Dossier du spectacle - Théâtre Vidy Lausanne

THÉÂTRE VIDY-LAUSANNE
AV. E.-H. JAQUES-DALCROZE 5
CH-1007 LAUSANNE
DOSSIER DE PRESSE
ROMEO CASTELLUCCI
Go down, Moses
25.10. – 28.10.2014
Salle Charles Apothéloz
© SRS
Presse et communication
Sarah Turin / Coralie Rochat
T +41 (0)21 619 45 21/74
[email protected]
[email protected]
www.vidy.ch
ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES
2
MISE EN SCÈNE, DÉCORS, COSTUMES,
LUMIÈRE :
ROMEO CASTELLUCCI
MUSIQUE :
SCOTT GIBBONS
TEXTES :
CLAUDIA CASTELLUCCI
ROMEO CASTELLUCCI
AVEC :
RASCIA DARWISH
GLORIA DORLIGUZZO
LUCA NAVA
STEFANO QUESTORIO
SERGIO SCARLATELLA
ET AVEC EMMANUELLE OHL
PATRICIA SCHILLACI
CLAUDE PENSEYRES
PIERRE IMHOF
JULES HOX
COLLABORATION À LA SCÉNOGRAPHIE :
MASSIMILIANO SCUTO
ASSISTANAT À LA CRÉATION LUMIÈRE :
FABIANA PICCIOLI
RESPONSABLE DE LA CONSTRUCTION DES
DÉCORS :
MASSIMILIANO PEYRONE
SCULPTURES EN SCÈNE, PROTHÈSES
ET AUTOMATISATIONS :
GIOVANNA AMOROSO
ISTVAN ZIMMERMANN
RÉALISATION COSTUMES :
LAURA DONDOLI
ASSISTANAT À LA COMPOSITION SONORE :
ASA HORVITZ
MACHINISTES :
LORENZO MARTINELLI
MICHELE LOGUERCIO
FILIPPO MANCINI
RÉGISSEUR SON :
MATTEO BRAGLIA
RÉGISSEUR LUMIÈRE :
DANILO QUATTROCIOCCHI
PRODUCTION :
BENEDETTA BRIGLIA
COSETTA NICOLINI
PROMOTION ET COMMUNICATION :
VALENTINA BERTOLINO
GILDA BIASINI
ADMINISTRATION :
MICHELA MEDRI
ELISA BRUNO
SIMONA BARDUCCI
CONSULTANT ÉCONOMIQUE :
MASSIMILIANO COLI
PRODUCTION DÉLÉGUÉE :
SOCÌETAS RAFFAELLO SANZIO
EN CO­PRODUCTION AVEC :
THÉÂTRE DE LA VILLE AVEC LE FESTIVAL
D’AUTOMNE À PARIS
THÉÂTRE DE VIDY
DESINGEL INTERNATIONAL ARTS CAMPUS/
ANTWERP
TEATRO DI ROMA
LA COMÉDIE DE REIMS MAILLON, THÉÂTRE
DE STRASBOURG/ SCÈNE EUROPÉENNE
LA FILATURE, SCÈNE NATIONALE-­MULHOUSE
FESTIVAL PRINTEMPS DES COMÉDIENS
ATHENS FESTIVAL 2015, LE VOLCAN, SCÈNE
NATIONALE DU HAVRE
ADELAIDE FESTIVAL 2016 AUSTRALIA
PEAK PERFORMANCES 2016
MONTCLAIR STATE-­USA
AVEC LA PARTICIPATION DE :
FESTIVAL TRANSAMÉRIQUE-­MONTREAL
REMERCIEMENT POUR LA COLLABORATION À :
COMUNE DI SENIGALLIA-­ASSESSORATO ALLA PROMOZIONE
DEI TURISMI, MANIFESTAZIONI/AMAT
RÉPÉTITION ET CRÉATION À VIDY
DURÉE : 1H
ÂGE : DÈS 16 ANS
ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES
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PRÉSENTATION
Un personnage fascine Romeo Castellucci depuis longtemps: Moïse. Soit
la figure la plus importante de la Bible hébraïque, recevant la Loi pour le
judaïsme, préfigurant Jésus-Christ pour le christianisme et précédant le
prophète Mahomet pour l’islam. Personnage mémoriel sans ancrage
historique avéré, Moïse vit dans les écrits une existence emplie d’événements
forts, symboliques, fondateurs: sauvé des eaux, confronté au mystère du
buisson ardent, libérant son peuple de la captivité, recevant les tables de
la loi après quarante jours passés sur le mont Sinaï, détruisant le Veau d’or
façonné par son peuple… Il est celui à qui Dieu révèle une transcription de
son nom, YHWH.
