ème 2 Rencontre Régionale d’Oncogénétique NIORT : le 6 Février 2014 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique « Du Nouveau en Oncogénétique pour votre pratique » CÔLON David TOUGERON (Poitiers) Lucie KARAYAN (Poitiers) Paul GESTA (Niort) NIORT le 6 Février 2014 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique CÔLON : Actualités sur les formes familiales de cancers digestifs David TOUGERON (Poitiers) NIORT le 6 Février 2014 Formes héréditaires de cancer colorectal Formes sporadiques (≈75%) Formes à composante héréditaire dont la polypose atténuée (20-30%) Autres syndromes (<1%) Syndrome de Lynch (3%) David TOUGERON (Poitiers) Polypose adénomateuse familiale (1%) Formes héréditaires de cancer colorectal PAF Muqueuse normale TP53, DCC, PI3KCA, SMAD2/4, PTEN KRAS APC Cryptes aberrantes Adénomes Instabilité chromosomique Cancer invasif Inactivation du système MMR (hyperméthylation de MLH1 ou mutation MMR) Syndrome de Lynch TGF-ßRII, BRAF CASP5, BAX, MBD4, RAD50, TAF1B, TCF4, E2F4, IGFR2, ßcaténine, axine Instabilité microsatellitaire David TOUGERON (Poitiers) Hyperméthylation des îlots CpG Instabilité des microsatellites et syndrome de Lynch (HNPCC) • Phénotype RER+ (Replication ERorr) : 15% des cancers colorectaux (CCR) sporadiques et tous les syndromes de Lynch (3% des CCR). • Instabilité génétique par inactivation du système de réparation MMR (MisMatch Repair) de l’ADN intervenant dans la réparation des anomalies de réplication touchant préférentiellement les séquences répétées (instabilité microsatellitaire). • Hyperméthylation biallélique du gène MLH1 (85%) ou mutation constitutionnelle d'un des gènes MMR suivie d'une inactivation somatique de l'autre allèle (15%). David TOUGERON (Poitiers) • Les mutations de BRAF sont associées à l’hyperméthylation de MLH1. L’instabilité microsatellitaire (MSI) • Instabilité génétique des microsatellites (séquences répétées de l’ADN) par inactivation du système de réparation de l’ADN. • Analyse faite sur l’ADN tumoral. Au laboratoire de génétique moléculaire BAT25 NR22 BAT26 NR21 Immunohistochimie (IHC) • Perte d’expression des protéines du système MMR liée à son inactivation. • Marquage par des anticorps (MLH1/PMS2, MSH2/MSH6) sur la pièce opératoire tumorale (protéine absente si le gène est muté). • Oriente vers le gène muté. NR24 Normal Dans le service d’anatomopathologie sensibilité: 97% spécificité: 83% peu de FN En pratique : Faire les deux (MSI +/- IHC) sensibilité: 92% spécificité: 89% FN dans 10% David TOUGERON (Poitiers) CCR HNPCC versus sporadique HNPCC âge précoce ; Ségrégation familiale autosomique dominante ; Sporadique âge tardif (0% avant 40 ans vs 25% après 70 ans) ; Pas d ’histoire familiale ; Mutation constitutionnelle d’un gène MMR ; Mutation de BRAF ; Absence de mutation de BRAF. Extinction de MLH1 (Méthylation épigénétique du promoteur de hMLH1). David TOUGERON (Poitiers) Inactivation somatique d’un gène MMR ; Quand rechercher une instabilité microsatellitaire ? MSI par méthylation du promoteur de MLH1 Sporadique Critères de Bethesda (1997). Tumeurs MSI 15% des CCR Critères de Bethesda modifiés (2003) avec détermination du statut MSI des tumeurs. Critères d’Amsterdam (1991) Spécifiques, mais non sensibles. NIORT le 6 Février 2014 David TOUGERON (Poitiers) HNPCC Critères de Bethesda modifiés (2003) CCR < 50 ans. second CCR ou autre cancer du spectre HNPCC synchrone ou métachrone. cancer RER+ < 60 ans. CCR et 1 parent 1er degré avec CCR ou autre cancer du spectre HNPCC < 50 ans. CCR et 2 parents 1er - 2ème degré avec CCR ou autre cancer du spectre En pratique : Si < 60 ans et/ou ATCD familiaux ou personnels de K du spectre HNPCC = recherche MSI David TOUGERON (Poitiers) HNPCC synchrone ou métachrone. Syndrome de Lynch (HNPCC) SPECTRE TUMORAL Cancer colorectal (CCR) Cancer de l’endomètre Cancer de l’intestin grêle Carcinome urothélial voies urinaires supérieures David TOUGERON (Poitiers) Adénocarcinome gastrique Cholangiocarcinome Cancer de l’ovaire (ADK endométrioïde) Glioblastome (syndrome de Turcot) Carcinome sébacé (syndrome de Muir Torre) Syndrome de Lynch (HNPCC) • Évolution vers le CCR dans 40-70% des cas (forte pénétrance, ≠ sexe). • Risque