Objectif Lettre Novembre 2013

bjectif
O
Le Journal Interne du CHRU de Montpellier
N° 266 - Novembre 2013
www.chu-montpellier.fr
Lettre
ACTUALITES
Inauguration
des nouveaux locaux
de la HAD
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2
ZOOM
Les plateformes de
recherche du CHRU
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3
SAVOIR FAIRE
Une solution pour
remédier à la
descente d’organes
et l’incontinence
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4
DOSSIER
Zoom sur la Direction
des Ressources
Humaines et de la
Formation
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5
INFO PLUS
Trombinoscope de la
Direction Qualité et
Gestion des Risques
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10
L’Hospitalisation
à Domicile (HAD)
inaugure ses locaux
«
Edito
Actus
L’hôpital à la maison
Philippe DOMY,
Pr Olivier JONQUET
Directeur Général
Président de la Commission
Médicale d’Etablissement
Certification v 2014
Une visite des experts en mars
2015 mais un enjeu au quotidien
En février 2013, la Haute Autorité de Santé a certifié,
sans réserve, le CHRU de Montpellier.
Une telle décision, exceptionnelle pour un établissement
de cette taille, est venue saluer l’engagement de tous
dans l’amélioration continue de la prise en soin des
patients.
Toutefois, la certification est un enjeu au quotidien et
la mobilisation doit se poursuivre et s’intensifier afin de
préparer au mieux le prochain passage des experts.
En effet, le CHRU de Montpellier s’est engagé dans la
démarche de certification v 2014 conduite par la Haute
Autorité de Santé et dès le mois de mars 2015, les
experts visiteurs seront au sein de notre établissement.
L’un des enjeux de cette nouvelle procédure est d’introduire davantage de continuité dans la démarche
d’amélioration de la qualité et de gestion des risques
de l’établissement.
L’investissement des équipes se veut continu, articulé
autour de plans d’action de leur mesure et d’une gestion de projet réalisée pas à pas.
L’autre enjeu de cette certification est de démontrer
aux experts notre capacité collective à gérer, anticiper,
connaître nos risques.
2
Dans ce contexte, la visite reste un temps fort de la
démarche. Elle sera centrée sur le fonctionnement
réel de l’établissement et moins sur la formalisation du
dispositif. Les experts s’attacheront donc à évaluer la
capacité des équipes à structurer une démarche continue d’amélioration de la qualité autour de 4 axes :
• Identifier et maîtriser les risques,
• Mettre en œuvre les bonnes pratiques,
• Evaluer les résultats,
• Faire vivre la chaîne de responsabilité
qui la sous-tend.
La préparation de cette visite commence
dès aujourd’hui et nous devons nous mobiliser,
médecins, soignants et non soignants afin de préparer
cette nouvelle visite et surtout garantir à nos patients
une prise en charge optimale.
La certification de demain, c’est tous les jours,
une préoccupation de tous les acteurs.
Le 13 novembre dernier, le CHRU a inauguré officiellement son
activité d’hospitalisation à domicile. C’est avec une certaine fierté
que Christian BOURQUIN, président du Conseil de Surveillance,
Philippe DOMY, Directeur Général, le Pr Isabelle QUERE, chef du
pôle Cliniques Médicales et le Dr Jérôme SIRVENTE (coordonnateur
du département HAD), ont coupé le ruban symbolique. Ils étaient
accompagnés dans ce geste par Elisabeth HUBERT, présidente
de la Fédération Nationale des Etablissements d’Hospitalisation
A Domicile et Jean-Yves Le QUELLEC, représentant l’Agence
Régionale de la Santé.
Le CHRU a créé, en 2012, une activité d’hospitalisation à
domicile (HAD), placée sous la responsabilité du Pr QUERE et
coordonnée par le Dr SIRVENTE. Son objectif est de permettre
aux patients, lorsque cela est possible, d’être hospitalisés chez
eux, à leur domicile. Ils peuvent ainsi bénéficier de la technicité
de l’hôpital, de l’appui d’une structure hospitalo-universitaire de
haut niveau, tout en demeurant à leur domicile, dans les meilleures
conditions de confort, de qualité et entourés de leurs familles.
L’HAD du CHRU s’adresse à tous les patients domiciliés dans les
communes situées dans un rayon de 30 km autour de Montpellier
(de Mauguio à Gignac, de Frontignan à Valflaunès, de la Grande-Motte à
St-Martin de Londres). Chaque jour, plus de 50 patients bénéficient
déjà de cette prise en charge, pour des pathologies variées telles
que les plaies et pansements complexes, les soins palliatifs, les
grossesses pathologiques, la chimiothérapie et la surveillance postchimiothérapique, la rééducation orthopédique et neurologique,
la prise en charge de la douleur, etc.
Le CHRU de Montpellier a fait le choix de développer un
partenariat élargi avec les professionnels de santé libéraux. Ainsi,
les soins sont dispensés conjointement :
• par l’équipe pluridisciplinaire de l’HAD du CHRU, qui
réalise l’évaluation d’entrée au domicile du patient et assure la
coordination de la prise en charge. Elle se rend régulièrement au
domicile pour assurer le suivi des soins et les adapter aux besoins
du patient. L’équipe d’hospitalisation à domicile du CHRU
réalise elle-même certains soins : par exemple, pour les grossesses
pathologiques, ce sont les sages-femmes du CHRU qui assurent
les soins.