«Nous, hommes apparemment libres d’Europe, sommes esclaves. Il faut
comprendre de quoi.»
Le metteur en scène italien a décidé de concevoir un spectacle avec ces fragments
de vie, comme on pourrait plonger dans le cerveau d’un opéré sous anesthésie,
qui rêve la vie de Moïse, ou qui rêve d’être un nouveau Moïse, pré-cognitif, dans
un nouveau monde. Il y aura des failles dans l’espace-temps, à la fois des nœuds
temporels et psychiques et de grands vertiges de civilisation. L’Opéra Bastille
lui ayant commandé la mise en scène du «Moses et Aaron» de Schönberg pour
son ouverture de saison 15/16, le metteur en scène est plongé aujourd’hui dans
l’histoire débordante de significations et de paraboles du premier prophète.
Castellucci reprend un titre de Faulkner, lui-même emprunté à un chant
d’esclaves noirs, en référence à la sortie d’Egypte. Il s’interroge : «Nous, hommes
apparemment libres d’Europe, sommes esclaves. Il faut comprendre de quoi.»
Dans «Go down, Moses», Romeo Castellucci engage son travail plastique et
sonore dans une impasse justement établie par Moïse: l’interdit de l’image.
© SRS
ROMEO CASTELLUCCI
Go down, Moses
25.10. – 28.10.
Salle Charles Apothéloz
Samedi
25.10. 19h
Dimanche 26.10. 17h
Lundi
27.10. 20h
Mardi
28.10. 20h
GO DOWN, MOSES
EN TOURNÉE
2014
Théâtre Vidy-Lausanne
25.10 – 28.10.
Théâtre de la Ville, Paris,
FR
4.11. – 11.11.
deSingel, Anvers, BE
20.11. – 22.11.
2015
La Filature, Scène
nationale, Mulhouse, FR
21.3. – 22.3.
Le Maillon, Strasbourg,
FR
26.3. – 28.3.
ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES
NOTE D’INTENTION
Ce travail transfigure les différents épisodes de la vie de Moïse, tels qu’ils sont racontés
dans le Livre de l’Exode. Il y a, dans les aventures de cet homme, quelque chose qui est
propre à la substance même de notre temps. Comme pour le Moïse de Michel-­Ange –
évoqué dans les pages que Freud a consacrées à cette œuvre – le prophète du monothéisme
est ici présenté comme un homme qui réagit aux épreuves que ce Dieu – sans nom et
sans image – lui impose: l’abandon de son corps nouveau-­né aux eaux du Nil, le mystère
du Buisson Ardent, où se manifeste – dans le kabod – l’éblouissante et insoutenable
splendeur de la gloire de YHWH, les quarante jours passés sur le Mont Sinaï où il reçoit
les Tables de la Loi et enfin, à son retour, la découverte du Veau d’or façonné par son
peuple pour être adoré.
Le personnage de Moïse se dissout dans la succession des scènes qui négligent la
narration biographique pour mieux s’intéresser aux idées, aux sentiments et aux
caractères qui annoncent une révélation agissante encore aujourd’hui, dans notre
présent. Moïse est soumis au regard du spectateur, rendant plus concret chaque élément
du spectacle, conçu comme une succession de tableaux et de fragments; vibrations
psychiques qui émergent comme des altérations dans l’espace-­temps de notre vie
quotidienne obscurément perçue comme un exil.
Le titre évoque le célèbre spiritual des esclaves d’Amérique qui s’identifiaient au peuple
hébreu, symbole prophétique de leur retour en Afrique. Les Israélites, capables d’échapper
à l’exil de Babylone et – grâce à Moïse – de se libèrer de la captivité d’Egypte, étaient, en
même temps, le symbole de la prochaine libération des esclaves d’Amérique, ainsi que
maintenant le chant des esclaves en Amérique peut signifier l’état de notre esclavage
incorporel, en exil de l’être.
