THÉÂTRE VIDY-LAUSANNE AV. E.-H. JAQUES-DALCROZE 5 CH-1007 LAUSANNE DOSSIER DE PRESSE ROMEO CASTELLUCCI Go down, Moses 25.10. – 28.10.2014 Salle Charles Apothéloz © SRS Presse et communication Sarah Turin / Coralie Rochat T +41 (0)21 619 45 21/74 [email protected] [email protected] www.vidy.ch ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES 2 MISE EN SCÈNE, DÉCORS, COSTUMES, LUMIÈRE : ROMEO CASTELLUCCI MUSIQUE : SCOTT GIBBONS TEXTES : CLAUDIA CASTELLUCCI ROMEO CASTELLUCCI AVEC : RASCIA DARWISH GLORIA DORLIGUZZO LUCA NAVA STEFANO QUESTORIO SERGIO SCARLATELLA ET AVEC EMMANUELLE OHL PATRICIA SCHILLACI CLAUDE PENSEYRES PIERRE IMHOF JULES HOX COLLABORATION À LA SCÉNOGRAPHIE : MASSIMILIANO SCUTO ASSISTANAT À LA CRÉATION LUMIÈRE : FABIANA PICCIOLI RESPONSABLE DE LA CONSTRUCTION DES DÉCORS : MASSIMILIANO PEYRONE SCULPTURES EN SCÈNE, PROTHÈSES ET AUTOMATISATIONS : GIOVANNA AMOROSO ISTVAN ZIMMERMANN RÉALISATION COSTUMES : LAURA DONDOLI ASSISTANAT À LA COMPOSITION SONORE : ASA HORVITZ MACHINISTES : LORENZO MARTINELLI MICHELE LOGUERCIO FILIPPO MANCINI RÉGISSEUR SON : MATTEO BRAGLIA RÉGISSEUR LUMIÈRE : DANILO QUATTROCIOCCHI PRODUCTION : BENEDETTA BRIGLIA COSETTA NICOLINI PROMOTION ET COMMUNICATION : VALENTINA BERTOLINO GILDA BIASINI ADMINISTRATION : MICHELA MEDRI ELISA BRUNO SIMONA BARDUCCI CONSULTANT ÉCONOMIQUE : MASSIMILIANO COLI PRODUCTION DÉLÉGUÉE : SOCÌETAS RAFFAELLO SANZIO EN COPRODUCTION AVEC : THÉÂTRE DE LA VILLE AVEC LE FESTIVAL D’AUTOMNE À PARIS THÉÂTRE DE VIDY DESINGEL INTERNATIONAL ARTS CAMPUS/ ANTWERP TEATRO DI ROMA LA COMÉDIE DE REIMS MAILLON, THÉÂTRE DE STRASBOURG/ SCÈNE EUROPÉENNE LA FILATURE, SCÈNE NATIONALE-MULHOUSE FESTIVAL PRINTEMPS DES COMÉDIENS ATHENS FESTIVAL 2015, LE VOLCAN, SCÈNE NATIONALE DU HAVRE ADELAIDE FESTIVAL 2016 AUSTRALIA PEAK PERFORMANCES 2016 MONTCLAIR STATE-USA AVEC LA PARTICIPATION DE : FESTIVAL TRANSAMÉRIQUE-MONTREAL REMERCIEMENT POUR LA COLLABORATION À : COMUNE DI SENIGALLIA-ASSESSORATO ALLA PROMOZIONE DEI TURISMI, MANIFESTAZIONI/AMAT RÉPÉTITION ET CRÉATION À VIDY DURÉE : 1H ÂGE : DÈS 16 ANS ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES 3 PRÉSENTATION Un personnage fascine Romeo Castellucci depuis longtemps: Moïse. Soit la figure la plus importante de la Bible hébraïque, recevant la Loi pour le judaïsme, préfigurant Jésus-Christ pour le christianisme et précédant le prophète Mahomet pour l’islam. Personnage mémoriel sans ancrage historique avéré, Moïse vit dans les écrits une existence emplie d’événements forts, symboliques, fondateurs: sauvé des eaux, confronté au mystère du buisson ardent, libérant son peuple de la captivité, recevant les tables de la loi après quarante jours passés sur le mont Sinaï, détruisant le Veau d’or façonné par son peuple… Il est celui à qui Dieu révèle une transcription de son nom, YHWH. «Nous, hommes apparemment libres d’Europe, sommes esclaves. Il faut comprendre de quoi.» Le metteur en scène italien a décidé de concevoir un spectacle avec ces fragments de vie, comme on pourrait plonger dans le cerveau d’un opéré sous anesthésie, qui rêve la vie de Moïse, ou qui rêve d’être un nouveau Moïse, pré-cognitif, dans un nouveau monde. Il y aura des failles dans l’espace-temps, à la fois des nœuds temporels et psychiques et de grands vertiges de civilisation. L’Opéra Bastille lui ayant commandé la mise en scène du «Moses et Aaron» de Schönberg pour son