• par des professionnels de santé libéraux pour l’ensemble des
soins «quotidiens» : ainsi, les patients admis en HAD choisissent
les professionnels qui les prennent en charge à leur domicile. Ils
recourent à des médecins, infirmiers ou aides-soignants qu’ils
choisissent, par qui ils sont parfois déjà suivis et avec lesquels
ils entretiennent une relation de confiance. Plus de 1 000
professionnels libéraux sont déjà intervenus dans ce cadre.
Pour cette activité, le CHRU a mis en place, dans des nouveaux
locaux à l’Hôpital St-Eloi, un espace dédié à l’organisation de
cette prise en charge.
Zoom
Objectif Lettre
N°266 - Novembre 2013
«Présence en un lieu unique
des personnes ressources
des essais cliniques»
Plateforme de Protéomique Clinique - Spectromètre de masse Agilent type triple quadripôle de dernière génération en couplage avec une HPLC Agilent 1290
(Agilent 6490 couplée au système Agilent ChipCube)
Les Plateformes Technologiques et de Recherche au CHRU
Découverte des plateformes
de recherche
La recherche au CHRU s’organise au sein
de laboratoires, d’instituts, de centres de collections biologiques dotés de moyens matériels de
pointe et servis par l’expertise de membres de
ces structures.
• La Plateforme exploration de cellules
Ces moyens, organisés en plateformes, contribuent sur certains sites, à l’activité de soins, et
permettent également aux équipes de progresser vers leurs objectifs de recherche.
Sur le site Gui de Chauliac, il y a :
Ces moyens sont également proposés à des partenaires publics ou privés dans le cadre d’offres
de collaboration de Recherche & Développement ou de prestation de service.
Depuis juin 2013, Yves EL KA IM, coordonnateur des plateformes du CHRU à la direction de la recherche et de l’innovation, a pour
missions de participer à la valorisation de leurs
activités, de communiquer sur leurs offres,
de contribuer à leur pérennisation et de renforcer leurs liens avec le tissu économique régional.
Quelles sont les plateformes accessibles
aux partenaires ?
On en dénombre 9 à travers les différents
sites de l’établissement.
Sur le site Saint Eloi, on retrouve :
• La Plateforme Affymétrix : analyses
transcriptomiques sur puces à ADN de
très hautes densités.
• La Plateforme de protéomique clinique :
expertise médicale, biologique et technique
en protéomique clinique.
La Plateforme du Laboratoire des
Cellules Circulantes Rares Humaines :
techniques axées sur l’identification chez
l’homme de cellules circulantes rares en
cancérologie.
•
rares en immunologie et infectiologie :
outils, savoir-faire et expertise médicale
en analyse lymphocytaire et quantification virale.
• Le Centre des Collections Biologiques
Humaines de Montpellier : ressources
biologiques humaines ou dérivées, pour
projets de recherche académiques ou privés.
• L’Institut d’Imagerie Fonctionnelle Hu-
maine : la plateforme I2FH dispose d’une
IRM 3T et propose les derniers développements technologiques en imagerie
IRM de recherche et dans l’analyse de ces
images.
Sur le site Antonin Balmès, on localise :
• Le Centre National de Reference des
Leishmanias : identification de souches,
production d’antigènes et de tests sérologiques. Importante collection de 6 400
souches.
Sur le site Arnaud de Villeneuve, on rencontre :
Quelle est l’offre de ces plateformes ?
Chaque plateforme produit une offre spécifique qui peut aller de la simple prestation à la conduite de projets collaboratifs
de R&D. Elles interviennent également
dans des actions d’expertise-conseil,
d’évaluation de dispositifs médicaux, de
mise à disposition de moyens, d’accueil
d’entreprises émergentes, de formation.
Quel est l’impact sur le CHRU ?
Notre établissement possède des moyens
expérimentaux de pointe et des expertises reconnues dans des domaines d’excellence.
L’accès à ces moyens dans le cadre de
partenariats académiques et industriels
permet au CHRU d’être un acteur majeur pour la recherche et les développements menés dans la région.
Cette ouverture contribue à la valorisation de l’activité de la recherche au
CHRU et participe au rayonnement de
notre établissement.
Yves EL KAïM. 3
• L’équipe de la Plateforme de microdis-
section laser : isolation de cellules sur tissus ou cultures cellulaires en fonction de
leurs caractéristiques phénotypiques ou
fonctionnelles.
Sur le site Lapeyronie :
• La Plateforme APANUT Santé : réalise
des études en nutrition humaine. 6 autres
plateformes sont en cours de structuration
et feront l’objet d’un affichage prochain.
Contact
Pour mise en relation
et renseignements
complémentaires,
n’hésitez pas à nous contacter !
[email protected]
Tél : 04 67 33 09 50
Savoir faire
«Après la chirurgie,
vous pourrez retrouver
une vie normale»
Staff médical de gauche à droite : Dr R. Altwegg, Dr L. Cabaniols, Dr M. Cayrac, Dr G. Parelon, Dr F. Guillon.