Deux images en effet, conduisent et dirigent ce long spectacle, comme les deux côtés
d’une même médaille: le Buisson Ardent d’une part, qui constitue l’image vraie, celle
qui est la négation de toute représentation «je suis celui qui est», et d’autre part le Veau
d’or qui, à l’inverse, constitue l’image fausse et le revers négatif de cette même phrase.
Tout ce qui se trouve entre les deux est le sujet de ce travail.
TRADUIT DE L’ITALIEN PAR JEAN LOUIS PROVOYEUR
Images de répétitions © Luca Del Pia
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ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES
Images de répétitions © Luca Del Pia
Images de répétitions © Luca Del Pia
Images de répétitions © Luca Del Pia
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ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES
ENTRETIEN AVEC
CASTELLUCCI
(...)
Etes-vous hérétique ?
Je ne pourrais payer ce prix. Je suis lâche. Et je ne comprends plus toujours les limites
de la liberté de l’artiste dans ce monde sans tabous où elles bougent tout le temps. J’ai
un sentiment d’échec. La seule chose dont je sois sûr, c’est que, au théâtre, on n’a pas
le droit de montrer la réalité. La vraie violence, le vrai sang. Au théâtre, l’interdit, c’est
la réalité. Je ne crois pas au théâtre-vérité. Au théâtre, tout doit être faux. Le théâtre,
c’est la pure fiction, l’impossible conjonction de l’espace et du temps, l’ailleurs. Car seul
le faux permet le travail de l’intelligence, fait que le spectateur n’est pas l’otage de ce
qu’il voit. Vous connaissez le fameux paradoxe des sophistes grecs: celui qui est trompé
connaît mieux la vérité que celui qui ne l’est pas… La vérité fige, empêche le sens de
rayonner, enferme dans la mort. C’est un poids dont il faut se libérer. Il faut cacher, voiler
la vérité. Le plaisir du théâtre est obscur.
(...)
Vous ne vous doutiez pas que «Sur le concept du visage du Fils de Dieu», avec
ce père englué dans la merde et ce visage du Christ bientôt incendié, allait le
susciter?
Je n’avais pas imaginé les réactions si violentes d’un public catholique intégriste.
D’autant que je n’ai jamais souhaité me moquer d’une religion dont je suis proche. Je
crois aujourd’hui que ce ne sont pas les excréments qui ont choqué, mais ce regard de
Jésus qui fixe chaque spectateur. Il est insupportable. Nous, les voyeurs, qui nous
repaissons aujourd’hui de tant d’images, nous voilà soudain mis à nu par ces yeux doux
et tendres qui nous observent avec infiniment de mélancolie. On l’a un peu oublié
aujourd’hui, mais le Christ, incarnation de Dieu sur terre, est le premier modèle de
l’histoire de l’art, celui à partir duquel les peintres ont imaginé les premiers portraits,
les premiers visages. Il est sans doute aussi le premier «acteur», celui que Dieu a «mis
sur le plateau du monde», comme l’enseignent les Pères du désert. Et la croix n’est-elle
pas le plus petit espace scénique possible? Mais le lien entre l’art et la religion s’est perdu
en Occident au XIXème siècle. Quand l’Eglise, comme l’a expliqué le cinéaste et poète Pier
Paolo Pasolini, a trop versé dans la communication, le spectacle. Quand elle a perdu
l’esprit. Le religieux occidental est alors devenu stéréotypé, consolatoire. Pourtant l’art
a toujours eu affaire avec la religion, ils sont nés en même temps, à l’intérieur d’une
caverne, dans un rapport sororal.
Sororal ?
Les premières divinités représentées sont des femmes, des déesses mères aux seins
lourds. Et on peut imaginer, comme certains paléontologues réputés, que les premières
peintures des cavernes ont aussi été réalisées par des femmes qui attendaient le retour
des hommes de la chasse. Pour moi, la science du corps, la grâce du corps, du geste,
sont purement féminines, et la femme représente l’absolu de l’image. Il n’y a que des
femmes dans «The Four Seasons Restaurant».
La foi nourrit-elle toujours votre travail ?