de 40% de cancer de l’endomètre chez la femme. Mutation des gènes de réparation de l’ADN (90% = MSH2 ou MLH1, 10% = MSH6, PMS2) 50 à 92% 30% 92% 90% 48% David TOUGERON (Poitiers) % de mutations identifiées selon les critères de screening -Critères d’Amsterdam -Critères de Bethesda -Tumeur MSI + perte MSH2 -Tumeur MSI + perte MSH6 -Tumeur MSI + perte MLH1 Syndrome de Lynch (HNPCC) Mutations MMR. Réarrangements (MSH2 = 10%), mutation dans les promoteurs, conversion génétique (transfert non réciproque d’une séquence génique, PMS2), mosaïque. Transmission héréditaire de l’hyperméthylation de MSH2 liée à une délétion de TACSTD1 en 3’ (Ep-CAM). Rares formes MSS (MSH6). David TOUGERON (Poitiers) Mutation somatique de MLH1 ou MSH2 (non Lynch). Prise en charge du syndrome de Lynch Colon Début de la surveillance: 20 ans. Modalités: Coloscopie complète avec chromoendoscopie tous les 1 à 2 ans. Traitement: Pas de chirurgie prophylactique. Si cancer = colectomie sub-totale (anastomose iléo-rectale). Endomètre et ovaire Début de la surveillance: 25-30 ans. Modalités: Échographie endovaginale, prélèvement endométrial et dosage du CA125 David TOUGERON (Poitiers) tous les 1 à 2 ans. Traitement: Hystérectomie avec ovariectomie recommandée en cas de dysplasie endométriale. Traitement prophylactique: Chirurgie prophylactique (hystérectomie et ovariectomie) en cas de chirurgie abdominale chez une patiente ménopausée, et à discuter si patiente de plus de 35 ans après un projet parental complet. Prise en charge du syndrome de Lynch Estomac (10%) Autres risques connus (1-5%), sans recommandation de surveillance ; Carcinome des voies urinaires: Echographie et cytologie urinaire tous les 2 ans ; Adénocarcinome de l’intestin grêle : Capsule endoscopique ? Adénome et carcinome cutané sébacé (Muir-Torre): Risque cumulé faible. Examen cutané par un dermatologue tous les 3 ou 4 ans. David TOUGERON (Poitiers) FOGD à la première coloscopie avec recherche d’Helicobacter Pylori (éradication si positif). Polypose adénomateuse familiale (PAF) Plus de 100 adénomes coliques. Risque de cancers extra-coliques (duodénum ++) et extra-digestifs (tumeurs desmoïdes, ostéomes, cancers thyroïdiens, pancréas, foie…). David TOUGERON (Poitiers) Hypertrophie de la couche pigmentaire de la rétine et kystes épidermoïdes. Polypose adénomateuse familiale (PAF) Évolution vers le CCR dans 100% des cas avant 40 ans. 30% de tumeurs desmoides. 5-20% de tumeurs duodénales. Mutation du gène APC : - 30% mutation de novo - mosaïque germinale (mutation dans les gonocytes): risque familial - mosaïque somatique (mutation post-zygotique): risque familial si atteinte compartiment génital (recherche mutation sur biopsies coliques). Transmission autosomique dominante et pénétrance complète. David TOUGERON (Poitiers) Corrélation génotype / phénotype. PAF Côlon Début de la surveillance: 10‐12 ans. Modalités : Coloscopie totale annuelle, chromoendoscopie, avec 6 biopsies par segment (côlon droit, côlon transverse, côlon gauche, rectum) sur les polypes visibles en ciblant les plus gros/anormaux. Chirurgie : Colectomie vers 20 ans, plus tôt en cas de polypose profuse, de dysplasie de haut grade, de polype de grande taille (> 15 mm) ou ulcéré. La conservation du rectum est raisonnable s’il y a moins de 20 adénomes rectaux sans dysplasie de haut grade. Rectum après colectomie : Suivi annuel avec chromoendoscopie et destruction des adénomes. Chirurgie en cas de croissance incontrôlable (nombre, dysplasie de haut grade répétée) ou de cancer. A discuter avec une équipe spécialisée. David TOUGERON (Poitiers) Réservoir iléal après coloproctectomie : Suivi endoscopique avec chromoendoscopie à 1 an, puis tous les 2 ans en l’absence d’adénome. Indications d’un traitement endoscopique : adénomes très nombreux (> 20), de grande taille (> 1 cm) ou en dysplasie de haut grade. PAF Estomac et duodénum Début de la surveillance : Gastroscopie lors de la première coloscopie puis duodénoscopie avant 25 ans. Modalités : Duodénoscopie et vision axiale avec chromoendoscopie tous les 2 ans, à raccourcir en cas d’adénome > 1 cm, de dysplasie de haut grade. Traitement : A discuter avec des centres expérimentés (endoscopie et chirurgie). Biopsie de tous les polypes > 1 cm et/ou suspects ; Destruction de polypes > 1cm et/ou DHG ; Cartographie des lésions ; Anatomopathologiste expérimenté ; Chirurgie si envahissement sous-muqueux (DPC) ; Risque de dégénérescence de 5-10%. David TOUGERON (Poitiers) PAF Autres risques Thyroïde: Palpation simple annuelle. Avis spécialisé (endocrinologie) et échographie en cas de doute. Tumeurs desmoïdes: Aucune recommandation de surveillance. Examen abdominal annuel, échographie ou IRM au moindre doute. Risques connus sans recommandation de prise en charge: Hépatoblastome (enfants très jeunes, écho abdo, αFP ? jusqu’à 3 ans), Médulloblastomes (adultes jeunes). David TOUGERON (Poitiers) Grêle: Capsule ? Polyposes atténuées Plus de 5-15 adénomes coliques ; Risque de cancers extra-coliques (carcinomes sébacés…) ; Évolution vers le CCR dans 70-80% des cas (biais des études car sélection de patients avec des polyposes diffuses) ; Mutation du gène MYH bi allélique (polypose atténuée associée à MYH) ou de APC (PAF atténuée) ; David TOUGERON (Poitiers) Transmission autosomique récessive (MYH). Polyposes atténuées Côlon Début de la surveillance: 20 ans. Modalités : Coloscopie totale tous les 2 ans avec chromo-endoscopie (annuel si > 50 adénomes colorectaux). Traitement : - Moins de 30 adénomes : l’exérèse endoscopique de l’ensemble des polypes peut être tentée. - Polypose profuse (> 50 adénomes colorectaux) : colectomie sub-totale. Le rectum sera conservé sur les mêmes critères que ceux de la polypose APC: moins de 20 adénomes rectaux, sans dysplasie de haut grade. Une surveillance annuelle du rectum restant est nécessaire. Estomac et Duodénum David TOUGERON (Poitiers) Début de la surveillance : 25 ans. Modalités : Duodénoscopie et vision axiale, avec chromoendoscopie tous les 2 ans. Traitement: À discuter avec des centres expérimentés (endoscopie et chirurgie). PATIENTS ATTEINTS D’UN CANCER COLORECTAL (CCR) CLINIQUE : antécédents néoplasiques personnels et familiaux, arbre généalogique Critères d’Amsterdam II Critères de Bethesda < 60 ans Syndrome de Lynch ? SUR LA TUMEUR - Plus de 10 adénomes - Plus de 5 adénomes et ATCD d’adénome au premier degré ou < 60 ans PAF atténuée ? Plus de 100 adénomes PAF ? RER- et < 40 ans ou ATCD personnels et/ou familiaux multiples MSI, IHC et BRAF • MSI moins 60 ans • et/ou perte MSH6, MSH2 • et/ou ATCD perso/fam • et/ou absence de mutation de BRAF Analyse de la séquence des gènes de réparation de l’ADN (MLH1, MSH2, MSH6) Analyse de la séquence des gènes APC et MYH David TOUGERON (Poitiers) CONSULTATION D’ONCOGÉNÉTIQUE SUR LE SANG 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique CÔLON : Organisation pratique Le test MSI (RER) Lucie KARAYAN (Poitiers) NIORT le 6 Février 2014 NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) Plan Cancer 1 (2003-2007) et 2 (2009-2013) NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique Plateformes hospitalières de génétique moléculaire des cancers Financement 8,7 M€ 28 plates-formes soutenues par l’INCa et la DGOS Organisation régionale, voire interrégionale Laboratoires regroupés dans plusieurs établissements de Plateforme hospitalière de génétique moléculaire des Cancers de Poitou-Charentes Labellisée par l’INCa 2006 NIORT NIORTlele66Février Février2014 2014 Lucie KARAYAN Lucie KARAYAN (Poitiers) (Poitiers) santé (CHU/CLCC) Financement Spécifique MSI < 60ans Tests Biologie Moléculaire (technicien , réactifs) NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) Envoi Ana-Path hors RAS NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique Circuit du prélèvement tissulaire Pathologiste public ou privé Tissu tumoral + fiche de transmission Copeaux accompagnés de la fiche de transmission Service d’ACP du CHU (Pr P. Levillain) Copeaux accompagnés de la fiche de transmission NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) Service de Cancérologie Biologique (PHGMC) (Pr L. Karayan-Tapon) Fiche de Prescription Lucie KARAYAN (Poitiers) Tissu sain Tissu tumoral 10 copeaux de 10µ CR Ana-Path Si possible résultats IHC MLH1 MSH2 PMS2 MSH6 Pentaplex quasi-monomorphe (Promega) Le test RER/MSI Sensibilité analytique 15% NR 21 