MOHABBAT - Comédie de Clermont

MOHABBAT
TITI ROBIN
mardi 24 mars à 20:30
maison de la culture salle Jean-Cocteau
durée 1 heure 30 environ
CONTACT PRESSE : Émilie Fernandez – Tél. 0473.170.183 – [email protected]
1
de Titi Robin
Avec
Sinan Celik
kaval – flûte populaire
Murad Ali Khan
sanrangi – vielle jouée avec
archet
El Medhi Nassouli
voix, guembri
Shuheb Hasan
voix
Francis Varis
accordéon
Ze Luis Nascimento
percussions
Titi Robin
oud, guitare, bouzouq
Technique
Guillaume Dubois, Nicolas
Bidet, Séverine Gallou
Production Molpé Music.
Crédits
Illustration de couverture
Antoine+Manuel
Portraits
© Louis Vincent
« Mohabbat » :
terme commun à plusieurs langues dont la signification se
situe entre – et dilue – « désir », « amour » et « passion ».
Cette échappée musicale généreuse, au croisement des cultures, recompose
un monde scintillant ignorant les frontières.
—
Le terme musique du monde est réducteur pour évoquer Titi Robin, musicien
atypique, au répertoire musical très personnel, cherchant une harmonie entre
les différentes cultures qu’il côtoie quotidiennement, principalement gitanes
et orientales, mêlées à l’environnement occidental. Ainsi, le joueur de cordes
(guitare, oud, bouzouk) a travaillé sur Les Rives, un projet de longue haleine,
triptyque naviguant entre l’Inde, la Turquie et le Maroc, autour du répertoire
traditionnel accompagné des musiciens locaux. En assurant la diffusion de sa
musique dans chacun de ces pays, Titi Robin veut les restituer au public local.
Mohabbat est la continuité de cette démarche : échappée musicale croisant
les cultures indiennes, turques et arabes, la poésie soufi. Sur scène, des
musiciens virtuoses manient des instruments rares : sarangi, kaval, guembri...
et recomposent un monde scintillant qui ignore les frontières.
Sept musiciens sur la scène pour un
concert d’exception. Et presque autant
de pays, Inde, Turquie, France, Brésil,
Maroc. Entre ces artistes, la rencontre
n’est pas feinte. Au centre du plateau,
Titi Robin, l’homme qui les a réunis
autour de lui au fil du temps, de ses
voyages et de ses rêves. Ainsi fait-il
depuis ses débuts. Entre 2010 et 2011,
il part à Bombay, puis à Istanbul, enfin
à Agadir. À ses yeux, c’est un seul et
même voyage artistique et politique.
Chaque fois, avec des musiciens et une
maison de disque locaux, il enregistre
un disque diffusé sur place, la somme
des trois formant un coffret distribué
en France. Avec ce projet au long
cours, Titi Robin veut inventer un autre
modèle économique, plus égalitaire que
celui prévalant habituellement dans les
musiques du monde. Le concert intitulé Mohabbat est un peu l’histoire de
cette utopie pratique. Mohabbat signifie
passion. Angevin, autodidacte, instinctif,
joueur de guitare, de oud (luth oriental)
et de bouzouq, également compositeur,
Titi Robin revendique deux figures
tutélaires qui ont fait de lui ce qu’il est,
le chanteur flamenco Camarón de la Isla
et le joueur de oud Munir Bachir. Tel
est son bagage d’artiste et d’homme,
puisqu’il ne sépare pas les deux. De sa
rencontre décisive avec la musique, il
dit qu’elle l’a transformé, qu’elle lui a
permis de rassembler les morceaux épars
de sa conscience. Si le monde est habitable, c’est aussi parce que des artistes
comme Titi Robin le rêvent autre que
ce qu’il est. Impossible de ne pas ajouter
à son nom, ceux de ses compagnons
de fortune, Murad Ali, Sinan Celik,
El Mehdi Nassouli, Francis Varis, Ze
Luis Nascimento et le chanteur Shuheb
Hasan.
