La vie de la Paroisse

Rencontres Paroissiales : Lieusaint-Moissy-Réau
Mardi 10 et Mercredi 11 juin : Retraite des professions de foi à Sens.
ATTENTION PAS DE MESSE A MOISSY / LIEUSAINT CES JOURS-CI
Jeudi 12 – 18h30 à Moissy : Messe grégorienne
Vendredi 13 juin - 19h30 à Moissy : Rassemblement des CM1
Samedi 14 juin - 10h00 à Moissy : Servants et Capelines
16h30 à Moissy : Eveil à la foi
18h30 : Messe à REAU
Intentions de messe
Paroisses de
LIEUSAINT
MOISSY-REAU
Mail : [email protected]
Messe info : 08.92.25.12.12
Dimanche 8 juin 2014
PENTECÔTE (A)
Dimanche 8 juin - 10h00 à Lieusaint : Action de grâce demandée pour Jocelyne TE
LAURANNE ; Pour la famille MUON-YIM ; les défunts des familles JOSEPHDUFRESNE ;  Muriel BLANCHAUD ;  René FERNAND ;  Henri DUFRESNE.
- 11h15 à Moissy : Action de grâce ; Pour les âmes du purgatoire ;
 Juste René CAPEL.
Prochainement
Baptêmes
Samedi 7 juin à Moissy : Mélina MAIA ; Lenny BERLE
Dimanche 8 Juin à Lieusaint : Manon GERMAIN ; Espoir, Adonaï, Fils Don
Divin NTAMOBARI
à Moissy : Téhana MAKOUANGOU ; Enora DECHAVANNE ;
Henri N’GABABA ; Maé TOURVILLE ; Hayden MIROSLAW.
Mariage
Samedi 7 juin à 17h30 à Moissy : Wilfried TOGBE et Célia LEROY.
A noter : Célébrations des Profession de Foi
Samedi 14 juin - 20h00 : Célébration de la lumière à Lieusaint
Dimanche 15 juin - 10h30 : Gymnase du Noyer-Perrot, célébration des
professions de foi
(Messe unique pour nos paroisses)
DIMANCHE 29 JUIN
Messe de fin d’année à 10h30 à Moissy
(Messe unique pour nos paroisses)
REPAS PAROISSIAL au presbytère – grillades et cochon de lait
Accueil à MOISSY : presbytère : 290, rue Lherminot (Tél : 01.60.60.61.73)
Mail : [email protected]
Accueil à LIEUSAINT : presbytère : 52, rue de Paris (Tél : 01.60.60.92.46)
Le Défenseur !
La « fin » de la cinquantaine pascale est
vraiment un « commencement » : quelque chose se passe, « soudain »,
et qui transforme. Et une foule stupéfaite découvre les merveilles de
Dieu ; il n’y aura plus de retour en arrière possible : la Bonne Nouvelle
est maintenant hors les murs, elle ne doit plus connaître de frontières,
l’Esprit doit l’emporter jusqu’aux extrémités du monde. Commencement
du temps de l’Eglise qui engendre l’Esprit. Commencement de
l’évangélisation, pour tous les peuples, en toutes langues.
Commencement de la mission, à la rencontre de tous les hommes de ce
temps.
Le récit de la Pentecôte dans les Actes des Apôtres (1ère lecture) a
quelque chose de fulgurant. Mais, une fois passée cette description du
don de l’Esprit aux Apôtres, saint Paul (2ème lecture) nous aide à méditer
sur l’action de l’Esprit en nous : il s’agit de « se laisser conduire »,
puisque l’Esprit nous mène immanquablement vers le bien. Pour ce
faire, il faut nous montrer disponible à l’Esprit de Dieu : prendre le temps
de la prière, du silence, de l’écoute, du discernement spirituel. Accueillir
l’Esprit Saint, c’est désirer cette voie qui conduit à la vie et au bonheur,
et se laisser conduire par lui.
Une fois encore, en cette fête de la Pentecôte, les paroles de Jésus
insistent sur notre vocation à « rendre témoignage » : véritable leitmotiv
de tout ce temps pascal, véritable nécessité dès lors que le Ressuscité
est auprès du Père, véritable mission des baptisés à qui est donnée la
force de l’Esprit. En l’absence du Seigneur et jusqu’à son retour, l’Esprit
de vérité et l’Eglise sont en quelque sorte ses « chargés de mission ».
L’Esprit habite et conduit l’Eglise, peuple de baptisés. Il l’assiste dans sa
mission d’évangélisation et dans le discernement des attentes des
hommes d’aujourd’hui.
Père José, curé du Pôle
de La Croix – affrètent un bateau avec plus d’un millier de pèlerins. La
restauration du Patriarcat latin, en 1847, s’accompagne d’un vaste mouvement
d’achat de terres, de restauration d’églises, de construction d’écoles, d’hôpitaux et
d’hôtelleries, les pèlerinages permettant le financement d’œuvres caritatives.
(Extrait d’un article de la Croix).
La vie du Pôle
(www.polebriesenart.catholique.fr)
Vendredi 13 juin : Rencontre des Etudiants avec l’évêque
Vendredi 13 juin, à partir de 19 h 30, au relais paroissial de Combs-la-Ville,
tous les étudiants et jeunes professionnels, présents sur notre Pôle missionnaire,
sont invités à se retrouver, nombreux, autour de notre évêque, Mgr Jean-Yves
Nahmias, pour partager, autour d’un sympathique barbecue, un temps d’amitié
fraternel, de rencontre et d’échange avec le Pasteur de notre diocèse. Tous les
jeunes intéressés par cette initiative sont chaleureusement invités.
