Le rapport environnement de la page 1 à 10

Résultats environnementaux
Créateur
d’énergie
verte
Isles-les-Meldeuses
Cideme
CTVM La Payelle
77440 Isles-les-Meldeuses
• 01 64 35 42 72
Pontivy
Cyclergie
ZI Le Sourn
56300 Pontivy
• 02 97 27 88 86
Calais
Octeva
293, rue Jacques Monod
ZI Marcel Doret
62100 Calais
• 03 21 97 74 20
Issy-les-Moulineaux / Isseane
TSI
47 à 103, quai du Président Roosevelt
92130 Issy-les-Moulineaux
• 01 40 93 76 00
Québec
TIRU Canada INC.
1210, boulevard Montmorency
Qué. G1J 3V9
Québec
Canada
• 00 1 418 648 88 18
Chambéry
Valespace
928, av. de la Houille Blanche
ZI de Bissy
73000 Chambéry
• 04 79 96 41 00
Créteil
10-11, rue des Malfourches
94034 Créteil Cedex
• 01 48 98 55 11
Douchy-les-Mines
Cideme
7, route de Lourches
59282 Douchy-les-Mines
• 03 27 44 41 90
Gien
Cideme
Les Gâtines
45500 Arrabloy
• 02 38 29 81 40
Grimsby
Newlincs
Integrated Waste Management Facility
South Marsh Road
Stallingborough N.E. Lincolnshire
DN41 8BZ Grande-Bretagne
• 00 44 14 72 500 270
Hénin-Beaumont
Cideme
Chemin de la Buisse
62110 Henin Beaumont
• 03 21 75 17 95
Josselin
Cyclergie
ZI Le Sourn
56300 Pontivy
• 02 97 27 88 86
Mont-de-Marsan
Cyclergie
1038, route de Marcadet
40090 Saint-Perdon
• 05 58 06 25 87
Montréal
RSC
1635, rue Sherbrooke Ouest
Bureau 300
H3H 1E2 Montréal Québec
Canada
• 00 1 514 987 51 51
Paillé
Cyclergie
Usine de Paillé
18, rue la Garenne
17470 Paillé
• 05 46 59 96 09
Perpignan / Calce
Cydel
Coume dels Tres Pilous
66600 Calce
• 04 68 64 98 82
Pontenx-les-Forges
Cyclergie
Lieu dit Larrouza - CD 46
40200 Pontenx les Forges
• 05 58 04 80 19
Rosiers-d’Egletons
Corrèze Incinération
Lieu dit Les chaux
RD16
19300 Rosiers d’Egletons
• 05 55 93 25 63
Saint-Barthélemy
Ouanalao Environnement
Zone de Public Gustavia
97133 Saint Barthélemy
• 05 90 27 80 98
Saint-Ouen
22, rue Ardoin
93400 Saint-Ouen
• 01 49 45 46 00
Saint-Saulve
Cideme
4, rue du Galibot ZI
59880 Saint-Saulve
• 03 27 47 02 33
Villefranche-sur-Saône
Cideme
90, rue Benoît Frachon
69400 Villefranche-sur-Saône
• 04 74 62 15 36
Villers-Saint-Paul
ZI de Villers-Saint-Paul
Avenue Frédéric et Irène Joliot-Curie
60870 Villers Saint Paul
• 03 44 25 20 64
Rédaction : Syllabes • Création-conception : Munica Ouest • Crédits photos : Yann Le Borgne, JR Pac Photography, Vanessa Maraut • Impression : Print Ouest
Siège social
Tour Franklin, 10e étage
La Défense 8
92042 Paris-La Défense Cedex
• 01 41 97 38 00
Rapport d’activité
Chiffres clés 2011
Déchets traités
3 340 000 tonnes
Valorisation énergétique
Electricité et vapeur vendues
2 915 000 MWh (dont 50 % d’énergie verte)
Habitants chauffés
346 000
Habitants alimentés en électricité
600 000 CO2 évité
805 000 tonnes
Barils de pétrole économisés
1,8 million Valorisation matière
Déchets triés et compost produit
350 000 tonnes
Mâchefers
350 000 tonnes
Ferrailles
50 000 tonnes
2 3
Résultats environnementaux
Rapport d’activité
Résultats environnementaux
Sommaire
Résultats environnementaux
Indicateurs environnementaux
ISO 14 001
6
Impact sur l’environnement minimisé
8
Traiter les fumées
10
Traiter les rejets liquides et solides
12
Indicateurs sites en France
Calce
16
Chambéry