Bat 26 NR 24 Bat 25 Mono27 NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) P1244 NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) Résultats au prescripteur et à l’ana-path Rendu des résultats MSI – (MSS) Conclusion : NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) Présence d’un phénotype stable à comparer aux résultats d’immunohistochimie des protéines de réparation et à interpréter selon le contexte clinique Rendu des résultats Si MSI (instable) Recherche BRAF MSI + BRAF + Conclusion : NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) Présence d’une instabilité des microsatellites avec mutation V600E du gène BRAF (résultats du J/M/A). Ces résultats font suspecter une forme sporadique cependant ils sont à confronter aux résultats d’immunohistochimie des protéines de réparation et l’indication d’une consultation oncogénétique est à discuter selon les données cliniques. Rendu des résultats Si MSI (instable) Recherche BRAF MSI + BRAF Conclusion : NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) Présence d’ une instabilité des microsatellites sans mutation V600E du gène BRAF (résultats du J/M/A). Ces résultats font suspecter fortement un syndrome de Lynch et justifient une consultation oncogénétique avec la confrontation des données d’immunohistochimie de protéines de réparation. 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique NIORT le 6 Février 2014 Lucie KARAYAN (Poitiers) Déclenchement de la consultation oncogénétique Et Demande de la recherche des mutations des gènes de réparations 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique CÔLON Tableau de suivi coloscopique développé dans le logiciel Indications de consultation d’oncogénétique Paul GESTA (Niort) NIORT le 6 Février 2014 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique Tableau de suivi des coloscopies proposé Age colos copie Colo rant NIORT le 6 Février 2014 Nb tot polypes Taille du Nb + gros dyspl mm bas grade Nb dyspl haut grade Etude somatique Comm Comm entaire entaire étude Paul GESTA (Niort) Date colos copie 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique Lynch: risques de cancer à 70 ans HOMMES FEMMES Estomac (6%) Estomac (6%) Voies biliaires (2%) Voies biliaires (2%) Intestin grêle (1%) Intestin grêle (1%) Colon/Rectum (50-60%) Colon/Rectum (30-40%) Voies urinaires (2%) Endomètre (15-50%) Ovaires (20%) NIORT le 6 Février 2014 Paul GESTA (Niort) Voies urinaires (2%) 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique Indications de Cs en digestif NIORT le 6 Février 2014 Paul GESTA (Niort) 1) pas de M connue dans la famille : Bethesda (prescrire IHC et RER, Cs qq.soit résultat), ou RER=MSI (selon commentaire labo biomol), ou IHC= déficit de fixation d’1 ou plusieurs protéines. discordants IHC/RER =>RCP régionale pour indication Polyposes : atténuées (>10 polyadénomes) ou vraies rares : 2 linites gastriques ou 2 pancréas (srt si tabac=0) 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique 2) M connue dans la famille : NIORT le 6 Février 2014 Paul GESTA (Niort) => proposer Cs : peut-être pas besoin de suivi si prélèvement et M connue chez patient : renseigner anapath 2ème Rencontre Régionale d’Oncogénétique Pas d’indication de Cs si : IHC=N et RER=MSS et pas d’antécédent familial significatif NIORT le 6 Février 2014 Paul GESTA (Niort) (ou RER=MSI et IHC=perte MLH1 et M BRAF et pas d’antécédent familial significatif) ACTUALITES: Dominique MAROUBY (Réseau) NIORT le 6 Février 2014 2ème Rencontre Régionale d’ONCOGENETIQUE: « Du Nouveau en Oncogénétique pour votre pratique » DEUX Publications INCa disponibles sur le site: • Le rapport de synthèse des activités 2012 des plateformes de biologie moléculaire. (janvier 2014) • Le 3 plan cancer 2014-2019 dont l’objectif 6 « Conforter l’avance de la France dans la Médecine personnalisée » vise à: - « Faire évoluer le dispositif d’Oncogénétique et faciliter son accès » (Action 6-1) « Conforter l’accès aux tests moléculaires » (Action 6-2) « Valider et déployer les nouvelles techniques d’analyse des tumeurs » (Actions 6-3; 6-4; 6-5; 6-6 et 6-7) NIORT le 6 Février 2014 D. MAROUBY (Réseau) -
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