La chirurgie de la statique pelvienne et d’incontinence
La chirurgie, une solution
pour remédier à la descente d’organes
et l’incontinence
Fuite urinaire et anale, descente d’organes,
incontinence, pour ces pathologies, souvent
taboues, une solution peut être proposée à
l’hôpital : la chirurgie.
Pratiquée en gynécologie-obstétrique, cette
spécialité se réalise désormais au CHRU
avec l’arrivée d’un médecin formé dans l’un
des centres référents nationaux.
Le département de gynécologie-obstétrique a diversifié son offre de soins avec
l’arrivée d’un nouveau chirurgien spécialisé dans la chirurgie de la statique
pelvienne et de l’incontinence urinaire.
Le Dr Mélanie Cayrac, en poste depuis
près d’un an à l’hôpital, a été formée dans
l’un des centres référents français sur ce
sujet, (CHU de Nîmes) et travaille en collaboration avec les équipes internes d’urologie (Dr Cabaniols), de chirurgie digestive
(Dr Guillon) et de gastro-entérologie (Dr
Altwegg, Dr Parelon).
Ensemble, ces spécialistes forment l’équipe
spécialisée en statique pelvienne et incontinence.
4
Pour une qualité de vie
nettement améliorée
Ils apportent une réponse aux femmes qui
ne vivent qu’en fonction des symptômes
liés au prolapsus ou à l’incontinence urinaire et anale : boule vaginale, pesanteur
pelvienne, pesanteur vulvaire, symptômes
urinaires (blocages mictionnels, difficulté à
uriner, à vider la vessie, incontinence à l’effort,
incontinence par urgence, envie fréquente
d’uriner, réveils nocturnes pour uriner, infections urinaires à répétition). Les symptômes
digestifs sont aussi pris en considération
tels que la constipation, avec impossi-
bilité d’exonérer et
poussées défécatoires
importantes, ou l’incontinence
anale.
Ces patientes sont
souvent obligées de
calculer leurs sorties, de se garnir,
de chercher les toilettes, etc.
Proposer une solution chirurgicale
L’intervention chirurgicale est la dernière
proposition de traitement. Elle est une
solution quand les
traitements médicaux
ne font plus effet,
quand la rééducation
ne marche plus et
malgré la pose d’un
pessaire (dispositif in-
Equipe d’urologie de gauche à droite : Dr L. Cabaniols, M-N Bernassau, L. Genoyer, Dr M. Cayrac.
Equipe de gynécologie de gauche à droite : D. Tersac, I. Comte, M-L Baller.
tra-vaginal qui maintient les organes).
Une intervention au cas par cas
Les cas sont discutés en RCP une fois par
mois et les spécialistes réalisent ensemble
les interventions. Plusieurs possibilités
sont envisagées.
L’opération peut se faire par voie abdominale, avec la cœlioscopie (parfois avec
assistance robotique) sous anesthésie générale, ou par voie naturelle. La patiente a le
choix entre une anesthésie générale ou loco-régionale. Cela dure environ 2 heures.
Cette intervention est peu douloureuse.
2 à 3 jours d’hospitalisation post-
opératoire sont nécessaires. Le retour à
domicile se fait avec une prise d’antalgiques, des bas de contention et une
anticoagulation pour éviter la phlébite, pendant 3 semaines. A la question
«retrouve-t-on une vie normale ?» le
Dr Cayrac répond « c’est le but! ».
Il faut 2 mois au moins pour véritablement retrouver une qualité de vie sans
précédent. L’équipe suit les patientes
opérées afin de réaliser des évaluations
anatomiques (organes), mais aussi fonctionnelles (symptômes).
Dossier
Objectif Lettre
N°266 - Novembre 2013
LA DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES ET DE LA FORMATION (DRHF)
Une politique
qui nous concerne TOUS
La Direction des Ressources Humaines et de la Formation du CHRU a renforcé ses actions auprès
des agents et renouvelé ses axes de travail pour « coller » davantage avec la réalité du terrain
et le contexte économique. Objectif Lett re a rencontré Romain JACQUET, directeur des Ressources
Humaines et de la Formation, pour faire le point sur cette nouvelle politique et en comprendre
les enjeux.
« Un projet construit
pour TOUS les personnels »
Objectif Lettre : Aujourd’hui, comment définiriez-vous les missions
d’une DRH dans un établissement
public de santé ?
Romain Jacquet : Recruter, accompagner les parcours professionnels, prévoir
les compétences nécessaires, croiser les
besoins de l’institution avec ceux de chacun, gérer la masse
salariale, favoriser le dialogue social, sont quelques-uns des
défis quotidiens de la gestion des ressources humaines. Les
grands enjeux et les évolutions des ressources humaines du
CHRU accompagnent les changements techniques, managériaux ou organisationnels, afin de contribuer à renforcer l’innovation, la performance et la qualité des soins.
Aujourd’hui, l’établissement doit aussi tenir compte de la
nécessité d’intégrer davantage l’individualité dans le management des équipes. Le succès personnel de chacun et celui du
CHRU de Montpellier sont intimement liés.
Les métiers hospitaliers exigent implication et engagement de
la part des professionnels puisqu’il s’agit de côtoyer la maladie,
la souffrance, d’accompagner la fin de vie et de prendre en
compte le patient, en lien avec sa famille.
En même temps, le patient a changé. Il est devenu acteur de
son parcours de soins, avec un niveau d’exigence accru sur le
niveau de sécurité et de qualité du parcours de soins.