Depuis quand les pèlerins se rendent-ils en Terre Sainte ?
La Terre sainte, c’est le nom que les chrétiens ont donné à la région où
est né et a vécu Jésus. Le pape François s’y est rendu du 24 au 26 mai.
e
Le début des pèlerinages vers la Terre sainte remonte au début du IV siècle,
à la faveur de la politique de pacification menée par l’empereur Constantin à
l’égard des chrétiens. L’édit de Milan (313) met fin aux persécutions et se
matérialise en Palestine par la construction de basiliques.
Celle du Saint-Sépulcre, sur le lieu de la crucifixion et du tombeau du Christ,
bâtie à l’instigation de sainte Hélène, la mère de Constantin, est consacrée en 335
en présence d’une foule de pèlerins et d’évêques. Deux autres sont élevées dans
la foulée, au sommet du mont des Oliviers et à Bethléem, sur le lieu supposé de la
Nativité. En quelques décennies, toute la Terre sainte se couvre d’églises
consacrées aux souvenirs des événements de la vie de Jésus.
« La mémoire historique est déjà très vive, même si le souci de précision
n’existe pas encore. C’est l’époque où saint Jérôme (347-420) s’installe à
Bethléem pour traduire la Bible en latin. Du Sinaï, au sud, à la Galilée, au nord, de
nombreux monastères voient le jour et la région attire de plus en plus de pèlerins
– issus de riches familles car le voyage est long et coûteux – venus d’Occident et
de l’Empire byzantin. S’il est difficile d’en évaluer le nombre, certains ont laissé
des récits de leur voyage comme le pèlerin de Bordeaux (333) ou Éthérie (393).
e
La situation se dégrade à partir du VII siècle avec les invasions perses, puis
musulmanes. La présence chrétienne et les pèlerinages connaissent des hauts et
e
des bas, jusqu’à la destruction du Saint-Sépulcre au début du XI siècle. Ces
troubles déclenchent, en Occident, le cycle des croisades – la première est
prêchée par Urbain II en 1095 – pour tenter de récupérer les lieux saints, sur fond
d’accentuation du divorce entre Latins et Byzantins.
Durant les siècles ottomans, la présence chrétienne se fait discrète. Les
pèlerins ne font leur grand retour dans une petite Jérusalem assoupie qu’à la fin
e
du XIX siècle. En 1882, les religieux assomptionnistes – fondateurs de Pèlerin et
er
Qu’en est-il de la dévotion au Sacré-Cœur le 1 vendredi du mois ?
Cette dévotion connaît une ferveur nouvelle. Une preuve, parmi d’autres : le
recueil officiel Chants notés de l’assemblée propose, aux numéros 782 et 787,
deux litanies au Sacré-Cœur. Il est intéressant d’en examiner le texte. Celui du
numéro 782 continue à véhiculer ces expressions qui, à un moment donné, ont pu
freiner la dévotion au Sacré-Cœur : « Fournaise ardente de charité », « agonisant
jusqu’à la sueur de sang »… Celui du numéro 787, tout en célébrant le même
mystère du Cœur de Jésus débordant d’amour, a recours à un lyrisme
d’aujourd’hui : « cœur de Jésus, brûlé de tant d’amour, meurtri par le péché…
Cœur de Jésus, le cœur de l’Homme-Dieu, … ».
La fête du Sacré-Cœur a pour fondement biblique le passage de l’évangile
de saint Jean (19, 31-37) relatif au côté percé du Sauveur sur la croix du
vendredi : « De son côté transpercé, dit la préface de la solennité du Sacré-Cœur
de Jésus, laissant jaillir le sang et l’eau, il fit naître les sacrements de l’Eglise. »
ème
Fixé au vendredi qui suit le 2
dimanche après la Pentecôte, cette solennité peut
se décliner, tout au long de l’année, le premier vendredi de chaque mois. Riche
tradition, qui célèbre la tendresse sans limite de l’Homme-Dieu.
A Lieusaint, tous le s1ers vendredis du mois, les litanies du Sacré Cœur sont
chantées à l’issue de la messe de 15h, « heure de la miséricorde » d’après les
paroles du Sacré Cœur à sœur Faustine.
Prière pour la paix avec le pape François
Le dimanche 25 mai dernier, durant son pèlerinage en Terre Sainte, le Pape
François a invité les Présidents Shimon Peres et Mahmoud Abbas à faire monter
ensemble une prière intense, demandant à Dieu le don de la paix, et leur a offert
sa maison pour accueillir une rencontre de prière.
Ce moment se réalisera ce dimanche, solennité de la Pentecôte.
Le Saint-Père désire que tous les fidèles se rassemblent spirituellement, afin
que soit plus intense la prière adressée à Dieu et que soit enfin donnée à la Terre
de Jésus cette paix que les anges annoncèrent lors de sa naissance.
Aussi, nous pourrons participer à cette supplication ce dimanche par une
adoration qui aura lieu de 17h00 à 18h00 à l'église de Brie-Comte-Robert, suivi du
chant des vêpres à 18h00.
« Si deux d’entre vous sur la terre se mettent d’accord pour demander quoi
que ce soit, ils l’obtiendront de mon Père qui est aux cieux » (Mat 18,19).
Unissons notre prière à celle du Saint-Père afin que cette prière pour la paix
qui s’élèvera près de la Tombe de Pierre s’étende aux confins de la terre.