17
Douchy-les-Mines
17
Gien18
Isles-les-Meldeuses
18
Hénin-Beaumont
19
Issy-les-Moulineaux
20
Josselin
21
Mont-de-Marsan
21
Paillé22
Pontenx-les-Forges
23
Pontivy24
Saint-Barthélemy
25
Saint-Ouen
26
Saint-Saulve
27
Villefranche-sur-Saône
28
Indicateurs sites à l’international
4 5
Grande-Bretagne
30
Canada
32
Rapport d’activité
Résultats environnementaux
ISO 14 001
ISO 14 001
En 2011, la certification
ISO 14 001 du Groupe est
renouvelée
Après l’audit de renouvellement,
qui s’est déroulé du 6 au 16 septembre 2011, TIRU est à nouveau certifié pour une durée de
trois ans.
L’audit du système de management Environnement du groupe
a été réalisé au siège (Direction
Générale, Division HSE, Direction des Ressources Humaines,
Direction de la Performance et
Direction de la Communication)
et son déploiement vérifié sur les
sites d’Hénin-Beaumont (62),
Chambéry (13), Gien (45), SaintOuen (93), Calce / Perpignan
(66) et Pontivy (56).
Les points forts du système rele-
vés par les auditeurs :
•Nos résultats en constante amélioration et la qualité du suivi et
du contrôle des rejets
•La sensibilisation des équipes et
la montée en compétences par
le biais de la formation conduite
•Notre forte volonté de transparence dans la communication
avec les parties intéressées externes
•Les évolutions techniques permettant de fiabiliser et d’améliorer la conduite et de réduire les
dysfonctionnements
•La veille réglementaire anticipative efficace
•Le bon niveau d’expertise et
d’engagement environnemental
•Les outils de suivi des actions et
les outils de reporting
         La norme ISO 14 001 concerne le management environnemental.
         Elle repose sur le principe d’amélioration continue de la performance
environnementale par la maîtrise des impacts liés à l’activité de l’entreprise.
6 7
Rapport d’activité
Résultats environnementaux
Impact sur l’environnement minimisé
Impact sur l’environnement minimisé
Déchets ménagers et rejets
La composition des déchets ménagers est très variée : constitués
en majeure partie de carbone,
d’hydrogène et d’oxygène, on y
trouve aussi d’autres constituants
en quantités beaucoup moins importantes comme le chlore, le soufre et le fluor mais aussi des traces
de métaux lourds (mercure, chrome, zinc, arsenic, plomb, nickel et
cadmium).
Lors de leur combustion, ces éléments vont produire d’autres substances tels que des acides chlorhydrique (HCl), et fluorhydrique (HF),
des oxydes de soufre (SOx), des
métaux lourds et des dioxines.
Des réglementations
actualisées
Les réglementations successives
ont fixé pour ces différentes substances des seuils d’émission à ne
pas dépasser, notamment dans
les rejets gazeux, en fonction des
recommandations des scientifiques et des meilleures techniques
de traitement disponibles.
Dans son avis rendu en janvier
2005 sur l’incinération des déchets, le comité de la Prévention
et de la Précaution a souligné l’importance de la bonne application
de l’arrêté du 20 septembre 2002,
modifié aujourd’hui par l’arrêté ministériel du 3 août 2010.
Des émissions minimum
Depuis les années 1990, les
émissions des incinérateurs ont
été considérablement réduites.
