Dossier de presse RÉTROSPECTIVE FRANÇOIS REICHENBACH 7 JANVIER – 23 FÉVRIER 2015 Après une jeunesse consacrée au monde de l’art et à l’écriture de chansons, François Reichenbach entreprend, au début des années 1960, la réalisation de films documentaires, portraits de personnalités exceptionnelles (J’ai tout donné avec Johnny Hallyday, L’amour de ma vie avec Arthur Rubinstein, Mon Amie Sylvie sur Sylvie Vartan). Il collabore avec Orson Welles pour son film Vérités et mensonges. Il s’attaque également à des sujets ambitieux, voire « scandaleux » ( Les Marines, L’Amérique insolite, Sex O’Clock USA sur la libération sexuelle aux États-Unis ou Houston Texas sur la peine de mort). Il est l’auteur, par ailleurs de la comédie La Raison du plus fou avec Raymond Devos en 1973. Sex o’clock USA de Francois Reichenbach, 1976 © DR ___________________________________________________________________________ En partenariat média avec ___________________________________________________________________________ ATTACHÉE DE PRESSE LA CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE Elodie Dufour - Tél.: 01 71 19 33 65 / 06 86 83 65 00 – [email protected] UN CŒUR GROS COMME ÇA SARAH MARTY Ces quelques lignes ne pourront jamais le contenir tout entier, lui et son œuvre viscéralement mêlés. Lui, l’anxieux qui attendait l’aube pour s’assoupir un peu. Lui, le cinéaste visionnaire qui écrasait le silence de la nuit sous la musique de Schumann. Lui qui tournait des films afin de partager son émotion devant l’indicible. Témoin privilégié de son époque, François Reichenbach a parcouru le monde la caméra contre son cœur. Il a attrapé au vol la musique des mots chuchotés, fait renaître la lumière posée sur Central Park, nous a offert l’humour d’Arthur Rubinstein, fait découvrir la mort joyeuse. Ce sont les détails qui ont retenu François Reichenbach, il a arrêté le temps pour des mains qui cherchaient à se nouer, un geste de Karajan, des regards perdus, des bouches qui se tendaient... Il a vu ce que les autres croisaient mais ne voyaient pas; des épaules tassées par la douleur, la peur du condamné à mort, mais aussi la vie d’une richesse perpétuellement renouvelée, le Japon sous d’autres couleurs, les reflets des villes qui jouaient les narcissiques. Une œuvre magistrale, sincère, baignée de musique classique, pleine de son regard profondément généreux qui a su s’attarder sur des gamins de la rue, des artistes au sommet de la gloire, des pauvres, des hommes du quotidien, des musiciens, des sportifs, des assassins. À tous il a donné le temps de s’exprimer, offert la beauté et la grâce, une délicieuse magie... Le cinéma de François Reichenbach est un cinéma sans frontières, celui d’un souffleur d’horizons, un buveur de départ. Il offre un cinéma différent qui fait partie de la Nouvelle Vague par sa liberté, son audace mais qui s’approche aussi de celui de Jean Rouch par sa vérité. Certains y verront parfois des images un peu surannées, d’autres des images d’une grande poésie, d’une sensibilité exceptionnelle, des regards, de nombreux regards, troublants qui les perceront. UN CERTAIN REGARD François Reichenbach est né le 3 juillet 1921 à Neuilly-sur-Seine, issu d’une grande famille d’industriels que côtoient de nombreuses personnalités : écrivains, musiciens, peintres - Wlaminck, Derain, Segonzac et même le photographe Jacques-Henri Lartigue auquel Reichenbach consacrera un portrait en 1980. Il poursuit des études musicales à Genève, puis devient conseiller technique de musées américains pour l’achat en Europe de tableaux de maîtres, critique