ouverture de saison 15/16, le metteur en scène est plongé aujourd’hui dans l’histoire débordante de significations et de paraboles du premier prophète. Castellucci reprend un titre de Faulkner, lui-même emprunté à un chant d’esclaves noirs, en référence à la sortie d’Egypte. Il s’interroge : «Nous, hommes apparemment libres d’Europe, sommes esclaves. Il faut comprendre de quoi.» Dans «Go down, Moses», Romeo Castellucci engage son travail plastique et sonore dans une impasse justement établie par Moïse: l’interdit de l’image. © SRS ROMEO CASTELLUCCI Go down, Moses 25.10. – 28.10. Salle Charles Apothéloz Samedi 25.10. 19h Dimanche 26.10. 17h Lundi 27.10. 20h Mardi 28.10. 20h GO DOWN, MOSES EN TOURNÉE 2014 Théâtre Vidy-Lausanne 25.10 – 28.10. Théâtre de la Ville, Paris, FR 4.11. – 11.11. deSingel, Anvers, BE 20.11. – 22.11. 2015 La Filature, Scène nationale, Mulhouse, FR 21.3. – 22.3. Le Maillon, Strasbourg, FR 26.3. – 28.3. ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES NOTE D’INTENTION Ce travail transfigure les différents épisodes de la vie de Moïse, tels qu’ils sont racontés dans le Livre de l’Exode. Il y a, dans les aventures de cet homme, quelque chose qui est propre à la substance même de notre temps. Comme pour le Moïse de Michel-Ange – évoqué dans les pages que Freud a consacrées à cette œuvre – le prophète du monothéisme est ici présenté comme un homme qui réagit aux épreuves que ce Dieu – sans nom et sans image – lui impose: l’abandon de son corps nouveau-né aux eaux du Nil, le mystère du Buisson Ardent, où se manifeste – dans le kabod – l’éblouissante et insoutenable splendeur de la gloire de YHWH, les quarante jours passés sur le Mont Sinaï où il reçoit les Tables de la Loi et enfin, à son retour, la découverte du Veau d’or façonné par son peuple pour être adoré. Le personnage de Moïse se dissout dans la succession des scènes qui négligent la narration biographique pour mieux s’intéresser aux idées, aux sentiments et aux caractères qui annoncent une révélation agissante encore aujourd’hui, dans notre présent. Moïse est soumis au regard du spectateur, rendant plus concret chaque élément du spectacle, conçu comme une succession de tableaux et de fragments; vibrations psychiques qui émergent comme des altérations dans l’espace-temps de notre vie quotidienne obscurément perçue comme un exil. Le titre évoque le célèbre spiritual des esclaves d’Amérique qui s’identifiaient au peuple hébreu, symbole prophétique de leur retour en Afrique. Les Israélites, capables d’échapper à l’exil de Babylone et – grâce à Moïse – de se libèrer de la captivité d’Egypte, étaient, en même temps, le symbole de la prochaine libération des esclaves d’Amérique, ainsi que maintenant le chant des esclaves en Amérique peut signifier l’état de notre esclavage incorporel, en exil de l’être. Deux images en effet, conduisent et dirigent ce long spectacle, comme les deux côtés d’une même médaille: le Buisson Ardent d’une part, qui constitue l’image vraie, celle qui est la négation de toute représentation «je suis celui qui est», et d’autre part le Veau d’or qui, à l’inverse, constitue l’image fausse et le revers négatif de cette même phrase. Tout ce qui se trouve entre les deux est le sujet de ce travail. TRADUIT DE L’ITALIEN PAR JEAN LOUIS PROVOYEUR Images de répétitions © Luca Del Pia 4 ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES