Le Messager de La Rozavère Inauguration officielle La Rozavère est la plus ancienne institution du genre dans le canton de Vaud. Elle s’est constamment adaptée afin de répondre aux besoins de ses pensionnaires. Pierre-Yves Maillard est venu à l’inauguration officielle du SPAH en mars dernier, 2 ans après avoir déjà honoré de sa présence lors du 125e anniversaire de La Rozavère. Des discours soulignant la satisfaction générale à la suite de la rapide édification du SPAH: telle a été la tonalité de l’inauguration officielle du nouveau bâtiment de la Fondation le 28 mars dernier. La cérémonie a permis aux différents orateurs de rappeler l’importance d’une chaîne de soins bien coordonnée dans la région lausannoise, dont La Rozavère est un maillon essentiel avec ses 162 lits. Parmi les orateurs, le conseiller d’État PierreYves Maillard, chef du DSAS et président du gouvernement, a souligné l’étroite collaboration entre son département et La Rozavère qui a permis de mener à bien ce projet très rapidement. Les travaux Un EMS en profonde mutation commencés au printemps 2013 ont été terminés au début de cette année et la mise en service a pu se faire à mi-janvier, grâce aux délais tenus avec fermeté par l’architecte Patrick Boschetti et son équipe. Le SPAH est un bel outil de travail au service d’une population qui a besoin d’aide. Il répond à un réel besoin. Il permet aux patients hospitalisés dans des lits de soins aigus de trouver un espace plus adapté à leurs besoins, en attendant un placement définitif dans un EMS. Les intervenants n’ont pas manqué de souligner que le SPAH, quelques semaines après sa mise en service, affichait déjà complet. Le prochain numéro du Messager de La Rozavère, après l’été, ne sera plus distribué en tous-ménages. Le journal sera disponsible sur notre site Internet www.rozavere.ch. Néanmoins, si vous désirez toujours recevoir notre journal dans sa version papier, vous pouvez vous abonner pour CHF 20.-/année. (CCP 10-1753-4) Fondation La Rozavère Chemin de Rovéréaz 23 - Case postale 102 1000 Lausanne 21 - [email protected] Fondation La Rozavère Impressum Chemin de Rovéréaz 23 - Case postale 102 Responsable d’édition: Pierre Ethenoz 1000 Lausanne 21 - [email protected] Crédits Photos: Jean-Bernard Sieber www.rozavere.ch Impressum Responsable d’édition : Pierre Ethenoz Le SPAH, (Structure de préparation et d’attente à l’hébergement) a ouvert ses portes le 20 janvier dernier. Très rapidement il a atteint son but et affiche complet. La mission confiée par les autorités sanitaires cantonales est donc parfaitement relevée par notre Fondation. Je me réjouis de cette collaboration fructueuse avec le département dirigé par le Conseiller d’État Pierre-Yves Maillard. Ce dernier nous a fait l’honneur, malgré son emploi du temps chargé, de se joindre à nous pour l’inauguration officielle. La Rozavère est la plus ancienne institution du genre dans le canton de Vaud. Elle s’est constamment adaptée afin de répondre aux besoins de ses pensionnaires. Actuellement, un grand projet de rénovation doit lui permettre de faire face aux défis futurs. Ainsi, le besoin en chambres individuelles se fait de plus en plus sentir, raison pour laquelle nous menons un gros projet de modernisation qui s’étalera sur environ 8 ans. Il consistera essentiellement à la mise en chambres individuelles de tout l’EMS. En marge d’infrastructures modernes et confortables, La Rozavère entend aussi offrir à ses résidents des conditions à la hauteur de leurs besoins, actuels ou à venir. Ainsi, un cybercafé installé dans les locaux connaît un succès croissant, tout comme les ateliers «Wii» qui font appel aux technologies des jeux vidéo et qui offrent aux résidents des activités ludiques et variées. Pierre Ethenoz Directeur Les générations à venir, elles, n’auront