d’art. Pour gagner sa vie, il vend des toiles de maîtres aux Américains fortunés. Mais surtout, il écoute les gens parler et les regarde. Il a pour eux ce regard «caméra » qui emmagasine tout, il est un «voleur d’images», comme le disait Abdoulaye Faye dans Un cœur gros comme ça. Ce regard, c’est l’Amérique qui l’a développé et même révélé. Regarder le monde avec un certain regard devient sa signature. François Reichenbach réalise en 1955 Impressions de New York, son premier court-métrage, sans connaissance en photographie, aucune technique. Par mégarde, il recharge sa caméra avec de la pellicule déjà utilisée, cela offre une surimpression au film. Son ami Gérard Oury lui présente Pierre Braunberger qui, enthousiaste, produit le film. Le premier accueil en salle est désastreux, si bien que pour donner une autre chance à ce film muet, musique et commentaires sont ajoutés. Succès. La critique lui décerne le prix du Festival de Tours en 1956 et le prix du Festival d’Edimbourg. La carrière de François Reichenbach est lancée. LE MONDE A ENCORE UN VISAGE Tout au long de sa vie, ce boulimique d’images qui aime avant tout se présenter comme un musicien, tournera plus d’une centaine de films et sera récompensé de prix prestigieux : Les Marines (1957), prix spécial du Festival d’Edimbourg. L’Amérique insolite (1960), sélection française au Festival de Cannes. Le Petit café (1962), prix du court-métrage au Festival de Venise. Mais surtout, en 1964, François Reichenbach connaîtra la consécration avec la Palme d’or au Festival de Cannes pour La Douceur du village. Ce film bourré de tendresse s’articule autour de 16 leçons croustillantes qui reflètent une France savoureuse, et où le personnage principal devient le maître de l’école. Les tournages s’enchaînent, Chris Marker qu’il appelait son «témoin honnête», le conseille et suit sa carrière. Son œuvre ressemble à une monumentale fresque, François Reichenbach ne lâche jamais sa caméra et parcourt le monde. Il s’attache à trois pays dont il ne cesse de guetter le visage : les ÉtatsUnis, le Japon, le Mexique. En 1977, il propose une autre vision des États-unis avec Sex O’Clock USA, ouvre les débats avec Le Prix d’une vie, retour à Houston en 1985; reportage choc sur le prix d’une vie, celle de Charlie Bass, un condamné à mort. L’art de Reichenbach ? Pas celui du pamphlet. Il ne se positionne pas, juste un témoin. L’enfant timide et rêveur qu’il était a pris pour habitude de s’extraire du décor pour mieux observer. Avec Le Japon insolite en 1982, puis en 1985 Les Chemins du Nord profond, il nous offre une nouvelle fois la preuve que le cinéma n’a pas besoin de fiction quand il dispose de la vie. Témoin émerveillé d’un monde qui change, sa force est d’être toujours présent, caméra à l’épaule, à un point de bascule, au moment crucial où l’on sent que c’est la fin irrémédiable de quelque chose. 13 jours en France, tourné en 1968 avec Claude Lelouch, donne aux Jeux Olympiques d’hiver de Grenoble le visage d’une France qui ne sera plus jamais la même. Les Marines (1957) dessine le portrait de ces hommes volontaires, prêts à mourir au combat. Ce point de bascule où l’homme devient machine de guerre. Justesse du regard, musique et image parfaitement liées l’une à l’autre, François Reichenbach a toujours su apprivoiser les silences et chorégraphier les images. Il offre sans retenue un cinéma généreux, tourné vers les autres, porté par son enthousiasme et son regard libre. À quatre pattes sous une table ou en équilibre précaire dans une barque, il n’a jamais cessé de filmer. Combien de portraits ? Yehudi Menuhin, Brigitte Bardot, Barbara, Orson Welles, Rostropovitch et bien d’autres encore, Arthur Rubinstein avec L’Amour de la vie, Oscar du documentaire à Hollywood... Quelques films inclassables où la fiction se mêle à la réalité : Vérités et mensonges (F for Fake) réalisé avec Orson Welles ou La Raison du plus fou avec Raymond Devos. La liste de ses films est infinie ! Infatigable, d’une aube à l’autre, avec sa caméra, il a stoppé l’éphémérité du temps par tous les chemins qui s’offraient à son regard. En 1987, l’Académie française a récompensé l’ensemble de son œuvre en lui décernant le Grand Prix du cinéma. François Reichenbach en quelques dates 1921 : Nait le 3 juillet à Paris 1957 : Réalise son premier court métrage, Les Marines, sur une unité d’élite américaine et impose déjà l’originalité de son regard. 1958 : Tourne son premier long métrage, documentaire sur les États-Unis d’avant 1960, L’Amérique insolite, salué par la critique. 1961 : Un cœur gros comme ça, portrait d’un jeune boxeur sénégalais à Paris. Obtient le prix Louis Delluc et le Léopard d’or au Festival de Locarno. 1964 : Reçoit le Grand Prix du court métrage au Festival de Cannes pour La Douceur du village. 1970 : Obtient l’Oscar du meilleur film pour Arthur Rubinstein, l’amour de la vie, un portrait coréalisé avec Gérard Patris sur le célèbre pianiste polonais. 1993 : Meurt le 2 février à Neuilly-sur-Seine. LES FILMS PÉRÉGRINATIONS: LES ÉTATS-UNIS L’AMÉRIQUE INSOLITE DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1958/86’/NUMÉRIQUE «J’ai voulu prendre le citoyen américain depuis sa naissance jusqu’à sa mort et le suivre dans toutes les circonstances cocasses, burlesques, insolites de la vie. J’ai voulu montrer son extraordinaire jeunesse, ses passions, son goût de la violence, ses drames, sa gentillesse et ses bizarreries. Être un témoin curieux, infatigable, parfois même indiscret: tel a été mon but. Mais je ne me suis jamais permis de juger.» François Reichenbach me 07 jan 20h00 Ouverture de la rétrospective sa 07 fév 19h00 HOUSTON TEXAS DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1956/10’/16MM Houston, quatorzième ville américaine, ses habitants ne sont pas peu fiers d’elle. Pourtant, malgré son champ pétrolifère exceptionnel, peu de choses la distinguent des autres urbanisations américaines. Suivi de HOUSTON TEXAS (LE PRIX D’UNE VIE, RETOUR À HOUSTON) DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1979/90’/VOSTF/35MM sa 10 jan 21h30/ me 04 fév 21h30 L’Amérique insolite de François Reichenbach, 1958 © DR Houston Texas de François Reichenbach, 1956 © DR SEX O’CLOCK U.S.A DE FRANÇOIS REICHENBACH ET JEAN-JACQUES FOURGEAUD FRANCE/1976/90’/VOSTF/VIDÉO La libération sexuelle aux États-Unis. Une femme qui tient en laisse ses deux amants ; un homme noir, qui pour faire vivre sa famille, fait l’amour dans un sex-live-show et un homosexuel s’exhibant sur une scène. ve 09 jan 19h00 Séance présentée par Jean-Jacques Fourgeaud me 04 fév 19h30 COURTS MÉTRAGES IMPRESSIONS DE NEW YORK DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1955/12’/35MM En camera subjective, sur une musique de Bela Bartók et sur un texte d’Arthur Rimbaud, François Reichenbach offre une vision très singulière de la mégalopole américaine. Suivi de LES MARINES DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1957/22’/VOSTF/35MM Violent entraînement physique et psychologique du régiment d’élite que sont les Marines aux États-Unis. Suivi de Sex O’clock U.S.A de François Reichenbach et Jean-Jacques Fourgeaud, 1976 © DR Les Marines de François