Images de répétitions © Luca Del Pia Images de répétitions © Luca Del Pia Images de répétitions © Luca Del Pia 5 ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES ENTRETIEN AVEC CASTELLUCCI (...) Etes-vous hérétique ? Je ne pourrais payer ce prix. Je suis lâche. Et je ne comprends plus toujours les limites de la liberté de l’artiste dans ce monde sans tabous où elles bougent tout le temps. J’ai un sentiment d’échec. La seule chose dont je sois sûr, c’est que, au théâtre, on n’a pas le droit de montrer la réalité. La vraie violence, le vrai sang. Au théâtre, l’interdit, c’est la réalité. Je ne crois pas au théâtre-vérité. Au théâtre, tout doit être faux. Le théâtre, c’est la pure fiction, l’impossible conjonction de l’espace et du temps, l’ailleurs. Car seul le faux permet le travail de l’intelligence, fait que le spectateur n’est pas l’otage de ce qu’il voit. Vous connaissez le fameux paradoxe des sophistes grecs: celui qui est trompé connaît mieux la vérité que celui qui ne l’est pas… La vérité fige, empêche le sens de rayonner, enferme dans la mort. C’est un poids dont il faut se libérer. Il faut cacher, voiler la vérité. Le plaisir du théâtre est obscur. (...) Vous ne vous doutiez pas que «Sur le concept du visage du Fils de Dieu», avec ce père englué dans la merde et ce visage du Christ bientôt incendié, allait le susciter? Je n’avais pas imaginé les réactions si violentes d’un public catholique intégriste. D’autant que je n’ai jamais souhaité me moquer d’une religion dont je suis proche. Je crois aujourd’hui que ce ne sont pas les excréments qui ont choqué, mais ce regard de Jésus qui fixe chaque spectateur. Il est insupportable. Nous, les voyeurs, qui nous repaissons aujourd’hui de tant d’images, nous voilà soudain mis à nu par ces yeux doux et tendres qui nous observent avec infiniment de mélancolie. On l’a un peu oublié aujourd’hui, mais le Christ, incarnation de Dieu sur terre, est le premier modèle de l’histoire de l’art, celui à partir duquel les peintres ont imaginé les premiers portraits, les premiers visages. Il est sans doute aussi le premier «acteur», celui que Dieu a «mis sur le plateau du monde», comme l’enseignent les Pères du désert. Et la croix n’est-elle pas le plus petit espace scénique possible? Mais le lien entre l’art et la religion s’est perdu en Occident au XIXème siècle. Quand l’Eglise, comme l’a expliqué le cinéaste et poète Pier Paolo Pasolini, a trop versé dans la communication, le spectacle. Quand elle a perdu l’esprit. Le religieux occidental est alors devenu stéréotypé, consolatoire. Pourtant l’art a toujours eu affaire avec la religion, ils sont nés en même temps, à l’intérieur d’une caverne, dans un rapport sororal. Sororal ? Les premières divinités représentées sont des femmes, des déesses mères aux seins lourds. Et on peut imaginer, comme certains paléontologues réputés, que les premières peintures des cavernes ont aussi été réalisées par des femmes qui attendaient le retour des hommes de la chasse. Pour moi, la science du corps, la grâce du corps, du geste, sont purement féminines, et la femme représente l’absolu de l’image. Il n’y a que des femmes dans «The Four Seasons Restaurant». La foi nourrit-elle toujours votre travail ? Je n’oserais pas dire que je suis chrétien, les responsabilités qui s’attachent à ce mot sont lourdes; et je n’aime guère la consolation que certains chrétiens attendent de leur religion. Je me sens davantage «christique», portant en moi les blessures du Christ. Car il vaut mieux être blessé que consolé. Le devoir de l’artiste est de rajouter des questions, des problèmes. On a besoin de ces problèmes qui nécessitent des choix. Aujourd’hui, dans ce monde débordant d’informations, d’images, où on est spectateur tout le temps, de tout, nous sommes obligés de choisir. Or on choisit mieux face à un problème. Le problème devient ainsi une espèce de bonheur. 