En ce sens, le projet social constitue le socle de la stratégie des
ressources humaines.
OL : Le projet social semble être la pierre angulaire du Projet d’Établissement. Comment a-t-il
été construit ?
R.J. : C’est en effet un élément fort du projet d’établissement
2013-2017.
Il a été construit autour de la notion de communauté hospitalière pour tous les personnels médicaux, paramédicaux, techniques, logistiques ou administratifs.
La méthode a privilégié les échanges en associant étroitement
les partenaires sociaux dans un dialogue social actif.
Nous avons intégré notamment le niveau d’exigence des usagers, la concurrence avec les établissements de santé privés et
la nécessité de garantir nos financements par une activité de
soins soutenue.
Le comité de pilotage et chaque groupe de travail ont pris soin
d’élaborer les plans d’actions en lien avec les autres parties du
5
projet d’établissement notamment le management, les soins et
la formation.
D’autres enjeux comme la place centrale de l’encadrement
médical et non médical sont venus nourrir la définition des
actions.
OL : Comment relier ce projet social à notre
actualité ?
R.J. : Le projet social doit permettre d’anticiper les évolutions pour
proposer une politique des ressources humaines actuelle adaptée
aux enjeux humains et économiques de notre établissement.
Dossier
Evolutions des effectifs avec l’intégration de nombreux
jeunes professionnels et, le défi de la séniorisation.
Evolutions des techniques et des activités qui supposent
l’adaptation des compétences, l’intégration des nouveaux
métiers ; le maintien et le développement des niveaux d’excellence ; l’accompagnement des réorganisations.
Evolutions de l’environnement dans un contexte budgétaire
contraint, avec une concurrence locale forte. Le rapport au
travail a évolué, en raison notamment des conditions de vie
extra-professionnelle (centres d’intérêts divers, difficultés à
ménager des temps de repos, logement…).
OL : Est-ce que le contrat de performance signé
l’année dernière par le CHRU, vient impacter vos
organisations ?
R.J. : Oui, beaucoup d’équipes ont été sollicitées pour réfléchir et proposer de nouvelles organisations de travail. Nous
avons notamment mobilisé en interne une équipe spécifique
pour accompagner les agents concernés par les redéploiements ou les réorganisations en cours (cf. interview zoom
page 3).
OL : Comment se concrétise le projet social ?
R.J. : 5 axes majeurs et 46 actions constituent la trame de
la politique de gestion des ressources humaines pour les 5
prochaines années.
1 Attractivité, fidélisation, reconnaissance des personnels
Les ressources humaines constituent de véritables
richesses en initiative, innovation, amélioration continue
de la qualité de prise en charge en soins des patients.
Le CHRU de Montpellier a une place de leader et la
gardera dans le domaine de la santé par l’implication des
personnels qui, en retour, attendent que soient reconnues
leurs compétences et leur excellence.
Rendre le CHRU attractif passe, par exemple, par la création de nouveaux sites internet et intranet qui vont permettre de faire partager plus d’informations, de créer des
communautés de réflexion en interne et de développer les
réseaux professionnels.
2 Prévenir les risques professionnels et améliorer les conditions de travail
A l’hôpital, les risques professionnels sont multiples :
chimiques, biologiques, physiques, ionisants ou psychosociaux… Les conditions de vie familiale et les évolutions sociétales contribuent à accentuer ces risques.
Il devient indispensable de prendre en compte au plus
haut niveau ces dimensions de protection de la santé des
personnels et de bien-être au travail.
Ce projet passe obligatoirement par l’implication forte
des décideurs, du management de proximité et des partenaires sociaux.
3 Qualité de vie au travail, dialogue social
et culture d’établissement
6
La première partie de ce plan d’actions vise à simplifier
l’organisation entre vie professionnelle, familiale et sociale. Permettre aux personnels de se dégager de leurs
impératifs quotidiens laisse la place à un exercice professionnel plus serein, notamment grâce à des propositions
de services et grâce au Plan de Déplacement Entreprise.
La deuxième partie a pour objectif de consolider le dialogue social en réaffirmant un travail commun avec les
représentants du personnel. C’est le premier maillon de
la participation de tous à la vie de l’institution.
La troisième partie propose de valoriser notre culture
commune, source d’un sentiment d’appartenance.
4 Gestion Prévisionnelle des Métiers
et des Compétences
Cette orientation stratégique s’inscrit dans la continuité
du précédent projet social. Son objectif est d’ajuster les
emplois et métiers aux évolutions du CHRU. Pour cela,
il est nécessaire d’anticiper, d’identifier les écarts entre
les besoins actuels et futurs en termes de métiers et de
compétences afin d’adapter continuellement l’outil hospitalier à l’évolution des prises en charge, aux défis technologiques et aux grands enjeux de santé publique.
Objectif Lettre
Dossier
N°266 - Novembre 2013
5 Maintien dans l’emploi, handicap, et seniorisation
Les établissements de santé recherchent des solutions pour
le maintien dans l’emploi car les contraintes spécifiques aux
hôpitaux (horaires atypiques, efforts physiques, intensification du travail..) exigent des réponses adaptées souvent complexes.