Reichenbach, 1957 © DR L’AMÉRICAIN SE DÉTEND DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1957/10’/35MM AVEC LA VOIX DE FRANÇOIS PÉRIER. Le portrait de l’américain moyen à la recherche de distractions et de détente un dimanche de printemps. Musique de Michel Legrand. Suivi de PRISON À L’AMÉRICAINE DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1969/28’/NUMÉRIQUE La police de Houston au cours d’une nuit d’été. Cette ville où blancs, noirs et mexicains s’affrontent, où la grande pauvreté de certaines classes conduit aux pires exactions. Des interventions de la police à la lente incorporation des individus arrêtés dans la machine pénitentiaire américaine. ve 09 jan 21h15/ve 23 jan 20h30 PÉRÉGRINATIONS: LE MEXIQUE MEXICO, MEXICO DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE-MEXIQUE/1968/90’/35MM COMMENTAIRE ET SCÉNARIO DE CARLOS FUENTES. Les Jeux olympiques d’été de Mexico en 1968. Copie neuve, La Cinémathèque française sa 10 jan 19h30/ sa 07 fév 21h00 LA PASSION SELON LE PEUPLE MEXICAIN DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1978/79’/VIDÉO Le Mexique, la musique et Jean-Sébastien Bach: ces trois passions de François Reichenbach servent de fil conducteur à ce documentaire. di 11 jan 19h00/ lu 09 fév 20h30 COURTS MÉTRAGES LA MORT NE TUE JAMAIS PERSONNE - LA FÊTE DES MORTS DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1971/15’/35MM Les mexicains pensent qu’un jour, au cimetière, les morts reviennent parmi les vivants. Ils viennent là avec des présents, des fleurs, des victuailles et des musiciens. Suivi de LES MÉDECINES DE L’ÂME DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1985/49’/VIDÉO Promenade au cœur du Mexique à travers ses fêtes religieuses, ses danses, ses sorciers... Suivi de LA MORT JOYEUSE DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1992/22’/VIDÉO Au Mexique, c’est en fanfare que l’on se rend au cimetière le jour de l’enterrement. Pour appréhender la mort et l’inscrire dans le quotidien, on la personnifie, on la fête, on la chante. Les mexicains tournent en dérision celle qu’ils appellent «la Señora Muerte» à travers toutes sortes de mise en scène. di 11 jan 21h00/ lu 02 fév 20h30 Mexico, Mexico de François Reichenbach, 1968 © Bernard Meusnier, production le Capricorne PÉRÉGRINATIONS: LE JAPON LE JAPON INSOLITE DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1980/87’/35MM Le Japon n’a jamais renié son identité ni ses traditions. Paysages, montagnes et volcans contrastent avec les gratte-ciel, les métros bondés, les enseignes lumineuses. Des guerriers féodaux, les Nippons ont gardé le culte du corps et le goût des communautés masculines, que le cinéaste suit dans la campagne. je 08 jan 20h30 Suivi de JAPON, LES CHEMINS DU NORD PROFOND DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1985/47’/VIDÉO Kenneth White entreprend au départ de Tokyo un voyage initiatique dans le nord du Japon, sur les traces du poète Basho. je 08 jan 20h30 Le Japon insolite de François Reichenbach, 1980 © DR LES PORTRAITS À LA MÉMOIRE DU ROCK DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1963/11’/DCP AVEC JOHNNY HALLYDAY, LES CHAUSSETTES NOIRES. La jeunesse des années soixante, déchaînée par le rock, au cours des exhibitions de leurs vedettes. Film suivi de : J’ai tout donné sa 10 jan 15h00/ sa 07 fév 15h00 ARTHUR RUBINSTEIN, L’AMOUR DE LA VIE DE FRANÇOIS REICHENBACH ET GÉRARD PATRIS FRANCE/1968/100’/35MM Le quotidien d’Arthur Rubinstein, guidé par la musique, sa référence ultime. Il interprète des œuvres de Beethoven, Brahms, Chopin, Villa-Lobos, Liszt... di 