ MANGEONS v.:. . - \ m p J mk \Êm#A - Consullalions. Conslilulion de dossiers (divorce, clc). Liquidations amiables, liansactions. Rcii£cignements juridiques de toale nature par correspondance. Rédaction d'acles sous seing privé. Contentieux. De 9à 11 heures ei de 2 à 5 heures. Min"i U^Thl M DAftTRES, BQUTQSS | W8E, OE8Sâ«6t*ISCRS CL0if5,!FiifiO!artïs 1 1 Eiposs „ „.. iaoi» 1 1 m Modèles j Le flaton 5 fr., franco 5 fr. 60- - Les 2 flacons 10 fr. fencolf TTPA POMMADE AN THODERKÎQUE B Le pot 2 fr.. franco 2 fr. 25 i M Ce tralféfneni qui agii à la fois snr le Eang eî sur H pesn-js B donne toujours dis résultats parfaits; aucun ea» n'y résiste. § g tûitlkri dt fur'rÙMi clleitwu Brccburt cxplicalivt çrath. M g Four faire connaître la supériorité <ïe ce traîtement^un H fi petit pot d'essai est envoyé f" contre 0,50 en timbres-poste. H 1 S'adrcs. p' tons ressciotentents et cooaicndcs 2U Dipît oênera! : a E h. TL03.SK0E, w*aeJ"ci,lomyiits (H».Hanîï,B TRÉSOR CHEVEUX ESS PETROLE O^rll^ 1 AUX CULTIVÂTEURE ET CONSOMMATEURS EH 8ÉNÉM Quantité de bateaux chargés de vins icfr, M '< 12 degrés sont en déchargement au port Saint-G» ges, et vendus moyennant une faible commis» Dégustation au marché aux vins de 2 heures lp 4 heures. Vente comptant. Les commandes ni également reçues chez 8!. t'Ia: mbay, ruefc Jardiniers, 03, agents de vente demandés çoir* partemenls. Bureaux : Société d'alimentation.,E Lamotte. téléohono 78'». EnVento partout, Grot:, f. VtBEST, falitLIOÎ) U i ■ trnr.r:eiE« musculnirBS et arti?»* lairos, troutte, névralGios-, »f2 grands sensibilité ea froid ou an «ai* ™ eîeur-s ia matin, vcrtiçes, ttane, a'S»» tiens pénibi-ss, tnmrdiml «w **.S"2 tioKS de la ttmtA-alnre ct de «»»<{'«.* intérêt à «'adresser à l'Institut anslrhu»» tiotnal, me. Jacquemont, 11, Paris, (a*™ gratis le moyen de guérir itpiXB^^ Portraits de famille Jusqu'au 31 décembre, nous offrons nos agrandissements artistiques 30x40 au prix exceptionnel de 5fr. Adrets, photographie à agrandir ct mandai àNadal, 110 et 11?, faùb. du Temple,Paris.Ajouter.O COpnur frais d'envoi.On" île.foumil. le cadre que surdemande. AlfreaGAll'l, gérant. , »r#j q$bsk f-— IttPî. di l'Ed,SÎ, rue Siiït-Di2itrS..c;. liJMiSlilliJa^ pari ^&^A ! PrlX âî2B{|paï.-Pharmaclo.Dro0tter;e MAI R.ÊHE8.6, Hue &3 Dominicains,» UaB^MnHBMnaai RFCCMMAN èE ^ ^^^^^^iJ " Ouverte l» Dimanche toute la .^fsrncr Vj- ti&Wmîh.^ --iizs--—-— TELEPHONE 49* n il m'a parlé d'elle avec enthousiasme, il y eut même entre eux des projets de mariage brisés par sa faute à lui, qui commit un péché de jeunesse, réparé aujourd'hui d'ailleurs, car c'est' un débrouillard et un travailleur. Aussitôt que possible, je m'embarquerai. Tu penses si j'ai le cœur à jouer !... cependant, je vais te dire une chose inexplicable. Quand j'entre cn scène, j'oublie tout, je ne suis plus moi, une autre âme (celle de l'héroïne que je joue) prend mon cœur et le conduit jusqu'à mon retour dans la coulisse. J'expliquais cela à mon presque fiancé et il m'a dit : « C'est le don génial de la vraie artiste ». Ah 1 oui, je l'ai, ce don, et j'adore mon art, jamais, Marguerite, tu ne pourras comprendre le bonheur que donne l'art, c'est quelque chose d'inouï, d'extra-terrestre, c'est la communion dans l'au-delà. Marguerite lisait