6 ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES (...) Vous dénoncez les images, mais vous faites pourtant un théâtre d’images, presque sans mots ? C’est vrai. Ça pourrait sembler un paradoxe… Sauf que les images que je défends ne sont pas à deux dimensions comme celles de la publicité, mais à trois. Et la troisième dimension, c’est le temps de la représentation. Qui change tout à la perception, l’approfondit, la densifie. Pourtant, au théâtre, une image n’est puissante que lorsqu’elle échappe, lorsqu’elle est fragile. Une vraie image doit être à l’abri des regards. Pour mieux pousser du visible à l’invisible. C’est cette tension qui fait sa force. Ainsi une image «forte», au théâtre, est une image qui dépasse la question même de l’image, qui incite au silence, au recueillement. Par exemple, quand je travaille un spectacle et règle sur le plateau, disons, deux «images» A et B, c’est ce qui se passe entre elles, soit C, qui m’intéresse. Soit l’image qui manque et que vont créer, s’imaginer dans leurs têtes, les spectateurs. Comment viennent les images spectaculaires et terribles de vos spectacles ? Généralement avant les mots; mais toujours de manière périphérique. Comme des rayons qui passent. Il faut être attentif. J’ai constamment un cahier de notes sur moi. Car les images surgissent n’importe quand, lorsque je téléphone ou regarde n’importe quoi. Après, il faut vérifier leur nécessité. Le temps est pour ça un outil extraordinaire. Au fur et à mesure, j’enlève, j’enlève, comme un sculpteur. La discipline qui m’est la plus proche est la sculpture. Une image est un point qui doit briller dans le temps. Un temps ni trop long ni trop court. Il faut en trouver le rythme, c’est un travail quasi musical: écrire le temps… D’où vous est venu le goût de l’image ? Sans doute des livres d’histoire de l’art de ma sœur aînée, qui étudiait aux Beaux-Arts de Bologne. Je faisais, moi, des études d’agriculture. Quand je regardais ces bouquinslà, j’étais fasciné par ce monde irréel. J’aurais passé ma vie devant pareils tableaux. D’autant qu’en Italie on est très jeune initié au beau: le moindre village possède une église où sont exposées des toiles superbes. Chacun peut en faire l’intime expérience. Même quand on appartient à un milieu modeste comme était le nôtre. Père émigré en Belgique pour y être mineur et mort très jeune de la silicose, mère institutrice. Je n’ai jamais quitté la petite ville de Cesena, en Emilie-Romagne, près de Bologne, où j’ai grandi. J’y travaille avec ma sœur, ma femme, quelques-uns de mes enfants. (...) Comment vous sentez-vous dans l’Italie d’aujourd’hui ? Il faut tout reconstruire. Pendant vingt ans, nous avons vécu dans un désert culturel, le maillage socio-culturel a été détruit, notre patrimoine, abandonné. On n’a eu que la télé. Tout était mort. Mais je déteste les lamentations. S’ils ne sont ni