11 jan 14h30/ lu 16 fév 20h30 Arthur Rubinstein, l’amour de la vie de François Reichenbach, 1968 © DR BRIGITTE BARDOT AUX USA DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1966/50’/VIDÉO François Reichenbach suit B.B aux USA durant toute la tournée de promotion du long métrage «Viva Maria» de Louis Malle. Film précédé du : Petit café sa 24 jan 15h00/ me 11 fév 20h30 LE CHASSEUR DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1970/33’/NUMÉRIQUE Deux jours de chasse en compagnie de Bernard de Lassus, chasseur hors pair. Ce riche propriétaire dirige avec fermeté les parties de chasse qui se déroulent sur son domaine, tout en livrant son opinion très personnelle sur la politique ou la situation économique française. Film suivi de : Le Fou de musique me 21 jan 21h15/di 22 fév 20h30 Brigitte Bardot aux USA de François Reichenbach, 1966 © DR LA DOUCEUR DU VILLAGE DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1963/47’/NUMÉRIQUE Loué, petite ville à quelques kilomètres du Mans. Le comportement des différents groupes sociaux qui la composent à travers l’activité de son instituteur. Le quotidien du jeune écolier de campagne nous donne à voir les charmes et les vertus d’un village de France dans les années soixante. Film précédé de : Lomelin sa 17 jan 21h00/ di 08 fév 21h00 DUNOYER DE SEGONZAC DE FRANÇOIS REICHENBACH ET MONIQUE LEPEUVE FRANCE/1965/11’/35MM AVEC ANDRÉ DUNOYER DE SEGONZAC. Sont saisis sur le vif la vie et les gestes du vieux Maître de la peinture impressionniste, qui raconte les souvenirs les plus marquants de sa carrière. Film suivi de Portrait d’Orson Welles sa 17 jan 15h00/di 08 fév 19h00 LE FOU DE MUSIQUE DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1990/56’/VIDÉO François Reichenbach livre son amour pour la musique et retrace ses plus belles rencontres musicales. Film précédé du Chasseur me 21 jan 21h15 Séance présentée par Françoise Widhoff di 22 fév 20h30 HERBERT VON KARAJAN - BACH DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE-RÉPUBLIQUE FÉDÉRALE D’ALLEMAGNE/1967/32’/VIDÉO Portrait de Von Karajan avec des extraits de Carmen, La Walkyrie, Siegfried. Film suivi de Paul Sacher me 21 jan 19h00/ sa 21 fév 20h30 JACQUES-HENRI LARTIGUE DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1981/104’/35MM Portrait du célèbre peintre et photographe. me 14 jan 21h30/ ve 13 fév 20h30 JE VOUS SALUE PARIS DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1967/13’/VIDÉO Le charme de Paris, les couleurs de Paris, les femmes de Paris, Paris sur Seine. Film suivi de Michel Legrand sa 17 jan 16h30/ lu 09 fév 17h00 J’AI TOUT DONNÉ DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1971/80’/35MM AVEC JOHNNY HALLYDAY, SYLVIE VARTAN. 1971, de Los Angeles au Palais des Sports, les tournées à travers les États-Unis et la France de Johnny Hallyday. Film précédé de À la mémoire du rock J’ai tout donné de François Reichenbach, 1971 © DR sa 10 jan 15h00/ sa 07 fév 15h00 LOMELIN DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1965/22’/35MM Émotion de la famille d’un jeune torero mexicain se préparant à sa première course, son premier combat. Film suivi de La Douceur du village sa 17 jan 21h00/ di 08 fév 21h00 MANITAS DE PLATA DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1967/60’/VIDÉO Rencontres extraordinaires de Manitas de Plata avec Dali, Picasso, Reichenbach, Chaplin, Jeanne Moreau, Brigitte Bardot et tant d’autres. di 18 jan 19h00 Manitas de Plata de François Reichenbach, 1967 © DR MAURICE BÉJART DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1982/60’/VIDÉO Maurice