Pour la Comédie de Clermont-Ferrand
© Daniel Conrod, printemps 2014
UNE MUSIQUE VENUE DU MONDE
« Il y a une vérité dans la beauté qui sourd du monde, et je polis un
fin miroir qui pourrait refléter cette lumière; ce geste est le sens de ma
musique. Mais le vrai voyage est intérieur. La musique se nourrit à cette
source intime, au creux du cœur, sous l’étoile, car il n’y a pas d’ailleurs
meilleur, ni d’âge d’or dans le passé. »
Titi Robin invite certains des artistes
partenaires avec qui il a construit son
œuvre au fil du temps et des voyages,
et les présente, à la fois en solistes en
tant qu’ambassadeurs de leurs cultures
respectives, également réunis au sein de
son orchestre pour interpréter ses thèmes.
Titi Robin est à la fois un Angevin resté
fidèle à ses racines et un artiste qui s’est
nourri de cultures prenant leurs sources
dans des contrées parfois lointaines
géographiquement. Il représente une
France qui assume une ouverture qui la
grandit. Il ne voit aucune contradiction
mais plutôt une grande complémentarité
entre l’amour de son pays, de sa région
et la profonde et nécessaire recherche
esthétique qui l’a fait voyager des rives de
la Méditerranée jusqu’au Nord de l’Inde.
Depuis plus de 30 ans, Titi Robin a
navigué aux confluences des cultures
tziganes, orientales et européennes,
sur la vague impétueuse et majestueuse
qui coule des contreforts de l’Inde à
travers l’Asie centrale jusqu’aux rives
de la mer Méditerranée. Il y a recherché
puis construit patiemment un univers
esthétique original. Mais il est impossible
de réduire son art à un simple désir de
mixer les sons et les styles. La musique
de Titi Robin exprime ce que les mots
ont souvent du mal à capter : elle parle de
l’extrême solitude de l’âme, de la vérité
nue de l’émotion, de la grandeur délicate
de l’amour parfois teintée de violence, que
la beauté du monde peut éveiller en chacun
d’entre nous. Titi Robin joue la guitare, le
bouzouq et le oud, et est le compositeur
exclusif de ses nombreux projets.
Les rives
Dès 2009, Titi Robin a travaillé à son projet
de triptyque Les Rives, projet de longue
haleine qui lui tient particulièrement à
cœur : enregistrer un disque dans chacun
des trois pays suivants, l’Inde, la Turquie
et le Maroc, autour de son répertoire avec
des musiciens locaux, produit par une
maison de disque locale et à destination
du public local, afin de rendre aux cultures
qui l’ont tant influencé ce qu’il estime
leur devoir. Dans un deuxième temps, en
2011, les trois disques ont été regroupés
dans un coffret pour une distribution
internationale. Mohabbat est une variation
live de cette création.
Mohabbat
désir, amour, passion et amitié
« Mohabbat » en hindi et ourdou est un
des nombreux termes pour dire la passion.
C’est un mot d’origine arabe, désignant
précisément dans cette langue la première
étape de l’amour qui est le désir.
En Turquie, les alévis qui se réunissent
pour chanter et jouer du saz appellent leurs
assemblées « Muhabbet ». Cela rejoint le
sens d’amitié.
Dans mon idée, le titre choisi réunit ces
diverses significations en même temps
qu’il croise les trois cultures indienne,
turque et arabe présentes dans Les Rives
projet duquel découle Mohabbat.
Cela évoque également la poésie soufi qui
a en partie inspiré les compositions de ce
projet musical.
Notes d’intention de Titi Robin.
musiques du monde
« Dans le domaine dit des « musiques du
monde », il est un ordre économique,
social et culturel que je n’ai jamais pu
ni su assumer, qui nous voit, artistes
occidentaux, aller dans des pays de
riches traditions musicales, vers l’Est
et le Sud, et récolter des musiques, du
répertoire, rencontrer des musiciens,
puis revenir fructifier cette manne dans
ce monde privilégié de l’occident nanti,
là où le marché de l’art est structuré de
manière suffisamment rationnelle pour
pouvoir construire une carrière et vivre
de son travail. Cela nous semble normal.