Pour les dioxines, par exemple,
qui sont un marqueur de l’ensemble des substances émises par
les incinérateurs, les émissions
ont baissé de 99 % entre 1990 et
2009. Les émissions des autres
substances ont été réduites dans
des proportions comparables :
moins 97 % pour le plomb, moins
89 % pour le zinc, moins 82 %
pour le cadmium, moins 75 %
pour le mercure…
         Les règles strictes de l’incinération
         Les incinérateurs sont les installations industrielles de
combustion qui sont les plus contrôlées en France et en Europe et
dont les émissions sont les plus limitées par la réglementation.
Pour les fumées, par exemple, une quinzaine de paramètres ou de
substances doivent être mesurés et analysés, parfois en continu :
poussières, carbone organique total, chlorure d’hydrogène, fluorure
d’hydrogène, dioxyde de souffre, oxydes d’azote, monoxyde de
carbone, vapeur d’eau, cadmium, thallium, mercure, dioxines…
L’arrêté du 3 août 2010 impose la réalisation de la mesure en semicontinu des émissions de dioxines et furannes sur toutes les usines
d’incinération des déchets non dangereux à compter du 1er juillet 2014.
8 9
Rapport d’activité
Résultats environnementaux
Traiter les fumées
Traiter les fumées
La Directive Européenne du 4 décembre 2000, transposée en droit
français par l’arrêté ministériel du
20 septembre 2002, a renforcé la
réglementation qui existait auparavant. Elle a fixé des seuils d’émission plus sévères auxquels toutes
les installations existantes ont du
se conformer à partir du 28 décembre 2005.
Les valeurs limites des émissions
d’un incinérateur, imposées par la
réglementation, sont, pour les poussières, de 2 à 15 fois inférieures à
celles des autres installations industrielles de combustion (selon le type
d’installation et la puissance). Pour
les oxydes de soufre, elles sont de 4
à 40 fois inférieures.
Pour le monoxyde de carbone, de 2
à 6 fois inférieures. Pour les oxydes
d’azote, elles sont jusqu’à 6 fois inférieures. Pour les métaux lourds, de
12 à 22 fois inférieures.
Depuis 2005, les exploitants d’incinérateurs doivent mener à proximité
de leurs usines des mesures environnementales pour évaluer leur
impact. Jusqu’à présent, ces études
n’ont pas permis de déceler un quelconque impact négatif.
Des procédés performants
Plusieurs types de traitement des
fumées performants coexistent au
sein de TIRU pour la captation des
composés acides (HCl, HF, SOx),
des métaux lourds, des poussières
et des dioxines et furannes.
•Le traitement des acides et des
poussières peut être réalisé selon
deux procédés :
-Le procédé humide consistant,
après dépoussiérage en électrofiltres, en un lavage des gaz
à l’eau additionnée de chaux
puis de soude (traitement des
acides).
-Les procédés sec, semi-sec
et semi-humide reposant
sur l’injection de chaux ou de
bicarbonate de sodium (réactif sous forme liquide pour le
semi-humide ou sous forme
pulvérulente pour le sec et le
semi-sec) dans le flux gazeux,
suivie d’un dépoussiérage par
filtres à manches.
•Le traitement des NOx peut
se faire par injection d’urée ou
d’ammoniaque en chambre de
combustion ou par ajout, dans
l’installation de traitement des fumées, d’un réacteur catalytique
permettant, de plus, de traiter
les dioxines et les furannes. Pour
les unités qui ne disposent pas
d’un traitement catalytique des
NOx, le traitement des dioxines
est réalisé par injection de charbon actif ou de coke de lignite en
amont du filtre à manches.
Le contrôle permanent des
rejets atmosphériques
Les émissions atmosphériques
sont contrôlées en continu par des
analyseurs placés en cheminée. Ils
mesurent la concentration en poussières, dioxyde de soufre, chlorure
d’hydrogène, oxydes d’azote et monoxyde de carbone ainsi qu’en COT
(Carbone Organique Total), et en
fluorure d’hydrogène sur certaines
installations. Ces informations sont
transmises en temps réel au poste
de commande de l’unité. Toute défaillance du système d’épuration est
signalée immédiatement par une
alarme aux opérateurs de l’usine.