Béjart, le célèbre chorégraphe depuis la salle de répétition jusqu’au théâtre. Création et naissance d’un spectacle donné à Venise. di 18 jan 16h30 MICHEL LEGRAND DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1992/52’/VOSTF/VIDÉO Portrait du célèbre compositeur et musicien Michel Legrand. On le voit avec ses amis, en enregistrement, en chantant et en chef d’orchestre. Film précédé de : Je vous salue Paris sa 17 jan 16h30/ lu 09 fév 17h00 Maurice Béjart de François Reichenbach, 1992 © DR MON AMIE SYLVIE DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1971/60’/VIDÉO Portrait de la chanteuse Sylvie Vartan, elle évoque son enfance, sa carrière et sa rencontre avec Johnny. je 22 jan 20h30 PAUL SACHER DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1990/52’/VIDÉO Portrait du célèbre chef d’orchestre. Film précédé de : Herbert von Karajan - Bach me 21 jan 19h00 Séance présentée par Françoise Widhoff sa 21 fév 20h30 LE PETIT CAFÉ DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1962/12’/NUMÉRIQUE Une journée d’un petit café pittoresque de Paris. Film suivi de : Brigitte Bardot aux USA sa 24 jan 15h00/ me 11 fév 20h30 LE PETIT CIRQUE MEXICAIN DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1975/69’/VIDÉO La tournée d’un modeste cirque traditionnel et familial aux alentours de Mexico. Mon amie Sylvie de François Reichenbach, 1971 © DR di 18 jan 21h00/ me 18 fév 20h30 PORTRAIT D’ORSON WELLES DE FRANÇOIS REICHENBACH ET FRÉDÉRIC ROSSIF FRANCE/1968/41’/35MM Portrait du célèbre réalisateur, chez lui et interview au festival de Cannes. Film précédé de : Dunoyer de Segonzac sa 17 jan 15h00/ di 08 fév 19h00 PORTRAIT DE BARBARA DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1978/50’/VIDÉO Portrait intimiste de Barbara à l’Olympia et en tournée en 1978 à la rencontre de son public, en répétition, en coulisse, sur scène. Suivi de PORTRAIT DE DIANE DUFRESNE DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1978/50’/VIDÉO Le phénomène Diane Dufresne en France. lu 12 jan 20h30 Portrait d’Orson Welles de François Reichenbach, 1968 © DR LA RAISON DU PLUS FOU DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1972/90’/35MM AVEC RAYMOND DEVOS, ALICE SAPRITCH, JEAN CARMET. Deux jeunes pensionnaires d’une «maison de repos» veulent voir la mer. Pour les aider à réaliser ce projet, leur surveillant emprunte la voiture de la directrice. Mais cette dernière et son mari sont très vite alertés et se lancent à leur poursuite. me 14 jan 19h30/ je 19 fév 20h30 LA LEÇON DE SLAVA DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1978/90’/35MM Mstislav Rostropovitch à Bâleavec des jeunes du monde entier réunis pour une master class. je 15 jan 21h15 UN CŒUR GROS COMME ÇA DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1961/80’/NUMÉRIQUE AVEC ABDOULAYE FAYE, LUCE VIDI, MICHÈLE MORGAN. Un jeune boxeur sénégalais, Abdoulaye Faye, vient tenter sa chance à Paris. Le championnat qu’il rêve d’emporter, les femmes - en particulier Michèle Morgan - qu’il admire, son adaptation à l’existence parisienne, le froid, le brouillard qui l’étonnent, occupent ses pensées. Il rencontre une Japonaise au bois de Boulogne, consulte une voyante... Vient enfin le match qu’il doit disputer. sa 17 jan 19h00/ ve 20 fév 19h00 YEHUDI MENUHIN, CHEMIN DE LUMIÈRE DE FRANÇOIS REICHENBACH ET BERNARD GAVOTY FRANCE/1971/75’/VIDÉO Portrait du grand violoniste, il évoque son étonnante carrière depuis ses débuts d’enfant prodige. di 25 jan 19h00/ ve 20 fév 20h45 La Raison du plus fou de François Reichenbach, 1972 © Gaumont Un Cœur gros comme