Il s’agit d’accompagner les Pôles hospitalo-universitaires dans
la nécessaire conciliation des impératifs de fonctionnement de
la structure et du respect des contraintes de santé de chacun.
Le projet affirme aussi la volonté de l’établissement de
mieux accompagner les personnes en situation de handicap.
Les actions visent à sensibiliser l’encadrement et les équipes,
faire évoluer les représentations sur le handicap. Les personnes ne doivent plus avoir peur d’exposer leur situation
pour bénéficier d’un accompagnement spécifique.
Il est également indispensable d’organiser les conditions
favorables à la transmission des savoirs entre générations de
professionnels.
Zoom sur l’EAP : une équipe pour vous accompagner.
Constituée dans le cadre du Contrat de performance, l’Equipe d’Accompagnement Professionnel est mobilisée pour accompagner
les agents concernés par les redéploiements ou les réorganisations en cours au CHRU.
Anne-Marie Clément, Laurent Facon et Valérie Gorrias-Gay constituent l’EAP. Ils nous permettent de faire le point sur nos situations
professionnelles et personnelles en toute confidentialité. Ils nous accompagnent pendant toute la démarche d’accompagnement
dans la construction et l’orientation de notre projet professionnel. L’EAP intervient sur la base de rendez-vous individuels.
« Trouver un équilibre
entre vie professionnelle,
vie personnelle, motivation
et poste à pourvoir »
Gérald CALLEY, sécurité sûreté incendie, assure le filtrage de la barrière à La Colombière et Laurent BOUET, ASH à la crèche.
L’une de leurs premières interventions s’est réalisée aux côtés
de l’équipe des chauffeurs internes du CHRU. Cette activité
de transports a été externalisée. Hors de question pour l’établissement de licencier ces agents.
L’EAP les a donc accompagnés dans l’élaboration de leur nouveau projet professionnel et leur affectation. Récit croisé des
accompagnants et des accompagnés.
Objectif Lettre : Comment vous êtes-vous
préparés à cet accompagnement ?
Laurent et Gérald : On était très inquiets face à ce changement
qui s’imposait à nous : à quel endroit on allait travailler, estce que nos horaires allaient changer et donc quel impact cela
aurait sur nos vies de famille. Notre avenir était en jeu. On est
allé au premier rendez-vous avec des appréhensions.
Laurent Facon de l’EAP : Pour nous aussi c’était 7
une première. On savait qu’on allait rencontrer
des personnes qui venaient d’apprendre une
(très) mauvaise nouvelle. Le contexte n’était pas
évident pour cette première rencontre. Néanmoins, nous avions préparé nos rencontres en
ayant en tête tous les facteurs à prendre en
considération. Nous avions un certain nombre
de postes disponibles (il y en avait plus que le nombre d’agents)
mais il n’était pas question pour nous et la DRH de les posi-
Dossier
tionner sur des postes sans avoir fait, ensemble et au préalable,
une évaluation professionnelle et familiale.
OL : Comment s’est passée la première rencontre ?
Laurent et Gérald : Cela s’est très bien passé. Nous avons tout
de suite été rassurés. Pourtant cela n’a pas enlevé l’appréhension que nous avions de devoir occuper un nouveau poste.
OL : Comment se sont passés les premiers jours
dans votre nouveau service ?
Laurent : Pour moi le premier jour a été difficile car je me
demandais « qu’est-ce que je fais là ? » même si j’ai choisi le
poste, j’ai eu l’impression de repartir en bas de l’échelle professionnelle. Heureusement mon cadre a été super. Nous avons
beaucoup communiqué et je sais que j’ai ma place à part entière dans le fonctionnement de la crèche.
Laurent F. : De mon côté cela n’a pas été évident. J’ai l’habitude
de rencontrer un public en difficulté, de par mon
métier d’assistant social mais là les « cartes
» étaient différentes puisque l’on avait touché au métier de la personne. Les chauffeurs avaient la sensation d’être complètement remis en cause. La DRH a mis des
moyens pour les accompagner mais quand
on touche à l’humain, c’est difficile. On a eu
affaire à des agents qui ont « joué le jeu ». Même
si pour certains le projet a été plus long à mûrir.
OL : Comment s’est déroulée la
période d’accompagnement ?
Laurent et Gérald : Cela a été une période stressante avec les mêmes questions qui revenaient
sans cesse : on m’a enlevé mon camion, qu’estce que je peux bien faire maintenant ? Mon
camion représentait tout, comment je vais faire
dans un nouveau service ? L’EAP a vraiment bien tenu son
rôle. Elle a toujours été là et bien présente, en répondant à
toutes nos questions.
Laurent F. : Pendant cette période, nous avons eu un véritable
soutien de la DRH et de ses services, notamment de la mobilité interne et de la gestion des carrières. Nous étions en face
d’agents qui avaient pratiquement perdu toute identité professionnelle en perdant leur camion. Certains n’avaient jamais
fait de CV. Nous avons donc travaillé avec (une) méthode,
main dans la main avec la DRH. Il a fallu trouver un équilibre
entre vie professionnelle et vie personnelle.
OL : Comment s’est choisie votre nouvelle
affectation ?
Laurent et Gérald : Nous avons déterminé nos priorités professionnelles et personnelles et étudié la liste des postes à pourvoir. Les chauffeurs faisaient des choix préférentiels et passaient
des entretiens avec les cadres des services concernés.