En cas de persistance sur une durée jamais supérieure à 4 heures,
l’alimentation en déchets des fours
est arrêtée.
En outre, des contrôles ponctuels sont effectués par des laboratoires indépendants agréés par
le Ministère de l’Ecologie et du
Développement Durable, portant
notamment sur l’ensemble des
substances réglementées. Ceci
permet de valider le bon fonctionnement des analyseurs pla-
Une industrie strictement encadrée
Dans son bulletin épidémiologique hebdomadaire publié en 2009, l’InVS
affirme que « l’impact sanitaire des incinérateurs d’ordures ménagères est
suffisamment contrôlé pour que se pose la question de faire désormais
porter l’effort de recherche sur d’autres sources de pollution industrielles
moins réglementées. »
Cet avis est partagé au-delà des frontières, par exemple par l’agence
britannique de protection de la santé (HPA), qui considère que « les
incinérateurs modernes et bien exploités ont une contribution très
faible à la concentration locale en polluants » et que « les impacts
négatifs potentiels sur la santé des personnes vivant à proximité sont
probablement très faibles, s’ils sont mesurables ».
Saint-Ouen
10 11
Rapport d’activité
Résultats environnementaux
Traiter les rejets liquides et solides
cés en cheminée et de contrôler
le niveau d’émission de dioxines
et de métaux lourds, non mesurables en continu.
et remis aux membres des CSS
(Commissions de Suivi de Site, anciennement CLIS), lorsqu’elles ont
été mises en place par les préfets.
La transparence des
informations
Traiter les rejets
liquides et solides
Les différents résultats du suivi des
installations sont transmis chaque
mois aux services d’inspection
des installations classées (DREAL :
Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du
Logement et DRIEE : Direction Régionale et Interdépartementale de
l’Environnement et de l’Energie),
puis communiqués au public à travers les dossiers d’information du
public (DIP) : ces DIP sont disponibles en mairies, consultables pour la
plupart sur le site Internet de TIRU,
Eaux et boues résiduaires
Les effluents liquides générés par
les sites industriels doivent être
épurés avant d’être rejetés dans le
milieu naturel ou dans les stations
d’épuration urbaines. Entrent notamment dans cette catégorie, les
eaux issues du traitement humide
des fumées, les eaux de lavage
des sols, de refroidissement des
mâchefers et de nettoyage des
chaudières. En particulier, les
usines disposant d’un traitement
Les mâchefers tracés à la loupe
Les Mâchefers d’Incinération de Déchets Non Dangereux (MIDND),
représentant en moyenne entre 20 et 25 % du tonnage d’OM incinéré,
peuvent faire quant à eux l’objet d’une valorisation en technique routière.
Les critères d’acceptabilité à respecter pour permettre le recyclage en
technique routière sont désormais encadrés par un arrêté ministériel qui
vient remplacer la circulaire de 1994. L’arrêté définit de nouvelles règles de
gestion, de contrôle de la qualité et de valorisation applicables à partir du
1er juillet 2012. Il renforce également la procédure de traçabilité qui permet
de savoir, pour un chantier donné, de quelle Installation de Maturation et
d’Elaboration (IME) et de quelle unité proviennent les mâchefers.
des fumées par voie humide sont
équipées de leur propre station
de traitement des effluents liquides. Les eaux y sont épurées.
Les boues récupérées sont évacuées en décharges. Les rejets
d’effluents traités font l’objet d’un
suivi en continu de leur pH et, depuis le 28 décembre 2005, de leur
concentration en COT. Des mesures journalières de MES (Matières En Suspension) et de DCO
(Demande Chimique en Oxygène)
sont réalisées. Des campagnes
mensuelles de mesures très
complètes (avec notamment des
analyses sur les métaux) sont de
plus effectuées par un organisme
extérieur, permettant de suivre la
qualité des rejets.