cette page avec émotion. Oui, Charlotte avait raison, elles devaient aller toutes vivre à Paris, se réunir, s'aider, elles s'aimaient tant ! Comme c'était donc caractéristique, ces deux mariages offerts presque le jour de la mort du pauvre père, vraiment il y était pour quoique chose, il avait dû projeter son désir avec tant de force sur terre que le fluide en avait gagné des cerveaux... la Providence, agissait clairement et il fallait à présent la comprendre. Alors Marguerite se mit à parler dons ce sens à sa na^re, elle s'attacha à détacher la censée £e la colonelle du désastre, elle voulut lui montrer un peu de bleu, l'occuper du départ. La pauvre Mme de Romancey tassée, flasque, ne justifiait plus du tout son surnom, elle abaissait maintenant en arc les coins de ses lèvres molles, et se laissait guider par ses filles, changeant de rôle à présent, soutenue et protégée, guidée par ces âmes plus vaillantes et plus jeunes. Octobre était à sa fin, la plage devenait moins peuplée, le vent balayait le sable en nuages roulants que les rares promeneurs recevaient dans les yeux. Il fallait partir. Déjà lord Arthur et Simone avaient pris les élevants pour chercher un appartement. Ils écrivaient, tous les jours logés à l'hôtel Ritz, ils visitaient en masse des appartements, en avaient de notés un certain nombre, de sorte que la colonelle n'aurait à l'arrivée qu'à choisir sans fatigue. Simone déplorait, l'absence de sa sœur Charlotte, allait quand même chez celle-ci causer avec les serviteurs, examiner les choses familières, leur demander la révélation des secrets intimes de l'artiste. Et ces choses parlaient, la petite chambre claire, modestement meublée comme celle d'une pensionnaire, disait les calmes nuits de repos. En revanche, les splendides suions racontaient les triomphantes soirées, les réceptions mondaines. Lord Arthur et sa femme en conséquence, admirent tout de suite l'idée de loger le reste de la famille le moins loin possible de l'avenue du bois, où était situé l'appartement de Chatty. Les emballages se poursuivaient à la villa des Roussalka, toutes les habitantes en souhaitaient fuir. Reine venait chaque jour avec Flora donner un conseil, emballer un bibelot, empêcher surtout par sa présence amie, le trop dur rappel des souvenirs mis en mouvement, par la nécessité de toucher aux vieilles cho~es. Une fois, au milieu du désordre, Flora fut tentée par l'idée de descendre seule sur la grève devant la villa. Elle voyait monter la mer à petits coups et elle s'élança par l'escalier donnant de la terrasse sur les rochers Parvenue au ras de l'eau, elle se mit à construire avec sa pelle de bois une haute tour pour avoir la joie de se voir entourée peu à peu par le flot, d'être Robinsonne dans l'île. La fillette avait retiré ses bas ct ses bottines et tout à coup elle les aperçut à quelques mètres enlevés par les vagues. L'effort pour les reprendre était absolument vain. Alors l'enfant regarda autour d'elle, cherchant une aide mais n'aperçut rien d'utile. Un unitrae promeneur la contemplait II devait être là depuis longtemps, car ses pieds avaient marqué de profondes empreintes dans le sable humide. Elle le fixa, elle aussi. C'était un homme assez grand, de moyenne corpulence, des OR .yeux châtains passaient sous sa cas- 5vf -A neti'e e in3"011? uaq \ 1 *.vK- ^■^■.