Le public de ces pays n’a que rarement
l’occasion de juger du résultat de notre
travail puisqu’il est souvent difficilement
disponible sur place. Il est peut-être
temps d’inverser ce courant. C’est en
tout cas une nécessité personnelle pour la
cohérence et l’équilibre de mon parcours
humain et artistique. J’ai souvent déjà
été confronté à la difficulté d’échapper à
cet ordre des choses. Je suis simplement
comme un homme qui, après des années
et un long exil, retourne au pays et désire
montrer à sa famille ce qu’il a fait de sa vie,
de l’héritage transmis. Je vous présente
mes enfants, ces compositions musicales,
qui ont grandi loin de vous, au contact
d’autres cultures, sous d’autres cieux. Est
ce que dans leur voix, leurs chants, il y a
encore l’écho des ancêtres ? Qu’est ce qui
a changé, qu’est ce qui perdure ? Ils sont à
vous, ma descendance est aussi la vôtre. »
Titi Robin
LIRE, ÉCOUTER, VOIR
PAR LES ARTISTES DE LA SAISON
les choix de Titi Robin
Livres
• Memed le Mince (1969-1987)
saga réuniée en quatre tomes chez
Gallimard, en 2011, avec les magnifiques
traductions de Güzin Dino et Münevver
Andaç. Une pensée à la fois enracinée et
universelle.
« Les contreforts montagneux du
Taurus commencent dès les bords de la
méditerranée. A partir des rivages battus
de blanche écume, ils s’élèvent peu à peu
vers les cimes. Des balles de flocon blancs
flottent toujours au-dessus de la mer. Les
rives de glaise sont unies et luisantes. La
terre argileuse vit comme une chair. Des
heures durant, vers l’intérieur, on sent la
mer, le ciel : odeur prenante. »
• Le Chant de Salomon
de Toni Morrison, 2008
« Quand il a quitté l’Eden, Adam se
sentait riche. Non seulement il avait Eve,
mais il aurait toute sa vie dans la bouche
le goût de la première pomme du monde.
Le tout premier à savoir comment
c’était. La mordre, enlever le morceau.
L’entendre crisser et laisser l’épluchure
rouge lui briser le cœur. »
• Les œuvres complètes
d’Anna Akhmatova
«Viens, frappe de ton petit poing et je
t’ouvrirai.
Je t’ai toujours ouvert.
Je suis aujourd’hui par delà de hautes
montagnes,
par delà le désert, le vent, la chaleur
torride.
Mais je ne t’abandonnerai jamais... »
Films
• Les Lumières de la ville de Charlie
Chaplin, 1931
Un idéal d’équilibre entre l’exigence
esthétique et la générosité de l’expression,
comme chez le romancier Yachar Kemal.
• L’Avventura de Michelangelo
Antonioni, 1960
La caméra d’Antonioni amoureuse de
la lumière que reflètent le visage, la
silhouette et les gestes de la comédienne
Monica Vitti.
• Umrao Jaan de Muzaffar Ali, 1981
La danse de Rekha, la voix d’Asha Bhosle
sur la poésie « ghazal» en langue ourdu
de Shahryar et Khayyam.
Musique
• Almoraima de Paco de Lucia, 1976
Le célèbre guitariste flamenco, mariant
la tradition à son inspiration personnelle
avec bonheur… ajouter bien sûr tout
ce qu’il a enregistré avec le chant de
Camaron de la Isla.
• Moammaye Hasti – Enigma of Life
de Mohammad Reza Shajarian et M.R.
Lotfi, 1997
La poésie de Hafez, la voix de Ostad
Shajarian et la setar de Ostad Lotfi,
un cadeau triplement précieux
en provenance d’Iran.
• L’Art du ‘oud de Munir Bachir, 1971
Le maître irakien du luth oriental
dont les silences qui suivent ses
improvisations musicales nous parlent
encore bien longtemps après.
Photographie
Toute l’œuvre de Henri Cartier-Bresson
Parlant de l’acte de photographier, il dit :
« C’est comme pour la poésie, il ne faut
pas réfléchir. Il faut réfléchir le reste du
temps. Là, il faut sauter. »
Il en est de même pour nos
improvisations musicales.