pas eu le même vécu. Elles auront sans doute un niveau d’exigences plus élevé. Les structures devront donc impérativement s’adapter en conséquence. Édition N° 2 / 2014 Le Messager de La Rozavère En direct avec... Le SPAH affiche déjà complet le Dr Stéphane Rochat, médecin du SPAH Notre journal donne la parole, dans chacune de ses éditions, à un collaborateur de l’institution. Depuis l’ouverture du SPAH en janvier dernier, le Dr Stéphane Rochat assure le suivi médical des résidents de cette nouvelle unité. Il collabore avec le Dr Philippe Vuillemin médecin responsable de la fondation. Quel est votre parcours? Jusqu’à l’ouverture du SPAH, je travaillais au service de gériatrie du CHUV, comme médecin associé. Je me suis installé au nouveau Centre Médical d’Épalinges depuis le début de cette année et j’ai une activité au SPAH deux demijournées par semaine. Vu ma spécialisation en gériatrie, il y a un grand intérêt pour moi de travailler au SPAH. Auparavant, j’avais notamment occupé un poste au CUTR de Sylvana, avec une mission de réadaptation de patients âgés. La gériatrie est un domaine riche grâce aux contacts avec les résidents tout en tenant compte de leur parcours de vie. Il y a le patient, mais aussi sa famille, le contexte social. L’approche de la personne est globale et elle est essentiellement centrée sur la qualité de vie et le maintien des capacités fonctionnelles. Quel premier bilan médical tirez-vous du SPAH? Le bilan est très positif, en particulier en ce qui concerne l’investissement des équipes. Elles sont motivées et dynamiques. Le SPAH remplit son rôle, puisqu’il y a déjà eu de nombreux départs pour d’autres EMS et de nouvelles entrées. Son rôle de lieu de transition entre l’hôpital et le placement en EMS fonctionne bien. On se rend compte qu’on a des résidents qui sont peut-être un peu plus instables que dans un EMS habituel, et surtout beaucoup de nouveaux qui arrivent. Au SPAH, on a souvent plusieurs entrées par semaine, des personnes qui arrivent avec des problèmes médicaux plus ou moins résolus. Ce n’est pas forcément étonnant, car ce sont des résidents avec des problématiques complexes, qui justement ne trouvent pas de place rapidement en EMS. Les problèmes qui font qu’ils ne trouvent pas de place sont parfois reportés ici au SPAH. Je pense à des troubles du comportement liés à certaines maladies de type démence ou à une forme d’instabilité médicale. De plus, ils arrivent dans un contexte de crise et de changement de cadre de vie majeur. Est-ce que la division de psychogériatrie est plus difficile à gérer? Je n’ai pas ce sentiment, en tout cas sur le plan médical. Certes en psychogériatrie, il y a plus de résidents avec des troubles du comportement, mais les équipes soignantes sont efficaces pour prendre en charge ces situations. Sinon, il n’y a pas de grosses différences. Est-ce que le concept du SPAH est compris par les familles? Oui la plupart du temps, même si cela reste une solution intermédiaire qui ne devrait probablement pas exister. Chacun devrait pouvoir trouver un EMS quand il doit être placé. Les résidents ne comprennent pas toujours qu’ils devront changer de lieu après quelques semaines. Beaucoup s’attachent au lieu et aux équipes. C’est la preuve de la qualité des équipes et des locaux. C’était attendu par le Département de l’action sociale et la santé et par la Fondation; ce n’est donc pas une surprise. Le SPAH de La Rozavère est occupé à 100 %, preuve de son besoin évident dans le réseau de soins de la région lausannoise. A fin avril, quelque 3 mois après l’ouverture, 50 entrées avaient été enregistrées, contre 21 sorties. Comme prévu, c’est le CHUV qui adresse au SPAH le plus grand nombre de résidents, suivi par l’unité de psychiatrie de l’âge avancé à Prilly. Quant aux départs, ils sont dus