^■.^r*.-. ■_ ■.-«<■■.. P^t-r "«IA astuoliamsnt 6, rue ti'Amenmi, 6 IjBwBËEjaL Siisiguéris raîicalsmsnt |H B ras wt> outïiiin | f t Cf trfs pea (t iîap: par !« SS, rue Scliier, If ANC Y i., El I ■ ?rc(!ell tniqts» en b«Cc5 K d'us kilo ton Ksijci:a p Sous ce titre, et après avoir onuméré les divers produits utilisables avec avantage pour ia santé pendant le régime végétarien d'une semaine qu'elle recommande à suivre quatre fois par an (à chaque changement de saison), afin de donner aux organes surmenés un repos nécessaire, la Médical Gazette est amenée à citer l'extrait suivant du rapport de j'cminènt expert et analyste le D'Griffiihs, de l'Université d'Edimbourg (Ecosse) : « J'ai examiné la Revalcacière du'Barry ; clic e'stjircs riche en phosphates, nitrogene et sels «dépotasse, — les éléments indispensables au cerveau, nerfs,. sang et muscles; — il s'ensuit « qu'elle contient tous les ingrédients nécessaires pour restaurer les nerfs, les muscles ct le sys« terne digestif; de plus, la composition de cet aliment lui permet d'être facilement absorbé, « mêmepar les personnes les plus délicates. Pour les trodbles de- l'estomac et du sang, cile'n'a « pas d'égale ; je puis donc la recommander en toute confiance ao cjrps médical, comme étant « un aliment parfait pour les malades aussi bien que pour les enfants les plus délicats. » ■ Elle est le meilleur aliment pour élever les enfanis, qui la prennent avec plaisir quand toute autre nourriture leur répugne. En boîtes : 1\{ kil., fr. 2.50 ; lp3 kil.. Ir 4.50 ; 1 kit., fr. 7.70. La UEVALESCIKRE CHOCOLATÉE aux mêmes prix. Envoi franco contre mandat-poste. Do BAHUT ET G\ 22'I, rue St-Deois, Taris ; chez tous bo»s pharmaciens et épiciers, partout ; à Nancy, chez Hosfeldcr, rue de la Visitation. On obtient une CRÈME exquise si, la casserole retirée du feu, ou ajoute un jaune d'eeuf frais. __ B 1^ |; * LE Confleeuro ù Nancy 1 ■ siiiioF^PTiir 1 PRENEZ è la pâte de réglisse préparé par DUPLUS & WATI'R I I . 31, Soulcmrd de Strasbourg 6 /, passage Bradv ë? 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" Le froid sévit ct on ne compte plus les enrhumés ' • qui toussent à fendre l'âme. — Que cette toux provi C rhume, d'une grippe, d'une bronchite, quelques culn WÊ VALEURS DIVERSES SMlllI nUDtn I 1 Pôiiiïlotou de VEST REPUBLICAIN 90e. fi| Jim, Ê NOS PARDESSUS SAiSQN^I de tom is tmoarras^- ' .-- 11 sourit à la • — Je n'ai qu'une canne, dit-il, F en l'adjoignant à votre pelle f$ dec l —Non, répondit Flora "^ s 1 )(! e trop loin maintenant, le plus ((| qu'il va falloir escalader pieds durs rochers. , 0 Ce disant, elle avançait avec d» ^ piteuses ses roses petits pieds, tou i S(J l'un d'eux saigna, Flora s'assit, f t mouchoir, s'enveloppa comme e L'étranger vint alors. .ep«is — Mademoiselle, dit-il aimable, i^ vous offrir mon mouchoir po" pied... , «rd' Elle le regarda sans répondje, mère et marraine lui ayant IO«J ^ fendu de parler aux inconnus, paternel : , „.us dc^ — Voulez-vous me dire ou \" rez, j'irai chercher ce qui vou -Merci. , ,, dc'^;. Elle se releva, seulement * _ éta,et vraiment était terrible, les rugueux, couverts de petites a.