ça de François Reichenbach, 1961 © DR SOUS LE REGARD DE FRANÇOIS REICHENBACH ENTENDS-TU LES CHIENS ABOYER ? (NO OYES LADRAR LOS PERROS ?) DE FRANÇOIS REICHENBACH MEXIQUE-FRANCE/1974/82’/VOSTF/35MM AVEC AURORA CLAVEL, AHUI CAMACHO, TAMARA GARINA. Le voyage intérieur à travers le temps et l’espace d’une vie, de l’indien Chamulas Juan Dolores, portant Ignacio, son fils malade sur ses épaules, et parcourant le Mexique de village en village, à la recherche d’un docteur. di 25 jan 21h00 L’INDISCRET DE FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE/1968/91’/35MM AVEC JEAN-JACQUES FOURGEAUD, SYLVIE D’HAETZ, CHRISTINE COCHET. À bord du France, Jean-Jacques et Kim posent pour un roman-photo. La scène de mariage qu’ils jouent avec conviction intrigue les passagers. François Reichenbach est «l’indiscret» qui les observe et enregistre leurs réactions. Bientôt chacun est excédé devant cette caméra qui les traque. sa 24 jan 19h30 Séance présentée par Jean-Jacques Fourgeaud lu 23 fév 20h30 Entends-tu les chiens aboyer de François Reichenbach, 1974 © DR L’indiscret de François Reichenbach, 1968 © DR 13 JOURS EN FRANCE DE CLAUDE LELOUCH, FRANÇOIS REICHENBACH, WILLY BOGNER, GUY GILLES, JEAN-PIERRE JANSSEN, JEAN-PAUL JANSSEN, JEAN COLLOMB ET PIERRE WILLEMIN FRANCE/1968/115’/35MM Documentaire sur les Jeux Olympiques de Grenoble de 1968. Plus qu’aux compétitions sportives le film s’intéresse aux à-côtés qui entourent toute manifestation. sa 24 jan 21h45/ sa 14 fév 20h30 VÉRITÉS ET MENSONGES DE ORSON WELLES ET FRANÇOIS REICHENBACH FRANCE-IRAN-RÉPUBLIQUE FÉDÉRALE D’ALLEMAGNE/1973/85’/VOSTF/35MM AVEC ORSON WELLES, OJA KODAR, ELMYR DE HORY, CLIFFORD IRVING. Un essai en forme d’enquête sur l’illusion et le faux où sont convoqués Howard Hugues, Picasso, un faussaire en tableaux et Welles lui-même. je 15 jan 19h00 Séance présentée par Françoise Widhoff di 15 fév 19h30 13 Jours en France de François Reichenbach, Claude Lelouch, Willy Bogner, Guy Gilles, Jean-Pierre et Jean-Paul Janssen, jean Collomb et Pierre Willemin, 1968 © DR Vérité et Mensonges de Orson Welles et François Reichenbach, 1973 © DR RENSEIGNEMENTS PRATIQUES La Cinémathèque française Musée du cinéma 51 rue de Bercy, 75012 Paris Informations 01 71 19 33 33 Parkings 77 rue de Bercy (Hôtel Mercure) ou 8 bd de Bercy Accès : Métro Bercy Lignes 6 et 14 Bus n°24, n°64, n°87 En voiture A4, sortie Pont de Bercy DES ABONNEMENTS POUR TOUS Le Forfait Atout Prix (30 €) 30 € de crédit à utiliser en toute liberté et bénéficier de tarifs préférentiels pour toutes les activités de La Cinémathèque française *: > 4,5 € la place de cinéma au lieu de 6,5€ > 30 % de réduction sur les expositions, le Musée du cinéma et la bibliothèque du film A utiliser un peu, beaucoup, à la folie… seul, en famille ou entre amis, sur place ou à l’avance sur internet. * Chaque achat est directement débité sur le Forfait atout Prix (dans la limite du crédit disponible). 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Projections, Ciné-club Jean Douchet Plein tarif : 6,5€ - Tarif réduit* et billets couplés : 5€50 - Moins de 18 ans : 3€ Forfait Atout Prix : 4,5€ - Libre Pass : Accès libre Cinéma bis Forfait 2 films : Plein tarif : 9€ - Tarif réduit * et billets couplés : 7€ Forfait Atout Prix : 5,5€ - Libre Pass Accès libre Leçons de cinéma, Conservatoire, dialogues, conférences, journée d’étude Plein tarif : 4€ - Tarif réduit* et billets couplés 3€ - Forfait Atout Prix : 2,5€ - Libre Pass : Accès libre. Tables rondes Entrée libre. Master Class, Ciné-concerts, Lectures : Plein tarif : 10€ - Tarif réduit* et