essentiellement au fait que des places se libèrent dans les EMS de la région, mais on note tout de même quelques cas de réadmission au CHUV. Les premiers chiffres de fréquentation du SPAH font apparaître que la durée moyenne de séjour est de 32 jours, ce qui confirme la nouvelle structure dans sa mission d’attente pour un hébergement définitif. Si, comme le précise le Dr Stéphane Rochat (ci-contre), les familles comprennent le sens de ce placement provisoire, il est évident que certains résidents s’attachent rapidement à ce nouveau lieu de vie et n’ont guère envie de repartir après quelques semaines. C’est pourtant la règle de fonctionnement du SPAH. Rappelons qu’un résident du SPAH ne peut pas apporter de meubles personnels dans sa chambre, pour éviter de créer un attachement trop important. Reste que la disponibilité et le professionnalisme des équipes, ainsi que le cadre de vie dans lequel s’inscrit le SPAH, créent des conditions très favorables. Elles ne passent pas inaperçues et contribuent à l’excellente réputation de La Rozavère. Fin avril, la Fédération des paroisses catholiques du canton soulignait, en s’en félicitant, le soin apporté à l’accompagnement des résidents, en particulier au niveau spirituel, et écrivait: «Vivre dans un bâtiment moderne, au calme, sur un site doté d’espaces naturels en nombre, apaise les patients, les rassure même. Certes, ils ne peuvent entrer et sortir des lieux sans l’accord de leur soignant, inviter à leur table des visiteurs sans avoir prévenu le personnel de service, mais la demeure, l’espace extérieur, l’emplacement dans les hauts de Lausanne sont conçus pour offrir à celles et ceux qui recevront là des soins (psychiatrie, gériatrie) un climat humain apaisant.» L’accent mis à La Rozavère sur l’accompagnement spirituel, en particulier les cérémonies à la chapelle, est également salué. Édition N° 2 / 2014 Le Messager de La Rozavère En direct avec... Le SPAH affiche déjà complet le Dr Stéphane Rochat, médecin du SPAH Notre journal donne la parole, dans chacune de ses éditions, à un collaborateur de l’institution. Depuis l’ouverture du SPAH en janvier dernier, le Dr Stéphane Rochat assure le suivi médical des résidents de cette nouvelle unité. Il collabore avec le Dr Philippe Vuillemin médecin responsable de la fondation. Quel est votre parcours? Jusqu’à l’ouverture du SPAH, je travaillais au service de gériatrie du CHUV, comme médecin associé. Je me suis installé au nouveau Centre Médical d’Épalinges depuis le début de cette année et j’ai une activité au SPAH deux demijournées par semaine. Vu ma spécialisation en gériatrie, il y a un grand intérêt pour moi de travailler au SPAH. Auparavant, j’avais notamment occupé un poste au CUTR de Sylvana, avec une mission de réadaptation de patients âgés. La gériatrie est un domaine riche grâce aux contacts avec les résidents tout en tenant compte de leur parcours de vie. Il y a le patient, mais aussi sa famille, le contexte social. L’approche de la personne est globale et elle est essentiellement centrée sur la qualité de vie et le maintien des capacités fonctionnelles. Quel premier bilan médical tirez-vous du SPAH? Le bilan est très positif, en particulier en ce qui concerne l’investissement des équipes. Elles sont motivées et dynamiques. Le SPAH remplit son rôle, puisqu’il y a déjà eu de nombreux départs pour d’autres EMS et de nouvelles entrées. Son rôle de lieu de transition entre l’hôpital et le placement en EMS fonctionne bien. On se rend compte qu’on a des résidents qui sont peut-être un peu plus instables que dans un EMS habituel, et surtout beaucoup de nouveaux qui arrivent. Au SPAH, on a souvent plusieurs entrées par semaine, des personnes qui arrivent avec des problèmes médicaux plus ou moins résolus. Ce n’est pas forcément étonnant, car ce sont