Où stocke-t-on les résidus
d’épuration ?
En France, les REFIOM (Résidus d’Epuration des Fumées
d’Incinération des Ordures
Ménagères) sont stockés dans
des décharges spécialisées,
strictement contrôlées, après
avoir été stabilisés dans un ciment adapté, ou expédiés en
Allemagne en tant que matériau de comblement de mines
de sel désaffectées.
12 13
Rapport d’activité
Résultats environnementaux
Indicateurs sites
Résultats environnementaux
Indicateurs sites
Isséane, une unité au cœur de la ville
14 15
Rapport d’activité
Résultats environnementaux
Indicateurs sites en France
Calce
Chambéry
Total des déchets reçus (t)
Usine d’incinération
2011
241 328
2010
229 800
Nature des déchets reçus
Centre de tri
Sous-produits solides
OM et assimilés 73,8 %
Total des résidus envoyés vers les
filières de valorisation Refus de tri et de déchetteries 2,2 %
2011
42 290
2010
38 350
Devenir des déchets reçus
Valorisation matière totale 80 %
Refus faisant l’objet
13 %
de valorisation énergétique
64,42 %
Boues 0,03 %
Total des déchets reçus (t)
Refus allant vers une
7 %
décharge
DIB 23 %
DASRI 1 %
Traitement des fumées
Concentration
moyenne
NOx
(Type SNCR)
Centre de transfert
de produits dangereux
Electricité vendue Seuil
réglementaire
99 591 MWh
Flux
annuel
121,3 mg/Nm3
200 mg/Nm3
135,6 t/an
COT
0,1 mg/Nm3
10 mg/Nm3
0,15 t/an
SO2
14,8 mg/Nm3
50 mg/Nm3
16,61 t/an
HCl
4,8 mg/Nm
10 mg/Nm
Poussières
Dioxines
Total des déchets reçus (t)
Valorisation énergétique
3
5,44 t/an
1,3 mg/Nm3
10 mg/Nm3
1,46 t/an
0,0029 ng/Nm3
0,1 ng/Nm3
0,000118 g/an
3
Quantité d’énergie vendue renouvelable
correspondante Douchy-les-Mines
49 796 MWh
Usine d’incinération
Equivalent en consommation d’électricité
hors chauffage en nombre de foyers 53 833
2011
1 379
2010
3 455
Total des déchets reçus (t)
2011
94 537
2010
93 827
Nature des déchets reçus
Sous-produits solides
OM et assimilés 87,8 %
Total des résidus envoyés vers les
filières de valorisation
DASRI 5,9 %
Total des déchets reçus (t)
Centre de tri
Devenir des déchets reçus
Valorisation matière totale 79,8 %
Refus faisant l’objet 20,2 %
de valorisation énergétique
2011
26 535
2010
23 830
Encombrants faisant l’objet
3 %
d’un broyage avant traitement
100 %
Refus de tri et de déchetteries 3,2 %
Valorisation énergétique
Traitement des fumées
Electricité vendue
Concentration
moyenne
NOx
(Type SNCR)
Seuil
réglementaire
Flux
annuel
61,7 t/an
Quantité d’énergie vendue renouvelable
correspondante
10 mg/Nm3
0,18 t/an
21 151 MWh
50 mg/Nm3
0,92 t/an
139,2 mg/Nm3
200 mg/Nm3
COT
2,1 mg/Nm3
SO2
0,4 mg/Nm
3
HCl
7,1 mg/Nm3
10 mg/Nm3
3,16 t/an
Poussières
1,5 mg/Nm3
10 mg/Nm3
0,64 t/an
0,0118 ng/Nm3
0,1 ng/Nm3
0,0050 g/an
Dioxines
16 17
36 222 MWh
Equivalent en consommation d’électricité
hors chauffage en nombre de foyers
22 865