Je n’oserais pas dire que je suis chrétien, les responsabilités qui s’attachent à ce mot
sont lourdes; et je n’aime guère la consolation que certains chrétiens attendent de leur
religion. Je me sens davantage «christique», portant en moi les blessures du Christ. Car
il vaut mieux être blessé que consolé. Le devoir de l’artiste est de rajouter des questions,
des problèmes. On a besoin de ces problèmes qui nécessitent des choix. Aujourd’hui,
dans ce monde débordant d’informations, d’images, où on est spectateur tout le temps,
de tout, nous sommes obligés de choisir. Or on choisit mieux face à un problème. Le
problème devient ainsi une espèce de bonheur.
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ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES
(...)
Vous dénoncez les images, mais vous faites pourtant un théâtre d’images,
presque sans mots ?
C’est vrai. Ça pourrait sembler un paradoxe… Sauf que les images que je défends ne sont
pas à deux dimensions comme celles de la publicité, mais à trois. Et la troisième
dimension, c’est le temps de la représentation. Qui change tout à la perception,
l’approfondit, la densifie. Pourtant, au théâtre, une image n’est puissante que lorsqu’elle
échappe, lorsqu’elle est fragile. Une vraie image doit être à l’abri des regards. Pour mieux
pousser du visible à l’invisible. C’est cette tension qui fait sa force. Ainsi une image
«forte», au théâtre, est une image qui dépasse la question même de l’image, qui incite
au silence, au recueillement. Par exemple, quand je travaille un spectacle et règle sur le
plateau, disons, deux «images» A et B, c’est ce qui se passe entre elles, soit C, qui
m’intéresse. Soit l’image qui manque et que vont créer, s’imaginer dans leurs têtes, les
spectateurs.
Comment viennent les images spectaculaires et terribles de vos spectacles ?
Généralement avant les mots; mais toujours de manière périphérique. Comme des rayons
qui passent. Il faut être attentif. J’ai constamment un cahier de notes sur moi. Car les
images surgissent n’importe quand, lorsque je téléphone ou regarde n’importe quoi.
Après, il faut vérifier leur nécessité. Le temps est pour ça un outil extraordinaire. Au fur
et à mesure, j’enlève, j’enlève, comme un sculpteur. La discipline qui m’est la plus proche
est la sculpture. Une image est un point qui doit briller dans le temps. Un temps ni trop
long ni trop court. Il faut en trouver le rythme, c’est un travail quasi musical: écrire le
temps…
D’où vous est venu le goût de l’image ?
Sans doute des livres d’histoire de l’art de ma sœur aînée, qui étudiait aux Beaux-Arts
de Bologne. Je faisais, moi, des études d’agriculture. Quand je regardais ces bouquinslà, j’étais fasciné par ce monde irréel. J’aurais passé ma vie devant pareils tableaux.
D’autant qu’en Italie on est très jeune initié au beau: le moindre village possède une
église où sont exposées des toiles superbes. Chacun peut en faire l’intime expérience.
Même quand on appartient à un milieu modeste comme était le nôtre. Père émigré en
Belgique pour y être mineur et mort très jeune de la silicose, mère institutrice. Je n’ai
jamais quitté la petite ville de Cesena, en Emilie-Romagne, près de Bologne, où j’ai
grandi. J’y travaille avec ma sœur, ma femme, quelques-uns de mes enfants.
(...)
Comment vous sentez-vous dans l’Italie d’aujourd’hui ?
Il faut tout reconstruire. Pendant vingt ans, nous avons vécu dans un désert culturel, le
maillage socio-culturel a été détruit, notre patrimoine, abandonné. On n’a eu que la télé.
Tout était mort. Mais je déteste les lamentations. S’ils ne sont ni prophètes, ni philosophes,
ni sociologues, les artistes doivent créer des taches d’opacité dans cette société
prétendument transparente et mettre du poison dans le circuit. C’est leur plus beau
cadeau à la société, pour la faire réagir. Moi, j’ai besoin d’ombre, de nuit. Pour mieux
brûler sur scène avec les acteurs. Etre une torche vive. Et disparaître, m’effacer.
FABIENNE PASCAUD, «TÉLÉRAMA», N°3260
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ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES
ROMEO
CASTELLUCCI
Romeo Castellucci est certainement un des artistes les plus
libres et les plus novateurs de notre temps. Avant de fonder
en 1981 la Socìetas Raffaello Sanzio avec Chiara Guidi et
Claudia Castellucci, Romeo Castellucci a fait les BeauxArts de Bologne. Ce n’est donc pas un hasard si le théâtre
qu’il invente se fabrique tout autant avec des acteurs et des
danseurs qu’avec de la musique, de la lumière, des
références picturales, des images et des machines
complexes. Un travail d’une grande sophistication, qui fait
appel à l’artisanat théâtral traditionnel comme aux
nouvelles technologies les plus performantes. Un art de la
scène qui entend produire du sens aux yeux du spectateur,
auquel il est demandé d’être un partenaire privilégié,
indispensable pour que se développe un véritable partage
de cette expérience d’une perception visuelle et auditive
intense.