PARCOURS
Titi robin
Titi Robin a construit très tôt un univers
musical original, cherchant une harmonie
entre les différentes cultures qu’il côtoyait
quotidiennement et l’ayant directement et
profondément influencé, principalement
gitanes et orientales, mêlées intimement
à l’environnement occidental. Avant
que le courant des musiques du monde
n’apparaisse, c’est au sein de ces deux
communautés qu’il trouvera un écho
sensible et encourageant.
Les fêtes communautaires lui donnent
l’occasion de tester la couleur originale
de son approche musicale face à ces
traditions riches dont il s’inspire mais
qu’il n’imite pas, recherchant obstinément
une voie qu’il lui semble exprimer avec
le plus de justesse sa condition d’ artiste
contemporain. Les deux artistes phares
dans sa démarche sont Camaron de la Isla,
le cantaor flamenco et le maître irakien du
‘oud, Munir Bachir.
Ses duos avec Hameed Khan, tabliste
originaire de Jaipur et Erik Marchand,
chanteur traditionnel breton qui peu à
peu se fondent dans Trio Erik Marchand
marquent ses débuts sur la scène des
musiques du monde et ouvrent la voie
au premier disque sorti en 1993 sous son
nom et pour lequel il a invité un grand
nombre de musiciens issus des cultures qui
l’ont influencé : Gitans.
La formation qui découle de ce disque
tourne dans le monde entier pendant de
nombreuses années et alors que le nom de
Titi Robin se construit peu à peu comme un
incontournable de la scène internationale
des musiques du monde, ses disques (Le
Regard Nu, Payo Michto, Kali Gadji,
Un ciel de cuivre) connaissent un succès
retentissant. La sortie du disque Rhâki,
en 2002 co-signé avec Gulabi Sapera ainsi
que le spectacle Jivula marquent l’apogée
de leur collaboration.
La deuxième partie des années 2000 est
marquée par les rencontres et les créations ;
telles que, avec Danyel Waro, Michto
Maloya, avec Esma Redzepova le cadre de
son disque Mon histoire et enfin avec Faiz
Ali Faiz pour Jaadu.
En 2008 sort Kali Sultana, l’ombre
du ghazal, nouveau projet à la fois
discographique et scénique. Longue suite
en deux volets, sept mouvements et trois
intermèdes, cet album-fleuve se traduit par
une épopée scénique de deux heures sans
interruption dans l’ombre de Kali Sultana,
cette reine noire qui symbolise la quête
infinie de la beauté et de l’amour.
Dès 2009, Titi Robin a travaillé à son projet
de triptyque Les Rives, projet de longue
haleine qui lui tient particulièrement à
cœur : enregistrer un disque dans chacun
des trois pays suivants, l’Inde, la Turquie
et le Maroc, autour de son répertoire avec
des musiciens locaux, produit par une
maison de disque locale et à destination
du public local, afin de rendre aux cultures
qui l’ont tant influencé ce qu’il estime
leur devoir. Dans un deuxième temps, en
2011, les trois disques ont été regroupés
dans un coffret pour une distribution
internationale. Mohabbat est une variation
live de cette création.
Les musiciens
Murad Ali Khan (sarangi) / Inde
Le représentant le plus célèbre aujourd’hui de la
nouvelle école du sarangi (vielle à archet) de la
musique classique hindoustani.
Instrument d’un apprentissage réputé difficile,
le sarangi est une vielle jouée avec archet que
l’on rencontre principalement en Inde, en
Afghanistan et au Pakistan. Son jeu composé de
glissandos lui permet de suivre les inflexions du
chant (tous les micro-intervalles entre les tons)
comme d’être un instrument soliste apprécié.
Murad Alikhan qui a suivi l’enseignement de
la célèbre école de Muradabad dans l’Uttar
Pradesh, est de la sixième génération d’une
famille de musiciens. Il a également dirigé
la création Kalyaan de Ravi Shankhar et a
été l’invité du festival de France- Musique en
septembre 2006.
Ze Luis Nascimento (percussions)
/ Brésil
Le eprcussionniste inventif et fougueux, qui a
su faire évoluer son style d’origine à travers ses
nombreuses aventures artistiques.