des résidents avec des problématiques complexes, qui justement ne trouvent pas de place rapidement en EMS. Les problèmes qui font qu’ils ne trouvent pas de place sont parfois reportés ici au SPAH. Je pense à des troubles du comportement liés à certaines maladies de type démence ou à une forme d’instabilité médicale. De plus, ils arrivent dans un contexte de crise et de changement de cadre de vie majeur. Est-ce que la division de psychogériatrie est plus difficile à gérer? Je n’ai pas ce sentiment, en tout cas sur le plan médical. Certes en psychogériatrie, il y a plus de résidents avec des troubles du comportement, mais les équipes soignantes sont efficaces pour prendre en charge ces situations. Sinon, il n’y a pas de grosses différences. Est-ce que le concept du SPAH est compris par les familles? Oui la plupart du temps, même si cela reste une solution intermédiaire qui ne devrait probablement pas exister. Chacun devrait pouvoir trouver un EMS quand il doit être placé. Les résidents ne comprennent pas toujours qu’ils devront changer de lieu après quelques semaines. Beaucoup s’attachent au lieu et aux équipes. C’est la preuve de la qualité des équipes et des locaux. C’était attendu par le Département de l’action sociale et la santé et par la Fondation; ce n’est donc pas une surprise. Le SPAH de La Rozavère est occupé à 100 %, preuve de son besoin évident dans le réseau de soins de la région lausannoise. A fin avril, quelque 3 mois après l’ouverture, 50 entrées avaient été enregistrées, contre 21 sorties. Comme prévu, c’est le CHUV qui adresse au SPAH le plus grand nombre de résidents, suivi par l’unité de psychiatrie de l’âge avancé à Prilly. Quant aux départs, ils sont dus essentiellement au fait que des places se libèrent dans les EMS de la région, mais on note tout de même quelques cas de réadmission au CHUV. Les premiers chiffres de fréquentation du SPAH font apparaître que la durée moyenne de séjour est de 32 jours, ce qui confirme la nouvelle structure dans sa mission d’attente pour un hébergement définitif. Si, comme le précise le Dr Stéphane Rochat (ci-contre), les familles comprennent le sens de ce placement provisoire, il est évident que certains résidents s’attachent rapidement à ce nouveau lieu de vie et n’ont guère envie de repartir après quelques semaines. C’est pourtant la règle de fonctionnement du SPAH. Rappelons qu’un résident du SPAH ne peut pas apporter de meubles personnels dans sa chambre, pour éviter de créer un attachement trop important. Reste que la disponibilité et le professionnalisme des équipes, ainsi que le cadre de vie dans lequel s’inscrit le SPAH, créent des conditions très favorables. Elles ne passent pas inaperçues et contribuent à l’excellente réputation de La Rozavère. Fin avril, la Fédération des paroisses catholiques du canton soulignait, en s’en félicitant, le soin apporté à l’accompagnement des résidents, en particulier au niveau spirituel, et écrivait: «Vivre dans un bâtiment moderne, au calme, sur un site doté d’espaces naturels en nombre, apaise les patients, les rassure même. Certes, ils ne peuvent entrer et sortir des lieux sans l’accord de leur soignant, inviter à leur table des visiteurs sans avoir prévenu le personnel de service, mais la demeure, l’espace extérieur, l’emplacement dans les hauts de Lausanne sont conçus pour offrir à celles et ceux qui recevront là des soins (psychiatrie, gériatrie) un climat humain apaisant.» L’accent mis à La Rozavère sur l’accompagnement spirituel, en particulier les cérémonies à la chapelle, est également salué. Édition N° 2 / 2014 Le Messager de La Rozavère Inauguration officielle La Rozavère est la plus ancienne institution du genre dans le canton de Vaud. Elle s’est constamment adaptée afin de répondre aux besoins de ses pensionnaires. Pierre-Yves