Certains chauffeurs ont eu la chance de pouvoir faire des
essais pour être sûrs de leurs choix. Pour d’autres les entre8 tiens ont été plus difficiles avec des cadres qui vivaient ces
nouvelles affectations de chauffeurs comme des obligations.
Gérald : Pour ma part j’ai mal vécu de devoir refaire mes
preuves, je me sentais comme un étranger dans ma propre
communauté hospitalière.
Gérald : Pour moi ça s’est très bien passé car j’ai eu un mois de
formation. Ma prise de poste a donc été plus simple. De mon
côté aussi l’encadrement m’a soutenu et soutient encore mon
désir de perspective de carrière. Mon poste actuel me sert de
tremplin pour évoluer.
Laurent F. : Nous venons de faire les bilans de prise de poste
et dans la majorité des cas cela se passe bien.
Les « anciens » chauffeurs occupent désormais de nouveaux
postes et les occupent bien. Leurs nouveaux cadres sont
contents de ces nouveaux agents.
Ils ont été acteurs de leurs changements et nous les remercions
pour ça. La mission de service rendu aux patients et pour la
communauté hospitalière en ressort grandie.
Comment contacter l’EAP ?
- Par son encadrement,
- Par la médecine du travail (dans le cadre
du maintien dans l’emploi),
- Par la DRH,
- Par la psychologue du service Santé
au Travail.
Mail : [email protected]
“
Rédaction : Bénédicte BOUTIN-MOSTEFA, Martine DECHAVANNE, Valérie GORRIAS-GAY.

Infos plus
Le complément du Journal Interne du CHRU de Montpellier
Trombinoscope de la Qualité
La Direction Qualité et Gestion des Risques vous accompagne au quotidien
dans de nombreuses démarches.
Mais qui sont ces professionnels ?
Qualité
Novembre 2013
Qui sommes-nous ?
La mise en place du dispositif de pilotage de la certification et la venue des experts en mars 2015 est
l’occasion pour l’équipe de la DQGR de se présenter pour vous accompagner au mieux dans cette démarche.
Quels sont les enjeux
de la prochaine certification ?
En effet, l’enjeu de la V 2014 porte sur une certification plus continue et mieux synchronisée.
Le programme qualité et sécurité des soins doit donc en être la pierre angulaire afin d’éviter l’empilement
des dispositifs et d’intégrer la démarche de certification au fonctionnement de l’établissement.
Pour le CHRU de Montpellier le Programme qualité et sécurité des soins s’articule autour de 3 axes :
• Développer une culture partagée de la sécurité des soins et des pratiques managériales,
• Assurer la qualité et sécurité des soins,
• Développer un climat de confiance et de satisfaction des usagers des partenaires internes et externes.
Quelles sont les nouveautés
de la certification V 2014 ?
Au regard des enjeux de certification V 2014, la HAS a développé de nouveaux outils tels que :
• Le profil de risque : en amont de la visite, ce profil est établi par la HAS afin de cibler les points
à investiguer lors de la visite. Ce profil est établi en fonction notamment des activités de l’établissement,
de la présence de certaines spécialités, de la taille de l’établissement, …
C’est un message fort qui est adressé aux établissements : nous devons connaître et agir de manière
déterminée sur les risques
• L’audit de processus : appelée «évaluation par traceur système», cette démarche permet d’évaluer
le travail réel. Par exemple, la réalisation d’un traceur système sur un événement indésirable
permet d’évaluer l’application du processus de gestion de ces événements dans les secteurs d’activité.
• L’audit patient traceur : s’inscrit dans la continuité des audits de processus afin de vérifier
au travers d’un dossier patient la réalité de l’activité.
Qui fait quoi ?
Amélie CHARRETIER, Directrice
Principales attributions
• Elaboration et coordination de la politique et du programme en lien avec le coordonnateur
de la gestion des risques,
• Pilotage de la politique de contractualisation avec les pôles (avenant, indicateurs, intéressement) ,
• Pilotage du projet de certification,
• Représentation de la DQGR auprès des instances de l’établissement,
• Encadrement de l’équipe de la direction,
• Animation des instances internes à la qualité avec le coordonnateur de la gestion des risques.
Jean-Paul BOUCHARD, Directeur Adjoint

Principales attributions
• Adjoint au directeur de la qualité et de la gestion des risques
• Pilotage des dispositifs liés aux risques majeurs :
- Plan blanc
- Plans d’urgence
• Représentation de la direction au sein du :
- CLAN
• Représentation de la direction auprès du CLIN

Marie-Hélène REQUENA-LAPARRA, Directeur des Soins
Principales attributions
• Lien entre la Direction des Soins et la Direction Qualité – Gestion des Risques,
• Elaboration, pilotage et évaluation de la politique et du programme Qualité – Gestion des Risques,
• Avenants des pôles,
• Pilotage du dispositif coordonné de gestion des risques.
• Certification HAS,
Dr Josh RUBENOVITCH, Coordonnateur Opérationnel Médical
Principales attributions
• Lien entre la CME et la Direction Qualité - Gestion des Risques : médicalisation,
• Elaboration, pilotage et évaluation de la politique et du programme Qualité - Gestion des Risques,
• Avenants des pôles,
• Pilotage du dispositif coordonné de gestion des risques,
• Certification HAS,
• Développement professionnel continu.