Né à Salvador de Bahia, Ze Luis Nascimento
est un virtuose. En tant que soliste et assistant
à la direction musicale, il enchaine les tournées
mondiales avec le ballet folklorique de Bahia,
au sein duquel il a été formé. Arrivé en
France en 1996, il s’est ouvert aux styles des
percussions orientales et occidentales et élabore
alors un vocabulaire rythmique profondément
original mêlant des instruments trés variés,
qu’il rassemble dans un discours musical d’une
grande cohérence.
Sinan Celik (flûte kaval) / Turquie
Le maître de la flûte populaire turque, des bords
de la Mer Noire aux plaines anatoliennes.
Sinan Celik est le spécialiste du kaval et un
maître des musiques turques auprès de qui la
jeune génération aime à venir se ressourcer. Il a
créé un lieu dédié à la musique, à Istanbul, où il
est possible de jouer de répéter, d’enregistrer, et
de produire des disques (les productions Duygu
Müzik).
Francis Varis (accordéon)
France-Pologne
/
L’un des plus fameux artisans du renouveau de
l’accordéon jazz en Europe.
Jazzman de formation, Francis Varis s’est
distingué avec son groupe Cordes et Lames
(Dominique Cravic à la guitare), sa
participation à Paris Musette et sa collaboration
avec Jacques Bolognesi au sein du Bolovaris. Il
a cotoyé des jazzmen
comme Tal Farlow, Lee konitz et accompagne
régulièrement la chanteuse brésilienne Nazaré
Péreira et, avant, Georges Moustaki ou Maria
Teresa. Francis Varis est un improvisateur
extrèmement lyrique et son phrasé d’une
grande pureté en fait un invité idéal pour les
projets de Titi Robin, avec qui il partage une
belle complicité de longue date.
El Medhi Nassouli (voix, guembri)
Né en 1985, Mehdi Nassouli a commencé
l’apprentissage de la musique à l’âge de 14 ans,
attiré par les racines de sa famille, ancrées dans
la culture gnawa. De Taroudant à Marrakech, en
passant par Essaouira et Safi, en 10 ans Mehdi
a réalisé un véritable voyage initiatique auprès
de plusieurs mââlems, acquérant ainsi une solide
connaissance de la musique gnawa, de la daqqa
ou encore du malhûn.
Shuheb Hasan (voix)
Shuheb Hasan appartient à l’école musicale de
Moradabad Gharana. Il a débuté son éducation
musicale auprès de la légende du sarangi et du
chant Ustad Siddique Ahmed Khansahab et
étudie actuellement auprès du maitre Ustad
Ghulam Sabir Khansahab. Il s’est produit ces
dernières années dans les festivals de musique
classique indienne les plus prestigieux : Ahan-eKhusro International Sufi Music Festival, Basant
Bahaar Festival at Srifort, Khajuraao Festival in
Madhya Pradesh,Pune festival, Minjar festival.
SPECTACLES À VENIR
SUTRA
Sidi Larbi Cherkaoui
à partir de 12 ans
27 et 28 mars à 20:30
Maison de la culture salle Jean-Cocteau
CARTE BLANCHE
À OSCAR BIANCHI
Orchestre d’Auvergne
9 avril à 20:30
Opéra-théâtre
© Antoine+Manuel
© Hugo Glendinning
Après m¡longa, sur les danseurs de tango de
la nuit buenos-airienne, qui a enthousiasmé
le public en novembre dernier, Sidi Larbi
Cherkaoui revient avec 17 danseurs-guerriers
Shaolin, dans une chorégraphie spectaculaire
et apaisée.
—
MAY B
Maguy Marin
1er et 2 avril mars à 20:30
Maison de la culture salle Jean-Cocteau
© Claude Bricage
Toujours aussi saisissant, et plus de trente
ans après sa création, ce ballet tragique
pour 10 danseurs n’a rien perdu de sa force.
Un monument de danse, irrévérencieux et
légendaire, pour dire l’absurdité humaine.
L’Orchestre d’Auvergne accompagne le
compositeur Oscar Bianchi pour une carte
blanche très actuelle, tout en nuances. Au
programme, quatre compositeurs : Hugues
Dufour, Yotam Haber, Fausto Romitelli,
Tristan Murail, ainsi qu’une création d’Oscar
Bianchi.
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DES PLACES
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donne droit à un tarif préférentiel par
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