prophètes, ni philosophes, ni sociologues, les artistes doivent créer des taches d’opacité dans cette société prétendument transparente et mettre du poison dans le circuit. C’est leur plus beau cadeau à la société, pour la faire réagir. Moi, j’ai besoin d’ombre, de nuit. Pour mieux brûler sur scène avec les acteurs. Etre une torche vive. Et disparaître, m’effacer. FABIENNE PASCAUD, «TÉLÉRAMA», N°3260 7 ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES ROMEO CASTELLUCCI Romeo Castellucci est certainement un des artistes les plus libres et les plus novateurs de notre temps. Avant de fonder en 1981 la Socìetas Raffaello Sanzio avec Chiara Guidi et Claudia Castellucci, Romeo Castellucci a fait les BeauxArts de Bologne. Ce n’est donc pas un hasard si le théâtre qu’il invente se fabrique tout autant avec des acteurs et des danseurs qu’avec de la musique, de la lumière, des références picturales, des images et des machines complexes. Un travail d’une grande sophistication, qui fait appel à l’artisanat théâtral traditionnel comme aux nouvelles technologies les plus performantes. Un art de la scène qui entend produire du sens aux yeux du spectateur, auquel il est demandé d’être un partenaire privilégié, indispensable pour que se développe un véritable partage de cette expérience d’une perception visuelle et auditive intense. Persuadé que les mots ont «un poids spécifique plus lourd que les objets et les images», Romeo Castellucci est très attentif à leur emploi. Ce qui n’empêche nullement la compagnie de s’intéresser aux grands textes dramatiques et littéraires, tel ceux tirés du théâtre grec, toujours comme fondement d’une recherche plutôt que comme élément hégémonique de la représentation. Après «Hamlet», «Hänsel et Gretel», «L’Orestie», il se penche en 1998 sur «Jules César» de Shakespeare pour un premier spectacle présenté au Festival d’Avignon. S’y succéderont «Voyage au bout de la nuit» en 1999, «Genesi» en 2000, quatre épisodes de la «Tragedia Endogonidia» donnés entre 2001 et 2005, ainsi que «Hey Girl !» en 2007. Sans oublier les trois parties de la «Divine Comédie», inspirées de Dante et créées en 2008 alors que Romeo Castellucci était l’un des deux artistes associés de l’édition, et «Sur le concept du visage du fils de Dieu» joué en 2011. © Luca Del Pia 8 ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES 9 LES CRÉATIONS DE VIDY EN TOURNÉE SAISON 14-15 VINCENT MACAIGNE SÉVERINE CHAVRIER IDIOT! PARCE QUE NOUS LES PALMIERS AURIONS DÛ NOUS AIMER SAUVAGES EN TOURNÉE EN TOURNÉE CHRISTOPH MARTHALER MATTHIAS LANGHOFF DAS WEISSE VON EI CINÉMA APOLLO (UNE ÎLE EN TOURNÉE FLOTTANTE) 2015 2014 2014 EN TOURNÉE Théâtre Vidy-Lausanne 11.9. – 21.9. Théâtre Vidy-Lausanne 25.9. – 12.10. Théâtre de la Ville, Festival d’Automne, Paris, FR 1.10. – 12.10. Nouveau théâtre de Montreuil, Montreuil, FR 1.12. – 12.12. La Criée – Théâtre National de Marseille, FR 17.10. – 19.10. HEINER GOEBBELS STIFTERS DINGE Nanterre-Amandiers, Centre dramatique national, Festival d’Automne, Paris, FR 4.11. – 14.11. le lieu unique, Nantes, FR 19.11. – 21.11. Bonlieu Scène nationale, Annecy, FR 26.11. – 27.11. EN TOURNÉE 2014 Festival Musica en partenariat avec le TJP, Centre Dramatique National d’Alsace-Strasbourg, Théâtre de Hautepierre, FR 25.9. – 26.9. MAX BLACK EN TOURNÉE 2014 National Drama Theater, Vilnius, LT 9.11. 