^ pantes. Flora avait les lan»dans sa détresse elle dit : main— nonnez-moi seulement ia rafles r.'TTCîT" -„-»T ■ <fl 111111 S**.—-"' ''■"■IP^BSEM—__________M^^ 1 r ; "ijy ^G-'' Ktea _.Ta.__" — "V'j^ec référ. a M.UuarlesDes- deuce, t«h es. rii.-iises éhist qui-s. I -«MC-ÉPICERIE " -SSattr-Sfa •^_, _£?■__>, AJENDRE^ajïaS S»«SS:«S&S: f SS&fcAS!». Bel fippartemeiii meublé „ i rT"RT ,Tt"! A TTJ •""^^^-■^î-'iii.iirtsHiii.iiiM^ i,, MO»™ ■ ^S ""^ " L rZTTZ I~ «ttï / g/ S/ TT-T. ■->i.aujomn.,m HTi F! B a S "5/ *~ SB . M ■» __«MMI_ mariur»c- dans v ecap __-:%__'.:« ^ précédé de grande coin dallée, cÈiirn • IlliPAQIN • , '1 ?. ?-SlSïï=S i^MBB à PHClHliO e CÉDER KSÎS A eoi-dre Sineer S »îË3S alimentaires et comestibles. Prix . , . , &m 98Siï£Eafœ Cy allemande demande -ne bonne sé- ^À „^rUV «?«?l?ï rieuso pour M. liomstnH, '-'R rue Ce Strasfaire le ménage, libre toute la bourg. 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Hyacinthe ''^^^lo ^lorédu^ et 'ssi a un» rcL» ap vice militaire demande emploi de ^r t fft ^ « t ï-^ """^ "ro* «on r f* *» * Deuxième «*-°° I lot 1 IL - fr_&. ffi „nuer deV W ,1 ; aux oneherts a t^^^^eZ t ^œilf^r ^Jt^uEv» composée d'un rez-de-chaussée et ^S publiques 'ja^nÉ _ ' devant à la rue, d'un côlo à Mme J-"--^ ^CST* B I OBlglpi «-^îu I(Csamedi7décembre 1007, veuve Hunier, de l'autre à M. \5iïFYt&P \& IAIBLI IjP 1 *M!rh*&£ï)' àviUe 2 heures du soir, en l'hôtel do Bertcnache et derrière k Mme 1 de ytfeî)X5?-J «Ss» ® fiO& B WB tsff Xi& "Ssm? Gérardmor (Vosges), il Mairct, le tout d une contenance &jr 13,T?«^ de.„tt'^sboura,/>^/./W.-J'A','.-isaji Le JEUDI 5 décembre 1207 à sera procédé à l'adjudication des 1 de sept arcs soixante-dix conlia*V^___ V_ A_à * # _*-__>__ 2 heures de l'après-midi, à Lay- immeubles suivants : res. cadastré, section D, n-255 p. fî#? f^%r/»T 5* il Saint-Christophe, en la salle l« LOT Mise à prix: 3.000 francs, \^J) #_-t-_0 Xj Çio la mairie, il sera procédé a T'TJA*p1 ^«^«-^ç Troisième lot «7 ftî 7f^t?e« Etude de M« AERTS, notaire à Nancy, rue des Carmes (succasseur de M« VERONE). ï„ fî l^rjC »¥_ ^SJlCJU^Ô» IVV N W À f Mmmn ï $î?â4»l »S« 1« fS.„i» i l o a narL ~(i t. p ronr, sans ilXL R B_@I© MAISON situé au tauc a \ eidun. - v -•• ■ jra -~-^'--^%ru;"~^ s " ^r au rtntio au vulago,a\oc Bli.AU PERSONNE n , S Sch^ 5 m„ pn e H m _» Cf. __ffOSSt _i ~« On ph„ Mart,-la-Tour (M.-et-M.) 39 .7 o,im.ucmtuii,^uiii™ii, uu -——--—==—= • Burcaa, Atelier, Magasin : O, rue Cloiiion (près 1» ra» Saiat Jean) fflaîiaglll à ïtlsIBl* ProPre a PH_W_J! 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U appert : ...nTîTEI»* Que le divorce a été prononcé entre les époux fc*" ,„,OBRINGER, à la requête de la femme et aux torts exclusifs du-n» ?> La présente insertion est faite conformément à l'articlefa , és J du Code civil, en vertu d'une ordonnance de M. le PeI' wï " „'-" ,,p, tribunal civil de Nancy, en date du 28 novembre 1907, î ' lr. pour faire courir les délais d'opposition à l'égard du ^u'/le |.in| r n Nicolas GABHIEL, le dit jugement n'ayant pu être signiuc p-'a sa personne. Nancy, le 29 novembre 1907. ,,„.„ L. LAMBERT. chMitos CAFÉ-BRASSERIE mmw. mm LlHJERMtQlAIRE LE PLUS NATU^L LE PLUS MODES!t ET LE PLUS ÉCONOMIQUE ENTES LA PP.lOmiON ET LA CONSOMMA TtOH C'EST LA PUBLIC!^
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