Valérie DUROZARD-VERDAGUER, Ingénieur qualité gestion des risques
Principales attributions
• Certification HAS,
• Enquêtes,
• Gestion documentaire,
• Systèmes de management qualité spécifiques (BSP, Lactarium) ,…
Brigitte COMPAN, Responsable qualité, gestion des risques
Principales attributions
• Accréditation JACIE,
• Risques a priori,
• Certification HAS.
Bernadette VIGOUROUX, Cadre de Santé Sage Femme
Principale attribution
• Référent Bloc - COBLOC - AMOA.
Michèle BONNIN, Chargée de projets
Principale attribution
• Méthodologie et accompagnement de l’EPP dans le cadre du DPC.
Gentiane ROCHAT, Technicien Supérieur Hospitalier
Principale attribution
Xavier DERZKO,
Technicien Supérieur
Hospitalier
Karine SOCCORO,
Marie-Sophie SOLER,
Marielle BODY,
Principales attributions
Principale attribution
• Enquêtes de satisfaction,
• Secrétariat
• Gestion documentaire,
• Outils informatiques qualité.

• Responsable de la gestion des événements indésirables.
Objectif Lettre
A noter
N°266 - Novembre 2013
Bienvenue à
19 décembre 2013
M. Jean-Noël JACQUES
8ème journée
d’éthique
bio-médicale
de Montpellier
qui a pris ses fonctions de délégué régional de la
Fédération Hospitalière de France (FHF) pour le
Languedoc Roussillon. Il a pour mission d’organiser au niveau régional la concertation et l’action
collective de tous les hôpitaux et établissements
médico-sociaux publics de la Région. Il assure
également leur représentation auprès des autorités de tutelle et des autres fédérations hospitalières.
Pour cette édition le thème
retenu est « Procréation à
la carte : quel est le rapport
Bénéfice/Risque », sous
la présidence de Delphine
Horvilleur (rabbin et journaliste). Rendez-vous à la salle
Rabelais à partir de 9h30,
entrée libre.
M. Thierry VELEINE
qui a pris ses fonctions de directeur des Investissements et de la Logistique au CHRU. Sa direction
coordonne l’activité des Achats et Approvisionnements, de la Logistique et des Transports, des Travaux et du Biomédical et de la Sécurité Incendie
et Sûreté.
M. Ahmed EL-BAHRI
qui a pris ses fonctions de directeur des Finances
et du Système d’information.
Noël du Personnel
Appel à volontaires
A lire
Toute l’équipe du centre de la douleur coordonnée par le Dr Patrick GINIES a réalisé
un ouvrage de référence sur l’éducation thérapeutique du patient douloureux chronique.
Les méthodes éducatives, développées dans
le Département douleur et psychosomatique
du CHRU, pour aider le patient à dominer la
douleur chronique y sont présentées. Ce programme est validé depuis 3 ans par l’ARS.
Rendez-vous
24 janvier 2014
C
Colloque
annuel du
a
Comité Local
C
d’Ethique du
d
CHRU
C
Po cette nouvelle rencontre,
Pour
le
les professionnels vont débattre
au
autour du thème « Que vont
le
les enfants devenir ? Pour une
tran
transition sans rupture ».
Po
Pour participer à cette journé
née à la Faculté de Médecine,
in
inscrivez-vous avant le 2 janvier
20
2014.
Si vous voulez participer à la kermesse de Noël, le samedi 21 décembre, et être présent sur un stand pour accueillir les enfants du
personnel, appelez Bernard FOUCHY au 3 74 44 (jeudi matin) ou
le 3 81 87 (jeudi après-midi)
D’avance un grand merci.
CGOS
Le dossier CGOS 2014 arrivera courant novembre, pré-rempli,
pour les agents ayant constitué un dossier récemment.
Il est très simple à constituer : il suffit de vérifier les informations
qu’il comporte, de compléter uniquement les données à modifier
ou manquantes et joindre éventuellement les photocopies des justificatifs (format A4).
ATTENTION : Vous devez renvoyer le tout impérativement dans
l’enveloppe retour jointe, sans oublier de l’affranchir. Votre dossier
fera l’objet d’un traitement automatisé par lecture optique, afin de
raccourcir les délais de mise à jour.
Pour les prestations Etudes et Handicap, le dossier doit être retourné avant le 15 avril 2014.
Toute autre demande de prestation doit être envoyée séparément
vers les correspondantes CGOS ou la délégation régionale du Languedoc-Roussillon.
`
Si vous n’avez pas encore bénéficié de l’action sociale du CGOS,
vous pouvez retirer un dossier 2014 avec mode d’emploi et enveloppe retour, auprès de votre correspondante CGOS qui pourra
vous donner tous les renseignements utiles sur vos droits.
11
A noter
Agenda
Médias
Loisirs et
Culture
Retrouvez la programmation du mois sur intranet page d’accueil / loisirs-culture, ou [email protected]
ou pour plus de renseignements contactez le
correspondant de votre établissement.
Attention ! La permanence Loisirs et Culture de
Lapeyronie est transférée pendant la durée des
travaux au Niveau 0 en face de la consultation
Pédiatrique
• Festival de Montpellier Danse
Du 8 novembre au 1er avril
Ohad Naharin Batsheva, dance Company,
Benjamin Millepied, Kader Attou, Aurélien
Bory goupe Acrobatique de Tanger.