2015 Théâtre Vidy-Lausanne 28.11. – 17.12. Le Théâtre national de Toulouse Midi-Pyrénées, Toulouse, FR 6.1. – 9.1. Le Parvis Scène nationale Midi-Pyrénées, Tarbes, FR 14.1. – 15.1. La Comédie de Reims, Reims, FR 21.1. – 24.1. De Singel Campus des Arts International, Anvers, BE 4.2. – 6.2. Onassis Cultural Centre, Athènes, GR 13.2. – 15.2. Bonlieu Scène Nationale, Annecy, FR 25.2. – 27.2. Odéon Théâtre de l’Europe, Paris, FR 11.3. – 29.3. Le Théâtre Vidy-Lausanne 17.1. – 7.2. Comédie de Genève, avec le Théâtre du Loup et le Théâtre St-Gervais 13.2. – 22.2. L’Hippodrome, Douai 11.3. – 13.3 Espace Jean Legendre, Compiègne 21.4. – 22.4. L’apostrophe, Cergy 5.5. – 6.5. Le Théâtre national de Toulouse Midi-Pyrénées 28.5. – 30.5. ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES 10 CALENDRIER DES TOURNÉES SAISON 14-15 MATHIEU BERTHOLET MASSIMO FURLAN ROMEO CASTELLUCCI MARTIN ZIMMERMANN DERBORENCE UN JOUR GO DOWN, MOSES HALLO EN TOURNÉE EN TOURNÉE EN TOURNÉE 2014 2014 2014 Le Godey, Derborence, CH 15.8. – 17.8. Théâtre Vidy-Lausanne 1.10. – 12.10. Théâtre Vidy-Lausanne 25.10 – 28.10. Théâtre de la Cité Internationale, Paris, FR 16.10. – 18.10 Théâtre de la Ville, Paris, FR 4.11. – 11.11. Théâtre du Crochetan, Monthey, CH 21.8. – 14.9. Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Luxembourg, L 12.11. – 13.11 deSingel, Anvers, BE 20.11. – 22.11. Théâtre Nuithonie, Villars-sur-Glâne, CH 15.10. – 16.10. Comédie de ClermontFerrand, FR 3.12. – 4.12 La Filature, Scène nationale, Mulhouse, FR 21.3. – 22.3. Place Maurice Zermatten, Sion, CH 21.8. – 14.9. 2015 Théâtre Vidy-Lausanne 7.5. – 13.5. Théâtre du Galpon, Genève, CH 1.6. – 7.6. MARIELLE PINSARD BORIS CHARMATZ MANGER EN TOURNÉE 2014 Théâtre Vidy-Lausanne 6.11. – 7.11. 2015 Le Maillon, Strasbourg, FR 26.3. – 28.3. EN TOURNÉE 2014 Théâtre Vidy-Lausanne 4.11. – 22.11. Le volcan, scène nationale, Le Havre, FR 16.12. – 19.12. 2015 La Filature, scène nationale, Mulhouse, FR 7.1. – 9.1. Le Merlan, scène nationale, Marseille, FR 22.1. – 25.1. Maillon-Wacken, Strasbourg, FR 3.2. – 5.2. Maison de la Danse, Lyon, FR 8.4. – 10.4. Théâtre de la Ville, Paris, FR 16.4. – 29.4. EN QUOI FAISONSNOUS COMPAGNIE… Ruhrtriennale International Festival of the Arts, Bochum, ALL 23.9. – 27.9. Espace Jean Legendre, Compiègne, FR 19.5. – 20.5. 2014 Steirischer herbst festival, Graz, AU 16.10. – 18.10 Châteauvallon, CNCDC, Ollioules, FR 3.6. – 5.6. Théâtre de la Ville, Festival d’automne, Paris 29.11. – 3.12. Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Luxembourg, L 18.6. – 20.6. EN TOURNÉE Théâtre Vidy-Lausanne 4.11. – 7.11. Le Tarmac, scène internationale francophone, Paris, FR 13.11. – 5.12. ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES CONTACTS PRESSE & COMMUNICATION : SARAH TURIN / CORALIE ROCHAT AVENUE E.-H. JAQUES DALCROZE 5 CH-1007 LAUSANNE [email protected] [email protected] +41 (0)21 619 45 21/74 WWW.VIDY.CH LE THÉÂTRE VIDY-LAUSANNE EST SUBVENTIONNÉ PAR : VILLE DE LAUSANNE, CANTON DE VAUD, FONDS INTERCOMMUNAL DE SOUTIEN AUX INSTITUTIONS CULTURELLES DE LA RÉGION LAUSANNOISE EST SOUTENU PAR : LOTERIE ROMANDE, PRO HELVETIA - FONDATION SUISSE POUR LA CULTURE, FONDATION DE FAMILLE SANDOZ, FONDATION LEENARDS, FONDATION ERNST GÖHNER, VERA MICHALSKI-HOFFMANN, ANDRÉ ET ROSALIE HOFFMANN PARTENAIRES PRIVÉS : PHILIP MORRIS INTERNATIONAL PARTENAIRE MÉDIA : LE TEMPS 11
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