Maillard est venu à l’inauguration officielle du SPAH en mars dernier, 2 ans après avoir déjà honoré de sa présence lors du 125e anniversaire de La Rozavère. Des discours soulignant la satisfaction générale à la suite de la rapide édification du SPAH: telle a été la tonalité de l’inauguration officielle du nouveau bâtiment de la Fondation le 28 mars dernier. La cérémonie a permis aux différents orateurs de rappeler l’importance d’une chaîne de soins bien coordonnée dans la région lausannoise, dont La Rozavère est un maillon essentiel avec ses 162 lits. Parmi les orateurs, le conseiller d’État PierreYves Maillard, chef du DSAS et président du gouvernement, a souligné l’étroite collaboration entre son département et La Rozavère qui a permis de mener à bien ce projet très rapidement. Les travaux Un EMS en profonde mutation commencés au printemps 2013 ont été terminés au début de cette année et la mise en service a pu se faire à mi-janvier, grâce aux délais tenus avec fermeté par l’architecte Patrick Boschetti et son équipe. Le SPAH est un bel outil de travail au service d’une population qui a besoin d’aide. Il répond à un réel besoin. Il permet aux patients hospitalisés dans des lits de soins aigus de trouver un espace plus adapté à leurs besoins, en attendant un placement définitif dans un EMS. Les intervenants n’ont pas manqué de souligner que le SPAH, quelques semaines après sa mise en service, affichait déjà complet. Le prochain numéro du Messager de La Rozavère, après l’été, ne sera plus distribué en tous-ménages. Le journal sera disponsible sur notre site Internet www.rozavere.ch. Néanmoins, si vous désirez toujours recevoir notre journal dans sa version papier, vous pouvez vous abonner pour CHF 20.-/année. (CCP 10-1753-4) Fondation La Rozavère Chemin de Rovéréaz 23 - Case postale 102 1000 Lausanne 21 - [email protected] Fondation La Rozavère Impressum Chemin de Rovéréaz 23 - Case postale 102 Responsable d’édition: Pierre Ethenoz 1000 Lausanne 21 - [email protected] Crédits Photos: Jean-Bernard Sieber www.rozavere.ch Impressum Responsable d’édition : Pierre Ethenoz Le SPAH, (Structure de préparation et d’attente à l’hébergement) a ouvert ses portes le 20 janvier dernier. Très rapidement il a atteint son but et affiche complet. La mission confiée par les autorités sanitaires cantonales est donc parfaitement relevée par notre Fondation. Je me réjouis de cette collaboration fructueuse avec le département dirigé par le Conseiller d’État Pierre-Yves Maillard. Ce dernier nous a fait l’honneur, malgré son emploi du temps chargé, de se joindre à nous pour l’inauguration officielle. La Rozavère est la plus ancienne institution du genre dans le canton de Vaud. Elle s’est constamment adaptée afin de répondre aux besoins de ses pensionnaires. Actuellement, un grand projet de rénovation doit lui permettre de faire face aux défis futurs. Ainsi, le besoin en chambres individuelles se fait de plus en plus sentir, raison pour laquelle nous menons un gros projet de modernisation qui s’étalera sur environ 8 ans. Il consistera essentiellement à la mise en chambres individuelles de tout l’EMS. En marge d’infrastructures modernes et confortables, La Rozavère entend aussi offrir à ses résidents des conditions à la hauteur de leurs besoins, actuels ou à venir. Ainsi, un cybercafé installé dans les locaux connaît un succès croissant, tout comme les ateliers «Wii» qui font appel aux technologies des jeux vidéo et qui offrent aux résidents des activités ludiques et variées. Pierre Ethenoz Directeur Les générations à venir, elles, n’auront pas eu le même vécu. Elles auront sans doute un niveau d’exigences plus élevé. Les structures devront donc impérativement s’adapter en conséquence. Édition N° 2 / 2014
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