Persuadé que les mots ont «un poids spécifique plus
lourd que les objets et les images», Romeo Castellucci est
très attentif à leur emploi. Ce qui n’empêche nullement la
compagnie de s’intéresser aux grands textes dramatiques
et littéraires, tel ceux tirés du théâtre grec, toujours
comme fondement d’une recherche plutôt que comme
élément hégémonique de la représentation.
Après «Hamlet», «Hänsel et Gretel», «L’Orestie», il se
penche en 1998 sur «Jules César» de Shakespeare pour
un premier spectacle présenté au Festival d’Avignon.
S’y succéderont «Voyage au bout de la nuit» en 1999,
«Genesi» en 2000, quatre épisodes de la «Tragedia
Endogonidia» donnés entre 2001 et 2005, ainsi que «Hey
Girl !» en 2007. Sans oublier les trois parties de la «Divine
Comédie», inspirées de Dante et créées en 2008 alors que
Romeo Castellucci était l’un des deux artistes associés de
l’édition, et «Sur le concept du visage du fils de Dieu» joué
en 2011.
© Luca Del Pia
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ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES
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LES CRÉATIONS DE VIDY EN TOURNÉE
SAISON 14-15
VINCENT MACAIGNE SÉVERINE CHAVRIER
IDIOT! PARCE QUE NOUS LES PALMIERS
AURIONS DÛ NOUS AIMER SAUVAGES
EN TOURNÉE
EN TOURNÉE
CHRISTOPH MARTHALER MATTHIAS LANGHOFF
DAS WEISSE VON EI CINÉMA APOLLO
(UNE ÎLE
EN TOURNÉE
FLOTTANTE)
2015
2014
2014
EN TOURNÉE
Théâtre Vidy-Lausanne
11.9. – 21.9.
Théâtre Vidy-Lausanne
25.9. – 12.10.
Théâtre de la Ville,
Festival d’Automne, Paris,
FR
1.10. – 12.10.
Nouveau théâtre de
Montreuil, Montreuil, FR 1.12. – 12.12.
La Criée – Théâtre
National de Marseille, FR 17.10. – 19.10. HEINER GOEBBELS
STIFTERS DINGE
Nanterre-Amandiers,
Centre dramatique
national, Festival
d’Automne, Paris, FR 4.11. – 14.11. le lieu unique, Nantes, FR 19.11. – 21.11. Bonlieu Scène nationale,
Annecy, FR 26.11. – 27.11.
EN TOURNÉE
2014
Festival Musica en partenariat
avec le TJP, Centre Dramatique
National d’Alsace-Strasbourg,
Théâtre de Hautepierre, FR
25.9. – 26.9.
MAX BLACK
EN TOURNÉE
2014
National Drama Theater,
Vilnius, LT
9.11.
2015
Théâtre Vidy-Lausanne
28.11. – 17.12.
Le Théâtre national de
Toulouse Midi-Pyrénées,
Toulouse, FR 6.1. – 9.1. Le Parvis Scène nationale
Midi-Pyrénées, Tarbes, FR 14.1. – 15.1. La Comédie de Reims,
Reims, FR 21.1. – 24.1.
De Singel Campus des
Arts International, Anvers, BE
4.2. – 6.2.
Onassis Cultural Centre,
Athènes, GR
13.2. – 15.2.
Bonlieu Scène Nationale,
Annecy, FR
25.2. – 27.2.
Odéon Théâtre de
l’Europe, Paris, FR
11.3. – 29.3.
Le Théâtre Vidy-Lausanne
17.1. – 7.2.
Comédie de Genève, avec
le Théâtre du Loup et le
Théâtre St-Gervais
13.2. – 22.2.
L’Hippodrome, Douai
11.3. – 13.3
Espace Jean Legendre,
Compiègne
21.4. – 22.4. L’apostrophe, Cergy
5.5. – 6.5. Le Théâtre national de
Toulouse Midi-Pyrénées
28.5. – 30.5.
ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES
10
CALENDRIER DES TOURNÉES
SAISON 14-15
MATHIEU BERTHOLET
MASSIMO FURLAN
ROMEO CASTELLUCCI
MARTIN ZIMMERMANN
DERBORENCE
UN JOUR
GO DOWN, MOSES
HALLO
EN TOURNÉE
EN TOURNÉE
EN TOURNÉE
2014
2014
2014
Le Godey, Derborence,
CH
15.8. – 17.8.
Théâtre Vidy-Lausanne
1.10. – 12.10.
Théâtre Vidy-Lausanne
25.10 – 28.10.
Théâtre de la Cité
Internationale, Paris, FR
16.10. – 18.10
Théâtre de la Ville, Paris,
FR
4.11. – 11.11.
Théâtre du Crochetan,
Monthey, CH
21.8. – 14.9.
Les Théâtres de la
Ville de Luxembourg,
Luxembourg, L
12.11. – 13.11
deSingel, Anvers, BE
20.11. – 22.11.
Théâtre Nuithonie,
Villars-sur-Glâne, CH
15.10. – 16.10.
Comédie de ClermontFerrand, FR
3.12. – 4.12
La Filature, Scène
nationale, Mulhouse, FR
21.3. – 22.3.
Place Maurice Zermatten,
Sion, CH
21.8. – 14.9.
2015
Théâtre Vidy-Lausanne
7.5. – 13.5.
Théâtre du Galpon,
Genève, CH
1.6. – 7.6.
MARIELLE PINSARD
BORIS CHARMATZ
MANGER
EN TOURNÉE
2014
Théâtre Vidy-Lausanne
6.11. – 7.11.
2015
Le Maillon, Strasbourg,
FR
26.3. – 28.3.
EN TOURNÉE
2014
Théâtre Vidy-Lausanne
4.11. – 22.11.
Le volcan, scène
nationale, Le Havre, FR
16.12. – 19.12.
2015
La Filature, scène
nationale, Mulhouse, FR 7.1. – 9.1. Le Merlan, scène
nationale, Marseille, FR 22.1. – 25.1. Maillon-Wacken,
Strasbourg, FR 3.2. – 5.2. Maison de la Danse, Lyon,
FR 8.4. – 10.4.
Théâtre de la Ville, Paris,
FR 16.4. – 29.4.
EN QUOI FAISONSNOUS COMPAGNIE…
Ruhrtriennale
International Festival of
the Arts, Bochum, ALL
23.9. – 27.9.
Espace Jean Legendre,
Compiègne, FR 19.5. – 20.5.
2014
Steirischer herbst
festival, Graz, AU
16.10. – 18.10
Châteauvallon, CNCDC,
Ollioules, FR 3.6. – 5.6.
Théâtre de la Ville,
Festival d’automne, Paris
29.11. – 3.12.
Les Théâtres de la
Ville de Luxembourg,
Luxembourg, L 18.6. – 20.6.
EN TOURNÉE
Théâtre Vidy-Lausanne
4.11. – 7.11.
Le Tarmac, scène
internationale
francophone, Paris, FR 13.11. – 5.12.
ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN , MOSES
CONTACTS
PRESSE & COMMUNICATION :
SARAH TURIN /
CORALIE ROCHAT
AVENUE E.-H. JAQUES DALCROZE 5
CH-1007 LAUSANNE
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[email protected]
+41 (0)21 619 45 21/74
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LE THÉÂTRE VIDY-LAUSANNE
EST SUBVENTIONNÉ PAR :
VILLE DE LAUSANNE, CANTON DE
VAUD, FONDS INTERCOMMUNAL DE
SOUTIEN AUX INSTITUTIONS CULTURELLES DE LA RÉGION LAUSANNOISE
EST SOUTENU PAR :
LOTERIE ROMANDE,
PRO HELVETIA - FONDATION SUISSE
POUR LA CULTURE,
FONDATION DE FAMILLE SANDOZ,
FONDATION LEENARDS,
FONDATION ERNST GÖHNER,
VERA MICHALSKI-HOFFMANN,
ANDRÉ ET ROSALIE HOFFMANN
PARTENAIRES PRIVÉS :
PHILIP MORRIS INTERNATIONAL
PARTENAIRE MÉDIA :
LE TEMPS
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