billets couplés 8€ Forfait Atout Prix 7€ - Libre pass 5 € Bénéficiaires des tarifs réduits : moins de 26 ans, demandeurs d’emplois, plus de 60 ans, détenteurs d’une carte d’abonnement annuel à la Bibliothèque du film, personnes participant à plusieurs activités le même jour. EXPOSITION FRANÇOIS TRUFFAUT du 8 octobre 2014 au 25 janvier 2015 La Cinémathèque française Musée du cinéma 51 rue de Bercy, 75012 Paris Informations 01 71 19 33 33 HORAIRES Du lundi au samedi (sauf fermeture mardi) : de 12h à 19h. Nocturne le jeudi jusqu’à 22h. Dimanche : de 10h à 20h. Fermeture le mardi, le 25 décembre et le 1er janvier. Ouverture à 10h pendant les vacances scolaires (18 oct - 2 nov, - 20 déc - 4 janv) TARIFS Plein Tarif : 11€* - Tarif Réduit : 8.50€* - Moins de 18 ans : 5.50€* - Forfait Atout Prix : 7.50€ - Libre Pass : Accès libre. Billets couplés Exposition + film ou Exposition + Musée de La Cinémathèque : 13€* Billet coupe –file : cinematheque.fr / fnac.com * + 1€ de frais de préventes web. LE MUSEE DE LA CINEMATHEQUE avec audioguide (Disponible gratuitement avec le billet d’entrée). Du lundi au samedi de 12h à 19h. Dimanche de 10h à 20h. Fermeture le mardi. Galerie des donateurs accessible avec le billet du Musée Plein tarif : 5 € / Tarif réduit 4 € / Moins de 18 ans 2,5 € / Forfait Atout-Prix : 3,5 € / Libre Pass : Accès libre Durant l’exposition Amos Gitai, architecte de la mémoire : Plein tarif : 6 € / Tarif réduit : 5 € / Moins de 18 ans : 3 € / Forfait Atout Prix : 4 € / Libre Pass - Accès libre * Bénéficiaires tarifs réduits moins de 26 ans, demandeurs d’emplois, plus de 60 ans Audioguide du musée compris avec le billet d’entrée en 6 langues : français (avec la voix d’André Dussollier), anglais, italien (avec les voix de Claudia Cardinale et Valeria Bruni Tedeschi), japonais, espagnol et allemand. Visite LSF un dimanche par mois à 11h30 : 4€50 Groupes, scolaires, socioculturels, adultes : Visites guidées et tarifs spécifiques. Informations détaillées sur www.cinematheque.fr BIBLIOTHEQUE DU FILM Centre d’information à distance : 01 71 19 32 32 Vidéothèque et salles de lecture : Lundi, mercredi, jeudi et vendredi : 10h-19h Samedi : 13h-18h30 Fermeture hebdomadaire : mardi Carte journalière : 3,5 € / Forfait Atout Prix : 2,5 € / Libre pass : accès libre Carte d’abonnement annuel à la Bibliothèque du film : PT 34 € / TR 15 € Iconothèque et Espace chercheurs : Lundi, mercredi, jeudi : 13h-18h Vendredi : 10h-18h Fermés le mardi et le samedi LA LIBRAIRIE Lundi, mercredi au dimanche de 12h à 20h. Fermeture le mardi, le 25 décembre et le 1er janvier. NOUVEAU 1er octobre : OUVERTURE DU RESTAURANT « LES 400 COUPS » À LA CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE LE NOUVEAU RESTAURANT Á OUVERT SES PORTES LE 1ER OCTOBRE 2014 AVEC UNE CUISINE GOURMANDE, À DÉGUSTER SUR PLACE OU À EMPORTER, AU FIL DE LA PROGRAMMATION DE LA CINÉMATHÈQUE. Tout au long de la journée, nous vous proposons un choix de salades, soupes, tartes, plats du jour et pâtisseries maison. À l’heure de l’apéro, avant, après ou entre deux séances, des planches de charcuteries & fromages autour d’une sélection de vins. Le week-end, vous pourrez découvrir notre brunch. Aux manettes de ce nouveau lieu, l’équipe des 400 Coups qui anime depuis 5 ans son restaurant rue de la Villette... est impatiente de vous accueillir dans le 12e arrondissement. Horaires : Ouvert tous les jours sauf le mardi de 11h à 19h et jusqu’à 22h00 le mercredi, jeudi, vendredi et samedi Contact : [email protected] / Tél : 01 43 44 18 72
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