La location est ouverte.
• Lyrique
Cosi Fan Tutte : vendredi 27 décembre - 20h dimanche 29 décembre - 15h.
La Traviata : mercredi 4 juin - 20h - Opéra
Comédie.
• Concert
Concert du nouvel an : Sibelius. Strauss. Direction : Alain Lombard - mercredi 1er janvier-12h
- Opéra Berlioz
• Danse
Le lac des cygnes : Ballet de St-Petersbourg et
son orchestre
Mr et Mme Rêve : Marie-Claude Pietragalla
Le nouveau chéquier Midi Pass est disponible,
valable jusqu’au 30 octobre 2014. Tarif : 17 €
• Le grand cirque de Rome
2h de grand spectacle (chapiteau chauffé)
Du 30 novembre au 29 décembre
Venez chercher votre contre marque pour
bénéficier du tarif réduit. Gratuit pour les
enfants de moins de 3 ans
• Zénith Sud.
Bollywood Express, -M-, Robin revient, Disney
sur glace <Au bout de tes rêves>, Woodkid.
Disco (le Spectacle Musical), André Rieu, 50
et des Nuances, Voca People, Fête de la St
Patrick, Maxime le Forestier, Franck Dubosc,
Tal, Chantal Goya, M.Pokora est Robin des
Bois, Les 100 Violons Tziganes, Les hommes
viennent de mars et les femmes de vénus, Kev
Adams
• Salle Aréna.
Danse avec les Stars, Christophe Mae, Holiday On
Ice
Spectacles complets : Vanessa Paradis, Gad
Elmaleh, Stromae
France 5 - Enquête de santé
du 1er octobre 2013
Dr Mathieu LACAMBRE
Pôle urgences
Pédophilie, crime et maladie
Canal + Journal Télévisé du
4 octobre 2013
Dr Catherine ALIX-PANABIÈRES
Pôle biologie pathologie
Les Cellules Tumorales Circulantes
APM International du
8 octobre 2013
Pr Pierre BOULOT
Pôle naissance et pathologies de
la femme
Le CHRU de Montpellier
inaugure son nouvel espace de
naissance physiologique
20 Minutes du 16 octobre 2013
Dr Carole FAURÉ
Pôle naissance et pathologies de
la femme
Une collecte de soutiens-gorge
à l’hôpital
Le Figaro du 18 octobre 2013
Pr Charles MARTY-ANÉ
Pôle cœur poumon
Des opérations non invasives
contre le cancer du poumon
Midi Libre du 22 octobre 2013
Dr Richard DUMONT
Pôle urgences
Dr Cherif HEROUM
Pôle Neurosciences Tête et Cou
Reconnaitre un AVC, une
question d’urgence
Prise en charge médico-chirurgicale de
l’obésité massive
Diplôme Universitaire en e-learning sous
la responsabilité du Pr David NOCCA
Inscriptions jusqu’au 2 décembre
Renseignements : [email protected] ou [email protected]
11ème journée montpelliéraine de Soins
Palliatifs
Thème : « urgences et Soins Palliatifs :
l’impossible rencontre »
6 décembre
Corum - Montpellier
Renseignements : I. Teissier ou C. Pinelli
04 67 33 88 37 / 98 81
Journée Qualité – gestion des risques
CHRU de Montpellier et CHU de Nîmes
Thème : « Information du patient co-acteur de sa sécurité »
9 décembre
Salle Rabelais - Montpellier
04 67 33 93 57
Journée Nationale d’Informations et
d’Echanges pour les patients atteints
d’Hépatites B ou C
14 décembre – 10h-13h
Hôtel Mercure Centre - Montpellier
Renseignements : www.oseus.com
18èmes journées nationales d’études des
Cadres de Santé
Thème : Temps de travail, temps au
travail, temps du travail - La gestion du
temps de travail, entre pression sociale et
qualité du travail
16 et 17 janvier
Corum - Montpellier
Renseignements : 04 67 33 88 70 ou
[email protected]
A L’honneur
Félicitations au Pr Jérôme
COTTALORDA,
coordonnateur
du département de Chirurgie
Pédiatrique, qui a été élu président du Conseil National de la
Chirurgie de l’Enfant (CNCE).
Directeur de la Publication
Philippe DOMY
Directeur de la Rédaction
Guillaume du CHAFFAUT
Conception, Mise en page
Anne RAULT, Gaëlle FAUGIER.
Publication de la Direction des Affaires
Générales, de la Communication
et des Relations Internationales
Tél. : 04 67 33 93 43
Rédaction
Martine DECHAVANNE,
Bénédicte BOUTIN-MOSTEFA,
Jennifer RADENAC.
Impression
Delezenne - 03 21 20 05 20
N° ISSN : 1262-381
Félicitations au Pr Eric RAYNAUD de MAUVERGER, du
département de physiologie
clinique (Pr Jacques Mercier),
qui a été élu à l’Académie
Nationale de Pharmacie, en
qualité de membre correspondant national et membre de la
section « sciences biologiques ».
Photographies
Stéphanie BONJEAN, Gaëlle FAUGIER.